Mobilité

L’Eurométropole de Metz acte la création d’une « police métropolitaine » 

tout-metz.com - Par Joscelyn LAPART

Publié le 8 juillet 2024

À l’occasion du conseil métropolitain du lundi 8 juillet 2024, les élus de l’Eurométropole ont voté la création d’un service intercommunal de police municipale, soit une « police métropolitaine » qui ne porte pas son nom pour des raisons juridiques.

Après la création d’un Centre de Supervision Urbain (CSU) métropolitain en 2023, la création de ce nouvel échelon sécuritaire doit répondre aux enjeux de sécurité publique sur l’ensemble des communes de la métropole. Elle aura comme compétence la sécurisation des transports publics, la protection de l’environnement et le soutien aux communes notamment lors des grandes manifestations.

La mise en place du service doit se faire au 1er janvier 2025

Ce nouveau service comptera 28 agents au lancement (12 policiers municipaux pour les missions de police des communes, 12 policiers municipaux pour les transports en commun, 3 gardes-champêtres pour l’environnement et 1 responsable), dont 22 nouvellement recrutés. Son siège devrait se situer à Augny, sur le plateau de Frescaty.

La création du service intercommunal nécessitera la mise en place d’une convention entre la métropole et l’État et d’une convention entre la métropole et les communes, mais elle ne nécessite pas de transfert de compétences des communes vers la métropole.

Les policiers se trouveront sous l’autorité du maire de la commune où ils se situeront dans le cadre de leur activité et seront armés sur toute l’Eurométropole pour « assurer une continuité territoriale cohérente et opérationnelle ».

La gauche dénonce une surenchère sécuritaire

Article original : L’Eurométropole de Metz acte la création d’une « police métropolitaine »  https://tout-metz.com/eurometropole-metz-acte-creation-une-police-metropolitaine-2024-613975.php

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Zone à trafic limité à Paris : le préfet de police rendra sa décision après les Jeux olympiques

leparisien.fr - Par Auguste Canier

Publié le 11 juillet 2024

Le Conseil de Paris a adopté ce jeudi la délibération déclarant d’intérêt général la mise en œuvre de la ZTL dans Paris Centre, prévue en octobre 2024. Le préfet de police, Laurent Nuñez, se prononcera pour ou contre ce projet après les JO, afin de tirer les enseignements des restrictions de circulation instaurés durant l’été.

La mise en œuvre de la Zone à trafic limité (ZTL) dans le centre de Paris dépendra de l’efficacité des restrictions de circulation mises en place pendant les Jeux olympiques de Paris 2024. C’est en substance ce qu’a fait comprendre le préfet de police Laurent Nuñez aux élus de la Ville, par la voix de sa directrice adjointe Élise Lavielle, ce jeudi soir au Conseil de Paris.

Au terme de plusieurs minutes de débats animés, les élus ont adopté une délibération déclarant la mise en œuvre de la ZTL comme étant « d’intérêt général », après l’avis favorable rendu par la commissaire enquêteur en charge de l’enquête publique. Mais la préfecture de police a indiqué qu’elle se prononcerait seulement après les JO, pour « tirer les enseignements des restrictions de circulation » mises en place durant la compétition, afin que « cette ZTL puisse fonctionner au mieux ».

Laurent Nuñez prévient en effet qu’il se veut « particulièrement attentif » aux modalités d’accès et de contrôle de cette ZTL. Or, à ses yeux, « les périmètres de restriction de circulation autour des sites olympiques sont par nature des zones à trafic limité », souligne Elise Lavielle. Reprenant la réglementation déployée durant les JO, Élise Lavielle a ainsi résumé : « La ZTL de Paris Centre est un mélange de zones bleues, pour limiter la circulation de transit, et de zones rouges, puisque seuls les ayants droit pourront y avoir accès. » Laurent Nuñez attend donc ce retour d’expérience pour se faire un avis sur la faisabilité de la ZTL.

Lire la suite : https://www.leparisien.fr/paris-75/zone-a-trafic-limite-a-paris-le-prefet-de-police-rendra-sa-decision-apres-les-jeux-olympiques-11-07-2024-XGXO3KXHP5GEXB33XEHRJUXF34.php

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Mobilité transfrontalière : la Région Grand Est lance un dispositif de soutien

lasemaine.fr - Par Arthur Cramier

Publié le 7 juillet 2024

Un appel à projets est lancé pour favoriser la mobilité des jeunes de la Région Grand Est.

Le Grand Est est une région transfrontalière et tournée vers l’Europe. Une ouverture dont les élus locaux veulent faire profiter au plus grand nombre.

À ce titre, « afin de permettre aux jeunes d’avoir une expérience de mobilité à l’étranger », la Région Grand Est a lancé un tout nouveau « dispositif de soutien au montage de projets de mobilité transfrontalière, européenne et internationale ».

Toutes les structures de la Région qui préparent des projets de mobilité peuvent bénéficier d’une aide allant jusqu’à 10 000 euros. Un appel est projet est ouvert jusqu’au 31 juillet 2024.

« Une attention particulière sera portée aux projets visant à donner à des jeunes venant de zones rurales ou de quartiers prioritaires de la politique de la ville une première expérience de mobilité », ajoute la Région.

Pour faire part de son projet et déposer une demande de subvention, rendez-vous sur la page du dispositif.

Lire la suite : https://www.lasemaine.fr/mobilite-transfrontaliere-la-region-grand-est-lance-un-dispositif-de-soutien/

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Des caméras capables de détecter les conducteurs alcoolisés

dolcissimo.fr - Par AFP Relaxnews

Publié le 07 juillet 2024

Une équipe de chercheurs australiens a développé un système intelligent capable de détecter, via les images fournies par une caméra, le niveau d'ébriété des automobilistes. Combiné à des caméras de surveillance, cela pourrait en faire un outil redoutable pour les autorités.

Des chercheurs de l'université Edith Cowan (ECU), en Australie, ont mis au point une technologie de suivi visuel capable de détecter à partir d'une simple caméra les conducteurs trop alcoolisés pour pouvoir prendre le volant en toute sécurité. Cette technologie se sert de l'apprentissage automatique pour analyser différents traits du visage, mais aussi la position de la tête et la direction du regard du conducteur pour déterminer son niveau d'intoxication. Il s'agit de la toute première solution utilisant une caméra RVB classique dans le but de détecter les niveaux d'intoxication alcoolique basés sur des signes d'altération sur le visage des conducteurs.

Pour entrainer leur outil, ces chercheurs se sont aidé de MiX by Powerfleet, une application de gestion de parc roulant permettant d'ordinaire de suivre le comportement des conducteurs. Les participants, répartis en trois niveaux d'intoxication alcoolique (sobre, légèrement intoxiqué et gravement intoxiqué) ont été enregistrés pendant qu'ils conduisaient sur un simulateur. Ce sont ces images qui ont ensuite nourri l'outil intelligent qu'ils ont développé.

Lire la suite : https://www.doctissimo.fr/sante/sante-au-quotidien/addictions/alcool-et-sante/des-cameras-capables-de-detecter-les-conducteurs-alcoolises/3e83d2_ar.html

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Avec 10 millions de paiements, le sans contact est devenu le titre de voyage le plus vendu à la STIB : "Utilisé surtout en déplacements ponctuels"

lalibre.be - Par La Rédaction de L'Avenir

Publié le 12 juillet 2024

Le sans contact est désormais le mode de payement majoritaire à la STIB. Le scan de votre carte bancaire pour payer votre voyage séduit spectaculairement lors des événements à Bruxelles. Pratique : le tarif journalier à 7,50 euros s'y enclenche automatiquement au-delà de 3 voyages.

9,9 millions de transactions : c'est le nombre de payements sans contact enregistré par la STIB en 2023. Ce qui fait de la technologie EMV (Europay Mastercard Visa) "le mode de paiement le plus utilisé pour voyager avec la STIB avec 57 % des titres de voyage vendus", relève celle-ci ce 11 juillet 2024.

La STIB a lancé le sans contact en juillet 2020. "Cette solution permet de s'acquitter d'un titre de transport en scannant une carte bancaire ou un dispositif connecté aux valideurs gris dans les véhicules ou aux portillons d'accès du métro", rappelle le gestionnaire du réseau bruxellois.

3 avantages

Lire la suite : https://www.lalibre.be/belgique/mobilite/2024/07/12/avec-10-millions-de-payements-le-sans-contact-est-devenu-le-titre-de-voyage-le-plus-vendu-a-la-stib-utilise-surtout-en-deplacements-ponctuels-WMPSSP4KV5GZLGZVQ2A5AUF25Q/

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Cet entrepreneur de l'Essonne a créé un service innovant de mobilité partagée

acte.fr - Par Rédaction Essonne

Publié le 07 juillet 2024

Jean-Marie Madoré a créé à Savigny-sur-Orge, un service de mobilité partagée basé sur des véhicules ultra-sobres pour les associations, les groupe de voisins et les collectivités.

Une mobilité raisonnée, adaptée et engagée. Tel est le crédo de Jean-Marie Madoré. Ce dynamique entrepreneur a créé à Savigny-sur-Orge (EssonneMobility Partner, un service de mobilité partagée, basé sur des véhicules ultra-sobres, qu’il a présenté mercredi 3 juillet 2024 à l’espace de coworking Le Rooftop à Viry-Châtillon.

L’ambition de réduire l’empreinte carbone des déplacements de proximité

Partant du constat que les ressources planétaires sont limitées, notamment en ce qui concerne les métaux et que le contexte environnemental est alarmant, Jean-Marie Madoré, a recherché des solutions pour réduire l’empreinte carbone des déplacements de proximité.

En effet, selon une étude de Vinci Autoroutes, 87 % des déplacements domicile-travail s’effectuent dans une voiture avec un seul occupant alors que celle-ci est souvent conçue pour en transporter quatre ou cinq sur de longues distances.

Par ailleurs, en France, 95 % des émissions de gaz à effet de serre des transports terrestres proviennent de la mobilité routière. La moitié de ces émissions sont attribuables à la voiture individuelle.

Lire la suite : https://actu.fr/ile-de-france/savigny-sur-orge_91589/cet-entrepreneur-de-l-essonne-a-cree-un-service-innovant-de-mobilite-partagee_61313161.html 

Services Mobiles

Prédiction d’une adoption massive de l’eSIM par des analystes

servicesmobiles.fr - Par la rédaction

Publié le 8 juillet 2024

Préparez-vous à un changement technologique : des analystes prévoient une adoption massive de l’eSIM, bouleversant les habitudes des consommateurs ! D'ici 2030, près de 70% de tous les appareils cellulaires expédiés seront compatibles eSIM/iSIM, pilotés par des smartphones et des modules IoT cellulaires.

Une adoption massive des eSIM et technologies similaires d’ici 2030

L’industrie a dépassé un point d’inflexion après la sortie de l’iPhone exclusif à l’eSIM aux États-Unis en 2022 et entre maintenant dans une période d’hyper croissance. En effet, les prévisions de ce cabinet d’experts indiquent une adoption massive des eSIM et des technologies similaires, avec plus de neuf milliards d’appareils qui les intégreront entre 2024 et 2030. Cette progression spectaculaire est principalement portée par l’utilisation croissante de ces technologies dans les smartphones et les objets connectés (IoT). Plus de 400 opérateurs prennent désormais en charge les services eSIM à l’échelle mondiale, ce qui permet d’utiliser en moyenne plus de 50 appareils grand public (smartwatches, XR devices, routers, drones, PC…)

Lire la suite : https://www.servicesmobiles.fr/prediction-dune-adoption-massive-de-lesim-par-des-analystes-99110

5G

L'Allemagne décide de se débarrasser des Chinois Huawei et ZTE pour son réseau 5G

Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.

Publié le 12 juillet 2024

Première économie de l'Union européenne, l'Allemagne a décidé de bannir les composants chinois de son réseau 5G, et ce d'ici 2026. Cela exclut, de fait, les géants Huawei et ZTE.

Dans divers pays européens, comme la France, la vente d'équipements de plusieurs fournisseurs chinois est ou va être prochainement interdite, pour ce qui est des composants des réseaux 5G. L'Allemagne est le dernier sur la liste à avoir pris cette décision. Les technologies Huawei ou encore ZTE vont être définitivement écartées du pays au plus tard en 2029.

La décision radicale prise par l'Allemagne pour son réseau 5G

L'Allemagne a tranché en annonçant, le jeudi 11 juillet, l'interdiction des composants et technologies des groupes chinois Huawei et ZTE, pour des raisons de sécurité. Plus précisément, le bannissement concerne l'ensemble des réseaux 5G outre-Rhin.

Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-532239-l-allemagne-decide-de-se-debarrasser-des-chinois-huawei-et-zte-pour-son-reseau-5g.html

Paiement électronique

Que va devenir Apple Pay en Europe, maintenant que les banques peuvent l’abandonner ?

numerama.com - Par Nicolas Lellouche

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Publié le 11 juillet 2024

La fin d'Apple Pay ?

Dans un communiqué de presse, la Commission européenne annonce avoir trouvé un accord avec Apple pour ouvrir la puce NFC de l’iPhone aux applications des banques. Dans les prochains jours, Apple Pay pourrait être concurrencé par d’autres applications, voire abandonné par certaines banques.

En 2016, deux ans après son lancement aux États-Unis, Apple Pay est arrivé en France. Cette technologie de paiement sans contact, qui remplace la carte bancaire par un iPhone, est devenue au fil du temps une solution de paiement comme une autre. 98 % des cartes françaises sont compatibles avec Apple Pay aujourd’hui, ce qui fait de la France un des pays leaders en matière de paiement mobile. Même certains Français initialement réticents ont fini par l’adopter et ne payent plus qu’avec leur smartphone aujourd’hui.

Une des clés du succès d’Apple Pay est sa simplicité. On scanne sa carte dans l’application Apple Cartes, on s’authentifie avec un code reçu par SMS et… voilà. Il suffit d’appuyer deux fois sur le bouton latéral de son iPhone pour payer, après un scan de son visage avec Face ID (qui remplace le code à quatre chiffres). Tous les propriétaires d’iPhone utilisent le même système, là où l’écosystème Android dispose très souvent d’une application par banque.

Justement, c’est cette fameuse simplicité qui pourrait cesser d’exister dans les prochains mois. Dans un communiqué publié le 11 juillet, la Commission européenne annonce avoir trouvé un accord avec Apple pour mettre fin à « l’abus de position dominante » d’Apple Pay. Au nom du droit à la concurrence, Apple doit maintenant autoriser les banques à lancer leurs propres applications de paiement sur iPhone, au risque de drastiquement détériorer l’expérience Apple Pay.

La puce NFC ouverte à tous : que change la Commission européenne ?

Lire la suite : https://www.numerama.com/tech/1774492-que-va-devenir-apple-pay-en-europe-maintenant-que-les-banques-peuvent-labandonner.html

Intelligence artificielle

L’intelligence artificielle, une technologie particulièrement énergivore

lepoint.fr - Par M.P. avec AFP

Publié le 06 juillet 2024

Les émissions carbone de Google ont grimpé de 48 % en cinq ans à cause de l’explosion de l’intelligence artificielle (IA), a indiqué le géant américain.

L’intelligence artificielle (IA) est particulièrement énergivore. Google a récemment confié que ses émissions carbone ont explosé de 48 % en cinq ans, mettant en avant un problème de l'IA qui évolue vite : sa voracité énergétique. Cela s'explique par les énormes capacités de calcul nécessaires pour s'entraîner sur des milliards de données pour utiliser les modèles de langage, exigeant de puissants serveurs. Chaque fois qu'un utilisateur envoie une requête à ChatGPT ou toute autre IA générative, cela fait fonctionner des serveurs situés dans un centre de données.

Ces serveurs consomment de l'électricité, chauffent et doivent être refroidis avec des systèmes qui nécessitent à leur tour de l'énergie. Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), les centres de données utilisent en général près de 40 % de leur électricité pour alimenter les serveurs et 40 % pour les refroidir. Une requête à ChatGPT nécessite ainsi, en moyenne, dix fois plus d'énergie qu'une simple requête sur le moteur de recherche Google, ont montré plusieurs études.

à lire aussi Que devient notre mémoire à l'heure de l'IA ?

Or le boom de l'IA depuis 2022 a conduit les géants d'Internet, comme Amazon, Google et Microsoft, à investir massivement dans la création de centres de données à travers le monde. Google met notamment en avant, dans son rapport environnemental, la hausse de la consommation d'énergie dans ses centres de données ainsi que le bond des émissions liées à la construction de nouveaux « data centers » et la modernisation de ceux existants.

Lire la suite : https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/l-intelligence-artificielle-une-technologie-particulierement-energivore-06-07-2024-2564963_47.php

Innovation

PERSEPHONE : Prophesée développe une IA neuromorphique pour les smartphones avec le soutien de Bpifrance

Actuia.com - Par Thomas Calvi.

Publié le 12 juillet 2024

Prophesee, start-up parisienne spécialisée dans les systèmes de vision artificielle basés sur l’ingénierie neuromorphique, annonce un investissement de 15 millions d’euros pour développer la prochaine génération d’IA neuromorphique dédiée aux téléphones mobiles. Ce projet, baptisé PERSEPHONE, cofinancé par Bpifrance dans le cadre de l’appel à projet “IA Embarquée” de France 2030, vise au développement d’une nouvelle génération de capteurs neuromorphiques, fabriqués en France.

La vision neuromorphique est une technologie inspirée du fonctionnement du système visuel humain, en particulier du couple œil-cerveau. Elle se base sur des capteurs et des algorithmes qui imitent la manière dont le cerveau humain traite les informations visuelles. Contrairement aux caméras traditionnelles, qui capturent des images à des intervalles de temps fixes (par exemple, 30 images par seconde), les capteurs neuromorphiques capturent les changements dans une scène de manière asynchrone, en se concentrant uniquement sur les variations locales de luminosité.

Elle est utilisée dans différents domaines comme les véhicules autonomes, la robotique, la surveillance et la sécurité, la santé et les appareils mobiles.

Appliquée aux téléphones mobiles, l’IA neuromorphique rend possible de nombreuses avancées technologiques significatives en termes de qualité d’image, de très basse consommation énergétique, de traitement beaucoup plus rapide et de confidentialité des données puisque le traitement embarqué ne nécessite pas l’utilisation et le stockage dans un cloud.

Le projet PERSEPHONE

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/persephone-prophesee-developpe-une-ia-neuromorphique-pour-les-smartphones-avec-le-soutien-de-bpifrance/?mc_cid=578ec20590&mc_eid=1b5f52f4fd 

Metavers

Meta veut ressusciter le métavers… grâce à l’IA générative !

lebigdata.fr - Par Dina

Publié le 12 juillet 2024

Vous êtes un fan de Métavers ? Cette nouvelle va vous ravir ! Meta promet de proposer des expériences uniques grâce à son nouveau projet pour ses jeux de réalité virtuelle. Voici les détails.

Alors que Métavers semble être en déclin depuis un certain temps, Meta travaille actuellement sur l'intégration de l'IA générative dans les jeux. La société cherche d'ailleurs à redynamiser sa stratégie pour ressusciter ses jeux de réalité virtuelle.

Meta est à la recherche d'un nouveau dirigeant pour son nouveau projet

Lors du lancement de métavers, Mark Zuckerberg misait tout sur son projet. C'est probablement la raison pour laquelle il avait changé le nom de son entreprise Facebook à Meta. Ensuite, l'intelligence artificielle a émergé et il se consacrait entièrement à cette technologie.

D'après une récente offre d'emploi, la société souhaite réunir les deux technologies dans le but de « créer de nouvelles expériences qui ne sont même pas possibles aujourd'hui ».

Le candidat choisi va travailler en étroite collaboration avec l'équipe de contenu du métavers de la société. Il se charge également de diriger la stratégie AGI pour les jeux de réalité virtuelle. Le projet se porte principalement sur Horizon, le monde de jeu en réalité mixte de Meta, qui profite d'un support produit sur ses plateformes de réalité virtuelle et augmentée.

Notons que dans le futur, les produits AGI pourraient se déployer aux plateformes mobiles et PC. Ce nouveau rôle était d'ailleurs confié à la division métavers de Meta connu sous le nom de Reality Labs. Mais elle s'est révélée être un gouffre financier, car elle a perdu jusqu'à 45 milliards de dollars depuis fin 2020.

Intégrer l'IA dans le Métavers pour offrir une meilleure expérience

Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/meta-veut-ressusciter-le-metavers-grace-a-lia-generative 

Identité numérique

FranceConnect+ ajoute un nouveau service d'identification pour ses démarches en ligne.

Par Rémi Kumar

Publié le 12 juillet 2024

Depuis le 11 juillet, il est désormais possible de prouver son identité sur FranceConnect+ à l'aide de France Identité, facilitant les démarches exigeant nos données les plus sensibles.

Entamer des démarches en ligne plus ou moins sensibles, se connecter à différents services ou encore prouver son identité : toutes ces actions sont facilitées et permises grâce à deux portails de l'État, FranceConnect et FranceConnect+. La promesse d'accès à plus de 1 800 services couplée à une réduction drastique du nombre de comptes à créer par service en fait une plateforme incoutournable. Depuis 2016, on dénombre plus de 40 millions d'usagers pour les deux portails.

Une version "+" restreinte

Si le premier centralise les services en facilitant l'identification, le second est beaucoup plus restreint puisqu'il est consacré à toutes les démarches requérants votre identité numérique, données sensibles, donc. Il englobe alors les demandes d'accès à des dossiers médicaux, ouvertures de compte bancaire, MaPrimeRénov, etc.. Dans ce sens, FranceConnect+ souhaite s'ouvrir, en ajoutant cette fois FranceIdentité comme second service d'identification.

Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/appli-logiciel/franceconnect-ajoute-un-nouveau-service-d-identification-pour-ses-demarches-en-ligne-n224095.html

CNDH

Vidéosurveillance de l’espace public : alerte et recommandations de la CNCDH

IP/IT ET COMMUNICATION - Par Margot Musson, Docteure en droit, ATER Centre de droit de la famille, Équipe de recherche Louis Josserand Université Jean Moulin Lyon III

Publié le 12 juillet 2024

La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) a rendu, le 20 juin 2024, un avis sur la surveillance de l’espace public à l’aune notamment des Jeux olympiques et paralympiques. Elle y exprime ses craintes quant au respect des droits et libertés fondamentaux des individus et à la sauvegarde de l’ordre public et, à ce titre, émet des recommandations pour renforcer les garanties entourant l’usage de la vidéosurveillance, notamment algorithmique.

Importance de la vidéoprotection en France. La surveillance de l’espace public grâce aux nouvelles technologies est apparue en France grâce à la loi n° 95-74 du 21 janvier 1995 mais ce phénomène a, depuis, été amplifié, en particulier en prévision des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 qui imposent une sécurité renforcée. En effet, avec la loi n° 2023-380 du 19 mai 2023, la vidéosurveillance algorithmique sera notamment expérimentée et ce jusqu’au 31 mars 2025 : « les images collectées par des caméras de surveillance seront analysées par des logiciels programmés pour détecter, en temps réel, des événements susceptibles de présenter un risque pour la sécurité publique ». Depuis des années déjà, des technologies de surveillance sont massivement utilisées par les autorités publiques à des fins de sécurité, tels que les centres de supervision urbains. Par ailleurs, de nouvelles expérimentations avec les mêmes technologies sont envisagées par la proposition de loi n° 2223 adoptée par le Sénat le 15 février 2024, après engagement de la procédure accélérée, relative au renforcement de la sûreté dans les transports. Différents mécanismes sont à différencier (vidéosurveillance algorithmique, caméra thermique, caméra optique), lesquels ne représentent pas tous la même menace pour les droits et libertés comme le souligne la CNCDH qui tient à les distinguer.

Lire la suite : https://www.dalloz-actualite.fr/flash/videosurveillance-de-l-espace-public-alerte-et-recommandations-de-cncdh

Cybersécurité

Alerte sur iPhone : Apple révèle qu’un malware espion se propage dans 98 pays

01net.com - Par Florian Bayard

Publié le 12 juillet 2024

Apple a envoyé une notification à certains utilisateurs d’iPhone. Le message d’alerte indique qu’un malware espion chercherait à s’infiltrer sur le smartphone des utilisateurs. C’est la deuxième fois qu’Apple sonne l’alarme cette année.

Apple tire la sonnette d’alarme. Le géant californien vient d’envoyer une notification à certains utilisateurs d’iPhone répartis dans 98 pays. Comme le rapportent nos confrères de TechCrunch, la notification indique que leur smartphone pourrait être la cible d’un malware espion.

« Apple a détecté que vous êtes la cible d’une attaque de logiciels espions mercenaires qui tente de compromettre à distance l’iPhone associé à votre identifiant Apple », explique Apple dans la notification.

Une cyberattaque ciblée

L’entreprise ajoute que les utilisateurs se retrouvent dans le collimateur du virus « en raison de qui vous êtes ou de ce que vous faites ». Il s’agit vraisemblablement d’une opération d’espionnage diligentée par un gouvernement et ciblant des journalistes, des activistes ou des responsables politiques. Sauf surprise, le nombre de cibles reste limité.

