Revue de presse ADCET n° 110 du 22 février 2021

Mobilité

Google Maps vous permettra bientôt de payer les transports en commun

01net.com - Source Google

Publié le 19 février 2021

L’application de cartographie de Google va intégrer la possibilité de payer directement votre trajet dans les transports en commun.

Vous pourrez bientôt payer votre titre de transport directement dans Google Maps. C’est du moins ce que Google compte mettre en place dans son application de cartographie. Les utilisateurs pourront planifier leur trajet dans l’application, et s’acquitter de leur ticket de métro, de bus ou encore de train à l’avance en réglant à l’aide de leur carte bancaire si celle-ci est configurée sur leur compte Google Pay. Une fois le titre de transport payé, il suffira de le valider depuis son smartphone à la borne de validation sans contact, ou de montrer le billet numérique au conducteur. Sans entrer dans les détails, Google indique avoir travaillé avec 80 agences de transports dans différents pays.

En plus de pouvoir payer les titres de transport directement dans Google Maps, les utilisateurs américains pourront régler leur parking depuis l’application. La fonction est en cours de déploiement sur Android dans plus de 400 villes des États-Unis et devrait arriver bientôt sur iOS.

On ne sait pas pour l’heure si ce type de solution arrivera un jour en France où d’autres acteurs comme OPnGo ou Flowbird permettent déjà de régler un stationnement dans la rue depuis un smartphone.

Lire la suite : https://www.01net.com/actualites/google-maps-vous-permettra-bientot-de-payer-les-transports-en-commun-2035306.html

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Reims : quatre questions sur la ZFEm, la zone à faibles émissions, qui entrera en vigueur dès septembre 2021

La Ville et le Grand Reims lancent une consultation publique autour de la zone à faibles émissions à partir de ce lundi 15 février. L’arrêté entrera en vigueur, à titre pédagogique, à compter du 1er septembre 2021.

france3-regions.francetvinfo.fr

Publié le 15 février 2021

Réduire la circulation en centre-ville pour améliorer la qualité de vie des Rémois. C'est le pari que font les élus du Grand Reims, en annonçant la mise en place d'une ZFEm, zone à faibles émissions, à partir de septembre 2021. Régulièrement, la qualité de l'air est jugée médiocre dans la cité des sacres, avec des dépassements chroniques des seuils réglementaires de dioxyde d’azote (NO2) autour des grands axes de circulation comme l'autoroute A4, la départementale, l'avenue de Champagne, la traversée urbaine (A 344), et la route de Witry-lès-Reims (D151). "C'est une priorité, la qualité de l'air est une question de santé pour nos concitoyens, insiste le maire de la ville, Arnaud Robinet. D'où cette décision de mettre en place cette zone à faibles émissions. Le rôle de la collectivité est d'inciter nos concitoyens à utiliser les transports en commun ou d'autres moyens de transports. Mais il n'est pas question d'interdire la voiture."

Alors qu'une consultation publique démarre ce lundi 15 février, qu'est-ce que ce dispositif va changer dans le quotidien des Rémois? France 3 Champagne-Ardenne répond aux quatre questions qui se posent autour de la ZFEm.

1. Concrètement, la ZFEm, qu'est-ce que c'est ?

C'est une zone dans laquelle une collectivité restreint l'accès aux véhicules les plus polluants pendant une période donnée (jours, heures, etc.), selon des critères de son choix. L'objectif est d'améliorer la qualité de l'air et de protéger la santé des populations.

Cette restriction de la circulation pour certaines catégories de véhicules se fait en fonction de leur vignette Crit'Air. L'enjeu de la mise en œuvre de la ZFEm sur le territoire de Reims est de diminuer les émissions de gazs polluants pour que les concentrations mesurées respectent les valeurs réglementaires.

2. Quand cette ZFEm sera mise en place ?

Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/marne/reims/reims-quatre-questions-sur-la-zfem-la-zone-a-faibles-emissions-qui-entrera-en-vigueur-des-septembre-2021-1957090.html

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Mobilité : 4 nouveaux services permis par l’intelligence artificielle

ladn.eu - Sandrine Cochard

Publié le 16 février 2021

Le marché de l’automobile se transforme pour devenir un marché des mobilités. Pour cela, l’intelligence artificielle joue un rôle crucial à tous les niveaux.

