Mobilité
Philippe Tabarot lance une grande consultation sur l'avenir des transports
tribuca.net - par Benjamin Bellet
Publié le 16 avril 2025
Pour financer l’avenir des mobilités, le programme de Philippe Tabarot, ministre délégué aux Transports, pour la conférence organisée à Marseille le 5 mai prochain, a été dévoilé.
Annoncée le 14 janvier par le Premier ministre François Bayrou, à l’occasion d’une visite sur le site industriel d’Alstom à Aytré (17), la conférence consacrée au financement des infrastructures de mobilité se déroulera le 5 mai prochain à Marseille. Pour préparer ce rendez-vous, Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports, est à l'initiative d'une plateforme en ligne. Active depuis ce 16 avril, elle vise à recueillir les contributions et idées de l’ensemble de l’écosystème des transports, mais aussi à nourrir le futur rapport et compléter les travaux des ateliers et séquences thématiques dédiés à la filière.
Une démarche ouverte
Présentée comme la première conférence nationale dédiée au financement des infrastructures de transports depuis 20 ans, Ambition France Transports rassemblera plus de 50 participants (élus, experts, fédérations professionnelles, collectifs d’usagers, experts, acteurs publics et privés). Piloté par le ministre des Transports et présidé par Dominique Bussereau (ancien secrétaire d'Etat aux Transports - 2002), l’événement doit permettre de définir un nouveau modèle de financement des infrastructures de transport à l’horizon 2040, tout en tenant compte du contexte budgétaire de la France. Il intègrera aussi l’enjeu de l’arrivée à terme des concessions autoroutières, entre 2031 et 2036.
Lire la suite : https://tribuca.net/actualites_144293751-philippe-tabarot-lance-une-grande-consultation-sur-lavenir-des-transports
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Développement des transports : un modèle de financement qui ne suffira pas face au « mur de dépenses »
maire-info.com - par Franck Lemarc
Publié le : 18 avril 2025
Une étude de l'AFL et de l'Institut national des études territoriales, consacrée au financement de la mobilité, vient de paraître. Elle conclut à « l'inadaptation » du modèle actuel de financement des mobilités, face à des dépenses d'investissement et de fonctionnement pour les collectivités qui vont se chiffrer en dizaines de milliards d'euros.
La décarbonation des transports va mettre les collectivités locales face à un « mur de dépenses » que le modèle actuel de financement « ne permet pas de couvrir ». C’est la principale conclusion d’une étude d’une vingtaine de pages publiée hier par l’Agence France locale (la banque des collectivités) et l’Inet, en collaboration avec l’institut I4CE et le Cerema.
Développement hétérogène
La première partie de l’étude fait le point sur la situation actuelle, celle d’une « dépendance aux mobilités carbonées » et d’une mobilité « dominée par la route et l’autosolisme ». De profondes « inégalités territoriales » existent dans ce domaine, et sont bien connues : 86 % des ménages ruraux n’ont « pas d’alternative » à la voiture pour se déplacer, et « plus de la moitié des habitants des zones rurales doivent parcourir plus de 3 km pour des services de base, tandis qu’en ville, 90 % des résidents se trouvent à moins de 600 m d'un commerce ».
Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/developpement-transports-un-modele-financement-qui-ne-suffira-pas-face-au-mur-depenses--article-29631
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Strasbourg Elle accueillera 100 000 voyageurs par jour : on en saura bientôt plus sur la gare à 360 degrés
dna.fr - par la rédaction
Publié le 18 avril 2025
L’Eurométropole de Strasbourg devrait pouvoir présenter plus en détail son projet de gare à 360 degrés ce printemps. Elle prévoit de signer un avenant opérationnel avec les trois autres partenaires : la Ville, la SNCF et la Région.
Le dossier de la gare à 360 degrés prévoit une traversée raccordant l’arrière et l’avant, aérienne ou souterraine. Photo archives Jean-Marc Loos
Pour le projet de gare à 360 degrés de Strasbourg, on devrait en savoir plus ce printemps, informe l’Eurométropole. La collectivité prévoit en effet de retrouver la Ville, la SNCF et la Région d’ici mai, en comité de pilotage. À cette occasion serait signé entre ces partenaires un avenant opérationnel « définissant les réalisations à venir dans les deux ans, permettant de présenter des éléments concrets ».
Un parking de 600 places
Lire la suite : https://www.dna.fr/politique/2025/04/18/gare-a-360-degres-on-devrait-en-savoir-plus-ce-printemps
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Transports connectés, risques multipliés : l'Anssi détaille la menace
banquettesterritoires.fr - par Olivier Devillers, pour Localtis
Publié le 18 avril 2025
L'Anssi, via le Cert-FR, vient de publier un rapport sur l'état de la menace informatique visant les réseaux de transports urbains. S'appuyant sur des exemples français et internationaux, le rapport souligne l'accroissement des vulnérabilités des réseaux de transport du fait de l'automatisation croissante des moyens de transport, du développement de la billettique et de la multiplication des objets connectés.
Entre janvier 2020 et décembre 2024, l'Anssi a traité 123 événements de cybersécurité affectant des entités françaises du secteur des transports urbains (ferroviaire, routier, guidé, fluvial), dont 91 signalements et 32 incidents confirmés. Ces événements portent principalement sur des attaques par déni de service distribué (DDoS) – notamment pendant les JO –, des fuites de données et des usurpations d'identité. Les bases de données des exploitants notamment constituent des cibles de choix. En octobre 2023, Île-de-France Mobilités a par exemple subi un piratage ayant entraîné l'exfiltration de 4.000 adresses email et mots de passe d'utilisateurs. Une attaque similaire a affecté l'autorité londonienne en septembre 2024, l'obligeant à suspendre l'accès au site de l'Oyster card, la carte de transport de la métropole britannique.
Des attaques avérées aux lourdes conséquences
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/transports-connectes-risques-multiplies-lanssi-detaille-la-menace
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En Ile-de-France, la peur d’un « dumping social » dans les lignes de bus perdues par la RATP au profit d’un opérateur italien
lemonde.fr - par Jonathan Parienté
Publié le 15 avril 2025
L’opposition régionale à Valérie Pécresse a saisi l’Autorité de la concurrence, estimant que l’offre retenue par la région Ile-de-France « compromet la continuité du service public ».
L’exploitant des transports publics de Milan, ATM, fera rouler ses premiers bus en proche banlieue parisienne en mars 2026. Ainsi en a décidé l’autorité organisatrice des transports dans la région, Ile-de-France mobilités (IDFM).
C’est la première fois que l’entreprise italienne, implantée également en Grèce et au Danemark, exploitera des transports publics de ce côté-ci des Alpes. Au grand dam des concurrents, qu’il a battus lors de l’appel d’offres dont le gagnant a été officiellement donné jeudi 10 avril, lors du conseil d’administration d’IDFM dirigé par la présidente de la région, Valérie Pécresse. La RATP, jusque-là en monopole, avait concouru pour continuer à exploiter ces 18 lignes de bus organisées autour du dépôt de Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine).
Comme l’exige la loi, le nouveau délégataire de service public doit reprendre l’ensemble des salariés du service qu’il a raflé à son concurrent. D’ici début 2026, les 750 à 800 agents de la régie historique parisienne qui officient actuellement sur les 18 lignes de bus concernées devront avoir choisi entre le transfert à la nouvelle entreprise et le licenciement. Les salariés transférés rejoindront les rangs d’ATM équipés d’un « sac à dos social » prévu par la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019, qui garantit leur salaire, une partie de leurs avantages, ainsi que le bénéfice, pendant quinze mois, des accords de l’entreprise qu’ils quittent.
Une centaine de licenciements
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Mobilité : les modalités de la Conférence de financement sont précisées
acte-environnement.com - par N. Gorbatko
Publié le 16 avril 2025
Les choses se précisent pour la très attendue Conférence de financement des infrastructures de mobilité dont dépend le lancement de nombreux projets dans ce domaine. Elle sera finalement lancée, le 5 mai prochain à Marseille, par Philippe Tabarot, ministre des Transports. Baptisée Ambitions France Transports, elle réunira durant dix semaines, au sein de groupes de travail et de réunions plénières, notamment, une cinquantaine de participants, sous l'égide de Dominique Bussereau : élus, acteurs publics et privés, experts, fédérations professionnelles, collectifs d'usagers.
Tout au long de la conférence, quatre ateliers seront particulièrement mobilisés : « Modèle économique des autorités organisatrices de la mobilité (AOM) et des aervices express régionaux métropolitains (Serm) », « Financement des infrastructures routières », « Infrastructures et services ferroviaires de voyageurs », « Report modal et transport de marchandises ».
Plusieurs scénarios à l'étude
Lire la suite : https://www.actu-environnement.com/ae/news/date-organisation-conference-financement-infrastructures-transports-46005.php4
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Conférence nationale sur le financement des mobilités : les concertations vont enfin commencer
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Publié le 17 avril 2025
Le calendrier de la conférence nationale dédiée au financement des infrastructures de mobilité a enfin été dévoilé hier par le gouvernement. En attendant la plénière d'ouverture qui aura lieu le 5 mai prochain, le ministère chargé des transports ouvre une plateforme de consultation sur le sujet.
« Nous avons devant nous de nombreux défis en matière de financement des infrastructures et des équipements nouveaux. Pour se préparer à les relever, une conférence sur son financement durable sera organisée avec les collectivités locales et les professionnels. » C’est ce qu’avait annoncé le Premier ministre François Bayrou lors de sa déclaration de politique générale le 14 janvier dernier.
Quatre mois plus tard, les modalités de cette conférence nationale dédiée au financement des infrastructures de mobilité ont été davantage détaillées. Dans un communiqué de presse diffusé hier par le ministère chargé des Transports, le gouvernement dévoile le déroulé et le calendrier de cette conférence.
« Une plénière d’ouverture se réunira le 5 mai à Marseille, annonce le ministère. Elle sera l’occasion de présenter les enjeux de la conférence et de tracer les grandes perspectives qui guideront les travaux. » La conférence est baptisée Ambitions France Transports et réunira durant dix semaines, une cinquantaine de participants notamment des élus, des acteurs publics et privés, des experts, des fédérations professionnelles ou encore des collectifs d'usagers.
Contexte tendu et forts enjeux pour les communes
Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/conference-nationale-sur-financement-mobilites-les-concertations-vont-enfin-commencer-article-29622
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Projet de métro à Bordeaux : quel tracé pour une ligne à 2,5 milliards d’euros ?
sud-ouest.fr - par Xavier Sota
Publié le 17 avril 2025
Étape importante, mais pas décisive, pour le projet de métro : un tracé a été retenu, il desservira six communes. Montant estimé à ce stade : 2,5 milliards d’euros
Cinq, quatre, trois, deux, un… En quelques mois, la Métropole de Bordeaux est passée de cinq hypothèses de corridors à une proposition de tracé pour le projet de métro. Les maires de l’agglomération bordelaise, réunis ce jeudi 17 avril en bureau, ont arrêté un itinéraire « optimal ». Une étape importante. Mais elle n’est en rien capitale ou définitive.
Une autre salve d’études, soit « l’enquête socio-économique », doit être conduite d’ici à la fin de l’année 2025. Ce qui permettra aux maires de l’agglomération de se faire une religion après un examen approfondi conduit par le cabinet spécialisé Artelia. Une référence en la matière : il a instruit le projet du Grand Paris express, la troisième ligne toulousaine ou le métro de Doha. « C’est l’étude la plus sérieuse lancée par la Métropole depuis le projet de métro VAL, il y a trente ans », expliquait en septembre dernier Clément Rossignol Puech, vice-président en charge des transports.
Métro… politain
Lire la suite : https://www.sudouest.fr/gironde/bordeaux/projet-de-metro-a-bordeaux-quel-trace-pour-une-ligne-a-2-5-milliards-d-euros-24075568.php
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Metz : un simulateur pour s’essayer au métier de conducteur de bus
tou-metz.com - par Loris JECKO
Publié 16 avril 2025
Le bus-simulateur de conduite de la société de transports Transdev a fait son petit tour de Metz en ce début de semaine. Les personnes intéressées sont invitées à s’essayer à la conduite de bus, et si elles sont convaincues, elles peuvent se former à titre professionnel.
Mardi 15 avril 2025, il s’est installé sur la Place d’Armes, avant de rejoindre le centre Pompidou et finit sa tournée ce mercredi 16 avril sur la place de la République, de 9h30 à 13h30.
Mais, à quoi sert donc ce dispositif ? Lorsqu’on pousse la porte du bus, on est accueillis par Gwenaelle COTTRET, chargée de missions et du recrutement pour Transdev Grand Est. « C’est surtout pour lever les doutes et les freins par rapport au métier de conducteur de bus », précise-t-elle d’emblée.
« Les personnes n’imaginaient pas la conduite de bus de cette façon, le simulateur permet de comprendre si on est capable de le faire ou pas avec cette gamme lourde de véhicules qui mesure 13 mètres de long. Souvent, ça peut faire peur, surtout si l’on a des préjugés, le simulateur permet de se rassurer et de voir qu’on peut y arriver si l’on a envie » Gwenaelle COTTRET, chargée de recrutement à Transdev Grand Est.
Lire la suite : https://tout-metz.com/metz-simulateur-essayer-metier-conducteur-bus-2025-545681.php
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Financement des infrastructures de mobilité : le programme de la prochaine conférence nationale dévoilé
banquedesterritoires.fr - par Anne Lenormandn, localtis
Publié le 16 avril 2025
Annoncée par le Premier ministre le 14 janvier dernier, lors de sa déclaration de politique générale, la conférence nationale dédiée au financement des infrastructures de mobilité sera officiellement lancée le 5 mai prochain à Marseille. Philippe Tabarot, ministre chargé des transports, en a dévoilé le programme ce 16 avril. Une plateforme destinée à recueillir les contributions de l’ensemble de l’écosystème des transports a été mise en ligne ce même jour.
Destinée à rassembler plus de 50 participants, "Ambition France Transports" est la première conférence nationale dédiée au financement des infrastructures de transports depuis 20 ans, a souligné ce 16 avril le ministère chargé des transports dans un communiqué. Annoncée par le Premier ministre, François Bayrou, le 14 janvier dernier (lire notre article) et organisée par le ministre chargé des transports, Philippe Tabarot, elle sera présidée par l’un de ses prédécesseurs, Dominique Bussereau (lire notre article) et associera des élus, des acteurs publics et privés, des experts, des fédérations professionnelles et des collectifs représentant les usagers pour définir un nouveau modèle de financement des infrastructures de transports à horizon 2040.
"Contexte budgétaire contraint"
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Avenant mobilités du CPER Grand Est : plus de 2 milliards d’euros d’investissements prévus
banquededterritoires.fr - par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 14 avril 2025
Transport et mobilité décarbonée
Le préfet de la région Grand Est, Jacques Witkowski, et le président de la région, Franck Leroy, ont signé ce 10 avril, l’avenant d’intégration du volet "Mobilités" au contrat de plan État-région (CPER), prévoyant 2,12 milliards d’euros d’investissements dans les infrastructures de transport du territoire pour la période 2023-2027. 70% de cette enveloppe sont destinés à soutenir les transports ferroviaires et collectifs.
Aboutissement d’un processus engagé en juillet 2023 entre l’État et la région Grand Est, en concertation avec les principales collectivités concernées (conseils départementaux, métropoles, EPCI) - lire notre article -, l’avenant d’intégration du volet Mobilités au contrat de plan État-région (CPER), qui a été adopté par la région en séance plénière le 17 octobre dernier, a été définitivement signé ce 10 avril par le préfet de région, Jacques Witkowski, et le président de la région, Franck Leroy.
Comme celui conclu récemment en Occitanie (lire notre article), il entend améliorer les mobilités du quotidien et le report modal vers des modes décarbonés, collectifs ou de "mobilités douces". Il prévoit plus de 2,1 milliards d’euros d’investissements au cours de la période 2023-2027 pour moderniser et développer les infrastructures de transport, dont 1,4 milliard d’euros apportés à parité entre l’État et la région. 84% des opérations concernent des modes de transports plus écologiques.
Près de 1,5 milliard d'euros pour le ferroviaire
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/avenant-mobilites-du-cper-grand-est-plus-de-2-milliards-deuros-dinvestissements-prevus
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Conférence nationale sur le financement des mobilités : les concertations vont enfin commencer
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Publié le 17 avril 2024
Le calendrier de la conférence nationale dédiée au financement des infrastructures de mobilité a enfin été dévoilé hier par le gouvernement. En attendant la plénière d'ouverture qui aura lieu le 5 mai prochain, le ministère chargé des transports ouvre une plateforme de consultation sur le sujet.
« Nous avons devant nous de nombreux défis en matière de financement des infrastructures et des équipements nouveaux. Pour se préparer à les relever, une conférence sur son financement durable sera organisée avec les collectivités locales et les professionnels. » C’est ce qu’avait annoncé le Premier ministre François Bayrou lors de sa déclaration de politique générale le 14 janvier dernier.
Quatre mois plus tard, les modalités de cette conférence nationale dédiée au financement des infrastructures de mobilité ont été davantage détaillées. Dans un communiqué de presse diffusé hier par le ministère chargé des Transports, le gouvernement dévoile le déroulé et le calendrier de cette conférence.
« Une plénière d’ouverture se réunira le 5 mai à Marseille, annonce le ministère. Elle sera l’occasion de présenter les enjeux de la conférence et de tracer les grandes perspectives qui guideront les travaux. » La conférence est baptisée Ambitions France Transports et réunira durant dix semaines, une cinquantaine de participants notamment des élus, des acteurs publics et privés, des experts, des fédérations professionnelles ou encore des collectifs d'usagers.
Contexte tendu et forts enjeux pour les communes
Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/conference-nationale-sur-financement-mobilites-les-concertations-vont-enfin-commencer-article-29622
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La SNCF lance Tesmo pour vendre des services numériques aux régions et entreprises
voyages-d-affaires.com - Par Stephane Jaladis
Publié le 14 avril 2025
A travers le lancement de Tesmo, la SNCF entend profiter de l'ouverture à la concurrence pour développer son activité d'éditeur de solutions pour les acteurs de la mobilité, les entreprises et les collectivités territoriales.
25 ans après la création de Voyages-sncf.com, devenu ensuite Oui.sncf puis SNCF Connect aujourd’hui, SNCF Connect & Tech étend son offre numérique avec la création de Tesmo, dédiée aux mobilités durables en France et en Europe. Tesmo, pour « Technologie au Service de la Mobilité », a pour vocation d’être un fournisseur de services numériques et d’élaborer des solutions de mobilité aux villes, métropoles et régions. Cela pourra prendre la forme de plateformes de distribution et de paiement créées sur mesure, d’outils numériques d’informations voyageurs, mais aussi de solutions de contrôle et de régularisation des titres de transport…
Les entreprises ne sont pas oubliées, Tesmo ciblant la vente de solutions de gestion des mobilités porte-à-porte dans le cadre du Forfait Mobilités Durables, le dispositif financier accordé aux salariés privilégiant des modes de transport respectueux de l’environnement lors de leurs trajets domicile-travail. « Avec cette nouvelle marque commerciale nous mettons en avant notre expertise technologique et notre connaissance approfondie du secteur des mobilités« , explique dans un communiqué Anne Pruvot, la directrice générale de SNCF Connect & Tech. Et de préciser : « Nous souhaitons accompagner plus largement grâce au numérique ces multiples acteurs du secteur comme les régions, les métropoles, les opérateurs de transport, les réseaux de transports urbains ou encore les entreprises pour répondre aux nouveaux besoins et défis qu’il rencontrent« .
Conserver une longueur d’avance
Lire la suite : https://www.voyages-d-affaires.com/sncf-tesmo-services-numeriques-20250414.html
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Les mobilités douces perdent du terrain en France
auto-infos.fr - par Clotilde Gaillard
Publié le 15 avril 2025
Alors que la mobilité en Europe n’a jamais été aussi diversifiée, le Baromètre Mobilité 2025 mené par Ipsos pour Europ Assistance souligne combien les solutions de mobilité alternative à la voiture peinent à s'imposer. Notamment en France, où le covoiturage, le vélo, les trottinettes ou encore l'autopartage s’affichent tous en baisse.
Réalisé par l’institut de sondage Ipsos et l’enseigne Europ Assistance dans 9 pays d’Europe, le Baromètre Mobilité 2025 révèle aussi bien des similitudes que de fortes disparités entre les comportements de mobilité des Français et ceux de leurs voisins. Si les Européens partagent avec nous le goût de la voiture et de la marche, la France se distingue par un moindre engouement pour les transports en commun et les nouvelles formes de mobilité. De même, les préoccupations environnementales y sont moins prononcées qu'ailleurs sur le Vieux Continent bien que 74 % des répondants tricolores estiment que les questions environnementales doivent être une priorité pour les gouvernements (un chiffre en recul de 2 points par rapport à l’année précédente).
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/les-mobilites-douces-perdent-du-terrain-en-france.286908
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Sécurité Nocturne : Les Défis des Transports Urbains
viralmag.fr- par Steven Soarez
Publié le 17 avril 2025
Il est 5 heures du matin, les rues de la capitale s’éveillent doucement. Une jeune femme, épuisée après une soirée, monte dans un véhicule qu’elle pense sûr pour rentrer chez elle. Ce qui devait être un trajet banal se transforme en cauchemar. Ce fait divers, survenu récemment dans un arrondissement parisien, soulève une question brûlante : comment garantir la sécurité des usagers des transports, surtout la nuit ?
Les transports urbains, qu’il s’agisse de VTC, de taxis ou de transports en commun, sont des piliers de la mobilité moderne. Pourtant, leur usage nocturne expose parfois les usagers à des risques. Cet incident met en lumière les failles d’un système où la confiance est essentielle, mais fragile. Dans cet article, nous explorons les défis de la sécurité nocturne, les mesures existantes et les solutions à envisager.
Les Enjeux de la Sécurité dans les Transports Nocturnes
La nuit, les dynamiques urbaines changent. Les rues se vident, les transports se raréfient, et les usagers, souvent seuls, deviennent plus vulnérables. Les VTC, populaires pour leur flexibilité, incarnent cette ambiguïté : ils offrent une alternative pratique, mais leur fonctionnement repose sur une relation de confiance entre chauffeur et passage
Lire la suite : https://viralmag.fr/securite-nocturne-les-defis-des-transports-urbains/
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EIT Urban Mobility, le 1er investisseur étranger dans la mobilité
Publié le 14 avril 2025
Observatoire des startups de la mobilité 2025 : EIT Urban Mobility à nouveau reconnu comme le premier investisseur étranger pour les startups françaises.
Lors de la deuxième édition de l’Observatoire des startups françaises de la mobilité, mis en place conjointement par le Moove Lab et Roland Berger, les conclusions soulignent l’importance d’EIT Urban Mobility dans le secteur des transports en France. Pour la seconde année consécutive, cette initiative de l’Institut européen de l’innovation et de la technologie (EIT), un organisme de l’Union européenne, est désignée comme le principal investisseur étranger dans les startups françaises du domaine de la mobilité. Encore une fois, elle se positionne juste derrière Bpifrance en tant que deuxième investisseur le plus influent de l’industrie, illustrant son engagement en faveur du financement de la transition des mobilités.
Lire la suite : https://www.jaimelesstartups.fr/news/eit-urban-mobility-le-1er-investisseur-etranger-dans-la-mobilite/
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Le plan de mobilité simplifié et les plans locaux de mobilité en Europe : Retours d'expérience de 11 démarches à l'étranger
Publié le 17 avril 2025
CET ARTICLE FAIT PARTIE DU DOSSIER : Le plan de mobilité simplifié : les outils du Cerema
Voir les 18 actualités liées à ce dossier
En France la planification de la mobilité à l’échelle des intercommunalités est réalisée à l’aide de deux outils : le Plan de mobilité (PDM), utilisé depuis 40 ans dans les plus grandes agglomérations, et le Plan de mobilité simplifié (PDMS), utilisé depuis 2021 et en plein essor dans les territoires de villes petites et moyennes.
Le but de l’étude est de confronter des exemples de plans locaux européens comparables au PDMS français, élaborés dans des territoires de dimensions similaires, d’observer les points communs et différences avec les PDMS français.
Le Plan De Mobilité Simplifié (PDMS) est un document de planification de la mobilité, crée par la Loi d'Orientation des Mobilités (cf. article L1214-36-1 du Code des transports). Il permet aux autorités organisatrices de la mobilité (AOM) des territoires ruraux et des villes moyennes de planifier, au sein d'un document souple et au cadre allégé, des solutions de mobilités pour les populations.
11 plans de mobilité de villes petites et moyennes étudiés en Europe
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/plan-mobilite-simplifie-plans-locaux-mobilite-europe-retours
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VIDÉO - "Ça va simplifier la vie": un tapis roulant transforme le quotidien des voyageurs et repense la mobilité urbaine
francebleu.fr - par France 3 - Auvergne-Rhône-Alpes
Publié le 18 avril 2024
À Lyon, un tapis roulant souterrain relie désormais la gare de La Part-Dieu à la ligne B du métro. Ce nouvel aménagement facilite les déplacements des voyageurs, améliore l’accessibilité et transforme l’expérience en gare, grâce à des espaces repensés et plus accueillants.
C’est un tout nouveau trait d’union qui facilite dorénavant la vie des voyageurs entre la gare de La Part-Dieu et la ligne B du métro. Un tapis roulant de 30 mètres de long, installé en sous-sol, permet de relier presque quai à quai ces deux points névralgiques de la mobilité lyonnaise. Une nouveauté bien accueillie par les usagers.
Un gain de temps pour les trajets quotidien
Un jeune voyageur confirme : “C’est vraiment une bonne nouvelle, parce que faire le tour à chaque fois, ça commençait à devenir long. Ça va simplifier la vie, beaucoup.” Une autre passagère, traînant une valise imposante, abonde également dans ce sens : “Avec une grosse valise comme ça, c’est compliqué, avec les travaux en haut, de traverser. Donc voilà, ça sera moins lourd à porter dans les escaliers." Pour les habitués, ce changement est d’autant plus apprécié. "On mettait bien 10-15 minutes avec l’affluence du matin et du soir. Donc là, franchement, ça va être bien. Et avec les petits commerces, j’ai vu qu’on va pouvoir prendre des cafés", nous confie un usager régulier.
Faciliter les flux et améliorer l’accessibilité
Service Publics
La métropole du Grand Paris lance un chantier d'ampleur pour transformer ses services publics avec l'IA
usine-digitale.fr - par Célia Séramour
Publié 15 avril 2024
L'intelligence artificielle s'immisce partout, même dans les services publics français ! Forte de plusieurs expérimentations réussies, la Métropole du Grand Paris se dote d'une stratégie IA qui s'adresse aussi bien aux agents qu'aux administrés des communes.
Avec 130 communes, 7,2 millions d'habitants et pesant 25% du PIB national, la Métropole du Grand Paris se targue d'être le premier pôle d'emploi en Europe. Mais face aux dernières technologies, bon nombre de chantiers restent à mettre en place. Pour ne pas être à la traîne, l'intercommunalité a donc décidé de lancer "ApproprIAtion Métropolitaine", un programme ambitieux voté à l'unanimité ce 7 avril pour transformer les services publics de ses communes grâce à l'intelligence artificielle.
Un plan défini en trois étapes
Le plan d'action repose sur trois phases : tout d'abord, former les communes via des sessions thématiques pour identifier les usages pertinents. Les agents pourront ainsi mieux comprendre les enjeux de l'IA, se les approprier et identifier des cas d'usage à expérimenter sur leur territoire. Ensuite, il s'agit de tester ces expérimentations sur mesure pour chaque territoire - un accompagnement méthodologique est prévu en amont de l’expérimentation et pour l’analyse de ses résultats.
Intelligence artificielle
Chaque image générée par l’IA consomme jusqu’à 5 litres d’eau : l’envers du décor
siecledigital.fr - par Frédéric Olivieri
Publié le 15 avril 2025
Les centres de données devraient avoir besoin du double de la consommation actuelle pour fonctionner dans 5 ans…
L’intelligence artificielle et ses conséquences sur la consommation d’énergie n’a pas fini d’être controversée, comme on a pu le voir ces derniers jours avec la tendance des « Starter Pack ».
Un premier constat alarmant sur la consommation d’eau…
En effet, après le phénomène des images directement inspirées de Studio Ghibli, vous n’avez sans doute pas pu échapper aux désormais célèbres Starter Packs sur les réseaux sociaux. Selon une étude de l’université Carnegie Mellon, une image devrait nécessiter deux à cinq litres d’eau et produirait également des gaz à effet de serre.
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ChatGPT voit ce que vous ne voyez pas : il sait où vos photos ont été prises
Tendance : les internautes utilisent ChatGPT pour déterminer l'emplacement des images.
Par Guillaume Fleureau - @g_fleureau
Publié le 18 avril 2025 à 13h42
Une nouvelle avancée technologique fascinante, mais inquiétante : ChatGPT est désormais capable d’identifier où une photo a été prise, même lorsqu’elle est floue, altérée ou recadrée. De quoi impressionner… et faire froid dans le dos.
Quand chaque détail visuel devient un indice géographique
Panneaux publicitaires, styles architecturaux, marquages au sol : plus besoin de métadonnées pour deviner l’origine d’un cliché. Grâce à des algorithmes de vision par ordinateur de plus en plus sophistiqués, couplés à des recherches croisées sur le web, l’IA peut isoler des éléments visuels et s’en servir comme autant de balises géographiques. Cette semaine, OpenAI a publié ses nouveaux modèles d’IA, o3 et o4-mini , tous deux capables de « raisonner » de manière unique à partir d’images téléchargées.
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L’intelligence artificielle au service de l’entrepreneuriat
cci.fr - Communiqué
Publié le 18 avril 2025
L’ère numérique dans laquelle nous évoluons redéfinit les contours de l’entrepreneuriat. Au cœur de cette transformation, l’intelligence artificielle (IA) se positionne comme un puissant levier d’accélération, d’innovation, de productivité et de croissance.
Le réseau des Chambres de commerce et d’industrie (CCI) prône une IA utile, concrète et responsable au service des entrepreneurs, des TPE, PME et des commerçants.
L’IA est un puissant accélérateur de décisions pour les entrepreneurs
Pour un entrepreneur le gain de temps est capital. L’un des atouts majeurs de l’intelligence artificielle réside dans sa capacité à en gagner ! Cette caractéristique permet aux entrepreneurs de prendre des décisions éclairées basées sur des analyses de données en un temps record. Prenons quelques exemples concrets :
Dans la santé : l’IA permet d’analyser des milliers de données cliniques en un temps record et de permettre ensuite aux médecins de proposer des traitements les plus adaptés à chaque patient.
Dans le marketing : l’IA permet de mieux cerner les comportements des consommateurs ou encore les tendances du marché, facilitant la création de campagnes publicitaires ciblées et efficaces.
Lire la suite : https://www.cci.fr/actualites/lintelligence-artificielle-au-service-de-lentrepreneuriat
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Microsoft lâche une bombe dans le monde des IA génératives : la fin des IA énergivores ?
futurs-sciences.com - par Edward Back
Publié le 18 avril 2025
Le dernier grand modèle de langage de Microsoft pourrait changer la donne. BitNet b1.58 2B4T est le plus grand modèle d’un type très particulier, à un seul bit. Il serait plus rapide, beaucoup moins énergivore, tout en offrant de très bons scores aux tests.
Voici un nouveau grand modèle de langage (LLM), l'intelligence artificielle derrière les chatbots, d'un genre qui n'est apparu que récemment. Habituellement, les poids des LLM sont stockés en format 16 ou 32 bits à virgule flottante. Cela rend les modèles extrêmement lourds. Une nouvelle alternative s'appelle BitNet, des LLM à 1 bit. La quantité de mémoire nécessaire pour faire fonctionner ces modèles est grandement réduite, permettant de les faire tourner sur des ordinateurs beaucoup moins puissants.
Microsoft vient de publier le plus grand modèle de langage à 1 bit jusqu'à présent, le premier à être doté de deux milliards de paramètres. Celui-ci se nomme BitNet b1.58 2B4T et s'appuie sur le framework bitnet.cpp de Microsoft. Et contrairement aux autres modèles qui nécessitent des puces graphiques (GPU) ou accélérateurs d’IA (NPU), BitNet b1.58 2B4T fonctionne sur de simples processeurs (CPU).
Un modèle bien plus efficace, sans pénaliser les résultats
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/technologie-microsoft-lache-bombe-monde-ia-generatives-fin-ia-energivores-121291/
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OpenAI prépare un ChatGPT plus personnel avec une fonction de mémoire
siecledigital.fr - Par Frédéric Olivieri
Publié le 15 avril 2025
La mémoire élargie de ChatGPT pourrait permettre à l'intelligence artificielle d'aller un cran plus loin…
Alors que la dernière mise à jour du 28 mars dernier fait encore beaucoup parler d’elle en ayant intégré la génération d’images, OpenAI vient tout juste de dévoiler des fonctionnalités pour sa prochaine version.
ChatGPT permet d’ores et déjà de réaliser des tâches quotidiennes comme de l’écriture, des réponses aux questions très simples, ou encore de la programmation. Dans sa nouvelle version, ChatGPT devrait davantage se positionner comme un véritable assistant personnel.
Une nouvelle fonctionnalité de mémorisation
Bien que l’entreprise soit en froid avec Elon Musk, le propriétaire du réseau social X, contre lequel elle a déposé plainte mercredi dernier, elle utilise encore cette plateforme pour partager ses innovations.
CNIL
La Cnil publie ses recommandations sur l'usage de l'IA dans les services publics
banquedesterritoires.fr par Olivier Devillers, pour Localtis
Publié le 14 avril 2025
Citoyenneté et services au public, Numérique
La Cnil a publié le bilan de trois expérimentations de l'intelligence artificielle dans les services publics. Avec à la clé des recommandations qui intéresseront toutes les collectivités souhaitant déployer de l'IA générative, des algorithmes prédictifs ou des caméras Lidar manipulant des données personnelles.
La Cnil a publié le bilan
de son accompagnement de trois projets d'IA dans les services publics. Avec cette approche "bac à sable ", la commission s'appuie sur le terrain pour formuler des recommandations opérationnelles aux porteurs de projets d'IA. Cet accompagnement s'est déroulé entre janvier et juillet 2024 et a concerné trois administrations. France Travail tout d'abord, accompagné sur un outil de recommandation de formations basé sur l'IA générative à destination de ses conseillers. Nantes Métropole ensuite, coachée sur le projet "Ekonom'IA", un système d'IA visant à sensibiliser les abonnés à l'eau potable sur leur niveau de consommation en le comparant à celui de foyers similaires. Enfin, la RATP a sollicité l'appui de la Cnil pour son projet "Priv-IA", un système de capteurs Lidar alternatifs aux caméras de vidéoprotection classiques.
Implication nécessaire des agents
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/la-cnil-publie-ses-recommandations-sur-lusage-de-lia-dans-les-services-publics
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Silver économie (économie des seniors) : la CNIL accompagne 6 projets innovants dans le cadre de son « bac à sable »
cnil.fr - Communiqué
Publié le 18 avril 2025
La CNIL a sélectionné trois projets de la silver économie pour participer à son nouveau « bac à sable ». Les lauréats bénéficieront d’un accompagnement personnalisé sur plusieurs mois. La CNIL conseillera également trois autres projets présentant, eux aussi, un intérêt pour la protection des données.
Un « bac à sable » pour accompagner l'innovation au service des seniors
Le « bac à sable » de la CNIL est un programme conçu pour accompagner les porteurs de projets innovants. Ce dispositif permet d’aborder en toute conformité des problématiques émergentes grâce à l’expertise juridique et technique de la CNIL.
Pour la 4ème édition du « bac à sable », et dans le cadre d’un plan d’action dédié à cet écosystème, la CNIL a lancé en novembre 2024 un appel à projets destiné aux entreprises et aux acteurs publics de la silver économie. Elle a reçu plus d’une quinzaine candidatures, en majorité de jeunes pousses et d’associations sur des solutions de maintien à domicile des personnes âgées, d’aides/démarches administratives et de services à la personne.
Lire la suite : https://cnil.fr/fr/bac-a-sable-silver-economie-la-cnil-accompagne-6-projets-innovants
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La CNIL publie sa stratégie européenne et internationale pour 2025-2028
cnil.fr - Communiqué
Publié le 14 avril 2025
La stratégie européenne et internationale de la CNIL concernant la protection des données comporte trois axes prioritaires : fluidifier la coopération européenne, promouvoir des standards internationaux élevés de protection des données et consolider son réseau d’influence.
Un cadre renforcé pour une protection des données à l’échelle mondiale
En complément de son plan stratégique 2025-2028, la stratégie européenne et internationale de la CNIL vise à renforcer et coordonner son action notamment en prenant en compte les orientations du Comité européen de la protection des données (CEPD).
Elle permet de clarifier la position de la CNIL auprès des parties prenantes en Europe et dans le monde et de donner des orientations sur des sujets structurants à l’échelle européenne et internationale.
Dans un environnement numérique de plus en plus interconnecté, la circulation des données personnelles pose des défis majeurs, qu'il s'agisse des flux transfrontaliers ou du développement mondial des technologies. Face à ces enjeux, la CNIL estime qu’il est d’autant plus important et légitime aujourd’hui de défendre un haut niveau de protection des données personnelles en France, en Europe et dans le monde.
Trois axes prioritaires pour une action efficace
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/la-cnil-publie-sa-strategie-europeenne-et-internationale-pour-2025-2028
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Pourquoi la CNIL irlandaise enquête sur l’IA d’Elon Musk
mntd.fr - par Jérôme Marin
Publié le 15 avril 2025
La Data Protection Commission a ouvert une enquête sur xAI. Elle cherche à savoir si la start-up d'intelligence artificielle d'Elon Musk a utilisé les messages des utilisateurs européens de X pour entraîner ses modèles Grok, ce qui pourrait être contraire au RGPD.
Dans la course à l’intelligence artificielle générative, la start-up xAI d’Elon Musk dispose d’un avantage de poids par rapport à ses rivaux: l’accès aux milliards de dollars messages publiés sur X – l’ex-Twitter, qu’elle a officiellement racheté fin mars. En Europe, cet avantage pourrait cependant se transformer en importante amende.
Contraire au RGPD ?
La semaine dernière, la Data Protection Commission, l’équivalent de la CNIL en Irlande, a en effet ouvert une enquête sur xAI. Elle cherche à savoir si la start-up a utilisé les messages des utilisateurs européens de X pour entraîner ses modèles Grok, contrairement aux engagements pris l’été dernier.
Lire la suite : https://www.mntd.fr/pourquoi-la-cnil-irlandaise-enquete-sur-lia-delon-musk/
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Utiliser l'IA pour le CV ou "filtrer" les candidatures, une pratique de plus en plus assumée
francetvinfo.fr - par Valentine Jobin Radio France
Publié le 15 avril 2025
Qui n'a pas déjà rédigé son CV ou sa lettre de motivation avec l'aide de l'intelligence artificielle ? Thomas*, la trentaine, cadre dans la finance, le reconnait et l'assume pleinement : Chat GPT lui a permis de trouver son emploi actuel. Et depuis un an, "c'est l'amour continu" entre lui et la machine. Cette IA générative est devenue son coach,"son assistant". "Premièrement, c'est pour le CV ou le profil LinkedIn, explique-t-il. Je lui raconte, par exemple, mes expériences et il me permet de me présenter d'une manière à laquelle je n'avais pas nécessairement pensé, d'utiliser certains mots-clés qui ne m'étaient pas naturellement venus à l'esprit."
Quand Thomas est contacté par une chasseuse de têtes, il demande à Chat GPT de décoder l'offre d'emploi. "Je lui dis : 'lis entre les lignes sans blabla'". La réponse de l'IA arrive quelques secondes plus tard. "Ils veulent un profil opérationnel, affirme Chat GPT. Il y aura certainement une équipe un peu junior" . "Donc ça, déjà, c'est quelque chose d'intéressant", réagit Thomas.
Ensuite, l'IA l'avertit d'une "probable forte charge de travail". "En es-tu sûr ? Qu'est-ce qui te le fait penser ?", relance le cadre. Réponse : "Le périmètre de responsabilités est large et même si c'est une équipe, tu es le cerveau et le pont pour tout ce qui est dans ce domaine-là". Peser le pour et le contre avant d'accepter une offre, Thomas pourrait le faire avec un collègue ou un ami. La différence, dit-il, c'est que Chat GPT a un "champ de compétences large" et qu'il est "toujours disponible".
L'IA pour "mieux filtrer" les candidatures
5G
Orange et Ericsson : vers une 5G durable
ericsson.com - Communiqué
Publié le 17 avril 2025
Orange France va moderniser son réseau, tout en réduisant la consommation d'énergie
Découvrez comment Orange France redéfinit la durabilité dans les télécoms avec Ericsson. Au cours des quatre prochaines années, 60 % du réseau d'Orange France sera modernisé avec des technologies 5G de pointe, dans le but d'augmenter la capacité du réseau et de réduire la consommation d'énergie de 30 % par rapport à l'équipement de la génération précédente. En mettant l'accent sur l'amélioration des performances de la liaison montante et sur des radios multibandes innovantes, Orange France vise non seulement à améliorer la qualité du service, mais aussi à réaliser des gains environnementaux significatifs.
Points forts
En intégrant les technologies 5G de pointe d'Ericsson, cette collaboration devrait non seulement améliorer l'expérience des utilisateurs grâce à des capacités de réseau supérieures, mais aussi établir des normes innovantes en matière de responsabilité environnementale dans le secteur des télécommunications.
Lire la suite : https://www.ericsson.com/fr/cases/2025/orange-ericsson-pioneering-sustainable-5g
Paiement électronique
Le monde du paiement évolue vite... êtes-vous prêts pour 2025 ?
lyra.com - Communiqué
Publié le 16 avril 2024
Entre explosion du paiement fractionné, montée en puissance des portefeuilles digitaux et exigences croissantes des consommateurs, les tendances 2025 bousculent les codes. Collectivités, acteurs du paiement : on vous aide à y voir clair et à prendre une longueur d'avance
Lire sur : https://www.lyra.com/fr/tendance2025-paiement/
Déficit Public
Déficit public : François Bayrou remet à plus tard ses pistes pour 2026, mais confirme la contribution des collectivités
maire-info.com - par A.W - © DR
Édition du mercredi 16 avril 2025
Dépeignant une situation « intolérable » des finances du pays, le Premier ministre a assuré, hier, qu'« aucun chiffre n'était arrêté » à ce stade. Le gouvernement réclame toutefois une contribution « juste et prévisible » des collectivités, tandis que ces dernières mettent en garde face aux conséquences sur l'investissement et les services publics.
Le diagnostic sur la situation financière « intolérable » du pays restera, pour l’heure, sans remède. Lancée hier, l’opération « vérité » de François Bayrou sur l’état des comptes publics n’aura finalement pas apporté de réponses concrètes sur lesquelles compte s’appuyer le Premier ministre pour élaborer son budget pour 2026.
Celui-ci n’était d’ailleurs pas présent lors de la réunion du comité d’alerte, durant laquelle seuls ses ministres se sont entretenus avec les délégations parlementaires aux collectivités locales, les associations d’élus ou encore les représentants des caisses de sécurité sociale afin de se pencher sur l’exécution du budget 2025 et préparer celui de l'an prochain. Le but étant de contenir le déficit public et éviter une nouvelle dérive des comptes publics.
Le « piège » de la dette
Cybersécurité
Cybersécurité : En cinq ans, l'Anssi a traité 123 événements de sécurité affectant les transports urbains
usine-digitale.fr - par Alice Vitard
Publié le 17 avril 2025
L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information fait le point sur l'état de la menace dans le secteur des transports urbains. Les attaques par déni de service distribué, les fuites de données et les usurpations d'identité sont les principales menaces.
De janvier 2020 à décembre 2024, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) a traité 123 événements de sécurité d'origine cyber affectant des entités du secteur des transports urbains ; 91 signalements et 32 incidents. Ils portent principalement sur des revendications d'attaques par déni de service distribué (DDoS), des fuites de données ainsi que des usurpations d'identité. En revanche, "aucune conséquence significative sur le fonctionnement des entités concernées" n'a été identifiée, précise le gendarme cyber.
Ces conclusions sont issues d'un nouvel "état de la menace informatique" dédié aux transports urbains (ferroviaire, routier, guidé et fluvial) publié ce jeudi 17 avril 2025 par l'Anssi. L'objectif : présenter une synthèse des menaces qui pèsent sur ce secteur et de fournir des recommandations aux acteurs concernés.
Un secteur marqué par une forte criticité
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Cyberattaques en hausse: une menace amenée à dépasser celle du trafic de drogue à l’échelle mondiale
rtl.be - par Marwa Sebbahi et Charline Peeters
Publié le 18 avril 2025
Le nombre de cyberattaques explose à travers le monde, causant des dégâts financiers et stratégiques sans précédent. La récente paralysie du Service public de Wallonie (SPW) a , en raison d'une intrusion, n'est qu'un exemple de plus. Une vigilance accrue est indispensable.
Les cyberattaques se classent désormais parmi les plus grandes menaces qui pèsent sur l’économie et la société modernes. Décrites comme un "fléau absolument préoccupant », ces incursions numériques ciblent autant les particuliers que les PME et les institutions telles que les hôpitaux et les services publics. Chaque jour, ce sont des millions d’attaques à travers le monde qui sont signalées, soulignant à quel point l’ampleur de ce phénomène est devenue un véritable défi à relever.
Une menace plus importante que celle de la drogue
Les chiffres illustrent clairement cette montée en puissance. En 2018, le coût mondial de la cybercriminalité était estimé à quelque 1.000 milliards d'euros. En seulement dix ans, ce montant devrait exploser pour atteindre la somme vertigineuse de 12.000 milliards (12 billions) d'euros en 2028, soit une augmentation exponentielle. Ces estimations dépassent même l’ampleur du trafic de drogue à l’échelle mondiale, ce qui témoigne de la gravité de ce fléau et de ses implications économiques et sociales.
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Europol démantèle 4 réseaux criminels grâce aux données exploitées de messageries chiffrées disparues
clubs.com - par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.
Publié le 15 avril 2025
L'agence Europol a frappé fort contre les réseaux de drogue européens, grâce à la surveillance de messageries sécurisées pourtant disparues. 230 arrestations ont eu lieu, une victoire dans la lutte contre le crime organisé.
L'opération BULUT, en partie pilotée par la France, vient de porter un coup sévère au trafic de drogue international avec 232 arrestations à travers l'Europe et la Turquie. Cette réussite est venue de l'exploitation continue des données de messageries chiffrées pourtant démantelées il y a plusieurs années. Voilà un succès qui démontre comment les technologies conçues pour protéger les criminels deviennent paradoxalement les meilleurs alliés des forces de l'ordre dans leur traque du crime organisé.
Quand les messageries chiffrées deviennent l'arme des enquêteurs
Les forces de l'ordre savent aussi faire preuve d'imagination, et de malice. L'opération baptisée BULUT (qui veut dire nuage en turc) a permis d'exploiter les données de plateformes chiffrées. On parle ici d'outils qui ont été démantelés il y a plusieurs années, à savoir les messageries Sky ECC et ANOM, qui continuent à fournir des renseignements précieux aux enquêteurs.
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Cybercriminalité : une association calédonienne contre-attaque en sensibilisant tous les publics
la1ere.francetvinfo.fr - par Erik Dufour, Lina Waka-Ceou
Publié le 17 avril 2025
Tout le monde est désormais concerné par la cybercriminalité. Collectivités, entreprises et particuliers se trouvent sous la menace de hackeurs qui cherchent à récupérer des informations pour les revendre ou à extorquer des fonds. C’est une manière moderne de voler de l’argent.
"Ce qui motive les attaquants, c’est le gain d’argent. Donc le préjudice est essentiellement financier", signale Laurent Rivaton, cyber expert.
Lire également : CYBERCRIMINALITÉ. Que faire en cas de tentative de hameçonnage ?
Anticiper les menaces
Impulsé par des directives européennes, un projet de loi suit son chemin législatif. La future loi, qui devrait également concerner la Calédonie, devrait imposer aux entreprises de protéger leur patrimoine immatériel, sous peine de sanctions.
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Les hackers d'État s'approprient ClickFix, une technique d'attaque qui trompe même les experts
clubs.com - Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.
Publié le 18 avril 2025
Des chercheurs de Proofpoint viennent de révéler que la technique d'ingénierie sociale « ClickFix », initialement développée par des cybercriminels, est désormais adoptée par des groupes étatiques nord-coréens, iraniens et russes dans leurs campagnes d'espionnage.
Qu'on se le dise, la cybersécurité est un domaine où l'innovation n'est jamais à sens unique. Une analyse de Proofpoint publiée jeudi met en lumière un phénomène préoccupant, celui des techniques d'attaque, conçues par des hackers indépendants, récupérées par des acteurs étatiques. Le cas emblématique ? ClickFix, une méthode d'ingénierie sociale sophistiquée qui exploite la confiance des utilisateurs en les incitant à exécuter des commandes malveillantes, est désormais entre les mains de groupes sponsorisés par des États.
Comment fonctionne ClickFix, la technique qui trompe même les plus vigilants
La méthode ClickFix est particulièrement sournoise, puisqu'elle utilise des boîtes de dialogue trompeuses. Elle présente à l'utilisateur un problème fictif, puis propose une solution qui semble venir du système d'exploitation lui-même. L'astuce ? Amener la victime à copier-coller puis exécuter des commandes malveillantes dans son terminal (via PowerShell)
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-562665-les-hackers-d-etat-s-approprient-clickfix-une-technique-d-attaque-qui-trompe-meme-les-experts.html
Meta
Meta va entraîner l’IA à l’aide des données publiques de ses utilisateurs dans l’Union européenne
lemonde.fr - avec AFP
Publié le 14 mars 2025
Les utilisateurs européens des plateformes du groupe – Facebook, Instagram, Messenger – recevront dans les prochains jours une notification les informant de cette nouvelle politique et le lien vers un formulaire de refus, a précisé lundi l’entreprise.
Légendes photo, commentaires : tout le contenu public des utilisateurs européens des plateformes de Meta (Facebook, Instagram et Messenger) va désormais pouvoir être utilisé pour entraîner ses modèles d’intelligence artificielle générative, a annoncé le groupe lundi 14 avril.
Les utilisateurs européens des différentes plateformes du groupe recevront dans les prochains jours une notification les informant de cette nouvelle politique et le lien vers un formulaire de refus, a précisé l’entreprise dans un communiqué. « Les personnes basées dans l’[Union européenne] qui utilisent nos plateformes peuvent choisir de s’opposer à ce que leurs données soient utilisées à des fins d’entraînement », a précisé le géant des réseaux sociaux.
Ne concerne pas les moins de 18 ans
Thales
RAPPORT BAD BOT 2025 D’IMPERVA : L’IA FAVORISE L’EXPLOSION DES BOTS INDÉTECTABLES, DOMINANT LE TRAFIC INTERNET MONDIAL
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 15 avril 2025
• La démocratisation des outils d’IA facilite la tâche des pirates informatiques, leur permettant de créer et de déployer des bots malveillants à grande échelle.
• Pour la première fois au cours des dix dernières années, le trafic automatisé a supplanté l’activité d’origine humaine, représentant 51 % de l’ensemble du trafic internet.
• 44 % du trafic de bots avancés cible les interfaces de programmation d’application (API), le secteur du voyage arrivant, toutes attaques de bots confondues, en tête des secteurs les plus touchés.
Thales, leader mondial des hautes technologies, publie aujourd’hui le rapport Bad Bot 2025 d’Imperva , une analyse mondiale du trafic automatisé des bots sur internet. La 12ème édition de ce rapport annuel révèle que l’Intelligence Artificielle (IA) générative révolutionne le développement des bots, permettant à des acteurs moins sophistiqués de lancer un plus grand volume d’attaques avec une fréquence accrue. Aujourd’hui, les pirates se servent également de l’IA pour améliorer leurs techniques afin de contourner plus efficacement les mesures de sécurité, profitant pour cela d’un écosystème BaaS (Bots-As-A-Service) en pleine croissance.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/rapport-bad-bot-2025-dimperva-lia-favorise-lexplosion-des
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CRÉATION DE LA SOCIÉTÉ DE PROJET (« PROJECT COMPANY ») MGCS GMBH À COLOGNE
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 17 avril 2025
Jeudi 17 avril 2025 – Le programme d'armement franco-allemand « Main Ground Combat System » (MGCS) franchit une nouvelle étape. Suite à l'approbation de l'Office fédéral allemand des ententes, KNDS Deutschland, KNDS France, Rheinmetall Landsysteme et Thales ont constitué légalement la « MGCS Project Company GmbH » le 10 avril 2025 à Cologne. Stefan Gramolla, ingénieur et colonel de réserve de l'armée allemande, a été nommé directeur général.
La création de la société de projet marque une nouvelle étape majeure dans le programme MGCS. Après la négociation prochaine d'un contrat avec l'Office fédéral des équipements, des technologies de l'information et du soutien en service de la Bundeswehr (BAAINBw), agissant pour le compte des deux Etats par le biais d’une Combined Project Team franco-allemande, cette société de projet sera chargée, en tant que maître d’oeuvre industriel, de l’exécution du programme MGCS. Elle consolidera notamment le concept et les principaux piliers technologiques du système.
Lancé à l'initiative des gouvernements français et allemand, le programme MGCS vise à remplacer à l’horizon 2040 les chars de combat Leopard 2 et Leclerc par un système de combat terrestre multiplateformes d'ici 2040.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/creation-societe-projet-project-company-mgcs-gmbh-cologne
Mobilité
Tisséo lance officiellement son ticket rechargeable, quel est le bilan ?
opinion.com - Par Pauline BOUCHER
Publié le 07 avril 2025
Tisséo lance son ticket rechargeable, quel est le bilan ? © Inès Desnot/L'Opinion Indépendante
Le 26 mars dernier, Tisséo a officiellement lancé son ticket rechargeable. Un nouveau titre de transport qui plaît et qui fonctionne ?
Pour se diriger vers du non-gaspillage et plus de facilité, le 26 mars 2025, le réseau toulousain a lancé ses tickets rechargeables, lesquels n'ont effectivement plus besoin d'être insérés, il suffit de les passer simplement sur les valideurs nouvelles générations.
Ce jour-là, 16.700 tickets ont été distribués (achat ou échange de tickets essentiellement de 1 et 10 déplacements) et depuis, près de 14.500 tickets sont distribués quotidiennement, dont 84 % d'entre eux proviennent des distributeurs automatiques de la Ville rose ; des opérations réalisées majoritairement dans les stations Jean-Jaurès, Marengo, Arènes, Balma-Gramont, Basso Cambo, et Capitole.
Pour rappel, il s'agit d’un support en papier (à conserver !) contenant une puce, affiché à 0,20 € (avant les recharges), réutilisable plus d'une trentaine de fois qui permettra de recharger des titres de bus, tram ou encore métro, pour une personne seule ou une famille, car celui-ci il se prête et se partage sans modération.
Le ticket rechargeable séduit
Lire la suite : https://lopinion.com/articles/actualite/28077_tisseo-ticket-rechargeable-bilan
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Terr'Moov, le projet de mobilité qui décloisonne les territoires, s’implante en Seine-et-Marne
auto-infos.fr - par Clotilde Gaillard
Publié le 07 avril 2025
L’initiative portée par l’association Wimoov, Terr'Moov est désormais officiellement lancé dans le Pays de Meaux. Un service d’utilité publique proposant la mise à disposition de vélos électriques ou de Citroën Ami sans permis, à moindre coût, dont l’expérimentation doit se poursuivre jusqu’à la fin de l’année 2025.
La précarité de mobilité est une réalité qui touche environ 15 millions de Français.
« Une personne sur quatre refuse même un emploi faute de pouvoir s’y rendre », souligne la directrice régionale de Wimoov, Caroline Machillot. L’association qui s’engage à porter à la connaissance du plus grand nombre le sujet d’une mobilité durable et inclusive déploie donc son projet Terr’Moov. Déployé pendant 3 ans, ce dernier s’établit déjà au sein de trois agglomérations en France depuis 2023 : Poher communauté en Grand-Ouest, la communauté des 7 vallées en Hauts-de-France et, depuis mars 2025, le Pays de Meaux en Île-de-France.
Deux euros pour deux heures de vélo
Dans ce dernier territoire, c’est à Boutigny, près de la salle polyvalente, que des vélos électriques et des quadricycles Citroën Ami se trouvent proposés à la location. En complément, des box à vélos sont aussi disposés dans le hameau de Prévilliers, à Saint-Fiacre, et Villemareuil pour mailler une vaste zone locale et répondre aux besoins de mobilités des habitants (dès 14 ans pour les vélos et 16 ans pour les voitures sans permis de la marque aux Chevrons).
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/terr-moov-le-projet-de-mobilite-qui-decloisonne-les-territoires-s-implante-en-seine-et-marne.286790
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Grand Besançon Métropole vote la gratuité des transports en commun le samedi
Publié le 11 Avril. 2025
Hier soir, les élus de Grand Besançon Métropole ont voté plusieurs mesures sociales liées à l’usage des transports urbains sur le territoire bisontin. Il a ainsi été décidé de la gratuité des transports en commun le samedi. La gratuité pour les moins de 15 ans et un pass mensuel à 2 euros pour les bénéficiaires des minimas sociaux ont également été actés. L’élu Anthony Poulin y voit « plus d’équité, de justice sociale et un soutien concret aux familles et aux commerces du centre-ville ». Ces mesures entreront en vigueur le 1er juillet prochain.
Lire sur : https://www.pleinair.net/actualites/itemlist/category/20-transports
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Mobilité : les Français continuent de privilégier leur voiture personnelle pour leurs trajets quotidiens
Publié le 11 avril 2025
La mobilité en Europe est en pleine mutation. Selon le Baromètre Mobilité 2025 mené par Ipsos pour Europ Assistance à travers 9 pays d'Europe, les Européens repensent leurs habitudes de déplacement face à des contraintes économiques et une incertitude croissante des politiques environnementales. Qu'en est-il des Français ? Quelles sont les tendances de la mobilité en France en 2025 ? Les solutions de mobilité alternative peinent à s'imposer dans le pays, freinées par les coûts.
Le baromètre mobilité révèle des similitudes et des différences marquées entre les comportements de mobilité en Europe et en France. Alors que les Européens et les Français partagent une forte appétence pour l’usage de la voiture et une affection pour la marche, les Français se distinguent par une moindre utilisation des transports en commun et des nouvelles mobilités. Les motivations financières dominent les choix en France, alors que les préoccupations environnementales y sont moins prononcées qu'ailleurs en Europe. Plongeons dans les spécificités françaises pour mieux comprendre les dynamiques et les enjeux du marché.
La voiture, favorite des déplacements quotidiens des Français
Lire la suite : https://www.ipsos.com/fr-fr/mobilite-les-francais-continuent-de-privilegier-leur-voiture-personnelle-pour-leurs-trajets
Services Publics
Deux tiers des Français estiment payer trop d’impôts par rapport à la qualité des services publics
actu.orange.fr - par Emma Allamand, 6Medias
Publié le 11 avril 2025
Alors que la campagne 2025 de déclaration des revenus vient de s’ouvrir, un sondage montre que 65 % des Français considèrent qu’ils “n’en ont pas pour leur argent”.
Le consentement à l’impôt s’effrite. Selon un sondage Odoxa pour BFM Business et Capital dévoilé vendredi 11 avril, les Français sont de plus en plus nombreux à juger qu’ils “n’en ont pas pour leur argent”. 65 % des contribuables estiment ainsi que le montant d’impôts qu’ils paient n’est pas justifié “au regard de la qualité des services publics et de notre système de protection sociale”. Pourtant, une majorité de Français comprend pourquoi elle paie des impôts (65 %) et, dans une moindre mesure, “à quoi ils servent” (56 %).
Autre enseignement de ce sondage, 92 % des Français s’attendent à une hausse d’impôts dans les années à venir. "Les gens ont entendu qu'il était question de dépenser plus dans la défense mais qu'en même temps, il faudra faire des économies. Comment traduisent-ils cela ? En se disant que cela aura des conséquences sur les impôts", explique Gaël Sliman, président d’Odoxa auprès de BFM. Or, 84 % des sondés ont déjà le sentiment que les impôts ont augmenté en France depuis deux ou trois ans.
Quelle hausse d’impôts est plébiscitée ?
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Services Publics + : 9 engagements pour un service public proche, simple et efficace
orne.gouv.fr - par les services de l’Etat dans l’Orne
Mis à jour le 08 avril 2025
Depuis plusieurs années, les services de l’État travaillent à améliorer l’accueil de leurs usagers, qu’il s’agisse d’un accueil physique ou en ligne, par téléphone ou par courrier, grâce aux engagements Marianne.
Créés en 2005, ces engagements ont déjà été déployés par plus de 4500 organismes publics volontaires. De profonds changements dans l’organisation des services concernés sont déjà visibles !
C’est pour faire progresser encore davantage la qualité du service rendu et développer la confiance entre l’administration et les usagers que le Gouvernement a décidé de généraliser ces engagements à l’ensemble des services publics en relation avec les usagers à compter de 2020, dans le cadre d'un programme intégré appelé Services Public +.
Testés auprès d’usagers, ces engagements mettent l’accent sur une relation plus personnalisée entre les services et les usagers, une plus grande bienveillance dans l’accompagnement proposé. Ils promeuvent également une orientation facilitée, la proactivité des services publics, leur joignabilité et le respect des délais annoncés. La prise en compte de l’avis de l’usager franchit aussi une nouvelle étape avec la possibilité de raconter son expérience avec le service public et de formuler des propositions d’amélioration.
Les nouveaux engagements Services Publics +
Un service public + proche
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Intelligence artificielle et services publics : la CNIL publie le bilan de son « bac à sable »
cnil.fr - Communiqué
Publié le 11 avril 2025
La CNIL publie les recommandations faites aux organismes accompagnés dans le cadre du « bac à sable » 2023-2024 dédié aux projets d’IA appliqués à des services publics. L’objectif est d’en faire bénéficier l’ensemble de l’écosystème en soutenant l’innovation.
Le « bac à sable » : un accompagnement personnalisé pour des projets innovants
Le « bac à sable » de la CNIL est un programme d’accompagnement personnalisé destiné aux acteurs qui souhaitent être conseillés pour déployer un projet innovant. Il permet de bénéficier de l’expertise de la CNIL sur des problématiques émergentes.
Pour sa 3e édition, le « bac à sable » a été consacré aux projets intégrant de l’intelligence artificielle et visant à améliorer les services publics.
Cette initiative s’inscrit dans la volonté de la CNIL de soutenir le développement d’une IA respectueuse des droits des personnes et de construire une régulation adaptée aux côtés des acteurs.
Le bilan des travaux avec les porteurs de projet
Durant six mois, les équipes de la CNIL ont fourni un appui juridique et technique aux porteurs de projet sur des axes de travail fixés conjointement.
Pendant cet accompagnement, les équipes ont notamment travaillé sur les enjeux de la constitution d’une base de données à des fins d’apprentissage, la notion d’intervention humaine significative, la minimisation des données d’une IA générative ou encore sur une nouvelle forme de captation vidéo.
Ces travaux ont permis de faire émerger plusieurs enseignements qui peuvent être utiles à d’autres acteurs engagés dans le déploiement de projets d’intelligence artificielle appliqués aux services publics. La CNIL publie une synthèse de ces travaux afin que les innovateurs puissent en bénéficier pour leurs propres projets.
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/bilan-bac-a-sable-IA-services-publics
Commande publique
Commande publique : le Sénat donne la parole aux maires
maire-info.com - par Franck Lenard
Publié le lundi 7 avril 2025
Le Sénat a lancé une consultation publique sur la question de la commande publique pour connaitre « le ressenti des maires » sur ce sujet, dans le sillage de la commission d'enquête qu'il a lancée en mars. Objectif : « Identifier les dysfonctionnements et y proposer des remèdes ».
Les sénateurs ont lancé, le 6 mars dernier, une commission d’enquête « sur les coûts et les modalités effectifs de la commande publique et la mesure de leur effet d'entraînement sur l'économie française ». Présidée par le socialiste Simon Uzenat, avec Dany Wattebled (Les Indépendants) pour rapporteur, cette commission se donne pour objectif de réaliser, d’ici la fin du mois de juin, un « état des lieux du cadre juridique actuel » de la commande publique, « afin d’élaborer des propositions de simplification des procédures au bénéfice des acheteurs publics et des PME ».
Les objectifs de la commission d’enquête
Il est rappelé, dans ce cadre, que la commande publique représente une dépense colossale – 170 milliards d’euros par an venant de l’État, des collectivités locales, des établissements hospitaliers et des opérateurs de réseau – pour procéder aux achats de fournitures et de services et à la réalisation de travaux. Alors que l’État signe environ 20 000 marchés de commande publique par an, les collectivités en passent, elles, près de dix fois plus (195 000).
La commande publique fait néanmoins l’objet « de critiques récurrentes », tant du côté des acheteurs que des entreprises, souligne le Sénat. Objet de ces critiques : la lourdeur et la complexité des procédures, leur « formalisme » excessif, autant d’éléments qui alimentent « un sentiment diffus d’inefficience de la dépense publique ».
Lire la suite : https://www.maire-info.com/commande-publique/commande-publique-senat-donne-la-parole-aux-maires-article-29580
Paiement électronique
Et si les collectivités avaient tout à gagner à s'inspirer du e-commerce ?
lyra.com - par sarah.djouder@lyra.com,
Publié le 11 avril 2024
Et si les collectivités avaient tout à gagner à s'inspirer du e-commerce ?
Dans un contexte de digitalisation croissante et face à des défis similaires – simplification des parcours, expérience utilisateur, sécurité des paiements, attentes croissantes des usagers – acheteurs publics et e-commerçants ont plus en commun qu'on ne le pense. Ce regard croisé met en lumière des pratiques inspirantes pour faire évoluer les usages du paiement dans le secteur public. Une lecture utile pour penser différemment
Lire sur : https://www.lyra.com/fr/regard-croise-e-acheteurs-e-commercants/
Risques naturels
Vidéo. Dans le Lot-et-Garonne, des pompiers venus de toute la France se forment aux feux de forêt sur un simulateur dernier cri
sud-ouest.fr - Par Bryan Nardelli - marmande@sudouest.fr
Publié le 10/04/2025
L’École départementale d’incendie et de secours (Edis) du Lot-et-Garonne devient le premier centre de formation de la région à accueillir un simulateur de feux de forêt. Une nouvelle infrastructure de pointe assurant aux sapeurs-pompiers une formation immersive et réaliste
À peine plus de 500 habitants, tout juste 67 km² de superficie et pourtant, Houeillès (Lot-et-Garonne) est en train de devenir un site majeur dans la lutte contre les feux de forêt. Tout se passe désormais dans la toute nouvelle salle de l’École départementale d’incendie et de secours (Edis), centre de formation spécialisé dans les risques d’incendie, qui accueille désormais un simulateur de feux de forêt unique en Nouvelle-Aquitaine. La formation, appelée FDF3, accueille des chefs de groupe venus de toute la France pour participer à des stages visant à appréhender les enjeux liés au commandement d’une opération feux de forêt.
« Tu peux prendre sur ta droite », indique à la radio l’un des participants, assis derrière son ordinateur, à quelques mètres de son collègue qui vient de recevoir l’ordre. Répartis dans des boxes clos, ils ont les yeux rivés sur leur écran où une simulation d’incendie y est reproduite. L’objectif : savoir diriger son équipe pour éradiquer le sinistre. Quatre-vingts heures de formation sont donc dispensées depuis septembre 2024 d’abord sur le simulateur pendant cinq jours, puis sur le terrain avec des mises en pratique.
Intelligence artificielle
Le Cash Investigation sur l’IA n’a pas compris ce qu’était l’IA
numerama.com - par Nicolas Lellouche
Algorithme ≠ IA
Cet article existe grâce à Numerama+
France 2 a diffusé le 10 avril un nouvel épisode de Cash Investigation intitulé « L’Intelligence artificielle a-t-elle déjà pris le contrôle sur notre quotidien ? ». Un reportage censé parler de la révolution technologique qui transforme le monde depuis ChatGPT, mais qui peine à distinguer le numérique, les algorithmes et l’IA.
« Ce soir, vous allez découvrir notre grande enquête sur l’intelligence artificielle ». Le 10 avril 2025, Cash Investigation effectuait son retour sur France 2 avec une émission dédiée à l’IA, les deux lettres les plus tendances du moment. Un programme suivi par près d’1,5 million de téléspectateurs, qui visait à informer les Français sur cette grande révolution numérique.
« L’intelligence artificielle est en train de bouleverser le quotidien des Français », peut-on lire dans le synopsis du reportage, disponible en replay sur le site france.tv. Cash Investigation met notamment en avant des recrutements par IA, des services de lutte contre la fraude fiscale ou l’emploi de salariés à Madagascar dans des fermes à clics. Le reportage ouvre sur une image d’Elise Lucet qui discute avec ChatGPT, ce qui laisse penser que l’on parle bien de la folie de l’IA générative (quelques mois après le sommet de l’IA en France).
Numerama, qui suit attentivement la révolution de l’intelligence artificielle depuis l’apparition des premiers grands modèles génératifs fin 2023, a regardé le reportage. Et nous avons constaté que les journalistes de France 2, comme de nombreuses autres personnes, ont une définition très floue de l’intelligence artificielle.
« L’IA » partout : Cash Investigation voit de l’intelligence artificielle là où il n’y en a pas
Lire la suite : https://www.numerama.com/tech/1949471-le-cash-investigation-sur-lia-na-pas-compris-ce-quetait-lia.html
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Les besoins d'électricité de l'intelligence artificielle en 5 chiffres
Publié le 11 avril 2025
L'essor des centres de données s'accompagne d'une hausse massive de leurs besoins en électricité, dopés par l'intelligence artificielle (IA), qui soulève des défis pour la sécurité énergétique et le changement climatique.
Voici cinq chiffres d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) consacré aux répercussions de l'IA sur le système énergétique publié jeudi.
3% de la consommation électrique d'ici 2030
Les besoins en électricité des centres de données pourraient doubler d'ici 2030 à 945 TWh, selon l'AIE. "Entre 2024 et 2030", leur consommation "augmente d'environ 15% par an, soit plus de quatre fois plus vite que la croissance de la consommation totale (...) de tous les autres secteurs", selon l'AIE.
L'agence souligne que la consommation pour les centres de données est et restera une part modeste de la demande électrique mondiale: 3% en 2030 après être passée de 1% en 2005 à 1,5% en 2024.
25% de l'électricité de la Virginie
Du fait de leur concentration, à proximité des villes, les centres de données mettent déjà les réseaux électriques à rude épreuve dans certaines parties du monde.
Lire la suite : https://www.connaissancedesenergies.org/afp/les-besoins-delectricite-de-lintelligence-artificielle-en-5-chiffres-250410
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AI Overwiews : l’arrivée en France se précise
Des questions demeurent, notamment sur l'application du DSA, du DMA et du RGPD.
Si la Search Generative Experience, était restait bloquée à quai en Europe, son successeur, AI Overviews, semble passer les obstacles. Les AI Overviews ont en effet été lancés il y a quelques jours en ligne en Allemagne, Belgique, Irlande, Italie, Autriche, Pologne, Portugal, Espagne, et en Suisse. La firme de Mountain View a précisé : "à la suite de tests approfondis et d'un retour d'information positif de la part des utilisateurs, les utilisateurs connectés âgés de plus de 18 ans dans ces pays verront désormais les aperçus d'IA apparaître lorsque nos systèmes détermineront qu'ils sont les plus utiles, avec des liens en évidence vers le web pour que les gens puissent facilement en savoir plus."
L'explication de ce revirement pourrait en partie résider dans le fait que le flou juridique lié auparavant à la SGE ait en partie disparu avec les AI Overviews. Même si certaines interrogations demeurent. Notamment concernant le DSA, censé combattre les contenus illicites, dangereux et préjudiciables sur Internet. Gaël Mahé, avocat en droit du numérique, révèle : "au-delà du manque de fiabilité des réponses apportées, le but de la SGE était de générer des réponses détaillées et interactives. Tandis que les AI Overviews ne se contentent à ce stade que de réponses simples et synthétiques." Au vu de son nombre moins élevé d'hallucinations et du peu de requêtes sur lesquelles elles s'affichent actuellement, les AI Overviews seraient peut-être plus susceptibles de respecter le DSA que la SGE.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/seo/1540535-ai-overviews-l-arrivee-en-france-se-precise/
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Le Hub France IA publie la 5ème édition de sa cartographie des start-ups et fournisseurs innovants en IA
actuia.com - Stephane Nachez
Publié le 11avril 2025
Sommaire
Un écosystème de plus en plus diversifié
Transition écologique : un nouveau volet structurant
Depuis 2020, le HUB France IA apporte, via sa cartographie, de la visibilité aux start-ups françaises prometteuses dont l’IA est le cœur du produit ou du service proposé. Véritable outil de référence, cette initiative vise à structurer un écosystème en forte croissance, tout en facilitant les connexions entre offreurs de solutions, acheteurs publics ou privés, et investisseurs.
L’édition 2025, récemment publiée, recense près de 600 acteurs innovants. Un chiffre en forte hausse par rapport à la 4ème édition, qui avait permis de référencer 328 start-ups, ce qui témoigne à la fois d’un dynamisme entrepreneurial soutenu et d’une accélération de l’adoption de l’IA dans les secteurs économiques.
Pour Caroline Chopinaud, directrice générale du Hub France IA :
"Le paysage français de l’IA continue de gagner en puissance, avec près de 600 startups et fournisseurs innovants référencés en 2025, soit une augmentation remarquable de 260 nouveaux acteurs par rapport à l’année précédente. Cette croissance s’explique notamment par l’essor de l’IA générative, qui a conduit à la création de 44 nouvelles startups en 2024".
Un écosystème de plus en plus diversifié
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France 2030 : 8,9% des fonds déjà fléchés vers l’intelligence artificielle
usine-digitale.fr - par Alice Vitard
Publié le 10 avril 2025
Sur les 54 milliards d'euros prévus par le plan d'investissement France 2030, 38 ont déjà été engagés, notamment dans des projets d'IA ou de technologies souveraines. De nouveaux lauréats ont été annoncés.
C'est l'heure du bilan. Trois ans après son lancement en octobre 2021, où en est le plan d'investissement France 2030 ? C'est la question à laquelle ont répondu ce 10 avril 2025 François Bayrou et Bruno Bonnell, Secrétaire général pour l’investissement, à l'occasion du Comité interministériel de l'innovation.
"Malgré les bouleversements géopolitiques, les défis budgétaires, les secousses de la vie politique, le cap tracé par le plan France 2030 a été tenu", a déclaré François Bayrou.
38 milliards d'euros attribués
Sur l'enveloppe globale de 54 milliards d'euros prévue pour cinq ans, 38 milliards d'euros ont été investis dans des projets. Il reste donc près de 16 milliards à dépenser jusqu'en 2026. Dans le détail, les projets d'intelligence artificielle ou intégrant une composante forte en IA ont récolté 3,4 milliards d'euros, soit 8,9% de la somme investie jusqu'ici. Le reste a été attribué à des projets dans l'automobile électrique, le spatial, le biomédical, la formation ainsi que la décarbonation de l'industrie.
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IA : un avenir a 4 800 milliards de dollars - la CNUCED alerte contre de nouvelles fractures et appelle à agir
Publié le 07 avril 2025
Des investissements stratégiques, une gouvernance inclusive et une coopération internationale sont essentiels pour garantir que l'IA profite à tous, plutôt que de renforcer les divisions existantes.
L'intelligence artificielle (IA) transforme les économies, créant des opportunités mais présentant également des risques d'inégalités accrues. Le Rapport sur la technologie et l'innovation 2025 d’ONU commerce et développement (CNUCED) avertit que si l'IA peut être un puissant outil de progrès, elle n'est pas intrinsèquement inclusive. Les pays doivent agir maintenant - en investissant dans les infrastructures numériques, en renforçant les capacités et en consolidant la gouvernance de l'IA - pour exploiter le potentiel de l'IA en faveur du développement durable.
Les avantages économiques de l'IA sont considérables, mais doivent être partagés
Lire la suite : https://unctad.org/fr/news/ia-un-avenir-4-800-milliards-de-dollars-la-cnuced-alerte-contre-de-nouvelles-fractures-et
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"Cash Investigation". L’intelligence artificielle a-t-elle pris le contrôle sur notre quotidien ?
francetvinfo.fr - par
Publié le 08 avril 2025
L'intelligence artificielle s'immisce dans notre quotidien et se substitue de plus en plus aux humains. Quelles conséquences pour le monde du travail et pour les citoyens ? Une enquête de "Cash Investigation" à voir le 10 avril à 21h10 sur France 2.
En France, l’intelligence artificielle est en train de bouleverser notre quotidien. Des salariés français ont déjà été licenciés parce que l’IA les avait remplacés. Dans les services des ressources humaines, elle se substitue aux recruteurs et promet de prendre de meilleures décisions que les humains.
Mon DRH est une intelligence artificielle
François Cardona a enquêté sur ces start-up qui vendent aux grandes entreprises ces nouvelles solutions technologiques, censées recruter, évaluer et même surveiller les salariés.
Bien souvent, les employés ignorent que cette intelligence artificielle ne va pas seulement analyser leurs compétences, mais aussi leurs émotions. Une pratique pourtant interdite par le règlement européen, l’IA Act.
L’État français dans la course à l'IA
L’État et ses services publics se sont également lancés dans la course à l’IA. De plus en plus d’administrations y ont recours, à commencer par le fisc, qui se sert de l’intelligence artificielle pour traquer les fraudeurs. Dorénavant l’IA est à l’origine de 45% des contrôles chez les particuliers et de 50% dans les entreprises. Sauf que cette technologie oriente les contrôleurs du fisc vers les fraudes les plus basiques, plutôt que vers des fraudes de grande ampleur, plus complexes. Elise Lucet est allée interviewer les services fiscaux à ce propos.
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IA : L'UE prête à assouplir sa règlementation face à la concurrence
cbnews.fr - Par l’AFP
Publié le 09 avril 2025
La Commission Européenne souhaite notamment la création de « Giga-Usines » d’IA en Europe
IL'Union européenne a ouvert la porte mercredi à un assouplissement de sa règlementation sur l'intelligence artificielle, pour ne pas se laisser distancer par la concurrence des Etats-Unis et de la Chine. La Commission européenne a présenté un plan d'action pour l'intelligence artificielle axé notamment sur la création de "giga-usines d'IA" en Europe et de centres de données. L'exécutif européen entend au moins "tripler la capacité des centres de données de l'UE au cours des cinq à sept prochaines années". En parallèle, la Commission est prête à se pencher sur une "éventuelle simplification" de la législation européenne sur l'intelligence artificielle. Il ne serait "préjudiciable pour personne de réduire certaines obligations de déclaration" des entreprises d'IA, a affirmé la commissaire européenne Henna Virkkunen (Souveraineté technologique), qui veut éviter une "charge administrative supplémentaire".
L'UE a adopté en mars 2024 son règlement sur l'IA (AI Act, en anglais), dont l'essentiel entre en vigueur en 2026, avec une approche fondée sur le risque. Les entreprises qui proposent des systèmes d'IA à haut risque - dans des domaines comme les infrastructures critiques, l'éducation, les ressources humaines ou le maintien de l'ordre - seront soumises à des obligations renforcées, afin d'évaluer et atténuer les menaces que posent leurs modèles. Elles incluent, par exemple, un contrôle humain sur la machine, l'établissement d'une documentation technique ou un système de gestion du risque. Des règles spécifiques s'appliqueront aux IA génératives (comme ChatGPT) pour s'assurer de la qualité des données utilisées dans la mise au point des algorithmes et du respect des droits d'auteur.
"RATIONALISER" LA LÉGISLATION
Lire la suite : https://www.cbnews.fr/digital/image-ia-ue-prete-assouplir-sa-reglementation-face-concurrence-americaine-92064
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Vers une interopérabilité agentique : Google Cloud lance le protocole A2A
actuia.com - Marie-Claude Benoit
Publié le 11 avril 2025
Sommaire
Une réponse à la fragmentation des systèmes
Le protocole A2A repose sur une architecture simple mais efficace :
Les agents d’IA jouent un rôle croissant dans l’automatisation des tâches et l’amélioration de la productivité des entreprises. Cependant, leur efficacité est souvent limitée par des silos technologiques et une interopérabilité insuffisante entre les systèmes. Pour répondre à ce défi, Google a récemment annoncé le lancement du protocole Agent2Agent (A2A), un standard ouvert visant à faciliter la collaboration entre agents quel que soit leur fournisseur ou leur environnement de déploiement.
Une réponse à la fragmentation des systèmes
L’émergence d’agents autonomes, capables d’agir de manière semi-indépendante sur des tâches complexes, a généré un nouvel enjeu : leur capacité à collaborer efficacement dans des environnements hétérogènes.
C’est dans ce contexte que s’inscrit A2A. Conçu comme un protocole de communication entre agents, il repose sur des standards largement adoptés tels que HTTP, JSON-RPC et Server-Sent Events (SSE), avec une architecture orientée vers la sécurité, la modularité, et la prise en charge de tâches longues ou multimodales. Les agents peuvent s’y découvrir mutuellement, partager des "cartes de capacités" et collaborer à travers des échanges structurés autour d’objets-tâches et d’artefacts.
Comment fonctionne A2A ?
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/vers-une-interoperabilite-agentique-google-cloud-lance-le-protocole-a2a/?mc_cid=e621dd0fe8&mc_eid=1b5f52f4fd
Euro numérique
L’euro numérique pour une plus grande autonomie stratégique européenne
banque-france.fr - Communiqué
Publié le 8 avril 2025
Déclaration introductive de Piero Cipollone, membre du directoire de la BCE, devant la commission des affaires économiques et monétaires du Parlement européen
C’est un privilège d’être parmi vous aujourd’hui pour poursuivre nos échanges sur l’euro numérique.
De nombreux arguments solides plaident en faveur de l’introduction d’un euro numérique et tous, selon moi, convergent vers un objectif essentiel : renforcer l’autonomie stratégique de l’Europe.
Aujourd’hui, je voudrais évoquer ce que signifie, en pratique, l’autonomie stratégique pour nos paiements de tous les jours, en examinant à la fois le rôle fondamental des espèces et les avantages d’un euro numérique.
Face à un environnement international moins prévisible, le temps est venu d’agir concrètement.
Les paiements de détail sont de plus en plus numériques1. Les consommateurs utilisent de façon croissante les moyens de paiement numériques dans les commerces et pour effectuer leurs achats en ligne. Or, une part importante des transactions associées sont traitées par des fournisseurs non européens. Actuellement, les habitants de treize pays de la zone euro dépendent exclusivement de systèmes de carte ou de solutions mobiles non européens pour leurs paiements en magasin2. Et même lorsqu’il existe des systèmes de carte nationaux, ils sont « co-badgés » à des dispositifs de carte internationaux pour les paiements dans d’autres pays de la zone euro. Et, dans un avenir pas si lointain, cette dépendance pourrait se développer à l’égard d’autres moyens de paiement privés, comme les stablecoins non européens.
Lire la suite : https://www.banque-france.fr/fr/leuro-numerique-pour-une-plus-grande-autonomie-strategique-europeenne
Blockchain
L'avenir de la blockchain est là — Découvrez les 4 meilleures cryptomonnaies dans lesquelles investir dès maintenant
financefeeds.com - par Karthik Subramanian
Publié le 12 avril 2024
La blockchain n'est plus seulement un mot à la mode lancé à tout va lors des périodes de forte hausse. Elle évolue, mûrit et s'étend à des secteurs jusque-là inexplorés : confidentialité mondiale, finance transfrontalière, identité décentralisée et évolutivité des applications. Cette évolution s'accompagne d'une nouvelle génération de projets cryptographiques conçus pour répondre aux besoins du monde réel, et non pas seulement à un battage médiatique spéculatif. Pour ceux qui suivent, la question n'est pas de savoir si les cryptomonnaies reviendront en 2025, mais plutôt quelles cryptomonnaies seront à l'origine de la prochaine percée. Attention, spoiler : il ne s'agit probablement pas des mêmes acteurs.
Plusieurs projets posent déjà les jalons de l'avenir : des systèmes privilégiant la confidentialité, le contrôle utilisateur et une interopérabilité transparente des chaînes. Parmi eux, Qubetics, une couche 1 ambitieuse qui se fait rapidement connaître pour son orientation vers une infrastructure VPN décentralisée et un accès inter-chaînes fluide. Contrairement aux cryptomonnaies traditionnelles, restées dans des chambres d'écho, ces nouveaux leaders créent des cas d'utilisation qui s'étendent au-delà des cryptomonnaies natives et s'étendent au grand public. Alors, si la chasse est ouverte, Les meilleures cryptomonnaies dans lesquelles investir en ce moment, cette liste organisée est la ligne de départ.
Voici quatre projets qui définissent de nouvelles normes en matière de blockchain. Qu'il s'agisse de confidentialité, d'évolutivité ou de convivialité Web3, ces géants façonnent le paysage cryptographique de manières véritablement décisives. Analysons-les en commençant par celui qui redéfinit la confidentialité et les performances.
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Smart contract blockchain : quels sont les risques juridiques ?
solutions.lesechos.fr - par Jennifer Matas
Publié le 7 avril 2025
Très en vogue ces dernières années, les contrats intelligents basés sur la technologie blockchain présentent des avantages certains en termes d’automatisation et de sécurité.
Au point de véritablement révolutionner les transactions, puisque ces programmes informatiques auto-exécutables sont déployés sur des plateformes décentralisées et définissent des accords clairs et transparents entre les parties.
Bien qu’ils soient déjà très répandus, les smart contracts se situent encore dans un flou juridique qu’il n’est pas toujours évident de dissiper. Surtout, ces contrats atypiques comportent un certain nombre de risques juridiques. Voici ceux qui méritent une attention accrue de la part des différentes parties prenantes d’un smart contract.
Un cadre juridique encore mince
Tout d’abord, il est important de rappeler que le droit encadre encore très peu tout ce qui touche spécifiquement aux smart contracts. Mais de premiers écrits existent.
Les smart contracts dans le droit français
En France, les règles établies pour l’utilisation des smart contracts concernent surtout le domaine financier.
“L’article 722-1 6° du Règlement général de l’Autorité des marchés financiers (RG AMF) mentionne la notion de smart contract depuis un arrêté du 21 juillet 2023”, explique Arnaud Tessalonikos, avocat directeur associé chez Fidal Paris, responsable du pôle digital tech et data.
Lire la suite : https://solutions.lesechos.fr/juridique/loi-conformite/smart-contract-blockchain-quels-sont-les-risques-juridiques/
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A Paris Blockchain Week, Clara Chappaz assure l'écosystème du soutien de la France, mais modère ses propos sur le minage de bitcoins
investir.lesechos.fr - Par Rémy Demichelis
Publié le 09 avril 2025
La ministre cherche à positionner la France comme un havre face aux incertitudes réglementaires internationales.
La ministre déléguée chargée de l'Intelligence artificielle et du Numérique, Clara Chappaz, a fait une apparition, hier, lors de la première journée du salon Paris Blockchain Week, où elle a tenu à rassurer l'industrie des actifs numériques : « Nous, la France, croyons sincèrement qu'il nous faut travailler ensemble, nous restons très attachés aux innovateurs et voulons être sûr de rassembler tout le monde à Paris. »
Face à l'incertitude de l'autre côté de l'Atlantique, elle envisage que notre pays accueille les entrepreneurs à la recherche de cieux plus cléments : « Nous avons besoin de réunir tout un chacun dans le monde pour essayer de résoudre les problèmes les plus difficiles. » Elle a ainsi fait la promotion du nouveau règlement européen en matière d'actifs numériques, MiCA, et dont les Etats-Unis ne cherchent pas vraiment à se doter, qui permet de dégager l'horizon : « Lorsque vous créez une entreprise, vous avez besoin de savoir avec certitude où elle va […] La régulation est en fait une force. »
Ne pas s'emballer sur le minage
Paiement électronique
Regard croisé e-acheteurs / e-commerçants
lyra.com - Communiqué
Publié le 10 avril 2025
La sécurité, la diversité des moyens de paiement, et la transformation sont plus que des clés de voûte. Ce sont les attentes incontournables des consommateurs, mais aussi les axes stratégiques des e-commerçants. On vous emmène explorer les détails des résultats de notre enquête réalisée auprès d’un panel d’acheteurs représentatifs du marché français et d’e-commerçants dans le secteur du retail, du tourisme et de la vente de services et produits digitaux.
Ces résultats sont analysés sous la forme d’un regard croisé via des décryptages d’experts de l’écosystème du paiement en BtoC.
Sécurité maximale
Pour 71 % des acheteurs interrogés, la sécurité est le critère n°1 lorsqu’ils paient en ligne. Une constante liée d’une part aux nombreuses évolutions règlementaires de protection et de lutte contre la fraude. Et d’autre part, grâce à l’adoption de nouveaux usage. L’acte de payer se simplifie tout en garantissant la sécurité des différentes parties ! Une pierre, deux coups !
Par ailleurs, les e-commerçants l’ont bien compris : proposer un moyen de paiement sécurisé et fiable, c’est rassurer et convertir. La sécurité fait d’ailleurs aussi partie des critères principaux lors de l’ajout d’un moyen de paiement.
Lire la suite : https://www.lyra.com/fr/regard-croise-e-acheteurs-e-commercants/
RGPD
Données personnelles : Vers un allègement des exigences du RGPD pour les TPE-PME
usine-digitale.fr - par Alice Vitard
Publié le 07 avril 2025
La Commission européenne prépare une révision du RGPD pour alléger les contraintes pesant sur les petites et moyennes entreprises. Cette réforme s'inscrit dans une initiative plus large d'Ursula von der Leyen, visant à réduire la réglementation afin de renforcer la compétitivité européenne face aux Etats-Unis et à la Chine.
Trop de réglementation tue la compétitivité européenne face aux puissances américaines et chinoises. Le cri d'alerte de Mario Draghi, l'ancien président de la Banque centrale européenne, semble avoir été entendu par la Commission européenne. D'ici quelques semaines, elle devrait présenter une proposition de révision du Règlement général sur la protection des données personnelles (RGPD), d'après le média Politico.
Faciliter la mise en conformité des entreprises
Ce sont les contraintes pesant sur les petites et moyennes entreprises qui sont visées en particulier. "Le RGPD présente de nombreux avantages, et la protection de la vie privée est absolument nécessaire. Mais nous n'avons pas besoin de réglementer de manière inconsidérée. Nous devons faciliter la mise en conformité des entreprises", a déclaré la ministre danoise du Numérique, Caroline Stage Olsen. Le Danemark prend la tête du Conseil à partir du 1er juillet 2025, succédant à la Pologne.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/editorial/donnees-personnelles-vers-un-allegement-des-exigences-du-rgpd-pour-les-tpe-pme.N2230263
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La CNIL émet une recommandation sur la MFA compatible avec le RGPD
Solutions-Numeriques - par Patrice Remeur
Publié le 7 avril 2025
L’authentification multifacteur (MFA) est une solution répandue. Elle permet de répondre à l’obligation de sécurité et donne la preuve juridique de l’identité de l’utilisateur et de sa responsabilité. Elle doit aussi répondre au RGPD. Son application peut être complexe.
La Cnil, après consultation publique, vient de publier une recommandation pour la mise en place de solutions MFA mais aussi pour que les fournisseurs puissent intégrer la protection de la vie privée dès la conception de leurs produits ou services.
La recommandation porte notamment sur :
– la détermination de la base légale ;
– la proportionnalité de la sécurité ;
– la minimisation des données collectées ;
– les durées de conservation et le respect de l’exercice des droits par les personnes concernées ;
– la détermination de la qualification des acteurs intervenant dans une solution de MFA ;
– le choix des modalités (facteurs d’authentification : connaissance, possession, inhérence) et leurs conditions de conformité au RGPD.
La Cnil alerte également sur l’usage du facteur d’inhérence, l’usage de solutions basées sur l’envoi d’un code à usage unique par SMS ou encore l’utilisation de l’équipement personnel des salariés comme facteur de possession.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/la-cnil-emet-une-recommandation-sur-la-mfa-compatible-avec-le-rgpd/
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Mise en application du Data Act et conformité RGPD : comment faire ?
solutions-numériques.com - par
Publié le 11 avril 2025
Les entreprises fabriquant ou fournissant des produits connectés ou des services associés doivent se préparer à l’entrée en vigueur du Data Act. Le règlement s’appliquera à compter du 12 septembre prochain et promet des bouleversements.
Il rend obligatoire la mise à disposition, pour les utilisateurs, des données générées par l’utilisation de leurs produits ou services, et permet le partage de ces données avec des tiers choisis par les utilisateurs, selon des modalités équitables, raisonnables et non discriminatoires. Le règlement vise à garantir l’accès aux “données relatives au produit et aux services connexes au profit de l’utilisateur du produit connecté ou du service connexe“.
La notion de données concernées est large
Il s’agit principalement des données générées par l’utilisation de produits connectés et de services associés. “Relèvent du champ d’application du présent règlement les données qui ne sont pas substantiellement modifiées, c’est-à-dire les données sous forme brute, également appelées “données sources” ou “données primaires”, désignant des points de données qui sont générés automatiquement sans autre forme de traitement, ainsi que les données qui ont été prétraitées dans le but de les rendre compréhensibles et utilisables avant leur traitement et leur analyse ultérieurs… Les données qui doivent être mises à disposition devraient inclure les métadonnées pertinentes, y compris leur contexte de base et leur horodatage, pour rendre les données utilisables, combinées à d’autres données, telles que les données triées et classifiées avec d’autres points de données les concernant, ou reformatées dans un format couramment utilisé” stipule le texte.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/mise-en-application-du-data-act-et-conformite-rgpd-comment-faire/
Aménagement numérique du territoire
Fermeture des réseaux mobiles 2G et 3G : les collectivités doivent être accompagnées
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Publié le 11 avril 2025
Alors que plus de 99 % des sites d'émission 2G et 3G sont équipés de 4G, les opérateurs de télécommunication mobile prévoient d'éteindre ces deux réseaux définitivement dans les années à venir. Hier, la Commission supérieure du numérique et des postes (CSNP) a rendu son avis sur l'extinction de ces réseaux, identifiant les points d'attention qui concernent les collectivités.
Les réseaux 2G et 3G vont disparaître progressivement entre 2026 et 2029. Les opérateurs ont annoncé la fermeture de ces deux réseaux mobiles dès 2022, expliquant dans une FAQ publiée par la Fédération française des télécoms en mai dernier, qu’avec les différentes technologies déployées au fil des années (2G, 3G, 4G et aujourd’hui 5G), « il n’est plus possible de les empiler tant du point de vue de la modernisation des réseaux, de la sécurisation des données ou de l’efficacité environnementale ».
Le chantier est déjà bien engagé : « à la fin de l’année 2025, Orange suspendra son réseau 2G et sera suivi, fin 2026, par Bouygues et SFR. Entre 2028 et 2029, ce sera le réseau 3G de l’ensemble des opérateurs qui sera suspendu. »
Cependant, à quelques mois de cette fermeture, les membres de la Commission supérieure du numérique et des postes (CSNP) constatent, dans un avis publié hier, « que l’ensemble des conséquences de la fermeture des réseaux 2G et 3G pour les usagers qu’ils soient des particuliers, des entreprises ou des collectivités territoriales ne semble pas avoir été pris en compte par les opérateurs et les pouvoirs publics ».
Un pilotage qui doit être renforcé
Lire la suite : https://www.maire-info.com/imprimer2.php?param=29601
Souveraineté numérique
L’Europe à la croisée des chemins : pour une souveraineté numérique ambitieuse et concrète
Publié le 8 avril 2025
À l’heure où les données représentent une richesse aussi précieuse que les matières premières, la souveraineté numérique s’impose comme un enjeu central pour l’avenir des nations. Pour l’Europe, et particulièrement pour la France, cette notion ne relève plus d’un simple débat technique ou administratif : elle est désormais au cœur des dynamiques géopolitiques, économiques et sociétales. La capacité à contrôler ses infrastructures numériques, ses flux de données, et ses technologies devient déterminante dans la course à la compétitivité mondiale et à la protection des libertés individuelles.
Dans ce contexte, l’intervention remarquée de l’entrepreneur Rafik Smati en décembre 2024 a agi comme un électrochoc. Il mettait en garde contre un risque de « décrochage technologique définitif » de la France et, par extension, de l’Union européenne. Selon lui, l’excès de régulation, notamment dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), freine les initiatives locales, au moment même où les États-Unis et la Chine accélèrent massivement leurs investissements. Paradoxalement, cette rigueur réglementaire ne trouve pas son équivalent en matière de protection des données, où l’Europe demeure, malgré le RGPD, largement dépendante d’acteurs non européens.
Une dépendance technologique préoccupante
Lire la suite : https://solutions.lesechos.fr/tech/innovation/l-europe-a-la-croisee-des-chemins-pour-une-souverainete-numerique-ambitieuse-et-concrete/
Cybersécurité
Cybersécurité : comment l’Europe renforce sa souveraineté face aux menaces numériques
lejdd.fr - par Geoffroy Antoine
Publié le 07 avril 2025
CROISSANCE. Le désengagement américain en Europe, dans un climat de guerre hybride, booste le secteur économique de la cybersécurité.
Alors que l’Europe et le monde basculent dans la guerre hybride, le forum InCyber, le plus grand salon d’Europe dédié à la cybersécurité, s’est tenu cette semaine à Lille. Des milliers d’acteurs du secteur sont venus exposer leurs innovations, multipliant les conférences et les débats, positionnant ainsi l’Europe comme l’un des leaders du marché mondial. Estimé à 60 milliards d’euros, le chiffre d’affaires européen de la cybersécurité devrait doubler d’ici 2029. Start-up, PME ou colosses du CAC 40, tous veulent leur part du gâteau, d’autant qu’à l’heure du tout-numérique, les opportunités sont exponentielles. Surtout dans une conjoncture géopolitique percutée par l’offensive de Donald Trump à l’endroit de son vieil allié, qui encourage l’Europe à renforcer sa souveraineté en matière de cyber.
L’heure est à la réaction
Après une année 2024 record en nombre de cyberattaques visant des entreprises, l’heure est à la réaction. Vols de données, cyberespionnage, rançongiciels : se protéger devient un impératif. Lire la suite : https://www.lejdd.fr/economie/cybersecurite-comment-leurope-renforce-sa-souverainete-face-aux-menaces-numeriques-156784
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Cyber-régulations européennes et IA : un réveil nécessaire face aux nouvelles menaces
journaldunet.com - Chronique de Joeri Barbier Getronics
Publié le 09 avril 2025
Les nouvelles réglementations (CRA, DORA, NIS2, ...) marquent un tournant décisif dans la manière dont les entreprises européennes doivent aborder leur sécurité numérique
Alors que les cyberattaques se multiplient à une vitesse alarmante, l'Union européenne renforce son arsenal réglementaire avec des initiatives majeures telles que le Cyber Resilience Act (CRA), la directive NIS 2 et le Digital Operational Resilience Act (DORA). Ces nouvelles réglementations marquent un tournant décisif dans la manière dont les entreprises européennes doivent aborder leur sécurité numérique. Loin d'être une simple contrainte, elles doivent être perçues comme une chance, notamment celle de repenser la cybersécurité sous un prisme proactif et résilient.
De la conformité subie à la cybersécurité intégrée
Pendant longtemps, la cybersécurité a été perçue comme un mal nécessaire, un poste de dépense justifié par la peur plutôt que par une vision stratégique. Or, la réalité actuelle impose aux entreprises de nouvelles réglementations. Le CRA leur demande désormais d'intégrer la sécurité "by design" et "by default". Cette approche exige que les solutions et services informatiques soient développés avec un niveau de sécurité inhérent, évitant ainsi de devoir colmater les brèches a posteriori.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1540709-cyber-regulations-europeennes-et-ia-un-reveil-necessaire-face-aux-nouvelles-menaces/
Thales
THALES SIGNE UN CONTRAT POUR LIVRER À LA SUÈDE LE RADAR MULTI-MISSION COMPACT GROUND MASTER 200 MM/C
thalesgroup.com.fr - Communiqué
Publié le 07 avril 2025
• L’administration suédoise du matériel de défense (Försvarets materielverk - FMV) a choisi le radar multi-mission compact Ground Master 200 de Thales pour renforcer les capacités de l'espace aérien souverain suédois.
• Les premières livraisons sont prévues pour 2026, démontrant la capacité de Thales à livrer rapidement afin de répondre aux besoins de ses clients.
• La Suède est le cinquième pays de l'OTAN à sélectionner ce radar mobile multi-missions de moyenne portée.
Stockholm/Paris, le 7 avril 2025 – L'administration suédoise des matériels de défense (FMV) a signé un accord avec Thales pour la livraison du radar compact multi-mission Ground Master 200 de Thales (GM200 MM/C). S'appuyant sur une solide coopération internationale au sein de l'OTAN, cet accord va contribuer à maintenir la souveraineté de l'espace aérien suédois.
Grâce au programme de montée en puissance industrielle de Thales et à sa capacité à produire dans des délais courts, les premières livraisons sont prévues pour 2026.
Le radar de moyenne portée GM200 MM/C contribuera à renforcer la reconnaissance de l'espace aérien pour les forces armées suédoises. Ce radar offre un temps de couverture augmenté sur une large gamme de menaces grâce à la dernière génération de technologie AESA 4D*.
Le design compact du système permet également une flexibilité de mission accrue grâce à sa mobilité et ses temps de déploiement réduits.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-signe-contrat-livrer-suede-le-radar-multi-mission
- LYRA
Les nouvelles technologies de paiement transforment les usages des collectivités et des entreprises publiques. Avec plus de 46 % de la population mondiale utilisant un portefeuille électronique et une prévision de 60 % d’ici deux ans, proposer une solution adaptée devient essentiel.
Samsung Wallet, avec son intégration simplifiée grâce à Lyra, offre une expérience fluide et sécurisée pour les paiements mobiles.
Lors de notre événement Lyra Pulse, nous avons eu le plaisir d’accueillir Jérôme Bloch, Directeur Marketing & Stratégie de la division Mobilité chez Samsung Electronics France, pour une interview exclusive sur la stratégie de Samsung Pay. Découvrez les objectifs et les forces de Samsung Pay ici : https://www.lyra.com/fr/samsung-interview/
Mobilité
La gratuité des transports en commun, une utopie payante pour Bordeaux Métropole ?
rue89bordeaux.com - par Simon Barthélémy
Publié le 3 avril 2025
Alors que le conseil Bordeaux Métropole votera ce vendredi 4 avril une augmentation des tarifs de TBM, les élus communistes, hostiles à cette décision, demandent au contraire une extension de la gratuité des transports en commun, au moins aux jeunes dans un premier temps. Les exemples de Strasbourg, Nantes et Montpellier sont à leurs yeux concluants.
Comme le révélait Rue89 Bordeaux, la Métropole devrait entériner ce vendredi 4 avril une nouvelle hausse des tarifs des transports en commun sur le réseau TBM de 3% en moyenne. Elle « portera en grande partie sur les titres occasionnels et pour moitié sur les abonnements », indique ce mercredi Olivier Escots, conseiller métropolitain communiste. Quoique membres de la majorité, les trois élus de son groupe voteront contre cette décision.
« C’est un mauvais signe, justifie l’élu bordelais. Le ticket unitaire a pris 20 centimes en deux ans, et coûtera désormais 1,90€. Et les abonnements peuvent représenter des sommes conséquentes – plus de 1000 euros à consacrer chaque année aux transports en commun pour une famille avec deux enfants et dont les deux parents ont un pass salarié. »
Serpent de mer
Au nom du pouvoir d’achat des habitants de la métropole, du droit à la ville, et de la lutte contre le changement climatique et la pollution atmosphérique – « avec des trams et des bus gratuits, plus besoin de ZFE », selon Olivier Escots –, le PCF relance donc le débat sur la gratuité des transports en commun. Un serpent de mer que le parti compte réanimer, notamment à l’occasion des prochaines municipales.
Lire la suite : https://rue89bordeaux.com/2025/04/la-gratuite-des-transports-en-commun-une-utopie-payante-pour-bordeaux-metropole/
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Comment la mobilité sociale peut-elle stimuler l'économie européenne ?
fr.euronews.com - Par Inês Trindade Pereira & video by Mert Can Yilmaz
Publié le 03 avril 2025
Une nouvelle étude montre que les progrès de l'Europe en matière de mobilité sociale ont stagné au cours de la dernière décennie, freinant le PIB combiné du continent d'un montant estimé à 1 300 milliards d'euros.
De par leur milieu social, plus d'un tiers des Européens sont confrontés à de sérieux obstacles à la mobilité sociale, qui se traduisent par des taux d'emploi plus faibles, une main-d'œuvre moins productive et une progression de carrière plus lente.
Alors que la population européenne vieillit et que les entreprises ont besoin de nouvelles compétences, le nombre de travailleurs qualifiés disponibles devient rapidement insuffisant.
Selon une nouvelle étude du cabinet de conseil McKinsey, l'amélioration de la mobilité sociale pourrait accroître le PIB des pays européens de 3 à 9 % et combler le déficit de compétences attendu d'ici à 2030 sans nécessiter de nouvelles formations ou de requalification.
"La mobilité sociale n'est pas seulement la prochaine étape de l'inclusion. C'est un impératif stratégique pour la compétitivité à long terme de l'Europe", affirme le rapport.
Lire la suite : https://fr.euronews.com/my-europe/2025/04/03/comment-la-mobilite-sociale-peut-elle-stimuler-leconomie-europeenne
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Hervé Gaymard expose les enjeux de mobilité au ministre des Transports
savoie-news.fr - © 2025 Defours.com
Publié le 03 avril 2025
À l’issue du déplacement de Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports, en Savoie ce mardi 1er avril, Hervé Gaymard, président du Conseil départemental, lui a adressé un courrier pour faire le point sur les enjeux de mobilité du territoire et les attentes du Département.
Dans cette lettre, Hervé Gaymard remercie le ministre pour l’attention portée à la Savoie, territoire frontalier stratégique, confronté à d’importants défis de mobilité. Il alerte notamment sur la situation critique de la RN90, en particulier au niveau des gorges de Ponserand. Les impacts du changement climatique rendent cette infrastructure de plus en plus vulnérable, et le président du Département plaide pour des solutions durables, comme le projet de tunnel, qui devra selon lui être sérieusement réétudié à moyen terme.
Le courrier souligne également l’importance d’inscrire ces projets dans le cadre du futur Contrat de Plan État-Région (CPER) 2023-2027, afin d’assurer leur financement et leur mise en œuvre rapide.
Concernant le Lyon-Turin, Hervé Gaymard réaffirme son soutien à cette liaison ferroviaire européenne structurante, tout en insistant sur la nécessité de développer les connexions locales, les voies d’accès et les interfaces multimodales, pour que ce projet bénéficie pleinement au territoire.
Lire la suite : https://www.savoie-news.fr/reportages/politique/article/herve-gaymard-expose-les-enjeux-de-mobilite-au-ministre-des-transports
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Faut-il des transports publics gratuits ? : le débat est lancé à Orléans
magcentre.fr - Par Jean-Jacques Talpin.
Publié le 3 avril 2025
À Orléans mais aussi à Tours, la gratuité des transports publics urbains sera au cœur des prochaines campagnes municipales. Cette revendication est portée par la gauche qui vient d’inviter le maire de Montpellier pour expliquer et motiver la démarche qui a déjà été adoptée à Châteauroux, Bourges et en partie par la Région Centre-Val de Loire. Mais comment financer cette gratuité ?
Les prochaines élections municipales de mars 2026 seront animées par plusieurs débats : la défense des services publics, la sécurité, la qualité de vie et l’environnement. Ce sera également le cas avec la revendication de la gratuité des transports publics. À Tours une pétition de plus de 2 000 signatures vient de porter cette demande appuyée dans la capitale régionale par « Maintenant Orléans » regroupant PS, PC et Génération(s) (LFI a fait ses valises…). À travers sa « grande consultation citoyenne » qui a récolté un millier de réponses, la gauche a d’ailleurs constaté que cette revendication venait en tête des attentes des Orléanais. « Maintenant Orléans » (qui espère faire liste commune avec les écologistes d’OSE dès le 1er tour si les négociations en cours aboutissent dans les prochaines semaines) a déjà à plusieurs reprises adressé cette demande à la métropole d’Orléans qui l’a toujours balayée pour des raisons budgétaires.
Y aller par étapes
Lire la suite : https://www.magcentre.fr/333376-faut-il-des-transports-publics-gratuits-le-debat-est-lance-a-orleans/
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Adieu ZFE : les automobilistes applaudissent la fin des restrictions dans les grandes villes
laplasturgie.fr - par la rédaction
Publié le 30 mars 2025
Depuis des mois, un sujet cristallise les débats entre conducteurs, élus et défenseurs de l’environnement : les ZFE. Ces zones, conçues pour réduire la pollution, ont redessiné l’accès aux centres-villes, suscitant autant d’espoirs que de frustrations. Aujourd’hui, une série d’événements politiques ouvre une brèche inattendue dans ce dispositif controversé. Sans révéler tous les détails, disons simplement que les automobilistes perçoivent déjà les premiers signes d’un changement profond. Entre suspensions locales et remise en question nationale, le modèle des restrictions automobiles vit ses heures les plus décisives.
Le vote des députés : un tournant pour les ZFE
71 élus ont récemment marqué l’histoire en votant un amendement visant à stopper net le développement des Zones à Faibles Émissions. Bien que le texte doive encore franchir plusieurs étapes législatives, cette initiative symbolise une remise en question inédite du dispositif. Par ailleurs, des suspensions temporaires de verbalisations, comme à Montpellier, alimentent les spéculations sur un possible assouplissement national.
Montpellier : laboratoire des nouvelles mobilités
La cité héraultaise expérimente depuis quelques semaines une pause dans les sanctions liées aux ZFE. Cette mesure-test révèle plusieurs enseignements :
Lire la suite : https://www.laplasturgie.fr/adieu-zfe-les-automobilistes-applaudissent-la-fin-des-restrictions-dans-les-grandes-villes/
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En 2025, le Tut agglo adopte la carte Modalis
Publié le 3 avril 2025
Les bus de Tut agglo s’équipent de la nouvelle billettique Modalis. Cette carte devient le titre de transport unique de notre réseau, avec son lot de solutions propre à vos besoins.
Simplifier et moderniser le réseau.
Modalis, c’est la nouvelle offre de billettique complète qui s’adapte
aux usagers et à leurs habitudes de mobilité. Tickets rechargeables, cartes d’abonnement, appli, CB… Plusieurs solutions qui vous permettent d’opter pour celle qui vous convient.
Le guichet Mobilités vous accueille pour bénéficier de :
Ces solutions de mobilité sont en vigueur depuis le 31 mars 2025, et remplace vos abonnements précédents.
