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Revue de Presse ADCET n° 29 - Lundi 20 Mai 2019
TRANSPORTS
Les prochaines étapes des bus amiénois
premium.courrier-picard.fr - David Vandevoorde
Publié en ligne le 12 mai 2019
Le lancement du nouveau réseau de bus, ce samedi 11 mai, ne signifie en rien qu’il est terminé. Le point sur les retards et les changements à venir.
Il y a eu de gros coups de stress ce samedi 11 mai lors de la mise en service du nouveau réseau de bus. Un déverminage qualifié d’incontournable par les dirigeants de Keolis, gestionnaire du réseau pour le compte d’Amiens Métropole. Un vrai foutoir, pour des élus de l’opposition, dont les conseillers municipaux Thomas Hutin (Écologiste) et Laurent Beuvain (PCF), qui mitraillent en règle sur les réseaux sociaux. Il est de toute façon évident que le chantier n’est pas achevé. Voici d’ailleurs le topo.
1 Pannes et retards
Le nouveau réseau – quatre lignes BHNS dont trois avec bus électriques Nemo et 28 lignes de proximité – demande 200 nouveaux quais de bus. Beaucoup n’ont pas encore été totalement achevés : il manque notamment les écrans d’informations connectés. JC Devaux est clairement en retard. Il reste aussi plusieurs des 75 distributeurs automatiques de tickets à installer.
Autre retard : le raccordement des feux tricolores à la fibre, afin de les connecter au PC circulation d’Amiens Métropole. Et permettre aux bus d’être prioritaires aux carrefours. Le retard est conséquent. La fibre est loin de passer partout. La gestion des feux s’avère aussi compliquée, avec des parties clignotantes (CHU) et des soucis de synchronisation : deux Nemo se sont retrouvés bloqués face à face samedi dans la traversée de la Cité scolaire ! Quant à la panne d’une potence de recharge rapide à Dury, elle a été réparée samedi soir.
2 Billétique et tarifs
Lire la suite : https://premium.courrier-picard.fr/id9632/article/2019-05-12/les-prochaines-etapes-des-bus-amienois
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MALI
Mali : Ministère des Transports et de la Mobilité Urbaine : Fin de la grève de faim des cheminots et libération des emprises des rails, et l’espoir renaît !
maliactu.net
Publié le 12 mai 2019
désormais officiel, certains cheminots qui observaient une grève de la faim depuis 143 jours, viennent de mettre fin à leur mouvement. Par la même occasion, ils ont libéré de façon définitive les emprises des rails. C’était ce samedi matin au cours d’une cérémonie présidée par le Ministre des Transports et de la Mobilité Urbaine, Mr Ibrahima Abdoul LY, des membres du cabinet dudit département, et de plusieurs autres personnalités.
C’est le porte parole du Groupement des syndicats et associations des cheminots du Mali qui a annoncé de façon officielle la levée du mot de grève de la faim. Une annonce suivie par une acclamation massive, signe de la joie et de l’entente qui règne désormais au sein des cheminots. Le porte parole du Groupement des syndicats et associations des cheminots du Mali poursuit en ces termes : ”Merci Mr le ministre pour cette initiative, celle de nous accorder votre toute première audience juste après votre passation avec le ministre sortant. Nous ne sommes pas restés indifférent à ce signe de considération de votre part.”
Les emprises des rails qui étaient occupées depuis le déclenchement dudit mouvement, ont été aussi libérées.
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Lyon: A quoi pourrait ressembler le projet de RER défendu par les centristes ?
20minutes.fr - Caroline Girardon
Publié le 13 juin 2019
TRANSPORTS L'UDI vient de lancer un sondage sur internet et compte exploiter les futurs résultats pour mettre la pression sur les collectivités territoriales en vue des prochaines élections
• L’UDI de Lyon lance un sondage en ligne au sujet de l’un des projets qu’elle portera pendant la campagne des municipales : un RER à la lyonnaise.
• Il ne s’agit pas de créer un nouveau réseau mais de regrouper et renforcer les lignes déjà existantes.