Nous sommes en 2021 et malgré les prophéties du siècle dernier, nous ne nous déplaçons toujours pas en voiture volante. Pourtant, le secteur de l’automobile est loin de stagner.

Nouvelles sources d’énergies avec la voiture électrique, low tech et nouveaux services avec le véhicule connecté… Tour d’horizon des innovations permises par l’intelligence artificielle dans le secteur automobile. Pour une mobilité connectée et responsable.

1. Un transport multimodal fluide

Demain, il n’y aura plus un interlocuteur pour chaque transport mais un guichet unique, comme le prévoit la loi d’orientation des mobilités. On pourra acheter un seul billet pour prendre différents types de transports : une voiture de location pour se rendre jusqu’à une gare, puis un TGV, et finir son trajet à l’autre bout de la France en louant un vélo ou une trottinette.

« Cette transition vers le marché de la mobilité implique le partage de données », souligne Arnaud Putegnat, Senior Industry Solutions Executive chez Microsoft France. De quoi permettre l’émergence d’une offre MaaS intelligente, notamment en allant vers toujours plus de personnalisation.

« L’IA pourra gérer les interactions entre les différents modes de transports, pour assurer l’expérience utilisateur la plus fluide. Et grâce à sa connaissance du client, elle va pouvoir proposer l’offre de transport la plus adaptée », prédit l’expert. C’est aussi un changement de paradigme pour les acteurs historiques. Ils passent d’un statut de constructeurs à celui de fournisseurs de mobilités.

2. Conduite passée au crible et maintenance prédictive

Lire la suite : https://www.ladn.eu/tech-a-suivre/microsoftexperiences/mobilite-automobile-intelligence-artificielle/

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Mobilités : un cahier de recommandations pour accélérer le déploiement du « free floating »

maire-info.com - A.W.

Publié le 18 février 2021

Le ministre des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a publié une charte des « services free floating » destinée aux collectivités et lancé une mission d'étude sur ces nouveaux services de mobilités partagées.

Le ministère chargé des Transports a publié hier un « cahier de recommandations »  consacré au « free floating », ces services de mobilités en libre-service sans station d’attache proposant vélos, trottinettes, scooters électriques ou encore voitures électriques. 
Prévue par la loi d’orientation des mobilités qui a défini un cadre de régulation pour ces offres, cette charte est destinée à la fois aux collectivités qui souhaitent déployer ces types de services sur leurs territoires mais aussi aux opérateurs. 

Moins de 10 villes équipées

Et si plus de 25 000 véhicules en free floating ont permis de réaliser 2,15 millions de trajets, en septembre dernier, ce sont « moins de dix villes françaises »  qui seraient actuellement équipées de services de free floating.
Pour cette raison, ce cahier des charges – rédigé par les représentants de collectivités locales (AMF, France urbaine, Gart), les opérateurs et les services de l'État – doit permettre de « faciliter la prise en main »  des outils existants et « d’accélérer le déploiement de ces solutions de mobilité, en proposant des lignes directrices et des exemples à suivre », explique en préambule le ministre chargé des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, qui estime que ces nouveaux usages « complètent l’offre de transports existante et répondent à un vrai besoin ». Pour preuve, « 40 % du nombre des utilisateurs de vélos en free-floating n’utilisaient ni les services de vélo en libre service ni de vélo personnel »  avant l’arrivée de ces nouvelles offres, indiquent les auteurs du cahier de recommandations.

Huit prescriptions

Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/mobilites-un-cahier-recommandations-pour-accelerer-deploiement-du-free-floating--article-25029

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Bus urbains : Keolis choisi pour une exploitation de 5 ans

republicain-lorrain.fr - Emmanuel Correia

Publié le 20 février 2021

Les élus du syndicat qui gère le réseau de bus nord mosellan ont entériné ce mercredi le choix de Keolis, société retenue pour exploiter les lignes urbaines et périurbaines durant cinq ans. Un choix unanime, en attendant la mise en circulation des cars électriques, à l’horizon 2026.

