Revue de presse ADCET N°220 du 12 Juin 2023

Mobilité

La mobilité du futur dans nos villes | ARTE

youtube.com - Documentaire de Christian Vogel (Allemagne, 2019, 53mn)

Publié le 7 juin 2023

Comment les moyens de transport du futur promettent-ils de métamorphoser les villes ? Ce documentaire plonge dans les univers futuristes imaginés par ces experts, qui cherchent à concevoir des solutions pour la mobilité de demain.

Des heures perdues quotidiennement dans les bouchons, un réseau mondial emprunté par 1,3 milliard de véhicules rejetant 6 milliards de tonnes de CO2 par an, des millions de personnes tuées sur les routes : la nécessité de repenser la mobilité devient urgente. Si certains parient sur la généralisation des véhicules autonomes d’ici peu de temps, l’urbaniste Peter Calthorpe, qui voit cette perspective d’un mauvais œil, préconise de reconfigurer les villes afin de réduire le temps de trajet travail-domicile. De son côté, le chercheur en informatique Sebastian Thrun est convaincu que la plupart de nos déplacements se feront par les airs, et a ainsi décidé d’investir dans les taxis aériens.

Ce documentaire plonge dans les univers futuristes imaginés par ces experts, qui cherchent à concevoir des solutions pour la mobilité de demain. Les nouvelles technologies laissent entrevoir un véritable bouleversement dans notre façon de nous déplacer. Mais celles-ci permettront-elles de réduire le trafic ? Ou nous pousseront-elles à augmenter la distance de nos trajets ?

Voir la video d’Arte sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=k9zK44oTNSY

Disponible jusqu’au 22 juin 2023

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Tout comprendre à Naolib, nouveau nom pour se déplacer dans la métropole

metropole.nantes.fr

Publié le 09 juin 2023

À la rentrée 2023, Naolib regroupera l’offre proposée aujourd’hui par la Tan, Effia, Nge parkings et bicloo. Objectif : faciliter les déplacements des habitantes et habitants de la métropole nantaise. Explications.

Naolib, ça sert à quoi ?

Adieu Tan, Nge parkings, bicloo, Effia ! À compter de la septembre 2023, Naolib va réunir sous un même nom les offres de mobilité de ces quatre opérateurs. « Pour voyager facilement il faut souvent utiliser plusieurs moyens de transport, rappelle Bertrand Affilé, vice-président de Nantes Métropole en charge des stratégies de mobilités et des déplacements. Demain, avec une carte Naolib, on pourra prendre les transports en commun, réserver un vélo en libre service, accéder à un parking et le payer. Et on n’aura fourni qu’une seule fois ses coordonnées ». « L’idée, c’est de mettre l’usager au centre d’un bouquet de services qui va lui permettre de se déplacer de la manière la plus efficace possible », renchérit Pascal Bolo, président de la Semitan.

Quels outils vont être déployés ?

Naolib va se déployer mi septembre 2023 avec un site web naolib.fr et une plateforme téléphonique, Allo Naolib, accessible en journée via un numéro unique et gratuit, 02 40 444 444. « naolib.fr sera une adresse unique, avec une grande facilité d’usage et une ergonomie particulièrement efficace », résume Pascal Bolo. Le site offrira ainsi une information groupée sur tous les modes de déplacements de la métropole, y compris l’autopartage et le covoiturage, permettra la recherche d’itinéraires, indiquera en temps réel les disponibilités dans les parkings-relais et en station de vélo libre-service, fournira de l’info trafic... Toute l’offre de mobilité pro (packs mobilité, flotte de vélo, transports en commun, tourisme d’affaires…) y sera présente, ainsi que le volet aide et obligation des employeurs. Le site proposera aussi un « auto-diagnostic mobilité » pour être guidé dans ses modes de déplacement.

Lire la suite : https://metropole.nantes.fr/naolib

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NICE : La Métropole vous offre votre carte de transport !

pressagence.fr - par la rédaction

Publié le 07 juin 2023

La Métropole Nice Côte d’Azur vous offre votre carte de transport jusqu’au 16 juin 2023 !

La Métropole Nice Côte d’Aur modernise les services offerts aux usagers de son réseau de transport en proposant une carte sans contact rechargeable. Cette solution plus respectueuse de l’environnement et plus pratique, vient en remplacement des tickets papier, à compter du 1er juillet. Pour accompagner les utilisateurs dans ce changement, la régie Ligne d’Azur distribue gratuitement jusqu’au 16 juin, des cartes personnalisées et réutilisables dénommée  » Ma carte « . Tous les habitants de la Métropole Nice Côte d’Azur sont invités à se la procurer afin de pouvoir acheter et charger leurs voyages et leurs abonnements. Dès le 1er juillet, les voyageurs devront valider avec leur carte sans contact sur les 148 lignes de bus, de tramway et de train.