Lire la suite : https://www.tulleagglo.fr/actualites/en-2025-le-tut-agglo-adopte-la-carte-modalis-2/
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Mobilité : quand les transports collectifs s’associent aux transports à la demande
sophianet.com - par Jean-Pierre Largillet
Publié le 1er avril 2025
Le partenariat stratégique que viennent d’annoncer Matawan, champion français de la mobtech installé à Sophia Antipolis, avec Blaise Transit, chef de file canadien du Transport à la Demande (TAD) permet d’associer des solutions de billettique connectée avec une plateforme de TAD. Objectif : proposer aux usagers des trajets complets et fluides passant sans contrainte du transport à la demande aux transports collectifs.
Repenser la mobilité urbaine et péri-urbaine en Europe et en Amérique du Nord en facilitant les déplacements via une réservation unique et un seul titre de transport, des informations voyageurs en temps réel et des connexions garanties : c’est l’objet du partenariat stratégique que viennent d’annoncer Matawan, champion français de la mobtech installé à Sophia Antipolis, et Blaise Transit, chef de file canadien du transport à la demande (TAD recouvrant les taxis, limousines, véhicules affrétés, bus ou véhicules sous contrat, covoiturage...). L’idée est d'intégrer les solutions de billettique connectée de Matawan dans la plateforme de réservation du transport adapté et à la demande de Blaise. Avec l’intégration des deux systèmes les usagers pourront bénéficier de trajets complets et fluides, passant sans contrainte du transport à la demande aux transports collectifs. Les deux partenaires entendent ainsi encourager le report modal. (Photo © Matawan : un matériel embarqué dans les véhicules pour assurer cette fluidité avec les transports en commun).
Répondre aux besoins des voyageurs où qu'ils se trouvent
Lire la suite : https://www.sophianet.com/article/mobilite-quand-transports-collectifs-associent-transports-demande
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Alstom obtient 2,4 millions d’euros de financement public dans le cadre de l’appel à manifestations d’intérêt « CORIFER 2023 » du plan France 2030, pour accélérer le développement d’une plateforme de sécurité pour les trains intelligents
alstom.com.fr - Communiqué
Publié le 02 avril 2024
• Le dispositif CORIFER 2023, opéré par Bpifrance pour le compte de l’État dans le cadre du plan France 2030, a identifié le projet d’Alstom comme prometteur et susceptible de transformer le paysage ferroviaire.
• L’objectif est de développer, sur le site Alstom d’Aix-en-Provence, une plateforme de sécurité innovante pour les trains intelligents.
• Alstom et ses partenaires, Centrale Méditerranée et Systerel, œuvrent ensemble pour construire un avenir ferroviaire durable et innovant.
2 avril 2025 – Alstom, leader mondial de la mobilité durable et intelligente, a obtenu un financement public pour le développement de la Plateforme d'Automatismes Intelligente et Innovante pour la Sécurité & la Digitalisation par Architecture Intégrée d'eXécution (projet nommé PAIISDAIX) d’un montant de 2,4 millions d’euros. Alstom est le chef de file du consortium, aux côtés de deux partenaires : Centrale Méditerranée (anciennement École Centrale de Marseille) et Systerel.
RGPD
Journée RGPD le jeudi 24 avril 2025 à Caen
cnil.fr - Communiqué
Publié le 31 mars 2025
Après le succès des évènements organisés en région en 2023 et 2024, la CNIL propose une nouvelle Journée RGPD à Caen, en collaboration avec l’université de Caen-Normandie et l’association française des correspondants à la protection des données à caractère personnel (AFCDP).
Une journée d’échange sur les bonnes pratiques et retours d’expériences
En présence d’intervenants de la CNIL, de ses partenaires, et de professionnels locaux, les Journées RGPD se concentrent sur l’actualité, l’application concrète des grands principes de la protection des données et les outils pour parvenir à la conformité.
Ces journées permettent aussi aux professionnels d’échanger avec la CNIL et de partager entre eux leurs bonnes pratiques.
La journée du 24 avril débutera par une session consacrée à l’analyse d’impact relative à la protection des données et à la sous-traitance. Les sessions de l’après-midi porteront sur l’intelligence artificielle et la gestion des risques cyber.
L’évènement aura lieu à l’Université de Caen-Normandie à l’amphithéâtre Pierre Daure.
Cette journée s’adresse à tous les professionnels, universitaires et étudiants de la région Normandie et alentours.
Important :
• L’évènement sera uniquement accessible en présentiel.
• L’inscription est obligatoire.
• Un cocktail déjeunatoire est prévu dans la salle « Aula Magna » à la pause déjeuner.
S'inscrire à l'évènement gratuitement
Lire la suite : https://cnil.fr/fr/journee-rgpd-caen-2025
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Données personnelles : l’Europe va assouplir sa réglementation dans “les semaines à venir”
Publié le 3 avril 2025
Longtemps considéré comme intouchable à Bruxelles, le RGPD est le prochain sur la liste de la croisade de l’UE contre la surréglementation.
BRUXELLES — La législation sur le numérique la plus célèbre d’Europe, le RGPD, est la prochaine sur la liste, alors que l’Union européenne poursuit sa tuerie réglementaire pour tailler dans les lois qui, selon elle, pèsent sur ses entreprises.
La Commission européenne prévoit de présenter une proposition visant à réduire le règlement général sur la protection des données (RGPD) dans les prochaines semaines. Il s’agit d’une des priorités de la présidente de l’exécutif de l’UE, Ursula von der Leyen, qui essaye de rendre les entreprises du Vieux Continent plus compétitives par rapport à leurs concurrentes aux Etats-Unis, en Chine et ailleurs.
La Commission a déjà dévoilé des mesures visant à simplifier les règles relatives au reporting des entreprises en matière environnemetale et à l’accès aux investissements de l’UE. L’objectif est que les firmes perdent moins de temps et d’argent à se conformer aux exigences légales et réglementaires complexes imposées par le droit européen.
Le RGPD est considéré comme l’un des textes les plus complexes d’Europe par le secteur du numérique — et par les sociétés bien au-delà de la tech — pour la façon dont il oblige les entreprises opérant en Europe à gérer leurs données, et à traiter les demandes et les droits des personnes concernées par ces données personnelles. Son introduction en 2018 a suscité un déluge d’e-mails désespérés de la part d’entreprises demandant le consentement des personnes pour utiliser leurs données.
Intelligence artificielle
Les IA passent des tests d'intelligence avec brio
Publié le 30 mars 2025
Des informaticiens ont lancé un nouveau test d'intelligence pour évaluer les capacités des nouveaux modèles d'intelligence artificielle.
Les chercheurs de la fondation ARC Prize ont mis au point un test à base de puzzle pour éprouver les capacités des nouveaux modèles d'IA. Ils ont testé leur capacité à faire des chaînes de raisonnement, à interpréter des symboles, à savoir tenir compte du contexte, leur bon sens et donc, leur intelligence.
Les scientifiques s'échinent à concevoir les questionnaires les plus difficiles possibles pour mesurer les progrès des intelligences artificielles, à l'image d'un examen aux États-Unis réunissant 3 000 questions ou problèmes dans une trentaine de domaines, des mathématiques à la mythologie, en passant par la chimie ou l'anatomie. Les questions sont très précises et font appel à des compétences de niveau doctorat, comme : "Combien de couleurs peut-on observer dans les allotropes purs du phosphore ?"
Cette surenchère de difficultés s'explique par le fait que les IA génératives surpassent les meilleurs experts humains dans la plupart des tests ou concours. Google annonçait en début d'année 2025 que son nouveau modèle venait de battre les scores des médailles d'or récoltées aux Olympiades internationales de géométrie. De plus, le premier test à base de puzzle imaginé par la fondation ARC Prize, qui mettait tous les algorithmes en échec depuis 2020, a été résolu en décembre 2024 par le modèle o3 d'OpenAI. Ils ont, donc, dû inventer une nouvelle épreuve.
L'intelligence sans fin
Lire la suite : https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/le-billet-sciences-week-end/les-ia-passent-des-tests-d-intelligence-avec-brio-7370846
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Comment fonctionne vraiment une IA ? Les chercheurs d'Anthropic ont enfin un début de réponse
lesnumeriques.com - Par Sofian Nouira
Publié le 31 mars 2025
Anthropic vient de publier des études révélant comment son modèle Claude "réfléchit" réellement. Les chercheurs ont découvert que l'IA planifie ses réponses à l'avance, pense dans un langage conceptuel universel et peut même parfois fournir des explications qui ne reflètent pas son véritable processus interne.
À moins d'avoir passé ces dernières années en ermite au fond d'une grotte, vous n'avez pas pu échapper à la vague de l'intelligence artificielle. Les IA sont aujourd'hui à peu près partout et pas une semaine ne passe sans qu'un nouveau modèle ne soit annoncé. Rien que ces derniers jours, nous avons eu le droit à ChatGPT 4.5, Gemini 2.5, Claude 3.7, Alibaba Qwen 2.5, Baidu ERNIE X1 et bien d'autres encore. Pourtant, il existe un paradoxe aussi fascinant qu'effrayant à cette course à l'innovation : les créateurs de ces IA ne savent pas comment elles fonctionnent. Oui, vous avez bien lu.
Une approche différente
En effet, jusqu'à présent, les grands modèles de langage (LLM) fonctionnaient comme des boîtes noires dont les mécanismes internes restaient largement incompris. À tel point que des équipes entières sont dédiés au décryptage de ce fonctionnement chez les grands groupes du secteur. Et se sont les chercheurs d'Anthropic qui sont les premiers à présenter une méthode permettant d'observer directement ce qui se passe à l'intérieur de leur modèle Claude lorsqu'il traite une requête.
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Près d'un emploi sur deux concerné par l'intelligence artificielle, selon l'ONU
brut.media.fr - par AFP
Publié le 04 avril 2025
Près d'un emploi sur deux est concerné par l'essor de l'intelligence artificielle, un marché qui pèsera 4.800 milliards de dollars d'ici un peu moins de dix ans, a indiqué l'ONU jeudi.
L'intelligence artificielle (IA) transforme les économies, créant des opportunités mais présentant également des risques d'inégalités accrues, explique l'ONU Commerce et Développement (Cnuced) dans un nouveau rapport.
Selon ce rapport, l'utilisation de l'IA "pourrait avoir un impact sur 40 % des emplois dans le monde", offrant des gains de productivité mais suscitant également des inquiétudes quant à l'automatisation et aux pertes d'emplois.
La main-d'oeuvre des économies avancées est plus exposée, car une plus grande partie des emplois comporte des tâches cognitives, explique-t-il. Mais ces économies sont en revanche mieux placées que les économies émergentes et à faible revenu pour exploiter les avantages de l'IA.
L'ONU explique que la situation est similaire concernant l'impact de l'IA générative. Toutefois, précise le rapport, l'IA générative "pourrait offrir un plus grand potentiel d'augmentation de la main-d'oeuvre que d'automatisation, en particulier dans les pays à faibles et moyens revenus".
4.800 milliards
Lire la suite : https://www.brut.media/fr/articles/sciences-technologies/ia/pres-dun-emploi-sur-deux-concerne-par-lintelligence-artificielle-selon-lonu-6wv8d
Blockchain
L'environnement blockchain infusé d'IA va « remplacer Bitcoin», déclare le cofondateur
coindesk.com - Par Danny Nelso, Édité par Stephen Alpher
Mis à jour le 31 mars 2025
Ambient a levé 7,2 millions de dollars en financement d'amorçage auprès d'a16z, Delphi Digital et Amber Group.
• Ambient a levé 7,2 millions de dollars en financement d'amorçage auprès du programme d'accélération Crypto d'a16z et de Delphi Digital
• La chaîne vise à fournir une IA super intelligente rapidement, à moindre coût et de manière ouverte.
Une nouvelle blockchain imprégnée d'intelligence artificielle avec le soutien d'Andreseen Horowitz est « finalement conçue comme un remplacement du Bitcoin», selon son cofondateur Travis Good.
Cette affirmation farfelue est ancrée dans ce que Good pronostique comme une réalité brute : les mécanismes de cryptage de Bitcoin « deviennent vraiment obsolètes » et pourraient être « complètement obsolètes d'ici cinq ans », créant un casse-tête commercial pour les mineurs qui se cachent derrière.
« Certains ont investi des milliards de dollars en puissance de hachage pour sécuriser un réseau ASIC », a-t-il déclaré à CoinDesk lors de la conférence ethDenver de cette année. « Et la question est : où vont-ils tous ? »
Lire la suite : https://www.coindesk.com/fr/business/2025/03/31/ai-infused-blockchain-ambient-to-replace-bitcoin-says-co-founder
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Etude | Solana et l'essor des stablecoins : une nouvelle ère pour les paiements numériques ?
L'adoption des stablecoins connaît une croissance exponentielle, redéfinissant le paysage financier mondial. Une étude récente de Superteam Germany met en lumière le rôle clé de la blockchain Solana dans cette transformation, grâce à sa rapidité, ses faibles coûts de transaction et son attractivité pour les entreprises.
Les stablecoins se sont imposés comme un pont essentiel entre la finance traditionnelle et l'écosystème blockchain. Contrairement aux cryptomonnaies volatiles comme le Bitcoin, ces actifs numériques sont adossés à des monnaies fiduciaires telles que le dollar américain, garantissant une stabilité qui facilite leur adoption dans les paiements et les transactions globales.
L'étude publiée par Superteam Germany en mars 2025 révèle une accélération significative de l'utilisation des stablecoins sur la blockchain Solana. Cette dernière se distingue par des coûts de transaction quasi nuls (moins de 0,001 dollar par transaction) et une vitesse inégalée (confirmation en moins d'une seconde). Ces atouts en font une infrastructure idéale pour les paiements instantanés et transfrontaliers.
Une adoption croissante
Selon le rapport, Solana figure désormais parmi les quatre principales blockchains en termes d'émission et de transactions de stablecoins. Le volume mensuel des transferts en stablecoins sur Solana a connu une progression fulgurante, atteignant des dizaines de milliards de dollars.
Lire la suite : https://www.finyear.com/Etude--Solana-et-l-essor-des-stablecoins-une-nouvelle-ere-pour-les-paiements-numeriques_a52295.html
Paiement électronique
Pour le buzz et l’argent du buzz ? À Toulouse, on peut payer son trajet de bus en crypto
clubic.com - Par Stéphane Ficca, spécialiste hardware & gaming.
Publié le 30 mars 2025
Le groupe Tisséo Voyageurs lance une expérimentation pour le moins étonnante, en permettant aux voyageurs de payer… en cryptomonnaie.
Depuis quelques années déjà, dans le domaine des transports en commun, les voyageurs font appel aux joies du « tout dématérialisé » pour valider leurs trajets. Selon Tisséo, le réseau de transports en commun de Toulouse et sa région, ce sont plus de 150 000 validations via ce service qui sont recensées par mois, via les précieux smartphones des usagers.
Les transports toulousains désormais payables…. en cryptomonnaie
Mais depuis le lundi 17 mars, pour obtenir leurs titres dématérialisés via l’application Tisséo, les voyageurs ont le choix entre le paiement par carte bancaire…. ou en cryptomonnaie.
« Après la validation avec la carte bancaire et bientôt le ticket rechargeable, nous expérimentons une nouvelle solution innovante s’adressant aux détenteurs de cryptomonnaies, désireux d’utiliser les dernières technologies sans compromis sur la qualité de service », explique Sacha Briand, membre du Comité syndical de Tisséo Collectivités, également adjoint au Maire de Toulouse.
Une révolution pour certains, un gadget pour d'autres
Sécurité de l’Union Européenne
Terrorisme, crime organisé, cybercriminalité... l'UE dévoile sa stratégie de sécurité intérieure
vie-publique.fr - Par : La Rédaction
Publié le 3 avril 202
L'Union européenne (UE) se dote d'une nouvelle stratégie de sécurité intérieure face à des menaces qui évoluent rapidement. L'UE propose non seulement de meilleurs moyens pour anticiper, prévenir et réagir mais promeut aussi une nouvelle culture de la sécurité qui exige un changement d'état d'esprit des citoyens européens.
La Commission européenne a, le 1er avril 2025, publié une stratégie de sécurité intérieure de l'Union européenne (UE) pour les cinq prochaines années qui est davantage adaptée aux types de danger auxquels les Européens sont désormais confrontés : menaces hybrides contre les infrastructures critiques, grande criminalité organisée, terrorisme ou encore extrémisme violent.
ProtectEU pour mieux faire face aux nouvelles menaces
Après la publication du livre blanc sur la défense européenne et celle de la stratégie de l'UE en matière de préparation aux crises émergentes, la Commission a publié une stratégie pour la sécurité intérieure intitulée ProtectEU. La Commission recommande de :
• donner un nouveau mandat à Europol, l'agence européenne spécialisée, entre autres, dans la répression de la grande criminalité, du terrorisme, de la pédophilie, du trafic international de stupéfiants, du blanchiment d’argent, de la cybercriminalité, de la traite des êtres humains... ;
• renforcer Frontex, l’agence de garde-côtes et de garde-frontières. Ses missions sont de renforcer la sécurité des frontières extérieures de l'UE, de faciliter la coopération entre les États membres et de garantir une gestion efficace des frontières extérieures de l’espace Schengen ;
• réformer l’Eurojuste, l’organisme de coopération judiciaire consacré à la coordination des enquêtes et des poursuites engagées sur le territoire de plusieurs États membres.
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/298005-securite-interieure-quelle-strategie-pour-lue
Cybersécurité
Cybersécurité, le double visage de l'IA
lemondeinvormatique.fr - Par la rédaction de LMI
Dossier publié le 31 Mars 2025
En cybersécurité, l'IA joue un double rôle : le gentil en aidant à détecter et à prévenir les menaces, à automatiser les processus de sécurité, à simuler et anticiper les cyberattaques puis à gagner du temps, et le méchant en aidant les cybercriminels à développer des malwares plus sophistiqués, à identifier plus rapidement les cibles ou encore à mener des attaques à grande échelle et en continu. C'est donc ce double visage de l'IA que nous allons détailler dans ce dossier. En soi, l'IA ou plutôt le machine learning est exploité depuis des années dans les solutions de sécurité et les SOC, mais l'arrivée de l'IA générative et les dernières avancées technologiques de l'IA permettent de franchir un pas supplémentaire dans la détection et la prédiction. Bien sûr, l'IA Gen pose aussi des problèmes éthiques et de conformité vis-à-vis des règlements existants, les DPO devront aussi s'y pencher. Enfin, la souveraineté ou du moins une IA de confiance sera-t-elle la solution pour disposer d'une IA plus sûre. (Crédit Freepik)
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L’IA est devenue une arme de cybercriminalité accessible à tous
itsocial.fr - Par Philippe Richard -
Publié le 02 avril 2025
2025 pourrait bien être l’année où la cybercriminalité bascule définitivement dans une nouvelle ère — celle du crime automatisé, scalable et indétectable, notamment grâce à la prolifération des plateformes Deepfake-as-a-Service. L’accessibilité croissante de ces technologies rend impératif pour les organisations d’adopter une posture de sécurité proactive et de renforcer leurs défenses contre ces menaces émergentes.
Le dernier rapport de TEHTRIS révèle en effet l’industrialisation des deepfakes et de l’IA au service de la cybercriminalité, avec l’émergence de plateformes comme Haotian AI. Les entreprises et les gouvernements doivent se préparer à une nouvelle vague de menaces automatisées et sophistiquées. L’accès à des plateformes DfaaS, offrant des services tels que l’échange de visages par IA, le clonage de voix, la synthèse vocale et l’animation par IA, facilite la création de contenus deepfake réalistes, ouvrant la voie à des abus potentiels.
Quelles sont les principales conclusions de ce rapport ? On apprend en particulier que l’accès simplifié aux outils d’IA, combiné à la disponibilité de modèles pré-entraînés et d’API, et l’émergence de plateformes DfaaS permet même aux acteurs peu qualifiés de lancer des cyberattaques sophistiquées.
Lire la suite : https://itsocial.fr/intelligence-artificielle/intelligence-artificielle-articles/lia-est-devenue-une-arme-de-cybercriminalite-accessible-a-tous/
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Cybersécurité : quelle est cette nouvelle « arme » redoutable utilisée par les hackers pour voler vos données ?
cnews.fr - par CNEWS
Publié le 31 mars 2025
Les cybercriminels ont mis la main sur un nouvel outil, permettant le vol de données de manière beaucoup plus rapide et efficace. Intitulé Atlantis AIO, ce dernier est capable de tester des millions d’identifiants en un minimum de temps.
C'est la nouvelle arme dangereuse des cybercriminels. Un outil baptisé Atlantis AIO, est désormais utilisé par les hackers, afin de lancer des attaques de vols de données à grande échelle. Pour ce faire, il utilise la méthode du «credential stuffing», comprendre : «bourrage d’identifiants» en français.
Cette technique est très répandue dans le milieu de la cybercriminalité, et fonctionne plutôt bien puisqu’elle repose sur l’habitude des internautes à utiliser les mêmes identifiants et mots de passe sur différents sites.
Selon le média 01net, ce sont des chercheurs de la société de sécurité Abnormal Security, qui ont découvert ce logiciel. La spécificité de l’outil Atlantis AIO est qu’il est capable de tester des millions d’identifiants en un minimum de temps, et cela, sur plus de 140 plate-formes, notamment les fournisseurs de messagerie, comme Hotmail, Yahoo, AOL, GMX ou encore Laposte. Mais aussi, des sites de commerce, services de streaming, VPN, institutions financières et même les services de livraison de nourriture.
« L’une des cyberattaques les plus efficaces »
Lire la suite : https://www.cnews.fr/vie-numerique/2025-03-31/cybersecurite-quelle-est-cette-nouvelle-arme-redoutable-utilisee-par-les
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Cybercriminalité : «Il existe un crime organisé du numérique», alerte Guillaume Tissier
lejdd.fr - Propos recueillis par Geoffroy Antoine
Publié le 31 mars2025
ENTRETIEN. À la veille de l’ouverture du Forum international de la cybersécurité, son directeur général, Guillaume Tissier, dresse l’étendue de cette menace en France.
C’est le grand rendez-vous, en Europe, des professionnels de la sécurité informatique. Le Forum international de la cybersécurité se tiendra à Lille du 1er au 4 avril et rassemblera des acteurs de la défense et du monde civil. Plusieurs ministres européens, dont Bruno Retailleau, feront le déplacement. Le directeur du salon, Guillaume Tissier, expert en cybersécurité et en intelligence économique, répond au JDD.
Le JDD. L’étendue de la « menace cyber » semble abstraite pour beaucoup de Français. De quoi s’agit-il concrètement ?
Guillaume Tissier. Vulgairement, la menace cyber se scinde en trois catégories majeures : la cyber-malveillance, qui poursuit la plupart du temps un but lucratif. Le cyber-espionnage, qui concerne les états, et la déstabilisation, qui peut aussi bien toucher les administrations d’un pays que certaines grandes entreprises, souvent à caractère stratégique.
Lire la suite : https://www.lejdd.fr/Societe/cybercriminalite-il-existe-un-crime-organise-du-numerique-alerte-guillaume-tissier-156503
Atos
Atos annonce la nomination de Pierre-Yves Jolivet au poste de Directeur Général d’Eviden et Cyber Business
globenewswhire.com Source: Atos International - Communiqué de presse
Publié le 1er avril 2025
Paris, France – 1er avril 2025 – Le groupe Atos annonce aujourd'hui la nomination de Pierre-Yves Jolivet au poste de Vice-Président Exécutif et Directeur Général d’Eviden. Pierre-Yves sera également en charge de la ligne d’activité Cybersécurité, supervisant à la fois les services et les produits de cybersécurité, la stratégie et le portefeuille d’offres.
Pierre-Yves est un dirigeant reconnu qui apporte une connaissance approfondie des secteurs cyber, de la défense et du service public. Récemment chez Thales, où il a occupé avec succès des postes à responsabilité croissante dans les domaines Cyber et de la Défense, il était dernièrement Vice-Président et Directeur de la ligne d'activité Cyber Digital Solutions de Thales.
Avant de rejoindre Thales en 2017, il a passé 13 ans au Boston Consulting Group, où il a été Associé et Directeur en charge de la pratique Tech et Télécom en France, et a mené des missions de conseil pour des entreprises internationales en France, dans la région EMEA et aux États-Unis.
Diplômé de l'École polytechnique en 1996, il s'est spécialisé dans les télécoms (Télécom Paris) et l'économie (Université Paris Dauphine). Il a débuté sa carrière chez Alcatel-Telspace, avant de passer 5 ans dans l’administration, au Ministère des Finances en tant que chef de bureau à la Direction Générale des Entreprises puis à la Direction Générale du Trésor, où il a piloté le soutien public à l'innovation.
Thales
ABSOLU : Thales restructure le soutien logistique des armées françaises pour 10 ans
aerocontact.com - Par Sabine Ortega
Publié le 31 Mars 2025
Dans un contexte géopolitique tendu, Thales, le géant français de l'électronique de défense, accélère son partenariat avec les forces armées françaises. Le 26 mars dernier, l'entreprise s'est vu notifier par la Structure Intégrée du Maintien en Condition Opérationnelle des Matériels Terrestres (SIMMT) le contrat ABSOLU, acronyme d'Adaptation de Bout en bout du Soutien Opérationnel et de la Logistique Uniformisée des systèmes terrestres Thales.
Ce contrat, d'une durée de dix ans, vise à simplifier la gestion du maintien en condition opérationnelle des équipements militaires. Il regroupera ainsi près d'une trentaine de contrats de soutien des matériels terrestres et moyens de simulation au profit de l'Armée de Terre, de l'Armée de l'Air et de l'Espace, ainsi que de la Marine nationale.
L'objectif principal d'ABSOLU est de préparer les forces armées françaises à d'éventuels conflits de haute intensité, tout en optimisant la gestion des ressources.
Une révolution dans la gestion du soutien opérationnel
Le contrat ABSOLU permettra de mutualiser le pilotage des projets de soutien, de réduire les délais de réparation et d'accélérer la disponibilité des matériels. Un aspect novateur de ce contrat est l'accent mis sur l'économie circulaire, avec le réemploi de composants - cartes, matériel électronique- et de matières premières critiques, atténuant ainsi les tensions sur les chaînes d'approvisionnement.
L’entreprise s'est d’ailleurs engagée à doubler sa capacité de gestion des flux de matériels en cas de conflit de haute intensité. Pour atteindre cet objectif, le géant français a mis en place plusieurs initiatives telles un plateau commun pour accélérer les cycles de décision et de réparation ; la consolidation et la sécurisation des stocks sur deux sites distants et enfin l'utilisation de la data science pour optimiser la performance du soutien et anticiper les besoins.
Mobilité
Printemps de la transition écologique : L’Université de Strasbourg lance une grande enquête sur la mobilité
unistra.fr - (presse) Vie de l'université
Publié le 26 mars 2025
Dans le cadre du Printemps de la transition écologique qui se déroule sur le campus de l’Esplanade du 20 au 28 mars, l’Université de Strasbourg lance, du 25 mars au 30 avril, une grande enquête sur la mobilité auprès des personnels, des étudiantes et des étudiants. Les résultats de cette enquête contribueront directement à plusieurs actions stratégiques de l’université, notamment l’élaboration du Plan de mobilité durable et le renouvellement du bilan carbone de l’établissement.
L’enquête Mobilité lancée par l’Université de Strasbourg du 25 mars au 30 avril a pour objectif de mieux comprendre les pratiques de déplacement de l’ensemble de la communauté universitaire (étudiants et personnels) sur l’année universitaire 2024-2025. Menée par la mission Développement durable et responsabilité sociétale (DDRS), dans le cadre du Printemps de la transition écologique, cette démarche est la première étape de diagnostic du futur plan de mobilité durable de l’université.
Un plan de mobilité durable co-construit
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Versement mobilité : la Région confirme "un choix courageux contre l'enfer fiscal"
lyoncapitale.fr - par Vincent Guiraud
Publié le 27 mars 2025
Fabrice Pannekoucke a confirmé que la Région Auvergne-Rhône-Alpes n'appliquera pas le versement mobilité aux entreprises de son territoire. "Un choix courageux" selon le président de Région qui n'a pas manqué de glisser un tacle aux élus écologistes de la Métropole de Lyon.
C'est une décision qui avait été rendue publique il y a quelques semaines déjà. Prévu dans le budget de l'Etat 2025, le versement mobilité régional permet désormais à toutes les régions françaises qui le souhaitent de taxer les entreprises de 11 salariés et plus à hauteur de 0,15% de leur masse salariale pour financer une partie de la politique menée en faveur des mobilités. La Région Auvergne-Rhône-Alpes, comme toutes les régions dirigées par un président LR, avait aussitôt annoncé qu'elle n'appliquerait pas ce
"On ne peut pas faire peser plus encore sur les entreprises" a confirmé ce jeudi 27 mars, en préambule de l'assemblée plénière de la Région, Fabrice Pannekoucke, son président. "C'est un choix courageux qui permet de tenir notre engagement depuis le début, celui de ne pas augmenter les charges et les impôts dans notre Région", a poursuivi le successeur de Laurent Wauquiez, au cours du laïus habituel sur la bonne gestion financière de la collectivité au plus de 4 milliards d'euros.
Lire la suite : https://www.lyoncapitale.fr/actualite/versement-mobilite-la-region-confirme-un-choix-courageux-contre-l-enfer-fiscal
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Réseau TAO : tout comprendre à la fin du ticket papier jetable dans les trams et bus d'Orléans métropole
francebleu.fr - par Cécile Da Costa
Publié le 23 mars 2025
Ce lundi, c'est officiellement la fin des tickets papiers à usage unique sur le réseau TAO à Orléans. Ils sont remplacés par un ticket en carton, rechargeable, déjà mis en vente progressivement depuis le mois de juillet sur tout le réseau.
Une petite révolution est en marche dans les transports en commun orléanais. À partir de ce lundi matin, les titres de transport en papier jetable ne sont plus utilisables sur le réseau TAO. Impossible de les valider en montant à bord d'un tramway ou d'un bus orléanais. Depuis le mois de juillet, déjà, ces tickets n'étaient plus en vente. "L'idée n'est pas de bannir ce ticket papier, puisqu'il est encore utilisé par les usagers ponctuels ou les gens plus éloignés des systèmes numériques et connectés, détaille Romain Roy, vice-président d’Orléans Métropole en charge des transports et des déplacements. Mais maintenant, ce ticket devient rechargeable."
Ces nouveaux titres de transport, plus épais et en carton plastifié, sont déjà mis en vente sur tout le réseau depuis cet été, à la place des tickets jetables. Ils sont rechargeables jusqu'à mille fois et coûtent 20 centimes d'euros lors du premier achat. Une somme symbolique qui devrait permettre d'éviter que ces tickets ne soient jetés sur la voie publique.
Fini le gaspillage de tickets jetables
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Ouverture à la concurrence des bus à Paris et sa région : Transdev et les Italiens d’ATM récupèrent des lignes
leparisien.fr - Par Sébastian Compagnon
Publié le 25 mars 2025
Île-de-France Mobilités vient de donner les noms des opérateurs « pressentis » pour trois nouveaux lots de lignes jusqu’ici exploitées par la RATP. Deux nouveaux exploitants font leur apparition, tandis que RATP Cap Ile-de-France remporte le lot « Massy-Juvisy ».
Le processus se poursuit. Ce mardi, Île-de-France Mobilités, l’autorité organisatrice des transports, a rendu public mardi les noms des trois opérateurs « pressentis » pour exploiter trois lots de lignes de bus du Grand Paris ouverts à la concurrence. Cette deuxième vague de lots sera attribuée lors d’un vote du conseil d’administration d’IDFM, le 10 avril.
Île-de-France Mobilités a subdivisé les quelque 330 lignes RATP en 13 lots, dont les futurs exploitants sont être désignés jusqu’à fin 2025. Environ 15 000 machinistes receveurs de la RATP sont concernés par un transfert chez un nouvel opérateur, ou vers la filiale RATP Cap Île-de-France.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/ouverture-a-la-concurrence-des-bus-a-paris-et-sa-region-transdev-et-les-italiens-datm-recuperent-des-lignes-25-03-2025-4POXLEGKGBDXVFBAJVBTRVBFBE.php
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La mobilité hydrogène prend de la vitesse en Auvergne-Rhône-Alpes
environnement-magazine.fr - Par Abdessamad Attigui
Publié le 28 mars 2025
Auvergne-Rhône-Alpes accélère sa transition énergétique en déployant les premiers bus et cars à hydrogène sur son territoire. Porté par HYmpulsion, ce mouvement s’étend de Clermont-Ferrand à Aubenas, en passant par les montagnes de Courchevel. Un maillage ambitieux qui fait de la région un laboratoire grandeur nature de la mobilité hydrogène.
La mobilité hydrogène n’est plus une promesse d’avenir : en Auvergne-Rhône-Alpes, elle devient une réalité. À l’initiative d’HYmpulsion, la dynamique régionale s’accélère, portée par la mise en circulation des premiers cars et bus à hydrogène sur plusieurs territoires pilotes. Une étape majeure dans l’ambitieux projet Zero Emission Valley (ZEV), qui positionne la Région comme chef de file européen de la mobilité zéro émission.
Depuis septembre dernier, 14 bus à hydrogène circulent déjà dans l’agglomération clermontoise, opérés par Keolis dans le cadre d’un contrat de performance de 10 ans signé avec le Syndicat Mixte des Transports en Commun (SMTC-AC). Ces véhicules, Solaris Urbino H2 neufs et autocars Iveco rétrofités par l’entreprise auvergnate GCK, assurent quotidiennement la liaison entre Clermont-Ferrand, Lempdes et Pont-du-Château. Avec 450 000 km parcourus annuellement, le dispositif permet d’éviter près de 600 tonnes de CO₂ chaque année.
16 cars scolaires interurbains basculent à l’hydrogène
Lire la suite : https://www.environnement-magazine.fr/mobilite/article/2025/03/28/152192/mobilite-hydrogene-prend-vitesse-auvergnerhonealpes
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Metz. La navette fluviale Metz’O fait son retour
La navette fluviale Metz’O sera de nouveau en fonction à partir du samedi 5 avril 2025.
lasemaine.fr - par David Leduc
Publié le 28 mars 2025
Du samedi 5 avril au samedi 4 octobre 2025, « deux navettes fluviales 100 % électriques navigueront sur la Moselle et relieront le centre-ville de Metz et l’île du Saulcy à Longeville-Lès-Metz, Scy-Chazelles et Moulins-lès-Metz », annonce l’Eurométropole de Metz dans un communiqué. C’est la quatrième année consécutive que ce service est proposé aux habitants de la métropole de Metz. Un service de transport fluvial qui a depuis son lancement trouvé son public, selon la collectivité, qui recense « près de 30 000 passagers en 2024 ».
Six stations desservies
Concrètement, cette année, ces deux lignes Metz’O circuleront du lundi au samedi, du centre-ville de Metz à Longeville-lès-Metz pour le Metz’O 1.
« Six stations seront desservies : Metz Moyen-Pont/Saulcy/Longeville Saint Symphorien/Longeville-Centre/Scy-Chazelles/Moulins-Lès-Metz. Des places de stationnement gratuites situées à proximité des arrêts Longeville Saint-Symphorien, Longeville-Centre, Scy-Chazelles et Moulins-lès-Metz, faciliteront l’accès des passagers au centre-ville et à l’île du Saulcy. Les vélos et trottinettes seront acceptés à bord », conclut l’Eurométropole de Metz.
Lire la suite : https://www.lasemaine.fr/politique/mobilite/metz-la-navette-fluviale-metzo-fait-son-retour/
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Chèque énergie : l’aide sera finalement versée à partir de novembre au lieu d’avril 2025
actu.orange.fr - par BFMTV
Publié le 29 mars 2025
L’adoption tardive de la loi de finances expliquerait le décalage de l’envoi du chèque énergie destiné aux foyers les plus précaires, selon le ministère de l’Industrie et de l’Énergie.
Il faudra encore attendre un peu pour recevoir le chèque énergie. Le dispositif visant à aider les foyers les plus précaires à payer leur facture d’énergie, et dont le versement était initialement prévu en avril prochain, a été retardé de quelques mois. Les chèques énergie devraient être versés à partir du mois de novembre 2025. Un délai qui s'expliquerait par le retard de la loi de finances, souligne le ministère de l’Économie dans un communiqué. “Les fournisseurs d’énergie sont invités à faire preuve de souplesse et de bienveillance à l’égard des clients potentiellement éligibles, en particulier ceux précédemment bénéficiaires” du dispositif, est-il ajouté. En raison du retard, les chèques énergie pourront être utilisés jusqu’au 31 mars 2027.
Par rapport à l’année 2024, les critères d'attribution du chèque énergie n’ont pas été modifiés. La nouveauté réside dans une nouvelle “option de dématérialisation” ajoutée au dispositif à l’été, sous forme de chèque électronique accessible depuis Internet.
Une simplification des démarches
Lire la suite : https://actu.orange.fr/france/cheque-energie-l-aide-sera-finalement-versee-a-partir-de-novembre-au-lieu-d-avril-2025-magic-CNT000002i6D2W.html
Services Publics
Services publics piratés, données pillées : la face cachée du tout-numérique
lejdd.fr - par Romain Vintillas
Publié le 29 mars 2025
ANALYSE. Alors que les cyberattaques ont augmenté de 15 % en 2024 selon un récent rapport de l’Anssi, la dématérialisation totale des services publics, lancée par Emmanuel Macron en 2017, n’est pas sans danger pour la sécurité des données des Français.
En février, les données personnelles d’environ 70 000 personnes, dont un millier d’élus, ont été dérobées à la Caisse des dépôts.
Ameli.fr, France Travail, Réseau interministériel de l’État (RIE)… Pas une semaine ne se passe sans qu’une administration soit victime d’un piratage via sa plateforme numérique. En février, les données personnelles d’environ 70 000 personnes, dont un millier d’élus, ont été dérobées à la Caisse des dépôts. En novembre, cinq établissements du groupe Aléo Santé ont connu une attaque sans précédent. Noms, prénoms, détails des ordonnances : les informations médicales de plus de 750 000 Français ont été mises en vente sur un forum.
Le 11 mars 2024, ce sont les 800 sites administratifs du RIE qui ont été la cible d’un hacker – dont l’intensité de l’attaque a été qualifiée d'« inédite » par Matignon. Quelques semaines plus tôt, le piratage de deux spécialistes du tiers payant, Viamedis et Almerys, a également conduit à la diffusion des numéros de Sécurité sociale de quelque 33 millions de Français.
Selon le dernier rapport annuel de l’Agence française de sécurité informatique (Anssi), publié le 11 mars, les cyberattaques ont augmenté de 15 % en 2024. « Cette volonté d’Emmanuel Macron d’un État plateforme 100 % numérique est à n’en pas douter positive. Mais il ne faut pas se voiler la face : derrière, ça engrange des milliards, si ce n’est des trilliards de données qu’on fournit naturellement ou inconsciemment », souligne auprès du JDD Damien Bancal, expert en cybersécurité.
Des données sensibles hébergées par les Gafam
Lire la suite : https://www.lejdd.fr/Societe/services-publics-pirates-donnees-pillees-la-face-cachee-du-tout-numerique-156477
Identité électronique
Projet de lignes directrices du CEPD sur la pseudonymisation : contribution conjointe de 8 associations professionnelles européennes
alliancedigitale.org - Actualités Alliance Digitale
Publié le 25 mars 2025
L’Alliance Digitale, en collaboration avec IAB Europe, IAB Italy, IAB Poland, IAB Spain, VIA Netherlands, Association for Internet Progress et IAB Suède, a contribué à la consultation publique du Comité Européen de la Protection des Données (CEPD) sur les Lignes Directrices 1/2025 sur la pseudonymisation.
La pseudonymisation est une technique largement utilisée par les acteurs du marketing digital pour concilier performance et protection des données. Toutefois, le projet de lignes directrices soulève plusieurs préoccupations qui pourraient freiner son adoption et complexifier sa mise en œuvre.
Trois principales alertes :
Trois recommandations clés :
Souveraineté numérique
La France mise sur les centres de données pour assurer sa souveraineté numérique
ruedebaguette.com - Par La rédaction
Publié le 24 mars 2025
Lors du sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, la France a affirmé sa volonté de renforcer sa souveraineté numérique. Face à la domination des géants technologiques étrangers, l’Hexagone multiplie les initiatives pour implanter des centres de données sur son territoire, garants d’un meilleur respect du RGPD et de la protection des données des citoyens.
Un contexte international sous tension
Le 11 février, le Safer Internet Day célébrait sa 22e édition avec un thème qui résonne plus que jamais : « L’IA et nous, quel futur ensemble ? ». Ce rendez-vous dédié à la sensibilisation aux bons usages du numérique coïncidait cette année avec un événement de tout autre envergure : le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, organisé à Paris. L’occasion pour la France de réaffirmer sa position face aux défis technologiques, réglementaires et géopolitiques posés par l’essor de l’intelligence artificielle, notamment étrangère.
Car derrière l’enthousiasme pour les avancées spectaculaires de l’IA se cache une inquiétude croissante : celle du traitement et du transfert des données personnelles des citoyens européens hors de l’Union européenne. Si le Règlement général sur la protection des données (RGPD) encadre ces pratiques, les garanties restent parfois insuffisantes face aux pratiques de certaines entreprises, en particulier américaines et chinoises.
L’inquiétude face aux IA étrangères
Lire la suite : https://www.rudebaguette.com/2025/03/la-france-mise-sur-les-centres-de-donnees-pour-assurer-sa-souverainete-numerique/
CNIL
Sensibilisation des jeunes à la cybersécurité : la CNIL engagée dans l'Opération CACTUS
cnil.fr - Communiqué
Publié le 25 mars 2025
Les attaques visant les espaces numériques de travail (ENT) se multiplient. En réponse, les autorités compétentes en matière de cybersécurité et les ministères de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la recherche, ont lancé une campagne de sensibilisation à l’hameçonnage destinée aux collégiens et lycéens.
Une opération de sensibilisation en direction d’une cible particulièrement exposée
Les établissements scolaires sont régulièrement ciblés par des attaques malveillantes via les espaces numériques de travail (ENT) des élèves. Ces actions cybercriminelles génèrent une forte pression sur les élèves, ce qui avait notamment conduit à la fermeture des ENT courant 2024.
Les jeunes (11-18 ans) sont particulièrement exposés aux risques cyber. Multi-équipés, ils sont également ultra connectés, et font souvent preuve d’un excès de confiance dans leurs usages numériques et les pratiques cyber associées. Par ailleurs, leur entourage familial n’est pas toujours mieux informé et ne connaît pas nécessairement les réflexes à adopter.
La participation de la CNIL à l’opération CACTUS s’inscrit dans son plan stratégique, notamment sur deux de ses axes prioritaires : la protection des mineurs et la cybersécurité.
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/sensibilisation-des-jeunes-la-cybersecurite-la-cnil-engagee-dans-loperation-cactus
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Accompagnement des professionnels : le programme de travail de la CNIL pour 2025
cnil.fr - Communiqué
Publié le 27 mars 2025
La CNIL promeut un juste équilibre entre la voie répressive et l’accompagnement. Pour faciliter le travail des professionnels dans leur mise en conformité au RGPD, la CNIL publie régulièrement des documents destinés à les aider. Voici les principaux projets pour 2025.
L’accompagnement de la CNIL : de nouveaux outils pour de nombreux secteurs d’activité
La CNIL dialogue depuis de nombreuses années avec les professionnels ou leurs représentants. Elle répond à des demandes de conseil, développe des outils d’accompagnement innovant, et organise des moments d’échanges libres avec certains secteurs sur certaines problématiques spécifiques (« club conformité »).
Le principal outil d'accompagnement des professionnels prend la forme de documents dits « de droit souple » (référentiels, recommandations, lignes directrices, guides pratiques, etc.) qui ont pour objectifs d’expliciter le droit applicable et de proposer des bonnes pratiques. Pour les produire, la CNIL s’appuie notamment sur des « têtes de réseau », comme les fédérations professionnelles ou les groupes d’intérêt qui constituent des partenaires privilégiés avec lesquels elle échange régulièrement. Ces documents de « droit souple » ne sont pas prescriptifs.
Cette année, dans une démarche de transparence et pour que les professionnels concernés puissent se préparer aux concertations ou aux consultations à venir, la CNIL présente les principaux projets de « droit souple » qu’elle souhaite adopter en 2025.
De nouvelles fiches pratiques relatives à l’intelligence artificielle
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/accompagnement-des-professionnels-le-programme-de-travail-de-la-cnil-pour-2025
Blockchain
D-Wave teste une blockchain quantique avec quatre ordinateurs quantiques
itdaily.fr - par Michaël Aussems
Publié le 24 mars 2025
D-Wave démontre que les ordinateurs quantiques peuvent supporter une blockchain de manière plus efficiente. Techniquement, la recherche est intéressante, mais en pratique, la valeur ajoutée semble limitée pour le moment.
D-Wave a proposé une nouvelle architecture de blockchain utilisant des ordinateurs quantiques. L’entreprise a testé la technologie sur un réseau de quatre ordinateurs quantiques répartis en Amérique du Nord.
Calcul plus efficient
Dans un nouveau rapport de recherche, D-Wave propose une solution de blockchain reposant sur un algorithme de preuve de travail quantique. Cet algorithme utilise des ordinateurs quantiques pour générer et valider les hachages de blockchain.
Le système classique de preuve de travail actuellement courant dans Bitcoin, entre autres, nécessite de grandes quantités d’énergie. Les ordinateurs classiques doivent déchiffrer un puzzle cryptographique complexe et imprévisible dans un processus appelé minage. L’ordinateur qui déchiffre le puzzle en premier est autorisé à ajouter un nouveau bloc à la blockchain. Le gagnant de la compétition cryptographique est mathématiquement imprévisible, et cette aléatoire aide à rendre la fraude impossible.
Lire la suite : https://itdaily.fr/nouvelles/innovation/d-wave-blockchain/
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L'Europe de l'Ouest se tourne vers la crypto pour la confidentialité, mais la faible adoption par les commerçants freine les progrès en Allemagne et en France
Bitget Wallet, un portefeuille Web3 non custodial, a publié son dernier rapport Onchain basé sur une enquête menée auprès de 4 599 membres de sa communauté mondiale. Le rapport révèle que les préoccupations liées à la confidentialité favorisent l'adoption des cryptomonnaies en Europe de l'Ouest. En effet, 35 % des utilisateurs interrogés en Allemagne et en France apprécient la confidentialité et l'anonymat offerts par les actifs numériques.
Cependant, l'enquête souligne que la région peine encore avec une adoption limitée par les commerçants : seuls 2,3 % des commerçants en Allemagne et 2,1 % en France acceptent les paiements en crypto. De plus, 26 % des répondants se disent préoccupés par cette faible acceptation des cryptomonnaies par les commerçants. La réglementation européenne MiCA (Markets in Crypto-Assets) pourrait compliquer davantage cette adoption en raison de ses exigences de conformité plus strictes, ce qui pourrait freiner la transition des cryptos d'un actif spéculatif vers un moyen de paiement grand public.
Les différences générationnelles sont également notables : la Génération X (49 %) privilégie la rapidité, tandis que les Millennials (42 %) et la Génération Z (39 %) apprécient davantage les transactions sans frontières. Les préoccupations en matière de sécurité sont les plus élevées chez la Génération X (42 %), tandis que la Génération Z (36 %) est plus sensible aux frais de transaction. Bien que les jeunes générations soient plus enclines à intégrer la crypto dans leur vie financière quotidienne, les défis liés à l’utilisabilité et au manque d'infrastructures financières restent des obstacles majeurs à une adoption plus large.
Intelligence artificielle
L'intelligence artificielle va-t-elle révolutionner l'univers des collectivités territoriales ?
Rapport d'information n° 447 (2024-2025), déposé le 13 mars 2025
Les informations clés
Le résumé
Dans le contexte d'accélération de la diffusion de l'intelligence artificielle (IA), le rapport d'information de Pascale Gruny (Aisne, Les Républicains) et Ghislaine Senée (Yvelines, Écologiste - Solidarité et Territoires) éclaire les enjeux de l'émergence de cette technologie dans l'univers des collectivités territoriales. Ce premier rapport parlementaire relatif à l'IA et exclusivement centré sur le secteur des collectivités locales a vocation à orienter les décideurs locaux (élus locaux, fonctionnaires territoriaux) dans leurs projets à venir.
De la commune de Saint-Savin (Isère) à la commune de Plaisir (Yvelines), en passant par la communauté d'agglomération du Sicoval (Haute-Garonne), les collectivités territoriales sont déjà nombreuses à avoir pris le train de l'IA. Information des usagers par des robots conversationnels, sécurisation des grands événements sportifs, réduction des déchets, préservation des ressources rares, prévention des risques naturels... les applications de l'IA irriguent des champs très variés des politiques publiques locales et des services publics locaux.
Conçu comme un « guide de survie » à l'attention des décideurs locaux, ce rapport d'information formule onze recommandations opérationnelles visant à permettre aux collectivités de se doter d'une IA durable et éthique.
Documents liés :
Lire la suite : https://www.senat.fr/notice-rapport/2024/r24-447-notice.html
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La Commission investira 1,3 milliard d’euros dans l’intelligence artificielle, la cybersécurité et les compétences numériques
fonds-publics.fr - Communiqué
Publié le 28 mars 2025
La Commission allouera 1,3 milliard d’euros au déploiement de technologies critiques qui revêtent une importance stratégique pour l’avenir de l’Europe et la souveraineté technologique du continent dans le cadre du programme pour une Europe numérique (DIGITAL) pour la période 2025-2027 adopté aujourd’hui.
Le programme de travail est axé sur le déploiement de l’intelligence artificielle (IA) et son adoption par les entreprises et l’administration publique, l’informatique en nuage et les données, la cyberrésilience et les compétences numériques.
Les prochains appels NUMÉRIQUES devraient être publiés en avril 2025, et d’autres appels devraient être publiés d’ici le reste de l’année. Le portail des appels d’offres de l’UE Funding & peut être consulté pour obtenir des informations sur les appels ouverts.
Les appels sont ouverts aux entreprises, aux administrations publiques et à d’autres entités des États membres de l’UE, des pays de l’AELE/EEE et des pays associés à DIGITAL.
Lire le communiqué de presse complet.
Lire la suite : https://digital-strategy.ec.europa.eu/fr/news/commission-invest-eu13-billion-artificial-intelligence-cybersecurity-and-digital-skills
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GenAI : selon Qlik, combler l’écart entre ambition et réalité organisationnelle devient urgent pour les entreprises
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 25 mars 2025
Malgré un engouement mondial pour la GenAI, une étude récente d’IDC, sponsorisée par Qlik, un leader des solutions d'intégration de données, d'analytique et d'IA/ML, met en lumière un écart significatif entre l’ambition des entreprises et leur préparation effective à ces technologies. Alors que 89 % des organisations ont révisé leur stratégie de gestion des données en réponse à l'émergence de l'IA générative, elles ne sont que 26 % à avoir déployé des solutions GenAI à grande échelle, et seulement 12 % à estimer disposer d’une infrastructure adaptée aux workflows d’IA agentique.
Selon le rapport "The Global Impact of Artificial Intelligence on the Economy and Jobs : AI will Steer 3.5% of GDP in 2030" publié par Qlik en août 2024, l'IA devrait contribuer à hauteur de 19 900 milliards de dollars à l'économie mondiale d'ici 2030, représentant 3,5 % du PIB mondial.
Face à cette opportunité sans précédent, les entreprises accélèrent leurs investissements pour intégrer l’IA dans leurs opérations : 41 % d'entre eux sont dédiés à la Gen AI, 16 % à l'IA agentique. Cependant, malgré ces efforts, les résultats de l'enquête d'IDC mettent en lumière leurs lacunes, soulignant leur manque de préparation.
Une adoption ralentie par des défis structurels
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« Les fondements de l’intelligence artificielle doivent être enseignés aux étudiants de toutes les filières, dès la première année »
lemonde.fr - Jean-Claude Planque - Maître de conférences à l’université de Lille
Publié le 24 mars 2025
La question du bien-fondé de l’usage de l’IA est dépassée, explique le chercheur Jean-Claude Planque, qui plaide, dans une tribune au « Monde », pour que chaque étudiant soit formé de manière à utiliser ces outils de façon optimale, avec un regard suffisamment critique.
Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci.
La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite.
L’intelligence artificielle (IA) est omniprésente tant dans la vie professionnelle que dans nos activités privées. Il est donc paradoxal de constater que l’enseignement supérieur français ne se soit pas encore lancé dans une politique globale de formation des étudiants et des enseignants. L’étonnement est d’autant plus fort que l’enseignement secondaire, selon la ministre de l’éducation nationale, Elisabeth Borne, proposera des formations aux élèves comme aux enseignants dès la rentrée 2025.
Désinformation
Mot interdit à Washington : désinformation
sciencepresse.qc.ca - par Pascal Lapointe
Publié le 27 mars 2025
Un scientifique américain qui mène des recherches sur la désinformation, l’éducation à l’information ou la censure… risque d’être censuré par la nouvelle administration.
Et les experts de ces domaines le voyaient venir : parce que les recherches universitaires des dernières années ont révélé, statistiques à l'appui, que les fausses informations sur les réseaux sociaux émanaient plus souvent de la droite radicale que de la gauche, des élus républicains ont choisi de blâmer la recherche universitaire. À présent, celle-ci semble être sur le point d’en payer le prix : dans un courriel envoyé mercredi, 26 mars, le nouveau directeur du NIH —National Institutes of Health, un des plus gros organismes subventionnaires de la recherche dans le monde— demande à ce qu’on lui rassemble une liste de subventions de recherches liées à « la lutte contre la mésinformation et la désinformation ». Le courriel contient une liste de mots-clefs à repérer, incluant media literacy (éducation aux médias), désinformation et « médias sociaux ».
Ce courriel s’ajoute à une liste de plus en plus longue d’instructions envoyées par différentes agences gouvernementales à leurs employés ces deux derniers mois, et contenant elles aussi des mots-clefs à chercher dans des subventions de recherche en cours d’examen, ou même déjà attribuées —ainsi que dans les sites web, les infolettres ou toute communication gouvernementale. Les premiers échos de telles listes, en janvier, faisaient état de mots comme « diversité » ou « inclusion » —en référence aux politiques de discrimination positive en emploi— ainsi que de mots comme « transgenre », « inégalités raciales » et même « femmes ».
Lire la suite : https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2025/03/27/mot-interdit-washington-desinformation
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Fake news : ce que révèle une étude sur près de 200 000 personnes va vous surprendre
futurs-sciences.com - par JULIEN HERNANDEZ
Publié le 28 mars 2025
Et si lutter contre la désinformation ne se résumait pas à faire la chasse aux fake news, mais aussi à augmenter la confiance envers les true news ? C'est l'hypothèse défendue par deux chercheurs francophones dans une récente méta-analyse.
Si on vous parle de désinformation, quelle est la chose qui vous vient à l'esprit en premier ? Il est fort à parier que ce soit les fake news. Depuis une dizaine d'années, cet anglicisme s'est largement propagé dans les usages de la langue française. La lutte contre ces fake news est désormais institutionnalisée, notamment à l'aide de l'éducation aux médias et à l'information (EMI) dans les établissements de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur. Pour justifier cela, certains suggèrent que nous sommes entrés dans l'ère de la post-vérité, d'autres pointent du doigt les partis politiques populistes - notamment ceux d'extrême droite - dont les stratégies de dissémination de fausses informations sont désormais bien documentées. Tout cela cristallise une crainte collective à l'égard des fake news ou plus précisément d'une crainte que les individus y adhèrent.
Sur quoi repose l'hypothèse de la crédulité ?
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/sante-fake-news-ce-revele-etude-pres-200-000-personnes-va-vous-surprendre-120533/
5G
Dans et autour de l’Agglo de Pau : fibre optique, 5G, satellite, comment Orange cherche à couvrir 100 % des foyers en très haut débit
larepubliquedespyrenees.fr - par Kevin Estrade
Publié le 23 mars 2025
Entre la disparition annoncée du réseau de cuivre et la fin du déploiement de la fibre optique, le très haut débit est aujourd’hui partout. Et si jamais il n’est pas disponible, le satellite s’impose comme une solution de secours.
Le 27 janvier 2026 marquera la fin du réseau cuivre à Lons et Billère. Un an plus tard, c’est à Lescar, Aressy ou encore à Denguin que disparaîtront les fameuses prises en T, avant que Pau et de nombreuses autres communes béarnaises et françaises ne rejoigne cette liste entre 2028 et 2030. Propriété du groupe Orange - et avant ça de France Télécom - ce tentaculaire réseau qui maille le pays depuis plus de 50 ans a été remplacé ces dernières années par la fibre optique, une infrastructure moderne et qui permet de passer ses coups de fil, regarder la télévision et surfer sur internet.
Le très haut débit partout
Paiement électronique
Trump ordonne la transition vers les paiements électroniques pour le gouvernement fédéral
businessman.be - par Akusoli
Principaux renseignements
Remplacer les chèques traditionnels
Le président américain Donald J. Trump a récemment pris des mesures pour moderniser la manière dont le gouvernement fédéral traite les transactions financières. Par le biais d’un décret, il a donné le feu vert à une transition des chèques papier traditionnels vers des méthodes de paiement électronique sûres et efficaces.
Cette directive prévoit que d’ici le 30 septembre 2025, tous les paiements fédéraux, y compris les prestations, les paiements aux fournisseurs et les remboursements d’impôts, seront effectués par voie électronique. Les départements et agences fédéraux sont tenus d’adopter des systèmes modernes de transfert électronique de fonds (TEF) tels que le dépôt direct, les paiements par carte de débit/crédit, les portefeuilles numériques et les transferts en temps réel.
Stratégisation des paiements au gouvernement
Lire la suite : https://fr.businessam.be/trump-ordonne-la-transition-vers-les-paiements-electroniques-pour-le-gouvernement-federal/
Cybersécurité
Cybersécurité : les bonnes pratiques à adopter pour éviter les piratages
france3-regions.fr - par Stéphanie Mallauran
Publié le 28 mars 2025
Face à la multiplication des piratages informatiques, + 40% en 5 ans, la gendarmerie a désigné un référent cybersécurité dans chaque département depuis 2023. Dans le Haut-Rhin, Jérôme Copin sensibilise entreprises et collectivités aux bonnes pratiques.
La porte d’entrée du piratage, c’est l’humain. Même les plus avertis peuvent se faire piéger. À 80%, c’est par un mail frauduleux qu’une personne va se faire “hameçonner”.
280 000 faits en 2023 ont été répertoriés, mais il devrait y en avoir encore plus en 2024. Parce que les gens sont plus incités à porter plainte, mais aussi parce qu’il y a toujours plus de cyberattaques. C’est pourquoi la gendarmerie a axé sa prévention sur la cybersécurité, sur tout type de public à risque : des sociétés, des institutions, des seniors, des jeunes.
Jérôme Copin, référent cybersécurité du groupement de gendarmerie du Haut-Rhin, nous confirme que c’est un phénomène de société. "Aujourd’hui, il y a 8000 milliards de dollars à faire tourner tous les ans dans le marché du cyber. Ça peut être un message sur un faux colis. Et c’est vite très préjudiciable.”
Trois bons réflexes à adopter
Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/haut-rhin/cybersecurite-les-bonnes-pratiques-a-adopter-pour-eviter-les-piratages-3130441.html
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La cybersécurité des collectivités dans le viseur de la Cnil
banquedesterritoires.fr - par Olivier Devillers, pour Localtis
Publié le 24 mars 2025
La Commission nationale Informatique et Libertés (Cnil) a annoncé le 21 mars 2025 que les politiques de cybersécurité des collectivités territoriales feraient partie de ses thématiques de contrôle prioritaires pour 2025. Une action qui s'inscrit dans la perspective de la mise en œuvre de la directive NIS 2, adoptée par le Sénat et transmise à l'assemblée nationale (voir notre article du 13 mars 2025), qui va imposer aux collectivités territoriales un renforcement de la sécurisation de leur système d'information.
La Cnil souligne la vulnérabilité particulière des collectivités face aux cyberattaques, alors qu'elles traitent de nombreuses données sensibles telles que l'état civil, le versement de prestations sociales ou encore le télépaiement de services publics ou de contraventions. L'autorité contrôlera les mesures de protection mises en œuvre par les collectivités tout en renforçant son action de sensibilisation et d'accompagnement. Cette annonce intervient alors que plusieurs collectivités ont été victimes de vols de données concernant leurs agents ces dernières semaines, avec notamment des signalements pour les municipalités des Lilas, de Lorient et de la métropole du Grand Paris.
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Piratage, hameçonnage, sextorsion : la cybercriminalité explose et touche tous les publics selon le rapport de la plateforme Cybermalveillance
ladepeche.fr - par Philippe Rioux
Publié le 28 mars 2025
Cybermalveillance. gouv.fr a présenté hier les tendances clés de la menace qui ont marqué l’année 2024. L’hameçonnage et le piratage de données sont massifs.
Plus la société française se numérise et plus elle est exposée à une recrudescence de cybermenaces. Tel est l’enseignement que l’on pourrait tirer de la présentation, ce jeudi 27 mars, du rapport d’activité 2024 de la plateforme gouvernementale Cybermalveillance.gouv.fr. Une plateforme, née en 2017, qui est de plus en plus fréquentée par les Français puisque l’an dernier, elle a reçu 5,4 millions de visiteurs uniques (+47 %) et enregistré plus de 420 000 demandes d’assistance en 2024 (+49,9 %).
Une fréquentation en nette hausse qui peut notamment s’expliquer par de nouveaux contenus (170), services proposés ou initiatives menées par Cybermalveillance.gouv.fr tels que la déclinaison du programme d’e-sensibilisation SensCyber pour le grand public, l’opération Cactus auprès des collégiens et lycéens ou encore le lancement du guichet unique 17Cyber lancé en collaboration avec le ministère de l’Intérieur.
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Piratage, hameçonnage... Les Français de plus en plus inquiets des fuites de données
Par Le Figaro avec AFP
Publié le 27 mars 2025
Les consultations au sujet des fuites de données personnelles ont bondi sur la plateforme gouvernementale cybermalveillance.gouv.fr en 2024
Compte bancaire, mot de passe, lieu de résidence… Aucune donnée ne semble à l’abri, et c’est bien ce qui inquiète les Français. Les consultations au sujet des fuites de données personnelles ont bondi sur la plateforme gouvernementale cybermalveillance.gouv.fr en 2024, révèle le rapport annuel de l'organisation, publié ce jeudi. Sur le site, dédié à l'assistance face aux menaces et actes malveillants en ligne, les demandes de particuliers liées à des fuites de données ont bondi de 82%, pour atteindre un total de 12.400. «Il y a eu beaucoup de fuites de données personnelles et bancaires», explique Jérôme Notin, directeur général de la plateforme.
À découvrir
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/piratage-hameconnage-les-francais-de-plus-en-plus-inquiets-des-fuites-de-donnees-20250327
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Opération Cactus : lancement national de la campagne de sensibilisation à l’hameçonnage dans les espaces numériques de travail
education.gouv.fr - Communiqué
Publié le 25 mars 2025
En raison de la multiplication des actes malveillants visant les espaces numériques de travail (ENT), les autorités françaises en charge des sujets de cybersécurité et le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ont souhaité mener une action de prévention collective forte pour responsabiliser les collégiens et lycéens face à ces enjeux.
Une opération de sensibilisation en direction des élèves, particulièrement exposés
Les établissements scolaires sont régulièrement ciblés par des attaques malveillantes via les espaces numériques de travail (ENT) ou les logiciels de vie scolaire auxquels accèdent quotidiennement élèves, parents d’élèves et enseignants, en particulier pour communiquer dans le cadre scolaire. Ces actions cybercriminelles peuvent être à l’origine de l’envoi de nombreux messages choquants. Une attaque massive par vols de mot de passe courant 2024 avait notamment conduit à la fermeture temporaire de la messagerie des ENT.
Une mobilisation collective et inédite des pouvoirs publics
Les jeunes de 11 à 18 ans sont particulièrement exposés aux risques cyber. Ils font souvent preuve d’un excès de confiance dans leurs usages numériques et n’adoptent pas toujours les bons réflexes.
Considérant leur exposition aux dangers de la cybercriminalité, la section de lutte contre la cybercriminalité (J3) de la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (JUNALCO) du Parquet de Paris a proposé de mener une campagne de sensibilisation conjointe.
Lire la suite : https://www.education.gouv.fr/operation-cactus-lancement-national-de-la-campagne-de-sensibilisation-l-hameconnage-dans-les-espaces-450063
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Plus de 2,5 millions d'élèves en France ont reçu un faux lien d'hameçonnage dans le cadre d'une opération nationale de prévention
franceinfo Radio France
Publié le 25 mars 2025
Plus de 210 000 élèves ont cliqué sur le lien, qui les a redirigé vers un message de sensibilisation à la cybersécurité, indique mardi le ministère de l'Éducation nationale.
Plus de 2,5 millions de collégiens et de lycéens à travers 4 700 établissements en France ont reçu un faux lien d'hameçonnage, indique mardi 25 mars le ministère de l'Éducation nationale dans un communiqué consulté par France Inter. Ces messages ont été envoyés dans le cadre de l'opération Cactus, une opération nationale de sensibilisation à l'hameçonnage dans les espaces numériques de travail (ENT).
à lire aussi Cybersécurité : le FBI recommande d'arrêter d'envoyer des SMS, et d'utiliser à la place des messageries chiffrées
Les élèves concernés ont donc reçu,via les ENT, un message les incitant à cliquer sur un lien pour se procurer gratuitement des jeux vidéo piratés. Parmi ces élèves, plus de 210 000 (soit près d’un sur 12) ont cliqué sur le lien qui les a redirigés vers le message de sensibilisation contenant une vidéo d’1min15, "conçue pour les informer, les responsabiliser et les dissuader de commettre des actions illégales sur internet".
Attaques régulières
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Cybersécurité : la directive NIS 2, réel pas en avant ou énième référentiel ?
forbes.fr - par Une contribution de Baptiste David, Responsable de la stratégie marché chez Tenacy
Publié le 24 mars 2025
L’amendement 104 du projet de loi « Résilience des infrastructures critiques et renforcement de la cybersécurité » a été retenu par le Sénat le 12 mars dernier. S’il n’est pas définitif, il représente un nouveau pas en avant vers la transposition de la NIS 2 (Network Information Security), directive européenne ayant pour objectif d’améliorer la résilience des organisations face aux risques cyber. Si elle devrait uniformiser le niveau de sécurité en Europe, il convient cependant de s’interroger sur la superposition des différentes conformités. En d’autres termes, la directive NIS 2 va-t-elle réellement permettre de standardiser la sécurité à l’échelle européenne, ou ne sera-t-elle qu’un énième référentiel à suivre, s’ajoutant à la longue liste imposée aux organisations ?
Une contribution de Baptiste David, Responsable de la stratégie marché chez Tenacy
Une directive européenne : vraiment ?
La directive NIS 2, en définissant de nouvelles exigences de sécurité, se présente comme un levier de standardisation des mesures de cybersécurité en Europe. Elle devrait concerner environ 100 000 organisations évoluant dans 18 secteurs considérés critiques comme la santé, les administrations publiques, les marchés financiers et les banques, le numérique, l’énergie ou les transports.
Lire la suite : https://www.forbes.fr/societe/cybersecurite-la-directive-nis-2-reel-pas-en-avant-ou-enieme-referentiel/
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Une commune du Morbihan victime d'une cyberattaque échappe in extremis à un préjudice de 150 000 euros
franceinfo, avec "ici Breizh Izel"
Publié le 27 mars 2025
Des hackers ont accédé aux ordinateurs de la commune et ont essayé de passer de grosses commandes à des entreprises en se faisant passer pour le directeur général des services, révèle jeudi "ici Breizh Izel" (ex-France Bleu).
La commune de Merlevenez (Morbihan), près de Lorient, a été victime d'une attaque informatique à la mi-mars et échappe in extremis à un préjudice de 150 000 euros, rapporte jeudi 27 mars "ici Breizh Izel" (ex-France Bleu)
Des hackers ont accédé aux ordinateurs de la commune et ont essayé de passer de grosses commandes à des entreprises en se faisant passer pour le directeur général des services.
"Nous avons reçu un mail d'un fournisseur de la commune avec une pièce jointe illisible. Les collègues ne l'ont pas ouvert et me l'ont envoyé, j'ai cliqué et je pense que c'est comme cela qu'ils sont entrés dans l'organisation", explique Gwenaël Chauvel, le directeur général des services.
Thales
THALES RÉORGANISE SES CAPACITÉS DE SOUTIEN À L’ARMÉE DE TERRE FRANÇAISE POUR SE PRÉPARER AUX CONFLITS DE HAUTE INTENSITÉ
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 26 mars 2025
En regroupant près de 30 contrats de maintenance, ABSOLU en simplifie la gestion, tout en améliorant significativement la performance opérationnelle. Il permet de mutualiser le pilotage des projets de soutien de réduire les délais de réparation pour accélérer la disponibilité des matériels et de développer le recours à l’économie circulaire grâce au réemploi de composants et de matières premières.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-reorganise-ses-capacites-soutien-larmee-terre
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THALES ALENIA SPACE SIGNE UN CONTRAT AVEC L’ESA POUR DÉVELOPPER UN JUMEAU NUMÉRIQUE DÉDIÉ À UNE AGRICULTURE DURABLE ET RÉSILIENTE
thalesgroup.com - par Thales Alenia Space
Publié le 27 mars 2025
SaveCrops4EU s’appuie sur l’observation de la Terre et des techniques avancées de traitement de données pour créer des outils favorisant une agriculture économiquement et écologiquement durable, en accord avec la Politique agricole commune et le Pacte vert pour l’Europe
Luxembourg, le 27 mars 2025 - Thales Alenia Space, coentreprise entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %), a signé un contrat avec l’Agence spatiale européenne (ESA) pour piloter le projet SaveCrops4EU. Ce composant pré-opérationnel de jumeau numérique, inscrit dans la stratégie Digital Twin Earth de l’ESA, vise à renforcer la résilience de l’agriculture face au changement climatique et à optimiser la gestion des ressources agricoles.
Le jumeau numérique SaveCrops4EU reposera sur trois axes scientifiques majeurs :
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/espace/press_release/thales-alenia-space-signe-contrat-lesa-developper-jumeau-numerique-dedie
Mobilité
L’ex-ministre Jean-Baptiste Djebbari rejoint une startup de la mobilité
leparisien.fr - Par Le Parisien avec AFP
Publié le 17 mars 2025
L’ancien ministre des Transports entre 2019 et 2022 au sein des gouvernements Philippe puis Castex a rejoint le conseil d’administration d’une jeune pousse de la mobilité, Evera.
L’ancien ministre Jean-Baptiste Djebbari a rejoint le conseil d’administration d’une jeune pousse de la mobilité, Evera.
Pilote d’avion diplômé de l’École nationale de l’aviation civile (ENAC), il a d’abord travaillé à la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) avant d’intégrer une compagnie d’aviation d’affaires, Jetfly, comme directeur des opérations aériennes.
Il avait ensuite entamé une brève carrière politique en 2017 en étant élu député (LREM) de la Haute-Vienne puis ministre des Transports entre 2019 et 2022 au sein des gouvernements Philippe puis Castex.
Il vient de rejoindre le conseil d’administration d’une jeune pousse de la mobilité, Evera, spécialisée dans la location de véhicules électriques pour les entreprises avec la gestion des flottes. Cette start-up vient d’annoncer une levée de fonds de deux millions d’euros.
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Alstom fournira les nouveaux tramways de la Métropole du Havre
alstom.com - Communiqué
Publié le 19 mars 2025
Modèle du tramway Citadis, qui se déroulera sur la nouvelle ligne C du réseau de tramway de Le Havre Seine Mhétropole (© Alstom SA 2023. Conception avancée et créative - illustration non contractuelle)
• Le Havre Seine Métropole a choisi les tramways de nouvelle génération d’Alstom pour l’extension de son réseau de transport.
• L’accord-cadre attribué à Alstom pour une durée de 4 ans comprend une commande minimale de 8 tramways.
• Ces tramways Citadis permettront de réduire la consommation d’énergie de 25 % par rapport au matériel actuel.
Alstom, leader mondial de la mobilité durable et intelligente, a été choisi par Le Havre Seine Métropole pour fournir les nouvelles rames prévues dans le cadre du projet d’extension de son réseau de tramway. La première commande comprendra 8 rames Citadis de nouvelle génération. Les premières livraisons auront lieu en 2027, en vue de la mise en service de la nouvelle ligne C.
"Alstom est très fier de fournir les nouveaux tramways de la Métropole du Havre et de participer au renforcement de l’offre de transport urbain, avec des solutions plus vertes et plus innovantes."
Frédéric Wiscart - Président d’Alstom France
« Alstom est très fier de fournir les nouveaux tramways de la Métropole du Havre et de participer au renforcement de l’offre de transport urbain, avec des solutions plus vertes et plus innovantes. Ces nouvelles rames Citadis, économes en énergie, apporteront également un plus grand confort aux voyageurs. Nous remercions Le Havre Seine Métropole pour leur confiance renouvelée dans nos solutions de tramways de dernière génération », a déclaré Frédéric Wiscart, Président d’Alstom France.
Un concentré d’innovations au service de tous les voyageurs
Lire la suite : https://www.alstom.com/fr/press-releases-news/2025/3/alstom-fournira-les-nouveaux-tramways-de-la-metropole-du-havre
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Cour des comptes – Mobilité des jeunes en transports collectifs : avant tout, développer l'offre
banquedeterritoires.fr - par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 21 mars 2025
De plus en plus enclins à utiliser les transports collectifs, les jeunes se heurtent avant tout à l'insuffisance de solutions de mobilité adaptées à leurs besoins, surtout dans les territoires périphériques et ruraux, pointe la Cour des comptes dans son rapport annuel 2025 publié ce 19 mars. Elle recommande notamment aux autorités organisatrices de la mobilité de développer l'offre et de mieux cibler les avantages tarifaires qu'elles accordent en fonction des ressources financières des bénéficiaires.
"Le vrai problème pour les jeunes est l'offre, la disponibilité des transports, et si on veut pouvoir investir plus, il faut retrouver des ressources et avoir un ciblage social, faire en sorte que les réductions tarifaires soient réservées à ceux qui en ont besoin, c'est-à-dire les plus fragiles, les plus vulnérables, les plus pauvres." Au surlendemain de la présentation du rapport annuel de la Cour des comptes consacré aux politiques publiques en faveur des jeunes
(Lien sortant, nouvelle fenêtre)
, son premier président, Pierre Moscovici, a tout particulièrement relevé au micro de France Inter ce 21 mars l’exemple de la mobilité des jeunes en transports collectifs. Un chapitre entier du rapport y est consacré.
Un obstacle de plus dans la course à l'emploi
"C’est un enjeu majeur pour l’insertion sociale et professionnelle des jeunes, qui sont en moyenne moins motorisés et moins aisés", avait-il déjà souligné dans son discours de présentation du rapport le 19 mars, relevant un chiffre "alarmant" : "38% des jeunes ruraux ont renoncé à un entretien d’embauche en raison de difficultés de déplacement."
Des utilisateurs captifs des transports collectifs
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Versement mobilité régional : la mobilisation a payé
journal-du-palais.fr - par Medef BFC , CPME BFC
Publié le 17 mars 2025
Collectivités. La mobilisation engagée par le MEDEF BFC et la CPME BFC a porté ses fruits. Grâce à l’action conjointe des entrepreneurs, des citoyens, des élus et des organisations engagées, la Région Bourgogne-Franche-Comté ne mettra pas en application le Versement Mobilité Régional (VMR) en 2025.
La mobilisation engagée par le MEDEF BFC et la CPME BFC a porté ses fruits. Grâce à l’action conjointe des entrepreneurs, des citoyens, des élus et des organisations engagées, la Région Bourgogne-Franche-Comté ne mettra pas en application le Versement Mobilité Régional (VMR) en 2025.
Suite à nos échanges avec la Présidente de Région et aux récentes annonces de son Vice-Président aux finances, devant les membres du Ceser BFC, il est confirmé que la Région BFC ne votera pas la mise en place de cette taxe avant la tenue des Assises nationales de la mobilité en mai 2025. Cela signifie concrètement que le nouvel impôt VMR ne sera pas appliqué cette année dans notre région. Nous remercions la Présidente de région, pour son écoute et notre dialogue constructif. Nous soutenons le développement des transports en commun, mais cela ne doit pas se faire au détriment de la compétitivité des entreprises. Avec des solutions alternatives, nous pouvons à la fois préserver cette compétitivité et assurer un financement durable et efficace des transports publics.
Une Mobilisation Décisive
Lire la suite : https://journal-du-palais.fr/edito/opinions/versement-mobilite-regional-la-mobilisation-a-paye
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La RATP mène des tests pour moderniser son système d'information aux voyageurs dans son "Lab" à Fontenay-sous-Bois
francebleu.fr - par Bradley de Souza
Publié le mercredi 19 mars 2025
Dans son laboratoire à Fontenay-sous-Bois, la RATP mène des tests régulièrement dans le but de moderniser et d'optimiser son système d'information aux voyageurs. Pour la première fois depuis vingt-cinq ans, elle a ouvert ses portes aux médias.
La RATP mène tous ces tests depuis vingt-cinq ans dans son laboratoire à Fontenay-sous-Bois où cinq designers sont chargés d'étudier, de recommander et d'innover le système d'information aux voyageurs du groupe. "On est ici dans un laboratoire qui teste l'ensemble des dispositifs que l'on peut mettre en œuvre, que ce soit des écrans ou les portes palières, les portes sur les quais qui permettent d'accéder au métro", explique d'emblée Jimmy Brun, le porte-parole du groupe.
Moderniser le système d'information
Dans ce laboratoire, tout y est pensé, réfléchi, imaginé. De la typographie des lettres du RER aux écrans des métros et tramways. "Par exemple, là, d'ici à la fin de l'année, on aura des écrans dans les tramways, on va avoir les dessertes, de la messagerie, trafic interrompu, etc, de l'information circonstanciée. Aujourd'hui, nous n'en avons pas sur ce réseau", décrit Guillaume Gendrillon, l'un des designers du groupe.
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Bientôt des tickets de transport rechargeables à Nantes !
lebonbon.fr - Par La Rédac’
Publié le 18 mars 2025
Une révolution s'annonce pour les usagers des transports en commun à Nantes ! Dès le 19 mai 2025, les tickets papier cèderont la place à des tickets sans contact sur le réseau Naolib. Une évolution attendue qui vise à moderniser et simplifier l'expérience des voyageurs.
Un changement historique pour les usagers
Après 45 ans de bons et loyaux services, le célèbre ticket papier Edmonson tirera sa révérence. « C'est une nouvelle étape, nous entrons dans une nouvelle époque », a déclaré Pascal Bolo, président de la Semitan. Cette transition vers des tickets sans contact marque un tournant important dans l'histoire des transports nantais.
Un ticket sans contact, rechargeable et réutilisable
Le nouveau ticket sans contact, au format carte de crédit, sera doté d'une puce électronique permettant de le recharger et de le valider facilement. Disponibles dès le 19 mai 2025, ces tickets conserveront les offres actuelles : ticket 1h, 24h, navette aéroport, etc. De plus, le ticket "1h x 10" (anciennement le carnet de 10) deviendra multi-validable : il suffira de le scanner plusieurs fois en fonction du nombre de voyageurs. Chaque type de titre aura sa propre couleur pour une identification rapide.
Lire la suite : https://www.lebonbon.fr/nantes/news/bientot-tickets-transport-rechargeables-a-nantes/
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Lancement du ticket rechargeable
tisseo.fr - Communiqué
Publié le 19 mars 2025
Validation sans contact et responsable Mercredi 19 mars 2025, Jean-Michel Lattes, Président de Tisséo Collectivités, Président de Tisséo Ingénierie, et Serge Jop, Président de Tisséo Voyageurs, Adjoint au Maire de Saint-Orens en charge des relations institutionnelles et du protocole, ont présenté le ticket rechargeable qui sera disponible à partir du mercredi 26 mars 2025. Il remplacera le ticket jetable pour les voyageurs occasionnels. « En intégrant le ticket rechargeable comme support de validation, nous poursuivons notre engagement en faveur de solutions innovantes. Rechargeable plus d’une trentaine de fois, nous faisons le pari d’une mobilité durable et responsable également pour des voyageurs occasionnels » déclare Jean-Michel Lattes, Président de Tisséo Collectivités. « A partir du mercredi 26 mars 2025, nous lançons un nouveau support de validation pour faciliter le parcours voyageur sur le réseau Tisséo. Nous sommes attachés à développer la qualité de service offert aux voyageurs afin de faciliter l’accès des transports au quotidien et à tous. Ce nouveau ticket libère le client occasionnel des contraintes d’achat pour une plus grande souplesse de déplacement sur le réseau » a déclaré Serge Jop, Président de Tisséo Voyageurs.
Lire le communiqué : https://www.tisseo.fr/sites/default/files/cp/CP_lancementduticketrechargeable_19mars2025.pdf
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Mobilité : une conférence de financement enfin annoncée
actu-environnement.com - par N. Gorbatko
Publié le 17 mars 2025
L'information était attendue avec une grande impatience par les parties prenantes du transport : à l'occasion d'un déplacement sur le site industriel d'Alstom, vendredi 14 mars, le Premier ministre, François Bayrou, a annoncé la nomination de Dominique Bussereau à la tête de la future conférence de financement des mobilités. Baptisée « Ambition France Transports », cette assemblée se tiendra au mois de mai prochain avec les acteurs publics et privés du secteur. Son objectif : « bâtir un nouveau système de financement des infrastructures de transport dans un contexte où les besoins en investissement sont importants et les marges de manœuvre budgétaires contraintes », expliquent les services de Matignon.
La conférence se déroulera en deux étapes. La première partie sera consacrée au financement des autorités organisatrices de la mobilité (AOM) et aux enjeux associés au déploiement des projets de services express régionaux métropolitains (Serm). La seconde partie portera sur la refonte du système de financement des infrastructures de transport, en intégrant les réflexions liées à l'avenir des concessions autoroutières historiques. « Une tâche passionnante », a commenté, sur X, l'ex-président de Départements de France, plusieurs fois ministre, des Transports et du Budget notamment, et fils de cheminot.
Lire la suite : https://www.actu-environnement.com/ae/news/annonce-president-conference-financement-transports-45792.php4
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Nantes : Un nouveau ticket rechargeable déployé le 19 mai sur le réseau de transport
ouest-france.- par Augustin Flepp
Publié le 17 mars 2025
MOBILITÉ • Déployée progressivement dans le réseau Naolib, cette nouvelle carte sans contact au format carte bancaire permettra de recharger plusieurs titres. La Semitan a investi 7 millions d’euros dans ce projet censé répondre au déclin des tickets papiers.
L'essentiel
La Semitan a annoncé ce lundi le lancement d’un nouveau ticket sans contact et rechargeable pour le transport en commun nantais (Naolib). Ces tickets au format type carte bancaire seront délivrés à partir du 19 mai prochain dans une vingtaine de nouveaux distributeurs progressivement installés dans la métropole. Et auprès d’autres supports (relais Naolib, espace mobilité, boutique en ligne…) à compter du 2 juin.
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Haute-Corrèze Communauté fait marche arrière sur la taxe mobilité imposée aux entreprises du territoire
Publié le 29 mars 2025
Haute-Corrèze Communauté fait marche arrière sur la taxe mobilité aux entreprises. En décembre, le conseil communautaire a voté pour : 125 euros par an et par salarié pour une entreprise de plus de 11 personnes, pour financer des navettes pour les équipes. La taxe est finalement suspendue.
Il n'y aura finalement pas de taxe mobilité sur les entreprises de la Haute-Corrèze. La communauté de commune suspend sa décision de taxer à 125 euros par an et par salarié les entreprises du territoire de plus de 11 employés pour financer des navettes. Votée en conseil communautaire en décembre, cette taxe mobilité a provoqué la colère d'élus et d'entreprises. Haute-Corrèze Communauté doit encore soumettre au vote au prochain conseil en mars la suppression définitive de ce prélèvement qui ne fait pas l'unanimité.
Les contre sont sans appel. "Je considère qu'on met la charrue avant les bœufs", déplore Christophe Arfeuillère, le maire d'Ussel et vice-président de Haute-Corrèze Communauté. Pour lui, la taxe est bien trop élevée, d'autant plus qu'aucune solution concrète de transport n'est proposée. "Aujourd'hui, sur la ville d'Ussel, cette taxe, c'est en gros 300.000 euros demandés par an aux entreprises, qui ne savent pas quels services allaient être rendus. 125 € par agent par an pour des entreprises d'une moyenne de 50 salariés, ça fait une petite somme qui empêche peut-être de ne pas investir ou de ne pas donner une prime à leur personnel ou des investissements qui vont être repoussés."
Une compétence de la Région
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Le téléphérique, une bonne idée pour les transports urbains de demain ?
france3-regions.francetvinfo.fr - par Charles-Henry Boudet
Publié le 17 mars 2025
L’idée, soumise par des habitants de Sedan, a été reprise par des élus ardennais. Pourquoi pas construire un téléphérique urbain afin de désenclaver la « Résidence Ardenne » ? Bien que situé au cœur de la cité ardennaise, ce quartier souffre d’un manque d’accessibilité.
« Résidence Ardenne » un quartier en cœur de ville isolé
De retour de Paris après une réunion auprès du président Emmanuel Macron, les élus ardennais se félicitent d’avoir été choisis parmi les dix villes de France pour bénéficier d’une aide destinée à élaborer les « Quartiers de demain » et offrir ainsi la possibilité d’une rénovation à moindre coût pour la collectivité locale.
L’État français a choisi d’aider Sedan avec un premier versement de 450 000 € d’aide dans le cadre des études pour la refonte urbaine de la Résidence Ardenne, un quartier constitué d’immeubles, construit en 1965, sur les hauteurs de la ville et entouré par les vieux remparts et fossés du château fort. Un quartier, situé au cœur de Sedan, mais qui souffre d’un manque de connexion avec le reste de la ville.
Lire la suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/ardennes/sedan-0/un-telepherique-a-sedan-une-idee-pas-si-bete-3123880.html
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Adieu ticket jetable, bonjour carte rechargeable : ça bouge dans les trams et bus nantais
Presse-Océan - Rémi Certain Publié le 17 mars 2025 |
La Semitan s’apprête à changer son parc de distributeurs de titres de transport. Après 45 ans de bons et loyaux services, l’emblématique petit ticket en papier tire sa révérence au profit de billets sans contact et rechargeables au format carte bancaire.
Bye bye le ticket Edmonson. Bonjour les cartes sans contact et rechargeables. Voilà 45 ans que l’emblématique petit coupon en papier accompagne les voyageurs sur le réseau des bus et tramways nantais. En octobre 2025, il n’appartiendra plus qu’à l’histoire. La fin d’une époque. Celle des oblitérateurs et des distributeurs obsolètes, pour certains incapables d’accepter la carte bancaire ou de rendre la monnaie.
Les nouveaux tickets seront réutilisables
À l’automne prochain, la Semitan disposera d’un parc de distributeurs automatiques de titres de transport dernier cri. Un seul et unique modèle (contre trois aujourd’hui) à l’accessibilité renforcée, disposant d’un grand écran tactile en couleurs autorisant le paiement...
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/adieu-ticket-jetable-bonjour-carte-rechargeable-ca-bouge-dans-les-trams-et-bus-nantais-14b4496e-0326-11f0-b813-760796e3e8a4
CNIL
Droit à l’effacement : la CNIL et ses homologues européens effectuent une série de contrôles
cnil.fr -
Publié le 17 mars 2025
Après le droit d’accès en 2024, le droit à l’effacement a été choisi par la CNIL et ses homologues européens comme thématique d’investigation au niveau européen pour l’année 2025.
Pour la quatrième année consécutive, la CNIL et plusieurs de ses homologues européens participent à une action coordonnée (coordinated enforcement framework) du Comité européen de la protection des données (CEPD).
Après avoir mené des investigations sur le cloud en 2022, sur la désignation et la fonction des délégués à la protection des données (DPO) en 2023 et sur le respect du droit d’accès en 2024, la CNIL procédera en 2025 à des vérifications portant sur le respect du droit à l’effacement.
Le droit à l’effacement est l’un des droits les plus fréquemment exercés et fait l'objet d'une part très importante des plaintes reçues par la CNIL (37 % en 2024), et plus largement par ses homologues européens.
L’exercice de ce droit permet à une personne de demander à un organisme qu’il supprime ses données personnelles dans les conditions prévues à l’article 17 du RGPD. Il constitue un moyen pour les personnes concernées de maîtriser leurs données.
Pour rappel, les organismes responsables de traitement ont l’obligation de répondre aux demandes de droit d’effacement des personnes (articles 12 et 17 du RGPD).
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/droit-leffacement-la-cnil-et-ses-homologues-europeens-effectuent-une-serie-de-controles
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La CNIL sera présente au Forum InCyber (FIC) du 1er au 3 avril 2025
cnil.fr - Communiqué
Publié le 21 mars 2025
La CNIL sera présente au Forum InCyber (FIC) 2025 à Lille Grand Palais au stand D3 pour répondre aux questions du public et des professionnels. La présidente de la CNIL, Marie-Laure Denis, interviendra également lors du sommet d’ouverture le 1er avril.
Le RGPD : la meilleure prévention contre les risques cyber
Le règlement général sur la protection des données (RGPD) impose une obligation générale relative à la sécurité informatique. Les acteurs privés et publics doivent ainsi systématiquement s’interroger sur la sécurité des données, et notamment sur la cybersécurité. Ils doivent également notifier à la CNIL les violations de données présentant des risques pour les personnes concernées et, lorsque ce risque est élevé, informer ces dernières.
Les enjeux de cybersécurité concernent tous les organismes, quels que soient leur taille ou leur secteur d’activité.
Pourtant, la CNIL a de nouveau constaté une augmentation des violations de données qui lui ont été notifiées en 2024, provenant de grandes entreprises comme de TPE et PME. À ce titre, la CNIL a fait de la cybersécurité un des 4 axes de son plan stratégique 2025-2028.
La CNIL a, parmi ses missions, celle d’accompagner et de conseiller les organismes et les pouvoirs publics en matière de sécurité des données, que ce soit dans la mise en œuvre de mesures techniques efficaces ou lors de l’instruction des notifications de violation. Elle a également vocation à procéder à des contrôles et, si nécessaire, prendre des mesures correctrices – notamment des sanctions pécuniaires – si les mesures mises en œuvre pour garantir la sécurité des données sont insuffisantes.
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/la-cnil-sera-presente-au-forum-incyber-fic-du-1er-au-3-avril-2025
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Les contrôles de la CNIL en 2025 : applications mobiles, administration pénitentiaire, cybersécurité des collectivités
cnil.fr - Communiqué
Publié le 21 mars 2025
Environ un quart des contrôles de la CNIL s’inscrit dans le cadre de thématiques prioritaires annuelles qu’elle définit. En 2025, elle se concentrera sur les données collectées via les applications mobiles, la cybersécurité des collectivités territoriales ainsi que les traitements de données par l’administration pénitentiaire.
Les thématiques de contrôles prioritaires en 2025
Collecte de données par le biais des applications mobiles
Les Français téléchargent désormais une trentaine d'applications mobiles par an. Elles sont devenues le premier usage numérique au quotidien et sont ainsi une source de traitement massif de données personnelles (bancaires, de géolocalisation, publicitaires, etc.).
Dans le prolongement de la publication de sa recommandation sur les applications mobiles en octobre dernier et comme elle l’avait annoncé, la CNIL mènera cette année une série de contrôle des différents acteurs de l'écosystème, en particulier des éditeurs d'applications et des fournisseurs de kits de développement logiciel (SDK).
Les vérifications porteront essentiellement sur les questions abordées dans la recommandation, notamment le paramétrage des SDK ainsi que les accès aux données du téléphone via la gestion des permissions (ou « autorisations).
Ces contrôles concerneront aussi bien les acteurs privés que publics, notamment au regard de la multiplication des services publics proposant une application mobile pour des tâches administratives du quotidien.
Cybersécurité des collectivités territoriales
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/les-controles-de-la-cnil-en-2025
Services publics
La délégation de services publics, une relation déséquilibrée au détriment de la collectivité ?
formation.lefebvre-dalloz.fr - Communiqué
Publié le 17 mars 2025
La gestion de l’eau, des déchets ou des transports publics est souvent confiée à des entreprises privées via des délégations de services publics (DSP). Ce modèle est censé soulager les communes et offrir aux usagers des services performants. Pourtant, un rapport de la Cour des comptes publié en décembre 2024, fait état d’un déséquilibre croissant entre les collectivités et les opérateurs privés. Un déséquilibre qui, loin de servir l’intérêt général, pèse à la fois sur les finances locales et sur les usagers.
En quoi consiste la délégation de services publics ?
La délégation de services publics (DSP) s’effectue via un contrat qui lie une collectivité et une entreprise privée. La collectivité confie la gestion d’un service public à un acteur extérieur, mais elle reste responsable. La DSP peut concerner différents services comme l’eau potable, les transports en commun, la collecte des déchets ou les cantines scolaires. Les règles sont fixées par la collectivité. C’est elle qui définit les objectifs (qualité du service, tarifs, durée du contrat, etc.) et qui sélectionne un délégataire via un appel d’offres. L’entreprise privée se charge quant à elle d'investir et d’exploiter le service. Les usagers paient le service à l’entreprise privée qui se rémunère de cette façon, avec parfois un complément versé par la collectivité.
La DSP n’est pas une privatisation. La collectivité conserve le contrôle sur ses services publics et peut reprendre la main en cas de défaillance.
Délégations de services publics : est-ce vraiment intéressant pour les services publics ?
Lire la suite : https://formation.lefebvre-dalloz.fr/actualite/la-delegation-de-services-publics-une-relation-desequilibree-au-detriment-de-la-collectivite
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Comment les IA libres pourraient moderniser les services publics
polytechnique-insights.com - par Christophe Gaie, chef de division ingénierie et innovation numérique au sein des services du Premier ministre et Laurent Denis architecte technique au sein des services du Premier ministre.
Publié le 19 mars 2025
En bref
L’intelligence artificielle (IA), et plus spécifiquement les grands modèles de langage (Large Language Models), constituent une opportunité majeure pour transformer l’action publique. L’IA peut en effet être utilisée dans de nombreux domaines pour améliorer l’efficacité, la qualité des services rendus aux citoyens et la prise de décision.
La définition d’une IA libre est un sujet encore soumis à débat
Lire la suite : https://www.polytechnique-insights.com/tribunes/digital/comment-les-ia-libres-pourraient-moderniser-les-services-publics/
Intelligence artificielle
Sesterce concrétise son projet de supercalculateur et de campus IA à Valence
actuia.com - par Stephane Nachez
Publié le 20 mars 2025
Un supercalculateur de pointe au service de l'IA
Un campus dédié à l'innovation et à la formation
Le 13 mars dernier, Sesterce, une entreprise marseillaise spécialisée dans les infrastructures de nouvelle génération pour le HPC et l’IA, a présenté officiellement avec les élus de Valence Romans Agglo son projet d'implantation dans la Drôme, dévoilé le 10 février dernier lors du Sommet pour l'IA : la construction d’un supercalculateur et d'un campus d'IA.
Ce projet est le premier du plan ambitieux d’investissement d’un montant de 52 milliards pour le déploiement d’infrastructures dédiées à l'entraînement et l'inférence de l’IA en France d’ici 2030, annoncé par Sesterce,fondé par Anthony Tchakerian et Youssef El Manssouri en 2018. Si les deux entrepreneurs reconnaissent avoir eu du mal à trouver un site pour implanter ce supercalculateur qui sera, selon eux, le plus grand de France, voire l'un des plus puissants d'Europe, la ZAC Rovaltain d'Alixan, située tout près de la gare TGV de Valence, s'avère être un emplacement stratégique.
Le supercalculateur sera installé au Pôle Ecotox, initialement dédié à l'écotoxicologie et à la toxicologie environnementale mais qui n'a pas atteint ses objectifs. Le site a été racheté en 2021 par l'Institut Mérieux, qui a signé ce 10 mars le compromis de vente avec Sesterce. La fibre noire, un réseau optique à très haut débit longeant la ligne TGV, et le soutien énergétique solide assuré par RTE, garantiront l’approvisionnement pour les installations hautement énergivores.
Un supercalculateur de pointe au service de l'IA
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IA et données de mauvaise qualité : au-delà des erreurs, des risques juridiques et éthiques
forbes.fr - par Une contribution de Levent Ergin, Chief Strategist for Climate, Sustainability & Artificial Intelligence chez Informatica
Publié le 19 mars 2025
Les idées et opinions exprimées par nos contributeurs leur appartiennent
Publié le 19 mars 2025
De la santé à la finance, l’intelligence artificielle (IA) transforme les industries en permettant une prise de décision plus intelligente et une efficacité opérationnelle. Toutefois, l’efficacité des systèmes d’IA dépend de la qualité des données sur lesquelles ils s’appuient.
Une contribution de Levent Ergin, Chief Strategist for Climate, Sustainability & Artificial Intelligence chez Informatica
Des données inexactes, incomplètes, biaisées ou obsolètes peuvent en effet gravement compromettre les résultats de l’IA, entraînant des risques juridiques et éthiques importants. Ces risques vont du non-respect des réglementations et des questions de responsabilité à la discrimination et à baisse de la confiance du public. Relever ces défis n’est pas seulement une nécessité technique, mais un impératif moral pour garantir un déploiement responsable de l’IA.
Risques juridiques : conformité, responsabilité et intégrité des données
Lire la suite : https://www.forbes.fr/societe/ia-et-donnees-de-mauvaise-qualite-au-dela-des-erreurs-des-risques-juridiques-et-ethiques/
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IA générative : ChatGPT viole le principe d'exactitude des données protégé par le RGPD, selon Noyb
bfmtv.com - par Kesso Dialo
Publié le 20 mars 2025
Noyb dépose sa deuxième plainte contre le roi de l'IA générative, OpenAI, et son chatbot ChatGPT. L'association présidée par le militant Max Schrems l'accuse de violer le principe d'exactitude des données personnelles, protégé par le RGPD, en raison de la génération d'hallucinations.
Représenté par l'association de protection de la vie privée en ligne noyb, Arve Hjalmar Holmen a porté plainte contre OpenAI après que ChatGPT a inventé de fausses informations sur lui, affirmant qu'il avait tué deux de ses enfants.
"Ce qui me fait le plus peur, c'est que quelqu'un puisse lire ceette [histoire] et la croire vraie". Ce jeudi 20 mars, le Norvégien Arve Hjalmar Holmen a porté plainte contre OpenAI, après que ChatGPT a inventé de fausses informations sur lui. Comme l'explique l'association de protection de la vie privée en ligne noyb, qui le représente, lorsqu'il a voulu savoir si le chatbot avait des informations à son sujet, celui-ci lui a donné une "histoire d'horreur inventée de toutes pièces".
ChatGPT a en effet affirmé qu'il était un criminel qui avait été condamné à 21 ans de prison pour l'assassinat de deux de ses enfants et pour avoir tenté d'assassiner son troisième fils. Un récit qui incluait de vraies informations sur sa vie, à savoir le nombre et le sexe de ses enfants, mais aussi le nom de sa ville natale.
Violation du RGPD
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Meta déploie son outil d’intelligence artificielle conversationnel en France, qui sera disponible sur WhatsApp, Instagram et Facebook
leMonde.fr - par Le Monde
Publié le 20 mars 2025
Le robot conversationnel pourra répondre aux questions avec des informations collectées sur Internet ou s’engager dans des conversations plus légères.
Disponible depuis un an et demi aux Etats-Unis, l’intelligence artificielle (IA) de Meta se déploie à présent en Europe. Jeudi 20 mars, la firme américaine, propriétaire des réseaux sociaux Facebook et Instagram, ainsi que des messageries WhatsApp et Messenger, a annoncé la disponibilité, dans le courant de cette semaine, en France et dans quarante autres pays européens, de son outil d’IA, Meta AI, sur ses plateformes phares. Celui-ci pourra être sollicité gratuitement par les internautes dans leurs conversations individuelles et à plusieurs ou directement par le biais d’un assistant intégré aux applications.
Comme le robot conversationnel ChatGPT, l’intelligence artificielle de Meta sera capable de générer des réponses textuelles à partir de requêtes rédigées à l’écrit, et ce dans six langues européennes, explique l’entreprise de Mark Zuckerberg. Sur WhatsApp, par exemple, l’une des principales nouveautés consistera à permettre aux utilisateurs d’interpeller Meta AI grâce au mot @MetaAI et de lui soumettre des consignes (« prompts ») à l’écrit. Une fonctionnalité réservée dans un premier temps à WhatsApp et qui sera progressivement étendue aux conversations Messenger et Instagram.
Désinformation
ChatGPT est infesté par la désinformation russe… et, attention, Donald Trump veut aussi l’influencer
Le réseau Pravda, basé à Moscou, injecte des masses considérables de faux contenus dans les services d’IA d’OpenAI comme de Google. En parallèle, l’administration américaine somme les scientifiques de l’IA d’éliminer les «biais idéologiques» de leurs modèles
Paiement électronique
Paiements bloqués, taxes, fin de l’argent liquide… que nous réserve vraiment l’euro numérique ?
journaldugeek.com - par Amandine Jonniaux
Publié le 18 mars 2025
Le projet d’euro numérique avance et pourrait devenir réalité dès octobre 2025, comme l’a récemment annoncé Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE).
À mesure que cette échéance approche, la désinformation s’intensifie sur les réseaux sociaux. Des publications alarmistes évoquent un outil de surveillance généralisée, de contrôle des transactions et même de taxation automatique. Face aux rumeurs qui se propagent sur X, TikTok et Facebook, on fait le point sur ce que représente vraiment cet euro dématérialisé.
L’euro numérique, c’est quoi ?
En préparation depuis plusieurs années déjà, l’euro numérique s’articule autour de deux concepts majeurs. D’une part, il servirait aux échanges interbancaires, aspect qui ne concerne pas directement le grand public. D’autre part, il serait disponible pour les transactions quotidiennes des particuliers. C’est cette seconde dimension qui cristallise aujourd’hui les inquiétudes. L’euro numérique fonctionnerait comme une version dématérialisée de notre monnaie actuelle, permettant des paiements même sans connexion internet (via Bluetooth par exemple). Il s’agirait simplement d’une nouvelle forme de l’euro, complémentaire aux espèces et aux moyens de paiement électroniques existants.
Un traçage total des paiements ?
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2025/03/18/paiements-bloques-taxes-fin-de-largent-liquide-que-nous-reserve-vraiment-leuro-numerique/
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BCE: l’euro numérique réduira la dépendance aux systèmes de paiement étrangers
allonews.ch - par AWP/AFP
Publié le 20 Mar 2025
Pour le chef économiste Philip Lane, l’euro numérique, fort d’un statut de monnaie légale, permettrait de «surmonter la fragmentation persistante des systèmes de paiement de détail» dans la zone euro.
L’euro numérique serait pour l’Europe un outil de souveraineté, en permettant de réduire la dépendance aux systèmes de paiement étrangers qui comportent un risque de pression économique, a estimé jeudi un haut responsable de la BCE.
Les consommateurs doivent généralement recourir à des prestataires de cartes ou de portefeuilles numériques non européens pour effectuer leurs paiements dans la zone euro: Visa, Mastercard et les Big Tech y captent 65 % des paiements par carte et 10% des paiements mobiles, ce segment affichant une croissance annuelle à deux chiffres
«Cette dépendance expose l’Europe à des risques de pression économique et de coercition, avec des implications sur son autonomie stratégique, en limitant sa capacité à contrôler des aspects essentiels de son infrastructure financière», a averti Philip Lane, chef économiste de la BCE, lors d’un discours à Cork, en Irlande.
En recourant aux cartes, applications et autres «stablecoins» - des devises numériques adossées à des monnaies classiques - les acteurs européens sont «vulnérables à des changements de conditions d’utilisation ou à des menaces de retrait de service», en plus de devoir supporter un coût pour les paiements, a-t-il ajouté.
Désinformation
[Esprit défense n°14] Désinformation : la vérité malmenée
défense.gouv.fr - par Direction : Ministère des Armées
Publié le 17 mars 2025
Le quatorzième numéro d’Esprit défense, le magazine du ministère des Armées réalisé par la DICoD*, est disponible. Découvrez notre dossier consacré à la guerre informationnelle et à la manière dont la France s’organise pour faire face à la désinformation, devenue une véritable arme de déstabilisation.
La désinformation a toujours existé en temps de guerre, mais la révolution numérique – et surtout l’émergence des réseaux sociaux – ont bouleversé cette pratique. Autrefois national et réservé aux institutions médiatiques reconnues, le champ informationnel est devenu mondial et ouvert à une quantité infinie de contributeurs. Il n’a donc jamais été aussi simple de polluer le flux d’informations publiées quotidiennement, avec de faux contenus conçus spécifiquement pour déstabiliser l’adversaire. Dans un contexte international tendu, ces manœuvres d’ingérence et de déstabilisation ont pris une ampleur sans précédent. Quel est l’état de la menace et comment la France se protège-t-elle ? Ce numéro d’Esprit défense vous plonge au cœur d’une lutte sans relâche.
Au sommaire également : un entretien avec le général de corps d’armée Jacques Langlade de Montgros. En tant que directeur du renseignement militaire (DRM) depuis bientôt trois ans, il explique comment son service s’adapte à l’évolution du contexte international, en menant une transformation à la fois stratégique, organisationnelle et numérique. Dans la rubrique « Esprit d’équipe », partez à la rencontre de réservistes de la Marine nationale, qui expérimentent les nouvelles flottilles de réserve côtières.
Bonne lecture !
Lire la suite : https://webmail.viaduc.fr/?_task=mail&_mbox=ADCET%2FPablo%2FRP%20ADCET%20Novembre%202024
Cybersécurité
Comment l’IA Révolutionne le Crime Organisé en 2025
viralmag.fr - par Steven Soarez
Publié le 18 mars 2025
Imaginez un monde où les criminels ne se cachent plus dans l’ombre, mais derrière des lignes de code sophistiquées. D’après une source proche des autorités européennes, l’intelligence artificielle (IA) est en train de redessiner les contours du crime organisé, offrant aux malfrats des outils aussi puissants qu’effrayants. Entre la création de contenus illicites et le blanchiment d’argent via des technologies insaisissables, l’IA devient un allié de choix pour les réseaux criminels. Mais jusqu’où cette révolution technologique peut-elle nous mener ?
L’IA : Un Catalyseur pour le Crime Moderne
Les progrès technologiques ne profitent pas qu’aux entreprises ou aux citoyens lambda. Selon un récent rapport, ils sont exploités à grande échelle par des organisations criminelles pour optimiser leurs activités. L’IA, avec sa capacité à traiter des données massives et à générer des contenus réalistes, est devenue un levier incontournable pour ces groupes. Mais comment cette technologie, initialement conçue pour simplifier nos vies, est-elle détournée à des fins aussi sombres ?
Une Arme au Service de la Cybercriminalité
La **cybercriminalité** atteint des sommets inédits grâce à l’IA. Les criminels s’en servent pour pirater des systèmes, usurper des identités ou encore orchestrer des fraudes complexes. Par exemple, des algorithmes avancés permettent de créer des campagnes de phishing ultra-ciblées, rendant les arnaques presque indétectables. Cette sophistication inquiète les autorités, qui peinent à suivre le rythme effréné des innovations.
Lire la suite : https://viralmag.fr/comment-lia-revolutionne-le-crime-organise-en-2025/
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Cybercriminalité et IA : l'Europe face à une montée des dangers
telesatellite.com - par Carlos PIRES
Publié le 20 mars 2025
Le rapport EU-SOCTA 2025 d'Europol met en lumière les menaces sécuritaires qui connaissent la croissance la plus rapide en Europe, révélant une sophistication accrue des réseaux criminels dans sept domaines clés.
Ces évolutions préoccupantes soulignent l'urgence de renforcer les stratégies de lutte contre la criminalité organisée.
Parmi ces domaines, on trouve les cyberattaques, notamment les rançongiciels, qui ciblent de plus en plus les infrastructures critiques, les gouvernements, les entreprises et les particuliers. Certaines de ces attaques sont alignées sur des objectifs étatiques, amplifiant leur impact et leur complexité.
Fraude en ligne et ingénierie sociale : les systèmes de fraude en ligne exploitent l'intelligence artificielle pour mener des campagnes d'ingénierie sociale sophistiquées. L'accès à des bases de données contenant des informations personnelles volées facilite ces pratiques, augmentant les risques pour les individus et les organisations.
Lire la suite : https://www.telesatellite.com/actu/66516-cybercriminalite-et-ia-europe-face-une-montee-des-dangers.html
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Comment les IA facilitent le vol de vos données ? Les risques et les solutions
zdnet.fr - par Lance WHITNEY
Publié le 19 mars 2025
Les cybercriminels utilisent des robots d'IA automatisés pour générer de multiples tentatives de connexion sur divers services. Et la situation est sur le point de s'aggraver.
La cybercriminalité profite des avancées de l'intelligence artificielle pour agir plus rapidement, plus efficacement et de manière plus sophistiquée. En combinant robots automatisés, piratages de comptes et ingénierie sociale, les escrocs aguerris affinent leurs techniques grâce à l'IA.
Un rapport de Gartner met en lumière cette évolution. Et alerte sur les risques croissants pour l'avenir.
Les comptes en ligne sont une cible privilégiée des cybercriminels, principalement en raison de la faiblesse des systèmes d’authentification, explique Jeremy D’Hoinne, vice-président et analyste chez Gartner. Pour obtenir les mots de passe, les attaquants exploitent différentes techniques, telles que les violations de données.
L’argent nerf de la guerre sur l’IA et la cybersécurité en France
L'IA facilite le piratage
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/comment-les-ia-facilitent-le-vol-de-vos-donnees-les-risques-et-les-solutions-408352.htm
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Arnaques : attention aux cartes de fidélité !
capital.fr - par Noah Sdiri
Publié le 15 mars 20258
Les cartes de fidélité, prisées pour leurs avantages, exposent aussi les consommateurs à des risques de cybercriminalité. Une enquête révèle comment des hackers exploitent ces programmes pour orchestrer des fraudes bancaires, mettant en lumière la vulnérabilité des données personnelles collectées par les enseignes de grande distribution.
Les cartes de fidélité, omniprésentes dans la grande distribution, permettent d’accéder à des promotions et des réductions attractives. Mais derrière cet avantage commercial peut se cacher une menace pour la sécurité des consommateurs. Une enquête du 20 heures de TF1 diffusée le 15 mars 2025 révèle que ces programmes peuvent être exploités par des cybercriminels pour orchestrer des arnaques bancaires sophistiquées.
Lorsqu’un client souscrit à une carte de fidélité, il fournit de nombreuses informations personnelles : nom, adresse, numéro de téléphone, adresse e-mail et parfois même son RIB. «On donne l’adresse, on donne le téléphone, on donne le mail», confirme une consommatrice interrogée par TF1. Ces données, en apparence anodines, sont en réalité précieuses pour les hackers.
