Revue de presse ADCET n° 116 du 5 avril 2021

Mobilité

« Google veut être un acteur incontournable de la mobilité »

tom.travel.com - Julia Luczak-Rougeaux

Publié le 1 avril 2021

En février, Google annonçait la possibilité de réserver un ticket de transport directement dans Google Maps en intégrant sa carte bancaire. Si l’usage reste limité, notamment en France où les réseaux misent sur leur propre application, la firme de Mountain View montre sa volonté de devenir un acteur incontournable de la mobilité. Décryptage avec Louis Brosse, CEO de Wizway Solutions.

Quelles sont les ambitions de Google dans le domaine de la mobilité ?

Google développe le système d’exploitation ultra dominant, ce qui lui donne un avantage. Il s’est positionné dans le domaine de la mobilité avec Google Maps qui est le service de cartographie le plus utilisé au monde. En 2010, la société a racheté ITA Software, une société spécialisée dans le gestion des données relatives au transport aérien et en 2013 elle a racheté Waze. Aujourd’hui, la firme veut être un acteur incontournable de la mobilité. Cela fait partie de sa stratégie « Toothbrush test » (le test de la brosse à dent, ndlr) qui consiste à acquérir ou à investir dans tout service dont on se sert au moins deux fois par jour.

Google va-t-il concurrencer les opérateurs de transports ?

La société a annoncé l’achat de titres de transport dans Google Maps. Pour cela il suffit d’enregistrer sa carte bancaire dans Google Pay. Mais la société s’est lancée dans le segment du paiement avec moins de succès qu’Apple qui, elle, a signé des partenariats avec les principales banques en France. Google ne collabore qu’avec des néo-banques pour le moment. Cela réduit le nombre de personnes pouvant acheter leur titre de transport depuis Google Maps dans l’Hexagone. Pour que Google se fasse une place, il faut plusieurs conditions. D’abord, que le réseau de transports propose de valider son titre de transport directement avec sa carte bancaire, comme c’est le cas à Londres par exemple. Puis, il faut que votre banque ait signé un partenariat avec Google afin de pouvoir l’enregistrer dans Google Pay. La société a annoncé que le service serait prochainement disponible dans 80 agences de transport à travers le monde. Pourtant, il n’a signé aucun partenariat avec celles-ci. A Melbourne par exemple, les titres de transports sont dématérialisés mais il n’y a pas d’application dédiée. Tout se fait via Google Maps.

Cela pose un problème de désintermédiation. En proposant ce service, Google veut récupérer la relation client et mettre en avant son service d’itinéraire sur Google Maps. La société possède un certain pouvoir car c’est elle décide de pousser tel ou tel moyen de transport. Face à ça, les réseaux de transports n’ont pas de marge de manœuvre puisqu’on ne leur demande pas leur avis. Je pense que la bonne approche est de proposer ces nouveaux canaux de paiement pour des cibles occasionnelles, comme les touristes. Les personnes vivant sur place ont elle tout intérêt à utiliser l’application mobile de l’opérateur.

Lire la suite : https://www.tom.travel/2021/04/01/google-veut-etre-un-acteur-incontournable-de-la-mobilite/

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Téléo. Des cabines transparentes et connectées pour le téléphérique toulousain

lejournaltoulousain.fr - Nicolas Belaubre

Publié le 31 mars 2021

Grâce à leur smartphone, les usagers des futures cabines connectées du téléphérique toulousain Téléo, pourront choisir d’effectuer leurs déplacements avec un sol vitré transparent ou un revêtement opaque. Explications. 

Reliant l’Oncopole à l’Université Paul Sabatier en passant par le Centre hospitalier Rangueil, le téléphérique urbain toulousain Téléo sera le plus grand jamais construit en France. Évoluant à une hauteur comprise entre 30 et 70 mètres du sol, les 16 cabines connectées et entièrement vitrées, offriront aux passager un panorama exceptionnel sur Toulouse. De quoi admirer depuis un incomparable point de vue la Garonne, les coteaux de Pech David et, au loin, les Pyrénées.

