La société ATOS (www.atos.net/fr) est une  société  positionnée en tant que partenaire de confiance pour la transformation digitale de ses  clients en utilisant les ressources, l’ampleur et le savoir-faire dont ils  ont besoin.

Les principales raisons de l’adhésion de ATOS à l’association :

  • Développement d'un système de gestion du Pass Lille&Moi multiservices citoyenne porteur l'AMC pour la ville de Lille.
  • Développement des autres solutions numériques basés sur l'AMC pour d'autres villes.
  • Bénéficier de la garantie de la sécurité et les bonnes pratiques offertes par la norme AMC.

Le Groupe Giesecke et Devrient a  adhéré à l’ADCET, d'abord pour répondre à la demande de l’autorité organisatrice de Mobilité en Ile de France IDFM et produire les nouveaux passes Navigo multiservices porteurs de l’AMC, et ensuite pour développer de nouveaux projets. Dans cette perspective Giesecke-Devrient mobile security a signé la convention d'usage de l'AMC commune.


Le conseil d’administration de la régie Ligne d’Azur du 15 novembre a approuvé  l 'adhésion de l'établissement à l' association  ADCET  pour  les années 2019 et 2020, sur la base des considérations suivantes :

  • l' association ADCET regroupe des acteurs publics et privés pour le développement du numérique dans l'offre de services aux citoyens,
  • elle s'est notamment fixée pour mission de faire émerger et converger les besoins des territoires, de découvrir et d'étudier les solutions numériques,
  • la Métropole Nice Côte d'Azur, autorité organisatrice de la mobilité, et la Régie Ligne d'Azur souhaitent développer les outils numériques afin de faciliter les accès du service public aux citoyens ,
  • l'adhésion de la Régie Ligne d'Azur à cette association lui permettra de participer aux recherches de solutions innovantes.

Revue de presse ADCET N° 51 - Lundi 25 novembre 2019

• Mobilités

La loi mobilité veut révolutionner le transport

ladepeche.fr - Philippe Rioux
Publié le 23/11/2019 à 07:43 , mis à jour à 09:48

Les trois quarts des investissements pour le ferroviaire./ DDM.

Le Parlement a adopté définitivement mardi dernier, par un ultime vote de l'Assemblée, la tentaculaire loi d'orientation des mobilités (LOM) qui entend améliorer les déplacements au quotidien des Français, tout en intégrant l'enjeu environnemental.

Le texte a été approuvé par 116 voix contre 49 et 9 abstentions avec l'appui des députés LREM-MoDem et des élus UDI-Agir, les autres groupes votant essentiellement contre, avec quelques abstentions. Présenté il y a un an en Conseil des ministres à l'entame du mouvement des Gilets jaunes, ce projet a été pensé par la majorité comme une réponse au « sentiment d'abandon »...

Lire la suite : https://www.ladepeche.fr/2019/11/23/la-loi-mobilite-veut-revolutionner-le-transport,8558556.php

•Transports

LONDRES

Prix des transports à Londres en 2020 : le maire a tranché !

lepetitjoural.com - Laurent Colin
Publié le 18 novembre 2019

Transport for London (TfL) a confirmé aujourd'hui que tous les tarifs fixés par le maire de Londres resteraient gelés en 2020.

Les trajets effectués en mode « pay as you go » en bus, métro, tram, DLR et services ferroviaires gérés par TfL seront toujours facturés au même prix. Il en en de même pour la location des vélos Santander : £2 pour prendre la bicyclette une journée, sans coût supplémentaire si le trajet dure moins de 30 minutes.

En payant avec une carte sans contact ou avec carte Oyster, les tarifs adultes pour le Tube, hors heures de pointe, y compris en zone 1, commenceront toujours à £2,40. Et la plupart des billets Overground ou métro des zones 2 à 6 coûteront comme cette année £1,50.

Avec le tarif « Hopper » le bus demeure plus économique car il est toujours possible de parcourir la capitale en une heure pour £1,50, même en changeant de bus. Le coût total étant plafonné à £4,50 pour la journée, contre £7 pour le métro (zone 1 et 2).

