Revue de Presse ADCET n° 26 - Lundi 29 avril 2019

Revue de Presse ADCET n° 26 - Lundi 29 avril 2019

REGIONS

Hauts-de-France Le « super-schéma » régional d’aménagement est-il à la hauteur ?

lavdn.lavoixdunord.fr - Jean-Marc Petit
Publié le 24 avril 2019

Le schéma d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires (SRADDET), arrêté le 31 janvier par le conseil régional, manque-t-il d’ambition ? C’est l’avis du Conseil économique, social et environnemental régional (CESER). Alors que débute la phase de consultation publique, l’assemblée des représentants de la société civile veut apporter sa pierre au débat. Mais le Conseil régional ne comprend pas les critiques.

Extraits

Le CESER est également sévère sur la stratégie des mobilités. « Quelles sont les solutions concrètes pour le transport et l’intermodalité  ? », s’interroge l’un des rapporteurs. « Les ambitions régionales de report modal sont insuffisantes, le CESER propose de définir et mettre en œuvre des réseaux cibles ferroviaires et cyclables en région. » L’assemblée préconise « un droit au transport pour tous incluant l’accès facilité à la mobilité dans les territoires ruraux et périurbains, ainsi que des transports urbains et régionaux plus performants et fiables ».

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Des «critiques infondées» pour la Région

Pour Nicolas Lebas, vice-président à la Région en charge de la planification territoriale, les critiques du CESER sont « infondées ».

« Dans le contexte de fusion récente, l’enjeu du SRADDET était avant tout de donner du sens et de définir une vision prospective partagée des Hauts-de-France, exprimant une forte ambition pour la région, en posant les principes d’une stratégie d’ouverture, de développement de l’attractivité et de positionnement au sein du nord-ouest européen. Quand il affirme l’importance du développement des excellences, d’une meilleure prise en compte des opportunités transfrontalières et interrégionales, des enjeux de transports avec l’Île-de-France, du développement des réseaux numériques, le SRADDET est incontestablement volontariste. En complément, la stratégie en matière de hub logistique, s’appuyant sur les ports de la région et le futur canal Seine-Nord Europe, vise une performance économique et environnementale accrue. »

Lire la suite : https://lavdn.lavoixdunord.fr/572868/article/2019-04-24/le-super-schema-regional-d-amenagement-de-la-region-est-il-la-hauteur

 

TRANSPORTS

Prix du carburant et 80 km/h: la mobilité, thématique oubliée de la conférence de presse de Macron

auto.bfmtv.com
Publié le 26/ avril 2019 

Les 80 km/h comme le prix du carburant et la fin du diesel étaient à la source de la crise des gilets jaunes. Mais peu de réponses concrètes ont été apportées aux automobilistes, et aux questions que se posent les Français sur la mobilité.

Cinq mois après le début du mouvement des gilets jaunes, Emmanuel Macron n’a pas apporté ce jeudi, lors de la première conférence de presse de son quinquennat, de réponses concrètes à l’une des racines du mouvement: le déplacement individuel en milieu périurbain, notamment en voiture, sur fond de transition écologique et de limitation de la vitesse à 80 km/h. Autant de thèmes qui ont pourtant irrigué le grand débat pendant trois mois.

Lire la suite : https://auto.bfmtv.com/actualite/la-mobilite-thematique-oubliee-de-la-conference-de-presse-d-emmanuel-macron-1680293.html

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La région voyage Fluo Grand Est

Infodujour.fr
Publié le 25 avril 2019

La Région Grand Est réunit tous ses réseaux de transports sous un seul et même nom : Fluo Grand Est, pour un service unifié et plus lisible. Explications.

Cette nouvelle marque rassemble les 13 réseaux de transport routier et ferroviaire gérés par la Région Grand Est en tant qu’Autorité Organisatrice de la Mobilité. Fluo se décline également en un site internet Fluo.eu. Jean Rottner, Président de la Région Grand Est, a dévoilé la nouvelle identité du réseau de transport régional, Fluo Grand Est, ce jeudi 25 avril 2019 à Metz.

Ce temps fort s’est également déroulé en présence de Jean-Luc Bohl, 1er Vice-Président en charge de l’Attractivité et du Rayonnement, de David Valence, Vice-Président en charge des Mobilités et Infrastructures de Transport, d’Edouard Jacque, Conseiller régional délégué aux Travailleurs frontaliers, et des Conseillers régionaux Mireille Gazin, Marie-Rose Sartor, Patrick Thil et Jacques Beaujean.

« Poste budgétaire majeur du Grand Est, les transports sont au cœur de la politique régionale tant en matière de cohésion territoriale que de mobilité au quotidien. Mailler le territoire pour relier les personnes, tel est le sens de notre action. Avec Fluo, la Région Grand Est porte une nouvelle ambition : relever le défi d’une offre de mobilités plus attractive, plus efficace, plus lisible et moins coûteuse pour tous les voyageurs. », a déclaré Jean Rottner.

