Revue de presse ADCET n° 96 du 9 novembre 2020

Mobilité

Société du Grand Paris : Olivier Klein élu président du conseil de surveillance

societedugrandparis.fr - Communiqué

Publié le 3 novembre 2020

Olivier Klein, maire de Clichy-sous-Bois a été élu président du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris et Marc Papinutti, directeur général des infrastructures de transports et de la mer au ministère de la Transition écologique, vice-président. Jean Bensaïd, directeur de Fin Infra, à la direction générale du Trésor, a été désigné vice-président du comité d’audit et des engagements de la Société du Grand Paris, présidé par Christian Favier, président du conseil départemental du Val-deMarne.

« J’aborde cette présidence dans un esprit de dialogue et de travail avec toutes les collectivités locales, notamment les départements. Nous devons trouver ensemble les voies et les moyens d’être utiles à ce projet attendu par les habitants de nos territoires. Mes actions seront empreintes de cette proximité avec les acteurs locaux, car elle est indispensable à la bonne réalisation du Grand Paris Express qui est un projet utile et attendu mais complexe techniquement. Les nouvelles fonctions qui me sont confiées s’inscrivent dans l’engagement qui est le mien en faveur du développement équilibré des territoires et au profit des quartiers les plus fragiles de notre métropole. Deux marqueurs seront essentiels pour incarner notre réussite collective : la lutte contre les inégalités sociales et l’émergence d’une ville écologique et humaine dans les futurs quartiers de gare du Grand Paris Express. » Olivier Klein, président du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris

« Je félicite Olivier Klein pour son élection qui permettra de poursuivre la collaboration étroite du directoire avec le conseil de surveillance, en confiance, sincérité et responsabilité, conditions indispensables à l’avancement du projet. L’année 2020 est marquée par les secousses liées à la crise sanitaire Plus que jamais, toutes les énergies doivent être mobilisées pour réduire l’impact de la crise et faire face aux aléas que nous rencontrons à toutes les étapes de la vie du projet. Thierry Dallard, président du directoire de la Société du Grand Paris

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Le monde pourrait s'inspirer... du Luxembourg

5minutes.rtl.lu - Gaël Arellano

Publié le 2 novembre 2020

Quand il s'agit de mobilité, le monde ferait bien de s'inspirer du Luxembourg. Après notre série « Luxembourg, prends-en de la graine », place à notre série « Luxembourg pionnier ».

Le Luxembourg est récemment devenu le premier pays du monde à rendre l'ensemble de ses transports publics gratuit pour tous. Une mesure qui a attiré l'attention de la presse du monde entier et qui a soulevé la question de la faisabilité d'un tel projet dans d'autres pays européens. 
Car la mobilité gratuite a un prix. En effet, pour la mettre en place le gouvernement luxembourgeois a dû faire une croix sur un budget de 41 millions d'euros. Un montant qui correspond aux recettes annuelles venant de la vente des billets de train, de bus et de tram. 
"Compte tenu des sommes investies dans d'autres domaines tels que les infrastructures, ce montant est plutôt faible et permet au Luxembourg de mettre en œuvre la mesure plus facilement que dans d'autres pays" explique le site des transports publics luxembourgeois. 
C'est un des facteurs qui a permis au Grand-Duché de franchir le cap. Et si le Luxembourg reste actuellement le seul pays au monde à avoir introduit la mobilité gratuite, l'idée n'est pourtant pas nouvelle. Des villes telles que Talinn (Estonie), Dunkerque, Aubagne (France), Hasselt (Belgique) ou encore Templin (Allemagne) l'avaient déjà introduite avant et en avaient tiré des leçons très positives.

On sait par exemple que la gratuité a réussi à convaincre de nombreux automobilistes de passer à une mobilité plus douce, que les transports ne sont pas devenus moins sûrs et qu’elle a contribué à réduire les émissions de carbone malgré un impact décrit comme "limité".

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La Région et les collectivités normandes s'allient pour améliorer les accès des trains normands à la gare de Paris Saint Lazare grâce au saut-de-mouton à Clichy

normandie.fr/communiques-de-presse

Publié le 2 novembre 2020

Hervé Morin, Président de la Région Normandie, Jean-Baptiste Gastinne, Vice-président en charge des transports, et Hélène Vasseur, Directrice territoriale SNCF Réseau, ont présenté aujourd'hui, en visio-conférence, le projet de saut-de-mouton sur la ligne Paris – Normandie, en présence d'élus des collectivités normandes concernées par la desserte de Paris.