Lire : https://lepetitjournal.com/londres/prix-des-transports-londres-en-2020-le-maire-tranche-268911

• Services Publics

Services publics : 69% de démarches administratives réalisables en ligne

bfmtv.com - Frédéric Bergé
Publié le 17 novembre 2019

Selon l'Observatoire de la dématérialisation, qui mesure l'état de la numérisation des services publics, 69 % des 250 démarches administratives jugées comme les plus utiles, sont dématérialisées. Les ministères de la Justice et de l'Éducation nationale sont parmi les moins avancés.

L'Observatoire de la dématérialisation, qui suit l’état d'avancement de la numérisation des services publics depuis 2018, estime que 69 % des démarches administratives jugées les plus utiles sont dématérialisées. Derrière ce pourcentage se cache le fait que 165 des 245 démarches phares de l’État sont désormais réalisables par Internet. C'est le cas aussi bien de la déclaration de naissance à l'Assurance maladie, de la consultation de résultats au permis de conduire ou du signalement d'une utilisation frauduleuse de sa carte bancaire.

Ce baromètre ne livre pas seulement une statistique générale sur l'état de la dématérialisation des démarches. Chacune d'entre elles est analysée à l'aune de plusieurs critères qualitatifs d'évaluation: peut-on la réaliser sur mobile (impossible pour Parcoursup, par exemple) ou quels sont le degré de disponibilité et le temps de réponse du site internet? La demande en ligne d'un logement en résidence universitaire auprès du Crous est ainsi notée d'un 0 pointé sur ces deux derniers critères, à cause de ses piètres performances.

Lire la suite : https://www.bfmtv.com/economie/services-publics-69percent-de-demarches-administratives-realisables-en-ligne-1805386.html

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Un livre blanc sur l’administration locale en mutation

lagazettedescommunes - Bénédicte Rallu
Publié le 15 novembre 2019

Le numérique bouscule les collectivités et les usages. Devant ce constat, le syndicat des DG a souhaité lancer le débat sur les mutations de l’administration locale que le phénomène provoque. Il a présenté lors de son congrès à Arras (7-9 novembre) un livre blanc consacré à la problématique. Le document rassemble une trentaine de contributions issues du public, du privé et du monde universitaire.

Le syndicat des DG a présenté, lors de son congrès d’Arras (7-9 novembre), un livre blanc sur l’administration locale en mutation. « C’est un ouvrage sur les mutations à venir autour du numérique et de ses usages. Cet outil est au service de la concertation, du travail de nos collaborateurs… », explique Mathieu Lheriteau, directeur général des services d’Agglopolys, communauté d’agglomération de Blois et membre du SNDGCT.

Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/649224/un-livre-blanc-sur-ladministration-locale-en-mutation/#utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=2019-11-15-quotidien&email=Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.&xtor=EPR-2

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La GovTech, une opportunité sous-exploitée pour moderniser les services publics

latribune.fr - Sylvain Rolland
Publié le 18 novembre 2019

Les startups et les PME innovantes ne récupèrent que 2% du montant de la commande publique, soit à peine 4 milliards d'euros sur les 200 milliards que les acteurs publics dépensent tous les ans auprès des entreprises privées. De nombreux freins - législatifs, culturels - restent encore à lever pour que les startups aident mieux l'État à créer des services publics mieux adaptés aux attentes des citoyens.

Encore un paradoxe français : l'État dépense des milliards d'euros pour soutenir l'innovation et érige la startup nation en modèle de société... mais il travaille très peu lui-même avec les startups. Or, qui n'a jamais pesté contre les nombreuses aberrations dans le fonctionnement de certains services publics, ou été abasourdi par la complexité des démarches administratives ?

"Loin de tout dématérialiser, les outils numériques sont surtout une opportunité pour l'État d'améliorer, de simplifier et d'optimiser son propre fonctionnement pour créer des services publics plus adaptés et plus efficaces pour les citoyens", plaide Axelle Lemaire, ancienne secrétaire d'État au Numérique reconvertie dans le conseil chez Roland-Berger.

