Revue de presse ADCET N°238 du 13 Novembre 2023

Mobilité

Accélérer le basculement vers une mobilité décarbonée

banquedesterritoires.fr - Communiqué

Publié le 07 novembre 2023

Les transports constituent aujourd’hui la première source d’émissions de CO2 et de gaz à effet de serre en France (30 % en 2021 selon les chiffres du Haut Conseil pour le Climat). La décarbonation de la mobilité est donc un impératif pour tous les territoires. Elle passe par des changements d’usage, via le report modal ou le meilleur remplissage des véhicules, tant pour les personnes que pour les marchandises, et par le verdissement des flottes de véhicules en recourant aux motorisations électrique, hydrogène, biométhane. Pour répondre à ces enjeux, la Banque des Territoires a conçu un ensemble d’offres pour les collectivités locales, les entreprises publiques locales et les entreprises privées, qui opèrent dans le domaine de la mobilité. Ses interventions expertes couvrent la conception, le financement et l’exploitation d’infrastructures et d’équipements de mobilité avec pour objectif de permettre aux personnes, en tout point du territoire national, de se déplacer ou de déplacer des marchandises en minimisant leur impact sur l’environnement.

Opérateur historique du développement économique aux côtés des acteurs locaux, la Banque des Territoires soutient et se positionne comme un acteur majeur de la décarbonation des transports. Cet engagement se traduit notamment au travers de notre Plan climat : une enveloppe de 900 millions d’euros d’investissement en fonds propres et quasi-fonds propres a été alloué aux projets de mobilité durable et d’accessibilité des territoires sur la période 2020-2024. À fin 2022, 761 millions d’euros ont été engagés, soit 84,5 % de l’enveloppe totale. Un milliard d’euros ont également été engagés à fin 2022 envers la Société du Grand Paris pour le financement du Grand Paris Express.

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Voitures électriques: votre région est-elle bien équipée en bornes de recharge?

leprogres.fr - Par Bernard Jouvin

Publié le 07 novembre 2023

Près de 110 000 bornes de recharge sont ouvertes au public en France à la fin du mois de septembre. Pourtant, de fortes disparités existent entre les régions et les villes. On fait le point.

Sans surprise, c’est l’Ile-de-France qui concentre le plus grand nombre de bornes avec 4 918 stations, soit 19 392 points. Mais, là encore, certaines villes sont oubliées comme Aulnay-sous-bois avec 0,141 point de charge pour 1 000 habitants ou Argenteuil et Vitry-sur Seine.

Quelles régions les plus branchées ?

Sur la deuxième marche du podium, on trouve Auvergne-Rhône-Alpes qui dispose de 4 470 stations (13 042 points) de recharge publiques ; Leocare assurances, qui a agrégé plusieurs études, remarque la proximité de la région avec la Suisse où les voitures électriques sont nombreuses. L’Occitanie est 3e avec 3 977 stations et 10 597 points publics.

Nouvelle-Aquitaine (3 781 stations) et le Grand-Est : 3 639 stations et 10 413 points arrivent en 3e et 4e position. Provence-Alpes-Côte d’Azur (3 436 stations et 9 690 points) suit de près mais la Bourgogne-Franche-Comté avec 1 592 stations et 4 490 points fait moins bien que la Bretagne et termine dernière.

Le défi de la recharge

Premier défi : la puissance installée. Or, seuls 11 % des points de recharge (entre 50 kW et 350 kW soit 11 526 points) sont rapides. Ce sont eux qui peuvent permettre de faciliter les longs trajets.

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Propreté, modernité: comment l’île-de-france pourrait s’inspirer des transports japonais

bfmtv.com - Par Nicolas Dumas avec Alicia Foricher

Publié le 08 novembre 2023

La présidente de la région Île-de-France continue son déplacement officiel au Japon notamment pour promouvoir les entreprises franciliennes, mais aussi pour regarder du côté des transports, dont l'Île-de-France pourrait s'inspirer.

La présidente de la région Ile-de-France continue son déplacement officiel au Japon. Après Kyoto, Valérie Pécresse était à Tokyo ce mardi 7 novembre. Sur place la délégation francilienne a notamment découvert l’organisation des transports tokyoïtes de la East Japan Railway Company.

L'occasion de comparer les transports en commun d'Ile-de-France et de Tokyo. Au Japon, qu'importe son smartphone, il est possible de télécharger la carte Suica et de la créditer depuis son téléphone. La carte Suica n'est d'ailleurs plus disponible en physique depuis plusieurs mois, en raison de la crise de semi-conducteurs.

À Paris, Apple et IDF Mobilités se sont enfin mis d'accord pour permettre de valider son titre de transport avec un iPhone, quel que soit le moyen de transport utilisé, à compter de 2024. Une innovation attendue par les usagers depuis déjà plusieurs années et qui était déjà disponible pour Android.

Lire la suite : https://www.bfmtv.com/paris/proprete-modernite-comment-l-ile-de-france-pourrait-s-inspirer-des-transports-japonais_AV-202311080620.html

Développement économique

Réindustrialisation de la France : le gouvernement présente les 34 nouveaux territoires sélectionnés 

maire-info.com - Par A.W.

Publié le 10 novembre 2023

Ce qui porte dorénavant à 183 le nombre de territoires labellisés « Territoires d'industrie ». Avec 630 intercommunalités engagées dans cette deuxième phase (2023-2027) du programme, cette nouvelle étape doit notamment permettre de recentrer les efforts sur « l'industrie verte ».