À lire aussi : Faux ordres de virement : comment ne pas se faire avoir ?
De nombreuses informations sensibles
Lire la suite : https://www.capital.fr/conso/arnaques-attention-aux-cartes-de-fidelite-1510444
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Sécurité informatique : un niveau élevé de cybermenaces en 2024
viepublique.fr - par la Rédaction
Par : La Rédaction
Publié le 17 mars 2025
Les attaquants liés à l’écosystème cybercriminel ou réputés liés à la Chine et à la Russie sont les "trois principales menaces" tant pour les systèmes d'information les plus critiques que pour l'écosystème national, révèle le panorama de la cybermenace 2024.
L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) a publié, le 11 mars 2025, le Panorama de la cybermenace 2024 qui relève 4 386 "événements de sécurité" (dont 3 004 signalements et 1 361 incidents), soit une augmentation totale de 15% par rapport à 2023.
Ce panorama présente les principales vulnérabilités exploitées, les moyens déployés par les attaquants, ainsi que les finalités de leurs actions.
Dans cette nouvelle édition du panorama, l’Anssi met en évidence trois principales menaces :
• les cybercriminels ;
• les attaques à finalité d'espionnage réputées liées aux intérêts stratégiques russes ;
• les modes opératoires d'attaquants réputés liés à la Chine visant à capter des renseignements stratégiques et économiques.
Répartition des victimes d'attaques par le biais de rançongiciels
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/297679-un-niveau-eleve-de-cybermenaces-en-2024
Thales
THALES PILOTE LE CONSORTIUM EISNET POUR RENFORCER LA DÉFENSE AÉRIENNE EUROPÉENNE
Publié le 20 mars 2025
Officiellement lancé le 1er décembre 2024, le consortium EISNET s'est réuni fin janvier 2025 en présence de 65 représentants de haut niveau de l'industrie européenne, des centres de recherche, des universités, de la Commission européenne et des États membres. Le projet établira un ensemble commun de normes et présidera à la création de prototypes et au développement de scénarios de démonstration.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-pilote-le-consortium-eisnet-renforcer-defense
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Thales va fournir une suite sonar complète pour les futurs sous-marins néerlandais
meretmarine.com - Par Vincent Groizeleau
Publié le 20 mars 2029
Choisi par les Pays-Bas pour réaliser ses quatre futurs sous-marins de la classe Orka, Naval Group a notifié à Thales le contrat portant sur la fourniture des moyens acoustiques de ces bâtiments, qui sortiront du chantier de Cherbourg dans les années 2030. Ils disposeront d’une suite sonar complète, en particulier une double antenne de flanc et même une toute nouvelle antenne linéaire remorquée basée sur une technologie innovante développée par une startup néerlandaise. Un programme majeur pour Thales, d’autant qu’il s’agit de son premier contrat pour des sous-marins français vendus à l’export depuis plus de 15 ans.
C’est un marché à plusieurs centaines de millions d’euros pour l’un des systèmes les plus critiques des futurs sous-marins de la Koninklijke Marine, réalisés dans le cadre du programme RNSC (Replacement Netherlands Submarine Capability). Le groupe d’électronique français Thales a donc signé le contrat portant sur la fourniture de la suite sonar qui équipera ces bâtiments, qui vont être construits par Naval Group. Des systèmes cruciaux puisqu’ils seront « les yeux et les oreilles des sous-marins en plongée », comme le résume parfaitement le vice-président Bâtiments de surface et Sous-marins chez Thales. Il s’agit de leur donner « une vision panoramique sans équivalent de l’environnement sous-marin, permettant de détecter, localiser et classifier toutes les menaces à courte, moyenne et longue distance, sur une large gamme de fréquences ». Au cours d’un brief avec quelques journalistes auquel Mer et Marine a participé, Emmanuel Michaud a détaillé les équipements retenus pour les sous-marins néerlandais et l’importance de ce contrat pour le groupe.
Une suite « fortement inspirée » de celle des nouveaux SNA français
Lire la suite : https://www.meretmarine.com/fr/defense/thales-va-fournir-une-suite-sonar-complete-pour-les-futurs-sous-marins-neerlandais
Mobilité
Mobilité militaire et cybersécurité : l'Europe veut monter en puissance dans les transports
pressreader.com - par Léo Barnier - La Tribune
Publié le 14 mars 2025
Les ministres des transports de l'Union européenne se réunissent la semaine prochaine à Varsovie, à l'appel de la Pologne, pour avancer sur le renforcement de la mobilité militaire et de la cybersécurité du secteur.
Les sujets de défense sont désormais partout. La réunion informelle des ministres des transports de l'Union européenne, qui se tiendra à Varsovie lundi et mardi, n'échappe pas à la règle. Dans le cadre de la présidence tournante de l'Union, qui lui reviendra au 1er janvier, la Pologne a mis deux sujets à l'agenda de cette réunion : la mobilité militaire et la cybersécurité dans les transports.
Concernant la mobilité militaire, il s'agit de renforcer la capacité de double usage des infrastructures de transports au sein de l'UE, afin de garantir la possibilité d'y faire passer des convois et matériels militaires. Cela se double d'un renforcement de la sécurité et de la résilience de ces infrastructures.
Les propositions françaises
Après la visite de sites locaux d'Airbus et Alstom et des rencontres avec un certain nombre de ses homologues, Philippe Tabarot, ministre des transports, viendra porter la parole de la France sur ces sujets. Selon le ministère, il devrait se positionner en faveur de ce renforcement de la résilience et la sécurité des infrastructures. Il s'agira pour lui d'avancer sur la possibilité d'avoir recours à de nouveaux financements en ce sens.
Lire la suite : https://www.pressreader.com/france/la-tribune-france/20250315/282059102775793
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Le passe Navigo Liberté+ bientôt disponible sur smartphones
lepoint.fr - Par Alexandra Jaegy pour Le Point
Publié le 09 mars 2025
À partir de juin, les utilisateurs de smartphones Android et Apple pourront accéder au Navigo Liberté +. La région souhaite numériser tous les titres de transport.
Le dispositif Navigo Liberté+ continue de gagner du terrain auprès des usagers occasionnels des transports en commun. Ce mode de facturation, basé sur un prélèvement mensuel en fonction des trajets réellement effectués, a récemment dépassé le million de souscriptions. Une progression notable, annoncée par Valérie Pécresse (LR), présidente de la région et d'Île-de-France Mobilités (IDFM), relate Le Parisien ce dimanche 9 mars. Depuis novembre 2024, le nombre d'adhérents a presque doublé.
Liberté+ devrait être accessible « au mois de juin » sur les smartphones Android et iOS (Apple). « Cela veut dire que vous pourrez juste passer votre smartphone, même éteint je précise, sur le valideur, et circuler où vous voulez. Vous aurez ainsi les correspondances métro-train-bus ou tram gratuites. Liberté+, je l'ai voulu parce qu'il faut s'adapter aussi aux télétravailleurs », a détaillé Valérie Pécresse.
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"Ça rame un peu à Paris »: PÉCRESSE annonce des « hausse régulières » mais modérées du Navigo
bfmtv.com - par Gabriel Joly
Publié le 09 mars 2025
Dans un entretien publié par Le Parisien ce dimanche 9 mars, la présidente de la région Île-de-France s'est longuement exprimée sur la question des transports franciliens, qu'elle considère comme l'une des "réussites" de sa présidence débutée en 2015.
"C’est une de mes plus grandes fiertés." Au moment d'évoquer le thème des transports en Île-de-France au détour d'un entretien fleuve accordé au Parisien, Valérie Pécresse s'est félicitée du virage entrepris depuis son arrivée à la présidence de la région, il y a près de 10 ans.
Dans les six prochaines années, pas moins de 300 kilomètres de lignes de métro doivent ouvrir dans le cadre du Grand Paris Express. Une opération qui nécessite de lourds investissements selon celle dont le second mandat s'achèvera en 2028. Elle assure ce dimanche 9 mars que les hausses du pass Navigo resteront "modérées" par rapport au prix actuel de 88,80 euros par mois.
"Je peux m’engager aujourd’hui et dire que le pass Navigo n’augmentera pas d’ici 2031 de plus de l’inflation +1% chaque année. Nous aurons des hausses régulières mais elles seront très modérées", détaille-t-elle dans les colonnes du média local, à l'aune d'un accord conclu en septembre 2023 avec le gouvernement d'Elisabeth Borne.
Lire la suite : https://www.bfmtv.com/paris/ca-rale-un-peu-a-paris-pecresse-annonce-des-hausses-regulieres-mais-moderees-du-navigo_AN-202503090281.html
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Le pass Navigo Liberté+ disponible en juin sur iPhone et Android
igen.fr - par Stéphane Moussie
Publié le 10 mars 2025
Encore un peu de patience pour les Franciliens qui veulent profiter d’un titre de transport avantageux sur leur smartphone. Annoncée initialement pour le printemps, la version iPhone et Android du pass Navigo Liberté+ sera finalement disponible en juin, a indiqué Île-de-France Mobilités au Parisien.
Ce pass permet de payer ses trajets à l’unité avec des tarifs réduits et sans engagement ni période minimum. Par exemple, un trajet en métro/train/RER coûte 1,99 € au lieu de 2,50 € par rapport à un ticket classique. Les déplacements sont comptabilisés chaque mois et facturés le mois suivant.
Alors que la tarification des transports en commun à Paris et dans sa région a complètement été revue en début d’année, le nombre d’utilisateurs du Navigo Liberté+ en version physique a presque doublé depuis novembre dernier et vient de dépasser le cap du million.
La majorité des titres de transports franciliens sont disponibles sur iPhone depuis l'année dernière. Ils s'achètent directement depuis l'application Cartes d'Apple, à l'exception des Navigo Semaine et Mois qui demandent de passer par l'application Île-de-France Mobilités. Après l’arrivée du Navigo Liberté+ au mois de juin, il ne manquera plus à l’iPhone que le pass Navigo annuel. Celui-ci est prévu pour la fin de l’année.
Lire la suite : https://www.igen.fr/services/2025/03/le-pass-navigo-liberte-disponible-en-juin-sur-iphone-et-android-148917
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Le Comité Piétons du 17e : une avancée majeure pour la mobilité douce
Publié le 11 mars 2025
La Mairie du 17e arrondissement met en place le premier Comité Piétons de Paris, un espace dédié à la sécurité et au confort des déplacements piétons. Cette initiative, qui est une première à Paris, vise à replacer les piétons au cœur des politiques de mobilité urbaine.
Un engagement pour améliorer les déplacements piétons
Le Comité Piétons du 17e a pour mission de :
Des actions concrètes pour un arrondissement plus accessible
Pour remplir ses objectifs, le Comité Piétons travaillera sur plusieurs thématiques clés :
Le 17e jouera un rôle pilote dans la mise en œuvre et l’expérimentation de ces initiatives.
Un comité inclusif et participatif
Lire la suite : https://mairie17.paris.fr/pages/le-comite-pietons-du-17e-une-avancee-majeure-pour-la-mobilite-douce-30470
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Vers une stratégie de mobilité durable en territoire peu dense : le cas de la communauté de communes des Sources de l'Orne
Publié le 12 mars 2025
Le territoire rural de la communauté de communes des Sources de l'Orne (CCSO) fait face à des défis en matière de mobilité durable. Majoritairement structuré autour des déplacements en voiture, le territoire a sollicité le Cerema pour développer les alternatives à la voiture individuelle tout en améliorant l'accessibilité à ses pôles de services, notamment à Sées, principale ville de la CCSO. L’objectif est de favoriser les mobilités douces, le covoiturage, l’intermodalité, tout en optimisant l’usage de l’automobile pour les déplacements quotidiens (domicile-travail, commerce, scolarité). Cette stratégie vise à renforcer l'attractivité du territoire tout en répondant aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux.
La mission du Cerema a été structurée en trois phases : un diagnostic approfondi pour identifier les enjeux de mobilité, l'élaboration de scénarios de mobilité adaptés aux spécificités locales et la mise en œuvre d'un plan d'actions opérationnel articulé autour de quatre axes stratégiques.
Le diagnostic et l’identification des enjeux
Le diagnostic réalisé par le Cerema a révélé plusieurs défis majeurs pour l’organisation des mobilités sur le territoire de la CCSO. Le principal constat est la forte dépendance à la voiture individuelle due à une offre de transport collective limitée et à une forte dispersion territoriale, typique des zones rurales à faible densité. Cette dépendance génère des inégalités d’accès aux services de proximité, notamment pour les habitants des communes périphériques.
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/strategie-mobilite-durable-territoire-peu-dense-cas
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Mobilités: Axel Sibert propose la création d'une troisième ligne de tram dans la métropole dijonnaise
infos-dijon.com - par Jean-Christophe Tardivon
Publié le 13 mars 2025
Quatre communes traversées, 10 km de voies en deux itinéraires... l'équipe du Laboratoire d'idées dijonnais a phosphoré pour définir un projet «clair et ambitieux». Le conseiller municipal d'opposition l'a dévoilé, ce jeudi 13 mars, à Dijon.
«Les mobilités, c'est un des points clés de la prochaine campagne», selon Axel Sibert (LR). Ce jeudi 13 mars 2025, près de la gare de Dijon, le conseiller municipal d'opposition et président du Laboratoire d'idées dijonnais (LID) a présenté un projet concernant le développement du réseau de transports urbains de la métropole dijonnaise.
Autour de la table, étaient présents également Clémentine Barbier (sans étiquette), conseillère départementale de la Côte-d'Or, élue sur le cantion Dijon 1, Julien Avril, médecin et référent en santé du LID, Nicolas Louvrier, agent territorial et référent en aménagement du territoire du LID, Caty Williams, adhérente du LID et ancienne élue de la majorité municipale de Robert Poujade, ainsi que Charles Bourgadel (LR), venu soutenir le projet à titre personnel.
«Soulager la rocade d'une partie de ses usagers»
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Mobilités : vers la fin des monopoles locaux sur les services numériques multimodaux ?
courrierdesmaires.fr - par Danier Lauret
Publié le 10 mars 2025
Saisie par une société bordelaise, l'Autorité de régulation des transports a rendu, en octobre 2024, dix décisions inédites en matière de service numérique multimodal (SNM). Si le gendarme de la mobilité estime qu’elles ont permis de clarifier le cadre juridique et de favoriser le développement des SNM, plusieurs autorités organisatrices de transports craignent que cette série de décisions ne traduise une vision libérale de la mobilité et active la concurrence sur le marché de la vente de titres dématérialisés… sans gain réel pour les usagers. Explications.
Les usagers des transports en commun auront-ils bientôt l’embarras du choix des applications pour acheter des tickets de transports en commun permettant de se déplacer indifféremment à Orléans, Toulon, Bordeaux, Strasbourg ou Saint-Etienne ? Une série de décisions inédites prises par l’Autorité de régulation des transports en octobre dernier semble avoir poussé en ce sens.
Application de la loi d’orientation des mobilités
Lire la suite (réservé aux abonnés) : https://www.courrierdesmaires.fr/article/mobilites-vers-la-fin-des-monopoles-locaux-sur-les-services-numeriques-multimodaux.58721?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=cdm_flash&email=98870165&idbdd=2101928
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Mobilité, fracture numérique… À Carhaix, les entreprises s’engagent
Ouest-France par Carhaix Plouquer
Publié le 09 mars 2025
Lors de rencontres, France travail évoque ces problèmes et surtout cherche avec les entreprises des solutions pour permettre un meilleur retour à l’emploi sur le territoire de Carhaix.
Jeudi, à l’agence France travail, un petit déjeuner organisé par France travail avec le club Les entreprises s’engagent et Terr’moov a réuni huit entreprises du territoire pour échanger sur les thématiques d’inclusion et de mobilité.
Se parler et échanger, voilà le but de ces rencontres entre France travail et des acteurs du territoire. Alors en jeudi matin, Ségolène Vasseur, directrice de l’agence de Carhaix (Finistère), a présenté des éléments sur le contexte économique et la demande d’emploi du bassin, ainsi que des données autour des problématiques de mobilité. “ [C’est] le principal frein exprimé par les demandeurs d’emploi mais aussi le frein numérique ”, rappelle-t-elle.
Un frein mobilité
En effet, selon les statistiques, 13,3 % des demandeurs d’emploi déclarent un frein mobilité dans leur recherche d’emploi, contre 8,4 % dans le Finistère. Ce taux monte à 19 % pour les jeunes et les personnes en situation de handicap. De son côté, Fanny Legrand Godard, animatrice des « Entreprises s’engagent » Finistère, a présenté son réseau qui compte 313 entreprises membres dans le département : elles s’engagent sur des thématiques comme l’inclusion, le handicap, l’inclusion numérique, la mobilité… “ À titre d’illustration, une entreprise membre du club recrute deux fois plus de jeunes et de personnes en situation de handicap. ”
Bientôt une maison des mobilités
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Nîmes Métropole aura son réseau de vélos en libre-service cet été
lesechos.fr - Par Hubert Vialatte
Publié le 13 mars 2025
250 vélos à assistance électrique répartis dans 35 stations seront disponibles dans la métropole de Nîmes. Baptisé 'NemoVélo', ce service devrait être mis en place fin mai et sera exploité par l'entreprise nantaise EcoVelo.
Il était temps. Nîmes (Gard) va enfin avoir son réseau de vélos en libre-service. 35 stations seront ainsi installées dans la ville de Nîmes d'ici cet été, mettant à disposition près de 250 vélos à assistance électrique en libre-service, a annoncé Nîmes Métropole le 4 mars. Troisième ville d'Occitanie par le nombre d'habitants, avec 150.000 habitants, derrière Toulouse et Montpellier, Nîmes a tardé à proposer ce service.
« Ce fut un travail de longue haleine. Nous faisons rentrer la mobilité douce dans le XXIe siècle. Nîmes Métropole n'avait pas encore ce service. On a fait des choix courageux, l'implantation irriguera l'Ecusson élargi. L'aspect esthétique est aussi présent. Le service sera lancé d'ici à l'été, mais l'objectif est fin mai », reconnaît Franck Proust, président LR de Nîmes Métropole , dans « Midi Libre ».
Le service reposera sur deux types de stations : 60 % électrifiées, permettant la recharge des vélos sur place, pour une meilleure disponibilité, et 40 % de stations passives, sous forme d'arceaux vélos. Une équipe sera déployée pour remplacer les batteries déchargées des vélos garés sur les stations passives, afin de permettre aux usagers d'avoir toujours un vélo en état de marche, précise la collectivité.
Lire la suite : https://www.lesechos.fr/pme-regions/occitanie/nimes-metropole-aura-son-reseau-de-velos-en-libre-service-cet-ete-2153712
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« Route de demain » : la région IDF soutient les projets de mobilité durable
versaillesgrandparc.fr - Publié le 10 mars 2025
La région Île-de-France s'engage à soutenir jusqu’à 50 % du montant des projets visant à moderniser et à améliorer les usages de la route, afin de réduire la congestion routière et de préparer le développement des infrastructures routières de demain.
L'objectif est de rendre ces usages plus efficaces et respectueux de l'environnement.
Deux types de projets sont retenus :
Liste des bénéficiaires après étude du dossier : Collectivités locales, État, Établissements publics, Universités et organismes de recherche, Entreprises au sens du droit européen, Associations
Lire la suite : https://www.versaillesgrandparc.fr/actualites/detail/route-de-demain-la-region-idf-soutient-les-projets-de-mobilite-durable
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Employeurs : des outils et ressources pour optimiser vos déplacements et leurs coûts
agirpourlatransition.ademe.fr - Communiqué
Évènement à distance du 13 mars 2025
Employeurs, découvrez des outils et ressources pour améliorer le bien-être au travail, réduire les coûts, l’empreinte carbone et optimiser vos déplacements.
Public concerné : Collectivités, Entreprises.
Cet événement s'adresse aux employeurs publics ou privés, quel que soit le domaine d'activité.
Présentation
Quels sont les enjeux des employeurs en matière de mobilité durable ? Quel est le cadre juridique sur le sujet ? Quelles sont les actions à mettre en œuvre pour optimiser les déplacements ? Quelles sont les ressources et les outils disponibles ? Quels sont les retours d’expérience des employeurs ?
Pour répondre à ces questions, nous vous donnons rendez-vous jeudi 13 mars, avec Aurélie Montigny, Responsable du pôle Mobilités Durables chez ekodev, Séverine Boulard, Coordinatrice thématique Management de la mobilité et changement de comportement à l’ADEME et Julie Gozlan, Cheffe de projet Mobilité à la DGITM.
À ne pas manquer également, les retours d’expérience de Nassera Ouzrara, Chargée de projets mobilités d’Amiens Métropole et de Frédéric Dohet, Directeur RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) de RTE (Réseau de Transport d’Électricité).
Programme du jeudi 13 mars 2025
Lire la suite : https://agirpourlatransition.ademe.fr/entreprises/recherche-agenda/mobilite-durable-employeurs-ressources-outils
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Mobilités : vers la fin des monopoles locaux sur les services numériques multimodaux ?
courrierdesmaires.fr - par Danier LAURET
Publié le 10 mars 2025
Saisie par une société bordelaise, l'Autorité de régulation des transports a rendu, en octobre 2024, dix décisions inédites en matière de service numérique multimodal (SNM). Si le gendarme de la mobilité estime qu’elles ont permis de clarifier le cadre juridique et de favoriser le développement des SNM, plusieurs autorités organisatrices de transports craignent que cette série de décisions ne traduise une vision libérale de la mobilité et active la concurrence sur le marché de la vente de titres dématérialisés… sans gain réel pour les usagers. Explications.
Les usagers des transports en commun auront-ils bientôt l’embarras du choix des applications pour acheter des tickets de transports en commun permettant de se déplacer indifféremment à Orléans, Toulon, Bordeaux, Strasbourg ou Saint-Etienne ? Une série de décisions inédites prises par l’Autorité de régulation des transports en octobre dernier semble avoir poussé en ce sens.
Application de la loi d’orientation des mobilités
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.courrierdesmaires.fr/article/mobilites-vers-la-fin-des-monopoles-locaux-sur-les-services-numeriques-multimodaux.58721?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=cdm_flash&email=98870165&idbdd=2101928
Numérique
Transformation numérique des collectivités : ce qu'il leur reste à faire en dix chiffres-clés
La direction interministérielle du numérique (Dinum), via son programme Transformation numérique des territoires, et le réseau Déclic, fédérateur des Opérateurs publics de services numériques, ont dévoilé fin février les premiers résultats de leur baromètre Numérique et collectivités. Objectif affiché : établir un état des lieux précis des usages numériques en leur sein et mesurer l’impact des actions conjointes de l’État et des acteurs territoriaux sur la transformation numérique.
Médiation, cybersécurité, formation des agents ou élus… Les dix chiffres à retenir de cette première édition fondée sur les réponses de quelque 3 000 collectivités.
• 26 % des collectivités disposent de lieux de médiation numérique ; 28 % proposent des actions de médiation.
• Les actions de médiation proposées sont principalement l’accompagnement aux compétences numériques (77 %), aux démarches administratives (77 %) et à l’accès au réseau internet (62 %).
• 44 % des actions des médiations menées visent l’accompagnement aux droits.
CNIL
Mission éthique : publication du cahier air2024 « La surveillance dans tous ses états. Quelle éthique pour (protéger) nos libertés ? »
cnil.fr - Communiqué
Publié le 11 mars 2025
Dans le cadre de sa mission éthique, la CNIL publie, avec la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR), son cahier air2024 à la suite du colloque du 19 novembre 2024 sur le thème de la surveillance. Il reprend les interventions sous la forme d’entretiens et de témoignages.
Une surveillance présente dans tous les compartiments de nos vies
En 2013, Edward Snowden révélait la surveillance massive pratiquée par les services de renseignement aux États-Unis et en Europe. Aujourd'hui, avec l'essor des technologies et de l'IA, la surveillance est omniprésente, exercée par tous, et fait partie intégrante de nos vies connectées. « Big Brother » a évolué vers « Big Other » où chacun est à la fois surveillant et surveillé. Les outils numériques, tout en pouvant servir de contre-pouvoir, renforcent également la surveillance de masse et peuvent affaiblir nos libertés. La faille de sécurité de l'application Strava, qui a permis de suivre les déplacements de dirigeants mondiaux, illustre les risques associés à l'utilisation des données personnelles. Shoshana Zuboff décrit ce qu'elle nomme le « capitalisme de surveillance », un modèle où les données personnelles sont monétisées, entraînant une perte de vie privée.
Surveillants mais aussi contrôlés, les services de renseignement français agissent, en France, dans un cadre juridique défini par la loi. Ils sont ainsi soumis à des contrôles de leurs activités par diverses instances dont la CNCTR qui exerce une action continue de contrôle sur l’utilisation des techniques de renseignement, permettant d’assurer une transparence sans révéler les méthodes opérationnelles. Ce contrôle est essentiel et participe activement à la fonction de « tiers de confiance » vis-à-vis du citoyen, dans la mesure où la CNCTR rend compte de son activité. Pour être effectif, ce contrôle repose également sur un dialogue technique avec les services permettant à la fois de mieux appréhender les évolutions technologiques en matière de surveillance et d’en tirer les conséquences tant en matière de respect du cadre légal, que déontologique ou éthique.
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/cahier-air2024
RGPD
RGPD et transidentité: la CJUE bouleverse le paysage juridique européen
ordreavocats-cussetvichy.fr - par Hilda Reynolds
Publié le 14 mars 2025
Dans un arrêt remarqué, la Cour de Justice de l’Union Européenne vient de trancher une question sensible à l’intersection de la protection des données personnelles et des droits des personnes transgenres. Cette décision historique établit de nouvelles balises concernant le traitement des données relatives à l’identité de genre, redéfinissant l’équilibre entre droit à la vie privée et obligations de conservation des données. Pour les États membres comme pour les organisations, les implications sont considérables et nécessitent une adaptation rapide des pratiques administratives et des systèmes d’information.
La décision de la CJUE: une interprétation novatrice du RGPD
La Cour de Justice de l’Union Européenne a rendu une décision fondamentale concernant l’application du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) aux questions de transidentité. L’arrêt répond à une question préjudicielle posée par une juridiction nationale confrontée à un litige opposant une personne transgenre à une administration qui refusait de modifier intégralement ses données personnelles historiques.
Au cœur de cette décision se trouve l’interprétation de l’article 5 du RGPD, qui établit les principes relatifs au traitement des données personnelles. La CJUE a clarifié que les informations relatives à l’identité de genre antérieure d’une personne constituent des données sensibles au sens de l’article 9 du RGPD, nécessitant une protection renforcée. Cette qualification juridique n’était pas évidente jusqu’alors, certains États membres considérant ces informations comme de simples données administratives.
Lire la suite : https://ordreavocats-cussetvichy.fr/rgpd-et-transidentite-la-cjue-bouleverse-le-paysage-juridique-europeen/
Désinformation
Les jeunes, cibles privilégiées des campagnes de désinformation menées par la Russie
theconversation.com - par Carole Grimaud, Chercheure Sciences de l'Information IMSIC, Aix-Marseille Université (AMU)
Publié le 11 mars 2025
https://images.theconversation.com/files/653852/original/file-20250307-56-i0zj8n.png?ixlib=rb-4.1.0&rect=0%2C7%2C2534%2C1422&q=45&auto=format&w=926&fit=clip
Montage montrant un fake de Volodymyr Zelensky amplement diffusé sur des comptes pro-russes et, à droite, la vidéo d’origine. https://www.tf1info.fr/
Une enquête confirme que les jeunes se détournent de plus en plus des médias traditionnels et s’informent plus volontiers sur les réseaux sociaux, ce qui les rend plus perméables à des opérations de désinformation qui les ciblent spécifiquement.
Depuis le printemps 2022, plusieurs milliers d’influenceurs européens, dont des Français, auraient été approchés et, pour certains, payés pour diffuser des contenus favorables à la propagande menée par le Kremlin.
Les comptes de ces influenceurs sur TikTok ou Instagram n’avaient pas pour sujet la politique et encore moins la géopolitique. Pourtant, ce sont bien ces comptes, souvent humoristiques, suivis par de nombreux abonnés qui ont été visés pour y propager une « information » sortie de son contexte.
Pour comprendre la stratégie à long terme à l’œuvre derrière cette opération, il convient de se pencher sur les études de la réception et de l’interprétation des informations, particulièrement celles liées à la Russie. Le sujet, jusqu’ici inexploré, s’inscrit dans le cadre d’une thèse en cours dont la première recherche par l’auteure, faite auprès des jeunes, peut offrir quelques pistes de réflexion.
La résistance au consensus formé par les médias
Lire la suite : https://theconversation.com/les-jeunes-cibles-privilegiees-des-campagnes-de-desinformation-menees-par-la-russie-248615
Intelligence artificielle
Les outils d’IA comme ChatGPT ou Gemini utilisent des sites de propagande russe comme sources
lemonde.fr - Par Damien Leloup
Publié le 13 mars 2025
Plusieurs rapports récents montrent que les contenus publiés par les « fermes de contenus » pro-Kremlin alimentent certaines des réponses apportées par les IA conversationnelles.
Personne ou presque ne lit les centaines d’articles, publiés quotidiennement, par toute une myriade de sites de propagande russe. Personne, sauf les robots : une série d’articles de recherche publiés par les organisations de lutte contre la désinformation American Sunlight Project, Newsguard et le DFRLab, montrent que les contenus du réseau « Pravda », également appelé « Portal Kombat », font partie des textes absorbés par les outils d’intelligence artificielle (IA) grand public. Ils alimentent ainsi, dans certains cas, les réponses fournies à des questions sur la guerre en Ukraine ou la politique internationale.
Pravda est un groupe de sites de propagande dont l’activité est bien documentée. Cet ensemble de sites Web publie jusqu’à plus de 1 500 articles par jour, en cinq langues, pour défendre le Kremlin et dénigrer l’Ukraine et l’Occident. Son audience est quasi nulle : malgré l’utilisation de techniques avancées de référencement, l’organisme français de lutte contre la désinformation Viginum notait que, fin 2023, l’ensemble du réseau ne recevait que 31 000 visites par jour environ.
Lire la suite (réservée aux abonnés : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2025/03/13/les-ia-conversationnelles-utilisent-des-sites-de-propagande-russe-comme-sources_6580327_4408996.html?lmd_medium=email&lmd_campaign=trf_newsletters_lmfr&lmd_creation=pixels&lmd_send_date=20250315&lmd_email_link=call_titre_1&M_BT=60537202217561
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AI Factory France : la France muscle son avance en intelligence artificielle
alliancy.fr - par Tiago Gil
Publié le 14 mars 2025
La France consolide son leadership en intelligence artificielle avec le projet AI Factory France, sélectionné par le programme EuroHPC pour développer des infrastructures de calcul de pointe et renforcer la souveraineté technologique européenne.
La France vient de franchir une étape majeure dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) et du calcul haute performance. Le projet AI Factory France a été sélectionné dans le cadre du programme européen EuroHPC, confirmant l’excellence française en la matière. Une reconnaissance saluée par Philippe Baptiste, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, et Clara Chappaz, ministre déléguée à l’IA et au numérique. Porté par GENCI et en partenariat avec des acteurs académiques et industriels majeurs comme l’INRIA, le CNRS, le CEA, CINES, Station-F, HubFranceIA et Mission French Tech, AI Factory France intègre un réseau stratégique européen. L’objectif est de doter l’Europe d’une infrastructure de calcul de pointe, optimisée pour les besoins de l’IA. Les infrastructures françaises telles que le supercalculateur Jean Zay, en service depuis 2019, et le futur supercalculateur exascale Alice Recoque, prévu pour 2026, seront mises à disposition. Ces ressources soutiendront le développement d’un écosystème d’intelligence artificielle souverain, au service de la recherche et de l’industrie.
Fédérer l’écosystème IA français et européen
Lire la suite : https://www.alliancy.fr/ai-factory-france-la-france-muscle-son-avance-en-intelligence-artificielle
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L’IA la plus avancée vient d’émerger en Chine : voici pourquoi Manus fascine
DeepSeek vous a scotché, vous serez sidéré par Manus, un nouvel agent IA généraliste produit par la start-up chinoise Monica. Il se distingue par son autonomie et sa capacité à accomplir des tâches complexes sans supervision humaine alors que les autres agents IA ont besoin d'instructions précises. Encore en version bêta, il semble déjà surpasser leurs performances et réussit à tenir la dragée haute aux leaders occidentaux du secteur.
Ces derniers mois, la Chine a vu émerger de nombreux modèles de langage très compétitifs, rivalisant avec des solutions éprouvées comme les Américains ChatGPT et Claude ou encore le français Le Chat. Aujourd'hui, c'est Manus qui fait parler de lui, un nouvel agent intelligent particulièrement puissant, mais aussi en partie autonome.
Manus, dont le nom est inspiré du mot latin signifiant « main », se présente comme un agent d'intelligence artificielle général qui transforme vos pensées en actions. Développé par la start-up chinoise Monica, il a été conçu pour accomplir des tâches complexes sans supervision humaine. Il est ainsi capable de s'organiser, de planifier ses recherches et de prendre diverses orientations seul, de manière parfaitement autonome.
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/intelligence-artificielle-ia-plus-avancee-vient-emerger-chine-voici-manus-fascine-120303/
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MANUS IA : Quelle est cette nouvelle intelligence artificielle annoncée comme révolutionnaire ?
Cnews.fr - par la Rédaction
Publié le 10 mars 2025
Après DeepSeek, la Chine étonne une nouvelle fois le monde de l'intelligence artificielle (IA), avec le lancement de Manus IA. Cet agent autonome serait capable d’exécuter des tâches complexes, sans intervention humaine, contrairement à ChatGPT.
Alors que l’intelligence artificielle (IA) chinoiseDeepSeek avait eu l’effet d’un véritable coup de tonnerre il y a quelques semaines seulement, une nouvelle IA, également chinoise, a fait parler d’elle ce week-end. Baptisé «Manus IA», ce nouvel agent conversationnel serait autonome.
En effet, contrairement à ChatGPT d’OpenAI, ou Gemini de Google, qui demandent des interactions continues avec un utilisateur pour fonctionner, l’IA chinoise Manus AI peut intégrer et exécuter des tâches qui lui sont assignées, sans intervention humaine. Il fonctionne donc en fond, jusqu'à avoir terminé sa fonction.
Dans une vidéo, le co-fondateur de la société derrière cette intelligence artificielle, Yichao Ji, a présenté les différentes actions que son IA peut réaliser. Entre autres, l’agent pourrait trier et classer des dizaines de CV à la fois et trier les candidats, trouver le meilleur bien immobilier selon plusieurs critères, analyser des actions en bourse, et même coder un site.
Une IA nouvelle, à l’accès restreint
Lire la suite : https://www.cnews.fr/vie-numerique/2025-03-10/manus-ia-quelle-est-cette-nouvelle-intelligence-artificielle-annoncee
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L’intelligence artificielle (IA) va-t-elle révolutionner l’univers des collectivités territoriales ?
senat.fr - Communiqué de presse
Publié le 14 mars 2025
Dans le contexte d’accélération de la diffusion de l’intelligence artificielle (IA), le rapport d’information de Pascale Gruny et Ghislaine Senée, adopté le 13 mars 2025 par la délégation du Sénat aux collectivités territoriales, éclaire les enjeux de l’émergence de cette technologie dans l’univers des collectivités territoriales. Ce premier rapport parlementaire relatif à l’IA et exclusivement centré sur le secteur des collectivités locales a vocation à orienter les décideurs locaux (élus locaux, fonctionnaires territoriaux) dans leurs projets à venir.
De la commune de Saint-Savin (Isère) à la métropole parisienne, en passant par la communauté d’agglomération du Sicoval (Haute-Garonne) ou à la commune de Plaisir (Yvelines), les collectivités territoriales sont déjà nombreuses à avoir pris le train de l’IA.Information des usagers par des robots conversationnels, sécurisation des grands événements sportifs, réduction des déchets, préservation des ressources rares, prévention des risques naturels... les applications de l’IA irriguent des champs très variés des politiques publiques locales et des services publics locaux.
Conçu comme un "kit de survie" à l’attention des décideurs locaux, ce rapport d’information formule onze recommandations opérationnelles visant à permettre aux collectivités de se doter d’une IA durable et éthique.
Documents associés
Désinformation
Quand l’IA se met au service de la lutte contre la désinformation climatique
telerama.fr - Par Eva Martin
Publié le 14 mars 2025
Trois associations ont lancé un projet collaboratif pour identifier, grâce à l’IA, les fausses informations sur les enjeux environnementaux qui circulent à la télévision et à la radio. Un outil inédit destiné à être partagé à l’international.
Et si l’intelligence artificielle pouvait être mise au service d’une information de qualité ? C’est le défi qu’ont décidé de relever trois associations qui luttent contre la désinformation climatique : QuotaClimat, une organisation œuvrant pour un meilleur traitement médiatique des enjeux environnementaux, Data for Good, un groupe de bénévoles spécialisés dans le traitement de données, et Science Feedback, des fact-checkers certifiés rassemblant scientifiques et journalistes. Ils développent ensemble un outil pour détecter automatiquement les fausses informations climatiques diffusées à la télévision et à la radio en France, pour ensuite transmettre ces données à l’Observatoire des médias sur l’écologie.
« Quand la désinformation climatique passe la porte des médias traditionnels, elle est largement normalisée », regrette Jean Sauvignon, responsable d’études chez QuotaClimat.
Lire la suite : https://www.telerama.fr/debats-reportages/quand-l-ia-se-met-au-service-de-la-lutte-contre-la-desinformation-climatique-7024750.php
Cybersécurité
Cybersécurité : menace toujours élevée, les opérations de déstabilisation en hausse, d'après l'Anssi
radiofrance.fr - L’info de France Inter
Publié le 11 mars 2025
L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information révèle dans son panorama 2024 de la menace une activité constante des cybercriminels, et notamment une hausse des tentatives de déstabilisation, avec toutefois une activité maitrisée durant la période des Jeux de Paris.
Après une année marquée par un haut niveau de menace informatique lié aux JO de Paris, l'agence française de sécurité informatique (Anssi) pointe une augmentation des opérations de déstabilisation dans son bilan 2024, publié mardi et auquel France Inter a pu avoir accès. Au total, 4 386 "événements de sécurité" sur des systèmes informatiques ont été traités en France par l'Agence en 2024, soit une augmentation "de 15%" par rapport à l'année précédente.
Toutefois, concernant les Jeux, qui ont suscité de nombreuses inquiétudes, l'Anssi relève dans son "panorama de la cybermenace" qu'"aucune attaque informatique n'a perturbé le bon déroulement" des événements, malgré une intensité élevée d'attaques et de tentatives d'attaques. Pendant les Jeux et le reste de l'année, 2024 a été marquée par des attaques de déstabilisation "particulièrement nombreuses", note l'Anssi.
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Nouveau centre de cyberdéfense de Thales à Rennes
solutions-numériques.com - par François Tonic
Publié le 11 mars 2025
Thales a officiellement ouvert un centre de cyberdéfense à Rennes. Ce centre doit aider le constructeur militaire à renforcer son expertise et apporter des réponses défensives en cas d’attaque électronique.
Les missions du centre sont multiples :
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/nouveau-centre-de-cyberdefense-de-thales-a-rennes/
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KoSpy : un nouveau logiciel espion sur Google Play très efficace
solutions-numériques.com - par François Tonic
Publié le 13 mars 2025
Les hackers de Corée du Nord sont particulièrement actifs ces derniers mois. Un spyware a été découvert sur Google Play : KoSpy. Le but est d’infiltrer le store Android. Jusqu’à présent, 5 apps malveillantes utilisant ce spyware ont été détectées selon Lookout.
KoSpy serait développé par le groupe APT37. Plus inquiétant, cette attaque existerait depuis le printemps 2022.
KoSpy injecte des fichiers de configuration chiffrés pour échapper aux scanneurs. Ensuite, il peut se connecter à un serveur C2 pour vérifier qu’il est bel et bien actif physiquement sur le device contaminé. De là, il peut agir.
Il récupère beaucoup de données : SMS, liste des appels, localisation, extraction de données locales, utiliser des micros et caméras, capture de l’écran, etc.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/kospy-un-nouveau-logiciel-espion-sur-google-play-tres-efficace/
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Le ministère de l’Intérieur lance 17Cyber, un service en ligne gratuit pour lutter contre les cyberattaques
leptidigital.fr - par Mélaine Reynaud
Publié le 14 mars 2025
Face à l’explosion de la cybercriminalité, le ministère de l’Intérieur lance 17Cyber, une plateforme d’assistance en ligne accessible 24h/24. On vous explique en quoi cela consiste.
La cybercriminalité est en forte augmentation en France, plus de 270 000 infractions numériques ont été enregistré en 2023, selon les données du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI). Face à cette menace, le ministère de l’Intérieur lance une plateforme d’assistance en ligne : 17Cyber. Disponible 24h/24 et 7j/7, cet outil propose un premier diagnostic et une assistance rapide aux victimes de cyberattaques.
À qui s’adresse cette plateforme ?
Que vous soyez victimes de hameçonnage (phishing), piratage de compte bancaire ou informatique, arnaque bancaire, sextorsion, cyberharcèlement… la plateforme s’adresse à tous :
Comment fonctionne 17Cyber ?
Lire la suite: https://www.leptidigital.fr/securite-informatique/lancement-17cyber-service-gratuit-en-ligne-74859/
ANSSI
Appel à commentaires sur le vote par internet pour les élections non politiques
Ce guide de recommandations cible la mise en œuvre du vote par Internet pour le vote non politique (associations, élections professionnelles, etc.). Il est destiné aux organisateurs de ces scrutins, aux prestataires fournisseurs de solutions de vote par Internet ainsi qu’aux tiers intervenant dans la vérification de la sincérité des scrutins.
Publié le 10 Mars 2025
Ce guide s'inscrit dans le cadre d'une collaboration avec la Commission Nationale Informatique et Libertés (CNIL) et la mise à jour en 2025 de la recommandation relative à la sécurité des systèmes de vote par correspondance électronique, appelé aussi vote par Internet. Un projet de recommandation a été publié le 20 janvier 2025 sous la forme d’une consultation publique.
Précisément, la recommandation de la CNIL définit des objectifs de sécurité à remplir pour protéger les données personnelles et respecter les grands principes électoraux (secret du vote, sincérité du scrutin, transparence). Le guide ANSSI fait, pour chaque objectif CNIL, des recommandations techniques pour répondre à l’objectif.
Lire la suite : https://cyber.gouv.fr/actualites/appel-commentaires-sur-le-vote-par-internet-pour-les-elections-non-politiques
Atos
ATOS : Une nouvelle ère commence pour Atos, ses supercalculateur et l’IA
boursorama.com - Par Shervin
Publié le 9 mars 2025
L’association de l’IA générative avec les supercalculateurs ouvre des perspectives révolutionnaires dans plusieurs domaines. Voici les principaux potentiels :
1. Modélisation scientifique avancée
Les supercalculateurs permettent d’entraîner des modèles d’IA générative ultra-complexes, utiles pour :
- La simulation moléculaire : découverte de nouveaux médicaments, prédiction de la structure des protéines.
- La météorologie et le climat : prévision plus précise des catastrophes naturelles.
- L’astrophysique : modélisation de l’évolution des galaxies et des trous noirs.
2. Création de contenus ultra-réalistes
Avec leur puissance de calcul massive, les supercalculateurs accélèrent la génération :
D’images et vidéos ultra-détaillées (cinéma, jeux vidéo, architecture).
De synthèse vocale et musique hyper-réaliste (doublage automatique, musique IA).
De simulations immersives en réalité virtuelle et augmentée.
3. Optimisation industrielle et scientifique
L’IA générative assistée par des supercalculateurs permet :
Conception de nouveaux matériaux (alliages, polymères intelligents).
Optimisation des processus industriels (réduction des déchets, amélioration des rendements énergétiques).
Automatisation avancée dans les chaînes de production.
Lire la suite : https://www.boursorama.com/bourse/forum/1rPATO/detail/466171557/
Thales
SKY Perfect JSAT commande à Thales Alenia Space le satellite de télécommunications JSAT-32
TOPICS:Jsat-32Sky Perfect JsatThales Alenia Space
Tokyo / Cannes, le 10 mars 2025 – SKY Perfect JSAT Corporation (SKY Perfect JSAT), le plus grand opérateur de satellites d’Asie, et Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %), ont annoncé la signature d’un contrat de fabrication du satellite de télécommunications géostationnaire JSAT-32.
Opérant dans les bandes de fréquences Ka et Ku, JSAT-32 couvrira le Japon et les mers environnantes en offrant de nouveaux faisceaux étroits pour les applications de mobilité. Ce satellite permettra, à terme, d’assurer le relais des satellites de SKY Perfect JSAT qui délivrent actuellement des services de communication et de distribution au Japon.
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MOONLIGHT : THALES ALENIA SPACE DÉVELOPPERA LE SEGMENT SPATIAL DU SYSTÈME DE NAVIGATION EN ORBITE AUTOUR DE LA LUNE
THALES ALENIA SPACE - Communiqué
Publié le 12 mars 2025
Cannes, le 12 mars 2025 - Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %), a signé un contrat avec Telespazio, société conjointe entre Leonardo (67 %) et Thales (33 %), portant sur la conception et le développement du segment spatial du système de navigation et de l’infrastructure de navigation par satellites destinés au programme LCNS (Lunar Communications and Navigation Services) Moonlight de l’Agence spatiale européenne (ESA).
Moonlight est un programme de l’ESA, sous maitrise d’œuvre Telespazio, visant à créer une constellation de satellites en orbite cislunaire destinée à offrir des services avancés de communication et navigation.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/espace/press_release/moonlight-thales-alenia-space-developpera-le-segment-spatial-du-systeme
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THALES LIVRE À LA ROYAL NAVY LE PREMIER SYSTÈME AU MONDE DE DÉMINAGE AUTONOME
thalesgroup.com - Publié le 14 mars 2025
Thales franchit une étape historique en livrant le premier système de déminage maritime autonome à la Royal Navy, sous l’égide de l’organisation conjointe de coopération en matière d’armement (OCCAr) et dans le cadre du projet franco-britannique MMCM (Maritime Mine Counter Measures).
Marquant une rupture technologique en matière lutte contre les mines marines, ce système permet de réduire drastiquement l’exposition au risque des personnels embarqués à bord des navires et contribue à la sécurité des routes maritimes, épine dorsale de l’économie mondiale.
La Royal Navy recevra ses quatre premiers systèmes au cours de l’année. Chacun d’entre eux comporte plusieurs équipements et sous-systèmes intégrés permettant d’accomplir des missions de haute complexité, notamment un drone de surface (USV)[1], un sonar remorqué de technologie avancée (TSAM), un sonar multivision de pointe (SAMDIS), un robot téléopéré (ROV) et un centre d’opérations léger e-POC, le tout pouvant s’appuyer sur un système de commandement et de contrôle sécurisé.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-livre-royal-navy-le-premier-systeme-monde-deminage
Mobilité
IA, protection des chauffeurs, boutons d'alerte : le plan de la Métropole pour sécuriser les transports à Marseille
francebleu.fr - Marseille De Frédéric Chapuis
Publié le 2 mars 2025
La Métropole Aix-Marseille a présenté lors du dernier conseil son plan pour sécuriser le réseau de transports publics de Marseille, pourtant présenté comme "le plus sûr" de France par la RTM. Mais la présidente Martine Vassal entend aussi lutter contre "le sentiment d'insécurité" présumé.
Comment rendre plus attractifs les transports en commun à Marseille ? Bus, tram et métro. La RTM qui revendique 300 millions de passagers par an et seulement 300 faits d'insécurité déclarés en 2024, consacre déjà 45 millions d'euros à la sécurité du réseau à Marseille.
Pourtant, selon la présidente de la Métropole qui s'exprimait récemment dans un entretien au journal La Provence, il persiste un "sentiment d'insécurité" contre lequel Martine Vassal entend lutter.
Une ambition freinée par la loi ?
IA, arrêts de bus éclairés, zones sécurisées dans le métro
La Métropole vient ainsi de présenter lors du dernier conseil jeudi 27 février 2025, son plan pour renforcer la sécurité sur le réseau bus, métro, tram de la RTM.
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Les policiers pourront « occuper le terrain » à l’intérieur des bus à Laval et alentour
Ouest-France.fr - par Nicolas Goinard
Publié le 08 mars 2025 |
Une convention a été signée ce vendredi 7 mars 2025 entre les Tul (Transports urbains lavallois), la police nationale, la préfecture de la Mayenne et les communes de Laval, Changé, Bonchamp et Saint-Berthevin pour que les polices municipales puissent intervenir dans les bus.
Une nouvelle convention qui est la suite du plan d’action de restauration de la sécurité du quotidien dévoilé fin février par la préfecture de la Mayenne. C’est le document qui a été signé ce vendredi 7 mars 2025 par les représentants du réseau Tul (Transports urbains lavallois), la police nationale, la préfecture de la Mayenne et les communes de Laval, Changé, Bonchamp et Saint-Berthevin. « Il faut occuper le terrain à l’intérieur des transports », explique Marie-Aimée Gaspari, la représentante de l’État. Mathieu Le Bras, le directeur RATP Dev du réseau Tul livre : « Nous avons des incivilités, des agressions qui sont le plus souvent verbales. Nous constatons que nos dépôts de plainte sont suivis d’effets. »
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Résultats 2024 : la RATP redresse ses comptes
ville-rail-transports.com - par Sylvie Andreau
Publié le 07 mars 2025
L’activité du groupe progresse grâce à un niveau historique de ses investissements mais son endettement reste supérieur à 5 milliards.
Entrée dans la toute dernière ligne droite dans les négociations pour le renouvellement de son contrat avec Ile-de-France Mobilités, qui devraient aboutir en mai, la RATP se devait de démontrer deux choses. D’abord qu’elle reste un partenaire solide financièrement. Ensuite, qu’elle a consenti des efforts, sur le plan opérationnel, pour augmenter la production et la qualité sur l’ensemble des réseaux. A l’issue de son conseil d’administration, le groupe a présenté le 7 mars des résultats 2024 en ligne avec la trajectoire fixée par son PDG Jean Castex.
Le chiffre d’affaires du groupe affiche une hausse de 10 % à 7,1 milliards d’euros. Il est tiré par l’augmentation de l’offre de transport et l’amélioration de la production en Île-de-France, ainsi que par le développement de ses filiales en France et à l’international.
Résultat net positif
Son endettement reste « maîtrisé ». Il s’établit à 5,7 milliards d’euros, en progression de 128 millions par rapport à 2023. Le résultat net positif de 85 millions d’euros (contre -109 millions en 2023), et grimpe même à 204 millions d’euros, grâce à la prise en compte de l’apport exceptionnel d’actifs fonciers et immobiliers réalisé au profit de sa filiale de logement social RATP Habitat.
Lire la suite (payant ou réservée aux abonnés) : https://www.ville-rail-transports.com/transports-urbains/resultats-2024-la-ratp-redresse-ses-comptes/
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Fausses cartes de transport : cette arnaque saisonnière est de retour dans l'est de la France
tf1info.fr - Par La rédaction de TF1info - Reportage : Khélian YOUSFI, Laurence CLAUDEPIERRE
Publié le 2 mars 2025
Source : JT 13h WE
Depuis quelque temps, une arnaque circule sur le réseau social Facebook.
Les escrocs proposent une carte de transport à un prix imbattable, en ciblant les usagers de Mulhouse.
Il s'agit en réalité d'une arnaque, qui peut faire perdre beaucoup plus que ce qu'elle promet de gagner.
Une carte de transport à 2,35 euros pour une durée de trois mois. C’est alléchant, mais un peu trop beau pour être vrai ! Depuis quelque temps, une arnaque circule sur les réseaux sociaux, en particulier Facebook. Des escrocs se font passer pour des régies de transports en commun, en faisant miroiter aux potentielles victimes une offre promotionnelle à ne pas manquer et souvent limitée dans le temps. Dans le cas de la société de transports en commun de l'agglomération de Mulhouse, par exemple, ce "prix spécial" est disponible pour "300 cartes uniquement".
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Enquête publique sur le Plan de mobilité
midilibre.fr - par Correspondant
Publié le 2 mars 2025
Le collectif Transport pour tous de Pignan par l’intermédiaire de Bernard Petit, se réjouit de la mise en service de la ligne 5 de tramway en décembre 2025 mais rappelle que pour la future ligne de bus tram 4 (reliant Gennevaux à Cournonsec) il faudra encore patienter entre 5 et 10 ans.
"Les logements sociaux se multiplient dans les communes sans qu’il n’y ait un renforcement des lignes de bus 43 et 34 ! C’est une aberration que la préfecture puisse autoriser la production de logements sociaux sans se soucier des déplacements et donc du pouvoir d’achat des citoyens les plus modestes de la métropole ! Ces mêmes citoyens qui ont participé aux financements des lignes de tramways de Montpellier ainsi qu’à la gratuité puisqu’ils ne peuvent pas en profiter pleinement ! Cette gratuité qui devait être une égalité entre citoyens ne fait qu’agrandir les inégalités sur le pouvoir d’achat entre les citoyens de la ville centre et ceux des communes de l’ouest. Il n’y a qu’à voir l’importance du budget pour entretenir un à plusieurs véhicules. Comment se rendre à Montpellier pour un rendez-vous médical, cinéma ou autres si vous n’avez pas un véhicule ? Et ne parlons pas des infrastructures routières qui restent inchangées alors que la démographie de nos communes explose…"
Le collectif rappelle à la population et plus particulièrement aux Pignanais, l’importance de répondre à l’enquête publique sur le Plan de mobilité avant le 19 mars afin d’être acteur de l’aménagement de son territoire.
Lire la suite : https://www.midilibre.fr/2025/03/02/enquete-publique-sur-le-plan-de-mobilite-12544193.php
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Ulysse : une franchise engagée pour une mobilité accessible à tous !
toute-la-franchise.com - par Asma Louati
Publié le 02 mars 2025
Depuis sa création, le réseau Ulysse s’est imposé comme un acteur incontournable du transport adapté aux personnes à mobilité réduite. Présent aussi bien en ville qu’en milieu rural, l’enseigne ne cesse d’élargir son maillage territorial pour offrir des solutions de déplacement sécurisées et sur mesure. Découvrez comment cette franchise dynamique améliore la mobilité pour tous.
Une réponse adaptée aux enjeux de mobilité en milieu urbain
Dans les grandes agglomérations, où la densité de population est élevée, les transports publics ne sont pas toujours accessibles à tous. C’est dans ce contexte qu’Ulysse a su se démarquer en proposant des solutions de transport spécialisées pour les personnes à mobilité réduite. Grâce à une flotte de véhicules aménagés, l’enseigne garantit des trajets confortables et sécurisés, adaptés aux besoins spécifiques de chaque usager. Ce service personnalisé permet de pallier les insuffisances des infrastructures urbaines et favorise l’autonomie des bénéficiaires. Aujourd’hui, Ulysse s’affirme comme une alternative fiable pour des déplacements fluides et accessibles dans les centres urbains.
L’accessibilité au cœur du développement en zone rurale
Lire la suite : https://www.toute-la-franchise.com/news-560814-ulysse-une-franchise-engagee-pour-une-mobilite-accessible-a-tous.html
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Arnaque à la fausse carte de transport à un prix imbattable : "ça se produit environ tous les quatre mois, généralement sur Facebook"
france3-ragions.francetvinfo.fr - par par Stéphanie Mallauran
Publié le 03 mars 2025
Attention aux arnaques sur les réseaux sociaux, des offres d'abonnement pour les transports en commun de Strasbourg, Colmar et Mulhouse circulent régulièrement. Dernière en date, à la mi-février 2025 : 2,35 euros les trois mois d’abonnement. Tentant.
Vous êtes un client régulier de Solea à Mulhouse, Trace à Colmar ou CTS à Strasbourg ? Attention, sur les réseaux sociaux et en particulier Facebook, une annonce est peut-être apparue spontanément sur votre fil pour vous proposer une offre incroyable : un abonnement pour trois mois de transport urbain à 2,35 euros. Ces annonces reprennent les codes de charte graphique des sociétés de transport.
Tout est fait pour vous inciter à cliquer sur cette annonce pour récupérer vos données bancaires et vous soutirer de l’argent. Ces escrocs sont souvent basés à l’étranger et restent difficiles à retrouver. Sachez aussi que sur ces fausses pages d’annonce, de faux utilisateurs affirment dans de faux commentaires que tout est réel et que l’offre est incroyable.
Difficile de recenser le nombre de victimes ayant souscrit un compte. Dès que cette victime se rend compte de l’arnaque, elle doit prévenir la banque et bloquer sa carte bleue. Et porter plainte pour permettre aux services de cybersécurité de la police ou de la gendarmerie de mesurer l'ampleur du phénomène et tenter de retrouver les hackeurs.
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Mobilité : 27 parkings-relais dans la métropole clermontoise début 2026 pour mieux circuler
francebleu.fr - par Lauriane Havard
Publié le 3 mars 2025
Les habitants de la métropole clermontoise auront bientôt plus de possibilités pour stationner leur véhicule et finir ensuite leur trajet en transport en commun. Début 2026, on comptera 27 parkings relais sur le territoire métropolitain, soit 3.300 places.
L'offre de parkings relais va bientôt s'étoffer dans la métropole clermontoise. Olivier Bianchi, le maire de Clermont-Ferrand et président de la métropole ainsi que l'ensemble des acteurs, ont présenté il y a quelques jours la future carte des parkings relais métropolitains.
De 1.400 places à 3.300 places dans les parking-relais
En 2023, on comptait cinq parkings relais à Clermont-Ferrand. Trois ans après, début 2026, il y aura 27 parkings relais sur le territoire métropolitain, soit de 1.400 à 3.300 places. Cela veut dire davantage de possibilités pour laisser sa voiture aux abords de la ville et entrer plus facilement dans Clermont-Ferrand via les transports en commun. Que ce soit en bus, en tramway, et bientôt en tram-bus. "On veut vraiment mailler et présenter une offre de mobilité à tous les habitants de la métropole" affirme François Rage, le président du SMTC. "Avant, les parkings relais étaient rattachés le long de la voie de tramway, désormais, ce sera sur l'ensemble du réseau de transports en commun. Pour laisser sa voiture ou son vélo et ensuite prendre le bus, le tram ou faire du covoiturage".
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/infos/transports/mobilite-27-parkings-relais-dans-la-metropole-clermontoise-debut-2026-pour-mieux-circuler-8665828
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Vulco et Mobiléo : Réinventer la mobilité urbaine en Alsace avec innovation et tradition
radiofrance.fr - Par Yzabel Chalaye
Publié le lundi 3 mars 2025
Clément Berthet, dirigeant de l'entreprise familiale Vulco et créateur de Mobiléo, réinvente la mobilité urbaine à Strasbourg. Son objectif : proposer des solutions durables et modernes, de la voiture électrique au vélo en passant par des micro-véhicules. Rencontre avec un entrepreneur passionné.
Vulco, c’est l’histoire d’une entreprise familiale que Clément Berthet a reprise il y a quelques années. Ce centre auto, Mobiléo implanté à Strasbourg et dans plusieurs villes alsaciennes, a longtemps été un acteur incontournable de la réparation automobile. Mais Clément, porté par sa vision, a décidé de faire évoluer ce modèle traditionnel. En parallèle des services classiques de réparation, il introduit une nouvelle approche de la mobilité : le vélo électrique.
“Les trajets de moins de 5 kilomètres sont souvent réalisés en voiture, mais cela devient de plus en plus aberrant avec les enjeux écologiques actuels,” explique-t-il. Pour lui, il était essentiel de proposer des alternatives. Dans ses centres auto, les clients peuvent désormais louer ou acheter des vélos électriques, une solution pratique et écologique pour se déplacer en ville.
Blockchain
Base promet d'être 2 fois plus rapide que Solana avec cette mise à jour
cryptoast.fr - par Maximilien Prué
Publié le 2 mars 2025
Aujourd'hui, Base domine très largement le secteur des layer 2 en termes d'activité. Et le layer 2 de Coinbase, l'un des plus grands exchanges de cryptomonnaies au monde, s'apprête à être 10x plus rapide avec l'arrivée des « Flashblocks ».
Base bientôt la blockchain EVM la plus rapide ?
200 millisecondes : c'est le temps qu'il faudra à Base, le layer 2 de l'exchange de cryptomonnaies américain Coinbase, pour « pré-confirmer » ses blocs. Autrement dit, cette nouveauté baptisée « Flashblocks » permettra à Base d'être 10x plus rapide qu'aujourd'hui, mais fera également d'elle la blockchain compatible EVM la plus rapide à ce jour.
Précisons d'emblée qu'il ne s'agit pas là d'un système de finalisation de bloc quasi-instantané, même si l'idée s'en rapproche. Pour faire simple, les Flashblocks sont des blocs « partiels » diffusés aux nœuds du réseau toutes les 200 ms, avec un mécanisme de protection contre les annulations.
Découvrez comment interagir avec la blockchain Base
Une nouveauté qui devrait renforcer la croissance de Base, et qui est déjà disponible sur le testnet Sepolia. L'implémentation des Flashblocks sur le mainnet est pour le moment prévue au 2e trimestre de l'année en cours.
La technologie des Flashblocks n'est cependant pas l'exclusivité de Base, du moins pour le moment. Unichain, le layer 2 récemment lancé du DEX Uniswap, prévoit également de l'inclure sur sa blockchain. Pour le moment, l'Unichain affiche tout de même de belles performances, avec un temps de bloc d'une seconde.
Lire la suite : https://cryptoast.fr/base-promet-2-fois-plus-rapide-solana-avec-mise-a-jour/
RGPD
La CJUE précise que le RGPD prévaut sur le secret des affaires : quelles conséquences pour les entreprises ?
solutions-numériques.com - par Patrice Remeur
Publié le 3 mars 2025
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a récemment rendu un arrêt sur l’interprétation du Règlement général sur la protection des données (RGPD) et son articulation avec le secret des affaires. Cette décision renforce le droit des individus à obtenir des explications sur l’utilisation de leurs données, même lorsque des entreprises invoquent le secret.
Le litige à l’origine de cette décision s’est déroulé en Autriche. Un opérateur de téléphonie mobile a refusé un contrat à une cliente au motif d’une évaluation de solvabilité jugée insuffisante. Cette évaluation avait été réalisée de manière automatisée par Dun & Bradstreet Austria, une entreprise spécialisée dans le scoring crédit.
Dun & Bradstreet Austria “n’aurait pas suffisamment motivé pourquoi elle n’aurait
pas pu fournir ces informations” à la personne concernée. “Dans le cadre du litige qui s’en est suivi, une juridiction autrichienne a constaté, par décision définitive, que Dun & Bradstreet avait violé le règlement général sur la protection des données (RGPD)“.
Dans son arrêt, la CJUE précise que “le responsable du traitement doit décrire la procédure et les principes concrètement appliqués de telle manière que la personne concernée puisse comprendre quelles données à caractère personnel ont été utilisées et de quelle manière lors de la prise de décision automatisée.”
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/la-cjue-precise-que-le-rgpd-prevaut-sur-le-secret-des-affaires-quelles-consequences-pour-les-entreprises/
Protection des données
Thales se prépare à la menace quantique, reprise d'Agatahub... Les 5 actus clés sur la protection des données
usine-digitale.fr - par Alice Vitard
Publié le 08 mars 2025
Le Club Data Protection de L'Usine Digitale vous propose un best-of des actualités de la semaine du 3 mars en matière de protection des données. Au menu :
• Protection des données : Thales prépare les passeports électroniques à résister à la menace quantique. Un consortium d'acteurs publics et privés spécialisés dans la sécurité informatique et le quantique, dont Thales et Infineon, lance le projet "PQC4eMRTD". Financé par l'Union européenne, il a pour objectif de développer des protocoles cryptographiques post-quantiques pour protéger l'intégrité des données personnelles contenues dans les passeports électroniques. Pour en savoir davantage, L'Usine Digitale a échangé avec Anthony Bord, responsable des programmes d’innovation au sein de l’entité Thales Cyber & Digital.
• Cybersécurité : Imbroglio autour d'une disposition anti-chiffrement pour lutter contre le narcotrafic. L'amendement 8 ter de la proposition de loi sénatoriale visant à sortir la France du piège du narcotrafic impose aux plateformes de messagerie de mettre en oeuvre des mesures techniques permettant aux services de renseignement d'accéder aux communications chiffrées qui y transitent. Craignant pour la confidentialité et l'intégrité des échanges, principes fondamentaux d'une démocratie, plusieurs députés ont déposé des amendements visant à supprimer cet article lors de l'examen du texte à l'Assemblée nationale.
Intelligence artificielle
1er Rapport sur l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) dans le système judiciaire basé sur les informations contenues dans le Centre de ressources sur la cyberjustice et l'IA de la CEPEJ
www.coe.int/fr - Communiqué
Publié 17 Février 2025
Le 17 février 2025, le Bureau consultatif sur l'intelligence artificielle (AIAB) de la CEPEJ s'est réuni pour finaliser le Rapport sur l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) dans le système judiciaire. Les conclusions présentées dans le rapport sont basées sur l'analyse des informations contenues dans le Centre de ressources sur la cyberjustice et l'IA de la CEPEJ.
Ce bilan permet notamment d’établir que :
Ce rapport sera publié dorénavant annuellement et fournira un aperçu des développements de l'année précédente et des questions émergentes concernant les outils de cyberjustice dans le domaine de la justice.
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Révolution de l’IA : défis et solutions pour les entreprises
tgs-france.fr - par Flavien Chervet, Conférencier et expert en IA
L'intelligence artificielle (IA) redéfinit l'avenir des entreprises. Dans ce premier épisode de la saison 3, Flavien Chervet, expert en IA, nous guide à travers les défis et les opportunités que cette technologie apporte aux PME-ETI françaises.
L’IA est encore perçue par les dirigeants comme un outil réservé aux grandes entreprises. Dans cet épisode, Flavien Chervet démystifie complètement cette idée. Selon lui, l’IA est désormais accessible à tous, même aux plus petites structures. Cette démocratisation est due à une disruption économique qui permet d’utiliser l’IA sans nécessiter de grandes quantités de données, de puissance de calcul ou de compétences spécialisées.
« L'IA est une révolution qui s'auto-entretient. La bulle ne va pas éclater, en tout cas, pas tout de suite. Plus la bulle gonfle, plus on a de nouveaux apports qui viennent l'entretenir. Si l'on n'y va pas, on est mort. »
Comme l’indique très clairement Flavien Chervet, ne pas tester diverses IA au sein de son entreprise expose au risque d’être surpassé par des concurrents qui auront adopté cette révolution plus tôt.
Intégrer l’IA dans la stratégie d’entreprise
Lire la suite : https://www.tgs-france.fr/blog/ia-podcast-episode1/
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La désinformation générée par l'IA
Par Martina Schwikowski| Christina Gerhäusser | Fiacre Ndayiragije | Carole Assignon
Publié le 3 mars 2025
La désinformation liée à l’IA est une véritable menace à travers le monde. Mais le danger est plus élevé en Afrique en manque des systèmes de vérification.
La Fondation Konrad-Adenauer a récemment publié une étude sur la désinformation alimentée par l'intelligence artificielle (IA) . L'étude a à cet effet défini l'IA comme un risque mondial numéro un dans le Global Risk Report 2024 du Forum économique mondial d’après les auteurs de l’étude.
Karen Allen de l’Institut des études de sécurité à Pretoria et Christopher Nehring du Cyber Intelligence Institute (CII) de Francfort, ont documenté des cas de désinformation par IA en Afrique, principalement en lien avec les élections nationales.
Période électorale sensible
Selon eux, cette désinformation vise souvent à discréditer les autorités électorales et les processus de vote. Toutefois, l’étude souligne une limite : en dehors des périodes électorales, la désinformation liée à Intelligence artificielle en Afrique reste peu étudiée.
La Fondation Konrad-Adenauer a récemment publié une étude sur la désinformation alimentée par l'intelligence artificielle (IA) . L'étude a à cet effet défini l'IA comme un risque mondial numéro un dans le Global Risk Report 2024 du Forum économique mondial d’après les auteurs de l’étude.
Karen Allen de l’Institut des études de sécurité à Pretoria et Christopher Nehring du Cyber Intelligence Institute (CII) de Francfort, ont documenté des cas de désinformation par IA en Afrique, principalement en lien avec les élections nationales.
Période électorale sensible
Lire la suite : https://www.dw.com/fr/ia-desinformation-afrique-afrique-du-sud-burkina-faso-elections/a-71814269
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IA : La prochaine ère sera celle de l’intelligence hybride
Publié le 7 mars 2025
Les années à venir seront marquées par une hybridation des intelligences artificielle et humaine…
Intitulé « L’économie de l’intelligence », le Book de tendances 2025, conçu et produit par KPMG Innovation, explore une nouvelle ère d’hybridation des intelligences, artificielle et humaine. Avec l’arrivée des systèmes multi-agents autonomes, les robots humanoïdes, les solutions quantiques, nos sociétés basculent dans le monde de l’anthropo-tech, ouvrant un horizon de prospérité inédit pour ce siècle.
« Une opportunité à saisir à condition de transformer cette tech révolution en une économie de l’intelligence, où puissances de calcul augmentées et savoirs humains trouvent le chemin d’une hybridation heureuse » plaident les auteurs du Book…
Ce document révèle six tendances majeures pour les années à venir :
1/ L’entreprise puissance.
Le développement de l’IA s’accompagne d’une forte dépendance vis-à-vis des Big Tech, qui détiennent l’essentiel des infrastructures (cloud, data centers, modèles).
Lire la suite : https://comarketing-news.fr/ia-la-prochaine-ere-sera-celle-de-lintelligence-hybride/
Désinformation
« J’ai été très choquée », quand la désinformation pro-russe s’attaque à des Français anonymes dans les universités
20minutes.fr - Par Mathilde Cousin
Publié le 02 mars 2025
TÉMOIGNAGE•Christine Lombard, référente handicap à l’université de Rennes, raconte à « 20 Minutes » s’être retrouvée « démunie » quand une vidéo qu’elle avait tournée a été détournée dans une opération pro-Kremlin qui attaque la politique d’Emmanuel Macron.
L'essentiel
Elle déplore « une bassesse immense » et se dit « extrêmement choquée ». Fin 2024, lorsqu’elle tourne une vidéo informant les étudiants en alternance et en situation de handicap de leurs droits, Christine Lombard ne s’imaginait pas un instant que celle-ci serait détournée dans une opération dont de nombreux signaux la rattachent à une opération de désinformation prorusse.
Référente handicap et directrice adjointe au service de formation continue et alternance à l’université de Rennes, elle a eu la mauvaise surprise de voir son travail détourné dans une vidéo attaquant le président Emmanuel Macron sur sa politique en faveur des personnes handicapées.
Une voix féminine générée par intelligence artificielle
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/societe/4141191-20250302-tres-choquee-quand-desinformation-prorusse-attaque-francais-anonymes-universites
Paiement électronique
En cas de suspicion de fraude, la banque doit identifier le bénéficiaire du paiement
droit-technologie.org - par Etienne Wery
Publié le 17 février 2025
La banque doit obtenir et fournir toutes les informations disponibles ou accessibles, y compris via les intermédiaires bancaires, et ne peut pas se contenter d’invoquer un manque d’accès à ces données. C’est une obligation de résultat. Les informations doivent mettre le payeur en mesure d’identifier de manière certaine l’opération de paiement concernée. Une simple référence…
La banque doit obtenir et fournir toutes les informations disponibles ou accessibles, y compris via les intermédiaires bancaires, et ne peut pas se contenter d’invoquer un manque d’accès à ces données. C’est une obligation de résultat. Les informations doivent mettre le payeur en mesure d’identifier de manière certaine l’opération de paiement concernée. Une simple référence numérique ou une localisation ne suffit pas : le nom du bénéficiaire doit être communiqué.
Les faits
ZG, un résident belge, possède un compte bancaire chez Beobank en Belgique et une carte de débit associée.
Dans la nuit du 20 au 21 avril 2017, alors qu’il se trouvait à Valence (Espagne), plusieurs paiements ont été effectués avec sa carte sur un terminal de paiement mobile. Le premier, d’un montant de 100 euros à 0 h 35, est accepté par ZG.
Lire la suite : https://www.droit-technologie.org/actualites/en-cas-de-suspicion-de-fraude-la-banque-doit-identifier-le-beneficiaire-du-paiement/
Cybersécurité
Cybersécurité : « Strasbourg est attaquée toutes les semaines » selon Caroline Zorn
rue89strasbourg.com - Par Roni Gocer
Publié le 2 mars 2025 - modifié le 3 mars 2025
Édition abonnés
Les systèmes informatiques de la Ville et de l’Eurométropole de Strasbourg sont la cible d’attaques ininterrompues. La question de la cybersécurité reste pourtant un sujet politique secondaire que Caroline Zorn, en charge du numérique pour la municipalité, essaye de réhabiliter.
Sept conseils municipaux, plus d’une centaine d’heures de débats et pas plus de 10 minutes sur la cybersécurité. Que ce soit en 2024 ou durant les années précédentes, le sujet a toujours été relégué au rang des sujets de seconde zone. Derrière ce faible intérêt de la part des élus, se devine un manque de culture numérique.
La question n’est pourtant pas anodine. Toutes les semaines, Strasbourg est la cible d’attaques informatiques, plus ou moins abouties, comme les classiques tentatives de phishing (hameçonnage) et les attaques en déni de service. Conseillère municipale déléguée à la ville numérique, Caroline Zorn explique pour Rue89 Strasbourg les enjeux liés à cette thématique.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.rue89strasbourg.com/cybersecurite-strasbourg-caroline-zorn-334180
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Les services de sécurité gérés doivent être désormais certifiés
Solutions-numeriques.com - Par Patrice Remeur
Publié le 6 mars 2025
Le règlement relatif aux services de sécurité gérés a été publié au JO de l’UE le 15 janvier. Il est applicable depuis le 12 février 2025. Il concerne un grand nombre d’acteurs comme nous l’avions indiqué dans notre précédent article.
Les entreprises proposant le traitement des incidents, les tests d’intrusion, les audits de sécurité et le conseil, liés à l’assistance technique, soutient à la prévention, la détection, l’analyse et l’atténuation des incidents, ainsi que la préparation et la réaction à ces incidents et le rétablissement à la suite de ceux-ci mais aussi, la fourniture de renseignements sur les cybermenaces et l’évaluation des risques liés à l’assistance technique… sont concernés par ce texte depuis le mois de février.
Le règlement intègre les services de sécurité gérés aux côtés des produits, services et processus des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans les schémas de certification en cybersécurité européens.
Des acteurs cruciaux
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/salesforce-lance-une-marketplace-pour-deployer-et-monetiser-des-agents-dia/
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L’ANSSI publie son plan stratégique 2025-2027
cyber.gouv.fr - Actualités
Publié le 06 Mars 2025
A l’issue d’une réflexion collective menée au cours des derniers mois, l’ANSSI publie aujourd’hui son plan stratégique pour la période 2025-2027.
L’intelligence artificielle, le cloud ou bien encore le développement potentiel d’un ordinateur quantique capable de remettre en cause les propriétés fondamentales de la cryptographie asymétrique, ces technologies bouleversent notre monde et notre approche du cyberespace alors que la menace cyber affecte dorénavant tous les pans de notre économie et de notre société. Cette menace est par ailleurs accentuée par une situation internationale de plus en plus conflictuelle, qui a des répercussions toujours plus significatives dans le cyberespace.
Depuis plusieurs années, la France et l’Union européenne (UE) travaillent à la prise en compte de ces paramètres au travers notamment de réseaux de coopération et de différents textes règlementaires (directive sur la sécurité des réseaux et des systèmes d’information (NIS 2), règlement sur la résilience cyber (CRA), etc.), qui participent tous à un objectif d’élévation générale de la cybersécurité de l’UE et de ses Etats membres.
La réussite des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 (JOP) a été l’aboutissement d’un travail intense durant deux ans des agents de l’ANSSI et de « l’équipe de France » de la cybersécurité dans son ensemble. Au-delà des enseignements qui ont déjà été tirés sur le travail de préparation, d’entrainement et d’articulation avec l’écosystème, y compris international, cette réussite des JOP est venue consacrer un modèle français de la cybersécurité qui repose sur une séparation claire, au sein de l’État, entre les missions défensives et offensives, l’Agence étant chargée de coordonner le champ de la défense et de la protection des systèmes d’information.
Consultez le plan stratégique de l’ANSSI 2025-2027
Lire la suite : https://cyber.gouv.fr/actualites/lanssi-publie-son-plan-strategique-2025-2027
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L’Armée de Terre se dote d’un régiment de cybersécurité
armees.com - Jean-Baptiste Leroux
Publié le 3 mars 2025
L’Armée de Terre vient de se doter de son premier régiment de cybersécurité.
Face à l’essor des cyberattaques, l’Armée de Terre a créé un régiment entièrement dédié à la cybersécurité. Une unité de pointe pour renforcer la protection des réseaux et systèmes militaires.
Une unité stratégique pour la protection des systèmes militaires
L’Armée de Terre franchit un cap dans la sécurisation de ses infrastructures numériques avec la création officielle du régiment de cyberdéfense. Depuis le 1er janvier 2025, cette unité spécialisée est implantée en Bretagne et intégrée à la Brigade d’appui numérique et cyber (BANC). Son objectif est clair : renforcer la résilience des forces armées face aux cybermenaces toujours plus sophistiquées.
Le régiment est conçu pour assurer une protection active des systèmes d’information et de communication militaires. Il s’appuie sur les compétences des anciennes 807e et 808e compagnies de transmissions (CTRS) et du bureau cyber de la BANC, qui ont été réorganisés pour former cette nouvelle unité.
D’ici à 2030, l’unité comptera 400 experts hautement qualifiés en cybersécurité, issus de différentes armées. Cette diversité permet une approche complète et efficace des problématiques numériques actuelles.
Des missions variées pour une cybersécurité renforcée
Lire la suite : https://armees.com/larmee-de-terre-se-dote-dun-regiment-de-cybersecurite/
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Les attaques sur les données bancaires des smartphones ont explosé’ en 2024
datanews.levif.be - par Michel van der Ven, Redacteur chez Data News
Le nombre d’attaques dites de type ‘Trojan banker’ (chevaux de Troie bancaires) sur les smartphones a augmenté de 196 pour cent en 2024 par rapport à l’année précédente. C’est ce qui ressort du rapport de Kaspersky ‘The mobile malware threat landscape’ publié lors du Mobile World Congress 2025 à Barcelone.
Au cours de l’année écoulée, la firme de sécurité Kaspersky a détecté plus de 33,3 millions d’attaques sur des utilisateurs de smartphones dans le monde entier, impliquant divers types de logiciels malveillants et indésirables. Le nombre d’attaques appelées ‘Trojan banker’ lancées sur des appareils Android est passé de 420.000 à 1.242.000. Ce type de malware est spécifiquement conçu pour voler les données des utilisateurs dans les domaines des services bancaires en ligne, des services de paiement électronique et des systèmes de cartes de crédit.
Astuces sournoises
Selon Kaspersky, les cybercriminels incitent leurs victimes à télécharger des Trojan bankers en propageant des liens via des SMS ou des applis de messagerie. Mais ils tentent également de le faire au moyen de pièces jointes malveillantes dans les messageries et en orientant les utilisateurs vers des pages web mal intentionnées. Ils peuvent même envoyer des messages à partir du compte d’un contact piraté, ce qui donne à la fraude une apparence plus fiable.
Lire la suite : https://datanews.levif.be/actualite/securite/les-attaques-sur-les-donnees-bancaires-des-smartphones-ont-explose-en-2024/
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Les données de 2,3 millions de cartes bancaires, et il y a des Françaises, ont été volées par des hackers
Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.
Publié le 04 mars 2025
Plus de 2,3 millions de données de cartes bancaires ont été exposées sur le dark web ces deux dernières années selon Kaspersky. 95% des numéros compromis seraient bien toujours utilisables.
Le spécialiste de la cybersécurité Kaspersky a présenté des chiffres assez alarmants sur les infostealers, les voleurs d'informations. Son Digital Footprint Intelligence vient de révéler ce mardi que les logiciels malveillants ont compromis près de 26 millions d'appareils entre 2023 et 2024, dont 9 millions pour la seule année dernière.
Bien que la proportion de cartes bancaires ayant fait l'objet d'une fuite reste inférieure à 1% des cartes en circulation mondiale, les chercheurs ont découvert que 95% des numéros dérobés, dont certains sont Français, seraient toujours exploitables par les cybercriminels.
26 millions d'appareils infectés par des logiciels espions bancaires
Les infostealers, qui sont à l'origine de ces différentes fuites, sont conçus pour extraire discrètement des informations sensibles. On peut aussi bien parler de données financières, d'identifiants que de cookies et autres informations personnelles monnayables. Ces données volées sont ensuite compilées dans des bases diffusées sur le Dark Web. Elles viennent alimenter un véritable marché noir de l'identité numérique et des moyens de paiement.
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Cybercrimepolice.ch: une portée nationale avec des contenus désormais en français
ictjournal.ch - par Yannick Chavanne
Publié le 5 mars 2025
Lancé en 2019, Cybercrimepolice.ch étend sa portée au niveau national. Ce site de prévention contre le cybercrime, jusqu'à présent uniquement en allemand, propose désormais son contenu en français et prévoit une version italienne.
La plateforme de prévention Cybercrimepolice.ch a désormais une portée nationale. Lancée en 2019, elle constitue un canal de diffusion d’alertes et de sensibilisation de la population suisse face aux menaces de cybercriminalité. Jusqu’ici disponible uniquement en allemand, elle propose depuis le 3 mars des contenus en français, bénéficiant au passage d’un design remanié. Une extension à la langue italienne est également prévue.
La refonte du site a débuté en 2024 sous l’impulsion de la Police cantonale zurichoise, en collaboration avec la Police cantonale bernoise. Ce projet a été soutenu par la Conférence des commandantes et des commandants des polices cantonales de Suisse (CCPCS).
Un demi-million de visites en 2024
Lire la suite : https://www.ictjournal.ch/news/2025-03-05/cybercrimepolicech-une-portee-nationale-avec-des-contenus-desormais-en-francais
Thales
Thales progresse encore en Bourse après des comptes annuels supérieurs aux attentes et l'arrêt de l'aide militaire des Etats-Unis à l'Ukraine
investir.lesechos.fr - - par Denis Lantoine
Publié le 4 mars 2025
Au lendemain d'un gain de 16% consécutif à la volonté des pays européens de se réarmer face à l'intention manifeste des Etats-Unis de lâcher ses alliés tout comme l'Ukraine, Thales a encore bondi de près de 10% en matinée ce mardi. Les comptes 2024 du groupe d'électronique de défense sont supérieurs aux attentes et les perspectives pour cette année sont séduisantes. Washington suspend par ailleurs son aide militaire à Kiev.
Une envolée de près de 30% en deux séances, les actionnaires de Thales se souviendront très longtemps de ce début du mois de mars, qui consacre l'ensemble du secteur de la défense, et le groupe français en particulier. Ce mardi, l'action grimpe de près de 10% et après avoir été réservée à la hausse dans les tout premiers échanges. Elle a même bondi de 13,4% au meilleur de ces premières cotations du jour, inscrivant au passage un nouveau pic historique de 252,40 euros. Depuis le début de l'année, le gain se monte maintenant à quelque 75%. C'est, pour le moment, la meilleure performance annuelle du titre, devant les 66,5% de hausse de 1988, les 59,5% de 2022 et la progression de 55,7% de 2020.
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THALES renforce ses activités de cybersécurité souveraine, avec l’ouverture d’un nouveau centre dédié à Rennes.
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 06 mars 2025
Renaud Labelle, sous-directeur adjoint de l'ANSSI, Olivier Mangeot, Responsable pôle cyber, DGA, Pierre Jeanne, VP activités cybersécurité souveraine de Thales, Christophe Salomon, Directeur général adjoint en charge des systèmes d’information et communication sécurisés, Thales, Loïg Chesnais-Girard, Président de la Région Bretagne, Général Aymeric Bonnemaison, commandant de la cyberdéfense (COMCYBER)
Le 6 mars 2025, Pierre Jeanne, Vice-Président des activités de cybersécurité souveraine, et Christophe Salomon, Directeur général adjoint, Systèmes d’Information et Communication Sécurisés, ont inauguré à Rennes le centre de cybersécurité souveraine de Thales, en présence de représentants de la Région Bretagne, du COMCYBER, de l’ANSSI, de la DGA, et le Pôle d’Excellence Cyber.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-renforce-ses-activites-cybersecurite-souveraine
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EOLO choisit Thales pour étendre l'accès Internet haut débit en Italie
Publié le 06 mars 2025
L’Union européenne souhaite garantir à tous les citoyens un accès à un réseau haut débit de 1 Gbit/s d’ici 2030 et EOLO a choisi Thales pour la fiabilité de ses solutions de connectivité. Afin d’atteindre cet objectif, des solutions innovantes telles que l’accès fixe sans fil (FWA), vont pouvoir fournir un accès Internet haut débit aux zones dépourvues de réseaux traditionnels en fibre optique ou en cuivre. Le FWA est essentiel pour connecter les habitants des petites villes et des régions rurales, combler la fracture numérique et soutenir la croissance économique.
La vision d'EOLO pour une connectivité plus rapide
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/eolo-choisit-thales-etendre-lacces-internet
Mobilité
La MEL souhaite mobiliser 4 millions d’euros pour redonner confiance aux usagers du réseau ilévia
lillemetropole.fr - par Communiqué
Publié le 25 février 2025
Suite aux perturbations importantes ayant affecté le métro en fin d’année 2024, la Métropole Européenne de Lille s’est engagée à prendre des mesures concrètes pour ses usagers. Lors du Conseil métropolitain du 20 décembre 2024, le Président Damien Castelain a exprimé sa volonté d’agir rapidement. Fidèle à cet engagement et avant toute décision formelle, il a initié ce jour une démarche de concertation avec l’ensemble des Présidents de groupes politiques de la Métropole afin d’échanger et d’identifier les dispositifs les plus pertinents pour les usagers.
Les propositions formulées pour redonner de l’attractivité au réseau
La MEL entend mobiliser les pénalités appliquées à ilévia. Sous réserve de l’approbation du Conseil métropolitain, ce sont ainsi 4 millions d’euros qui pourraient être consacrés à des offres commerciales tarifaires au bénéfice direct des abonnés (soit près de 300 000 usagers réguliers ayant pu subir les perturbations du réseau de septembre à décembre 2024).
Ainsi, la MEL propose les mesures suivantes :
Pour les usagers réguliers disposant d’un abonnement longue durée en vigueur entre le 1er septembre et le 31 décembre 2024, sont proposés :
- pour les abonnés permanents : la suspension du prélèvement pour le mois de juin 2025 ;
- pour les abonnés annuels et les abonnés 10 mois : le 1er mois de réabonnement offert.
Une remise de 50% sera appliquée sur tout abonnement mensuel pris entre le 23 mai et le 22 juin 2025, sans condition.
Cet engagement financier en faveur des usagers des transports traduit un objectif clair : rétablir la confiance des usagers fidèles au réseau et augmenter leur nombre.
Une démarche concertée pour une mise en œuvre efficace
Lire la suite : https://lillemetropole.fr/communique-de-presse/la-mel-souhaite-mobiliser-4-millions-deuros-pour-redonner-confiance-aux
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Sécurité dans les transports : la Métropole renforce son action avec un ambitieux plan
Publié le 27 février 2025
Face aux enjeux de sécurité dans les transports en commun, tant pour les usagers que pour les personnels, la Métropole engage un plan ambitieux visant à protéger, rassurer et prévenir les incidents grâce à des mesures concrètes, innovantes et adaptées aux réalités du territoire.
Face à l’augmentation des incivilités et des agressions dans les transports en commun, la Métropole Aix-Marseille-Provence déploie un plan de sécurité renforcé. L’objectif : garantir un cadre serein aux voyageurs et aux agents. Ce dispositif ambitieux, dévoilé par la présidente Martine Vassal, repose sur des mesures concrètes et innovantes qui seront mises en place progressivement.
« La révolution des transports que la Métropole conduite sur l’ensemble de notre territoire doit nécessairement s’accompagner d’un renforcement drastique des conditions de sécurité. Nous devons garantir à chaque voyageur et chaque agent des conditions de voyage sereines. Ce plan marque un tournant avec des actions fortes, immédiates et visibles, qui répondront aux attentes des habitants de notre Métropole », déclare Martine Vassal, présidente de la Métropole Aix-Marseille-Provence.
Un plan d’action structurant
Afin d’améliorer la sécurité au quotidien, plusieurs axes prioritaires ont été définis :
Protection des chauffeurs
Les conducteurs de bus bénéficieront de nouveaux dispositifs de sécurité avec l’installation de cabines de protection intégrale, remplaçant les modèles actuels présentant des angles de vulnérabilité.
Lire la suite : https://ampmetropole.fr/mobilite-transports/securite-dans-les-transports-la-metropole-renforce-son-action-avec-un-ambitieux-plan/
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Mobilité : et si en 2025, nous changions nos habitudes ?
bordeaux.fr - Communiqué
Publié le vendredi 21 février 2025
En ce début d'année, la Ville mise sur les "bonnes résolutions" et lance une campagne de communication multicanaux pour inciter les Bordelaises et Bordelais à privilégier le vélo, la marche et le bus pour leurs déplacements quotidiens.
Trois mises en situation illustrent le contraste entre une route souvent trop saturée par les automobiles et une voie au contraire dégagée et apaisée avec l'usage de mobilités douces.
Dans la conception, le choix s'est porté sur une direction artistique colorée et positive pour illustrer combien le bus, le vélo ou la marche apportent une respiration et une perspective agréable dans les déplacements de tous les jours.
Optez pour une mobilité plus responsable
En bus pour plus de facilité
Bordeaux Métropole offre un réseau de transports en commun diversifié et interconnecté. Il permet aux usagers de combiner différents modes de déplacement en associant vélo, bus, tram et train au sein de l'agglomération.
À pied pour une meilleure santé
Lire la suite : https://www.bordeaux.fr/p158645/mobilite-et-si-en-2025-nous-changions-nos-habitudes-
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Mobilité 2030 : les 8 tendances qui redéfinissent les transports publics à travers le monde
groupeonepoint.com - Communiqué
En collaboration avec Onepoint, RATP Dev dévoile aujourd’hui une étude prospective explorant les huit mégatendances qui façonnent l’avenir de la mobilité dans le monde.
Les transports publics sont à un moment charnière de l’histoire, traversant des transformations sans précédent – de l’adaptation au changement climatique et aux évolutions démographiques à la gestion de la congestion urbaine croissante et à l’exploitation de l’IA pour des opérations plus intelligentes – qui exigent toutes des solutions innovantes et tournées vers l’avenir.
De puissantes mégatendances remodèlent le paysage mondial du transport public
Élaboré en étroite collaboration avec nos experts en prospective, le rapport offre une perspective globale, s’appuyant sur plus de 50 entretiens avec des experts internationaux dans une dizaine de pays. Il intègre également une analyse approfondie des études et des rapports de prospective existants, fournissant aux autorités publiques, aux opérateurs de transport et aux acteurs du secteur les informations nécessaires pour relever les nouveaux défis.
Le rapport met en évidence huit mégatendances qui auront un impact sur la mobilité d’ici 2030 :
1. LES PRESSIONS LIÉES AU CHANGEMENT CLIMATIQUE S’INTENSIFIENT – Préparer les transports publics aux conditions climatiques extrêmes grâce à des énergies plus vertes et à la résilience des infrastructures.
2. LES VOYAGEURS VEULENT ÊTRE RASSURÉS – Renforcer la sécurité avec des technologies avancées et assurer la confiance du public dans les systèmes de transport.
Lire la suite : https://www.groupeonepoint.com/fr/publications/mobilite-2030-les-8-tendances-qui-redefinissent-les-transports-publics/
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Le CNRS, moteur de la transition des mobilités
Publié le 24 février 2025
La transition du secteur des transports connaît une nette accélération depuis quelques années. Une transformation majeure dans laquelle la recherche publique et le CNRS jouent un rôle essentiel.
Si la voiture autonome fait régulièrement la une des journaux, elle ne représente pourtant qu’un aspect de la vaste révolution que connaît aujourd’hui le secteur de la mobilité. Citons aussi les évolutions du marché du transport ferroviaire ou encore les mobilités écoresponsables… La transition – déjà largement entamée – du secteur des transports connaît une nette accélération depuis quelques années.
Une transformation majeure dans laquelle la recherche publique et le CNRS jouent un rôle essentiel. « Les laboratoires publics permettent de créer de la connaissance scientifique, qui peut ensuite être exploitée par les entreprises pour générer de la valeur économique », estime Dieumet Denis, responsable de l’agence de Clermont-Ferrand de la société SHERPA Engineering, spécialisée en ingénierie des systèmes embarqués, et lui-même ancien chercheur. « Pour une PME comme la nôtre, la collaboration avec des chercheurs revêt une importance stratégique dans notre démarche d’innovation. »
L’IA au service de la mobilité intelligente
Lire la suite : https://www.cnrs.fr/fr/actualite/le-cnrs-moteur-de-la-transition-des-mobilites
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Ticket de métro dans « Le Monde », d’indicateur du coût de la vie à bout de carton obsolète
lemonde.fr - Chronique Benoît Hopquin
Le titre de transport physique ne sera bientôt plus disponible sur le réseau de transport francilien. Pendant des décennies, son prix a représenté un enjeu national. Il est évoqué pour la première fois dans le quotidien le 2 janvier 1947.
Publié le 23 février 2025 à 08h00Circulez, y a plus rien à voir ! A la fin de cette année, les tickets de métro physiques, ces bons vieux rectangles de carton, auront définitivement disparu des transports en commun franciliens. Cette information ne changera pas la vie de l’immense majorité des usagers, pardon, des clients de la RATP, tant les passes magnétiques rechargeables Navigo se sont imposés dans leur quotidien. Pour la nouvelle génération, le ticket de métro appartient déjà à l’antiquité métropolitaine. Sic transit urbain.
Qui se souvient que cet objet aujourd’hui délaissé fut, plus qu’un titre de transport,
la terreur des gouvernements ? Le prix de ce bout de carton appartenait aux « indicateurs avancés » permettant de calculer ce qu’on appelait alors « le coût de la vie », au même titre que le pain ou le tabac. Il était l’équivalent de ce que représente le prix de l’essence aujourd’hui. La lecture des archives du Monde suffit à s’en convaincre. Pendant plusieurs décennies, en une interminable litanie, chaque nouvelle hausse sera ainsi annoncée, et souvent politiquement commentée, dans les colonnes du journal.
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Il doit financer les transports en commun : qu'est-ce que le versement mobilité régional, que le patronat rejette ?
laprovence.com - par Quentin GUÉROULT
Publié le 22 février 2025
Instaurée par le budget 2025 du gouvernement, et soutenu par le ministre délégué chargé des Transports, ce versement mobilité régional fait tiquer le patronat, et certaines Régions peu enclines à taxer leurs entreprises. On vous explique de quoi il s'agit.
C’est l’une des nouveautés du budget 2025. Le versement mobilité, qui était jusqu’ici uniquement payé par les entreprises de la région parisienne et des grandes villes ou agglomérations, a été étendu aux Régions. Ces dernières peuvent désormais taxer toutes les entreprises de 11 salariés ou plus, à hauteur de 0,15%, au maximum, de leur masse salariale.
Recouvré par l’Urssaf, ce Versement mobilité régional (VMR) a pour but de financer le développement des transports en commun. Portée par le ministre délégué chargé des Transports, Philippe Tabarot, cette taxe est notamment consacrée à 10% aux territoires ruraux, afin de "financer de nouveaux services".
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Les taxis volants à Paris, une idée qui peine à décoller
Mobilité Urbaine - Par Olivier
Publié le le 23 février 2025
L’idée de voir des taxis volants circuler au-dessus de Paris n’est pas encore enterrée. Volocopter, constructeur allemand d’aéronefs électriques, et Jet Systems Hélicoptères Services, une entreprise française spécialisée dans le transport par hélico, viennent de signer un accord de long terme pour tenter de concrétiser ce projet. L’idée est toujours de faire voler des engins à décollage et atterrissage vertical (eVTOL) dans la région parisienne.
Dans un premier temps, Jet Systems doit récupérer deux appareils Volocity. Mais avant qu’ils ne prennent leur envol, il faut encore passer par la certification de l’Agence de l’Union européenne pour la sécurité aérienne (AESA). « 75 % des inspections sont déjà bouclées », assure Andreas Fehring, directeur exécutif de Volocopter, qui espère une validation prochaine.
Obstacles en plein ciel
Michel Moulin, PDG de Jet Systems, veut proposer « des solutions de mobilité sûres, responsables et respectueuses de l’environnement ». En bref, réduire le bruit et la pollution des hélicoptères classiques tout en gardant l’avantage d’un transport rapide. Ce partenariat s’inscrit dans la continuité du projet de taxis volants soutenu par le Groupe ADP, en collaboration avec la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC). L’idée est de relier les aéroports, héliports et autres points stratégiques de l’Île-de-France.
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2025/02/23/les-taxis-volants-a-paris-une-idee-qui-peine-a-decoller/
RGPD
Vers une utilisation stratégique du RGPD en matière de concurrence déloyale
pausine-digitale.fr - par Alice Vitard
Publié le 26 février 2025
La justice européenne semble avoir ouvert une nouvelle voie à l'utilisation du RGPD dans les litiges commerciaux. Dans une récente décision, elle a ainsi jugé qu'un concurrent pourrait intenter une action en justice en invoquant une violation du texte européen, si cette violation crée un avantage concurrentiel déloyal. Pour comprendre la portée de cette décision, le Club Data Protection s'est entretenu avec l'avocate Pauline Ducoin.
Qui a dit que l'intérêt du RGPD s'arrêtait aux litiges liés à la protection des données personnelles ? La Cour de justice de l'Union européenne a rendu une décision qui ouvre une voie à l'utilisation de ce texte sur le fondement de la concurrence déloyale.
A l'origine, un litige commercial
Le litige opposait deux particuliers, exploitant chacun une pharmacie en Allemagne. Le premier accusait le second d'avoir violé le droit de la concurrence et le RGPD en commercialisant des médicaments réservés aux pharmacies sur Amazon. En effet, il affirmait que son concurrent traitait les données de santé des clients sans leur consentement. Le Bundesgerichtshof (Cour fédérale de justice, Allemagne), confronté à des questions d'interprétation du droit de l'Union, a décidé de saisir la Cour de justice de l'Union européenne pour une décision préjudicielle.
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous au Club Data Protection - édition Abonné
Lire la suite (réservée aux abonnés du Club Data Protection) : https://www.usine-digitale.fr/article/vers-une-utilisation-strategique-du-rgpd-en-matiere-de-concurrence-deloyale.N2228017
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La vidéoprotection algorithmique va-t-elle être pérennisée ?
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Publié le 26 février 2025
La loi du 19 mai 2023 relative aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024 a autorisé une expérimentation de la vidéoprotection algorithmique. Si son bilan est « contrasté », le Sénat et le gouvernement sont favorables à prolonger cette expérimentation alors qu'elle devrait s'achever en mars prochain.
L’utilisation de la vidéoprotection algorithmique durant les Jeux olympiques et paralympiques de l’été dernier avait fait l’objet de nombreux débat dans le cadre de l’adoption de la loi du 19 mai 2023 relative à l’organisation des Jeux. Cet arsenal législatif prévoyait notamment un dispositif de sécurité musclé dans les villes accueillant des épreuves ou la flamme olympique mais instaurait également des mesures allant bien au-delà de la seule organisation des Jeux. La vidéoprotection algorithmique en fait partie.
De quoi parle-t-on ? Classiquement, l'analyse des images captées par des caméras de surveillance est faite par des humains, dans des centres de contrôle. La vidéoprotection algorithmique consiste à automatiser, en tout ou partie, le dispositif : ce sont des algorithmes (programmes informatiques) qui analysent les images et sont chargés de repérer, par exemple, des comportements suspects, des objets abandonnés, voire, en théorie, de faire de la reconnaissance faciale.
Strictement encadrée dans la loi, l’expérimentation prévue jusqu’au 31 mars 2025, permet concrètement « l’application de traitements algorithmiques à des images collectées par des systèmes de vidéoprotection ou de drones » . La pratique a été utilisée dans les « lieux accueillant des manifestations et à leurs abords ainsi que dans les véhicules et emprises de transport public et sur les voies les desservant, afin de détecter, en temps réel, des événements prédéterminés susceptibles de présenter ou de révéler ces risques et de les signaler en vue de la mise en œuvre des mesures nécessaires par les services compétents. »
Lire la suite : https://www.maire-info.com/securite/la-videoprotection-algorithmique-va-t-elle-etre-perennisee--article-29441
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Comment DORA s’articule-t-il concrètement avec le RGPD et NIS 2 ?
lemagit.fr - par Marc Schuler, Associé, et Benjamin Znaty, Counsel chez Taylor Wessing
Publié le 24 février 2025
Le nouveau règlement européen s’inscrit dans une approche complémentaire de la résilience numérique. Ce qui pose la question de savoir comment DORA s’articule avec ces deux autres réglementations.
Le Règlement européen sur la résilience opérationnelle numérique du secteur financier (dit règlement DORA), entré en application le 17 janvier 2025, constitue une avancée majeure des entités financières face aux risques technologiques.
Ce règlement s’inscrit dans le « Digital Finance Package », une initiative lancée par la Commission européenne en septembre 2020 qui vise à accompagner et favoriser la transformation digitale du secteur financier. C’est-à-dire le développement de nouveaux produits financiers disruptifs, tout en garantissant la protection des consommateurs et la stabilité du secteur. En résulte également le règlement européen sur les marchés des cryptoactifs (MiCA).
Le règlement DORA relève également d’un programme stratégique de l’Union européenne qui veut répondre à l’enjeu, majeur, de sécurisation des systèmes d’information face à la montée des cybermenaces et face aux risques systémiques qui pèsent sur les infrastructures critiques.
En ce sens, DORA s’inscrit dans un paysage réglementaire plus large. Le règlement est en interaction avec d’autres régulations majeures comme le Règlement général sur la protection des données (RGPD) et la directive sur la cybersécurité (NIS 2).
Lire la suite : https://www.lemagit.fr/conseil/Comment-DORA-sarticule-t-il-concretement-avec-le-RGPD-et-NIS-2
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La CNIL réservée sur le projet décret sur le SI France Travail
solutions-numériques.com - par Patrice Remeur
Publié le 24 février 2025
La Cnil est défavorable à l'ouverture massive du SI de France Travail
La Cnil a émis des réserves sur le projet de décret lié à l’ouverture du système d’information de France Travail prévu dans le cadre de la loi sur le plein emploi du 18 décembre 2023. L’institution indépendante pointe des inquiétudes sur la sécurité des données personnelles notamment de publics fragiles.
Le projet de décret prévoit que l’information des personnes concernées est assurée, selon les traitements, par la CNAF et la CCMSA ou par FT, notamment par l’intermédiaire de leurs sites web et lors du dépôt de demande d’allocation. “Au regard du public concerné incluant des mineurs et des personnes en situation de handicap, la délivrance de l’information devra être adaptée conformément à l’article 12 du RGPD, notamment via la mise à disposition d’une mention d’information au format « Facile à lire et à comprendre » (FALC)” pointe la CNIL.
Sur l’exercice des droits des personnes, le projet de décret écarte expressément pour chacun des traitements l’exercice du droit d’opposition en application de l’article 56 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée. “Dès lors, la CNIL s’interroge sur une limitation aussi générale du droit d’opposition. La CNIL rappelle, d’une part, que, pour pouvoir apporter valablement des limitations au droit d’opposition des personnes, la mesure normative prise à cet effet doit contenir certaines « dispositions spécifiques » minimales énumérées à l’article 23.2 du RGPD et, d’autre part, que l’article 56 de la loi énonce qu’une telle exclusion doit être prévue par « une disposition expresse de l’acte instaurant le traitement”. La CNIL invite en conséquence le ministère à compléter le projet de décret afin de satisfaire entièrement aux exigences de ces articles. Par ailleurs, la CNIL indique qu’elle “ne sauraient préjuger de la licéité de l’ensemble des traitements concernés“.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/la-cnil-reservee-sur-le-projet-decret-sur-le-si-france-travail/
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Protection des données : Mistral AI dans le viseur de la CNIL
Publié le 25 février 2025
Une plainte déposée auprès de la CNIL accuse l’entreprise de ne pas respecter le RGPD, notamment via son application Le Chat. L’absence de paramètre « opt-out » pour les comptes gratuits soulève des questions sur la protection des données des utilisateurs. La CNIL n’a pas encore rendu sa décision, cette affaire met en lumière l’importance d’un cadre réglementaire. Celui-ci s’avère essentiel pour encadrer le développement des technologies d’intelligence artificielle.
Une licorne française sous pression réglementaire
Mistral AI, la start-up française qui s’est imposée comme une alternative crédible à OpenAI, se retrouve aujourd’hui au centre d’une controverse juridique. Récemment mise en avant lors du Sommet de l’IA à Paris, elle fait désormais l’objet d’une plainte auprès de la CNIL pour non-respect du RGPD. En cause, l’utilisation des données personnelles des utilisateurs de son application mobile Le Chat. Selon la plainte, les utilisateurs de la version gratuite ne disposent pas d’option pour refuser l’exploitation de leurs données. Les abonnés payants, en revanche, peuvent désactiver cette collecte directement depuis leur compte.
Un manquement ou une interprétation stricte du RGPD ?
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/mistral-ai-plainte-rgpd-cnil
Fonction Publique Territoriale
Indemnités maladie des agents publics : les décrets publiés, la diminution entre en vigueur demain
maire-info.com - par AW.
Édition du vendredi 28 février 2025
À partir du 1er mars, l'indemnisation des agents publics en arrêt maladie passe de 100 % à 90 %, comme les parlementaires l'ont adopté dans la loi de finances pour 2025. Deux décrets parus ce matin fixent les règles pour les agents contractuels de la fonction publique territoriale, entre autres.
Le gouvernement vient de publier, ce matin, deux décrets - ici et là – qui fixent les nouvelles règles de rémunération pour les agents en arrêt maladie.
Une mesure qui entre en vigueur à compter de demain, le 1er mars 2025. Ces deux textes établissent ainsi à 90 % le taux de remplacement du traitement pour les périodes de congé de maladie « ordinaire » au lieu de 100 % et visent, entre autres, les agents contractuels de la fonction publique territoriale.
Taux de remplacement de 90 %
Pour rappel, ces textes font suite à la décision des sénateurs de suivre la volonté du gouvernement en adoptant, fin janvier, un amendement de l’exécutif qui visait à réduire l'indemnisation des agents en arrêt maladie. Bien qu’ils aient, toutefois, choisi de s’opposer à l'allongement du délai de carence.
Identité numérique
Identité numérique. Une station biométrique à la mairie annexe de MéanPenhoët
Saintnazaire.fr - Mairie / Numérique
Publié le 26 février 2025
Depuis la semaine dernière, vous pouvez effectuer la démarche de certification de votre identité numérique à la mairie annexe de Méan-Penhoët.
Lire la suite : https://www.saintnazaire.fr/actualite/identite-numerique-une-station-biometrique-a-la-mairie-annexe-de-mean-penhoet/
Intelligence artificielle
OpenAI lance GPT-4.5, une IA aux interactions plus humaines
Par La rédaction (@Lesnums)
Publié le 27 février 2025
OpenAI a lancé aujourd'hui, 27 février 2025, son dernier modèle d'intelligence artificielle : GPT-4.5. Les promesses ? Des interactions plus naturelles et une meilleure compréhension émotionnelle. Disponible actuellement pour les abonnés ChatGPT Pro, ce modèle suscite autant d'enthousiasme que de questions.
La course aux meilleurs modèles d'IA bat son plein, et il ne se passe pas une semaine sans qu'une nouvelle version d'un large language model (LLM) ne vienne bousculer l'ordre établi. Avec DeepSeek R1, Claude 3.7 ou Microsoft Phi 4, l'hégémonie d'OpenAI est constamment remise en jeu, et l'entreprise américaine se devait de réagir avec une évolution de son GPT.
Tout dans la nuance
La nouvelle itération, GPT-4.5, se distingue par sa capacité à reconnaître les nuances sociales et à répondre de manière plus intuitive. Selon Sam Altman, PDG d'OpenAI, ce modèle est le premier à donner l'impression de converser avec une personne réfléchie. Cette amélioration est attribuée à une formation combinant de nouvelles techniques de supervision et des méthodes traditionnelles, réduisant les "hallucinations" et affinant la personnalité du modèle.
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/intelligence-artificielle/openai-lance-gpt-4-5-une-ia-aux-interactions-plus-humaines-n233609.html
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« Exigeons une pause IA : quand des citoyens et des ingénieurs veulent encadrer l’IA
bfmtv.com - Par Lucien D'Armagnac de Castanet
Publié le 23 février 2025
L’intelligence artificielle suscite un engouement qui se diffuse partout dans la société. Partout? Pas vraiment. L'association Pause IA milite pour un encadrement de secteur en plein essor.
Le mois de février a été celui de l'intelligence artificielle. Tout le monde a parlé du Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, organisé à Paris par la France. Mais dans son ombre, d'autres événements ont eu lieu. Parmi eux, le Forum des solutions pour le contrôle de l'IA, organisé par l'association Pause IA, au Learning Planet Institute.
Dans cette annexe de l’Université Paris-Cité, différentes associations, des experts de l’intelligence artificielle, des chercheurs et des membres de la société civile se sont donné rendez-vous pour donner des conférences, discuter des thématiques d'actualité et sensibiliser l’opinion publique aux enjeux de l’intelligence artificielle.
"On savait que la France devait organiser un sommet sur l’IA qui devait à la base s'appeler Sommet de la sécurité de l’IA mais qui est devenu ensuite Sommet de l’action pour l’IA", explique Ludwig Iguedjtal-Buisson, l'organisateur du forum et directeur marketing de Pause IA.
"On a trouvé ça un peu dommage et on a décidé de sensibiliser les gens de notre événement sur les risques que comportent les IA les plus perfectionnées."
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L’IA pourrait détruire l’humanité d’ici 30 ans : un scientifique tire la sonnette d’alarme
futura-sicences.com - par La Rédaction
L’intelligence artificielle pourrait-elle sonner le glas de l'humanité ? Geoffrey Hinton, lauréat du prix Nobel de physique 2024, estime que le risque est bien réel. Selon lui, la probabilité d'une telle catastrophe dans les trois prochaines décennies serait de 10 à 20 %. Une perspective alarmante qui soulève de nombreuses questions sur notre avenir face à ces entités plus intelligentes que nous.
AU SOMMAIRE
L'intelligence artificielle (IA) connaît des avancées fulgurantes, dépassant les attentes des experts les plus chevronnés. Cette technologie révolutionnaire suscite autant d'espoirs que d'inquiétudes. Alors que certains y voient une opportunité sans précédent pour l'humanité, d'autres, comme le célèbre scientifique Geoffrey Hinton, tirent la sonnette d'alarme. Le risque que l'IA détruise notre espèce serait bien plus élevé qu'on ne le pensait auparavant.