Doucement mais sûrement, l’idée a fait son chemin. Délégation de service public (DSP) ou pas ? Définitivement oui, scellée par une délibération du 23 octobre 2019. La Société publique locale TransFensch cède la place en 2021 à une nouvelle forme d’exploitation du réseau de bus nord mosellan. Exploitation qui entrera en vigueur le 1er  avril prochain. Au terme de plusieurs mois d’études, des quatre candidats qui ont postulé, reste celui qui a réuni le plus de suffrages de la part des élus du Syndicat mixte des transports urbains Thionville Fensch (Smitu) : Keolis.

L’homme de la situation, qui a chapeauté cette entreprise de réflexion, c’est Bernard Veinnant, le maire de Basse-Ham. Dans un long exposé nécessaire pour la bonne compréhension de l’enjeu, l’élu s’est attaché à expliquer de quelle manière le groupe de travail avait planché sur la question.

Qualité de service

Déjà, le cadre. Quatre sociétés qui ont répondu à l’appel d’offres : Marfina, Sadap, Keolis et Transdev (qui détenait des parts dans la SPL TransFensch). Après trois tours de négociations, assisté dans son projet par des experts, le Smitu retient Keolis, sur plusieurs critères, essentiellement financiers et basés sur la qualité de service attendu, mais aussi environnementaux.

Lire la suite : https://www.republicain-lorrain.fr/economie/2021/02/20/bus-urbains-keolis-choisi-pour-une-exploitation-de-5-ans

Carte d’identité électronique

L'usage de la carte d'identité bientôt révolutionné en Allemagne

capital.fr - Xavier Martinage

Publié le 14 février 2021

Dès la fin de l'année, les citoyens allemands pourront utiliser leur carte de façon dématérialisée. Le ministère de l'Intérieur souhaitait moderniser ses services.

C'est une petite révolution que vont connaître les Allemandes dès l'automne 2021, à en croire nos confrères de BFMTV. Le ministère de l'Intérieur a indiqué le 12 février que les citoyens pourront se servir de leurs documents d’identité de manière dématérialisée et ce, dans tous les domaines. Que ce soient les entreprises ou les autorités, tous devront accepter ces documents.

Un nouveau pas vers la modernité que l'Allemagne a déjà entrepris depuis plusieurs mois, comme l'exposaient nos confrères des Echos l'été dernier. Ainsi, dans le pays, s'authentifier sur un site web auprès d'une banque, d'un concessionnaire ou tout autre service est possible depuis une dizaine d'années.

La France à la traîne

Une étape que la France n'a pas encore franchie, rappellent nos deux confrères. Le pays accusant un certain retard dans le domaine bien que la législation européenne impose à la France une carte d'identité numérique cette année. Si la France a annoncé son début en août prochain, des députés ont enjoint l'Etat d'accélérer dans le domaine et de se fixer des objectifs à court terme « et non à dix ans ». La députée Christine Hennion mettait d'ailleurs en garde dans Les Echos : « La France accuse un certain retard dans le domaine de l'identité numérique, il doit être comblé. »

Cela même alors que plusieurs entreprises françaises sont spécialisées dans le secteur et que cela pourrait faciliter les opérations dans de nombreux domaines comme l’e-commerce, les banques ou les télécoms. La France a donc du retard sur l'Allemagne, mais également sur une quinzaine de pays dans le monde qui ont déjà acté cette dématérialisation des documents d'identité.

Source : https://www.capital.fr/economie-politique/lusage-de-la-carte-didentite-bientot-revolutionne-en-allemagne-1394034

Sécurité urbaine

Les élus du FFSU réagissent aux décisions du Comité interministériel à la ville du 29 janvier 2021 et au programme du Beauvau de la sécurité

ffsu.org - Communiqué de presse

Publié le 8 février 2021

Les élus locaux du Comité exécutif du Forum Français pour la Sécurité Urbaine ont pris connaissance des décisions du Comité interministériel à la ville du 29 janvier 2021 et du programme du Beauvau de la sécurité piloté par le Ministère de l’Intérieur.