Les ministres chargés de l’Industrie et des Collectivités territoriales, Roland Lescure et Dominique Faure, ont présenté, hier, à Chalon-sur-Saône, le « Temps II »  du programme « Territoires d’industrie », dont l’objectif est de réindustrialiser la France. 

Annoncé en mai dernier par Emmanuel Macron, le président de la République avait indiqué avoir identifié « des territoires très en déprise sur lesquels on va mettre le paquet avec les Territoires d'industrie génération 2 pour aller plus avant en rouvrant des sites industriels ». « On va réenclencher une phase avec beaucoup des élus qui sont là pour avoir de la simplification et pour aller chercher, à l'échelle de chaque sous-préfecture, les projets dont on a besoin », avait-il expliqué, avant d'assurer que « la territorialisation de cette politique est absolument clé ».

La moitié des intercommunalités engagée

Arrivant à son terme, la première étape du programme, lancée en 2028, est ainsi prolongée jusqu’en 2027, dans une deuxième phase, et étendue à 34 nouveaux bassins d’activités. Ce qui porte dorénavant à 183 le nombre de territoires labellisés.

Parmi la trentaine de nouveaux, le ministre de l’Industrie a cité « Nantes, Concarneau, le bocage vendéen, Lille, Grenoble, Saint-Étienne »  et comptabilisé « 630 intercommunalités, soit une sur deux, [faisant] désormais partie des 183 territoires d’industrie pour 2023-2027 ». Dans la phase précédente, ce sont 551 EPCI qui s’étaient engagés dans la démarche. 

Lire la suite : https://www.maire-info.com/developpement-economique/reindustrialisation-la-france-gouvernement-presente-les-34-nouveaux-territoires-selectionnes-article-27996

Services Publics

Seine-Saint-Denis : une prime de 10 000 euros étendue à plus de fonctionnaires

La prime de 10 000 euros destiné aux agents de l'Etat en Seine-Saint-Denis va être étendue.

actu.fr /societe/seine-saint-denis - Par Rédaction Seine-Saint-Denis

Publié le 11 novembre 2023

Depuis 2020, un certain nombre de fonctionnaires de Seine-Saint-Denis peuvent prétendre à une prime de fidélisation, versée en une seule fois, au terme de 5 années de services « dans un service ou emploi connaissant des difficultés en matière de fidélisation des ressources humaines ». Le dispositif vient d’être étendu à d’autres agents publics.

Davantage d’agents de l’Etat peuvent prétendre à la prime de 10 000 euros

Comme l’a repéré Capital, à compter du 1er janvier 2024, auront également droit à cette prime les agents de l’Etat exerçant en Seine-Saint-Denis dans les services d’administration des douanes et droits indirects, d’inspection du permis de conduire et de la sécurité routière, ainsi que dans les services publics de l’hébergement, du logement, de l’économie, de l’emploi, du travail, des solidarités, de l’environnement, de l’aménagement et des transports.

Un décret a été publié le 4 novembre 2023 en ce sens. 

Les agents travaillant en Seine-Saint-Denis déjà éligibles à la prime de fidélisation sont ceux qui exercent leurs fonctions dans les services suivants :

Lire la suite : https://actu.fr/societe/seine-saint-denis-une-prime-de-10-000-euros-etendue-a-plus-de-fonctionnaires_60323419.html

Identité

DOSSIER. Les usurpations d'identité, une tendance inquiétante

ladepeche.fr - Par Elsa Péault

Publié le 01 novembre 2023

Avec le développement d'Internet, les usurpations d'identité sont en plein boom. Un fléau qui peut avoir de graves conséquences. Car une fois vos données personnelles volées, le malfaiteur peut souscrire un crédit ou multiplier les infractions.

L'histoire avait marqué les esprits en 2022. Régis Paluzzano, un ouvrier agricole tarn-et-garonnais, avait mis fin à ses jours, possiblement après avoir découvert être la cible d'une usurpation d'identité. Des banques en ligne lui réclamaient 180 000 euros financés grâce à trois crédits, que des escrocs, comme le soutient sa famille, auraient contractés à sa place.

Selon les services de sécurité, des centaines de milliers de personnes seraient victimes d'usurpation d'identité chaque année en France. Dans le détail, cela consiste à utiliser, par moyens détournés, le nom, prénom et données d’un tiers, à l'insu de la personne. Un phénomène qui a explosé avec la digitalisation et l'essor des démarches en ligne. "Aujourd'hui, l'essentiel de ces délits est lié à la dématérialisation, confirme Me Marie-Camille Eck, avocate au barreau de Paris spécialisée dans les cas d’usurpation d’identité. Derrière son ordinateur, on peut se faire passer pour n'importe qui. Même si bien entendu, les méthodes à l'ancienne existent encore. Il y a toujours des victimes de vol de portefeuille."

Crédits, retraits de point, mariage...

La plupart du temps, l'usurpateur va utiliser ces données personnelles pour ouvrir des comptes bancaires et contracter des emprunts en ligne. Les organismes bancaires présents sur le web se contentent en effet souvent de quelques justificatifs pour accorder des prêts, sans pousser plus loin les vérifications. Un jeu d'enfant pour les escrocs.

Lire la suite : https://www.ladepeche.fr/2023/11/05/dossier-les-usurpations-didentite-une-tendance-inquietante-11555025.php

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C'est officiel ! Il y aura bientôt une identité numérique pour chaque Européen

clubic.com - Samir Rahmoune

Publié le 09 novembre 2023

La Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l'Europe viennent de trouver un accord sur l'identité numérique.