Un scénario catastrophe de plus en plus plausible
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IA et formation : 3 changements majeurs
culture-rh.com - par Adeline Lajoinie
Publié le 26 février 2025
L’IA est un assistant apprécié dans de nombreux domaines, dont la formation. Mais quels changements concrets sont encore attendus en 2025 ?
IA et Formation : plus de peur que de mal
L’intelligence artificielle dans la formation ne fait plus peur. Selon une récente étude d’ILDI — Impacts de l’Intelligence Artificielle en formation, elle est perçue comme un levier d’optimisation plutôt qu’un risque pour la pédagogie. Les professionnels du secteur ne s’interrogent plus sur l’opportunité de l’adopter, mais sur la manière de l’intégrer efficacement.
L’IA promet des gains en productivité, une individualisation accrue et un meilleur accompagnement des apprenants. Ceux qui l’ont expérimentée la voient comme une réponse aux faiblesses du digital learning, notamment l’uniformisation et le manque d’interactions personnalisées.
Elle rapproche l’expérience de l’apprenant en ligne de celle du présentiel grâce à l’adaptive learning et à l’accès facilité à l’expertise des formateurs.
Saviez-vous que 40 % des profils RH ne sont pas à l’aise avec l’utilisation des KPIs dans la gestion des RH ? Pour vous accompagner, Culture RH a mis à jour son livre blanc sur les indicateurs RH incontournables à suivre en 2025.
L’étude révèle que 55 % des professionnels ont déjà initié la formation de leurs équipes à l’IA, et 28 % prévoient de le faire en 2025. Seuls 16 % restent réticents.
Les freins sont principalement psychologiques, organisationnels et éthiques.
Lire la suite : https://culture-rh.com/ia-formation-changements-majeurs/
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IA en conditions contraintes : Thales lance cortAIx au Royaume-Uni
alliance.fr - par Brittany Kesraoui
publié le 28 février 2025
Avec son accélérateur cortAIx, Thales veut tendre vers une IA plus fiable et sécurisée, visant à améliorer spécifiquement les domaines de la défense et de la sécurité. Le groupe a récemment franchi une nouvelle étape en lançant l’initiative également au Royaume-Uni.
Avec CortAIx, Thales entend placer l’IA au cœur de la sécurité et de la durabilité. L’entreprise a ainsi intégré dans plus de 100 produits une IA dite “de confiance”, adaptée aux environnements difficiles et contraignants. Après avoir récemment proposé un tour d’horizon de ces avancées à la presse française, l’entreprise a communiqué plus largement ces derniers jours sur ses plans au Royaume-Uni. Outre-manche, l’initiative repose sur 200 spécialistes de l’IA et des données qualifiées dans le but de soutenir la vision du gouvernement britannique, récemment martelée par le Premier ministre travailliste Keir Starmer : aller chercher la croissance et la productivité grâce à l’IA. L’occasion pour le spécialiste français de la défense, de l’aéronautique et de la cybersécurité de jouer sa carte. Phil Siveter, directeur général de Thales UK, souligne : « La mise en place de cortAIx au Royaume-Uni constitue une avancée majeure, en s’appuyant sur les capacités d’IA que nous déployons déjà et en accélérant considérablement le temps nécessaire à l’intégration de l’IA dans les systèmes de Thales. En s’alignant sur le plan d’action du gouvernement britannique sur les opportunités de l’IA, cortAIx au Royaume-Uni stimulera l’innovation, développera les compétences et veillera au déploiement éthique de l’IA dans des environnements réglementés, en garantissant la transparence, l’explicabilité et la confiance. Cela aura un impact très positif sur l’industrie britannique de la sécurité et de la défense. »
Lire la suite : https://www.alliancy.fr/ia-en-conditions-contraintes-thales-lance-cortaix-au-royaume-uni
Big Data
Big Data en 2025 : Jusqu’où ira l’explosion des données mondiales ?
ssolutions-numeriques.com - Par Salomé Laborde-Balen, Directrice des ventes EMEA, Rivery
Publié le 24 février 2025
Avec le règne du numérique et l’accélération du tout digital dans notre quotidien, les données sont devenues le carburant essentiel de l’innovation et de la compétitivité, alimentant la transformation numérique et redéfinissant les modèles économiques. Jamais dans l’histoire de l’humanité autant de données n’avaient été produites, stockées et analysées. En 2025, le volume mondial de données atteindra 181 zettaoctets (ZB), soit l’équivalent de la capacité de stockage de plus de deux mille fois l’ensemble des données contenues dans toutes les bibliothèques du monde, un chiffre vertigineux qui illustre l’accélération sans précédent de la transformation numérique. Cette masse d’informations, dopée par l’essor des objets connectés (IoT), l’intelligence artificielle et le stockage sur le cloud, s’accroît à un rythme effréné. Selon des analyses récentes, environ 90 % des données mondiales ont été générées au cours des deux dernières années, et d’après IDC, le volume de données stockées à l’échelle mondiale double environ tous les quatre ans, bouleverse les modèles économiques et les stratégies des entreprises.
Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène d’explosion des données et notre appétit grandissant pour elles, nous rendant toujours plus datavores. L’intelligence artificielle et l’automatisation, omniprésentes, produisent et traitent en continu des volumes croissants d’informations. L’IoT transforme l’industrie en optimisant la maintenance prédictive et la gestion des chaînes de production. Dans les services financiers, ces flux massifs de données affinent la détection des fraudes et l’analyse des marchés.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/communiques/big-data-en-2025-jusquou-ira-lexplosion-des-donnees-mondiales/
Paiement électronique
En cas de suspicion de fraude, la banque doit identifier le bénéficiaire du paiement
droit-technologie.org - par Etienne Wery
Publié le 17 février 2025
La banque doit obtenir et fournir toutes les informations disponibles ou accessibles, y compris via les intermédiaires bancaires, et ne peut pas se contenter d’invoquer un manque d’accès à ces données. C’est une obligation de résultat. Les informations doivent mettre le payeur en mesure d’identifier de manière certaine l’opération de paiement concernée. Une simple référence…
La banque doit obtenir et fournir toutes les informations disponibles ou accessibles, y compris via les intermédiaires bancaires, et ne peut pas se contenter d’invoquer un manque d’accès à ces données. C’est une obligation de résultat. Les informations doivent mettre le payeur en mesure d’identifier de manière certaine l’opération de paiement concernée. Une simple référence numérique ou une localisation ne suffit pas : le nom du bénéficiaire doit être communiqué.
Les faits
ZG, un résident belge, possède un compte bancaire chez Beobank en Belgique et une carte de débit associée.
Dans la nuit du 20 au 21 avril 2017, alors qu’il se trouvait à Valence (Espagne), plusieurs paiements ont été effectués avec sa carte sur un terminal de paiement mobile. Le premier, d’un montant de 100 euros à 0 h 35, est accepté par ZG.3Lire la suite : https://www.droit-technologie.org/actualites/en-cas-de-suspicion-de-fraude-la-banque-doit-identifier-le-beneficiaire-du-paiement/
Cybersécurité
Fraude par deepfake : une explosion des attaques de plus de 2000 % en trois ans
breizh-info.com - par
Publié le 23 février 2025
La menace des deepfakes ne cesse de croître et s’impose désormais comme un défi majeur pour la sécurité numérique. Selon une étude récente publiée par Signicat, les tentatives de fraude par deepfake ont augmenté de 2137 % au cours des trois dernières années, un chiffre alarmant qui souligne l’ampleur du phénomène. Longtemps cantonnées aux sphères du divertissement et de la désinformation, ces falsifications numériques extrêmement réalistes sont désormais devenues l’un des principaux outils des cybercriminels, particulièrement dans le secteur financier.
Les entreprises financières en première ligne
L’étude de Signicat, menée auprès de 1200 professionnels de la fraude dans plusieurs pays européens, met en lumière une situation préoccupante :
Autrement dit, ce qui était autrefois un phénomène marginal s’est imposé comme l’une des principales menaces pesant sur les entreprises et les consommateurs.
Deepfakes : des techniques d’attaque de plus en plus sophistiquées
Lire la suite : https://www.breizh-info.com/2025/02/23/244090/fraude-par-deepfake-une-explosion-des-attaques-de-plus-de-2000-en-trois-ans/
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L'Anssi a traité 144 incidents cyber affectant les communes en 2024
maire-info.com - par Lucille Bonnin
Publié le 27 février 2024
L'Agence Nationale de la Sécurité des systèmes d'Information (Anssi) publie un rapport sur l'état de la menace cyber qui a touchée les collectivités territoriales en 2024. Si les attaques à but lucratif sont celles qui touchent le plus les collectivités, les attaques à but de déstabilisation progressent.
Par Lucile Bonnin
Sur l’année 2024, l’Agence Nationale de la Sécurité des systèmes d’Information (Anssi) a traité 218 incidents cyber affectant les collectivités territoriales, soit une moyenne de 18 incidents par mois.
Ces chiffres ne signifient pas que seulement 218 collectivités ont été attaquées en 2024. Pour rappel, selon Cybermalveillance.gouv.fr, qui a publié une étude sur la maturité cyber des collectivités à l'occasion du dernier Congrès des maires, une collectivité sur 10 déclare avoir déjà été victime d’une ou plusieurs attaques au cours de l’année 2024.
Ceci étant dit, les incidents qui ont été signalés et traités par l’Anssi visant les collectivités représentent 14 % de l’ensemble des incidents déclarés en 2024. Au total, l’Agence a traité 44 incidents affectant des départements, 29 incidents affectant des régions, 144 touchant les communes et 2 évènements de cybersécurité ciblant des EPCI sans fiscalité propre. SI le nombre de communes est naturellement plus élevé, il montre cependant que contrairement aux départements, le signalement d’incidents auprès de l’Anssi est effectué de façon moins systématique. Les communes en effet doivent encore s’approprier le sujet de la cybersécurité (lire Maire info du 21 novembre 2024).
Rançongiciel et vol de données
Lire la suite : https://www.maire-info.com/cybermalveillance/anssi-traite-144-incidents-cyber-affectant-les-communes-en-2024-article-29445
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Plan d'action en matière de cybersécurité - projet de recommandation du Conseil
digital-strategy.ec.europa.eu - POLICY AND LEGISLATION
Publié le 24 février 2025
Le présent projet de recommandation du Conseil relative au schéma directeur de l'UE pour la gestion des crises de cybersécurité (plan directeur cyber) a pour objectif de présenter, de manière claire, simple et accessible, le cadre de l'UE pour la gestion des crises de cybersécurité.
Le plan d’action en matière de cybersécurité devrait permettre aux acteurs concernés de l’Union (c’est-à-dire les entités individuelles et les réseaux d’entités au niveau de l’Union) de comprendre comment interagir et utiliser au mieux les mécanismes disponibles tout au long du cycle de vie de la gestion de crise. Il vise à expliquer ce qu’est une crise informatique et ce qui déclenche un mécanisme de crise informatique au niveau de l’Union. Il explique l’utilisation des mécanismes disponibles, tels que le mécanisme d’urgence en matière de cybersécurité, y compris la réserve de cybersécurité de l’UE, pour préparer la manière de gérer une crise résultant d’un incident de cybersécurité de grande ampleur, d’y réagir et de s’en remettre. Il vise en outre à favoriser une coopération plus structurée entre les acteurs civils et militaires, y compris la coopération avec l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), étant donné qu’un cyberincident de grande ampleur affectant les infrastructures civiles de l’Union sur lesquelles les militaires s’appuient peut également activer les mécanismes de réaction de l’OTAN.
Le plan d’action en matière de cybersécurité est un instrument non contraignant qui recense des actions spécifiques pour les acteurs concernés par une crise informatique et qui peut améliorer l’efficacité globale du cadre de gestion des crises informatiques. Il actualise le schéma directeur établi dans la recommandation (UE) 2017/1584 de la Commission concernant la réaction coordonnée aux incidents et crises de cybersécurité majeurs et s’appuie sur les résultats et les enseignements tirés des exercices menés au niveau de l’Union depuis l’adoption de cette recommandation.
Téléchargements
Lire la suite : https://digital-strategy.ec.europa.eu/fr/library/cyber-blueprint-draft-council-recommendation
Paiement électronique
Les paiements par CB dépassent les espèces en 2024 : une première en France
entrevue.fr - par Patrice CLESH
Publié le 27 Février 2025
Pour la première fois, les paiements par carte bancaire ont dépassé les paiements en espèces dans les commerces en France en 2024, selon une enquête de la Banque centrale européenne. Une évolution marquante qui illustre la transformation des habitudes de consommation et l’essor des moyens de paiement dématérialisés.
Selon les chiffres publiés par la Banque de France dans son bulletin du 25 février 2025, 48 % des paiements effectués dans les commerces ont été réalisés par carte bancaire, contre 43 % en espèces. Cette inversion confirme une tendance de fond : la diminution progressive de l’usage du liquide au profit du paiement électronique. Dans le même temps, les paiements par téléphone ont atteint 4 %, contre seulement 2 % en 2022. L’adoption croissante des portefeuilles numériques et du paiement sans contact contribue à accélérer ce changement.
Autre enseignement de cette étude, les paiements en ligne continuent de gagner du terrain. En 2024, les transactions dans les commerces physiques n’ont représenté que 73% du total des paiements, contre 84 % il y a cinq ans. Ce recul traduit l’explosion du commerce en ligne, qui capte une part croissante des achats des Français. Si cette mutation des moyens de paiement semble inéluctable, l’usage des espèces reste encore significatif, notamment pour les petits montants et dans certaines catégories de population moins enclines à utiliser la carte bancaire. Toutefois, la dématérialisation des transactions semble appelée à se poursuivre, poussée par la modernisation des infrastructures et la digitalisation des habitudes de consommation.
Lire la suite : https://entrevue.fr/les-paiements-par-cb-depassent-les-especes-en-2024-une-premiere-en-france/
BITCOIN
La nouvelle marque Trump fait allusion à l’expansion du metavers et aux ambitions NFT
coineidition.com - Par Izabela Anna
Publié le 1 mars 2025
Trump Org a déposé une demande de marque pour « TRUMP », indiquant une plus grande poussée dans les actifs numériques. Le dépôt détaille les plans d’un métavers de marque Trump et d’une plateforme d’échange de NFT et de crypto-monnaies, limitée à ceux « autorisés par les 45e et 47e présidents des États-Unis ».
Il s’est déjà forgé une forte empreinte dans le domaine des objets de collection numériques en publiant plusieurs ensembles NFT présentant des designs patriotiques et une image de marque personnelle. Bien que cette décision ait suscité à la fois des soutiens et des critiques, elle pourrait remodeler l’engagement politique via le commerce blockchain et susciter des débats sur le profit de l’influence publique.
Lire la suite : https://coinedition.com/fr/la-nouvelle-marque-trump-fait-allusion-a-lexpansion-du-metavers-et-aux-ambitions-nft/
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La SEC organise des tables rondes sur les cryptomonnaies et lance la CETU alors que les réformes de Trump se multiplient
By Izabela Anna
La Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis intensifie son intérêt pour les actifs numériques en annonçant plusieurs tables rondes et un nouvel aileron chargé de l’application de la loi. Le groupe de travail sur les crypto-monnaies de l’agence tiendra cinq tables rondes à partir du 21 mars dans ses bureaux de Washington, D.C.
Les sessions, intitulées « Spring Sprint Towards Crypto Clarity », examineront les principaux sujets réglementaires, la première réunion portant sur l’état de la sécurité. Ces mesures montrent un changement de position de la SEC alors que la nouvelle administration fait pression pour des mises à jour plus larges de la fintech.
Atos
Atos : Eviden dévoile une nouvelle génération de serveurs d'entreprise pour l'IA
boursier.com - Par La Rédaction
Publié le 24 février 2025
(Boursier.com) — Eviden , la ligne d'activité du groupe Atos leader dans les domaines du numérique, du cloud, du big data et de la sécurité, annonce aujourd'hui l'arrivée de 4 nouveaux serveurs Bullsequana SH, basés sur la technologie processeur la plus récente d'Intel, le processeur Intel Xeon 6. Combinant une amélioration des performances, une architecture scale-up inégalée et des technologies éco-efficaces uniques, ces serveurs sont particulièrement adaptés aux besoins des entreprises, des fournisseurs de cloud et des hyperscalers, leur permettant de déployer en toute confiance leurs applications critiques et d'intelligence artificielle (IA).
Bien que la virtualisation et l'adoption du cloud aient favorisé les déploiements en architecture scale-out, ils ne sont pas toujours bien adaptés au traitement d'opérations en temps réel, au Big Data et à l'analytique (par exemple, SAP HANA) qui nécessitent des ressources de calcul maximales pour traiter un très large volume de données. Ces applications peuvent bénéficier d'une architecture scale-up qui offre un grand nombre de processeurs et une capacité de mémoire importante, ce qui permet de conserver de grandes quantités de données à proximité du processeur, minimisant ainsi la latence lors de la récupération des informations.
D'un modèle à l'autre
Conçus pour une flexibilité et une évolutivité optimales, ces nouveaux ajouts à la gamme Lire la suite : https://www.boursier.com/actions/actualites/news/atos-eviden-devoile-une-nouvelle-generation-de-serveurs-d-entreprise-pour-l-ia-951384.html
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Atos: lance des services de sécurité dédiés à Google Cloud
easybourse.com - Copyright © 2025 CercleFinance
Publié le 25 Février 2025
(CercleFinance.com) - Atos annonce la lancement d'un portefeuille d'offres de Managed Security Services Provider (MSSP) dédié à Google Cloud, offrant 'une gamme complète de services managés pour renforcer la cybersécurité'. En partenariat avec Google Cloud, Atos a obtenu la spécialisation Services de sécurité dans le programme Google Cloud Partner Advantage pour les régions EMEA et Amérique du Nord.
Ce portefeuille inclut des solutions avancées comme la Google CloudSecOps Protection Platform, des services pour Google Security Command Center Premium et Enterprise, ainsi qu'un SOC avancé alimenté par Google SecOps. Ces services visent à protéger les organisations contre les menaces en constante évolution et à garantir une sécurité continue.Copyright (c) 2025 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
CercleFinance
Lire la suite : https://www.easybourse.com/high-tech/news/1502201/atos-lance-services-securite-dedies-google-cloud.html
Thales
UN CONSORTIUM EUROPÉEN LANCE LE PROJET PQC4EMRTD POUR AMÉLIORER LA SÉCURITÉ DES PASSEPORTS ÉLECTRONIQUES À L'ÈRE QUANTIQUE
thalesgroup.com - par
Publié le 28 février 2025
Munich, Allemagne – 27 février 2025 – Une initiative européenne majeure, le projet PQC4eMRTD (Post-Quantum Cryptography for electronic Machine-Readable Travel Documents), a officiellement commencé début 2025, financé par l’Union européenne dans le cadre du programme pour une Europe numérique. Ce projet de deux ans vise à relever les défis de sécurité posés par l’essor de l’informatique quantique, en se concentrant sur la normalisation et la promotion de protocoles cryptographiques résistants aux futures menaces quantiques, pour les documents de voyage électroniques lisibles par machine (eMRTD).
L’informatique quantique progresse rapidement grâce à des investissements substantiels des secteurs public et privé. D’ici 2026, le nombre de bits quantiques (qubits) devrait être multiplié par dix par rapport aux quelques 400 qubits atteints fin 2022, ce qui augmentera considérablement la capacité de traitement des ordinateurs quantiques et leur permettra de résoudre des problèmes de plus en plus complexes. Ces avancées constituent une menace pour la cryptographie classique, ce qui rend essentiel le développement de normes et d’infrastructures adaptées
Représentée par Eurosmart, l'industrie européenne de la sécurité numérique souligne l'urgence de la transition vers des infrastructures résistantes au quantique, en particulier pour les eMRTD tels que les passeports électroniques, qui sont vulnérables à ces nouvelles menaces. Le projet PQC4eMRTD vise à soutenir cette transition en plaidant pour le développement et la promotion de la normalisation des protocoles cryptographiques post-quantiques.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/consortium-europeen-lance-le-projet-pqc4emrtd
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THALES ET CUBIC LANCENT DES SOLUTIONS ESIM DE NOUVELLE GÉNÉRATION POUR LES VÉHICULES CONNECTÉS
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 27 février 2025
Cubic, l'un des principaux fournisseurs mondiaux de solutions pour véhicules connectés, intègre la technologie eSIM de Thales pour répondre au besoin croissant de connectivité intelligente et efficace conforme aux dernières normes GSMA.
Thales, leader mondial en hautes technologies, et Cubic, fournisseur mondial de premier plan de solutions pour véhicules définis par logiciel (SDV - Software Defined Vehicle), annoncent une collaboration visant à stimuler l'innovation et à simplifier la gestion de la connectivité. En s'appuyant sur la plateforme de gestion eSIM de Thales, Cubic sera conforme aux dernières normes GSMA et pourra garantir une connectivité mondiale transparente pour les secteurs de l’IoT de masse, tels que l'automobile, le transport et l'agriculture.
Avec l’adoption de la nouvelle norme GSMA pour l’IoT (GSMA SGP.32*), les enjeux pour le secteur sont considérables. Cette norme décrit plusieurs exigences pour la gestion de l’eSIM dans l’IoT, notamment une sécurité renforcée, l’interopérabilité entre les appareils et les opérateurs de réseau, et l’évolutivité pour les déploiements de masse. Ce nouveau cadre est essentiel pour permettre le déploiement à grande échelle de la technologie eSIM sur une variété d’appareils, répondant ainsi au besoin d’une gestion intelligente et transparente de la connectivité.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-et-cubic-lancent-des-solutions-esim
Mobilité
Une voie réservée à la "mobilité collective" testée à Paris
environnement-magazine.fr - par la Rédaction
Publié le 17 février 2025
La mesure, qui sera testée à partir du 3 mars sur le périphérique, vise à favoriser le covoiturage.
"Tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin". L’expérimentation qui sera lancée le 3 mars sur le périphérique parisien vise à tordre le cou au célèbre dicton.
Après la réduction de la limitation de vitesse à 50 km/h en octobre 2024, une nouvelle étape dans la métamorphose du boulevard périphérique va être franchie, avec la mise en place d’une voie -celle la plus à gauche- réservée aux véhicules transportant au moins deux personnes. L’objectif : favoriser le covoiturage et ainsi lutter contre la pollution de l’air.
L’activation de la voie sera effective sur une période limitée, du lundi au vendredi, de 7h à 10h20 et de 16h à 20h. "Les usagers seront informés de l’activation ou de la désactivation de la voie grâce à une signalisation activable et désactivable sur des panneaux fixes et des panneaux lumineux à message variable. L’allumage du "losange blanc" signale que la voie est réservée aux mobilités collectives. Lorsqu’il est éteint, tous les usagers peuvent à nouveau emprunter la voie de gauche", a détaillé la Mairie de Paris sur son site internet.
Lire la suite : https://www.environnement-magazine.fr/mobilite/article/2025/02/17/151671/une-voie-reservee-mobilite-collective-testee-paris
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La Fondation Groupe RATP et Acted lancent un appel à projets national sur le thème de la mobilité durable comme levier d’inclusion sociale dans la ville
regions-france.org - Communiqué de presse
Publié le 19 février 2025
Depuis le 12 février et jusqu’au 31 mars 2025, la Fondation Groupe RATP et Acted lancent un appel à projets visant à soutenir une dizaine d’initiatives en France, dans les territoires où le groupe RATP est implanté. Destiné aux associations, cet appel vise à encourager des projets s’appuyant sur la mobilité durable pour favoriser l’insertion sociale de publics urbains en situation de fragilité économique ou sociale. Les initiatives sélectionnées bénéficieront d’un financement compris entre 30 000 € et 40 000 €.
La Fondation Groupe RATP et Acted s’engagent pour l’inclusion sociale par des pratiques plus durables
Cet appel à projets s’inscrit dans la mission de la Fondation Groupe RATP, engagée en faveur de l’insertion sociale des publics urbains en situation de fragilité économique ou sociale. En s’associant avec l’ONG Acted, opératrice de la mise en œuvre du projet NOPLANETB cofinancé par l’Union Européenne, la Fondation Groupe RATP souhaite soutenir des projets qui s’appuient sur la mobilité durable comme levier d’inclusion sociale.
En effet, les personnes en situation de fragilité économique ou sociale vivant en milieu urbain rencontrent parfois des obstacles, notamment financiers, les empêchant de s’impliquer pleinement dans les enjeux climatiques et écologiques.
Convaincues que la transition écologique juste peut être un levier d’insertion sociale, la Fondation Groupe RATP et Acted considèrent les mobilités durables comme des vecteurs d’émancipation, d’accès aux ressources et aux opportunités de la ville ainsi que d’insertion professionnelle de ces publics.
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Colmar : les déplacements des habitants passés à la loupe
lesechos.fr - Par Coralie Donas
Publié le 20 février 2025
Une enquête est menée jusqu'au mois de mai pour connaître les habitudes de déplacement des Colmariens. Les données permettront d'alimenter les politiques publiques de mobilité.
Nombre de déplacements hebdomadaires, modes de transport utilisés, distances parcourues… Depuis janvier et jusqu'au mois de mai, les habitants de l'agglomération de Colmar (Haut-Rhin) seront interrogés sur leurs déplacements. Les informations recueillies seront traitées par la collectivité pour adapter et compléter les politiques publiques en matière de mobilité. « Ces données de cadrage vont nous permettre de connaître les évolutions des pratiques, sachant que la dernière enquête menée sur le territoire date de 1999-2000 », indique Peggy Killian, directrice en charge des mobilités de l'agglomération.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lesechos.fr/pme-regions/grand-est/colmar-les-deplacements-des-habitants-passes-a-la-loupe-2149817
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Quatre présidents de région refusent d'appliquer aux entreprises le nouveau versement mobilité régional
banquedesterritoires.fr - par Anne Lenormand, Localtis avec AFP
Publié le 17 février 2025
Finances et fiscalité, Transport et mobilité décarbonée
Les présidents des régions Normandie, Auvergne Rhône-Alpes, Hauts-de-France et Pays de la Loire ont décidé ces derniers jours de ne pas appliquer aux entreprises le nouveau versement mobilité régional (VMR) destiné à financer les transports collectifs. Le versement mobilité (VM) était jusqu'alors uniquement payé par les entreprises de la région parisienne et des grandes villes et agglomérations. Mais la loi de finances pour 2025 a étendu à toutes les régions la faculté de lever cette taxe sur les entreprises, à hauteur maximum de 0,15% de la masse salariale.
Les quatre régions de droite ont refusé cette manne, défendue par Régions de France (lire notre article), au nom de la protection des entreprises. "Ce versement mobilité, nous ne le mettrons pas en place en Hauts-de-France. La région n'est pas là pour taxer les entreprises, l'État le fait déjà trop", a ainsi déclaré sur X Xavier Bertrand, président des Hauts-de-France. "Jamais je ne mettrai en oeuvre une taxe nouvelle sur nos entreprises. On marche sur la tête : notre économie n'a pas besoin de plus d'impôts, mais de moins d'impôts !", s'est exclamée, sur X également, Christelle Morançais (Pays de la Loire). "Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/quatre-presidents-de-region-refusent-dappliquer-aux-entreprises-le-nouveau-versement-mobilite?pk_campaign=newsletter_quotidienne&pk_kwd=2025-02-17&pk_source=Actualit%C3%A9s_Localtis&pk_medium=newsletter_quotidienne
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Les transports en commun à Strasbourg et Mulhouse, victimes de faux comptes sur les réseaux sociaux
francebleu.fr - par Par ici Alsace , ici Elsass Sarah Saltiel-Ragot
Publié le 20 février 2025
De faux comptes se font passer pour la CTS et Soléa, leurs deux entreprises de transports publics, respectivement à Strasbourg et Mulhouse. Les pages proposent notamment de faux abonnements de transports.
"500 cartes en édition limitée vous offrent un accès GRATUIT à tous les transports publics de Strasbourg pendant 6 mois" ou encore "Soléa vous propose une carte de transport en édition limitée pour fêter ses 30 ans. Obtenez un essai gratuit de 3 mois pour seulement 2,35 euros", les promotions sont alléchantes pour les usagers des transports en communs de Strasbourg et Mulhouse. La CTS et Soléa, chargées des transports dans les deux villes, mettent en garde : il s'agit de fausses offres relayées sur de faux comptes sur les réseaux sociaux.
Des pages qui se présentent comme les comptes officiels des deux entreprises
Intitulées "Transports en commun à Strasbourg" ou "Transports publics à Mulhouse", ces deux pages se font passer pour les vrais comptes de la CTS et de Soléa. Elles proposent pas exemple des jeux pour remporter des cartes de transport ou des abonnement. L'objectif est ensuite de récupérer des données des usagers qui se feraient avoir.
Identité numérique
Namirial Wallet Platform : la plateforme nouvelle génération pour l’identité numérique et les services de confiance
namirial.com - Communiqué
Publié le 19 février 2025
Senigallia, le 19 février 2025 – Namirial, leader mondial des services de confiance et de la gestion des transactions numériques, annonce le lancement de sa nouvelle plateforme de solutions axée sur les portefeuilles d’identité numérique. La Namirial Wallet Platform est conçue pour favoriser l’adoption de l’identité numérique et intégrer de manière fluide les services de confiance dans l’écosystème naissant du portefeuille européen d’identité numérique (EUDI Wallet).
Le nouveau système accompagnera les organisations publiques et privées qui ont besoin de solutions fiables, conformes et évolutives pour gérer, vérifier et émettre des certificats numériques de manière efficace et sécurisée.
« Chez Namirial, nous sommes convaincus que l’identité numérique n’est plus un concept d’avenir, mais une réalité imminente qui redéfinit les actions commerciales. Notre ambition est de devenir le principal fournisseur mondial de services de confiance. Pour accompagner cette transformation, nous avons réuni une équipe d’experts en technologie, conformité, marketing et affaires, afin d’aider les gouvernements et les entreprises des secteurs bancaire, du transport et des services à intégrer le portefeuille européen d’identité numérique. Notre priorité est d’assurer la sécurité, l’évolutivité et la conformité réglementaire. Ce n’est pas qu’une simple mise à jour technologique, mais un véritable changement de paradigme dans la manière dont individus et entreprises s’authentifient et instaurent la confiance dans l’univers numérique. Le moment d’agir, c’est maintenant. » – Max Pellegrini, CEO de Namirial.
La nouvelle plateforme propose des outils et des fonctionnalités innovants pour concrétiser cette vision, notamment :
1. Onboarding avec Namirial Wallet Gateway
Lire la suite : https://www.namirial.com/fr/news/namirial-wallet-platform/
Loi de Finance
Loi de Finance initiale pour 2025
Loi de finances pour 2025 : renforcer la souveraineté de la France tout en garantissant l’avenir
budget.gouv.fr - Communiqué
Publié le 17 février 2025
Adopté au terme d’une procédure que le Conseil Constitutionnel a jugé conforme à la Constitution, la loi de finances initiale pour 2025 permet de doter la France d’un budget pour renforcer sa souveraineté, sa crédibilité et sa capacité à aborder l'avenir.
Au terme d’une procédure inédite, la loi n°2025-127 du 14 février 2025 de finances pour 2025 a été publiée au Journal Officiel. Le débat parlementaire sur le texte avait été suspendu le 4 décembre 2024 au cours de la première lecture du texte au Sénat à la suite de l’adoption d’une motion de censure sur les conclusions de la commission mixte paritaire du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025 et il n’a pu être adopté de façon définitive par le Parlement avant le 1 janvier 2025.
Depuis le 1 janvier, la loi n° 2024-1188 du 20 décembre 2024 spéciale prévue par l'article 45 de la loi organique du 1 août 2001 relative aux lois de finances a permis d’assurer la continuité de la vie nationale et le fonctionnement régulier des services publics en 2025, dans l’attente de l’adoption de la loi de finances de l’année 2025. Cette loi spéciale, qui ne remplace pas le budget, a permis de gérer une situation provisoire jusqu’à la promulgation de la loi de finances initiale pour 2025.
Adoptée au terme d’une procédure que le Conseil constitutionnel a jugé conforme à la Constitution, la loi de finances initiale pour 2025 permet de doter la France d’un budget pour renforcer sa souveraineté, sa crédibilité et sa capacité à aborder l'avenir.
Un État exemplaire dans le redressement de nos finances publiques
Lire la suite : https://www.budget.gouv.fr/reperes/loi_de_finances/articles/loi-finances-2025
Services Publics
Ce qui change en mars 2025
service-oubli.fr - Par la Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Publié le 20 février 2025
Clôture des vœux sur Parcoursup, procédure simplifiée pour les demandes de RSA et de prime d'activité, fin de la trêve hivernale, possible hausse du prix des billets d’avion, fin du dépôt des candidatures en première année de Master… Service-Public.fr vous informe sur tous les changements qui interviennent au mois de mars.
Social - Santé
À partir du 1er mars, simplification des démarches administratives pour les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et de la prime d'activité avec le pré-remplissage des déclarations trimestrielles de ressources.
Demandes de RSA et de prime d'activité : procédure simplifiée à partir du 1er mars 2025
École, famille et étudiants
Les vacances scolaires d'hiver s’achèvent le 2 mars pour la zone C et pour la Corse, et le 9 mars pour la zone A. Le 13 mars, c’est le dernier jour pour formuler ses vœux sur Parcoursup. Jusqu'au 24 mars, le dépôt des candidatures en première année de Master est possible sur la plateforme Mon Master. Enfin, les lycéens en seconde peuvent trouver des offres de stages sur la plateforme 1élève, 1stage.
Lire la suite : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A18084
Intelligence artificielle
AI Act européen: l’Europe inspire l’Amérique, malgré Washington
frenchweb.fr - La rédaction de Frenchweb
Publié le 17 février 2025
Lors du AI Action Summit à Paris, le vice-président J.D. Vance a réaffirmé que l’administration Trump ne suivrait pas l’Union européenne dans sa volonté de réguler préventivement l’intelligence artificielle. Pourtant, aux États-Unis, plusieurs États prennent une direction opposée. Californie, New York, Texas, Illinois : plus d’une dizaine d’entre eux examinent des projets de loi directement inspirés de l’AI Act européen, notamment en matière de lutte contre la discrimination algorithmique dans les décisions automatisées à fort impact.
Une réglementation alignée sur le modèle européen
Les textes en discussion reprennent plusieurs principes structurants du cadre européen :
Encadrement des décisions automatisées dans les secteurs critiques : emploi, éducation, finance, assurance, services publics et justice, où l’IA influe sur l’accès aux droits et opportunités.
Obligation de gestion des risques : mise en place de dispositifs pour identifier et corriger les biais algorithmiques.
Exigence de transparence : les fournisseurs d’IA devront documenter leurs modèles afin de garantir leur conformité et informer les entreprises utilisatrices des biais potentiels.
Renforcement des sanctions et de la responsabilité juridique : en Virginie et au Nouveau-Mexique, de nouveaux textes instaurent un droit privé d’action, permettant aux citoyens de poursuivre les entreprises en cas de discrimination algorithmique.
Une adoption fragmentée, État par État
Lire la suite : https://www.frenchweb.fr/ai-act-europeen-leurope-inspire-lamerique-malgre-washington/451400
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DOGE: un proche d’Elon Musk crée une IA pour rendre les exigences gouvernementales « moins stupides ».
bfmtv.com - Salomé Ferraris
Publié le 19 février 2025
Un proche du milliardaire a développé un outil d'IA pour aider la Commission pour l'efficacité gouvernementale (Doge) à identifier les dépenses inutiles. L'outil fournit parfois des réponses incohérentes ou fausses.
Dans l'esprit d'Elon Musk, tous les moyens sont bons. L'homme à la tête de la Commission pour l’efficacité gouvernementale (Doge) est prêt à tout pour réformer en profondeur l'appareil d'État américain et réduire les dépenses publiques. Même les plus improbables.
Selon Techcrunch, un proche collaborateur d'Elon Musk aurait ainsi créé un assistant IA sur mesure qui prétend aider le ministère de l'efficacité gouvernementale à rationaliser le budget. Baptisé "Department of government efficiency AI assistant", cet assistant conversationnel est accessible au public via le site de Christopher Stanley, responsable de l'ingénierie de sécurité chez SpaceX et assistant d'Elon Musk à la Maison Blanche.
Margaret Thatcher comme modèle d'efficacité
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Meta prêt à interpeller Trump face aux sanctions de l’UE
Good Morning Frenchweb.com
Publié le 17février 2025
Lors de la Munich Security Conference qui se tenait se week end en Allemagne, Joel Kaplan, directeur mondial des affaires publiques de Meta, a affirmé que l’entreprise n’hésiterait pas à solliciter l’intervention du président Donald Trump si l’Union européenne appliquait ses réglementations numériques de manière discriminatoire à l’encontre de ses produits. Il a souligné que les sanctions infligées aux entreprises technologiques américaines pourraient être perçues comme une forme de taxation injustifiée, reprenant ainsi un argument avancé par Trump lors du Forum économique mondial de Davos.
Meta, qui a déjà écopé de plus de 2 milliards d’euros d’amendes pour infractions aux règles européennes sur la concurrence et la protection des données, fait également l’objet d’une enquête au titre du Digital Services Act. Kaplan a mis en garde contre une approche réglementaire qui mesurerait son efficacité à l’aune des sanctions imposées, estimant qu’elle placerait l’économie européenne dans une position de « désavantage considérable ».
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Le CHAT, L'IA Générative de Mistral, dépasse le million de téléchargements
bfmtv.com - par Sylvain Trinel
Publié le 19 février 2002
Lancée sur iOS et Android juste avant le Sommet de l'IA de Paris, Le Chat vient déjà de dépasser le million de téléchargements.
Mistral a bien profité du sommet de l'IA qui s'est déroulé à Paris le 10 et 11 février 2025: la startup française, valorisée à 6 milliards d'euros, a en effet lancé dans le même temps l'application officielle de son IA générative, le Chat, sur iOS et Android. Elle a aussi reçu le soutien très appuyé d'Emmanuel Macron, qui a salué les avancées de cette licorne made in France.
Résultat, Le Chat vient de dépasser le million de téléchargements pour son application, comme Mistral l'a annoncé sur Linkedin.
"Il y a moins de deux semaines, nous avons lancé notre assistant IA, Le Chat, sur mobile. Aujourd'hui, nous avons dépassé le millionième téléchargement," explique Mistral.
La société dirigée par Arthur Mensch remercie d'ailleurs les utilisateurs pour leur "incroyable soutien" et annonce qu'il ne s'agit "que du début": "Nous avons hâte de vous montrer ce qui arrive ensuite".
Un million et des projets encore non annoncés
Particulièrement rapide, Le Chat est un assistant IA semblable, sur le papier, à ChatGPT d'OpenAI. On peut ainsi lui demander tout un tas d'informations, mais également coder des jeux ou des applications, ou encore générer des images.
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Transformation digitale du secteur communication : l’IA en ligne de mire
usine-digitale.fr - par Salesforce
Publié le 06 février 2025
La transformation digitale des acteurs de la communication supporte traditionnellement le besoin inextinguible de comprendre les habitudes de consommation et de mesurer les performances. Perçue comme une réponse à ces deux enjeux, l’intelligence artificielle devient le nouveau levier de cette transformation. Pour en savoir plus, télécharger l’eBook co-créé Salesforce et L’Usine Digitale.
67%. C’est la part des entreprises du secteur communication (médias, agences, …) qui déclare avoir le projet de déployer des processus automatisés par l’intelligence artificielle (IA) au sein de leur organisation. En y associant les 18% de répondants à l’étude menée par Salesforce et InfoPro Digital qui ont déjà sauté le pas, cela fait plus de 8 entreprises sur 10 du secteur qui reconnaissent dans l’IA un levier de performance qui ne peut être ignoré, mais qui implique de relever certains challenges.
IA : des efforts à faire autour de l’architecture de données
« Le secteur des médias et de la communication a bien évalué le potentiel de l’intelligence artificielle et ne souhaite pas manquer ce virage, toutefois l’intégration de cette technologie et le succès de ses cas d’usage dépend très souvent de la capacité d’intégrer de multiples sources de données de haute qualité. » Lorsqu’on l’interroge sur le sujet, Pascal Fletcher, Senior Solution Engineer - Media & Entertainment chez Salesforce, évoque l’architecture de donnée des entreprises comme le premier
frein au déploiement de l’IA.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/transformation-digitale-du-secteur-communication-l-ia-en-ligne-de-mire.N2227063
Services Publics
IA et services publics : les citoyens réclament un déploiement maîtrisé
banquedesterritoires.fr - par Olivier Devillers, pour Localtis
Publié le 19 février 2025
Citoyenneté et services au public, Numérique
A l'occasion du sommet de l'IA, le Conseil économique, social et environnemental (Cese) a consacré une matinée à "la place du citoyen dans l'IA". Face aux effets potentiellement dévastateurs de l'IA sur la qualité du service public et l'emploi, les représentants de la société civile ont plaidé pour un encadrement de la technologie, seul à même de créer la confiance. Les dérives des algorithmes publics existants en sont déjà la preuve.
Dans le cadre du sommet de l'IA, le Conseil économique, social et environnemental (Cese) a convié des représentants de la société civile à échanger sur la place du citoyen dans l'IA, dans la continuité de son avis sur l'IA adopté à la mi-janvier (voir notre article). Deux tables rondes étaient organisées le 7 février, la première consacrée aux enjeux démocratiques, la seconde au dialogue social à l'heure de l'IA.
Manque de transparence des algorithmes existants
Les responsables associatifs, élus et représentants syndicaux ont rappelé que l'IA était d'ores et déjà bien implantée même si jusqu'à présent, on parlait d'algorithmes plus que d'IA. Or le bilan de ceux-ci est mitigé. Didier Minot, du collectif Changer de cap, à l'origine d'un appel à témoignages sur les dérives des algorithmes publics, dénonce ainsi des "suspensions de droits sans préavis ni respect du contradictoire" aux caisses d'allocations familiales (CAF), où des "erreurs ou incompréhensions sont qualifiées de fraude". Des décisions automatisées qui, faute d'explications, ont aussi pour conséquence de "priver les allocataires de la possibilité de les contester". La représentante du Défenseur des droits confirme cette réalité, soulignant que ces algorithmes opèrent "dans des domaines essentiels, voire critiques comme l'éducation, la santé, les prestations sociales, l'immigration, la défense". Et si les obligations de transparence des algorithmes [portant sur des décisions administratives individuelles] sont inscrites dans la loi, force est de constater qu'elles sont peu respectées. Soizic Pénicaud, de l'Observatoire des algorithmes publics (ODAP) déplore "qu'il n'existe pas de panorama exhaustif des algorithmes utilisés dans les administrations", ces dernières "ne les documentant que très peu publiquement malgré les obligations légales". Autre grief, une externalisation de la conception des algorithmes à des prestataires privés qui aboutit à "une perte de contrôle croissante de la part des administrations" selon Didier Minot.
Inquiétude des citoyens sur l'IA
5G
Pour moins de 14 euros, ce forfait très généreux inclut la 5G sans engagement
frandroid.com - article sponsorisé par Bouygues Télécom
Publié le 19 février 2025
Un forfait qui a tout ce qu’il faut
Une offre box sans engagement pour accompagner le forfait mobile
Comment souscrire à ces offres ?
Le bon équilibre entre enveloppe de données et prix en 5G est-il encore possible cette année ? Oui, dirait Bouygues Telecom en proposant un forfait B&You 5G sans engagement à seulement 13,99 euros par mois.
Dans le large panel des forfaits mobiles, il est parfois difficile de faire le bon choix. D’autant que l’ARCEP est formelle : si la consommation des français augmente un peu plus chaque année, elle ne dépasse pas actuellement 17 Go par mois.
S’il est donc un peu trop ambitieux de tabler sur un forfait au-delà des 150 Go, l’option de Bouygues Telecom se présente comme l’alternative idéale. Avec 100 Go sans engagement à 13,99 euros par mois, l’opérateur tape juste.
Un forfait qui a tout ce qu’il faut pour plaire
Lire la suite : https://www.frandroid.com/telecom/2509939_pour-moins-de-14-euros-ce-forfait-tres-genereux-inclut-la-5g-sans-engagement
Cyber Résilience
Menaces numériques : Comment la cyber-résilience orchestre la survie et le rebond des organisations ?
Publié le 17 février 2025
La cyber-résilience est bien plus qu’une simple défense contre les attaques : c’est une stratégie proactive pour anticiper, résister et rebondir face aux menaces numériques. En combinant robustesse technologique, agilité organisationnelle et collaboration, les entreprises peuvent non seulement survivre aux crises, mais aussi en tirer des leçons pour renforcer leur sécurité et continuer à croître sereinement.
Cybersécurité et cyber-résilience : un duo complémentaire et gagnant
Imaginez une forteresse. La cybersécurité, ce sont les murs, les douves et les gardes qui protègent contre les envahisseurs. La cyber-résilience, c’est la capacité à reconstruire rapidement après un siège, à maintenir la vie à l’intérieur malgré les dégâts, et à apprendre de chaque attaque pour mieux se préparer la prochaine fois. Ces deux approches ne s’opposent pas : elles se complètent.
En 2023, les coûts engendrés par la cybercriminalité en France ont atteint près de 90 milliards d’euros. Un chiffre qui montre que les murs ne suffisent plus. Les pirates trouvent toujours des failles, et c’est là que la cyber-résilience entre en jeu. Un rançongiciel, par exemple, peut arriver à contourner les protocoles de défense mis en place, mais si l’entreprise a un plan de reprise d’activité solide, elle peut restaurer ses données rapidement sans céder au chantage.
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/menaces-numeriques-comment-la-cyber-resilience-orchestre-la-survie-et-le-rebond-des-organisations
RGPD
La conformité au RGPD des IA Génératives, un idéal impossible ?
village-justice.com - Par Lucie Chênebeau, Avocate et Sara D’Orio, Etudiante.
Publié le 21 février 2025
Alors que les IA génératives se déploient à une vitesse fulgurante, leur conformité à la réglementation européenne reste une question épineuse : entre sanctions, régulations inadaptées et complexité technique, la protection des données personnelles semble toujours en quête d’un équilibre viable.
En décembre 2024, deux ans à peine après son entrée sur le marché, ChatGPT franchissait la barre des 300 millions d’utilisateurs hebdomadaires.
ChatGPT domine désormais le marché des intelligences artificielles (IA) génératives, malgré l’arrivée très récente du chatbot chinois DeepSeek en Europe.
Dernièrement, outre la forte concurrence dans le secteur des IA génératives, OpenAI, la société éditrice de ChatGPT, a été confrontée à une autre problématique, celle de sa non-conformité au droit des données personnelles.
Le 2 novembre 2024, OpenAI est condamnée par le GPDP (Garante per la protezione dei dati personali), l’homologue italienne de la CNIL, à régler une amende record de 15 millions d’euros pour violations du Règlement général sur la protection des données (RGPD), aux motifs que l’éditeur :
Lire la suite : https://www.village-justice.com/articles/conformite-rgpd-des-generatives-ideal-impossible,52480.html
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AVIS JURIDIQUE – Les nouveaux enjeux juridiques liés à la mise en conformité des SDK avec le RGPD
solutions-numériques.com - par Pierre Nieuwyaer
Publié le 17 février 2025
Les enjeux juridiques sont principalement liés à l’existence de recommandations concrètes de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) sur ce sujet, publiées en septembre 2024, couplée à l’intention affichée de celle-ci de s’assurer de leur respect par les opérateurs concernés, à compter du printemps 2025.
Explications pour nos lecteurs de Karine Disdier-Mikus, associée chez Fiducial Legal By Lamy, et Pierre Nieuwyaer, counsel au sein du même cabinet.
« SDK » (pour « Software Development Kit ») désigne un ensemble d’outils utilisés pour faciliter ou accélérer le développement d’une application, notamment en évitant d’avoir à coder l’intégralité de l’application en question pour une ou plusieurs fonctionnalité(s).
Du fait de cette intégration de fonctionnalités « prêtes à l’emploi » dans des applications mobiles traitant des données personnelles, la question de la conformité de tels SDK à la règlementation applicable (RGPD notamment) s’est posée, raison pour laquelle la CNIL s’est saisie du sujet.
En effet, la CNIL a récemment dévoilé son plan stratégique pour 2025-2028. Ce programme met en avant plusieurs axes prioritaires : l’IA, la cybersécurité, l’identité numérique, les applications mobiles et la protection des mineurs.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/avis-juridique-les-nouveaux-enjeux-juridiques-lies-a-la-mise-en-conformite-des-sdk-avec-le-rgpd/
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États-Unis : la justice laisse Elon Musk avoir accès aux données d'agences fédérales
AMÉRIQUES
France24.com - France 24
Publié le : 19 février 2025
Quatorze États démocrates avaient déposé un recours pour empêcher la commission pour l’efficacité gouvernementale, dirigée par Elon Musk, d’accéder aux données des agences fédérales et d’en licencier les fonctionnaires. La justice a rejeté leur demande.
Elon Musk peut, pour l’instant, continuer à démolir progressivement les agences fédérales américaines. Une juge fédérale américaine a rejeté mardi 18 février un recours en référé visant à empêcher la commission pour l'efficacité gouvernementale (Doge), dirigée par le milliardaire Elon Musk, d'accéder aux données d'agences fédérales et d'en licencier les fonctionnaires.
Il s'agit d'un nouveau succès provisoire pour l'administration de Donald Trump, dont de nombreuses décisions ont déjà fait l'objet de multiples recours en justice.
Lundi, un juge fédéral a rejeté un recours similaire visant à interdire à la commission d'Elon Musk l'accès aux données du ministère de l'Éducation. Et la semaine dernière, un juge a rétabli le plan de l'administration incitant les fonctionnaires à démissionner.
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La Ville d’Anvers sommée de supprimer les données de ses capteurs sonores intelligents
datanews.levif.be - par Source: Belga
Publié le 19 février 2025
La Chambre Contentieuse de l’Autorité de protection des données (APD) a adressé mardi une réprimande à la Ville d’Anvers pour un projet pilote remontant à 2022. Le programme utilisait 30 capteurs sonores pour enregistrer les nuisances sonores dans le quartier étudiant d’Anvers. L’autorité a également ordonné la suppression des données enregistrées par les capteurs.
Les bruits ambiants étaient captés en continu (24 heures sur 24), avant d’être conservés sur un Google Cloud, sans chiffrement. La Ville affirmait pourtant qu’aucune conversation ne serait enregistrée.
Le programme a donc enfreint plusieurs dispositions du Règlement général sur la protection des données (RGPD), explique la Chambre Contentieuse. Raison pour laquelle la Ville d’Anvers est sommée de supprimer tous les fichiers contenant des voix et des empreintes vocales.
Le Service d’inspection de l’APD avait déjà ordonné à la Ville de suspendre le projet à la fin de l’année 2022. L’autorité craignait que ces capteurs recueillent, inévitablement, des informations sensibles. Une pratique interdite par le RGPD, à l’exception de rares situations.
Cybersécurité
Menaces étatiques et cybercriminalité : des liaisons dangereuses
ITforbusiness.fr - Par Laurent Delattre
Publié le 20 février 2025
Ce n’est plus un secret. La cybercriminalité, jadis considérée comme un fléau purement financier, s’est imposée comme un levier stratégique dans l’arsenal des États. Les liens entre les deux entités se resserrent. Dans un nouveau rapport, le Google Threat Intelligence Group rappelle que les deux univers sont désormais liés. Besoin de caresser l’administration Trump et le DOGE dans le sens du poil ou simple éveil des consciences, le rapport du GTIG sonne comme une diatribe contre des experts cyber-gouvernementaux bien trop focalisés sur le cyber-espionnage et insuffisamment attentifs aux autres activités malveillantes qui néanmoins sont une menace pour l’Etat.
En 2024, Mandiant – entité de Google Cloud Security – a constaté que le nombre d’intrusions menées par des acteurs à motivation financière était près de quatre fois supérieur à celui des opérations « purement » étatiques. Le problème, c’est que tous les acteurs malveillants à motivation financière ne sont pas forcément de simples escrocs : la frontière entre cybercriminalité et opérations étatiques s’efface, chaque domaine nourrissant l’autre et amplifiant les risques pour la sécurité nationale.
Un écosystème aux usages multiples
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/menaces-etatiques-et-cybercriminalite-des-liaisons-dangereuses-88780
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Cybersécurité : Facebook concentre 56% des menaces liées aux réseaux sociaux
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 19 février 2025
Avast a publié son rapport sur les cybermenaces pour le quatrième trimestre 2024. L'étude met en avant une recrudescence des escroqueries sur les réseaux sociaux, qui prennent surtout la forme de publicités trompeuses et de fausses boutiques en ligne. Les escroqueries financières restent aussi importantes, le téléphone portable étant le principal vecteur d'attaque.
Entre octobre et décembre 2024, Gen Digital (le groupe derrière Avast, Norton et CCleaner, entre autres) a bloqué 2,55 milliards de cyberattaques, soit une moyenne de 321 menaces par seconde. Un chiffre considérable, en hausse de 9% par rapport au dernier trimestre 2023. Dans un rapport publié le 13 février, Gen Digital évoque notamment une augmentation importante des cas de publicités malveillantes (malvertising).
De nombreuses escroqueries sur la Facebook Marketplace
Ce type d'escroqueries, qui consiste à concevoir des publicités fallacieuses pour ensuite propager des logiciels malveillants, représente la principale menace sur les réseaux sociaux (27% des attaques). Viennent ensuite les fausses boutiques en ligne (23%), qui appâtent les utilisateurs pour ensuite les inciter à communiquer des données personnelles et financières, puis les campagnes de phishing (18%).
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-facebook-concentre-56-des-menaces-liees-aux-reseaux-sociaux.N2227693
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Cybersécurité en entreprise : 10 ans d’évolution selon le CESIN
bfmtv.com - En partenariat avec SCRIBEO
Publié le 19 février 2025
Alors que le CESIN vient de publier sa dixième enquête, réalisée chaque année auprès de ses adhérents, sur l’état de la cybersécurité des entreprises françaises, rencontre avec Alain Bouillé, directeur général de l’association professionnelle.
Le CESIN (Club des experts de la sécurité de l’information et du numérique) vient de publier, pour la dixième année, son enquête sur la cybersécurité, que vous menez auprès de vos adhérents. Sur cette longue période, quels sont les changements importants que vous avez pu constater ?
Première constatation : les efforts portent leurs fruits. Comme pour les entreprises de manière générale, nos membres sont la cible de cyberattaques, mais ces dernières échouent de plus en plus souvent lorsque les organisations sont correctement protégées. Autre signe encourageant, directement lié à cette tendance : les solutions utilisées pour se protéger (logiciels ou services) sont de plus en plus efficaces. Comme notre enquête l’indique, 80 % des répondants se disent satisfaits des solutions employées, ce qui était loin d’être le cas il y a 10 ans. Enfin, certains concepts autrefois perçus comme de simples « buzzwords » — comme le Zero Trust — sont désormais de véritables démarches qui permettent de réduire efficacement l’exposition des entreprises aux risques cyber.
Qu’en est-il des progrès réalisés en matière de sensibilisation des collaborateurs aux risques cyber ?
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Cybersécurité : les objets connectés malveillants trahis par leur empreinte radiofréquence
India.fr - par Selma Yahia, Chercheuse post-doctorante dans l'équipe-projet Fun
Publié le 19 février. 2025
Les objets connectés dans le monde se comptent en milliards, et leur nombre est en constante augmentation. Cette profusion pose un problème majeur de cybersécurité : comment distinguer dans la masse les objets malveillants, utilisés pour des attaques ? Des scientifiques d’Inria proposent une nouvelle méthode : authentifier les objets connectés à partir de leur empreinte radiofréquence et de l’apprentissage automatique.
Quoi de plus ressemblant que deux smartphones ou deux montres connectées de même modèle et de même marque ? « Détrompez-vous, lance Valeria Loscri, directrice de recherche au sein de l’équipe-projet Fun, du centre Inria de l’université de Lille. La fabrication en série des objets connectés, standardisée, n’empêche nullement l’apparition d’infimes différences ou « défauts » matériels. Ceux-ci peuvent affecter leurs émissions de radiofréquences, ce qui peut se traduire par un décalage de la fréquence porteuse ou un décalage de phase sur un oscillateur ou une autre partie du microcircuit. »
L’équipe-projet Fun (Futur Ubiquitous Networks) a donc cherché une façon d’exploiter ces défauts pour authentifier efficacement les dispositifs, à des fins de sécurité. « C’est un peu comme les vrais jumeaux. Ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau mais ils n’ont pas les mêmes empreintes digitales », illustre Valeria Loscri.
Des défauts uniques et quasiment infalsifiables
Lire la suite : https://www.inria.fr/fr/cybersecurite-objets-malveillants-empreinte-radiofrequence
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Les 10 ans de la Cyber Security Coalition : la lutte contre la cybercriminalité continue sans relâche
vbo-feb.be - par Alexander Verstappen et Florine de Raet, Communication & Events
Publié le 20 février 2025
« Nous allons élargir encore davantage notre réseau et stimuler encore plus de collaborations »
La Cyber Security Coalition fête son 10e anniversaire. Ce qui a commencé en 2015 comme une modeste « coalition de volontaires » est devenue une communauté florissante comptant plus de 1 000 membres. « La Cyber Security Coalition est née d’une idée simple mais puissante : la collaboration est essentielle pour contrer les cybermenaces. Avec un réseau influent de professionnels de la cybersécurité, nous avons renforcé l’innovation et la résilience à travers la Belgique. Mais le travail n’est certainement pas terminé », déclare Jan De Blauwe, Président de la Coalition depuis 2017.
En 2015, la Belgique a été l’un des premiers pays européens à établir une collaboration innovante en tripartite entre le secteur privé, le gouvernement et le monde universitaire en créant la Coalition. Le 10e anniversaire a été célébré hier à Bruxelles, en présence d’experts de premier plan en cybersécurité, décideurs politiques, chercheurs et professionnels.
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L'IA rend les cyberattaques plus sophistiquées, les équipes de cybersécurité peinent à suivre le rythme.
fr.euronews.com - par Pascale Davies
Publié le 02/10/2024
Selon un nouveau rapport, plus de la moitié des équipes de cybersécurité se disent sous-financées.
Les attaques de cybersécurité sont en augmentation et mettent à rude épreuve les cyber-professionnels, d'autant plus que l'intelligence artificielle (IA) les rend plus sophistiquées, selon les experts.
Une nouvelle étude de l'Association pour l'audit et le contrôle des systèmes d'information (ISACA) a révélé que 39 % des quelque 6 000 organisations mondiales interrogées admettent qu'elles subissent davantage de cyberattaques (lien en anglais) et que 15 % d'entre elles souffrent d'un plus grand nombre d'atteintes à la vie privée qu'il y a un an.
L'étude a également révélé que les équipes de cybersécurité en Europe ont du mal à faire face aux attaques.
Plus de 60 % des professionnels européens de la cybersécurité déclarent que l'équipe de cybersécurité de leur organisation manque de personnel, et plus de la moitié (52 %) pensent que le budget de cybersécurité de leur organisation est insuffisant.
Lire la suite : https://fr.euronews.com/next/2024/10/02/lia-rend-les-cyberattaques-plus-sophistiquees-les-equipes-de-cybersecurite-peinent-a-suivr
Atos
Atos déploie avec succès de nouvelles technologies sportives à l'occasion du Festival Olympique de la Jeunesse Européenne d'hiver Bakuriani 2025
Publié le 20 février 2025
Atos déploie avec succès de nouvelles technologies sportives à l'occasion du Festival Olympique de la Jeunesse Européenne d'hiver Bakuriani 2025
De nouvelles technologies innovantes ont contribué au succès de l'événement et sont maintenant éprouvées et prêtes à être déployées à grande échelle.
Bakuriani, Géorgie, et Paris, France, le 20 février 2025 - Atos, leader mondial de la transformation digitale et partenaire technologique du Festival Olympique d'hiver de la Jeunesse Européenne (FOJE) Bakuriani 2025, annonce aujourd'hui que ses services informatiques innovants ont contribué au succès de l'événement qui s'est déroulé du 9 au 16 février 2025. Atos a fourni une gamme complète de services numériques qui ont amélioré l'expérience des fans et les opérations de l'événement et rapproché le Festival du public à travers toute l'Europe.
Meta
Meta menace d’appeler Donald Trump à l’aide pour contrer les sanctions de l’UE
Un cadre dirigeant du géant de la Tech a fait passer le message aux européens.
Publié le 18 février 2025
Par Jean-Yves Alric
Récemment nommé directeur de la politique mondiale de Meta, Joel Kaplan, un stratège républicain bien connu outre-Atlantique, ne s’est pas rendu en Europe pour rien. Participant à la Conférence sur la sécurité de Munich le week-end dernier, le dirigeant a fustigé les règlements numériques de l’UE et menacé de faire intervenir Donald Trump et son gouvernement en cas de désaccord.
Meta n’hésitera pas à prévenir les autorités
Il souligne ainsi : « Lorsque des entreprises sont traitées différemment et d’une manière qui est discriminatoire à leur égard, cela devrait être signalé au gouvernement du pays d’origine de cette entreprise ». Et le nouveau directeur d’ajouter :
Bien que nous souhaitions travailler dans le cadre des lois adoptées par l’Europe – et nous le ferons toujours – nous signalerons quand nous pensons avoir été traités injustement.
La prise de position de Joel Kaplan intervient dans un contexte très particulier. Le vice-président américain JD Vance a en effet sidéré l’auditoire de cet événement en pointant du doigt les réglementations européennes sur les réseaux sociaux qu’il accuse de réprimer la liberté d’expression.
Lire la suite : https://www.presse-citron.net/meta-menace-dappeler-donald-trump-a-laide-pour-contrer-les-sanctions-de-lue/
THALES
Chez Thales, un partenariat pour faire rayonner la robotique de combat au Moyen-Orient et au-delà
forcesoperations.com - par Nathan Gain
Publié le 21 février 2025
Thales Belgium, l’Estonien Milrem Robotics et le groupe espagnol EM&E travailleront ensemble sur un nouveau robot de combat, objectif parmi d’autres du protocole d’accord (MoU) entériné cette semaine par le trio lors du salon de défense émirati IDEX.
Après le drone, le robot. Intégrer ses roquettes sur ce type de plateforme terrestre, la filiale belge de Thales l’avait déjà réalisé sur le système Mission Master du groupe allemand Rheinmetall. La logique se répète à Abou Dhabi, lieu choisi pour dévoiler un robot THeMIS « de combat » issu de la combinaison de plusieurs briques.
La plateforme chenillée estonienne tout d’abord, solution dotée d’une autonomie de 15 heures et éprouvée depuis un moment par l’Ukraine. EM&E amène son tourelleau téléopéré Secutor. Bien que non signataire du MoU, SteerAI fournit une brique qui permettra au robot d’évoluer en environnement GPS contesté. Cette jeune pousse locale de l’intelligence artificielle équipera par ailleurs 20 THeMIS de son kit d’autonomie CoreX dans le cadre d’un programme d’essais de l’armée émiratie.
L’industriel belge apporte quant à lui son lanceur bi-tube léger FZ602. Conçu pour les roquettes de 70 mm guidées ou non, il permet de traiter une cible fixe ou mobile dans un rayon de 1,5 à 7 km. L’acquisition et le suivi de cible relèvent essentiellement du désignateur laser SharpAim intégré au tourelleau espagnol.
Lire la suite : https://www.forcesoperations.com/chez-thales-un-partenariat-pour-faire-rayonner-la-robotique-de-combat-au-moyen-orient-et-au-dela/
Mobilité
Mobilité intelligente : Retour sur les interventions du Cerema au 52 e congrès de l'ATEC
cerema.fr - par
Publié le 12 Février 2025
Le rendez-vous des acteurs de la mobilité intelligente, le 52e congrès ATEC-ITS, s'est tenu les 21 et 22 janvier 2025 à Montrouge (Paris) avec pour thématique "Mobilités pour tous et partout ? Quelles transitions et transformations ?". Les équipes du Cerema ont présenté des projets innovants, des études, outils et méthodologies à travers une trentaine d'interventions sur le stand de l'établissement et lors d'ateliers ou sessions plénières : Parmi les sujets traités figuraient la sécurité routière, les mobilités connectées, la gestion du trafic, de la démonstration de logiciel, le développement du covoiturage et le traitement des données de mobilité.
Rassemblant les acteurs de la mobilité et les acteurs académiques, le congrès ATEC-ITS, placé sous le thème "Mobilités pour tous et partout ? Quelles transitions et transformations ?", a permis de discuter des multiples évolutions et défis liés à la mobilité de demain. Les thématiques abordées incluaient notamment la transition écologique, les nouveaux outils numériques, ainsi que des retours d’expérience sur des innovations en cours.
L’ATEC ITS France devient Mobil’inPulse, amorçant une nouvelle trajectoire alignée avec les défis environnementaux, sociaux et économiques. Annabelle Ferry a également été nommée vice-présidente du Collège 1 (secteur public) pour Mobil’inPulse, affirmant le leadership du Cerema dans cette transition.
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/mobilite-intelligente-retour-interventions-du-cerema-au-52
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Place Valladolid de Lille : un espace embelli et une vélostation pour favoriser les mobilités durables
lillemetropole.fr - Communiqué
Publié le 07 février 2025
La Métropole Européenne de Lille (MEL) franchit une nouvelle étape dans la transformation de la place Valladolid, située à proximité de la gare Lille-Europe. Après un vaste programme de réaménagement, le site accueillera d’ici mi-mai 2025 une vélostation sécurisée, facilitant ainsi l’usage du vélo sur le territoire métropolitain. Cette initiative s’inscrit pleinement dans le Plan Vélo adopté par la MEL en 2021, qui ambitionne de faire du vélo un mode de déplacement incontournable en développant un réseau cyclable structurant, sécurisé et accessible à tous. La Métropole Européenne de Lille accélère sa transition vers une mobilité plus durable, plus fluide et plus respectueuse de l’environnement. En offrant une solution de stationnement pratique et sécurisée à proximité d’un pôle d’échanges majeur, cette nouvelle infrastructure encourage l’intermodalité et renforce l’attractivité des mobilités douces.
Un projet structurant pour les mobilités durables
Dans le cadre de sa politique de promotion des mobilités durables, la MEL démarre la dernière phase des travaux de la place Valladolid avec l’installation d’une vélostation. Conçue pour accueillir 440 vélos, elle offrira un stationnement sécurisé et accessible aux usagers.
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En Île-de-France, Valérie Pécresse présente un plan pour réduire la fraude dans les transports
msn.com/fr - par MSN
Valérie Pécresse, la présidente d’Île-de-France Mobilités, en charge de la gestion des transports en Île-de-France, a dévoilé son plan ce jeudi 13 février, pour diviser par deux la fraude sur le réseau francilien d’ici la fin 2025, qui représente 700 millions d’euros de manque à gagner par an.
Opérations de contrôles continus, plateforme de vérification des adresses des contrevenants, moyens supplémentaires pour les opérateurs… D’ici fin 2025, Île-de-France Mobilités (IDFM), l’autorité des transports franciliens souhaite diviser la fraude par deux sur son réseau d’ici la fin de l’année, alors que celle-ci est en forte augmentation depuis le Covid, rapporte l’Agence France Presse (AFP).
« La fraude, c’est 700 millions d’euros de manque à gagner par an en Île-de-France », a indiqué sa présidente Valérie Pécresse, ce jeudi 13 février 2025. « C’est le double de ce qu’on constatait il y a une dizaine d’années et c’est l’équivalent de deux nouvelles lignes de tramways ou 1 500 nouveaux bus propres. »
Selon la présidente LR du conseil régional d’Île-de-France, « le Covid a été un accélérateur de la fraude », avec l’arrêt de la vente des tickets à bord des bus qui a engendré « une espèce de tolérance » vis-à-vis des fraudeurs.
Les fraudeurs plus nombreux la nuit
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Versement mobilité : la Région fait le choix de ne pas taxer encore les entreprises
Destiné à financer les infrastructures de transport, le versement mobilité ne sera pas appliqué en Auvergne-Rhône-Alpes. Un choix assumé par l'exécutif régional, au bénéfice des entreprises qui ne seront donc pas taxées.
Publié le jeudi 13 février 2025
L'appel du Medef aura été entendu par la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Le syndicat patronal avait exhorté les collectivités régionales à ne pas instaurer le versement mobilité, cette taxe sur les entreprises destinée à financer les infrastructures de transports.
Elle représente une centaine de millions d'euros par an à l'échelon auralpin et est calculée en pourcentage des rémunérations soumises à cotisations sociales versées par l'entreprise aux salariés. Elle s'applique aux entreprises d'au moins 11 salariés, avec un taux ne pouvant excéder 0,50 %.
Ainsi dans un communiqué daté du 12 février, la collectivité auralpine explique que "si la nécessité de moderniser et d’adapter notre offre de mobilité sur le territoire régional ne saurait être contestée, le choix du gouvernement est une erreur profonde : plutôt que de rechercher un schéma de financement équilibré et cohérent, il a opté pour la solution de facilité, celle de l’alourdissement des charges pesant sur notre tissu économique".
La Région Auvergne-Rhône-Alpes "fait le choix des entreprises contre celui de la fiscalité"
Lire la suite : https://mesinfos.fr/auvergne-rhone-alpes/versement-mobilite-la-region-fait-le-choix-de-ne-pas-taxer-encore-les-entreprises-216438.html
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Piétons, pistes cyclables sécurisées... Paris se hisse sur la deuxième marche du podium du classement mondial en matière de mobilités de demain
Grâce à l’extension du métro et aux pistes cyclables sécurisées, Paris se hisse sur la deuxième marche du podium de l’index de la mobilité urbaine du futur établi par l’Oliver Wyman Forum et l’université de Berkeley, qui repose sur 71 critères.
Selon Le Parisien, Paris progresse dans le classement de l’Urban Mobility Readiness Index. La dernière édition a été publiée le 10 décembre 2024 par l’Oliver Wyman Forum et l’université de Berkeley.
Paris gagne six places
Cette année, la capitale passe de la 8e à la 2e place, juste derrière San Francisco, grâce à ses initiatives en matière de mobilité. Paris se distingue notamment par ses investissements dans les infrastructures piétonnes et cyclables, avec plus de 250 millions d’euros alloués à la construction de près de 180 km de pistes cyclables sécurisées entre 2021 et 2026. Les Jeux olympiques de 2024 ont largement contribué à cet élan. Le rapport souligne aussi l’excellence du réseau de transports publics parisiens, notamment avec le Grand Paris Express, qui ajoutera 200 km de nouvelles voies.
Piétons, pistes cyclable, JO...
Cependant, le rapport met en lumière des domaines d’amélioration sur lesquels la Ville doit encore travailler. Bien que des progrès aient été réalisés, Paris reste derrière plusieurs villes européennes en termes de véhicules électriques, avec une faible part de marché et un nombre insuffisant de bornes de recharge. La pollution sonore reste également un enjeu à accentuer. Le rapport soutient néanmoins les initiatives parisiennes, comme la réduction de la vitesse sur le périphérique ou la création de zones sans voiture, et encourage la ville à améliorer ses mobilités douces, notamment avec l’intelligence artificielle.
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La première voiture volante modulaire produite en masse débarque : 3 000 précommandes et 10 000 unités prévues par an pour révolutionner la mobilité
hellobiz.fr - par Baptiste LEMOINE
Publié le 10 Février 2025
À l'aube d'une révolution des transports, XPENG AEROHT dévoile le Land Aircraft Carrier, une voiture volante modulaire qui promet de redéfinir la mobilité urbaine et personnelle.
L’univers des transports s’apprête à vivre une transformation radicale avec le lancement du Land Aircraft Carrier par XPENG AEROHT, la plus grande entreprise de voitures volantes d’Asie. Présenté au CES 2025, ce véhicule révolutionnaire est prêt à devenir le premier modèle de voiture volante produit en masse dans le monde. Avec plus de 3 000 précommandes déjà enregistrées, cette innovation promet de redéfinir la mobilité personnelle et publique en intégrant les voyages terrestres et aériens. Alors que la livraison est prévue pour 2026, le Land Aircraft Carrier pourrait bien inaugurer une nouvelle ère dans le domaine des transports.
Caractéristiques distinctives du Land Aircraft Carrier
Le Land Aircraft Carrier se distingue par son architecture modulaire innovante, qui intègre un module aérien détachable logé dans le véhicule terrestre. Cette conception unique permet une séparation et une reconnexion autonomes des modules, assurant une transition fluide entre conduite et vol. Le module terrestre, surnommé « mothership », transporte le module aérien jusqu’à un site de lancement, où il décolle verticalement d’une simple commande.
L’aéronef, un eVTOL (electric Vertical Take-Off and Landing), est équipé de systèmes de sécurité Lire la suite : https://hellobiz.fr/2025/02/10/la-premiere-voiture-volante-modulaire-produite-en-masse-debarque-3-000-precommandes-et-10-000-unites-prevues-par-an-pour-revolutionner-la-mobilite/
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L’Assemblée nationale adopte un texte pour renforcer la sécurité dans les transports
msn.com/fr - par Ouest-France via MSN
Publié le 12 février 2024
Les députés ont adopté mardi 11 février en première lecture une proposition de loi visant à renforcer la sécurité dans les transports, autorisant notamment les forces de sécurité de la SNCF et de la RATP à procéder à des palpations, ou le port de caméras-piétons par les contrôleurs.
Les députés ont adopté mardi 11 février en première lecture une proposition de loi visant à renforcer la sécurité dans les transports, autorisant notamment les forces de sécurité de la SNCF et de la RATP à procéder à des palpations, ou le port de caméras-piétons par les contrôleurs.
Le texte a été adopté par 139 voix contre 59. Le ministre des Transports Philippe Tabarot, à l’origine de la proposition de loi lorsqu’il était sénateur, s’est félicité de son adoption. La gauche a au contraire critiqué une proposition de loi portant atteinte à un certain nombre de « droits fondamentaux ».
Le texte était examiné en première lecture à l’Assemblée après avoir été adopté au Sénat en février 2024. Son parcours législatif avait été stoppé par la dissolution en juin, puis par la censure du gouvernement de Michel Barnier en décembre. Députés et sénateurs devront désormais s’entendre sur une version du texte en commission mixte paritaire.
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Co-construire une stratégie de mobilité durable à l'échelle de la communauté de communes Sources de l'Orne
cerema.fr - par abdelfattah.tellati@cerema.fr
Publié le 10 Février 2025
La Communauté de communes Sources de l’Orne, territoire rural fortement structuré autour de la voiture, a fait appel au Cerema dans le cadre de sa réflexion en vue de définir une stratégie de mobilité durable qui intègre les enjeux d’aménagement, et qui soit en cohérence avec le projet de PLUi en cours de révision.
La mobilité dans les territoires ruraux nécessite de prendre en compte les habitants et leurs besoins en termes de déplacements, mais aussi les atouts du territoire, tout en répondant à des enjeux économiques, sociétaux et environnementaux.
Un diagnostic précis du territoire sous l’angle des mobilités
Dans le cadre de son projet de territoire et suite à la prise de compétence mobilité, la Communauté de communes des Sources de l'Orne, qui regroupe 23 communes et 12 000 habitants principalement situés dans la moitié nord de la collectivité, souhaite développer les mobilités sur son territoire. La collectivité est située dans un bassin de mobilité qui est pilote pour l’élaboration des premiers Contrats Opérationnels de Mobilité (COpM) de la Région Normandie, lancée en 2022.
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/co-construire-strategie-mobilite-durable-echelle-communaute
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Réalisation du schéma directeur des infrastructures de mobilité des Bouches-du-Rhone : le Cerema accompagne le conseil départemental
cerema.fr - par
Publié le 10 février 2025
A l’été 2023, le Département des Bouches du Rhône a souhaité initier l’établissement d’une feuille de route pour guider son action routière. Il s’est adressé au Cerema qui lui a apporté un accompagnement complet durant une année, ce qui a permis au Département d’adopter son "Schéma directeur des infrastructures de mobilité" en décembre 2024.
Un cadre stratégique pour les routes départementales
Le Département des Bouches-du-Rhône est le 3ème département le plus dense de France en matière de population. Il accueille des activités économiques majeures et constitue une destination touristique de première importance. Sa surface est par ailleurs couverte à plus de 70% par des espaces et milieux naturels protégés.
Dans ce contexte, l’aménagement, l’entretien et l’exploitation du réseau routier départemental (plus de 3000 km de routes et près de 1600 ouvrages d’art) doit répondre à de nombreuses attentes, potentiellement contradictoires. Les routes départementales doivent en effet offrir un niveau de service satisfaisant à l’usager en termes de sécurité, fiabilité et fluidité tout en préservant l’environnement, en favorisant les mobilités alternatives à la voiture individuelle et en soutenant l’activité économique et touristique du territoire. Pour répondre à ces enjeux, la Direction des Routes et des Ports a demandé au Cerema de lui proposer une méthode d’élaboration d’une feuille de route et de contribuer à sa rédaction.
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/realisation-du-schema-directeur-infrastructures-mobilite
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May Mobility lance son premier service commercial de transport autonome
objetconnecté.com par Faniry R.
Publié le 3 février 2025
May Mobility innove dans le domaine du transport autonome en offrant un service différent de ses concurrents. Plutôt que de se concentrer uniquement sur les robotaxis pour trajets individuels, May privilégie un modèle de navettes à la demande et de trajets groupés. Cette approche permet une transition plus fluide vers des véhicules autonomes sur des itinéraires simples et au sein de campus spécifiques.
Le lancement officiel de ce service commercial a eu lieu à Peachtree Corners, en Géorgie, dans la zone métropolitaine d'Atlanta. Effectivement, May Mobility a éliminé l'opérateur de sécurité humaine. Cela rend les trajets entièrement autonomes et payants. Ce service marque ainsi une nouvelle étape dans la commercialisation de la mobilité autonome à grande échelle, après plusieurs phases d'expérimentation dans d'autres villes.
Un service autonome et pratique à Peachtree Corners
Lire la suite : https://www.objetconnecte.com/may-mobility-lance-son-premier-service-commercial-de-transport-autonome/
Identité
1 an de France Identité : un nouvel usage de l’application lors du contrôle des titres de transport à bord des trains SNCF
Un an après son lancement, l’application France Identité franchit une nouvelle étape. À partir d’aujourd’hui, tous les voyageurs des TGV INOUI et Intercités disposant de France Identité peuvent prouver à la fois leur identité et leur droit à voyager lors des contrôles à bord, en remplacement de leur pièce d’identité et de leur titre de transport.
Ce nouvel usage, fruit d’un an de travaux menés conjointement par France Titres, l’Agence nationale des titrés sécurisés, et SNCF Voyageurs, répond à une forte demande de simplification et de sécurité de la part des usagers. Ils peuvent désormais présenter leur identité et leur titre de transport en un seul geste.
Un geste simple et sécurisé pour un contrôle facilité à bord des trains SNCF
Grâce à l’application France Identité, les voyageurs peuvent désormais présenter un QR code sécurisé, contenant les informations nécessaires à la vérification de leur billet (nom, prénom et date de naissance), et uniquement celles-ci, sans dévoiler d’autres données personnelles.
Qui peut bénéficier de ce service ?
Lire la suite : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/communiques-de-presse/1-an-de-france-identite-nouvel-usage-de-lapplication-lors-du
RGPD
Les dernières recommandations de la CNIL sur l'IA en milieu de travail : un enjeu clé pour 2025
journaldunet.com - Chronique de Noémie Weinbaum UKG
La CNIL a publié en février 2025 des recommandations pour encadrer l'usage de l'IA au travail, en conformité avec le RGPD, notamment dans les RH, le recrutement et la surveillance des employés.
En février 2025, la CNIL a publié de nouvelles recommandations visant à encadrer l’usage de l’intelligence artificielle (IA) dans le respect du RGPD, en tenant compte des spécificités des modèles d’IA utilisés dans le monde du travail. Ces recommandations sont particulièrement cruciales pour les entreprises qui déploient des systèmes d’IA dans les ressources humaines, le recrutement, la gestion des performances et la surveillance des employés.
RGPD et IA : une application adaptée aux modèles utilisés en entreprise
La CNIL rappelle que le RGPD s’applique dès qu’un modèle d’IA traite des données personnelles, notamment lorsque les bases d’entraînement contiennent des données identifiables, lorsque les modèles de langage (LLM) peuvent mémoriser et reproduire des informations personnelles, ou encore lorsque l’utilisation des modèles via des interactions (prompts) génère des sorties impliquant des individus.
En milieu de travail, cela signifie que toute entreprise utilisant l’IA pour analyser des CV, évaluer des employés, déterminer le temps de travail ou prédire des comportements professionnels doit garantir la conformité de ses systèmes avec les principes du RGPD.
Information et Transparence : une obligation renforcée pour les employeurs
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"La conformité au RGPD facilite et prépare celle à l’AI Act", Willy Mikalef (Bird & Bird)
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous au Club Data Protection - édition Abonné
usine-digitale.fr par Alice Vitard
Publié le10 février 2025
Après avoir posé les bases de la protection des données personnelles avec le RGPD, l’Union européenne franchit une nouvelle étape avec l’Artificial Intelligence Act. Ce règlement vise à encadrer les systèmes d’IA en imposant des règles de transparence, de sécurité et de respect des droits fondamentaux. Comment s’articule ce nouveau texte avec le RGPD ? C’est la question qu' a posée le Club Data Protection de L’Usine Digitale à Willy Mikalef et Ariane Mole, tous deux avocats associés au sein du cabinet Bird & Bird, spécialisés dans la protection des données personnelles.
Depuis le 2 février 2025, les premières règles du règlement de l’UE sur l'intelligence artificielle (l’Artificial Intelligence Act) ont commencé à s'appliquer. Première étape dans l’application de cette nouvelle législation : les systèmes d’IA (SIA) présentant des risques inacceptables sont interdits au sein de l’Union européenne. Qui dit systèmes d’intelligence artificielle dit données, parfois personnelles. Dans ce cadre, les SIA doivent respecter les obligations du Règlement général sur la protection des données (RGPD).
Lire la suite (réservée aux abonnés : https://www.usine-digitale.fr/editorial/la-conformite-au-rgpd-facilite-et-prepare-celle-a-l-ai-act-willy-mikalef-bird-bird.N2227203
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IA et RGPD : la CNIL publie ses nouvelles recommandations pour accompagner une innovation responsable
cnil.fr - Communiqué
Publié le 07 février 2025
Le RGPD permet le développement d’IA innovantes et responsables en Europe. Les deux nouvelles recommandations de la CNIL l’illustrent par des solutions concrètes pour informer les personnes dont les données sont utilisées et faciliter l’exercice de leurs droits.
Le RGPD permet une IA innovante et respectueuse des données personnelles
Le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, organisé par la France du 6 au 11 février 2025, accueillera de nombreux évènements qui confirment que l’IA recèle un potentiel d’innovation et de compétitivité pour les prochaines années.
Depuis 1978, la France s’est dotée de règles pour encadrer l’usage des données personnelles par les technologies numériques. En Europe, ces règles ont été harmonisées par le règlement général sur la protection des données personnelles (RGPD) dont les principes inspirent de nombreux pays à l’international.
Consciente des enjeux de clarification du cadre juridique, la CNIL s’emploie, à travers l’ensemble de ses actions, à sécuriser les acteurs afin de favoriser l’innovation en IA tout en assurant le respect des droits fondamentaux des Européens. Depuis le lancement de son plan d’action sur l’IA en mai 2023, la CNIL a notamment adopté une série de recommandations pour le développement de systèmes d’IA. Ainsi éclairé et clarifié, l’application du RGPD est un facteur de confiance pour les personnes, et de sécurité juridique pour les entreprises.
Une nécessaire déclinaison des principes du RGPD aux spécificités de l’IA
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/ia-et-rgpd-la-cnil-publie-ses-nouvelles-recommandations-pour-accompagner-une-innovation-responsable
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Surveillance des salariés : la CNIL sanctionne lourdement les manquements au RGPD
editions-tissot.fr - par Tiphaine Mollier, Juriste en droit social et rédactrice au sein des
Editions Tissot
Publié le 10 février 2025
Attention, la surveillance excessive de vos salariés peut vous coûter cher. Salariés contrôlés au moyen de vidéosurveillance, logiciel paramétré pour comptabiliser les périodes d’inactivité, captures d’écran récurrentes : la CNIL réprimande sévèrement les manquements au RGPD.
Des salariés sur site filmés et enregistrés en permanence
Le 19 décembre 2024, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a sanctionné une entreprise du secteur immobilier à une amende de 40 000 euros en raison d’une surveillance disproportionnée de ses salariés, constatant plusieurs manquements au RGPD.
Elle a également procédé à la publication de la sanction le 4 février 2025, “au regard de la gravité des manquements et afin d’informer toute personne soumise à de tels dispositifs”.
Retour sur les démarches à éviter.
Si votre pouvoir de direction à l’égard des salariés vous autorise à les contrôler pendant leur temps et sur leur lieu de travail, les dispositifs de contrôle doivent respecter le RGPD (Règlement général sur la protection des données).
Ainsi, vous ne pouvez pas installer des caméras dans les locaux de votre entreprise sans définir un objectif, qui doit être légitime et qui ne peut pas être raisonnablement atteint par un autre moyen.
Pour ce faire, un système de vidéosurveillance :
Lire la suite : https://www.editions-tissot.fr/actualite/droit-du-travail/surveillance-des-salaries-la-cnil-sanctionne-lourdement-les-manquements-au-rgpd
Blockchain
Feuille de route technologique 2025 de BNB Chain : faire progresser la blockchain grâce à l'IA et à une sécurité améliorée
binance.com - par Binance News
publié le 12 février 2025
Selon une publication officielle : En 2024, BNB Chain a enregistré une augmentation de 41,7 % de la valeur totale verrouillée (TVL) et a élargi sa base d'utilisateurs à 4,7 millions d'utilisateurs actifs quotidiens sur opBNB. De plus, la plateforme a considérablement réduit les pertes financières dues aux failles de sécurité, passant de 162 millions de dollars en 2023 à 53 millions de dollars en 2024.
À l'avenir, BNB Chain vise à améliorer encore la vitesse des transactions, en atteignant des temps de blocage inférieurs à la seconde et en traitant jusqu'à 100 millions de transactions par jour. La chaîne prévoit également d'étendre son initiative Megafuel pour permettre des transactions sans gaz pour tous les types de transactions utilisateur, améliorant ainsi l'accessibilité et l'efficacité.
Améliorer l'efficacité et la sécurité du réseau
L'introduction de la machine virtuelle parallèle Ethereum et de la production de blocs consécutifs en 2024 a préparé le terrain pour les objectifs 2025 de BNB Chain. Ces améliorations visent à améliorer l'évolutivité et l'efficacité du réseau, ouvrant la voie à une réduction de la latence des transactions et à une augmentation du débit.
Pour lutter contre les activités malveillantes, BNB Chain prévoit de mieux protéger les traders contre les attaques à valeur maximale extractible (MEV), en particulier les « attaques sandwich », en améliorant les canaux de communication entre les validateurs et en réduisant l'exposition des pools de mémoire.
Intégration de l'IA et innovations en matière de portefeuilles intelligents
Intelligence artificielle
«L’Amérique n’acceptera jamais cela» : J.D. Vance torpille la régulation de l’intelligence artificielle par l’UE
Le nouveau vice-président américain a alerté l’Europe contre toute réglementation, qu’il considérerait comme trop stricte à l’égard des géants américains de l’IA, et ce, en présence du président français et de la présidente de la Commission européenne.
lejdd.fr - par Audrey Senecal
Publié le 11 février 2025
Le vice-président américain J.D. Vance a mis en garde mardi lors du Sommet de Paris sur l’intelligence artificielle (IA) contre une « régulation excessive » de l’IA qui « pourrait tuer une industrie en plein essor ». « L’Amérique veut s’associer avec vous tous », a-t-il lancé devant le parterre de chefs d’État et de patrons de la tech réunis au Grand Palais, mais « nous avons besoin de régimes réglementaires internationaux qui favorisent la création de technologies d’IA au lieu de l’étouffer ».
Depuis le 2 février, le règlement européen fixant un cadre à l’intelligence artificielle commence à entrer en vigueur sur le vieux continent, avec l’AI Act. Cette réglementation stricte s’ajoute au RGPD (règlement général sur la protection des données), déjà critiqué. « L’administration Trump est troublée par le fait que certains gouvernements étrangers semblent vouloir serrer la vis contre les grandes entreprises technologiques américaines. L’Amérique n’accepte pas et n’acceptera pas cela », a déclaré J.D. Vance, ajoutant que « l’IA américaine ne sera pas (utilisée) pour devenir un outil de censure ».
Lire la suite : https://www.lejdd.fr/International/lamerique-nacceptera-jamais-cela-jd-vance-torpille-la-regulation-de-lintelligence-artificielle-par-lue-154852
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Grâce à l’IA, la plateforme française Albert veut révolutionner les ressources humaines
Lefigaro.fr - Par Klara Durand
Publié le 16 octobre 2023
Cette société aide les RH à mieux anticiper leurs besoins de recrutements en élaborant des scénarios à partir de jeux de données de ses clients.
Anticiper le nombre de salariés qui pourraient démissionner, vouloir une promotion ou partir en retraite dans les dix, quinze ou vingt prochaines années… Ce rêve de tout dirigeant d’entreprise paraît, avec les progrès de l’intelligence artificielle générative (IA), devenir réalité. C’est sur ce créneau qu’a été créée en 2021 la start-up française Albert, accessible dans 21 pays et qui souhaite devenir leader de la planification des ressources humaines en France. Elle compte déjà comme clients le Crédit Agricole, la Société Générale, EDF, Engie, Total, Thales, Monoprix ou encore Danone.
Lancée par Vincent Barat, Albert vient de lever 2,1 millions d’euros auprès d’investisseurs comme French Founders, 50 Partners, BPI France ou encore le fondateur de Qapa, Laurent Delaporte. La société assure être déjà rentable et a atteint 1 million de recettes annuelles en deux ans.
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/grace-a-l-ia-la-plateforme-francaise-albert-veut-revolutionner-les-ressources-humaines-20231016
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SocGen AI, nouvelle entité dédiée à l’IA at scale de Société Générale
zdnet.fr - PAR CHRISTOPHE AUFFRAY
Publié le 14 février 2025
Réorganisation au sein de Société Générale qui annonce la création de SocGen AI. L’entité pilotera l’exploitation de l’IA à grande échelle dans le groupe. La banque entend ainsi accélérer l’intégration de l’intelligence artificielle et la création de valeur.
Les évolutions organisationnelles au sein de Société Générale se poursuivent. Le mouvement a été initié en 2024 avec la nomination d’un nouveau directeur général, Slawomir Krupa.
Son arrivée s’est accompagnée de départs et de prises de fonction, dont celle de Christophe Tummers en tant que Chief Data Officer Groupe.
Comme ses concurrents sur le marché bancaire, Société Générale ambitionne de diffuser l’IA dans ses processus à des fins d’amélioration de l’efficacité opérationnelle et d’innovation. C’est dans ce cadre qu’elle annonce la création d’une toute nouvelle entité : SocGen AI.
Une organisation inspirée de SG-Forge sur la crypto ?
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Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle
cyber.gouv.fr - Communiqué
Publié le 12 février 2025
La tenue du sommet pour l'action sur l'IA a été l’occasion pour l’ANSSI de promouvoir une approche fondée sur l’analyse des risques et des opportunités des technologies d’intelligence artificielle pour développer la confiance dans ces systèmes.
Dans le cadre du Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA), qui s’est déroulé à Paris du 6 au 11 février 2025, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) a présenté les conclusions des travaux menés ces derniers mois sur la cybersécurité avec ses partenaires nationaux et internationaux, au sein de l’axe « IA de confiance ». L’occasion pour l’Agence de promouvoir une approche fondée sur l’analyse des risques et des opportunités des technologies d’intelligence artificielle pour développer la confiance dans ces systèmes.
Des systèmes d’information qui posent de nouveaux défis à la cybersécurité
Dans les travaux qu’elle a menés, l’ANSSI souligne en premier lieu que les systèmes intégrant une IA (SIA) demeurent fondamentalement des systèmes logiciels, soumis en tout état de cause aux mêmes vulnérabilités que des systèmes plus classiques, comme le détournement de comptes utilisateurs ou administrateurs ou l’exploitation de vulnérabilités dans les composants logiciels intégrés dans le système. Les scénarios de cyberattaque classiques restent ainsi aujourd’hui les plus crédibles contre de tels SIA. Le respect des bonnes pratiques de cybersécurité applicables à tout système d’information, est ainsi un enjeu primordial pour la mise en œuvre d’une IA de confiance.
Lire le communiqué : Communiqué de presse - Sommet pour l'action sur l'intelligence sur l'intelligence artificielle
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IA : avec l’annonce de « 109 milliards d’euros d’investissements » privés, Emmanuel Macron entend se mesurer aux Etats-Unis
lemonde.fr - par Alexandre Piquard
Publié le 09 février 2025
« C’est l’équivalent pour la France de ce que les Etats-Unis ont annoncé avec Stargate », a estimé le chef de l’Etat. Parmi les data centers lancés, l’un le sera par l’entreprise française Mistral AI.
dimanche 9 février sur France 2, à la veille de l’ouverture, au Grand Palais, du Sommet pour l’action sur l’IA, où plusieurs dizaines de chefs d’Etat et 1 000 participants sont attendus.
« C’est l’équivalent pour la France de ce que les Etats-Unis ont annoncé avec Stargate », a ajouté le chef de l’Etat. Une référence aux 500 milliards de dollars (485 milliards d’euros) annoncés mi-janvier par les entreprises OpenAI, SoftBank, Oracle et MGX dans un gigantesque complexe de data centers, lancé sous l’égide du président américain, Donald Trump. Le montant a alors frappé les esprits par sa démesure.
Le chiffre de 109 milliards d’euros est très important. Il correspond principalement à des projets de centres de données, nécessaires pour entraîner et faire fonctionner les IA, dont les puces utilisées pour les calculs coûtent plusieurs dizaines de milliers de dollars pièce.
Un mégaprojet à Cambrai
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La course à l’intelligence artificielle, nouvel instrument de domination mondiale
roi.fr - par Caroline Renaux
Publié le : 09 février 2025
Depuis l’irruption de ChatGPT en novembre 2022, chaque pays tente de tirer son épingle du jeu à coups de subventions massives et de modèles toujours plus puissants. De la Silicon Valley à Pékin, cette course effrénée vers l’intelligence artificielle (IA) dépasse la simple prouesse technologique : elle est devenue un enjeu de pouvoir. RFI fait le point à l’occasion du Sommet mondial pour l’action sur l’intelligence artificielle, qui se tient en France les 10 et 11 février.
Le 20 janvier, la Chine a impressionné le monde en lançant son agent conversationnel gratuit, un exploit du nom de « Deepseek-R1 ». Nouveau trophée du pays, ce modèle d’intelligence artificielle (IA) générative d’une puissance équivalente à celle de ChatGPT dépense cinquante fois moins de ressources énergétiques que son homologue américain, pour un coût d'entraînement dix fois moins important. De quoi semer la panique à Wall Street et pousser les observateurs à parler d’un « moment Spoutnik », en référence à l’onde de choc provoquée en 1957 par le lancement du premier satellite artificiel par l'Union soviétique.
Lire la suite : https://www.rfi.fr/fr/technologies/20250209-la-course-%C3%A0-l-intelligence-artificielle-nouvel-instrument-de-domination-mondiale
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INESIA : un nouvel acteur pour la sécurité de l’IA en France
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 10 février 2025
En mai 2024, la France était l’un des pays signataires de la Déclaration de Séoul pour une IA sûre, novatrice et inclusive. Dans le prolongement de cet engagement, Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique, a annoncé la création de l’Institut national pour l’évaluation et la sécurité de l’intelligence artificielle (INESIA).
Cette initiative vise à renforcer la confiance du public dans les technologies d’IA en France, tout en soutenant l’innovation dans ce domaine stratégique.
Structurer la recherche française en matière d’évaluation
Plutôt que de créer une nouvelle entité juridique, l’INESIA coordonnera les efforts des principaux acteurs nationaux de l’évaluation et de la sécurité de l’IA, notamment l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), le Laboratoire national de métrologie et d’essais (LNE) et le Pôle d’expertise de la régulation numérique (PEReN). Copiloté par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) et la Direction générale des Entreprises (DGE), l’Institut n’aura pas de pouvoirs contraignants, mais servira de plateforme de collaboration entre ces institutions existantes.
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/inesia-un-nouvel-acteur-pour-la-securite-de-lia-en-france/?mc_cid=85980a805f&mc_eid=1b5f52f4fd
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L’intelligence artificielle à l’école, une révolution déjà en marche
lemonde.fr - Par Violaine Morin
Publié le 08 février 2025
Alors que le recours par les élèves à ChatGPT et ses équivalents est déjà massif, l’éducation nationale commence à développer ses propres outils et à former son personnel à cette révolution dans les méthodes d’apprentissage.
« Il y a deux choses dont on est sûrs : d’une part, que l’usage de l’IA [intelligence artificielle] est massif chez les élèves ; et d’autre part, qu’on ne comprend que très peu de choses à ce qui est en train de se passer. » Pierre-Yves Oudeyer, chercheur en sciences cognitives et en intelligence artificielle à l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria) de Bordeaux, résumait ainsi la situation de l’école, lors d’une présentation de ses travaux au Centre national d’étude des systèmes scolaires (Cnesco), à l’automne 2024. Derrière cette boutade, le chercheur soulignait une réalité : en matière d’intelligence artificielle, les élèves ont dépassé leurs maîtres, et l’école commence à peine à comprendre à quel point l’IA pourrait la transformer.
Même la ministre de l’éducation nationale, Elisabeth Borne, en convient : « Nos lycéens et nos étudiants n’attendent pas », a-t-elle concédé, le 7 février, en ouverture d’une journée d’étude sur l’IA organisée à Sèvres (Hauts-de-Seine) par l’éducation nationale et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Lire la suite : https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/02/08/l-intelligence-artificielle-a-l-ecole-une-revolution-deja-en-marche_6537457_3224.html
Services publics
Education, recherche, services publics... Comment Clara Chappaz compte convertir la France à l'IA
La ministre déléguée à l’Intelligence artificielle et au Numérique confie à Capital comment elle compte dissiper les doutes et lever les craintes qui empêchent encore le public et les entreprises d’embrasser plus largement cette révolution.
Par Stéphane Barge & Julien Bouyssou & Emmanuel Botta
Publié le 09 février 2025
Mission confirmée : après avoir rejoint le gouvernement Barnier comme secrétaire d’Etat en septembre, l’ex-patronne de la mission French Tech a été confortée en décembre par son successeur François Bayrou, qui l’a propulsée ministre déléguée à l’Intelligence artificielle (IA) et au Numérique. La priorité de cette diplômée de Harvard ? Faire de la France une grande puissance de l’IA. Le sommet international consacré à cette discipline, les 10 et 11 février à Paris, devrait y contribuer. La ministre pourrait y croiser quelques invités venus de la Silicon Valley, comme Mark Zuckerberg ou Elon Musk. Voilà qui tombe à pic. En janvier, Clara Chappaz a évoqué un possible bannissement européen de X, le réseau social du boss de Tesla, soupçonné de favoriser la désinformation. L’ambiance promet donc d’être électrique !
Capital : C’est la première fois qu’un poste ministériel est dédié à l’intelligence artificielle (IA). Quelles sont vos missions ?
Lire la suite : https://www.capital.fr/entreprises-marches/education-recherche-services-publics-comment-clara-chappaz-compte-convertir-la-france-a-l-ia-1509024
Cybersécurité
Cybersécurité : L'Anssi émet plusieurs recommandations pour sécuriser les systèmes d'IA
usine-digitale.fr - par Joann Bourgin
Publié le 10 février 2025
L'Anssi et plusieurs agences nationales de cybersécurité appellent à limiter les risques de compromission des systèmes d'IA. Plus d'une dizaine de recommandations ont été émises à l'attention des fournisseurs, développeurs et responsables impliqués dans ces systèmes.
"Favoriser l’usage des systèmes d’IA de confiance" : c'est l'objectif que s'est fixé l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) face aux menaces cyber croissantes qui pèsent sur les systèmes d'IA. Dans le cadre du Sommet pour l'Action sur l'IA, qui a lieu cette semaine à Paris, l'agence a publié un rapport présentant les principaux scénarios de compromission de ces systèmes et les conseils pour atténuer les risques. Le document a été cosigné par les agences nationales de cybersécurité de 16 pays, dont celles du Royaume-Uni, du Canada, de l'Allemagne et de la Corée du Sud.
Des tentatives d'attaques par "empoisonnement", "évasion" et "extraction"
L'Anssi explique que les systèmes d'IA sont exposés à trois types d'attaques. Les attaques par "empoisonnement" consistent à altérer les données du modèle ou d'entraînement pour modifier la réponse du système, tandis que les attaques par "extraction" visent à reconstruire ou récupérer des données sensibles internes au modèle après la phase d'apprentissage. Viennent enfin les tentatives d'évasion, qui permettent à un attaquant de modifier le comportement du système en transformant les données d'entrée.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-l-anssi-fournit-plusieurs-recommandations-pour-securiser-les-systemes-d-ia.N2227231
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Rapport Threat Intelligence de Mimecast : le phishing toujours aussi efficace
solutions.numeriques.com - par François Tonic
Publié le 14 février 2025
Mimecast a publié son rapport Threat Intelligence pour le 2e semestre 2024. Le document s’appuie sur les données remontées par les utilisateurs des outils Mimecast. Deux secteurs ont été particulièrement ciblés : le divertissement et les médias. L’IA est plus que jamais au coeur des attaques et des contre-mesures.
Les principales méthodes d’attaques sont :
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/caisse-des-depots-des-pirates-ont-accede-aux-donnee-de-70-000-personnes/
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IA, quantique, ransomware : les enjeux de la cybersécurité en 2025
journaldunet.com - Chronique de Romain Basset
En 2025, l'IA, le quantique et des cyberattaques plus sophistiquées bouleversent la cybersécurité. Face aux ransomwares et deepfakes, entreprises et États doivent repenser leur stratégie de défense.
L’année 2024 a été marquée par des bouleversements sans précédent et une recrudescence des cyberattaques, mettant à rude épreuve les systèmes de sécurité des organisations privées et publiques. Les violations massives, telles que celles de Change Healthcare, exposant plus de 100 millions de dossiers sensibles, ou encore l'incident de Crowdstrike, affectant 8,5 millions de systèmes pour un coût astronomique de 5,4 milliards de dollars, ont illustré une vulnérabilité généralisée. Alors que la sophistication des cybermenaces ne cesse d’évoluer, les entreprises et institutions doivent désormais repenser leurs stratégies pour affronter les défis de 2025.
Une escalade sans précédent des menaces
La recrudescence des ransomwares, à l’image de la faille exploitée chez Ticketmaster, et les piratages ciblant des infrastructures critiques comme celles des collectivités et des hôpitaux français, mettent en lumière un panorama inquiétant. Même des mastodontes comme Microsoft ont dû se défendre contre des assauts toujours plus complexes, soulignant une réalité incontournable : aucune entité n'est à l'abri.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1539039-ia-quantique-ransomware-les-enjeux-de-la-cybersecurite-en-2025/
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Cybersécurité en 2025 : la solution tout-en-un indispensable pour une protection optimale
Par le Studio Clubic, sponsorisé par CyberGhost
Publié le 09 février 2025 à 17h30
Virus, pirates, données volées : et si la solution ultime ne tenait qu’à un clic ? CyberGhost fusionne VPN, antivirus et outils de sécurité pour une protection totale, sans compliquer votre quotidien.
Protéger ses données en ligne ? C’est fait. Masquer son adresse IP ? Aussi. Mais qu’en est-il des virus et malwares qui se glissent dans vos téléchargements ou s’infiltrent discrètement dans votre système ? Face à des menaces numériques toujours plus sophistiquées, un VPN seul ne suffit plus.
CyberGhost l’a bien compris et propose bien plus qu’un simple réseau privé virtuel. Avec son antivirus intégré, son gestionnaire de mises à jour et ses protections avancées pour tous les appareils, l’application se meut en suite de sécurité complète. Objectif : offrir une protection globale contre les malwares, ransomwares et autres menaces, sans compliquer l’expérience utilisateur.
Pourquoi une solution VPN seule ne suffit plus ?
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-552209-cybersecurite-en-2025-la-solution-tout-en-un-indispensable-pour-une-protection-optimale.html
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La justice française enquête sur l’algorithme de X
mac4ever.com - par LAURENCE -
Publié le 10 février 2025
Le parquet de Paris a ouvert une enquête sur le fonctionnement des algorithmes de X à la suite d’un signalement du député Éric Bothorel (Ensemble!). Cette procédure vise à déterminer si les systèmes de traitement automatisé de la plateforme sont biaisés et faussent l’expérience des utilisateurs.
D’après France Info, le parquet de Paris a reçu le 12 janvier dernier un signalement pointant du doigt des “algorithmes biaisés” susceptibles d’altérer le fonctionnement normal du réseau social. Des magistrats et des experts en cybercriminalité ont été saisis et procèdent actuellement aux premières vérifications techniques.
Dans un poste justement sur X, Éric Bothorel a précisé avoir saisi la section de lutte contre la cybercriminalité par courrier pour attirer l’attention sur d’éventuelles manipulations du système de traitement automatisé de données.
Cette enquête est loin d'être la seule. En effet, d’autres procédures sont en cours en Europe visant X et son médiatique propriétaire. En janvier dernier, l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) a également annoncé son intention de saisir la Commission européenne. Cette décision intervient après plusieurs plaintes accusant la plateforme de manipuler ses recommandations algorithmiques. L’Irlande, où X a établi son siège social européen, a également été saisie par l’Arcom afin d’examiner ces allégations.
Lire la suite : https://www.mac4ever.com/societe/187055-la-justice-francaise-enquete-sur-l-algorithme-de-x
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« Nos outils IA permettent déjà d’éviter des traumatismes », entretien avec le général de gendarmerie en charge de l’IA
numerama.com - par Bogdan Bodnar
L'IA, assistant des gendarmes
Le Sommet pour l’action sur l’IA vise à éclairer le grand public sur l’usage de ces technologies. En amont de cet événement, Numerama s’est entretenu avec le coordonnateur IA de la Gendarmerie pour en savoir plus sur leur application concrète dans les enquêtes.
Incontournable en cybersécurité, opportuniste pour les cybercriminels, l’intelligence artificielle (IA) s’affirme aussi au sein des forces de l’ordre. Alors que le Sommet de l’IA ouvre ses portes le 10 février et que le grand public peine encore à mesurer son potentiel, cette technologie est déjà utilisée concrètement par la gendarmerie pour combattre la criminalité. Lors du Cybershow Paris 2025, le général Patrick Perrot, coordonnateur IA pour la gendarmerie, nous explique comment l’intelligence artificielle a investi les ordinateurs des enquêteurs.Le général Patrick Perrot, conseiller IA auprès du Commandement du ministère de l’Intérieur dans le Cyber Espace. // Source : Gendarmerie nationale
Concrètement, comment la gendarmerie utilise l’Intelligence artificielle aujourd’hui ?
Général Perrot : Notre priorité est naturellement de lutter contre la cybercriminalité et l’IA peut épauler les gendarme dans cette mission. Je dirais qu’on est sur la phase de croissance d’implantation de ces appuis.
Concrètement, comment la gendarmerie utilise l’Intelligence artificielle aujourd’hui ?
Désinformation
"Il en va véritablement de l’avenir des démocraties" : l'intelligence artificielle face au défi de la désinformation par l'image
Publié le 09 février 2025
Depuis l'évolution de ChatGPT, l'intelligence artificielle s'invite dans notre quotidien pour le meilleur mais aussi pour le pire. Dans le domaine de la culture, les professionnels s'interrogent sur la prolifération d'images générées par l'IA et leurs conséquences.
Il y a quinze ans, les chercheurs avaient abandonné la piste de l’intelligence artificielle, dont l'origine remontait pourtant aux années 1950. Mais l'explosion des données et la puissance de calcul des ordinateurs ont tout changé. Grâce aux supercalculateurs comme le MareNostrum 5, fleuron européen basé à Barcelone capable d’accomplir 314 millions de milliards de calculs par seconde, la majorité des savoirs est désormais contenue dans la mémoire de ces grosses bêtes blindées de puces.
Un tel volume de connaissances peut à la fois inquiéter et susciter beaucoup d’espoirs. Eric de Chassey, directeur général l’Institut national de l’histoire de l’art, rêve de nourrir une IA qui ne s’arrêterait pas à la surface des images, car "elle peut être utilisée pour nous manipuler, nous conditionner, ou pour l’inverse. On voit bien que ce sont les deux grandes tendances de l’utilisation de l’intelligence artificielle : soit mentir et simplifier, soit complexifier et donner à penser. Evidemment, nous, chercheurs et bibliothécaires, ce que l’on cherche à faire, c’est complexifier et donner à penser. Mais tout ça ne se fait que si on l’a nourrie au départ, c’est-à-dire que si on lui a appris à mentir, ou si on lui a appris à trop simplifier – ce qui est toujours l’intérêt des dictatures et du commerce –, elle ne va pas le faire de façon intelligente, elle va le faire de façon bête".
"Manipuler des images est aujourd'hui à la portée de n'importe qui"
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Désinformation, reconnaissance faciale… Que prévoit la règlementation européenne sur l’IA ?
publicsenat.fr - Par Rose Amélie Becel
Publié le 10 février 2025
Le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle se déroule à Paris, au moment où les premières mesures du règlement européen sur l’IA entrent en vigueur. Si le texte vise d’abord à interdire certaines pratiques jugées « inacceptables », il devrait aussi obliger le secteur à plus de transparence.
Emmanuel Macron en boîte de nuit, déguisé en MacGyver ou interprétant un titre de la chanteuse Angèle… Avant l’ouverture du sommet sur l’intelligence artificielle à Paris, le président de la République a publié ce week-end une vidéo humoristique à partir des deepfakes qui circulent sur les réseaux sociaux à son sujet.
Parfois amusantes, ces vidéos – qui utilisent le visage et le son de la voix d’une personnalité pour lui faire dire ou faire n’importe quoi via une intelligence artificielle – sont surtout utilisées à des fins malveillantes, dans des contenus pornographiques, ou pour véhiculer de fausses informations. Des usages très controversés de l’IA que l’Union européenne entend bien règlementer, avec l’adoption de l’IA Act.
Interdiction des usages « inacceptables »
Les premières mesures de ce règlement européen, entrées en application le 2 février, ne concernent que les usages les plus contestés de l’intelligence artificielle, qui font peser un « risque inacceptable » sur les droits humains. L’IA Act interdit ainsi l’utilisation de logiciels de « notation sociale », à l’image de ceux utilisés en Chine, et de « police prédictive individuelle », des outils visant à profiler les individus pour évaluer leur propension à commettre des infractions.