Deux options seront proposées :

– Ma Carte : solution personnalisée, comprenant le nom et la photo, rechargeable à volonté et permettant l’achat de tous les titres Lignes d’Azur (occasionnels et abonnements). Les usagers disposant déjà d’une carte personnelle n’ont aucune démarche à effectuer, rien ne change !
– La Carte : support anonyme, partageable et rechargeable à volonté permettant l’achat des titres Lignes d’Azur occasionnels uniquement (Solo, Multi Voyages, Pass un ou plusieurs jours). Pour l’obtenir une caution de 2€ remboursable sera demandée.

Lire la suite : http://www.presseagence.fr/lettre-economique-politique-paca/2023/06/07/nice-la-metropole-vous-offre-votre-carte-de-transport/

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Movivolt : pour une mobilité responsable et durable

bfmtv.com - En partenariat avec SCP

Publié le 05 mai 2023

Acteurs au service des citoyens, des entreprises et des territoires, LA BANQUE DES TERRITOIRES et le Groupe LA POSTE ont su unir leurs forces pour créer MOVIVOLT.

Afin de réduire l’impact environnemental des transports et opérer une transition vers une mobilité responsable et durable, MOVIVOLT s’engage dans le développement de la mobilité électrique et propose une offre de Location Longue Durée de véhicules électriques à destination des professionnels. Sa mission est d’accompagner et de soutenir les professionnels dans leur passage à une mobilité sobre et plus économique en offrant des réponses éclairées à leurs interrogations sur l’ensemble du territoire.

La Location Longue Durée de véhicules électriques pour les Pros

Outre des économies de carburant, des coûts de maintenance réduits et zéro émission de CO2, un véhicule électrique offre un confort de conduite inégalable : un silence agréable, aucune vibration moteur, un freinage doux et régénérateur, un couple disponible instantanément permettant une accélération plus rapide au démarrage, des ADAS (aide à la conduite) de dernière génération préfigurant la conduite autonome, une habitabilité améliorée (plus de boîte de vitesse),…etc.

Lire la suite : https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/movivolt-pour-une-mobilite-responsable-et-durable_AO-202306050032.html

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Mobilité : Keolis accélère sa transition écologique et sociétale

latribune.fr - La Tribune Partenaire

Publié le 05 Juin 2023

Alors que le transport représente 31% des gaz à effet de serre en France et que la transition énergétique amène des défis financiers et opérationnels, l’opérateur de transports publics Keolis se distingue par sa volonté de jouer un rôle moteur dans la décarbonation de la mobilité, tout en agissant pour la vitalité des territoires et l’amélioration de la qualité de vie.

Quatre ans après la promulgation de la loi PACTE, plus de 1000 entreprises françaises ont déjà franchi le cap de l'Entreprise à Mission, prouvant ainsi leur volonté de mettre leur activité au service d'une mission sociale ou environnementale. Parmi ces championnes de l'engagement qui comptent des entreprises de toutes tailles et de tous secteurs, très peu agissent pourtant dans le domaine des transports, responsable à lui-seul de 31% des émissions de gaz à effet de serre hexagonales... En octobre 2022, l'adoption du statut d'entreprise à mission par l'opérateur du réseau de transport en commun Keolis Bordeaux Métropole a ainsi officialisé la démarche volontariste du groupe Keolis, qui assure l'exploitation et la maintenance des réseaux de transports dans plus de 300 villes de 4 continents. « En devenant la première entreprise à mission du secteur des transports en commun dans le cadre de son contrat de délégation de service public, Keolis Bordeaux Métropole s'est engagé à mener des actions concrètes autour des 4 axes définis dans la raison d'être du groupe, explique Antonia Höög, directrice du développement durable et de l'engagement chez Keolis. Cela se traduit par des objectifs de réduction de notre empreinte carbone de 80%, des actions pour favoriser l'insertion et l'innovation sociale, le développement de toutes les mobilités pour les publics plus fragiles et la multiplication des partenariats sur le territoire. » Concrètement, 15 plans d'actions RSE permettront à terme de décarboner l'énergie de traction mais aussi de baisser la consommation d'eau, de valoriser les déchets ou encore de privilégier les achats locaux.

De nombreux enjeux environnementaux

Lire la suite : https://www.latribune.fr/supplement/la-tribune-now/mobilite-keolis-accelere-sa-transition-ecologique-et-societale-964698.html

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La métropole accélère – la révolution des transports

ampmetropole.fr

Publié le 06 juin 2023

La Métropole organise et gère sur son territoire l’ensemble des transports publics pour les 92 villes et villages du territoire.

Elle assure chaque jour 625 000 voyages sur ses réseaux de métros, tramways, cars, bus et navettes maritimes. Elle coordonne 644 lignes de transport (dont 247 lignes scolaires) sur 11 000 kilomètres de linéaire. Elle y consacre 660 millions d’euros par an.

La Métropole facilite la mobilité avec une gamme tarifaire harmonisée. Elle améliore l’accessibilité pour tous, développe les modes actifs -vélo, marche à piedet s’engage pour la transition énergétique et la sûreté.

Le Réseau Express Métropolitain, c’est la création d’un réseau de transports interurbains dense, rapide, et avec une régularité très élevée. Il est constitué de 3 lignes ferroviaires TER, du projet Val’tram et de 26 lignes interurbaines de cars à haut niveau de service accessibles depuis l’un des 93 pôles d’échanges multimodaux, et circulant sur des voies réservées aux transports en commun.