Lire la suite : https://www.01net.com/actualites/alerte-iphone-apple-revele-malware-espion-propage-98-pays.html

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Cybersécurité: les rançongiciels marquent le pas, après une année record en 2023

lessor.org - Par la Rédaction

Publié le 7 juillet 2024

Après une année 2023 record, tant en nombre d'attaques qu'en montants extorqués aux victimes, les rançongiciels sont en recul depuis début 2024, des opérations de police d'envergure ayant déstabilisé les réseaux cybercriminels, estiment plusieurs experts.

"Sur les quatre premiers mois de 2024, le nombre d'incidents signalés publiquement et liés à des +ransomwares+ (rançongiciels) a diminué par rapport aux quatre premiers mois de 2023", révèle à l'AFP Allan Liska, expert en cybersécurité chez Recorded Future.

Ce type de logiciel malveillant exploite des failles de sécurité d'une entreprise, d'un bâtiment public, d'une collectivité ou d'un individu, pour chiffrer et bloquer ses systèmes informatiques, exigeant une rançon pour les débloquer.

Particulièrement lucratives pour les pirates, ces attaques sont dévastatrices pour les victimes, qui, même lorsqu'elles finissent par payer, peuvent voir leurs données volées et revendues sur le dark web, dans les tréfonds d'internet.

Dans son rapport du premier trimestre 2024 sur la sécurité d'internet, le spécialiste américain de la défense informatique WatchGuard observe également une diminution de 23 % des attaques par rançongiciel par rapport à fin 2023.

Nettoyage

Lire la suite : https://lessor.org/societe/cybersecurite-les-rancongiciels-marquent-le-pas-ap

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L'IA facilite la manipulation par les cyber-adversaires à l'heure des élections de 2024

journaldunet.com - Chronique de Shawn Henry,  CrowdStrike

Publié le 11 juillet 2024

L'utilisation malveillante et la prolifération de l'IA générative en 2024 présentent l'un des défis les plus importants que nous devrons affronter lors d'une année électorale.

Depuis des années, les adversaires étrangers tentent de perturber les systèmes électoraux mondiaux par divers moyens – la menace des groupes cyber sophistiqués est réelle et d’actualité. Par ailleurs, l'IA générative modifie le champ des attaques, dans un écosystème où la désinformation et la mésinformation peuvent se répandre rapidement, impactant jusqu’à notre géopolitique.

S’il n’est pas rare de rencontrer des adversaires techniquement sophistiqués tentant de semer la confusion et de paralyser les réseaux, les acteurs de cybermenaces développent aujourd’hui des outils et des tactiques pour perturber les entreprises, les gouvernements, et plus encore. L'utilisation malveillante et la prolifération de l'IA générative en 2024 présentent l'un des défis les plus importants que nous devrons affronter lors d'une année électorale.

Les adversaires poursuivent leur chemin vers la désorganisation et le démantèlement 

es adversaires États-nations affiliés à des gouvernements étrangers et liés aux motivations de ces derniers disposent des ressources nécessaires pour étendre leurs opérations et constituent une menace constante pour nos normes démocratiques. Depuis 2022, les tensions entre l'UE et la Russie, la Chine et l'Iran se sont accrues. Ces adversaires poursuivent leurs efforts pour influencer la perception des électeurs européens sur les questions géopolitiques et les politiques de l'UE autour du cycle électoral de 2024, y compris le soutien à l'Ukraine, la coopération économique et la guerre entre Israël et le Hamas.  

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1531713-l-ia-facilite-la-manipulation-par-les-cyber-adversaires-a-l-heure-des-elections-de-2024/ 

Cybercriminalité

Des hackers chinois dérobent des données de reconnaissance faciale pour infiltrer les applis bancaires

Une première campagne en Asie

numerama.com - Par Bogdan Bodnar

Un groupe de pirates chinois a développé des applications clones de services bancaires ou de plateformes de crypto-monnaies. Elles sont capables de récupérer les images de reconnaissance faciale.

Un groupe de hackers chinois a trouvé une technique pour récupérer des données de reconnaissance faciale. Le rapport mi-annuel des menaces cyber, rédigé par la société ESET et publié le 1er juillet, analyse une campagne de vol de données en Asie et en Amérique latine, menée durant l’hiver 2023 et le printemps 2024.

Un logiciel malveillant, baptisé GoldPickaxe (Pioche d’or), a d’abord été repéré par la société Group-IB. Il cible les détenteurs de portefeuilles de crypto-monnaies ainsi que les clients de services financiers en Asie.

De nombreuses applications bancaires ou d’échanges de crypto-monnaies demandent aujourd’hui de certifier l’identité de l’utilisateur en prenant des photos ou une vidéo de son visage.

Les cybercriminels vont copier ce procédé avec un long cheminement qui part le plus souvent d’un message et qui se termine par un vol de données sensibles.

Une fausse application de reconnaissance faciale

Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1770306-des-hackers-chinois-derobent-des-donnees-de-reconnaissance-faciale-pour-infiltrer-les-applis-bancaires.html 

THALES

THALES ET LE COMITÉ STRATÉGIQUE DE FILIÈRE INDUSTRIE ET TECHNOLOGIES DE SANTÉ INAUGURENT AXEL, LE PREMIER ACCÉLÉRATEUR INDUSTRIEL D’IMAGERIE MÉDICALE EN FRANCE.

thalesgroup.com - Communiqué

Publié le 12 juillet 2024

- Lors de l’Assemblée Générale constitutive du 12 juillet 2024, tenue sur le site de Thales à Moirans, le CSF et Thales, leader des technologies d’imagerie par rayons X, ont acté la création d’Axel. Sa vocation est d’aider les PME et les start-ups de la Medtech française à relever les défis de l’industrialisation et de leur développement économique grâce à un accès direct à la filière.

  • - Cet accélérateur sera propice à la collaboration étroite entre grandes entreprises, PME/startups, acteurs de la recherche, institutions de santé, collectivités locales et partenaires sociaux, dans le but de renforcer la filière d’imagerie médicale française et de garantir ainsi la souveraineté de la France dans ce domaine.
  • - Thales accueillera l’accélérateur Axel sur son site de Moirans, lui facilitant ainsi l’accès aux équipements industriels de Trixell, joint-venture Thales, Philips Healthcare et Siemens Healthineers, leader mondial des détecteurs digitaux à rayons X.

Evalué à 40 milliards de dollars, le marché mondial de l’imagerie médicale a connu une croissance annuelle de 4,5% en moyenne entre 2021 et 2024, face à l’élargissement continu du champ d’application de ce domaine et au vieillissement de la population. Dans ce secteur, la France possède de nombreux atouts, tels qu’une recherche académique et technologique d’excellence et un tissu d’entreprises expertes. Néanmoins, afin de renforcer son autonomie dans le secteur médical depuis la crise Covid, l’industrie nationale a besoin de s'affirmer face à des entreprises internationales, notamment européennes, qui détiennent les deux tiers du marché mondial.

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/groupe/press_release/thales-et-le-comite-strategique-filiere-industrie-et-technologies-sante


Mobilité

JO 2024 : on a testé le parcours SNCF dédié aux touristes pour rallier l'aéroport de Roissy à Paris

actu.fr - Par Dorine Goth

Publié le 30 juin 2024

Pour limiter au maximum les temps d'attente au départ de l'aéroport de Roissy, la SNCF a repensé la distribution de la billettique pour la vente des billets en direction de Paris.

C’est le trajet qui sépare les touristes de leur destination finale : le RER B. Un dernier moyen de transport pour enfin quitter l’atmosphère confinée de l’aéroport et rallier Paris, capitale touristique mondiale et ville hôte des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.

À cette occasion, des dizaines de milliers de voyageurs sont attendus du 26 juillet au 8 septembre à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Un défi logistique pour Île-de-France Mobilités et la SNCF qui devront acheminer tous ces passagers et leur faire préférer les transports en commun aux taxis.

Objectif : limiter l’attente

Pour l’occasion, l’accueil a été repensé et les effectifs renforcés. Objectif : passer le moins de temps possible en gare. Le temps d’une après-midi, actu Paris s’est mis dans la peau d’un touriste qui débarque dans le plus grand aéroport de France. 

Lire la suite : https://actu.fr/societe/jo-2024-on-a-teste-le-parcours-sncf-dedie-aux-touristes-pour-rallier-l-aeroport-de-roissy-a-paris_61266172.html

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Futurs RER métropolitains : dans l'attente de financement, les 15 premiers projets mis sur les rails

maire-info.com - Par A.W

Édition du mercredi 3 juillet 2024

Cette première vague de labellisation est une étape indispensable en vue d'obtenir des aides de l'Etat. Particulièrement épineuse, la question du financement des « services express régionaux métropolitains » reste toujours en suspens alors que le contexte politique se complique.

Après Paris, au tour des autres métropoles françaises de prétendre au développement de leurs réseaux de transports. Dans la foulée de la première réalisation du Grand Paris Express inaugurée la semaine dernière (le prolongement de la ligne 14), le ministère des Transports vient de mettre sur les rails les 15 premiers projets de services express régionaux métropolitains (Serm) du pays, auxquels il a décidé d’accorder son label. 

Imaginé sur le modèle du Grand Paris express lancé en 2009 par Nicolas Sarkozy, ces futurs « RER métropolitains »  - comme les avait initialement nommés Emmanuel Macron – devraient permettre de mieux desservir les liaisons entre les métropoles et leurs périphéries en associant ferroviaire, cars express, réseau cyclable, covoiturage...

Deuxième vague « dans les prochains jours »

Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/futurs-rer-metropolitains-dans-attente-financement-les-15-premiers-projets-mis-sur-les-rails-article-28776

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Zone à Trafic Limité dans le centre de Paris

paris.fr - Communiqué

Mise à jour le 03 juillet 2024

Favoriser les transports en commun, les mobilités douces et abaisser la pollution et le bruit : tels sont les objectifs de la Zone à Trafic Limité (ZTL) qui sera mise en place dans le centre de Paris à l'issue des Jeux de 2024. Une consultation publique était organisée du 11 avril au 13 mai pour recueillir l'avis des Parisiens. Les conclusions ont été rendues mi-juin.

Une Zone à Trafic Limité (ZTL), dispositif déjà utilisé par plusieurs grandes villes européennes comme Madrid, Milan ou Rome, consiste en la création d'une zone où le trafic dit de « transit », c'est-à-dire des véhicules ne faisant que traverser la zone sans s'y arrêter, est interdit.

Cette mesure a pour effet de diminuer massivement le flux de véhicules motorisés en centre-ville. Dans le centre de Paris, elle permettra de réduire substantiellement les niveaux de trafic sur certains axes majeurs.

La zone restera en revanche accessible au trafic de destination, c'est-à-dire pour les usagers en voiture qui s'y arrêtent : résidents, commerçants, livreurs, visiteurs, etc.

Une ZTL dans le centre de Paris

Le périmètre de la ZTL, travaillé en concertation avec la préfecture de police, correspondra au secteur de Paris Centre (les 1er, 2e, 3e et 4e arrondissements). Les discussions se poursuivent avec l'État concernant l'inclusion des îles et des quais hauts rive droite dans ce périmètre, souhaitée par la Ville de Paris mais dépendant de la décision de la préfecture de police.

Cette ZTL sera mise en place à l'automne 2024, à l'issue des Jeux olympiques et paralympiques.

Ce dispositif permettra de réorganiser le partage de l'espace public au profit des transports en commun, du vélo et de la marche, ainsi que de certaines catégories d'usagers (visiteurs, résidents, commerçants, artisans, taxis, services publics, personnes à mobilité réduite…). Il induira également une réduction de la pollution de l'air et du bruit.

Lire la suite : https://www.paris.fr/pages/paris-cree-une-zone-apaisee-dans-le-centre-de-la-capitale-20426

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Hyundai révolutionne le stationnement avec son robot autonome

motorsactu.com - Par Faris Bouchaala

Publié le 30 juin 2024

Hyundai Motor Group franchit une nouvelle étape dans l’innovation technologique en déployant son robot de stationnement autonome au Factorial Seongsu, un immeuble de bureaux intelligent à Séoul. Cette première commerciale en Corée marque une avancée significative dans l’automatisation des parkings.

Développé par Hyundai WIA, ce robot compact et polyvalent peut gérer des véhicules pesant jusqu’à 2,2 tonnes. Sa conception ingénieuse lui permet de se déplacer dans toutes les directions à une vitesse maximale de 1,2 mètre par seconde, optimisant ainsi l’utilisation de l’espace de stationnement.

Le système se compose de deux robots plats qui se glissent sous le véhicule pour le soulever et le déplacer. Avec une hauteur de seulement 110 millimètres, ils sont compatibles avec la plupart des véhicules. Des caméras et des capteurs LiDAR assurent un positionnement précis et une sécurité optimale.

Un système de contrôle intelligent peut gérer jusqu’à 50 robots simultanément, optimisant les itinéraires et l’efficacité du stationnement. Hyundai prévoit d’étendre ses capacités pour inclure la gestion des véhicules stationnés manuellement.

Lire la suite : https://motorsactu.com/hyundai-revolutionne-le-stationnement-avec-son-robot-autonome/

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Trains, autocars, tramway... FAIRTIQ, une nouvelle application mobile pour circuler en Normandie

actu.fr - Par Jessie Leclerc

Publié le 2 juillet 2024

Vendredi 28 juin 2024, la nouvelle application FAIRTIQ a été inaugurée à la gare du Havre. Elle permet de faciliter la circulation en Normandie grâce à un titre unique.

C’est nouveau. Atoumod revisite la façon de circuler sur l’ensemble du territoire normandL’application FAIRTIQ déjà en place depuis plusieurs années, fait peau neuve et s’élargit au transport en trains. Elle a été lancée vendredi 28 juin à la gare du Havre (Seine-Maritime).

Une première en France

L’application FAIRTIQ existe depuis plusieurs années en Occitanie où elle ne s’applique qu’aux trains. Depuis plus d’un an, elle est en place en Normandie pour les transports urbains LIA (Le Havre) et Twisto (Caen) et les autocars.

L’élargissement de cette application aux trajets en train, c’est une nouveauté nationale. « C’est une solution nouvelle de multimodalité, une première en France » explique Jean-Baptiste Gastinne, vice-président de la Région Normandie.

Lire la suite : https://actu.fr/societe/trains-autocars-tramway-fairtiq-une-nouvelle-application-mobile-pour-circuler-en-normandie_61285728.html

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Keolis lance l’application Transit pour établir son trajet

mtaville.fr - Par Annie DUVAL-PÉTRIX

Publié le  02 juillet 2024

Transit, c’est le nom de cette nouvelle application digitale mise en place à partir du 8 juillet par le transporteur Keolis sur son réseau Linead.

Jean-François Beaurain, directeur de Keolis Dreux, et David Nikiema, chargé du marketing, ont présenté la nouvelle application digitale proposée par Keolis pour les transports urbains (réseaux Linead, transilien et TER), vendredi 28 juin. Elle est téléchargeable gratuitement sur tous les mobiles (Iphone et Android). « Cette application est simple et intuitive. Elle géolocalise l’utilisateur et propose l’arrêt de bus à proximité de la ligne de bus la plus appropriée pour aller d’un point A à un point B, calcule l’itinéraire, en prenant en compte les temps de trajet à pied et trace le trajet sur une carte. Les bus sont géolocalisés en temps réel grâce à une antenne, installée sur chacun des véhicules. Les usagers peuvent ainsi connaître en temps réel où se trouve leur bus, ce qui permet de limiter le mécontentement dû à l’attente », explique David Nikiema.

« De même, toutes les perturbations sur les lignes seront signalées : les travaux, les arrêts de bus non-desservis pendant une durée déterminée ou les arrêts de bus temporaires… Les usagers seront prévenus des perturbations grâce à des notifications (si l’usager souhaite les recevoir). Jusqu’à présent, l’usager devait aller sur le site internet Linead.fr », ajoute Jean-François Beaurain. L’usager peut épingler un trajet en favori et recevoir toutes les informations le concernant. L’application Transit concerne également les transports scolaires. Les parents pourront géolocaliser les bus de leurs enfants. Là-aussi, chacun peut choisir ou non de recevoir les notifications. « Auparavant, tout le monde recevait un SMS, ce qui peut être considéré par les personnes non concernées, comme intrusif », indiquait les professionnels.

Lire la suite : https://mtaville.fr/28100/dreux/actualites/keolis-lance-leapplication-transit-pour-etablir-son-trajet-161474.php

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La Stas lance son titre de transport directement par carte bancaire

if-saint-etienne.fr - Par Xavier Alix

Publié le 4 juillet 2024

Pas le temps d’acheter un billet à une borne sur le quai ? L’usager peut désormais sortir sa carte bancaire et payer directement à l’intérieur d’un véhicule de transport en commun qu’il emprunte sur le réseau Stas. De payer et de justifier le paiement : ce nouveau service vous permet d’utiliser votre carte bancaire ou tout objet connecté (téléphone ou montre pour s’acquitter du prix aussi) comme titre de transport pour voyager sur le réseau. Il a été présenté hier au QG du délégataire de Saint-Etienne Métropole à Saint-Priest-en-Jarez. À chaque correspondance, le voyageur valide à nouveau avec sa carte bancaire. S’il valide dans le délai de 1 h 30 (ticket de base à 1,6 €) bien sûr, il ne sera pas prélevé de nouveau. En cas de contrôle, le voyageur présente simplement le support utilisé lors de la validation (carte bancaire, smartphone ou montre) à l’agent vérificateur.

Des valideurs spécifiques puis uniques

Pour assurer ce nouveau service, de nouveaux valideurs ont été installés à bord des bus, trolleybus et tramways du réseau. Ils s’ajoutent aux valideurs « historiques » conçus pour valider les titres individuels ou les cartes OùRA.

Lire la suite : https://www.if-saint-etienne.fr/breves/la-stas-lance-son-titre-de-transport-directement-par-carte-bancaire

RGPD

La Cnil alerte sur le manque de moyens alloués aux délégués à la protection des données dans les petites structures

maire-info.com - Par Lucile Bonnin

Édition du mercredi 3 juillet 2024

Cinq ans après l'entrée en application du RGPD, la Cnil a mené une enquête sur le métier de délégués à la protection des données (DPD). Si la fonction évolue, le développement de cette profession au sein des plus petites structures est souvent associé à moins de moyens.

Depuis le 25 mai 2018, le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est entré en vigueur. A suivi, le 20 juin 2018, la publication au JO de la loi relative à la protection des données personnelles qui adapte le RGPD à la loi française.

Une des grandes nouveautés du RGPD par rapport à la loi Informatique et libertés : la responsabilisation des acteurs qui traitent les données à caractère personnel. Ces derniers doivent en effet prendre toutes les mesures en matière de protection des données personnelles et démontrer leur conformité.

En conséquence, le RGPD impose « à toute collectivité territoriale, quelle que soit sa taille, de désigner un délégué à la protection des données qui sera le pilote de sa mise en conformité »  (lire Maire info du 1er décembre 2021). 

Lundi, le ministère du Travail, de la santé et des solidarités, la CNIL et l’AFCDP ont publié une enquête menée en 2024 dans le cadre de l’observatoire dédié au métier de DPD. Cette dernière confirme que la taille de l’organisation pour lequel le DPD travaille a une influence sur son profil mais aussi sur ces capacités à évaluer les risques et à réaliser leurs missions. Les petites communes seraient donc de fait pénalisées alors même qu’elles sont de plus en plus victimes de cyberattaques.

Manque de formation 

Lire la suite : https://www.maire-info.com/num%C3%A9rique/la-cnil-alerte-sur-le-manque-de-moyens-alloues-aux-delegues-%C3%A0-la-protection-des-donnees-dans-les-petites-structures-article-28777

Détection

AudioSeal : un nouveau modèle de Meta pour détecter les voix générées par IA

leptidigital.fr - Par Fanny Castaldi

Découvrez AudioSeal de Meta : la solution pour ajouter des filigranes invisibles aux enregistrements audio et garantir leur authenticité.

Face à la montée des deepfakes et des imitations vocales, la question de l’authenticité des voix et fichiers audio se pose de plus en plus. AudioSeal, développé par Meta, propose une solution pour ajouter des filigranes invisibles aux enregistrements audio générés par IA. Voici ce qu’il faut savoir à son sujet.

Qu’est-ce que AudioSeal ?

AudioSeal est la première technique de filigrane audio spécifiquement conçue pour la détection de voix générées par l’IA et le watermarking de sons sans altération du son d’origine.

Contrairement aux méthodes traditionnelles, qui utilisent des algorithmes de décodage complexes, AudioSeal utilise la détection localisée.

Cette technique permet d’identifier les segments audio générés par l’IA dans un enregistrement plus long. Le modèle est également conçu pour pouvoir détecter si un enregistrement audio a été modifié ou édité en post production.

Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Lire la suite : https://www.leptidigital.fr/actualites/audioseal-ia-detection-voix-generees-60444/

Transformation numérique

Programme “Pour une Europe numérique” : 210 millions pour renforcer la cybersécurité et les capacités numériques

actuia.com - Par Marie-Claude Benoit.

Publié le 5 juillet 2024

Dans le cadre de son engagement à promouvoir la résilience numérique et l’innovation technologique, la Commission européenne a lancé ce jeudi 4 juillet des appels à propositions totalisant plus de 210 millions d’euros. Ces financements, issus du programme “Pour une Europe numérique”, visent à renforcer la cybersécurité et à développer les compétences numériques à travers l’Union européenne.

Approuvé le 16 mars 2021 par le Conseil de l’UE, le programme “Pour une Europe numérique” vise à stimuler la transformation numérique en finançant le déploiement de technologies de pointe dans des domaines cruciaux tels que l’IA, le calcul à haute performance (HPC), la cybersécurité et en développant les compétences numériques. Ce programme, le premier de l’UE à se concentrer sur l’apport de la technologie numérique aux entreprises et aux citoyens, dispose d’un budget de 7,5 milliards d’euros sur 7 ans (2021-2027). Son objectif premier était d’accélérer la reprise économique post-COVID en transformant numériquement la société et l’économie européennes, avec un accent particulier sur les petites et moyennes entreprises. Cette crise, tout comme la guerre lancée par la Russie contre l’Ukraine, a démontré l’importance pour l’Europe de ne pas dépendre de systèmes et solutions provenant d’autres régions du monde.

Sa mise en œuvre se fait à travers des programmes de travail pluriannuels. Les appels à propositions sont ouverts aux entreprises, aux organisations et aux administrations publiques des États membres de l’UE et des pays de l’AELE/EEE.

102,8 millions d’euros pour accroître la cybersécurité

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/programme-pour-une-europe-numerique-210-millions-pour-renforcer-la-cybersecurite-et-les-capacites-numeriques/

Intelligence artificielle

Intelligence artificielle : évolution et résultats. Confiance numérique, données et cloud

banque-france.fr - Par Denis Beau, Premier sous-gouverneur

Publié le 2 Juillet 2024

Point Zero Forum - Zurich

Mesdames, Messieurs,
C’est avec grand plaisir que j’ouvre cette table-ronde consacrée à l’intelligence artificielle (IA). L’IA constitue en effet une innovation de rupture, susceptible de conduire à de véritables bouleversements économiques. C’est particulièrement vrai dans le secteur financier, dont l’IA constitue, depuis quelques années déjà, le principal moteur de transformation. L’arrivée de l’IA générative devrait d’ailleurs encore accélérer cette tendance, non seulement en renforçant l’adoption des outils d’IA par les utilisateurs, mais également en accélérant structurellement le rythme de l’innovation (pensons par exemple à la capacité nouvelle de générer du code informatique à partir de requêtes en langage naturel).
Ces évolutions, marquantes, ne vont toutefois pas sans poser de questions, et notamment pour le banquier central et le superviseur financier que je suis. Je souhaite partager avec vous quelques-unes de ces interrogations, avant de vous faire part d’un certain nombre de convictions quant à la manière dont nous devons nous emparer du sujet.

1/ D’abord, malgré les progrès récents, la technologie sous-jacente ne paraît pas encore entièrement mûre, notamment s’agissant de l’IA générative. Sur ce sujet, un certain nombre de questions restent aujourd’hui sans réponse. J’en aborderai deux, qui pourront d’ailleurs ultérieurement stimuler les discussions du prestigieux panel réuni ici.
Premièrement, la question des modèles à usage général : quelle sera leur performance dans toute une série de tâches intéressant le secteur financier ? Cette question se pose en réalité à deux niveaux. Est-ce que les modèles généralistes vont devenir la norme pour tous les usages, au détriment des modèles spécialisés Les petits modèles bien entraînés – c’est-à-dire plus spécialisés – auront-ils la capacité à tirer leur épingle du jeu face aux gros modèles plus généralistes ? Ces questions de performance ont de nombreuses conséquences potentielles, notamment en matière de concurrence : si les gros modèles généralistes s’imposent dans tous les domaines, nous risquons fort de nous retrouver dans une situation de monopole ou d’oligopole naturel, qui viendrait d’ajouter au caractère déjà largement oligopolistique du marché du cloud.