• Un projet qui passe par un rapprochement entre la SNCF et les TCL.
Les élections municipales approchent à grand pas. A quelques mois de l’échéance, l’UDI de Lyon lance un sondage en ligne sur l’un des projets, qui lui tient à coeur, et qu’elle mettra en avant lors de la campagne électorale : le projet d’un « RER à la lyonnaise ». Un projet qu’elle espère voir intégré dans le cahier des charges pour la désaturation du Nœud ferroviaire lyonnais.
L’élu centriste Christophe Geourjon y travaille depuis plusieurs années, persuadé qu’il suffit d’un peu de bonne volonté pour mettre le projet sur les rails. L’objectif, il ne s’en cache pas : « mettre la pression sur les collectivités territoriales » à travers ce sondage.
680.000 salariés dans la Métropole, 180.000 habitent en dehors de l’agglomération
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/societe/2513007-20190513-lyon-quoi-pourrait-ressembler-projet-rer-defendu-centristes
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Faches-Thumesnil Pourquoi le conseil municipal ne délibérera pas sur le SDIT
lavoixdunord.fr - Carine Baussière
Publié le : 14 mai 2019
Alors que beaucoup de communes se prononcent actuellement sur le schéma directeur des infrastructures de transport (SDIT), le conseil municipal de Faches-Thumesnil reste au point mort. La politique de transports métropolitains est évidemment une priorité mais il n’y aura pas de délibération sur le sujet à neuf mois d’élections qui peuvent tout chambouler.
À l’issue d’une réunion tenue lundi soir avec son groupe majoritaire, Nicolas Lebas, le maire, a précisé sa position. Concrètement, le SDIT arrive trop tard dans le mandat, doit être voté trop vite et ne résoudra rien puisqu’il risque d’être remis à plat dans à peine neuf mois, après les élections municipales et communautaires.
« Si c’est un concours de bonnes idées, il fallait le lancer au début du mandat. Ça me fait davantage penser au Lépine qu’à un débat structuré. »
« Aujourd’hui, au sein de la MEL, nous devrions être en train de constater l’achèvement de travaux décidés lors du précédent mandat. Au lieu de ça, on est en train de se dire qu’on n’a pas fait grand-chose en termes de transports. Alors on demande aux communes si elles ont des choses à dire », résume l’élu, qui rappelle que les compétences des transports urbains n’ont rien de municipal, elles relèvent de la communauté urbaine. « Si c’est un concours de bonnes idées, il fallait le lancer au début du mandat. Ça me fait davantage penser au Lépine qu’à un débat structuré. »
À l’issue d’une réunion tenue lundi soir avec son groupe majoritaire, Nicolas Lebas, le maire, a précisé sa position. Concrètement, le SDIT arrive trop tard dans le mandat, doit être voté trop vite et ne résoudra rien puisqu’il risque d’être remis à plat dans à peine neuf mois, après les élections municipales et communautaires.
« Si c’est un concours de bonnes idées, il fallait le lancer au début du mandat. Ça me fait davantage penser au Lépine qu’à un débat structuré. »
« Aujourd’hui, au sein de la MEL, nous devrions être en train de constater l’achèvement de travaux décidés lors du précédent mandat. Au lieu de ça, on est en train de se dire qu’on n’a pas fait grand-chose en termes de transports. Alors on demande aux communes si elles ont des choses à dire », résume l’élu, qui rappelle que les compétences des transports urbains n’ont rien de municipal, elles relèvent de la communauté urbaine. « Si c’est un concours de bonnes idées, il fallait le lancer au début du mandat. Ça me fait davantage penser au Lépine qu’à un débat structuré. »
Lire la suite : https://www.lavoixdunord.fr/582908/article/2019-05-14/pourquoi-le-conseil-municipal-ne-deliberera-pas-sur-le-sdit
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Transports scolaires dans la Vienne : les points clés de la rentrée 2019
lanouvellerepublique.fr
Publié le 15/05/2019 à 04:55 | Mis à jour le 15/05/2019
Les inscriptions en ligne pour l’année scolaire 2019-2020 auront lieu à partir du samedi 1er juin prochain. Les frais sont offerts jusqu’au 20 juillet.