Ils prennent acte de la volonté affichée par le Gouvernement d’apporter des réponses pour améliorer la sécurité des Français et notent avec intérêt la mobilisation interministérielle. Pour autant, ils estiment que la vision de la sécurité proposée par le Gouvernement est réductrice et regrettent que les initiatives soient en-deçà des attentes des citoyens et élus locaux et impliquent insuffisamment ces derniers.
Les élus du FFSU saluent une partie des annonces qui vont dans le sens de recommandations portées depuis plusieurs années, notamment :

le renforcement de la présence humaine : ils se réjouissent que cela ne se limite pas à la police et prenne en compte également les besoins en matière de médiation et de prévention spécialisée ;

une augmentation de 10M€ du FIPD pour soutenir les initiatives locales participant à la prévention de la délinquance : sous réserve de plus de détails sur le fléchage de ces crédits, cette annonce est accueillie favorablement dans la mesure où les fonds avaient été réduits ces dernières années ;

le renforcement de la justice de proximité, mais ils demandent à être véritablement associés à son déploiement afin qu’elle soit adaptée aux besoins de chaque territoire.

Hormis ces mesures, les élus du FFSU regrettent que la vision proposée par le Gouvernement sur un certain nombre de problématiques se fasse principalement par le prisme policier et soit ainsi réductrice.
Les exemples de stratégies locales équilibrées entre la prévention et la sanction, de recommandations et d’actions inspirantes ne manquent pas. Elles sont nombreuses, identifiées et pourtant insuffisamment prises en compte lorsqu’il s’agit de définir les orientations nationales et leur impact sur les politiques locales.

Plus spécifiquement, concernant les mesures annoncées :

Lire la suite : http://ffsu.org/les-elus-du-ffsu-reagissent-aux-decisions-du-comite-interministeriel-a-la-ville-du-29-janvier-2021-et-au-programme-du-beauvau-de-la-securite/

Pour aller plus loin : Le livre blanc pour la sécurité des territoires

5G

La 5G va enfin pouvoir débarquer à Paris

lesechos.fr - Raphaël Balenieri

Publié le 19 février 2021

Après de longues négociations, les opérateurs télécoms et la Mairie de Paris sont parvenus vendredi soir à un accord sur le déploiement de la nouvelle génération de téléphonie mobile. Le seuil d'exposition aux ondes n'a pas été abaissé.

L'arrivée de la 5G à Paris n'est plus qu'une affaire de quelques semaines. Après de longues négociations, les opérateurs télécoms et la Ville sont enfin parvenus à un accord vendredi soir, ouvrant voie au déploiement de la nouvelle génération mobile dans la capitale.

« Paris sans la 5G, c'était un peu comme l'imaginer sans la Tour Eiffel, tant la capitale a toujours été, au travers de son histoire, au rendez-vous du monde de demain. La capitale, qui va accueillir les Jeux Olympiques dans trois ans, sera donc bien à cette occasion la vitrine planétaire des nouveaux usages rendus possibles grâce à la 5G » s'est réjoui Nicolas Guérin, président de la Fédération française des télécoms.

Paradoxe

Cet accord met fin à un paradoxe. Après Nice en novembre, première ville couverte par SFR, les opérateurs n'ont pu allumer la 5G que dans un petit nombre de métropoles régionales, ainsi que dans quelques villes de la couronne parisienne. Car depuis les municipales du printemps 2020, la 5G est devenue un enjeu politique et de nombreuses villes redoutaient des conséquences potentiellement néfastes pour la santé ou l'environnement.

5G : de Bordeaux à Strasbourg les villes récalcitrantes commencent à céder

Paris, comme le village gaulois d'Astérix, faisait lui aussi de la résistance. Or c'est justement dans les zones les plus denses, que la 5G peut soulager les réseaux 4G. Et là aussi que les opérateurs peuvent le plus monétiser la 5G, après avoir dépensé presque 3 milliards d'euros pour les précieuses fréquences 5G à l'automne 2020.

Concrètement, Paris avait conditionné le déploiement de la 5G à la tenue d'un débat citoyen. Organisé à l'automne pendant trois samedis, ce débat avec 80 Franciliens a débouché sur 21 recommandations assez sociétales et donc assez peu contraignantes pour les opérateurs. Depuis, et sur cette base, les opérateurs négociaient avec Paris une nouvelle version de la charte de téléphonie mobile.