Lire la suite : https://infodujour.fr/politique/23128-la-region-voyage-fluo-grand-est

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Pau : le premier Fébus à hydrogène a roulé en Belgique

Sudouest.fr - Olivier Bonnefon
Publié le 26 avril 2019

François Bayrou a profité de la visite de la ministre des transports Élisabeth Borne pour dévoiler les premières images du Fébus, testé jeudi en Belgique où il est fabriqué, par une délégation paloise

La ministre des transports Élisabeth Borne a mis à profit sa visite à Pau, ce vendredi, dédiée à la présentation du nouveau train Intercité Coradia Liner d’Alstom (qui va assurer progressivement le remplacement des vieux trains Corail sur la ligne Hendaye-Toulouse), afin de découvrir le parcours du futur bus à haut niveau de service palois (BHNS) baptisé Fébus.

La ministre a effectué un premier arrêt en tête de ligne devant l’Hôpital, avenue Léon Schwartzenberg. Prévu le 19 septembre prochain, l’inauguration du BHNS permettra de relier l’hôpital à la gare en 17 minutes environ, avec un véhicule zéro émission et sans pollution cachée, comme l’électrique, qui nécessite des batteries et des recharges le plus souvent en énergie nucléaire ou fossile.

Lire la suite : https://www.sudouest.fr/2019/04/26/pau-le-premier-febus-a-hydrogene-a-roule-en-belgique-6020813-4344.php

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CANADA

Les cartes magnétiques de transport arrivent bientôt à Edmonton

ici.radio-canada.ca - Tiphanie Roquette
Publié le 26 avril 2019

Près de 20 ans après de nombreuses métropoles mondiales, la capitale albertaine va ouvrir son système de billets de transport en commun à la modernité. Dans un peu plus d'un an, les Edmontoniens pourront utiliser une carte à puce rechargeable pour payer leur voyage dans le système de transport collectif.

ETS, le système de transport de la capitale, a installé des lecteurs de carte dans cinq autobus de sa flotte pour tester le matériel.

Si tout fonctionne bien, l’équipement sera installé dans 1100 autobus de la capitale ainsi que dans les stations de train léger avant la mi-2020. Le lancement officiel aurait lieu en septembre de l’année prochaine.

La carte de paiement électronique Presto. Photo : Radio-Canada

Comme dans le système OPUS de Montréal ou Presto de Toronto, les usagers des transports en commun d’Edmonton devront approvisionner en argent un compte virtuel relié à leur carte magnétique. Le système laisse la possibilité d'adapter le prix du billet à la distance parcourue grâce à un coup de carte à l'entrée et à la sortie de l'autobus. La Municipalité n'a toutefois pas encore pris de décision quant au changement de tarification.

Lire la suite ; https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1166463/transport-collectif-autobus-train-lecteur-carte-puce

 

MOBILITE

Mobilité et transports : l’IA sur la route de l’autonomie ?

Dossier : Intelligence artificielle, Toulouse au cœur de la machine - Episode 5

touleco.fr Toulouse - Audrey Sommazi
Publié le 22 avril 2019

Voiture, taxi volant, avion : les véhicules autonomes, avec l’aide de l’intelligence artificielle, sont sur des rails. Est-ce le début d’une véritable transformation de la mobilité ? À quelle échéance et avec quelles conséquences ? Éléments de réponse.

Une voiture sans conducteur relève-t-elle encore de la science-fiction ? Le taxi volant tient-il encore du rêve ? Dans les années 2000, les véhicules électriques et les drones n’existaient qu’au cinéma et dans l’imagination de quelques équipes de R&D. Une génération plus tard, non seulement ces véhicules sont devenus réalité, mais leur mise en service est envisagée. À l’horizon 2030, 20 % des engins motorisés vont devenir autonomes. C’est du moins ce qu’affirme le cabinet Oliver Wyman dans son étude « Autonomie : une révolution en marche », publiée en 2018. Ce même cabinet de conseil en stratégie avance un autre chiffre : d’ici une dizaine d’années le marché des véhicules terrestres autonomes représentera 460 milliards d’euros.