Chiffres clés

En 2030, 90 % des habitants du territoire seront à moins de 15 minutes d’un accès aux transports en commun grâce au développement du réseau.

Lire la suite : https://ampmetropole.fr/

Services publics

Les policiers catalans décrochent 10 millions d'euros pour lancer leur commissariat virtuel

france3-regions.francetvinfo.fr - Emmanuel Deshayes

Publié le 09 juin 2023

Ils ont lancé en mars une appli pour smartphone. Les Mossos d'Esquadra ouvriront bientôt leur "e-commissariat". Le gouvernement catalan alloue plus de 10 millions d'euros pour le développement de ce "poste de police virtuel" et d'outils pour lutter contre la cybercriminalité.

Le gouvernement catalan a approuvé ce mardi 6 juin 2023 l'attribution de 10,65 millions d'euros au développement du poste de police virtuel des Mossos d'Esquadra "pour répondre aux défis actuels posés par la sécurité publique dans un monde de plus en plus connecté et numérique", comme l'a détaillé la Generalitat de Catalogne dans un communiqué.

Ce commissariat en ligne sera déployé en différentes phases sur les septe prochaines années. Il fait partie du plan de transformation numérique 2030 de la police catalane. 

L'objectif principal de la plateforme est de "rapprocher les services de police des citoyens par voie électronique" et d'être plus efficace "dans le domaine de la cybercriminalité" grâce à "un outil moderne et accessible aux citoyens", insistent les Mossos.

Des économies bien réelles

Les premiers services mis en place seront les dépôts de plainte pour vol et les autorisations pour les mineurs de voyager à l'étranger, "qui représentent 25% du total des plaintes et attestations". Plus besoin donc de se déplacer pour les usagers. En quelques clics, les démarches seront facilitées.

En 2019, ce sont pas moins de 135 000 autorisations qui ont été demandées dans toute la Catalogne. Actuellement, il faut savoir que la présence physique dans un commissariat des parents du mineur est requise. Les policiers catalans estiment que ce traitement virtuel permettra d'économiser environ 280 000 euros en déplacements et papeterie, et environ 22 500 heures de travail pour les fonctionnaires de police qui pourront ainsi se consacrer à d'autres tâches. Pour les plaintes en ligne, les économies sont estimées au double !

Surveillance virtuelle sur le réseau

Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/pyrenees-orientales/perpignan/les-policiers-catalans-decrochent-10-millions-d-euros-pour-lancer-leur-commissariat-virtuel-2790350.html

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Le Métavers et la réalité augmentée : outils de demain pour les services publics et les municipalités ?

atlantico.fr - avec Emmanuel Moirand et Sébastien Laye

Publié le 4 Juin 2023

En utilisant la réalité virtuelle et la réalité augmentée, les gouvernements peuvent disposer d’une plateforme accessible et interactive qui permet aux citoyens d’accéder à des services et des applications de manière transparente et efficace. De nombreux gouvernements ont lancé des simulations de vote virtuel, un apprentissage interactif et même des conférences.

Il existe beaucoup d’exemples marquants, élaborés aux niveaux fédéral, étatique et local du gouvernement des États-Unis. Passons-les en revue.

MuniGov est l’un de ces exemples locaux. Il s’agit d’une coalition de gouvernements fédéraux, étatiques et municipaux, qui étudie l’utilisation et les principes du Web3 afin d’améliorer les services aux citoyens et la communication par la technologie. Un bureau de vote virtuel a été mis en place dans le comté d’Alameda, en Californie, pour aider les gens à comprendre le processus de vote. Par conséquent, le Métavers pourrait être vu comme une option viable pour fournir des services et des applications aux citoyens. En outre, il permet d’améliorer la communication et l’engagement entre le gouvernement et ses citoyens.

En urbanisme, afin de gérer les autorisations, les styles d’architecture, les capacités de circulation, de nombreuses villes américaines travaillent sur des jumeaux numériques, suivant l’exemple historique de Hong Kong et de la modélisation de son aéroport. Un jumeau numérique de la ville de New York, par exemple, permettrait aux responsables de tester des idées de politiques sur des rues virtuelles avant de les mettre à l’épreuve sur des rues réelles. Avant de tenter d’éteindre un incendie dans le monde réel, on peut s’entraîner à l’éteindre virtuellement sur le modèle numérique.

L’Agence de planification et de développement de Boston a créé un jumeau numérique qui cartographie le paysage physique de la ville, des systèmes d’eau et d’égouts jusqu’aux cimes des arbres. Ce jumeau numérique a été utilisé pour évaluer les ombres qu’un nouveau bâtiment proposé projetterait sur un parc populaire, incitant l’agence à modifier les plans du bâtiment et à minimiser l’impact sur le parc alors que le projet était encore en phase de planification.