Lire la suite : https://www.publicsenat.fr/actualites/international/desinformation-reconnaissance-faciale-que-prevoit-la-reglementation-europeenne-sur-lia
Thales
THALES AU SOMMET DE L’ACTION POUR L’IA : L’IA DE CONFIANCE PEUT CHANGER LA SOCIÉTÉ
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 10 février 2025
Alors que les attentes sont fortes quant à la contribution de l’intelligence artificielle à la sécurité et à la souveraineté des États, Thales propose une IA hybride, explicable, cybersécurisée et frugale, déjà intégrée dans plus d’une centaine de ses produits. Cette technologie peut dès aujourd’hui offrir des avancées significatives pour la protection des infrastructures, l’optimisation de la consommation énergétique et les systèmes de défense.
« Thales est un acteur de référence dans le domaine de l’IA de confiance : nos experts ont développé une IA dite hybride qui apporte transparence, cybersécurité, frugalité et éthique, à la différence de grand nombre d’IA reposant exclusivement sur des masses de données particulièrement énergivores. Thales propose une intelligence augmentée, une intelligence capable de changer la société. » déclare Patrice Caine, Président- directeur général de Thales.
Patrice Caine, Président-directeur général de Thales, prendra part aux échanges entre chefs d’Etats et de gouvernements et dirigeants d’entreprises lors de deux tables rondes portant respectivement sur l’IA et la sécurité nationale et sur les champions européens de l’IA.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/newsroom
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THALES EST SÉLECTIONNÉ PAR LA ROYAL NAVY POUR ASSURER LA MAINTENANCE DES SYSTÈMES DE COMMUNICATIONS DE SES NAVIRES ET SOUS-MARINS
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 12 février 2025
Les systèmes de communications de la flotte de la Royal Navy font actuellement l’objet d’une maintenance pour soutenir la capacité de combat à la suite de l'un des plus importants investissements réalisés dans le domaine des communications navales en Europe. L'annonce relative au soutien des capacités de communications maritimes (MCCS) garantit une centaine d'emplois hautement qualifiés chez Thales et les dispositions du contrat devraient permettre à la Royal Navy d'économiser jusqu'à 30 millions de livres sterling sur les coûts de cycle de vie au cours de la prochaine décennie.
Les systèmes de communications des unités de la Royal Navy sont un élément essentiel pour permettre à un bateau d'opérer et de combattre ; toute défaillance ou dégradation de ces systèmes fait peser un risque important sur la capacité de la Royal Navy à remplir ses objectifs de défense. Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-selectionne-royal-navy-assurer-maintenance-des
Mobilité
La création d'un versement mobilité régional, l'un des innombrables enjeux de la commission mixte paritaire
maire-info.com - par Franck Lemard
Édition du jeudi 30 janvier 2025
En novembre, le Sénat avait introduit dans le projet de budget un versement transport élargi aux régions, répondant à une très ancienne revendication de Régions de France. Cette disposition va-t-elle survivre à la commission mixte paritaire qui se tient ce soir, contre l'avis de France urbaine, d'Intercommunalités de France et du Medef ?
Par Franck Lemarc
Lors des débats au Sénat qui ont précédé le renversement du gouvernement Barnier, deux amendements avaient été adoptés autour du versement mobilité (VM) : l’un pour augmenter son plafond, l’autre pour l’étendre aux régions.
Le versement mobilité
Pour mémoire, le versement mobilité (ex-versement transport), instauré par la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019 est une taxe versée par les entreprises employant 11 salariés et plus dans un certain nombre de territoires : l’ensemble de la région Île-de-France, les communes ou communautés urbaines de plus de 10 000 habitants, dans les métropoles, et enfin dans les EPCI de plus de 10 000 habitants « compétents pour l’organisation de la mobilité ». Dans ces derniers, la perception du VM est conditionnée à l’organisation d’au moins un service de transport public régulier.
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PLF 2025 et mobilités : les associations d’élus soufflent le chaud et le froid
banquedesterritoires.fr - par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 7 février 2025
Si Régions de France salue l’attribution d’une part du versement mobilité aux régions, le Groupement des autorités responsables de transport (Gart) estime que le projet de loi de finances (PLF) pour 2025 adopté ce 5 février n’est pas à la hauteur des enjeux de financement des autorités organisatrices de la mobilité locales et régionales qui font face à un "mur d’investissement et de fonctionnement" estimé à plus de 100 milliards d’euros d’ici 2030.
"Les régions pourront continuer à investir dans les mobilités décarbonées", met en avant Régions de France dans un communiqué diffusé ce 6 février, après l’adoption du projet de loi de finances (PLF) pour 2025 qui acte l’attribution d’une part du versement mobilité (VM) aux régions (voir la présentation détaillée
(Lien sortant, nouvelle fenêtre)
du dispositif par l'association). "Cette nouvelle ressource permettra aux régions qui le souhaiteraient de bénéficier d’un nouveau levier fiscal destiné à financer les investissements dans les mobilités décarbonées, rendus impératifs par la nécessité de désenclaver les territoires ruraux comme périurbains tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre, sans porter atteinte au pouvoir d’achat des Français. Elle vient conforter les régions dans leur rôle de chef de file de la mobilité", souligne l’association présidée par Carole Delga.
Une nouvelle ressource pour les investissements régionaux
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/plf-2025-et-mobilites-les-associations-delus-soufflent-le-chaud-et-le-froid
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Rénover et optimiser la dépense publique : le défi de la mesure des nouvelles mobilités
Publié le 4 Février 2025
L’épidémie de Covid-19 nous a permis de nous questionner sur nos habitudes de mobilité. Elle a mis en avant les bienfaits de la pratique du vélo et a fortement renforcé sa place comme mode de transport individuel et résilient. Cependant, pour accompagner cette évolution, cela nécessite une forte mobilisation pour adapter les infrastructures et, en parallèle, les comportements. Les modes de transport doux se développent rapidement, rendant nécessaire une meilleure mesure du trafic. À cet effet, le Cerema évalue actuellement les dispositifs de comptage existants.
Cet article a été publié par notre partenaire TechniCités.
Le plan Vélo 2023-2027 permet d’organiser les actions de l’État avec l’objectif de tripler la part modale du vélo pour atteindre 12 % des déplacements du quotidien. La loi n° 2019-1428 du 24 décembre 2019 d’orientation des mobilités, dite LOM, présente plusieurs dispositions permettant de préciser et renforcer les obligations des gestionnaires en matière de développement des aménagements cyclables lors de la rénovation de leurs voiries, aussi bien en et hors agglomération.
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/renover-optimiser-depense-publique-defi-mesure-nouvelles
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Le conseil municipal de Vierzon devrait voter 132.960 euros supplémentaires pour améliorer le réseau de bus Vib'
leberry.fr - Par Benoît Morin
Publié le 05 février 2025
Afin d’améliorer le service de bus de Vierzon, la Ville devrait dépenser 132.960 euros supplémentaires. La décision devrait être entérinée par le conseil municipal, jeudi 6 février.
Les élus du conseil municipal de Vierzon devraient donner leur accord, jeudi 6 février, pour améliorer le service des bus de Vierzon. Pour mémoire, c’est Transdev qui gère les transports urbains de Vierzon depuis septembre 2024, pour une durée de huit ans. Lors des premiers jours d’exploitation du réseau, de nombreux Vierzonnais s’étaient déclarés mécontents des dessertes, poussant la Ville à demander des améliorations au délégataire de service public.
La Ville devrait ainsi dépenser 132.960 euros (hors taxes) de plus par rapport au budget initial. Le budget devrait désormais être de 2,062 millions hors taxes par an. Mais Jill Gaucher, première adjointe à la maire de Vierzon, précise que le budget pour l’ancien délégataire de service public (RATP Dev) était nettement supérieur : 2,3 millions d’euros par an.
« Étoffer l’offre kilométrique »
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La tech, meilleure alliée de la mobilité durable en ville
journaldunet.com - Chronique de Gilles Trantoul - Matawan
Publié le 03 février 2025
Face à la congestion croissante des métropoles et aux objectifs ambitieux de réduction des émissions de CO2, les villes doivent réinventer leur mobilité.
Face à la congestion croissante des métropoles et aux objectifs ambitieux de réduction des émissions de CO2, les villes doivent réinventer leur mobilité. Plus qu’un recours aux grands projets d’infrastructures, c’est dans la technologie et les solutions collaboratives que réside l’avenir des transports publics.
Par Nicolas Manuelli, directeur associé au BCG, Benjamin Fassenot, Partner au BCG & Gilles Trantoul, Chief Marketing officer chez Matawan, plateforme numérique qui facilite le voyage intermodal.
C’est un record dont Paris se serait bien passé. Entre le 27 avril et le 27 mai 2024, la capitale de la France a été la ville de plus de 500 000 habitants la plus embouteillée du monde, devant Londres, New York ou Mexico. Certes, les fermetures liées à la préparation des Jeux Olympiques ont contribué aux interminables bouchons. La ville figure néanmoins régulièrement parmi les cinq métropoles les plus congestionnées au monde. Les autres capitales européennes n’ont pas vraiment de leçons à lui donner. Car, même si Berlin ou Copenhague ont démontré leur capacité à réduire drastiquement les émissions de CO2, les progrès globaux en Europe demeurent modestes.
Les voyageurs sont prêts au changement
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/iot/1538769-la-tech-meilleure-alliee-de-la-mobilite-durable-en-ville/
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Pourquoi les grandes entreprises de transport ne quittent pas X
Publié le 04 février 2025 - mise à jour le 05 février 2025
Cela ressemble à une grande désertion : de plus en plus d’entreprises, de collectivités, de personnalités quittent la plateforme X (ex-Twitter) après les dérapages de son propriétaire, Elon Musk. Le département des Landes ou la région Bretagne l’ont annoncé mi-janvier. Quelques jours après, c’était au tour de Grand Est. Son président, Franck Leroy (divers droite), a précisé à l’AFP « désactiver » son compte personnel X et celui de la collectivité qu’il préside, en expliquant que « les évolutions récentes, à la fois des prises de position d’Elon Musk inacceptables sur certains scrutins européens, notamment en Allemagne où il apporte un soutien appuyé à des néonazis, et des algorithmes mis en place encouragent le développement des fake-news et des thèses complotistes« .
La Ville de Paris a elle aussi choisi de franchir le pas en janvier. Patrick Bloche, premier adjoint à la maire de Paris, a expliqué à l’AFP que « par le biais de ses algorithmes, la toxicité croissante de X empêche tout débat public équilibré et serein« ,
Des organismes comme France Nature Environnement et la CFDT ont également quitté X pour publier sur Bluesky ou sur Threads.
Dans le monde des transports, rien ne bouge
Dans le monde des transports en revanche, rien ne bouge. Ou si peu. Les quatre plus grands opérateurs (SNCF, RATP, Transdev et Keolis) avancent des arguments comparables. Les clients et les élus sont sur X, il faut donc y rester.
Lire la suite : https://www.ville-rail-transports.com/ferroviaire/comptes-transport-bluesky/
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La carte Navigo Liberté+ attire (vraiment) beaucoup de nouveaux voyageurs
journal geek.com - Ville du Futur Par Amandine Jonniaux
Publié le 3 février 2025
Avec 800 000 abonnés, et des chiffres en hausse, l’abonnement est la nouvelle poule aux œufs d’or d’Île-de-France Mobilités.
Depuis le début de l’année, de plus en plus de Franciliens misent sur la flexibilité de la carte Liberté+. Au centre de la simplification des tarifs promise par Île-de-France Mobilités, l’offre flexible proposée par l’autorité organisatrice des transports compte désormais 800 000 abonnés, avec une moyenne de 10 000 nouveaux souscripteurs chaque jour. Les résidents franciliens sont les premiers à profiter de l’offre, indique un communiqué officiel qui cite le directeur général d’IDFM, Laurent Probst : “Vu l’ampleur de la réforme, ça se passe bien dans les stations. Elle est plutôt bien accueillie par les Franciliens, un peu moins par les touristes qui doivent acheter le passe Navigo Easy“.
Le plus avantageux pour les voyageurs occasionnels
Depuis le 1ᵉʳ janvier, le ticket est passé à un tarif unique de 2,50€ dans toute l’Île-de-France pour le métro, le train ou le RER, et 2€ pour le bus et le tramway. Une augmentation conséquente pour les Parisiens intramuros, mais qui profite à toutes celles et ceux qui résident en dehors de la petite couronne. Pour les touristes, il faut d’abord s’acquitter d’un pass réutilisable à 2€, avant de charger des titres de transport dessus. Ce changement de paradigme a provoqué quelques ralentissements, notamment dans les stations les plus fréquentées, comme dans les gares, où les machines n’étaient pas assez nombreuses. Un problème temporaire, rassure Laurent Probst : “D’ici à la fin de l’année, il y aura bien des automates partout qui distribuent des cartes”.
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2025/02/03/la-carte-navigo-liberte-attire-vraiment-beaucoup-de-nouveaux-voyageurs/
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Un dispositif solidaires pour la mobilité des seniors
Ouest-France - par la rédaction Publié le 02 février 2025 |
Pour rassurer les plus de 65 ans, la ville de Nantes souhaite créer un dispositif permettant aux seniors d’être accompagnés dans leurs déplacements du quotidien. Elle lance un appel à projets.
Activités de loisirs, rendez-vous médicaux, démarches administratives, avec l’âge. Ville labellisée « amie des aînés » depuis 2022, Nantes lance un appel à projets pour faciliter la mobilité et l’autonomie des seniors.
L’idée ? Créer un dispositif solidaire pour mettre en relation des Nantais volontaires avec des seniors isolés de plus de 65 ans, qui ont besoin d’être rassurés dans leurs déplacements du quotidien, à pied ou en transports en commun.
Plus de 2 millions d’euros
Le projet est l’une des quinze actions phares de la Stratégie nantaise des nouvelles solidarités, qui dispose d’un budget de 2,3 millions. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 2 mai.
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Alstom fournira quinze rames de métro supplémentaires équipées du nouveau système de signalisation et de pilotage automatique Urbalis Fluence à la Métropole Européenne de Lille
alstom.com - Communiqué
Publié le 20 janvier 2025
20 janvier 2025 – Alstom, leader mondial de la mobilité durable et intelligente, fournira à la Métropole Européenne de Lille (MEL) quinze rames supplémentaires de métro automatique de nouvelle génération de 52 mètres de long, pour un montant d’environ 210 millions d’euros
Ces nouvelles rames viendront compléter le premier lot de 27 rames qui avait déjà été commandées par la MEL (équipées du système de signalisation et de pilotage automatique Urbalis Fluence, à la pointe de la technologie).
« Alstom se réjouit de cette nouvelle commande de matériel de nouvelle génération de la part de la Métropole Européenne de Lille. » - Frédéric Wiscart, Président d’Alstom France
Les rames de cette nouvelle commande viendront remplacer les anciennes rames VAL 208 à partir de 2028. Cette commande s’inscrit dans une politique générale de modernisation du réseau de métro de la MEL visant à introduire de nouveaux matériels roulants et à modifier le système d’automatisme de conduite, pour faire évoluer l’offre de transport sur les lignes 1 et 2.
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« La filière automobile n'a pas à fixer la norme de ce que doit être une mobilité désirable »
actu-environnement.com - par Léo Larivière. Responsable du plaidoyer transition automobile à Transport & Environment (T&E)
Les politiques en matière de transition cherchent à orienter les conducteurs vers l'électrique et vers d'autres modes de déplacements. Mais elles se heurtent, selon Léo Larivière, au frein d'un imaginaire tenace lié à la voiture thermique.
Actu-Environnement : On met en œuvre différentes recettes pour faire baisser les émissions de CO2 de l'automobile, comme le développement du véhicule électrique, les nouvelles pratiques telles que l'autopartage... Vous proposez aussi d'agir sur les imaginaires. Pourquoi ?
Léo Larivière : Depuis plusieurs années, les chercheurs s'intéressent à la transition des mobilités, notamment celle de l'automobile. Leurs analyses ont été intégrées dans différents plans nationaux et européens. Pourtant, malgré ces efforts, la part des émissions de CO2 liée au secteur des transports – qui est la plus importante en France et en Europe –, ne baisse pas.
Parallèlement, on entend de plus en plus un discours sur l'écologie punitive qui cible en priorité les mobilités dites « propres », comme la voiture électrique. Il est donc essentiel de se poser la question suivante : jusqu'à quel point l'imaginaire autour de la voiture (1) , promu à longueur de journée par la publicité, complique la mise en place de cette transition et son acceptation sociale ? L'influence des marques automobiles sur nos représentations culturelles est un facteur clé, souvent ignoré dans les politiques de transition écologique, alors qu'il joue un rôle crucial.
AE : De quels imaginaires parlez-vous ?
Lire la suite : https://www.actu-environnement.com/ae/news/imaginaire-voiture-obstacle-transition-45536.php4
Services publics
Les inégalités d’accès aux services publics en France et l’impact sur le vote.
jean-jaures.org - par ÉMILIE AGNOUX, LAURE DE LA BRETÈCHE, NOAM LEANDRI, JOHAN THEURET
Publié le 04 février 2025
Comment les citoyens perçoivent-ils la notion d’égalité d’accès, principe fondamental des services publics français ? Le Sens du service public a réalisé avec OpinionWay une enquête pour comprendre et analyser le rapport des citoyens avec les services publics, l’importance qu’ils y attachent et les attentes à leur égard. Émilie Agnoux, Laure de la Bretèche, Noam Leandri et Johan Theuret décryptent dans cette note les grands enseignements de ce sondage.
Les résultats complets de l’enquête
Le Sens du service public a souhaité, dans la continuité de ses nombreux travaux sur l’accès aux services publics1, percevoir ce que recouvre concrètement pour les Français la notion d’égalité d’accès. Ce principe fondamental des services publics français est à la fois la caractéristique majeure de leur fonctionnement et l’aspiration professionnelle de celles et ceux qui les font fonctionner. Mais depuis des années voire des décennies, on ne cesse malheureusement de percevoir des remises en cause de cette universalité d’accès.
Convaincu qu’une société républicaine a besoin de services publics en bonne santé, le Sens du service public a souhaité connaître le ressenti et la perception des Français, au travers de deux grandes préoccupations : d’une part les lieux d’habitation et, d’autre part, les comportements électoraux, en particulier l’abstention et le vote en faveur de l’extrême droite. Les dernières séquences électorales en 2024 ont en effet mis en exergue le sujet des services publics, suscitant parfois des conclusions hâtives que le Sens du service public a voulu analyser avec recul.
Lire la suite : https://www.jean-jaures.org/publication/les-inegalites-dacces-aux-services-publics-en-france-et-limpact-sur-le-vote/
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L’IA au service de l’amélioration continue des services publics
modernisation.gouv.fr - Communiqué
Publié le 5 février 2025
Une nouvelle solution pour analyser les retours d’expérience des usagers
Depuis décembre 2024, la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) déploie une nouvelle solution d’intelligence artificielle (IA) pour faciliter l’analyse des avis des usagers sur les services publics.
Avec cette innovation apportée par l’IA, il est désormais possible pour la DITP de produire, en quelques secondes, une note de synthèse basée sur les expériences partagées sur la plateforme Services Publics+ à la rubrique « Je donne mon avis ».
Une analyse rapide et neutre des retours des citoyens
Cette nouvelle application d’IA permet aux services publics :
• d’identifier les quatre principaux sujets évoqués par les usagers ;
• d’extraire des témoignages authentiques, en reprenant les mots des usagers ;
• de proposer quatre à cinq axes d’amélioration concrets.
En centralisant et en structurant les retours d’expérience, cette technologie apporte une analyse fiable et objective, essentielle pour ajuster et enrichir les démarches d’amélioration continue, dans le cadre du programme Services Publics+.
Cette solution est d’ores et déjà mise en œuvre par quatre premiers services publics : la Direction générale de la Gendarmerie nationale (DGGN), la Mutualité sociale agricole (MSA), la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF). Ces administrations bénéficient ainsi d’un outil innovant pour mieux comprendre les attentes des citoyens et améliorer la qualité de leurs services.
Une intelligence artificielle au service des agents et des usagers
Lire la suite : https://www.modernisation.gouv.fr/actualites/lia-au-service-de-lamelioration-continue-des-services-publics
RGPD
Trump peut-il réellement mettre en péril le RGPD ?
itforbusiness.fr - Par Thierry Derouet,
Publié le 04 février 2025
Le coup de force de l’administration Trump contre le Privacy and Civil Liberties Oversight Board (PCLOB) fragilise le Transatlantic Data Privacy Framework (TADPF). Sans organe de contrôle opérationnel, la conformité des États-Unis au RGPD vacille. Bruxelles garde le silence, mais elle devra trancher : sauver un accord vidé de ses garanties ou assumer une crise économique et juridique majeure. Décryptage.
La pression était montée ces derniers jours. Après avoir exigé que les trois membres démocrates du Privacy and Civil Liberties Oversight Board (PCLOB) quittent leurs fonctions d’ici le 23 janvier, la Maison-Blanche a enfin pris une décision. Le 27 janvier, l’administration Trump a formellement destitué ces trois représentants, ne laissant plus à l’organisme qu’une seule personne en activité : la républicaine Beth Williams. Cette décision vient bouleverser l’équilibre de cet organe clé, responsable de la supervision des programmes de surveillance américains. Elle fragilise également encore davantage le Transatlantic Data Privacy Framework (TADPF), cet accord crucial entre l’Union européenne et les États-Unis sur le transfert des données personnelles.
Le licenciement de ces trois membres du PCLOB met en péril la surveillance indépendante des pratiques de renseignement aux États-Unis, un élément central du compromis trouvé entre Bruxelles et Washington pour maintenir les flux de données transatlantiques. Face à l’hésitation institutionnelle et à l’insécurité juridique, les fondements de cet accord sont en danger. L’Union européenne, qui comptait sur cet organisme pour assurer la protection des citoyens européens contre les pratiques de surveillance américaines, reste curieusement muette. La situation pourrait rapidement se transformer en crise diplomatique et économique.
Un organisme clé mis sous pression
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/trump-peut-il-reellement-mettre-en-peril-le-rgpd-88226
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IA et RGPD : la CNIL publie ses nouvelles recommandations pour accompagner une innovation responsable
cnil.fr - Communiqué
Publié le 07 février 2025
Le RGPD permet le développement d’IA innovantes et responsables en Europe. Les deux nouvelles recommandations de la CNIL l’illustrent par des solutions concrètes pour informer les personnes dont les données sont utilisées et faciliter l’exercice de leurs droits.
Le RGPD permet une IA innovante et respectueuse des données personnelles
Le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, organisé par la France du 6 au 11 février 2025, accueillera de nombreux évènements qui confirment que l’IA recèle un potentiel d’innovation et de compétitivité pour les prochaines années.
Depuis 1978, la France s’est dotée de règles pour encadrer l’usage des données personnelles par les technologies numériques. En Europe, ces règles ont été harmonisées par le règlement général sur la protection des données personnelles (RGPD) dont les principes inspirent de nombreux pays à l’international.
Consciente des enjeux de clarification du cadre juridique, la CNIL s’emploie, à travers l’ensemble de ses actions, à sécuriser les acteurs afin de favoriser l’innovation en IA tout en assurant le respect des droits fondamentaux des Européens. Depuis le lancement de son plan d’action sur l’IA en mai 2023, la CNIL a notamment adopté une série de recommandations pour le développement de systèmes d’IA. Ainsi éclairé et clarifié, l’application du RGPD est un facteur de confiance pour les personnes, et de sécurité juridique pour les entreprises.
Une nécessaire déclinaison des principes du RGPD aux spécificités de l’IA
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/ia-et-rgpd-la-cnil-publie-ses-nouvelles-recommandations-pour-accompagner-une-innovation-responsable
Réseaux sociaux
Suspicion « d’algorithmes biaisées » : le réseau social X visé par une enquête du Parquet de Paris
cnews.fr - Par Julien Naye
Publié le 07 février 2025
Cette enquête fait suite au signalement d'un député qui dénonçait des algorithmes biaisés au sein du réseau social. [Dado Ruvic / REUTERS]
Après le signalement d’un député le 12 janvier dernier, le parquet de Paris a annoncé ce vendredi 7 février ouvrir une enquête sur le fonctionnement du réseau social X, dont les algorithmes seraient biaisés.
Ce vendredi 7 février, le parquet de Paris a ouvert une enquête sur le fonctionnement du réseau social X, a appris CNEWS, confirmant une information de Franceinfo. Ces investigations font suite à un signalement du député EPR Eric Bothorel, le 12 janvier dernier, qui dénonçait des algorithmes biaisés au sein du réseau social d’Elon Musk et qui avait déclaré avoir saisi «le parquet cyber J3», dédié à la lutte contre la cybercriminalité.
Les algorithmes de X seraient «susceptibles d’avoir faussé le fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données», a précisé le parquet, ajoutant que «les magistrats et assistants spécialisés de la section de lutte contre la cybercriminalité qui ont été saisis l’analysent et procèdent aux premières vérifications techniques».
PLUSIEURS ENQUÊTES OUVERTES DEPUIS DES MOIS
Depuis son rachat par Elon Musk, le réseau social enchaîne les accusations. En novembre 2024, Reporters sans frontières avait annoncé porter plainte. L’organisation lui reprochait d’avoir laissé en ligne des messages de propagande russe. En décembre dernier, le parquet de Paris avait indiqué qu'un juge d'instruction enquêtait depuis plusieurs mois sur des accusations pour complicité de harcèlement moral aggravé sur Magali Berdah.
Lire la suite : https://www.cnews.fr/france/2025-02-07/suspicion-dalgorithmes-biaises-le-reseau-social-x-vise-par-une-enquete-du-parquet
Identité
Comment le portefeuille d’identité numérique de l’UE pourrait transformer le paysage du paiement
forbes.fr - par Une contribution de Mathieu Péré, Directeur Paiement chez Tink
Publié le 02 février 2025
D’ici novembre 2026, tous les gouvernements de l’Union européenne devront être en mesure de proposer à leurs citoyens des portefeuilles d’identité numérique certifiés. Ces solutions, au-delà de leur rôle central dans l’identification en ligne, ouvriront la voie à une révolution dans plusieurs secteurs, notamment celui des paiements. Ce dispositif, bien que novateur, pourrait considérablement transformer l’expérience utilisateur en matière de paiements de compte à compte. Retour sur les défis que cette réglementation soulève et sur son impact potentiel sur l’écosystème des paiements.
Répondre aux nouveaux besoins du numérique
eIDAS 2.0 : c’est ainsi que se nomme cette nouvelle réglementation européenne, qui devrait transformer le secteur financier européen. En novembre 2026, chaque État membre de l’Union devra proposer au moins une solution de portefeuille d’identité numérique certifiée, permettant aux citoyens et aux entreprises de stocker de manière sécurisée leurs documents personnels. Cette solution offrira également un accès simplifié à divers services d’identification dans des contextes variés, comme la signature de contrats ou l’obtention de prêts, sans avoir à envoyer de justificatifs physiques.
Lire la suite : https://www.forbes.fr/finance/comment-le-portefeuille-didentite-numerique-de-lue-pourrait-transformer-le-paysage-du-paiement/
Paiement électronique
Le Royaume-Uni veut supprimer le plafond du paiement « sans contact » : la France pourrait-elle l’imiter ?
bfmtv.com - par Paul Louis
Publié le 02 février 2025
Le Royaume-Uni envisage de supprimer son plafond de paiement "sans contact" pour soutenir la croissance. En France, les règles en la matière sont encadrées par l'Union européenne.
Les consommateurs britanniques pourront-ils bientôt utiliser le paiement "sans contact" de manière illimitée? C'est en tout cas le souhait de la Financial Conduct Authority, le régulateur du secteur financier outre-Manche, qui préconise la suppression du plafond limitant à 100 livres le paiement "sans contact" afin de soutenir la croissance économique.
En France, ce même plafond a été relevé à plusieurs reprises pour passer de 20 à 30 euros en 2017, puis de 30 à 50 euros en 2020. Depuis, son niveau n'a pas bougé. Et il est peu probable qu'il évolue prochainement. Notamment parce que c'est "la règlementation européenne PSD2 qui fixe le plafond de 50 euros", rappelle Loÿs Moulin, directeur Projets et Marketing au sein du Groupement Cartes Bancaires CB.
Cette directive autorise plus précisément les États membres à déterminer leur propre plafond de paiement "sans contact" à condition qu'il ne dépasse pas cette limite maximale de 50 euros. Dit autrement: la France ne peut pas aller au-delà du seuil actuellement en vigueur sans changement de la règlementation européenne.
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La Poste modernise son système de paiement avec Apple Pay
frandroid.com - Source La Poste
Publié le 03 février 2025
Le service en ligne LaPoste.fr met à jour ses systèmes de paiement en y intégrant le service d’Apple pour régler certains services.
Aujourd’hui, il est tout à fait possible de laisser sa carte bancaire chez soi et de régler ses achats uniquement avec son smartphone. Ces dernières années, le paiement mobile s’est largement démocratisé avec l’arrivée de solutions comme Apple Pay, Google Wallet ou encore Samsung Pay. Ces services reposent sur la technologie NFC intégrée aux smartphones, offrant un mode de paiement rapide et sécurisé. Aujourd’hui, c’est le site LaPoste.fr qui se met à jour et qui offre sur son site la solution de paiement Apple Pay, rapporte iGeneration.
Un paiement dans l’air du temps
Pour utiliser ce service, il faudra posséder un appareil iOS compatible avec Apple Pay. Dans sa FAQ, La Poste précise que cette option permettra d’acheter les produits suivants : Produits Physiques (timbres et emballages), Timbre digital, la vignette recommandée en ligne, le timbre en ligne, Colissimo.
Lors du règlement, les utilisateurs auront le choix entre leur carte bancaire, PayPal ou Apple Pay. Il suffira alors de sélectionner Apple Pay et de valider l’achat via Face ID ou Touch ID.
Lire la suite : https://www.frandroid.com/marques/apple/2492266_la-poste-modernise-son-systeme-de-paiement-avec-apple-pay
Intelligence artificielle
Macron veut faire de la France un "leader" de l'IA, son ambitieux projet dévoilé
l’internaute.com - La Rédaction
Publié le 07 février 2025
Dans une interview accordée à la presse régionale ce vendredi, Emmanuel Macron dresse le projet d'une France ultra ambitieuse en matière d'intelligence artificielle. Il souhaite faire de l'Hexagone le "leader" européen de l'IA.
Emmanuel Macron accordera une interview exclusive à France 2, dimanche 9 janvier 2025 pendant laquelle il devrait évoquer les grands enjeux de l'IA pour la France et le monde dans un "format inédit". Mais le chef de l'Etat a décidé de surprendre tout son monde avec une première interview, dès ce vendredi 7 janvier, accordée à plusieurs journaux de la presse quotidienne régionale, dont Le Parisien, à l'occasion du Sommet mondial de l'intelligence artificielle en cours à Paris. Ambitieux, grave et parfois euphorique, il dresse les contours du projet de la France pour faire partie des grandes puissances de l'IA à l'avenir.
Une "bataille d'indépendance" contre les Etats-Unis et la Chine
Alors qu'un rythme infernal est imposé par les deux cadors de la tech en matière d'intelligence artificielle - les Etats-Unis et la Chine - Emmanuel Macron entend bien leur emboiter le pas et ne surtout pas passer à côté de "la révolution" de l'IA, sans quoi, la France pourrait tout simplement "perdre le contrôle", selon les mots du président. Pour lui, il ne s'agit pas seulement de développement et de technologique au sens premier du terme, mais plutôt d'une "bataille d'indépendance". "Si l'Europe se saisit de ce sujet, simplifie, accélère, elle a une carte à jouer" face aux monstres du secteur. "Aujourd'hui, tout est possible si nous avons une stratégie et un vrai réveil", lance-t-il.
Lire la suite : https://www.linternaute.com/actualite/politique/7267042-macron-veut-faire-de-la-france-un-leader-de-l-ia-son-ambitieux-projet-devoile/
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Intelligence artificielle : les premières pistes de François Bayrou pour maintenir la France dans la course
lemonde.fr - Par Vincent Fagot
Publié le 6 février 2025
Le chef du gouvernement annonce notamment la mise à disposition de 35 sites pour installer en France de nouveaux data centers, indispensables aux entreprises de l’IA.
En amont du sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA) qui se tiendra lundi 10 et mardi 11 février, et doit réunir chefs d’Etat, de gouvernement et grands acteurs du secteur, le premier ministre, François Bayrou, a dévoilé, jeudi 6 février, de nouvelles mesures pour maintenir la France dans la course au développement de cette technologie d’avenir.
Ces annonces correspondent à la troisième phase de la stratégie nationale pour l’IA qui a déjà mobilisé 3,3 milliards d’euros depuis 2018. Parmi les principales figure le recensement de 35 sites clés en main prêts à accueillir dans des délais rapides les data centers indispensables à cette technologie mais confrontés à des problèmes de disponibilité du foncier, de puissance énergétique disponible et d’« acceptabilité » du projet, note Matignon. Quelque 1 200 hectares sont ainsi disponibles selon le gouvernement.
La France annonce une rallonge de 400 millions d’euros pour l’année 2025. Un montant bien inférieur aux 500 milliards de dollars (482 milliards d’euros) du projet Stargate sur cinq ans aux Etats-Unis annoncés par trois entreprises sous l’égide du président Donald Trump, mais il s’agit d’argent public, note Matignon. Il sera complété par des soutiens européens et des investissements d’entreprises étrangères en France, notamment dans les data centers. Un budget de 360 millions d’euros est également prévu pour former à court terme 100 000 professionnels par an à ces technologies. Des mesures seront prises pour faciliter la venue en France des talents étrangers.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/02/06/intelligence-artificielle-les-premieres-pistes-de-francois-bayrou-pour-maintenir-la-france-dans-la-course_6534119_3234.html
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La France se dote d’un Institut national pour l’évaluation et la sécurité de l’intelligence artificielle (INESIA)
economie.gouv.fr - Communiqué
Publié le 03 février 2025
Avec la création d’un Institut national pour l’évaluation et la sécurité de l’intelligence artificielle (INESIA), l’État matérialise son engagement en faveur d’un développement maîtrisé de l’IA dans un cadre de confiance et de sécurité. Présentation.
La création de ce nouvel institut fait suite aux priorités établies en mai 2024 par la Déclaration de Séoul pour une IA sûre, novatrice et inclusive, dont la France est signataire. À quelques jours du Sommet pour l’action sur l’IA qui se tiendra à Paris les 10 et 11 février, la France rejoint ainsi le réseau international des instituts de sécurité de l'IA (AI Safety Institutes).
Quel rôle pour l’INESIA ?
Cet institut a pour mission de fédérer, sans création de nouvelle structure juridique, les acteurs nationaux de l’évaluation et de la sécurité, et tout particulièrement :
L’État, dans sa volonté de soutenir le développement de l’intelligence artificielle et d’accompagner la transformation de l’économie qu’elle induit, contribue à étudier scientifiquement l’ensemble des effets de cette technologie, y compris en termes de sécurité.
Le travail de l’INESIA portera ainsi sur :
Lire la suite : https://www.economie.gouv.fr/actualites/la-france-se-dote-dun-institut-national-pour-levaluation-et-la-securite-de-lintelligence
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IA : 30 projets concrets au service du quotidien
info.gouv.fr - Communiqué
Publié 7 février 2025
Le Gouvernement présente trente projets, financés par France 2030, mettant l’intelligence artificielle (IA) au service de la santé, de l’agriculture ou encore de l’éducation, entre autres, pour rendre nos vies meilleures.
L’intelligence artificielle (IA) est une priorité stratégique pour la France, qui joue un rôle de premier plan dans la construction d’une utilisation « à la française » - éthique, engagé et responsable - de cette technologie en plein essor.
Pour la France, l’IA n’est pas une fin en soi, mais un levier d’attractivité et un moyen d’atteindre des objectifs sociétaux majeurs au service du bien commun et porteur de nos valeurs.
En amont du Sommet pour l'action sur l'IA, qui réunira experts et décideurs du monde entier les 10 et 11 février 2025 à Paris, le Gouvernement donne un coup de projecteur sur trente projets financés par le plan d’investissement France 2030.
Rassemblés dans un recueil intitulé « L’intelligence artificielle au service de nos quotidiens », tous sont concrètement au service du mieux vivre, mieux produire ou mieux comprendre le monde, illustrant le potentiel transformationnel positif de cette technologie.
L’IA au service du mieux vivre
Lire la suite : https://www.info.gouv.fr/actualite/ia-30-projets-concrets-au-service-du-quotidien
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Comment Thales place l’IA au cœur de la sécurité et de la durabilité
alliance.fr - par Brittany Kesraoui
publié le 4 février 2025
Avec son accélérateur cortAIx, Thales mise sur une IA fiable et sécurisée pour répondre aux défis de secteurs variés tels que la défense, l’aéronautique, la cybersécurité et la sécurité intérieure. Voici un panorama des avancées développées par le groupe.
Le Sommet de l’action pour l’IA (qui aura lieu les 10 et 11 février à Paris) est « un événement remarquable qui met en lumière le rôle important que joue la France et l’Europe dans ce domaine, bien plus vaste que la seule IA générative. » Avec ces mots, Patrice Caine, président et directeur général de Thales, souligne également le potentiel énorme pour son entreprise, spécialiste de l’électronique pour les secteurs de l’aérospatial, de la défense, de la sécurité et des transports. En ouverture d’une matinée consacrée à la présentation de l’accélérateur de projets IA du groupe, nommé cortAIx, le dirigeant a aussi rappelé que l’intelligence artificielle doit répondre à des enjeux sociétaux et stratégiques liés à la défense, qui vont au-delà de son usage quotidien par le grand public. En ce sens, Thales collabore notamment avec les forces armées françaises pour développer des équipements adaptés aux menaces actuelles et améliorer les capacités des militaires et de leurs centres de commandement. Avec cortAIx, l’entreprise propose un véritable tour d’horizon des nouvelles capacités amenées par l’IA sur tous les théâtres d’opérations.
L’IA pour une meilleure défense sur terre…
Lire la suite : https://www.alliancy.fr/comment-thales-place-lia-au-coeur-de-la-securite-et-de-la-durabilite
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France Travail conclut un partenariat avec Mistral AI sur l'intelligence artificielle générative
francetvinfo.fr - Article rédigé par franceinfo avec AFP
Publié le 4 février 2025
Des dispositifs déjà expérimentés depuis plusieurs mois doivent notamment permettre d'assister les conseillers dans leurs échanges avec les candidats à des offres d'emploi.
Un nouveau job pour Mistral AI. La start-up française spécialisée dans l'intelligence artificielle générative a conclu un partenariat avec France Travail, a annoncé, mardi 4 février, l'agence gouvernementale chargée d'accompagner les demandeurs d'emploi (ex-Pôle emploi). Cette dernière va utiliser un robot conversationnel, ChatFT, principalement utilisé pour l'assistance à la rédaction, et une intelligence artificielle, MatchFT, destinée à assister les conseillers dans leurs échanges avec les candidats à des offres d'emploi.
Le dispositif MatchFT permet notamment de contacter par SMS "les candidats présélectionnés sur une offre afin de les questionner sur leur intérêt pour l'offre, et les éventuels prérequis (accès au lieu de travail, disponibilité, intérêt et capacité à réaliser les tâches prévues)", souligne France Travail. MatchFT était déjà expérimenté depuis plusieurs mois dans 87 agences, tandis que le robot conversationnel ChatFT était lui testé par 23 000 professionnels, selon l'agence.
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IA ACT : voici ce qu’il faut savoir sur ce nouveau règlement qui entre en vigueur dans l’UE ce dimanche
cnews.fr - par Cnews
Publié le 02 février 2025
Le règlement européen sur l’IA, ou IA Act, entrera en vigueur ce dimanche. Il constitue la toute première législation générale au monde sur l’intelligence artificielle et a de nombreux objectifs. Voici ce qu’il faut savoir sur ce règlement inédit.
La recherche sur l’intelligence artificielle avance vite. Le règlement européen sur l’IA (RIA) est une législation inédite, qui vise à encadrer son développement, son utilisation et la mise sur le marché de systèmes qui l'utilisent.
Le but de ce règlement est avant tout de minimiser les risques pour la sécurité, la santé et les droits fondamentaux que cet outil technologique peut engendrer. Il encadre également une nouvelle catégorie de modèle IA : ceux dit à «usage général». Ces modèles se définissent par leur capacité à servir à un grand nombre de tâches, tel que le propose la société Open AI, à titre d’exemple.
Les différents niveaux de risques
L’IA Act, qui angle son approche sur les risques que présente l’intelligence artificielle, classe les systèmes de cette dernière en différents niveaux.
Lire la suite : https://www.cnews.fr/monde/2025-02-02/ia-act-voici-ce-quil-faut-savoir-sur-ce-nouveau-reglement-qui-entre-en-vigueur
Cybersécurité
Téléfónica Tech et IBM unissent leurs forces pour des solutions de cybersécurité quantique sécurisées
lesnews.ca - par Julien Macé
Publié le 1 février 2025
Telefónica Tech et IBM ont conclu un accord de collaboration visant à intégrer la technologie de sécurité quantique d’IBM dans les services de cybersécurité proposés par Telefónica. Cette initiative répond aux nouveaux risques posés par les ordinateurs quantiques capables de manipuler des données cryptographiques. L’objectif de ce partenariat est de développer des solutions pour protéger des données sensibles contre d’éventuelles menaces futures liées à la quantique, en s’appuyant sur les outils de cryptographie quantique sécurisés d’IBM, tels qu’IBM Guardium Quantum Safe, Quantum Safe Explorer et Quantum Safe Remediator. Grâce à ces technologies, les entreprises pourront identifier des vulnérabilités, gérer des clés de cryptage et s’adapter aux normes cryptographiques post-quantum définies par le National Institute of Standards and Technology (NIST) des États-Unis.
Dans le cadre de leur accord, l’infrastructure sécurisée quantique d’IBM, comprenant des systèmes IBM LinuxONE et des technologies de stockage, sera déployée au siège de Telefónica Tech à Madrid. Ce partenariat établit également un bureau d’utilisation conjointe pour se concentrer sur des domaines tels que le cryptage des communications, l’adaptation des algorithmes sécurisés et la protection des environnements critiques. Cette initiative souligne l’urgence pour les organisations de se préparer à l’impact de l’informatique quantique sur la cybersécurité, car les données collectées aujourd’hui pourraient être décryptées par des systèmes quantiques futurs.
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/telefonica-tech-et-ibm-unissent-leurs-forces-pour-des-solutions-de-cybersecurite-quantique-securisees/
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Cybersécurité : des entreprises plus résilientes face aux risques
itsocial.fr - Par Serge Escalé -
Publié le 07 février 2025
Le baromètre annuel du CESIN montre une stabilité dans le nombre d’attaques significatives en France et témoigne d’une maturité accrue des entreprises. Elles sont mieux équipées avec des solutions plus efficaces. L’IA est de plus en plus intégrée aux postures de cybersécurité.
Le rapport annuel du CESIN (Club des Experts de la Sécurité de l'Information et du Numérique) confirme d’autres indicateurs fiables sur la stabilité des attaques. Il s’agit des enquêtes des cyberassureurs comme celle de Howden au plan international ou celle de l’Amrae en France, indiquant tous les deux une baisse des sinistres.
En 2024, 47 % des entreprises interrogées déclarent avoir subi au moins une cyberattaque notable. Un nombre stable par rapport à 2023, témoin d’une maturité croissante des organisations, malgré une menace toujours présente. Pour rappel, cette stagnation fait suite à une baisse progressive entre 2019 et 2022 (de 65 % à 45 %).
L’impact des attaques s’intensifie
Lire la suite : https://itsocial.fr/cybersecurite/cybersecurite-articles/cybersecurite-des-entreprises-plus-resilientes-face-aux-risques/
Atos
Atos SE annonce des changements au sein de son conseil d'administration et de ses comités
zonebourse.com - © S&P Capital IQ - 2025
Publié le 31 janvier 2025
Atos SE, lors de son Assemblée Générale Mixte du 31 janvier 2025, a approuvé les nominations de Joanna Dziubak et Hildegard Müller en tant que nouveaux administrateurs. A l'issue de l'Assemblée Générale, le Conseil d'Administration a pris acte de la fin du mandat de Mandy Metten en tant que deuxième Administrateur représentant les salariés, le Conseil étant ramené à huit membres (hors Administrateur représentant les salariés), et de l'expiration des mandats d'Alain Crozier, Katrina Hopkins, Monika Maurer et Astrid Stange. Sur recommandation du Comité de nomination et de gouvernance, le Conseil d'administration a décidé de nommer Mandy Metten en tant que censeur du Conseil d'administration, avec effet à compter de ce jour, sous réserve de ratification par la prochaine Assemblée générale annuelle.
Thales
THALES ANNONCE DEUX NOMINATIONS AU CONSEIL D’ADMINISTRATION
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 05 février 2025
Le Conseil d’administration de Thales (Euronext Paris: HO), réuni le 4 février 2025, a coopté Valérie Guillemet, Directrice des Ressources Humaines et membre du Comité de Direction de Dassault Aviation, en qualité d’administratrice.
Sur proposition de Dassault Aviation, Valérie Guillemet devient administratrice de Thales en remplacement de Charles Edelstenne, qui a mis fin à son mandat le 9 janvier 2025. Elle exercera son mandat pour la durée restant à courir, soit jusqu'à l'issue de l'Assemblée générale ordinaire appelée à statuer sur les comptes de l'exercice 2025.
En outre, Eric Trappier succède à Charles Edelstenne en qualité de membre du Comité Stratégique & RSE et Valérie Guillemet succède à Eric Trappier en qualité de membre du Comité de la gouvernance et des rémunérations.
Enfin, à la suite de nouvelles désignations par les organisations syndicales des deux administrateurs représentant les salariés, Anne-Marie Hunot-Schmit est renouvelée en cette qualité et Stéphane Jubault succède à Nadine Relier-David, pour une durée de 4 ans à compter du 9 décembre 2024. Stéphane Jubault est nommé membre du Comité Stratégique & RSE et Anne-Marie Hunot-Schmit demeure membre du Comité d’audit et des Comptes et du Comité de la gouvernance et des rémunérations.
Valérie GUILLEMET
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace (Sup’aero), Valérie Guillemet débute sa carrière chez Dassault Aviation en 1988 en tant qu’ingénieur aérodynamicien puis ingénieur de synthèse aérodynamique au Bureau d’études.
Stéphane JUBAULT
Titulaire d’un baccalauréat technique et d’un Certificat de Qualification Paritaire de la Métallurgie (CQPM) BTS électronique, Stéphane Jubault débute sa carrière en 1986 comme technicien de maintenance puis dessinateur d’étude avant de devenir, en 1990, technicien de réparation d’instruments de planches de bord au sein de la Société Vendômoise d’Avionique, filiale de la division aéronautique de Thomson-CSF, basée à Vendôme. Il y exerce ensuite, à compter de 2007, des fonctions de technicien Méthode industrielle pendant plusieurs années, avant de prendre des responsabilités syndicales.
Lire le communiqué : https://www.thalesgroup.com/fr/group/investisseurs/press_release/thales-annonce-deux-nominations-conseil-dadministration
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THALES ALENIA SPACE SIGNE UN CONTRAT AVEC L’ESA POUR DÉVELOPPER ARGONAUT, UN FUTUR ATTERRISSEUR LUNAIRE AUTONOME ET POLYVALENT DESTINÉ AU TRANSPORT DE FRET VERS LA LUNE
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 30 janvier 2025
L’alunisseur sera capable de rejoindre la Lune et de s’y poser, garantissant à l’Europe un accès indépendant au satellite naturel de la Terre
Cannes, le 30 janvier 2025 - Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %), a signé un contrat avec l’Agence spatiale européenne (ESA) d’une valeur de 862 millions d’euros, portant sur la conception, le développement et la fourniture du module de descente LDE (Lunar Descent Element) pour la mission Argonaut de l’ESA, ainsi que sur la conception et l’intégration de la mission.
Prévu au lancement à partir de 2030, Argonaut vise à transporter des éléments de structure et des instruments scientifiques sur le sol sélène.
La première mission prévoie l’acheminement de charges utiles dédiées de navigation et de télécommunications, ainsi que d’un système de production et de stockage d’énergie pour permettre aux entreprises européennes d’explorer le pôle Sud de l’astre.
À propos d’Argonaut
Le véhicule Argonaut se compose de trois principaux éléments : le module de descente LDE pour le vol vers la Lune et l’alunissage, la plateforme de fret, qui est l’interface entre l’atterrisseur et la charge utile, et, enfin, l’élément que les concepteurs des missions souhaiteront envoyer sur la Lune.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/espace/press_release/thales-alenia-space-signe-contrat-lesa-developper-argonaut-futur
Mobilité
Choix du candidat retenu en qualité de nouvel exploitant des lignes d'équilibre du territoire Nantes-Bordeaux et Nantes-Lyon
écologie.oguv.fr - Communiqué de presse
Publié le 28 janvier 2025
En 2019, l’État, autorité organisatrice des trains d’équilibre du territoire (TET), a lancé la première procédure d’ouverture à la concurrence pour la fourniture de services de transport ferroviaire de voyageurs sur les lignes Nantes-Bordeaux et Nantes-Lyon, exploitées par SNCF Voyageurs sous le nom commercial « INTERCITÉS ».
Cette procédure, mettant en application pour la première fois la loi du 27 juin 2018 pour un nouveau pacte ferroviaire, n’avait pas pu, alors, aller à son terme en raison notamment du contexte économique lié à la crise sanitaire.
Cette procédure de mise en concurrence des lignes Nantes‑Bordeaux et Nantes‑Lyon a été relancée par la publication d’un avis de concession au Journal officiel de l’union européenne en septembre 2022, pour l’exploitation du lot à partir de décembre 2026 (service annuel 2027) pour une durée de dix ans.
Dans ce cadre, trois candidats ont été admis à déposer une offre : SNCF Voyageurs, RENFE et Le Train. Au terme de la procédure, qui a comporté plusieurs tours, ayant conduit chacun des candidats à améliorer significativement ses offres, et de leur analyse, l’État retient comme titulaire pressenti du marché la société SNCF Voyageurs.
Lire la suite : https://www.ecologie.gouv.fr/presse/choix-du-candidat-retenu-qualite-nouvel-exploitant-lignes-dequilibre-du-territoire-nantes
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MEDIATRANSPORTS remonte le réseau de bus de Nice
cbnews.fr - par Emmanuel Charonnat
Publié le 29 janvier 2024
La régie OOH Mediatransports annonce avoir remporté la consultation pour exploiter le réseau de transport urbain de la Métropole Nice Côte d’Azur, comptant un parc de plus de 200 bus (faces arrières et adhésivage), pour une durée de 6 ans. Mediatransports poursuivra ainsi l’exploitation du contrat en cours jusqu’à fin 2025, avec la commercialisation de 68 faces arrières et des vitrophanies latérales.
« L’exploitation de ces réseaux conforte la présence de Mediatransports dans le sud-est de la France, où les réseaux de transport en commun d’Aix-en-Provence, La Ciotat, Marseille, Nîmes et Vitrolles sont également exploités par la régie », souliggne un communiqué de Mediatransports.
Rappelons que l’agglomération Nice est la septième unité urbaine de France en termes de populations avec près d’un million d’habitants selon l’Insee.
Lire la suite : https://www.cbnews.fr/medias/image-chronologie-medias-disney-conclut-accord-avec-professionnels-90236
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Comment les données satellitaires peuvent favoriser les solutions pour les Smart Cities
journaldunet.com - Chronique d'Henri De Grossouvre Alcinos
Publié le 31 janvier 2025
Les villes intelligentes, ou smart cities, représentent une vision ambitieuse pour l'avenir urbain, où la technologie joue un rôle central dans l'optimisation des ressources.
Parmi les outils technologiques qui favorisent la transformation des smart cities, les données satellitaires émergent comme une source précieuse d'informations. Initialement utilisées pour des applications militaires, ces données sont désormais exploitées par les collectivités pour analyser l'évolution territoriale, détecter les changements et optimiser les services urbains.
La puissance des données satellitaires
Les données satellitaires offrent plusieurs avantages significatifs pour les villes intelligentes. Premièrement, elles permettent une surveillance globale et continue du territoire, ce qui est particulièrement utile pour suivre les mouvements du sol, détecter les changements environnementaux et surveiller les infrastructures urbaines. Par exemple, la technologie d'interférométrie radar développée par des entreprises comme TRE Altamira permet de mesurer les déplacements du sol avec une grande précision, aidant ainsi à prévenir les risques d'effondrement lors de travaux souterrains.
Deuxièmement, l'intégration de l'intelligence artificielle (IA) avec les données satellitaires améliore considérablement leur analyse. L'IA permet de traiter automatiquement les vastes quantités de données collectées, réduisant ainsi le coût et le temps nécessaire pour leur analyse manuelle. Cela permet aux villes de prendre des décisions éclairées plus rapidement et avec une meilleure précision.
Applications innovantes dans les smart cities
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La mobilité glisse d’Audrey Gatian à Marie Batoux
lamarseillaise.fr - par CHRISTOPHE CASANOVA / MARSEILLE
Publié le 29 janvier 2025
Adjointe en charge de l’éducation populaire, Marie Batoux récupère la délégation à la mobilité, entre les mains d’Audrey Gatian depuis 2020. Celle-ci conserve la politique de la ville.
Une mise à jour des délégations des adjoints au maire de Marseille est à l’œuvre. « Dans la foulée de l’élection de Laurent Lhardit », assure-t-on dans les couloirs de l’hôtel de Ville. Après l’élection du député socialiste, Éric Semerdjian (innovation sociale, coproduction de l’action publique) avait récupéré ses délégations à l’emploi et l’insertion, et Jean-Pierre Cochet (sécurité civile, gestion des risques) celles au tourisme durable et à l’économie.
Ces changements sont confirmés dans une liste d’arrêtés signés le 27 janvier par Benoît Payan. Une autre devrait suivre une fois la situation de Marguerite Pasquini (DVG) et Roland Cazzola (DVG), condamnés dans l’affaire des procurations des 15-16 et priés de rendre leur délégation, stabilisée. De nouveaux ajustements dans l’exécutif en découleront.
Mais d’ici là, treize arrêtés signés lundi, laissent apparaître des changements d’importance. Le principal concerne Marie Batoux. L’élue (DVG) des 1-7 jusqu’ici chargée de l’éducation populaire (activités périscolaires, centres aérés, maison pour tous), récupère la mobilité entre les mains d’Audrey Gatian (PS). Et avec, quelques dossiers sensibles dont la voirie, le stationnement, les transports urbains, la circulation et les relations avec la RTM.
Lire la suite : https://www.lamarseillaise.fr/politique/la-mobilite-glisse-d-audrey-gatian-a-marie-batoux-KK17488075
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En Île-de-France, la carte Liberté+ attire 10.000 nouveaux abonnés par jour
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié le 29 janvier 2025
Liberté+ compte désormais 800.000 abonnés, selon l’autorité organisatrice des transports en Île-de-France.
De plus en plus de Franciliens s'équipent de la carte Liberté+, un des symboles du big bang tarifaire lancé en début d'année dans les transports publics de la région parisienne, a indiqué mercredi l'autorité organisatrice des transports Île-de-France Mobilités (IDFM). Liberté+ compte désormais 800.000 abonnés, avec 10.000 nouveaux abonnements par jour, selon IDFM. «Vu l’ampleur de la réforme, ça se passe bien dans les stations. Elle est plutôt bien accueillie par les Franciliens, un peu moins par les touristes qui doivent acheter le passe Navigo Easy», a déclaré le directeur général d’IDFM, Laurent Probst.
Depuis le 1er janvier, le ticket est passé à un tarif unique de 2,50 euros dans toute l'Île-de-France pour le métro, le train ou le RER, et 2 euros pour le bus et le tramway. Il est donc plus cher pour les Parisiens, mais permet des économies pour tous les autres Franciliens. Pour remplacer les carnets de tickets, les Franciliens qui n'ont pas d'abonnement mensuel ou annuel peuvent désormais prendre la carte de post-paiement Liberté+. Elle permet d'acheter des billets moins cher (1,99 euro pour le métro, train et RER) et d'effectuer gratuitement des correspondances entre bus, métro ou RER
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/conjoncture/en-ile-de-france-la-carte-liberte-attire-10-000-nouveaux-abonnes-par-jour-20250129
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Google Wallet simplifie le transfert des titres de transport d'un appareil à un autre
commentcamarche.net - par Maurine Briantais
Publié le 29 janvier 2025
Bonne nouvelle ! Le portefeuille numérique Google Wallet simplifie le processus de transfert des titres de transport d'un appareil à un autre. Plus besoin de les supprimer puis de les rajouter manuellement un par un !
Le portefeuille numérique Google Wallet est très pratique, puisqu'il permet d'enregistrer des moyens de paiement, des titres de transport ou des billets d'entrée sous forme numérique dans son téléphone. Prochainement, il pourra également stocker une copie virtuelle d'autres types de documents, tels qu'une carte d'identité, un permis de conduire, une carte de fidélité ou d'abonnement – il prend déjà en charge les passeports pour certains vols intérieurs des États-Unis. Autant dire que l'application peut vite devenir un élément indispensable du quotidien et, au même titre qu'un portefeuille physique, contenir tout un joyeux bazar – mais un bazar organisé !
Aussi, le moment où l'on change de mobile est particulièrement douloureux, puisque cela signifie qu'il faut transférer tout le contenu de Google Wallet d'un appareil à un autre. Si certains documents, comme les cartes d'embarquement ou de fidélité, sont liés à votre compte Google et sont récupérés automatiquement, ce n'est pas le cas de tous. Heureusement, l'entreprise s'attaque au problème et rend le processus beaucoup plus facile.
Google Wallet : comment transférer des titres de transport vers un nouvel app
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Et si la mobilité de demain devenait une expérience unique et fluide grâce à l'IA ?
journaldunet.com - Chronique d'Axel Mery Matawan
Publié le 29 janvier 2025
En plaçant l'IA au cœur de ces systèmes, une nouvelle ère s'ouvre où la technologie orchestre chaque déplacement avec précision et anticipation.
Les déplacements, bien souvent perçus comme une contrainte, pourraient se transformer en une expérience fluide, intuitive, et parfaitement adaptée à chacun. C’est le futur que dessine une mobilité urbaine repensée, où les trajets ne sont plus seulement des moyens de transport, mais des services personnalisés et éco-responsables. En plaçant l’intelligence artificielle au cœur de ces systèmes, une nouvelle ère s’ouvre où la technologie orchestre chaque déplacement avec précision et anticipation.
L’IA : chef d’orchestre de la mobilité
L’intelligence artificielle va permettre de proposer des services proactifs capables d’anticiper les besoins des usagers, de proposer des solutions en temps réel et de gérer les aléas pour garantir une continuité de service inédite. Imaginez une IA qui connaîtrait vos habitudes de déplacement, qui vous proposerait des trajets optimisés sans que vous ayez à planifier quoi que ce soit. Proactive, elle anticiperait les incidents avant qu’ils n’affectent les usagers, rouvrirait automatiquement les lignes une fois les incidents clos et trouverait des solutions de remplacement pour garantir la continuité du service tout en gérant les ressources disponibles, comme les bus ou vélos, avec une efficacité sans précédent.
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La création d'un versement mobilité régional, l'un des innombrables enjeux de la commission mixte paritaire
maire-info.com - Par Franck Lemarc
Publié le 30 janvier 2025
En novembre, le Sénat avait introduit dans le projet de budget un versement transport élargi aux régions, répondant à une très ancienne revendication de Régions de France. Cette disposition va-t-elle survivre à la commission mixte paritaire qui se tient ce soir, contre l'avis de France urbaine, d'Intercommunalités de France et du Medef ?
Lors des débats au Sénat qui ont précédé le renversement du gouvernement Barnier, deux amendements avaient été adoptés autour du versement mobilité (VM) : l’un pour augmenter son plafond, l’autre pour l’étendre aux régions.
Le versement mobilité
Pour mémoire, le versement mobilité (ex-versement transport), instauré par la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019 est une taxe versée par les entreprises employant 11 salariés et plus dans un certain nombre de territoires : l’ensemble de la région Île-de-France, les communes ou communautés urbaines de plus de 10 000 habitants, dans les métropoles, et enfin dans les EPCI de plus de 10 000 habitants « compétents pour l’organisation de la mobilité ». Dans ces derniers, la perception du VM est conditionnée à l’organisation d’au moins un service de transport public régulier.
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Circulation, stationnement, et autres expérimentations en ville : plein phare sur la mobilité urbaine en 2025 !
journaldunet.com - Chronique d'Olivier Koch EasyPark
Tandis que la possession de véhicules individuels par foyer est devenue la norme, la congestion urbaine face aux défis de mobilité de demain devient un problème majeur.
« Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo ». Depuis mars 2024, la loi d’orientation des mobilités impose aux constructeurs automobiles d’inclure ce type de mention dans leurs communications (sous peine d’amendes) afin de promouvoir les modes de transport alternatifs. Derrière ce paradoxe se cache un objectif clair : mettre en lumière les enjeux environnementaux. Les villes, confrontées à ces préoccupations écologiques, doivent se réinventer, et cela passe, notamment, par une révision de l’usage de la voiture. En France, le parc automobile particulier est estimé à près de 39 millions de véhicules, un chiffre en constante augmentation. Tandis que la possession de véhicules individuels par foyer est devenue la norme, la congestion urbaine face aux défis de mobilité de demain devient un problème majeur. L’État met en place de nombreuses initiatives pour inciter les Français à réduire l’empreinte carbone de leurs déplacements. Entre problématiques écologiques, encadrement du stationnement et tarification différenciée, comment s’y retrouver en 2025 ?
Circulation et stationnement en ville : un encadrement strict
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Appel à projets – Soutien aux dispositifs de mobilité solidaire et durable pour 2025
ile-et-vilaine.fr - Communiqué
Publié le 1 février 2025
Crues et inondations : carte des routes départementales fermées à la circulation
L’appel à projet lancé par le Département d’Ille-et-Vilaine concerne le soutien aux dispositifs de mobilité solidaire et durable pour 2025.
Calendrier
La période de candidature est fixée du 3 février au 3 avril 2025.
Qu'est-ce que l'appel à projet ?
Le Département gère une enveloppe de fonds social européen et à ce titre publie un appel à projets pour financer les dispositifs de mobilité solidaire et durable se déroulant sur la période du 1er janvier au 31 décembre 2025.
Qui peut candidater à cet appel à projet ?
Toutes les structures privées ou publiques externes au Conseil Départemental d’Ille et Vilaine peuvent candidater.
Les projets présentés en consortium ne sont pas éligibles.
Comment répondre à cet appel à projet ?
Lire la suite : https://www.ille-et-vilaine.fr/les-aides-du-departement/appel-projets-soutien-aux-dispositifs-de-mobilite-solidaire-et-durable
Budget Métropole
Appel à projets – Soutien aux dispositifs de mobilité solidaire et durable pour 2025
ile-et-vilaine.fr - Communiqué
Publié le 1 février 2025
Crues et inondations : carte des routes départementales fermées à la circulation
L’appel à projet lancé par le Département d’Ille-et-Vilaine concerne le soutien aux dispositifs de mobilité solidaire et durable pour 2025. Le soutien aux services publics de proximité et à la transition écologique et sociale restent les priorités du projet métropolitain.
Le budget 2025 de Rennes Métropole s'élève à 1 094 millions d'euros. 565,2 millions d'euros sont destinés aux dépenses de fonctionnement et 528,5 millions d'euros à ses investissements.
Ce budget progresse de 14 millions d'euros par rapport à 2024. Cette évolution s'explique essentiellement par la dynamique des dépenses de fonctionnement dans le domaine des transports urbains, de l'élimination des déchets et de l'assainissement. Elle est en partie compensée par la maîtrise des dépenses de fonctionnement sur le budget principal, dans un contexte de ralentissement important des recettes.
Le budget dit "consolidé" de Rennes Métropole comprend plusieurs budgets distincts, dont le budget principal, celui des transports urbains et celui de la valorisation des déchets sont les plus importants.
Un niveau ambitieux d'investissement
En 2025, la Métropole poursuit ses efforts d'investissement en faveur des transitions écologiques, presque un demi-milliard d'investissement. Notamment dans le domaine des mobilités, de l'aménagement et de l'habitat :
116M€ pour renouveler les rames de métro ligne a, 6M€ pour développer les Trambus, 32M€ pour la fin de modernisation de l'usine de valorisation des déchets, 74M€ pour le foncier, construire et rénover les logements, 6m€ pour construire les réserves des musées….
Une évolution modérée des dépenses de fonctionnement
Lire la suite : https://metropole.rennes.fr/budget-2025-de-rennes-metropole-1-milliard-94-millions-deuros
Identité
La Mairie de Sarreguemines adhère à la certification de l'identité numérique
sarreguemines.fr - Communiqué
Publié le lundi 27 janvier 2025
Votre Mairie rejoint la démarche !
Depuis le 27 janvier, la Mairie de Sarreguemines est désormais habilitée à certifier votre identité numérique.
L'identité numérique, qu'est-ce que c'est ?
Ce sont vos données d’identité enregistrées dans votre téléphone portable.
Fini la photo ou le scan de votre carte d’identité pour en conserver une trace dans votre téléphone ! L’application mobile France Identité est un service de l’État qui permet d’enregistrer numériquement, de manière vérifiée et sécurisée, les données personnelles inscrites sur votre carte nationale d’identité électronique (CNIE).
Il est dorénavant possible d’enregistrer sur votre téléphone portable une version numérique de votre carte d’identité. Vous pouvez la certifier pour pouvoir par la suite réaliser des démarches en ligne en attestant votre identité sans plus devoir vous déplacer.
Il existe deux niveaux d’identité numérique
Votre identité numérique régalienne simple
Elle garantit que l’identité enregistrée sur votre téléphone portable correspond bien à l’identité inscrite sur votre carte nationale d’identité électronique. Elle vous permet :
Votre identité numérique régalienne certifiée
Lire la suite : https://www.sarreguemines.fr/articles/10-communique/1783-la-mairie-de-sarreguemines-adhere-a-la-certification-de-lidentite-numerique
Fonction Publique
Mobilité des agents publics vers le privé : le Conseil constitutionnel abroge certaines sanctions, jugées contraires à la Constitution
maire-info.com - par Franck Lemarc
Édition du lundi 27 janvier 2025
Le Conseil constitutionnel s'est prononcé vendredi 24 janvier sur un point de droit concernant la mobilité des agents publics vers le privé et, chose somme toute assez rare, a déclaré contraires à la Constitution certaines dispositions d'un article du Code général de la fonction publique. Explications.
Par Franck Lemarc
La question prioritaire de constitutionnalité (QPC) sur laquelle les Sages se sont prononcés la semaine dernière concerne l’article L124-20 du Code de la fonction publique, créé par une ordonnance du gouvernement du 24 novembre 2021.
Ces dispositions touchent à la saisine de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATCP) lorsqu’un agent public souhaite créer ou reprendre une entreprise ou cesser ses fonctions pour entreprendre « une activité lucrative » dans le privé. Cette saisine est obligatoire dans les trois versants de la fonction publique, pour un certain nombre d’agents. Dans la fonction publique territoriale, cela peut par exemple concerner les membres des cabinets des maires, dans les grandes collectivités, ou encore les directeurs généraux ou directeurs généraux des services.
Blockchain
Elon Musk propose l’utilisation de la blockchain pour réformer la gestion publique américaine
coinacademy.fr - par ALEX LEROUX
Publié le 27 janvier 2025
Elon Musk propose une réforme ambitieuse de la gestion publique américaine grâce à la blockchain, avec le soutien de l’administration Trump et un groupe de travail crypto.
1. Elon Musk, à la tête du DOGE, propose d’intégrer la blockchain dans la gestion publique pour optimiser les dépenses, sécuriser les données et améliorer les infrastructures.
2. La blockchain permettrait de garantir une transparence accrue, réduire les coûts administratifs et moderniser la gestion budgétaire grâce à un registre décentralisé.
3. L’administration Trump renforce son approche pro crypto avec un groupe de travail sur les actifs numériques, dirigé par David Sacks, pour moderniser la régulation.
Une initiative ambitieuse de blockchain pour la gestion gouvernementale
Elon Musk, récemment nommé à la tête du tout nouveau Department of Government Efficiency (DOGE) par le président Donald Trump, propose une réforme audacieuse en intégrant la technologie blockchain dans les opérations gouvernementales. Cette initiative vise à rationaliser la gestion des dépenses fédérales, sécuriser les données, faciliter les paiements et améliorer la gestion des infrastructures publiques. Ce projet reflète une volonté d’allier innovation technologique et efficience budgétaire.
La blockchain au service de l’efficacité publique
Lire la suite : https://coinacademy.fr/actu/elon-musk-propose-utilisation-blockchain-gestion-publique-americaine/
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Enregistrer les dépenses des gouvernements sur une blockchain ? Le fondateur de Binance lance le débat
journalducoin.com - par Ben Canton
Publié le 27 janvier 2027
Transparence et blockchain. Face à l’augmentation inexorable de la dette fédérale américaine et à celle de nombreux pays du monde, l’ex-patron de Binance fait une proposition plutôt audacieuse : enregistrer les dépenses de l’État sur la blockchain. L’idée de ralentir les dépenses de l’État fait d’ailleurs son chemin à Washington puisque Donald Trump a confié cette mission à son nouveau compagnon de route, un certain Elon Musk et à son D.O.G.E. Est-ce que la transparence totale des dépenses du gouvernement changerait quelque chose à l’affaire ? Pour Changpeng Zhao, ce serait un bon début.
Les points clés de cet article :
• Changpeng Zhao, ancien dirigeant de Binance, a proposé de suivre les dépenses publiques sur la blockchain pour plus de transparence.
• La dette mondiale a atteint des niveaux records, dépassant les 102 000 milliards de dollars et suscitant l’inquiétude des économistes.
Lire la suite : https://journalducoin.com/economie/enregistrer-depenses-gouvernements-blockchain-fondateur-binance-debat/
Euro numérique
La BCE Se Prépare au Lancement Potentiel de l’Euro Numérique Face à la Révolution Crypto de Trump
cryptoticker.io/fr - par Rudy Fares
Publié le 26 janvier 2024
Contrairement aux États-Unis qui interdisent les MNBC, la BCE envisage un euro numérique, une MNBC dirigée par l’État pour suivre la révolution crypto qui se dessine en 2025 sous l’ère Trump. Quel impact aurait ce lancement ?
Alors que l’écosystème financier mondial se tourne de plus en plus vers les actifs numériques, la Banque Centrale Européenne (BCE) accélère ses plans pour le lancement d’un euro numérique. Ce projet s’oppose directement à l’ordre exécutif du président américain Donald Trump, qui favorise les stablecoins privés. L’année 2025 s’annonce comme un moment charnière pour les cryptomonnaies, avec des évolutions politiques majeures aux États-Unis et en Europe, marquant le début d’une révolution crypto mondiale.
L’Ordre Exécutif Crypto de Trump : Stablecoins au Lieu des MNBC
Dans une décision historique, le président Trump a récemment signé un ordre exécutif interdisant à la Réserve Fédérale d’émettre sa propre monnaie numérique de banque centrale (MNBC). À la place, le gouvernement américain soutient le développement privé de stablecoins adossés au dollar, invoquant la nécessité d’innovation et de compétitivité mondiale.
La vision de Trump met en avant le rôle des États-Unis en tant que « capitale de la révolution crypto », en promouvant des stablecoins légaux et légitimes comme pilier de l’avenir financier.
Cette stratégie exploite la domination mondiale du dollar américain en encourageant les entreprises privées à innover dans le domaine des monnaies numériques, tout en évitant les complexités et risques potentiels d’une monnaie numérique contrôlée par l’État.
La Réaction de la BCE : Un Euro Numérique Émis par le Gouvernement
Lire la suite : https://cryptoticker.io/fr/bce-euro-numerique-vs-revolution-crypto-trump/
Paiement électronique
Le paiement numérique débarque sur X
lecourrierdesstrateges.fr - par Lalaina Andriamparany
Publié le 29 janvier 2025
Elon Musk franchit une nouvelle étape vers sa vision d’une « super application » intégrée sur X (ex-Twitter) en s’alliant avec Visa. Ce partenariat, annoncé par la PDG de X Linda Yaccarino, permettra aux utilisateurs de transférer des fonds, d’effectuer des paiements entre particuliers et de gérer un portefeuille numérique. Une avancée qui rapproche X du modèle de WeChat ,un moyen de paiement stratégique pour l’émancipation des cryptomonnaies.
Mardi, la directrice générale de X, Linda Yaccarino, a annoncé le début d’un partenariat avec Visa. On dirait que la vision d’Elon Musk de fournir aux utilisateurs de la plateforme de médias sociaux une solution de paiement numérique commence à prendre forme. Via ce partenariat, le milliardaire a franchi le premier cap du processus de mise en place du compte X Money.
Le partenariat stratégique de X et Visa
Elon Musk, l’un des hommes les plus fortunés du monde, a apporté de nombreux changements au sein de la plateforme X, depuis qu’il l’a acheté. Le milliardaire a toujours rêvé de fournir aux utilisateurs de X des portefeuilles numériques.
Lire la suite : https://lecourrierdesstrateges.fr/2025/01/29/le-paiement-numerique-debarque-sur-x/
Intelligence artificielle
DEEPSEEK a-t-il triché ? OpenAI affirme avoir des preuves que l’IA chinoise s’est appuyée illégalement sur son modèle.
bfmtv.com - Par Salomé Ferraris
Publié le 29 janvier 2024
Selon le créateur de ChatGPT, l'IA chinoise Deepseek se serait appuyé sur ses modèles d'algorithmes pour développer sa technologie à moindre coût. Une pratique interdite par les conditions d'utilisation de ChatGPT.
Le "ChatGPT chinois". C'est le surnom de Deepseek, une IA conçue par une start-up chinoise éponyme qui ne cesse de faire parler d'elle depuis quelques jours. Pour preuve, Deepseek est l’application gratuite la plus téléchargée sur le magasin d’applications d’Apple, supplantant ChatGPT.
Ce qui impressionne, ce sont ses capacités. Le nouveau modèle Deepseek R1 dévoilé ce week-end est capable de résoudre des problèmes complexes, en mathématiques ou en chimie par exemple. Des capacités équivalentes à celles des leaders américains du secteur, donc, obtenues à une fraction des coûts.
Une tricherie ?
Mais comme le rapporte le Financial Times, le chatbot est accusé de tricherie. OpenAI, son principal concurrent, aurait des preuves que Deepseek s'est appuyé sur ses modèles d'algorithme pour automatiser l'entraînement de son propre modèle open-source à moindre frais.
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Même sans GenAI, l’empreinte carbone des data centers flambe en France
znet.fr - PAR CHRISTOPHE AUFFRAY
Publié le 29 janvier 2025
46% de l’empreinte carbone du numérique en France proviennent des centres de données, d’après un nouveau chiffrage de l’Ademe ne tenant pas compte de l’effet GenAI. Et d’ici 2050, l’empreinte du numérique pourrait tripler.
Le président américain promeut le projet Stargate prévoyant un investissement de 500 milliards de dollars dans les infrastructures IA. Meta met lui sur la table 65 milliards de dollars pour doper ses datacenters.
En France également, le président Macron entend annoncer l’implantation de nouveaux centres de données sur le territoire à l’occasion du Sommet pour l’IA des 10 et 11 février.
Les infrastructures sont un composant clé de la lutte pour la suprématie en IA.
Un numérique à 4,4% des émissions et parti pour tripler
Mais quid des impacts environnementaux ? Ils sont relégués au second plan par les politiques, aux États-Unis comme en France. Pourtant, d’après des chiffres actualisés de l’Ademe, l’empreinte environnementale du numérique n’est nullement anodine.
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/meme-sans-genai-lempreinte-carbone-des-data-centers-flambe-en-france-405308.htm
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Face à OpenAI o1, le chinois DeepSeek dégaine son LLM R1
Prasanth Aby Thomas, ComputerWorld (adapté par Dominique Filippone)
publié le 24 Janvier 2025
La start-up chinoise DeepSeek a lancé son modèle R1 doté de raisonnement complexe. Disponible en open source, le LLM constitue une alternative attrayante et à coût maîtrisé face à la concurrence d'OpenAI.
Positionné - comme bien d'autres en ce moment - sur le bouillonnant marché de la GenAI, le chinois DeepSeek va de l'avant. La start-up a donc dévoilé R1, une version open source de son grand modèle de langage (LLM) capable de raisonnement complexe, comprenant 671 milliards de paramètres et revendiquant des performances supérieures à o1 d'OpenAI sur des critères clés. « DeepSeek-R1 atteint un score de 79,8 % Pass@1 sur AIME 2024, dépassant légèrement OpenAI-o1-1217 », a déclaré l'entreprise dans un document technique. « Sur MATH-500, il atteint un score impressionnant de 97,3 %, avec des performances équivalentes à celles d'OpenAI-o1-1217 et nettement supérieures à celles des autres LLM. Pour les tâches liées au codage, DeepSeek-R1 a obtenu une note Elo de 2 029 sur Codeforces et a surpassé 96,3 % des participants humains lors d'une compétition, a ajouté l'entreprise.
« Pour les tâches liées à l'ingénierie, DeepSeek-R1 est légèrement plus performant que DeepSeek-V3 [un autre modèle de l'entreprise], ce qui pourrait aider les développeurs dans des tâches réelles », a déclaré le fournisseur chinois. R1 est disponible sur la plateforme de développement IA Hugging Face sous licence MIT, permettant une utilisation commerciale sans restriction. L'entreprise propose également des versions de son modèle, allant de 1,5 milliard à 70 milliards de paramètres, la plus petite pouvant fonctionner sur un ordinateur portable. La version complète de R1, qui nécessite un matériel plus performant, est disponible via une API à des coûts jusqu'à 95 % inférieurs à ceux d'o1. En tant que modèle de raisonnement, R1 vérifie lui-même ses résultats, ce qui permet de réduire les erreurs courantes dans les autres modèles. Bien que plus lents, les modèles de raisonnement offrent une fiabilité accrue dans des domaines tels que la physique, les sciences et les mathématiques.
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Tendances et évolutions de l’industrie de l’intelligence artificielle, 2025-2033
lesnews.ca - par Faudel Tannouh
Publié le 27 janvier 2025
Le marché de l’ intelligence artificielle est en pleine expansion avec des prévisions de croissance impressionnantes au niveau mondial. Un rapport détaillé, intitulé “Global Report on the Artificial Intelligence Market by Solution, Technology, End-User, and Country with Company Analysis 2025-2033”, vient tout juste d’être inclus dans la collection de ResearchAndMarkets.com.
Selon les estimations, le marché de l’intelligence artificielle (IA) devrait atteindre 2,53 trillions de dollars d’ici 2033, à partir de 184,15 milliards de dollars en 2024. Cette progression époustouflante est attendue avec un taux de croissance annuel composé de 33,83 % entre 2025 et 2033. Parmi les facteurs de cette dynamique, on note l’essor de l’apprentissage automatique, l’adoption croissante dans divers secteurs, ainsi que la demande accrue en automatisation et en analyse de données dans le domaine de la santé, de la finance et de la fabrication.
Facteurs favorisant la croissance du marché de l’IA
Défis du marché de l’intelligence artificielle
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/tendances-et-evolutions-de-lindustrie-de-lintelligence-artificielle-2025-2033/
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L’intelligence artificielle : bâtir un rempart contre la fraude à l’identité numérique en Europe
siecledigital.fr - Par Krik Gunnig, CEO de Fourthline
Publié le 27 janvier 2025
L’année 2025 marque un tournant dans la gestion de l’identité numérique avec l’introduction du portefeuille européen eIDAS2. Cette avancée, qui promet de simplifier l’accès aux services numériques pour des millions de citoyens et entreprises, ouvre cependant la voie à une forte sophistication des fraudes à l’identité. Usurpation d’identités, falsification de documents et deepfakes biométriques sont autant de menaces que les institutions financières devront contrer. Dans ce contexte, l’intelligence artificielle (IA) apparaît comme une solution clé pour sécuriser ces nouvelles identités numériques, en respectant les exigences réglementaires européennes.
Une fraude toujours plus sophistiquée
La fraude à l’identité numérique est l’un des vecteurs les plus dangereux de la criminalité financière. Avec eIDAS2, les portefeuilles numériques centraliseront des données sensibles comme les documents d’identité, les licences et informations bancaires. Si ces innovations renforcent l’inclusion numérique, elles deviennent également des cibles de choix pour des cybercriminels toujours plus organisés. Les méthodes de fraude évoluent : deepfakes pour contourner la reconnaissance faciale, manipulations avancées de documents ou vols d’identifiants via des cyberattaques ciblées.
Lire la suite : https://siecledigital.fr/2025/01/27/lintelligence-artificielle-batir-un-rempart-contre-la-fraude-a-lidentite-numerique-en-europe/<
RGPD
RGPD : quelles nouveautés en 2025 ?
lesechos.fr - par Jennifer Mats
Publié le 27 janvier 2025
En 2025, le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) évolue pour renforcer la protection des données personnelles en réponse aux défis posés par l’intelligence artificielle et les applications mobiles. Ces nouvelles directives clarifient les responsabilités des entreprises et renforcent les droits des utilisateurs dans un contexte où la transparence est essentielle.
Quelles sont les nouvelles règles du RGPD ? Quels impacts pour les entreprises et comment garantir votre conformité ? Faisons le point.
Zoom sur le RGPD et les règles en vigueur en 2024
Le RGPD est un cadre légal européen qui vise à garantir la protection des données personnelles. En 2024, il imposait déjà certaines obligations telles que le consentement explicite, la notification des violations et la tenue d’un registre des traitements.
Définition et principes fondamentaux
Le RGPD a été mis en place au niveau européen pour garantir la protection des données personnelles des résidents de l’Union Européenne (UE). Entré en vigueur le 25 mai 2018, il s’applique à toutes les organisations, qu’elles soient publiques ou privées, manipulant des données personnelles, y compris celles situées hors de l’UE si leurs activités ciblent des citoyens européens.
Lire la suite : https://solutions.lesechos.fr/tech/data-stockage/rgpd-quelles-nouveautes-en-2025/
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DEEPSEEK: vos données sont-elles accessibles en Chine ?
bfmtv.com - par Kesso Diallo
Publié le 27 janvier 2025
L’entreprise à l’origine de l’IA Deepseek, qui rivalise avec ChatGPT, collecte plusieurs données sur ses utilisateurs.
Comme ChatGPT, Deepseek collecte certaines données de ses utilisateurs. Mais, à l’heure où Tiktok est accusé de partager ses données avec le gouvernement chinois, la question se pose de savoir ce qu’il en est avec cette IA chinoise qui surfe sur une vague de popularité soudaine.
Comme Deepseek l’indique dans sa politique de confidentialité, elle recueille plusieurs types de données, à commencer par celles fournies lors de la création du compte. Sont ainsi concernés le nom d’utilisateur, la date de naissance, l’adresse électronique, le numéro de téléphone et le mot de passe.
Données stockées en Chine
Deepseek peut également collecter des données partagées par l’utilisateur lors de conversations, comme les messages, des contenus audio, des fichiers qui lui sont envoyés ou encore l’historique de chat. À cela s’ajoutent des informations collectées automatiquement lors de l’utilisation. Cela inclut le modèle de l’appareil utilisé, l’adresse IP (numéro d’identification unique attribué à toute connexion internet, ndlr) ou encore "vos habitudes ou rythmes de frappe". Et, toutes ces données sont stockées en Chine.
Lire la suite : https://www.bfmtv.com/tech/actualites/donnees-personnelles/deepseek-vos-donnees-sont-elles-accessibles-en-chine_AN-202501270704.html
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Données personnelles : la justice européenne demande une surveillance accrue des pratiques de Meta
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié le 29 janvier
La justice européenne a intimé mercredi à l'autorité irlandaise de protection des données (DPC) d'être plus vigilante sur la collecte de données personnelles en Europe par le géant Meta, maison mère de Facebook, WhatsApp et Instagram. Le régulateur irlandais supervise pour le compte de l'UE le groupe Meta (anciennement Facebook) puisque ce dernier a son siège régional en Irlande. Mais le Comité européen de la protection des données (EDPB) peut exiger de rester l'autorité supérieure compétente dans certains cas.
À découvrir
PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech
Les deux parties étaient en conflit ces dernières années sur l'appréciation du respect par Meta du fameux «RGPD», le règlement général de protection des données qui encadre depuis 2018 le traitement de données sur tout le territoire de l'UE. Mercredi le Tribunal de l'UE, établi à Luxembourg, a apporté son soutien au régulateur européen, en déboutant la DPC qui contestait trois décisions de ce dernier. «L'EDPB peut donner des instructions contraignantes à l'autorité de contrôle principale (la DPC, NDLR) pour qu'elle mène des enquêtes plus approfondies et adopte de nouvelles décisions s'il y a des lacunes ou une analyse insuffisante dans la décision initiale», a écrit le tribunal dans un communiqué.
Une absence de consensus
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Certification RGPD des sous-traitants : la CNIL lance une consultation sur un projet de dispositif d'évaluation
cnil.fr - Communiqué
Publié le 30 janvier 2025
La certification permet aux professionnels de communiquer sur le niveau de protection des données de leurs produits, services, processus ou systèmes d’information. Pour élaborer un ensemble de critères adaptés aux sous-traitants, la CNIL ouvre une consultation publique jusqu’au 28 février 2025.
Faciliter la démonstration de la conformité au RGPD dans un contexte de traitement de données
Le sous-traitant et le responsable du traitement sont liés par certaines obligations en vertu du RGPD.
Les obligations du sous-traitant s'appliquent à toutes les organisations qui traitent des données personnelles pour le compte d'une autre organisation (le responsable du traitement) dans le cadre d'une prestation de services. Cela comprend :
De son côté, le responsable du traitement est tenu de recourir à des sous-traitants de confiance présentant des garanties suffisantes pour satisfaire aux exigences du RGPD (article 28 du RGPD) lorsqu’il décide de les engager pour traiter des données personnelles en son nom.
Lire la suite : https://www.cnil.fr/en/gdpr-certification-data-processors-cnil-launches-consultation-draft-evaluation-scheme
Cybersécurité
Une cybercriminalité toujours aussi virulente en France
lemondeinformatique.fr - par Dominique Filippone
Publié le 29 Janvier 2025
Présent sur la deuxième édition du salon Cyber Show Paris, le général Christophe Husson qui dirige le ComCyberMi a livré quelques tendances et indicateurs sur l'état de la cybermenace en France.
Les débuts d'année sont toujours un moment clé pour revenir sur les temps forts passés. Les acteurs de la cybersécurité ne dérogent pas à la règle et on ne compte plus les rapports et autres bilans, dont les derniers en date du Clusif et du Cesin. Sorti de terre fin 2023, le ComCyberMi (commandement du ministère de l’Intérieur dans le cyberespace) prévoit également de dresser un état des lieux de la cybecriminalité en France de l'année écoulée. Invité en ouverture de la 2e édition du salon Cyber Show Paris (29-30 janvier 2025), son commandant, le général Christophe Husson, a tenu à rappeler quelques faits saillants de 2023 issus du précédent rapport : près de 280 000 atteintes numériques dont 59 % portant sur des biens et 34,5 % sur des personnes.
Telegram pleinement coopératif pour identifier les cybercriminels
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-une-cybercriminalite-toujours-aussi-virulente-en-france-95909.html
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17Cyber : le nouvel outil en ligne pour aider les victimes de malveillance informatique
service-public.fr - par Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Publié le 29 janvier 2025
Vous pensez être victime d'un acte de malveillance en ligne (virus, hameçonnage, arnaque bancaire, sextorsion...) ? Le dispositif d'assistance 17Cyber est un outil de diagnostic en ligne qui vous permet d'obtenir une aide rapide à votre problème. Service-Public.fr vous explique.
En 2023, les forces de sécurité intérieure ont enregistré 278 703 infractions liées au numérique (atteintes numériques aux biens ou à la personne).
C'est dans ce contexte que le ministère de l'Intérieur a décidé de proposer un guichet unique pour les victimes d'infractions numériques : le 17Cyber. Ce nouveau service propose des conseils personnalisés et, si nécessaire, de contacter directement, via un tchat, un gendarme ou un policier.
Le 17Cyber pour qui ?
Équivalent numérique de l’appel 17, le 17Cyber est destiné à toutes les victimes d’infractions numériques : particuliers, entreprises et collectivités.
Le dispositif permet dès à présent aux victimes de cyberattaques de contacter les forces de gendarmerie ou de police pour obtenir une première réponse et donc une première aide à leur problème.
Pour les professionnels, les associations, les collectivités, des services de prévention et/ou de sécurisation face aux menaces numériques peuvent être mis en place.
Comment ça marche ?
Lire la suite : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A18024
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Cybersécurité : la transposition de la directive « NIS 2 » avance lentement mais sûrement
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Édition du mercredi 29 janvier 2025
En octobre dernier, le projet de loi de transposition de la directive européenne « NIS 2 » a été présenté en Conseil des ministres. Cette semaine, la ministre Clara Chappaz a présenté le texte au Sénat. Le retard s'accumule et de nombreuses questions restent sans réponse.
Une transposition complexe dans une situation politique instable. C’est le défi auquel tente de répondre le projet de loi relatif à la résilience des infrastructures critiques et au renforcement de la cybersécurité, présenté officiellement en octobre dernier et depuis en attente d’examen par le Parlement.
C’est sur ce sujet que Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique, a été interrogée mardi au Sénat par la commission spéciale résilience cybersécurité. L’occasion de rappeler pour la ministre l’importance de ce texte notamment pour les collectivités et de préciser la part que le gouvernement va prendre dans ce gigantesque chantier.
Les collectivités peuvent d’ores et déjà se préparer
Le projet de loi de transposition de la directive européenne « NIS 2 » a été présenté en Conseil des ministres début octobre (lire Maire info du 18 octobre). 1 489 collectivités territoriales et 992 communautés de communes métropolitaines et d'outre-mer devraient être concernées par ces nouvelles règles de cybersécurité. Concrètement, trois directives européennes vont être transposées via un projet de loi « visant à renforcer les dispositifs nationaux de sécurisation des activités d’importance vitale et de lutte contre les menaces cyber » , dont la directive NIS 2. Ce projet de loi ne sera sans doute pas examiné en séance publique au Sénat avant le mois de mars.
Atos
Les actionnaires d'Atos donnent leur feu vert à la mise en place d'une nouvelle gouvernance
lesechos.fr - Par AGEFI - Dow Jones
Publié le 31 janver 2025
PARIS (Agefi-Dow Jones)--Les actionnaires d'Atos ont approuvé vendredi la mise en place d'une nouvelle gouvernance au sein du groupe de services informatiques en validant notamment la cooptation de Philippe Salle en tant qu'administrateur.
Déjà président du conseil d'administration d'Atos depuis octobre dernier, Philippe Salle deviendra PDG de la société à partir de samedi.
Comme prévu, cette nouvelle prise de fonctions de Philippe Salle s'accompagnera du départ de Jean-Pierre Mustier de son poste de directeur général.
Réunis en assemblée générale mixte, les actionnaires d'Atos ont également approuvé vendredi la mise en oeuvre d'un regroupement des actions Atos, selon une parité qui ne pourra pas être supérieure à 10.000 actions anciennes pour une nouvelle.
Cette opération pourrait intervenir "d'ici fin avril" ou "début mai", a indiqué Philippe Salle vendredi, en réponse à la question d'une actionnaire.
Thales
THALES s’associe avec le département des services aux conducteur de l’Etat Américain de Géorgie pour améliorer l’expérience des citoyens.
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 29 janvier 2025
Les bornes d'enrôlement citoyen de Thales permettent au Département des services aux conducteurs de la Géorgie (DDS) de rendre les services plus accessibles aux citoyens et de réduire les temps d'attente dans leurs Centres de Services aux Clients (CSC).
Dans le cadre d'un partenariat avec le Département des services aux conducteurs de Géorgie (DDS), Thales a déployé avec succès des kiosques d'enregistrement citoyen conçus pour l'émission de titres dans les centres de services du DDS de Géorgie. Cette solution permet d’améliorer l'expérience de l’utilisateur et libérer le temps du personnel, apportant un nouveau niveau d'efficacité aux centres DDS à travers l'état.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-sassocie-le-departement-des-services-aux
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Pour les militaires, Thales conçoit une IA pas comme les autres
msn.com/fr - Article de AFP
Publié le 26 janvier 2025
Comment entraîne-t-on les algorithmes lorsque des vies humaines sont en jeu? Au sein de Thales, plus de 600 experts développent une intelligence artificielle pour les domaines de défense et de sécurité, avec des contraintes sans commune mesure avec l'IA grand public.
"Cet environnement critique nous amène des devoirs qui n'existent pas dans un environnement grand public. La contrainte est injectée dès la conception de l'algorithme d'IA qui ne peut pas fonctionner comme une boîte noire et où l'humain est absolument essentiel", explique à l'AFP Philippe Keryer, directeur stratégie, recherche et technologies de Thales, premier détenteur de brevets en IA des systèmes critiques en Europe.
Système de lutte anti-drones aériens éprouvé pendant les Jeux olympiques à Paris, capteurs intelligents pour détecter les mines sous-marines, pilotage d'essaims de drones, optimisation des trajectoires de vol ou prévention de la fraude d'identité: en amont du Sommet pour l’action sur l’IA, qui se tiendra à Paris les 10 et 11 février, Thales a ouvert cette semaine ses laboratoires de recherche à Palaiseau, en région parisienne.
L'impact de ces innovations est "énorme pour les enjeux de sécurité, de souveraineté et d'efficacité énergétique", souligne Patrice Caine, PDG de Thales, qui équipe 50 armées dans le monde et dont les systèmes gèrent 40% de l'espace aérien mondial.
- "Glaive et bouclier" -
"Nous avons la responsabilité de repenser en profondeur le fonctionnement de l'IA ainsi que des modèles d'apprentissage", relève Philippe Keryer.
Le nombre des données dans ces domaines sensibles étant limité, le groupe génère sur la base de son expertise des données synthétiques pour entraîner ses algorithmes.
Lire la suite : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/pour-les-militaires-thales-con%C3%A7oit-une-ia-pas-comme-les-autres/ar-AA1xQ8Rp
Mobilité
Angers Loire Métropole : des choix budgétaires axés sur la transition écologique
angers.villactu.fr - © Angers.Villactu.fr
Publié le 22 janvier 2025
Angers Loire Métropole prévoit pour 2025 un budget sans hausse d’impôts, une dette en baisse et 132 millions d’euros d’investissements prévus, dont la moitié consacrée à la transition écologique.
La collectivité compte doubler le budget annuel du plan vélo. – © Angers.Villactu.fr
Ce lundi 20 janvier, le conseil communautaire d’Angers Loire Métropole (ALM) a débattu des orientations budgétaires pour l’année à venir.
Un exercice répété chaque année qui précède le vote définitif du budget, prévu pour le 17 mars prochain. Cette année, les axes stratégiques restent inchangés : pas d’augmentation d’impôts, une gestion prudente de la dette et une accélération des investissements en faveur de la transition écologique.
« Le débat d’orientation budgétaire représente 99 % de notre budget, mais c’est la première fois qu’il est établi sans certitude à l’échelle nationale », souligne Christophe Béchu, président d’ALM.
Une situation financière sous contrôle
Malgré un contexte économique incertain, ALM prévoit de réduire son endettement à 574 millions d’euros en 2025, contre 587,9 millions l’année précédente. Cette baisse comprend les investissements liés aux lignes B et C du tramway, représentant une part importante de la dette à hauteur de 200 millions d’euros. La capacité de désendettement de la communauté urbaine est estimée à huit ans, en dessous du seuil prudentiel de douze ans.
Lire la suite sur : https://www.angers.villactu.fr/angers-loire-metropole-des-choix-budgetaires-axes-sur-la-transition-ecologique/
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Que Font Les Fonds ? Le portrait d’EIT Urban Mobility
maddyness.com - par Manon Triniac
Publié le 20 janvier 2025
Dans le paysage foisonnant de l'investissement, les fonds se multiplient... et ne se ressemblent pas. Parce qu'une levée, ce n’est pas simplement encaisser de l'argent et une bonne occasion de communiquer, nous brossons le portrait des fonds pour aider les entrepreneurs à s'y retrouver et à choisir le bon investisseur. Au tour d’EIT Urban Mobility.
Créé en janvier 2019, EIT Urban Mobility est une initiative de l'Institut européen d'innovation et de technologie (EIT), un organe de l’Union européenne. Sa mission : favoriser les changements nécessaires pour transformer durablement le paysage de la mobilité urbaine en Europe. Financé en partie par l’Union européenne, avec un budget alloué de 400 millions d’euros jusqu’en 2027, EIT Urban Mobility combine les caractéristiques d’un investisseur institutionnel et d’un acteur public, tout en respectant les standards professionnels des fonds de capital-risque.
« Nous ne sommes pas un fonds classique, mais un acteur unique qui conjugue financement public et vision VC, avec une attention particulière à l’impact environnemental et social », explique Keren Beit Cohen, Responsable des alliances stratégiques au sein d’Impact Ventures, la branche investissement d’EIT Urban Mobility.
Une thèse d’investissement à impact dans la mobilité
Lire la suite : https://www.maddyness.com/2025/01/20/que-font-les-fonds-le-portrait-deit-urban-mobility/
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Transports publics : les associations d'usagers dénoncent la profusion des réductions et des marques
banquedesterritoires.fr - par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 22 janvier 2025
La Fédération nationale des associations d'usagers des transports (Fnaut) considère que les nombreuses cartes "Liberté" et "Avantage" développées par les opérateurs et les autorités organisatrices de la mobilité sont source de confusion pour les voyageurs. La Fnaut avait auparavant épinglé la multitude de marques utilisées par les régions pour les TER qui nuit selon elle à la facilité d'usage.
Trop de formules de réduction, trop de logos, trop de marques qui sèment la confusion chez les voyageurs : la Fédération nationale des associations d'usagers des transports (Fnaut) tire le signal d'alarme pour pousser les opérateurs et les autorités organisatrices de la mobilité (AOM) à revenir à plus de simplicité. Dans un communiqué diffusé ce 22 janvier, elle "s'étonne" de l'"utilisation massive" par ces derniers de cartes dites "Liberté" ou "Avantage" alors qu’elles n’ont "ni les mêmes attributs, ni la même utilisation géographique".
Pas la même liberté... ni les mêmes avantages
"Alors qu’existe depuis 2019 la carte Liberté de la SNCF qui permet des réductions de 45% sur le prix maximum, certaines régions ont aussi des cartes dites 'Liberté' mais elles n’offrent pas les mêmes services", pointe la Fnaut. Ainsi, détaille-t-elle, la région Auvergne-Rhône-Alpes propose une carte Illico Liberté Jeunes et une carte Illico Liberté (pour les plus de 26 ans). t-paiement réservée uniquement aux Franciliens intitulée passe Navigo Liberté +.
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"Vous allez à la gare, vous savez qu’il y aura un train" : le SERM, RER auvergnat, est sur les rails
france3-regions.francetvinfo.fr - par Solenne Barlot
Publié le 24 01 2025
Prendre les transports en commun peut être un véritable casse-tête pour 6 millions de voyageurs dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Alors pour améliorer la mobilité des réseaux urbains et faciliter la vie des usagers au quotidien, le Service Express Régional Métropolitain est en quête de solutions. Ce SERM, RER auvergnat, fait l’objet d’une étude qui a démarré ce jeudi 23 janvier. “Le but consiste, sur un vaste périmètre concernant à peu près la moitié de la population de l'Auvergne, à mieux coordonner tous les transports en commun. Cela concerne les transports du quotidien, que ce soit les bus ou les trains, pour les développer”, explique Frédéric Aguilera, vice-président (LR) du Conseil Régional en charge des transports.
Développer le cadencement et les amplitudes horaires
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Relance des projets de transports urbains et ferroviaires
tresor.economie.gouv.fr - Rédigé par Jean-Alexandre Egea, Le Phuong-Thao et Hippolyte Cailleteau
Publié le 22 janvier 2025
L’inauguration officielle de la partie aérienne de la ligne n° 3 du métro de Hanoï, le 9 novembre dernier, a permis de mettre en valeur la réussite technique du projet et la contribution décisive de la France. Confronté au défi d’accélérer le rythme de croissance et de décarboner son économie, le gouvernement a inscrit la modernisation des infrastructures ferroviaires au premier rang de ses priorités, en particulier avec le projet de ligne grande-vitesse Hanoï - Ho Chi Minh Ville.
L’inauguration de la partie aérienne de la ligne no. 3 du métro de Hanoi est une réussite pour la coopération franco-vietnamienne.
L’entrée en service de la partie aérienne (8,5 km) de la ligne no. 3 du métro de Hanoï est un succès populaire et constitue une vitrine technologique pour l’image de la France. Opérationnelle depuis le 8 août 2024, son inauguration officielle a eu lieu le 9 novembre dernier. Les autorités vietnamiennes étaient représentées, au niveau local, par le président du Comité populaire de Hanoï ainsi que par le Secrétaire général du Parti communiste de la ville et, au niveau national, par la vice-ministre des Affaires étrangères et par le vice-ministre de la Construction.
L’ambassadeur a saisi l’occasion de cette inauguration pour souligner l’engagement financier de la France en faveur du projet à hauteur de plus de 500 M € ainsi que la contribution des entreprises françaises (Alstom, Colas Rail, Thales, Systra, RATP Smart Systems) à sa réussite. Les travaux de la partie souterraine (4 stations supplémentaires) sur lesquels ces dernières sont également impliquées sont en cours et doivent être achevés d’ici 2029.
Le secteur des transports urbains vietnamien représente un marché considérable pour nos entreprises
lire la suite : https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2025/01/22/relance-des-projets-de-transports-urbains-et-ferroviaires
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La gestion des données Orange au service de la mobilité intelligente
orange.com - par Orange
Publié le 20 janvier 2025
Proposer une vision claire des déplacements et ainsi faciliter le quotidien des habitants, c’est l’ambition que nous portons à travers nos solutions présentées lors du congrès ATEC ITS, les 21 et 22 janvier 2025 au Beffroi de Montrouge (Portes de Paris).
Comment favoriser la fluidité des déplacements, contribuer à l’efficacité des transports en commun, connaître les besoins en mobilité des habitants d’un territoire ? Toutes ces questions que se posent les acteurs des collectivités locales ont pour objectif d’améliorer le cadre de vie des citoyens mais également de renforcer l’attractivité d’un territoire ou d’optimiser la gestion des infrastructures ou services urbains.
Les données mobiles au cœur des déplacements
Les données jouent un rôle central pour l’optimisation de la mobilité intelligente. Nos solutions permettent de mesurer, analyser et suivre la fréquentation des centres villes, des zones d’activités ou des sites touristiques mais également de fluidifier le trafic ou d’améliorer l’offre de stationnement.
En présentant l’une de ces solutions, Flux Vision, Lisa Aymard, Cheffe de Produit d’Orange Business rappelle que cette offre existant depuis 2014 « garantit un échantillon massif de plus de 24 millions de visiteurs permettant d’obtenir une mesure fiable et actualisée de la fréquentation et de la mobilité d’une population sur le territoire ».
Lire la suite : https://www.orange.com/fr/actualites/2025/la-gestion-des-donnees-orange-au-service-de-la-mobilite-intelligente
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Lille : la métropole commande 15 nouvelles rames de métro à Alstom, malgré le retard des premières
lefigaro.fr - par Le Figaro avec AFP
Publié le 20 janvier 2025
Les nouvelles rames sont attendues pour 2026, et les 15 rames supplémentaires pour 2028. Métropole européenne de Lille
Les 27 rames déjà commandées au constructeur français pour remplacer celles de la ligne 1 devaient entrer en service avant 2025. Elles sont finalement attendues pour 2026.
Malgré son conflit avec Alstom sur le retard de livraison des nouvelles rames du métro lillois, la métropole a commandé 15 trains supplémentaires au constructeur, annonce ce dernier ce lundi 20 janvier. Ces rames remplaceront de plus anciennes sur la ligne 1 à partir de 2028, pour un montant d'environ 210 millions d'euros. Elles seront deux fois plus longues - 52 mètres - que celles actuellement en circulation, et compatibles avec le nouveau système de pilotage automatique d'Alstom, - Urbalis Fluence -, tout juste installé sur la ligne. Il permet de réduire la distance entre deux rames, et donc d'augmenter la fréquence de passage des métros.
«Le réseau de la métropole européenne de Lille restera le métro avec la cadence la plus élevée au monde, avec la circulation d'une rame toutes les 66 secondes en heure de pointe», a assuré Alstom dans un communiqué de presse. Ces 15 rames supplémentaires seront conçues et assemblées sur six sites français d’Alstom, dont celui de Valenciennes (Nord).
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/conjoncture/lille-la-metropole-commande-15-nouvelles-rames-de-metro-a-alstom-malgre-le-retard-des-premieres-20250120
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La Métropole souhaite encore renforcer la sécurité dans les transports en commun
ampmetropolle.fr - Communiqué
Publié le 20 janvier 2025
La Métropole prévoit d’augmenter les effectifs du Groupe d’Assistance et de Prévention (GAP) à 99 agents et d’en faire un service de sécurité armé. Caméras piéton et autres outils modernes viendront compléter ces mesures pour garantir la tranquillité des voyageurs.
Avoir le réseau de transport le plus sûr de France, telle est la volonté de la présidente de la Métropole Aix-Marseille-Provence. S’il est déjà l’un des plus paisibles du pays – les faits de délinquance ont baissé de 20 % à Marseille et de 33 % sur l’ensemble du réseau depuis 2018 -, Martine Vassal souhaite aller encore plus loin.
Des effectifs en hausse
Comment ? En augmentant les effectifs du Groupe d’Assistance et de Prévention (GAP) de la RTM, créé en 2022. Le nombre d’agents, dont le rôle est de veiller à la sécurité des voyageurs et au bon fonctionnement du service en luttant contre la fraude, va ainsi passer de 78 à 99 cette année, un chiffre deux fois plus élevé qu’à l’origine.
Vers un armement des agents
Outre cette montée en puissance, l’institution veut transformer le GAP en un service interne de sécurité afin que les agents disposent des mêmes pouvoirs que leurs homologues de la RATP (régie autonome des transports parisiens) notamment. Autrement dit qu’ils puissent procéder à des fouilles, des palpations, retenir quelqu’un le cas échéant, relever une identité, mais aussi disposer d’une arme non létale, de catégorie B ou D (bombe lacrymogène, taser, matraque). « L’armement, c’est une mesure qui permettrait de veiller à l’apaisement dans les transports, de garantir la sécurité des agents comme des voyageurs et de faire respecter l’ordre », souligne Martine Vassal.
Pérenniser le dispositif caméras piéton
Lire la suite : https://ampmetropole.fr/mobilite-transports/la-metropole-souhaite-encore-renforcer-la-securite-dans-les-transports-en-commun/
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Futur Urbain Révélé ! Découvrez Comment les Transports Changent les Villes pour Toujours
qhubo.com - par Emma Rowland
Publié le 18 janvier 2025
Le paysage du transport urbain est sur le point de connaître une révolution, comme le montre la récente Internationale Funkausstellung (IFA) 2024. Les technologies innovantes et la planification urbaine stratégique s’unissent pour redéfinir notre façon de nous déplacer dans les villes. Voici ce qui façonne l’avenir de la mobilité urbaine.
Les Véhicules Électriques (VE) en Tête de la Charge
Alors que les villes du monde entier s’efforcent de réduire les émissions, les véhicules électriques sont devenus centraux dans les stratégies de transport urbain. Les fabricants de voitures dévoilent des modèles de VE avancés avec des autonomies plus longues et des capacités de charge plus rapides. Des villes comme Oslo et Amsterdam établissent des normes mondiales avec une infrastructure de charge électrique étendue, mettant en évidence une voie vers un air urbain plus propre.
Transports Publics Intelligents
Avec la croissance des populations urbaines, les transports publics deviennent plus intelligents. Les systèmes pilotés par IA optimisent désormais les horaires de bus et de trains en temps réel, réduisant les temps d’attente et augmentant l’efficacité. Des exemples notables incluent le MRT de Singapour et le réseau de métro de New York, qui exploitent la technologie pour améliorer l’expérience des navetteurs.
La Micro-Mobilité en Forte Croissance
Lire la suite : https://www.qhubo.com.ni/fr/news2/futur-urbain-revele-decouvrez-comment-les-transports-changent-les-villes-pour-toujours/53361/#google_vignette
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Des taxis sans chauffeur aux pneus lunaires, la mobilité se réinvente
Le Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas, plus grand salon de l'électronique grand public au monde, dévoile cette année des avancées majeures dans le domaine de la mobilité. De la voiture autonome aux pneus spatiaux, les innovations présentées ne sont plus de simples concepts, mais des solutions déjà opérationnelles.
À San Francisco et Los Angeles, prendre un taxi sans chauffeur est désormais aussi banal que commander un VTC. L'entreprise Waymo, leader du secteur, affiche des chiffres qui démontrent la progression de la technologie: 5 millions de trajets effectués et 33 millions de kilomètres parcourus en mode totalement autonome.
La sixième génération de véhicules Waymo, présentée au CES, marque une évolution significative. "Nous offrons davantage de fonctionnalités à un coût nettement inférieur, notamment la capacité de circuler dans la neige et dans des conditions météorologiques plus difficiles", explique Sandy Karp, porte-parole de l'entreprise. "Notre nouveau véhicule, le Geely Zeekr, offre notamment une accessibilité améliorée. Il est plus facile d'entrer et sortir et il dispose d'indications en braille".
Le transport de marchandises passe à l'autonomie
La révolution ne se limite pas au transport de passagers. Au Texas, Volvo opère déjà une flotte de camions autonomes qui assurent des livraisons commerciales pour DHL.
Lire la suite : https://www.rts.ch/info/sciences-tech/2025/article/voitures-autonomes-et-pneus-spatiaux-la-mobilite-du-futur-au-ces-28759014.html
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« Plus besoin de billet ni de carte d’identité » : la SNCF va déployer un nouveau système de contrôle
bfmtv.com - par Frédéric Bianchi
Publié le e 20 janvier 2025
SNCF Voyageurs teste à partir de ce lundi 20 janvier une technologie de contrôle des billets avec l'application France Identité. Ce système devrait être déployé pour tous les voyageurs dans les prochaines semaines.
Présentez votre billet de train, sortez votre carte d'identité. Ces gestes appartiendront bientôt au passé. À partir de ce lundi 20 janvier, SNCF Voyageurs teste à bord des TGV Inoui la présentation de l’application France Identité bêta, qui permet de réaliser les deux contrôles en un seul geste.
La compagnie précise que cette fonctionnalité sera testée plusieurs semaines avant d’être disponible pour l’ensemble des clients porteur de l’application France Identité.
"France Identité remplace ainsi la présentation de ces deux documents lors de leur vérification, indique la SNCF. Comme pour le billet de train, le contrôle se fera grâce à la présence d’un QR Code sur la carte d’identité numérique. Il sera lisible par l’ensemble des chefs de bord."