Lire la suite : https://www.banque-france.fr/fr/interventions-gouverneur/artificial-intelligence-evolution-and-outcomes-digital-trust-data-and-cloud

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Cette intelligence artificielle identifie les signes du cancer

santemagazine.fr - Par Johanna Amselem

Publié le 2 juillet 2024

Des chercheurs suédois sont parvenus à élaborer un modèle d'intelligence artificielle destiné à accélérer la pose de diagnostic du cancer.

Aujourd’hui, 3,8 millions de personnes vivent en France avec un diagnostic de cancer. Cette maladie représente la première cause de mortalité prématurée devant les maladies cardiovasculaires. Selon l’Institut national du cancer (INCa), on estime à 433 136 le nombre de nouveaux cas de cancers pour l’année 2023 en France métropolitaine, 245 610 chez l’homme et 187 526 chez la femme. Au quotidien, la prévention et la lutte contre les facteurs de risque permettent de limiter l’incidence de certains cancers.

En Suède, des chercheurs de l’Université de Göteborg ont développé un modèle d’intelligence artificielle qui augmente le potentiel de détection du cancer grâce aux analyses de sucre. « Les glycanes, ou structures des molécules de sucre dans nos cellules, peuvent être mesurés par spectrométrie de masse. L’une de ses utilisations importantes est que ces structures peuvent indiquer différentes formes de cancer dans les cellules », explique le communiqué de l’étude. Comme l'explique le site du CNRS, derrière le nom commun de sucre se cachent des molécules complexes appelées "glycanes".

Accélérer le diagnostic

Lire la suite : https://www.santemagazine.fr/actualites/actualites-sante/cette-intelligence-artificielle-identifie-les-signes-du-cancer-1093764

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L’IA à la rescousse des infirmières : l’expérience pionnière d’UW Health

zataz.com - Par Damien Bancal

Publié le 02 juillet 2024

Dans le cadre d’un programme pilote conjoint d’intelligence artificielle lancé en 2023 avec Microsoft et Epic, UW Health explore comment un grand modèle linguistique (LLM) peut aider les infirmières à rédiger des réponses aux questions des patients.

Retrouver toutes les actualités Intelligence Artificielle dans les NEWS ZATAZ IA

Face à une pénurie de main-d’œuvre et à une demande croissante de soins de santé, une initiative vise à alléger la charge de travail des infirmières tout en maintenant un haut niveau de soins. Mission, permettre de répondre à des questions envoyées via le portail patient du système de santé. « Il est essentiel que nous, les infirmières, participions à la conversation lorsqu’il s’agit d’utiliser cette technologie pour soigner les patients », a déclaré Rudy Jackson, directeur général des soins infirmiers à UW Health.

Depuis septembre, plus de 75 infirmières d’UW Health ont utilisé l’IA générative pour créer plus de 3 000 messages aux patients dans plus de 30 services. Ces messages, bien que générés par l’IA, sont toujours révisés et édités par les infirmières avant d’être envoyés, garantissant ainsi que la qualité des réponses est maintenue.

Lire la suite : https://www.zataz.com/lia-a-la-rescousse-des-infirmieres-lexperience-pionniere-duw-health/#google_vignette

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Crédit Mutuel Alliance Fédérale et IBM renforcent leur collaboration pour accélérer le déploiement de l’IA générative

actuia.com - par Thomas Calvi

Publié le 3 juillet 2024

Crédit Mutuel Alliance Fédérale, bancassureur de premier plan en France pionnier dans l’adoption de l’IA, intensifie ses efforts pour intégrer les technologies de pointe dans ses opérations quotidiennes. En collaboration avec IBM, la banque mutualiste se prépare à déployer des solutions d’IA générative innovantes qui transformeront les services offerts à ses clients et sociétaires.

Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe 14 fédérations du Crédit Mutuel qui est partenaire d’IBM depuis plus de 50 ans. Leur collaboration autour de l’intelligence artificielle a débuté il y a environ huit ans avec la création par sa filiale technologique, Euro-Information, et IBM, d’un centre de compétences dédié au développement de solutions d’IA à Strasbourg : “Cognitive Factory”. En 2021, les deux partenaires annonçaient le lancement d’AmbitionS, un nouveau pôle d’excellence technologique permettant d’accélérer l’offre de services et technologies comme l’IA ou le cloud privé, en synergie avec la plateforme IBM Z, pour les clients et adhérents, partenaires et salariés de toutes les fédérations de Crédit Mutuel, et leurs filiales.

Une nouvelle étape dans la collaboration avec IBM

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/credit-mutuel-alliance-federale-et-ibm-renforcent-leur-collaboration-pour-accelerer-le-deploiement-de-lia-generative/?mc_cid=e18c062e5b&mc_eid=1b5f52f4fd

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Programme “Pour une Europe numérique” : 210 millions pour renforcer la cybersécurité et les capacités numériques

actuia.com - Par Marie-Claude Benoit

Publié le 5 juillet 2024

Dans le cadre de son engagement à promouvoir la résilience numérique et l’innovation technologique, la Commission européenne a lancé ce jeudi 4 juillet des appels à propositions totalisant plus de 210 millions d’euros. Ces financements, issus du programme “Pour une Europe numérique”, visent à renforcer la cybersécurité et à développer les compétences numériques à travers l’Union européenne.

Approuvé le 16 mars 2021 par le Conseil de l’UE, le programme “Pour une Europe numérique” vise à stimuler la transformation numérique en finançant le déploiement de technologies de pointe dans des domaines cruciaux tels que l’IA, le calcul à haute performance (HPC), la cybersécurité et en développant les compétences numériques. Ce programme, le premier de l’UE à se concentrer sur l’apport de la technologie numérique aux entreprises et aux citoyens, dispose d’un budget de 7,5 milliards d’euros sur 7 ans (2021-2027). Son objectif premier était d’accélérer la reprise économique post-COVID en transformant numériquement la société et l’économie européennes, avec un accent particulier sur les petites et moyennes entreprises. Cette crise, tout comme la guerre lancée par la Russie contre l’Ukraine, a démontré l’importance pour l’Europe de ne pas dépendre de systèmes et solutions provenant d’autres régions du monde.

Sa mise en œuvre se fait à travers des programmes de travail pluriannuels. Les appels à propositions sont ouverts aux entreprises, aux organisations et aux administrations publiques des États membres de l’UE et des pays de l’AELE/EEE.

102,8 millions d’euros pour accroître la cybersécurité

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/programme-pour-une-europe-numerique-210-millions-pour-renforcer-la-cybersecurite-et-les-capacites-numeriques/

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L'IA consomme trop de (mauvaises) données : comment obtenir un meilleur rendement ?

zdnet.fr - Par joe mckendrick

Publié le 04 juillet 2024

La qualité des données est au cœur des préoccupations depuis des années. Mais désormais, l'identification des données essentielles pour l'IA et les modèles d'entraînement constitue un autre défi.

Peut-on maîtriser la surabondance de données inadéquates ou douteuses qui circulent dans les modèles d'intelligence artificielle ? L'efficacité de l'IA est entravée par des biais, des données polluées et, en fin de compte, par l'incertitude.

Certains spécialistes de l'IT ont quelques idées pour mettre de l'ordre dans ces données.

Si les données sont le nouveau pétrole, alors l'IA, "qui a besoin de beaucoup de données, est un gaspilleur de données", explique à ZDNET Andy Thurai, analyste principal chez Constellation Research. La consommation de gros volumes de données risque d'entraîner une perte de qualité dans le processus. Ce qui crée des problèmes de confiance envers l'IA.

Une perte de confiance envers l'IA

Une enquête menée par Salesforce auprès de 6 000 employés révèle que les trois quarts d'entre eux n'ont pas confiance dans les données qui servent à former l'IA avec laquelle ils travaillent.

Une autre enquête menée récemment par Fivetran auprès de 550 dirigeants de grandes entreprises estime que les entreprises perdent en moyenne 6 % de leur chiffre d'affaires annuel, soit 406 millions de dollars, en raison de modèles d'IA peu performants (construits à partir de données inexactes ou de mauvaise qualité). Ce qui se traduit par des prises de décisions incorrectes.

Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/lia-consomme-trop-de-mauvaises-donnees-comment-obtenir-un-meilleur-rendement-394100.htm

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Intelligence artificielle : un nouveau référentiel pour tendre vers la frugalité

acte-environnement.com - Par E. Gouty

Publié le 1 juillet 2024

« De plus en plus de clients d'intelligence artificielle, à commencer par la puissance publique, ont des attentes basées sur l'impact environnemental de l'IA, a attesté le ministère de la Transition écologique, le 28 juin. Pour y répondre et réduire globalement cet impact dans toutes les organisations, il est primordial de disposer d'un référentiel pour outiller les acteurs à l'évaluation de ces impacts. » Et non seulement, c'est chose faite, mais toujours d'après le ministère, il s'agit d'une « première au niveau international ». L'Association française de normalisation (Afnor) et l'Écolab, l'aile innovation du Commissariat général du développement durable (CGDD) attaché au ministère, l'ont élaboré en réponse à la Stratégie nationale sur l'IA, présentée en novembre 2022.

Ce référentiel général (1) , qui ne constitue pas une norme mais une série de lignes directrices volontaires, consiste principalement en trois choses. En premier lieu, il donne une définition à ce qui peut être considéré comme un « service frugal d'IA ». À savoir, une technologie dont la performance reste meilleure qu'une « autre solution moins consommatrice », et dont le développement et l'usage s'attachent à l'adoption de « bonnes pratiques » pour en diminuer les impacts environnementaux tout en « restant dans les limites planétaires ». Pour préciser tout cela, le référentiel établit ensuite les indicateurs et les champs d'évaluation de l'empreinte environnementale de ce service, sur l'ensemble de son cycle de vie.

1. Accéder au référentiel sur le site de l'Afnor

https://telechargement.afnor.info/normalisation-afnor-spec-ia-frugale

Lire la suite : https://www.actu-environnement.com/ae/news/intelligence-artificielle-referentiel-frugalite-44349.php4 

Internet des Objets

Nouvelle génération d'IoT : Pourquoi la gestion des mises à jour est devenue un impératif

journaldunet.com

Chronique de Fred Simon

Publié le 02 juillet 2024

Les objets connectés sont devenus bien plus puissants qu'avant, et leurs logiciels complexes, nécessitant un vrai contrôle sur le cycle de vie pour garantir le succès de ces projets. Explications.

L’Internet des Objets (IoT) a considérablement évolué depuis sa création dans le but de connecter des équipements physiques à Internet. Ses premiers cas d’usage se focalisent sur la collecte de données environnementales (température, humidité, vibrations, débit, pression et mouvements), et leur transmission vers un serveur centralisé à des fins de traitement et d’analyse. Les objectifs principaux sont alors d’obtenir une meilleure visibilité en temps réel sur les données, d’éliminer le besoin de supervision humaine et d’automatiser la détection des anomalies grâce à des politiques et des seuils prédéfinis.

Les systèmes de comptage d’eau intelligents permettent ainsi aux services publics d’assurer un suivi à distance de l’utilisation, des débits et de la pression de l’eau. Ils peuvent identifier des anomalies telles que la présence d’air dans la tuyauterie, des fuites, ainsi que des altérations au niveau du système d’approvisionnement en eau. Surtout, avec des compteurs intelligents, plus besoin de relevés et de supervision manuels. Les services publics bénéficient ainsi d’une meilleure visibilité en temps réel sur leurs données, ce qui peut aider à réaliser des économies d’eau, à réduire leurs coûts, à augmenter leurs revenus et à accroître la satisfaction des clients.

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/iot/1531441-nouvelle-generation-d-iot-pourquoi-la-gestion-des-mises-a-jour-est-devenue-un-imperatif/

Réseau Radio du Futur

Réseau radio du futur : une transition qui risque de coûter cher aux collectivités

maire-info.com - par Lucile Bonnin

Édition du jeudi 4 juillet 2024

Incendie et Secours

Un arrêté publié hier au Journal officiel vise à assurer dans les établissements recevant du public (ERP) la disponibilité d'une couverture radioélectrique très haut débit nécessaire à l'usage du Réseau radio du futur (RRF) par les services de sécurité et de secours. Une disposition qui risque de peser dans le budget des collectivités.

Par Lucile Bonnin

C’est en octobre 2022 que le ministère de l’intérieur a annoncé le remplacement du réseau radio Infrastructure nationale partageable des transmissions (INPT), par le Réseau Radio du Futur (RRF). 

Cette évolution répond à un besoin impérieux de renouveler les technologies : « Aujourd'hui, les policiers, les gendarmes, les sapeurs-pompiers, les médecins du SAMU utilisent des équipements radio conçus au début des années 1990 (…) qui ne permettent pas la transmission d'importantes quantités de données ou d'images en temps réel depuis le terrain, peut-on lire sur le site du ministère de l'Intérieur. Avec le RRF, la France va se doter d'un réseau de communication très haut débit (4G puis 5G) commun à l'ensemble des acteurs de la sécurité et du secours, leur permettant de communiquer instantanément les uns avec les autres en bénéficiant de nouvelles fonctionnalités : appels vidéo, partage de position en direct, envoi d'électrocardiogrammes etc. »  Le lancement du RRF est prévu pour avril 2025.

L’enjeu est donc désormais de réussir cette transition et d’assurer la continuité des communications radioélectriques. C’est dans ce contexte qu’a été publié hier un arrêté « modifiant l'arrêté du 25 juin 1980 modifié portant approbation des dispositions générales du règlement de sécurité contre les risques d'incendie et de panique dans les établissements recevant du public (ERP)

Lire la suite : https://www.maire-info.com/incendie-secours/reseau-radio-du-futur-une-transition-qui-risque-coter-cher-aux-collectivites--article-28783 

Cybercriminalité

Interpol vient de faire l'arrestation du siècle en coffrant 4000 cybercriminels à travers 61 pays !

jeuxvideo.com - Par - nicoln - Journaliste jeuxvideo.com

Publié le 01 juillet 2024

Coup de tonnerre dans le monde de la cybercriminalité : l'opération "First Light 2024" d'Interpol a démantelé des réseaux d'escrocs opérant dans 61 pays. Près de 4 000 arrestations et 257 millions de dollars saisis témoignent de l'ampleur de cette victoire contre les escroqueries en ligne.

Interpol frappe fort

L'opération "First Light 2024", orchestrée par Interpol, a fait un coup de filet historique dans le monde de la cybercriminalité. Cette vaste offensive, menée simultanément dans 61 pays, a permis de démanteler de vastes réseaux d'escroquerie en ligne et de coffrer près de 4 000 cybercriminels. Les forces de l'ordre ont également saisi la somme faramineuse de 257 millions de dollars.

Phishing, arnaques sentimentales, faux sites marchands, fraudes à l'investissement... Aucune forme d'escroquerie en ligne n'a échappé à la vigilance des enquêteurs d'Interpol. Les criminels, qui profitaient de l'anonymat du web pour piéger leurs victimes, ont été traqués pendant des mois pour démanteler leurs réseaux.

Parmi les affaires les plus marquantes, on peut citer le démantèlement d'un réseau international d'escroquerie en Namibie, qui exploitait 88 jeunes forcés à mener des arnaques en ligne. Les autorités ont saisi 163 ordinateurs et 350 téléphones portables, dont les données ont été transmises à Interpol pour analyse.

À Singapour, la coopération entre le centre anti-escroquerie de la police et les banques locales a permis d'éviter une arnaque au faux support technique, sauvant ainsi les économies d'un septuagénaire qui risquait de perdre 280 000 dollars.

Lire la suite : https://www.jeuxvideo.com/news/1900657/interpol-vient-de-faire-l-arrestation-du-siecle-en-coffrant-4000-cybercriminels-a-travers-61-pays.htm 

Cybersécurité

Cybersécurité : Les hackers russes, forte menace lors des Jeux Olympiques

usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin

Publié le 01 juillet 2024 

La société de cybersécurité WithSecure a publié un rapport sur les cybermenaces susceptibles de se produire lors des Jeux Olympiques. Elle estime qu’il existe une menace “modérée à élevée” provenant de groupes soutenus par l’État russe, qui peuvent nuire à la fois à la France et au Comité international olympique.

WithSecure, société finlandaise proposant des solutions de cybersécurité à destination des entreprises, a publié un rapport sur l’état de la cybermenace à l’occasion des Jeux Olympiques cet été. Elle considère avec un degré de confiance élevé qu’en raison des tensions géopolitiques avec la Russie, les JO, qui s’ouvrent dans moins d’un mois, seront exposés à un “risque accru de cyberactivité malveillante”.

La Russie pourrait mener des campagnes de discréditation des JO

Plus précisément, WithSecure estime qu’il existe une menace “modérée à élevée” provenant de groupes soutenus par l’État russe, à la fois contre les infrastructures nationales et locales et contre le Comité international olympique (CIO). La Russie pourrait tout d’abord discréditer la France sur la scène internationale, en cas de raté dans l’organisation.
Elle pourrait également faire perdre le CIO en notoriété, après avoir annoncé le lancement en

Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-les-hackers-russes-forte-menace-lors-des-jeux-olympiques.N2215329

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Cybersécurité et protection des données : dernières recommandations avant les JO

banquedesterritoires.fr - Par Olivier Devillers, pour Laçais

Publié le 2 juillet 2024

À l'approche des JO, le risque cyber est plus que jamais d'actualité. Les centres de réponse aux incidents cyber (C-Sirt) ont aidé les collectivités à colmater des failles de sécurité sur leurs sites web. Des fiches de remédiation aux incidents ont également été diffusées. La Cnil a pour sa part publié une foire aux questions sur le volet numérique des JO.

Depuis plusieurs mois, l'Agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information (Anssi) alerte sur le risque d'une multiplication des cyberattaques à l'occasion des Jeux olympiques. Et si les 500 entités accompagnées par l'agence figurent en tête des cibles potentielles (voir ci-dessous), l'étendue des attaques pourrait être beaucoup plus vaste. La sensibilisation des pouvoirs publics aux risques se doit donc d'être la plus large possible.

Repérage massif de failles de sécurité

Toute entité symbolisant la France – notamment avec un domaine en .fr - est potentiellement menacée. Dans cet esprit, on signalera la mobilisation des centres de réponse aux incidents cyber (C-Sirt) régionaux pour aider les collectivités à remédier aux failles de sécurité de leurs services en ligne en amont des JO. Initiée par Breizh Cyber, en partenariat avec les C-Sirt métropolitains, ultramarins et la société Onyphe, cette campagne a eu lieu en avril 2024. L'objectif était de scanner via internet les vulnérabilités des sites et messageries de 25.334 entités publiques françaises, incluant 67% des communes (le reste n'ayant pas de site), 99% des intercommunalités et centres de gestion ainsi que la totalité des départements et régions.

Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/cybersecurite-et-protection-des-donnees-dernieres-recommandations-avant-les-jo

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Cybersécurité : Une nouvelle technique permet de contourner les restrictions éthiques des LLM

usine-digitale - Par Yoann Bourgin

Publié le 04 juillet 2024

Microsoft alerte sur le fonctionnement de “Skeleton Key”, une technique de "jailbreak" permettant d'outrepasser les protections de n’importe quel agent conversationnel pour la génération de contenus préjudiciables ou interdits. Une technique peu sophistiquée, mais à laquelle n’échappent pas les modèles les plus avancés d’IA générative, comme ceux d’OpenAI, Google ou Anthropic.

Avant chaque mise en service d’un modèle d’IA générative, les développeurs mettent en place des garde-fous, afin d’éviter que les chatbots ne génèrent du contenu discriminant ou illégal. Ces mesures de protection peuvent toutefois être contournées : l’équipe de sécurité de Microsoft a décrit sur son site le fonctionnement de “Skeleton Key”, qui se présente sous la forme d’une attaque par jailbreak. Elle permet à n’importe quel utilisateur de donner une instruction particulière à un agent conversationnel qui, en retour, générera du contenu interdit.

Neutralisation des garde-fous

Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-une-nouvelle-technique-permet-de-contourner-les-restrictions-ethiques-des-llm.N2215434

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Découvrez les nouvelles menaces en cybersécurité en 2024 !

Par Eléonore Dupont De la Rivière

Publié le 06 juillet 2024

Nous vivons à une époque où notre dépendance à l'égard de la technologie ne cesse de croître, et avec elle, les risques liés à la cybersécurité. En cette année 2024, ces menaces ont pris de nouvelles formes et sont plus sophistiquées que jamais. Cet article vise à vous informer des dernières tendances en matière de cybermenaces, des vulnérabilités des entreprises et des moyens pour y faire face.

Évolution des cybermenaces en 2024 : quelles sont les tendances ?

Cyberattaques : un phénomène en constante progression

Les cyberattaques sont devenues légion : selon une étude récente, leur nombre a augmenté de 300% par rapport à l'année précédente.

Nouvelles formes d'attaques : sophistication et ingéniosité

ette année, on observe une augmentation significative des ransomwares et des attaques par hameçonnage qui exploitent la crédulité humaine.

Type d’attaque Pourcentage d’augmentation

Ransomware 250%

Phishing 200%

Avant de nous pencher sur les vulnérabilités spécifiques auxquelles doivent faire face les entreprises, il est essentiel de comprendre comment ces nouvelles menaces se manifestent.

Les principales vulnérabilités des entreprises face aux nouvelles attaques

Lire la suite : https://www.secret-defense.org/cybersecurite/decouvrez-les-nouvelles-menaces-en-cybersecurite-en-2024/


Mobilité

Transports : quel est votre avis sur la mise en place de la gratuité ?

comptes.fr - CRC OCCITANIE 

Publié le 26 juin 2024

La Cour des Comptes réalise actuellement une enquête sur les transports urbains. Dans ce cadre, des questionnaires ont été adressés aux usagers de la TaM de Montpellier Méditerranée Métropole, afin de recueillir leurs avis suite à la mise en place de la gratuité des transports.

Des question sont parvenues à la Chambre régionale des comptes Occitanie, concernant cette enquête. Celle-ci prend en effet la forme d’un courriel, envoyé sur les adresses personnelles des usagers, qui leur propose ensuite de cliquer sur un lien pour répondre à des questions précises.

Il s’agit donc bien d’un travail de la Cour des comptes. Ce qui n’exonère pas de demeurer vigilant quant à la provenance de ce type de mail. Les usagers sont invités à vérifier l'adresse de l'expéditeur avant d'ouvrir tout courrier électronique.

Par ailleurs, pour celles et ceux qui souhaitent davantage d’informations sur ce sujet, rappelons que la Chambre régionale des comptes Occitanie a publié un rapport, en 2023, sur la TaM, délégataire de l’exploitation du réseau des transports publics de Montpellier Métropole Méditerranée, avant le passage à la gratuité. Ce rapport est consultable librement, en suivant ce lien.

Lire la suite : https://www.ccomptes.fr/fr/actualites/transports-quel-est-votre-avis-sur-la-mise-en-place-de-la-gratuite

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Mobilités : comment se déplacera-t-on dans l’agglomération dans dix ans ?

estrepublicains.fr - Par C.M.

Publié le 29 juin 2024

Le plan de mobilité sera bientôt soumis à enquête publique : il fixe les principes d’organisation des transports et de la circulation dans l’agglomération pour les 10 ans à venir. Principal objectif de Grand Besançon Métropole : réduire la part de la voiture de 57 % à 36 % et développer les autres modes de déplacement.

C’est un document de planification obligatoire pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants : le plan de mobilité (PDM) fixe les orientations du territoire en matière de déplacement pour les dix années à venir. Bref, un ensemble de principes, d’objectifs et d’actions qui sera bientôt soumis à enquête publique puisque le projet 2025-2035 a été acté ce jeudi soir, lors de la séance du conseil communautaire.

Des objectifs fixés par la loi

Le plan de mobilité ne sort pas de nulle part. Il doit évidemment prendre en compte les objectifs fixés par le Code des transports (et notamment la « diminution du trafic automobile ») mais aussi ceux que détermine la loi - parmi lesquels la part « vélo » à atteindre, soit 12 % des modes de déplacement d’ici à 2030.

69 % des déplacements font moins de 5 km

Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.estrepublicain.fr/transport/2024/06/29/mobilites-comment-se-deplacera-t-on-dans-l-agglomeration-dans-dix-ans 

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Des plaques d’immatriculation sur les trottinettes électriques en France ? C’est de plus en plus probable

journaldugeek.com - Par Olivier

Publié le 29 juin 2024

Actuellement, les utilisateurs de trottinettes électriques doivent être âgés d’au moins 14 ans, ils doivent aussi posséder une assurance responsabilité civile et respecter les règles de priorité des véhicules. Mais l’absence de plaques d’immatriculation complique la tâche des autorités pour verbaliser les contrevenants.

Après avoir adopté un code de la rue pour améliorer la cohabitation entre piétons et cycliste, la ville de Toulouse veut responsabiliser les utilisateurs de trottinettes électriques. Et le dossier de l’immatriculation de ces véhicules est revenu sur la table, comme le rappelle La Dépêche. « Lors des discussions sur le code de la rue, le respect des règles pour les trottinettes est revenu régulièrement », explique Maxime Boyer, l’adjoint au maire en charge de la mobilité.