Une griffe de luxe

Alors que les pylônes sont en place et que la pose des câbles est en coursTisséo ingéniérie s’apprête à recevoir les 16 cabines qui effectueront les allers-retours. Fabriquées par le constructeur français Poma, ces habitacles entièrement vitrés ont été conçus et dessinés par l’iconique designer automobile Paolo Pininfarina. Celui-ci est notamment connu pour avoir signé d’emblématiques modèles pour Porsche ou Maserati.

Une appli et des cabines connectées

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Carte d’identité

La Seine-Maritime délivre des cartes d'identité électroniques à partir du 29 mars 2021

rouen.fr

Publié le 29 mars 2021

Après le département de l'Oise, la Seine-Maritime entre à son tour un peu plus dans l'ère numérique : à partir du lundi 29 mars 2021, le territoire délivre des cartes nationale d'identité électroniques.

Au sein de ce titre au format d'une carte bleue, un composant électronique qui contient des éléments biométriques, l'image numérisée du titulaire et deux empreintes digitales.

La Ville de Rouen intègre donc ce nouveau titre à son éventail et démarre la délivrance des cartes d'identité électroniques dès ce 29 mars. La démarche ne change pas, il s'agit toujours pour l'usager de faire une pré-demande en ligne ou de remplir le formulaire papier Cerfa et prendre ensuite rendez-vous en mairie pour déposer sa demande.

Attention, comme pour les "anciennes" cartes d'identité, la Ville ne délivrera de nouveau titre qu'aux motifs suivants : perte de validité de la carte, perte, vol ou changement d'une donnée indiquée sur la carte (nom, adresse, etc.). À noter enfin que, contrairement aux cartes que l'on connaissait jusqu'à présent, les cartes d'identité électronique ont une durée de validité ramenée à 10 ans.

Lire la suite : https://rouen.fr/breve/2021/03/seine-maritime-delivre-cartes-didentite-electroniques-a-partir-29-mars-2021

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Normandie. La nouvelle carte d’identité sera testée en Seine-Maritime dès lundi

ouest-france.fr - Marc Braun

Publié le 28 mars 2021

La nouvelle carte d’identité au format « carte bancaire » peut être demandée en Seine-Maritime à partir de ce lundi 29 mars 2021, avant un déploiement généralisé dans tout le pays en août.

La Seine-Maritime emboîte le pas de l’Oise, qui a débuté l’expérimentation le 15 mars 2021. Dès ce lundi 29 mars, avec La Réunion, elle propose à ses habitants de renouveler leur carte d’identité expirée sous un format nouveau et totalement sécurisé, avant une mise en œuvre progressivement étendue à partir du 2 août.

À la manœuvre, Marlène Schiappa, ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, chargée de la Citoyenneté, explique que « la Seine-Maritime n’a pas été choisie sans raison : les élus se sont mobilisés, le projet ayant été très soutenu par Édouard Philippe quand il était Premier ministre. Les élus se sont positionnés avec lui sur ce projet, pour que le département soit précurseur ».

45 000 plaintes pour usurpation d’identité par an

Pourquoi faire évoluer cette carte datant de 1995 ? « Une des raisons majeures est de lutter contre la falsification, la fraude, qui en 2019 a représenté 45 000 plaintes (1), répond la ministre. Cette nouvelle carte présente plusieurs innovations, au-delà de sa robustesse. Elle comporte un dispositif holographique de nouvelle génération, qui change de couleur en fonction de l’inclinaison, qui permet de protéger la photo du titulaire. Elle présente une puce électronique hautement sécurisée, sans oublier les empreintes digitales. Elle est aussi équipée d’un cachet électronique visuel (CEV) permettant une lecture automatique. Au final, elle est infalsifiable. »

Au format d’une carte bancaire

Lire la suite : https://www.ouest-france.fr/normandie/le-havre-76600/normandie-la-nouvelle-carte-d-identite-sera-testee-en-seine-maritime-des-lundi-8c650476-8fcb-11eb-8b93-f8709be0492b

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GARD La nouvelle carte d’identité arrivera en août

objectifgard.com - Norman Jardin

Publié le 27 mars 2021

La nouvelle carte nationale d'identité passe au format carte bancaire. Elle comporte une puce électronique, hautement sécurisée, contenant une photo du visage du titulaire et ses empreintes digitales.

