Revue de Presse ADCET n° 45 - Lundi 14 octobre 2019

Revue de Presse ADCET n° 45 - Lundi 14 octobre 2019

• Transports

Transports ferroviaires : présentation de la nouvelle gamme tarifaire normande

Presse Région Normandie - Nomad
Publié le 7 octobre 2019

Jean-Baptiste Gastinne, Vice-Président de la Région Normandie chargé des transports, et Nathalie Liot, Directrice Marketing et Relation Client SNCF Lignes Normandes, ont présenté, lundi 3 octobre, au conseil régional, à Rouen, la nouvelle gamme tarifaire ferroviaire normande étendue jusqu’à Paris.

« L’arrivée progressive des nouveaux trains Bombardier OMNEO en 2020 s’accompagne de la mise en oeuvre d’une nouvelle gamme tarifaire en vigueur jusqu’à Paris. La Région, en tant qu’Autorité Organisatrice pour les différents services de transport en Normandie et prochainement responsable de la gouvernance des cinq lignes Intercités normandes, travaille pour proposer des services de transport de qualité en adéquation avec les besoins des voyageurs et des territoires » déclare Jean-Baptiste Gastinne.

La gamme TEMPO mise en service en janvier 2018 sur le territoire normand avec notamment des avantages tarifaires pour tous et notamment pour les moins de 26 ans, répond aux besoins des voyageurs. Aussi la gamme proposée en 2020 propose les mêmes produits en Normandie, et des nouveautés pour les trajets de et vers Paris.

Les nouveautés

- Une carte unique ATOUMOD pour voyager en train en Normandie et vers Paris ;

- A partir du 1er janvier 2020, la gamme tarifaire TEMPO sera valable jusqu’à Paris. Cette nouveauté s’adresse à tous les voyageurs :

Lire la suite : https://www.normandie.fr/transports-ferroviaires-presentation-de-la-nouvelle-gamme-tarifaire-normande

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TRANSPORT : La STAS porte plainte contre un groupe Facebook

activradio.com - Marie Dufour

Publié le 10 octobre 2019

Ce groupe privé dénonce la présence des contrôleurs sur le réseau social et compte 3 500 membres.

Une affaire qui date de 2017

« C’est hors la loi » explique Eric Laisne, responsable communication de la STAS (transports urbains de Saint-Etienne Métropole). « Le fait de signaler la présence des contrôleurs par un exploitant de transport public est puni de 2 mois d’emprisonnement et 3 750 euros d’amende ». L’affaire date de 2017 : à l’époque, l’entreprise approche les créateurs de cette page pour leur signaler l’aspect illégale de leur démarche. Une procédure amiable est très vite engagée, en vain. La STAS décide donc de passer à la vitesse supérieure en portant plainte. L’information a été révélée par la Tribune le Progrès ce mercredi 10 octobre dans son édition locale.

30 000 PV dressés en 2018

Lire la suite : http://www.activradio.com/transport-la-stas-porte-plainte-contre-un-groupe-facebook/

• Services publics

Ces communes qui réinventent les services de proximité

lagazettedescommunes.fr - Laura Fernandez Rodriguez
Publié le 4 octobre 2019

Pour faire face à un sentiment d’abandon accentué par la dématérialisation, certains territoires tentent de redéployer des services de proximité. Des acteurs locaux cherchent à préserver ce qui peut être considéré comme un service de base rendu à la population. Il est possible de développer des dispositifs alternatifs incluant de nouveaux acteurs, sous réserve que cela ne brouille pas la lisibilité de l’action publique.

Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/641948/ces-communes-qui-reinventent-les-services-de-proximite/#utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=2019-10-04-quotidien&email=Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.&xtor=EPR-2

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Tarification des services publics : le vrai coût de la restauration scolaire

lagazettedesccommunes.com - Gaëlle Ginibrière
Publié le 9 octobre 2019

Lancé cet été, l'Observatoire des tarifications des services publics du groupe de travail de l'Afigese, consacré à la tarification et aux calculs des coûts, vient de publier sa première note de conjoncture tarifaire sur la restauration scolaire, l'accueil du soir et l'accueil de loisirs sans hébergement (ASLH).

Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/642977/tarification-des-services-publics-le-vrai-cout-de-la-restauration-scolaire/

• Cybersécurité

Bercy vous permet de tester en ligne votre cybersécurité

maddyness.com - Avec AFP
Publié le 8 octobre 2019

Bercy a publié un test en ligne de cybersécurité pour les PME et entreprises moyennes, qui permet aux dirigeants de procéder de façon simple à quelques vérifications de base sur la sécurité de leur installation informatique.

Solidité des mots de passe, fraicheur du navigateur, fuite des informations personnelles, ou encore synthèse à 360° des risques d’une PME… En plein mois de la cybersécurité, le service du HFDS (haut fonctionnaire de défense et de sécurité) de Bercy met à disposition de toutes les entreprises françaises sa gamme d’outils de diagnostic des pratiques courantes les plus impactantes pour lutter contre les cyberattaques.

Le test, très rapide, est accessible via le site du ministère de l’économie. En tout, ce sont six outils qui sont proposés aux entrepreneurs. Mis en ligne fin septembre et testé notamment par les membres du réseau des directeurs financiers et contrôleurs de gestion (DFCG), celui-ci permet également, en cas d’incident de cybersécurité, de faire un signalement et d’être mis en relation avec des prestataires spécialisés

Selon le DFCG, sur 300 entreprises testées, 25% n’avaient pas leur navigateur à jour, 82% avaient une très mauvaise protection de leur domaine de messagerie, 67% des entreprises avaient une politique de sauvegarde des données et des serveurs inadaptée et plus de 50% avaient des mots de passe se cassant très facilement. 

Ça n’est pas la première année que Bercy lance une telle opération. L’an dernier, le ministère de l’Economie et des Finances avait déjà dévoilé trois outils d’aide au diagnostic pour aider les entreprises à faire le point sur leur niveau de sécurité.

Source : https://www.maddyness.com/2019/10/08/bercy-test-cybersecurite/

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Maroc

La lutte contre la cybercriminalité dans les priorités de la DGSN

fr.Hespress.com
Publié le 6 octobre 2019

Composées de commissaires et officiers de police, les équipes de lutte contre la cybercriminalité de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) regroupent des enquêteurs et experts qui veillent à la sécurité de l’espace virtuel.

Convoité par environ 23,1 millions d’internautes marocains connectés, selon les données de l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) publiées cette année, l’espace virtuel est devenu aussi un hameçon utilisé par des malfaiteurs pour commettre différents délits, crimes et cyberattaques.

La cybercriminalité constitue l’ensemble des infractions liées aux technologies de l’information et de la communication, réparties en deux catégories à savoir les infractions liées directement aux technologies de l’information et de la communication (TIC), les attaques, les intrusions contre les systèmes de traitement automatisé des données, et les formes d’infractions classiques mais facilitées par les TIC, notamment les escroqueries sur internet, extorsions, cyber-terrorisme, usurpation de l’identité, menaces sur internet, diffamation ou encore injures sur internet.

Lire la suite : https://fr.hespress.com/99453-la-lutte-contre-la-cybercriminalite-dans-les-priorites-de-la-dgsn.html

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Cyberthreat Handbook : Thales et Verint présentent leur « who’s who » des hackers

thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 7 octobre 2019

  • Dans notre monde hyperconnecté, analyser et comprendre les cybermenaces est devenu capital afin de mieux les détecter et s’en protéger. Et c’est là tout l’objectif du CyberThreat Handbook de Thales et Verint, via des fiches profils détaillées de groupes d’attaquants particulièrement significatifs.
  • Au terme d’un an d’enquête, les équipes d’analystes des deux leaders de la cybersécurité ont dégagé les profils détaillés d’une soixantaine de groupes de cyberattaquants majeurs, en analysant 490 campagnes d’attaques dans le monde entier.
    A l’occasion de la diffusion de leur CyberThreat Handbook, Thales et Verint dévoilent leurs constats sur les techniques utilisées, les secteurs les plus visés, les motivations des hackers et leurs recommandations pour les années à venir.

