Revue de presse ADCET n° 132 du 23 août 2021

Mobilité

Besançon

Trajets domicile-travail : le premier Challenge régional de la mobilité

estrepublicain.fr

Publié le 18 août 2021

L’objectif est clair : favoriser les alternatives à la voiture lors des déplacements domicile-travail. L’Agence régionale de la transition écologique organise le 1er Challenge de la mobilité en Bourgogne Franche-Comté en septembre prochain. Un défi qui concerne collectivités, institutions, entreprises et salariés.

Ce sera la première édition en Bourgogne Franche-Comté mais le concept a déjà fait florès : l’Ademe BFC, c’est-à-dire l’Agence de la transition écologique, a décidé d’organiser, du 16 au 22 septembre prochain, un Challenge de la mobilité avec ses partenaires (la Région BFC, la DREAL et la Chambre régionale de commerce et d’industrie). Une initiative qui fera écho à la semaine européenne de la mobilité.

L’enjeu : « Encourager et promouvoir, durant une semaine, les alternatives à l’utilisation de la voiture individuelle (marche, vélo, transports en commun, covoiturage, télétravail, etc.) lors des trajets domicile-travail » mais aussi « valoriser les bonnes pratiques en matière de mobilité, qu’elles soient le fait des salariés eux-mêmes ou des établissements qui en facilitent l’usage ».

Inscriptions jusqu’au 15 septembre

56 établissements se sont d’ores et déjà inscrits à ce défi qui concerne institutions, collectivités, employeurs et salariés : le Centre hospitalier régional universitaire, la CPAM, Energy Cities, Opale Énergies Naturelles ou encore le Syded et la Communauté urbaine figurent parmi les participants dans le Grand Besançon.

Les employeurs peuvent concourir pour un prix décerné par Grand Besançon Métropole selon 4 catégories (de 1 à 9 salariés, de 10 à 49 salariés, de 50 à 249 salariés, et plus de 250 salariés) mais ils pourront aussi être récompensés au niveau régional via un prix « vélo », un prix « transports co’ », un prix « territoires ruraux » et un prix « coup de cœur du jury ».

Les inscriptions sont possibles jusqu’au 15 septembre.

Pour plus d’informations sur ce challenge et pour connaître les modalités de participation, rendez-vous sur le site https://www.challengemobilite-bfc.fr/

Lire la suite : https://www.estrepublicain.fr/societe/2021/08/18/trajets-domicile-travail-le-premier-challenge-regional-de-la-mobilite

Cybersécurité

Cybersécurité : une start-up stéphanoise traque les attaques

tl7.fr

Publié le 15 Août 2021

Boîtier DETOXIO de Serenicity

Créée en 2018, la start-up Serenicity ne cesse depuis de croître, et son équipe compte aujourd’hui 12 personnes. Son engagement ? Démocratiser la cybersécurité pour les petites et moyennes organisations en automatisant la protection et en simplifiant la compréhension des cybermenaces.

Son Directeur général, Fabrice Koszyk explique "le cybercrime mondial représente 1000 milliards de dollars de préjudice. Les systèmes existants sont dépassés, c’est pourquoi nous avons créé des solutions dédiées. Detoxio est un boîtier analysant les flux entrants et sortants d’un système et compare avec les sources d’attaques connues pour bloquer les intrusions. Il informe par alertes sur les tentatives pour mieux comprendre les failles et faire évoluer les systèmes en vue de prévenir des attaques futures." Cet outil automatisé analyse chaque jour 10 000 nouvelles sources d’attaques.

Serenicity a également imaginé une cyber météo, permettant à une organisation de connaître son indice de toxicité et de savoir comment se situer par rapport aux menaces à un instant donné. Ce dispositif a valu à la start-up la signature, en janvier dernier, d’une convention avec la Direction centrale de la Police judiciaire. Il contribue ainsi à la lutte contre la cybercriminalité et au démantèlement de réseaux de cybercriminels.

EN SAVOIR +

Source: Magazine Maestria n°19

Lire la suite : https://www.tl7.fr/actualites-loire/actualite/actualite_1/cybersecurite-une-start-up-stephanoise-traque-les-attaques_4159.html

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Pass sanitaire et cybersécurité. Ce qu’il faut savoir sur l’application TousAntiCovid

Paris-normandie.fr

Publié le 16 août 2021

Damien Bancal, expert en cybersécurité, répond à des questions sur le pass sanitaire, notamment sur son utilisation via l’application TousAntiCovid : qu’en est-il de nos données personnelles ? Comment fonctionne l’application ? D’où vient-elle ?

Le pass sanitaire est entré en vigueur depuis le 21 juillet 2021 pour accéder aux lieux de culture et de loisirs, dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19. Et depuis le 9 août, il est également demandé pour les restaurants, les bars et les centres commerciaux de plus de 20 000 m2 dans certains départements.