Les plaques d’immatriculation obligatoires en Italie

C’est pourquoi durant le dernier conseil municipal, une proposition a été votée pour demander au gouvernement d’instaurer des plaques d’immatriculation pour les trottinettes électriques. « Cela permettra aux policiers municipaux et aux agents de vidéoverbalisation de savoir qui est le propriétaire », ajoute Maxime Boyer. Le vœu inclut également la proposition de rendre l’assurance des trottinettes obligatoire et de renforcer les contrôles de motorisation.

Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/06/29/des-plaques-dimmatriculation-sur-les-trottinettes-electriques-en-france-cest-de-plus-en-plus-probable/

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L'Aéroport de Marseille se dote d'une solution biométrique

tourmag.com Par Manon Morelli

Publié le 26 juin 2024

L’Aéroport de Marseille-Provence a sélectionné IN Groupe pour mettre en place une carte d’embarquement biométrique pour faciliter le parcours voyageur.

IN Groupe a été choisi par l'Aéroport de Marseille-Provence pour mettre en place la solution Fly’IN – Fast Track.

Cette solution permet aux voyageurs de créer une carte d’embarquement biométrique associant leur photo à leur titre de transport. Fly’IN respecte les exigences de sécurité des données personnelles grâce à une biométrie qui ne nécessite pas de base de données centralisée, assurant ainsi que les passagers gardent le contrôle de leurs données.

Cette initiative vise à offrir une expérience de voyage plus fluide et sécurisée.

L'Aéroport de Marseille-Provence est le premier à adopter cette technologie développée par IN Groupe, conforme aux plus hautes exigences réglementaires en matière de protection et d'utilisation des données privées et biométriques.

La solution Fly’IN – Fast Track innove en combinant automatiquement et de manière sécurisée la carte d’embarquement, le titre d’identité et la photo du voyageur. Ces informations restent toujours en possession du voyageur. L'opération est simple et peut être effectuée via l'application mobile de l'aéroport à tout moment, ou directement à l'aéroport sur l'une des bornes libre-service dédiées à l'enregistrement des passagers. Cette combinaison permet au voyageur d’obtenir une carte d’embarquement biométrique.

Lire la suite : https://www.tourmag.com/L-Aeroport-de-Marseille-se-dote-d-une-solution-biometrique_a123294.html

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Extramobile : les futures lignes de transports en commun de la Métropole

lillemetropole.fr - Communiqué

Publié le 24 juin 2024

Extramobile, ce sont les grands projets qui feront bouger les mobilités dans la métropole. Ils proposeront de nouvelles offres et solutions de déplacements, performantes, économiques et de qualité.

Un réseau de transport transformé

Le projet prévoit de développer et renforcer le réseau de transport existant pour multiplier les dessertes et les connexions.

De nouvelles lignes structurantes :

  • 2 projets de tramway,
  • 2 projets de bus à haut niveau de service (un nouveau mode bus/tramway),
  • 26 communes traversées par les nouvelles lignes.

Un réseau plus performant

  • Prolongement de la ligne 1 du métro vers Eurasanté.
  • Évolution du tramway existant (lignes Lille-Roubaix Eurotéléport et Lille-Tourcoing).
  • Création de nouvelles liaisons express en bus ou en cars pour relier rapidement deux pôles urbains grâce à des aménagements dédiés.
  • Optimisation de Lianes existantes afin de les rendre plus performantes avec davantage de voies réservées et des priorités au feu.

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Mobilités, données et territoire. Quels retours d'expériences ? Retour sur le Rendez-Vous Mobilités du 23 mai 2024

cerema.fr -

Publié le 25 juin 2024

Retour sur les échanges du Rendez-Vous Mobilités organisé par le Cerema avec ATEC ITS France et France Mobilités le 23 mai 2024 sur les retours d'expérience en matière d'exploitation des données de mobilité et les nouvelles pratiques.

Les données ont de la valeur ! Elles contribuent à l'émergence de service de mobilité fiables que les usagers recherchent. Les règlements délégués de la Commission Européenne établissent les spécifications nécessaires pour garantir l’accessibilité, l’échange, la réutilisation et la mise à jour des données par leurs détenteurs. Ils offrent un cadre pour la mise à disposition de services d’informations en temps réel sur la mobilité.

La donnée au cœur des stratégies de mobilité

Ces règlements s’appliquent à l’ensemble du réseau routier accessible au public, à l’exception de certaines voies privées. Cette Conférence Technique Territoriale (CTT) est revenue sur ces règlements européens pour préciser aux gestionnaires routiers leurs obligations. Elle a montré, avec des exemples locaux, les bénéfices partagés de cette mise à disposition des données.

La CTT "Mobilités, données et territoires : retours d’expérience" du 23 mai 2024 a permis de faire le point sur les nouvelles pratiques en matière de partage et de (ré)utilisation de données de mobilité et de services innovants, par la présentation de solutions opérationnelles et le partage d’expériences des acteurs de la mobilité dans les territoires de la région PACA. 

Plus de 80 personnes ont assisté à cette journée co-organisée par ATEC ITS, France Mobilité et le Cerema.

Les interventions de la journée

Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/mobilites-donnees-territoire-quels-retours-experiences

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Voici MobiOne, un nouveau concept de mobilité inventé par trois ingénieurs liégeois pour... mettre fin aux embouteillages

www.rtl.be - Par RTL info avec Vincent Jamoulle et David Muller

Publié le 23 juin 2024

Trois ingénieurs liégeois pensent avoir trouvé la solution aux embouteillages. Ils développent un nouveau concept de mobilité : un petit véhicule électrique qui est à mi-chemin entre la voiture et le vélo. Ils cherchent à présent des partenaires pour développer leur projet.

Si les embouteillages vous rendent dingue, ou que le vélo ce n'est pas pour vous, voici un compris qui pourrait vous intéresser : MobiOne. Il s'agit d'une mini voiture électrique, qui peut éviter les bouchons en empruntant les zones réservées aux cyclistes. 

Alexandre Simonis, un des responsables du projet, donne des détails sur son invention : "Légalement, ce sera un cyclomoteur de classe A, limité à 25 km heure et qu'on peut conduire sans permis. Et donc effectivement, il est dimensionné sur la même dimension qu'un vélo-cargo électrique pour pouvoir rouler sur les pistes cyclables".

Lire la suite : https://www.rtl.be/actu/belgique/societe/voici-mobione-un-nouveau-concept-de-mobilite-invente-par-trois-ingenieurs/2024-06-23/article/683111

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Grand Paris : comment la ligne 14 peut transformer la Seine-Saint-Denis

latribune.fr - Par Alexandre Schmitt

Publié le 24 Juin 2024

Après huit ans de travaux, le prolongement de la ligne 14 au nord et au sud de Paris a été inauguré ce lundi 24 juin. A la nouvelle gare de Saint-Denis Pleyel, et dans l'ombre d'Emmanuel Macron, les élus locaux se réjouissent de l'arrivée de la ligne sur leur territoire. Reportage.

Sous le soleil éclatant du mois de juin, debout sur le parvis de la gare de Saint-Denis Pleyel, la centaine d'invités attend patiemment l'arrivée du président de la République. Ce lundi, les Dionysiens voient arriver pour la première fois la ligne 14 jusqu'à eux.

Le prolongement aura coûté 3,5 milliards d'euros, intégralement financés par la Société des grands projets (SGP). L'extension devra profiter à 250.000 habitants, en 2031, au nord de Paris et en Seine-Saint-Denis selon Île-de-France Mobilités (IDFM).

Dans une période où la Seine-Saint-Denis est sous le feu des projecteurs, les élus locaux accueillent cette nouveauté avec enthousiasme. Le 93 accueillera une grande partie des épreuves pendant les Jeux olympiques, ainsi que les villages des athlètes et des médias. Pour Mathieu Hanotin, président de Plaine Commune et maire (PS) de Saint-Denis, cette gare fera de sa ville le « cœur battant de la métropole parisienne ».

Connecter la Seine-Saint-Denis à Paris

Lire la suite : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/grand-paris-comment-la-ligne-14-peut-transformer-la-seine-saint-denis-1000643.html

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Kairos EV : l’étonnant véhicule électrique à trois roues français

Par Olivier le 23 juin 2024

Le Kairos EV mis au point par l’association française SIREMS multiplie les dispositifs de sécurité pour les véhicules électriques à trois roues.

Les véhicules électriques à trois roues sont réputés pour leur agilité mais ils présentent plusieurs défis en termes de sécurité par rapport aux voitures à quatre roues. Le Kairos EV, conçu par Mathieu L’Hopitault et développé par l’association SIREMS, veut changer cette perception grâce à deux systèmes de sécurité qui sortent de l’ordinaire.

Meilleure stabilité, plus grande sécurité

Contrairement aux autres véhicules à trois roues qui placent les deux roues à l’avant pour assurer la stabilité dans les virages, le Kairos adopte une approche différente en les plaçant… à l’arrière. Cette disposition, combinée à une position de conduite semi-inclinée et les pieds en avant, permet de placer la majorité du poids du conducteur sur les roues arrière, ce qui optimise la traction. Les roues arrière du Kairos s’inclinent par rapport au corps principal du véhicule lors des virages, permettant au véhicule de pencher dans les virages pour une plus grande maniabilité.

Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/06/23/kairos-ev-letonnant-vehicule-electrique-a-trois-roues-francais/

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La première liaison hyperloop est prévue en 2035 en Chine

journaldugeek.com Par Olivier

Publié le 23 juin 2024

La Chine a l’intention de mettre en service un système de transport hyperloop d’ici 2035. Ce projet, qui reliera Shanghai à Hangzhou, marquera une avancée très importante dans le domaine des transports à très haute vitesse.

La Chine, qui est déjà un des leaders mondiaux dans le secteur des technologies ferroviaires à grande vitesse, se tourne résolument vers l’hyperloop, un système de transport utilisant des tunnels sous vide pour des vitesses allant jusqu’à 1.000 km/h. Le projet concerne une ligne de 150 km entre Shanghai et Hangzhou, qui permettra de réduire le temps de trajet à environ 15 minutes, contre 1 heure actuellement en train à grande vitesse.

La Chine plein pot sur le train à très grande vitesse

Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/06/23/la-premiere-liaison-hyperloop-est-prevue-en-2035-en-chine/

Identité

Cette application peut-elle empêcher l’usurpation d’identité professionnelle ?

media24.fr - Publié par : Eric Garletti

Publié le 28 juin 2024

L’usurpation d’identité affecte un nombre croissant d’individus et d’entreprises. En 2021, la France a vu 210 000 de ses citoyens victimes de ce type de fraude, révélant la vulnérabilité des systèmes de sécurité actuels dominés par le facteur humain, responsable de plus de 99% des incidents de sécurité. Les prévisions de Juniper Research suggèrent que l’impact financier de ces fraudes pourrait grimper jusqu’à 190 milliards d’euros d’ici 2025. Face à cette menace grandissante, une application mobile innovante, WeCA, émerge comme un bouclier potentiel contre l’usurpation d’identité professionnelle.

WeCA : Une solution complète pour sécuriser les interactions professionnelles

WeCA propose une réponse concrète aux défis posés par l’usurpation d’identité en entreprise et dans les interactions quotidiennes. Grâce à une interface intuitive et une technologie de clés éphémères, WeCA permet aux utilisateurs de vérifier l’identité de leurs interlocuteurs en temps réel, que ce soit en face à face, à distance ou en ligne. L’application offre plusieurs fonctionnalités dédiées :

  • L’identification en face à face : via un QR Code, offrant une confirmation instantanée incluant photo, fonction et logo de l’organisation.
  • L’identification à distance : par un code alphanumérique pour une vérification similaire.
  • L’identification de sites internet : via un QR Code sur les sites partenaires pour authentifier la légitimité du site visité.

Cette solution SaaS permet également une intégration fluide dans les systèmes existants des entreprises, sans perturber leurs opérations habituelles.

Lire la suite : https://media24.fr/2024/06/28/cette-application-peut-elle-empecher-lusurpation-didentite-professionnelle/ 

Intelligence artificielle

IA : les emplois qualifiés seraient les plus susceptibles d'être impactés

lesnumeriques.com - Par Passim Chentouf

Publié le 24 juin 2024

Une nouvelle étude, basée sur les prédictions de GPT-4-LLM et une analyse humaine, montre que les métiers qualifiés sont les plus susceptibles d'être impactés par l'adoption de l'IA. Les métiers manuels seraient à l'abri des perturbations liées à cette technologie.

Depuis la généralisation de l’IA auprès du grand public, plusieurs études alertent sur ses conséquences dans le monde du travail, bonnes comme mauvaises. Selon un rapport publié dans Science, ces modèles sont plus susceptibles d’impacter les hauts revenus et les professions qualifiées, comme les ingénieurs en informatique et les experts en science des données.

18,5 % des professions seraient impactées par l’IA

Basée sur 923 professions, l’étude dévoile que 18,5 % des employés pourraient voir la moitié de leurs tâches effectuées par de nouvelles avancées technologiques comme l’IA. Il s’agit d’une prédiction du modèle GPT-4-LLM, qui a été soumis à plusieurs variables, ainsi que d’une analyse humaine. Le grand modèle de langage a analysé si la technologie était en mesure de réduire au moins de moitié le temps nécessaire pour accomplir une tâche sans impacter sa qualité.

L’étude a été pilotée par deux employés d’OpenAI (entreprise à laquelle on doit ChatGPT) et par le Centre for the Governance of AI, une organisation à but non lucratif britannique.

Les métiers manuels échapperaient à l’IA

Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/intelligence-artificielle/ia-les-emplois-qualifies-seraient-les-plus-susceptibles-d-etre-impactes-n223140.html

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Dans l’IA, les profits avant tout

cafetech.substack.com - Par Jérôme Marin

Publié le 34 juin 2024

Comment la course aux profits s'est imposée dans l'intelligence artificielle

Ilya Sutskever n’a pas tardé à rebondir. À peine un mois après sa démission, l’ancien directeur scientifique d’OpenAI vient de lancer une nouvelle start-up spécialisée dans l’intelligence artificielle générative. Sa mission se retrouve dans son nom: Safe Superintelligence. Autrement dit, développer une “super-intelligence sûre”, explique son fondateur, accompagné dans ce projet par l’ancien responsable de l’IA chez Apple. “C’est notre unique objectif”, assure-t-il. Et de promettre de ne pas céder à des “pressions commerciales de court terme”, en multipliant les lancements de produits pour satisfaire les intérêts financiers des actionnaires. En quelque sorte, il souhaite mener à bien la mission que s’était initialement fixée le concepteur de ChatGPT, désormais davantage focalisé vers la recherche de profits.

Les profits avant tout – Safe Superintelligence fait presque office d’exception. Dans le secteur de l’IA, “la sécurité a été reléguée au second plan”, dénonce Jan Leike, qui vient également de quitter OpenAI. Même chose pour la recherche fondamentale, elle aussi supplantée par les immenses enjeux financiers. L’entraînement des derniers modèles nécessite en effet une importante puissance de calcul. Cela se traduit par des investissements massifs, pour acheter des cartes graphiques ou utiliser une plateforme de cloud. Et par des levées de fonds se chiffrant en centaines de millions, voire en milliards de dollars. Sur un marché très concurrentiel, c’est une course de vitesse qui s’est donc engagée, avec en ligne de mire des retombées commerciales potentiellement énormes, tant l’IA pourrait révolutionner de nombreux métiers.

Chez Google, la recherche sacrifiée

Lire la suite : https://cafetech.substack.com/p/dans-lia-les-profits-avant-tout?utm_source=post-email-title&publication_id=51206&post_id=145922158&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=2ryw6&triedRedirect=true&utm_medium=email

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IA vs IA : face aux deepfakes, un algorithme serait notre meilleur atout

science-et-vie.com - Par Antoine Ducarre

Publié le 24 juin 2024

Avec l'avènement de l’intelligence artificielle, les dérives sont, elles aussi, en pleine expansion.

EN BREF

• Des scientifiques ont développé un algorithme d'IA, MISLnet, capable de détecter les deepfakes avec 98% de précision, selon une étude publiée sur arXiv en avril 2024.

• L’algorithme utilise une méthode d'apprentissage pour distinguer les "traces" laissées par les programmes d'IA générative, surpassant d'autres outils avec une précision supérieure.

• Cette avancée représente un pas significatif dans la lutte contre les deepfakes, offrant une méthode plus efficace pour identifier les contenus générés par IA.

Il n’est pas rare que lorsqu’une nouvelle technologie se développe et arrive entre les mains du grand public, des dérives concernant son utilisation voient le jour. C’est le cas des deepfakes qui grâce à l’intelligence artificielle ont pu se répandre sur Internet. 

Face à ce fléau, qui pourrait être une menace à bien des égards, des scientifiques auraient réussi à mettre au point un algorithme d’IA capable de détecter les deepfakes avec une précision dite de 98%. L’étude a été publiée sur arXiv en avril 2024, sous le nom de “Beyond Deepfake Images : Detecting AI-Generated Videos” (Au-delà des fausses images de Deepfake : Détection des vidéos générées par l'IA).

Que sont les deepfakes ? 

Lire la suite : https://www.science-et-vie.com/cerveau-et-intelligence/intelligence-artificielle/ia-vs-ia-face-aux-deepfakes-un-algorithme-serait-notre-meilleur-atout-141081.html

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IA : meta lance un programme pour les start-up européennes en france

bfmtv.com - OC avec AFP

Publié le 24 juin 2024

Lancé en partenariat avec Scaleway et la pépite française Hugging Face, ce nouveau programme accompagnera cinq start-up européennes de septembre 2024 à février 2025.

Meta a annoncé lundi le lancement en France d'un nouveau programme dédié à l'intelligence artificielle (IA) en source ouverte pour les start-up européennes, qui peinent à rester compétitives, selon le géant américain.

"Nous avons un vrai problème en Europe, nous sommes en train de nous faire dépasser à toute vitesse par les Etats-Unis et la Chine", a déclaré à l'AFP, Nick Clegg, ancien vice-Premier ministre britannique et responsable des affaires internationales de Meta.

"Pendant trop longtemps, on a pensé que le seul rôle de l'Europe était de réguler, pendant que la Chine copie et l'Amérique innove", a-t-il poursuivi.

"On ne parvient pas au succès grâce à des réglementations mais grâce à l'innovation, l'entrepreneuriat et des partenariats entre les géants de la tech et des petites start-up, ce qui correspond aux ambitions de ce programme", a complété Nick Clegg.

Approche open-source

Lire la suite : https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/ia-meta-lance-un-programme-pour-les-start-up-europeennes-en-france_AD-202406240174.html

Détection

Le logiciel de détection des gestes suspects de la start-up Veesion n'est pas conforme au RGPD

usine-digitale.fr - Par Alice Vitard

Publié le 24 juin 2024

Le Conseil d'Etat a rejeté le référé de l'entreprise Veesion qui demandait la suspension de l'exécution du courrier de la Commission nationale de l'informatique et des libertés jugeant que son logiciel de détection des gestes suspects pour le retail n'était pas conforme au RGPD. Notamment, il ne remplit pas les conditions de la loi du 19 mai 2023 qui autorise, à titre expérimental, le traitement algorithmique des images collectées au moyen de systèmes de vidéosurveillance. 

Mise à jour (26/06/2024) : La société Veesion a également objecté auprès de la Cnil, qui lui a donné un délai d'un mois pour présenter ses observations quant à ce manquement.
Article original : Le logiciel de "reconnaissance des gestes", développé et commercialisé par l'entreprise Veesion, n'est pas conforme au Règlement général sur la protection des données (RGPD), a conclu la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) dans un courrier du 6 juin 2024 envoyé à l'entreprise française. Cette dernière a contesté cette décision devant le Conseil d'Etat dans le cadre d'une procédure de référé-suspension, une procédure d'urgence permettant d'obtenir la suspension d'une décision administrative.
Fondée par Benoît Koenig, Thibault David et Damien Ménigaux, Veesion est une entreprise qui a développé et commercialise un logiciel de détection des "comportements suspects en temps réel" grâce à l'intelligence artificielle. Dédié au secteur du retail pour détecter les vols à l'étalage, il est installé sur des boîtiers ajoutés au dispositif de vidéosurveillance d'un magasin.

Les prétentions de Veesion rejetées

Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.usine-digitale.fr/article/le-logiciel-de-detection-des-gestes-suspects-de-la-start-up-veesion-n-est-pas-conforme-au-rgpd.N2214959 

Spoofing

Skyjacker va donner du fil à retordre aux drones malveillants durant les JO

journaldugeek.com - Par Olivier

Publié le 23 juin 2024

Safran déploiera cet été son système de brouillage GPS de pointe Skyjacker pour protéger les Jeux Olympiques de Paris contre les menaces des drones. Cette technologie a pour mission d’assurer une sécurité optimale pour l’événement.

Safran a donné plus d’informations sur son système de brouillage GPS de pointe, nommé Skyjacker, qui va servir à protéger les Jeux Olympiques de Paris 2024. Ce dispositif présenté lors du salon Eurosatory est conçu pour neutraliser les drones malveillants en leur transmettant de faux signaux GPS. Cette technique, connue sous le nom de « spoofing », désoriente les drones en leur faisant croire qu’ils se trouvent à une autre position géographique, les empêchant ainsi de mener à bien leurs missions.

Un bouclier contre les menaces aériennes

Skyjacker utilise un capteur optronique et un radar pour détecter les drones et leur envoyer des signaux erronés. Le système est modulable et peut être monté sur diverses plateformes, des navires aux installations fixes. L’idée est de mettre en œuvre une réponse rapide et adaptée à la menace. Safran espère que Skyjacker sera une solution de choix non seulement pour les missions militaires mais aussi pour la protection de grands événements civils — à l’image des JO.

Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/06/23/skyjacker-va-donner-du-fil-a-retordre-aux-drones-malveillants-durant-les-jo/

Implants cérébraux

Elon Musk annonce la fin du smartphone : voici la tech qui va le remplacer

lebigdata.fr - Par Nirina.R.

Publié le 24 juin 2024

Elon Musk, connu pour ses visions futuristes, a encore frappé fort. Cette fois, il prédit la fin imminente des smartphones, remplacés par une technologie encore plus avancée : les interfaces cérébrales directes, comme celle développée par Neuralink.

« Les smartphones deviendront bientôt obsolètes. » C'est avec ces mots qu'Elon Musk, le PDG de Neuralink, a secoué le monde technologique. Il est convaincu que les puces cérébrales, comme celles que développe sa société, sont l'avenir.

En réponse à un article sur X, un réseau social, Musk a précisé sa vision : « Dans le futur, il n'y aura pas de téléphones, juste des Neuralinks. » Cette prédiction repose sur la capacité des BCI (interfaces cérébrales directes) à offrir une communication plus directe et efficace.

Esprit connecté : l'Intrigante évolution de Neuralink

Neuralink, sous la direction de Musk, a déjà commencé à réaliser cette vision futuriste. Rappelons que la société a fait des progrès significatifs avec ses technologies de puce cérébrale.

Un exemple frappant est celui de Noland Arbaugh, un homme de 29 ans qui est resté paralysé des épaules aux pieds après un accident survenu il y a huit ans. Le 28 janvier, Arbaugh a subi une intervention chirurgicale pour implanter une puce Neuralink dans son cerveau.

Video sur Youtube (en anglais) Par Keralakaumudi.com : https://www.youtube.com/watch?v=fkcP4qAWQdU&t=45s

Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/elon-musk-annonce-la-fin-du-smartphone-voici-la-tech-qui-va-le-remplacer?utm_source=ownpage&utm_medium=email&utm_campaign=20240627&_ope=eyJndWlkIjoiNGVlYjIyNmM3MzM1MWMwZjE1ZTRmODEzNDIzNjc5ZGEifQ%3D%3D 

Défense Nationale

SAFRAN développe la communication optique laser pour la défense du futur

vipress.net  -  Posté par Pascal Coutance

Publié le 21 Juin 2024

Fournir aux forces armées une solution de communication à très haut débit qui s’affranchit des risques d’interception et de brouillage, tel est l’objectif de la technologie optique laser développée par Safran Electronics & Defense.

Lors du salon Eurosatory qui ferme ses portes aujourd’hui, Safran Electronics & Defense a annoncé mettre au point une nouvelle solution de communication à très haut débit à destination des forces armées qui s’affranchit des risques d’interception et de brouillage

Tirant partie du savoir-faire de l’équipementier français dans les domaines de la navigation inertielle, de l’optronique et de la communication, la solution proposée est basée sur la communication optique par laser.

La technologie de communication optique par laser développée par Safran reposera sur des terminaux pouvant à la fois émettre et recevoir des communications optiques – l’un pour envoyer des données encodées dans un faisceau laser, l’autre pour le recevoir et le convertir en informations numériques – afin que les utilisateurs puissent partager des messages, images et vidéos à plusieurs dizaines de kilomètres de distance, voire davantage encore en se servant de satellites comme relais.

Lire la suite : https://vipress.net/safran-developpe-la-communication-optique-laser-pour-la-defense-du-futur/

Commission Européenne

L’Europe se dit fière de l’abandon d’Apple Intelligence en France

Apple a-t-il eu peur ?

Cet article existe grâce à Numerama+

numerama.com - Par Nicolas Lellouche

Interrogée par Numerama, la Commission européenne juge positivement la décision d’Apple de ne pas lancer plusieurs fonctions d’iOS 18 en France. Elle y voit la preuve que cette « intégration de l’IA peut être anticoncurrentielle » et que la régulation permise par la législation DMA pousse les grandes plateformes à la prudence.