« L’enjeu est gigantesque pour les constructeurs et les équipementiers » , assure l’étude, qui précise que le segment le plus « visible » du grand public est celui des drones. C’est d’ailleurs sur ce secteur que s’est invitée il y a quelques semaines Innov’Atm, fondée à Cugnaux en 2014. La société vient de lever 1 million d’euros auprès du groupe Aéroports de Paris (ADP) et du fonds d’amorçage Irdinov pour tester et commercialiser sa solution qui repère, détecte et neutralise les drones sur des sites dits sensibles, comme les aéroports. Pour atteindre son objectif, elle utilise des capteurs de radiofréquence, des caméras, des radars et un algorithme d’apprentissage automatique. « L’IA est notre valeur ajoutée », explique Stéphane Bascobert, co-fondateur d’Innov’Atm. « Pour nous différencier des grands groupes tels que Thalès, on fournit des algorithmes et des conseils d’aide à la décision. » La stratégie de cette structure, qui s’appuie sur une petite équipe de seize salariés, repose sur sa flexibilité. Mais pas seulement. « Question prix, nous sommes compétitifs », précise Stéphane Bascobert.

L’IA pour décharger le pilote de tâches

Lire la suite : http://www.touleco.fr/Mobilite-et-transports-l-IA-sur-la-route-de-l-autonomie,26586

 

BILLETTIQUE

Grand-Angoulême : bientôt une billétique bus connectée en Wifi ou 4G

suedouest.fr - Hélène Rietsch
Publié le 24 avril 2019

120 clients volontaires testent la billétique sans contact qui entrera en vigueur le 1er juillet.

1 Grand Angoulême, « Agglo pionnière » dans la région

« Grand-Angoulême est la première agglomération en Nouvelle-Aquitaine, et la troisième en France après Rennes et Brest, à adopter une nouvelle billétique sans contact grâce à de nouveaux équipements connectés en wifi en 4G », explique Michel Germaneau, vice-président de Grand-Angoulême et président de la STGA (Société des transports de Grand Angoulême). « Un changement d’aire pour la STGA, selon l’élu, et tout le réseau de transport de l’Agglo », qui entrera en vigueur à compter du 1er juillet. À moyen terme, ce nouveau système permettra aux personnes ayant une carte Modalis Nouvelle-Aquitaine (SNCF) de recharger un abonnement de bus sur le réseau STGA.

Lire la suite : https://www.sudouest.fr/2019/04/24/bientot-une-billetique-bus-connectee-en-wifi-ou-4g-6013147-813.php

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Ticketing & Payments In-Depth Focus

intelligenttransport.com

Find out how technology frameworks have enabled cross-border ticketing; why it’s finally time for the U.S. to embrace open-loop systems; and the importance of getting policy, fares and payments right to achieve success in MaaS.

Included in this In-Depth Focus:

Developing cross-border ticketing in public transport networks

While borders are less and less noticed when travelling by car, they still have a huge impact on cross-border public transport. However, as Dominik Elsmann and Julia Quitmann from Aachener Verkehrsverbund GmbH (AVV) explain, the digital age is making cross-border travel simple and seamless.

• Is now the time for open-loop transit in the United States?
Simon Laker and John Elliott at Consult Hyperion explain how, after more than a decade of trials and poorly-received launches, open-loop transit payments are now expected to gain significant traction in the U.S.

• MaaSive transport advancements are on their way
Gareth Turner, Head of Fares and Ticketing at Transport for Greater Manchester, explains how the appetite for on-demand services is spreading to transport, and outlines the steps that the UK’s transport network needs to consider, from payments to collaboration, in order to make MaaS a reality.

To read this In-Depth Focus in full, please complete the form below. By clicking submit you confirm that you accept our terms and conditions and privacy policy.

 

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

Dossier : la France labellise quatre instituts interdisciplinaires

industrie-techno.com - Séverine Fontaine
Publié le 25 avril 2019

Suivant les étapes de la stratégie nationale pour l'intelligence artificielle, amorcée en mars 2018 par le rapport Villani, le gouvernement vient d'officialiser les centres de recherche qui deviendront des pôles d'excellence dans le domaine de l'IA. Ils recevront le label de 3IA (instituts interdisciplinaires d'intelligence artificielle).

Quatre instituts interdisciplinaires d'intelligence artificielle (3IA) ont été annoncés le 24 avril par la ministre de l'Enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation Frédéric Vidal, dans le cadre de la stratégie nationale pour l'intelligence artificielle. Grenoble, Nice, Toulouse et Paris ont été labellisés pour une période initiale de 4 ans, avec un financement minimal de 75 millions d'euros complété par un apport équivalent de leurs partenaires publics et privés. Soit un total de 225 millions minimum. En complément, deux appels à projets portant sur des chaires individuelles en IA et des programmes doctoraux ont été lancés par l'Agence nationale de la recherche (ANR) pour 20 millions d'euros chacun.

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Nice : privilégier la bio-inspiration

L'institut niçois 3IA Côte d'Azur se spécialise dans les applications de santé, biologie numérique et les territoires intelligents. Sa particularité : une approche fondamentale et bio-inspirée.