Les responsables des lieux soumis au pass dispose de l’application TousAntiCovidVerif pour vérifier le pass sanitaire des clients.

D’où vient cette application et comment fonctionne-t-elle ?

TousAntiCovid Verif est une application étatique développée par IN Groupe. N’importe qui peut télécharger cette application sous IOS ou Android. «  On l’a tous testé au travail, avec des amis mais attention, n’oublions pas que son utilisation est réservée aux personnes habilitées. Au moment de télécharger l’application, les conditions générales d’utilisation précisent que l’utilisation de ce service par une personne non habilité peut entraîner des sanctions.  », précise Damien Bancal, spécialiste en cybersécurité et fondateur du site Zataz.

L’application permet ainsi de scanner le fameux QR Code «  Quick Response code  » (code à réponse rapide en français) ou 2D-DOC sous format papier, PDF ou sur l’application classique TousAntiCovid que les clients présentent à leur arrivée. Sur le lecteur apparaît le nom, le prénom, la date de naissance du client, ainsi que la validité du pass sanitaire.

Est-ce qu’il existe un risque pour nos données personnelles ?

Lire la suite : https://www.paris-normandie.fr/id222024/article/2021-08-16/pass-sanitaire-et-cybersecurite-ce-quil-faut-savoir-sur-lapplicaiton

COVID-19 Détection

Un appareil de détection de virus dans l’air développé à Montréal

directioninformatique.com - Dominique Lemoine

Publié le 18 août 2021

MONTREAL - L’entreprise Stratuscent affirme avoir mis au point et lancé un appareil connecté de numérisation de l’odorat qui est capable de détecter dans l’air la présence de marqueurs aériens du virus à couronne qui cause la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).

Technologies Stratuscent est une société par actions qui se spécialise en appareils connectés, en intelligence artificielle et en technologies de détection numérique d’odeurs. L’entreprise en démarrage basée à Montréal a été fondée en 2016 et mobilise désormais entre 11 et 25 travailleurs. Son premier actionnaire est TandemLaunch Ventures et son deuxième est Prabhu Masilamani.

Stratuscent soutient que son produit Noze est un « dispositif de surveillance de la qualité de l’air dans les espaces intérieurs partagés alimenté par l’intelligence artificielle », qu’il peut informer les gens au sujet des caractéristiques de l’air qu’ils respirent, et qu’il « constitue une première ligne de défense contre la transmission du coronavirus par voie aérienne ».

Fonctionnement

« La technologie derrière l’appareil peut suivre les marqueurs aériens émis par les personnes infectées par le coronavirus et la grippe, en plus d’un éventail d’autres toxines présentes dans l’air », et ses algorithmes « quantifient sur une échelle de dix points le risque de présence de virus », explique Stratuscent.

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Moyens de Paiement

Crédit Agricole : une carte bancaire biométrique arrive

moneyvox.fr - Marie-Eve FRENAY

Publié le lundi 16 août 2021

Le Crédit Agricole va lancer à la rentrée des cartes bancaires équipées d’un lecteur d’empreintes digitales. Le groupe expérimente aussi le paiement vocal.

Des transactions par carte validées, non pas avec un code à 4 chiffres, mais par la vérification des empreintes digitales : c’était l’une des nouveautés de BNP Paribas, testée grandeur nature à partir de l’automne 2020. Presque une année plus tard, c’est au tour d’une autre grande banque française de s’immiscer dans la brèche de la biométrie pour un usage grand public. Il s’agit du Crédit Agricole qui, comme le révèlent Les Echos, va lancer à partir de la rentrée de septembre des cartes bancaires capables de reconnaître l’empreinte digitale de leur propriétaire. Ce déploiement se fera dans « un nombre significatif de caisses régionales », explique au quotidien économique Jean-Luc Pothet, secrétaire général de Crédit Agricole Payment Services.

Selon nos informations, la moitié des caisses seraient partantes pour proposer cette fonctionnalité. Une option disponible sur les cartes premium en débit différé, à savoir la Gold Mastercard et la World Elite Mastercard.

Dès juin 2019, le Crédit Agricole s’est intéressé à cette alternative au code secret, en lançant une première expérimentation en Indre et Loire. Mais ce n’était pas la première banque de l’Hexagone à tester cette nouvelle fonctionnalité. En octobre 2018, la Société Générale avait aussi annoncé des pilotes de carte biométrique. Questionnée en janvier dernier, la banque rouge et noire nous indiquait que les tests continuaient… Les produits testés ne remplissant alors pas totalement le cahier des charges nécessaire à une éventuelle commercialisation.

Prix autour de 24 euros par an

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Blockchain

La majorité des grandes banques mise sur la blockchain

presse-citron.net - Valentin

Publié le 15 août 2021

Comme souvent, les États-Unis sont dans le haut du tableau, l’Europe suivant.