Ce projet vieux de plusieurs années a pour ambition de mettre à disposition de chaque citoyen de l'Union une plateforme dans laquelle il pourra retrouver ses différents documents d'identité (carte d'identité, permis…). Cet équivalent européen de France Identité, qui servira aussi pour effectuer des transactions, vient d'atteindre une étape cruciale de son déploiement avec l'accord trouvé entre les trois grandes instances de l'UE.

L'accord enfin trouvé sur l'identité numérique

C'est sur X.com que Thierry Breton, le Commissaire au numérique, a fait l'annonce. Un accord a été trouvé sur le futur « EU Digital ID Wallet » destiné à numériser une partie de la vie administrative et financière des citoyens du Vieux Continent. La plateforme devrait en effet être multiservices.

« Outre le stockage sécurisé de leur identité numérique, le portefeuille permettra aux utilisateurs d'ouvrir des comptes bancaires, d'effectuer des paiements et de conserver des documents numériques, tels qu'une version mobile du permis de conduite, une ordonnance médicale, un certificat professionnel ou un billet de transport » explique ainsi la Commission Européenne.

Il faut maintenant que le Parlement européen et le Conseil de l'Europe approuvent formellement l'accord, qui entrera ensuite en vigueur. Les États auront derrière 24 mois suivant l'acte d'exécution pour proposer aux citoyens le EU Digital ID Wallet.

Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-508261-c-est-officiel-il-y-aura-bientot-une-identite-numerique-pour-chaque-europeen.html

Intelligence artificielle

Intelligence artificielle : OpenAI, le développeur de ChatGPT, promet des « superpouvoirs » pour tous

lemonde.fr - Avec AFP

Publié le 06 novembre 2023

La start-up a présenté lundi ses dernières innovations pour rendre sa technologie plus performante, plus personnalisée, plus facile d’utilisation et aussi moins chère pour les développeurs.

Moins d’un an après le lancement phénoménal de l’interface d’intelligence artificielle (IA) générative ChatGPT, la start-up OpenAI a présenté lundi 6 novembre ses dernières innovations pour rendre sa technologie plus performante, plus personnalisée, plus facile d’utilisation et moins chère pour les développeurs.

« Le 30 novembre dernier, nous avons discrètement mis en ligne une première version de ChatGPT, à des fins de recherche. Et ça s’est plutôt bien passé », a plaisanté Sam Altman, le patron de l’entreprise. « Nous avons désormais environ 100 millions d’utilisateurs actifs toutes les semaines », a-t-il ajouté sur scène à San Francisco, lors d’une conférence retransmise en ligne en direct.

Le succès sans précédent de ChatGPT et les inquiétudes que suscite l’IA générative ont propulsé le jeune dirigeant (38 ans) sur le devant de la scène en 2023, d’auditions parlementaires à des entretiens avec des chefs d’Etat. Lundi, il a réitéré sa confiance dans la capacité de l’IA à l’avenir à donner des capacités émancipatrices à chacun, « à une échelle que nous n’avons jamais vue auparavant ».

Lire la suite : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2023/11/06/intelligence-artificielle-openai-le-developpeur-de-chatgpt-promet-des-superpouvoirs-pour-tous_6198583_4408996.html

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Tensions franco-allemandes autour de la réglementation de l’IA au sein de l’Union européenne

agetimeseconomie.com -

Publié le 11 novembre 2023

L’accord rapide sur les réglementations européennes pour l’intelligence artificielle repose sur des fondations fragiles. L’Europe souhaite restreindre les applications américaines et chinoises, mais les entreprises européennes craignent également d’être limitées.

L’Europe a la tendance à utiliser la réglementation comme moyen de combler son retard technologique par rapport à la Chine et surtout aux États-Unis, en imposant des lois strictes. En retour, elle peut compenser la perte de revenus fiscaux provenant de ses propres plateformes technologiques en infligeant des amendes élevées aux entreprises américaines.

Par exemple, les amendes imposées par le règlement général sur la protection des données (RGPD) à des entreprises américaines telles que Meta et Google montent en flèche. La loi sur les services numériques (DSA) et en particulier la loi sur les marchés numériques (DMA) visent à restreindre davantage les grandes plateformes. D’ici mars 2024, six plateformes numériques avec 22 services devront respecter ces règles, notamment Alphabet (Google Search, Chrome, YouTube, Android, Maps, Play, Shopping), Meta (Facebook, Messenger, Whatsapp, Instagram, Marketplace, publicité), Microsoft (Windows, LinkedIn), Amazon (publicité, marché), Apple (Safari, iOS, App Store), et ByteDance (TikTok).

Les régulations les plus strictes s’appliqueront également aux services de recherche et aux plateformes suivantes : liExpress, Amazon Store, Apple AppStore, Booking.com, Facebook, Google Play, Google Maps, Google Shopping, Instagram, LinkedIn, Pinterest, Snapchat, TikTok, Twitter, Wikipédia, YouTube, zalando, Bing, et Google Search.

Lire la suite : https://www.agetimeseconomie.com/2023/11/11/tensions-franco-allemandes-autour-de-la-reglementation-de-lia-au-sein-de-lunion-europeenne.html

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Le gouvernement britannique officialise la création de l’AI Safety Institute

actuia.com - Par Marie-Claude Benoit.