Apple publiera cet automne des nouveautés majeures sur ses appareils, dont Apple Intelligence (des intelligences artificielles génératives intégrées à ses systèmes d’exploitation) et iPhone Mirroring (l’écran de son iPhone sur son Mac). Ces fonctions n’arriveront pas dans l’immédiat dans l’Union européenne, car l’entreprise américaine dit craindre « des incertitudes réglementaires engendrées par le Digital Markets Act (DMA) ».

Le bras de fer entre Apple et la Commission européenne n’est pas nouveau, mais il n’avait jusque-là jamais incité la marque à bloquer des nouveautés en Europe. La marque californienne espère sans doute que sa clientèle du Vieux Continent fera pression sur l’UE dans le but de lui faire assouplir sa politique. Interrogée par Numerama, la Commission européenne, qui vient de condamner Apple pour violation du DMA, voit les choses autrement. De son point de vue, la capitulation d’Apple est une victoire pour la régulation européenne.

« Un signe d’inquiétude pour le reste du monde » : Bruxelles se félicite du blocage

Lire la suite : https://www.numerama.com/tech/1765698-leurope-se-dit-fiere-de-labandon-dapple-intelligence-en-france.html?utm_campaign=Artificielles49&utm_medium=email&utm_source=newsletter_edito 

CNIL

La CNIL lance une nouvelle consultation publique pour le développement de systèmes d’IA respectueux des droits de l’Homme

actuia.com - par Thomas Calvi

Publié le 24 juin 2024

“Permettre aux entreprises de concilier innovation et respect des droits des personnes” : tel est l’objectif que la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) poursuit avec ses recommandations. Après avoir soumis une première série de fiches pratiques à consultation publique en 2023, à l’issue de laquelle elle a publié le 8 avril dernier ses premières recommandations sur l’application du RGPD au développement des systèmes d’IA, elle lance une nouvelle consultation publique portant sur une deuxième série de fiches pratiques et un questionnaire consacré à l’encadrement du développement des systèmes d’IA.

Pour la CNIL, le RGPD a vocation à s’appliquer à l’ensemble des traitements de données personnelles, à la fois dans le secteur public et le secteur privé, à l’exception toutefois des traitements relevant du régime spécifique aux secteurs “police-justice” ou du régime intéressant la défense nationale ou la sûreté de l’État.

Les principaux acteurs français de l’IA, qu’il s’agisse d’entreprises, de laboratoires ou encore des pouvoirs publics, rencontrés par la CNIL, ont fait remonter un fort besoin de sécurité juridique mais aussi des inquiétudes liées au RGPD : selon certains, ses principes de finalité, de minimisation, de conservation limitée et de réutilisation restreinte freineraient voire empêcheraient certaines recherches ou applications de l’intelligence artificielle. Les 7 premières fiches ont donc abordé ces problèmes et ont également clarifié certaines règles applicables à la recherche scientifique, à la réutilisation de bases de données ou à la réalisation d’analyse d’impact sur la protection des données (AIPD).

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/la-cnil-lance-une-nouvelle-consultation-publique-pour-le-developpement-de-systemes-dia-respectueux-des-droits-de-lhomme/

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Cybersécurité

NetApp reçoit la note AAA pour la toute première solution intégrée de détection des rançongiciels optimisée par l’IA

itespresso.fr - Par BusinessWire

Publié le 27 juin 2024

NetApp® (NASDAQ : NTAP), le spécialiste des infrastructures de données intelligentes, annonce ce jour que sa solution NetApp ONTAP® Autonomous Ransomware Protection with Artificial Intelligence (ARP/AI) a reçu une notation AAA de SE Labs, une société de tests indépendante qui évalue des produits et services de sécurité. SE Labs a validé l’efficacité de protection de NetApp ARP/AI avec un rappel de 99 % (un indicateur qui mesure les taux de détection des logiciels malveillants) pour les attaques de ransomware, tout en soulignant l’absence de faux positifs.

Lorsque vous ripostez face aux attaques de ransomwares, quelques secondes peuvent faire la différence entre assurer la continuité des opérations et une perturbation massive. Les entreprises ont besoin de capacités de détection et de réponse rapides, automatisées et précises intégrées à leurs systèmes de stockage primaires pour minimiser les impacts causés par la perte de données de production et les temps d’arrêt. Avec sa capacité de détection des ransomwares optimisée par l’IA, NetApp ARP/AI comble cette lacune en fournissant une détection et une réponse en temps réel afin de minimiser l’impact des menaces de cybersécurité.

SE Labs a rigoureusement testé NetApp ARP/AI avec des centaines de variantes de ransomware connues et a observé des résultats impressionnants. NetApp ARP/AI a démontré une détection à 99 % des attaques avancées de ransomware. NetApp ARP/AI a également réalisé une détection à 100 % des fichiers légitimes sans signaler de faux positifs, ce qui indique une capacité éprouvée à opérer dans un contexte d’entreprise sans occasionner le stress lié aux fausses alertes.

Lire la suite : https://www.itespresso.fr/press-release/netapp-recoit-la-note-aaa-pour-la-toute-premiere-solution-integree-de-detection-des-rancongiciels-optimisee-par-lia

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Renforcer la cybersécurité pendant les Jeux Olympiques : l'importance d'une collaboration multipartite

journaldunet.com - Chronique de Sandy Le Corre

Publié le 24 juin 2024

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 soulèvent des enjeux de cybersécurité en France, intensifiant l'activité cybercriminelle. Une collaboration entre gouvernement, fournisseurs de sécurité et entreprises s'impose.

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 mettent à nouveau les enjeux de cybersécurité en lumière en France. L’organisation d’événements de cette ampleur entraine une intensification de l'activité cybercriminelle ainsi qu’un risque pour la sécurité, la réputation et la continuité des activités des entreprises. Une collaboration multipartite entre les autorités gouvernementales, les fournisseurs de services de sécurité et les entreprises est indispensable à la résilience de ces dernières. 

Cybersécurité et entreprises 

Le baromètre annuel que nous menons avec OpinionWay nous permet de mesurer l’état d’esprit des entreprises sur leur capacité à gérer une crise cyber. Selon le dernier en date, 29 % des dirigeants considèrent le risque cyber comme l'un des principaux risques pour leur entreprise(1). Si le contexte géopolitique récent a été un déclic pour un certain nombre d’entre eux, tout laisse à penser que leur inquiétude devrait s’accroître à l’approche des JO.

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1531093-renforcer-la-cybersecurite-pendant-les-jeux-olympiques-l-importance-d-une-collaboration-multipartite/

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IA et cybersécurité : Quels avantages ? Quels risques ?

datascientest.com - Par Jérémy Robert

Publié 24 Juin 2024
Le marché de l’IA en cybersécurité devrait passer de 1 milliard de dollars à 34,8 milliards de dollars d’ici 2025. Avec des pirates informatiques de plus en plus sophistiqués, de données en constante augmentation, des surfaces d’attaques en extension… Les experts en sécurité informatiques doivent utiliser tous les outils à leur disposition pour protéger les données. L’intelligence artificielle en fait partie. Mais si cette technologie est d’une aide précieuse pour se protéger des menaces cyber, elle est loin d’être sans risque.

6 avantages de l’utilisation de l’IA et cybersécurité

Capable de traiter l’énorme volume de données à la vitesse de l’éclair, l’IA se révèle être un allié indispensable en matière de cyberdéfense. Voici ses atouts.

1 - L'erreur humaine

Même si l’erreur est humaine, elle peut parfois être dramatique en matière de sécurité informatique. Or, en cas de remplacement, modification ou mise à jour du système réseau, ces erreurs sont d’autant plus plus fréquentes ; laissant ainsi le champ libre à des pirates mal intentionnés. 

Pour mettre en place un système de management de la sécurité informatique efficace, il est primordial de réaliser un certain nombre de tâches, notamment autour de la configuration réseau. Or, ces tâches indispensables sont particulièrement chronophages. Les experts cyber peuvent passer des heures à paramétrer le réseau, plutôt que de se focaliser sur l’analyse des vulnérabilités. 

Heureusement, l’IA peut prendre en charge ces tâches fastidieuses et les automatiser. 

Lire la suite : https://datascientest.com/ia-et-cybersecurite-tout-savoir

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Face la croissance exponentielle et l’automatisation des cyberattaques, Orange Cyberdéfense lance une plateforme communautaire pour vérifier la légitimité d'un site ou d'un sms.

lyoncapitale.fr - Par Guillaume Lamy

Publié le 29 juin 2024

"On imagine 8 à 10 fois plus d'attaques potentielles pendant les Jeux olympiques et paralympiques d'été de Paris que pendant ceux de Tokyo". Gérard Vallet est le directeur Auvergne-Rhône-Alpes d'Orange Cyberdéfense, la filiale de l'opérateur dédiée à la cybersécurité.

Globalement, aujourd'hui, toute actualité - on le voit avec les élections législatives - est accompagnée d'un risque cyber. Les élections législatives ne font pas exception. Dans une note datée du 25 juin, le ministre de l'Intérieur alerte les préfets sur "plusieurs risques sécuritaires" concernant le scrutin. Il cite notamment "la menace terroriste" et "des actions de déstabilisation ciblées" en lien avec "le contexte international", ciblant en particulier la Russie.

8 à 10 fois plus de cyberattaques prévues pendant les JO de Paris

En 2023, 2 français sur 3 ont déclaré recevoir des messages suspects chaque semaine (1) et 280 000 demandes d'assistance pour fraude numérique ont été enregistrées sur un an sur la plateforme d'aide aux victimes de cybermalveillance du gouvernement, avec, c'est le phénomène de l'année, + 78% d'attaques téléphoniques aux faux conseillers bancaires.

Face la croissance exponentielle et l’automatisation des cyberattaques, Orange a mis en place une plateforme, accessible à tous, "quel que soit son opérateur", sur laquelle tout particulier, pourra vérifier, gratuitement, par un simple copier/coller, la légitimité d’un site, d’un lien, d’un email ou d’un SMS qui lui semble suspect. "Comme plateforme communautaire, il faut bien voir ce portail comme le 'Waze de la cybersécurité' ", souligne Gérald Vallet.

Le site cybersecure d'Orange est accessible ici.

Lire la suite : https://www.lyoncapitale.fr/actualite/orange-lance-le-waze-de-la-cybersecurite 

Technologies émergentes

Forrester présente son top 10 des technologies émergentes pour 2024 : l’IA générative, les TuringBots et la sécurité IoT devraient générer le retour sur investissement le plus rapide

itespresso.fr - Par BusinessWire, 

Publié le 25 juin 2024

Sponsorisé par Businesswire

Selon le rapport de Forrester (Nasdaq : FORR) intitulé The Top 10 Emerging Technologies In 2024, l’IA générative pour le contenu visuel, l’IA générative pour le langage, les TuringBots et la sécurité IoT sont les meilleures technologies émergentes qui fourniront le retour sur investissement le plus immédiat pour les entreprises en 2024 et au-delà.

Alors que de nouvelles technologies semblent apparaître tous les jours, les chefs d’entreprise et les responsables technologiques doivent calculer quand réaliser ces investissements en fonction de la valeur, des risques et des délais de rendement potentiels. Forrester répertorie les meilleures technologies émergentes en fonction du calendrier des bénéfices pour aider à prendre ces décisions.

Les technologies émergentes qui offriront d’importants avantages au cours des deux prochaines années sont :

  • IA générative pour le contenu visuel. Modèles avancés d’apprentissage automatique qui génèrent des images ou des vidéos à partir d’invites textuelles, audio ou vidéo, cette technologie aidera les entreprises à générer du contenu visuel pour le marketing, les expériences et les produits.
  • IA générative pour le langage. L’IA générative pour le langage offre déjà de la valeur dans le support client et la création de contenu, mais continue d’avancer à un rythme exponentiel. Elle accélère également la progression de nombreuses autres technologies.
  • TuringBots. Accélérés par les progrès de l’IA générative pour le langage, ces robots logiciels optimisés par l’IA aident les développeurs à créer des applications qui offrent plus qu’une simple génération de code.

Lire la suite : https://www.itespresso.fr/press-release/forrester-presente-son-top-10-des-technologies-emergentes-pour-2024-lia-generative-les-turingbots-et-la-securite-iot-devraient-generer-le-retour-sur-investissement-le-plus-rapide

Lire la suite : https://www.itespresso.fr/press-release/forrester-presente-son-top-10-des-technologies-emergentes-pour-2024-lia-generative-les-turingbots-et-la-securite-iot-devraient-generer-le-retour-sur-investissement-le-plus-rapide

Consulter la version source : https://www.businesswire.com/news/home/20240625094037/fr/

Thales

Thales signe 3 accords avec l’industrie ukrainienne : décryptage des accords pour un soutien de première ligne

Par Jean-Baptiste Giraud

Publié le 23 juin 2024

Thales a signé trois accords avec des entreprises ukrainiennes pour améliorer le soutien opérationnel des forces armées ukrainiennes et renforcer les capacités de défense locales.

Un partenariat stratégique pour des technologies de pointe

Lors du salon Eurosatory, Thales, sous l'égide des ministères français des Armées et ukrainien des Industries stratégiques, a signé trois accords avec des entreprises ukrainiennes. Ces accords couvrent plusieurs domaines clés de la défense, notamment la guerre électronique, les communications tactiques, les systèmes de défense aérienne et les systèmes aériens sans pilote (UAV).

Détails des accords

Accord pour une coentreprise en Ukraine

Le premier accord vise à créer une coentreprise en Ukraine pour faciliter la livraison et l'exploitation des équipements du portefeuille de Thales, incluant les systèmes de guerre électronique, les équipements de communications tactiques, les systèmes de défense aérienne et les radars.

Développement de systèmes aériens sans pilote

Le troisième accord, signé avec le spécialiste ukrainien des UAV et UGV FRDM, concerne la co-développement et la fabrication d'un système aérien sans pilote capable de transporter et de larguer des munitions.

Engagement à long terme

Lire la suite : https://armees.com/thales-signe-3-accords-avec-lindustrie-ukrainienne-decryptage-des-accords-pour-un-soutien-de-premiere-ligne/

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THALES réalise une percée dans les opérations de drones en obtenant le premier dvr délivré par l’aesa

thalesgroup.com - Communiqué

Publié le 24 06 2024

• Le Design Verification Report (DVR) est une nouvelle procédure initiée par l’AESA pour approuver la conception des drones destinés à des opérations à risques modérés. Ces opérations sont actuellement définies par les niveaux SAIL III et IV (Specific Assurance Integrity Level).

  • • Thales est la première entreprise à se voir attribuer un DVR pour drones légers en catégorie SAIL III avec l’avionique ScaleFlyt intégrée sur un drone AVEM 300 CERBERE d’Aeromapper.
  • • Cette première mondiale place Thales en position idéale pour opérer des drones de grande élongation destinés à des missions de surveillance, de détection et d’alerte et pour obtenir la certification de son drone UAS100.

Thales a obtenu le premier rapport de vérification de conception DVR (Design Verification Report) attribué en Europe par l’AESA pour les opérations de drone léger en conditions SAIL III (risques modérés). Ce DVR mis en place en avril 2021 par l’Agence européenne vise à assurer la sûreté opérationnelle des drones. Cette première renforce la position du Groupe sur le marché émergent des drones civils et marque une nouvelle avancée vers la certification du drone UAS100 de Thales dans les conditions d’exploitation et de vol les plus exigeantes.

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/thales-realise-une-percee-operations-drones-obtenant-le-premier 


Mobilité

"Faisons des mobilités du quotidien, une priorité nationale" : l'appel du Gart aux candidats aux législatives

banquedesterritoirs.fr - Par Anne Lenormand, Localtis

Publié le 17 juin 2024

Transport et mobilité décarbonée

Le Gart a lancé ce 17 juin un appel à tous les candidats aux élections législatives pour qu'ils portent une "vision nationale ambitieuse en matière de mobilité".

"Faisons des mobilités du quotidien, une priorité nationale" : dans un communiqué diffusé ce 17 juin, les élus du Gart lancent un appel aux candidats aux élections législatives. Ils leur rappellent d'emblée que les chantiers engagés en matière de mobilité durable "restent plus que jamais d'actualité : concrétisation du titre unique de transport et du Pass Rail, mise en œuvre de la conférence nationale de financement des services express régionaux métropolitains (Serm), travaux sur le modèle économique du transport public…" "Nos concitoyens continuent d’exprimer une attente forte envers des solutions de transport performantes et accessibles, qui améliorent le quotidien de tous tout en réduisant l’empreinte carbone, affirme le Gart. Ce besoin souligne l'importance de politiques publiques de mobilité pérennes et continues." Dans ce contexte, les élus du Gart "appellent tous les candidats à une prise en considération des enjeux de mobilité au sein du débat public qui s’ouvre". "La prochaine mandature législative aura pour responsabilité d’apporter des réponses concrètes à la hauteur des graves défis écologiques, sociaux et économiques qui nous font face", préviennent-ils.

Pour "une vision nationale ambitieuse en matière de mobilité"

Le Gart assure qu'il poursuivra "son action et sa capacité à être force de proposition". "Nos prises de positions répétées témoignent de notre volonté de faire avancer résolument les mobilités du quotidien", assure-t-il en détaillant ses propositions : "création d’un titre unique de transport pour simplifier l’accès des usagers aux services de mobilité ; appel à une conférence nationale de financement de la mobilité et des infrastructures ; mise en œuvre d’un modèle économique efficace à disposition des autorités organisatrices pour financer les mobilités du quotidien et leur permettre de faire face au mur d’investissement nécessaire au choc d’offres, qui permettra de favoriser le report modal de l’autosolisme vers des solutions de mobilité plus durables".

Selon les élus, "l’action de l’État ne peut se limiter à des ajustements techniques". Ils appellent donc "à une vision nationale ambitieuse en matière de mobilité, où chaque citoyen peut accéder équitablement aux infrastructures et aux politiques de mobilités mises en place dans son territoire. En engageant des moyens financiers, en encourageant la concertation et en soutenant l’innovation, nous pouvons collectivement construire un modèle de transport public performant".

Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/faisons-des-mobilites-du-quotidien-une-priorite-nationale-lappel-du-gart-aux-candidats-aux?pk_campaign=newsletter_quotidienne&pk_kwd=2024-06-17&pk_source=Actualit%C3%A9s_Localtis&pk_medium=newsletter_quotidienne

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Les Régions Centre-Val de Loire et Ile-de-France annoncent un partenariat inédit et créent ensemble le titre unique NAVIGO RÉMI.

centre-valdeloire.fr - Par la Rédaction

Publié le 21 juin 2024

Alors que plus de 7 000 abonnés doivent se munir de 2 titres pour leurs trajets quotidiens domicile-travail entre le Centre-Val de Loire et l’Ile de France, les deux Régions annoncent un partenariat inédit pour la création dès 2025 d’un titre de transport unique : le NAVIGO RÉMI.

Un partenariat inédit pour simplifier le quotidien des usagers et faire préférer le train !

A l’occasion de deux points presse, à Dreux et Montargis, organisés ce jeudi 20 juin 2024, François BONNEAU, Président de la Région Centre-Val de Loire et Valérie PÉCRESSE, Présidente de la Région Ile-de-France et de Ile-de-France Mobilités ont annoncé un partenariat inédit entre leurs deux Régions, permettant la simplification et l’unification des titres de transports pour les abonnés des lignes Paris-Dreux, Paris-Montargis-Gien-Briare, et Paris – Chartres – Nogent le Rotrou.

Plus de 7 000 abonnés utilisent chaque jour ces lignes ferroviaires entre les régions Centre-Val de Loire et Ile de France et font face à une situation complexe les obligeant à se munir de deux titres de transports pour leurs déplacements quotidiens domicile-travail : le Pass Navigo en Ile de France et l’abonnement Rémi Zen en Centre-Val de Loire.

Face à cette situation et dans l’objectif de faciliter l’utilisation du train et de réduire l’usage de la voiture, François Bonneau, Président de la Région Centre-Val de Loire et Valérie Pécresse, Présidente de la Région Ile-de-France et de Ile de France Mobilités, ont décidé de porter une vision unifiée et de lancer le titre unique NAVIGO RÉMI pour résoudre les difficultés quotidiennes des voyageurs.

Les milliers d’abonnés utilisant ces lignes pour leurs déplacements quotidiens entre leur domicile et leur lieu de travail, qu’ils soient en région Parisienne ou en Centre-Val de Loire, vont pouvoir ainsi bénéficier à partir de 2025 d’un titre unique, d’un tarif unifié et d’une démarche de commercialisation simplifiée.

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Qu'est-ce que le prêt à taux zéro mobilité ?

autoplus.fr - Par La rédaction Auto Plus avec Saïda Djerrada, Pascal Charles et François Tarrain

Publé le 20 juin 2024

Le Gouvernement a mis en place un prêt à taux zéro mobilité, également appelé PTZ-m, pour venir en aide aux foyers les plus modestes qui souhaitent renouveler leur véhicule.

Que devient le prêt à taux zéro mobilité ?

Officiellement, le PTZ-m permet, depuis quelques mois, aux personnes justifiant d'un revenu fiscal de référence par part inférieur à 14.089 € et habitant dans l'une des onze ZFE (Zones à Faibles Émissions : Paris, Lyon, Aix-Marseille, Toulouse, Nice, Montpellier, Strasbourg, Grenoble, Rouen, Reims ou encore Saint-Étienne) de bénéficier d'un crédit avantageux pour l'achat d'un véhicule électrique ou hybride rechargeable. C'est le "prêt à taux zéro mobilité".
L'aide s'adresse également aux entreprises dont le chiffre d'affaires annuel ou le total du bilan annuel est inférieur ou égal à 2 millions d'euros. Le véhicule doit quant à lui être inférieur à 47.000 euros TTC pour une voiture particulière, et à 60.000 euros TTC pour une camionnette.
Ce prêt sans intérêt peut être accordé sur sept ans pour un montant de 30.000 € (ou 10.000 € pour une location longue durée). Une aubaine, vu les taux d'intérêt actuels ! Sauf que, pour l'heure, la liste des établissements de crédit habilités à le proposer n'a pas encore été diffusée... Mais elle devrait l'être prochainement.

Une aide pour se conformer aux règles des ZFE

Le Gouvernement a mis en place un prêt à taux zéro mobilité, également appelé PTZ-m, pour venir en aide aux foyers les plus modestes qui souhaitent renouveler leur véhicule.

Que devient le prêt à taux zéro mobilité ?

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Une nouvelle application pour recharger sa carte OPUS avec un téléphone intelligent

rtcquebec.ca

Publié le 19 juin 2024

Faciliter l’achat de titres de transports

Dès aujourd’hui, les utilisateurs du Réseau de transport de la Capitale (RTC) et de la Société de transport de Lévis (STLévis) pourront, via une application mobile, acheter et ajouter des titres de transport sur leur carte OPUS à l’aide d’un téléphone intelligent. Cette technologie, développée en collaboration avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), permet également de lire le contenu de la carte OPUS et d’une carte Occasionnelle en l’appuyant tout simplement à l’arrière d’un téléphone intelligent.

Les applications RTC Recharge OPUS et STLévis Recharge OPUS s’ajoutent à l’éventail de solutions de paiement déjà accessibles à la clientèle, dont RTC Nomade paiement, solution de paiement partagée entre les deux sociétés de transport depuis 2020. Ainsi, les détenteurs d’une carte OPUS pourront choisir de la recharger sur leur téléphone mobile, plutôt que d’avoir à se déplacer dans un point de vente. 

« La carte OPUS reste, à ce jour, le moyen de paiement le plus utilisé par les usagers, c’est pourquoi nous sommes heureux d’annoncer qu’il sera encore plus simple de se procurer des titres de transport. Il est important pour nous de faciliter l’accès au transport collectif et la vie des utilisateurs, c’est pourquoi leur permettre de remplir leur carte OPUS et même celles de toute la famille, à l’endroit et au moment de leur choix représente un grand bénéfice », a ajouté Maude Mercier Larouche, présidente du RTC.

Lire la suite : https://www.rtcquebec.ca/medias/communiques/une-nouvelle-application-pour-recharger-sa-carte-opus-avec-un-telephone

Désinformation

Comment la Fondation Descartes s’arme contre la désinformation

challenges.fr - Par Antoine Izambard

Publié le 19 juin 2024

Climat, santé, conflits, IA… La Fondation Descartes, qui s’est spécialisée dans la lutte contre la désinformation, entend se transformer en fondation reconnue d’utilité publique et de créer un institut de veille des récits inauthentiques.

Quel est l’impact réel des narratifs russes, israéliens ou palestiniens sur la société française ? Cette question majeure, qui n’a encore fait l’objet d’aucune étude scientifi­que approfondie, sera le sujet principal d’une publication de la Fondation Descartes en novembre prochain. En collaboration avec le centre Geode de l’université Paris 8 et l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire (Irsem), le think tank français va soumettre un questionnaire détaillé à 4 000 Français. Créée en septembre 2019 par Jean-Philippe Hecketsweiler, ex-vice-président chez JP Morgan, la Fondation Descartes s’est spécialisée dans la lutte contre la désinformation.