Lire la suite : https://www.bfmtv.com/tech/plus-besoin-de-billet-ni-de-carte-d-identite-la-sncf-va-deployer-un-nouveau-systeme-de-controle_AN-202501200493.html
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Personnalisation et RGPD : la CJUE juge la collecte de la civilité non conforme
solutions-numeriqies.com - Par Patrice Remeur
Publié le 21 janvier 2025
Une décision de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) considère la collecte de
“Madame” ou “Monsieur” contraire au RGPD.
La CJUE dans sa décision du 9 janvier 2025, considère que la collecte de la civilité n’est pas indispensable à l’exécution d’un contrat. La Cour révoque la pratique de l’entreprise ferroviaire française avec SNCF Connect qui oblige systématiquement ses clients à indiquer leur civilité « Monsieur » ou « Madame » lors de l’achat de titres de transport en ligne. L’association Mousse avait contesté auprès de la CNIL cette pratique. L’autorité française avait rejeté cette réclamation considérant conforme au RGPD.
Or, la Cour rappelle à la SNCF que, “pour qu’un traitement de données puisse être considéré comme nécessaire à l’exécution d’un contrat, ce traitement doit être objectivement indispensable afin de permettre l’exécution correcte de ce contrat. Dans ce contexte, la Cour considère qu’une personnalisation de la communication commerciale fondée sur une identité de genre présumée en fonction de la civilité du client ne paraît pas objectivement indispensable afin de permettre l’exécution correcte d’un contrat de transport ferroviaire. En effet, l’entreprise ferroviaire pourrait opter pour une communication reposant sur des “formules de politesse génériques, inclusives et sans corrélation avec l’identité de genre présumée des clients, ce qui constituerait une solution praticable et moins intrusive”. Par ailleurs, la civilité devrait être utilisée avec le consentement des personnes.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/personnalisation-et-rgpd-la-cjue-juge-la-collecte-de-la-civilite-non-conforme/
Smart City
L’IFRI publie une étude esquissant le modèle de la smart city européenne
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 22 janvier 2025
C’est dans le contexte du Smart City Expo World Congress 2022, que l’IFRI, l’Institut Français des Relations Internationales, a publié, le 16 novembre dernier, l’étude « Ni surveillance, ni consumérisme algorithmique. Vers un modèle européen alternatif pour les villes intelligentes ». Jacques Priol, président et fondateur du cabinet CIVITEO, et Joé Vincent-Galtié, consultant au sein de ce même cabinet, y dessinent la smart city européenne, éloignée des modèles chinois ou nord-américains.
Cette étude fait suite au rapport « De la smart city à la réalité des territoires connectés », auquel Jacques Priol et Joé Vincent-Galtié avaient participé, qui visait à définir un modèle français du territoire intelligent. Près de 200 projets avaient été identifiés, déployés dans des villes de toutes tailles, y compris en territoire rural. Très variés, leurs méthodes de déploiement l’étant tout autant, ils ont permis aux auteurs de constater que le modèle français n’existait pas encore.
L’étude esquisse les contours d’un possible modèle européen évitant les erreurs de deux modèles qui font l’unanimité contre eux : celui porté par la Chine et celui mis en œuvre par certaines villes nord-américaines.
Le modèle de surveillance chinois
En 2011, le 12ème plan quinquennal évoquait pour la première fois le souhait du Parti communiste chinois de développer des villes numériques. Aujourd’hui, plus de 800 projets de villes intelligentes en Chine ont vu le jour.
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/lifri-publie-une-etude-esquissant-le-modele-de-la-smart-city-europeenne/
Cybersécurité
2025 : l'année de tous les défis pour la cybersécurité
journal-du-net.com - Chronique de Thiébaut Meyer Google Cloud
Découvrez les grandes tendances de cybersécurité pour 2025 grâce au rapport Cybersecurity Forecast de Google Cloud Security
À l'aube de 2025, la cybersécurité s'impose comme un enjeu crucial, à la confluence des avancées technologiques, des défis économiques et des tensions géopolitiques. Face à la multiplication des cyberattaques basées sur l'intelligence artificielle, la résilience numérique devient le socle incontournable de la prospérité économique et du bien-être social.
Dans ce contexte mouvant, les entreprises doivent plus que jamais anticiper les risques et concevoir des défenses adaptées. En 2025, l’anticipation sera nécessaire face à des adversaires toujours plus sophistiqués.
Dans ce domaine, le rapport Cybersecurity Forecast de Google Cloud Security met en lumière plusieurs tendances majeures qui façonneront le secteur cette année.
Une année cruciale pour la conformité réglementaire
La directive NIS2 transformera considérablement les pratiques de cybersécurité en Europe en 2025. Elle introduit des exigences de sécurité plus strictes et étend son champ d’application à un plus grand nombre de secteurs et d’organisations. Cela signifie que davantage d’entreprises doivent mettre en œuvre des mesures de sécurité robustes, procéder à des analyses de risques et signaler rapidement les incidents. Répondre aux exigences de NIS2 nécessite des investissements dans la formation du personnel, les technologies de sécurité et les plans de réponse aux incidents. En favorisant la collaboration et le partage d’informations, la directive vise à renforcer un écosystème de cybersécurité plus résilient à l’échelle européenne.
La géopolitique, catalyseur des cybermenaces
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1538417-2025-l-annee-de-tous-les-defis-pour-la-cybersecurite/
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Innovation, IA, cybersécurité, drones, guerre informationnelle : les défis numériques du ministère des Armées
radiofrance.fr - avecSébastien Lecornu et Valérie Hurler
Provenant du podcast Soft Power
Publié le 19 janvier 2025
Sébastien Lecornu, ministre des Armées et ministre de la Défense, revient sur les grands enjeux de cybersécurité et de souveraineté technologique de la France face aux nouvelles menaces globales.
Plusieurs séquences au sommaire de Soft Power : en première partie d'émission, les actualités culturelles et numériques qui ont marqué la semaine ; puis un entretien avec Valérie Hurier, directrice de la rédaction de Télérama (à partir de 37min. dans le podcast) et enfin un grand focus avec Sébastien Lecornu, ministre des Armées (à partir de 53min. dans le podcast).
Innovation et cyberdéfense : vers une nouvelle ère numérique ?
IA, drones, quantique, cyberdéfense, lutte informationnelle : comment la France conjugue-t-elle innovation et souveraineté pour répondre aux défis technologiques actuels et futurs, tout en s’adaptant aux exigences des conflits contemporains ?
Sébastien Lecornu, ministre des Armées et ministre de la Défense et auteur de Vers la guerre ? La place de la France sur l'échiquier géopolitique mondial, aux éditions Plon, détaille la rapide mutation de l'environnement cyber, le besoin de développer une intelligence artificielle spécifique à la défense à l'heure où la guerre électronique redéfinit les conflits, ainsi que l'importance de moderniser l'armée tout en renforçant son autonomie.
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Cybersécurité 2025 : les pronostics de Patrowl
journaldunet.com - Chronique de Vladimir Kolla Patrowl
Publié le 20 jan,vier 2024
Quels sont les risques cybersécurité majeurs auxquels les entreprises françaises seront exposées en 2025 ? Voici 4 pronostics selon Patrowl à anticiper.
2025, l’année blanche de la cyber
Les réglementations européennes nous parviennent à flots ininterrompus mais leur mise en œuvre sera lente et laborieuse. Nous ne verrons pas leurs effets en 2025 et certainement pas d’impacts mesurables. Aucune sanction d’ailleurs n’est prévue avant quelques années, ce qui contribue en partie à l’inertie. L’exemple particulièrement représentatif de l’application tardive du RGPD en Europe ne laisse aucun doute quant au sort réservé aux futurs textes.
Paradoxalement, les freins viennent aussi des cabinets de conseil, dont la surcharge de travail crée un embouteillage massif. Toutes les organisations ne seront pas servies en temps et en heure. Il vaut mieux chercher à travailler en interne, quitte à recruter et à obtenir une validation externe de sa mise en conformité et des mesures prises dans un second temps. Le risque à ce stade est de s’adresser à des officines de conseil sans compétences cybersécurité valides et elles sont légion à avoir flairé le filon. Méfiance donc.
Des équipements de sécurité trop peu fiables
Les incidents de sécurité importants se multiplient sur les équipements de cybersécurité, un comble. Ivanti, Fortinet, Paloalto, Checkpoint, Citrix ne sont que quelques exemples médiatisés d’incidents qui se produisent toutes les semaines. Là encore, on ne constatera pas d’amélioration tangible tant que le Cyber Resilience Act ne sera pas formellement entré en application et n’aura pas instauré de véritables exigences de qualité auprès des grands équipementiers cyber.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1538197-cybersecurite-2025-les-pronostics-de-patrowl/
Paiement électronique
Elon Musk prépare un rival de PayPal pour 2025 : une plateforme compatible avec les cryptomonnaies qui pourrait tout bouleverser
helloobiz.fr - par Baptiste LEMOINE
Publié le 19 janvier 2025
En 2025, Elon Musk projette de redéfinir l’univers des applications numériques avec le lancement de X, une super-application inspirée des modèles asiatiques. Ce projet ambitieux, centré autour de X Money, promet d’intégrer une solution de paiement révolutionnaire qui pourrait bouleverser les standards actuels. En s’appuyant sur sa vision avant-gardiste, Musk vise à créer un écosystème numérique complet, capable de concurrencer les plus grandes plateformes existantes. Cette initiative ne se limite pas seulement aux transactions financières, mais embrasse également les cryptomonnaies, marquant une étape significative dans l’évolution des paiements en ligne. Alors que des détails commencent à émerger, les attentes sont déjà élevées pour ce qui pourrait être une transformation majeure dans la manière dont nous interagissons avec les services numériques.
X Money : une révolution pour les paiements en ligne
X Money se positionne comme l’un des éléments centraux de cette super-application. Linda Yaccarino, PDG du réseau social X, a récemment exprimé les grandes ambitions pour l’année 2025. Selon elle, X Money ne se contentera pas d’être une simple solution de paiement, mais promet d’apporter une expérience inédite aux utilisateurs. En permettant des transactions directement depuis la plateforme, sans quitter l’application, X Money pourrait redéfinir l’interaction utilisateur.
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iPhone: voici pourquoi vous ne devez pas l’utiliser pour payer aux péages
mcetv.ouest-france.fr - par Ambre Toscano
Publié le 19 janvier 2025
L'iPhone peut faire carte de transport, carte bleue... mais attention à ne pas l'utiliser pour payer aux barrières de péage, ça peut être ennuyeux !
Attention, le péage peut vite vous coûter cher ! Alors que l’iPhone devient indispensable dans le quotidien des utilisateurs grâce à toutes les cartes et les infos qu’il contient, mieux vaut ne pas payer l’autoroute avec… MCETV vous explique tout sur les problèmes que cela peut engendrer !
Le petit piège du péage
Car oui, il s’agit bien de problèmes. De vrais problèmes. Alors qu’Apple permet désormais d’avoir tous ses mots de passe, sa carte bleue et même sa carte de transport sur soi, mieux vaut ne pas l’utiliser partout… et encore moins sur l’autoroute.
En effet, une fois stoppé au péage, il semble facile d’appuyer sur le bouton de l’iPhone, de lancer Apple Pay, et de régler les quelques euros. Sauf qu’il s’agit d’une grosse erreur qu’on peut regretter fort, et longtemps. Trois ans exactement.
Plusieurs conducteurs ont en effet partagé leur mésaventure sur Tiktok : ils ont payé leur péage avec Apple Pay. Sauf que leur voiture, certes à l’arrêt, n’a pas le moteur éteint. Et qu’il s’agit donc d’une utilisation de téléphone au volant.
Lire la suite : https://mcetv.ouest-france.fr/decouvertes/mon-mag-high-tech/iphone-voici-pourquoi-vous-ne-devez-pas-lutiliser-pour-payer-aux-peages-19012025/
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Le Maroc développe les services de paiement électronique
atalayar.com - par Enrique Fernandez
Püblié le 20 janvier 2025
Ces mesures s'inscrivent dans le cadre de la stratégie « Maroc numérique 2030 », qui vise à accélérer la numérisation du pays
Depuis que le Cash Center du Maroc a approuvé le paiement électronique en 2019, une transaction sur trois est effectuée par cette méthode. Au cours de la dernière décennie, le pays alaouite a réalisé d'importants progrès en termes de modernisation financière, ce qui permet de réduire le nombre de paiements traditionnels.
Selon le directeur de l'institution, Rachid Saihi, la majorité des citoyens marocains qui essaient de payer leurs factures par voie électronique ne reviennent pas à la méthode traditionnelle, ce qui reflète le succès des mesures prises ces dernières années.
Pour expliquer cette situation, Saihi explique qu'auparavant, les banques n'offraient pas la possibilité d'obtenir des services par l'intermédiaire des guichets automatiques d'autres banques, ce qui les obligeait à explorer d'autres options ailleurs.
Lire la suite : https://www.atalayar.com/fr/articulo/economie-et-entreprises/maroc-developpe-services-paiement-electronique/20250120080000209939.html
Carte de paiement
Dépenses professionnelles : Lucca lance une carte de paiement simplifiée
daf-mag.fr - par la rédaction
Publié le 22 janvier 2025
Lucca, éditeur de solutions RH et finance, a annoncé le lancement d'une nouvelle carte de paiement professionnelle en partenariat avec Swan. Cette carte, disponible en version physique et numérique, vise à transformer la gestion des dépenses professionnelles, tout en répondant aux besoins des collaborateurs et des entreprises. Quels avantages pour les Daf ?
Un double objectif : simplifier et contrôler
Les cartes de paiement Lucca adressent deux problématiques majeures :
Un contrôle renforcé pour les directions financières
Lire la suite : https://www.daf-mag.fr/Thematique/tresorerie-1239/gestion-depenses-2120/Breves/depenses-professionnelles-lucca-carte-paiement-466739.htm
Intelligence artificielle
Stargate : l’IA américaine entre dans une nouvelle ère avec un investissement historique
actuia.com - par Thomas Calvi
Publié le 22 janvier 2025
Donald Trump, président des États-Unis, a récemment dévoilé un projet titanesque baptisé « Stargate ». Ce programme, qui mobilise les plus grands noms de la technologie mondiale, promet de transformer le paysage de l’intelligence artificielle (IA) avec un investissement colossal de 500 milliards de dollars sur quatre ans. Voici les détails d’une initiative qui réunit innovation, ambition et géopolitique.
Une coalition inédite pour dominer l’IA
Stargate repose sur une alliance stratégique entre trois acteurs majeurs : OpenAI, Oracle et SoftBank. Ces entreprises unissent leurs forces pour construire la plus grande infrastructure d’IA au monde. Masayoshi Son, PDG de SoftBank, sera à la tête de cette coentreprise. Le projet démarre avec un investissement initial de 100 milliards de dollars, et prévoit d’étendre cette somme à 500 milliards dans les prochaines années. Nvidia, le géant des semi-conducteurs, joue également un rôle clé dans la fourniture des technologies nécessaires.
Une infrastructure massive au service de l’innovation
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/stargate-lia-americaine-entre-dans-une-nouvelle-ere-avec-un-investissement-historique/
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Des chercheurs présentent un ordinateur tout optique à 100 GHz pour une intelligence artificielle éco-énergétique
lesnews.ca - par Faudel Tannouh
publié le 20 janvier 2025
Des chercheurs de l’Institut de technologie de Californie, de NTT Research et de l’Université de Floride centrale ont présenté une vision fascinante d’un avenir possible pour l’informatique haute performance et l’intelligence artificielle générative économe en énergie : des systèmes entièrement optiques capables d’atteindre des vitesses d’horloge supérieures à 100 GHz.
« La fréquence d’horloge d’un ordinateur détermine le temps minimal entre les opérations ou instructions successives. Malgré les avancées exponentielles en matière de performance des ordinateurs électroniques, conformément à la loi de Moore et aux architectures système de plus en plus parallèles, les fréquences d’horloge des ordinateurs sont restées stagnantes autour de 5 GHz pendant presque deux décennies », expliquent les chercheurs dans le résumé de leur article. « Cela pose un problème insoluble pour les applications nécessitant un traitement en temps réel ou un contrôle de systèmes d’information ultra-rapides. Nous brisons cette barrière en proposant et en démontrant expérimentalement un calcul basé sur un réseau de neurones récurrents entièrement optique, exploitant la nature ultra-rapide des opérations optiques linéaires et non linéaires tout en évitant les opérations électroniques. »
L’avenir de l’informatique semble prometteur, avec une proposition de système de réseau neuronal entièrement optique fonctionnant à plus de 100 GHz.
La loi de Moore, du nom du co-fondateur d’Intel Gordon Moore, observe que le nombre de transistors sur les microprocesseurs de pointe a tendance à doubler tous les 18 mois. Cette observation est devenue un objectif pour l’industrie des semi-conducteurs, mais alors que le nombre de transistors augmente, les tailles des composants doivent diminuer pour s’adapter, et nous atteignons désormais des limites physiques qui pourraient compromettre la loi de Moore et entraîner un plafonnement des performances informatiques.
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Londres introduit l'IA dans ses services publics pour économiser des milliards
lefigaro.fr - par Le Figaro avec AFP
Publié le 21 janvier 2025
Le gouvernement britannique souhaite moderniser des outils «archaïques» qui font perdre, selon lui, à l’administration 45 milliards de livres (53 milliards d’euros) par an.
Le gouvernement britannique a annoncé mardi introduire l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) dans les services publics, pour moderniser des outils «archaïques» qui font perdre selon lui à l'administration 45 milliards de livres (53 milliards d'euros) par an. «Un nouvel ensemble d'outils d'IA (...) sera mis à la disposition des fonctionnaires dans le but de moderniser la technologie» utilisée dans l'administration «et de fournir de meilleurs services publics», a indiqué le gouvernement dans un communiqué.
Si certaines fonctionnalités seront déployées immédiatement, le système développé par une équipe spécialisée du ministère de la Science, de l'Innovation et de la Technologie «devrait être bientôt mis à la disposition de tous les fonctionnaires», précise le gouvernement, sans détailler davantage le calendrier. L'un des outils permettra d'analyser plus rapidement les milliers de réponses reçues par les services de l'État lors des nombreuses enquêtes publiques lancées dans le pays, est-il précisé.
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/londres-introduit-l-ia-dans-ses-services-publics-pour-economiser-des-milliards-20250121
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Intelligence artificielle : quelles conséquences dans les entreprises ?
vie-publique.fr - par La Rédaction
Publié le 20 janvier 2025
Conséquences sur l’organisation du travail, les métiers, les salaires ou les discriminations… Un rapport du Conseil économique, social et environnemental (CESE) étudie les effets de l’intelligence artificielle (IA) sur le travail et l’emploi. Il pointe notamment la vitesse de déploiement de l’IA dans les entreprises en l’absence de concertation.
Le rapport publié le 14 janvier 2025 par le Conseil économique, social et environnemental (CESE) propose de répondre à trois questions. L’IA va-t-elle creuser les inégalités au travail ? Va-t-elle être un progrès pour l’organisation des conditions de travail et la santé au travail ? Aura-t-elle des impacts positifs sur l’emploi ?
L’étude constitue une contribution représentative de la société civile à quelques jours du Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, qui se tiendra les 10 et 11 février 2025, à Paris.
Un développement rapide qui nécessite un dialogue social renouvelé
Selon le Fonds monétaire international (FMI), 62% des emplois des économies avancées présenteraient une exposition élevée à l'IA, 27% en bénéficieraient, tandis que l’IA pourrait se substituer à 33% des emplois.
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/296877-intelligence-artificielle-quelles-consequences-dans-les-entreprises
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AI Act : un « Brussels effect » moins retentissant
lemagit.fr - par Gaétan Raoul
Publié le: 20 janv. 2025
Bien que les autorités européennes se posent en fer de lance de la régulation sur l’IA et inspirent les régulateurs, ses effets seront limités outre-Atlantique. Le texte n’aurait pas la force du RGPD, tandis que les divergences entre les États membres de l’UE sont de plus en plus visibles.
En attendant la pleine application de l’AI Act, la Commission européenne a mis en place un pacte européen sur l’IA. Cet engagement volontaire à appliquer les mesures de la réglementation européenne avant l’heure servirait à « combler un vide juridique ». C’est pour la même raison que le Conseil de l’Europe, organisme défenseur des droits de l’homme et de la démocratie, invite les pays membres de l’UE et d’autres à ratifier un traité international sur l’IA.
En clair, il faudrait comprendre qu’avant l’intervention de l’UE, le marché de l’intelligence artificielle était un « far-west ». Une idée fausse. « De nombreuses lois qui ne sont pas spécifiques à l’IA s’appliquent déjà [aux applications d’intelligence artificielle] », rappelle Scott Starbid, chef des affaires publiques chez Databricks, lors d’une table ronde organisée dans le cadre de l’événement Data + AI Summit, ayant eu lieu en juin 2024. « Il existe des lois qui protègent les consommateurs comme le RGPD, des lois dans le domaine des services financiers, des lois sur les droits d’auteur, des lois qui protègent contre les infractions, et toutes sortes de crimes ».
Lire la suite : https://www.lemagit.fr/actualites/366618217/AI-Act-un-Brussels-effect-moins-retentissant
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Transformation numérique : 2 grandes prédictions pour 2025
actuia.com - par Stéphane Faivre-Duboz - Vice-Président Faivre-Duboz Sales EMEA
Publié le 21 janvier 2025
Toujours plus d’orchestration des processus métier
En 2025, les entreprises risquent de sombrer dans le chaos numérique sans une visibilité totale sur leur « architecture spaghetti ». De nombreuses architectures informatiques d’entreprise peuvent être comparées à des plats de spaghetti composés de technologies interconnectées, ce qui fait de l’intégration et de la visibilité un défi majeur.
Alors que les entreprises cherchent à moderniser leur parc IT et à se concentrer sur l’automatisation des processus métier, elles se rendront compte que le simple ajout d’IA ou d’autres « solutions rapides » ne leur permettra pas d’augmenter leur efficacité, d’améliorer l’expérience client ou de rester compétitives. Avec la complexité croissante des processus technologiques et commerciaux, il est essentiel que l’automatisation des processus de bout en bout repose sur des bases solides, sinon un manque de contrôle entraînera un chaos numérique.
Pour relever ces défis en 2025, l’orchestration des processus permettra d’éviter le syndrome de « l’architecture spaghetti ». En permettant aux entreprises de rationaliser et de moderniser leurs processus, l’orchestration offrira aux équipes informatiques et commerciales une visibilité et un contrôle accrus. Cette meilleure supervision les aidera à gérer la complexité croissante et à obtenir de meilleurs résultats tout en étant capables de s’adapter plus rapidement aux aléas.
La nécessaire combinaison de l’orchestration et de l’intelligence artificielle
Lire la suite : https://www.actuia.com/contribution/stephane-faivre-duboz/transformation-numerique-2-grandes-predictions-pour-2025/
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Et si l’IA causait la prochaine pénurie d’énergie ? Les chiffres inquiétants du MIT
futura-sciences.com - par Edward Back
Publié le 20 janvier 2025
L’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) explose et certains s’inquiètent des bouleversements sur la société et des risques de sécurité. Le MIT s’est penché sur une autre facette de cette révolution, moins prise en compte : son impact sur l’environnement.
L’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) explose et certains s’inquiètent des bouleversements sur la société et des risques de sécurité. Le MIT s’est penché sur une autre facette de cette révolution, moins prise en compte : son impact sur l’environnement.
AU SOMMAIRE
L'intelligence artificielle générative promet de grands bouleversements dans nos vies, et s'immisce déjà un peu partout, les constructeurs l'intégrant dans tous nos appareils. Toutefois, cette petite révolution a un impact significatif, mais encore mal connu sur l'environnement. Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) se sont penchés sur le problème pour tenter d'évaluer le coût environnemental de l'IA.
Le premier impact est au niveau de la consommation d’énergie, au point où certains craignent une pénurie. Les modèles d'intelligence artificielle, avec leurs milliards de paramètres, sont très gourmands en puissance de calcul, aussi bien pendant la phase d'entraînement que la phase d'inférence (l'utilisation au quotidien). Même si les centres de données (data centers, en anglais) ne servent pas uniquement à faire tourner l'IA, elle est la raison principale de leur multiplication rapide dernièrement. Ainsi, l'étude des data centers permet une évaluation grossière de la consommation et de l'impact de l'IA.
Les centres de données consomment plus d’énergie que la France entière
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/technologie-si-ia-causait-prochaine-penurie-energie-chiffres-inquietants-mit-118983/
Réseaux sociaux
Réseau X : les élus qui partent... et les élus qui restent
maire-info.com - par Franck Lemarc
Publié le 21 janvier 2024
Depuis plusieurs mois, de nombreuses structures, à l'échelle internationale, annoncent quitter le réseau social X (ex-Twitter), estimant qu'il n'est plus en mesure de diffuser une information fiable, depuis son rachat par le milliardaire américain Elon Musk.
Le mouvement a connu un pic hier, lundi 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump et, dans la foulée, de la prise de fonction officielle d’Elon Musk dans l’équipe gouvernementale du nouveau président. Mais c’est depuis quelques jours qu’un certain nombre d’élus ont annoncé leur départ du réseau – à titre individuel, parfois, au nom de leur collectivité, dans d’autres cas.
Vague de départs
Il s’agit essentiellement de collectivités dirigées par la gauche : les villes de Paris, Poitiers, Le Mans, Lyon, Pantin, Tours, Nancy, la communauté d’agglomération de Guéret, les départements de la Gironde, de la Haute-Vienne, d’Ille-et-Vilaine, des Landes, la région Bretagne… Mais pas seulement : des élus étiquetés à droite ont également annoncé leur départ du réseau, comme Christian Estrosi, maire de Nice, Jean-Luc Bohl, maire de Montigny-lès-Metz, ou Franck Leroy, président de la région Grand Est, qui a annoncé dans un communiqué, le 18 janvier, que sa région « tourne la page de X ».
De nombreux députés et sénateurs de gauche ont eux aussi, hier ou les jours précédents, pris la même décision. Par ailleurs, 80 associations – elles aussi souvent orientées à gauche, mais pas seulement – ont aussi annoncé quitter X dans une tribune publiée dans Le Monde : la Cimade, Emmaüs, le Mrap, la CLCV, France Terre d’asile, mais aussi APF France handicap ou la Fédération des Mutuelles de France.
Lire la suite : https://www.maire-info.com/communication/reseau-x-les-elus-qui-partent-les-elus-qui-restent-article-29313
RGPD
Décision de la CJUE sur le traitement de données relatives à la civilité et à l’identité de genre.
village-justice.com - par Nikola Kadić, Juriste.
Publié le 20 janvier 2025
Alors que la Cour de Justice de l’Union européenne vient de publier le tant attendu arrêt Mousse [1], beaucoup se demandent s’il est encore possible de collecter et de traiter des données relatives à la civilité et/ou à l’identité de genre. La forme neutre et l’utilisation de formules de politesse génériques ou inclusives vont t-elles devenir la norme dans les échanges avec les tiers ? Quelles précautions les responsables de traitement doivent-ils prendre pour traiter de telles données tout en respectant les droits et intérêts des personnes concernées ? Ces à ces deux questions que nous tenterons d’apporter une réponse dans cet article.
AU SOMMAIRE DE CET ARTICLE...
Dans le cadre de la procédure d’une question préjudicielle, il a été demandé à la CJUE de se pencher sur les conditions nécessaires au traitement de données relatives à la civilité ainsi qu’à l’identité de genre, en particulier lorsque celles-ci sont utilisées à des fins de personnalisation des communications commerciales. L’affaire a été portée devant la CNIL par l’association Mousse, qui reprochait à SNCF Connect la pratique consistant à obliger les clients à indiquer leur civilité, « Madame » ou « Monsieur », - sans autre alternative - lors de l’achat de billets en ligne.
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CEPD : la pseudonymisation est insuffisante pour assurer la protection des données
solutions-numeriques.com - par Patrice Remeur
Publié le 22 janvier 2025
Les lignes directrices pseudonymisation du CEPD
Le Comité européen de protection des données (CEPD) vient clarifier la définition de la pseudonymisation de l’article 4 du RGPD, mais aussi la manière dont cette technique s’applique. Il lance également une consultation publique sur les lignes directrices.
La pseudonymisation est un codage qui consiste à remplacer les données personnelles identifiantes (prénom, nom…) d’un jeu de données par des données indirectement identifiantes (numéro, pseudo…). La pseudonymisation offre l’avantage, par rapport à l’anonymisation, d’une mise en œuvre facile notamment avec des outils de hachage, de chiffrement ou autres. Pour autant, la personne reste indirectement identifiable. “Même si toutes les informations supplémentaires conservées par le responsable du traitement des données pseudonymisées ont été effacées, les données pseudonymisées ne peuvent être considérées comme anonymes que si les conditions d’anonymat sont remplies“, précise le CEPD.
La pseudonymisation doit être complétée par d’autres mesures
Les lignes directrices apportent deux précisions juridiques importantes :
-1. Les données pseudonymisées restent toujours des informations relatives à une personne physique identifiable. Elles constituent donc toujours des données personnelles.
-2. La pseudonymisation peut réduire les risques et faciliter l’utilisation de l’intérêt légitime comme base légale (article 6.1.f du RGPD – le traitement est nécessaire aux fins des intérêts légitimes poursuivis par le responsable du traitement ou par un tiers, à moins que ne prévalent les intérêts ou les libertés et droits fondamentaux de la personne concernée qui exigent une protection des données à caractère personnel, notamment lorsque la personne concernée est un enfant), à la condition que toutes les autres exigences du RGPD soient respectées, à savoir une conservation séparée et des mesures techniques et organisationnelles pour garantir la non-attribution à une personne. La pseudonymisation seule est donc insuffisante pour atteindre une protection des données par défaut ou dès l’origine.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/blue-soft-sallie-a-bleu-pour-proposer-des-services-cloud-de-confiance/
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DORA : tout ce qu’il faut savoir sur le RGPD de la cybersécurité
Publié le 24 janvier 2025
Peut-être que la réglementation DORA vous est déjà apparue dans vos recherches. Vous vous demandez à qui elle s’applique, ce qu’elle vise à accomplir et quelles sont ses conséquences ? Aujourd’hui, nous nous penchons sur ces questions.
Depuis le 17 janvier 2025, DORA (Digital Operational Resilience Act) impose un cadre inédit pour protéger le secteur financier. À l’heure actuelle, les cyberattaques se multiplient et fragilisent des systèmes pourtant essentiels à nos vies.
Mais là encore, cette réglementation promet de mieux protéger les institutions et de prévenir des catastrophes numériques. Voici tout ce que vous devez savoir.
Pourquoi est-elle nécessaire aujourd’hui ?
Laissez-moi vous rappeler que les cyberattaques ont explosé ces dernières années. Le pire, c’est qu’elles ciblent de plus en plus les institutions financières.
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/dora-tout-ce-quil-faut-savoir-sur-le-rgpd-de-la-cybersecurite
Cybersécurité
Arnaques en ligne : comment opèrent les cybercriminels ?
radiofrance.fr - Avec Johanna Brousse vice-procureure et cheffe de la section de lutte contre la cybercriminalité du Tribunal Judiciaire de Paris
Publié le mardi 21 janvier 2025
Le nombre d'escroqueries en ligne n'a fait qu'augmenter ces dernières années : arnaques amoureuses, arnaques aux faux conseillers bancaires ou fraude au support technique, les techniques sont nombreuses et de plus en plus sophistiquées. Mais comment opèrent ces réseaux de cybercriminels ?
C'est une affaire qui a suscité beaucoup de réactions sur les réseaux sociaux : une femme du nom de Anne aurait versé plus de 800 000 euros à un escroc s'étant fait passé pour la célébrité Brad Pitt, qui lui demandait de l'argent pour une opération médicale. Que dit cette affaire des méthodes d'escroquerie en ligne ? Comment les escrocs approchent-ils leurs victimes ? Comment la justice fait-elle face à ces nouvelles techniques ?
Des réseaux étrangers
Les "love arnaques" ou arnaques sentimentales ont pour objectif de créer des liens affectifs factices afin d'extorquer des fonds aux victimes. Les arnaqueurs ou "brouteurs" opèrent généralement depuis l'Afrique de l'Ouest, du Sénégal à la Côte d'Ivoire en passant par le Nigeria. Pour Johanna Brousse : "Le profil des arnaqueurs est très variable. Les brouteurs peuvent agir seuls ou à plusieurs. Mais certaines organisations sont beaucoup plus structurées avec des hiérarchies précises."
Lire la suite : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-question-du-jour/arnaques-en-ligne-comment-operent-les-cybercriminels-5937720
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Cyber-IA Expo 2025 : L’IA au cœur de la cybersécurité
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 24 janvier 2025
En prélude au Sommet pour l’Action sur l’IA, Beyond Event, Les Assises de la cybersécurité et les RIAMS (Rencontres de l’Identité de l’Audit et du Management de la Sécurité) organiseront “Cyber-IA Expo 2025” le 4 février prochain au Palais des Congrès de Paris. Cet événement, dont le Campus Cyber et le CESIN (Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique) sont partenaires, vise à mobiliser l’écosystème face aux enjeux critiques de l’IA et de la cybersécurité.
Co-construire l’avenir de la cybersécurité
Ce nouvel événement est une réponse proactive à une double dynamique : l’intensification des cybermenaces qui sont de plus en plus sophistiquées notamment grâce à l’IA et à l’émergence de nouvelles opportunités liées à l’IA et la GenAI.
Cyber-IA Expo se veut un catalyseur afin d’aider les organisations à naviguer dans cette convergence technologique inédite, où se mêlent pressions géopolitiques, enjeux économiques et transformation numérique. Son objectif est de transformer les défis actuels en leviers d’innovation et à faire de la cybersécurité et de l’IA des priorités stratégiques.
Un programme à la pointe des enjeux
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/cyber-ia-expo-2025-lia-au-coeur-de-la-cybersecurite/?mc_cid=54658b929c&mc_eid=1b5f52f4fd
Atos
Atos rehausse son estimation de position de trésorerie à fin 2024
zonzbourse.com - Alice Doré, Agefi-Dow Jones, adore@agefi.fr ed: LBO
Publié le 21 janvier 2025
(Actualisation: contexte, commentaire d'analystes)
PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le groupe de services informatiques Atos a annoncé lundi soir que sa position de trésorerie s'élevait à 2,19 milliards d'euros au 31 décembre 2024, un chiffre supérieur à l'estimation contenue dans son plan de sauvegarde accéléré, qui était de 1,15 milliard d'euros.
Cette nouvelle estimation comprend trois éléments qui n'étaient pas inclus dans le plan d'affaires du plan de sauvegarde accéléré approuvé par le tribunal de commerce de Nanterre en octobre dernier, a indiqué Atos dans un communiqué.
En excluant ces trois éléments, l'estimation de la position de trésorerie à fin 2024 serait de 1,19 million d'euros, soit 40 millions d'euros au-dessus de celle présentée dans le plan de sauvegarde, a souligné Atos.
Lire la suite : https://www.zonebourse.com/cours/action/ATOS-SE-4612/actualite/Atos-rehausse-son-estimation-de-position-de-tresorerie-a-fin-2024-48824578/
Thales
SIGNATURE DU PACTE D’ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ DE PROJET (« PROJECT COMPANY ») MGCS
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 24 janvier 2025
Vendredi 24 janvier 2025 - Thales, KNDS Deutschland, KNDS France et Rheinmetall Landsysteme ont annoncé jeudi 23 janvier la signature du pacte d’actionnaires de la MGCS « Project Company GmbH » à Paris, en présence du ministre français des Armées Sébastien Lecornu et du Ministre allemand de la Défense Boris Pistorius.
Programme d’armement franco-allemand, le MGCS (Système Principal de Combat Terrestre) vise à remplacer, à l’horizon 2040, les chars Leopard 2 et les chars Leclerc par un système de combat multiplateformes incluant des plateformes pilotées et non pilotées au sein d’une architecture de combat collaboratif.
C’est une étape essentielle à la création prochaine de la MGCS "Project Company" qui est aujourd’hui franchie. A l’issue de la négociation d’un contrat avec le BAAINBw, agissant pour le compte des deux Etats par le biais d’une Combined Project Team franco-allemande, cette société de projet sera chargée, en tant que maître d’œuvre industriel, de l’exécution du programme MGCS; notamment de la consolidation du concept et des principales briques technologiques du système.
La société, qui sera basée à Cologne, en Allemagne, sera partagée à parts égales entre les parties, 25 % chacune, avec une répartition nationale des activités industrielles de 50 % en Allemagne et de 50 % en France.
Les partenaires industriels du programme MGCS se félicitent aujourd’hui de cette signature, qui accompagne et concrétise l’impulsion donnée par les deux gouvernements français et allemand au printemps 2024, avec la signature d’une lettre d’intention (LoI).
A propos de KNDS :
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/signature-du-pacte-dactionnaires-societe-projet-project
En 2005, il y a 20 ans, je participais à la création de l’ADCET avec Louis Caillon de la société générale , Alain Risson maire de Gluiras et André Ampelas de la RATP. Nous avions déjà pour ambition de promouvoir et développer les transactions électroniques dans les collectivités territoriales en réunissant des acteurs privés et publics du marché.
Les cocréateurs ne sont plus à mes côtés mais j’ose croire qu’ils sont satisfaits de la tâche accomplie jusqu’à ce jour. Notre association n’a jamais cessé de croitre et compte plus de 60 membres.
Notre plus belle réalisation est sans nul doute la création de la norme AMC qui s’est développée très rapidement pour faciliter le déploiement des projets multiservices, en garantissant le respect de la protection des droits et des données personnelles.
Mais notre association a su également créer et pérenniser des opportunités pour se retrouver et échanger à travers les groupes de travails, les assemblées générales, les voyages d’étude et les Assises qui sont devenues un événement incontournable.
Rien n’aurait été possible sans la participation des membres. Et je tiens à remercier tout particulièrement nos présidents passés qui ont su me supporter et apporter leur contribution à l’histoire de l’ADCET : Didier de Lacretelle, Michel Affre , Noel Philippe, Mathieu Theurier.
Ils ne m’en voudront pas d’exprimer une mention particulière pour notre Présidente actuelle , Caroline Zorn, première femme à assurer cette mission, en lui apportant une énergie et une implication remarquables.
Avec un bureau élargi nous allons pouvoir faire encore de belles choses et relever ensemble les nouveaux défis du marché comme l’intelligence artificielle et le maintien de notre souveraineté face à une mondialisation accélérée.
Philippe Rousselet
Secrétaire général/ General Secretary
+33 (0) 6 71 74 85 11
Mobilité
Métro de Lille : une nouvelle version du pilote automatique attendue, des travaux vont débuter
actu.fr - par Amandine Vachez
Publié le 12 janvier 2025
La période probatoire du nouveau pilote automatique sur la ligne 1 du métro de Lille (Nord) est terminée. Mi-janvier 2025, des travaux commenceront sur des quais.
Après un travail intense sur la mise en service du nouveau pilote automatique de la ligne 1 du métro de Lille, la Métropole Européenne de Lille (Nord) a confirmé la fin de la période probatoire le mardi 7 janvier 2025. Pour rappel, elle avait été rallongée suite à un gros incident survenu sur la ligne en fin d’année dernière. « Cette phase avait pour objectif de tester la viabilité et d’optimiser le système conçu par l’industriel Alstom », précise la MEL. Celle-ci clôturée, des travaux vont être entamés.
Un impact réduit sur les voyageurs
« Au terme de cette période, le nombre d’incidents diminue de façon continue et l’impact sur les voyageurs a été réduit, avec des actions correctives mises en place au fur et à mesure », situe la MEL, dans un communiqué de presse.
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Le téléphérique urbain de Créteil espéré pour novembre 2025
ville-rail-transports.com - par Nathalie Arensonas
Publié le 16 janvier 2025
Invité ce matin du Club Ville, Rail & Transports, Grégoire de Lasteyrie, vice-président de la Région Ile-de-France chargé des transports, a indiqué espérer une mise en service du Câble 1 en novembre 2025. Le premier téléphérique francilien, construit par l’Autrichien Dopplemayr, doit relier la station de métro Créteil Pointe du lac à Villeneuve-Saint-Georges, via Limeil-Brévannes et Valenton, dans le Val-de-Marne. En moins de 20 minutes.
La ligne de 4,5 km sera exploitée par Transdev, avec un contrat de délégation de service public de quatre ans, renouvelables deux ans.
Lire la suite : https://www.ville-rail-transports.com/transports-urbains/le-telepherique-urbain-de-creteil-espere-pour-novembre-2025/
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Débordée par les trottinettes électriques, cette ville adopte des mesures encore plus drastiques que Paris
hellobiz.fr - par Baptiste LEMOINE
Publié le 18 janvier 2025
Face à l'anarchie des trottinettes électriques, Paris et Barcelone adoptent des stratégies contrastées pour restaurer l'ordre public et garantir la sécurité des citoyens.
Les trottinettes électriques, autrefois célébrées comme une révolution urbaine, se heurtent désormais à une opposition croissante dans les grandes villes d’Europe. Avec Paris et Barcelone en tête, ces métropoles luttent contre les désagréments causés par ce mode de transport. Si Paris a pris une décision radicale en bannissant les services de location de trottinettes électriques, Barcelone a choisi de serrer la vis avec une série de réglementations. Ces mesures illustrent un besoin urgent de rétablir l’ordre face à une utilisation devenue anarchique dans les rues. Les défis posés par les trottinettes électriques ne se limitent pas aux seuls problèmes de circulation. Ils incluent également des incivilités croissantes et une utilisation détournée à des fins criminelles. En réponse, ces villes ont adopté des mesures drastiques pour contenir une situation qui s’aggravait. Alors que les trottinettes avaient initialement été accueillies comme une innovation prometteuse pour réduire l’empreinte carbone et décongestionner le trafic, leur présence indisciplinée a rapidement soulevé des préoccupations majeures en matière de sécurité et d’ordre public.
Paris et le bannissement des services de location
Lire la suite : https://hellobiz.fr/2025/01/18/debordee-par-les-trottinettes-electriques-cette-ville-adopte-des-mesures-encore-plus-drastiques-que-paris/
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Plus léger, plus rapide, plus confortable : le premier métro en fibre de carbone change le visage des grandes villes
innovant.fr - par Lynda FOURNIER
Publié le 17 janvier 2024
Le Cetrovo 1.0, premier train de métro en fibre de carbone, promet de transformer le transport urbain avec une efficacité énergétique accrue et un confort passager inégalé. Lynda FOURNIER
Le monde des transports subit une transformation radicale avec l’avènement du premier train de métro en fibre de carbone, le Cetrovo 1.0 Carbon Star Rapid Rail. Grâce à l’ingéniosité des groupes Qingdao Metro Group et CRRC Sifang Co., Ltd., ce train révolutionnaire pose de nouvelles bases pour l’efficacité et le confort des transports urbains. Ce projet n’est pas seulement une réalisation technique, mais aussi une avancée significative dans la réduction de l’empreinte carbone et l’amélioration des conditions de transport pour les passagers. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de cette innovation, de la conception matérielle à l’impact écologique et économique.
Les matériaux de pointe derrière le Cetrovo 1.0
Le carbone est au cœur de cette révolution ferroviaire. La fibre de carbone est un matériau léger, mais d’une résistance exceptionnelle, ce qui est crucial pour la durabilité et la robustesse des structures de transport. En comparaison avec les matériaux traditionnels comme l’acier et l’aluminium, la fibre de carbone offre une résistance accrue à la corrosion et aux impacts.
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Le futur de la mobilité se dessine : Uber et Nvidia unissent leurs forces
titane.blue.fr - Ecrit par les éditeurs
Publié le 17 janvier 2025
Le partenariat combine les vastes ressources de données d'Uber avec les technologies avancées de NVIDIA, notamment la plateforme Cosmos™ et DGX™ Cloud, pour stimuler l'innovation dans le secteur de la mobilité. Dara Khosrowshahi, PDG d'Uber, a souligné l'impact de l'IA sur l'avenir de la mobilité. « L’IA générative constituera la base de la mobilité du futur. Cela nécessite à la fois des ensembles de données riches et une puissance de calcul puissante », a déclaré Khosrowshahi. « En travaillant avec NVIDIA, nous sommes convaincus que nous pouvons accélérer considérablement le processus de création de solutions de conduite autonome sûres et évolutives. »
carburant pour AI
Des millions de courses sont réservées chaque jour via Uber, fournissant à l’entreprise une source de données unique et étendue. Ces données seront combinées aux capacités de la plateforme Cosmos de NVIDIA et de DGX Cloud, qui permettent de développer des modèles d'IA plus rapidement et plus efficacement. L’objectif de la collaboration est de fournir aux partenaires de véhicules autonomes (AV) des systèmes d’IA plus puissants et plus efficaces.
Lire la suite : https://pitane.blue/fr/2025/01/17/l%27avenir-de-la-mobilit%C3%A9-prend-forme-uber-et-nvidia-unissent-leurs-forces/
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À Barcelone, l'iPhone devient une carte de transport… sans passer par Apple Pay
Eigen.fr - par Stéphane Moussie
Publié le 16 janvier 2025
Depuis fin décembre, l’iPhone peut servir de carte NFC dans les transports en commun de Barcelone. Il suffit d’approcher le téléphone d’un valideur pour ouvrir les portiques du métro. Comme à Paris ? Pas tout à fait. La capitale catalane a choisi de contourner Apple Pay pour intégrer sa carte de transport à l’iPhone, ce qui a des conséquences sur l’expérience utilisateur.
Une exception européenne
Avant de voir ce que cette implémentation particulière implique pour les usagers, il faut déjà expliquer comment l’Autorité du Transport Métropolitain (ATM) de Barcelone a réussi à exploiter la NFC de l’iPhone sans Apple Pay, car c’est un cas rarissime. Pour ça, c’est à Bruxelles, au siège de la Commission européenne, qu’il faut s’attarder.
Afin d’éviter une grosse amende potentielle pour abus de position dominante, Apple a proposé début 2024 à l’institution d’ouvrir, sans frais, la NFC de l’iPhone dans l’Union européenne. Jusque-là, les banques et les autres organisations qui voulaient exploiter la puce sans contact de l’iPhone devaient en effet s’intégrer à Apple Pay, une intégration qu’Apple leur faisait payer.
Lire la suite : https://www.igen.fr/iphone/2025/01/barcelone-liphone-devient-une-carte-de-transport-sans-passer-par-apple-pay-148011
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2025 : enfin l'année de la renaissance pour le secteur de la mobilité !
journaldunet.com - Chronique de Florent Roulet - Bryan, Garnier & Co
Publié le 16 janvier 2025
Ces dernières années, l'écosystème de la mobilité en Europe a traversé des moments difficiles.
La pandémie de Covid-19 a stoppé net les activités de nombreux opérateurs de services de mobilité, en particulier ceux spécialisés dans la mobilité partagée, la micromobilité et les services de véhicule à la demande. La reprise n’a pas été à la hauteur des attentes, avec de nombreuses faillites, des fusions forcées entre concurrents directs et des difficultés accrues de financement.
Aujourd’hui, la tendance s’inverse. En 2024, le passage de la « survie » à une dynamique de croissance rentable est tangible. À l’approche de 2025, une série d’avancées et de réussites promettent de faire oublier le climat pessimiste, laissant place à un regain d’optimisme pour le secteur.
Des entreprises résilientes et performantes se démarquent
Malgré la réduction des options de financement, certains acteurs de la mobilité ont réussi à adapter leurs stratégies et à recentrer leurs priorités sur des objectifs de rentabilité durable. Lire la suite : https://www.journaldunet.com/mobilites/1537101-2025-enfin-l-annee-de-la-renaissance-pour-le-secteur-de-la-mobilite/
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Nice. Lignes d'Azur : des bus transformés en taxi arrivent avec cette nouveauté, voici où
actu.fr - par Manon Reinhardt
Publié le 12 janvier 2025
À partir du 12 janvier 2025, Lignes d'Azur met en place, à Nice, des trajets de bus personnalisés avec le service "Le dimanche à la carte". Il suffit de réserver son créneau.
Et si le bus se transformait en taxi ? C’est ce que propose Lignes d’Azur à partir de ce dimanche 12 janvier 2025 à Nice (Alpes-Maritimes). Ce nouveau service « le dimanche à la carte » cible plusieurs quartiers de la ville.
Voici où et comment ça fonctionne.
Uniquement sur réservation
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Vers la fin du stationnement payant, l'une des annonces les plus applaudies lors de la cérémonie des vœux à Calais
france3-regions.francetvinfo.fr - par Valérie Dermersedian
Publié le 15 janvier 202
Ce lundi 13 janvier 2025, lors de la cérémonie des vœux, la maire de Calais, Natacha Bouchart a annoncé la fin du stationnement payant dans sa ville d'ici l'été.
"En 2025, la totalité du stationnement payant sera supprimée à Calais." C'est une des annonces les plus applaudies lors de la cérémonie des vœux de Natacha Bouchart ce lundi 13 janvier. Une mesure qui dénote, à l'heure où de nombreuses communes font le choix de réduire la place de la voiture dans leur centre, en élargissant les zones payantes.
Renforcer l'attractivité de la ville
Se garer dans les rues de Calais sera désormais gratuit. La maire de Calais justifie ce choix par sa volonté de permettre à chacun de se garer proche des commerces et de profiter du centre-ville. Elle rappelle qu'en 2008, sous la mandature de son prédécesseur, le communiste Jacky Hénin, elle s'était opposée à l'extension du stationnement payant, considérant que cette mesure était néfaste pour les habitants, les touristes et les commerçants. En 2025, en plus des transports en commun gratuits, la commune proposera donc le stationnement gratuit.
Extension des zones bleues
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CES 2025: LG dévoile une solution de détection dans l'habitacle alimentée par l'IA
Publié le 13 Janvier 2025
LG Electronics (LG), leader technologique dans le secteur de la mobilité, a présenté sa dernière innovation au CES 2025, sous le nom de « AI In-Vehicle Experience » de LG.
Cette solution de détection dans l'habitacle basée sur l'Intelligence Artificielle (IA) est conçue pour apporter plus de sécurité et de commodité à l'expérience de conduite, en s'appuyant sur la solution Vision AI de LG pour détecter et répondre aux besoins des occupants du véhicule, tout en optimisant les conditions à l'intérieur de l'habitacle.
Sous le thème « Life's Good 24/7 With Affectionate Intelligence », cette solution de détection alimentée par l'IA a été présentée aux côtés d'autres innovations LG AI sur les stands de l'entreprise au CES 2025.
L'expérience AI In-Vehicle commence par la détection et l'analyse du conducteur et de l'intérieur du véhicule en temps réel grâce à deux systèmes clés : le système de surveillance du conducteur (DMS) et le système de surveillance du conducteur et de l'intérieur (DIMS). Ces deux systèmes, alimentés par Vision AI, ont fait l'objet de simulations immersives et interactives au CES, permettant aux visiteurs de découvrir l'habitacle du véhicule du futur. Ces simulations ont mis en évidence la façon dont la technologie de LG peut analyser avec précision les conditions de conduite et l'état du conducteur en temps réel, offrant un aperçu pratique de l'expérience de l'IA à l'intérieur du véhicule.
Lire la suite : https://www.espacemanager.com/ces-2025-lg-devoile-une-solution-de-detection-dans-lhabitacle-alimentee-par-lia.html
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Transports en commun du Grand Avignon : attention aux fausses offres d'abonnement sur Facebook
Avignon - ci Vaucluse - par Diane Sprimont
Publié le 14 janvier 2025
Ce mardi, le Grand Avignon alerte sur la présence de fausses pages Facebook vendant des abonnements Orizo, le réseau des transports en commun du Grand Avignon.
Des pages Facebook frauduleuses propose des abonnements Orizo, le réseau des transports en commun du Grand Avignon. La communauté d'agglomération a signalé cette arnaque ce mardi. C'est la seconde fois depuis la semaine passée que le Grand Avignon relève ce genre d'arnaques.
Un abonnement à 2,35 euros
Ces fausses pages Facebook vous demandent vos coordonnées personnelles et bancaires pour une carte de transport valable six mois pour un montant de 2,35 euros. Cette offre n'existe pas. La communauté d'agglomération vous recommande de ne transmettre aucune information personnelle ou données bancaires, "et cela même si c'est Brad Pitt qui vous demande quelque chose."
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/infos/societe/transports-en-commun-du-grand-avignon-attention-aux-fausses-offres-d-abonnement-sur-facebook-9700160
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Mobilité électrique : deux caps symboliques franchis en 2024, selon l'Avere France
banquedesterritoires.fr - par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 14 janvier 2025
Alors que la fin de la vente des véhicules thermiques reste programmée pour 2035, l'Avere France se réjouit que deux caps symboliques aient été franchis en 2024, avec plus de 150.000 points de recharge désormais ouverts au public et plus de 2 millions de véhicules électriques et hybrides rechargeables en circulation. Mais l'association qui oeuvre pour le développement de la mobilité électrique en France alerte sur le resserrement des dispositifs d'aides à l'acquisition de véhicules alors qu'il faudrait un "soutien adapté et pérenne" permettant de rendre les véhicules électriques accessibles au plus grand nombre.
Pour l'Avere France, "2025 sera une année décisive pour la mobilité électrique puisqu’elle marque le lancement du compte à rebours vers la fin programmée de la vente des véhicules thermiques en 2035". Alors que l'industrie automobile doit relever ce défi existentiel en un temps record, l'association spécialisée dans le développement de la mobilité électrique en France se réjouit que "deux caps symboliques" aient été franchis en 2024.
Léger recul des immatriculations sur un marché automobile déprimé
Sur un marché automobile en berne, 464.714 immatriculations de véhicules électriques et hybrides rechargeables légers neufs ont été enregistrées l'an dernier, représentant une part de marché de 22%. Parmi eux : 317.501 véhicules électriques (-3,35% par rapport à 2023) et 147.213 hybrides rechargeables (-9,88 %). Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/mobilite-electrique-deux-caps-symboliques-franchis-en-2024-selon-lavere-france?pk_campaign=newsletter_quotidienne&pk_kwd=2025-01-14&pk_source=Actualit%C3%A9s_Localtis&pk_medium=newsletter_quotidienne
CNIL
IA, mineurs, cybersécurité, quotidien numérique : la CNIL publie son plan stratégique 2025-2028
cnil.fr - Communiqué
Publié le 16 janvier 2025
Le nouveau plan stratégique de la CNIL comporte quatre grands axes : intelligence artificielle, droits des mineurs, cybersécurité et usages du quotidien numérique. Il doit permettre de protéger les données de chacun et ainsi de sécuriser l’avenir numérique de tous. Il reposera sur une action équilibrée entre prévention, accompagnement et répression.
Protéger les données de chacun pour sécuriser l’avenir numérique de tous
Dans un contexte marqué par l’essor fulgurant des nouvelles technologies et par l’omniprésence de services numériques (intelligence artificielle, Internet des objets, identité numérique, cloud et réseaux sociaux…), la question de l’utilisation des données personnelles est, plus que jamais, au cœur de notre quotidien.
Face aux défis pour la vie privée de chacun, la CNIL se mobilise pour assurer la mise en conformité des organismes au RGPD et garantir le respect effectif des droits des personnes.
Pour atteindre ces objectifs, la CNIL renforce sa présence sur le terrain et va à la rencontre des publics, diversifie son offre de service pour accompagner les organismes, dialogue avec les parties prenantes pour produire des outils adaptés et accroît le nombre et la variété de ses mesures répressives.
Le plan stratégique complet de la CNIL
Axe 1 - Intelligence artificielle
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/ia-mineurs-cybersecurite-quotidien-numerique-la-cnil-publie-son-plan-strategique-2025-2028
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IA générative et RGPD : L’Autorité italienne sanctionne OpenAI d’une amende de 15 millions d’euros
dalloz-actualite.fr - par Fabienne Jault-Seseke, Professeur à l’Université de Paris Saclay, UVSQ, Dante
Publié le 16 janvier 2025
La décision de l’Autorité de protection des données italienne (Autorita Garante per la protezione dei dati personali), publiée le 20 décembre 2024, de prononcer une amende de 15 millions d’euros à l’encontre d’OpenAI pour non-conformité au RGPD de ChatGPT, dans sa version initiale, est une première : il s’agit en effet de la première condamnation pour violation du RGPD en matière d’IA générative.
Ce n’est pas la première fois que l’Autorité italienne s’illustre dans le contrôle d’OpenAI. Elle s’était déjà montrée incisive en interdisant ChatGPT le 30 mars 2023 (Mesure d’urgence, M. Clément-Fontaine et Cabinet Twelve avocats, Panorama rapide de l’actualité « Technologies de l’information » de la semaine du 3 avr. 2023, Dalloz actualité, 11 avr. 2023). L’Autorité italienne s’était intéressée à l’entreprise américaine à la suite de la publication de plusieurs articles de presse faisant état de bugs techniques qui communiquaient à un utilisateur les titres de discussion (prompts) des autres utilisateurs du service. Plusieurs violations du RGPD avaient été alors décelées. Cette interdiction avait conduit OpenAI à s’engager à se mettre en conformité avec le RGPD et elle avait été levée, le 11 avril 2023, par une ordonnance qui comportait toute une série de mesures à prendre. Parallèlement, le Comité européen de la protection des données (CEPD) lançait en avril 2023 un groupe de travail dédié à ChatGPT (M. Musson, Dalloz actualité, 28 juin 2024).
Lire la suite : https://www.dalloz-actualite.fr/flash/ia-generative-et-rgpd-l-autorite-italienne-sanctionne-openai-d-une-amende-de-15-millions-d-eur
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Permissions dans les applications mobiles : les recommandations de la CNIL pour respecter la vie privée des utilisateurs
cnil.fr - Communiqué
Publié le 14 janvier 2025
Le 24 septembre 2024, la CNIL a publié la version finale de ses recommandations pour aider les professionnels à concevoir des applications mobiles respectueuses de la vie privée. Elle revient dans cet article sur le rôle clé des permissions au sein des applications mobiles.
L’utilisation d’applications mobiles implique très souvent des traitements de données personnelles : ces données sont soit fournies par les utilisateurs, soit collectées directement par l’application lorsqu’elle accède aux ressources présentes au sein de leur smartphone ou tablette. Dans ce dernier cas, l’application demande l’accord de l’utilisateur à travers un système mis à disposition par les systèmes d’exploitation : les permissions.
Qu’est-ce qu’une permission ?
Les permissions d’accès (ou « autorisations ») mises en œuvre au sein des OS des terminaux mobiles sont des dispositifs permettant à l’utilisateur de choisir quelles fonctionnalités et quelles données sont accessibles à chacune de leurs applications mobiles.
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/permissions-applications-mobiles-recommandations-de-la-cnil-pour-respecter-la-vie-privee
Services publics
Deux guides pour permettre un accès plus direct et efficace aux services publics
modernisation.gouv.fr - Communiqué
Publié le 14 janvier 2025
La DITP publie deux guides pour mettre en place le rappel téléphonique et des solutions d'autonomisation des usagers.
Le rappel téléphonique et les solutions d'autonomisation des usagers transforment l'expérience usager, en permettant de gérer plus facilement les démarches tout en réduisant les temps d'attente.
Plan Téléphone : améliorer l’accès aux services publics
Le téléphone est le premier canal de contact utilisé pour joindre les services publics, mais il génère aussi beaucoup d'insatisfaction. C’est pourquoi, le 9 mai 2023, le comité interministériel de la transformation publique a annoncé un plan téléphone pour que les usagers puissent joindre plus facilement les services publics et que ceux-ci apportent une réponse de qualité. Le plan téléphone a pour objectif de faciliter l’accès aux services publics, notamment via une meilleure gestion des contacts téléphoniques et s’inscrit dans le cadre de Services Publics+, le programme d’amélioration continue de la qualité et de l’efficacité des services publics, piloté par la DITP.
Dans le cadre du Plan Téléphone, une série d’ateliers a été organisée pour améliorer les échanges téléphoniques entre les usagers et l’administration. Au cours des échanges organisés avec les services publics, les solutions d'autonomisation et le rappel téléphonique automatique sont apparus comme des leviers d’amélioration, répondant à la fois aux attentes d’autonomie des usagers et à l’enjeu d’efficacité des services publics. Des groupes de travail ont ainsi été organisés pour instruire ces thématiques et aboutir à la conception de ces deux guides. Ils sont destinés à toutes les administrations et entités publiques souhaitant mettre en place ou améliorer leur fonctionnalité de rappel téléphonique, ou mettre en place des solutions d'autonomisation.
Un guide pratique pour mettre en œuvre le rappel automatique
Lire la suite : https://www.modernisation.gouv.fr/actualites/deux-guides-pour-permettre-un-acces-plus-direct-et-efficace-aux-services-publics
Réforme de l’Etat
Moins d’agences de l’Etat ? Les élus locaux plutôt séduits par l’intention de François Bayrou
courrierdesmaires.fr par Aurélien Hélias
Publié le 16 janvier 2025
La proposition faite par le Premier ministre lors de son discours de politique générale de tailler dans les opérateurs de l’Etat est plutôt bien reçue dans le petit monde des collectivités. Du président de l’Association des maires de France, David Lisnard, à celui des Villes de France, Gil Avérous, nombre d’élus locaux applaudissent des deux mains. La « chasse » aux agences jugées trop onéreuses, faisant doublon avec l’administration centrale ou déconcentrée, voire venant court-circuiter l’autorité des ministres, semble lancée… sous réserve que les coupes ne soient pas brutales.
« Est-il nécessaire que plus de 1000 agences, organes ou opérateurs exercent l’action publique ? Nous connaissons le rôle précieux de plusieurs d’entre eux, comme France Travail. Mais ces 1000 agences ou organes, sans contrôle démocratique réel, constituent un labyrinthe dont un pays rigoureux peut difficilement se satisfaire », assénait François Bayrou lors de son discours de politique générale mardi 14 janvier, entre deux diatribes sur les normes et la bureaucratie.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.courrierdesmaires.fr/article/moins-d-agences-de-l-etat-les-elus-locaux-saluent-l-intention-de-francois-bayrou-jusqu-a-un-certain-point.58548?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=cdm_flash&email=98870165&idbdd=2101928
Intelligence artificielle
Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle
Pendant près d’une semaine, à partir du 6 février 2025, Paris accueillera de nombreux évènements visant à renforcer l’action internationale en faveur d’une intelligence artificielle au service de l’intérêt général. Elle sera rythmée par : des journées scientifiques, un week-end culturel, un Sommet international au Grand Palais, de nombreux évènements parallèles, une journée pour les entreprises.
Lire la suite : https://www.elysee.fr/sommet-pour-l-action-sur-l-ia
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L’IA, un enjeu majeur selon la Cnil dans son plan stratégique 2025-2028
solutions-numériques.com - par Juliette Paoli
Publié le 16 janvier 2025
Le gendarme français de la protection des données personnelles va accentuer dans les années à venir son contrôle de l’impact de l’intelligence artificielle (IA), a-t-elle indiqué jeudi.
“L’intelligence artificielle et ses nombreux usages comportent des risques importants au regard de la vie privée, de la cybersécurité, comme de l’éthique. En particulier, la popularisation de l’IA générative s’accompagne d’un accroissement de contenus potentiellement malveillants ou trompeurs, comme en témoignent les hypertrucages de la voix ou de l’image des personnes“, explique la CNIL.
La Commision compte ainsi poursuivre ses travaux pour clarifier le cadre légal sur l’IA, dialoguer avec l’écosystème et développer les capacités d’audit. Elle enrichira ses ressources déjà existantes pour les professionnels et le grand public, ajoute-t-elle.
L’autorité, qui dispose d’un pouvoir de contrôle et de sanction, entend participer dans les prochaines années à des contrôles “avec les autorités de protection des données européennes, notamment des solutions de grands modèles de langage”.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/lia-un-enjeu-majeur-selon-la-cnil-dans-son-plan-strategique-2025-2028/
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Microsoft intente une action en justice pour lutter contre l'utilisation abusive de la technologie de l'IA
Binance News - par Compte Binance officiel vérifié
Publié le 12 janvier 2025
Résumé de l’IA
Selon PANews, Microsoft a engagé une action en justice pour lutter contre la cybercriminalité liée à l'utilisation abusive de la technologie de l'intelligence artificielle générative. L'action en justice, déposée dans le district Est de Virginie, vise un groupe de menaces étranger accusé de contourner les mesures de sécurité des services d'IA pour créer des contenus nuisibles et illégaux.
L'unité de lutte contre la cybercriminalité de Microsoft (DCU) a souligné que les accusés avaient développé des outils utilisant des identifiants clients volés pour obtenir un accès non autorisé à des services d'IA générative. Ces capacités d'IA modifiées ont ensuite été revendues avec des instructions pour une utilisation malveillante. La plainte affirme que les activités des cybercriminels violent la loi américaine et la politique d'utilisation acceptable de Microsoft.
Dans le cadre de l'enquête, Microsoft a saisi le site Web principal de l'opération, ce qui devrait permettre d'identifier les auteurs, de démanteler leur infrastructure et d'analyser la manière dont ces services ont été monétisés. En réponse à ces incidents, Microsoft a renforcé ses mesures de protection de l'IA en déployant des mesures de sécurité supplémentaires sur sa plateforme. L'entreprise a également révoqué l'accès des acteurs malveillants et mis en œuvre des contre-mesures pour prévenir les menaces futures.
Lire la suite : https://www.binance.com/fr/square/post/01-12-2025-microsoft-sues-to-combat-misuse-of-ai-technology-18818260311394
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Restriction de l’IA dans le monde : Washington s’explique dans une fiche
lemagit.fr - par Yann Serra
Publié le: 14 janvier 2025
En à peine quelques heures, les USA ont déjà promulgué un nouveau cadre juridique qui impose des quotas de GPU et de LLM au reste du monde. À une semaine du changement de présidence. Les industriels des semiconducteurs demandent le retrait du texte.
Ça n’a pas traîné. Le texte finalisé qui restreint les exportations des technologies d’IA américaines dans le monde aura finalement juste eu le temps d’un week-end pour être discuté. Washington a promulgué la loi Export Control Framework for Artificial Intelligence Diffusion, hier, lundi 13 janvier. L’intégralité du texte sera officiellement publiée mercredi 15 janvier.
En attendant, il est possible de consulter sa version dans un format non officiel, de 170 pages, sur le site du registre fédéral. La Maison-Blanche vient aussi de publier sur son site une fiche d’information qui résume les principaux points de cette loi – plus exactement un cadre juridique, dans la nomenclature américaine – dans le but d’éviter les interprétations malveillantes.
En l’occurrence, l’Export Control Framework for Artificial Intelligence Diffusion, promulguée par l’Administration Biden en urgence, une semaine à peine avant le changement de président aux USA, courrouce tout particulièrement les fournisseurs américains de technologies d’IA, qu’ils fabriquent des GPU ou développent des LLM.
L’industrie de la Tech américaine appelle au retrait du texte
Lire la suite : https://www.lemagit.fr/actualites/366618052/Restriction-de-lIA-dans-le-monde-Washington-sexplique-dans-une-fiche
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Gouvernance de l’intelligence artificielle et conformité à l’IA Act
décideurs-magazine.com - par Olivier Quéméneur
Publié le 14 janvier 2024
Avec le développement exponentiel de l’intelligence artificielle, y compris l’IA générative, les décideurs et les régulateurs ont fait de la gouvernance de l’IA une priorité. La réglementation européenne IA Act et son échéance de 2025 s’ajoutent à l’enjeu des entreprises dans l’adoption de l’IA. Les entreprises doivent avoir une approche méthodique : Organisation, Cadre de gouvernance IA, Sensibilisation.
L'adoption de l’intelligence artificielle (IA) connaît une accélération significative, avec des outils comme Copilot, ChatGPT ou Gemini s’intégrant de plus en plus aux usages quotidiens, tant professionnels que personnels. Toutefois, dans les entreprises, la confiance envers cette technologie reste mitigée. En effet, les avantages potentiels offerts par l’IA se heurtent à des craintes liées à l’explicabilité des résultats, à l’éthique, à des hallucinations et risques de biais. Pour mieux encadrer la gouvernance de l’IA, L’Europe propose une charte dédiée pour promouvoir une IA responsable avec l’IA Act (Artificial Intelligence Act).
La réponse de l’Europe pour maîtriser l’IA
Lire la suite : https://www.decideurs-magazine.com/digital-marketing/60263-gouvernance-de-l-intelligence-artificielle-et-conformite-a-l-ia-act.html
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Menaces de cybersécurité en 2025 : les entreprises sont-elles prêtes ?
lesnews.ca - par Julien Macé
Publié le 12 janvier 2025
À l’aube de l’année 2025, le paysage de la cybersécurité continue d’évoluer à un rythme sans précédent. Avec chaque avancée technologique, les cybercriminels mettent au point des méthodes de plus en plus sophistiquées pour exploiter les vulnérabilités. Les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité, font face à une nouvelle ère de menaces numériques qui exigent des mesures proactives et des mécanismes de défense robustes. Les organisations sont-elles prêtes à affronter ces défis émergents? Nous allons explorer les principales menaces qui façonnent l’environnement de la cybersécurité et comment les entreprises peuvent y faire face.
1. Cyberattaques alimentées par l’IA : une arme à double tranchant
L’intelligence artificielle (IA) a révolutionné le domaine de la cybersécurité, tant pour les professionnels que pour les cybercriminels. Alors que la majorité des entreprises utilisent l’IA pour la détection et la réponse aux menaces, les attaquants l’exploitent pour développer des logiciels malveillants plus avancés et difficiles à détecter, ainsi que des campagnes de phishing ciblé et des escroqueries basées sur des générateurs de faux contenus. En 2025, il est impératif que les organisations restent vigilantes face aux menaces alimentées par l’IA en adoptant des technologies de contre-mesure et en s’assurant que leurs défenses s’adaptent aux menaces rencontrées.
2. Rançongiciels 3.0 : l’ère de l’extorsion double et triple
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/menaces-de-cybersecurite-en-2025-les-entreprises-sont-elles-pretes/
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NETSCOUT intègre l’IA/ML pour une cybersécurité révolutionnaire
lesnews.ca - par Julien Macé
Publié le 11 janvier 2025
NETSCOUT SYSTEMS, INC. a récemment annoncé des mises à jour de ses produits phares, Arbor Edge Defense (AED) et Arbor Enterprise Manager (AEM), dans le cadre de sa solution Adaptive DDoS Protection. Ces nouveautés visent à contrer les menaces DDoS alimentées par l’ IA et à protéger les infrastructures informatiques essentielles.
Le rapport sur les menaces DDoS de NETSCOUT a révélé que les attaques au niveau des applications et volumétriques ont respectivement augmenté de plus de 43 % et 30 %. Les services DDoS à la demande se sont également multipliés et sophistiqués, facilitant les lancements d’attaques. De plus, la Cybersecurity & Infrastructure Security Agency (CISA) a récemment publié un avis de cybersécurité soulignant la nécessité d’améliorer les contrôles pour prévenir et détecter les activités malveillantes, ce qui renforce l’impératif pour les entreprises d’adopter des solutions protectrices pour minimiser les risques commerciaux.
« Selon une recherche récente de l’IDC, la complexité des environnements informatiques constitue souvent le principal défi des efforts d’atténuation des organisations, surtout lorsque les attaquants modulent continuellement leurs vecteurs d’attaque en utilisant l’IA pour défier les défenses », a déclaré Chris Rodriguez, Directeur de recherche, Sécurité & Confiance chez IDC. « Les organisations doivent investir dans des mesures proactives et adaptatives pour protéger leurs environnements, comme celles offertes par la solution Adaptive DDoS Protection de NETSCOUT. Une atténuation réactive ou statique qui manque d’intelligence sophistiquée crée des risques inutiles et ouvre la voie à des dommages coûteux à la productivité et à la réputation des entreprises. »
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/netscout-integre-lia-ml-pour-une-cybersecurite-revolutionnaire/
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Une collectivité normande choisit Docaposte pour assurer sa cybersécurité
Nouveaux Services - Normandie
lapostegroupe.com - Communiqué
Publié le 13 janvier 2025
Dans une région particulièrement frappée par la cybercriminalité, la commune de Thue et Mue a choisi Docaposte, filiale numérique du groupe La Poste pour se prémunir. Accompagnée sur les services de cybervigilance et de cybersauvegarde des données, la collectivité a bénéficié d’un accompagnement financier pour se doter de solutions adaptées dont elle mesure déjà l’efficacité. Eclairage.
A l'instar de Thue et Mue, une commune du Calvados dont Coralie Bouscharain est la responsable informatique, de nombreuses collectivités normandes ne sont pas épargnées par les tentatives de piratage. En septembre 2022, la ville de Caen et la communauté urbaine de Caen-la-Mer, dans le Calvados, ont été victimes d’une cyberattaque de grande ampleur. Pendant plusieurs mois, des services ont été perturbés et des sites Internet inaccessibles. "La bibliothèque et la médiathèque ont notamment été touchées" explique la responsable informatique. "Cela a eu pour effet immédiat une surcharge de travail. Pendant plus d’un an nous avons été obligés de reprendre la gestion des objets empruntés sur papier."
Lire la suite : https://www.lapostegroupe.com/fr/actualite/une-collectivite-normande-choisit-docaposte-pour-assurer-sa-cybersecurite
Risques mondiaux
Conflits, climat et désinformation en tête des risques mondiaux, selon le Forum économique
lalibre.be - Belga Agence
Publié le 15 janvier 2025
Les conflits armés entre États, la mésinformation et la désinformation ainsi que les risques liés au réchauffement climatique sont les risques mondiaux les plus prégnants à court et long terme, ressort-il du Global Risks Report 2025 publié mercredi par le Forum économique mondial (Wef). En Belgique, les inquiétudes tournent principalement autour des questions économiques.
Les conflits armés entre États sont identifiés par les 900 experts ayant pris part à la publication comme le risque mondial immédiat le plus pressant en 2025. À court terme, soit dans les deux années à venir, les conflits armés se placent en troisième position du classement. La mésinformation et la désinformation sont considérées, comme dans le précédent rapport, comme le risque n°1 à court terme. Les événements climatiques extrêmes occupent la deuxième place.
Internet des objets
IoT : les Etats-Unis veulent des objets connectés sécurisés avec le label US Cyber Trust Mark
solutions-numériques.com - par François Tonic
Publié le 13 janvier 2025
Le gouvernement fédéral a annoncé le label US Cyber Trust Mark. Il doit permettre de commercialiser sur le marché des IoT, les fameux objets connectés, mieux sécurisés. Ces matériels peuvent être des serrures, des lampes, des volées, de l’électroménager, etc.
Les IoT ont longtemps été laxistes sur la sécurité, avec des vulnérabilités non comblées durant des mois ou encore avec une conception peu rigoureuse sur la communication des données sensibles (connexion réseau ou mot de passe en clair).
Les constructeurs voulant être certifiés devront faire tester leurs IoT par un laboratoire agrémenté par la FFC (Federal Communications Commission). Les logiciels et les systèmes devront répondre aux critères et spécificités du label.
Ce label sera déployé dans les prochains mois. A terme, il est possible que le gouvernement fédéral impose des IoT certifiés aux administrateurs.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/iot-les-etats-unis-veulent-des-objets-connectes-securises-avec-le-label-us-cyber-trust-mark/
Identité
Faudra-t-il bientôt prouver son identité pour donner son avis en ligne ?
capital.fr - Par Valentin Dechambre
Publié le 17 janvier 2025
Avant de séjourner dans un hôtel, la majorité des internautes consulte les avis clients en question. Et tombent souvent sur des commentaires dithyrambiques ou catastrophiques. En Italie, les internautes pourraient bientôt devoir fournir une pièce d’identité.
Une majorité de Français déclarent avoir pris l’habitude de consulter les avis clients sur Internet avant de réserver un hôtel ou un restaurant. Il est alors aisé de comprendre à quel point les avis virtuels sont importants pour les établissements. En cause, l’avalanche de faux avis circulant sur le web, et le manque de régulation de ces supercheries. Les faux commentaires sont un fléau en Italie. Ils affecteraient entre 6 et 30 % du chiffre d’affaires des sociétés du secteur de l’hôtellerie et du tourisme, selon le gouvernement italien. Il souhaite mettre en place un système de vérification d'identité pour les utilisateurs qui veulent laisser un commentaire en ligne. Pour cela, il faudrait fournir une pièce d’identité et une preuve de leur visite, selon le Guardian et relayé par Le Parisien.
Lire la suite : https://www.capital.fr/economie-politique/faudra-t-il-bientot-prouver-son-identite-pour-donner-son-avis-en-ligne-1508172
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Présentez France Identité lors de la vérification de votre titre de transport
france-identite.gouv.fr - par Communiqué
Publié le 17 janvier 2025
Depuis le 20 janvier 2025, une expérimentation conjointe entre France Identité et SNCF Voyageurs est lancée pour utiliser l’application à bord des TGV INOUI.
Plus besoin de présenter votre billet de train et un titre d’identité, vous pourrez présenter votre application France Identité, notamment si vous avez un abonnement TGV INOUI ou une carte avantage SNCF Voyageurs.
Comment utiliser France Identité dans le train ?
La vérification de votre titre de transport à bord d’un TGV INOUI peut maintenant s’effectuer grâce à France Identité à l’aide de votre carte d’identité numérique. Pour activer cette fonctionnalité, cliquez sur votre carte d’identité sur la home de votre application.
La carte d’identité numérique France Identité remplace la présentation de votre billet de train lors de sa vérification. Afin d’en faciliter le contrôle, une carte spécifique avec un QR Code a été développée. Ce QR Code est chiffré et contient vos nom, prénom et date de naissance. Ces données sont communiquées lors de l’achat votre titre de transport TGV INOUI.
Lire la suite : https://france-identite.gouv.fr/experimentation-SNCF/
Sécurité
Zones police-gendarmerie : la Cour des comptes réclame une refonte « urgente » tenant compte davantage des polices municipales
maire-info.com - par A.W.
Publié le mardi 14 janvier 2025
Pointant une carte des zones de compétence devenue « incohérente » et « inefficiente », les magistrats financiers demandent une meilleure prise en compte de cette « troisième force » dans le maillage des forces de sécurité. Et particulièrement dans les métropoles.
Enchevêtrement confus des zones de compétences, sureffectifs dans des zones sans enjeux de délinquance, des polices municipales pas assez prise en compte dans le maillage local des forces de sécurité… Dans un rapport publié hier, la Cour des comptes a analysé la répartition territoriale des forces de police et de gendarmerie qu’elle juge « inefficiente ».
Celle-ci déplore le « peu d’évolution » de leurs zones de compétences au cours des 80 dernières années et constate que plus aucune modification n’est d’ailleurs intervenue depuis 2014, alors même que « l’évolution de la démographie et celle de la délinquance l’auraient justifié ».
Pourtant, le fait que la répartition des 253 000 policiers et gendarmes du pays relève désormais de l’unique tutelle du ministère de l’Intérieur depuis 2009 « aurait dû permettre une révision plus substantielle de la carte que lorsque la gendarmerie relevait du ministère de la Défense », pointent les magistrats financiers qui estiment qu’il est désormais « indispensable » et « urgent » de procéder aux « ajustements nécessaires ».
Une répartition « datée et incohérente »
Désinformation
Vera, une intelligence artificielle contre la désinformation
francetvinfo.fr - par Armêl Balogog
Publié le 14 janvier 2024
Le Vrai ou Faux parle souvent d'intelligence artificielle pour dénonce la création de fausses informations, de fausses images, de deepfakes, mais à l'occasion de Médias en Seine, le festival international des médias de demain, organisé par franceinfo en partenariat avec Les Échos et Le Parisien, mardi 14 janvier le Vrai ou Faux a décidé de parler d'une intelligence artificielle au service de la lutte contre la désinformation.
Elle s'appelle Vera et se présente comme "le numéro de confiance pour vérifier les faits". C'est une IA française, gratuite et simple d'utilisation. Il suffit d'enregistrer son numéro – le 09.74.99.12.95 – et de lui écrire sur la messagerie WhatsApp ou de l'appeler par téléphone pour lui demander si telle ou telle rumeur est vraie. Elle décroche immédiatement d'un "Bonjour, je m'appelle Vera, quelle information souhaites-tu vérifier aujourd'hui ?"
L'IA synthétise des informations vérifiées
"C'est un outil qui permet, sur la base d'une question posée, de proposer une réponse qui soit humaine, attentive, presque empathique, mais surtout qui soit sourcée, sur n'importe quel type d'information", explique Florian Gauthier, l'un de ses créateurs, à franceinfo.
Lire la suite : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/vera-une-intelligence-artificielle-contre-la-desinformation_6985649.html
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La désinformation prorusse entre en scène sur le réseau social Bluesky
Publié le 13 janvier 2025 à 15:31
Par : Dounia MAHIEDDINE, Claire-Line NASS, AFP France
Copyright AFP 2017-2025.
Le réseau social Bluesky a été rejoint ces derniers mois par de nombreux déçus de X, fuyant pour certains la multiplication de contenus offensants et de fausses informations. Mais le jeune réseau n'est pas à l'abri : des experts y accumulent les indices d'une déclinaison de la campagne de désinformation prorusse "Matriochka", qui avait été mise au jour il y a un an sur la plateforme d'Elon Musk.
A partir de données récoltées depuis fin décembre par le collectif @antibot4navalny (ici sur X et là sur Bluesky), spécialisé dans la traque des opérations d'influence et à l'origine des révélations sur la présence et l'ampleur de "Matriochka" ("Poupée russe" en français) sur X, l'AFP a pu analyser des dizaines de publications présentant toutes les caractéristiques de cette opération, aussi appelée "Overload", sur le réseau social américain Bluesky (liens archivés ici et ici).
Le mode opératoire est toujours le même : interpeller des médias pour leur demander de vérifier ou commenter des infox et leur faire perdre leur temps. Avec une nouveauté : sur Bluesky, en plus d'imiter des publications de médias, des contenus trompeurs générés par intelligence artificielle usurpent aussi l'identité d'institutions universitaires.
Créé en juillet 2023, Bluesky est devenu fin 2024 un refuge pour les déçus de la plateforme X détenue par Elon Musk, annoncé comme futur membre du gouvernement du président américain Donald Trump. Fin décembre, Bluesky revendiquait près de 26 millions d'utilisateurs, dont près de la moitié arrivés dans la foulée de la présidentielle américaine (lien archivé ici).
Lire la suite : https://factuel.afp.com/doc.afp.com.36T86N6
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Atos
Dans son usine du futur, cette entreprise va chauffer une partie d’Angers grâce à ses ordinateurs
ouest-francs.fr - par Jean-Philippe NICOLEAU.
Atos-Eviden, la filiale du géant informatique Atos installée à Angers (Maine-et-Loire), construit une usine nouvelle génération, opérationnelle début 2027. À terme, le nouvel équipement sera relié au réseau de chauffage de la ville. Explications.
Lire aussi : Usine du futur, révolution quantique… À Angers, comment le géant informatique Atos garde le cap
À terme, ce dernier prévoit un raccordement du site au réseau de chaleur de la ville d’Angers (Maine-et-Loire). Sur le site de Belle-Beille, précisément. Une opération menée conjointement par la filiale du géant informatique Atos et Angers Loire métropole.
« Un défi technique »
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/dans-son-usine-du-futur-cette-entreprise-va-chauffer-une-partie-dangers-grace-a-ses-ordinateurs-55da30c4-d415-11ef-a472-523f8d5502d1
Lire aussi (réservée aux abonnés) : Usine du futur, révolution quantique… À Angers, comment le géant informatique Atos garde le cap
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Atos renforce son équipe de direction avec la nomination de Franck Chartier au poste de Directeur Général France
fr.finance.yahoo.com - Communiqué
Paris, France – 15 janvier 2025 – Atos annonce aujourd’hui la nomination de Franck Chartier en qualité de Directeur Général France du Groupe à compter du 1er janvier 2025.
Fort d’une solide expérience dans la direction d’organisations ainsi que d’une grande expertise des activités digitales et des systèmes d’information, Franck Chartier apportera à la tête de la France des compétences précieuses pour accompagner le déploiement de la nouvelle stratégie du Groupe alors qu’Atos a finalisé avec succès sa restructuration financière et ouvre un nouveau chapitre de son histoire. Franck aura notamment pour mission de soutenir l’ensemble des clients dans leurs projets avec le plus haut niveau d’accompagnement et de qualité de service, et de renforcer la position du Groupe sur le marché français.
« Je me réjouis qu’un professionnel aussi expérimenté que Franck ait choisi de nous rejoindre pour cette nouvelle phase de notre développement. Son expertise sera cruciale afin d’apporter à l’ensemble de nos clients en France le niveau d’excellence que l’on attend d’Atos » a déclaré Philippe Salle, Président du Conseil d’administration et futur Président Directeur Général du Groupe Atos.
THALES
Exomars : les préparatifs de Thalès pour envoyer son rover sur mars
France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur - sur Youtube
Cela fait 20 ans que la sonde Cassini-Huygens a atterri sur Titan, l'une des lunes de Saturne. Un événement que l'on doit en partie à Thalès Alenia Space. Le site cannois nous a ouvert ses portes pour nous présenter leur dernier projet, avec Mars en ligne de mire.
Voir sur youtube : https://www.youtube.com/watch?v=IvnLqopveU8
Mobilité
SNCF, métro, bus… les fausses adresses des contrevenants désormais traquées via les données fiscales
france3-regions.francetvinfo.fr .- par Aude Cheron
Publié le 07 janvier 2024
Dans un communiqué, l'Union des transports publics et ferroviaires, l'UTPF, précise que : "Ce dispositif permettra de fiabiliser les adresses des contrevenants pour optimiser le recouvrement des amendes". Un décret d'application est entré en vigueur au début du mois de décembre pour permettre de contrôler les adresses des personnes verbalisées. Un dispositif salué par l'ancien ministre des Transports.
Le Réseau vélo et marche, nouvelle « voix unique » des collectivités pour les mobilités actives
maire-info.com - par Franck Lemarc
Édition du vendredi 10 janvier 2025
Les deux principales associations faisant la promotion du vélo et de la marche, le Club des villes cyclables et Vélo & territoires, ont fusionné, donnant naissance au Réseau vélo et marches. Avec pour première revendication le rétablissement du Plan vélo.
Par Franck Lemarc
Au fil des années les associations d’élus engagés pour la pratique des « mobilités actives » ont largement évolué. Ainsi, le « Club des villes cyclables », créé en 1989, a changé plusieurs fois d’identité, devenant tour à tour le « Club des villes et territoires cyclables », puis le « Club des villes et territoires cyclables et marchables ». Le Club, basé à Paris, s’est aussi beaucoup étoffé au fil des ans, passant d’une structure assez confidentielle de quelques collectivités à un réseau de 240 collectivités, historiquement plutôt appuyé sur les communes.
Quant à l’association Vélo & territoires, née et installée à Lyon, elle a été créée en 1999 et regroupe aujourd’hui 220 adhérents, en majorité des EPCI – mais les 13 régions et 77 départements y adhérent.
Il paraissait donc pour le moins naturel que ces deux associations s’unissent. C’est chose faite depuis le début de l’année, avec la création du Réseau vélo et marche, issu de la fusion des deux associations – comme cela a été officialisé lors d’une conférence de presse au Sénat le 7 janvier.
450 adhérents
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"Les mentalités évoluent" : avec 10 millions de voyages dans l'agglo de Pau, les bus Idélis battent des records en 2024
francebleu.fr - par Mathias Kern
Diffusion du 9 janvier 2025
Le cap des 10 millions de voyage a été franchi pour les bus Idélis. Pour le président de Pau Béarn Pyrénées Mobilités, qui gère le réseau, Nicolas Patriarche, "les mentalités évoluent et toute la politique qui pousse à utiliser les transports collectifs montre son efficacité" indique-t-il.
Vous êtes nombreux à avoir pris les bus Idélis en 2024, selon le bilan présenté ce mercredi, un record de fréquentation en 2024 pour le réseau de transport en commun dans l'agglomération de Pau. "Notre colonne vertébrale, c'est le Fébus" détaille Nicolas Patriarche, maire de Lons et président de Pau Béarn Pyrénées Mobilités, le syndicat mixte qui gère le réseau. "La ligne F qui représente plus de 20% du total des voyages. Il y a la T1 et la T2 qui fonctionnent très bien aussi, qui dépassent le million de voyageurs. Je pense que les mentalités évoluent et toute la politique qui pousse à utiliser pour ces déplacements les transports collectifs plutôt que les transports individuels montre son efficacité."
"Déjà l'année dernière, on avait dépassé les chiffres d'avant-Covid"
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CES 2025 : la mobilité réinventée par l’innovation technologique
auto-infos.fr - par Fabio Crocco
Publié le 7 janvier 2025
Le CES 2025 de Las Vegas met en lumière des avancées technologiques qui redéfinissent l’avenir de la mobilité. Les principaux équipementiers se distinguent par des innovations axées sur la connectivité, l’intelligence artificielle et la durabilité. Véritable vitrine de l’innovation, le salon reflète l’ampleur des transformations en cours dans l’industrie automobile.
Le CES 2025 de Las Vegas, rendez-vous incontournable des technologies de pointe, a ouvert ses portes jusqu'au 10 janvier, dévoilant des avancées majeures qui redéfiniront l’avenir de la mobilité. Des acteurs de renom comme Valeo, Bosch, Forvia, Continental ou encore OPmobility y présentent des innovations axées sur la connectivité, l’intelligence artificielle, la durabilité et la personnalisation. Ces technologies promettent de transformer à la fois l’expérience des utilisateurs et l’industrie automobile dans son ensemble.
Valeo et AWS : une accélération pour les véhicules définis par logiciel
Valeo, en collaboration avec Amazon Web Services, a dévoilé des solutions innovantes pour accélérer le développement des véhicules définis par logiciel. Parmi ces avancées, le Valeo Virtualized Hardware Lab se distingue par sa capacité à réduire jusqu’à 40 % les délais de développement logiciel, tandis que le Valeo Cloud Hardware Lab, un environnement de tests basé sur le cloud, facilite la validation des logiciels destinés aux systèmes autonomes. L’innovation Assist XR, intégrant l’intelligence artificielle, apporte une nouvelle dimension à la sécurité et à l’assistance en temps réel. Grâce à l’analyse instantanée des données du véhicule et de son environnement, cette solution offre une assistance proactive en cas de panne ou d’urgence, anticipe les besoins de maintenance, et améliore l’expérience de conduite par des conseils personnalisés. S’inscrivant dans la vision d’une mobilité connectée et intelligente, centrée sur l’utilisateur, Assist XR redéfinit l’interaction entre le conducteur et son véhicule.
Bosch : l’intelligence artificielle comme levier d’innovation
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/ces-2025-la-mobilite-reinventee-par-l-innovation-technologique.285371
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CES 2025 : un étonnant scooter volant montre le bout de son nez à Las Vegas
journaldugeek.com - par Antoine Gautherie
Publié le 9 janvier 2025
Rictor a profité du célèbre salon pour présenter son Skyrider, un étonnant concept de scooter électrique volant qui promet de faire voler des particuliers dès l’année prochaine.
Depuis quelques années, de nombreuses startups se sont lancées dans la conception d’une nouvelle génération d’appareils volants électriques à décollage vertical, ou eVTOL. Force est de constater que cette soi-disant révolution des transports a pris du plomb dans l’aile, avec de nombreux acteurs qui ont fini par mettre la clé sous la porte après avoir sous-estimé la complexité financière, réglementaire et technique de ces projets. Mais certaines entreprises continuent d’y croire dur comme fer ; c’est notamment le cas de Rictor, qui a dévoilé un étrange concept de mobylette volante.
Jusqu’à présent, cette entreprise s’est concentrée sur le développement de deux-roues électriques. Elle commercialise notamment le K1, un e-bike haut de gamme qui se démarque grâce à son look vintage. Désormais, elle semble déterminée à passer dans une nouvelle dimension — littéralement. En effet, elle a profité du CES 2025 pour présenter le Skyrider X1, un nouvel engin électrique capable de se déplacer non seulement sur la route, mais aussi de s’élever dans les airs.
Démocratiser l’aéronautique
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2025/01/09/ces-2025-un-etonnant-scooter-volant-montre-le-bout-de-son-nez-a-las-vegas/
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Lancement du dispositif « Stop fraude » par l’UTPG
transbus.org - par Olivier Meyer
Publié le 09 janvier 2025
L'Union des Transports Publics et Ferroviaires (UTPF) a lancé le dispositif Stop fraude le 8 janvier 2025 lors de sa cérémonie des vœux. Il s'agit de la concrétisation d'une mesure prévue en 2016 par la loi dite « Le Roux - Savary » pour autoriser la vérification des adresses des contrevenants.
Une plateforme en ligne partagée, destinée à vérifier les adresses des contrevenants, avait été élaborée en 2018, mais cette dernière n'avait pas reçu l'aval du Conseil d'État.
Durant les deux dernières années, le ministère des Transports (DGITM) et l'UTPF ont mené des travaux coordonnés pour aboutir en 2024 à un dispositif fiable sur les plans juridique et technique. Le décret du 2 décembre 2024 précise les modalités d'exercice du droit de communication de données relatives aux contrevenants à l'initiative des exploitants de services de transports auprès des administrations publiques, par le biais d'une personne morale unique.
L'entreprise publique IN Groupe (Imprimerie Nationale) a été désignée comme personne morale unique en charge du fonctionnement de la plateforme de fiabilisation. Celle-ci interroge l'API Recherche des personnes physiques (R2P) de l'administration fiscale (DGFIP) pour récupérer l'adresse connue d'une personne physique.
Ce système va être utilisé dans un premier temps par les membres fondateurs SNCF, RATP, Transdev, Keolis, RTM (Marseille) et Tisséo (Toulouse), avant d'être étendu aux autres opérateurs. La vérification de l'adresse du domicile se fera en temps différé. À terme, il est envisagé de permettre aux contrôleurs d'effectuer une vérification en temps réel.
Lire la suite : https://www.transbus.org/actualite/actu-2025-01-utpf-stop-fraude.html#google_vignette
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Les forfaits de post-stationnement établis par géolocalisation peuvent être contestés
service-public.fr - par la Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Publié le 08 janvier 2024
Mme A. est verbalisée en raison de paiement insuffisant de la redevance au tarif de stationnement applicable. Mais le lieu de stationnement de son véhicule mentionné sur les avis de paiement de forfait de post-stationnement, et constaté par un dispositif de géolocalisation, est erroné. En effet, son véhicule était garé de l’autre côté de la rue que celui indiqué sur les avis. À qui incombe la charge de la preuve en cas de contestation de données de géolocalisation ?
Sur les 2 avis de paiement de forfait de post-stationnement (FPS) reçus par Mme A., la zone mentionnée relève d’une autre zone tarifaire que celle où était stationné son véhicule. Or cette autre zone lui ouvre droit au tarif résidentiel, qu’elle avait dûment payé.
Mme A. conteste d’abord les 2 avis de paiement auprès de la commune concernée via un recours administratif préalable obligatoire. Elle avance que la mention relative à la localisation de son véhicule est erronée. Son recours est rejeté, Mme A. n’apportant pas la preuve que son véhicule n’était pas garé dans la zone mentionnée sur lesdits avis de paiement.
Elle saisit la commission du contentieux du stationnement payant, compétente sur les recours relatifs aux FPS. Celle-ci rejette sa demande ; elle considère également que Mme A. ne démontre pas le caractère erroné des mentions de localisation indiquées sur les avis de paiement et n'apporte pas de preuve à l’appui de ses déclarations.
Mme A. décide de saisir le Conseil d’État.
Lire la suite : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A17951
Budget 2025
Budget 2025 : après la loi spéciale, le gouvernement confirme que les collectivités devront « faire un effort » cette année
maire-info.com - par A.W.
Édition du lundi 6 janvier 2025
Alors que le budget de 2024 a été reconduit à l'identique en ce début d'année afin d'assurer le fonctionnement de l'État, le nouvel exécutif semble soutenir le dispositif validé au Sénat prévoyant « autour de deux milliards d'euros d'économies » pour les collectivités. Il a aussi annoncé vouloir réintégrer les 2 168 communes exclues du dispositif FRR.
Après l’adoption de la loi spéciale et en attendant l'élaboration d'un véritable budget pour 2025, l’exécutif a reconduit les autorisations d'engagement ouvertes dans le budget de 2024, via un décret publié la semaine dernière au Journal officiel.
Ce texte ouvre ainsi des crédits aux ministères pour 2025 afin d’assurer le fonctionnement de l’État et de « poursuivre l'exécution des services publics en reconduisant ceux ouverts en loi de finances initiale pour l'année 2024 par le Parlement », indique le document.
Versement garanti de la DGF
Pour rappel, la loi spéciale est destinée à éviter un « shutdown » et le blocage des administrations du pays lors des premiers jours de l’année 2025, après la censure du précédent gouvernement. Afin de surmonter une paralysie budgétaire, ce texte d’urgence autorise donc l'exécutif à prélever l'impôt et à emprunter pour financer l'État, les collectivités et la Sécurité sociale depuis le 1er janvier.
Ce texte atypique garantit notamment aux collectivités le versement de leurs dotations de fonctionnement pour les prochaines semaines. Elles doivent ainsi percevoir, dès ce mois, leur DGF sur la base de son montant global et des règles d’attribution de l’année 2024. Elle sera ainsi versée par douzièmes dès le début de l'année (pour les enveloppes faisant l’objet d’un versement mensuel), avant que son montant soit régularisé après l’adoption du prochain projet de loi de finances (PLF).
Services Publics
Moderniser les services publics : enjeux et perspectives
décision-achats.fr - par Philippe Chrétien
Publié le 6 janvier 2025
Alors que le secteur privé innove à coups d'Intelligence artificielle et de millions d'euros, l'État français fait face à une question essentielle : comment moderniser les services publics pour répondre aux attentes des citoyens et aux exigences de performance administrative ?
Le principal enjeu concerne la transformation de l'État dans la continuité de l'effort de dématérialisation : fluidifier les services, renforcer la sécurité des données, tout en garantissant l'accessibilité des services à tous les citoyens. Cependant, si le secteur privé sait s'adapter rapidement, le secteur public est soumis à des obligations qui font que les solutions technologiques ne peuvent être reproduites à l'identique.
Des impératifs réglementaires
Lire la suite : https://www.decision-achats.fr/Thematique/achats-publics-1230/conjoncture-economique-2273/Breves/services-publics-enjeux-perspectives-466246.htm
Fonction Publique
Intelligence artificielle : des avancées significatives en 2025
fr.euronews.com - par Anna Desmarais
Publié le 05 janvier 2025
Véritable révolution technologique, l'intelligence artificielle devrait permettre des progrès notables dans de nombreux secteurs, notamment celui de la santé.
Quelles seront les avancées en matière d'IA en 2025 ? Les experts en conseil et les chatbots s'accordent à dire que cette année sera celle de la progression d'un type bien particulier d'IA : celui capable de prendre des décisions et d'effectuer des tâches sans intervention humaine.
Les flux de travail radicalement modifiés par l'IA
Selon le rapport AI Predictions publié par le cabinet de conseil Deloitte en 2025, 25 % des entreprises qui utilisent déjà l'IA seront prêtes à déployer des agents intelligents d'ici la fin de l'année. Le cabinet précise que ce chiffre devrait atteindre 50 % d'ici 2027.
Cette année verra "les flux de travail changer fondamentalement", l'IA prenant en charge les tâches administratives, mais avec une supervision humaine, poursuit le rapport.
Selon les prédictions de la société d'audit PricewaterhouseCoopers, ces tâches pourraient concerner les demandes de renseignements des clients, les premières ébauches de code logiciel ou encore la transformation d'idées de conception en projets de prototypes.
Lire la suite : https://fr.euronews.com/next/2025/01/05/intelligence-artificielle-des-avancees-significatives-en-2025
RGPD
La banalisation des fuites de données : une menace sourde
lebigdata.fr - par Stephannie R.
Publié le 6 janvier 2025
Les cyberattaques se multiplient. Elles exposent des données personnelles de plus en plus nombreuses. Récemment, Auchan a été victime d’une intrusion. Cette intrusion ciblait ses bases de données clients. Selon l’enseigne, les mots de passe et informations bancaires n’ont pas été affectés. Cependant, des informations sensibles comme les adresses postales et les numéros de téléphone ont été compromises. L’affaire a été notifiée à la CNIL, mais les conséquences de telles fuites inquiètent.
Les risques d’une fuite massive
Benoit Grunemwald, expert en cybersécurité chez ESET France, prévient : « S’il y a banalisation, cela risque d’avoir un effet pervers : le découragement des internautes face à la cybersécurité. Pourquoi investir temps et énergie si les entreprises ne semblent pas accorder suffisamment d’importance à ces données ? » Ce désengagement pourrait gravement nuire à la vigilance des utilisateurs et affaiblir la confiance dans l’écosystème numérique. Les données dérobées lors de l’attaque contre Auchan incluent des éléments critiques comme les adresses postales et électroniques, ainsi que la composition des foyers. Si elles ne contiennent pas de mots de passe, ces informations suffisent à enrichir des bases de données malveillantes. Ces dernières servent ensuite à des attaques ciblées, telles que l’hameçonnage ou des arnaques plus complexes. Celles-ci exploitent les détails personnels des victimes.
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/la-banalisation-des-fuites-de-donnees-une-menace-sourde
Identité
« Une décision historique » : la justice européenne estime que la SNCF n’a pas à demander l’identité de genre de ses clients
sud-ouest.fr - Par SudOuest.fr avec AFP
Publié le 09 janvier 2025
Dans un arrêt rendu jeudi, la Cour de justice de l’Union européenne a indiqué que « l’identité de genre du client n’est pas une donnée nécessaire pour l’achat d’un titre de transport »
Une décision qui pourrait faire bouger les lignes. L’obligation de communiquer son identité de genre, « Monsieur » ou « Madame », lors de l’achat d’un billet de train sur SNCF Connect « n’est pas objectivement indispensable », a considéré la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) dans un arrêt rendu jeudi.
« L’identité de genre du client n’est pas une donnée nécessaire pour l’achat d’un titre de transport », a estimé la justice européenne, saisie pour avis par le Conseil d’État français. L’association Mousse, qui lutte pour la défense des droits des personnes LGBT +, avait saisi la plus haute juridiction administrative française pour dénoncer la pratique de SNCF Connect « qui oblige systématiquement ses clients à indiquer leur civilité ».
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Le Parti pirate s'oppose à l'e-ID, "passeport numérique dangereux"
pue.ch - par ans
Publié le 10 janvier 2025
La nouvelle identité électronique permet l'utilisation abusive de données personnelles sensibles. Elle ne protège pas suffisamment contre le nombre croissant de cyberattaques, avance le Parti pirate. La loi porte atteinte à la vie privée des citoyennes et citoyens et met en danger les libertés démocratiques.
Par ailleurs, le parti estime que l'objectif de l'identité électronique (e-ID) est «douteux». Son intention réelle «reste un mystère», peut-on lire sur le site internet du référendum.
Deux utilisations sont mentionnées: pour les démarches administratives et pour vérifier l'âge dans la vie quotidienne. Mais, rappelle le Parti pirate, il existe déjà un système de login pour les sites des administrations. Et la carte d'identité traditionnelle est plus appropriée pour vérifier l'âge: aucune donnée n'est enregistrée lors de son utilisation.
La loi sur l'e-ID n'offre pas de réelles garanties de protection des données personnelles. Elle utilise des mots-clés du langage de la protection des données, mais cela ne garantit rien, selon le parti. Grâce à l'e-ID, les entreprises pourront collecter, lier et analyser les données à leur guise et en établir des profils de comportement des citoyens. Ces profils pourront être utilisés à des fins publicitaires ou d'influence politique, conclut le Parti pirate.
Lire la suite : https://www.pme.ch/latest-news/2025/01/10/le-parti-pirate-soppose-a-le-id-passeport-numerique-dangereux-784311-1
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Obtenir son identité numérique certifiée
savoie.gouv.fr - Communiqué Service de l’Etat en Savoie
Publié le 09 janvier 2024
Certaines démarches administratives, en raison de leur sensibilité, ne peuvent être entièrement dématérialisées. La certification de l’identité numérique France Identité vise à offrir un niveau de sécurité renforcé, conforme aux exigences les plus élevées, qui permettront la création de nouveaux services en ligne.
France Identité, c'est quoi ?
France Identité est un nouveau service public qui permet de créer son identité numérique régalienne. Cette application pour smartphone a pour objectif de :
• Prolonger les usages de la carte d'identité dans le monde numérique (prouver son identitélors de démarches en ligne : faire une demande de procuration de vote, faire une demande d’aide sociale auprès de votre commune, inscrire votre enfant à la crèche, etc),
• Permettre de nouveaux usages dans le monde physique (contrôles routiers par les forces de l'ordre, retirer un colis, etc).
Essayez de regarder cette vidéo sur www.youtube.com, ou activez JavaScript dans votre navigateur
Comment certifier son identité numérique ?
Lire la suite : https://www.savoie.gouv.fr/Actualites/Actualites/Obtenir-son-identite-numerique-certifiee
Intelligence Artificielle
OpenAI vise la "superintelligence artificielle" avec des ambitions dignes de la science-fiction
lesnumeriques.com - par Nassim Chentouf
Publié le 06 janvier 2025
Qu’on y croit ou pas, il semblerait qu’OpenAI vise l’intelligence proche de l’humain, en témoigne son intérêt pour un robot humanoïde. Dans un billet de blog publié pour la nouvelle année 2025, Sam Altman partage son ambition de créer une "superintelligence artificielle".
Oubliez l’IA actuelle, OpenAI vise la "superintelligence artificielle". Dans un billet de blog, Sam Altman, qui a récemment qualifié Elon Musk de "tyran”, explique que ses équipes ont acquis une compréhension fondamentale des mécanismes nécessaires à la création de l'AGI.
OpenAI développe la "superintelligence artificielle"
Il s’agit d’un tournant pour OpenAI, fondée il y a neuf ans en tant que laboratoire de recherche à but non lucratif. Il a fallu attendre novembre 2022 pour que l’entreprise émerge vraiment avec le lancement de ChatGPT auprès du grand public.La "superintelligence artificielle", selon Sam Altman, pourrait révolutionner la recherche scientifique et l’innovation en surpassant les capacités humaines. Toutefois, le dirigeant d’OpenAI reste discret sur le calendrier précis. Mais les premiers signes de cette technologie se feront ressentir dans les prochaines années.
Toujours d’après Sam Altman, la "superintelligence artificielle" équipera des agents IA qui rejoindront le marché du travail dès cette année 2025, rien que ça. Ils seront en charge de tâches complexes qui demandent un certain niveau d’AGI, une technologie qui n’a pas encore été dévoilée par OpenAI.
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IA générative, services publics et relation aux citoyens : la grande révolution ?
banquedesterritoires.fr - Communiqué
Comment les services publics locaux peuvent-ils utiliser l’IA au service de l’intérêt général ? Quelles sont les opportunités et les risques de l’IA pour les services publics locaux ? En améliorant la connaissance des usagers, l'IA ne risque-t-elle pas d'éloigner les collectivités locales des citoyens ?
La transformation numérique des collectivités locales s’impose aujourd’hui pour optimiser la mise en oeuvre des politiques publiques et accélérer la transition écologique. Biodiversité, sobriété énergétique, gestion des risques, mais aussi mobilités, tourisme, immobilier, éducation : si l’utilisation de la DATA et de l’IA Générative trouvent aujourd’hui de nombreuses applications pour les politiques locales, elle apparaît aussi comme un puissant levier pour améliorer la relation aux citoyens.
Mieux cibler les publics précaires, adresser des réponses plus personnalisées, ou encore accélérer les process de décision : l’IA générative offre aujourd’hui des potentialités immenses pour mieux appréhender les réalités économiques et sociales, et gagner en efficacité.
Mais comment l’utiliser pour qu’elle reste au service de l’intérêt général ? L’utilisation des données collectées par l’IA ne pourrait-elle pas porter atteinte à certains droits fondamentaux, ou dévier les politiques publiques de leurs premières ambitions ? Ou pire : renforcer l’éloignement entre les habitants de leurs services publics locaux ?
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/evenements/ia-generative-services-publics-et-relation-aux-citoyens-la-grande-revolution
Détection
Catastrophes naturelles
Des satellites Starlink au service de la détection des avalanches : une première mondiale
enerzine.com - par la rédaction
Publié le 5 janvier 2025
Les avalanches constituent un danger majeur durant l’hiver dans les régions montagneuses. La surveillance de ces phénomènes est indispensable pour garantir la sécurité des personnes et des infrastructures. Comment les nouvelles technologies peuvent-elles améliorer cette surveillance, notamment dans des zones éloignées et difficiles d’accès?
Les risques hivernaux et la surveillance des avalanches
Chaque hiver, avec l’augmentation des chutes de neige, le risque d’avalanche dans les montagnes s’accroît. Une méthode employée pour minimiser ce risque consiste à déclencher des avalanches de manière contrôlée par des détonations artificielles. Ces actions permettent de libérer d’énormes masses de neige qui dévalent ensuite les pentes selon un trajet prédéterminé. Cependant, il est impératif de vérifier si l’avalanche a bien été déclenchée comme prévu.
Pour ce faire, une surveillance ciblée de la zone affectée s’impose, quelles que soient les conditions météorologiques. Actuellement, cette tâche se fait par des fils mécaniques qui se rompent au déclenchement de l’avalanche, par des hélicoptères qui surveillent la zone pendant la détonation ou encore par des technologies radar permettant une surveillance à distance continue, en toutes conditions climatiques. Ces solutions présentent néanmoins des inconvénients notables : les fils mécaniques nécessitent d’être retendus après chaque événement, exposant potentiellement les techniciens à des risques, tandis que les hélicoptères ne peuvent opérer qu’en conditions météorologiques favorables et que les radars actifs exigent des licences de transmission.
Lire la suite : https://www.enerzine.com/des-satellites-starlink-au-service-de-la-detection-des-avalanches-une-premiere-mondiale/153540-2025-01
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En 2025, les investissements dans la sécurité vont clairement se déplacer vers la réponse et la détection des incidents
journaldunet.com - Chronique d'Erik Nordquist - GTT Communications
publié le 6 janvier 2025
Ma prédiction 2025 pour les entreprises distribuées ? Vous allez être piraté. Mais ce qui est encore plus troublant, c'est de ne pas savoir quand cela va se produire.
Plus un attaquant reste longtemps dans le système – les temps de présence des intrus peuvent varier de plusieurs semaines à plusieurs mois et même plus d’un an – plus ces « failles silencieuses » deviennent coûteuses et dommageables. Ces attaquants seront comme cet invité qui a atterri dans votre canapé et qui ne s’en va jamais – sauf qu’ils voleront des ressources informatiques, exfiltreront des données, trouveront des vulnérabilités réseau plus profondes et installeront même des portes dérobées pour un accès futur.
Le déficit de compétences va exposer les entreprises : la sécurité basée sur l'IA pourrait aggraver la situation
Avec des compétences en matière de sécurité à la fois rares et coûteuses, les entreprises continueront de s'appuyer sur des défenses automatisées. Mais beaucoup apprendront à leurs dépens que même les meilleurs outils ne sont jamais aussi bons que les personnes qui les installent. À mesure que les attaques deviendront plus complexes, la demande en experts qualifiés et abordables dépassera de loin l’offre, laissant une lacune critique dans la surveillance et exposant les entreprises à de sérieux risques si elles ne parviennent pas à combler le fossé.