Publié le 09 novembre 2023

Le 1er jour du AI Safety Summit a été consacré à des discussions sur les risques associés aux modèles de pointe, sur l’atténuation de ces risques et sur les opportunités de ces modèles. A la fin de la journée, 28 pays participants ont signé La déclaration de Bletchley, s’engageant à œuvrer pour une IA “conçue, développée, déployée et utilisée de manière sûre, de manière à être centrée sur l’humain, digne de confiance et responsable”. Le Premier ministre Rishi Sunak misait sur ce consensus pour présenter le projet de l’UK de mettre en place un “AI Safety Institute”, qui a reçu le soutien de certains pays et entreprises d’IA.

L’Institut de sécurité de l’IA a pour mission de tester rigoureusement les nouveaux modèles d’IA, avant et après leur sortie, afin “d’aborder les capacités potentiellement dangereuses des modèles d’IA, y compris en explorant tous les risques, des préjudices sociaux tels que les préjugés et la désinformation, aux risques les plus improbables mais extrêmes, tels que la perte complète du contrôle de l’IA par l’humanité”. 

Ian Hogarth dirigeait le “Frontier AI Task Force”, créé en juin dernier, dont l’objectif était d’évaluer et atténuer les risques posés par les formes les plus avancées d’IA pour la sécurité nationale, notamment le développement d’armes biologiques et les cyberattaques. Ce groupe de travail évolue pour devenir l’Institut de sécurité de l’IA, avec Ian Hogarth à sa présidence.

Le comité consultatif externe du Frontier AI Task Force, composé de poids lourds de l’industrie, de la sécurité nationale à l’informatique, conseillera désormais l’institut, dont le PDG devrait être recruté prochainement.

Soutien international et collaboration

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/le-gouvernement-britannique-officialise-la-creation-de-lai-safety-institute/?mc_cid=be1b5873d6&mc_eid=1b5f52f4fd

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Elon musk présente grok, son interface d'intelligence artificielle générative

bfmtv.com - T.L avec AFP

Publié le 05 novembre 2023

Cette IA générative a été conçue pour concurrencer ChatGTP, qu'il considère comme trop "woke". Elle sera connectée au réseau social X.

Une IA à son image. Elon Musk a donné des précisions sur le premier modèle d'intelligence artificielle générative de sa start-up xAI, baptisé "Grok", qui a accès à X (ex-Twitter) en temps réel et sera d'abord proposé aux abonnés de la formule la plus chère de la plateforme.

"Grok a accès en temps réel aux infos via X, ce qui lui donne un avantage majeur sur les autres modèles", a déclaré le dirigeant de Tesla, SpaceX, X et xAI dans la nuit de vendredi à samedi sur X. Le modèle "adore les sarcasmes. Je me demande bien qui peut l'avoir orienté de cette façon", a-t-il ajouté avec des émoticônes rigolardes.

En anglais, "grok" est un mot d'argot qui signifie "comprendre en profondeur et intuitivement". Il est apparu dans "Stranger in a Strange Land", un roman de science-fiction de Robert Heinlein publié en 1961. C'est un mot martien qui indique une compréhension totale de quelque chose, grâce à la capacité à sympathiser avec quelqu'un au point de se fondre dans son expérience.

Concurrence féroce

Lire la suite : https://www.bfmtv.com/tech/elon-musk-presente-grok-son-interface-d-intelligence-artificielle-generative_AD-202311050173.html

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Aleph Alpha, la start-up allemande qui concurrence OpenAI, vient de lever un demi-milliard d’euros

usine-digitale.fr - Par Felicia Poitiers

Publié le 07 novembre 2023

Spécialisée dans l'IA générative destinée aux usages industriels et gouvernementaux, la start-up allemande Aleph Alpha se positionne comme une alternative européenne aux solutions américaines telle qu’OpenAI. Il faut croire qu’elle répond à une demande forte puisqu’elle est parvenue à récolter près d’un demi-milliard d’euros pour continuer à améliorer sa solution et la commercialiser.

La start-up allemande Aleph Alpha, spécialisée dans l'intelligence artificielle générative, a bouclé une remarquable levée de fonds de 467 millions d’euros (500 millions de dollars) dans le cadre de sa série B.
Le tour de table a été dirigé par l'Innovation Park Artificial Intelligence (Ipai) et réalisé par un consortium d’entreprises parmi lesquelles des compatriotes comme le groupe Schwarz (propriétaires de Lidl) et Bosch Ventures, mais aussi HPE ou encore SAP. Les fonds seront alloués à la R&D ainsi qu'à l'expansion du groupe en Europe.

Se distinguer avec une promesse de souveraineté européenne

Fondée en 2019, Aleph Alpha emploie aujourd’hui 70 personnes. Elle développe des grands modèles de langage (LLM) du genre de GPT-3 et exécute une API publique qui permet à ses clients de développer leurs propres modèles d’IA. Il s’agit d’entreprises, mais aussi et surtout d’institutions publiques qui cherchent "à conserver leur indépendance, à sécuriser leurs données et à construire des solutions fiables", explique la start-up dans son communiqué, assurant se démarquer grâce à la souveraineté de sa solution.

Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/aleph-alpha-la-start-up-allemande-qui-concurrence-openai-en-europe-vient-de-lever-un-demi-milliard-d-euros.N2191498

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Brave lance Leo, une intelligence artificielle “anonyme et sécurisée”

lesnumériques.com - Par Alexandre Scotti

Publié le 05 novembre 2023

Après Edge, Arc ou encore Opera, l’intelligence artificielle s’attaque à un nouveau navigateur : Brave. Sans grande surprise, les développeurs placent en exergue la confidentialité de leur solution face à la concurrence.

Connu pour le respect de la vie privée de ses utilisateurs, notamment en bloquant les traqueurs indésirables et les publicités, Brave est une référence sur le marché des navigateurs. Cet effort autour de la confidentialité se perpétue avec l’introduction d’un assistant boosté par une intelligence artificielle baptisée Leo.