Orienter l'innovation au service des citoyens, c'est le principe de la GovTech, contraction de "gouvernement" et "technologie". C'est un sous-secteur de la tech à part entière, dont le marché est évalué à plus de 100 milliards de dollars pas an aux États-Unis.

Lire la suite : https://www.latribune.fr/technos-medias/innovation-et-start-up/la-govtech-une-opportunite-sous-exploitee-pour-moderniser-les-services-publics-833213.html

• Identité

Maires : une carte d’identité tricolore pour renforcer leur autorité

la-croix.com - Bernard Gorce
Publié le 22 novembre 2019

Les faits. Les élus se verront remettre une carte tricolore officielle, attestant de leur fonction d’officier de police judiciaire. Cet amendement, voté le jeudi 21 novembre, dans le cadre du projet de loi engagement et proximité, renforce leurs pouvoirs en la matière.

Les députés ont voté, jeudi 21 novembre, un amendement au projet de loi engagement et proximité afin de renforcer l’information des maires sur leurs attributions, exercées au nom de l’État. Ils rencontreront désormais, au début de leur mandat, le préfet et le procureur de la République afin de donner un caractère solennel à leur prise de fonction. L’enjeu est aussi de rappeler aux maires leur fonction d’officiers de police judiciaire car souvent, la méconnaissance de leurs prérogatives constitue un frein à leurs missions. Or, selon le code de général des collectivités locales, le maire et ses adjoints exercent le pouvoir d’officier de police judiciaire sous le contrôle du procureur de la République.

Lire la suite : https://www.la-croix.com/France/Securite/maires-didentite-carte-tricolore-renforcer-leur-autorite-2019-11-22-1201062112

• Blockchain

Blockchain et cybersécurité : attention au miroir aux alouettes

latribune.fr - Sébastien Meunier
Publié le 19 novembre 2019

OPINION. Il ne faut pas confondre Blockchain et sécurité. Tout dépend de la conception des blockchains, qui sont régulièrement piratées et pas forcément chiffrées. Il est important de rétablir les faits sur ces sujets complexes. Par Sébastien Meunier, directeur au cabinet de conseil en management Chappuis Halder & Cie.

Penser que la blockchain apporte des bénéfices en matière de cybersécurité est une erreur assez répandue. Le ministère de l'Économie mentionne à quatre reprises la notion de « sécurité » dans sa description de la blockchain. Il est important de rétablir les faits sur ces sujets complexes.

  • Quelques points généraux pour commencer :
    1 / Les blockchains ne sont pas conçues pour résoudre des problèmes de sécurité. Elles minimisent la confiance. Elles permettent à des utilisateurs non identifiés d'échanger des unités de valeur numériques, en évitant que ces unités ne soient copiées et dépensées à plusieurs reprises, sans faire appel à un tiers de confiance. Si les blockchains incluent des fonctionnalités de sécurité, ce n'est pas de manière innée, mais par conception, dans un effort conscient pour minimiser la confiance.

Lire la suite : https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/blockchain-et-cybersecurite-attention-au-miroir-aux-alouettes-833191.html#xtor=AL-13

• RGPD

Opinion | RGPD : collectivités et gestionnaires de service public, qui est responsable de quoi ?

lesechos.fr - Romain Perray (Avocat Associé McDermott Will & Emery AARPI)
Publié le 21 novembre 2019

Avec la récente publication par la CNIL de son guide à l'attention des collectivités locales, la question de la détermination du rôle de celles-ci ainsi que celui de leurs gestionnaires de service public se pose avec d'autant plus d'intérêt pour identifier qui assume au final le respect des exigences du RGPD. (Par Romain Perray, avocat associé chez McDermott Will & Emery AARPI)

Afin d'aider les collectivités à y voir plus clair face aux difficultés de mise en œuvre du Réglement Général sur la Protection des Données (RGPD), la CNIL vient de publier un guide de sensibilisation à leur attention. Très attendu, il apporte indiscutablement d'utiles précisions, en particulier sur le rôle central du délégué à la protection des données. Il se prononce également sur l'interaction des collectivités avec leurs prestataires. Tous ne sont cependant pas mentionnés. Seuls sont expressément cités les sous-traitants qui traitent des données personnelles pour le compte des autorités locales, avec pour exemples des prestations se rattachant à l'univers en ligne : hébergement ou maintenance informatique. Aussi utiles soient ces exemples, il ne faudrait pas pour autant y voir une règle s'appliquant sans distinction à tous les cocontractants de collectivités.