Ce texte créé en 2003 et modifié plusieurs fois depuis encadre les déploiements d'antennes à Paris. La Ville tenait absolument à le mettre à jour étant donné la rupture technologique de la 5G (débit multiplié par dix, latence ultra-réduite) mais aussi l'impact potentiel sur la santé ou l'environnement. Cette nouvelle charte va maintenant être soumise au vote du Conseil de Paris en mars. Les opérateurs n'auront ensuite qu'à allumer leurs antennes.

Lire la suite : https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/la-5g-va-enfin-pouvoir-debarquer-a-paris-1292083

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Les habitants de L'Union vont pouvoir surveiller en temps réel les ondes de la 5G

francebleu.fr - Hugo Charpentier

Publié lundi 15 février 2021

L'Union (Haute-Garonne), commune de 11.000 habitants située près de Toulouse, a décidé de mettre en place un système de mesure des ondes 5G grâce à des capteurs mis au point par une société toulousaine.

C'est une initiative qui vise à apporter de la transparence sur un sujet qui sème la discorde. À l’heure où les opérateurs de téléphonie mobile commencent à déployer la 5G sur le territoire, les habitants de L'Union vont bientôt pouvoir surveiller en temps réel les ondes que peuvent émettre les antennes relais. La commune a décidé de mettre en place un système de mesure via des capteurs installés à des points stratégiques de la ville.

Répondre aux « fantasmes » et aux « fausses informations »

Car dans les rues de L'Union, comme partout ailleurs en France, l'inquiétude liée à la 5G est grande. « Est-ce que les ondes ne vont pas provoquer des soucis de santé ? » s'interroge, par exemple, cette mère de famille. C'est justement pour répondre à cette crainte que la commune a décidé d'investir dans un réseau de capteurs connectés. Le projet doit être soumis en conseil municipal le 14 avril prochain avant de se concrétiser durant l'été. 

Nous souhaitons savoir la réalité du rayonnement de ces antennes.

Dans un premier temps, quatre capteurs seront installés sur des candélabres, puis quatre autres à proximité des groupes scolaires. Le but n'est pas d'empêcher le déploiement des antennes, mais d'apporter une réponse aux citoyens qui doutent, explique le maire Marc Péré : « On a déjà eu un déploiement d'antenne 5G sur la commune et des riverains inquiets sont venus dans mon bureau pour me demander quelle était notre politique et notre stratégie en la matière, donc nous souhaitons apporter une réponse qui permet de savoir la réalité du rayonnement de ces antennes. »

Lire la suite : https://www.francebleu.fr/infos/environnement/l-union-les-habitants-vont-pouvoir-surveiller-en-temps-reel-les-ondes-de-le-5g-1613405226

Cybersécurité

Le gouvernement débloque 60 millions d'euros pour lutter contre les cyberattaques dans les collectivités locales

maire-info.com -

Publié le 18 février 2021

Emmanuel Macron a révélé hier les contours du plan Cybersécurité qui est en train d'être lancé pour améliorer la lutte contre les attaques informatiques, doté d'un milliard d'euros, dont 60 millions pour les collectivités territoriales. 

« Une crise dans la crise ». C’est ainsi que le président de la République, hier, a qualifié les attaques informatiques qui visent de plus en plus de structures (administrations, collectivités, entreprises, médias, hôpitaux). Les très récentes attaques qui ont paralysé les hôpitaux de Dax, puis de Villefranche-sur-Saône, ne sont que le dernier épisode – particulièrement grave, en pleine épidémie – d’une série qui s’est accélérée depuis 2019 : des médias (France télévision, M6, Ouest France), des grands groupes (Bouygues, SopraSteria), des communes ou des métropoles (Marseille, Toulouse, Angers…) ont été tour à tour victimes de ces attaques, le plus souvent sous forme de « rançongiciels » : les attaquants font pénétrer dans le système informatique de la structure un virus qui crypte tout ou partie des données, et demandent une rançon pour débloquer le système. 