Elle est aussi équipée d'un cachet électronique visuel (CEV) permettant une lecture automatique. D'abord déployée dans le département de l'Oise, elle sera peu à peu étendue aux autres départements jusqu'au 2 août 2021. Cette nouvelle carte doit permettre de lutter contre la fraude et l'usurpation d'identité.

Que contient-elle ?

Son composant électronique, hautement sécurisé, comprend des informations qui figurent sur la carte : nom, nom d'usage, prénoms, date et lieu de naissance, l'adresse, la taille, le sexe, la date de délivrance de la carte et sa date de fin de validité ainsi que, comme pour le passeport, la photo du visage et les empreintes digitales (sauf pour les mineurs de moins de douze ans). Elle est également dotée d'un cachet électronique visuel signé par l’État, qui reprend les données inscrites sur la carte, ce qui permettra de détecter rapidement une éventuelle fraude si ces données ont été modifiées.

Dois-je renouveler ma carte qui est à l'ancien format ?

Lire la suite : https://www.objectifgard.com/2021/03/27/gard-la-nouvelle-carte-didentite-arrivera-en-aout/

 

Blockchain

CAIZCOIN – Une plateforme de blockchain islamique

news.chastin.com

Publié le 2 avril 2021

Dérivé du mot arabe Caiz, Caizcoin est une plateforme de blockchain islamique qui fournit des services de transfert d’argent. Avec une vision de créer la liberté financière pour chaque individu, Caizcoin propose des solutions financières créatives. L’entreprise facilite la participation de chaque personne au monde financier moderne tout en respectant les valeurs islamiques.

Qu’est-ce que Caizcoin ?

Caizcoin est une plate-forme financière décentralisée et une crypto-monnaie qui offre des transferts d’argent internationaux rapides, sûrs et économiques. À partir de 2020, la société fournit une plate-forme mutuelle au monde islamique et moderne pour effectuer des transferts d’argent au niveau mondial. Le principe directeur de l’entreprise est de fournir la liberté financière aux gens tout en se conformant aux valeurs islamiques.

Caizcoin est la première plate-forme à être officiellement certifiée en tant que plate-forme et entreprise de blockchain islamique. Il est conforme à la loi financière islamique et également approuvé par les érudits islamiques. La société agit comme une lueur d’espoir en ouvrant le marché mondial de la crypto-monnaie aux musulmans.

Basé en Allemagne, Caizcoin dispose d’une équipe d’experts de leaders mondiaux dynamiques de divers secteurs. Les compétences collectives de ces personnes assurent le bon fonctionnement de l’entreprise tout en respectant les valeurs islamiques. Caizcoin est une plate-forme DeFi unique qui exploite la technologie numérique moderne tout en restant dans les limites de la loi islamique.

Caizcoin offre une sécurité supplémentaire à ses utilisateurs en travaillant à partir de sa propre blockchain décentralisée. Outre la sécurité des transactions, la société garantit également une comptabilité rapide et anonyme du grand livre et un potentiel de croissance unique.

Que propose Caizcoin?

Caizcoin est également une pièce crypto qui fonctionne sur le principe islamique dans l’espace Defi. En plus d’être une blockchain, la société propose également l’API Caizcoin pour accueillir des intégrations tierces faciles telles que les cartes de crédit, les portefeuilles, les fournisseurs, etc., afin d’inciter à l’utilisation de sa devise. Les utilisateurs peuvent également bénéficier de portefeuilles Caizcoin qui offrent une sécurité et une confidentialité maximales pour toutes les transactions cryptographiques. Caizcoin est une solution bancaire numérique complète qui fonctionne sur les principes et les valeurs bancaires islamiques.