Depuis la réorganisation territoriale liée à la loi NOTRe, les transports scolaires sont passés du Département à la Région. Début mars 2019, les élus du conseil régional de Nouvelle-Aquitaine ont, pour la première fois, opté pour l’harmonisation des tarifs dans l’ensemble des douze départements de la région, plutôt que la gratuité jugée trop coûteuse.
Les points clés de la rentrée scolaire 2019
La tarification harmonisée. Elle est basée sur la prise en compte du quotient familial selon cinq tranches pour le calcul du montant de la part familiale due pour les élèves. La participation des familles sera comprise entre 30 et 150 € à l’année et par élève. La Région proposera prochainement sur son site transports.nouvelle-aquitaine.fr un calculateur de tarifs qui permettra aux parents de connaître instantanément le coût du transport de leur enfant.
Qui peut bénéficier de la participation aux transports scolaires ? Les élèves ayants droit quel que soit leur statut (externe, demi-pensionnaire, interne) résidant dans la région Nouvelle-Aquitaine (hors périmètre des communautés d’agglomération), domiciliés à plus de 3 km de l’établissement scolaire fréquenté. Toutefois, à titre transitoire, cette condition ne s’appliquera qu’à compter de l’année scolaire 2022-2023. Jusqu’à cette date, les différentes règles établies par les Départements continueront de régir la distance minimale entre le domicile et l’établissement scolaire, soit 1 km en primaire et 3 km en secondaire dans la Vienne. Les élèves résidant à une distance en dessous de ces paliers pourront toutefois s’inscrire aux transports scolaires moyennant le paiement d’une tarification majorée.
Lire la suite : https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/transports-scolaires-dans-la-vienne-les-points-cles-de-la-rentree-2019
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Les transports de demain dans l'agglomération de Limoges
france3-regions.francetvinfo.fr - Noëlle Vaille
Publié le 15 mai 2019
Limoges Métropole planche actuellement sur son nouveau Plan de déplacements urbains (PDU). Objectif : restructurer et moderniser les modes transports et de stationnement dans l’agglomération de Limoges pour les prochaines années.
Limoges Métropole planche actuellement sur son nouveau Plan de déplacements urbains (PDU). Objectif : restructurer et moderniser les modes transports et de stationnement dans l’agglomération de Limoges pour les prochaines années.
Comment faire cohabiter transports en commun, vélos, piétons, tout en réduisant le nombre de voitures en ville ?
C’est tout l’enjeu du PDU. Le plan de déplacements urbains est un programme obligatoire pour les villes de plus de 100 000 habitants.
A Limoges, le dernier PDU date de 2003. Limoges Métropole est donc en train de mettre en place le prochain programme qui établira pour les 10 à 15 années à venir l’organisation des transports, la circulation et le stationnement dans l’agglomération.
Un enjeu important et un vrai défi quand on sait qu’aujourd’hui, la voiture représente 62% des déplacements individuels dans la ville de Limoges.
Pour organiser une mobilité durable, respectueuse de l’environnement, mais aussi des exigences économiques et sociales, l’agglomération réfléchit actuellement à plusieurs projets complémentaires :
• La mise en service de deux nouvelles lignes de bus à haut niveau de service (BHNS) : véritable « colonne vertébrale » du nouveau réseau de bus, ces 2 lignes ralieront à partir de 2023, les principaux pôles d’activité du territoire, en bénéficiant de voies dédiées et de priorité aux carrefours.
• La réorganisation du réseau de bus : le réseau de bus dessert 20 communes, pour un trafic annuel de plus de 5,6 millions de kilomètres. L’objectif est de monter en puissance ce trafic, tout en l’intégrant aux nouvelles lignes BHNS.
Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/haute-vienne/limoges/transports-demain-agglomeration-limoges-1670079.html
TRANSPORTS GRATUITS
Les transports en commun gratuits, ça roule !
reporterre.net - Sandrine Lana (Reporterre)
Publié le 13 mai 2019
L’idée de transports collectifs gratuits pour tous fait son chemin. Alors qu’une mission du Sénat s’intéresse à la question et que la loi sur les mobilités arrive au Parlement, Reporterre a observé les expériences de Dunkerque et d’Aubagne : bilan positif.