« La lecture du rapport "Les manipulations de l’information, un défi pour nos démocraties", publié en 2018 par le Quai d’Orsay et l’Irsem, qui montrait que les Russes nous menaient une guerre hybride, m’a convaincu d’agir contre ce fléau », indique Jean-Philippe Hecketsweiler.

La qualité de l’information sur TikTok

Le think tank, qui est financé par quelques mécènes privés, envisage de se transformer prochainement en fondation reconnue d’utilité publique et de créer un institut de veille des récits inauthentiques. Il s’appuie à ce jour sur une équipe de quatre chercheurs dirigée par Laurent Cordonier et regroupe plusieurs spécialistes du sujet comme le sociologue Gérald Bronner ou le diplomate Jean-Baptiste Jeangène Vilmer.

Lire la suite : https://www.challenges.fr/entreprise/defense/comment-la-fondation-descartes-s-arme-contre-la-desinformation_896858

Intelligence artificielle

IA et lutte contre la haine : les recommandations du panel de citoyens à la Commission européenne

actuia.com - par Thierry Maubant.

Publié le 17 juin 2024

Le mois dernier, lors de la session finale du panel de citoyens européens sur la lutte contre la haine dans la société, 150 citoyens européens ont adressé 21 recommandations à la Commission européenne et aux autorités nationales afin de lutter contre la haine sous toutes ses formes et de favoriser le respect mutuel. La modération de l’IA pour les plateformes en ligne en fait partie.

Pour la Commission :

“Toutes les formes de haine et d’intolérance sont incompatibles avec les valeurs de dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’état de droit et de respect des droits de l’homme, consacrées par le traité sur l’Union européenne”.

Elle a mis en place en 2016 un code de conduite visant à lutter contre les discours de haine
illégaux en ligne auquel ont adhéré dans un premier temps Facebook, Microsoft, Twitter et YouTube puis Instagram, Google, Snapchat, Dailymotion et Jeuxvideo.com. L’évaluation des discours haineux qui leur sont notifiés par les internautes et une suppression rapide des contenus illégaux figurent parmi leurs engagements.

Věra Jourová, vice-présidente chargée des valeurs et de la transparence déclarait en 2020 lors d’une évaluation de cet instrument :

“Le code de conduite reste un exemple de réussite pour lutter contre les discours de haine illégaux en ligne. Il a permis des améliorations qui étaient urgentes tout en respectant pleinement les droits fondamentaux. Il a créé de précieux partenariats entre les organisations de la société civile, les autorités nationales et les plateformes informatiques”.

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/ia-et-lutte-contre-la-haine-les-recommandations-du-panel-de-citoyens-a-la-commission-europeenne/?mc_cid=0e6fc0a9f6&mc_eid=1b5f52f4fd

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Réinventer les services publics : le défi de l'IA générative

journaldunet.com - Chronique de Laurent Daudet

Publié le 17 juiin 2024

Depuis les années 90, le numérique transforme les services publics. L'IA générative promet une grande avancée, mais son adoption demande des ajustements, des formations et une adaptation progressive.

Lourdeur bureaucratique, manque de réactivité, de transparence ou de cohérence, les services publics ont souvent été critiqués. Pourtant, depuis les années 90, ils n’ont cessé de se transformer avec les évolutions du numérique, les attentes des usagers et des priorités politiques, comme la collecte de l’impôt aujourd’hui numérisée. En quelques années, de nombreuses démarches en ligne ont permis une meilleure personnalisation de la relation avec les usagers et favorisent la collaboration entre les différentes administrations. Mais nous sommes aujourd’hui un peu au milieu du gué, et chacun ressent la nécessité d’une nouvelle phase de simplification, d’une relation plus fluide, plus intuitive entre les citoyens et l’administration. Au moment où le gouvernement annonce une nouvelle phase de simplification (la presse en parlait déjà en 1976…), l’arrivée de l’IA Générative en 2023 nous a conduit, État, collectivités locales et entreprises, à nous interroger sur son pouvoir de transformation des services publics. L’IA générative n’est-elle qu’une lubie technologique de plus ou va-t-elle durablement transformer le fonctionnement même des services publics, leur offrant l’opportunité de revisiter leurs outils, leurs process et leurs métiers? 

Une intégration progressive de l'IA générative

Soucieux d’éviter de reproduire le “shadow IT” par du “shadow IA” avec un usage non contrôlé de ChatGPT, certains services interdisent à leurs agents l’utilisation d’IA, préférant se donner le temps de la réflexion. D’autres, en revanche, optent pour des expérimentations avec l’IA générative. Cette dernière démarche nous paraît utile pour inciter les agents à se saisir de cet outil, à mieux en comprendre le potentiel et ses limites, et à identifier les cas d’usage les plus adaptés aux services publics. On ne peut que saluer l’expérimentation lancée par le gouvernement auprès de 1 000 agents volontaires d’un outil utilisant l’IA générative pour les accompagner dans la rédaction des réponses en ligne aux avis et commentaires des usagers.

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/intelligence-artificielle/1530997-reinventer-les-services-publics-le-defi-de-l-ia-generative/ 

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L'intelligence artificielle se démocratise avec l'arrivée sur le marché de «PC à l'IA»

lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP

Publié le 19 juin 2024

Une nouvelle gamme d'ordinateurs spécialement conçus pour exécuter des programmes d'intelligence artificielle est arrivée sur le marché mardi, marquant une innovation trop prématurée pour certains experts et la «renaissance du PC» pour d'autres. Microsoft a présenté en mai les très attendus «PC à l'IA», des ordinateurs où des outils d'intelligence artificielle générative sont intégrés directement dans son système d'exploitation Windows, pour aider l'utilisateur dans toutes ses tâches.

Les PC «Copilot+» doivent permettre aux utilisateurs d'accéder aux capacités de l'IA sur leurs appareils sans dépendre du cloud, qui nécessite plus d'énergie, prend plus de temps et rend l'expérience plus poussive. Les PC sont dotés d'une puce «NPU», la puce spécialisée pour les tâches d'IA, qui permet d'améliorer la qualité des retouches photo, de la transcription et de la traduction en direct, ainsi que de la fonction «Recall» permettant notamment à l'utilisateur de remonter dans le temps sur son PC et de voir toutes les fenêtres qu'il a ouvertes. Toutefois, Microsoft a décidé de supprimer cette fonction pour ne la garder qu'à titre de test, en raison des inquiétudes liées à la protection de la vie privée.

Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/flash-eco/l-intelligence-artificielle-se-democratise-avec-l-arrivee-sur-le-marche-de-pc-a-l-ia-20240619

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[JDEF] Intelligence artificielle : les armées accélèrent

defense.gouv.fr  - Direction : Ministère des Armées

Publié le 17 juin 2024

En 2024, le tournant de l'intelligence artificielle est bel et bien amorcé dans l'hexagone. L’ambition de la France : devenir la première puissance militaire de l’IA en Europe et dans le top 3 mondial. Découvrez les nouveaux usages de cette technologie et plusieurs projets en cours de développement dans ce Journal de la Défense inédit.

Regarder « Intelligence artificielle : les armées accélèrent »

Voir ou revoir : Les reportages "Journal de la Défense"sur notre chaine Youtube

Lire sur : https://www.defense.gouv.fr/actualites/jdef-intelligence-artificielle-armees-accelerent

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Intelligence artificielle : face au risque de suppressions d’emplois, le FMI demande plus de protection sociale

sudouest.fr/sciences-et-technologie - Par SudOuest.fr avec AFP

Publié le 17 juin 2024

Sans régulation, l’intelligence artificielle générative pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, redoute le FMI dans une note.

Des mesures fiscales de protection sociale ont un « rôle majeur à jouer » pour contrebalancer les risques posés par l’IA, et notamment une hausse des inégalités, a estimé le Fonds monétaire international (FMI) lundi. Sans régulation, l’intelligence artificielle générative, popularisée par ChatGPT et d’autres outils similaires, pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, estime le FMI dans une note.

Pour faire face à cela, les gouvernements devraient envisager de mettre en place de nouvelles recettes pour financer un filet de protection sociale destiné à ceux qui perdent leur emploi, recommandent les auteurs.

Sans régulation, l’intelligence artificielle générative pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, redoute le FMI dans une note

Des mesures fiscales de protection sociale ont un « rôle majeur à jouer » pour contrebalancer les risques posés par l’IA, et notamment une hausse des inégalités, a estimé le Fonds monétaire international (FMI) lundi. Sans régulation, l’intelligence artificielle générative, popularisée par ChatGPT et d’autres outils similaires, pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, estime le FMI dans une note.

Pour faire face à cela, les gouvernements devraient envisager de mettre en place de nouvelles recettes pour financer un filet de protection sociale destiné à ceux qui perdent leur emploi, recommandent les auteurs.

Lire la suite : https://www.sudouest.fr/sciences-et-technologie/intelligence-artificielle-face-au-risque-de-suppressions-d-emplois-le-fmi-demande-plus-de-protection-sociale-20171184.php?csnt=1903b80a4d1

Blockchain

"Blockchain in Paris" : entre "pas si jeune" et "pas si vieux"

finyear.com - Par Anne-Laure Allain

Publié le 18 juin 2024

La semaine passée, les événements se sont bousculés dans le petit écosystème parisien WEB3. : de Proof of Talk aux Musée des Arts Décoratifs, en passant par la conférence SG Forge x Bitstamp pour se terminer par la célébration des 10 ans de Coinhouse (entre autres). L'occasion pour l'ensemble des acteurs de faire le point sur les cas d'usage et les nombreuses avancées attendues pour les années à venir notamment en matière de cadre réglementaire. Et force est de constater qu'au travers des rencontres qui ont émaillé ces différentes occasions, des pépites bien installées et depuis, peut-être plus longtemps qu'on ne l'imagine, se sont distinguées. Passage en revue.
La première rencontre a lieu au Musée des Arts Décoratifs. A l'occasion du workshop dédié à "la vague de la tokenisation dans les marchés financiers internationaux" organisé par Proof of Talk. Sur scène, Natacha Dezert, Manager Digital Assets and Blockchain au sein de BNP Paribas Securities Services.

Au cours des mois passés, la première banque d'Europe semblait bien discrète quant à ses déploiements sur la blockchain au profit, peut-être, des annonces faites jusqu'alors par SG-Forge. Pourtant, c'est bien depuis 2011 qu'elle a lancé ses expérimentations. Il y a un an, la banque s'associait au réseau Canton, un nouveau projet de blokchain privée dédiée aux marchés financiers réunissant d'autres institutions telles que Goldman Sachs. Quelques mois plus tard (en novembre), BNP Paribas toujours avec Goldman Sachs dévoilait un investissement de 96 millions de dollars dans l'entreprise blockchain Fnality, permettant de créer des versions tokenisés de certains actifs "fiat".

"Nous travaillons effectivement depuis de très nombreuses années sur le sujet. relate Natacha Dezert." La technologie est éprouvée. Nous avons des marques d'intérêt de la part de nos clients. Cependant, il y a un manque de maturité sur le secteur qui nous empêche de faire les volumes nécessaires." Parmi les autres points de blocages, la femme évoque notamment les soucis d'interopérabilité entre les blockchains et son besoin, en tant que banque faisant des échanges avec d'autres institutions financières de s'appuyer, pour la partie Wholesale donc, sur des Monnaies Numériques de banques centrales.

Internet des Objets

Les appareils connectés sont de plus en plus privilégiés par les attaquants

itsocial.fr - Par Philippe Richard

Publié le 18 juin 2024

Un rapport révèle que si les détections de malwares sur l’ensemble du réseau ont diminué de près de moitié au cours du trimestre par rapport au précédent, les détections de malwares ciblant les endpoints ont augmenté de 82 %.

Selon le dernier rapport de WatchGuard, le volume de ransomwares poursuit sa baisse alors que les attaques endpoints explosent. Les détections de ransomware ont diminué de 23 % par rapport au 4e trimestre 2023 alors qu’elles avaient déjà diminué de 20 % entre le 3e et le 4e trimestre 2023.

De la même manière, les détections de malwares de type « zero-day » ont enregistré une baisse de 36 %. Le volume moyen de détections de malwares par WatchGuard Firebox a chuté de près de moitié (49 %) au cours du premier trimestre, tandis que le nombre de malwares transmis par le biais d’une connexion chiffrée a augmenté de 14 points au cours du premier trimestre, pour atteindre 69 %.

Le tableau ci-dessous du Top 10 des logiciels malveillants comprend les familles de logiciels malveillants les plus détectées en fonction du volume total de détection des Firebox de reporting.

Lire la suite : https://itsocial.fr/cyberecurite/cyberecurite-articles/les-appareils-connectes-sont-de-plus-en-plus-privilegies-par-les-attaquants/ 

Détection

Détection spatiale des anomalies terrestres : une nouvelle technique révolutionnaire dévoile les premiers signes de tremblement de terre

issues.fr

Publié le 17 juin 2024

La recherche identifie des anomalies électromagnétiques évidentes à partir d'une variété de données satellite, ce qui pourrait contribuer au développement de systèmes d'alerte précoce en cas de tremblements de terre.

Selon une nouvelle étude de De Gruyter Journal de géodésie appliquéeles tremblements de terre peuvent trahir leur présence imminente beaucoup plus tôt qu’on ne le pensait grâce à diverses anomalies présentes dans le sol, l’atmosphère et l’ionosphère qui peuvent être détectées à l’aide de satellites.

Le développement de systèmes d’alerte précoce en cas de tremblements de terre pourrait s’avérer très utile pour prévenir les décès et les destructions. L'une de ces techniques proposées consiste à utiliser des satellites pour surveiller divers paramètres physiques et chimiques dans le sol, l'atmosphère et la couche de particules chargées qui existe au-dessus, appelée l'ionosphère.

Défis liés à la détection des précurseurs des tremblements de terre

Lire la suite : https://issues.fr/detection-spatiale-des-anomalies-terrestres-une-nouvelle-technique-revolutionnaire-devoile-les-premiers-signes-de-tremblement-de-terre/ 

RGPD

Une plainte contre la privacy sandbox de google pour non-respect du RGPD

cbnews.fr - Par Dhalia Girgis

Publié le 16 juin 2024

L’association noyb a déposé une plainte à l’encontre de la Privacy Sandbox de Google auprès de l'autorité autrichienne de protection des données le 13 juin. L’organisme spécialisé dans la défense de la protection de la vie privée et des données personnelles accuse le géant de la tech de ne pas informer clairement l’utilisateur du sort de ses données. Max Schems, président honoraire de noyb affirme : "Google a tout simplement menti à ses utilisateurs. Ceux-ci pensaient accepter une fonction de protection de la vie privée, mais ils ont été dupés et ont accepté le suivi des annonces publicitaires de Google”.

La Privacy Sandbox, qui devait être opérationnelle courant 2024, est présentée comme une alternative à la fin des cookies-tiers. Encore en phase de test, la nouvelle interface doit notamment permettre un pistage dans Chrome des cookies first-party tracking des utilisateurs à des fins de publicité ciblée. Dans sa plainte, noyb s’appuie sur l'article 4, paragraphe 11, du Règlement général sur la protection des données (RGPD) qui “stipule clairement que le consentement doit, entre autres, être une "indication spécifique, informée et non ambiguë des souhaits de la personne concernée"”.

Lire sur : https://www.cbnews.fr/digital/image-plainte-contre-privacy-sandbox-google-non-respect-du-rgpd-85369

Cybersécurité

Cybersécurité : Comment un simple chatbot a réussi à mystifier des centaines d’arnaqueurs

20minutes.fr - Par O.M

Publié le 17 juin 2024

TEL EST PRIS… Le programme a transmis les numéros de comptes bancaires des escrocs aux autorités compétentes

C’est un peu l’histoire de l’arroseur arrosé : une entreprise spécialisée en cybersécurité a récemment programmé un chatbot – un programme informatique qui simule une conversation humaine – afin qu’il réponde aux sollicitations d’escrocs numériques. Son but ? Récupérer les informations permettant de confondre ces criminels. Et ça a marché, rapporte Numerama.

Après que les ingénieurs de Netcraft ont ouvert plusieurs adresses mail temporaires, ils ont patiemment attendu de recevoir des messages d’arnaques en ligne. Immanquablement, ils en ont été inondés et ont chargé leur chatbot d’y répondre en jouant le rôle du « pigeon ».

Cryptos, usurpation bancaire, promesses d’héritage

Dans la grande majorité des cas, les escrocs tentaient de pousser leur potentielle victime à acheter des cartes-cadeaux ou des cryptomonnaies. Programmé pour donner l’impression d’être intéressé, le bot engageait donc un échange jusqu’à ce que les arnaqueurs lui communiquent un numéro de compte bancaire ou de portefeuille crypto.

Statistiquement, le chatbot est parvenu à conduire les cybercriminels à lui envoyer, en moyenne, 32 messages, précise Numerama. Les faux usagers de Netcraft ont ainsi fait l’objet de milliers d’arnaques en tout genre, de la vente de cryptomonnaies à l’usurpation bancaire, en passant par les promesses d’héritage.

Lire la suite : https://www.20minutes.fr/high-tech/by-the-web/4096575-20240617-cybersecurite-comment-simple-chatbot-reussi-mystifier-centaines-arnaqueurs

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Cybercriminalité : « Les attaques avec l’intelligence artificielle sont redoutables »

actu-juridique.fr - Par Nicolas Dendri

Publié le 19 juin 2024

Après la cyberattaque contre Almerys et Viamedis, 33 millions de Français ont vu leurs données personnelles volées. Un phénomène contre les services publics qui ne cesse d’augmenter ces dernières années. Entre 2020 et 2021, les administrations publiques en France ont connu une hausse des intrusions informatiques à hauteur de 37 % selon les données de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Des attaques qui touchent à plus de 80 % les collectivités locales et les hôpitaux. Avocates spécialisées dans la cybersécurité au sein du cabinet Advant Altana, Valérie Lafarge-Sarkozy et Laetitia Daage ont participé notamment à la rédaction du rapport du Club des juristes : « Le cyber-risque et l’assurance du cyber-risque » et à un autre rapport intitulé : « Le droit pénal à l’épreuve des cyberattaques ». Pour Actu-Juridique, elles reviennent et analysent l’ampleur de plus en plus importante que prennent les cyberattaques contre les administrations publiques. Rencontre.

Actu-Juridique : Les acteurs du service public ont connu une hausse de 37 % des cyberattaques entre 2020 et 2021. Quel est votre regard concernant ce phénomène ?

Valérie Lafarge-Sarkozy : Il est probable que certains des acteurs du service public soient encore insuffisamment protégés. Par conséquent, les cybercriminels peuvent avoir plus de facilité pour rentrer dans leurs systèmes d’information, étant précisé que la cybersécurité représente un investissement important. J’ai aussi le sentiment que certains agents publics sont insuffisamment formés.

Laetitia Daage : Cependant, nous retrouvons les mêmes écueils et les mêmes problématiques dans les entreprises ou les grands groupes qui sont victimes de cyberattaques. Il y a des problèmes d’organisation et de procédures qui ne sont pas mises en œuvre ou encore des assurances qui ne sont pas contractualisées. Mais les attaques sur des ministères, des collectivités ou des hôpitaux sont plus retentissantes car les données concernent tout le monde. Nous le voyons notamment dans les établissements de santé. Les différents membres du personnel n’ont pas nécessairement les outils et conservent souvent des réflexes qui entraînent une vulnérabilité dans l’espace cyber. Par exemple, dans le monde hospitalier, il arrive encore qu’on laisse la session de l’ordinateur ouverte pour pouvoir travailler dans l’urgence. Et en même temps, il y a de plus en plus d’outils numériques à l’hôpital. Il y a donc encore vraiment un contraste important entre la cybersécurité, la sensibilité des données et les moyens à disposition du personnel hospitalier.

Valérie Lafarge-Sarkozy : Ce manque doit être comblé comme les entreprises françaises ont pu le faire ces dernières années en investissant dans des systèmes de cybersécurité ou dans la formation des collaborateurs. Les réflexes commencent à s’inscrire dans le quotidien des dirigeants et des salariés des TPE, PME et le sont majoritairement dans les grands groupes. Par exemple, les clés USB sont de moins en moins utilisées, les connexions sur les réseaux publics sont exclues, les ordinateurs sont éteints en quittant le bureau, des simulations d’attaques ont lieu régulièrement, etc. Ce sont des gestes qui deviennent de plus en plus des automatismes dans le quotidien des entreprises.

Lire la suite : https://www.actu-juridique.fr/ntic-medias-presse/cybercriminalite-les-attaques-avec-lintelligence-artificielle-sont-redoutables/

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L’Anssi alerte sur les cyberattaques de hackers russes contre la diplomatie française

usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin

Publié le 20 juin 2024 

L’autorité nationale de cybersécurité et de cyberdéfense a publié un nouveau rapport sur plusieurs campagnes de phishing ayant visé des entités diplomatiques françaises. Ces cyberattaques sont attribuées au groupe de hackers Nobelium, ou Midnight Blizzard, qui serait affilié au service de renseignement extérieur de l’État russe.

L’Agence nationale chargée de la sécurité et des systèmes d’information (Anssi) a publié le 19 juin un rapport sur les activités cybermalveillantes liées au groupe russe Nobelium, aussi connu sous les noms de Midnight Blizzard ou Cozy Bear. Ce gang utilise des codes, techniques et procédures qui lui sont propres pour viser des entités diplomatiques, mais aussi de grandes entreprises de la tech.

Les ministères de la Culture et des Affaires étrangères pris pour cible

Le rapport met l’accent sur les campagnes de phishing que le groupe de hackers effectue contre différentes entités diplomatiques, en utilisant de réels comptes de messagerie piratés appartenant au personnel. Nobelium cible les institutions diplomatiques, les ambassades et les consulats. L’Anssi note que depuis début 2021, de nombreuses institutions françaises ont été ciblées par les hackers de Nobelium, dont le ministère des Affaires étrangères.

Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/l-anssi-alerte-sur-les-cyberattaques-de-hackers-russes-contre-la-diplomatie-francaise.N2214875?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=info_ud-week-end&email=98870165&idbdd=56555

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IA et cybersécurité : deux mondes à rapprocher

incyber.org - Par Fabrice Deblock

Publié le 18 juin 2024

Thème principal de l’édition 2024 du Forum InCyber, l’imbrication de l’intelligence artificielle au cœur des enjeux de cybersécurité a suscité de très nombreux commentaires et analyses. Retour sur certaines prises de position exprimées lors de l’événement.

Pour le Général Watin-Augouard, fondateur du Forum InCyber, une vraie rupture est intervenue depuis novembre 2022 (date de la sortie de ChatGPT par OpenAI) dans le domaine de l’IA générative. « Cette IA nous subjugue et nous inquiète en même temps. Son immense potentiel n’est pas encore pleinement exploré, dans sa dimension, sa puissance, son impact. Elle nous transporte dans l’inconnu, vers un futur imprévisible, laissant la voie ouverte à toutes les hypothèses ».

Plus que toute autre technologie, l’IA appelle une réponse à la question : « Pourquoi ? ». « Le ‘pourquoi’ renvoie à la recherche de la finalité et d’un encadrement qui préserve notre liberté, en ne portant jamais atteinte à ce qui fait l’essence même de l’être humain : son identité, son unicité, son intimité, sa liberté de penser, de s’exprimer, de décider et même, sa confiance. Cette interrogation quasi-existentielle appelle le développement d’une IA responsable, encadrée, mais non limitée dans sa capacité novatrice par un droit inspiré par l’éthique », complète-t-il.

Comment dès lors concevoir le développement conjoint de l’IA et de la cybersécurité ? « Le développement de l’IA ne peut être envisagé sans une cybersécurité garante de la confiance. La cybersécurité doit être au service de l’IA et inversement. Les systèmes d’IA doivent être sécurisés tout au long de leur cycle de vie afin d’être résistants face aux cyberattaques. Par ailleurs, l’IA rebat les cartes entre la capacité offensive des cybercriminels et la capacité de défense des organisations. La course aux armements est asymétrique, car les pirates n’ont guère de scrupules au regard des contraintes juridiques et éthiques que nous nous imposons », note le Général Watin-Augouard.

Lire la suite : https://incyber.org/article/ia-cybersecurite-deux-mondes-a-rapprocher/ 

THALES

THALES et le CEA signent un partenariat sur l’intelligence artificielle générative de confiance appliquée à la défense et à la sécurité

Le CEA et Thales annoncent la signature de leur nouveau partenariat dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) générative.

Rassemblées au sein de l’accélérateur d’IA de Thales dans les systèmes critiques, les équipes de recherche en IA du Groupe collaboreront avec celles du CEA pour fournir des solutions d’IA souveraines, maîtrisées et de confiance.

À travers ce partenariat, d'une durée initiale de 3 ans et renouvelable, Thales apporte son expertise en IA et sa connaissance approfondie des métiers de la défense et de la sécurité, et le CEA son savoir-faire dans les IA génératives multimodales (fondées sur les textes, les images, l’audio, les signaux électromagnétiques, les données structurées…). L'ambition commune est d’accélérer l’intégration de l’IA dans les solutions proposées aux clients de Thales, dont les missions sont ultra-critiques.