Lire la suite : https://news.chastin.com/caizcoin-une-plateforme-de-blockchain-islamique/

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New York lance un passeport Covid alimenté par blockchain

coin24.fr - Hassan Maishera

Publié le 29 mars 2021

L’État de New York s’apprête à lancer cette semaine un passeport COVID-19 basé sur la blockchain, destiné aux entreprises opérant dans la region

L’État de New York a introduit un passeport COVID-19 alimenté par une blockchain. Le gouverneur Andrew Cuomo l’a annoncé la semaine dernière, révélant que le passeport Covid-19 basé sur la blockchain serait disponible dès cette semaine.

Selon le communiqué de presse du bureau du gouverneur, le passeport est disponible gratuitement pour les entreprises, et son utilisation sera volontaire. Le passeport, nommé Excelsior Pass, pourra être utilisé dans tout l’État à partir du vendredi 2 avril.

Le communiqué de presse précise que l’Excelsior Pass est une plateforme gratuite et volontaire développée en partenariat avec IBM. Elle utilise une technologie éprouvée et sécurisée pour confirmer le résultat négatif du test PCR d’une personne ou la preuve de sa vaccination. Cela permettra à l’État d’accélérer la réouverture des entreprises et des lieux de manifestations, conformément aux directives du département de la santé de l’État de New York.

Le gouverneur Andrew Cuomo a félicité les New-Yorkais d’avoir suivi les conseils de santé publique pour vaincre le coronavirus. « L’innovant Excelsior Pass est un autre outil de notre nouvelle boîte à outils pour lutter contre le virus tout en permettant à davantage de secteurs de l’économie de rouvrir en toute sécurité et en préservant les informations personnelles », a-t-il ajouté.

Lire la suite : https://coin24.fr/actualites/new-york-lance-un-passeport-covid-alimente-par-blockchain/

Cryptomonnaie

Visa fait un nouveau pas majeur vers les cryptomonnaies

frenchweb.fr -

Publié le 29 mars 2021

L’entreprise américaine de système de paiement abat un mur entre les monnaies traditionnelles et les cryptomonnaies. Visa annonce qu’elle va autoriser la monnaie virtuelle USD Coin (USDC) sur son réseau de paiement, dans le cadre d’un partenariat avec Crypto.com, une importante plateforme de paiement dans le secteur.

Actuellement, les détenteurs d’une carte Visa Crypto.com (ou MCO Visa Card) voient leurs cryptomonnaies converties en devises traditionnelles lorsqu’ils veulent régler des paiements au quotidien. Désormais, ils pourront utiliser l’USD Coin, ce stablecoin adossé au dollar américain, pour régler n’importe quelle transaction. Pour mener à bien cette transition, Visa a préparé pendant près d’un an l’établissement d’une « voie » pour le règlement des cryptomonnaies au sein de son infrastructure, qui gère des milliards de dollars chaque jour sur plus de 200 marchés et dans 160 devises. Mais pour l’entreprise américaine, le jeu en vaut la chandelle.

« Nous constatons une demande croissante de la part des consommateurs du monde entier pour pouvoir accéder aux monnaies numériques, les détenir et les utiliser, et nous constatons une demande de la part de nos clients pour pouvoir construire des produits qui offrent cet accès aux consommateurs », confie Cuy Sheffield, responsable de la crypto chez Visa, à l’agence de presse Reuters. « Le soutien aux monnaies numériques est une étape importante dans la stratégie de Visa, qui vise à améliorer toutes les formes de circulation monétaire, que ce soit sur le réseau Visa ou au-delà », ajoute l’entreprise.