Et si la gratuité était un outil permettant le report modal de la voiture aux transports en commun et donc favorisant la transition écologique et améliorant la santé publique (par réduction d’émissions de particules fines notamment) ? Des collectivités locales se posent la question, d’autant plus que la gratuité des transports favorise une mobilité équitable entre tous les habitants. Cependant, aujourd’hui en France, seuls 2 % de la population desservie par des transports en commun bénéficient de la gratuité totale.
En septembre 2018, la communauté urbaine de Dunkerque (la CUD, une agglomération de 200.000 habitants) a été la dernière en date de la trentaine de territoires français à adopter la gratuité sans condition des transports urbains. Cette partie du département du Nord est marquée par une forte activité industrielle (centrale de Gravelines, port de commerce…) et une partie de la population est précarisée. Avant la gratuité, les politiques de transports étaient déjà favorables aux plus fragiles avec des tarifs solidaires fixés en fonction des revenus. Le prix de l’abonnement mensuel pouvait ainsi baisser jusqu’à 7,20 €. « Nous avons été surpris lors des premières réunions publiques avant la gratuité car les gens les plus précaires nous disaient ne pas prendre le bus au motif que c’était trop cher. Il existait en fait une vraie barrière dans le fait de prendre un abonnement mensuel ou annuel. En définitive, les plus démunis étaient ceux qui payaient le plus quand ils utilisaient les transports en commun en achetant des billets à l’unité », explique Xavier Dairaine, directeur adjoint voirie et mobilité à la CUD et chef de projet Dk’Plus de mobilité. La gratuité a poussé des personnes à monter dans les transports en commun.
La gratuité, un acte de non-discrimination et de solidarité
Lire la suite : https://reporterre.net/Les-transports-en-commun-gratuits-ca-roule
MOBILITE
Taxis volants : le CityAirbus s’envole (presque)
larevuedestransports.fr
Publié le 13 mai 2019 La rédaction
Le CityAirbus, aéronef sans pilote, conçu et développé par Airbus, entamera bientôt sa phase d’essais en vol. Le constructeur aéronautique avait déjà réalisé, le 3 mai, des essais au sol concluants. Afin de se démarquer de la concurrence, qui propose des aéronefs biplaces, le CityAirbus propose 4 places assises. Un produit qui souhaite évoluer en adéquation avec les problématiques de mobilité urbaine.
Une phase de test réussie
Le 3 mai dernier, le constructeur aéronautique Airbus, à l’aide de sa filiale Airbus Helicopter, a réalisé des tests de décollages et atterrissages verticaux. Le prototype a quitté le sol de quelques centimètres sur le site d’essais au sol de Donauwörth, en Allemagne.
Les tests ont été concluants, puisque Bruno Even, le directeur général d’Airbus Helicopter, a déclaré sur son compte twitter : “Félicitations aux équipes d’Airbus et de Siemens qui ont effectué le premier décollage réussi du démonstrateur CityAirbus à Donauwörth. Prochaine étape : les essais à Manching !”
Un prototype unique
Airbus Helicopter fait face à plusieurs concurrents (dont Boeing, Uber, le chinois Ehang, l’allemand Volocopter etc.). Ces constructeurs travaillent, pour la majorité, sur des appareils biplaces. Pour se démarquer, Airbus développe des appareils pouvant transporter jusqu’à 4 personnes.
Dans une interview accordée au journal spécialisé rotorandwing, Marius Bebesel, directeur du programme, a déclaré : “Un ou deux passagers, ce n’est pas assez pour bâtir un vrai modèle économique. Notre objectif n’est pas de faire voler un jouet, mais un véritable appareil capable de réaliser des missions en milieu urbain“.