Lire la suite : https://atlantico.fr/article/decryptage/le-metavers-et-la-realite-augmentee-outils-de-demain-pour-les-services-publics-et-les-municipalites-technologie-innovation-futur-revolution-europe-etats-unis-asie-emmanuel-moyrand-sebastien-laye

5G

L’UE envisagerait de bannir Huawei de ses réseaux 5G

zoner.fr - Xavier Biseul

Publié le 08 juin 2023

Réseaux : Alors qu’un nombre croissant d’Etats européens ont interdit les matériels de l’équipementier chinois ou sont en passe de le faire, Bruxelles proposerait son bannissement total des réseaux 5G. La Commission européenne évoque des risques pour la sécurité.

Déjà soumis à un embargo par les Etats-Unis depuis 2019, Huawei pourrait se voir banni de l’Union Européenne. Selon le Financial Times, Bruxelles envisagerait d’interdire le recours de ses Etats-membres à des fournisseurs présentant un risque pour la sécurité de leurs infrastructures 5G, l’équipementier chinois figurant dans cette liste noire.

Par cette décision, la Commission européenne forcerait la main aux pays encore réticents à interdire les équipements de Huawei de leurs réseaux de communications mobiles. Seul un tiers des Etats a fait ce choix comme le Danemark, la Suède, les pays baltes ou, aux frontières de l'Europe, le Royaume-Uni.

Les recommandations émises par Bruxelles en 2020 et approuvées à l’unanimité des Etats-membres, allaient, rappelle FT, « des exigences de certification à la diversification des fournisseurs ». Avec ce bannissement total, la Commission irait un cran plus loin en orchestrant une interdiction coordonnée à l’échelle du Vieux Continent.

Un espion à la solde de Pékin ?

Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/l-ue-envisagerait-de-bannir-huawei-de-ses-reseaux-5g-39959236.htm

Cybersécurité

Cybercriminalité, la métropole clermontoise s’engage dans la lutte

le courrierdesentreprises.fr - Pierre-Edouard LaigoIl

Consciente des enjeux et des risques que fait peser la cybercriminalité sur les collectivités territoriales, les entreprises et établissements publics ainsi que le monde universitaire, Clermont Auvergne Métropole, avec la Préfecture du Puy-de-Dôme via son Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CMSPD), organise  le mardi 13 juin 2023 à 18h30, une conférence sur la cybercriminalité. Nous avons rencontré Xavier Bousset, l’élu qui préside la commission dédiée à la cybercriminalité au sein du CMSPD, pour en savoir plus.

Xavier Bousset, où en est la cybercriminalité ?

Xavier Bousset : « Les chiffres liés à la cybercriminalité au niveau national font apparaitre depuis plusieurs années une progression des attaques et les entreprises constituent les cibles privilégiées. Une entreprise sur 2 auraient fait l’objet d’une cyberattaque en 2021. Les collectivités territoriales et organismes publiques ne sont pas oubliés par les cyber-délinquants comme dernièrement l’hôpital de Corbeil-Essonnes et d’autres hôpitaux pour lesquels les conséquences sont considérables au-delà du vol de données et de demandes de rançons. Selon l’ANSSI, les chiffres 2022 sont quasiment aussi élevés que ceux de 2021. Les « rançongiciels » (comprenez les logiciels d’extorsion NDLR) touchent principalement les TPE, PME et ETI (à 40%), les collectivités (à 23%) et la santé (10%). 

On peut toutefois supposer que les statistiques soient sous-évaluées, certaines sociétés préférant rester discrètes quant aux attaques cyber dont elles auraient fait l’objet.

Pour les entreprises qui n’auraient pas organisé de « back-up » (sauvegarde de données) cela peut mettre en péril leur pérennité : perdre tous ses comptes clients, les salaires, etc… »

Le CMSPD est là pour informer et sensibiliser sur ces problématiques

« Les modes opératoires des cyber-attaques évoluent, les moyens de prévention aussi. Il est important également d’avoir les clefs pour contrer les attaques, auprès notamment de l’ANSSI (Agence Nationale de Sécurité des Systèmes d’Information) mais aussi naturellement la police et la gendarmerie qui ont des personnes spécialisées en nouvelles technologies. »

Lire la suite : https://www.lecourrierdesentreprises.fr/cybercriminalite-la-metropole-clermontoise-sengage-dans-la-lutte/

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La cybersécurité, au cœur de la mobilisation des collectivités

yvelines-infos.fr - Sandrine Gayet

Publié le 7 juin 2023

Les Assises de la Cybersécurité se sont déroulées le mardi 6 juin à la ferme du Manet à Montigny-le-Bretonneux. Cette journée organisée par l’opérateur Seine-et-Yvelines Numérique (SYN) avait pour objectif de sensibiliser les acteurs publics à la menace cyber.

Madame Toine Bourrat, Sénatrice des Yvelines a ouvert les Assises dédiées à la cybersécurité. Elle a rappelé que pour la seule année 2022, en France, plus de 800 sites sensibles ont fait l’objet de cyber-attaques.