Partenariat public-privé

C’est pour tenter de contrer ces menaces – ou plus précisément, de s’en prémunir – que le gouvernement a lancé hier son plan Cybersécurité, doté d’un peu plus d’un milliard d’euros (720 millions d’euros de fonds publics et 319 millions d’euros de fonds privés). 
Une partie du plan consiste à soutenir les entreprises de cybersécurité en visant un chiffre d’affaires pour le secteur à 25 milliards d’euros en 2025 (contre 7,3 milliards en 2019). Mais il s’agit aussi de « diffuser une véritable culture de la cybersécurité », aussi bien chez les citoyens que dans les entreprises et les collectivités territoriales. 

Les collectivités locales « particulièrement vulnérables » 

Lire la suite : https://www.maire-info.com/cybermalveillance/le-gouvernement-debloque-60-millions-deuros-pour-lutter-contre-les-cyberattaques-dans-les-collectivites-locales-article-25032

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Cybersécurité : ce qu'il faut retenir des annonces de Macron sur la stratégie française

Emmanuel Macron a confirmé ce jeudi un plan d'un milliard d'euros pour renforcer la cybersécurité des systèmes sensibles, après les cyberattaques contre deux hôpitaux.

lexpress.fr - LEXPRESS.fr avec AFP

publié le 18 février 2021

En pleine pandémie de Covid-19, le virus ne constitue pas la seule menace. Des pirates informatiques ont entièrement paralysé les hôpitaux de Dax et de Villefranche-sur-Saône, les 8 et le 15 février dernier, les obligeant à revenir au "tout papier". Le chef de l'Etat, qui a confirmé ce jeudi un plan d'un milliard d'euros pour renforcer la cybersécurité des systèmes sensibles, a écouté pendant une heure, en visioconférence, médecins et cadres de ces établissements. 

Dossiers des patients, téléphonie, appareils chirurgicaux, gestion des médicaments, rendez-vous, affectation des lits et des médecins, tout a été bloqué. Post-it, tableaux de services faits à la main et cahiers de rendez-vous ont tant bien que mal pris le relais, mais des opérations ont été déprogrammées et des patients envoyés dans d'autres hôpitaux. Le président a fait plusieurs annonces.  

De nouveaux recrutements, plus de moyens

En pleine pandémie, ces attaques constituent "une crise dans la crise", a noté le chef de l'Etat. L'exécutif a prévu d'affecter un milliard d'euros, dont 720 millions de fonds publics, pour renforcer la filière, tripler son chiffre d'affaires à 25 milliards d'euros en 2025 et doubler ses effectifs.  

"Chaque jour, les 560 agents de l'Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) agissent aux côtés de nos entreprises, institutions et des citoyens pour assurer la sécurité de nos systèmes d'information (...) Nous nous donnons les moyens : 200 recrutements entre 2017 et fin 2021", a-t-il précisé sur Twitter.

Lire la suite : https://www.lexpress.fr/actualite/societe/cybersecurite-ce-qu-il-faut-retenir-des-annonces-de-macron-sur-la-strategie-francaise_2145171.html

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Emmanuel Macron appelle à une discipline collective en matière de cybersécurité

larevuedudigital.com Revue du Digital

Publié le 18 février 2021

Face à l’explosion du nombre des attaques cyber informatiques en France, le Président de La République monte au créneau. Emmanuel Macron annonce une mobilisation à hauteur de 1 milliard d’euros afin de coordonner les services de l’Etat, financer l’écosystème, équiper les services publics, la santé en tête, et former des professionnels afin de se protéger face aux différents visages des menaces cyber. Au-delà, le Président de la République pointe la nécessité d’ « une vigilance collective, une discipline individuelle qui sont absolument clés » afin de bloquer les attaques.

Une enveloppe de 1 milliard d’euros
Le chef de l’Etat a pris la parole le 18 février à l’issue d’une visioconférence organisée avec les équipes des hôpitaux de Dax et de Villefranche sur Saône, victimes récentes d’une attaque cyber, en compagnie de Cédric O secrétaire d’Etat en charge de la transition numérique. Une enveloppe globale de 1 milliard d’euros est annoncée pour renforcer la cyber sécurité en France. « Nous allons nous doter de 1 milliard d’euros, largement dans le cadre du plan de relance et du programme d’investissements d’avenir, pour investir sur plusieurs axes » déclare Emmanuel Macron. Cela concerne d’abord un soutien financier à la recherche et au développement de solutions. Il s’agit d’« apporter un soutien à la recherche et au développement de nouvelles technologies souveraines, et créer ce faisant un écosystème beaucoup plus soudé, plus performant, qui sera réuni dans le campus cyber qui ouvrira ses portes à l’automne » décrit-il.