Bien distinguer les rôles : un enjeu clé du RGPD

Lire la suite : https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-rgpd-collectivites-et-gestionnaires-de-service-public-mais-qui-est-responsable-de-quoi-1149651

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Microsoft revoit ses règles de protection des données pour se conformer au RGPD européen

ouest-france.fr - avec Reuters
Publié le 18 novembre 2019

Le logiciel Microsoft Office ProPlus (comme Word et Outlook) va mieux respecter le Règlement général sur la protection des données, le fameux RGPD, à partir de lundi, annonce l’entreprise basée à Seattle.

Microsoft a déclaré lundi 18 novembre qu’il revoyait les clauses de confidentialité de ses contrats de « cloud computing » après que le régulateur de l’Union européenne a déterminé que les contrats de la firme avec les institutions de l’UE ne respectaient pas les nouvelles règles du bloc en matière de protection de la vie privée.

Le Contrôleur européen de la protection des données (CEPD) a ouvert en avril dernier une enquête afin de déterminer si les produits et services fournis par Microsoft aux institutions de l’UE respectaient les nouvelles règles en matière de protection de la vie privée.

Lire la suite : https://www.ouest-france.fr/europe/ue/microsoft-revoit-ses-regles-de-protection-des-donnees-pour-se-conformer-au-rgpd-europeen-6613627

• Cybersécurité

INFO OUEST-FRANCE. La cybersécurité, c’est 3 400 emplois à Rennes

ouest-france.fr
Publié le 18 novembre 2019

Que pèse l’économie de la cybersécurité dans le bassin rennais ? L’agence Audiar, de Rennes métropole, publie ce lundi une très riche étude sur ce secteur, à la veille de la 4e édition de l’European Cyber Week, organisée du 19 au 21 novembre au couvent des Jacobins de Rennes. Ouest-France publie cette étude en avant-première.

Une photographie du « cyber ». Cyberdéfense, cybersécurité, cyberprotection, etc. Ces mots font partie depuis quelques années du vocabulaire économique du bassin d’emploi rennais. La ministre de la Défense, Florence Parly, en a même parlé comme d’une « cyber valley européenne ».

Mais qu’est-ce que ça veut dire concrètement et qu’est-ce que ça pèse en terme d’économie, d’emplois, et de formations ? L’Audiar (1) publie ce lundi 18 novembre une étude richement documentée sur le sujet « L’excellence cybersécurité à Rennes Métropole ». Un document de référence à consulter ci-dessous.

Audiar Cyber Web by FrancescoGuillermoDeNada on Scribd

Lire la suite : https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/info-ouest-france-la-cybersecurite-c-est-3-400-emplois-rennes-6612854


Revue de presse ADCET N° 48 - Lundi 4 novembre 2019

• Transports

Ile-de-France : métro, bus... le carnet de tickets augmente de 2 euros le 1er novembre

leparisien.fr - Jean-Gabriel Bontinck
Publié le 30 octobre 2019

Le fameux carnet de tickets T+ en carton sera vendu 16,90 € au lieu de 14,90 € à partir de ce vendredi. Une hausse de tarif pour inciter à utiliser des cartes Navigo ou son smartphone, pour lesquels le prix du ticket ne bouge pas.

Usagers des transports franciliens, si vous faites partie des habitués du carnet de 10 tickets T+, attention : son tarif augmente dès ce vendredi 1er novembre. Le prix de ce carnet passe en effet de 14,90 € à 16,90 €, soit une hausse de 13 %. Une augmentation de 2 € loin d'être anecdotique quand on sait que 29 millions de carnets sont vendus chaque année dans la région ! Ces tickets T+ restent vendus à 1,90 € à l'unité. Ils servent à prendre le métro et le RER dans Paris, les bus dans Paris et les tramways.