Un marché prometteur
Le prototype aéronef, baptisé CityAirbus, a été introduit aux élus et aux citoyens d’Ingolstadt en Allemagne. La ville et le constructeur aéronautique sont en effet partenaires dans le cadre de l’initiative européenne EIP-SCC (villes intelligentes). L’objectif d’un tel projet est de proposer une solution adéquate aux problématiques de mobilités urbaines actuelles, dont le coût s’élèvera, en 2030, en Europe et aux États-Unis, à 300 milliards de dollars par ans.
Le CityAirbus est donc à la foi un défi technologique et urbain. Plus de 120 projets de taxis volants sont aujourd’hui en marche. De quoi promettre, d’ici quelques années, une solution verticale aux problèmes de mobilité urbaine.
Lire la suite : https://©2019/05/13/taxis-volants-le-cityairbus-senvole-presque/?cn-reloaded=1
MONNAIE VIRTUELLE
Belfast crée un porte-monnaie virtuel citoyen
cestpasmonidee.blogspot.com - Patrice Bernard
Publié le 13 mai 2019
Il n'est désormais plus rare de rencontrer, dans le monde entier, des collectivités locales qui créent leur propre monnaie virtuelle afin de développer l'économie de proximité. La ville de Belfast, en Irlande du Nord, les rejoindra bientôt, à travers une approche originale, plus accessible et plus inclusive, et qui vise un objectif plus ambitieux.
Dans le dispositif proposé, actuellement en recherche de partenaires (commerces, associations, artisans…) pour le rendre attractif dès son lancement, plus tard dans l'année, le Belfast Coin n'est, en quelque sorte, que la partie émergée de l'iceberg. En effet, il s'agit simplement d'une unité de compte, directement adossée à la livre sterling, qui sera distribuée aux citoyens en récompense de leurs comportements civiques, et qu'ils pourront utiliser comme moyen de paiement dans les entreprises participantes.
En amont, la municipalité mettra à la disposition des résidents une application mobile, conçue avec le spécialiste anglo-israélien des monnaies locales Colu (déjà connu pour sa contribution à la livre de Liverpool), qui sera donc simultanément un porte-monnaie virtuel, un outil de suivi des actions positives pour l'environnement, la responsabilité sociale, l'économie, la santé… et une plate-forme de gestion de primes, qui fonctionne un peu comme un programme de fidélité classique d'une grande marque de distribution.
Le volet paiement de la solution est résolument conventionnel, puisque l'utilisateur est d'abord invité à introduire les informations de sa carte bancaire, de manière à alimenter (à sa guise) un compte prépayé en livres. En parallèle, il dispose également d'un second compte, libellé, celui-ci, en Belfast Coin, destiné à recevoir les gratifications qu'il collecte. À l'occasion d'un achat, l'application permet de sélectionner celui des deux depuis lequel s'effectue le règlement, leurs devises étant rigoureusement équivalentes.
Chaque dépense ainsi réalisée, obligatoirement dans le périmètre de la ville, seul lieu d'acceptation prévu du moyen de paiement, pourra donner lieu à l'octroi d'une récompense. Et il en sera de même pour les activités – marchandes ou non – signalées au sein de l'application, qui couvriront des domaines aussi variés qu'une séance dans une salle de sport, le recours aux transports en commun pour les déplacements de proximité, une pause café en dehors des heures de pointe, une donation à une bibliothèque…
En évitant de demander à ses citoyens de convertir leurs précieuses livres sterling en une unité « exotique » avant toute utilisation, la municipalité de Belfast élimine un frein probable à l'adoption des monnaies locales. Son modèle s'avère de la sorte suffisamment similaire aux standards du commerce de détail pour être rassurant. Ce faisant elle garde en stricte ligne de mire son ambition première, qui est de favoriser le développement harmonieux de la commune (et certainement pas d'imposer une devise virtuelle).
Lire la suite : http://cestpasmonidee.blogspot.com/2019/05/belfast-cree-un-porte-monnaie-virtuel.html
BILLETTIQUE
Les Lyonnais pourront payer leurs transports sur smartphone et par carte bancaire
ville-rail-transports.com - N. A.