« A horizon 2025, l’objectif est de doubler le nombre d’emplois dans le secteur stratégique de la cyber sécurité »

Le Président de la République veut ensuite « soutenir l’adoption de solutions cyber, par les petites et moyennes organisations, publiques et privées. » L’objectif du plan va être aussi de renforcer les formations dans ce domaine. « A horizon 2025, l’objectif est de doubler le nombre d’emplois dans ce secteur stratégique. On a besoin d’avoir des emplois qualifiés dans le domaine cyber, qui ont ces compétences » insiste le chef de l’Etat. Emmanuel Macron veut un programme de soutien à l’égard des hôpitaux, des collectivités territoriales, « pour avoir tout de suite des barrières qui se mettent en place lorsque l’on est attaqué ».

Le secteur de la santé fait l’objet d’un traitement particulier par le chef de l’Etat. Emmanuel Macron a d’ailleurs pris la parole juste après s’être entretenu en visioconférence avec les responsables informatiques des hôpitaux de Dax et de Villefranche-sur-Saône qui viennent d’être victimes d’attaques informatiques. Les équipes de l’ANSSI (Agence Nationale de la sécurité des systèmes d’information) et d’Orange Cyber défense sont alors intervenues afin d’aider les équipes locales.

Un observatoire permanent du niveau de sécurité des établissements de santé

Lire la suite : https://www.larevuedudigital.com/emmanuel-macron-appelle-a-une-discipline-collective-en-matiere-de-cybersecurite/

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Cybercriminalité : « Les hôpitaux sont extrêmement ciblés », alerte un spécialiste

rtl.fr - Thomas Sotto - Vincent Parizot

Publié le 16 février 2021

INVITÉ RTL - Le spécialiste de la cybercriminalité Loïc Guézo revient sur la cyberattaque signalée par l'Agence française de sécurité d'information lundi 15 février.

Des sociétés françaises ont été victimes d'intrusion informatique entre fin 2017 et 2020. Loïc Guézo, secrétaire général du Club de la sécurité de l'information français (Clusif) et spécialiste de la cybercriminalité donne au micro de RTL des précisions sur cette cyberattaque signalée lundi 15 février par l'Agence française de sécurité d'information (Anssi). Le logiciel français Centreon est mis en cause, mais rejette la faute sur un développeur tiers.

Selon Loïc Guézo, "on en sait un peu plus aujourd'hui, parce qu'il y a eu un communiqué supplémentaire qui vient d'être fait par la société Centreon". Ce communiqué réduit très nettement la portée du rapport initial publié lundi 15 février par l'Agence française de sécurité d'information. "Les premiers noms qui ont été cités sont en fait les noms des clients de la société Centreon, mais il semble que les clients impactés ne soient que des utilisateurs de versions très anciennes".

Une hausse de 255%

Pour le spécialiste de la cybercriminalité, "l'agence a fait son travail de communication technique". Il y a bien eu des attaques de l'étranger contre des intérêts français. Les attaques par cyber-rançon se sont multipliées ces derniers mois en France contre des entreprises, des collectivités, des institutions et même des hôpitaux. Cela constitue une hausse de 255%. Selon Loïc Guézo, "depuis quelques mois ce sont les hôpitaux qui sont extrêmement ciblés".

LA RÉDACTION VOUS RECOMMANDE

Source : https://www.rtl.fr/actu/sciences-tech/cybercriminalite-les-hopitaux-sont-extremement-cibles-alerte-un-specialiste-7900001929

 

Quantique

Macron présente un plan de 1,8 milliard d’euros pour faire de la France un leader mondial dans le quantique

frenchweb.fr -

Publié le 21 janvier 2021

Après avoir dévoilé il y a deux ans la feuille de route de la France dans le secteur de l’intelligence artificielle, Emmanuel Macron dévoile son plan pour un autre secteur, plus révolutionnaire encore, à savoir celui du quantique. Dans ce cadre, le président de la République présente ce matin à l’université Paris-Saclay sa stratégie pour placer la France parmi les premiers pays à atteindre une souveraineté technologique dans ce domaine. Pour y parvenir, le gouvernement prévoit d’y allouer une enveloppe de 1,8 milliard d’euros pour réaliser des investissements qui s’étaleront sur 5 ans.