Il est toutefois possible d'éviter de subir cette hausse de prix. Le tarif des 10 tickets reste en effet à 14,90 € si vous les chargez virtuellement sur l'un des nouveaux supports lancés par Ile-de-France Mobilités (IDFM).

Soit la carte Navigo Easy : c'est une carte magnétique rechargeable, anonyme, vendue 2 € (250 000 ventes depuis juin), et sur laquelle on peut ensuite charger de façon infinie des carnets de tickets T + à 14,90 €. Soit votre smartphone : à condition que vous ayez un Samsung, ou que votre opérateur soit Orange (à l'exception des iPhone), votre téléphone (3 millions sont éligibles) peut en effet devenir votre titre de transport. En téléchargeant l'appli ViaNavigo, vous pouvez acheter des carnets de tickets à 14,90 €.

Lire la suite : http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/ile-de-france-le-carnet-de-tickets-papier-augmente-de-2-euros-le-1er-novembre-30-10-2019-8183463.php

• Mobilités

Île-de-France Mobilités se lance dans le MaaS

mobilitesmagazine.com - Pierre Cossard
Publié le 17 octobre 2019

Île-de-France Mobilités (IDFM) vient d’annoncer vouloir se doter d’une stratégie régionale pour le développement de la mobilité servicielle (en anglais, Mobility as a Service ou MaaS).

L’objectif est de mettre à la disposition des Franciliens et des 50 millions de visiteurs annuels de la Région une nouvelle application Île-de-France Mobilités regroupant l’ensemble des modes de déplacements (Transports en commun, Vélos, Covoiturage, Taxis, VTC ...), les titres de transports dématérialisés, et un calculateur d’itinéraire, et ce d’ici un peu plus d’un an.

Lire la suite : https://www.mobilitesmagazine.com/single-post/2019/10/17/I%CC%82le-de-France-Mobilite%CC%81s-se-lance-dans-le-MaaS

• Fonction publique

Le sondage qui redonne des couleurs aux fonctionnaires territoriaux

lagazettedescommunes.com - Jean-Baptiste Forray
Publié le 25 octobre 2019

Selon un baromètre IPSOS commandé par l’Association des administrateurs territoriaux de France, les Français plébiscitent les agents des collectivités. Ils souhaitent aussi que les ministères s’ouvrent à de nouveaux profils.

Qui a dit que les agents des collectivités n’ont pas la côte ? À en croire le baromètre IPSOS sur le service public local diligenté par l’Association des administrateurs territoriaux de France et rendu public le 25 octobre 2019, il n’en est rien. 81 % des personnes interrogées font confiance aux fonctionnaires publics locaux plutôt qu’aux agents de l’Etat pour « organiser les services publics là où ils habitent ». 78 % jugent leurs prestations de qualité. 77 % sont satisfaits en tant qu’usagers. N’en jetez plus !

Les Français souhaitent renforcer le service public local prioritairement dans trois domaines : les pompiers, les économies d’énergie et la petite enfance. Une liste dans laquelle l’éducation arrive au dernier rang, signe sans doute que l’opinion reste attachée à son caractère toujours majoritairement national.

Oui à la hausse des indemnités des maires

Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/645806/le-sondage-qui-redonne-des-couleurs-aux-fonctionnaires-territoriaux/

• Services publics

Lot. Grand Figeac : aménagements et services publics à l’ordre du jour

actu.fr - Rédaction Cahors
Publié le 1 novembre 2019 

Réunis en séance plénière à la salle des fêtes de Labathude, 76 élus du Grand Figeac siégeant en assemblée délibérante ont examiné les 22 points à l'ordre du jour.

Finances publiques

Christiane Maréchal, directrice départementale des finances publiques, présente aux élus le projet de réforme pour le Lot. Après les annonces du ministre de l’Action et des Comptes publics sur la réorganisation du réseau territorial de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP) et la suppression de 5 800 postes de son ministère, les élus du Grand Figeac ont voté à l’unanimité, le 25 septembre, une motion de défense de ce service public de proximité.