Que propose Leo sur Brave ?

En cours de déploiement avec la version 1.60 de Brave sur bureau, et “dans les mois à venir” sur iOS et Android, Leo est une IA basée sur deux modèles de langage : Llama 2 (Meta) et Claude (Antrhopic).

Disponible gratuitement pour tous les utilisateurs du navigateur, cette intelligence artificielle fonctionne comme un agent conversationnel traditionnel, à l’instar de ChatGPT, Bing Chat ou encore Google Bard. Une requête est posée et Leo y répond ; cela peut être une question, un résumé de page web ou encore la génération de contenu.

Le gros point fort de cette solution est sa confidentialité. Les développeurs précisent en effet que les conversations ne sont pas enregistrées ni utilisées pour entraîner des modèles d’IA, mais aussi que les informations de connexion ne sont pas nécessaires pour utiliser le chatbot.

Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/intelligence-artificielle/brave-lance-leo-une-intelligence-artificielle-anonyme-et-securisee-n214435.html

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Intelligence Artificielle : une révolution des prévisions météorologiques ?  

ewag.fr - Par Alyssa Thibault

Publié le 05 novembre 2023

On en parle pour les images, les textes ou encore le son… mais qu’en est-il des prévisions météorologiques ? Dans ce domaine capital l’Intelligence Artificielle pourrait bien devenir un outil révolutionnaire.

Des progrès grâce à l’IA (Intelligence Artificielle)

Pour l’expert en hydrométéorologie Jean-Noël Degrace, qui a passé 40 ans chez Météo France dont 25 dans la Caraïbe, l’IA aura des résultats optimaux en matière de prévision météo “dans les 2 à 3 ans à venir”. Déjà testée et utilisée par les météorologues, l’IA porte la promesse de remédier à certains écueils de la méthode actuelle de “modélisation numérique”.

Si cette dernière est opérationnelle et de plus en plus précise, elle repose sur un fonctionnement à la fois long et coûteux : on simule l’évolution de l’atmosphère, des océans, et de tous leurs paramètres (pression, vents, température, etc.) grâce à des énormes programmes informatiques qu’on appelle des « modèles ». Les résultats fournis par ces programmes, disponibles après des heures et des heures de travail, servent ainsi de guide aux prévisionnistes dans l’élaboration de leurs prévisions. Le problème est que cela représente une quantité de données exponentielle à analyser et des calculateurs surpuissants, très onéreux, que très peu de pays peuvent se permettre d’acquérir. C’est la raison pour laquelle il n’existe que quelques grands centres de prévisions numériques dans le monde, dont les autres pays sont dépendants.

Lire Aussi | Sargasse Project : « Il faut y aller franchement »

Mais alors l’intelligence artificielle, ça change quoi ?

Lire la suite : https://www.ewag.fr/2023/11/intelligence-artificielle-une-revolution-des-previsions-meteorologiques/

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Valérie Pécresse annonce la création d'un "vrai campus de l'iA » à paris en 2025

bfmtv.com - Pierre Monnier

Publié le 06 novembre 2023

La présidente de la région Île-de-France a détaillé le projet de transformation de la cité scolaire Paul-Valéry. Dans le XIIe arrondissement de Paris, l'établissement accueillera un campus de l'intelligence artificielle.

Faire de Paris une place forte de l'intelligence artificielle. Voilà l'objectif de Valérie Pécresse. La présidente de la région Île-de-France a indiqué dans une interview au Parisien son intention de transformer la cité scolaire Paul-Valéry dans le XIIe arrondissement de la capitale.

"L'objectif est de faire de ce collège et lycée un vrai campus de l'intelligence artificielle en Île-de-France, une infrastructure hybride qui n'existe pas encore aujourd'hui", précise Valérie Pécresse.

"Un écosystème favorable à l'IA"

Le premier bâtiment, attendu en septembre 2024, sera constitué d'un lycée, auquel s'ajoutera en 2025 un second bâtiment, un collège. Le budget total du projet s'élève à 85 millions d'euros. L'objectif est de préparer les élèves, dès le collège, aux techniques du numérique.

Avec ce nouvel établissement, Valérie Pécresse espère faire progresser les compétences en IA de l'Île-de-France. Elle compte s'appuyer sur les "deux forces" de la région: les mathématiques et la physique. "Nous voulons conserver cette puissance, créer un écosystème favorable à l'intelligence artificielle en Île-de-France avec un vivier de talents académiques et professionnels."

Lire la suite : https://www.bfmtv.com/tech/intelligence-artificielle/valerie-pecresse-annonce-la-creation-d-un-vrai-campus-de-l-ia-a-paris-en-2025_AV-202311060599.html

Internet des Objets

La e-SIM : une révolution dans le secteur de l’IoT

Publié le 06 novembre 2023

Le secteur de l’IoT est aujourd’hui en très forte accélération et se déploie dans de nombreux métiers. Les cas d’usage sont alors multiples et amènent les entreprises à faire évoluer leurs SI pour se doter d’infrastructures dédiées au bon fonctionnement de leurs systèmes IoT. Dans ce contexte, la notion de connectivité et de haute disponibilité est fondamentale à bien des égards. En effet, lorsque l’on évoque le sujet de l’IoT, on a souvent tendance à se focaliser uniquement sur la data et la captation d’informations au travers de capteurs hétérogènes.