Les budgets de sécurité du réseau vont passer de la prévention à la réponse aux incidents
Cybersécurité
Sécuriser l’Intelligence Artificielle
inria.fr - par
Publié le 09 janvier 2025
En un temps record, l’IA s’est installée au cœur de la société numérique. Les applications s’invitent dans l’industrie, les transports, la défense, la médecine... Mais quid du niveau de sécurité ? C’est la question que pose ARTISHAU, nouvelle équipe de recherche au Centre Inria de l’Université de Rennes. Les scientifiques travaillent dans trois directions : mesurer les vulnérabilités intrinsèques des réseaux de neurones, auditer les algorithmes fonctionnant en boîte noire et débusquer les deepfakes produits à l’aide des IA génératives. Ces recherches pourraient mener à des outils pour le grand public mais aussi pour les industriels sommés de se mettre en conformité avec les nouvelles législations qui vont encadrer l’utilisation de l’Intelligence Artificielle. Explications.
26 juillet 2024. Un célèbre réseau social publie une vidéo de la nouvelle candidate à l’élection présidentielle américaine. Entre autres inepties, Kalama Harris y confesse benoîtement “ne rien connaître à la gestion du pays.” Renseignements pris, elle n’a jamais prononcé ces mots. Les paroles et l’images ont été générées par Intelligence Artificielle. Le deepfake dans toute sa splendeur. Un faux absorbé par 100 millions de followers.
En toile de fond : l’irruption de nouveaux outils. Ils ont pour noms MidJourney, Dall-E, Stable Diffusion ou encore ChatGPT. Ce sont des intelligences artificielles génératives. Elles savent fabriquer des images, produire du son, rédiger des articles. Impossible souvent de faire le distinguo avec des contenus créés par les humains. Difficile de savoir si le document est en quoi que ce soit authentique. C’est la porte ouverte à toutes les désinformations. Et cela avec une facilité déconcertante, à la vitesse de la lumière et à l’échelle planétaire.
Alors comment se prémunir ? C’est l’une des trois questions auxquelles veut répondre ARTISHAU, nouvelle équipe de recherche[1] au Centre Inria de l’Université de Rennes. À sa tête : Teddy Furon, un spécialiste de la protection des contenus multimédias.
Plusieurs approches se dégagent, explique le scientifique. D’abord, les protections actives. Le logiciel va filtrer les requêtes de l’utilisateur et parfois lui dire : ah non, là, désolé, mais sur ce sujet, je ne vais pas t’aider. Cela peut être aussi un post-filtrage. L’IA effectue alors le travail demandé. Mais avant transmission à l’utilisateur, un deuxième classifieur inspecte le contenu pour voir s’il est conforme ou non conforme.”
Pour cela, encore faut-il s’accorder sur un code de bienséance et savoir qui le définit. Toutes les cultures, tous les États et toutes les plateformes technologiques ne placent pas le curseur au même endroit...
Tatouage numérique
Lire la suite : https://www.inria.fr/fr/securit%C3%A9-confiance-audit-intelligence-artificielle
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Alliances en cybersécurité industrielle : Répondre aux menaces croissantes en OT/ICS et passer à l’action.
lesnews.ca - par Julien Macé
Publié le 5 janvier 2025
L’émergence et l’importance des communautés en cybersécurité industrielle
Dans le monde entier, on observe une montée en puissance des communautés, des associations et des alliances qui s’efforcent de favoriser le partage d’informations et l’engagement en matière de sensibilisation dans le domaine des technologies opérationnelles et des systèmes de contrôle industriels (OT/ICS). Ces coalitions industrielles visent à promouvoir une participation active entre les pairs afin de permettre l’échange de connaissances, de compétences et d’expertises entre les professionnels de la cybersécurité.
Établie par l’International Society of Automation (ISA), l’Alliance mondiale de cybersécurité ISA (ISAGCA) constitue une plateforme collaborative visant à améliorer la sensibilisation, la formation, la préparation, la normalisation et le partage de connaissances en matière de cybersécurité dans le secteur OT. Composée de plus de 50 entreprises membres dont le chiffre d’affaires total dépasse 1,5 trillion de dollars US, avec plus de 2400 implantations à l’échelle mondiale, l’ISAGCA a été créée pour répondre aux menaces et vulnérabilités en matière de cybersécurité qui représentent des risques significatifs pour la sécurité des installations, des processus et des communautés.
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/alliances-en-cybersecurite-industrielle-repondre-aux-menaces-croissantes-en-ot-ics-et-passer-a-laction/
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Entre fin de l'âge d'or de l'IA et les nouvelles stratégies pour les acteurs malveillants
journaldunet.com - Chronique de Bruno Durand - Sophos
Alors que l'année 2024 a été marquée par de multiples bouleversements – technologiques, géopolitiques, économiques –, il en va de même du paysage des cybermenaces et de la cybersécurité.
Malgré l’explosion de l’intelligence artificielle (IA) et les bénéfices dont elle s’accompagne, sa jeunesse relative, sa démocratisation et son exploitation par les cybercriminels sont à l’origine de l’émergence de nouvelles cybermenaces.
Par ailleurs, face au perfectionnement des outils et des pratiques de cybersécurité, les acteurs malveillants cherchent perpétuellement de nouveaux moyens de contourner les mesures de mises en place par les défenseurs pour protéger les systèmes. Sophos offre ses prédictions concernant ces évolutions en 2025 et propose un ensemble de recommandations pour mieux se protéger.
L’intelligence artificielle : un risque pour la cybersécurité ?
1. LLM et modèles d’IA : une nouvelle surface d’attaque
En matière de cybersécurité, les risques liés à l’IA ne sont pas encore tous clairement identifiés. Toutefois, l’application de correctifs par des acteurs majeurs comme Microsoft montre que les modèles d’IA et autres ne sont pas exempts de vulnérabilités ou de risques. Ils peuvent être exploités par les acteurs malveillants pour y introduire des malwares, tels que des chevaux de Troie, au sein des environnements où l’IA est déployée.
2. L’IA comme vecteur de multiplication des attaques
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1537911-entre-fin-de-l-age-d-or-de-l-ia-et-les-nouvelles-strategies-pour-les-acteurs-malveillants/
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Deux COMCYBER au service de la cyber-protection des français et de la France
defense.gouv.fr - par Commandement de la cyberdéfense (COMCYBER)
Direction : COMCYBER
Publié le : 09 janvier 2025
Au sein de deux ministères distincts, deux COMCYBER agissent au quotidien : le Commandement de la cyberdéfense des armées (COMCYBER) et le Commandement du ministère de l’Intérieur dans le cyberespace (COMCYBER-MI). Décryptage de leurs missions.
Au sein de l’écosystème cyber de l’Etat et aux côtés de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), deux COMCYBER agissent au service de la cyber-protection des français.
COMCYBER : combattre dans le cyberespace
• D’un côté, le Commandement de la cyberdéfense des armées (COMCYBER) a pour mission de combattre dans le cyberespace :
• défendre les systèmes d’informations et systèmes d’armes de l’armée française
• renseigner et agir sur les systèmes adverses
• lutter contre la manipulation de l’information dans le cyberespace, sur les théâtres d’opérations extérieurs
COMCYBER-MI : lutter contre la cybercriminalité
Lire la suite : https://www.defense.gouv.fr/comcyber/actualites/deux-comcyber-au-service-cyber-protection-francais-france
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Au bord de la crise d'épuisement des CISO, comment la cybersécurité va évoluer en 2025 ?
journaldunet.com - Chronique de
Chronique de Richard Meeus - Akamai Technologies
Les CISO, sous pression et menacés d'épuisement, doivent faire face à des cyberattaques croissantes. En 2025, une culture sans blâme et proactive est cruciale.
Alors que les responsables de la sécurité des systèmes d'information (CISO) sont au bord de l’épuisement, la cybersécurité va continuer d’évoluer au cours de l’année 2025.
Les responsables de la cybersécurité sont comparables aux arbitres de football : ils ne sont sous les feux des projecteurs que lorsque quelque chose ne va pas. Tout comme leurs homologues sportifs, les CISO sont soumis à une pression énorme pour obtenir des résultats.
Mais la comparaison s'arrête là. Malgré les nombreuses réglementations, il n'existe pas de règles d'engagement convenues entre les équipes de sécurité et les cybercriminels. Les règles du jeu changent constamment et les CISO sont chargés de se défendre contre un arsenal de cybermenaces en constante évolution.
On estime que les CISO ne restent en poste que 18 à 24 mois. Pour lutter contre ce taux de rotation élevé et soutenir les personnes qui assument cette tâche souvent ingrate, les organisations doivent remettre à zéro la « culture du blâme » afin d'éviter un burnout des CISO en 2025.
Il est temps d'arrêter le jeu des reproches
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1537743-au-bord-de-la-crise-d-epuisement-des-ciso-comment-la-cybersecurite-va-evoluer-en-2025/
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Cybersécurité : "Le coeur du sujet, c'est la protection des données", Philippe Vallée (Thales)
usine-digitale.fr - par Alice Vitard
A l'occasion de ce début d'année, le Club Data Protection a échangé avec Philippe Vallée, executive vice president Digital Identity & Security GBU au sein de Thales. L'occasion de faire le point sur 2024 et sur l'année à venir en matière de sécurité informatique. Au programme : chiffrement de données, intelligence artificielle, identité et contrôle des accès ainsi que protection de la propriété intellectuelle des logiciels.
Le Club Data Protection : Pour Thales, en matière de cybersécurité, quels événements ont marqué l'année 2024 ?
Philippe Vallée (Thales) : L'année 2024, c'est d'abord et surtout le démarrage de l'intégration d'Imperva [entreprise acquise fin 2023, ndlr]. Le premier fait marquant et concret de cette intégration technique est l'offre "Data Risk Index", disponible commercialement. Vous avez, d'un côté, la capacité historique de Thales – le chiffrement de données – et, de l'autre, la technologie d'Imperva qui permet de voir ces données évoluer, de voir où elles passent, par quel chemin. Ce qui permet, par exemple, de détecter un comportement anormal d'une application qui, jusqu'à présent, exploitait un volume moyen de données et qui se met à exploiter le double ou le triple de ces données.
En d'autres termes, le Data Risk Index est une sorte de tour de contrôle des données de l'entreprise, qu'elles soient à l'intérieur de l'entreprise, sur ses serveurs, ou à l'extérieur, dans le cloud. Il permet de relever, à tout moment, quelque chose de suspect, de comprendre ce qu'il s'est passé et éventuellement déclencher une action de remédiation, en sécurisant le fichier, en le rendant inutilisable...
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-le-coeur-du-sujet-c-est-la-protection-des-donnees-philippe-vallee-thales.N2225124
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Cybersécurité et GenAI: un panel d’experts alertent sur les défis qui se multiplient
ictjournal.ch - par Yannick Chavanne
Publié le 07 janvier 2025
En 2024, l'intelligence artificielle générative s’est imposée dans les entreprises, souvent sans préparation adéquate au regard de la cybersécurité. Une conférence en ligne organisée par la start-up suisse Lakera a mis en lumière les vulnérabilités critiques de cette technologie et les menaces qui émergent en 2025.
L'année 2024 a vu une adoption massive de l'intelligence artificielle générative (GenAI), accentuant les vulnérabilités en matière de cybersécurité. Lors d'une conférence organisée par Lakera, start-up suisse spécialisée dans la sécurité des modèles de langage (LLM), un panel d’experts en cybersécurité ont fait part des principaux enseignements tirés de l'année écoulée et de leurs perspectives pour 2025.
Manque de vigilance pointé du doigt
L'adoption de l'IA générative par les entreprises s'est souvent faite dans la précipitation, en négligeant les questions de sécurité. Nathan Hamiel, directeur de recherche chez Kudelski Security, a dénoncé un manque de vigilance inquiétant, citant des exemples de start-up ignorant les avertissements de failles critiques au sein de leurs produits, telles que des vulnérabilités permettant l'exécution de code à distance. Le manque de prudence lors de l'utilisation de bibliothèques tierces ou de code tiers constitue ainsi un problème majeur, rappelant les risques connus liés à la chaîne d'approvisionnement logicielle.
Lire la suite : https://www.ictjournal.ch/articles/2025-01-07/cybersecurite-et-genai-un-panel-dexperts-alertent-sur-les-defis-qui-se
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Règlement DORA : entre défi et opportunité de transformation pour la cybersécurité des entités financières
Forbes.fr Brandvoice - Une contribution de Bruno Durand, Vice-Président des ventes Europe du Sud chez Sophos
Publié le 7 janvier 2025
À mesure que le paysage des cybermenaces se complexifie et que les attaques se multiplient, le secteur financier demeure une cible prioritaire des cybercriminels. En effet, les entités financières comptent parmi les plus exposées, notamment en raison des enjeux liés à leur activité et à leur caractère essentiel. Ainsi, selon les données du FMI, le secteur financier a subi plus de 20 000 cyberattaques, occasionnant près de 12 milliards de dollars de pertes. En réaction, les autorités européennes ont approuvé une nouvelle réglementation, le Digital Operational Resilience Act(DORA), qui définit une approche coordonnée et homogène en matière de cybersécurité pour les entités financières de l’Union européenne. En tant que règlement européen, il est directement applicable sur l’ensemble des États-membres de l’UE, sans nécessiter de transposition dans les législations nationales. Ainsi, DORA impose une exigence réglementaire unique et unifiée visant à renforcer la résilience numérique des institutions financières sur l’ensemble des États-membres de l’UE.
Lire la suite : https://www.forbes.fr/brandvoice/reglement-dora-entre-defi-et-opportunite-de-transformation-pour-la-cybersecurite-des-entites-financieres/
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Dépasser la prévention pour adopter la détection et réponse dans le cloud…
Philippe Darley, Sysdig
informatiquenews.fr - Par la rédaction
Publié le 08 janvier 2025
≈Les modèles traditionnels de sécurité atteignent leurs limites face à la complexité des environnements cloud. Adopter une posture de sécurité globale, intégrant des mécanismes de détection et de réponse, est désormais indispensable pour contrer les menaces persistantes.
Dans les premiers temps de la sécurité du cloud, comme ce fut le cas dans les premiers temps de la sécurité des endpoints, l’accent a été mis sur la prévention. C’est logique : les mesures préventives sont un moyen essentiel de réduire les risques. Le blocage des menaces connues et des voies d’attaque est un moyen efficace de renforcer la cybersécurité du parc de serveurs d’une entreprise.
Pour de nombreuses organisations, une stratégie de prévention dans le cloud peut sembler tout à fait suffisante pour réduire les risques – et elle l’est dans une certaine mesure. Mais la prévention seule n’est pas suffisante. Pour lutter contre les menaces qui progressent rapidement dans le cloud, la prochaine étape de la maturation de la sécurité du cloud consiste à mettre en œuvre une solution de détection et de réponse robuste et efficace.
Les rendements décroissants d’une stratégie axée uniquement sur la prévention
Lire la suite : https://www.informatiquenews.fr/depasser-la-prevention-pour-adopter-la-detection-et-reponse-dans-le-cloud-philippe-darley-sysdig-102464
Metavers
Siemens et Sony révolutionnent l’ingénierie immersive pour le métavers industriel
lesnews.ca - par Gabriel Francesco
Publié le 10 janvier 2025
Plano, Texas | 7 janvier 2025 – Siemens Digital Industries Software, en partenariat avec Sony Corporation, a annoncé aujourd’hui le lancement de sa feuille de route pour une ingénierie immersive de nouvelle génération. Cette initiative combine le logiciel NX de Siemens pour l’ingénierie produit avec le nouvel écran monté sur la tête (HMD) de Sony, afin de donner vie au métavers industriel.
Le HMD XR (SRH-S1) est équipé d’écrans OLED Microdisplays haute définition de Sony dotés d’une résolution 4K. Sa technologie de rendu propriétaire permet un affichage réaliste et haute définition d’objets 3D en temps réel. De plus, cet appareil est vendu avec des contrôleurs optimisés pour une interaction intuitive avec des objets 3D, ainsi qu’une conception qui privilégie le confort et la stabilité pour des sessions créatives prolongées.
“Nous avons lancé ce projet collaboratif avec Sony pour apporter la puissance du métavers industriel à notre communauté de concepteurs, d’ingénieurs et de fabricants directement dans notre logiciel phare d’ingénierie produit,” a déclaré Bob Haubrock, vice-président senior de Product Engineering Software chez Siemens Digital Industries Software. “Après avoir prévisualisé le HMD au CES de l’année dernière, nos équipes ont élaboré un ensemble d’outils révolutionnaires pour l’utilisation de la réalité mixte dans le domaine de l’ingénierie. Cela permettra non seulement de supporter la collaboration mondiale autour de modèles 3D de haute fidélité, mais également d’autoriser la co-création sur des données 3D CAD cruciales dans un environnement sécurisé et contrôlé. Nous sommes heureux de faire ces technologies de nouvelle génération disponibles pour nos clients.”
Lire la suite : https://lesnews.ca/digital/meta/siemens-et-sony-revolutionnent-lingenierie-immersive-pour-le-metavers-industriel-2/
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Atos
Atos dément avoir été compromis par un ransomware
solutions-numériques.com - par François Tonic
Publié le 3 janvier 2025
Compromis ou pas ? Atos communique sur une action supposée du groupe Space Bears contre le géant français. Space Bears annonçait avoir compromis des données et des serveurs du groupe.
Cette annonce avait été faite le 28 décembre dernier en évoquant la compromission d’une base de données. Cependant, le groupe français précise ce 3 janvier que ces serveurs sont externes à Atos et ne concernent pas les données du groupe et que les machines ne sont pas ni gérés ni sécurisés par Atos.
Lire sur : https://www.solutions-numeriques.com/atos-dement-avoir-ete-compromis-par-un-ransomware/
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Philippe Salle, ATOS
techtalks.fr - par Olivier Robillard
Publié le 9 janvier 2024
Atos nomme un nouveau président de son conseil d’administration en la personne de Philippe Salle. Le responsable deviendra président directeur général du groupe dès le 1er février 2025.
Atos se prépare pour le futur. L’ESN confirme la nomination de Philippe Salle à la tête de son conseil d’administration. Le responsable occupera également la fonction de président directeur général à la date du 1er février 2025. Il succède à Jean-Pierre Mustier, lequel a permis au groupe d’entamer sa restructuration financière. Ce dernier exercera les fonctions de directeur Général tout en conservant son mandat d’administrateur.
Lire la suite : Pour sa part, Philippe Salle va investir la somme de 9 millions d’euros dans Atos sous la forme d’une souscription à l’augmentation de capital. Parmi ses prochains chantiers figurent la potentielle vente d’activités jugées sensibles à l’Etat. Il devra également rassurer les collaborateurs de l’entreprises de la bonne continuité des activités de l’entreprise et éviter des suppressions de postes.
Dans une note, Philippe Salle, Président du Conseil d’administration d’Atos, explique : « C’est avec beaucoup d’enthousiasme et de conviction que je rejoins le Groupe Atos, en qualité de Président du Conseil d’administration puis, à compter du 1er février 2025, de Président-Directeur général. J’ai conscience des défis qui nous attendent, mais également des forces du Groupe, de la qualité de ses services à l’engagement continu de ses collaborateurs, qui nous permettront, ensemble, d’ouvrir un nouveau chapitre de l’histoire du Groupe.«
Lire la suite : https://www.techtalks.fr/philippe-salle-atos/
Mobilité
Crit’Air 3 : quatre grandes métropoles vont fortement limiter la circulation de ces voitures à compter du 1er janvier
Les métropoles du Grand Paris, de Lyon, Montpellier et Grenoble limitent à partir du 1er janvier la circulation des véhicules dotés d’une vignette Crit’Air 3, c’est-à-dire les voitures diesel immatriculées avant 2011 et les voitures à essence immatriculées avant 2006
Dans le Grand Paris, cette décision représente environ 422 000 véhicules particuliers et 59 000 professionnels, selon une étude de l’atelier parisien d’urbanisme (Apur) de 2023. Mais les amendes (68 euros forfaitaires) ne sont pas pour tout de suite: l’ensemble des véhicules Crit’Air 3 seront exemptés de contrôle pendant un an à Paris, et six mois à Grenoble. Et les radars adaptés ne devraient globalement arriver qu’en 2026 pour automatiser contrôle et sanction.
Les Zones à faibles émissions (ZFE) ont été instaurées par la Loi d’orientation des mobilités en 2019 puis renforcées par la Loi Climat de 2021. Très répandues en Europe là où la qualité de l’air est dégradée, elles visent à pousser les automobilistes à acheter des véhicules moins polluants, hybrides ou électriques, ou à utiliser les transports en commun et les modes de transport dits «doux». Les métropoles de Paris et Lyon ont été contraintes de restreindre la circulation des voitures classées Crit’Air 3 à cause de la mauvaise qualité de leur air.
Les métropoles de Montpellier et Grenoble ont décidé de leur côté de mettre en place dès le 1er janvier une restriction de circulation des véhicules Crit’Air 3, sans y être tenues dans l’immédiat.
Dans le détail
Lire la suite : https://www.lavoixdunord.fr/1538953/article/2024-12-31/crit-air-3-quatre-grandes-metropoles-vont-fortement-limiter-la-circulation-de
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Limitation du droit de grève, concurrence, tunnel de Tende... Ce qu'il faut retenir de l'interview de Philippe Tabarot, nouveau ministre des Transports
france3-regions.frantvinfo.fr - par Victor Combalat
Publié le 29 décembre 2024
Le nouveau ministre des Transports, l'Azuréen Philippe Tabarot, était l'invité de France 3 dans Ici 19/20 ce samedi 28 décembre. Il espère poursuivre l'ouverture à la concurrence du ferroviaire au niveau national, poser le débat sur la limitation du droit de grève, tout en gardant un œil sur la région Paca.
Moins d'une semaine après la nomination du gouvernement de François Bayrou, l'Azuréen Philippe Tabarot, nouveau ministre chargé des Transports, s'est rapidement retrouvé sous les projecteurs après le suicide d'un conducteur de la SNCF le soir du réveillon de Noël. L'ancien vice-président de la région Paca a été rapidement accusé de minimiser ce drame lors de ces premières prises de parole, expliquant notamment sur CNews que l'accident "aurait pu être plus grave" si le conducteur "avait souhaité faire dérailler son train".
Le tumulte passé, Philippe Tabarot était ce samedi 28 décembre l'invité de France 3 dans Ici 19/20, pour faire le point sur les gros dossiers qui l'attendent en matière de mobilités, dès la semaine prochaine.
Sur l'ouverture à la concurrence du ferroviaire, "il faut de la liberté"
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Taxis volants : Volocopter dépose le bilan
www.tom.travel - par Julia Luczak-Rougeaux
Publié le 31 Décembre 2024
Volocopter, pionnier allemand des taxis volants électriques, a annoncé qu’il déposait le bilan. Malgré des difficultés financières et une concurrence accrue, l’entreprise maintient ses ambitions et prévoit un lancement commercial de son modèle-phare, le Volocity, dès 2025. Ce revers souligne les défis structurels d’un secteur en pleine mutation.
Le ciel s’assombrit pour Volocopter, pionnier allemand des taxis volants. Malgré des efforts soutenus pour lever des fonds, l’entreprise a annoncé le 30 décembre avoir déposé une demande de procédure d’insolvabilité auprès du tribunal de Karlsruhe. Ce revers majeur met en évidence les défis financiers et technologiques du secteur des eVTOL (aéronefs électriques à décollage et atterrissage verticaux).
Un projet prometteur freiné par le manque de fonds
Lire la suite : https://www.tom.travel/2024/12/31/taxis-volants-volocopter-depose-le-bilan/
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L’intégration des voitures d’occasion dans les systèmes de transport urbain
mopnantes.fr - par Boris NAULLEAU
Publié le 29 décembre 2024
Dans un monde en quête de mobilité durable et d’optimisation des ressources, les voitures d’occasion offrent des solutions innovantes et accessibles pour les systèmes de transport urbain.
Cette stratégie permet de conjuguer économies, flexibilité et écologie, tout en répondant aux attentes des usagers.
Enjeux majeurs de l’intégration des voitures d’occasion
Réduire l’impact environnemental
L’adoption de voitures d’occasion dans le transport urbain représente une démarche écoresponsable. En prolongant la durée de vie des véhicules, la production de nouveaux modèles diminue, réduisant ainsi la consommation de matières premières et d’énergie. Selon une étude, 80 % de l’empreinte carbone d’un véhicule est générée lors de sa fabrication, rendant cette solution idéale pour réduire les déchets industriels.
Un témoignage illustre cet impact positif :
« Intégrer des véhicules d’occasion dans notre flotte nous a permis de réduire nos émissions globales de 20 % tout en maintenant un service de qualité. »
Robert, entreprise de transport urbain à Marseille.
Une solution économique pour les municipalités
Lire la suite : https://www.mopnantes.fr/integration-voitures-occasion-systemes-transport-urbain/
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2025 : ce qui change dans les transports et les mobilités du quotidien
france3-regions.francetvinfo.fr
Le secteur des transports en Lorraine va connaitre en 2025 quelques transformations avec la mise en service de nouveaux matériels et des ouvertures de lignes. Le changement le plus important est la prise en charge partir du 1ᵉʳ janvier 2025 par la région Grand-Est de la gestion de routes et autoroutes cédées par l'État.
Le secteur des transports en Lorraine va connaitre en 2025 quelques changements importants et des innovations avec la mise en service de nouveaux matériels et des ouvertures de lignes pour un plus grand confort des usagers.
Le changement le plus important est la prise en charge partir du 1ᵉʳ janvier 2025 par la région Grand-Est de la gestion de routes et autoroutes non concédées par l'État. Elle va assurer l'entretien et la rénovation de 525 kilomètres de réseau routier, à titre expérimental, explique le président de la région Franck Leroy : "nous reprenons la gestion d'une partie stratégique du Réseau Routier National pour y apporter des solutions concrètes en matière de sécurité, d'environnement et de fluidité du trafic". Les routes concernées sont l'A31, l'A33, l'A31, l'A30, les RN431, RN4, RN44 et RN52.
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Cyber-attaques pro-russes contre des aéroports milanais et des infrastructures de transport
actu-transport-logistique.fr - par la rédaction (avec l’AFP)
Publié le : 29 décembre 2024
Une enquête a été ouverte pour des cyber-attaques, revendiquées par un groupe pro-russe, visant des infrastructures de transport en Italie, dont les deux aéroports de Milan, ainsi que les systèmes de mobilité des villes de Sienne et de Turin. Le ministère italien des Affaires étrangères est aussi concerné. Plusieurs attaques du même type ont été enregistrées ces derniers jours.
Les sites internet du ministère italien des Affaires étrangères, des aéroports milanais de Malpensa et de Milan-Linate, ainsi que des systèmes de transport des villes de Sienne et de Turin ont été touchés, a précisé le porte-parole de la police nationale spécialisée dans la cybersécurité, Marco Valerio Cervellini. "C'est la troisième attaque en trois jours de hackers" visant le ministère, a précisé à la presse le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani. "L'attaque d'aujourd'hui est certainement d'origine russe", a-t-il estimé.
Le ministre, qui a décidé de créer au sein de son ministère un nouveau département chargé de la cybercriminalité et de l'intelligence artificielle, a indiqué qu'il était en train de "renforcer encore plus le niveau de sécurité" dans les ambassades italiennes.
Attaques simultanées
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Waze déploie enfin cette fonctionnalité tant attendue qui va transformer vos trajets au quotidien
techguru.fr - par Eva LAUREN
Publié le 29 décembre 2024
Avec l'intégration de la reconnaissance vocale alimentée par l'intelligence artificielle, Waze redéfinit la sécurité routière en permettant aux conducteurs de signaler des incidents sans quitter le volant des mains.
L’évolution rapide des technologies numériques influence profondément notre manière de conduire et d’interagir avec notre environnement. Les applications de navigation, telles que Waze, transforment notre expérience de conduite en offrant des solutions innovantes et pratiques. Cette application, connue pour son caractère communautaire, permet aux conducteurs d’optimiser leurs trajets en temps réel. Avec plus de 150 millions d’utilisateurs à travers le monde, Waze continue de se réinventer pour répondre aux besoins croissants de ses usagers. La dernière avancée en date, une fonctionnalité de signalement vocal, promet de révolutionner la manière dont nous gérons les informations routières. Ce développement, alimenté par l’intelligence artificielle, vise à améliorer la sécurité et l’efficacité de la navigation tout en réduisant les risques liés à l’utilisation du téléphone au volant.
L’importance de Waze dans la navigation moderne
Lire la suite : https://techguru.fr/2024/12/29/waze-deploie-enfin-cette-fonctionnalite-tant-attendue-qui-va-transformer-vos-trajets-au-quotidien/
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Mobilité durables : les nouvelles primes de transport pour 2025
rss-magazine.com - par la rédaction
Publié le 30 décembre 2024
Le relèvement des plafonds d’exonération fiscale marque une avancée dans la prise en charge des frais de déplacement des salariés.
À l’aube de 2025, les nouvelles primes de transport, présentées par le gouvernement, traduisent une volonté d’allier performance économique et responsabilité sociale. Ces aides, désormais revalorisées, offrent aux employeurs l’occasion de renforcer leur engagement en faveur de la transition écologique tout en répondant aux attentes de leurs collaborateurs. Mais quels sont les enjeux pour les entreprises, et comment peuvent-elles intégrer ces dispositifs dans leur stratégie de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) ?
Une hausse des plafonds d’exonération fiscale pour les primes de transport
Le relèvement des plafonds d’exonération fiscale marque une avancée dans la prise en charge des frais de déplacement des salariés. Avec une prime carburant portée à 300 euros par an, contre 200 euros précédemment, les employeurs disposent d’un outil financier pour soutenir les trajets domicile-travail. Ce dispositif, bien qu’entièrement facultatif, ouvre la voie à des politiques internes plus inclusives, notamment dans les secteurs où l’utilisation de véhicules personnels reste incontournable. En intégrant cette prime dans leurs pratiques, les entreprises peuvent non seulement alléger le coût des trajets pour leurs salariés, mais également favoriser un dialogue social positif autour des avantages sociaux.
Lire la suite : https://www.rse-magazine.com/mobilite-durables-les-nouvelles-primes-de-transport-pour-2025/
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Hausse du Navigo, ticket unique, Crit'Air 3... Ce qui change en 2025 dans les transports en Île-de-France
actu.fr - Par Emilie Salabelle
Publié le 31 décembre 2024
Plusieurs nouveautés sont à noter à compter de mercredi 1er janvier 2025 dans les transports et sur les routes de Paris et d'Île-de-France.
Qui dit nouvelle année dit bonnes résolutions, et parfois, chamboulement des habitudes. La région Île-de-France et les Parisiens vont connaître plusieurs changements dès le mercredi 1er janvier 2025 dans leurs déplacements. Tarif unique dans les transports, augmentation du pass Navigo, interdiction (théorique) des voitures Crit’Air 3 dans le Grand Paris… On fait le point sur ce qui va changer.
Des tarifs harmonisés et simplifiés dans les transports
C’est la bonne nouvelle de cette rentrée 2025 : finis les innombrables et incompréhensibles tarifs différents appliqués dans la région sur les réseaux de métro, bus, RER, Transilien et tramway. 3 millions d’usagers sortiront gagnants de cette nouvelle mesure, en premier lieu ceux qui font de longs trajets avec beaucoup de correspondances, vante Île-de-France Mobilités (IDFM). Dès midi ce mercredi, seuls deux tarifs uniques s’appliqueront.
Lire la suite : https://actu.fr/societe/hausse-du-navigo-ticket-unique-crit-air-3-ce-qui-change-en-2025-dans-les-transports-en-ile-de-france_62060007.html
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NAVIGO, TICKET UNIQUE... Ce qu’il faut savoir sur les nouveaux tarifs des transports franciliens à partir du 1er janvier.
bfmtv.com - par Laurène Rocheteau
Publié le 30 décembre 2024
La nouvelle grille tarifaire d'Île-de-France Mobilités rentrera en vigueur dès ce mercredi 1er janvier 2025. Elle comprendra notamment l'uniformisation des tarifs sur les différentes lignes franciliennes ainsi que la hausse du pass Navigo.
Le début d'année est généralement synonyme de changement, et c'est aussi vrai pour les transports en commun franciliens. Dès ce mercredi 1er janvier, Île-de-France Mobilités applique sa nouvelle grille tarifaire dans le cadre de sa "révolution de la billettique", qui a entre autres pour objectif de fidéliser de nouveaux usagers avec des tarifs simplifiés.
"L'ensemble des différents tarifs dédiés aux voyageurs occasionnels sont remplacés par deux tickets à tarif unique, et le service Liberté + est généralisé dans toute la région", explique Île-de-France Mobilités. Sa présidente, Valérie Pécresse, précise qu'il s'agit là d'une "mesure de cohésion régionale, qui donnera la même liberté de déplacement et la même dignité à tous les habitants".
Un ticket unique à 2,50 euros
Métropole de Bordeaux
ZFE, police, transports en commun : voici ce qui va changer dans la métropole de Bordeaux en 2025
actu.fr - par Anaelle Montagne
Publié le 31 décembre 2024
Des changements vont avoir lieu dans la métropole de Bordeaux en 2025. On fait le point.
L’année 2024 s’apprête à tirer sa révérence, et 2025 promet quelques changements pour les habitants de la métropole de Bordeaux. Transports, circulation, déchets : on fait le point.
La ZFE appliquée dès le 1er janvier
Dès le 1er janvier 2025, Bordeaux Métropole appliquera une Zone à faibles émissions (ZFE) sur les zones intrarocade – la rocade n’est pas inclue. La circulation y sera réservée aux véhicules les moins polluants.
C’est une obligation, dictée par la loi Climat et résilience, à laquelle toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants doivent se plier. Elles peuvent cependant choisir les restrictions qu’elles souhaitent appliquer.
Suite à une longue consultation, la Métropole a décidé d’interdire la circulation intrarocade aux véhicules immatriculés avant 1997, soit environ 2,1% du parc automobile bordelais.
Métropole Européenne de Lille
Une nouvelle application au service des habitants
lillemetropole.fr - Communiqué
Publié le 03 janvier 2025
Simple, directe, pratique : l’application MEL et VOUS est un pas de plus vers la modernisation des services numériques métropolitains. Laissez-vous guider !
MEL et VOUS est disponible. Elle accompagne une ambition : construire une métropole connectée, pratique et au service des citoyens.
Se mettre la MEL dans la poche
Cette Progressive Web App (PWA)*, accessible sur mobile, simplifie l’accès aux services publics pour les particuliers et les professionnels. Elle valorise les usages numériques du quotidien, et offre un accès rapide et intuitif aux contenus du site lillemetropole.fr, qu’ils soient d’actualité ou d’information pérenne.
* Ce choix technologique offre une compatibilité optimale avec tous les smartphones, un fonctionnement simplifié nécessitant uniquement une connexion 3G/4G/5G. L’installation est par ailleurs intuitive, et s’effectue directement depuis le site de la MEL, sans passer par les stores traditionnels.
Des services variés et pratiques
MEL et VOUS propose une vingtaine de fonctionnalités intégrées en un seul endroit, notamment :
Et bien plus encore !
Une installation facile
Lire la suite : https://www.lillemetropole.fr/actualites/une-nouvelle-application-au-service-des-habitants
Passeport numérique
Passeport numérique : un document bientôt dématérialisé dans les smartphones
Publié le 31 décembre 2024
Plusieurs pays travaillent sur un passeport dématérialisé, directement stocké sur smartphone. Une fonction qui présente des avantages pratiques mais qui représente encore de gros défis, notamment pour la sécurité des données.
Depuis plusieurs années maintenant, les papiers et documents d'identité tendent à se dématérialiser de plus en plus. En France, il est ainsi possible de stocker dans son smartphone la carte d'identité numérique avec France Identité, le permis de conduire numérique ou encore la carte Vitale. Mais s'il s'agit déjà d'un chantier ambitieux à l'échelle nationale, cela n'empêche pas les pays du monde à se pencher sur un projet qui l'est encore plus : le passeport, un papier d'identité à dimension internationale. Les jours du passeport papier sont comptés !
Passeport numérique : plus besoin du document papier
Comme le rapporte Wired, des aéroports de plusieurs pays participent à des tests visant à permettre aux voyageurs de stocker les données du passeport directement sur le smartphone, et donc de voyager sans passeport papier. Voici les pays qui participent actuellement à cette expérimentation :
Finlande, Royaume-Uni, Italie, Pays-Bas, Canada, États-Unis; Inde; Éméritats arabes unis.
Par exemple, à Singapour, les ressortissants peuvent prendre l'avion à destination et en provenance de la cité-État sans passeport, tandis que les visiteurs étrangers peuvent sortir du pays sans le document papier. D'après les autorités singapouriennes, plus d'un million et demi de personnes ont pu profiter de ce système. De même, aux Etats-Unis, le portefeuille numérique Google Wallet prend depuis peu officiellement en charge les passeports, même si cela est valable pour le moment uniquement pour les vols intérieurs (voir notre article).
Lire la suite : https://www.commentcamarche.net/informatique/technologies/33283-passeport-numerique-un-document-en-cours-de-dematerialisation/
Terrorisme
Attentats virtuels, propagande et métavers : comment les terroristes islamistes font du jeu vidéo une usine à nouveaux soldats
lefigaro.fr - Par Steve Tenré
Publié le 30 décembre 2024
ENQUÊTE - Les sphères djihadistes n’hésitent plus à contacter les jeunes joueurs pour garnir leurs rangs, et instrumentalisent les jeux de guerre pour alimenter leur propagande.
Des ventes colossales, des usagers toujours plus nombreux... et des djihadistes en embuscade. Le milieu du jeu vidéo, première industrie culturelle mondiale, générant près de 200 milliards de dollars par an, cache en son sein de dangereux idéologues, qui profitent de l’anonymat proposé par les plateformes numériques pour persuader les joueurs les plus jeunes de rejoindre leurs rangs.
En 2024, 18 adolescents ont été mis en examen pour des projets terroristes d’inspiration djihadiste, contre 14 en 2023 et seulement 2 en 2022, a appris Le Figaro auprès du parquet national antiterroriste (Pnat). Les organisations djihadistes utilisent «beaucoup les réseaux sociaux et le mode de mise en scène auquel le public le plus jeune est particulièrement sensible», précisait mi-juillet Olivier Christen, le patron du Pnat.
«Le Mali musulman»
Ainsi, en août dernier, un garçon de 12 ans a été reconnu coupable par un juge pour enfants de Montbéliard (Doubs) d’«apologie du terrorisme» et…
Identité
Le passeport bientôt dématérialisé sur smartphone ?
leclaireur.fnac.com - Par Pierre Crochart
Publié le 31 décembre 2024
Accélérer la vérification d’informations et alléger le sac des voyageurs. Voici en substance les objectifs de ce nouvel élan de dématérialisation de documents officiels, dont la prochaine cible est le passeport national.
Après la carte vitale, le permis de conduire et la carte nationale d’identité, l’un des derniers bastions des documents officiels papier pourrait finalement tomber. C’est en tout cas l’objectif d’une grande expérimentation lancée dans plusieurs pays, dont les citoyens vont pouvoir dématérialiser leur passeport sur leur smartphone.
Dématérialisation du passeport : quels pays sont concernés ?
La France n’est pas encore concernée par ces essais menés par les aéroports. En effet, il appartient à chaque pays d’adopter ses propres règles en matière de réglementation, et chacun reste libre d’exiger des voyageurs qu’ils soient en mesure de produire un document papier pour justifier de leur identité.
Lire la suite : https://leclaireur.fnac.com/article/562698-le-passeport-bientot-dematerialise-sur-smartphone/
Intelligence artificielle
L’IA à toutes les sauces : les 5 grandes tendances technologiques à suivre en 2025
wedemain.fr - Par Florence Santrot
Publié le 30 décembre 2024
L’année 2025 s’annonce comme un tournant technologique majeur, porté par des innovations en intelligence artificielle, cybersécurité, robotique, énergie nucléaire et chaîne d’approvisionnement. Focus sur ces cinq axes stratégiques.
Alors que l’année 2024 touche à sa fin, une période décisive s’annonce pour le secteur des nouvelles technologiques en 2025. Pour l’année qui se termine, “comme prévu, les semi-conducteurs ont été au centre de l’attention en 2024 avec une évolution significative induite par l’utilisation massive de l’IA et de l’IA générative“, explique Pascal Brier, Directeur de l’Innovation de Capgemini et membre du Comité Exécutif du Groupe. Il a aussi dévoilé, entouré d’experts de chaque thématique, les cinq grandes tendances technologiques à surveiller pour 2025. Ces évolutions, fruit de milliers d’entretiens menés avec des clients et partenaires de Capgemini, marquent des avancées significatives dans la transformation numérique.
“Nous avons identifié les technologies qui atteindront un point d’inflexion ou un nouveau stade de maturité en 2025, notamment grâce à l’impact transformateur de l’intelligence artificielle dans tous les secteurs”, explique Pascal Brier. Certains domaines sont assez évidents, comme l’IA générative ou la cybersécurité, mais d’autres sont plus surprenants, comme le nucléaire, ou vont être bouleversés par l’intelligence artificielle, comme la robotique ou les chaînes d’approvisionnement.
1. IA en 2025 : l’avènement des systèmes multi-agents
Lire la suite : https://www.wedemain.fr/decouvrir/lia-a-toutes-les-sauces-les-5-grandes-tendances-technologiques-a-suivre-en-2025/
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Les 10 indispensables de l’IA à lire en 2024 selon MIT SMR
lesnews.ca - par Faudel Tannouh
Publié le 30 décembre 2024
La transformation engendrée par les outils d’intelligence artificielle — en particulier les modèles de langage et l’IA générative — semble inédite. Contrairement aux vagues technologiques précédentes, ces outils perturbent même les structures organisationnelles traditionnelles, comme le souligne l’article d’Ethan Mollick dans le MIT SMR intitulé « Réinventer l’organisation pour GenAI et LLMs ».
Les dirigeants ne se contentent pas d’explorer comment intégrer l’IA ; ils s’attaquent également aux changements profonds qu’elle entraîne dans les domaines de la stratégie et de l’innovation, comme le montre notre sélection d’articles les plus populaires sur l’intelligence artificielle de 2024.
Cette sélection d’articles essentiels sur l’IA met en lumière l’urgence partagée des dirigeants pour exploiter le potentiel de l’IA tout en naviguant à travers ses nombreux défis. De l’évaluation de la valeur commerciale des projets d’IA à l’amélioration des indicateurs clés de performance avec l’IA, ces articles abordent des problématiques clés et offrent des conseils pratiques aux organisations cherchant à rester compétitives.
Comme le montre un épisode de notre podcast “Me, Myself, and AI”, la capacité de l’IA à aider les individus à accomplir des tâches complexes avec moins de ressources transforme les industries. Dans une vidéo du Symposium CIO du MIT, des intervenants mettent en lumière les vecteurs de menace liés à l’IA et la complexité croissante de la protection des données et de la formation des employés.
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/les-10-indispensables-de-lia-a-lire-en-2024-selon-mit-smr/
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Le Vietnam va construire son premier hôpital reposant sur l’IA
https://lecourrier.vn - Communiqué
Publié le 03 janvier 2025
Une entreprise australienne de biotechnologie s’apprête à créer le premier hôpital basé sur l’intelligence artificielle (IA) du Vietnam, appelé MedArmor, selon yesilscience.com.
>> Le ministère des Finances envisage d'utiliser l'IA pour surveiller le marché boursier
>> La coopération entre le Vietnam et NVIDIA marque une percée stratégique dans l'IA
>> Le Vietnam pourrait concrétiser son projet de devenir un pôle technologique régional
Le site Web yesilscience.com a révélé que l’hôpital sera situé dans le parc industriel Duc Hoà 3 de la province de Long An, dans le Sud du Vietnam.
Couvrant une superficie totale de 700 ha, l’établissement mettra en œuvre une approche de soins de santé préventive axée sur la détection précoce des maladies et les interventions rapides.
L’hôpital adoptera un modèle de soins virtuels, exploitant la technologie de vidéoconférence pour fournir des services de santé.
Les services spécialisés comprendront la télégestion des accidents vasculaires cérébraux (AVC), les unités de soins intensifs électroniques et les consultations en ligne entre prestataires de soins de santé.
Lire la suite : https://lecourrier.vn/le-vietnam-va-construire-son-premier-hopital-reposant-sur-lia/1275352.html
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Microsoft va dépenser 80 milliards dans les infrastructures
lapresse.ca - Agence France Presse
Publié le 3 janvier 2024
Microsoft veut dépenser 80 milliards sur un an pour construire des centres de données.
(San Francisco) Microsoft compte dépenser 80 milliards de dollars américains sur un an pour construire des centres de données nécessaires au déploiement des modèles et applications d’intelligence artificielle (IA) générative, a indiqué vendredi Brad Smith, le président du géant de l’informatique.
« Plus de la moitié de cet investissement total [qui a commencé à l’été] se fera aux États-Unis. Cela reflète notre engagement envers ce pays et notre confiance dans l’économie américaine », a précisé le dirigeant dans un billet de blogue.
Les centres de données abritent les serveurs informatiques qui constituent l’épine dorsale du nuage informatique, ou cloud, et donc des applications mobiles, des services en ligne et de tous les nouveaux modèles et outils d’IA générative comme ChatGPT.
Le texte de Brad Smith fait l’apologie des réussites du pays dans le domaine de l’IA – « l’électricité de notre époque » – et appelle le président désigné Donald Trump à soutenir l’industrie de la technologie, dont les relations avec les démocrates et les républicains sont tendues depuis des années.
Lire la suite : https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2025-01-03/intelligence-artificielle/microsoft-va-depenser-80-milliards-dans-les-infrastructures.php
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Etudiants : avec Kesk’IA, participez à la révolution de l’Intelligence Artificielle
roubaixxl.fr - par
Publié le 3 janvier 2025
Etudiante ou étudiant dans la filière informatique, digitale, marketing, communication... tu souhaites te perfectionner dans le domaine de l'Intelligence Artificielle et rejoindre des entreprises de renom ? La Cité éducative recherche 15 jeunes passionnés d’informatique, de digital ou de gestion de projet, pour participer au programme KESK’IA qui débutera le 17 février 2025 à Roubaix.
Pendant 2 mois, 15 jeunes préalablement sélectionnés sur leur niveau et leur motivation seront formés aux métiers de l’Intelligence Artificielle et vont créer en collaboration avec les services de la Mairie trois applications utilisant l’intelligence artificielle et répondant à des problématiques locales ( par exemple : une application qui permet grâce à l’IA de repérer les déchets sur la voie publique… ).
A l’issue de ce programme, ils et elles présenteront leurs applications lors de trois évènements d’envergure : un évènement de clôture à Roubaix, le forum Viva Tech à Paris, le concours national KESKIA à Paris à l’issu duquel les 3 villes vainqueurs remporteront un voyage dans la Silicon Valley où ils présenteront leur projet devant un jury d’investisseurs.
A noter : Le programme est compatible avec un trimestre étudiant car les journées de travail auront lieu les samedi.
Lire la suite : https://www.roubaixxl.fr/keskia-revolution-intelligence-artificielle/
Désinformation
"Antivax" : cinq ans après le Covid, le complotisme anti-vaccin sévit toujours
radiofrance.fr - par la cellule vrai ou faux
Publié le 31 décembre 2024
En cette fin d'année 2024, franceinfo décrypte les mots liés à la désinformation. "Antivax" est entré dans le dictionnaire à la faveur de la pandémie de Covid-19 mais ses origines remontent au XXe siècle.
"Se dit d'un mouvement d'opinion marqué par une opposition à certains vaccins ou à la vaccination en général, dont il remet en cause l'efficacité et l'innocuité". Voici comment le Petit Larousse définit l'expression "antivax", entrée dans le dictionnaire en mai 2020. Le terme s'est imposé pendant la pandémie de Covid-19 mais le phénomène, lui, est aussi vieux que les vaccins eux-mêmes.
L'accusation "Big Pharma" dès l'époque de Pasteur
Dès la première loi sur l'obligation vaccinale, publiée le 19 février 1902, de fausses informations circulent quant aux potentiels effets secondaires. Le vaccin contre la variole, qui consiste à inoculer la variole de la vache aux humains, est notamment accusé de modifier, déformer le corps. Des caricatures publiées à l'époque représentent des hommes et des femmes avec des vaches poussant sur leur bras, ou sortant de leur bouche.
Au début du XXe siècle, les scientifiques à l'origine des vaccins, comme Edward Jenner ou Louis Pasteur sont accusés de ne poursuivre qu'un objectif financier, de vouloir s'enrichir au détriment de la santé des personnes vaccinées. L'expression "Big Pharma", qui fait partie du vocabulaire complotiste d'aujourd'hui, est déjà employée à l'époque.
Des médecins "antivax"
Lire la suite : https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/le-vrai-ou-faux/antivax-cinq-ans-apres-le-covid-le-complotisme-anti-vaccin-sevit-toujours-1095604
Cybersécurité
Les 5 principales menaces de cybersécurité à surveiller en 2025
En 2025, l'innovation technologique continuera à remodeler le paysage de la cybersécurité, apportant de nouvelles opportunités et de nouvelles menaces. Les technologies de pointe favorisent le progrès et dotent les cybercriminels de nouveaux outils pour exploiter les vulnérabilités à grande échelle. La convergence des attaques sophistiquées pilotées par l'IA, des améliorations de l'ingénierie sociale et des risques quantiques souligne la nécessité pour les organisations et le personnel de s'adapter à de nouveaux paradigmes et de donner la priorité à la résilience face à des cybermenaces de plus en plus complexes et ciblées.
1. Les cyberattaques pilotées par l'IA
L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans les opérations des entreprises devrait connaître une forte croissance en 2025. Ces systèmes d'IA traitent souvent des quantités massives de données sensibles, ce qui offre des opportunités considérables et pose des défis techniques, juridiques et de protection de la vie privée aux organisations.
Les cybercriminels exploiteront également l'IA à leurs propres fins. Ils utilisent de plus en plus l'IA pour automatiser et étendre les attaques, développer des logiciels malveillants adaptatifs et mener des opérations d'ingénierie sociale sophistiquées, telles que l'hameçonnage basé sur une imitation profonde (deepfake phishing). Il sera de plus en plus difficile de détecter ces attaques et de s'en défendre, ce qui nécessitera une veille sur les menaces et des défenses basées sur l'IA.
2. Menaces liées à l'informatique quantique
Lire la suite : https://crisis24.garda.com/fr/perspectives-renseignements/perspectives/articles/les-5-principales-menaces-de-cybersecurite-a-surveiller-en-2025
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Voici les 10 cyberattaques les plus inquiétantes de 2024 (fuite de données, sabotage…)
numerama.com - Par Bogdan Bodnar
Publié le 29 décembre 2024
Vos données n'étaient pas en sécurité
Cet article existe grâce à Numerama+
Les fuites de données se sont enchaînées en 2024, touchant des millions de citoyens français et des infrastructures sensibles tels que les hôpitaux. Des opérations lancées par la Chine et la Russie ont également été repérées, confirmant le climat tendu dans le cyberespace.
L’année 2024 a instauré une triste routine en France : nos données ont régulièrement fuité sur le web. Viamedias, Almerys, France Travail, Auchan, FFF, Picard, Boulanger, Norauto, SFR, Free – et bien d’autres – tous ces organismes et entreprises ont été infiltrés par des hackers qui ont revendu ensuite nos informations, parfois pour quelques pièces, sur les forums de cybercriminels. Autant dire qu’il est presque impossible de ne pas être affecté par ces fuites, à moins de vivre totalement déconnecté.
En plus de ces fuites de données, l’administration a naturellement eu droit aux attaques d’hacktivistes poussés par le Kremlin ainsi qu’aux voraces gangs de ransomware. La France n’est pas la seule cible évidemment, puisque les protagonistes iraniens et chinois ont également attaqué l’Occident cette année, notamment des États-Unis en pleine période électorale.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1867722-voici-les-dix-cyberattaques-les-plus-inquietantes-de-lannee-2024.html
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Cyber-attaques pro-russes contre des sites de services publics en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie
la1ere.francetvinfo.fr - par Outre-mer la 1ère, AFP
Publié le 31 décembre 2024
Des militants pro-russes ont lancé une attaque contre les sites de plusieurs collectivités françaises, ce mardi 31 décembre, a appris franceinfo en consultant le message de revendication sur Telegram. Les impacts sont pour l'instant limités.
Le groupe de hackers, appartenant au groupe Noname057(16), a lancé une attaque dite par déni de service, c'est-à-dire qui consiste à inonder un site précis de connexion, jusqu'à ce qu'il plante. Il n'y a cependant pas de fuites ou vols de données dans ce type d'attaque. Des services publics en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française ont fait l'objet de cette attaque.
Le maire de la ville de Nice, Christian Estrosi, s'est exprimé sur X, pour déplorer un "acte grave et inacceptable", qui fera "l'objet d'une plainte et d'un signalement auprès de l'ANSSI", l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information.
Les villes de Nice, Tarbes, Pau, Marseille, Nîmes, ainsi que les départements des Landes et de la Haute-Garonne rencontraient encore des problèmes à midi ce mardi. Cependant, les sites des procédures administratives en ligne, des services publics en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française, et ceux des villes de Bordeaux et Montpellier étaient rétablis.
Lire la suite : https://la1ere.francetvinfo.fr/cyber-attaques-pro-russes-contre-des-sites-de-services-publics-en-nouvelle-caledonie-et-en-polynesie-1549969.html
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Ce groupe de hackers est déjà le gang de pirates le plus craint pour 2025
numerama.com - par Bogdan Bodnar
Publié le 1 janvier 2025
Des victimes notoires
La police a frappé fort le gang de hackers Lockbit, en piratant la plateforme des cybercriminels, puis en affichant le nom des membres. Toutefois, le groupe RansomHub s’est déjà imposé comme le collectif à surveiller pour les prochaines années.
2024 sera l’année où la police a porté un coup dur au groupe de hackers Lockbit. Le très redouté gang de pirates semait le chaos depuis plus de quatre ans, frappant tour à tour hôpitaux et multinationales. En s’attaquant à la plateforme des cybercriminels, en fermant leurs comptes et en révélant les noms de ses membres, les polices européennes ont sérieusement nui à l’image de cette organisation.
Mais, exactement comme un commerçant qui change de vitrine, les pirates disparaissent souvent derrière une nouvelle devanture, prêts à recommencer leurs activités sous un autre nom.
Le groupe RansomHub, apparu plus tôt cette année, a rapidement pris de l’élan, surpassant ses concurrents criminels. Le collectif a nommé et humilié des centaines d’organisations sur son site, accessible sur le darknet.
Parmi les victimes notables, on peut noter la cité de la BD d’Angoulême, le géant japonais Kawasaki, le club de foot professionnel de Bologne et la société d’enchère Christie’s.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1874788-ce-groupe-de-hackers-est-deja-le-gang-de-pirates-le-plus-craint-pour-2025.html
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Vols de données : quelles menaces attendre en 2025 et comment se protéger ?
rtl.fr - par Benjamin Hue
Publié le 29 décembre 2024
PODCAST - Les cyberattaques et les fuites de données se sont multipliées cette année. Et le pire est sans doute à venir. On vous explique quels enseignements vous devez en tirer pour les prochains mois.
Vous n’y avez sans doute pas échappé : l’année 2024 qui s’apprête à se refermer a été marquée par la multiplication des cyberattaques. Pas une semaine n’est passée sans que ne soit annoncée une nouvelle fuite de données d’une entreprise, d’un établissement de santé ou d’un organisme public. Entre les piratages de Free, SFR, France Travail ou celui des mutuelles de tiers payant, quasiment tous les Français ont vu leurs informations personnelles compromises ces derniers mois.
Ces vols de données viennent nourrir un trafic clandestin. Les cybercriminels compilent ces millions d’informations et les proposent ensuite sur des forums spécialisés. Ces gros fichiers Excel se revendent de quelques centaines à quelques milliers d’euros dans les cercles de pirates. Les éléments peuvent aussi être vendus au détail.
Factures, carte vitale, IBAN... Le prix de chaque document varie en fonction de sa fraîcheur et de sa sensibilité. Pour donner un ordre d'idée : on trouve par exemple des packs d’identité complets à partir de 50 euros sur la messagerie Telegram.
lire la suite : https://www.rtl.fr/actu/sciences-tech/vols-de-donnees-quelles-menaces-attendre-en-2025-et-comment-se-proteger-7900455355
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Cybercriminalité : Quel avenir en 2025 et après ? Les experts de Fortra nous éclairent.
lesnews.ca - parJulien Macé
Publié le 30 décembre 2024
Nous approchons rapidement de la fin d’une année tumultueuse pour la cybersécurité. En repensant à ces derniers mois, il est difficile de croire qu’autant d’événements ont pu se produire en si peu de temps. Alors que nous terminons notre travail pour l’année, que nous rentrons chez nous retrouver nos familles et que nous nous préparons à clore le chapitre de 2024, il est intéressant de se pencher sur ce que l’avenir nous réserve. Qui de mieux que les experts de Fortra pour partager leurs perspectives sur l’année à venir ?
Poursuivez votre lecture pour découvrir les prévisions d’experts en matière de cybersécurité pour 2025.
Sommaire
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/cybercriminalite-quel-avenir-en-2025-et-apres-les-experts-de-fortra-nous-eclairent/
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La Cour des comptes s'inquiète pour la cybersécurité des hôpitaux français
franceinfo avec AFP - France Télévisions
Publié le 03 janvier /2025
Pour l'instant, le financement du programme lancé par le gouvernement Borne a été couvert "à hauteur de 223 millions d'euros", très loin des 750 millions annoncés en 2023.
Le diagnostic de la Cour des comptes est inquiétant. L'institution s'alarme dans un rapport publié vendredi 3 janvier du financement du programme de renforcement de la cybersécurité dans les hôpitaux, lancé en 2023 par le gouvernement Borne après une vague de cyberattaques destructrices. Le programme baptisé Care (Cyberaccélération et résilience des établissements) "prévoit un financement de 750 millions d'euros en faveur de la sécurité des systèmes d'information sur cinq ans (de 2023 à 2027)", rappelle la cour dans son rapport.
"Toutefois, cet engagement financier n'est assuré que jusqu'à la fin de l'année 2024", s'inquiète-t-elle. "Il est indispensable qu'il soit poursuivi jusqu'au terme du programme." Pour l'instant, le financement du programme Care a été couvert "à hauteur de 223 millions d'euros", écrit-elle, soit moins du tiers de l'enveloppe globale annoncée.
Une trentaine d'hôpitaux visés en deux ans
Metavers
Metavers en Accès Anticipé
lesnews.ca - Gabriel Francesco
Publié le 3 janvier 2025
Shiba Inu a enrichi son écosystème avec le lancement de « SHIB : Le Metaverse », désormais accessible en avant-première.
Cet environnement virtuel invite les utilisateurs à explorer, construire et se connecter dans un espace numérique basé sur la blockchain. Alimentée par Shibarium, la blockchain personnalisée de Shiba Inu, cette plateforme propose plus de 100 000 parcelles de terrain, dont une partie est d’ores et déjà accessible au public.
Conçu pour être facilement accessible à un large public, ce metaverse est gratuit et disponible pour les utilisateurs de PC Windows. Avec cette sortie, le projet vise à offrir de nouvelles opportunités d’engagement, de personnalisation et d’interaction au sein d’un cadre décentralisé.
Qu’est-ce que SHIB : Le Metaverse ?
SHIB : Le Metaverse est conçu comme un monde numérique comptant 100 595 parcelles de terrain individuelles.
Dans sa phase d’accès anticipé, 36 431 parcelles sont disponibles dans quatre zones distinctes : les quartiers Croissance, Défense, Technologie et Monnaies. Ces zones visent à équilibrer la propriété privée avec des espaces publics, comprenant des points de rencontre tels que Ryoshi Plaza et WAGMI Temple, facilitant ainsi l’interaction sociale et la navigation.
Lire la suite : https://lesnews.ca/digital/meta/metavers-en-acces-anticipe/
Thales
CÉLÉBRATION DE LA MISE EN SERVICE DU PREMIER APPAREIL A350-900 D’EMIRATES, ÉQUIPÉ DU SYSTÈME DE DIVERTISSEMENT À BORD AVANT UP DE THALES
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 03 janvier 2025
• Le premier Airbus A350-900 d’Emirates Airlines prend son envol. Equipé du système de divertissement à bord (IFE) dernière génération « ice », basé sur AVANT Up de Thales, cet appareil est le premier d’une nouvelle flotte de 65 avions.
• Grâce à des écrans tactiles 4K HDR ultra-réactifs permettant une navigation fluide, ce système garantit la meilleure qualité d'image disponible dans un avion. Il propose également une recharge rapide USB-C de 60W pour les appareils des passagers et offre la possibilité de connecter simultanément deux appareils via Bluetooth.
• L’A350 d’Emirates introduira une version nouvelle-génération du système IFE « ice » avec une gamme de fonctionnalités révolutionnaires rendues possibles grâce aux technologies de Thales, conçues pour améliorer l'expérience client.
Thales et Emirates célèbrent ensemble la mise en service du tout premier A350-900 de la compagnie aérienne, reliant Dubaï à Édimbourg (Écosse) le 3 janvier 2025. Cet appareil est équipé du système de divertissement à bord de pointe AVANT Up de Thales.
Emirates a introduit sur l'A350 une nouvelle génération du système de divertissement en vol 'ice', avec une gamme de fonctionnalités révolutionnaires rendues possibles par les technologies de Thales, conçues pour améliorer l'expérience de vol. Ce système IFE propose pour l’instant plus de 30 nouvelles fonctionnalités et de nombreuses autres sont à venir dans les prochains mois.
Les écrans 4K QLED HDR de Thales offrent une expérience cinématographique avec la meilleure qualité d'image disponible sur un avion et des écrans tactiles ultra-réactifs pour une navigation fluide à travers l'immense catalogue de divertissements « ice ». L'écran dispose d'une connexion Wi-Fi intégrée ainsi que de deux connexions Bluetooth permettant aux passagers de connecter plusieurs appareils. Le système est équipé de la solution de gestion de l'alimentation primée de Thales, permettant une charge allant jusqu'à 60W directement depuis l'écran, garantissant que les passagers arrivent à destination avec leurs appareils complètement chargés.
Autant d’expériences uniques que de passagers à bord
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/celebration-mise-service-du-premier-appareil-a350-900-demirates
Strasbourg
Strasbourg, capitale du temps pour une année
Lesechos.fr - Par Bénédicte Weiss
Publié le 27 décembre 2024
La capitale européenne est officiellement détentrice du titre de « Capitale mondiale du temps » depuis la fin novembre. L'occasion de promouvoir des politiques publiques prenant en compte la notion de temps.
Concilier « temps de la vie » et « temps de la ville », « notamment pour les femmes avec la question du care (soin en anglais, NDLR) », le « temps de la ville » incluant entre autres « les horaires de transport ». C'est l'un des points qu'au début de l'automne, la maire de Strasbourg (Bas-Rhin) Jeanne Barseghian mettait en exergue pour évoquer la Mission des temps dont est en charge l'une de ses adjointes, Marina Lafay. Deux mois plus tard, la Ville est officiellement devenue « Capitale mondiale du temps » avec, en préambule à cette titulature, la tenue d'un colloque sur la nécessité d'un droit au (x) temps en Europe, organisé avec le réseau français de collectivités, d'associations et de scientifiques Tempo Territorial et évoquant entre autres les questions de temps de travail, de vieillissement et des structures familiales.
Lire la suite : https://www.lesechos.fr/pme-regions/grand-est/strasbourg-capitale-du-temps-pour-une-annee-2139689
Mobilité
Le Maroc investit 11 milliards de dirhams dans le transport urbain
Publié le 25 décembre 2024
Le Royaume du Maroc a entrepris une réforme majeure du secteur du transport urbain, mobilisant un budget de 11 milliards de dirhams pour la période 2025-2029. Selon le ministère de l’Équipement et du Transport, ce programme vise à moderniser les infrastructures, améliorer la qualité des services et répondre aux impératifs logistiques de la Coupe du Monde 2030, que le Maroc coorganisera avec l’Espagne et le Portugal.
L’un des principaux objectifs de cette réforme est de garantir une couverture équitable pour toutes les populations, notamment celles résidant dans les zones rurales et périphériques. Le ministère de l’Intérieur souligne que, malgré un réseau relativement développé dans les grandes métropoles comme Casablanca, Rabat et Marrakech, les régions moins urbanisées demeurent sous-équipées. La modernisation va intégrer ces zones afin d’éviter l’accentuation des inégalités sociales et économiques. La durabilité constitue un challenge central de cette transformation. Comme l’a précisé la Direction Générale des Collectivités Territoriales (la DGCT), les investissements dans des infrastructures modernes, comme l’acquisition de bus et la réhabilitation des stations, nécessitent un suivi rigoureux et des plans de maintenance réguliers pour éviter leur obsolescence précoce. Un cadre de gestion durable est donc en cours de développement afin de garantir la pérennité de ces investissements.
Lire aussi : Taxis : Vers une restructuration profonde du secteur du transport urbain
Lire la suite : https://maroc-diplomatique.net/le-maroc-investit-11-milliards-de-dirhams-dans-le-transport-urbain/
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Plan Vélo : la fin des aides menace l'avenir de la mobilité douce en France
lejdd.fr - par Stanislas du Guerny
<publié le 23 décembre 2024
COLÈRE. L’État vient de décider l’arrêt total des aides à l’achat de vélos, alors que le plan initié en 2023 garantissait leur versement jusqu’en 2027.
Malgré ses vertus environnementales et sportives, le vélo n’a plus la cote auprès des pouvoirs publics. L’État vient en effet de décider, par décret, de supprimer à partir du 14 février prochain la totalité des aides accordées à ceux qui achètent un vélo électrique. L’an dernier, ces aides avaient atteint 40 millions d’euros, répartis pour l’achat de quelque 2,2 millions d’engins.
« Ce plan Vélo en péril, indique Thibault Quéré, directeur des affaires publiques de la Fédération française des usagers de la bicyclette, aura des conséquences graves. » En effet, poursuit-il, les ventes vont inéluctablement diminuer, et rendre illusoire « l’augmentation de la part modale du vélo, qui devait atteindre 12 % en 2030 ». Aujourd’hui, ce mode de transport oscille entre 4 et 5 %, selon les régions.
Lire la suite : https://www.lejdd.fr/societe/plan-velo-la-fin-des-aides-menace-lavenir-de-la-mobilite-douce-en-france-153149
RGPD
ChatGPT sanctionné : l’Italie inflige une amende de 15 millions d’euros
pointgphone.com - par Zineb Mouhoubi
Publié le 26 décembre 2024
Dans un monde où la protection des données devient cruciale, l’Italie frappe fort avec une amende de 15 millions d’euros contre OpenAI pour la gestion controversée des données par ChatGPT. On vous dit ce que l’on sait !
L’Italie frappe fort en infligeant une amende conséquente à OpenAI, la société derrière ChatGPT, pour des manquements graves au RGPD. Cette décision soulève des interrogations cruciales sur la gestion des données personnelles à l’ère de l’intelligence artificielle. Quels impacts ces régulations auront-elles sur le développement des technologies et sur la protection des utilisateurs ? L’innovation peut-elle s’allier au respect de la vie privée ?
ChatGPT : une sanction pour des pratiques jugées non conformes
Le 20 décembre 2024, l’autorité italienne de protection des données (Garante) a annoncé une amende de 15 millions d’euros contre OpenAI. Cette sanction résulte d’une enquête ouverte en mars 2023 après des inquiétudes concernant la collecte et l’utilisation des données personnelles par ChatGPT.
Lire la suite : https://pointgphone.com/chatgpt-italie-amende-15-millions-euros-72383/
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Pseudonymisation des données : le RGPD rien que le RGPD mais tout le RGPD
lemondedudroit.fr - par Marion Boige et Thaima Samman, avocates, cabinet Samman
Publié le 23 Décembre 2024
Dans la course mondiale au leadership en IA, les acteurs publics et privés, français comme européens, se sont saisis de la pseudonymisation comme technique de protection des données personnelles. Thaima Samman et Marion Boige, avocates au cabinet Samman, analysent la première étude réalisée sur le sujet.
Technologie qui répond aux principes de la protection des données (PET pour « Privacy Enhancing Technologies »), la pseudonymisation remplace les données personnelles, tel que le nom d’une personne, par des caractères alternatifs, réduisant significativement le risque d'identification directe des individus.
En validant le choix de Microsoft pour héberger les données de santé des Européens, la décision n°491644 du Conseil d’Etat rendue publique le 19 novembre dernier, a utilement réaffirmé la pseudonymisation comme une garantie mise en place pour assurer la confidentialité des données.
Cette décision du Conseil d’Etat est d’autant plus opportune que la pseudonymisation des données est de plus en plus présente dans notre quotidien, protégeant notre vie privée tout en permettant l'utilisation de nos données pour faciliter nos vies :
Lire la suite : https://www.lemondedudroit.fr/decryptages/96281-pseudonymisation-donnees-rgpd-rien-rgpd-mais-rgpd.html
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L’EDPB se prononce sur l’IA et la conformité au RGPD !
lesnews.ca - par Faudel Tannouh
Publié le 23 décembre 2024
Le 18 décembre 2024, le Comité Européen de la Protection des Données (CEPD) a publié un avis concernant l’utilisation des données personnelles dans le domaine de l’ intelligence artificielle (IA), suite à la demande de la Commission irlandaise de protection des données pour obtenir des précisions sur l’application du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) à l’IA.
Dans cet avis, le CEPD propose un cadre solide pour l’utilisation éthique et le développement de l’IA. Le comité souligne que les développeurs d’IA peuvent invoquer l’intérêt légitime comme base légale pour l’entraînement des modèles, mais que les autorités de protection des données (APD) doivent réaliser un test en trois étapes :
Le CEPD insiste sur le fait que les modèles d’IA développés avec des données personnelles traitées de manière illégale font l’objet d’un contrôle juridique rigoureux :
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/ledpb-se-prononce-sur-lia-et-la-conformite-au-rgpd/
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La CNIL va lancer une certification RGPD des sous-traitants
blog du modérateur - par Thomas Coëffé
Publié le 24 décembre 2024
La commission veut faciliter le choix des sous-traitants par les responsables de traitement.
Choisir un sous-traitant « de confiance »
Les entreprises font régulièrement appel à des sous-traitants pour gérer leurs données : hébergement web, agences marketing, ESN, éditeurs de logiciels… Considérées comme des responsables de traitement, elles doivent sélectionner des sous-traitants qui, selon l’article 28 du RGPD, « présentent les garanties suffisantes pour répondre aux exigences » dudit règlement. Un processus qui peut s’avérer complexe et freiner les partenariats avec les fournisseurs.
La CNIL lance une consultation publique
Pour faciliter le choix des sous-traitants, la CNIL va créer une certification dédiée. Elle permettra à un responsable de traitement de choisir plus sereinement les entreprises qui pourront traiter ses données. La consultation publique vient d’être lancée, elle sera terminée fin février. Un calendrier relativement contenu, qui laisse espérer de premières certifications de sous-traitants courant 2025.
Vous pouvez y participer simplement en répondant à ces 6 questions, quelle que soit votre position : sous-traitant, DPO, responsable de traitement…
Lire la suite : https://www.blogdumoderateur.com/cnil-certification-rgpd-sous-traitants/
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L’Allemagne somme le projet de Sam Altman World de supprimer des données sensibles
next.ink - Mathilde Saliou
Publié le 24 décembre
Autrefois connu sous le nom de Worldcoin, le projet World de Sam Altman consiste à scanner les iris et le visage d’internautes. Le but : créer une identification biométrique utilisable en ligne, qui prouve que l’internaute est humain, et non une intelligence artificielle.
Au terme d’une enquête de plusieurs mois, la BayLDA (la CNIL de Bavière) a conclu (.pdf) que les activités de Tools for Humanity, la société installée à San Francisco qui construit le réseau World, « comportent nombre de risques fondamentaux en matière de protection des données pour un grand nombre de personnes concernées », et qu'elles ne seraient donc pas conformes au Règlement général sur la protection des données (RGPD).
Ce faisant, elle oblige World à procéder à l’effacement des données problématiques pour respecter le RGPD.
L'entreprise a fait appel de la décision, demandant notamment à l’autorité de déclarer plus clairement si sa technologie d’anonymisation correspondait aux critères légaux d’anonymisation au sein de l'Union européenne.
Lire la suite : https://next.ink/brief_article/lallemagne-somme-le-projet-de-sam-altman-world-de-supprimer-des-donnees-sensibles/
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Données personnelles : la justice européenne précise quelques règles du jeu
itforbusiness.fr - par Pierre-Randolf Dufau,
Publié le 27 décembre 2024
Deux décisions de la CJUE du 4 octobre 2024 éclairent sur le traitement de données personnelles. L’une sanctionne l’utilisation de données sensibles pourtant rendues publiques par la personne concernée. L’autre légitime sous conditions la diffusion à titre onéreux de données personnelles.
De Caterina Barberi & Valentine Le Guellaut, PRD Avocats
Dans un arrêt opposant Maximilian Schrems à Meta (C-446/21), la Cour de justice de l’Union européenne a sanctionné l’utilisation de données concernant l’orientation sexuelle du plaignant à des fins de publicité ciblée, alors même que ladite orientation sexuelle avait été rendue publique par celui-ci. Elle en profite pour rappeler des principes essentiels du RGPD en cas de publicité ciblée.
D’abord, une entreprise ne peut pas conserver sans limitation dans le temps des données à des fins de publicité ciblée sans porter atteinte aux droits des utilisateurs. La limitation dans le temps est donc indispensable. Pour la CJUE, il est aussi nécessaire de distinguer selon la nature de ces données (sensibles ou non). L’orientation sexuelle étant une donnée particulièrement sensible, elle mérite une protection spécifique. Il faut donc appliquer un encadrement plus contraignant à son utilisation par une entreprise, pour pouvoir diffuser de la publicité ciblée.
Ensuite, le caractère manifestement public des données traitées n’autorise pas un traitement par l’exploitant d’une plateforme d’autres données relatives à cette même orientation sexuelle.
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/donnees-personnelles-la-justice-europeenne-precise-quelques-regles-du-jeu-87167
Intelligence artificielle
Grâce à l'intelligence artificielle, ce nouveau casque permet de téléphoner dans le train et l'avion sans déranger son voisin
france3-regions.francetvinfo.fr - par Malo Bascoul
Publié le 25 décembre 2024
La start-up toulousaine Skyted a développé un casque qui amplifie la voix de manière discrète pour permettre de téléphoner dans les environnements bruyants comme les trains ou les restaurants. Il sera présenté début janvier à Las Vegas.
Société
Pouvoir passer un appel dans le train confortablement assis dans son siège sans déranger son voisin. Voilà la promesse de la start-up toulousaine Skyted avec la venue sur le marché de son nouveau casque Skyted 320. Ce dernier amplifie la voix de manière discrète grâce à l’intelligence artificielle pour permettre d'avoir une communication claire dans des environnements bruyants tels que les trains, les avions ou les restaurants.
“La question que je me suis posée est simple : Comment 300 passagers d'un avion peuvent passer un appel simultanément sans se battre entre eux ?”, sourit Stéphane Hersen, fondateur et PDG de Skyted. Avec ce nouveau casque, il est possible de parler à voix basse et éviter ainsi de déranger les personnes autour de soi. En effet, l'interlocuteur à l'autre bout du fil profite de l'amplification de la voix pour entendre, malgré le chuchotement de celui qui appelle.
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o3, le dernier modèle d’OpenAI doté de capacités de raisonnement avancées
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 23 décembre 2024
Le premier des “12 jours d’OpenAI” a été marqué par l’annonce de ChatGPT Pro et du modèle OpenAI o1, jusqu’alors en preview. Le 20 décembre dernier, la start-up a clos la série en beauté en dévoilant la famille o3, encore en phase de test, doté de capacités de raisonnement nettement améliorées.
OpenAi o3 est la version améliorée de son prédécesseur o1.O2 étant le nom du plus grand opérateur de réseau mobile au Royaume-Uni, OpenAI a préféré faire l’impasse sur o2 pour éviter tout conflit.
Les capacités de raisonnement avancées d’OpenAI o1 et o3 reposent sur la chaîne de pensée (chain of thought) et l’apprentissage par renforcement (reinforcement learning ou RL). La chaîne de pensée est un processus où l’IA décompose un problème complexe en sous-problèmes plus simples avant de proposer une solution. Grâce à l’apprentissage par renforcement, les modèles perfectionnent cette chaîne de pensée et affinent leurs stratégies. Ils apprennent à identifier et à corriger leurs erreurs, à décomposer les étapes complexes en étapes plus simples, et à essayer une approche différente lorsque l’approche utilisée ne fonctionne pas.
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/o3-le-dernier-modele-dopenai-dote-de-capacites-de-raisonnement-avancees/
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Intelligence artificielle : xAI, l’entreprise d’Elon Musk, lève à nouveau 6 milliards de dollars
20minutes.fr - par 20 minutes avec AFP
Publié le 24 décembre 2024
MONEY MONEY MONEY • Ces financements serviront notamment au renforcement des « infrastructures de pointe » de xAI
Elon Muskn e lésine pas sur les moyens. xAI, son entreprise d’intelligence artificielle, a annoncé lundi avoir conclu une nouvelle levée de fonds majeure de 6 milliards de dollars, afin « d’accélérer son développement ».
Ces financements serviront notamment au renforcement des « infrastructures de pointe » de xAI, a indiqué dans un communiqué la société du milliardaire qui développe des produits d’intelligence artificielle générative et se veut un concurrent direct d’OpenAI, à l’origine de ChatGPT.
Augmenter la capacité de Colossus
« Une forte capacité de calculs est nécessaire », a ainsi commenté ce mardi sur son réseau social X le patron de Tesla et SpaceX, et désormais bras droit du président élu Donald Trump.
xAI veut ainsi augmenter la capacité de son supercalculateur dédié à l’IA, Colossus, en doublant le nombre de ses puces graphiques fabriquées par le leader du secteur Nvidia, passant de 100.000 à 200.000 puces, afin d’entraîner ses modèles d’intelligence artificielle, comme Grok.
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/high-tech/4130722-20241224-intelligence-artificielle-xai-entreprise-elon-musk-leve-nouveau-6-milliards-dollars
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« Les IA vont devenir totalement imprévisibles » : le fondateur d’OpenAI explique le futur
lebigdata.fr - par Dina R.
Publié le 23 décembre 2024
Ilya Sutskever, figure clé d’OpenAI, prédit un tournant majeur dans la manière de concevoir l’IA. Rappelons que les ressources en données se raréfient, ainsi les chercheurs devront innover pour maintenir le progrès.
Ce cofondateur d’OpenAI a fait parler de lui plus tôt cette année en quittant l’entreprise pour fonder son propre laboratoire, Safe Superintelligence Inc. Depuis ce départ, il s’est fait discret, mais il a marqué son retour sur la scène publique vendredi. En effet, il a été vu à la conférence sur les systèmes de traitement de l’information neuronale (NeurIPS) à Vancouver.
Sur scène, Sutskever a fait une déclaration audacieuse : « La préformation telle que nous la connaissons est vouée à disparaître. » Cette phase cruciale du développement des modèles d’IA, où les algorithmes apprennent des structures à partir de vastes quantités de données non étiquetées, pourrait bientôt appartenir au passé.
L’évolution de l’IA comparé à celle des cerveaux humains ?
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/les-ia-vont-devenir-totalement-imprevisibles-le-fondateur-dopenai-explique-le-futur
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Tendances IA 2025 : un tournant technologique et économique
journaldunet.com - Chronique de Jean-Charles Vasnier
NVIDIA - Publié le 18 décembre 2024
Tandis que les technologies d'IA progressent à une vitesse vertigineuse, à quelles grandes innovations s'attendre en 2025 ?
Selon IDC, les entreprises du monde entier devraient dépenser 307 milliards de dollars en solutions d'IA en 2025, pour atteindre 632 milliards de dollars d'ici 2028. L’impact économique mondial cumulé de l’IA pourrait s’élever jusqu’à 19 900 milliards de dollars d’ici 2030 et pourrait alors être à l'origine de 3,5 % du PIB mondial.
Bien que certaines entreprises et startups tardent encore à adopter l'IA, les approches prudentes cèdent néanmoins la place à l'optimisme. Les deux tiers des répondants à l'enquête 2024 State of AI Survey de Forrester Research estiment que leur entreprise aurait besoin d'un retour sur investissement inférieur à 50 % pour considérer que leurs initiatives en matière d'IA sont couronnées de succès.
Tandis que les technologies d’IA progressent à une vitesse vertigineuse, à quelles grandes innovations s’attendre en 2025 ?
L'inférence, le moteur de l'IA
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/intelligence-artificielle/1537613-tendances-ia-2025-un-tournant-technologique-et-economique/
Sécurité
Sécurité : la Métropole européenne de Lille veut accélérer la vidéosurveillance
acte.fr - Par Nicolas Demollien
Publié le 24 décembre 2024
La Métropole européenne de Lille (Nord) lance un appel aux villes pour la création d'un centre de supervision urbain mutualisé. De quoi accélérer la vidéosurveillance. Détails.
C’est un vaste projet que souhaite lancer la Métropole européenne de Lille. Elle vient de lancer un appel auprès des 95 communes qui la composent pour la création d’un centre de supervision urbain métropolitain. De quoi accélérer la mise en place de la vidéosurveillance sur le territoire.
Vers une accélération de la vidéosurveillance dans la métropole de Lille
Depuis plusieurs années déjà, la collectivité accompagne les communes dans leurs projets de vidéoprotection via des mécanismes de mutualisation d’achats et de financement. Elle accélère le processus aujourd’hui avec le lancement d’un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) « pour recueillir les besoins des communes en la matière et permettre la construction d’un futur Centre Métropolitain de Supervision Urbaine (CMSU) », le tout en poursuivant son soutien financier de plus de 2 M€ « pour renforcer le maillage territorial et un système continu de sécurité ».
L’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) s’adresse ainsi aux communes disposant :
Lire la suite : https://actu.fr/hauts-de-france/lille_59350/securite-la-metropole-europeenne-de-lille-veut-accelerer-la-videosurveillance_62039804.html
Détection
En Thaïlande, des systèmes de détection des tsunamis pour éviter que le pire ne se reproduise
la-croix.com - AFP
Publié le 24 décembre 2024
A presque 1.000 kilomètres des côtes thaïlandaises dévastées par le tsunami de 2004, des ingénieurs plongent une bouée de détection en mer, un maillon indispensable pour un système de prévention destiné à ce qu’un désastre aussi meurtrier ne se reproduise plus.
Le 26 décembre 2004, un séisme de magnitude 9,1, au fond de l’océan Indien, déclenche un tsunami gigantesque qui fait environ 230.000 morts dans une dizaine de pays d’Asie du Sud et du Sud-Est.
A l’époque, les systèmes de prévention étaient rudimentaires et il était impossible d’avertir les millions de personnes vivant sur les côtes de l’océan Indien en avance.
A l’époque, les systèmes de prévention étaient rudimentaires et il était impossible d’avertir les millions de personnes vivant sur les côtes de l’océan Indien en avance.
Lire la suite : https://www.la-croix.com/en-thailande-des-systemes-de-detection-des-tsunamis-pour-eviter-que-le-pire-ne-se-reproduise-20241224
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Google Chrome introduit la détection d'escroqueries par l'IA sur l'appareil pour une meilleure protection de la vie privée
notebookcheck.biz - par Nathan Ali (traduit par Ninh Duy)
Publié le 22 décembre 2024
La dernière version Canary de Google Chrome introduit une fonction de détection des escroqueries basée sur l'intelligence artificielle qui s'exécute directement sur votre appareil, protégeant ainsi votre vie privée tout en analysant les pages web à la recherche de menaces potentielles. Cette approche locale signifie que vos données de navigation restent sur votre ordinateur plutôt que d'être envoyées à des serveurs externes.
Google vient de déployer une toute nouvelle fonction de détection d'escroquerie par IA dans la dernière version de Chrome Canary une toute nouvelle fonctionnalité de détection des arnaques par l'IA dans la dernière version de Chrome Canary. Elle s'appelle "Client Side Detection Brand and Intent for Scam Detection" (marque et intention de détection des escroqueries côté client). "Elle utilise un modèle de langage étendu sur l'appareil pour analyser les pages web de Windows, Mac et Linux.
Désinformation
"Être une voix de confiance en ligne" : pour lutter contre la désinformation, l'Unesco propose une formation inédite aux influenceurs du monde entier
francetvinfo.fr - par Audrey Abraham
Publié le 23 décembre 2024
L'Unesco a dispensé, pendant un mois, une formation à destination des influenceurs du monde entier pour lutter contre la désinformation et les discours de haine en ligne. Plus de 9 000 inscrits, venus de 160 pays, l'ont suivie.
Deux tiers des influenceurs ne vérifient pas leurs sources, mais veulent apprendre à le faire : c'est ce qui ressort d'une enquête de l'Unesco, publiée début novembre. Pour répondre à cette problématique, l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture s'est associée avec le Knight Center for Journalism in the Americas, rattaché à l'université d'Austin au Texas. Ils ont conçu la première formation mondiale à destination des créateurs de contenus. Une formation disponible sur internet dans quatre langues (anglais, espagnol, portugais et français) et intitulée "How to be a trusted voice online", à traduire : "comment être une voix de confiance en ligne."
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États-Unis : la désinformation s’intensifie après le meurtre du patron d'une assurance santé
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié le 23 décembre 2024
L’assassinat de Brian Thompson, directeur général d’UnitedHealthcare, suscite une grande attention sur les réseaux sociaux, entre critiques des assurances santé, soutien à ce crime, voire appels à la violence.
L'assassinat du patron d'un géant de l'assurance santé aux États-Unis a déclenché un torrent de désinformation et de menaces en ligne, suggérant un échec des réseaux sociaux à modérer les contenus et faisant craindre un potentiel basculement de certains internautes dans la violence.
Le 4 décembre à l'aube, Brian Thompson, directeur général d'UnitedHealthcare, a été abattu froidement en pleine rue devant un hôtel à New York. Très vite, les publications ont fleuri sur les réseaux sociaux, entre critiques des assurances santé, soutien à ce crime, voire appels à la violence.
«Même s'il existe des désaccords sur quel contenu doit être modéré, voire s'il faut de la modération tout court, la plupart des gens mettraient en haut de la liste les "menaces explicites de violence"», explique à l'AFP Jonathan Nagler, professeur à l'université de New York (NYU). «Donc voir des publications sur les réseaux sociaux qui encouragent explicitement la violence contre quiconque, notamment des patrons des compagnies d'assurance santé, suggèrent que la modération de contenus a échoué», ajoute-t-il.
Mensonges et théories complotistes
Lire la suite : https://webmail.viaduc.fr/?_task=mail&_mbox=ADCET%2FPablo%2FRP%20ADCET%20Novembre%202024
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Protection des consommateurs, environnement, désinformation... Des agences fédérales américaines dans la tourmente avant même l'arrivée de Donald Trump
francetvinfo.fr - Article rédigé par - franceinfo avec AFP - France Télévisions
Avec la fermeture du Global Engagement Center (GEC) après huit ans d'existence, le ministère américain des Affaires étrangères perd sa seule agence contre la désinformation produite par des pays comme la Chine et la Russie.
Aux Etats-Unis, le Global Engagement Center (GEC) est la première agence fédérale à mettre la clé sous la porte. Le département d'Etat américain a annoncé, mardi 24 décembre, que son bureau spécialisé dans la désinformation étrangère allait disparaître, faute de disposer d'un budget en 2025. A l'approche de l'investiture de Donald Trump, le 20 janvier à Washington, les dirigeants des agences fédérales sont dans le collimateur du président élu et de ses influents soutiens. Ils"peuvent profiter de ces derniers jours pour acter davantage de protections et de règles" avant que leurs missions se retrouvent affaiblies, voire supprimées, "soit attendre, dans l'espoir que les républicains maintiendront certaines de leurs directives", début décembre.
Créée il y a huit ans pour traquer et contrer la désinformation produite par des pays rivaux des Etats-Unis, le GEC était très critiqué par les élus républicains, qui accusaient l'agence d'espionner des Américains en non pas uniquement des puissances étrangères. Le couperet est finalement tombé quand le texte législatif sur le budget a été voté au Congrès, au terme d'un long processus.
L'influence du duo Trump-Musk sur le budget
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Intelligence artificielle : avec Grok, Elon Musk fait franchir un nouveau cap à la « mésinformation »
Analyse Elon Musk s’est félicité, lundi 23 décembre, d’avoir conclu une levée de fonds de 6 milliards de dollars pour son entreprise xAI. Un temps défenseur d’un moratoire sur l’IA, le milliardaire veut désormais développer son propre agent conversationnel Grok.
lacroix.com - Par Capucine Licoys, le 26/12/2024
Dans une lettre ouverte publiée en mars 2023 signée par un millier d’experts du monde de la tech, Elon Musk demandait un moratoire sur l’intelligence artificielle. Le milliardaire dépeignait les logiciels dopés à l’IA comme « dangereux pour l’humanité » ; les laboratoires concernés comme obsédés par leur objectif de « déployer des cerveaux numériques toujours plus puissants, que personne (…) ne peut comprendre, prédire ou contrôler de manière fiable ». Pourtant, au même moment, l’homme d’affaires sud-africain lançait dans l’ombre une entreprise spécialisée dans les produits d’intelligence artificielle générative, xAI, avec quelques anciens de l’entreprise OpenAI et de Google DeepMind.
Lire la suite : https://www.la-croix.com/france/intelligence-artificielle-avec-grok-elon-musk-fait-franchir-un-nouveau-cap-a-la-mesinformation-20241226
Cybersécurité
Tendances 2025 en cybersécurité et identité numérique
Publié le 23 décembre 2024
Retour aux bases – Encore une fois
« Avec des budgets examinés de manière plus rigoureuse, les équipes de sécurité devront se concentrer à nouveau sur les fondamentaux plutôt que d’investir dans des outils dernier cri. Des étapes de sécurité essentielles, comme la gestion des points de terminaison, les mises à jour immédiates, l’application de politiques d’accès strictes et la formation des employés peuvent sembler ennuyeuses, mais elles sont extrêmement efficaces. Après tout, la technologie la plus avancée n’aura pas d’impact si l’on ne prête pas attention aux mesures de cyberhygiène de base. » – Dan Lattimer, VP régional, Semperis
Plus de fusions-acquisitions, plus de collaboration
« Compte tenu de la situation actuelle dans le monde, nous pouvons nous attendre à une augmentation des investissements dans la sécurité et l’identité l’année prochaine. Cependant, le marché est saturé. Il existe une multitude d’innovations véritables dans des domaines comme l’ IA, mais aussi beaucoup d’affirmations qui ne sont pas nécessairement corroborées par la réalité.
« En 2025, nous continuerons d’assister à une consolidation, tant en matière de fusions-acquisitions que de collaborations étroites entre partenaires et fournisseurs pour répondre aux demandes de sécurité des utilisateurs finaux. » – James Bradley, VP des partenariats et alliances, Okta
La pénurie de professionnels de la cybersécurité ne sera pas résolue
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/tendances-2025-en-cybersecurite-et-identite-numerique/
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Cybersécurité : le top 10 des tendances pour 2025
forbes.fr - par Une contribution de Damien Gbiorczyk, expert en cybersécurité chez Illumio
Les idées et opinions exprimées par nos contributeurs leur appartiennent
Une contribution de Damien Gbiorczyk, expert en cybersécurité chez Illumio
Ces prédictions sont également le fruit de discussions et d’échanges entre Damien et les experts d’Illumio, apportant une vision collaborative et éclairée sur les tendances à venir.
1-IA : une quête effrénée pour établir des directives et des cadres réglementaires
C’est un fait, les outils d’intelligence artificielle générative (GenAI) se sont imposés et démocratisés. En 2025, nous assisterons à une course contre la montre pour définir un cadre réglementaire à l’instar des discussions qui avaient marqué la régulation des réseaux sociaux. L’objectif de ces cadres sera de protéger les utilisateurs et d’établir des normes pour sécuriser l’IA contre les menaces posées par d’autres systèmes d’IA.
Lire la suite : https://www.forbes.fr/technologie/cybersecurite-le-top-10-des-tendances-pour-2025/
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Piratage et IPTV : les méthodes des enquêteurs pour identifier les fraudeurs
numerama.com -par Gabriel Thierry
Publié le 28 décembre 2024
Chasse à l'homme (et à l'IPTV)
Alors que le piratage de contenus bat des records en France, notamment dans le
domaine sportif, certaines entreprises se spécialisent dans la traque des diffuseurs illégaux. C’est notamment le cas de Forward Global, qui nous dévoile certaines de ses techniques.
Depuis plusieurs années, les diffuseurs de contenus payants sont à la recherche d’un trentenaire à l’origine d’un service d’IPTV. La chaîne à l’origine de la plainte a identifié l’auteur des faits, mais personne n’arrive à le localiser. Pour le coincer, c’est Forward Global, dirigée par Alexis Pinon, qui a été choisie. Cette entreprise spécialiste des recherches en source ouverte (Osint) fait d’abord chou blanc : la cible a une « hygiène numérique très forte ».
Il y a environ un an, ses experts ont finalement réussi à identifier une faille : le compte Instagram de sa conjointe. Cette dernière, qui donne des cours de yoga et de pilate, fait de nombreux selfies. En travaillant sur ces images, les experts de l’entreprise ont réussi à recomposer le paysage. Ils ont ainsi localisé son habitation « au fin fond de l’Asie ». « Nous avons envoyé une personne sur place, pour pouvoir faire une assignation, le service illégal a ensuite été coupé », explique Alexis Pinon. Mission accomplie.
Des records pour le piratage en 2024
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1871728-piratage-et-iptv-les-methodes-des-enqueteurs-pour-identifier-les-fraudeurs.html
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Google prépare un outil anti-arnaque pour Chrome
datanews.levif.be - par Els Bellens
Publié le 23 décembre 2024
Une nouvelle fonctionnalité pour le navigateur Chrome qui devrait avertir les utilisateurs, lorsqu’un site tente de les escroquer. La fonctionnalité, qui semble recourir à l’IA, est actuellement en cours de test.
Si vous l’activez, Chrome se mettra automatiquement à analyser diverses pages web à la recherche d’éventuelles pratiques d’escroquerie. La fonctionnalité exploiterait à cette fin un grand modèle de langage (LLM ou ‘Large Language Model’) sur votre appareil même. Nous écrivons ‘exploiterait’, car la fonctionnalité n’est pas encore vraiment utilisable par le grand public. Un chercheur (Leopeva64 sur X/Twitter) en a fait la découverte dans Chrome Canary, une version bêta du navigateur. Selon la description qui y figure, le LLM rechercherait la marque derrière la page web et tenterait de découvrir quelles en sont les intentions. Cela permettrait également identifier d’éventuelles arnaques (‘scams’).
Ce qui est intéressant ici, c’est que le LLM résiderait sur l’appareil même de l’utilisateur et analyserait le trafic de son navigateur à partir de là. De cette façon, les données de navigation ne seraient pas à chaque fois envoyées à un serveur quelque part dans le cloud, ce qui devrait améliorer la confidentialité.
Edge
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Favorisée par l’IA, la fraude aux documents d’identité explose
itsocial.fr - Par Philippe Richard
Publié le 24 décembre 2024
Le développement de la fraude par deepfake a accru les risques pour les organisations à l’échelle mondiale, rendant de plus en plus difficile la différenciation des utilisateurs légitimes des acteurs frauduleux. La fraude n’est pas statique. Au fur et à mesure que la technologie évolue, les menaces continuent de changer. Les formes traditionnelles ont cédé la place à des techniques plus complexes et plus innovantes, notamment la fraude à l’identité synthétique, la technologie deepfake et les plateformes de fraude en tant que service.
Selon un rapport de l’Entrust Cybersecurity Institute, les falsifications numériques ont fait un bond de 244 % en 2024, avec des attaques de type deepfake se produisant toutes les cinq minutes. Intitulé « 2025 Identity Fraud Report », ce document souligne la sophistication croissante des méthodes cybercriminelles et les défis auxquels sont confrontées les organisations dans la lutte contre la fraude pilotée par l’IA.
Lire la suite : https://itsocial.fr/cybersecurite/cybersecurite-articles/favorisee-par-lia-la-fraude-aux-documents-didentite-explose/
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Cybersécurité : les ambitions de NIS 2 décortiquées par Vincent Strubel (ANSSI)
https://next.ink - par Sébastien Galois
Publié le 27 décembre 2024
En ce mois de décembre, la commission spéciale résilience cybersécurité du Sénat a entamé sa série d’auditions sur la transposition de la directive NIS 2 (Network and Information Security), dont le projet de loi a été présenté en conseil des ministres en octobre. Le patron de l’ANSSI y a longuement détaillé ce projet au long cours. Voici notre compte rendu de son audition.
« NIS 2 n'est pas la suite de la directive NIS de 2016 »
Vincent Strubel, directeur général de l’ANSSI (Agence nationale de sécurité des systèmes d'information) ouvrait le bal, avec un rappel sur la Genèse de cette directive… et sur ce qu’elle n’est pas : « en étant conscient que ce n'est pas forcément très intuitif, je commencerai par dire que NIS 2 n'est pas la suite de la directive NIS de 2016, transposée en droit national en 2018 et qu'on appelle maintenant NIS 1 ». Pour le patron de l’ANSSI, NIS 2 répond à un « paradigme différent ».
La première version de NIS s’inscrivait dans la continuité du cadre national de la loi de programmation militaire de 2013, « qui régulait un certain nombre d'opérateurs d'importance vitale au titre de la défense et de la sécurité nationale ». NIS ajoutait des enjeux sociaux et économiques, mais toujours avec la logique « de protéger des opérateurs stratégiques contre des menaces très ciblées, principalement étatiques ».
NIS 2 est une réponse aux menaces systémiques
Publié le : https://next.ink/163056/cybersecurite-les-ambitions-de-nis-2-decortiquees-par-vincent-strubel-anssi/
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Adolescents hackers : jeunes, inconscients et redoutables ?
Posted On 22 Déc 2024By : Damien BancalComment: 0Tag: casquette, Chatnoir, Epsilon Group, Ligne Rouge, Redline, Sieb3l
ZATAZ a rencontré des hackers malveillants français, jeunes et inconscients, derrière les fuites de données d’entreprises comme Boulanger, Cultura, LDLC, SFR, FREE ou Sport 2000. Leurs méthodes sont aussi inquiétantes qu’accessibles !
Ils sont jeunes, souvent mineurs, membres d’un channel Discord, et ont plongé dans les données d’entreprises comme Boulanger, Cultura, SFR, LDLC, Free ou encore Sport2000. Un vrai cauchemar numérique pour des sociétés pourtant préparées au pire. ZATAZ a mené une enquête exclusive sur ces pirates informatiques amateurs, révélant un visage inattendu d’une cybercriminalité industrielle. Nés avec un clavier entre les mains, ces pirates exploitent des outils accessibles à toutes et tous pour mener des attaques ciblées contre des systèmes complexes, sans vraiment comprendre l’ampleur de leurs actes.
ZATAZ a mené une enquête approfondie pour remonter la piste de ces jeunes pirates français. Qui sont-ils ? Pourquoi agissent-ils ainsi ? Parmi eux, Sieb3l [pseudo d’emprunt], considéré comme l’un des cerveaux de cette opération surnommée « Ligne Rouge » [Redline] par ZATAZ. Avec d’autres membres, il a accepté de dévoiler ses méthodes. Bien que ses confessions doivent être prises avec précaution, elles révèlent une cybercriminalité inattendue. Ici, pas de hackers professionnels ou de manipulations étatiques, mais une utilisation déconcertante des outils numériques à portée de clics.
Lire la suite : https://www.zataz.com/adolescents-hackers-jeunes-inconscients-et-redoutables/
5G
Chartres : un réseau privé 5G va être testé dans sept communes dans le cadre d’un projet européen
lanouvellerepublique.fr - par LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE AVEC NEWSGENE
Publié le 28 décembre 2024
Un réseau privé 5G va être installé dans sept communes de Chartres Métropole (Eure-et-Loir) dans le cadre d’une expérimentation européenne. L’objectif est de tester cette technologie au niveau local pour divers usages concrets.
Dans le cadre d’une expérimentation européenne, un réseau privé 5G sera déployé prochainement dans sept communes de Chartres Métropole (Eure-et-Loir), rapporte Actu Chartres. Le projet, baptisé C’C5G et porté par la métropole et par C’Chartres innovations numériques (C’CIN), va ainsi participer aux tests des « villes intelligentes » de demain.
Le projet fait partie des 23 initiatives retenues dans le cadre du programme « 5G and Edge Cloud for Smart Communities », lancé par l’Union européenne. Cette initiative vise à soutenir le développement et le déploiement de technologies avancées, telles que la 5G et le cloud périphérique, pour renforcer les communautés intelligentes à travers l’Europe.
Des usages concrets
Le budget de ce projet est de 7,4 millions d’euros, dont 4,9 millions sont apportés par l’UE elle-même. Le C’C5G a pour but de développer des réseaux privés de 5G performants dans des zones stratégiques du territoire afin de favoriser « l’innovation et le dynamisme local », selon Chartres Métropole.
Lire la suite : https://www.lanouvellerepublique.fr/eure-et-loir/chartres-un-reseau-prive-5g-va-etre-teste-dans-sept-communes-dans-le-cadre-d-un-projet-europeen
Mobilité
15 nouvelles rames pour une exploitation complète de la ligne 1 du métro en 52 mètres
lillemetropole.fr - Communiqué
Le 20 décembre 2024
Actuellement, le parc de matériel roulant du métro du réseau de transport en commun de la Métropole Européenne de Lille est composé de 143 rames de trois générations différentes. Dans le cadre de la modernisation du métro et en préparation du doublement des rames sur la ligne 1, la Métropole Européenne de Lille prévoit l’acquisition de 15 rames de 52 mètres supplémentaires, afin de garantir une exploitation complète de cette ligne avec ce type de matériel. Un marché d’un montant global de 209 970 000 € HT est attribué à la société ALSTOM Transport SA, incluant l’acquisition des 15 rames et des prestations associées.
Une stratégie d’achat pour garantir une exploitation du métro
Dans le cadre du projet de doublement des rames de métro qui concerne la ligne 1,27 rames de 52 mètres en configuration boa, avec pilotage automatique ALSTOM seront mises en service à partir de 2026.
En parallèle, la sortie d’exploitation des rames de métro VAL 206 A et B, soit les plus anciennes actuellement en circulation, aura lieu de manière progressive entre le début de l’année 2026 et la fin de l’année 2030.
Au regard de ce calendrier, la Métropole Européenne de Lille a fait le choix d’acquérir 15 nouvelles rames de 52 mètres, ce qui permettra d’homogénéiser le parc de la ligne 1, avec une exploitation 100 % en 52 mètres et de redynamiser la ligne 2 avec le basculement de 27 rames VAL 208 de la ligne 1 vers la 2.
Avec la stratégie choisie, l’attractivité de la ligne 1 qui porte 55 % du trafic métro n’en sera que renforcée.
Un marché attribué à ALSTOM pour accroître le nombre de rames 52 mètres
Lire la suite : https://lillemetropole.fr/communique-de-presse/15-nouvelles-rames-pour-une-exploitation-complete-de-la-ligne-1-du-metro-en-52
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À 14 ans, pilotez cette micro-voiture électrique futuriste à 45 km/h et parcourez jusqu’à 120 km par charge
hellobiz.fr - par Karen Garcia
Publié le 20 décembre 2024
Accessible dès 14 ans, cette micro-voiture électrique compacte révolutionne la mobilité urbaine en alliant écologie, sécurité et indépendance pour les jeunes conducteurs.
Les avancées technologiques et les préoccupations environnementales ont conduit à une transformation du paysage des transports urbains. Parmi les innovations les plus intrigantes figure la micro-voiture électrique, une solution compacte et écologique qui attire de plus en plus l’attention. Ces véhicules, bien que petits, offrent une promesse de mobilité urbaine simple et pratique, surtout pour les plus jeunes conducteurs. Avec la possibilité pour les adolescents de 14 ans de prendre le volant, cette révolution dans les transports n’est pas seulement une question de taille, mais aussi d’accessibilité et de durabilité. Dans cet article, nous explorerons les caractéristiques, les avantages et les implications de ces micro-voitures électriques pour notre avenir urbain.
Lire la suite : https://hellobiz.fr/2024/12/20/a-14-ans-pilotez-cette-micro-voiture-electrique-futuriste-a-45-km-h-et-parcourez-jusqua-120-km-par-charge/
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DOSSIER. Saturation du réseau, satisfaction des étudiants, retards... Un an après la gratuité dans les transports, un premier bilan contrasté
france-3-regions.francetvinfo.fr - par Victor Combalat
Publié le 21 décembre 2024
Un an après les grandes festivités qui avaient entouré l'arrivée de la gratuité dans les transports de Montpellier, le bilan est plutôt en demi-teinte. Si la métropole se félicite de l'augmentation de la fréquentation, les syndicats de la TaM, l'opposition et certains usagers dénoncent une dégradation de l'offre.
Société
Les images de l'événement avaient marqué les Montpelliérains et avaient été relayées en masse sur les réseaux sociaux. Il y a un an, le 21 décembre 2023, la métropole fêtait le passage à la gratuité de ses transports en commun à l'occasion d'une édition hors norme de la Zone Artistique Temporaire (ZAT). Si la joie l'emportait pour beaucoup ce soir-là, de nombreuses questions restaient pourtant en suspens sur le fond du projet de gratuité. Comment allait évoluer la fréquentation des bus et tramways ? Comment combler le trou dans le budget de la TaM, causé par la suppression des abonnements et autres tickets ?
Toujours pas d'augmentation des impôts, promet Julie Frêche
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Les mobilités longues du quotidien : quelle stratégie pour affronter simultanément la question sociale et la question climatique ?
En matière de mobilité, les politiques publiques de ces dernières décennies ont été mises en échec, du point de vue de l’équité sociale comme du point de vue de la décarbonation. Ce résultat est essentiellement lié au fait qu’elles ont pour l’essentiel abandonné les mobilités longues du quotidien à la voiture. C’est cela qu’il faut impérativement corriger dans les années à venir.
L’explosion des mobilités du quotidien
Ces 50 dernières années, notre pays a connu simultanément un puissant phénomène de métropolisation de l’activité économique et un vaste mouvement de périurbanisation de l’habitat. Pour faire court : tandis que les emplois se concentraient dans les cœurs d’agglomération, les populations se dispersaient à leur périphérie. La conséquence de ce chassé-croisé est que la majorité des actifs occupés sont devenus des navetteurs : des gens qui résident dans une commune et travaillent dans une autre.
Cette évolution s’est traduite par une explosion des mobilités du quotidien, en particulier des mobilités domicile-travail. Dans le périurbain, la distance médiane domicile-travail (D/T) a connu une augmentation de près de 40 % entre 1999 et 2019 : comme le montre le graphique ci-dessous, elle est passée de 10,7 kms à 14,9 kms dans le périurbain à habitat dispersé où la population progressait dans le même temps de 29%, et de 9,8 kms à 13,5 kms dans les bourgs périurbains où la population progressait de 28%. Ce qui signifie que, dans les premiers territoires, la moitié des actifs occupés fait plus de 27 kms par jour pour aller travailler et revenir chez eux ; et dans les seconds, plus de 30 kms. Soit plus de 135 kms à 150 kms par semaine de travail…
Pourquoi la voiture résiste ?
Lire la suite : https://www.caissedesdepots.fr/blog/article/les-mobilites-longues-du-quotidien
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La Région Auvergne Rhône Alpes investit massivement pour les mobilités du quotidien
auvergnerhonealpes.fr - © Région Auvergne-Rhône-Alpes
Publié le 20 décembre 2024
Lors de l’assemblée plénière des 19 et 20 décembre, la Région a annoncé des avancées concrètes pour améliorer la mobilité du quotidien sur tous les territoires.
n an après l’adoption de la stratégie régionale « Mobilités positives du quotidien, cap sur 2035 », des avancées majeures dans les projets de mobilité sont à saluer. La Région Auvergne-Rhône-Alpes franchit de nouveaux jalons pour offrir à ses habitants une mobilité durable, accessible et efficace.
Des projets ambitieux soutenus par des investissements records
Lors de la dernière assemblée plénière d’octobre 2024, plusieurs mesures marquantes ont été prises, permettant d’accélérer la mise en œuvre de la stratégie régionale. Ces mesures comprennent :
Lire la suite : https://www.auvergnerhonealpes.fr/actualites/la-region-investit-massivement-pour-les-mobilites-du-quotidien
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Transport : Rethmann prend le contrôle de Transdev, un virage stratégique majeur
msn.com/fr - Article de Capital avec AFP
Publié le 18 décembre 2024
Le groupe allemand Rethmann, déjà détenteur de 34 % du capital de Transdev, va porter sa participation à 66 %. De son côté, la Caisse des Dépôts (CDC), actuellement actionnaire majoritaire, verra sa part diminuer de 66 % à 34 %, ont annoncé les deux parties lundi 16 décembre.
Le groupe Transdev, l'un des principaux acteurs du transport public en France, va passer sous pavillon privé après l'ouverture de négociations exclusives entre le groupe allemand Rethmann et la Caisse des dépôts (CDC), pour l'acquisition de 32% du capital, ont annoncé lundi les intéressés. La CDC conserverait 34% du capital de Transdev, tandis que Rethmann, qui détient plusieurs entreprises outre-Rhin dans la gestion de l'eau, le recyclage, la logistique et l'agroalimentaire, détiendrait une fois l'opération validée 66% des parts de l'entreprise.
«La Caisse des dépôts restera un actionnaire impliqué et attentif au succès de Transdev», a assuré dans le communiqué le directeur général délégué de la CDC, Olivier Sichel. Celle-ci était entrée au capital de Transdev en 2017. «Nous poursuivrons le formidable élan initié en 2019, qui a permis à Transdev de s’imposer comme un champion des mobilités dans le monde, basé en France», a de son côté réagi le président du conseil d'administration de Rethmann France, et administrateur du groupe familial, Ludger Rethmann. Le nouvel actionnaire majoritaire s'est engagé à conserver l'équipe de direction actuelle.
Lire la suite : https://www.msn.com/fr-fr/finance/autres/transport-rethmann-prend-le-contr%C3%B4le-de-transdev-un-virage-strat%C3%A9gique-majeur/ar-AA1w4VMt
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La ré-émergence des véhicules intermédiaires : de quoi parle-t-on ? Retour sur le Rendez-vous Mobilités du 28 novembre 2024
cerema.fr - cet article fait partie du dossier « Les rendez-vous mobilité du Cerema
Publié le 16 Décembre 2024
Plus de trois cents participants ont pris part au Rendez-Vous Mobilités du Cerema consacré aux véhicules intermédiaires en date du 28 novembre 2024. Ce webinaire s'inscrivait dans le cadre des activités du Cerema qui contribuent à l'Extrême Défi, l'initiative portée par l'ADEME visant à soutenir le développement des véhicules intermédiaires en France.