Alimentées par leurs technologies et solutions de pointe en cybersécurité, Thales et Verint présentent leur « Cyberthreat Handbook », un rapport à l’envergure inédite, dans le but d’étudier et de catégoriser les groupes de cyberattaquants majeurs, allant  des cybercriminels, des cyberterroristes et des cyberactivistes aux Etats nations. Dans le cadre d’un partenariat stratégique pour développer des technologies de pointe et complètes pour l’analyse technique de la menace, les équipes de Thales et Verint dévoilent un panorama inégalé des principales cybermenaces,  en décrivant très précisément le mode opératoire, les motivations et les secteurs touchés par une soixantaine de groupes emblématiques, grâce à des analyses de multiples sources de renseignement telles que le web ou l’analyste technique de la menace.

Dans un monde où la cybersécurité prend de plus en plus de place, Thales et Verint ont à cœur de mieux connaitre les cyberattaquants et leurs techniques, afin de contribuer efficacement à leur détection et anticipation autant dans les secteurs privés que publics. Or, connaitre son ennemi peut s’avérer complexe dans un monde de dissimulation, où les menaces sont extrêmement diversifiées.

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/group/journaliste/press-release/cyberthreat-handbook-thales-et-verint-presentent-leur-whos-who-des

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Sécurité informatique : le gendarme bancaire européen tire la sonnette d'alarme

lesechos.fr - Romain Gueugneau
Publié le 11 octobre 2019

Les risques de piratage et d'incidents informatiques vont croissant, à mesure que les banques numérisent leurs services. L'externalisation et la bascule vers le cloud augmentent aussi la probabilité d'accidents. La Banque centrale européenne prend de plus en plus au sérieux ces risques.

Les risques liés à la sécurité informatique sont pris de plus en plus au sérieux dans les couloirs de la Banque centrale européenne (BCE). Dans  la cartographie des risques 2020 , publiée ce lundi, le superviseur bancaire pointe « la cybercriminalité et les carences informatiques » comme « l'un des trois principaux facteurs de risque auxquels le système bancaire de la zone euro devrait faire face au cours des trois prochaines années », juste après « les défis économiques et politiques en matière de soutenabilité de la dette » et la « résilience du modèle d'activité des banques » dans un environnement de taux bas et de concurrence exacerbée.

Lire la suite : https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/securite-informatique-le-gendarme-bancaire-europeen-tire-la-sonnette-dalarme-1139226

•RGPD

22 000 communes françaises ne respectent pas le RGPD

Jamal El Hassani
JDN

Selon la Cnil, plus de 60% des communes sont dans l'illégalité, car elles n'ont pas nommé de DPO. Aucune procédure n'a été engagée par l'autorité administrative, qui prône l'accompagnement.

Le RGPD est entré en vigueur en mai 2018, soit il y a bientôt un an et demi. Mais pour la majorité des collectivités françaises, c'est comme si rien n'avait changé. D'après des données fournies par la Commission nationale informatique et libertés (Cnil) au JDN, 22 257 communes françaises sur environ 35 000 n'ont pas encore nommé de délégué à la protection des données (DPO). La nomination d'un DPO, nouvelle obligation du RGPD, est pourtant le premier pas vers une mise en conformité, puisque c'est cette personne qui doit mener toute la politique de protection des données personnelles d'une organisation et devenir le point de contact de la Cnil en la matière.

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/economie/services/1446872-collectivites-rgpd-cnil-22000/

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RGPD : les rappels à l’ordre de la CJUE

itsocial.fr - Philippe Richard
Publié le 8 octobre 2019

Dans un arrêt, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) rappelle que les cookies ne peuvent être installés que si les internautes ont donné leur consentement explicite, en conformité avec le texte européen. Cette instance a également rappelé que les sites qui affichent des boutons « J’aime » de Facebook sont co-responsables du traitement des données.

Un an après l’entrée en application du RGPD, la gestion des cookies fait toujours tousser les spécialistes du marketing. Et ils digèrent mal l’arrêt, daté du 1er octobre, la Cour de justice de l’Union européenne.

La CJUE rappelle que « le placement de cookies requiert le consentement actif des internautes ». La fameuse case précochée ou les incitations à accepter les cookies contre un bon d’achat de 10 € par exemple sont deux pratiques qui ne respectent pas le règlement européen.

L’opt-out est illégal

Lire la suite : https://itsocial.fr/enjeux/securite-dsi/reglementation/rgpd-rappels-a-lordre-de-cjue/