La mise en place d'un saut-de-mouton - croisement dénivelé entre les voies ferrées, qui prendrait place à Clichy - est la solution la plus pertinente pour répondre au problème de densité des circulations et de cisaillements, qui perturbent la régularité des trains normands et franciliens. Le coût total de ce projet est estimé entre 160 et 200 millions d'euros.

Dans le but majeur de faire avancer ce projet nécessaire à la Normandie, la Région a décidé :

- de prendre en charge la part financière de la Région Ile-de-France pour le financement de la préparation aux études de l'avant-projet (225 000 euros, soit un total pour la Région Normandie de 450 000 euros, sur les 900 000 euros du coût de l'étude partagé avec l'Etat), et de contribuer aux études à venir,

- de mobiliser les collectivités et intercommunalités normandes concernées par la desserte de Paris afin de financer les travaux de construction de l'infrastructure à parité avec l'Etat.

Les collectivités normandes se sont donc mises en capacité de prendre en charge la part financière de l'Île de France, et éviter ainsi tout risque de retard dans le démarrage accéléré des études et des travaux  correspondants.

Le coût de réalisation d'un tel ouvrage en avant gare de Saint Lazare est estimé à ce jour entre 160 et 200 millions d'euros. Les études techniques de réalisation du projet ont été lancées le 30 octobre 2020, et viseront notamment à affiner ce montant.

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Bassin annécien: la Sibra adopte le système de billettique Oùra

lessorsavoyard.fr - Florian Pottiez

Publié le 3 novembre 2020

Les usagers des transports en commun du Grand Annecy vont passer au nouveau système billettique Oùra. En effet, à compter du 16 novembre, ils pourront prendre le bus, le car ou le train sur une seule et même carte sans contact et rechargeable.

Le 16 novembre prochain marquera la fin de l’ère des tickets et abonnements en papier à la Sibra. Ce lundi-là, les titres de transport en commun (bus, car, train) seront remplacés par des cartes et des billets dits «intelligents», sans contact et rechargeables. Ce sera le déploiement, sur l’ensemble du réseau annécien, du système de billettique Oùra porté par la Région.

Quels sont les avantages pour les usagers ?

– Tous les titres de transport sont réunis sur une même carte.

– Les nouveaux supports, cartes comme billets, sont rechargeables.

– La validation des titres se fait sur une borne sans contact et sur un simple bip.

– En cas de perte ou de vol, la carte peut être instantanément rendue inutilisable et les titres de transport restant dessus seront récupérés.

– Il sera possible de créer sa carte ou de la recharger via la nouvelle boutique en ligne que va bientôt lancer la Sibra.

Quels intérêts pour la Sibra ?

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Marie-Claude Dupuis : « Nous voulons lancer un transport aérien compétitif du VTC premium en 2030 »

journaldunet.net - Jamal El Hassani

Publiéé le 3 novembre 2020

La directrice stratégie, innovation et développement de l'opérateur de transport présente son plan pour relier 10 grands pôles d'Ile-de-France avec des services de transport par drone.

JDN. La RATP veut créer une filière de drones de transport de personnes (VTOL) en Ile-de-France avec le groupe ADP et le soutien de la région. En quoi consiste cette initiative ?

Marie-Claude Dupuis. Au niveau mondial, on compte plus de de 200 projets de VTOL de transport de personnes et autonomes. Il y a un vrai engouement de la part des entreprises et des investisseurs au sujet de cette nouvelle forme de mobilité. Mais l'enjeu de ce secteur est son intégration en milieu urbain dense. Airbus, qui travaille sur ses propres modèles de VTOL, est venu nous en parler il y a  plus d'un an et nous avons commencé à travailler à trois avec ADP sur une feuille de route qui doit nous permettre d'offrir des services de mobilité aérienne à l'horizon 2030. D'ici là, la première étape sera de créer une plateforme d'expérimentation à l'aérodrome de Pontoise (Val-d'Oise), où des tests de vol seront réalisés à partir de juin 2021 par notre premier partenaire, la start-up allemande Volocopter, qui développe des VTOL. L'objectif est de présenter une démonstration opérationnelle pour les Jeux olympiques de 2024.

Pour nous aider concevoir ce projet, nous avons également lancé un appel à manifestations d'intérêt avec ADP et Choose Paris Region, qui prendra fin le 13 novembre. Nous recherchons des solutions dans cinq domaines : les véhicules, les infrastructures et l'énergie, les services en lien avec le Maas, l'intégration dans l'espace aérien ainsi que l'acceptabilité.

Quels types de trajets espérez-vous développer avec cette nouvelle offre ?