Publié le 14 mai 2019
Le Syndicat des transports de l’agglomération lyonnaise (Sytral) est en train de remettre à plat toute la billettique du réseau TCL : métro, tramway, trolleys, bus, funiculaire, Rhônexpress. « Nos distributeurs et valideurs datent des années 2000, ils sont à bout de souffle, le système n’avait pas été conçu pour absorber la volumétrie actuelle », décrit Jean Chaussade, directeur des Equipements et du Patrimoine du Sytral, l’autorité organisatrice des transports qui investit 50 millions d’euros dans le projet. Chaque jour, 1,7 million de voyages sont réalisés dans les transports en commun lyonnais (chiffres 2018).
Premier acte, en octobre 2019 avec le déploiement du paiement sur smartphone pour les détenteurs d’Android, quel que soit leur opérateur de téléphonie. Les détenteurs d’iPhone attendront, la firme de Copertino n’ayant toujours pas ouvert la puce NFC de ses téléphones portables, sauf pour l’Apple Pay. Les voyageurs occasionnels pourront ainsi télécharger des billets à l’unité sur leurs mobiles. En 2018, les ventes à l’unité ont représenté 54 000 tickets sur le réseau TCL, contre 500 000 abonnements.
Deuxième acte, en 2022 avec la généralisation de l’open payment, c’est-à-dire la possibilité de payer ses titres de transport avec une carte bancaire sans contact, à chaque passage (le tarif sera plafonné au prix du billet journalier en cas de passages multiples au cours de la même journée, correspondances comprises). Le Sytral a lancé un appel d’offres en avril 2019 pour attribuer le marché en fin d’année.
Lire la suite : https://www.ville-rail-transports.com/lettre-confidentielle/les-lyonnais-pourront-payer-leurs-transports-sur-smartphone-et-par-carte-bancaire/
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Ile-de-France : cette carte remplacera vos tickets de métro dès le 12 juin
leparisien.fr - Jean-Gabriel Bontinck
Publié le 17 mai 2019
Valérie Pécresse vient d’annoncer le lancement de la carte Navigo Easy le 12 juin prochain. Autre avancée vers la fin du ticket de métro : tous les titres de transport seront disponibles fin septembre sur 5 millions de smartphones Samsung.
Le ticket de métro en carton qui se démagnétise, c’est (bientôt) fini ! Valérie Pécresse, présidente LR de la région et d’Ile-de-France Mobilités, a profité du salon des nouvelles technologies Vivatech, ce vendredi, pour annoncer deux nouvelles étapes décisives vers le remplacement du bon vieux ticket, dont la disparition est programmée à partir de 2021.
La carte Navigo Easy arrive en juin
Ce nouveau titre de transport est destiné aux usagers occasionnels du réseau francilien, notamment les touristes. Et il arrivera opportunément juste avant l’été. «Ce sera comme un porte monnaie électronique… », a annoncé Valérie Pécresse. Cette carte sans contact s’achète au prix de 2 €. Vous pouvez ensuite créditer dessus un ou plusieurs tickets, au tarif habituel (1,90€ le ticket ou 14,90 € les dix tickets).
Le carnet de 10 tickets en carton ne sera plus vendu d’ici l’été 2020.
Comme la Oyster Card à Londres, il s’agit d’une carte réutilisable et non nominative, que vous pourrez recharger autant de fois que vous le souhaitez. Il vous suffira de la passer sur les bornes violettes à l’entrée des stations, et le portique s’ouvrira. IDFM estime le nombre de clients potentiels à 5,8 millions.
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À Besançon, Flowbird s’envole avec le paiement mobile de parking
entreprendre.fr - Valerie Loctin
Publié le 16 mai 2019
Leader mondial de la mobilité urbaine, Parkeon devenu Flowbird réalise 185 millions d’euros de chiffre d’affaires, dont 80% à l’exportation sur plus de 50 pays. Sa recette ? L’innovation en matière d’équipements et de solutions mobiles pour le stationnement.