L’importance de s’appuyer sur des réseaux performants

S’il est possible d’utiliser des réseaux traditionnels via la fibre et le Wifi pour mettre en œuvre des projets IoT, il est dans certains cas nécessaire de trouver d’autres formes de connexion. En effet, sur certains sites, la fibre n’est pas déployée. Il faut alors opter pour des connexions de type 4/5G. C’est précisément sur ce point que les e-SIM offrent une réponse de choix pour faire fonctionner les équipements et limiter les opérations d’intervention et d’activation en physique sur les sites.

En effet, opter pour une e-SIM permet de ne pas avoir à intégrer de cartes SIM dans les équipements pour les connecter. Ces derniers intègrent directement des dispositifs e-SIM qui permettent d’activer les services à distance. Ce point est stratégique à bien des égards et contribue à simplifier les étapes de mise en œuvre et d’activation des équipements.

L’e-SIM pour l’IoT n’est pas une e-SIM pour le B2C

Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/communiques/la-e-sim-une-revolution-dans-le-secteur-de-liot/

CNIL

La Cnil se positionne pour une IA responsable

journaldunet.com - Par Eric Barbro - Racine Avoca

Chronique d'Eric Barbry

Avec ses "fiches pratiques", la Cnil invite les acteurs de l'IA à concilier innovation et éthique. Eric Barby (Avocat associé, Racine Avocats) décrypte les enjeux juridiques soulevés par les fiches.

La CNIL a publié ses « fiches pratiques » sur l’intelligence artificielle et franchit une nouvelle étape dans sa mission de régulation. Destinées à concilier innovation et éthique, elles révèlent le positionnement de l’institution sur l’IA. Décryptage par Me Eric Barby, avocat associé de Racine Avocats.

IA et données personnelles

2023 a vu la massification des usages de l’IA, notamment sous l’impulsion d’Open AI. Ce phénomène appelle un renouvellement de la réflexion juridique sur le sujet, dont la CNIL a fait l’une de ses missions.

Pour comprendre les enjeux juridiques de l’IA, il faut rappeler que toutes les IA ne se ressemblent pas. Si elles peuvent se classer selon leur fonction, leur performance, ou la nomenclature de la Commission européenne, il faut désormais les considérer selon leur traitement des données à caractère personnel. Cette classification concerne les IA qui collectent des informations nominatives, l’image, la voix.

Le RGPD s’applique aussi bien pour les « producteurs » que pour leurs « utilisateurs » d’IA, tel que définis par la Commission européenne (Règlement IA Act). Les 4 pans du RGPD s’appliquent alors, à savoir : les obligations informationnelles, les obligations organisationnelles, la mise en œuvre de mesures de sécurité appropriées et la tenue d’un registre des opérations de traitement (en tant que responsable de traitement ou sous-traitant) s’appliquent.

Rappelons que le RGPD ne s’applique pas qu’aux seules entreprises situées sur le territoire européen mais qu’il s’étend à toute entreprise située hors de l’EU dès lors que les données traitées portent sur des personnes qui se trouvent dans l’EU, lorsque les activités de traitement sont liées : soit à l'offre de biens ou de services à ces personnes concernées dans l'Union, qu'un paiement soit exigé ou non desdites personnes ; soit au suivi du comportement de ces personnes, dans la mesure où il s'agit d'un comportement qui a lieu au sein de l'Union.

La CNIL rappelle les règles en matière d’IA

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/intelligence-artificielle/1525869-la-cnil-se-positionne-pour-une-ia-responsable/

Cybersécurité

Cybercriminalité : synthèse de la menace ciblant les collectivités territoriales, par l’ANSSI

blog.landot-avocats.net

Publié le 11 novembre 2023

L’ANSSI a publié une intéressante «Synthèse de la menace ciblant les collectivités territoriales » en matière de risques cyber.

De janvier 2022 à juin 2023, l’ANSSI a traité 187 incidents cyber affectant les collectivités territoriales, soit une moyenne de 10 incidents par mois. Le périmètre étudié prend en compte les communes, les établissements publics de coopération intercommunales (EPCI a), les départements, les régions, les collectivités territoriales uniques et collectivités d’outre-mer. Ces incidents représentent 17% de l’ensemble des incidents traités par l’ANSSI sur la période.

Voici cette étude : https://www.cert.ssi.gouv.fr/uploads/CERTFR-2023-CTI-008.pdf

 

Lire la source: https://blog.landot-avocats.net/2023/11/11/cybercriminalite-synthese-de-la-menace-ciblant-les-collectivites-territoriales-par-lanssi/

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4 millions de personnes manquent à l'appel en cybersécurité

lemondeinformatique.fr - Par Michael Hill, IDG NS (adapté par Jean Elyan)

Publié le 06 Novembre 2023

La demande en compétence cybersécurité dans le monde ne faiblit pas. Selon une étude, il manquerait 4 millions de personnes dans ce secteur. A noter que les sondés jugent le déficit de compétences plus problématique que la pénurie de main d'oeuvre.

La situation s’aggrave sur le front de l’emploi dans la cybersécurité. Selon une étude, la pénurie de main d’œuvre atteint un niveau record de 4 millions de personnes, alors que les effectifs dans ce domaine ont augmenté de près de 10% au cours de l’année écoulée. C'est ce qui ressort de la dernière étude « Cybersecurity Workforce Study », réalisée par l'ISC2, une organisation à but non lucratif qui propose des formations et délivre des certifications à des professionnels de la cybersécurité.