Les spécialités de l'institut niçois seront la santé, la biologie numérique et les territoires intelligents. Il reposera sur quatre axes scientifiques : l'intelligence artificielle fondamentale (statistiques, machine et deep learning), l'intelligence artificielle au service de la médecine computationnelle et la biologie computationnelle, l'IA bio-inspirée ainsi que les territoires intelligents et sécurisés. Pour définir les thématiques de recherche, l'institut niçois a croisé l'excellence des chercheurs locaux, les besoins des entreprises et les priorités des collectivités. « Certaines entreprises m'ont par exemple évoqué l'explicabilité, le véhicule autonome ou les datas » explique David Simplot, Directeur du centre de recherche Inria Sophia Antipolis et porteur du projet 3IA Côte d’Azur. « Sur les 8 thématiques listées au départ, deux sont ressorties : la santé et la biologie numérique ainsi que la smart city. »

Lire la suite : https://www.industrie-techno.com/article/nice-la-biologie-en-ligne-de-mire.55985

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Paris : miser sur la recherche fondamentale

L'institut parisien 3IA PRAIRIE se spécialise dans les applications de santé, transports et environnement avec une approche recherche fondamentale orientée vers les applications.

L'institut parisien PRAIRIE, pour « Paris artificial intelligence research institute », est spécialisé dans les applications de santé, de transports et d'environnement. Le projet, lancé par le CNRS, Inria, PSL Université et l'Institut Pasteur, est soutenu par des grandes entreprises du numérique, de l'automobile et de la santé. L'institut souhaite, à travers une recherche fondamentale, contribuer au progrès des connaissances en intelligence artificielle diffusées librement dans la communauté scientifique internationale, mener ses recherches tournées vers l'entreprise et les applications, contribuer à la formation et avoir un impact socio-économique significatif. PRAIRIE souhaite faire converger les mondes académiques et industriels, et accueillir des chercheurs juniors et seniors, des doctorants et post-doctorants.

Lire la suite : https://www.industrie-techno.com/article/paris-la-recherche-fondamentale-en-appui.55990

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Toulouse : encadrer l'apprentissage automatique

L'institut toulousain 3IA « ANITI » cible les secteurs d'application de la mobilité et du transport, de l'environnement, de la santé et de la robotique pour l'industrie du futur. Sa particularité : adopter une approche hybride de l'intelligence artificielle.

L'institut toulousain ANITI, pour « Artificial and Natural Intelligence Toulouse Institute », veut privilégier une approche hybride de l'intelligence artificielle. Les chercheurs travaillent depuis une quarantaine d'année sur cette thématique, comprenant l'intégration d'un ensemble de contraintes aux techniques d'apprentissage automatique. Objectif : apporter de meilleures garanties face aux décisions prises par les algorithmes et éviter les dérives. Une des spécificités de l'institut est la certification des systèmes d'intelligence artificielle pour mieux les sécuriser.  Le projet présenté au jury et porté par l'Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées se composait de 7 programmes intégratifs interdisciplinaires regroupant plusieurs chaires et 1 programme de formation. L'institut se positionne sur quatre secteurs d'applications tels que le transport et la mobilité (pilotage automatique, véhicule autonome), l'environnement (télédétection), la santé (détection de cancer, suivi médicalisés) et l'industrie du futur (robotique). 

Lire la suite : https://www.industrie-techno.com/article/toulouse-une-approche-hybride.55980

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Grenoble : développer l'IA embarquée

L'institut grenoblois 3IA « MIAI Grenoble-Alpes » travaillera sur l'intelligence artificielle appliquée aux domaines de la santé, l'environnement et l'énergie. Sa particularité : traiter à la fois les aspects algorithmiques et matériels de l'IA.

L’institut MIAI Grenoble-Alpes, pour « Multidisciplinary Institute in Artificial Intelligence » s’intéresse à la fois aux aspects algorithmiques et matériels de l'intelligence artificielle pour des applications dans la santé, l'environnement et l'énergie. Parmi les projets proposés, notamment au travers des projets d'architecture d'intelligence artificielle embarquées, le MIAI souhaite mettre ses compétences au service des sciences du vivant avec la détection des polluant dans l'eau et l'air, de la surveillance des écosystèmes, de la prédiction de mouvements sismiques. L'institut travaille également sur l'optimisation des chaînes logistiques ou encore la simulation numérique des matériaux pour mieux prédire les propriétés des alliages. Pour ce dernier point, « le but est d'éviter de fonctionner par essai-erreur quand on réalise un nouvel alliage en utilisant des méthodes de prédiction fiables » ajoute pointe Eric Gaussier, proteur du projet MIAI Grenoble Alpes « ce qui pourrait offrir un gain de temps, d'argent et d’énergie. »

Lire la suite : https://www.industrie-techno.com/article/3ia-de-grenoble-algorithme-et-materiel.55975