« Alors que se profilent de grands événements comme la Coupe du Monde de Rugby et les Jeux olympiques et paralympiques Paris 2024, la lutte contre les cyber-attaques est au cœur des mobilisations »

a expliqué la Sénatrice. Les Jeux de Tokyo par exemple ont fait l’objet de 5 milliards de tentatives de cyber-attaques.

« Il faut en France créer une culture de la cyberdéfense. Seine-et-Yvelines Numérique y contribue grandement, ces assises en sont la parfaite illustration » a déclaré la sénatrice.

Eric Glace, le monsieur Cybersécurité chez Seine-et-Yvelines Numérique a présenté le bilan 2022 publié par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI).

Il en ressort que même si le nombre d’attaques semble s’être stabilisé en France en 2022, la cyber-menace reste très forte.

«Madame Toine Bourrat, Sénatrice des Yvelines a ouvert les Assises dédiées à la cybersécurité. Elle a rappelé que pour la seule année 2022, en France, plus de 800 sites sensibles ont fait l’objet de cyber-attaques.

Lire la suite : https://www.yvelines-infos.fr/la-cybersecurite-au-coeur-de-la-mobilisation-des-collectivites/

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La digitalisation peut-elle nuire à la sécurité physique des sites critiques?

itforbusiness.fr - Par La rédaction

Publié le 01 juin 2023

Les organisations et sites critiques français sont la cible d’actes malveillants : intrusions dans les bâtiments, dégradation des moyens de production, vols. Une situation accentuée par la croissance du nombre d’objets connectés et la digitalisation des bâtiments. Aussi, pour se prémunir contre ces intrusions physiques et contre les cyberattaques, les établissements doivent mettre en place des outils et des processus de surveillance et de dissuasion. Caméras, alarmes sont au cœur de la protection des bâtiments intelligents.

Par Mickael Sagnes CTO, expert en sécurité intrusion, Altratech

Avec l’ouverture de leur SI pour développer le télétravail et l’arrivée massive d’objets connectés, les entreprises n’ont jamais été aussi exposées aux cyberattaques.  En deux ans, les sociétés françaises ont enregistré une hausse de 400% d’actes malveillants.  Ainsi, selon l’ANSSI, 69 % des cyber attaques ont visé des entreprises, 20 % des collectivités territoriales et 11 % des établissements de santé. Un contexte inquiétant pour les organisations et les sites critiques français de type chimie, énergie, banque/finance, santé, ou encore zone portuaire. Et pour cause. Du SI à l’alarme, en passant par les messageries, les caméras, les détecteurs et autres, jamais la surface d’exposition des entreprises aux cyberattaques n’a été aussi vaste. Profitant des vulnérabilités des alarmes, caméras, détecteurs connectés le cyber hackers brouillent ou perturbent les signaux et les images permettant ainsi l’intrusion de personnes dans les locaux de l’entreprise. Autre cible : les ordinateurs gérant des immeubles connectés. Selon une enquête de Kaspersky37,8% de ces ordinateurs ont été visés par des cyber hackers en 2019. Une situation qui impose aux gérants de ces bâtiments intelligents de déployer des outils de cyberdéfense et de sécurité physique. Dans  son rapport annuel d’activité, le GIP ACYMA (Groupement d’Intérêt Public Action contre la Cybermalveillance) révèle d’ailleurs une hausse importante des demandes d’assistance en ligne.

Lutter contre l’intrusion physique

Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/la-digitalisation-peut-elle-nuire-a-la-securite-physique-des-sites-critiques-63486

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VIDEO. Jeux Olympiques : comment la France se prépare aux piratages cybercriminels ?

france3-regions.francetvinfo.fr - Par Laurence Barbry et Lea Jacquet

Diffusé le 09 juin 2023

10 000 attaques avaient été recensées lors des Jeux de Tokyo en 2021 un chiffre qui, selon les experts, pourrait être multiplié par neuf pour ceux de Paris l'an prochain. Pour aider les entreprises et les administrations à s'y préparer, des exercices sont régulièrement organisés au Campus Cyber de La Défense.

Au treizième étage de la tour de La Défense, une cellule de crise a été constituée. Des employés viennent d'appeler la cellule de crise pour donner l'alerte, paniqués, ils ne parviennent plus à accéder à leur fichier. Il s'agit en fait du plus grand exercice de cyberattaque jamais réalisé en Europe.

Sensibiliser et prévenir

Administration publique, établissements de santé, petites et moyennes structures privées, une centaine d'entreprises y participent.

Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/video-jeux-olympiques-comment-la-france-se-prepare-aux-piratages-cybercriminels-2790490.html

Blockchain

La France à l’avant-garde des nations blockchain pour l’Institut Montaigne

coins.fr - Par Christophe Auffray

Publié le 6 juin 2023

Pour le think-tank, la France est pionnière sur la blockchain grâce à des atouts techniques et réglementaires « incontestables ». Dans un rapport, l’Institut Montaigne identifie ces forces sur lesquelles capitaliser et émet des recommandations.