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Transports en commun : les métamorphoses du Covid ?

franceculture.fr - Le journal de l'éco par Xavier Martinet

Publié le 5 novembre 2020

L’Etat préoccupé par le financement des transports en commun : la fréquentation plonge et les opérateurs réduisent de nouveau le trafic. Si la crise se prolonge, faudra-t-il inventer un nouveau « modèle économique » pour les transports publics ?

Il pourrait y avoir « un problème », avertissait fin septembre le Ministre des Transports Jean-Baptiste Djebarri  : avec la crise, les opérateurs de bus, métros, trams ou trains se retrouvent étranglés entre l’effondrement de la fréquentation (et billetterie), et « des coûts fixes élevés et peu variables » rappelle Denis Fainsilber dans Les Echos. 

Une urgence : réduire le trafic, SNCF en première ligne. Dès aujourd’hui l’entreprise retire 70 % de ses TGV et ne concernant les Intercités, ne laisse qu’un mince filet d’une à deux liaison par jours. Les régions qui financent les TER ralentissent aussi : depuis lundi, 2/3 des trains circulent dans le Grand-Est. 

Et le ministre prévient : il faudra avoir « une discussion rationnelle, froide, lucide » avec les régions et réduire le trafic ne suffira peut-être pas à la SNCF pour tenir une longe crise, alors qu’elle est déjà sous pression financière et du gouvernement pour se restructurer : 

Depuis 2018, ce sont 40 milliards d'euros que l’Etat a injectés - ou s’est engagé à le faire, pour reprendre la dette ferroviaire et éponger le premier confinement de la SNCF. Quant aux financeurs, le gouvernement vient d'allouer in extremis dans la Loi de Finance 750 M € d’avances remboursables pour les transports publics des collectivités, la moitié du manque à gagner des opérateurs régionaux. 

Sauvetage financier des transports d’Île de France ?  

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Maroc : la Banque mondiale octroie 150 millions USD pour l’amélioration de la mobilité urbaine

agenceecofin.com

Publié le 5 novembre 20200

Au Maroc, la Banque mondiale fait un prêt additionnel de $150 millions dans le cadre du plan décennal de transport urbain, qui devrait bénéficier à 130 000 citadins d'ici 2024 . Cet apport entend soutenir l’arrimage du programme aux nouveaux enjeux de mobilité, malgré la Covid-19.

 Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale (BM) a approuvé, mardi 3 novembre, un financement additionnel de 150 millions de dollars au titre du programme de transport urbain au Maroc démarré en 2015, en vue de l’amélioration des transports publics et de la mobilité urbaine.

Ce financement additionnel a pour finalité d’adapter le programme aux nouvelles priorités en matière de mobilité – y compris celles consécutives à la pandémie de Covid-19 – et d’en étendre la portée.

L’accent sera mis sur la création et l’opérationnalisation d’une structure centrale dédiée chargée de superviser les transports publics et les investissements locaux, pour renforcer la performance du secteur, explique la Banque.

La nouvelle tranche de financement prévoit, par ailleurs, d’introduire des mécanismes de supervision pour rationaliser la gouvernance du secteur. De plus, des couloirs de transport, essentiellement sous la forme de Bus à haut niveau de service, seront créés pour améliorer l’accès des populations aux opportunités économiques et aux services sociaux.

Cet ambitieux programme, adossé sur à la stratégie nationale pour la mobilité urbaine, a été élaboré par le ministère de l’Intérieur et (à l’échelon local) par les communes, avec le soutien de la Banque mondiale. A sa clôture en juin 2024, on estime que le nombre total de bénéficiaires quotidiens devrait atteindre 130 000 citadins contre 40 000 actuellement.

Soulignons qu’en plus de ce prêt, la BM a mobilisé une assistance technique pour définir les principales mesures à introduire afin de renforcer la gouvernance du secteur et de disposer d’un système de transport urbain accessible dans les grandes villes du royaume.

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Cybercriminalité

Selon le FBI, les cyberattaques contre les hôpitaux risquent encore d’augmenter

presse-citron.net - Jean-Yves Alric

Publié le 1 novembre 2020

Le problème est d’autant plus sérieux que des vies humaines sont en jeu.

Il y a quelques semaines seulement, Universal Health Services, le géant américain qui gère de très nombreux établissements médicaux, a été victime d’une cyberattaque. Frappée par le ransomware Ryuk, l’entreprise précisait alors que 250 hôpitaux et cliniques américains ont été impactés. Loin d’être isolée cette offensive s’inscrit dans un contexte où les établissements hospitaliers sont de plus en plus ciblés par les cybercriminels.