Alexandre Bounouh, Directeur de l’institut CEA-List, spécialiste des systèmes numériques intelligents, et Bertrand Tavernier, Directeur technique de l’activité Systèmes d’Information et Communication Sécurisés de Thales, lors de la signature du partenariat le 30 avril 2024 à Palaiseau.

Pour créer des solutions d’IA générative de confiance, AI Lab (Thales), le plus puissant laboratoire intégré d’IA critique en Europe, et le CEA, organisme de recherche français parmi les plus innovants au monde figurant avec Thales dans le Top 100 mondial de Clarivate Analytics1, unissent aujourd’hui leurs forces autour de nombreux cas d’usage de l’IA générative, notamment pour le renseignement ou le commandement.

Bertrand Tavernier, Directeur technique de l’activité Systèmes d’Information et Communication Sécurisés de Thales : « Ce partenariat avec les équipes d’intelligence artificielle du CEA permettra de combiner la puissance de leur recherche et celle de l’accélérateur d’IA de Thales, qui associe l’expertise technologique du Groupe et sa connaissance approfondie des métiers de la défense et de la sécurité. Nos clients, forces armées, Etats, opérateurs d’infrastructures critiques, ont besoin de solutions d’IA générative souveraines et de confiance qui répondent à leurs usages critiques. »

Alexandre Bounouh, Directeur de l’institut List du CEA, spécialiste des systèmes numériques intelligents : « S’appuyant sur une collaboration pérenne entre le CEA et Thales, ce partenariat permet de la prolonger et l’étendre sur le sujet sensible de l’IA générative, en combinant l’expertise et l’excellence des équipes de recherche du CEA en sûreté et sécurité de l’IA avec la force de l’accélérateur d’IA de Thales pour le domaine stratégique de la défense et la sécurité. Il appuiera la mission du CEA dans les domaines de la sûreté, la sécurité et l’intelligence artificielle auprès de nos partenaires et de l’ensembles des acteurs institutionnels et industriels du domaine. »

Des cas d’usages au service des forces armées

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-et-le-cea-signent-partenariat-lintelligence


Mobilité

Le forfait « mobilités durables » pourrait-il intégrer une distance minimal entre le lieu de travail et le domicile ?

lagazettedescommunes.com - Par Léna Jabre

Publié le 10 juin 2024

Réponse du ministère chargé des Collectivités territoriales et de la ruralité : En application des articles L. 3261-1 et L. 3261-3-1 du code du travail, l’employeur peut prendre en charge tout ou partie des frais engagés par ses agents qui se déplacent entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail avec leur cycle ou cycle à pédalage assisté personnel ou leur engin de déplacement personnel motorisé ou en tant que conducteur ou passager en covoiturage ou en tant qu’utilisateur de services de mobilité partagée sous la forme d’un « forfait mobilités durables » (FMD).

Pris en application de ces articles, le décret n° 2020-1547 du 9 décembre 2020 modifié relatif au versement du « forfait mobilités durables » dans la fonction publique territoriale dispose que les modalités d’octroi du FMD sont définies par délibération de l’organe délibérant de la collectivité territoriale, de son groupement ou de son établissement public dans les conditions qu’il prévoit.

Le FMD peut dans ce cadre être versé aux agents territoriaux éligibles quelle que soit la distance entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail.

S’il n’est pas envisagé d’instituer une distance minimale pour pouvoir percevoir le FMD, le décret du 9 décembre 2020 précité comporte des dispositions permettant de s’assurer que le bénéficiaire du FMD utilise l’un des moyens de transport précités.

Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/932734/le-forfait-mobilites-durables-pourrait-il-integrer-une-distance-minimal-entre-le-lieu-de-travail-et-le-domicile/

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Un nouveau concurrent de la SNCF va proposer des TGV Bordeaux-Paris

bougerabordeaux.com - Publié le 10 juin 2024

Une nouvelle ère de concurrence s’annonce pour les lignes de train à grande vitesse en France. Proxima, une compagnie de TGV récemment formée, se prépare à défier la SNCF sur le très convoité trajet Bordeaux-Paris. Avec un objectif ambitieux de proposer ses services d’ici 2027, Proxima entend révolutionner les déplacements entre ces deux grandes villes et bien au-delà.

Proxima, fondée par Rachel Picard, ancienne directrice de Voyages SNCF.com, et Timothy Jackson, expert en matériel roulant avec des passages notables chez Airbus et la RATP, bénéficie d’un soutien financier de taille. Antin Infrastructure Partners, un fonds d’investissement spécialisé dans les infrastructures, finance ce projet à hauteur de près d’un milliard d’euros. Cette somme colossale permettra à Proxima de développer une flotte de 12 trains, qui sera basée à proximité de  Bordeaux, où se trouve l’atelier de maintenance de LISEA, concessionnaire de la LGV Bordeaux-Paris.

Les ambitions de Proxima ne se limitent pas à une simple concurrence avec la SNCF sur le trajet Bordeaux-Paris. La compagnie vise à offrir dix millions de places supplémentaires pour relier Paris à d’autres grandes villes comme Rennes, Nantes et Angers. Cette expansion significative des capacités de transport vise à répondre à une demande croissante de mobilité urbaine, souvent mal satisfaite par les services actuels.

Lire la suite : https://www.bougerabordeaux.com/actu/news/un-nouveau-concurrent-de-la-sncf-va-proposer-des-tgv-bordeaux-paris/

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Où en est CirculaCar dans l'électrification du marché automobile ?

mesinfos.fr - Par Severine Renard

Publié le 11 juin 2024

La start-up lyonnaise CirculaCar est en phase d'homologation de son pack batterie destiné aux constructeurs de véhicules professionnels et de son kit d'électrification pour le marché du rétrofit.

Créé en 2022 par Geoffrey Pauwels, ingénieur, et Édouard Nicolaÿ, responsable commercial et achats, CirculaCar est en passe de réussir son pari de contribuer à une mobilité plus propre.

Pour répondre aux besoins du marché automobile, la start-up lyonnaise a développé des solutions d'électrification pour les véhicules neufs et le rétrofit qui sont sur le point d'être commercialisées.

En attendant d'obtenir les homologations obligatoires, CirculaCar travaille déjà à l'électrification de véhicules roulant sur des périmètres fermés comme des aéroports, des ports, des sites industriels ou des parcs d’attraction.

L'entreprise de sept collaborateurs vise ainsi un chiffre d'affaires de 600 000 euros cette année et ambitionne de réaliser 9 millions d'euros à trois ans.

Lire la suite : https://mesinfos.fr/69290-craponne/ou-en-est-circulacar-dans-l-electrification-du-marche-automobile-200496.html 

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JO Paris 2024 : le plan de transport pour la cérémonie d’ouverture

info.gouv.fr - Communiqué

Publié 14 juin 2024

Le plan présenté par le ministre délégué aux Transports et la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques fait le point sur les conditions d'accès et de circulation dans Paris pendant la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques le 26 juillet 2024.

À moins de six semaines de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, qui se déroulera vendredi 26 juillet 2024 au cœur de Paris, le plan de transport pour cette journée de célébration a été présenté jeudi 13 juin 2024 par le ministre délégué aux Transports, Patrice Vergriete, et la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, Amélie Oudéa-Castera.

Plan de transport de la cérémonie d'ouverture des JO

Le plan détaille :

  • les stations ouvertes et fermées,
  • les transports circulant,
  • le calendrier des impacts sur la voirie des montages des tribunes,
  • les périmètres sécurisés,
  • les conseils d’arrivée pour la cérémonie,
  • l’accessibilité,
  • l’accès aux gares

Comment s'informer ?

Lire la suite : https://www.info.gouv.fr/actualite/jop-2024-le-plan-de-transport-pour-la-ceremonie-douverture

Cybersécurité

Campagne d’ingérence prorusse : la mairie de Paris et la Banque de France parmi les entités visées

tf1info.fr - Par Caroline Quevrain

Publié le 10 juin 2024

Dans un nouveau rapport, le service gouvernemental VIGINUM alerte sur l’ampleur des manœuvres de désinformation prorusses.

En tant que soutien de Kiev, la France est particulièrement ciblée, avec plusieurs médias et structures dont l’identité a été usurpée.

Dans un nouveau rapport, diffusé ce 10 juin, le service gouvernemental VIGINUM alerte sur le degré de sophistication d’une campagne de désinformation prorusse, qui "constitue une menace sérieuse pour le débat public et la sécurité nationale française". Surnommée Matriochka, cette campagne semble avoir été lancée en septembre 2023, mais s’est considérablement accélérée et perfectionnée depuis la fin de l’année. 

Les JO 2024 dans le viseur

Concrètement, les acteurs prorusses impliqués dans ces ingérences diffusent des faux contenus et usurpent l’identité de médias pour promouvoir un discours largement anti-Ukraine. C’est ainsi que "la France constitue une cible privilégiée pour les opérateurs de la campagne", prévient VIGINUM, avec des manœuvres visant l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques, prévus en juillet à Paris, mais aussi la politique française dans son ensemble. 

Lire la suite :https://www.tf1info.fr/international/campagne-d-ingerence-prorusse-la-mairie-de-paris-et-la-banque-de-france-parmi-les-entites-visees-par-matriochka-alerte-viginum-2303153.html

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Sécuriser les JO 2024 : un défi mondial pour la cybersécurité

forbes.fr - Une contribution de Pierre-Antoine Failly Crawford, Responsable de l’équipe de réponse à incident chez Varonis

Publié le 12 juin 2024

Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques 2024, la ville lumière se retrouve sous les feux des projecteurs mondiaux. Mais derrière l’éclat des compétitions sportives et l’effervescence des foules, la menace des cyberattaques se profile. Les événements de cette envergure sont des cibles privilégiées pour les hackers en quête de reconnaissance ou d’influence. Quels sont les types d’attaques attendues et comment la France se prépare-t-elle à y faire face ? Comment la coopération internationale peut renforcer la sécurité de cet événement majeur ?

Les types d’attaques attendues

Hacktivisme

Les Jeux Olympiques attirent inévitablement l’attention des groupes de hacktivistes qui cherchent à gagner en notoriété et en crédibilité par des actions spectaculaires et médiatisées.

Les méthodes courantes d’attaque sont diverses et sophistiquées. Les attaques par déni de service (DDoS) ciblent les capacités de transport, les sites d’événements, les services de streaming et les services municipaux, provoquant des perturbations majeures et paralysant des opérations cruciales. Le vol de données est une autre tactique utilisée, où les hackers s’introduisent dans les systèmes des sites locaux dédiés aux événements pour dérober des informations sensibles, compromettant ainsi la confidentialité et la sécurité. Enfin, l’usage de ransomware se répand de plus en plus, avec des cybercriminels ciblant les entreprises et les organisations liées aux Jeux Olympiques pour extorquer de l’argent en bloquant leurs systèmes jusqu’au paiement d’une rançon.

Attaques géopolitiques

Lire la suite : https://www.forbes.fr/business/securiser-les-jo-2024-un-defi-mondial-pour-la-cybersecurite/

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Détection et réponse aux cyberattaques : Thales s’allie à Google Cloud

solutions-numeriques.com Par

Publié le 13 juin 2024

Thales et Google Cloud annoncent la signature d’un partenariat qu’ils qualifient « d‘envergure ». Il vise à proposer aux clients de Thales une plateforme globale de SOC (Centre Opérationnel de Cybersécurité) offrant des capacités avancées de détection et de réponse aux incidents de cybersécurité.

Thales apporte son expertise en matière de détection et de réponse aux incidents de cybersécurité ; Google Cloud ses capacités SecOps basées sur l’analyse de la menace et sur l’intelligence artificielle.

Grâce à ce partenariat, Thales met au point une plateforme globale de SOC, sur la base de l’expertise et des technologies de cybersécurité de Google Cloud, telles que Google Security Operations, VirusTotal, et le renseignement d’intérêt cyber de Mandiant, le tout alimenté par l’IA générative. Cette plateforme s’appuie sur le réseau des onze SOC Thales déjà déployés, basés sur des technologies cloud ou hybrides et pouvant être connectés aux environnements on premise. Les clients de Thales bénéficieront de l’expertise combinée des deux groupes en matière d’analyse de la menace cyber et des dernières avancées en matière d’IA.

Cette offre déjà disponible en France sera accessible à l’international au second semestre 2024 et viendra compléter l’offre de services SOC de Thales.   

Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/detection-et-reponse-aux-cyberattaques-thales-sallie-a-google-cloud/

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Lutte contre la cybercriminalité : la DGGN accueille l’« InterCERT Day »

gendarmerie-intérieur.gouv.fr - Par le capitaine Tristan Maysounave

Publié le 14 juin 2024

Le jeudi 13 juin 2024, s’est tenue l’assemblée générale plénière d’InterCERT à la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Cet évènement ancre un peu plus encore le Commandement du ministère de l’Intérieur dans le cyberespace (COMCYBER-MI) et la gendarmerie nationale comme acteurs incontournables en matière de cybercriminalité.

Un Computer emergency response team (CERT) est un centre d'alerte et de réaction aux attaques informatiques, destiné aux entreprises ou aux administrations. L’association loi 1901 InterCERT France constitue la première communauté de CERTs en France. La gendarmerie nationale l’a intégré en avril 2023 afin d’élargir son réseau d’interlocuteurs et de capteurs au sein de l’écosystème cyber français et de se positionner en amont de l’action judiciaire des délits cyber perpétrés dans le cyberespace. Le 23 novembre de la même année était créé le COMCYBER-MI, service interministériel chargé d’assurer la cohérence, la performance et la lisibilité du dispositif global du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer face aux cybermenaces.

Les membres d’InterCERT se retrouvent lors d’une assemblée bi-annuelle qui permet de réaliser une synthèse des actions réalisées par son incubateur et ses groupes de travail. Le jeudi 13 juin, pas moins de 200 représentants des 100 principaux CERTs de France étaient réunis à l’occasion de cette journée baptisée l’« InterCERT Day » organisée au sein de la DGGN pour la première fois. Issus du monde de l’entreprise (Michelin, Suez, etc.) et du secteur public (Banque de France, Police nationale, Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense, etc.), ces acteurs sont les interlocuteurs quotidiens du COMCYBER-MI et contribuent à l’identification en temps réel de l’état de la menace qui pèse sur le cyberespace.

Lire la suite : https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/gendinfo/actualites/2024/lutte-contre-la-cybercriminalite-la-dggn-accueille-l-intercert-day

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Afrique : des Chinois lourdement condamnés pour cybercriminalité

lanouvelletribune.info - Par Sathurnin Bossa

Publié le 9 juin 2024

La cybercriminalité représente une menace croissante qui utilise les technologies modernes pour perpétrer des crimes sophistiqués à l’échelle mondiale. Des réseaux de cybercriminels exploitent les failles de sécurité numérique pour commettre des fraudes, des usurpations d’identité et des piratages, affectant ainsi des individus et des organisations dans divers pays. Ces activités illégales ne connaissent pas de frontières, rendant la coopération internationale essentielle pour contrer efficacement ces menaces. Les autorités du monde entier intensifient leurs efforts pour détecter, poursuivre et punir les responsables, dans le but de sécuriser le cyberespace pour tous les utilisateurs.

En Zambie, un cas récent illustre l’ampleur de cette problématique. Un tribunal de Lusaka a imposé des sanctions sévères à plusieurs individus, majoritairement des ressortissants chinois, pour leur rôle dans un vaste réseau de fraude en ligne touchant des victimes en Zambie, à Singapour, au Pérou et aux Émirats arabes unis. Ces criminels ont été reconnus coupables de divers délits, incluant la fraude, l’usurpation d’identité, et l’exploitation illégale de réseaux et de services. Ils ont été condamnés à des peines d’emprisonnement allant de 7 à 11 ans et ont également été soumis à des amendes de 1 500 à 3 000 dollars.

Lire la suite : https://lanouvelletribune.info/2024/06/afrique-des-chinois-lourdement-condamnes-pour-cybercriminalite/

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Pourquoi la cybersécurité devient un enjeu urgent pour les entreprises et les citoyens ?

madeinmarseille.net - Par Margot Geay

Publié le 9 juin 2024

Dans un contexte géopolitique instable, se protéger des cyberattaques devient un enjeu prégnant pour les entreprises et les individus. Dans la région, un écosystème de la cybersécurité tente de se constituer.

Pour se présenter au siège régional de Orange Cyberdéfense, la filiale cybersécurité du groupe de Télécoms, il faut se munir d’un badge visiteur au cordon bleu « pour être facilement identifiable par les salariés », explique Alexandre Gazzola. Le directeur régional pose le décor, d’un ton posé, presque militaire, rappelant ainsi la hauteur des enjeux de sécurité dans un monde devenu ultra-connecté.

Historiquement positionné sur la protection des entreprises du CAC40, Orange s’adresse progressivement aux plus petites entreprises (TPE-PME) jusqu’au grand public. Ce 6 juin, le groupe a lancé Orange Cybersecure, une plateforme gratuite pour permettre à chacun de vérifier une adresse mail ou un message qui lui paraîtrait suspect.

Pour cause, l’opérateur constate une recrudescence des attaques chez les particuliers, notamment du « hameçonnage » : une technique utilisée par des fraudeurs pour obtenir des renseignements personnels, dans le but d’usurper l’identité ou de soutirer de l’argent, en se faisant passer par un tiers de confiance comme une banque.

Lire la suite : https://madeinmarseille.net/163065-pourquoi-la-cybersecurite-devient-un-enjeu-urgent-pour-les-entreprises-et-les-citoyens/

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Comprendre les Nouveautés de la Directive NIS 2 : un pas de géant pour la Cybersécurité Européenne

solutions-numériques.com - Par Nicolas Lacourte chez NXO

Publié le 11 juin 2024

La directive NIS 2 (Network and Information System Security) représente un jalon important dans le paysage de la cybersécurité européenne, avec des implications significatives pour un large éventail d’entités. Pour mieux comprendre ces changements, examinons de près les nouveautés de la NIS 2 par rapport à son prédécesseur, la directive NIS 1.

Changements sémantiques et périmètre d’application

La directive NIS 2 introduit une terminologie plus large en remplaçant les termes « opérateurs » et « OSE » par « entités ». Cela élargit le champ d’application de la directive à 35 secteurs d’activité. Si votre organisation se trouve dans l’un de ces secteurs et que le Chiffre d’affaires est supérieur à 10M€ ou si le nombre d’employés est supérieur à 50, elle est concernée par la NIS 2.

Flexibilité et adaptabilité pour la France

La France a la possibilité d’ajouter des entités non listées dans les annexes, basées sur une analyse de risque nationale et d’exclure certaines entités pour des raisons de défense et de sécurité nationale. Cette flexibilité permet d’adapter la directive aux spécificités nationales tout en garantissant un niveau élevé de sécurité. Cette liste définitive sera communiquée dans le courant de l’année 2024.

Distinction entre Entités Essentielles et Importantes

Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/communiques/comprendre-les-nouveautes-de-la-directive-nis-2-un-pas-de-geant-pour-la-cybersecurite-europeenne/ 

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Analyse comportementale : nouvelle ère de la détection des intrusions ?

secret-defense.org - Par Eléonore Dupont De la Rivière

Publié le 11 juin 2024

L'ère numérique actuelle, avec son évolution rapide et ses avancées technologiques, a inversé la donne dans de nombreux domaines. L'un d'eux est la cybersécurité. Les systèmes traditionnels de détection d'intrusion n'étant plus suffisamment efficaces face à la sophistication des cyberattaques, le monde de la cybersécurité voit émerger une nouvelle approche : l'analyse comportementale. Ce procédé innovant s'appuie sur l'étude du comportement des utilisateurs pour identifier les menaces potentielles.

Analyse comportementale et cybersécurité : vers une détection proactive des menaces internes

Qu'est-ce que l'analyse comportementale ?

Dans le contexte de la cybersécurité, l'analyse comportementale se réfère à l'utilisation de techniques d'apprentissage automatique et d'intelligence artificielle pour détecter les anomalies dans le comportement des utilisateurs. Elle permet ainsi d'identifier les actions suspectes qui peuvent indiquer une intrusion ou une menace interne.

L'importance de détecter les menaces internes

Lire la suite : https://www.secret-defense.org/cybersecurite/analyse-comportementale-nouvelle-ere-de-la-detection-des-intrusions/ 

Détection

Les smartphones pourraient bientôt se vanter de la « vision de Superman » grâce à une nouvelle technologie de détection.

smartphonemagazine.nl - Par Roman Glogulski

Publié le 11 juin 2024

Un projet collaboratif entre des ingénieurs coréens et américains s’apprête à doter les smartphones d’une capacité unique rappelant un super-héros. Inspirée par la capacité de Superman à voir à travers les objets solides, cette initiative a donné naissance à la création d’une puce miniature pouvant être intégrée dans les smartphones, leur permettant de percevoir des objets cachés à l’œil nu sans utiliser de radiation néfaste aux rayons X.

Le concept innovant a pris forme après de nombreuses années de développement rigoureux, mené par des chercheurs de l’Université du Texas à Dallas (UTD) et de l’Université nationale de Séoul (SNU). Ils ont envisagé une voie divergente des technologies conventionnelles de rayons X ou d’imagerie thermique, aboutissant à cette percée.

Le professeur Kenneth O, membre de l’équipe de recherche et responsable du Centre d’excellence analogique du Texas (TxACE), a souligné l’absence d’émissions de rayons X nocives, précisant que la technologie opère plutôt dans le spectre de fréquence de 200 à 400 gigahertz. La révélation a eu lieu il y a deux ans, clôturant plus de 15 ans d’efforts de recherche dédiés dirigés par M. O et son équipe, composée d’étudiants, de chercheurs et d’associés.

Lire la suite : https://smartphonemagazine.nl/fr/2024/06/11/les-smartphones-pourraient-bientot-se-vanter-de-la-vision-de-superman-grace-a-une-nouvelle-technologie-de-detection/

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Google teste la détection automatique de vol de téléphone avec Android 15

cnetfrance.fr - Par Raph PTX

Publié le 12 juin 2024

Cette fonction, actuellement en expérimentation au Brésil, utilise l'intelligence artificielle pour prévenir les vols de smartphones.

Lors de la conférence des développeurs I/O en mai dernier, Google avait annoncé son intention de renforcer la sécurité et la confidentialité des données avec Android 15. L'entreprise lance donc une phase de tests terrain pour une nouvelle fonctionnalité innovante, la détection de vol de smartphone, prévue dans la prochaine version du système d'exploitation attendue cette année. L'essai est en cours Au Brésil auprès de certains utilisateurs

Ce pays a été choisi comme zone pilote en raison du fort taux de délinquance lié aux appareils mobiles constaté sur son territoire. Les résidents brésiliens peuvent d'ores et déjà s'inscrire pour participer à cette évaluation en conditions réelles.

Cette fonctionnalité baptisée "verrou de détection de vol" exploite l'intelligence artificielle pour analyser les mouvements de l'appareil. Son objectif est d'identifier les secousses et déplacements brusques caractéristiques d'une tentative de vol. Mais ce n'est pas le seul critère pris en compte. L'algorithme scrute également les changements de réseau Wifi ou l'utilisation prolongée sur une connexion inhabituelle, signes avant-coureurs d'une malveillance. Une approche globale visant à déceler les comportements suspects.

Lire la suite : https://www.cnetfrance.fr/news/mobilite/google-teste-la-detection-automatique-de-vol-de-telephone-avec-android-15-408202.htm 

Intelligence artificielle

Elon Musk raconte n’importe quoi sur l’intégration de ChatGPT à iOS 18

Il menace de bannir les iPhone

numerama.com - Par Nicolas Lellouche

Révolté par le partenariat entre Apple et OpenAI, Elon Musk menace d’interdire les iPhone dans ses entreprises. Le milliardaire invente un complot sur le vol des données, qui semble complètement infondé au vu du fonctionnement de ChatGPT sur iPhone.

« Si Apple intègre OpenAI au niveau du système d’exploitation, les appareils Apple seront bannis de mes entreprises. C’est une violation inacceptable de sécurité ».

Sur Twitter, Elon Musk fait du Elon Musk. Dans la foulée de la présentation d’Apple Intelligence, la suite logicielle d’Apple pour entrer dans l’ère de l’IA générative, le milliardaire s’est offusqué de voir ChatGPT débarquer nativement sur iPhone, grâce à un partenariat entre OpenAI et Apple. Il menace même d’enfermer « dans des cages de Faraday » les iPhone des visiteurs, dans ce qui ressemble à une guerre d’égos avec Sam Altman, le patron d’OpenAI.

Apple se lance sur le marché de l’intelligence artificielle

Essayez de regarder cette vidéo sur www.youtube.com

Elon Musk raconte des bêtises sur Apple Intelligence

Lire la suite : https://www.numerama.com/tech/1757832-elon-musk-raconte-nimporte-quoi-sur-lintegration-de-chatgpt-a-ios-18.html?utm_campaign=Artificielles47&utm_medium=email&utm_source=newsletter_edito

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Intelligence artificielle: la start-up française Mistral AI valorisée à près de six milliards d'euros

rfi.fr - Par RFI

Publié le 12 juin 2024

L'intelligence artificielle générative attire les investisseurs, et la France ne fait pas exception. La start-up tricolore Mistral AI, qui veut concurrencer les géants américains du secteur, vient de terminer une nouvelle étape de financement. Elle est désormais valorisée à près de six milliards d'euros, à peine plus d'un an après sa création.