Christiane Maréchal annonce une hausse du nombre d’accueils de proximité d’au moins 30 % d’ici à 2022, avec notamment la présence d’agents dans les maisons de services au public (bientôt labellisées « Maison France Services »). Il n’y a pas d’évolution sur des services existants sur Figeac. Les points d’ancrage de Bagnac et Lacapelle-Marival sont préservés.

Face à la directrice départementale des finances publiques du Lot et aux perspectives de suppression des trésoreries de proximité, les élus réaffirment leur attachement au modèle et au fonctionnement du service public relevant des compétences de l’État, et demandent une concertation avec l’État au sujet de cette réorganisation, ainsi que le maintien par l’État des services à la population, aux entreprises, et aux collectivités.

Lire la suite : https://actu.fr/occitanie/figeac_46102/lot-grand-figeac-amenagements-services-publics-lordre-jour_29025204.html

• Intercommunalité

Les intercos cajolées par le gouvernement

lagazettedescommunes.com - Delphine Gerbeau
Publié le 30 octobre 2019

Le 30ème congrès de l'Assemblée des communautés de France a été l'occasion pour le Premier ministre, Edouard Philippe, de rassurer les élus intercommunaux sur l'impact du projet de loi Engagement et proximité actuellement en discussion au Parlement.

Pas moins de cinq ministres, ainsi que le Premier ministre, sont venus rendre visite aux élus intercommunaux le 30 octobre à Nice à l’occasion de la 30ème convention de l’Assemblée des communautés de France (ADCF).

Il faut dire que  l’ADCF et les intercos qu’elle représente se retrouvent une fois de plus au ban des accusés, avec le projet de loi Engagement et proximité, adopté en première lecture par le Sénat.

Edouard Philippe, de passage le mercredi 30 au soir, accueilli chaleureusement par les congressistes, a exprimé son incompréhension. « On entend en ce moment une petite musique de fond, pas si petite et pas si harmonieuse, qui tend à opposer communes et intercommunalités. Je ne comprends pas ce débat : les élus sont les mêmes… Je trouve qu’il  y a souvent au sein des assemblées communautaires quelque chose qui relève de la politique avec un grand P ».

Evoquant le projet de loi Engagement et proximité, le Premier ministre a rappelé que le gouvernement a jugé raisonnable de ne pas se lancer dans un nouveau big bang. « Il n’est pas question de détricoter l’intercommunalité », a-t-il asséné.

Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/646543/les-intercos-cajolees-par-jacqueline-gourault/#utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=2019-10-30-quotidien&email=Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.&xtor=EPR-2


• Big Data

Les 3 géants du Cloud ont gagné près de 22 milliards $ en un trimestre

lebigdata.fr - Bastien L
Publié le 30 octobre 2019

En seulement un trimestre, les trois leaders du Cloud Amazon Web Services, Microsoft Azure et Google Cloud ont généré près de 22 milliards de dollars de revenus. Une preuve, s’il en fallait une, que la croissance du nuage n’en finit plus.

Le Cloud continue son essor fulgurant. Si vous n’y croyez pas, il suffit d’observer les revenus générés par les trois leaders du marché au troisième trimestre 2019.

Au total, on estime que les revenus cumulés par Amazon, Microsoft et Google ont atteint 22 milliards de dollars au cours des trois derniers mois. Une somme mirobolante qui reflète à quel point le Cloud s’impose dans les entreprises de tous les secteurs.

En comparaison, sur la même période en 2018, les revenus des trois géants du Cloud s’élevaient à 16 milliards de dollars. L’évolution est donc impressionnante.

Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/cloud-aws-microsoft-google-22-milliards-revenus


• Cybersécurité

Carton rouge pour les parlementaires français sur la cybersécurité

lemondeinformatique.fr - Jacques Cheminat
Publié le 28 Octobre 2019

Insuffisant, proche de zéro, faible, les qualificatifs sont éloquents sur le niveau de sécurité des députés et des sénateurs. C'est le constat du sénateur Jérôme Bascher qui a rédigé un rapport sur la sécurité informatique des pouvoirs publics.