Cette annonce intervient peu après le dernier projet de Visa, lancé en partenariat avec la néobanque First Boulevard, visant à piloter les offres d’API cryptographiques de Visa. Ce projet doit permettre aux clients de l’entreprise d’acheter, de conserver et d’échanger des actifs numériques détenus par Anchorage. « Le projet pilote constituera une première étape clé dans le soutien des capacités API qui aideront d’autres clients de Visa à accéder aux fonctions cryptographiques et à les intégrer dans leur offre de produits », avait alors déclaré Visa. Aujourd’hui, dans le cadre de l’autorisation de l’USD Coin sur son réseau de paiement, Visa collabore de nouveau avec Anchorage.

Une popularité grandissante

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Cybersécurité

La cybersécurité française aura son campus en novembre 2021

sciencesetavenir.fr - Arnaud Devillard

Publié le 28 mars 2021

Né d'une volonté de l'Etat, le projet de Campus Cybersécurité doit ouvrir en novembre 2021 dans une tour de la Défense en cours d’aménagement. L’initiative entre dans le cadre d’un partenariat public-privé mêlant expertise, partage de compétences et formation.

Il a longtemps été annoncé pour septembre 2021. Mais, lors d’une présentation en ligne la semaine dernière, l’ouverture du Campus Cybersécurité dont va se doter la France a été donnée pour le mois de novembre par son principal promoteur, le directeur général d’Orange Cyberdéfense Michel Van Den Berghe.

Rassembler en un même lieu les experts en cybersécurité du pays

Poussée par l’Etat, organisée dans le cadre d'un partenariat public-privé, l’initiative remonte à l’automne 2019. Elle consiste à rassembler en un même lieu les experts en cybersécurité du pays, les grandes entreprises du domaine mais aussi des start-up et des parcours de formation, initiale et continue, ainsi que des projets de recherche. "Ce sera un lieu d’opération qui ne vivra pas uniquement lorsqu’il y aura des événements de cybersécurité" a prévenu Michel Van Den Berghe. Concrètement, ce campus en cours d’aménagement sera hébergé dans la tour Eria de la Défense à Paris. On y trouvera des grands groupes comme Thalès, Atos, Capgemini, Sopra Steria, des petites structures comme Tehtris, qui y a transféré son siège social, mais aussi, en toute logique, l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi), l’Inria et des écoles d’ingénieurs comme Epita ou l’Institut Mines Télécom.

Faire travailler tout le monde ensemble

Lire la suite : https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/la-cybersecurite-francaise-aura-son-campus-en-novembre-2021_152829

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L’ANSSI et le ministère du Travail veulent mieux connaître les professionnels de la cybersécurité

nextimpact.com

Publié le 31 mars 2021

Les deux entités lancent un questionnaire en ligne pour recueillir un flot d’informations « directement auprès des premiers intéressés afin d’en restituer, in fine, une vision synthétique et globale, au bénéfice de tous ».

« Parcours, missions, secteur d’activité, vision du métier, accès à la formation, perspectives d’évolution, etc. autant d’éléments mal connus et pourtant essentiels pour accompagner le développement de l’écosystème cyber ».

L’enquête, confiée à l’Afpa, poursuit trois objectifs :

• « Renforcer la connaissance des professionnels qui exercent dans les métiers de la cybersécurité »

• « Identifier leurs trajectoires professionnelles et recueillir leurs perceptions de l’exercice de ce métier »

• « Mieux connaitre les environnements d’emploi des professionnels de la cybersécurité et leurs secteurs d’activité ».

Les résultats « apporteront à terme des indications sur l’emploi et la formation dans ce domaine. Les résultats de cette enquête, qui ne recueille aucune donnée personnelle, seront restitués à la collectivité sous forme agrégée ».

Le questionnaire en ligne à destination des professionnels de la cybersécurité

Source : https://www.nextinpact.com/lebrief/46621/lanssi-et-ministere-travail-veulent-mieux-connaitre-professionnels-cybersecurite

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Les dépenses en cybersécurité atteignent 53 Md$

distributique.com - Eleanor Dickinson, ARN (adaptation Jean Elyan)

Publié le 1 avril 2021

Selon Canalys, il y a eu en seulement 12 mois plus de vols de données qu’au cours des 15 années précédentes.