Si la société Parkeon a vu le jour sous ce nom en 2003, elle avait déjà plus de 40 ans d’histoire. Reprise en 2007 par Barclays Private Equity, principal actionnaire et d’autres fonds d’investissement, elle était l’émanation de l’une des divisions de l’ex Compagnie des Compteurs (Groupe Schlumberger).
Son activité s’est concentrée dans le domaine de la gestion de la mobilité urbaine, qu’il s’agisse de la fourniture de systèmes et de services de stationnement (65 % du chiffre d’affaires), ou de solutions de billetterie pour les transports urbains (métro, tramway, autobus…).
Un développement international
Le développement international a commencé dès les années 1980. Il a permis à la société de devenir le leader mondial dans le secteur du stationnement urbain (horodateurs). L’atout fondamental de Parkeon à l’international, malgré la pression concurrente d’acteurs locaux ou internationaux, est d’avoir été le premier, c’est-à-dire le créateur du marché. Et pour tirer parti de ce positionnement, l’entreprise a dû rester à la pointe de l’innovation, répondre aux attentes nouvelles et connaître les règlementations en vigueur dans chaque pays.
Plus de 200 000 horodateurs
Lire la suite : https://www.entreprendre.fr/besancon-flowbird-envole-avec-le-paiement-mobile-de-parking/
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Mastercard et Kisio présentent leurs nouveaux services à la mobilité
boursedirect.fr
Publié le 17 mai 2019
À l'occasion de la conférence Smart Cities NY, Mastercard et Kisio, filiale de services à la mobilité de Keolis, viennent d'annoncer leur programme pour révolutionner les déplacements quotidiens de milliers de citoyens. En intégrant les technologies de paiement sécurisé de Mastercard aux fonctionnalités de planification d'itinéraire et de validation de titres de transport proposées par Kisio, les Autorités organisatrices de mobilité et les opérateurs de transport public ou privé pourront désormais permettre à leurs voyageurs d'acheter les titres de transport correspondants à l'intégralité de leur trajet au sein d'une seule et unique application.
Miguel Gamiño Jr., Responsable Global Cities chez Mastercard, déclare ainsi : "Nous avons collaboré avec plus de 150 villes à travers le monde afin d'améliorer l'expérience de transport pour les habitants et les voyageurs tout en permettant aux opérateurs de transport de gagner en efficacité. Cette collaboration avec Kisio et nos autres partenaires au sein du City Possible nous permettra de répondre à notre prochain défi en matière de mobilité : la création de solutions de "Mobility-as-a-Service" qui placent véritablement la technologie au service de l'humain."
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FRANCFORT
Les séniors vont pouvoir voyager pour 1 euro par jour en Hesse
lepetitjourna.com/ Francfort - AP
Publié le 18 mai 2019
Bonne nouvelle pour les + de 65 ans ! Tarek-Al Wazir, Vice-ministre-président de Hesse, Ministre de l'Économie, de l'Énergie, des Transports et du Développement régional, a annoncé lundi 13 mai la mise en service d’un ticket à 1 euro par jour pour tous les séniors. Ce tarif s’appliquera à partir de janvier 2020 dans l’ensemble du land de Hesse. Sur tout le réseau de transports, en bus, en tramway, en métro et en train, le ticket pourra être utilisé toute la semaine à partir de 9h ainsi que le week-end et les jours fériés.
Les séniors utilisent de plus en plus les transports en commun pour voyager. 90.000 cartes de transport pour séniors ont été vendues en 2018, soit 70 % de plus qu’en 2016. Plus d’1,2 millions de personnes de plus de 65 ans pourront ainsi voyager pour un euro par jour en transports en commun. Les séniors payeront 365 euros leur carte de transport annuelle, ce qui est un véritable progrès comme l’a déclaré le maire de Francfort, Peter Feldmann.
Depuis 2017, tous les étudiants de Hesse peuvent également bénéficier d’un billet à 1 euro par jour. Cette baisse des tarifs permet aussi de sensibiliser la population à moins utiliser la voiture et donc de réduire les émissions de CO2.
Lire la suite : https://lepetitjournal.com/francfort/les-seniors-vont-pouvoir-voyager-pour-1-euro-par-jour-en-hesse-257488