Le rapport d’information mené par le sénateur de l’Oise Jerôme Bascher (LR), sur la sécurité informatique des pouvoirs publics, fourmille d’enseignements et de renseignements. En premier lieu, il égratigne la faible prise en considération de la notion de sécurité informatique par les parlementaires. Les résidents du Palais du Luxembourg sont notamment pointés du doigt avec « la possibilité laissée aux sénateurs de s’équiper librement, en choisissant pour eux-mêmes et pour leurs collaborateurs les modèles d’ordinateurs et de périphériques qu’ils souhaitent, rend la tâche des équipes du Sénat chargées de la sécurité informatique beaucoup plus complexe ». Le rapporteur souhaite donc une évolution des pratiques de BYOD (bring your own device) vers une maîtrise des équipements utilisés.

Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-carton-rouge-pour-les-parlementaires-francais-sur-la-cybersecurite-76920.html

Lire le rapport : https://www.senat.fr/notice-rapport/2019/r19-082-notice.html

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Cybersécurité : les services municipaux de Johannesburg de nouveau interrompus

tom.travel - Hugo Pellegrin
Publié le 29 octobre 2019

Après détection d’une intrusion sur le réseau, la ville de Johannesburg a interrompu ses services en ligne par précaution afin d’évaluer l’ampleur de l’attaque.

Jeudi soir, le site web, les services en ligne et de facturation de la ville de Johannesburg ont été interrompu à la suite d’une cyberattaque. Selon la revue technologique du MIT, la capitale économique a été la victime répétée de cyberattaques, dont deux ont eu lieu au cours des trois derniers mois interrompant d’importants services et réseaux municipaux. Plusieurs médias locaux ont fait état d’une demande de rançon adressée aux services municipaux.

Une information démentie à la télévision dans la matinée du vendredi par le porte-parole de la ville Nthatisi Modingoane. « Ce que nous savons, c’est que oui, le système a été piraté, et nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour nous assurer qu’il est protégé », a dit M. Modingoane. « Le piratage s’est produit au niveau de l’utilisateur, et non au niveau de l’application, qui est l’endroit où se trouvent les données critiques. Quand nous avons remarqué l’impact sur le niveau d’utilisateur, nous avons fermé le système par mesure de précaution pour protéger les informations critiques des clients. »

Peut-on garantir la sécurité des « smart cities » ?

Lire la suite : https://www.tom.travel/2019/10/29/cybersecurite-les-services-municipaux-de-johannesburg-de-nouveau-interrompu/


• RGPD

Elisabeth Quillatre (data protection officer du groupe Renault)

« Nous avons développé un tableau de bord du DPO »

journaldunet.com - Jamal El Hassani
Publié le 26 octobre 2019

A l'approche de la Nuit du data protection officer, la DPO de Renault explique comment elle s'est servie d'une obligation du RGPD pour créer un outil européen de suivi de la mise en conformité.

Le JDN propose pour la troisième année consécutive, le 3 décembre prochain, un événement destiné à récompenser les meilleurs data protection officers de France. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : La nuit du data protection officer.

JDN. Quel projet majeur avez-vous mené cette année ?

Elisabeth Quillatre. Nous avons développé un tableau de bord du DPO qui regroupe au même endroit toutes les données nécessaires à son travail. Nous sommes partis des développements d'un registre obligatoire, qui décrit les conditions de chaque traitement de données opéré par l'entité juridique, quels sous-traitants interviennent dans ce traitement, quelles mesures de sécurité sont mises en place, quelle est la durée de conservation etc. Nous avons ensuite ajouté plusieurs modules : l'inventaire des failles de sécurité, les formations au RGPD effectuées, les études d'impact réalisées, les plaintes reçues pour non-conformité au RGPD et les contrôles effectués par la Cnil. Certaines de ces briques sont déjà actives en France, d'autres seront activées dans une deuxième version de l'outil qui sera livrée en janvier. Nous ajouterons un peu plus tard une dernière brique : l'exercice des droits par les utilisateurs ou les salariés – par exemple les demandes de suppression de données. Certaines de ces données sont intégrées en dur au registre via des bases de données, d'autres sont indexées et appelées via des API.

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/economie/automobile/1459399-elisabeth-quillatre-renault/