Ce segment dépasse tous les autres domaines de l'IT, à l'exception de la productivité dans l'environnement de travail.

Après une année de nombreuses violations de données souvent très médiatisées, les dépenses en cybersécurité ont grimpé de 10 % au niveau mondial pour atteindre 53 milliards de dollars. Selon le cabinet d'analystes Canalys, ce segment a surpassé tous les autres secteurs de l'IT, à l'exception de la continuité des activités et de la productivité en milieu de travail, deux domaines devenus très prioritaires avec la pandémie. « La cybersécurité doit être au coeur des projets numériques, à défaut de quoi nous risquons une disparition massive des entreprises, et par voie de conséquence, des difficultés supplémentaires pour la reprise économique post-Covid-19 », a déclaré Matthew Ball, analyste en chef de Canalys. « Un relâchement de l'attention sur la cybersécurité a déjà des répercussions majeures, notamment une escale des violations de données dans le contexte de crise actuel et une accélération des attaques par ransomware ».
L'année dernière, les secteurs de l'entreprise et de la technologie ont été la cible de plusieurs cyberattaques majeures. Le cabinet Canalys affirme même qu'en seulement 12 mois, il y a eu plus de vols de données qu'au cours des 15 années précédentes. La plus médiatisée de ces attaques a été sans conteste celle du fournisseur de services de surveillance des réseaux SolarWinds, qui a déclenché une vague d'attaques contre la chaîne d'approvisionnement. La chaîne d'hôtels Marriott a également été touchée pour la deuxième fois en deux ans. Plus récemment, le gouvernement australien et l'entreprise de médias Nine Entertainment ont été la cible de cyberattaques.
Le recours rapide au télétravail à nuit à la sécurité

Lire la suite : https://www.distributique.com/actualites/lire-les-depenses-en-cybersecurite-atteignent-53-md$-31132.html


RGPD

Accepter ou refuser les cookies : de nouvelles règles rentrent en vigueur

start.lesechos.fr - Marion Simon-Rainaud

Publié le 1 avril 2022

Le délai de mise en conformité des cookies, laissé par la Cnil, le gendarme des données personnelles français, aux sites Web et leurs éditeurs est désormais écoulé. Mais qu'est-ce, pour vous, cela va changer concrètement ?

Le jour d'après. Hier, mercredi 31 mars était la toute dernière limite fixée par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), pour que les publicitaires français se mettent en conformité avec les règles européennes relatives aux cookies. Cookie, késako ? Mais si, vous savez ces bandeaux qui apparaissent en vous demandant « d'accepter » un tas d'options sur chaque site que vous visitez ou appli que vous utilisez. A partir d'aujourd'hui, jeudi 1er avril, ce même bandeau devra beaucoup plus explicitement permettre aux internautes de « refuser » ces traceurs informatiques.

Il s'agit d'une des mesures votée en 2016 par l'Union européenne dans le Règlement général sur la protection des données (RGPD) et entrée en vigueur en mai 2018 dans l'ensemble des 28 (désormais 27) pays membres.

Après quelques péripéties judiciaires, la Cnil, surnommée « le gendarme de la protection des données » a publié le 1er octobre 2020 ses recommandations à mettre en place d'ici le 1er avril. On y est. Le monde de la publicité numérique s'est mis en branle pour être « conforme » (Les Echos START aussi nous glisse-t-on dans l'oreillette). L'occasion de faire le point en six questions sur ces fameux (fumeux ?) « cookies » (OK promis, c'est la première et dernière blague ayant de près ou de loin un rapport avec les gourmandises homonymes parsemées de petites de chocolat).

D'abord, pourquoi un cookie s'appelle un cookie ?

Lire la suite : https://start.lesechos.fr/innovations-startups/tech-futur/accepter-ou-refuser-les-cookies-de-nouvelles-regles-rentrent-en-vigueur-1303397