La France, une nation championne de la blockchain ? Le gouvernement a, à plusieurs reprises, émis son désir de faire du pays un hub crypto européen. « Nous avons l’ambition, avec le président de la République et avec le gouvernement, d’en être à l’avant-garde », déclarait Jean-Noël Barrot en octobre dernier, à l’inauguration de la NFT Factory.

Pour l’Institut Montaigne, un think-tank de tendance libérale, la France peut être qualifiée de « pionnière dans l’écosystème international blockchain. » Et ce statut, elle le doit à des « atouts techniques et réglementaires incontestables. »

Soutenir les acteurs nationaux et attirer les étrangers

Dans un rapport, l’Institut propose donc de multiples recommandations destinées à renforcer ces atouts français, mais aussi à poursuivre la professionnalisation du secteur. Les actions visent à soutenir un premier objectif :

Capitaliser sur le cadre juridique français pour soutenir les acteurs nationaux et attirer des acteurs étrangers de la blockchain.”

A cette fin, plusieurs mesures pourraient être mises en œuvre de la part des pouvoirs publics. Le think-tank les encourage par exemple à promouvoir l’intérêt du cadre juridique et fiscal français auprès des acteurs étrangers qui souhaitent opérer en Europe.

Un coordinateur national blockchain comme pour l’IA

Lire la suite : https://coins.fr/france-avant-garde-nations-blockchain-institut-montaigne/

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SWIFT et Chainlink s’allient pour connecter des institutions financières à la blockchain

cointribune.com - Par Luc Jose A.

Publié le 08 Juin 2023

Un partenariat pour tester l’interopérabilité de la blockchain pour les banques

La Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication (SWIFT) a officialisé, mardi 6 juin, sa collaboration avec le Chainlink. Ensemble, les deux sociétés technologiques envisagent de tester la connexion d’une poignée de banques à la blockchain.

Parmi les banques ciblées pour être l’objet du test, on cite BNP Paribas, Citi Euroclear ou encore Lloyds Banking Group. Depository Trust and Clearing Corporation (DTCC), Australia and New Zealand Banking Group Limited (ANZ) et Clearstream, sont également concernées.

Concrètement, ce partenariat envisage un type d’essais spécifiques. Il devrait essentiellement concerner l’interopérabilité de la blockchain pour les banques. Il s’agit de voir dans quelle mesure les banques ciblées se connectent efficacement à plusieurs réseaux de blockchain.

L’objectif, c’est d’éliminer les défaillances que peuvent rencontrer les banques en ce qui concerne le règlement des actifs tokenisés. Un but, qui en cache un autre, beaucoup plus important cette fois, car il est économique.

Les parties prenantes estiment que l’adoption de la blockchain est utile pour « générer des gains d’efficacité, réduire les coûts ». Mais c’est surtout une simplification de processus qui pourrait davantage intéresser les investisseurs privés. Ce qui pourrait à terme augmenter les profits.

D’ailleurs, Sergey Nazarov, cofondateur de Chainlink, pense que « les banques et leurs clients feront croître l’industrie de la blockchain au-delà de 10 billions de dollars ». Ceci, parce qu’elles détiennent « le plus grand volume de capitaux à l’échelle mondiale ».

Lire la suite : https://www.cointribune.com/swift-et-chainlink-sallient-pour-connecter-des-institutions-financieres-a-la-blockchain/

Intelligence artificielle

La Commission européenne veut obliger à signaler l'usage de l'intelligence artificielle

ras.ch - Par AFP/EBZ

Publié le 5 juin 2923

La Commission européenne veut que les plateformes en ligne identifient clairement les contenus - images, sons, textes... - générés par l'intelligence artificielle (IA) pour lutter contre les risques de désinformation, a annoncé lundi la vice-présidente de l'exécutif européen, Vera Jourova.

La commissaire tchèque chargée des Valeurs et de la Transparence a adressé cette demande aux signataires du code de bonnes pratiques de l'UE contre la désinformation qu'elle a rencontrés lundi à Bruxelles. Ce code, non contraignant, regroupe sur une base volontaire une quarantaine d'organisations, dont des plateformes majeures comme Facebook, Google, YouTube, TikTok - tandis que Twitter l'a récemment quitté.

"Les signataires qui intègrent l'IA générative dans leurs services comme Bing Chat pour Microsoft, Bard pour Google devraient intégrer les garanties nécessaires pour que ces services ne puissent pas être utilisés par des acteurs malveillants pour générer de la désinformation", a déclaré Vera Jourova lors d'un point de presse.

"Et deuxièmement, les signataires qui ont des services susceptibles de diffuser de la désinformation générée par l'IA devraient mettre en place une technologie pour reconnaître ce contenu et l'indiquer clairement aux utilisateurs", a ajouté Vera Jourova.

Plusieurs fausses photographies produites avec de l'IA générative ont récemment été largement relayées sur les réseaux sociaux, comme celle du pape en doudoune ou l'arrestation de l'ancien président américain Donald Trump.