D’après cette étude, l'écart entre le nombre de personnes nécessaires et celui de personnes disponibles a augmenté de 12,6 % d'une année sur l'autre, essentiellement du fait d’une réduction des effectifs, de l'incertitude économique, de l'intelligence artificielle (IA) et d’un environnement de la menace difficile. Selon l'ISC2, le déficit actuel de main-d'œuvre au niveau mondial est estimé à 3 999 964, tandis que la main-d'œuvre elle-même est estimée à 5 452 732.

Des plans sociaux impactant les équipes de cybersécurité

Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-4-millions-de-personnes-manquent-a-l-appel-en-cybersecurite-92049.html

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ChatGPT dans le déni de service

cybersecurity-solutions.com - Par Stéphane Bellec

Publié le 10 novembre 2023

Dans la journée du 9 novembre, les serveurs du chatbot d’OpenAI ont fait l’objet d’une attaque par DDoS (Denial of Services), technique favorite du groupe d’hacktivistes soudanais qui a revendiqué l’opération. Interrogé par la rédaction, ChatGPT n’a pas conscience de ce qui lui est arrivé, pire il pense que cela n’est pas possible.

Peux-tu nous raconter l’attaque par déni de service que tu as subi hier ?

“Je n’ai pas la capacité de subir des attaques par déni de service (DDoS), ni d’autres formes d’attaques, car je suis un programme informatique en cours d’exécution sur les serveurs d’OpenAI. Mon rôle est de fournir des informations, répondre à des questions et offrir une assistance dans la mesure de mes capacités.”

Pourquoi étais-tu inaccessible la journée du 9 novembre ?

“Je n’ai pas de conscience ni de mémoire pour savoir si j’étais inaccessible ou non à une date spécifique, comme le 9 novembre. Ma disponibilité dépend des serveurs et de l’infrastructure d’OpenAI, ainsi que de la gestion des systèmes informatiques.  Il peut y avoir de nombreuses raisons pour lesquelles un service en ligne, y compris le mien, pourrait être temporairement inaccessible. Cela peut être dû à des mises à jour de serveurs, des problèmes techniques, des maintenances planifiées, des mises à jour de logiciels, ou d’autres facteurs qui peuvent nécessiter une interruption temporaire du service pour assurer son bon fonctionnement.”

Lire la suite : https://www.cybersecurite-solutions.com/chatgpt-dans-le-deni-de-service/

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Cybersécurité : un panorama mondial préoccupant

itsocial.fr - Par Serge Escalé

Publié le 06 novembre 2023

Dans son copieux rapport sur l’état des lieux de la sécurité des systèmes d’information, l’agence européenne pour la cybersécurité (ENISA) montre la mutation mondiale des menaces, la professionnalisation des pirates et la diversité accrue des vecteurs d’attaque.

L’enquête méticuleuse d’octobre 2023 de l’ENISA dresse un constat exhaustif et intéressant sur l’ensemble des risques encourus par les organisations. Cet inventaire étendu des menaces ne surprendra pas les experts du domaine mais son intérêt réside dans l’analyse réticulaire du paysage européen de la cybersécurité. On y trouve les modes d’actions des ransomwares, l’ingénierie sociale et celui des menaces contre les données, du déni de service, de la manipulation des informations ou encore des attaques contre la supply chain. Sans surprises, les ransomwares et les menaces contre la disponibilité ont occupé la première place au cours de la période couverte par le rapport. La fin de l'année 2022 et le premier semestre 2023 ont été marqués par une escalade notable du nombre d’attaques avec des mutations dans les modes d’actions et les conséquences. Le graphique ci-dessous indique les cinq ransomwares les plus actifs durant la période étudiée avec sur le podium, LockBit 3.0 (46,78 %), BlackCat (18,01 %) et BianLian (13,48 %).

Sur le plan mondial, les Etats-Unis arrivent largement en tête pour le nombre de victimes suivi par la France, les autres pays européens et dans le monde.

Lire la suite : https://itsocial.fr/enjeux-it/enjeux-securite/cybersecurite/cybersecurite-un-panorama-mondial-preoccupant/

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Perspectives pour 2024 : avec l’IA et le CaaS, les cybercriminels s’offrent de nouveaux leviers d’attaque plus simples

globalsecuritymag.fr - Par FortiGuard Labs

Publié en novembre 2023

Avec la progression des offres de cybercriminalité en tant que service (CaaS) et l’avènement de l’intelligence artificielle (IA) générative, les auteurs de menaces gagnent en simplicité pour mener à bien leurs attaques. Avec leurs boîtes à outils qui s’enrichissent de nouvelles capacités, les assaillants affûtent leurs armes. Ils lanceront des attaques plus ciblées et furtives, capables de contourner les arsenaux de sécurité en place et gagneront en agilité en rendant chaque tactique d’attaque plus efficace au fil du temps.

Dans son rapport 2024 de prédictions sur les menaces, FortiGuard Labs se penche sur une nouvelle ère de la cybercriminalité, examine comment l’IA change la donne en matière d’attaques et livre les nouvelles tendances qui devraient émerger pour l’année à venir et au-delà. Ce rapport propose également des conseils qui permettront aux entreprises dans le monde de renforcer leur résilience face à des menaces qui n’ont pas fini d’évoluer.

Une évolution des techniques traditionnelles d’attaque

Depuis des années, nous observons et échangeons sur les tactiques d’attaque les plus populaires, abordées dans des rapports précédents. Les grands classiques ne disparaissent jamais, mais ils évoluent et progressent à mesure que les assaillants accèdent à de nouveaux outils. Ainsi, en matière de menaces APT (Advanced Persistent Threat), nous anticipons une activité plus dynamique. Au-delà de l’évolution des APT, nous prévoyons qu’en général, les groupuscules cybercriminels diversifieront leurs cibles et leurs playbooks en misant sur des attaques plus sophistiquées et plus destructives, basées notamment sur des dénis de services et autres tentatives d’extorsion.