Une nouvelle étude publiée par Blockdata assure que 55 des 100 premières banques triées par la valeur de leur portefeuille en gestion ont investi dans les cryptomonnaies ou la blockchain, que ce soit directement ou en passant par des filiales officielles. Barclays, qui table aussi sur le futur d’Apple, occupe ainsi le sommet de la pyramide avec pas moins de dix-neuf poulains tels que SendFriend, RealBlocks ou encore Fnality International.

En deuxième position, on retrouve le groupe new-yorkais Citi. Avec plus de deux cents millions de clients, celui-ci serait d’après Forbes seizième au classement des meilleures entreprises du monde. Une liste qui prend en compte quatre critères : le chiffre d’affaires, le profit, la capitalisation en bourse mais aussi et surtout la totalité des actifs détenus par la chaque société.

Un français dans le top 5

Avec une demi-douzaine de protégés, la BNP Paribas n’est pas en reste puisqu’on lui doit notamment un tour de table de plusieurs millions de dollars à destination du Suisse HQLAx en janvier dernier. Impossible toutefois de connaître avec précision le montant investi par la firme dans la crypto. En effet, les levées de fonds réunissent le plus souvent de multiples actionnaires qui ne dévoilent pas toujours la taille de leur ticket.

La banque cotée à l’Euronext n’est pourtant pas toujours des plus enthousiastes quand il s’agit de confirmer le succès des monnaies virtuelles. Difficile de savoir ce qui se cache derrière ce double positionnement, mais il est probable que ses cadres ne voient pas d’un très bon œil l’avènement d’un empire décentralisé. Ce dernier pourrait ainsi lui faire perdre pied dans de nombreux domaines encore peu digitalisés.

Les particuliers ne veulent pas rater le coche

Lire la suite : https://www.presse-citron.net/majorite-grandes-banques-mise-blockchain/

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Les ordinateurs quantiques pourraient menacer la sécurité des blockchains

zdnet.fr - Daphne Leprince-Ringuet

Publié le 15 Août 2021

Technologie : Pour protéger les données sensibles des futurs ordinateurs quantiques, de nouveaux protocoles de sécurité seront nécessaires. Cette blockchain se prépare.

Ce ne serait peut-être qu'une question de temps avant que les ordinateurs quantiques ne craquent les clés de chiffrement qui soutiennent les données sensibles et les cryptomonnaies sur les réseaux blockchain. La société de logiciels quantiques Cambridge Quantum (CQ) affirme avoir mis au point une méthode « sûre sur le plan quantique » qui pourrait pérenniser toute blockchain en rendant le système invulnérable aux attaques quantiques.

CQ s'est associé à la Banque interaméricaine de développement (BID) et à son laboratoire d'innovation IDB Lab, qui a activement investi dans la technologie blockchain pour soutenir les applications sociales et économiques en Amérique latine et dans les Caraïbes.

Plus précisément, IDB Lab a développé LACChain, une plateforme blockchain utilisée par plus de 50 organisations de la région pour des cas d'utilisation allant des paiements transfrontaliers en monnaie électronique à l'échange de données entre les administrations douanières de différents pays.

IronBridge

CQ a implémenté une couche de sécurité quantique à LACChain qui a permis de sécuriser le système contre les futurs ordinateurs quantiques. Pour ce faire, CQ a déployé sur LACChain sa propre plateforme commerciale de protection contre les menaces quantiques, appelée IronBridge.

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Microsoft veut utiliser la blockchain Ethereum pour lutter contre le piratage

mon-livret.fr

Publié le 16 août 2021

Le système d’exploitation Windows et la suite de productivité Office ont toujours été les plus recherchés sur toutes les plateformes de piratage de logiciels. Il n’est donc pas étonnant que Microsoft travaille dur pour établir des mesures anti-piratage.

Dans un nouveau document publié par le département de recherche de Microsoft, avec la participation de chercheurs d’Alibaba et de l’Université Carnegie Mellon, le géant du logiciel basé à Redmond a étudié un système d’incitation basé sur la blockchain pour soutenir les campagnes anti-piratage.

Comme le titre de la recherche, “Argus : A Fully Transparent Incentive System for Anti-Piracy Campaigns“, le nouveau système de Microsoft repose sur l’aspect transparent de la technologie blockchain. Construit sur la blockchain Ethereum, Argus vise à fournir un mécanisme d’incitation sans confiance tout en protégeant les données recueillies auprès de la population anonyme ouverte des rapporteurs de piratage.

“Nous voyons cela comme un problème de système distribué“, indique le document. “Dans la mise en œuvre, nous surmontons un ensemble d’obstacles inévitables pour assurer la sécurité malgré une transparence totale.”

Argus permet de remonter à la source du contenu piraté grâce à un algorithme de filigrane correspondant, qui est détaillé dans le document. Également appelée “preuve de fuite“, chaque rapport de contenu divulgué implique une procédure de dissimulation de l’information. Ainsi, personne d’autre que l’informateur ne peut signaler la même copie filigranée sans la posséder réellement.

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