Ce phénomène touche même la France et le CHU de Rouen ainsi que les hôpitaux de Paris ont été ciblés récemment. Dès novembre 2019, un rapport de la société Malwarebytes alertait sur ce phénomène. Il indiquait une augmentation de 60 % du nombre de détections de logiciels malveillants dans les hôpitaux au cours des neufs derniers mois, ainsi qu’une hausse de 82 % au cours du troisième trimestre.

En mettant en danger des vies humaines, une ligne morale est franchie

Depuis lors, les choses ont encore empiré à la faveur de la pandémie de covid-19 qui place les établissements de soin en première ligne. Cette semaine, le FBI, la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency et ministère de la santé américain ont même souhaité tirer la sonnette d’alarme. Selon eux, il « existe une menace de cybercriminalité accrue et imminente pour les hôpitaux et les prestataires de soins de santé américains ».

La note précise que le trojan Trickbot et le ransomware Ryuk sont les principaux outils utilisés lors des cyberattaques. Les pirates ont conscience du fait que les hôpitaux n’ont souvent pas d’autre choix que de payer pour préserver la santé des patients. Dès lors, les prix demandés ont tendance à s’envoler. Selon Wired, la moyenne des ransomwares serait passée de 5000 dollars en 2018 à 200 000 dollars cette année.

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5G

La 5G est-elle réellement la pierre angulaire de la relance de l’industrie française ?

techniques-ingenieur.fr - Chaymaa Deb dans Informatique et numérique

Publié le 4 novembre 2020

Au sein du gouvernement et dans plusieurs entreprises françaises, l'arrivée de la 5G est attendue de pied ferme. Les partisans du déploiement de ce nouveau réseau affirment qu'il sera bénéfique pour la santé de l'industrie française, favorisant ainsi sa compétitivité face à la concurrence étrangère. Pourtant, cet avis n'est pas partagé par tous les patrons du secteur.

Pour Cédric O, il est urgent que la France voie la 5G déployée sur son territoire, au nom de la santé de l’industrie française. « Tout le monde estime que pour la reprise économique, pour la ré-industrialisation, pour l’avenir de l’industrie, c’est extrêmement important », a déclaré le secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications, le 29 septembre, sur l’antenne d’Europe 1.

L’autre argument avancé par Cédric O, en faveur de ce réseau de nouvelle génération, concerne la compétitivité des entreprises sur les marchés internationaux. « Pour pouvoir développer l’industrie en France, on a besoin de la 5G. Attendre, c’est laisser les usines s’implanter ailleurs », affirme le secrétaire d’État. Son impatience s’explique par le fait que plusieurs pays à travers le monde ont adopté la 5G au cours des derniers mois. En effet, en Europe, la 5G a récemment fait son entrée dans plusieurs pays dont l’Allemagne, la Bulgarie, l’Irlande, la Suède et la République Tchèque, selon l’Observatoire européen de la 5G.

« Une solution de connectivité particulièrement adaptée à l’industrie du futur »

Bien qu’elle ne soit pas encore commercialisée, des premières tentatives d’utilisations industrielles de la 5G sont déjà effectuées sur le territoire national. Fin septembre, Schneider Electric a annoncé avoir testé le réseau indoor conçu par Orange dans son usine de Vaudreuil (Eure). Pour cela, l’entreprise spécialisée dans la gestion de l’énergie a installé cinq antennes, mises au point par l’opérateur français, dans ses locaux. Le réseau a été utilisé pour deux cas d’usage : la réalité augmentée liée aux activités des techniciens de maintenance, et la mise en place d’un robot de téléprésence pour les ventes à distance. L’objectif de cette opération a été d’évaluer si la 5G permettait de répondre aux exigences de fiabilité nécessaires à l’industrie.

Les résultats obtenus semblent concluants. « L’expérimentation menée à Vaudreuil valide de nombreux cas d’usage de la 5G. Cela démontre que la fiabilité, l’évolutivité et la durabilité de la 5G en font une solution de connectivité particulièrement adaptée à l’industrie du futur », atteste dans un communiqué Jean-Pascal Tricoire, président-directeur général de Schneider Electric. De son côté, Stéphane Richard, président-directeur général d’Orange, rappelle que les avantages de ce nouveau réseau sont multiples pour les entreprises. « La 5G est une innovation de rupture, une technologie dont les applications industrielles sont nombreuses. Parmi elles se trouvent la maintenance prédictive, ou encore le traitement de vidéos en temps réel », déclare-t-il dans un communiqué.

« Une ineptie totale »

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