Lire la suite : https://www.globalsecuritymag.fr/Perspectives-pour-2024-avec-l-IA-et-le-CaaS-les-cybercriminels-s-offrent-de.html

Blockchain

Le Protocole Internet Computer (ICP) : Une Révolution dans le Monde de la Blockchain

cointribune.com - Par la Rédaction C. Article sponsorisé

Publié le 06 Novembre 2023

L’Internet Computer Protocol (ICP)  joue un rôle important dans la blockchain. Il favorise une plus grande décentralisation à laquelle s’ajoute une efficacité accrue. Son potentiel de transformation en fait également un élément clé pour l’avenir de cette technologie innovante. Plus de détails dans les paragraphes qui suivent.

Qu’est-ce que le Protocole Internet Computer ?

Définition et Aperçu de l’ICP

L’ICP désigne un ensemble de protocoles permettant la collaboration de centres de données indépendants à travers le monde. Il offre une alternative décentralisée aux prestataires de services Cloud Internet actuellement centralisés.

On utilise le jeton ICP à des fins de gouvernance. Concrètement, les détenteurs peuvent voter sur l’avenir du réseau. Il sert aussi de récompenses pour les participants au réseau faisant preuve de bonnes pratiques. Il permet même de régler certains frais de transaction.

Le Protocole Internet Computer (ICP) constitue donc une véritable révolution architecturale dans le domaine de la blockchain. Sa principale innovation réside dans sa capacité à élargir les frontières des possibilités. L’ICP permet en effet d’exécuter directement des contrats intelligents et des applications sur la blockchain, sans dépendre de serveurs tiers.

Différences entre le Protocole Internet Computer et les autres protocoles de blockchain

Lire la suite : https://www.cointribune.com/le-protocole-internet-computer-icp-une-revolution-dans-le-monde-de-la-blockchain/

Transition écologique

 

La Banque des Territoires annonce 90 milliards d'euros pour la transition écologique

maire-info.com - Par AFP

Publié le 08 novembre 2023

Cette enveloppe prévue d'ici à 2028 comprendra 56,5 milliards d'euros « pour créer du logement social et abordable », selon le communiqué de la branche de la Caisse des Dépôts.

La Banque des Territoires, une branche de la Caisse des Dépôts, prévoit une enveloppe de 90 milliards d'euros d'ici à 2028 pour « mettre l'écologie en action et favoriser la cohésion des territoires », a-t-elle annoncé mercredi en présentant son nouveau plan stratégique. 

Au total, ces 90 milliards seront mobilisés via 16 mesures phares, dont le déploiement de 56,5 milliards « pour créer du logement social et abordable », précise le communiqué de la Banque des Territoires qui prodigue conseils, prêts, investissements en fonds propres, consignations et services bancaires.

«  Répondre aux enjeux des territoires » 

Dans le détail, ces 16 mesures sont réparties à travers deux thématiques, l'une axée sur l'environnement, l'autre sur la cohésion sociale. 

Mais l'essentiel de l'argent sera alloué au logement: en plus des 56,5 milliards pour le logement social, 16,8 milliards seront consacrés à l'accélération de la réhabilitation « du parc public de logement ». 

Lire la suite : https://www.maire-info.com/transition-ecologique/la-banque-territoires-annonce-90-milliards-deuros-pour-la-transition-ecologique-article-27987

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CCR dévoile les résultats de son étude portant sur l’impact du changement climatique sur le coût des catastrophes naturelles à horizon 2050.

car.fr - Communiqué

Publié le 17 octobre 2023

CCR dévoile les résultats de son étude portant sur l’impact du changement climatique sur le coût des catastrophes naturelles à horizon 2050.
En partenariat avec Météo-France, la 3ème édition de cette étude montre une augmentation significative des coûts liés au réchauffement climatique, et rappelle une nouvelle fois l’importance de la modélisation pour accompagner les territoires dans la prévention et leur adaptation face aux risques climatiques.
Avec un coût pour l’année 2022 estimé à près de 3,5 milliards d’euros et une première estimation pour l’année 2023 de l’ordre de 900 millions d’euros, la sécheresse géotechnique apparaît comme le péril le plus préoccupant compte-tenu du montant des dommages qu’elle engendre et de leur forte évolution à horizon futur.
CCR estime que la sinistralité au titre des périls couverts par le régime Cat Nat (inondation, sécheresse, submersion marine, vents cycloniques, tremblement de terre) devrait augmenter d’environ + 40 % à horizon 2050 sous l’effet du changement climatique et + 60 % en intégrant l’évolution des enjeux assurés.

L’augmentation récente de la fréquence et de l’intensité des catastrophes naturelles met en lumière l’exposition du territoire français et la vulnérabilité de nos territoires aux risques naturels. Dans ce contexte, l’évolution future de la fréquence des événements et de leurs conséquences financières doit être étudiée pour favoriser l’adaptation des territoires et assurer la pérennité du système d’indemnisation des catastrophes naturelles.
C’est dans ce cadre que CCR publie les résultats de son étude portant sur l’augmentation des coûts liés au réchauffement climatique, en se concentrant sur les trois principaux périls couverts par le régime Cat Nat : inondation par débordement et ruissellement, submersion marine, sécheresse géotechnique.
Lire la suite : https://www.ccr.fr/-/ccr-climate-report-2023