Cette stratégie sera portée par le ministère de la Recherche, le ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance et le secrétariat d’État au Numérique, et le ministère des Armées. Par ailleurs, un coordinateur, un Monsieur «Quantique», doit être nommé dans les prochains jours pour «mettre un peu d’huile dans les rouages», selon les termes de l’Élysée. Ce plan s’appuie sur les recommandations formulées dans le rapport «Quantique, le virage technologique que la France ne ratera pas», présenté il y a un an par la députée Paula Forteza. Dans ce document de 68 pages qui comprenait 37 propositions, elle appelait notamment à investir 1,4 milliard d’euros sur cinq ans dans le domaine. Un montant finalement revu à la hausse par le gouvernement avec l’aide de Bruxelles et des acteurs industriels français.

Sur les 1,8 milliard d’euros prévus, un milliard d’euros provient de l’État seul. Les 800 millions restants proviennent d’engagements pris par des acteurs industriels (500 millions), de financements européens (200 millions) et d’investisseurs qui gravitent autour de l’écosystème français de start-up (100 millions). Concernant la répartition des 1,8 milliard d’euros pour financer les différents niveaux de la stratégie quantique de la France, 430 millions d’euros seront dédiés aux travaux concernant l’ordinateur quantique universel, «qui est un peu le Graal de tout ce domaine» selon l’Élysée, tandis que 350 millions d’euros seront alloués aux projets sur des simulateurs quantiques. Par ailleurs, 320 millions d’euros seront consacrés aux systèmes de communication quantique, 250 millions d’euros aux capteurs quantiques et 150 millions d’euros à la cryptographie post-quantique. Enfin, 290 millions d’euros seront investis dans les technologies connexes autour du quantique (lasers, cryogénie…).

Avec Fanny Bouton, Olivier Ezratty et Richard Menneveux, nous vous proposons d’aller à la rencontre des acteurs clés du quantique dans l’émission DECODE Quantum sur Apple PodcastsSpotify et Deezer.

La recherche au centre de la stratégie du gouvernement

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Blockchain

Une nouvelle étape cruciale pour la blockchain Ternoa : la pépite française qui veut révolutionner l’approche du temps

journalducoin.com

Publié le 15 février 2021

Cela ne fait aucun doute, le projet Ternoa, porté par la startup française Capsule Corp, est dans la course pour devenir un succès international. L’idée du projet en fait sa force. Il apporte en effet une solution concrète aux personnes souhaitant transmettre leurs souvenirs dans le futur.

De plus, l’initiative est souvent plébiscitée pour sa capacité d’innovation et la réactivité de ses équipes. Pour preuve, le tout nouveau site internet de Ternoa est à couper le souffle ! Cet article vous propose de faire un point sur les évolutions et annonces techniques faites par l’équipe Ternoa.

Cet article promotionnel vous est proposé en collaboration avec Ternoa.

Les early adopters reçoivent leurs premiers tokens

Première bonne nouvelle pour les souscripteurs de jeton Ternoa, la distribution des premiers tokens est en cours. Cette distribution ouvre la période de soumission des KYC (Know your Customer). Les personnes ayant participées à la vente privée (plafond des 400 000€ atteint) doivent remplir un questionnaire qui permet à l’entreprise de les identifier, et donc de respecter la législation en vigueur et plus particulièrement la loi PACTE. 

Cette démarche permet de constater le sérieux du projet et sa volonté de perdurer dans le temps. Une fois que cette étape est passée, les souscripteurs se voient créditer sur leur wallet les tokens dans l’attente qu’ils soient listés. Le nom qui a été retenu pour le token est le CAPS. Si vous avez acheté ou obtenu des CAPS, l’équipe de Ternoa est disponible via ses réseaux pour vous aider à transférer vos jetons sur votre wallet et/ou à choisir le wallet le plus adéquat.

Ternoa valide une étape importante : Le CAPS audité et validé

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