Obligations de marquage dès le 25 août

Lire la suite : https://www.rts.ch/info/sciences-tech/14077064-la-commission-europeenne-veut-obliger-a-signaler-lusage-de-lintelligence-artificielle.html

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Quand même l’intelligence artificielle s’inquiète des dérives de l’intelligence artificielle

Les Echos - sur Youtube

Publié le 5 juin 2023

Interrogé sur les dangers potentiels de l'intelligence artificielle, Ameca, un robot humanoïde développé par la société britannique Engineered Arts, a pu converser sur le sujet à l’occasion de la conférence internationale sur la robotique et l'automatisation (ICRA) à Londres.

Pour ne manquer aucune vidéo, abonnez-vous à la chaîne YouTube des Echos : https://bit.ly/2GZgOWy

Voir la video : https://www.youtube.com/watch?v=Ro14O3B08rI

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Tunisie : retour sur le lancement de la « Tunisian Artificial Intelligence Society »

actuia.com - par Marie-Claude Benoit

Publié le 7 juin 2023

Reconnect, une association basée en France, composée de cadres tunisiens travaillant en France dans les domaines de l’informatique, de la finance, du conseil…a annoncé le 22 mai dernier le lancement de la « Tunisian Artificial Intelligence Society » (TAIS) dans le but de promouvoir une culture d’intelligence artificielle en Tunisie.

Créée en 2021 par le Dr. Sami Ayari, l’association Reconnect vise à encourager les échanges entre Tunisiens hautement qualifiés, qu’ils résident dans leur pays d’origine ou à l’étranger, afin de :

• Stimuler les femmes dans les sciences et la technologie en Tunisie.

• Promouvoir les scientifiques, les chercheurs, les experts, les leaders et les talents.

• Valoriser le capital culturel et patrimonial en Tunisie et dans le monde.

• Développer les partenariats Nord-Sud et Sud-Sud en Méditerranée dans les nouvelles technologies

• Aider et soutenir les étudiants et diplômés par le coaching, le mentorat, le partage de stages, d’opportunités.

La Société tunisienne de l’IA

Selon Reconnect, TAIS est un forum de discussion et de réflexion autour l’intelligence artificielle regroupant plus d’une vingtaine d’experts tunisiens en IA aux profils variés, mais complémentaires : des chercheurs exerçant dans des universités internationales réputées, des dirigeants et des experts occupant des postes clés dans les grandes entreprises du GAFAM et dans le secteur financier.

Son réseau s’étend sur l’Europe et les pays nord-américains, en plus des experts tunisiens résidents en Tunisie.

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/tunisie-retour-sur-le-lancement-de-la-tunisian-artificial-intelligence-society-tais/

THALES

Thales annonce le lancement de la plateforme de sécurité des données CipherTrust as a Service

Par Business Wire 6 juin 2023

• La plateforme de sécurité des données CipherTrust as a Service permet aux entreprises de se déployer rapidement et de faire évoluer les services de gestion de sécurité et des données sans gestion du matériel ou d’investissements de départ.

• La gestion de sécurité dans cloud de CipherTrust est le premier service disponible, permettant aux clients de centraliser la maintenance et le contrôle de leurs clés de chiffrement en toute sécurité dans de multiples clouds publics et environnements SaaS.

• La visibilité sur les environnements multicloud permet aux organisations d’améliorer leur efficacité et de se conformer aux mandats de protection des données, tels que ceux relatifs à la souveraineté numérique.

PARIS LA DÉFENSE–(BUSINESS WIRE)–Thales, fournisseur mondial de technologies et de solutions de sécurité, a annoncé ce jour le lancement de sa plateforme de sécurité des données CipherTrust sur un modèle d’abonnement basé sur le cloud, as a Service. Cette annonce traduit la volonté de Thales d’offrir à ses clients le choix et la souplesse nécessaires pour utiliser les fonctionnalités de découverte et de classification des données, de chiffrement, de gestion des clés et des secrets de la plateforme dans le cadre d’une offre en as a Service, ou plutôt sous forme de matériel ou de logiciel traditionnel. Thales CipherTrust Cloud Key Management (gestion de la sécurité dans le cloud de CipherTrust – CCKM) est la première offre disponible as a Service.

Lire la suite : https://www.youtube.com/watch?v=-AfhYmHV014

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THALES signe un protocole d’accord avec mastercard, leader mondial des solutions de paiement

thalesgroup.com - Communiqué

Publié le 07 juin 2023

• Ce partenariat reflète l’engagement mutuel pris par Thales et Mastercard d’étudier ensemble les diverses opportunités internationales qui se présentent sur le marché de la billettique et du paiement dans le secteur de la mobilité.

• Mastercard joue un rôle clé dans un large éventail de processus et de technologies de paiement pour la mobilité urbaine, permettant aux usagers de payer leurs trajets de la manière qui leur convient le mieux.

• Thales, leader dans les systèmes de billettique et de paiement, a les capacités d’intégrer les solutions Mastercard pour simplifier la mobilité et offrir une expérience de transport parfaitement fluide.

Thales et Mastercard ont le plaisir d’annoncer la signature d’un protocole d’accord confirmant leur coopération internationale dans les activités de billettique et de paiement liées à la mobilité. Ce partenariat reflète l’engagement mutuel pris par Thales et Mastercard d’étudier ensemble les différentes opportunités qui se présentent sur ce marché.