La start-up française, créée par d'anciens salariés de Google et de Meta, assure, mardi 11 juin, qu'elle vient d'engranger 600 millions d'euros de financement supplémentaire. De quoi porter sa valorisation à 5,8 milliards d'euros. Parmi les investisseurs : le fabricant de puces électroniques Nvidia, ou encore le géant de l’informatique IBM. Il y a quelques mois, c'était Microsoft qui mettait la main à la poche.

« Je suis ravi de voir des investisseurs, nouveaux et existants, renouveler leur confiance dans notre activité et apporter un nouveau soutien à son développement », a affirmé Arthur Mensch, patron et cofondateur de Mistral AI, dans un communiqué. Il a ajouté que ce nouveau tour de table « garantissait le maintien de l'indépendance de l'entreprise, qui reste entièrement sous le contrôle des fondateurs ».

D'après le Financial Times, l'entreprise française est désormais valorisée trois fois plus qu'il y a six mois. Un montant énorme pour une entité si jeune, même si c'est encore loin de ce que l'on peut observer aux États-Unis chez les géants américains de la tech. OpenAI, par exemple, qui a lancé le robot d’intelligence ChatGPT, est valorisée 80 milliards de dollars.

Un modèle français qui ambitionne de concurrencer ChatGPT

Lire la suite : https://www.rfi.fr/fr/france/20240612-intelligence-artificielle-la-start-up-fran%C3%A7aise-mistral-ai-valoris%C3%A9e-%C3%A0-pr%C3%A8s-de-six-milliards-d-euros

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L'IA, une source d'opportunités

lesechos.fr - Par

Publié le 12 juin 2024

Chance à saisir ou menace ? La question ne se pose plus. Il faut foncer. Les entreprises qui n'embarquent pas dans le train de l'IA prennent le risque de se retrouver à la traîne face à la concurrence. Les opportunités offertes de création de valeur grâce à cette technologie sont nombreuses. A chaque dirigeant de construire un récit réaliste et stimulant sur cette « révolution ».

Les multiples études sur l'adoption de l'intelligence artificielle (IA) par les grandes entreprises françaises confirment que la majorité d'entre elles l'utilisent activement dans leurs activités. Même si des obstacles les maintiennent parfois dans des phases d'expérimentation. En conséquence, les investissements qu'elles consacrent à cette technologie ne vont qu'augmenter…

Du côté des petites entreprises, pour qui la révolution des IA génératives n'a pas encore eu lieu, l'engouement est plus timide. La raison ? Le manque de connaissance du potentiel de ces outils, selon une récente enquête de Bpifrance. Et pourtant ! « D'ores et déjà, l'IAG a touché tous nos métiers, confirme Christophe Liénard, directeur central de l'innovation du groupe Bouygues et président d'Impact AI, autant les fonctions supports, comme le juridique et les RH, que la route avec Colas, la construction et les télécoms avec Bouygues ou l'audiovisuel avec TF1. Et ça va très vite. » D'où la mise en place progressive, ces deux dernières années, d'une gouvernance au plus haut niveau pour suivre tous les projets d'IA et data menés dans chaque entité du groupe.

Un moteur de transformation globale des organisations

Lire la suite : https://www.lesechos.fr/thema/articles/lia-une-source-dopportunites-2100803

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La Crypto et l'intelligence artificielle pourraient représenter une mégatendance de 20 000 milliards de dollars, selon Bitwise

coindesk.com - Par Will Canny

Publié le 1 juin 2024

Les deux secteurs pourraient ajouter collectivement 20 000 milliards de dollars au PIB mondial d’ici 2030, selon le rapport.

  • L’IA et la Crypto combinées pourraient ajouter un total de 20 000 milliards de dollars à l’économie mondiale d’ici 2030, selon le rapport.
    Bitwise note que les mineurs de Bitcoin disposent de toutes les ressources dont les entreprises d’IA ont besoin.
    La Crypto et l’IA ont le potentiel de se croiser dans d’autres domaines que l’exploitation minière, comme la validation des informations et les assistants virtuels.
  • L'intelligence artificielle (IA) et la Crypto pourraient ajouter ensemble 20 000 milliards de dollars à l'économie mondiale d'ici 2030, a déclaré mercredi le gestionnaire d'actifs Bitwise dans un rapport.
  • "L'intersection de l'IA et de la Crypto va être encore plus grande que ce que les gens imaginent", a écrit Juan Leon, analyste principal de la recherche sur la Crypto , ajoutant que "les deux industries pourraient ajouter collectivement 20 000 milliards de dollars au produit intérieur brut (PIB) mondial d'ici 2030".
  • Lire la suite : https://www.coindesk.com/fr/markets/2024/06/12/crypto-and-artificial-intelligence-could-be-a-20-trillion-megatrend-bitwise-says

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Apple se lance dans la course à l’intelligence artificielle

Par Vincent Jolly

Publié le 10 juin 2024

Depuis la découverte par le grand public des capacités des IA génératives, Apple semblait être à la traîne par rapport aux autres grands noms de la Silicon Valley comme Amazon, Meta et Microsoft, dont la valeur a récemment dépassé celle d'Apple.

Dans la Silicon Valley, comme dans la mode, tout est une question de tendance. Après le «Métaverse» et la «blockchain», c'est désormais l'intelligence artificielle qui est au cœur des grandes maisons de la Big Tech. La keynote d'Apple, tenue à l'Apple Park de Cupertino, n'a pas fait exception. Tim Cook a ainsi annoncé Apple Intelligence (AI), le nouveau système d'IA de la société.

À découvrir
PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech

Cette nouveauté logicielle va notamment permettre de faire évoluer son assistant vocal Siri (lancé il y a 13 ans) et de mettre l'agent conversationnel au même niveau de performance que les autres IA génératives déjà existantes. Apple ne ferme pas la porte aux autres IA, puisqu'une intégration du robot conversationnel ChatGPT(OpenAI) a été annoncée pour compléter les capacités d'Apple Intelligence, qui sera disponible gratuitement, sans abonnement supplémentaire.

Une utilisation de l’IA «naturelle»

Avec cette keynote, Apple se lance dans la course à l'IA, tout en soulignant longuement sa manière d'intégrer ces nouvelles technologies sans toucher à…

Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/avec-sa-keynote-apple-se-lance-officiellement-dans-la-course-a-l-intelligence-artificielle-20240610

Paiement électronique

Paiements : bientôt la fin de la carte bancaire ?

tv-programme.com - TF1 | Reportage J. Roux, Q. Trigodet

Publié le 11 juin 2024

Et si l'insertion de la carte bancaire dans un terminal de paiement électronique appartient bientôt au passé, remplacée par le paiement sur téléphone portable, avec une carte bancaire virtuelle ? Banque historique ou en ligne, toutes proposent ce service, qui a séduit Line et Christophe, 23 ans. Ils n'utilisent que leurs cartes dématérialisées pour payer leurs achats.

"C'est beaucoup plus rapide, on a juste qu'à cliquer deux fois sur le bouton. Et puis même, on peut l'utiliser avec la montre... Parfois, j'oublie même mon code et il faut que je me le rappelle", ont-ils exprimé. Avec une carte virtuelle, il n'est pas nécessaire de se souvenir de notre code de sécurité, c'est souvent par reconnaissance faciale.

En décembre dernier, en 2023, un client sur cinq a choisi la carte virtuelle, entièrement gratuite. Cela signifie-t-il que les cartes bancaires en plastique finiront toutes bientôt à la poubelle ? Pour l'instant, il est encore impossible de retirer des espèces avec les cartes virtuelles. Et tout le monde n'est pas prêt à passer au paiement 100 % mobile. La carte bancaire à puce a donc encore de beaux jours devant elle, qui représente aujourd'hui 60 % des transactions.

Lire sur : https://tv-programme.com/journal-de-tf1_emission/replay/paiements-bientot-la-fin-de-la-carte-bancaire_6668c689afbc5 

CNIL

Intelligence artificielle : nouvelle consultation publique sur le développement des systèmes d’IA

cnil.fr - Communiqué

Publié le 10 juin 2024

La CNIL publie une deuxième série de fiches pratiques et un questionnaire consacré à l’encadrement du développement des systèmes d’intelligence artificielle. Ces nouveaux outils visent à aider les professionnels à concilier innovation et respect des droits des personnes. Ils sont soumis à consultation publique jusqu’au 1er septembre 2024.

De nombreux acteurs ont fait part à la CNIL de questionnements concernant l’application du règlement général sur la protection des données (RGPD) à l’intelligence artificielle (IA), en particulier avec l’essor des systèmes d’IA génératives (Generative AI systems).

Pour la CNIL, le développement de ces systèmes est conciliable avec les enjeux de protection de la vie privée. Plus encore, la prise en compte de cet impératif permettra de faire émerger des dispositifs, outils et applications éthiques et fidèles aux valeurs européennes.

C’est à cette condition que les citoyens feront confiance à ces technologies. Pour cela, il est important que les acteurs disposent d’éléments clairs et pratiques d’analyse pour éclairer les décisions stratégiques de développement ou d’utilisation de l’IA que de nombreux organismes doivent prendre dans les prochains mois.

Une nouvelle série de recommandations soumises à consultation publique

Le 8 avril 2024, à la suite d’une consultation du secteurla CNIL a publié ses premières recommandations sur le développement des systèmes d’IA. Elles répondent notamment aux interrogations portant sur l’application des principes de finalité, de minimisation et de durée de conservation pour le développement des systèmes d’IA. Elles clarifient également certaines règles applicables à la recherche scientifique, à la réutilisation de bases de données ou à la réalisation d’analyse d’impact sur la protection des données (AIPD).

Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/intelligence-artificielle-la-cnil-ouvre-une-nouvelle-consultation-publique

RGPD

Pour entraîner son intelligence artificielle, Meta défie à nouveau le RGPD

cafetech.fr - Par Jérôme Marin

Publié le 10 juin 2024

Cela ressemblerait presque à une provocation. Déjà empêtré dans d’interminables procédures en Europe, Meta défie à nouveau le Règlement général sur la protection des données (RGPD). À partir du 26 juin, la maison mère de Facebook et d’Instagram va en effet utiliser les messages et les photos publiés par les membres des deux réseaux sociaux (mais pas leurs messages privés) pour “développer et améliorer” ses prochains modèles d’intelligence artificielle générative. Surtout, elle ne prévoit pas de demander le consentement de ses utilisateurs, leur laissant simplement la possibilité de refuser en remplissant un formulaire en ligne – à condition toutefois de fournir une justification jugée recevable par la société américaine. “C’est clairement contraire au RGPD”, dénonce l’activiste autrichien Max Schrems.

“Intérêt légitime” – La semaine dernière, son association Noyb a donc saisi les autorités de protection des données dans onze pays européens, dont la France, l’Allemagne et l’Irlande. Le RGPD requiert d’obtenir le consentement pour utiliser les données personnelles. Un consentement que Meta ne souhaite pas mettre en place, car l’immense majorité des utilisateurs ne le donneraient pas. Pour passer outre cette obligation, le réseau social invoque le principe “d’intérêt légitime”, prévu dans la réglementation. Mais Noyb rappelle que cette stratégie, déjà tentée par Meta dans la publicité ciblée, a été retoquée par la justice européenne. L’association dénonce aussi les démarches à effectuer pour s’opposer à l’utilisation des données. Des démarches qu’elle qualifie de “farce”, ne visant qu’à limiter drastiquement le nombre de refus.

Lire la suite : https://cafetech.fr/2024/06/10/pour-entrainer-son-intelligence-artificielle-meta-defie-a-nouveau-le-rgpd/

Big Data

7 clés pour maitriser sa stratégie data

lemondeinformatique.fr - Par John Edwards, CIO US (adapté par Reynald Fléchaux)

Publié le 10 Juin 2024

Les DSI d'aujourd'hui comprennent non seulement la valeur des données, mais aussi le fait que des applications analytiques exploitables, alimentées par des données de haute qualité, conduisent à de meilleures décisions métiers et à des opérations plus efficaces. Mais, la collecte de données est loin d'être un processus statique.

D'abord, parce que le patrimoine de données que détient l'entreprise s'accroit considérablement. Qu'il s'agisse de données de première main ou provenant de tiers, qu'elles soient structurées ou non. Pour Murli Buluswar, responsable analytique de Citi pour les services bancaires aux particuliers aux États-Unis, « les entreprises les avancées se distingueront en sophistiquant leur capacité à stocker, interroger, dériver et assembler des informations à partir de ces données. Et ce, à grande échelle. »

La mise en oeuvre d'une stratégie data nécessite une planification minutieuse, l'accès à des sources pertinentes et des capacités de gestion solides, tout en restant adaptables. Voici les tendances pour rester au fait des dernières approches en la matière.

1. L'IA transforme la proposition de valeur

L'intelligence artificielle (IA) représente aujourd'hui la tendance la plus importante en matière de stratégie de données, en raison de son profond potentiel de transformation, souligne Craig Muir, associé de la banque d'investissement Solomon Partners, où il est responsable des logiciels, des données et des applications analytiques.

Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lireamp-7-cles-pour-maitriser-sa-strategie-data-93956.html

Ethique du numérique

Le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) du numérique est né

Publié le 12 juin 2024

PARIS (TICsanté) - Un décret publié fin mai au Journal officiel a acté la création du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) du numérique, composé de vingt membres, outre son président, et placé auprès du premier ministre.

"Il est institué, auprès du premier ministre, un Comité consultatif national d'éthique du numérique […] chargé de donner des avis sur les questions d'éthique soulevées par les avancées des sciences, technologies, usages et innovations dans le domaine du numérique, et de leurs potentiels impacts, notamment sociaux, économiques, environnementaux ou éducatifs", définit le texte.

Il peut être saisi par: le président de la République, le premier ministre, le président de l'Assemblée nationale, le président du Sénat ou un membre du gouvernement, "ainsi que par un établissement d'enseignement supérieur, un établissement public ou une fondation reconnue d'utilité publique, sous réserve qu'ils aient pour activité principale la recherche, le développement technologique ou la promotion du numérique".

"Le comité peut également se saisir de questions posées par toute autre personne ou par un ou plusieurs de ses membres."

Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.ticsante.com/Story?id=7254

Désinformation

Comment fonctionne Matriochka, la dernière campagne de désinformation pro-russe débusquée par la France

telerama.fr - Par Olivier Tesquet

Publié le 11 juin 2024

Identifiée par Viginum, l’opération aurait touché des centaines de cibles, notamment en France. Son mode opératoire : cibler les cellules de fact-checking des médias, en les inondant de fausses infos.

Comme si l’actualité politique n’était pas suffisamment anxiogène, voilà que Viginum, le service de l’État chargé d’identifier les ingérences numériques étrangères, vient de débusquer une nouvelle campagne de déstabilisation pro-russe : Matriochka. Selon un rapport technique d’une quinzaine de pages mis en ligne lundi par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), cette opération – toujours en cours – cible les médias, plus particulièrement « la communauté des fact-checkers », et « porte atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », critère crucial pour désigner officiellement une ingérence numérique étrangère.

Active sur X depuis au moins septembre 2023, déjà identifiée par l’AFP l’année dernière, elle fonctionne selon un mode opératoire immuable. D’abord, un premier groupe de comptes publie des contenus trompeurs sur le réseau social, qui peuvent prendre la forme de faux reportages usurpant l’identité de médias ou de campagnes virales montées de toutes pièces, ce qui n’est pas sans rappeler les récents épisodes des étoiles de David dans les rues de Paris ou des mains rouges taguées sur le Mémorial de la Shoah. Dans un second temps, un deuxième groupe de comptes complices apostrophe les journalistes pour attirer l’attention sur ces informations piégées, les orientant à l’occasion vers des sites fantoches de l’écosystème « Pravda », un réseau de près de cents faux sites principalement actifs en Allemagne, en Pologne et en France, identifié en février dans une campagne précédente, Portal Kombat.

Lire la suite : https://www.telerama.fr/debats-reportages/comment-fonctionne-matriochka-la-derniere-campagne-de-desinformation-pro-russe-debusquee-par-la-france-7020812.php

Atos

Atos : l’État offre 700 millions pour racheter ses activités sensibles, l'action explose de 20%

Le Figaro.fr - Par Le Figaro avec AFP

Cette offre intervient deux jours après le choix du consortium mené par Onepoint pour la reprise d'Atos.

L’objectif est d’éviter qu’elles tombent entre les mains d'acteurs étrangers.

L'État au secours d’Atos. Avec une offre à 700 millions d'euros, l’état souhaite acheter les activités d'Atos jugées stratégiques et sensibles, dont les supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire, a indiqué vendredi dans un communiqué le groupe informatique français, en pleine restructuration. Cette offre vise à éviter que ces activités, qui touchent à la souveraineté de la France, tombent entre les mains d'acteurs étrangers. Elle intervient deux jours après le choix du consortium mené par Onepoint pour la reprise d'Atos.

La proposition de l'État, formulée dans une «lettre d'offre confirmatoire non engageante», concerne «l'acquisition potentielle de 100% des activités d'Advanced Computing, de Mission-Critical Systems et de Cybersecurity Products de la division BDS (Big Data & Cybersécurité)» d'Atos, a indiqué le groupe. Ces activités englobent les supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire, les contrats avec l'armée française et les produits de cybersécurité. «Cette offre confirmatoire non-engageante porte sur une valeur d'entreprise globale de 700 millions d'euros», a poursuivi Atos.

Un besoin de 1,1 milliard d'euros de liquidités pour 2024-2025

Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/societes/atos-l-etat-offre-700-millions-pour-racheter-ses-activites-sensibles-20240614 

Atos - Eviden

Le groupe Atos et Microsoft s’unissent

Paris, France – 12 juin 2024 – Le groupe Atos, via Eviden, sa ligne d’activités leader dans le numérique, le cloud, le big data et la sécurité, annonce aujourd’hui une collaboration avec Microsoft pour lancer une initiative stratégique visant à combiner leurs expertises pour accélérer l’adoption de « RISE with SAP » sur Microsoft Azure.

La collaboration portera sur la création d’une unité de service dédiée au sein d’Eviden. Celle-ci s’appuiera sur l’expertise industrielle combinée d’Eviden et de Microsoft dans les secteurs de la fabrication, de l’énergie & services publics, ainsi que des produits de grande consommation pour fournir aux clients des services spécialisés, visant à accélérer   leur transformation SAP S/4HANA et leur adoption du cloud Microsoft dans le cadre du programme « RISE with SAP ». Cette initiative aidera les clients du monde entier à accroître la valeur, à stimuler l’innovation et à transformer leur parcours digital.

Des initiatives de transformation complètes

La collaboration facilitera l’intégration de « RISE with SAP » avec des solutions commerciales et sectorielles avancées. Celles-ci intègrent une gamme de services allant du consulting en valeur commerciale à la gestion du changement, en passant par la conversion, la migration, l’exécution et les services d’innovation dans le cadre du programme RISE++ d’Eviden. Les clients bénéficieront également de plateformes agiles et innovantes, ainsi que de services de gestion de la performance busines digitale de l’entreprise (Digital Business Performance Management).  Ce programme aidera les clients à réaliser une intégration transparente entre SAP Business Technology Platform (BTP), les composants SaaS collaboratifs, Copilot pour Microsoft 365, SAP Business AI et les capacités GenAI. Lire la suite : https://eviden.com/fr-fr/actualites/communiques-de-presse/le-groupe-atos-et-microsoft-sunissent-pour-accelerer-de-rise-with-sap-sur-microsoft-azure/

Thales

En Australie, le habitants du Queensland adoptent le permis de conduire numérique développé et sécurisé par Thales

thalesgroup.com - Communiqué

Publié le 11 juin 2024

  • Depuis son lancement fin 2023 par le ministère des Transports et des routes principales du Queensland (TMR), plus de 500 000 habitants de cette région ont téléchargé la nouvelle application de permis de conduire numérique développée par Thales et ses partenaires locaux, Code Heroes et Aliva.
  • Développée avec la sécurité et le respect de la vie privée comme priorités, la plateforme de services d’identification numérique de Thales alimente l’application et fournit un hébergement cybersécurisé pour les données d’identité des utilisateurs.
  • L’application du Queensland est le premier permis de conduire numérique conforme aux normes internationales déployé en Australie, permettant aux utilisateurs de présenter et de partager leur identité numérique dans toutes les juridictions locales et internationales qui l’acceptent.

Queensland (QLD) ‘Digital Licence App’ a convaincu plus d’un demi-million d'utilisateurs, depuis son lancement en novembre 2023, démontrant l’attractivité de ce document d’identité numérique sécurisé. Thales et le ministère des Transports et des routes principales du Queensland (TMR) ont mis la nouvelle application à disposition de tous les habitants de cette région, après le succès du pilote testé à Townsville, qui avait permis de confirmer l’engouement des utilisateurs finaux. Plusieurs entreprises et groupes industriels, ont pu partager leurs retours d’expériences en amont du lancement du projet.

A l’aide de la technologie avancée de Thales et s’appuyant sur l’expertise de partenaires locaux ‘Code Heroes’ et ‘Aliva’, l’application ‘QLD Digital Licence’ est conçue pour tenir compte de la sécurité des données, et du respect de la vie privée. Extrêmement simple à utiliser, cette application comprend des fonctionnalités telles que l’authentification multifactorielle, l’intégration avec le service Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/australie-habitants-du-queensland-adoptent-le

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THALES s’allie à google cloud pour offrir aux organisations des capacités avancées de détection et de réponse aux cyberattaques

thalesgroup.com/fr - Communiqué

Publié le 13 juin 2024

  • Thales et Google Cloud annoncent la signature d’un nouveau partenariat d‘envergure visant à offrir aux clients de Thales une plateforme globale de SOC (Centre Opérationnel de Cybersécurité) offrant des capacités avancées de détection et de réponse aux incidents de cybersécurité.
  • Ces services de nouvelle génération combinent l’expertise de Thales en matière de détection et de réponse aux incidents de cybersécurité et les capacités SecOps de Google Cloud basées sur l’analyse de la menace et sur l'intelligence artificielle.
  • A travers ce partenariat, Thales et Google Cloud agrègent au sein d’une même plateforme leur expertise complémentaire en matière de connaissance de la menace cyber. Cette offre déjà disponible en France sera accessible à l’international au second semestre 2024 et viendra compléter l’offre de services SOC de Thales.

Thales a choisi de s’associer à Google Cloud pour renforcer ses capacités de détection et de réponse aux cyberattaques sur les systèmes d’information des organisations.

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-sallie-google-cloud-offrir-aux

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THALES offre aux entreprises une fonctionnalité d’authentification sans mot de passe complète : passwordless 360°

Publié le 12 juin 2024

©KuppingerCole

- Cette nouvelle approche permet aux entreprises de recourir à un seul prestataire pour couvrir l’ensemble de leurs besoins d’authentification, quel que soit l’écosystème : clients, employés, partenaires, fournisseurs...

- Cette annonce intervient au moment même où Thales a été reconnu comme Chef de file par KuppingerCole dans son baromètre 2024 des leaders de l’authentification sans mot de passe

Thales, le chef de file mondial des solutions technologiques et de sécurité, annonce aujourd’hui, un nouveau concept d’authentification sans mot de passe, Passwordless 360°, qui offre à ses clients une fonctionnalité capable de couvrir l’ensemble de leurs besoins, quel que soit le type d’utilisateur ou le niveau de garantie requis. Grâce à sa flexibilité, Passwordless 360° permet aux entreprises d’utiliser les technologies d’authentification les plus récentes, telles que les clés FIDO, tout en tirant le meilleur parti des investissements qu’elles ont éventuellement déjà réalisés dans les technologies sans mot de passe.

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-offre-aux-entreprises-une-fonctionnalite

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THALES, SPIRE GLOAL et ESSP s'associent pour développer un service de surveillance du trafic aérien depuis l'espace

Publié le 13 juin 2024 - © Thales

Thales, Spire et ESSP unissent leurs forces pour développer une constellation de satellites et proposer de nouveaux services de surveillance depuis l'espace aux fournisseurs de services de navigation aérienne (ANSP).

Cette constellation de plus de 100 satellites offrira une surveillance en temps réel du trafic aérien, améliorant la sécurité, la durabilité et la sécurité de l'espace aérien.

MEUDON / MUNICH / TOULOUSE, 13 juin 2024 — Thales (Euronext Paris : HO), Spire Global (NYSE : SPIR) et European Satellite Services Provider (ESSP) ont signé un protocole de coopération dans le but d'introduire une gamme de services innovants de surveillance mondiale par satellite dans le secteur de la gestion du trafic aérien (ATM) et sur le marché de l'aviation en général. Ces services seront assurés par une constellation spécialisée de plus de 100 satellites qui recueilleront les messages du système de surveillance automatique (ADS-B) émis par les aéronefs et transmettront les données à la Terre en temps réel.

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/thales-spire-global-et-essp-sassocient-developper-service