Mastercard est un acteur clé du paiement en boucle ouverte, système de paiement qui offre aux usagers des transports publics une expérience de paiement totalement transparente. Des milliards de transactions de mobilité sont traitées chaque année sur le réseau Mastercard (mobilité publique/privée et automobile). Mastercard s’attache à rendre les déplacements des usagers plus simples, plus rapides et plus efficaces quel que soit le mode de transport : train, bus, vélo, scooter, taxi, covoiturage ou voiture

« L’équipe Mastercard est fière de formaliser ce partenariat avec Thales, l’une des entreprises les plus importantes et les plus diversifiées au monde dans le domaine de la billettique. Nous nous réjouissons de cette collaboration avec l’équipe Thales, qui contribuera à augmenter la fréquentation, à fluidifier les déplacements et à réduire les coûts pour les opérateurs de transport. » Chapin Flynn, responsable mondial Mobilité urbaine, Mastercard.

L'accord établit un partenariat de confiance avec Mastercard pour favoriser l'adoption de la mobilité publique et offrir des technologies de pointe et des solutions intégrées de billettique et de paiement aux autorités et opérateurs de transport partout dans le monde.

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/transport/press_release/thales-signe-protocole-daccord-mastercard-leader-mondial-des

Metavers

Quand avocats et magistrats parisiens se lancent dans le métavers pour juger « Elin Mask »

nouvelles.com - Anne Jouvet

Publié le 9 juin 2023

Le barreau de Paris organisait mercredi le premier (faux) procès dans le métavers. Y était jugé un certain Elin Mask pour des faits d’outrage sexiste, de vol et de recel. Une expérimentation pour réfléchir aux possibles apports de la technologie au monde judiciaire.

La salle d’audience s’obscurcit, le procès démarre. Sur un écran géant apparaît alors un prétoire similaire à celui dans lequel nous nous trouvons. S’y affichent, sous la forme d’avatars façon « Sims », le juge entouré de ses assesseurs, le procureur, les avocats et un certain Elin Mask, le prévenu de cette affaire virtuelle, entrepreneur à succès à MelonVille, et sa victime. « Dans le métavers, Elin Mask a arrêté une jeune femme dans la rue et lui aurait dit : “Wesh, t’es bonne !” Puis, il aurait sauté de cyberbuisson en cyberbuisson pour se rendre dans son cybermanoir et lui dérober un tableau », énonce le juge lors du rappel des faits

Ce mercredi 7 juin, le barreau de Paris a organisé pour la première fois au tribunal judiciaire du 17e arrondissement de la capitale un procès dans le métavers. Tout y semble vrai, à un détail près : dans une petite salle située derrière l’écran, six avocats issus de la Conférence, le concours d’éloquence du barreau, et trois magistrats du tribunal judiciaire de Paris portent des lunettes de réalité augmentée et font se déplacer grâce à un joystick les avatars dans la salle d’audience virtuelle.

Lire la suite : https://www.nouvelobs.com/justice/20230609.OBS74323/quand-avocats-et-magistrats-parisiens-se-lancent-dans-le-metavers-pour-juger-elin-mask.html

Apple

Liens vagabonds : Apple veut révolutionner Internet (et la télé)

meta-media.fr

Publié le 10 juin 2023

Apple, au-delà du métavers - Après une interruption de l'innovation pendant près de dix ans, Apple a présenté en début de semaine à l'occasion de la WWDC23 le casque Vision Pro, le secret le moins bien gardé de l'industrie. Il promet de faire entrer l’utilisateur dans “l’internet spatial” (aucune notion de "métavers"), selon ses développeurs, - à partir de 2024 aux Etats-Unis et moyennant $3,499 -, pour changer fondamentalement la façon dont nous interagissons avec nos appareils. Cette annonce met fin à un conflit philosophique entre développeurs et designers (ces derniers hésitant à sortir le produit le considérant pas assez abouti). 

Une fois libérés des contraintes de l'écran d'un smartphone ou d'une tablette, nous adopterons une nouvelle ère de l'UI et de l'UX. Plus besoin d'écrans télé ou autres devices, toutes nos activités seraient déportées dans cet object connecté XR pour vivre, entre autres, les compétitions sportives, dont Apple a acquis les droits, en pleine immersion grâce à deux écrans (pour deux yeux) de plus de 4K de résolution (23 millions de pixels). Une vision accueillie avec enthousiasme, scepticismecritique et même dérision.

La compagnie la plus soucieuse de notre vie privée veut soudainement capter nos pensées : l'interface principale du casque Vision Pro d'Apple est basée sur la navigation à l'aide du suivi des yeux (qui prennent la place de la souris) et des gestes, le système devant déterminer ce que l'utilisateur regarde spécifiquement le plus rapidement possible, et ceci grâce à une multitude de caméras, et des recherches approfondies en neurosciences.

Lire la suite : https://www.meta-media.fr/2023/06/10/liens-vagabonds-apple-veut-revolutionner-internet-et-la-tele.html