Dans la perspective d’une décarbonation de la mobilité, les véhicules intermédiaires émergent progressivement comme une composante possible du système de transport en tant qu’alternative à la voiture individuelle. Cette famille hétérogène de véhicules comprend tous les modes individuels de moins de 600 kg entre le vélo classique et la voiture, qui partagent une même vocation de favoriser une mobilité sobre.
Leur essor actuel, porté par les progrès de la motorisation électrique, n’en est encore qu’à ses débuts, mais certaines formes commencent à être rencontrées sur les routes, notamment celles de type « vélo augmenté » (vélo cargo par exemple) ou voiturette.
A travers l’initiative de l’Extrême Défi, l’ADEME soutient le développement d’une filière industrielle française et la réalisation d’expérimentations dans des territoires péri-urbains et ruraux, auxquelles le Cerema est associé. Il s’agit de tester la capacité de ces véhicules à offrir des solutions adaptées aux besoins de ces territoires.
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/re-emergence-vehicules-intermediaires-quoi-parle-t-retour
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Paiement électronique
La Banque Postale s’engage en faveur du « Pay in France* » avec le déploiement du paiement mobile Apple Pay sur le réseau CB
carts-bancaires.com - Communiqué
Publié le 17 décembre 2024
La Banque Postale, membre de CB au sein de l’interbancarité Française, s’est engagée à soutenir le paiement « made in France**» et confirme aujourd’hui l’arrivée des premières transactions mobiles avec Apple Pay pour les clients de La Banque Postale sur le réseau domestique CB. D’ici le 1er trimestre 2025, La Banque Postale proposera à tous ses clients la solution de paiement électronique Apple Pay fonctionnant sur les deux réseaux de paiement CB et Visa en mode cobadgé.
L'essor du paiement mobile
Alors qu’aujourd’hui près de 63% des paiements des Français sont réalisés par carte bancaire, l’augmentation de l’usage des portefeuilles électroniques a presque doublé, passant de 4,6% en 2022 à 8,2% en 2023*** . La possibilité pour tous les porteurs de carte CB de payer avec les solutions de paiement mobile proposées en France est donc stratégique et devrait permettre au réseau CB de traiter autour de 16 milliards de transactions d’ici à 2026.
L’interbancarité française à l’honneur
La Banque Postale, qui participe activement au plan stratégique CB Dynamique 2026, en tant que membre de CB, s’est illustrée en émettant ses premiers paiements avec Apple Pay dans le réseau CB. Ces transactions tests ont débuté le 1er octobre. Deux mois au cours desquels une quarantaine de collaborateurs de La Banque Postale ont pu effectuer leurs transactions Apple Pay – CB chez des commerçants en proximité et en vente à distance.
Identité numérique
Comment les ados falsifient leur carte d’identité grâce à leur smartphone
capital.fr - Par Solina Prak
Publié le 16 décembre 2024
Certains adolescents n’hésitent pas à falsifier leur carte d’identité sur leur smartphone pour se faire passer pour majeurs. Une pratique très simple mais qui est totalement illégale et lourdement sanctionnée.
Des ados se faisant passer pour majeurs pour pouvoir acheter de l’alcool ou aller en boîte de nuit : voici une petite combine qui est aujourd’hui largement pratiquée chez les jeunes. Et pour cause, la falsification de papiers d’identité semble être devenue un jeu d’enfants. Comme l’explique TF1, les jeunes peuvent facilement mentir sur leur âge grâce à leur smartphone qui leur permet de retoucher facilement leur carte d’identité.
«Sur un site, tu rentres la date de naissance que tu souhaites, et après tout le reste est généré. Par exemple, les codes en dessous, les trucs administratifs, ça se génère automatiquement. On peut modifier ce que l’on veut, la taille, le sexe, n'importe quoi», explique un jeune homme auprès de nos confrères. Pour beaucoup d’adolescents, il semble donc aujourd’hui banal de trafiquer la date de naissance imprimée sur leur carte d’identité. Inutile de faire appel aux services d’un faussaire professionnel, il leur suffit de savoir maîtriser les retouches photos sur leur téléphone portable.
À lire aussi : France Identité victime d’une tentative d’arnaque : une faille dans le service repérée ?
5 ans de prison et 75 000 euros d’amende
Lire la suite : https://www.capital.fr/economie-politique/comment-les-ados-falsifient-leur-carte-didentite-grace-a-leur-smartphone-1506987
Sécurité publique
Nokia et Motorola passent à la vitesse supérieur avec leur drone : révolution de la sécurité publique en marche
objrtconnecte.com - Par Faniry R.
Publié le 16 décembre 2024
Nokia et Motorola Solutions s'associent pour proposer une solution innovante intégrant drones, IA et connectivité 5G. Cette collaboration vise à révolutionner la sécurité publique et les industries critiques. Ceci reste possible grâce à des interventions plus rapides et efficaces. D'ailleurs cela améliore la sécurité des travailleurs et des infrastructures.
Une solution clé en main pour des interventions plus efficaces
Les drones jouent désormais un rôle clé dans les interventions d'urgence. Grâce à la solution drone dans une boîte combinée aux logiciels avancés, les premiers intervenants peuvent évaluer les situations avant d'arriver sur place. Cette technologie permet d'envoyer des drones depuis un centre d'opérations à tout moment. Les drones, connectés via des réseaux 4G et 5G, transmettent des images et données en temps réel. Ces informations facilitent d'ailleurs une prise de décision rapide et concrète.
L'intelligence artificielle intégrée améliore les capacités d'analyse des opérateurs. Elle ajuste automatiquement la trajectoire des drones pour éviter les obstacles et adapter leur altitude. Ainsi, les premiers intervenants et les industries critiques, comme le pétrole ou l'énergie, bénéficient d'une coordination optimisée grâce à l'IA. Cette solution réduit les risques pour les travailleurs tout en renforçant la protection des biens et des infrastructures.
Lire la suite : https://www.objetconnecte.com/drones-securite-publique-industries-connectes/
Services publics
Les délégations de services publics ont besoin de plus de transparence et d'équité, selon la Cour des comptes
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Publié le 20 décembre 2024
La Cour des comptes vient de publier un rapport sur les délégations de gestion de services publics locaux. Les magistrats appellent à « un meilleur équilibre des droits et obligations des entreprises délégataires et des collectivités. »
Distribution de l’eau, assainissement, traitement des déchets, entretien d’équipements de loisirs, de salles de spectacles, parkings, restauration scolaire, gestion des crèches… Les collectivités – principalement les communes – et leurs groupements « disposent d’une grande faculté de choix de leur mode de gestion » , rappellent en préambule de leur rapport les magistrats de la rue Cambon.
Transparence dans les modes de gestion, maîtrise du prix et qualité du service rendu : la délégation de gestion d’une collectivité à une entreprise privée est un sujet qui préoccupe régulièrement les élus locaux, soucieux de choisir le mode de gestion le mieux adapté aux services publics de la commune par exemple.
La Cour des comptes, pour identifier les bonnes et mauvaises pratiques en la matière, a examiné les constats de « 117 rapports récents de chambres régionales des comptes traitant de délégations de gestion de services publics et mené une enquête nationale auprès des administrations de l’État et des associations de collectivités. »
Désinformation
Tritium dans l’eau : quand la désinformation trompe l’opinion publique
afis.org - Communiqué par l’Association française pour l’information scientifique
Publié le 15 décembre 2024
Le tritium est un des isotopes de l’hydrogène. Sa présence dans l’environnement est d’origine naturelle (il est produit dans les hautes couches de l’atmosphère), avec une contribution issue d’activités humaines, qui provient aujourd’hui principalement de la production nucléaire d’électricité. Les essais nucléaires atmosphériques en ont été une source très importante dans les années 1960, mais du fait de la dilution et de la décroissance radioactive, son impact sur les concentrations mesurées est maintenant faible [1]. Le tritium est peu radiotoxique et, selon l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), les rejets issus des centrales nucléaires ne contribuent que de manière marginale aux doses effectives de radioactivité auxquelles le public est exposé. Sa concentration est contrôlée depuis plusieurs décennies, particulièrement aux abords des installations nucléaires autorisées à en rejeter dans l’environnement (étant chimiquement identique à l’hydrogène, le tritium est difficile voire impossible à isoler) [1].
Dans le cadre de leur surveillance des eaux destinées à la consommation, les Agences régionales de santé (ARS) effectuent des contrôles spécifiques sur le tritium. Le seuil réglementaire a été fixé en France et dans l’Union européenne à 100 Bq/l [2]. C’est cent fois moins que les 10 000 Bq/l, valeur guide retenue par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la base des connaissances scientifiques relatives aux effets du tritium sur l’Homme et l’environnement [3]. L’IRSN rappelle par ailleurs que « moins encore que la valeur guide de l’OMS, la valeur paramétrique de 100 Bq/l pour le tritium ne peut être regardée comme une limite de potabilité » [4]. Il s’agit en fait d’un « marqueur » d’activités humaines productrices de radioactivité, qui doit déclencher des investigations lorsque le seuil est dépassé.
Lire la suite : https://www.afis.org/Tritium-dans-l-eau-quand-la-desinformation-trompe-l-opinion-publique
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Vera, Decode democracy : deux nouvelles intelligences artificielles pour débusquer les fausses informations
vert.eco - par Remy Galland
Publié le 20 décembre 2024
Hiii haaa ! Alors que la désinformation liée au climat gagne du terrain, deux intelligences artificielles viennent de voir le jour pour vérifier les faits et donner des arguments à celles et ceux qui luttent contre les fake news. Nous les avons testées pour vous.
«Ils disent que le climat se réchauffe, mais j’ai très froid ce matin.» Lorsque je lui écris ce message sur WhatsApp, l’intelligence artificielle (IA) Vera commence poliment par juger ma «remarque intéressante». Avant de me renvoyer vers plusieurs sources pour m’aider à distinguer la météo du climat.
Vera vous aide à vérifier les faits
Développée par le collectif pluridisciplinaire lareponse.tech et disponible en version bêta depuis quelques semaines, askvera.org se propose de «vérifier les faits» via Whatsapp ou par un appel gratuit. «Il n’y a pas d’outil aujourd’hui qui permette de vérifier aussi rapidement des informations, et dont tu sais que les sources utilisées sont fiables, assure à Vert Florian Gauthier, data scientist et cofondateur du collectif.
Lire la suite : https://vert.eco/articles/vera-decode-democracy-deux-nouvelles-intelligences-artificielles-pour-debusquer-les-fausses-informations
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Le CEO d’Instagram met en garde contre la désinformation liée à l’IA sur les réseaux sociaux
siecledigital.fr - par Guillaume Fleura @g_fleureau
Adam Mosseri alerte sur les dangers de la désinformation alimentée par l'IA.
L’intelligence artificielle a bouleversé le paysage numérique, affectant de manière significative la gestion et la vérification des informations en ligne. Adam Mosseri, CEO d’Instagram, a mis en lumière les enjeux contemporains liés à cette révolution technologique.
La montée en puissance de l’intelligence artificielle sur les réseaux sociaux
Le développement rapide des capacités de l’intelligence artificielle a transformé la manière dont les contenus sont créés et consommés sur Internet. Adam Mosseri souligne que la technologie permet désormais de produire du contenu à une vitesse et avec une précision sans précédent. Cette évolution présente toutefois un revers inquiétant : la difficulté accrue de distinguer les informations véridiques des fausses nouvelles.
Même avec des systèmes sophistiqués de détection et de filtrage, certains contenus trompeurs réussissent encore à passer entre les mailles du filet. Les plateformes sociales, conscientes de ce problème, mettent en place diverses mesures pour avertir leurs utilisateurs. Instagram, par exemple, utilise des labels spécifiques pour indiquer les contenus potentiellement générés par l’IA, mais insiste également sur l’importance de vérifier la fiabilité des informations et de leurs sources.
Responsabilité des utilisateurs dans la lutte contre la désinformation
Lire la suite : https://siecledigital.fr/2024/12/17/le-ceo-dinstagram-met-en-garde-contre-la-desinformation-liee-a-lia-sur-les-reseaux-sociaux/
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Désinformation en santé : Peut-on lutter contre ?
inserm.fr - par A.R
Publié le 16 décembre 2024
Omniprésentes sur Internet et dans les médias, les informations fausses ou inexactes sur des thèmes de santé ont des conséquences négatives et potentiellement graves. Un sociologue, un neuroscientifique, ainsi qu’une spécialiste de la désinformation en santé nous confient leur point de vue sur la possibilité et l’intérêt de lutter contre ce phénomène.
Les informations trompeuses dans le domaine de la santé résultent souvent de négligences, de mauvaises interprétations, ou d’absences de scrupules en raison du besoin d’être lu, vu, de faire du buzz, du clic... Elles peuvent aussi être intentionnelles pour des motifs économiques, idéologiques, ou encore politiques. Les messages sensationnalistes qui créent la peur ou encore la méfiance sont en effet plus facilement relayés. Quelle qu’en soit la cause, le résultat peut avoir des conséquences sur la santé des individus, voire sur des groupes de personnes, en semant le doute sur des mesures de prévention, en les détournant de traitements recommandés, ou même en les invitant à des conduites à risque. Pour rétablir la vérité, des journalistes et des scientifiques effectuent du fact-checking, en vérifiant l’exactitude des faits énoncés publiquement, ou du debunking, qui consiste à montrer le caractère erroné des messages en les confrontant à la réalité des preuves scientifiques. Ces pratiques sont-elles efficaces ?
Laurent Cordonier : favoriser la diffusion d’une information de qualité
Lire la suite : https://www.inserm.fr/actualite/desinformation-en-sante-peut-on-lutter-contre/
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La désinformation en 2024 : entre ouragans artificiels et algorithmes
sciencepresse.qc.ca - Par Pascal Lapointe
Publié le 17 décembre 2024
Le phénomène de la désinformation a beau être riche en redites d’une année à l’autre —on n’a plus besoin de démontrer la capacité des algorithmes à amener les fausses nouvelles jusqu’aux publics les plus susceptibles d’y croire— il y a aussi des surprises. Survol de 2024 en 10 moments-clefs.
1) Les ouragans de la discorde - Qui aurait cru que des ouragans pourraient faire l’objet de désinformation ? En septembre et octobre 2024, lorsque Helene et Milton ont frappé le sud-est des États-Unis, ils ont été accompagnés d’un déferlement de désinformation entourant autant les secouristes que la nature même d’un ouragan. Le fait que des millions d’Américains aient été capables de croire que les démocrates avaient pu créer ces deux ouragans pour nuire aux électeurs républicains, a démontré, si besoin était, que lorsqu’on parvient à créer chez un groupe un sentiment de détestation de l’autre groupe, on peut lui faire croire n’importe quoi.
2) Les algorithmes d’Elon Musk - À partir du 13 juillet 2024, certains messages politiques sur la plateforme X ont soudain vu leur portée quadrupler, ce qui suggérait un changement dans l’algorithme visant à favoriser des contenus favorables à un parti politique plutôt qu’à l’autre. Cette date correspond au moment où le propriétaire de X, Elon Musk, a annoncé qu’il endossait Donald Trump.
Lire la suite : https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2024/12/17/desinformation-2024-entre-ouragans-artificiels-algorithmes
Assurances
Rapport Scientifique CCR - 2024
lessentiel-by-ccr-rs-2024.webflow.io - Communiqué
Alors que 48% des Français (sondage Elabe) pensent que nous ne pourrons plus nous assurer demain, la science nous permet d’éclairer les décisions publiques pour préserver l’assurabilité.
Notre expertise scientifique est cruciale pour mieux comprendre les phénomènes climatiques auxquels nous faisons face et pour aider à l’adaptation collective et individuelle face aux risques climatiques.
Elle permet à CCR de remplir ses missions avec cohérence : réassurer et conseiller l’État, les collectivités et les assureurs sur la nature des événements futurs et sur les solutions à adopter.
Ces deux missions, ainsi que leurs objectifs, ont guidé les projets scientifiques de cette année, présentés dans ce rapport.
L’objectif est clair : mieux comprendre l’impact des événements passés pour mieux se préparer à l’intensification de certains d’entre eux. Le renforcement de la prévention est indispensable, car il conditionne notre capacité à nous adapter et à garantir la pérennité du régime Cat Nat.
Les études de ce rapport reflètent notre mission principale : protéger l’assurabilité pour permettre à chacun de construire son avenir.
Télécharger le rapport : https://www.ccr.fr/documents/35794/1541603/CCR%20RS%202024%20web%2007102024_Poids%20l%C3%A9ger%20%282%29.pdf/861eba83-bd97-3cd5-bc25-1a9ed7305c9f?t=1732812821656
Intelligence artificielle
Chez IBM, c’est l’intelligence artificielle qui décide des augmentations de salaire !
Par Stéphane Barge - Chef d'enquête
Publié le 16 décembre 2024
EXCLU CAPITAL. Inédite, cette application d'intelligence artificielle ne fait pas l'unanimité au sein du personnel et des syndicats du géant informatique, qui déplorent un manque de transparence dans les critères de la machine.
« Mettons l’IA au travail », clame le slogan d’IBM. A sa manière, le département des ressources humaines du géant américain du numérique (62 milliards de dollars de chiffre d’affaires, 288 000 salariés fin 2023) applique cette devise, à tous ses effectifs, y compris ceux de sa filiale française. Depuis plusieurs années, WatsonX, sa plateforme phare d’intelligence artificielle, fait chauffer ses réseaux de neurones pour statuer sur d’éventuelles augmentations de salaire, et ce individuellement, pour chacun des employés de l’entreprise.
Les syndicats déplorent l'opacité du cerveau artificiel
Pour livrer son verdict - en substance, le pourcentage d'augmentation qui peut être accordé. WatsonX s’appuie selon nos informations sur une quarantaine de critères, parmi lesquels figurent notamment l’ancienneté du salarié, l’écart entre sa propre rémunération et la moyenne estimée à son poste sur le marché, son niveau de performance, ses compétences stratégiques et leur degré de rareté ou encore, le risque que l’employé démissionne si son salaire stagne.
Lire la suite : https://www.capital.fr/entreprises-marches/chez-ibm-cest-lintelligence-artificielle-qui-decide-des-augmentations-de-salaire-1507033
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L’Avenir de la Détection des Menaces par l’IA en Cybersécurité
lesnews.ca - par Julien Macé
Publié le 14 décembre 2024
Alors que les menaces cybernétiques deviennent de plus en plus sophistiquées, la nécessité de mécanismes de détection avancés devient cruciale. La détection des menaces alimentée par l’ intelligence artificielle (IA) est à l’avant-garde de cette transformation, modifiant la manière dont les organisations identifient, réagissent et atténuent les risques. Cet article se penche sur les applications actuelles de l’IA dans la détection des menaces, ses avantages et les tendances qui façonnent son avenir en cybersécurité.
Les technologies d’IA progressent déjà de manière significative dans le domaine de la cybersécurité en automatisant des processus, en analysant d’énormes ensembles de données et en fournissant des informations exploitables. Voici quelques applications concrètes où l’IA joue un rôle clé :
Détection d’anomalies : Des modèles d’IA, tels que des algorithmes d’apprentissage automatique, sont utilisés pour détecter des comportements inhabituels au sein des réseaux. Par exemple, des systèmes comme Splunk et IBM QRadar utilisent l’IA pour signaler des écarts par rapport à une activité normale, permettant ainsi une détection précoce des menaces telles que les attaques internes ou les malwares.
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/lavenir-de-la-detection-des-menaces-par-lia-en-cybersecurite/
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Intelligence artificielle : une génération de valeur sous conditions
ibm.com - Par Eric Masson
Publié le 16 décembre 2024
La valeur potentielle à capturer est telle que les projets d’IA sont légion; l’avènement de l’IA générative les démultiplie. Mais ces projets sont cependant trop souvent des échecs. D’autant qu’un succès technique ne garantie pas la libération de la valeur identifiée en amont.
La ruée vers l’offre d’intelligence artificielle trouve sans doute son élan dans le consensus produit par la communauté des analystes et autres experts en transformation technologique. L’IA libèrera des billions de dollars de valeur, à travers des transformations bien réalisées s’appliquant à la totalité des fonctions des entreprises et administrations. L’accélération du rythme est due à des preuves et à des peurs. Preuves de maturité des technologies sous-jacentes, de bénéfices tangibles résultant d’expérimentations ou de passages à l’échelle réussis. Mais peurs de rater la vague, ou de la prendre trop tard et de se faire distancer par une compétition qui investit. Peur aussi de ne pas capturer cette valeur promise et de devoir le justifier. Comment cet emballement généralisé affecte-t-il d’ailleurs les états-majors ?
Priorités de direction générale
Selon une étude d’IBM, la priorité de 2024 des dirigeants est « innovation produit et service », c’était « productivité ou profitabilité » en 2023. Il semble que le mirage d’un gain rapide de productivité annoncé avec l’arrivée tonitruante de l’IA générative se soit vite évanoui. Priorité donc à la génération de valeur, l’innovation étant un vecteur de développement de revenus et de restauration de marges. Priorité aussi à l’intégration de nouvelles technologies, elles sont évidemment sur le « chemin critique » d’une part importante de création de valeur additionnelle. Poussées par leur direction générale, les entreprises se lancent, achètent ou vendent de la technologie servant l’IA, de la technologie augmentée par l’IA permettant de délivrer une multitude de cas d’usage tous aussi prometteurs les uns que les autres. Et elles ont raison, mais…
Succès technique vs valeur
Lire la suite : https://www.ibm.com/blogs/ibm-france/2024/12/16/intelligence-artificielle-une-generation-de-valeur-sous-conditions/
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Comment l’intelligence artificielle révolutionne la prévision météo traditionnelle
express.fr - Par Maxime Recoquillé
Publié le 15 décembre 2024
Tech. L’amélioration des prévisions à un horizon de 15 jours n’est plus une chimère. L’IA est également douée pour anticiper la trajectoire précise des ouragans. Et ce n’est que le début.
C’est ce qu’on appelle voler la vedette. A la surprise générale, le Nobel de physique a récompensé cette année Geoffrey Hinton et John Hopfield. Deux grands noms de l’intelligence artificielle (IA) et plus particulièrement des réseaux de neurones, massivement utilisés dans la science moderne. Un choix quelque peu controversé parmi les chercheurs du cru, mais qui montre une tendance de fond : l’IA s’immisce partout, y compris dans des domaines où la physique brille depuis des siècles, à l’image de la prévision météorologique.
Les dernières percées dans le domaine sont à mettre au compte de grands groupes à l’avant-garde de cette technologie comme Google DeepMind, Nvidia, IBM ou bien Huawei. Le premier cité vient de publier début décembre son nouveau modèle d’intelligence artificielle spécialisé, "GenCast", entraîné à l’aide des quatre dernières décennies (jusqu’en 2018) de données météo. Présenté dans la revue Nature, "GenCast" réalise des prévisions statistiques sur une multitude de variables jusqu’à 15 jours, sur une résolution spatiale de 31 kilomètres, en se montrant dans 97 % des cas plus précis que les meilleurs modèles traditionnels.
Cybersécurité
L’ANSSI partage son guichet de diodes Eurydice en open-source
cyber.gouv.fr - Communiqué
Publié le 20 Décembre 2024
L’ANSSI publie le code source d’Eurydice, une solution facilitant le transfert sécurisé de fichiers entre deux réseaux, via une diode physique.
Depuis 2021, les experts de l’ANSSI ont développé Eurydice, une solution intuitive permettant de transférer de l'information entre deux réseaux distincts et de niveaux de sécurité différents, via une diode physique, en garantissant l'intégrité des données.
Pour les utilisateurs, Eurydice propose une interface web intuitive et ergonomique (fonctionnalités d’upload drag-n-drop, visualisation rapide des fichiers, etc.) ainsi qu’une API pour scripter les actions, avec la possibilité d’ajouter des métadonnées supplémentaires aux fichiers transférés. Ce guichet de diodes élaboré par l’ANSSI facilite également la prise en mains des administrateurs en mettant à disposition des fonctionnalités multiples (gestion des comptes utilisateurs, authentification par Kerberos, endpoint de métrics, etc.).
Le partage du code source d’Eurydice sur la plateforme Github s’inscrit dans la continuité de l’engagement de l’ANSSI pour l’Open source. L’investissement de l’Agence – en tant que contributeur logiciel libre au sein de l'État - répond à un réel enjeu de sécurité et de souveraineté en permettant d’élaborer des solutions adaptées à de nouveaux cas d’usage, de sécuriser les composants de base les plus utilisés, mais également de développer, entretenir et partager sa compétence et sa maîtrise des technologies clés du numérique.
Le projet Eurydice, grâce à l’open source, est ainsi mis à disposition par l’ANSSI pour que le plus grand nombre puisse profiter de cette solution sécurisée et contribuer à son développement.
Lire la suite : https://cyber.gouv.fr/actualites/lanssi-partage-son-guichet-de-diodes-eurydice-en-open-source
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Le 17Cyber, site d'urgence sur les cyberattaques, ouvre enfin ses portes
lemondeinformatique.fr - Jacques Cheminat
Publié le 17 Décembre 2024
Dans les tuyaux depuis quelques années, le service 17Cyber vient d'ouvrir. Réalisé par la Police nationale, la Gendarmerie nationale et Cybermalveillance.gouv.fr, il sert de premier contact pour les victimes, particuliers, entreprises et collectivités, de cyberattaque.
Si la cybersécurité est souvent une question de rapidité, le lancement du 17Cyber est marqué sous le sceau de la patience. Un peu plus de deux ans et demi auront été nécessaires pour élaborer ce service d’urgence dédié aux cyberattaques. L’idée avait été émise par Emmanuel Macron en janvier 2022 de créer un numéro similaire au 17 ou 112 pour les victimes de cyberattaque. A l’époque, il était prévu de mettre en place un numéro de téléphone pour éviter à une personne de devoir utiliser un ordinateur potentiellement compromis, rappelle nos confrères du Figaro.
Le numéro de téléphone s’est transformé en un site Internet dédié. Il est administré par la Police nationale, la Gendarmerie nationale et Cybermalveillance.gouv.fr qui avait rappelé fin 2022 son implication dans la mise en service de ce dispositif. Le service s’adresse aux particuliers, aux entreprises et aux collectivités. Dans un premier temps, le site propose de poser un diagnostic sur les problèmes rencontrés.
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Des mesures inédites face à l’alarmante flambée des cyberattaques
lepoint.fr - par Guerric Poncet
Publié le 16 décembre 2024
Aux États-Unis, un scénario cauchemardesque marque la fin de l’année 2024, avec le plus grave piratage d’un réseau de télécommunications dans l’histoire du pays.
Dans leurs guides destinés à préparer la population à une situation de crise ou de guerre, les gouvernements suédois et norvégien recommandent à leurs citoyens de disposer d'argent liquide, en raison des risques de cyberattaques contre les systèmes de paiement en ligne. Dans les pays nordiques, comme dans les pays Baltes, les paiements sont largement, voire totalement, dématérialisés, ce qui constitue une vulnérabilité face aux cyberattaques de grande ampleur.
D'où les mesures prises par les autorités norvégiennes, qui ont forcé en octobre tous les magasins physiques à accepter les espèces, alors que la Suède fait de même uniquement pour les vendeurs de produits essentiels (magasins d'alimentation, pharmacies, stations essence, etc.). Ce renvoi inédit vers l'argent liquide illustre la volonté de générer de la résilience, face à la flambée des cyberattaques observée en 2024.
Fin d'année cauchemardesque aux États-Unis
Lire la suite : https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/des-mesures-inedites-face-a-l-alarmante-flambee-des-cyberattaques-16-12-2024-2578033_47.php
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SensCyber, une e-sensibilisation à la cybersécurité
cybermalveillance.gouv.fr - Communiqué
Publié le 16 décembre 2024
Fort de son expérience dans le domaine de l’assistance et de la sensibilisation au profit des victimes de cybermalveillance, Cybermalveillance.gouv.fr a lancé SensCyber, une e-sensibilisation à la cybersécurité gratuite et accessible à tous (particuliers, collaborateurs des SensCyber, qu’est-ce c’est ?
À l’heure où chaque utilisateur est plus que jamais exposé aux menaces, SensCyber intervient comme un cours ludique, conçu pour adopter les bonnes pratiques cyber et les partager avec son entourage afin de prévenir les risques de cybermalveillance.
Comment ça marche ?
Entièrement gratuit, le programme d’e-sensibilisation SensCyber est accessible à tous, sur le site de Cybermalveillance.gouv.fr.
Pour y accéder, chaque utilisateur doit simplement se créer un compte sur la plateforme et peut s’essayer autant de fois qu’il le souhaite.
Composé de définitions illustrées, de quiz ou encore de séquences interactives permettant d’ancrer les notions évoquées, le programme est construit autour de 3 modules :
1. Comprendre les cyberattaques les plus courantes, leur fonctionnement et les risques encourus par les individus dans la sphère privée comme professionnelle ;
2. Agir pour s’approprier les bonnes pratiques et les bons réflexes dans les usages du quotidien (téléphone portable, réseaux sociaux, usages pro-perso…) ;
Lire la suite : https://www.cybermalveillance.gouv.fr/tous-nos-contenus/senscyber-e-sensibilisation-cybersecurite
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Coopération internationale : les gendarmes français et canadiens unis contre la cybercriminalité
gendarmerie.interieur.gouv.fr - Par Antoine Faure
En matière de lutte contre la criminalité organisée, la coopération internationale est un facteur-clé de réussite. Ceci est particulièrement vrai dans le domaine cyber qui, par essence, ignore les frontières physiques. Le Canada est l’un des piliers de cette coopération. D’abord parce que l’écosystème cyber au Canada est particulièrement dynamique, avec des universités dédiées, des centres de recherche, de nombreuses entreprises et clusters et des forums internationaux, dont le Forum InCyber de Montréal, émanation du Forum international de la cybersécurité (FIC) de Lille. Le cyber et l’Intelligence artificielle (I.A.) comptent d’ailleurs parmi les priorités du gouvernement fédéral, et donc de sa politique de coopération avec les autres pays, dont la France, identifiée comme un acteur majeur, notamment en raison des résultats obtenus par la Gendarmerie nationale.
Mais cette médaille a un revers. Le Canada est un État « cyber-vulnérable », et ses entreprises et structures sont la cible de nombreuses attaques. Environ 15 % des sociétés ont été victimes de rançongiciels, et cela a un coût pour l’économie du pays : le montant des dépenses engagées pour réparer les dégâts après les incidents est passé de 450 millions d’euros en 2021 à un milliard en 2023… En outre, de nombreux hackers sont originaires du Canada ou y ont élu domicile, et des start-ups ayant pignon sur rue ont développé certaines des messageries cryptées les plus utilisées par les criminels, à l’image de Sky ECC, dont le fondateur a été mis en examen à Paris pour association de malfaiteurs, fourniture de solution de cryptologie sans déclaration conforme et blanchiment.
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L’intelligence artificielle, bouclier indispensable face à l’explosion des cybermenaces
forbes.fr - Une contribution de Ahmed Achchak, CEO et co-fondateur de Qevlar AI
Publié le 17 décembre 2024
Alors que les cyberattaques se multiplient et gagnent en sophistication, les entreprises, les gouvernements et les particuliers se retrouvent face à une réalité troublante : la cybersécurité traditionnelle ne suffit plus. Dans ce contexte, l’intelligence artificielle (IA) apparaît comme un levier incontournable pour anticiper, détecter et contrer les menaces à une échelle inédite.
L’IA, une arme contre des attaques en constante évolution
Les hackers adoptent aujourd’hui des techniques de plus en plus sophistiquées, notamment en exploitant des modèles de langage avancés (LLMs). Ces IA leur permettent de personnaliser en masse les campagnes de phishing, rendant les messages plus crédibles et difficiles à détecter. Face à cette escalade, les approches manuelles ou purement réactives atteignent leurs limites. L’IA, en revanche, excelle là où l’humain seul est dépassé : elle analyse des milliards de données en temps réel, identifie des anomalies invisibles à l’œil nu et propose des actions correctives instantanées.
Par exemple, les systèmes d’intelligence artificielle peuvent :
Un allié pour les équipes de SOC
Lire la suite : https://www.forbes.fr/technologie/lintelligence-artificielle-bouclier-indispensable-face-a-lexplosion-des-cybermenaces/
SPATIAL
Qu’est-ce qu’Iris², ce projet européen de constellation de satellites ?
20 Minutes avec AFP
Publié le 16 décembre 2024
Espace : Qu’est-ce qu’Iris², le projet européen de constellation de satellites qui doit concurrencer le Starlink d’Elon Musk ?
CONNECTIVITÉ • Ce programme doit permettre à l’Europe de se positionner dans le marché ultra-concurrentiel de la connectivité spatiale à haut débit, notamment utile pour desservir les régions isolées dépourvues de fibre optique
Le projet européen de constellation de satellites de communications sécurisées, Iris² (Infrastructure de résilience, d’interconnectivité et de sécurité par satellites), est officiellement lancé. L’Union européenne a signé lundi une concession de douze ans avec le consortium SpaceRISE, mené par le Français Eutelsat, l’Espagnol Hispasat et le Luxembourgeois SES.
Après les programmes Galileo (positionnement par satellite) et Copernicus (surveillance du climat), Iris² est le nouveau projet phare de l’UE dans le spatial. Iris² prévoit un réseau de 290 satellites multi-orbitaux, offrant des services de connexion d’ici 2030. Cette constellation européenne de satellites permettrait des communications sécurisées dans des domaines clés comme la défense, le réseau diplomatique européen, la gestion des crises et la surveillance, mais aussi un accès commercial à Internet, alors que la guerre de l’internet spatial fait rage.
Se positionner face à Elon Musk, qui a pris une longueur d’avance
Gestion publique
Les délégations de services publics ont besoin de plus de transparence et d'équité, selon la Cour des comptes
mairie-info.com - par Lucile Bonnin
Publié le 20 décembre 2024
La Cour des comptes vient de publier un rapport sur les délégations de gestion de services publics locaux. Les magistrats appellent à « un meilleur équilibre des droits et obligations des entreprises délégataires et des collectivités. »
Distribution de l’eau, assainissement, traitement des déchets, entretien d’équipements de loisirs, de salles de spectacles, parkings, restauration scolaire, gestion des crèches… Les collectivités – principalement les communes – et leurs groupements « disposent d’une grande faculté de choix de leur mode de gestion » , rappellent en préambule de leur rapport les magistrats de la rue Cambon.
Transparence dans les modes de gestion, maîtrise du prix et qualité du service rendu : la délégation de gestion d’une collectivité à une entreprise privée est un sujet qui préoccupe régulièrement les élus locaux, soucieux de choisir le mode de gestion le mieux adapté aux services publics de la commune par exemple.
La Cour des comptes, pour identifier les bonnes et mauvaises pratiques en la matière, a examiné les constats de « 117 rapports récents de chambres régionales des comptes traitant de délégations de gestion de services publics et mené une enquête nationale auprès des administrations de l’État et des associations de collectivités. »
Atos
L'Etat choisit Atos pour sécuriser ses futurs réseaux routiers intelligents
cio-online.com -Par Reynald Fléchaux, Rédacteur en chef CIO
Publié le 20 Décembre 2024
IDnomic, logé dans l'entité Eviden de l'ESN, est chargée de déployer une PKI assurant la gestion des identités sur les réseaux routiers intelligents, dont de premiers prototypes ont été déployés dans 4 régions françaises.
Le ministère des Partenariats avec les territoires et de la Décentralisation (MPTD), plus particulièrement sa Direction des mobilités routières, choisit la solution d'IDnomic, un spécialiste de l'identité numérique intégré au groupe Atos depuis 2019, pour assurer l'interopérabilité des C-ITS (Cooperative Intelligent Transport Systems), des réseaux de communication déployés le long des infrastructures routières. Ce contrat national vise à développer l'infrastructure PKI d'un système de transport intelligent assurant les communications inter-véhicules, celles entre ces derniers et les infrastructures routières ou les autres usagers de la route.
Quatre territoires pilotes
Le contrat cadre de quatre ans, avec deux années d'extension en option, se focalise sur le développement, l'hébergement, l'exploitation et la maintenance d'une infrastructure de gestion de clés assurant l'interopérabilité des projets C-ITS en France, via le déploiement national de la solution IDnomic C-ITS PKI, prévu pour 2025. Parmi ces projets de réseaux intelligents, citons InDiD, coordonné par la Direction des mobilités routières et regroupant 24 partenaires publics et privés (dont APRR, Sanef, Vinci Autoroutes, Valeo ou encore Transdev), qui s'étalait de 2019 à la mi-2024 et a abouti au déploiement de pilotes sur quatre bassins géographiques français (versant méditerranéen, sud-ouest, centre et nord de la France). Et son prolongement, Scale, qui doit, lui, s'étirer jusqu'en 2028 et lever les derniers verrous technologiques, industriels et économiques. Ces initiatives sont co-financées par l'Union européenne, via le programme Connecting Europe Facility (CEF). L'accord cadre passé avec la filiale d'Atos, logée dans l'entité Eviden du groupe, est évalué à près de 3 M€ (avec un plafond maximal de 6 M€).
Lire la suite : https://www.cio-online.com/actualites/lire-l-etat-choisit-atos-pour-securiser-ses-futurs-reseaux-routiers-intelligents-16055.html
Thales
Constellation européenne de satellites "Iris2" : un peu de Charleroi dans le futur de la communication des autorités et entreprises
dhnet.be - Publié le 16 décembre 2024
Thales Alenia Space, basée à Charleroi, va participer au consortium qui bâtira les 280 satellites dont le lancement devrait commencer en 2029.
La constellation européenne de satellites Iris2 va pouvoir voir le jour : les contrats ont été signés lundi à Bruxelles, signale Belga.
L'idée derrière ce projet est d'assurer aux autorités et entreprises européennes une communication rapide et sûre. Iris2 (Infrastructure for Resilience, Interconnectivity and Security by Satellite) sera formée de 280 satellites, 264 en orbite terrestre basse et 18 en orbite terrestre moyenne. Le lancement du tout premier est programmé pour 2029. Grâce à ses satellites interconnectés sur différentes orbites, la constellation sera en mesure de communiquer rapidement et en toute sécurité et de rester connectée en permanence, sans avoir besoin de milliers d'engins.
Pour opérationnaliser le tout, la Commission européenne va mandater l'ESA, l'agence spatiale européenne, qui va elle-même faire appel au consortium industriel SpaceRISE. Et dans ce consortium, on retrouve Thales Alenia Space, implantée notamment en Belgique, à Charleroi, qui participera à l'opération de grande ampleur pour l'espace européen. Cette "commande" sera-t-elle suffisante pour empêcher les licenciements prévus dans l'entreprise ?
Mobilité
Mobilité du quotidien : l’indispensable révision du modèle économique des transports publics (2)
lagradeconversation.com - par Jean Coldefy, Directeur des programmes ATEC ITS France et président du Think Tank de l’URF
Publié le 11 décembre 2024
La mobilité repose aujourd’hui pour l’essentiel sur l’usage de la voiture, sauf dans les centres villes où son usage a été limité. La nécessité de décarboner les mobilités remet en cause cet équilibre. Car l’essentiel des émissions de gaz à effet de serre (GES) liées aux mobilités du quotidien sont le fait des kilomètres parcourus entre le périurbain et les agglomérations par des ménages qui n’ont pas accès aux transports publics. Dans une précédente note, Jean Coldefy recommandait de privilégier les solutions qui maximisent les économies de CO2 en mobilisant au minimum les budgets publics. Il mettait en lumière les coûts très importants du ferroviaire en France ainsi que la flexibilité et l’efficience de solutions de transports publics par la route. La présente note met en lumière la faible performance globale des transports publics en France et l’impasse dans laquelle nous nous trouvons pour assurer un report de la voiture vers les transports en commun en demandant toujours plus à la collectivité nationale. C’est pourtant indispensable pour décarboner les mobilités mais cela suppose de revoir les équilibres de financement de notre modèle de mobilité.
Introduction
Malgré des dizaines de milliards dépensés depuis 20 ans dans le ferroviaire, la part de la voiture dans le mix de mobilité n’a que très peu bougé et pèse 80% des kilomètres parcourus depuis 20 ans. Le hasard de l’actualité fait qu’alors que le gouvernement vient d’approuver un plan de 100 Mds€ pour le train, un tout récent rapport de la Cour des comptes allemande qualifie la Deutsche Bahn, la SNCF allemande, de « puits sans fonds budgétaire » avec « une dette en croissance de 5 M€/j malgré une reprise de 35 milliards en 1994 ». La cour écrit qu’« il n’a pas été possible de transférer une partie importante du trafic d’autres modes de transport vers le rail » et ajoute : « les objectifs de doublement de trafic passagers sont irréalistes », du fait « des goulots d’étranglement au niveau des capacités du réseau qui perdureront pendant des années ». Cela ne vous rappelle rien ? Certes la France est loin derrière l’Allemagne en matière de TER, mais est-on sûr que les moyens colossaux alloués au ferroviaire produiront le report modal attendu ou devrons-nous faire en 2043 le même constat que celui de la cour des comptes allemande en 2023 ?
Lire la suite : https://www.lagrandeconversation.com/economie/mobilite-du-quotidien-lindispensable-revision-du-modele-economique-des-transports-publics-2/
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Le téléphérique doit relier l’aéroport et la gare de Vitrolles en 2029
madeinmarseille.net - par Loïs Elziere
Publié le 11 décembre 2024
Le projet de téléphérique entre l’aéroport Marseille-Provence et la gare de Vitrolles entre dans le plan Marseille en Grand. Il bénéficie donc d’un soutien de l’État pour entrer en service en 2029.
Cela fait presque 10 ans que le sujet est dans les tuyaux. En 2023, la Métropole Aix-Marseille-Provence avait présenté le projet affiné d’un téléphérique entre la gare Vitrolles Aéroport Marseille-Provence (VAMP) et l’aéroport Marseille-Provence (AMP) de Marignane.
Le projet devrait bien se concrétiser mais d’ici 2029, au lieu de 2027 annoncé précédemment. Il vient d’entrer dans la liste des projets de transports du plan Marseille en Grand. Il rejoint ainsi les 15 programmes soutenus par l’État pour améliorer la mobilité du territoire.
En effet, le Groupement d’intérêt public (GIP), réunissant la Métropole, la Ville et la Préfecture, s’est réuni ce mardi 10 décembre pour acter ce seizième projet du plan.
Six minutes pour relier la gare de Vitrolles et l’aéroport par les airs
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/172528-le-telepherique-doit-relier-laeroport-et-la-gare-de-vitrolles-en-2029/
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La nouvelle signalisation routière française se modernise avec un panneau dédié aux mobilités partagées
actuateur.fr - par Laurence Jardin
Publié le 09 décembre 2024
Ce que vous devez retenir
Dans une démarche ambitieuse de transformation de la mobilité urbaine, la France déploie progressivement une nouvelle signalisation routière destinée à favoriser le covoiturage et les véhicules propres. Cette initiative s’inscrit dans la stratégie nationale de décarbonation des transports, avec l’introduction d’un panneau distinctif en forme de losange qui bouleverse les habitudes des automobilistes.
Une révolution dans la signalisation française
Lire la suite : https://www.actumoteur.fr/la-nouvelle-signalisation-routiere-francaise-se-modernise-avec-un-panneau-dedie-aux-mobilites-partagees-15646/
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Stationnement indexé sur le salaire : 4 villes concernées ?
automobiliste.fr - Par Theo Rodriguez
Publié le 11 décembre 2024
Le stationnement n’est plus simplement une affaire de places libres, mais aussi de justice sociale. Certaines villes françaises adaptent désormais le prix du parking au revenu de leurs habitants. Cette nouvelle approche surprend, questionne et intrigue. Prêts à découvrir comment l’équité s’invite dans la rue ?
Le stationnement urbain fait l’objet d’une nouvelle approche dans certaines villes françaises. Désormais, le prix du parking n’est plus uniforme pour tous les résidents, mais s’adapte aux revenus des ménages. Cette innovation sociale vise à rendre le stationnement plus équitable et accessible à tous les citoyens, quelle que soit leur situation financière.
Une tarification solidaire pour le stationnement résidentiel
Depuis le 1er avril 2023, Nantes a mis en place un système novateur de tarification du stationnement indexée sur les revenus. Cette initiative, rapidement suivie par d’autres villes comme Lille, Rennes et Chambéry, propose des réductions allant de 30% à 90% sur l’abonnement annuel de stationnement pour les résidents. Le principe est simple : plus le quotient familial est bas, plus la réduction est importante.
Lire la suite : https://lautomobiliste.fr/11/12/2024/stationnement-indexe-salaire-comment-certaines-villes-adaptent-prix-parking/
Services publics
NO REPLY » : la communisation sans relations des services publics
jean-saures.org - par Thierry Libaert
Publié le 13 décembre 2024
Chacun de nous a pu en faire l’expérience, il est de plus en plus difficile d’entrer en contact avec l’administration. La disparition physique des services publics de proximité s’est accompagnée d’une dématéralisation qui a entraîné une focalisation quasi exclusive de la relation sur des supports numériques inadaptés aux attentes des usagers. Dans le cadre des travaux de l’Observatoire Marques, imaginaires de consommation et politique de la Fondation, Thierry Libaert, conseiller au Comité économique et social européen, analyse les conséquences socio-politiques de cette « communication sans relation » de l’administration publique et formule plusieurs propositions pour y remédier.
« C’est que de la com’ », entend-on souvent. Rien n’est plus faux, efforçons-nous de montrer au sein de l’Observatoire Marques, imaginaires de consommation et politique. Les services publics constituent un cas d’école, dans la mesure où la communication permet de nouer un lien de confiance entre le citoyen et son administration. Mais que se passe-t-il lorsque sa communication défaille ? Dans cette note, Thierry Libaert explore les conséquences socio-politiques de ce qu’il appelle la « communication sans relation » de l’administration publique : éclairant une nouvelle facette de la montée du populisme, il propose plusieurs pistes pour y remédier.
Raphaël LLorca, co-directeur de l’Observatoire Marques, imaginaires de consommation et politique de la Fondation Jean-Jaurès
Introduction : service public et cohésion sociale
Lire la suite : https://www.jean-jaures.org/publication/no-reply-la-communication-sans-relation-des-services-publics/
Usurpation d’identité
Usurpation d’identité en ligne : une menace croissante MAIS des solutions pour les entreprises et les particuliers
globalsecuritymag.fr - par Jessie Boyer, Head of Legal & DPO chez Signaturit Group
Publié en décembre 2024
L’usurpation d’identité en ligne est devenue l’un des fléaux majeurs de l’ère numérique. Avec l’essor du digital et la transformation des interactions, les individus et les entreprises sont de plus en plus vulnérables aux cyberattaques, notamment celles impliquant le vol d’identité. En France, 34% (source PWC) des citoyens ont déjà été victimes de ce type de fraude, souvent sans même s’en rendre compte. Les conséquences sont multiples : pertes financières, détérioration de la réputation des entreprises, et impacts sur la vie privée des particuliers. Pourtant, des solutions existent pour se prémunir contre ces risques croissants. Il est essentiel de comprendre les mécanismes de l’usurpation d’identité et d’explorer les solutions technologiques qui peuvent y répondre efficacement.
Quels risques et conséquences pour ce phénomène en forte progression ?
Entre 2020 et 2021, les fraudes à l’identité en ligne ont bondi de 112% en France (source : PWC), un phénomène largement amplifié par la digitalisation accélérée des entreprises pendant la crise du Covid-19. À l’échelle mondiale, les pertes financières dues à l’usurpation d’identité pourraient atteindre 206 milliards de dollars d’ici 2025 (source : Juniper). L’absence de renforcement adéquat des systèmes de sécurité pendant cette période a ainsi offert aux fraudeurs des opportunités sans précédent.
Lire la suite : https://www.globalsecuritymag.fr/usurpation-d-identite-en-ligne-une-menace-croissante-mais-des-solutions-pour.html
Sécurité publique
Améliorer l’efficacité dans la sécurité publique grâce à l’IoT et les solutions haut-débit MCX
capgemini.com - par Patrice Crutel
Publié le 13 décembre 2017
Faire un pas de plus dans les communications de sécurité publique
À mesure que les crises environnementales, politiques et socio-économiques s’intensifient, le besoin d’une interopérabilité renforcée entre les organisations de sécurité publique devient encore plus important. La communication est primordiale en cas d’urgence, que ce soit au niveau international et national mais aussi pour les utilisateurs et les premiers intervenants.
Pour faire face à des événements de plus en plus complexes et médiatisés, l’amélioration de la connaissance de la situation et de la sécurité est une exigence importante. Les services de communication vocale traditionnels, actuellement fournis par les technologies PMR telles que TETRA et P25, ne sont plus adéquats pour échanger des informations situationnelles avancées en cas d’urgence. Plus les utilisateurs de la sécurité publique reçoivent d’informations multimédias, mieux ils peuvent coordonner leurs actions pour protéger les personnes et les biens, accélérer les efforts de sauvetage et améliorer la précision, la sûreté et la sécurité.
Aujourd’hui, les technologies à haut débit comme le 4G/5G MCX offrent la possibilité de surpasser les capacités actuelles des PMR et d’améliorer l’efficacité avec des données et des vidéos ultra-fiables. En parallèle, l’intégration de drones, de robots, de dispositifs portables connectés, de dispositifs IoT et d’innovations émergentes comme le metaverse et l’IA générative améliore d’autant plus la connaissance situationnelle.
Lire la suite : https://www.capgemini.com/fr-fr/perspectives/blog/intelligent-industry-securite-publique-iot-haut-debit-mcx/
Désinformation
Avec Grok, Elon Musk se sert de l’IA pour transformer X en robinet à fake news
telerama.fr - par Thomas Bécard
Publié le 13 décembre 2024
Désormais, tous les utilisateurs du réseau social racheté par le milliardaire ultra-conservateur peuvent générer de fausses images et les partager en quelques clics, sans contrôle a priori de la plateforme. Le cynisme à son apogée.
Breaking news : Emmanuel Macron a envisagé de nommer Cyril Hanouna Premier ministre ! Rien d’officiel n’a été annoncé, une image de la poignée de main entre les deux hommes, sur le perron de l’Élysée, a juste fuité. Bon, on vous rassure, l’info est complètement fausse, pourtant la photo existe bien… Car c’est nous qui l’avons créée en quelques secondes grâce à Grok, l’« intelligence artificielle » (IA) intégrée dans X (ex-Twitter). Un clic de plus, et on pouvait la partager avec nos abonnés sur ce réseau social, sans forcément expliquer qu’elle était « fake » – seule une mention ultra discrète, en bas à droite de l’image, permet de comprendre son origine.
Bien sûr, Grok n’est pas le premier outil boosté à l’IA qui permette de produire des images à partir d’un texte de quelques lignes. On se souvient, par exemple, de la fausse photo du pape François en doudoune, qui avait beaucoup circulé en mars 2023 (et qui avait même fait la une de Télérama à l’occasion d’un dossier sur l’intelligence artificielle). Mais depuis le 6 décembre, une nouvelle étape a été franchie puisque Grok, un an après son lancement, est désormais disponible gratuitement pour tous les utilisateurs de X, et plus seulement les comptes payants.
Lire la suite : https://www.telerama.fr/debats-reportages/avec-grok-elon-musk-se-sert-de-l-ia-pour-transformer-x-en-robinet-a-fake-news-7023461.php
Paiement
Face à la menace russe et aux cyberattaques, la Suède comme la Norvège reviennent vers les paiements en espèces
franceinfo - Par Ottilia Ferey
Publié le 12 décembre 2024
En Suède, payer par carte ou via mobile est la norme. Mais avec le risque de guerre et de cyberattaques venues de l’Est, la Banque de Suède souhaite faire marche arrière en réintégrant l’argent en espèce dans le quotidien des Suédois.
La Suède est un eldorado de l’argent dématérialisé et pour trouver un distributeur, il faut s'armer de patience. On peut tout payer digitalement, sans minimum d’achat, que ce soit un paquet de chewing-gum, un ticket de bus ou même pour verser son obole à l’église. Quatre transactions sur cinq se font de façon électronique. Et la carte bleue est presque devenue "has been". Les Suédois utilisent Swish depuis 2012, un service de paiement instantané électronique mis en place par les banques du pays.
Le pays compte 10 millions d'habitants, technophiles et connectés pour la plupart, à l’image d’Anika qui fait ses courses au supermarché. "Je ne sais pas la dernière fois que j’ai eu de l’espèce sur moi, s'exclame-t-elle. J’y suis si peu familière que je ne sais même plus à quoi certaines pièces ressemblent." Même si on arrive à mettre la main sur des billets, encore faut-il pouvoir s’en servir, parce qu’en Suède, de nombreux commerces n’acceptent tout simplement pas le liquide. Même dans des cafés, bars, restaurants et magasins du centre de Stockholm, les commerçants répondent le plus souvent : "Swish ou carte, personne ne prend de l’espèce ici."
Une force transformée en talon d'Achille
Intelligence artificielle
« Nous avons déjà atteint l’AGI » : cet employé d’OpenAI avoue enfin la vérité !
Publié le 10 décembre 2024
Quelques jours après la sortie officielle du modèle o1 d’OpenAI, une déclaration inattendue a enflammé les réseaux sociaux. Apparemment, un employé de l’entreprise a déclaré sur X que l’intelligence artificielle générale (AGI) serait déjà une réalité. Mais que cache réellement cette affirmation ? L’article vous décortique tout ça !
L’intelligence artificielle générale, ou AGI, représente depuis longtemps un objectif presque mythique dans le domaine de l’IA. Cette technologie-là sera capable de rivaliser avec l’intellect humain dans n’importe quel domaine, une prouesse qui semblait impossible… jusqu’à aujourd’hui.
Le 5 décembre, OpenAI a dévoilé son modèle o1. Mais c’est cette déclaration de Vahid Kazemi, un membre de son équipe technique, a déclenché une avalanche de débats. « À mon avis, nous avons déjà réalisé l’AGI » a-t-il publié sur X. Une affirmation audacieuse, certes, mais nuancée par des réserves.
L’AGI est déjà parmi nous d’après cet employé d’OpenAI
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Google entre dans l'« ère de l’agentique »
lapresse.ca - par ALAIN MCKENN
Publié le 11 décembre 2024
Le géant numérique californien a lancé mercredi la deuxième génération de son intelligence artificielle (IA) générative Gemini. Gemini 2.0 est conçue pour mieux vous convaincre d’utiliser l’IA, par l’intermédiaire des agents et des assistants plus autonomes, plus factuels, bref, plus fiables que l’IA générative actuelle.
Concrètement, Google a mis en ligne une version expérimentale de Gemini 2.0 Flash, la version allégée de son IA générative. Elle est accessible immédiatement par l’intermédiaire de ses interfaces de programmation et d’entraînement de modèles de langage AI Studio et Vertex AI. Elle sera graduellement intégrée à l’application Gemini en version mobile et pour ordinateur personnel.
Ce sera aussi cette nouvelle version de Gemini qui sera intégrée au moteur de recherche de Google, et qui produira les résumés fournis en en-tête des résultats de recherche.
Quelle est la promesse de Gemini 2.0 ?
Malgré tout l’engouement pour les applications comme ChatGPT, d’OpenAI, et Copilot, de Microsoft, il reste que l’IA générative est globalement très imparfaite. Que ce soit dans sa façon de générer du texte ou des images, il lui manque encore une bonne dose de jugement qui lui éviterait par moments d’écrire ou de dessiner un peu n’importe quoi. Ces écarts, élégamment qualifiés jusqu’ici d’« hallucinations », ont limité une adoption plus formelle et plus répandue des outils d’IA, que ce soit pour le travail ou pour les loisirs.
Lire la suite : https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2024-12-11/gemini-2-0/google-entre-dans-l-ere-de-l-agentique.php
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La plupart des gens ne réaliseront pas l’arrivée de l’Intelligence Artificielle Générale
Publié le 08 décembre 2024
L’intelligence artificielle progresse rapidement, mais son impact sur la vie quotidienne des individus pourrait passer inaperçu.
Récemment, OpenAI a dévoilé ses derniers modèles o1 dans le cadre de leur campagne Shipmas. La société affirme que ces modèles sont “conçus pour passer plus de temps à réfléchir avant de répondre”.
Pour certains, o1 représente une étape vers l’atteinte d’une intelligence générale artificielle — une forme théorique d’IA capable d’égaler ou de dépasser l’intelligence humaine — sans que nous en soyons vraiment conscients.
Le professeur de Wharton et expert en IA, Ethan Mollick, a partagé sur X : “Des modèles comme o1 suggèrent que la plupart des gens ne remarqueront généralement pas les systèmes d’AGI qui surpassent les humains dans la majorité des tâches intellectuelles, tout en n’étant pas autonomes ou auto-dirigés. La plupart des personnes n’ont pas beaucoup de tâches qui confrontent les limites de l’intelligence humaine, donc elles ne le verront pas.”
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/la-plupart-des-gens-ne-realiseront-pas-larrivee-de-lintelligence-artificielle-generale/
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Détection précoce des épidémies : l'OMS mise sur l'intelligence artificielle
news.aniamey.com - par Autre presse par DR
Publié le 11 décembre 2024
En Afrique, 39 des 47 pays couverts par l’OMS utilisent déjà le système d’Intelligence Épidémique à partir de Sources Ouvertes (EIOS) permettant de détecter 50 % des événements sanitaires en moins de sept jours grâce à l’intelligence artificielle, une avancée majeure pour anticiper et gérer les épidémies, se félicite l’organisme onusien en charge de la santé mondiale.
Peut-on prédire la prochaine épidémie ? Face à des menaces sanitaires globales de plus en plus fréquentes et complexes, l’intelligence artificielle (IA) s’impose comme un outil essentiel pour révolutionner la santé publique.
A l’ouverture, ce mardi 10 décembre 2024 à Dakar, de la 5e réunion technique mondiale du système EIOS (Intelligence Épidémique à partir de Sources Ouvertes), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis en avant le potentiel de ces technologies dans la détection précoce des épidémies.
L’objectif est de permettre une anticipation accrue et une réponse rapide aux crises sanitaires, grâce à une analyse en temps réel des données issues de sources ouvertes telles que les réseaux sociaux, les médias et les bases de données publiques.
« Grâce à ces outils, nous avons réussi à réduire considérablement le temps nécessaire pour détecter des événements sanitaires majeurs. Aujourd’hui, la majorité des alertes détectées via EIOS apparaissent en moins de sept jours, ce qui sauve littéralement des vies », a affirmé Dr Abdoul Salam Guèye, Directeur régional des urgences en Afrique.
Lire la suite : http://news.aniamey.com/h/122031.html
Désinformation
Présidentielle annulée en Roumanie : au-delà de TikTok, la campagne de désinformation a également été active sur Facebook.
frantvinfo.fr - par Armêl Balogog Radio France
Publié le 11 décembre 2024
L'entreprise finlandaire CheckFirst affirme qu'une campagne de désinformation a été menée depuis le mois d'août sur Facebook pour influencer l'élection présidentielle roumaine.
C'est une décision extrêmement rare. La Cour constitutionnelle roumaine a décidé, vendredi 6 décembre, d'annuler le premier tour de l'élection présidentielle en Roumanie, car elle soupçonne des ingérences russes via le réseau social TikTok d'avoir œuvré pour influencer l'issue du scrutin en faveur du candidat d'extrême droite Câlin Georgescu.
Mais un rapport de CheckFirst, une entreprise finlandaise spécialisée dans la lutte contre la désinformation, montre que la désinformation autour de cette élection a aussi été propagée sur le réseau social Facebook.
Plus de 3 600 contenus politiques, théories complotistes et fausses informations
Cette désinformation passe par 24 pages qui se présentent comme des médias indépendants, mais qui ont diffusé de façon coordonnée, depuis le mois d'août, 3 640 contenus politiques, théories conspirationnistes et fausses informations pour attaquer la candidate pro-européenne et pour plaider en faveur des candidats d'extrême droite. Ces publications se sont accélérées et amplifiées à l'approche du premier tour de la présidentielle.
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Australie : après l'abandon d'un ambitieux projet de loi contre la désinformation, RSF appelle à une régulation des plateformes en ligne
RSF.org/fr
Publié le 11 décembre 2024
À la suite de la décision du gouvernement australien d'abandonner sa proposition de loi visant à lutter contre la désinformation diffusée par les plateformes numériques, Reporters sans frontières (RSF) appelle les forces politiques australiennes à travailler ensemble à l'élaboration d'une loi appropriée pour répondre à ce problème croissant. Alors que les plateformes telles que X posent de nouveaux défis aux démocraties et l'accès à l'information journalistique, les gouvernements démocratiques ne doivent plus s'empêcher de réguler les géants de la tech.
Le 24 novembre, la ministre australienne des Communications, Michelle Rowland, a annoncé le retrait d'un projet de loi sur la désinformation et la mésinformation, en raison d'un manque de soutien au Sénat.
Ce projet de loi visait à obliger les plateformes numériques à gérer les risques de désinformation et à améliorer la transparence dans le traitement de ces contenus. Il proposait une série de sanctions, notamment des amendes, pouvant aller jusqu'à 5 % du chiffre d'affaires global des plateformes en ligne, si elles ne parvenaient pas à endiguer la diffusion de fausses informations. Le projet de loi avait fait l'objet de critiques de la part des partis d'opposition australiens qui le considéraient comme une menace potentielle pour la liberté d'expression en ouvrant lavoie vers la censure.
“L'abandon d'une loi visant à freiner la prolifération de contenus faux et trompeurs, en particulier à l'approche des élections fédérales australiennes, est une décision regrettable. La lutte contre la désinformation et les fausses informations sur les plateformes en ligne est une question cruciale qui doit transcender les clivages politiques. Nous demandons que ce projet de loi soit relancé avec des mesures appropriées pour freiner la désinformation et la mésinformation tout en garantissant la liberté de la presse et l'accès à l'information. Les démocraties comme l'Australie doivent prendre leurs responsabilités en régulant les plateformes pour s'assurer qu'elles servent le droit du public à l'information et qu'elles respectent la liberté de la presse.”
Blockchain
Lightchain AI : La Révolution de la Blockchain par l’IA
lesnews.ca - Par Faudel Tannouh
Publié le 08 décembre 2024
Alors que la technologie blockchain continue de mûrir, la compétition pour surmonter les défis liés à l’évolutivité, à l’efficacité et à la durabilité s’intensifie. Les analystes portent leur attention sur le Lightchain Protocol AI, une blockchain qui pourrait redéfinir la technologie décentralisée en 2025.
En intégrant l’intelligence artificielle (IA) au cœur de ses opérations, Lightchain AI promet de pallier les limitations des blockchains traditionnelles tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour les applications décentralisées (dApps). Pour ceux qui souhaitent participer à cette transformation, la prévente Lightchain permet d’obtenir les tokens Lightchain (LCAI), le moteur de cette plateforme de nouvelle génération.
Pourquoi Lightchain AI se distingue-t-elle ?
Le Lightchain Protocol AI se démarque par son approche novatrice qui fusionne blockchain et IA. Son mécanisme de consensus, nommé Proof of Intelligence (PoI), remplace le minage énergivore par des tâches computationnelles significatives. Plutôt que de s’appuyer sur des systèmes traditionnels de preuves de travail ou de participation, le PoI récompense les nœuds pour l’exécution de tâches liées à l’IA, telles que l’analyse de données et l’apprentissage automatique. Cette méthode assure non seulement la sécurité du réseau, mais contribue également à faire progresser la recherche et les applications en intelligence artificielle.
Une autre caractéristique majeure est la Machine Virtuelle d’Intelligence Artificielle (AIVM), une couche computationnelle conçue spécifiquement pour exécuter des opérations pilotées par IA. Cela permet aux dApps basées sur Lightchain AI d’intégrer des fonctionnalités d’IA en temps réel, allant de l’analyse prédictive à la prise de décision automatisée, rendant ainsi les systèmes décentralisés plus intelligents et efficaces.
Résoudre les grands défis de la blockchain
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/lightchain-ai-la-revolution-de-la-blockchain-par-lia/
Cybersécurité
27 grosses plateformes d'attaques DDoS démantelées par Europol, aidée de la France
clubic.com - Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.
Publié le 11 décembre 2024 à 11h26
Europol et les forces de l'ordre de 15 pays annoncent avoir démantelé 27 plateformes proposant des services d'attaques DDoS à la demande, dans le cadre de l'opération PowerOFF. Un coup dur porté aux cybercriminels.
Les autorités du monde entier, parmi lesquelles la police nationale française, viennent de frapper un grand coup sur le terrain de la lutte contre la cybercriminalité. La période des fêtes approche et avec elle, son lot habituel de cyberattaques visant à perturber les services en ligne. Une vaste opération internationale coordonnée par Europol vient de neutraliser 27 sites proposant des services d'attaques DDoS, conduisant à l'arrestation de trois administrateurs en France et en Allemagne. Plus de 300 utilisateurs de ces plateformes ont également été identifiés, ce qui laisse présager d'autres interpellations dans les semaines à venir.
Un coup de filet majeur contre le vaste monde des attaques DDoS
Que s'est-il passé ? Les services connus sous le nom de « booter » ou « stresser » permettaient à leurs clients de lancer des attaques par déni de service distribué (DDoS) contre des cibles choisies, pour paralyser leur activité en ligne. Ces plateformes, dont certaines comme zdstresser.net ou orbitalstress.net étaient particulièrement populaires, offraient leurs services illégaux au plus grand nombre, sans considération pour les dommages causés aux entreprises et aux particuliers.
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-546794-grosses-plateformes-d-attaques-ddos-demantelees-par-europol-aidee-de-la-france.html
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La navigation sur internet d’un employé : l’angle mort de la cybersécurité
itsocial.fr Par Philippe Richard -
Publié le 13 décembre 2024
La combinaison des accès à privilèges et de certaines actions inquiétantes des employés accroît les risques de sécurité pour les entreprises. Les équipes de sécurité doivent repenser la manière dont les contrôles de sécurité des identités sont appliqués aux employés dans les nouveaux environnements de travail.
Pendant longtemps, les méthodes standard de sécurisation des accès du personnel se sont appuyées sur des fonctionnalités de base telles que l’authentification unique de type SSO. Or cette approche ne tient pas compte de la réalité des collaborateurs modernes et de la nature changeante des identités : un collaborateur lambda peut être un utilisateur occasionnel et, l’instant d’après, devenir un compte à privilèges.
Réalisée auprès de 14 003 employés occupant des fonctions majeures au sein d’entreprises, une enquête de CyberArk, spécialisé dans la sécurité des identités, souligne la nécessité d’évoluer vers un modèle où l’accès des employés n’est pas seulement géré, mais également sécurisé.
Travail hybride
Lire la suite ; https://itsocial.fr/metiers/metiers-articles/la-navigation-sur-internet-dun-employe-langle-mort-de-la-cybersecurite/
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iPhone et Android : n’envoyez plus du tout de messages ! Le FBI avertit en urgence
legidata.fr- par Ny Ando A.
Publié le 9 décembre 2024
Le FBI et la CISA alerte tous les utilisateurs d’iPhone et d’Android d’opter pour des messages et des appels cryptés autant que possible. Pourquoi ? Les réseaux télécoms américains ont été attaqués. Et les pirates n’ont pas fait les choses à moitié : données volées, communications interceptées, tout y est passé.
C’est un véritable tremblement de terre numérique à en juger par la réaction des autorités américaines. Ils changent de discours et prônent le chiffrement des communications.
Le FBI évoque ici un « chiffrement géré de manière responsable », sous-entendant une possible forme d’accès légal. C’est surprenant.
D’habitude, ces institutions sont contre le chiffrement de bout en bout, qui les empêche d’accéder aux données, même avec une autorisation judiciaire.
Le FBI a l’air de paniquer, mais que se passe-t-il exactement ?
Cette attaque, ciblant les réseaux télécoms américains, est attribuée à une opération chinoise surnommée Typhon Salt. Et non, il ne s’agit pas d’un événement météorologique.
Les autorités ont averti qu’on est ici face à une campagne de cyberespionnage de grande ampleur. Les pirates ont volé d’importantes métadonnées notamment des lieux, horaires et contacts des communications.
Cependant, un responsable du FBI a tenu à préciser que dans la majorité des cas, ces informations ne contiennent ni texte ni contenu vocal. Il convient tout de même de noter que les hackers ont bel et bien pu accéder à certains contenus des appels et des messages.
Les autorités sont alors clairs : évitez les SMS standards et les RCS (Rich Communication Services) non entièrement sécurisés. Même la nouvelle option RCS d’Apple pour les utilisateurs Android n’offre pas de protection suffisante.
Comment faire alors ?
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Les bots malveillants s’humanisent de plus en plus
itsocial.fr - Par Philippe Richard -
Publié le 09 décembre 2024
Dans son dernier « Threat Report », les chercheurs de Barracuda ont constaté que les bots malveillants, des logiciels conçus pour automatiser des activités en ligne à grande échelle, s’humanisent de plus en plus pour faire face aux outils de détection automatique.
Il y a urgence. Les robots malveillants sont une menace nouvelle pour les entreprises. Ils peuvent voler des données, commettre des fraudes, exploiter des vulnérabilités, surcharger le trafic des sites web, diffuser des spams, fausser les analyses commerciales, perturber les services client légitimes et bien plus encore.
Les robots malveillants représentent aujourd’hui 24 % du trafic internet, contre 39 % en 2021. Par ailleurs, le nombre de « bad bots » a augmenté. Il représente désormais 44 % des détections contre 36 % il y a un an. Les bots simulent de mieux en mieux les comportements humains en ligne ! Près de la moitié (49 %) des bots ont été classés dans la catégorie des « bots avancés ».
Grey bots
Lire la suite : https://itsocial.fr/cybersecurite/cybersecurite-articles/les-bots-malveillants-shumanisent-de-plus-en-plus/
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État des lieux de la cybersécurité mondiale
lesnews.ca - par Julien Macé
Publié le 08 décembre 2024
Quand les dirigeants technologiques mondiaux prennent du recul pour examiner les diverses cyberattaques, les risques technologiques et leur situation générale en matière de cybersécurité, de nombreuses similitudes émergent, quel que soit l’endroit où l’on se trouve internationalement.
La semaine prochaine, cette chronique « Lohrmann sur la cybersécurité » se penchera sur les principales actualités des États-Unis dans notre revue annuelle de la cybersécurité pour 2024, ainsi que sur de nombreux autres thèmes connexes liés aux incidents de cybersécurité « de second plan ».
Mais avant cela, je souhaite explorer deux nouveaux rapports internationaux et leurs implications pour l’avenir de la cybersécurité.
Ces deux rapports proviennent de l’Union européenne et d’Afrique du Sud, et offrent tous deux d’excellents aperçus des situations actuelles en matière de cybersécurité dans leurs régions respectives, avec des implications mondiales.
Le premier rapport de l’UE sur l’état de la cybersécurité
Comme décrit dans un communiqué de presse du 3 décembre 2024 provenant de l’Agence européenne pour la cybersécurité (ENISA), « ce rapport résulte d’une consultation approfondie avec les 27 États membres de l’UE et la Commission européenne. »
Le rapport complet peut être téléchargé ici au format PDF.
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/etat-des-lieux-de-la-cybersecurite-mondiale/
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Détection proactive de la fraude par une analyse approfondie des comportements clients
informatiquenews.fr - par Luis Junes, Feedzai
Publié le 10 décembre 2024
Les avancées en intelligence artificielle redéfinissent la sécurité financière en détectant les schémas inhabituels dès leur apparition. Face à l’évolution constante des menaces, les systèmes de prévention s’appuient sur l’IA pour lutter contre la fraude, détecter les anomalies en temps réel tout en garantissant une expérience utilisateur fluide et sécurisée.
Avec des tactiques de fraude de plus en plus sophistiquées, une approche réactive traditionnelle qui identifie la fraude seulement après la réalisation des transactions est insuffisante. Les fraudeurs actuels utilisent les fuites de données et les identités volées pour contourner les systèmes, ce qui rend nécessaire un changement vers la prévention proactive de la fraude.
En analysant de grands ensembles de données et en utilisant des statistiques en temps réel, l’IA révolutionne la prévention de la fraude, permettant aux institutions d’identifier des schémas de fraude avant même que les transactions ne se produisent. Les approches basées sur l’IA ont permis aux entités financières de réduire considérablement le temps de détection de la fraude et d’améliorer les taux de réponse, ce qui démontre un changement fondamental vers un modèle prédictif et préventif.
1- L’IA comme outil de compréhension et d’identification
Lire la suite : https://www.informatiquenews.fr/detection-proactive-de-la-fraude-par-une-analyse-ia-des-comportements-clients-luis-junes-feedzai-102135
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Il n’y a jamais eu autant de cyberattaques qu’en 2024 : mais que font les entreprises ?
numerama.com - par
Publié le 12 décembre 2024
Elles attendent l'application de la directive NIS 2
Le nombre de cyberattaques dans le monde, mais aussi en France est en constante augmentation ces derniers mois. Au point qu’en France, une entreprise sur deux a subi au moins une cyberattaque complète et réussie en 2023. Un danger qu’elles ne peuvent plus ignorer, que ce soit pour leur propre avenir ou pour la sécurité de leurs clients.
Tous les acteurs de la cybersécurité s’accordent sur un point : il n’y a jamais eu autant de cyberattaques qu’en 2024. Microsoft parlait en octobre dernier d’« une augmentation de 20 % par rapport à l’année précédente » tandis que l’ANSSI constatait fin juillet une hausse de « +40 % d’atteintes numériques en 5 ans ». Les cyberattaques ne sont plus une menace « qui arrive aux autres », c’est une menace quotidienne.
Dans ce contexte, se protéger n’est plus suffisant. L’humain est souvent la première faille que cherchent à exploiter les attaquants. La prévention devient alors la première ligne de défense des organisations. La prévention, c’est justement le domaine de la société française Mailinblack. Avec sa solution U-Cyber 360°, elle est capable de protéger, sensibiliser, former le personnel de n’importe quelle organisation.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1863102-il-ny-a-jamais-eu-autant-de-cyberattaques-quen-2024-mais-que-font-les-entreprises.html
Thales
AVINOR sélectionne THALES pour déployer un système dernière génération de gestion du trafic des drones en Norvège.
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 09 décembre 2024
Thales et Avinor ont conclu un partenariat pour le déploiement d’un système de gestion du trafic des drones (UTM) nouvelle génération en Norvège, améliorant la gestion de l’espace aérien national pour les aéronefs pilotés et autonomes, tout en assurant une stricte conformité aux réglementations européennes.
Ce partenariat stratégique avec Avinor, le prestataire norvégien de services de navigation aérienne et opérateur d’aéroport, permettra de déployer le système de gestion du trafic des drones dernière génération dans le pays. Combinant innovation et stricte conformité aux réglementations en vigueur, cette collaboration constitue une avancée majeure dans la gestion de l’espace aérien norvégien. Elle marque également un jalon significatif pour Thales dans son intégration d’AstraUTM, un leader dans le développement des logiciels de gestion UTM, récemment acquis par le Groupe.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/avinor-selectionne-thales-deployer-systeme-derniere-generation
ATOS
Le groupe NTT choisit Evidian Identity Governance & Administration comme pierre angulaire de son infrastructure de gestion des identités au Japon
Publié le 10 décembre 2024
Source : Atos International Communiqué de presse
Le groupe NTT choisit Evidian Identity Governance & Administration comme pierre angulaire de son infrastructure de gestion des identités au Japon
L'un des plus grands déploiements d'IGA au Japon, assurant la gouvernance et l'évolutivité de la gestion des identités et des droits pour 250 000 employés au sein du groupe NTT.
Paris, France - 10 décembre, 2024 - Eviden, la ligne d’activité du Groupe Atos leader dans les domaines du numérique, du cloud, du big data et de la sécurité, annonce aujourd'hui que le Groupe NTT a choisi sa solution Identity Governance and Administration (IGA) pour assurer la gouvernance et l'évolutivité de la gestion des identités et des droits de l'ensemble de ses quelque 250 000 employés au Japon. Cette mise en œuvre est l'un des plus grands projets IGA au monde renforcera la cybersécurité du groupe NTT tout en assurant la gouvernance de la gestion des identités et des droits pour l'ensemble de ses employés.
Mobilité
10 millions de Français privés d’accès aux transports en commun selon l’UFC-Que Choisir
mobilité-verte.com - par David Lefevre
Publié le 2 décembre 2024
Une étude de l’UFC-Que Choisir révèle que 10 millions de Français, soit près de 17 % de la population, n’ont pas de transport en commun accessible à moins de dix minutes à pied de leur domicile.
Cette situation met en lumière des disparités territoriales alarmantes, notamment dans les zones rurales, et soulève des enjeux majeurs en matière de mobilité, d’environnement et de pouvoir d’achat.
Une fracture territoriale criante
L’étude, publiée le 26 novembre 2024, révèle que 32 % des communes françaises ne disposent d’aucun arrêt de transport en commun. Ce déficit est particulièrement marqué dans les petites localités, où 45 % des communes de moins de 1 000 habitants se trouvent totalement dépourvues de telles infrastructures.
Certains départements, comme le Gers, la Dordogne ou la Lozère, affichent des taux d’inaccessibilité aux transports publics supérieurs à 60 %.
Lire la suite : https://www.mobilite-verte.com/news/article-1718.html
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Place de la voiture, rôle du train... trois questions sur le plan mobilité du PCF
humanité.fr - par Naïm Sakhi
Publié le 03 décembre 2024
Vélo, auto, bus, train… le PCF a adopté un plan global de développement des transports, alors que ce secteur représente 31 % des rejets de gaz à effet de serre, provoquant le décès d’au moins 40 000 personnes par an en France.
Sortir du pétrole tout en affirmant le droit à la mobilité ? C’est la piste avancée par le PCF. Ce 30 novembre, son Conseil national a largement adopté un cahier thématique, optant « pour un droit effectif à la mobilité ». Ce document complète ainsi le plan Empreinte 2050 des communistes qui planifie la sortie des énergies carbonées et le développement d’un mix énergétique avec du nucléaire et des renouvelables.
« Nous voulons conjuguer les deux urgences écologique et sociale, et non les opposer. Cette dualité est importante au sujet des transports. Le PCF n’est pas dans une logique de décroissance, ce qui nous différencie à gauche. Toute une frange de la population, notamment les privés de vacances, devra se déplacer plus qu’aujourd’hui », affirme Jacques Baudrier, adjoint à la maire de Paris et coordinateur du cahier thématique.
Quelle part pour la voiture ?
Concrètement, concernant l’automobile, les communistes entendent développer l’exemple japonais des Kei Cars, en proposant une voiture populaire à 10 000 euros, largement subventionnée par un bonus écologique à l’achat. « Ce qui permettrait, dans un second temps, la création d’un marché de l’occasion, autour de 3 000 euros. Le modèle de l’automobile ne doit pas être Tesla mais Twingo », précise l’élu parisien. Les primes seraient conditionnées à des critères environnementaux, pour des voitures produites dans des pays au mix électrique favorable, contraignant ainsi les constructeurs à relocaliser leurs activités en France.
Lire la suite : https://www.humanite.fr/social-et-economie/fret-sncf/place-de-la-voiture-role-du-train-trois-questions-sur-le-plan-mobilite-du-pcf
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Voici le Blackbird, un taxi volant qui révolutionne la mobilité aérienne
Par William Zimmer
Publié le 07 décembre 2024
CycloTech, une entreprise autrichienne basée à Linz, vient de dévoiler les plans de son innovant taxi volant baptisé « Blackbird ». Cette avancée technologique pourrait bien marquer un tournant dans l'histoire de la mobilité urbaine grâce à son système de propulsion révolutionnaire.
Au cœur de cette innovation se trouve le « CycloRotor », un système de propulsion électrique qui s'inspire du principe du propulseur Voith Schneider, couramment utilisé dans la marine. Cette technologie unique repose sur des rotors circulaires équipés de petites pales qui tournent sur eux-mêmes, assurant à la fois la propulsion et la direction de l'appareil.
Le Blackbird se distingue des autres véhicules volants électriques à décollage et atterrissage vertical (eVTOL) par sa maniabilité exceptionnelle. Grâce à ses six ensembles de cyclorotors, l'appareil peut se déplacer ou pivoter dans n'importe quelle direction en vol, et même effectuer des corrections de trajectoire précises. Cette caractéristique améliore considérablement le confort et la sécurité des passagers, particulièrement en cas de conditions météorologiques défavorables.
Lire également – Un taxi volant d’un nouveau genre et signé Airbus sera prêt à vous transporter cette année
Quelles performance pour le Blackbirds ?
Lire la suite : https://www.phonandroid.com/voici-le-blackbird-un-taxi-volant-qui-revolutionne-la-mobilite-aerienne.html
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A quoi devront ressembler les villes et les mobilités en 2050 ?
https://tom.travel par Margot Ladiray
Publié le 03 décembre 2024
A l’occasion de l’évènement d’Aimsun Summit ayant eu lieu ce 3 décembre, plusieurs experts ont pris la parole pour dresser le portrait de ce à quoi devront ressembler la ville et les mobilités en 2050 pour répondre aux enjeux sociétaux et environnementaux.
Face aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux, les zones urbaines et les acteurs de la mobilité vont devoir répondre à de nombreux défis. Parmi eux, celui de la décarbonation. A l’échelle nationale, le constat est à la carence d’offres alternatives à la voiture thermique, qui reste le premier mode de transport en France. Selon Jean Coldefy, Président du Conseil Scientifique de France Mobilités, le futur de la mobilité décarbonée passera par l’intermodalité, notamment le combo vélo et transports en commun. A Paris, les mobilités décarbonées permettront de répondre à trois défis principaux, dont la santé, l’environnement et le bruit. Un objectif partagé par de nombreuses communes d’Ile-de-France, qui se heurtent néanmoins à des difficultés de maillage du réseau de transport et de gouvernance. Jean-Jacques Grousseau, Maire d’Athis Mons (Essonne), revient par exemple sur la création du pôle d’Orly : « A l’époque tout a été fait sans penser aux transports en commun. Soixante ans plus tard, nous avons enfin la ligne de métro 14 qui transporte ses premiers voyageurs et la ligne 18 qui arrive. Mais il aura fallu attendre 60 ans… ».
Marier intermodalité et outils numériques
Lire la suite : https://www.tom.travel/2024/12/03/a-quoi-devront-ressembler-les-villes-et-les-mobilites-en-2050/
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Transports : Besançon a trouvé la solution pour réduire le nombre de resquilleurs
tf1info.fr - Par La rédaction de TF1info - Reportage | Elise Coussemacq, Faustine Magnetto, Kéziah Cretin
Publié le 06 décembre 2024
• En cinq ans, le taux de fraude dans les transports de la ville de Besançon (Doubs) est passé de 15% à 9%.
• Une équipe de TF1 est allée observer le dispositif innovant mis en place.
En montant dans les transports en commun, passer sa carte devant le pointeur est normalement un geste anodin. Pourtant, au cours de sa vie, un voyageur sur deux ne le fait pas au moins une fois. Pour lutter contre ces fraudes, Ile-de-France Mobilités a recruté 100 contrôleurs supplémentaires l'an dernier. "On estime que la fraude, c'est de l'ordre de 5% dans les métros et les RER. Dans les bus, c'est plutôt 15% et 16% dans les tramways", explique, dans le reportage du 20H de TF1 à retrouver en tête de cet article, son directeur général, Laurent Probst. En témoigne l'exemple filmé par notre caméra dans un tramway parisien où, en 30 minutes, pas moins de 15 voyageurs entrent sans valider leur titre de transport.
Le manque à gagner est considérable pour les entreprises de transport : 700 millions d'euros par an au total en France. Rien que pour la SNCF, par exemple, cela représente 200 millions d'euros, c'est 25 TER9.
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Un prestigieux contrat décroché par ce Français N°2 mondial du ferroviaire dans cette agglomération américaine de 3 millions d’habitants
media24.fr - par Guillaume Aigron
Publié le 1 décembre 2024
Un partenariat renouvelé entre Alstom et la ville de Denver
Alstom vient de franchir une étape décisive en renouvelant son engagement auprès de l’aéroport international de Denver. Ce partenariat, courant jusqu’à fin 2032, représente une transaction de 218 millions d’euros. Les équipes d’Alstom se chargent de la gestion quotidienne et de la maintenance de ce réseau crucial, garantissant ainsi une fluidité exceptionnelle dans les déplacements aéroportuaires.
Un service H24 et 7J/7
Les 91 professionnels d’Alstom à Denver ne chôment pas : ils travaillent sans relâche pour maintenir le bon fonctionnement des navettes, 24 heures sur 24. Leur mission s’étend du pilotage des véhicules jusqu’à la maintenance des infrastructures, incluant l’électrification, la signalisation, et plus encore, assurant une sécurité maximale pour les millions de passagers annuels.
Des navettes à la pointe de la technologie
Les navettes Innovia APM R, introduites en 2024, marquent un tournant dans la mobilité aéroportuaire. Ces véhicules, conçus par Alstom, augmentent considérablement la capacité et l’efficacité du service, offrant une expérience améliorée aux voyageurs. Leur intégration s’inscrit dans une démarche de modernisation continue, visant à préparer l’aéroport à accueillir jusqu’à 100 millions de visiteurs annuellement.
Impact économique et social
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ALYCE façonne "la mobilité de demain avec des données en temps réel"
mesinfos.fr - par Maxime MONNIOTTE
Publié le 02 décembre 2024
François Gau, DGA d’ALYCE, livre les coulisses de cette entreprise française qui révolutionne la collecte et l’analyse des données de mobilité, notamment grâce à l’IA.
Fondée en 2000, ALYCE fête bientôt ses 25 ans et s’impose comme un acteur clé de la collecte de données de mobilité. L’entreprise accompagne collectivités et exploitants dans la gestion et l’optimisation des infrastructures grâce à des technologies avancées.
Le directeur général adjoint d’ALYCE, François Gau, dévoile l’impact des outils numériques et de l’intelligence artificielle sur la mobilité et les infrastructures, tout en mettant en avant les valeurs d’une entreprise made in France, en pleine expansion, et résolument tournée vers l’avenir.
Affiches Parisiennes : Pouvez-vous nous présenter ALYCE ?
François Gau : ALYCE est une société fondée en 2000, qui fêtera ses 25 ans l’année prochaine. Elle est spécialisée dans la collecte de données de mobilité. Concrètement, et pour faire simple, nous comptons, par exemple, les véhicules à un carrefour ou les personnes présentes sur un quai de gare. Ces données sont principalement fournies aux collectivités, qui peuvent ainsi planifier les infrastructures de demain ou optimiser celles existantes.
Comment collectez-vous les données ?
Lire la suite : https://mesinfos.fr/92330-sceaux/alyce-faconne-la-mobilite-de-demain-avec-des-donnees-en-temps-reel-211513.html
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Aides à la mobilité électrique : un décret fixe les nouveaux contours du bonus écologique
banquedesterritoires.fr - par Philie Marcangelo-Leos, pour Localtis
Publié le 02 décembre 2024
Bonus écologique recentré et diminué pour les particuliers, suppression de la prime à la conversion : le décret, paru ce 1er décembre, lève le voile sur les nouveaux barèmes de soutien à l’électrification des véhicules. Le dispositif du leasing social sera quant à lui bel et bien reconduit en 2025 mais bénéficiera d’un financement dédié mobilisant les certificats d’économies d’énergie (CEE).
Le décret modifiant les modalités des aides à l’achat de voitures particulières neuves électriques est paru ce 1er décembre pour une entrée en vigueur dès le lendemain. Les cabinets des ministres de l’Industrie, de l’Énergie et des Transports avaient d’ores et déjà dévoilé les grandes lignes des dispositifs de soutien à l’électrification des véhicules auprès de la presse le 28 novembre, en détaillant entre autres les nouveaux barèmes du bonus écologique.
Sans surprise, le coup de rabot pour 2025 se confirme. L’aide à l’achat de voitures particulières électriques neuves - qui pouvait atteindre 7.000 euros pour les revenus modestes - est réduite à 4.000 euros pour les ménages des cinq premiers déciles de revenus (revenu fiscal de référence par part inférieur ou égal à 16.300 euros) ; 2.000 euros pour les foyers les plus aisés des déciles 9 et 10 de revenus (au-delà de 26.200 euros) et 3.000 euros pour les ménages (des déciles 6 à 8) entre ces deux niveaux de revenus. Ce nouveau barème "progressif" s’applique dès ce 2 décembre. L’ancien barème restera appliqué aux véhicules commandés avant la publication du décret "à condition que les véhicules soient livrés avant le 14 février", indique le gouvernement.
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Le Portugal lance une carte de train gratuite pour les moins de 23 ans
railtech.be - Par Thomas Wintle (source en anglais : railtech.com)
Publié le 02 décembre 2024
La jeunesse portugaise se réjouit ! Les jeunes jusqu’à 23 ans inclus peuvent désormais demander leur carte de jeune gratuite, ce qui leur permet de voyager gratuitement sur une grande partie des transports publics portugais, qu’ils poursuivent ou non leurs études. Il existait déjà des cartes similaires pour les étudiants universitaires, mais l’offre est désormais accessible à toute personne de cette tranche d’âge.
Grâce à cet accord, les jeunes peuvent désormais voyager gratuitement sur les trains urbains CP soutenus par le gouvernement à Lisbonne, Porto et Coimbra, ainsi que sur les services régionaux et interrégionaux dans d’autres parties du pays. Toutefois, le laissez-passer ne s’étend pas aux services Intercidades ou Alfa Pendular, qui sont considérés comme des trains à longue distance et à grande vitesse.
Cette mesure, qui s’inscrit dans le cadre du paquet « Mobilité verte » annoncé par le gouvernement en octobre, permettra à l’État d’investir environ 40 millions d’euros pour financer les trajets gratuits, qui bénéficieront à quelque 240 000 personnes. Les nouveaux laissez-passer devaient entrer en vigueur en novembre, mais la procédure de demande est officiellement ouverte depuis le 1er décembre.
Lire la suite : https://www.railtech.be/fr/all/2024/12/02/le-portugal-lance-une-carte-de-train-gratuite-pour-les-moins-de-23-ans/?gdpr=accept
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Place de la voiture, rôle du train... trois questions sur le plan mobilité du PCF
humanite.fr - Par Naïm Sakry
Publié le 3 décembre 2024
Vélo, auto, bus, train… le PCF a adopté un plan global de développement des transports, alors que ce secteur représente 31 % des rejets de gaz à effet de serre, provoquant le décès d’au moins 40 000 personnes par an en France.
Sortir du pétrole tout en affirmant le droit à la mobilité ? C’est la piste avancée par le PCF. Ce 30 novembre, son Conseil national a largement adopté un cahier thématique, optant « pour un droit effectif à la mobilité ». Ce document complète ainsi le plan Empreinte 2050 des communistes qui planifie la sortie des énergies carbonées et le développement d’un mix énergétique avec du nucléaire et des renouvelables.
« Nous voulons conjuguer les deux urgences écologique et sociale, et non les opposer. Cette dualité est importante au sujet des transports. Le PCF n’est pas dans une logique de décroissance, ce qui nous différencie à gauche. Toute une frange de la population, notamment les privés de vacances, devra se déplacer plus qu’aujourd’hui », affirme Jacques Baudrier, adjoint à la maire de Paris et coordinateur du cahier thématique.
Quelle part pour la voiture ?
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Tendances 2025
Prédictions 2025 : IA, usurpations d’identité et cybermenaces à surveiller
zataz.com - par Damien Bancal
Publié le 06 décembre 2024
Les prédictions 2025 cybersécurité commencent à pointer le bout de leur souris. Les grandes tendances à venir pour 2025 : utilisation accrue de l’Intelligence Artificielle (IA), tant pour protéger que pour attaquer, et par une sophistication inquiétante des menaces liées à l’ingénierie sociale et aux identités numériques.
La sécurisation des identités : une priorité absolue en 2025
Les cybercriminels continueront de privilégier les attaques sur les identités plutôt que sur les systèmes. L’exploitation de comptes non sécurisés ou dormants deviendra la porte d’entrée privilégiée vers des données sensibles. Les vulnérabilités humaines et organisationnelles, comme des mots de passe faibles ou des accès non révoqués après le départ d’un collaborateur, permettent aux hackers de s’infiltrer sans déclencher d’alerte.
En 2025, il sera crucial pour les entreprises de renforcer leurs politiques de gestion des identités. Cela inclut la suppression des comptes inutilisés, la mise en œuvre de mots de passe robustes et l’adoption de l’authentification multifactorielle. Pour des exemples concrets et des conseils pratiques, consultez l’article complet sur DataSecurityBreach.fr.
L’IA : entre innovation et menace
Un allié pour la cybersécurité
Lire la suite : https://www.zataz.com/predictions-2025-ia-usurpations-didentite/#google_vignette
Identité
France Identité n’a plus besoin de la CNI pour se connecter à FranceConnect
next.ink - Par Vincent Hermann
Publié le 03 décembre à 08h43
C’était une demande régulière des utilisateurs selon le site officiel de France Identité : l’application France Identité n’a désormais plus besoin de scanner la carte d’identité pour autoriser la connexion à FranceConnect. La simple authentification par biométrie, schéma ou code de déverrouillage dans l’application suffira.
Pour en profiter, vous devez récupérer la dernière version de l’application. Une fois dans celle-ci, un message « L’application évolue » devrait apparaitre, invitant à suivre les étapes suivantes :
France Identité met en avant les avantages de la nouvelle méthode : la simplicité de l’authentification sur FranceConnect sans mot de passe ni identifiant, ne plus passer par la NFC et son utilisation « aléatoire », ainsi qu’une expérience « plus fluide et plus rapide ».
Plusieurs points à préciser. D'abord, en cas d’utilisation de plusieurs appareils, il faudra répéter la démarche sur chacun d’eux. Ensuite, l’authentification FranceConnect+ réclame toujours la lecture de CNI. Enfin, la plus récente carte d’identité (au format carte bancaire) reste obligatoire pour utiliser l’application.
Lire la suite : https://next.ink/brief_article/france-identite-na-plus-besoin-de-la-cni-pour-se-connecter-a-franceconnect/
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Face aux usurpations d’identité, l’Europe unifie sa défense numérique
forbes.fr - Une contribution de Cyril Patou, VP Sales France, IDnow
Publié le 01 décembre 2024
L’usurpation d’identité est devenue un problème de grande ampleur à l’ère du numérique. En lançant le règlement eIDAS 2.0, visant à établir un cadre réglementaire harmonisé pour l’identité numérique dans l’ensemble de l’UE, l’Europe tente d’uniformiser les pratiques afin de contenir ce fléau.
Une menace qui ne connaît pas de frontières
En France, plus de 210 000 citoyens ont été victimes d’usurpation d’identité en 2022, un phénomène qui a généré des pertes économiques estimées à plus de 6 milliards d’euros[1]. En 2023, au Royaume-Uni, ce sont plus de 237 000 cas d’usurpation d’identité qui ont été enregistrés, un chiffre qui représente 64 % des fraudes signalées dans le pays. D’autres pays européens, comme l’Allemagne et l’Italie, ont également connu une augmentation significative de ce phénomène. Ces malversations sont souvent facilitées par des techniques de plus en plus sophistiquées telles que les deepfakes et les attaques par hameçonnage communément appelées phishing. L’impact social et économique de l’usurpation d’identité est immense. Pour une victime, la récupération de son identité peut prendre en moyenne 200 heures et coûter jusqu’à 1 200 euros. Une situation souvent traumatisante qui affecte la confiance des citoyens envers les services numériques, au moment même où l’Europe accélère la transformation digitale de ses services publics.
Quand la diversité européenne complexifie la riposte
Lire la suite : https://www.forbes.fr/societe/face-aux-usurpations-didentite-leurope-unifie-sa-defense-numerique/
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Bientôt une carte d'identité sur smartphone valable dans toute l'Union européenne
francetvinfo.fr - par Anicet Mbida
Publié le 02 décembre 2024
La France n’est pas le seul pays à développer un système d’identité numérique. D’où l’intérêt de créer un portefeuille électronique européen.
La carte d’identité, le permis de conduire et la carte vitale commencent à être dématérialisés dans le téléphone. Une initiative européenne entend désormais élargir ce concept à l’échelle du continent. Une étape cruciale vient d’être franchie, avec la publication d’un socle technique standard qui permettra de fédérer les initiatives des États membres. La France n’est pas la seule à développer un système d’identité numérique. D’où l’intérêt de créer un portefeuille électronique européen
capable d’échanger les informations dans un format reconnu par-delà les frontières. On pense, par exemple, au passeport numérique. Avec ce système, dès son passeport est dématérialisé dans un pays de l’union, n’importe quel autre pourra le lire en passant par ce fameux portefeuille électronique. Du coup, on pourra voyager sans avoir à apporter le document papier. Même chose avec le permis de conduire pour une location de voiture ou la carte vitale dans une pharmacie.
Internet des Objets
Bâtir un réseau sécurisé à l'ère du télétravail, de l'IoT, du Cloud hybride et du Saas
lemondeinformatique.fr - par Fortinet
Quel avenir pour les technologies SASE ?
Dans un monde du travail post-Covid, hybride et agile, les entreprises n'ont plus le choix : il leur faut désormais adopter des solutions garantissant une connexion sécurisée et fiable. C'est cette nécessité qui explique l'essor du SASE au sein des entreprises, et les nombreux efforts entrepris par les acteurs spécialisés du marché, tels que Fortinet, pour en repousser les limites.
Depuis sa définition par Gartner en 2019, le SASE (pour « Secure Access Service Edge ») n’a cessé de gagner en importance au sein des entreprises, qui peuvent y trouver de nombreux bénéfices en matière de connectivité comme de sécurité. Il représente même désormais un outil de premier plan, alors que les organisations ont massivement entamé le virage du cloud et ont pour beaucoup adopté un mode de travail hybride qui suppose de ne pas accorder une confiance implicite à un collaborateur, quel qu’il soit. Pour les organisations et leurs équipes en charge de la supervision et du contrôle des terminaux (DSI en tête), il peut néanmoins rapidement s’avérer complexe de garder la mainmise sur plusieurs outils, quand bien même ceux-ci seraient affiliés à un vendeur unique. Cette difficulté croissante impactera en effet les dépenses de l’entreprise, puisque le coût total de possession (TCO) des outils augmentera souvent significativement.
Vers des offres à vendeur unique
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/desk-fortinet/article-quel-avenir-pour-les-technologies-sase-1140-240.html
Intelligence artificielle
L’intelligence artificielle en tête des risques technologiques de santé 2025 !
lesnews.ca - par Faudel Tannouh
Publié le 04 décembre 2024
L’ intelligence artificielle ( IA) a évolué de ses premières applications dans l’imagerie médicale pour influencer presque tous les aspects des soins de santé, tels que le diagnostic, la documentation et la prise de rendez-vous. Même les applications de l’IA dans des systèmes auxiliaires, qui ne sont pas réglementés comme des dispositifs médicaux, peuvent avoir un impact significatif sur la prise en charge des patients, signalent les experts d’ECRI.
Acheter des vitamines et des compléments alimentaires
“La promesse des capacités de l’intelligence artificielle ne doit pas nous distraire de ses risques ni de sa capacité à nuire aux patients et aux prestataires de soins”, a déclaré Marcus Schabacker, MD, PhD, président et directeur général d’ECRI. “Trouver un équilibre entre l’innovation en IA, la protection de la vie privée et la sécurité sera l’une des tâches les plus difficiles et les plus déterminantes de la médecine moderne.”
Les experts d’ECRI soulignent que les systèmes d’IA peuvent produire des résultats faux ou trompeurs, connus sous le nom d'”hallucinations”, et la qualité de leurs résultats peut varier selon les populations de patients. Les modèles d’IA peuvent perpétuer les biais qui leur sont intégrés, présentant des risques significatifs pour les communautés sous-représentées et historiquement marginalisées.
“L’IA est aussi bonne que les données qui lui sont fournies et les règles qui régissent son utilisation”, a déclaré Schabacker. “Les acteurs de la santé, à tous les niveaux, doivent réfléchir de manière critique à l’intégration de l’IA, comme ils le feraient pour toute nouvelle technologie.”
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/lintelligence-artificielle-en-tete-des-risques-technologiques-de-sante-2025/
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L'Intelligence Artificielle me remplacera-t-elle ?
francebleu.fr - par Sandrine Duval, France Bleu Berry
Diffusion du 4 décembre 2024
L'Intelligence Artificielle (IA) consiste en un ensemble de technologies imitant l'intelligence humaine. L'IA imite, dépasse le cerveau humain en termes de rapidité et capacité de stockage de données, mais il ne faut pas oublier qu'elle a été créée par l'Homme.
Selon ADP Research "People at Work 2024 : l'étude Workforce View", face à l'Intelligence Artificielle (IA), les travailleurs français sont partagés. 42% pensent que l'IA remplacera tout ou partie de leurs fonctions et 43% affirment qu'elle sera bénéfique dans l'exercice de leurs fonctions.
Plusieurs degrés d'intelligence
Il existe quatre types d'Intelligence Artificielle : l**'IA réactive**, une IA basique traitant des données en temps réel (c'est par exemple le chatbot du service client d'une entreprise en ligne), l'IA Limitée à la Mémoire qui, comme son l'indique garde en mémoire les données passées, l'IA Auto-Consciente c'est-à-dire une IA autonome, qui réfléchit, et enfin, l'IA à théorie de l'Esprit, une IA capable de comprendre et d'interpréter les émotions.
Ces types d'IA possèdent plusieurs branches. L'Intelligence Artificielle générative commence à intégrer le monde du travail. Elle permet la création autonome de contenus (textes, images).
Quels sont les avantages et les inconvénients?
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/emissions/le-chiffre-du-jour-de-france-bleu-berry/l-intelligence-artificielle-me-remplacera-t-elle-5748904
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France 2030 et Sommet IA Paris 2025 : le gouvernement lance les défis “Convergence IA”
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 2 décembre 2024
S’appuyant sur les acquis des sommets de Bletchley Park (novembre 2023) et de Séoul (mai 2024), le “Sommet pour l’action sur l’IA” se déroulera à Paris les 10 et 11 février 2025. C’est dans cette perspective que Clara Chappaz, secrétaire d’État chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique, Anne Bouverot, envoyée spéciale du président de la République pour le Sommet, et Bruno Bonnell, Secrétaire général pour l’investissement en charge de France 2030, ont annoncé le lancement des défis “Convergence IA”. Ces défis visent à stimuler l’innovation et à démontrer le rôle central de l’IA dans le progrès sociétal, économique et environnemental.
Les défis “Convergence IA” : Un levier pour l’innovation et la coopération internationale
Les défis “Convergence IA” s’inscrivent dans une démarche éthique, durable et inclusive. Ils encouragent les chercheurs, ingénieurs, industriels et innovateurs de divers horizons à proposer des projets alignés sur les cinq thématiques prioritaires du Sommet de Paris :
• IA au service de l’intérêt public ;
• L’avenir du travail ;
• Innovation et culture ;
• L’IA de confiance ;
• La gouvernance mondiale de l’IA.
Des critères rigoureux pour une sélection d’excellence
Désinformation
Bluesky, un jeune réseau social face au spectre de la désinformation
lemonde.fr - par William Audureau
Publié le 06 décembre 2024
Le nombre d’utilisateurs de ce « Twitter à l’ancienne » a explosé depuis l’élection de Donald Trump. Parmi eux, la présence de quelques « trolls » et relais du Kremlin peuvent faire douter de sa capacité à rester longtemps une terre de discussion saine.
« Coucou les blueskyeux. Je vais venir gentiment foutre ma merde ici, pour y retrouver mes amis fact-checkeurs qui ont fui comme des grosses merde de X. A tout de suite. Bisous. » Le message est signé de AuBonTouiteFrançais, un compte d’extrême droite coutumier de la désinformation, qui s’est fait connaître sur le réseau social X. Depuis le 28 novembre, il a ouvert une page sur Bluesky, une plateforme lancée en 2023 qui connaît actuellement une progression fulgurante. Son objectif revendiqué : contrarier les échanges.
Il n’est pas le seul à avoir fait cette démarche. Environ dix millions d’internautes ont créé un compte sur Bluesky depuis l’élection de Donald Trump, pour fuir X et espérer retrouver un espace de discussion moins pollué par les discours radicaux, qui prolifèrent depuis le rachat de la plateforme par Elon Musk, désormais membre de l’équipe du président élu républicain. Parmi eux, une majorité de scientifiques, journalistes, experts et militants, souvent proches de la gauche. Mais aussi certains comptes que ces derniers espéraient fuir.
Spécialistes des affabulations
Lire la suite : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2024/12/06/bluesky-un-jeune-reseau-social-face-au-spectre-de-la-desinformation_6433857_4355770.html
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Les influenceurs s'arment contre la désinformation et la haine en ligne avec l'Unesco
rtl.fr - par Sophie Malibeaux
Publié le : 06 décembre 2024
«Derrière les écrans», c’est le titre d’une enquête menée par l’Unesco pour mieux comprendre les influenceurs, et les aider à résister à la désinformation, à la haine en ligne et autres dérives observées sur les réseaux.
Adeline Hulin, cheffe du pôle « Éducation aux médias et à l'information » de l'Unesco évoque l'initiative de l'organisation onusienne pour répondre aux besoins essentiels des influenceurs de plus en plus nombreux à se lancer sur les réseaux sociaux, tous sujets confondus. 68 % d'entre eux sont des nano-influenceurs, c'est-à-dire des créateurs de contenu suivis par 1 000 à 10 000 abonnés. À peine 1 sur 5 a une formation journalistique, plus de la moitié ont moins de 35 ans et les trois-quarts se montrent intéressés par le cours en ligne gratuit de l'Unesco: « Comment devenir une voix de confiance sur internet ».
Un nouveau scrutin en forme de référendum pour ou contre l’Union européenne, devait avoir lieu en Roumanie, ce dimanche 8 décembre 2024, mais les résultats du premier tour de la présidentielle viennent d’être annulés par la Cour constitutionnelle, sur fond de possibles ingérences numériques dans la campagne. On en parle avec Pavol Szalai de Reporters sans frontières.
Cybersécurité
73% des RSSI manquent de ressources pour gérer les cyber-risques liés à leurs fournisseurs
usine-digitale.fr - par Yoann Bourgin
Publié le 05 décembre 2024
L'association professionnelle Cesin et Board of Cyber ont publié une enquête sur les risques de cybersécurité liés aux fournisseurs. Malgré une importante prise de conscience de la part des RSSI sur ces enjeux, la plupart des organisations soulignent un manque de budget et de ressources humaines ainsi que des difficultés dans la mise en place d'un processus d'évaluation avec leurs fournisseurs.
Le Club de la sécurité de l'information et du numérique (Cesin), association française regroupant plus de 1100 membres, et la start-up Board of Cyber ont publié le 5 décembre la deuxième édition de leur observatoire sur les risques de cybersécurité liés aux fournisseurs. Ces derniers sont de plus en plus ciblés par les cybercriminels, d'une part car leur niveau de protection est généralement moins sophistiqué, et d'autre part car une intrusion dans les systèmes d'un fournisseur peut permettre d'accéder à des organisations plus importantes.
Des risques surtout gérés au niveau du siège social de l'entreprise
L'étude a été menée entre juillet et septembre auprès de plus de 100 responsables en cybersécurité d'organisations de toutes tailles, parmi lesquelles Capgemini, Hub One, Orange, OVHCloud ou encore Schneider Electric. Les RSSI sont globalement au fait des cyber-risques liés aux fournisseurs : 88% des décideurs interrogés estiment que ce danger est “important” voire “très important”. En revanche, dans 45% des cas, ce risque n'est pas suivi par le comité exécutif de l'organisation.
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Cybercriminalité : les clients d’une dizaine de banques françaises ciblés par un logiciel malveillant
pandore-gendarmerie.org - par bandore
Publié le 6 décembre 2024
Le malware DroidBot, récemment découvert par une entreprise de cybersécurité (Cleafy), constitue une menace importante pour les utilisateurs de neuf banques françaises. Fonctionnant comme un Malware-as-a-Service (MaaS), ce cheval de Troie cible les smartphones sous Android pour collecter des identifiants et mots de passe bancaires. Une fois installé via un fichier infecté ou une application piégée, DroidBot offre aux pirates un contrôle total des appareils infectés.
onctionnement, et mesures de prévention
DroidBot se diffuse principalement à travers des fichiers ou applications malveillants. Ces applications frauduleuses peuvent se présenter comme des jeux, des logiciels piratés, ou de fausses mises à jour. Les utilisateurs cherchant à éviter les coûts des plateformes officielles en téléchargeant des applications depuis des sources non vérifiées sont particulièrement vulnérables. Ce comportement expose leurs appareils à des logiciels difficiles à détecter par les antivirus traditionnels.
Le mode opératoire du malware
DroidBot agit de manière insidieuse grâce à plusieurs fonctionnalités. Tout d’abord, il intègre un enregistreur de frappes, qui capture les identifiants et mots de passe dès qu’ils sont saisis sur le téléphone infecté. Ensuite, il peut intercepter les SMS, un moyen souvent utilisé par les banques pour une double authentification. Enfin, le malware permet un contrôle à distance total de l’appareil, permettant aux cybercriminels de contourner les systèmes de sécurité et d’exploiter les comptes bancaires des victimes comme s’il s’agissait de leurs propres appareils.
Les cibles et l’impact
Lire la suite : https://www.pandore-gendarmerie.org/cybercriminalite-les-clients-dune-dizaine-de-banques-francaises-cibles-par-un-logiciel-malveillant/
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Quand le Cher s’affirme pôle d’excellence « cybersécurité »
magcentre.fr - par Fabrice Simoes
Publié le 1 décembre 2024
Le territoire berrichon ambitionne de se transformer en référence nationale pour contrer l’intensification des menaces numériques. Le Cher s’affirme comme un acteur majeur dans le domaine de la cybersécurité à travers des initiatives portées par les deux plus importantes communautés de communes du département, Bourges Plus et Vierzon-Sologne-Berry, associées à l’INSA Centre-Val de Loire et à la Région Centre-Val de Loire.
Quand la licorne Ledger, à Vierzon, (une entreprise spécialisée dans les crypto-monnaies dont leur sécurisation constitue le fonds de commerce), est l’un des pôles d’attractivité économique de son aire géographique, il serait dommage de ne pas s’intéresser à la cybersécurité. C’est dans cette optique que sera lancé, dès le 1er janvier 2025, le groupement d’intérêt public (GIP) CybeRéponse pour structurer l’écosystème. C’est ce que démontrent les conclusions de l’étude de préfiguration du Campus Cyber, récemment.
Lire la suite : https://www.magcentre.fr/321831-quand-le-cher-saffirme-pole-dexcellence-cybersecurite/
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Plateforme de cybersécurité complète basée sur la threat intelligence
ictjournal.ch - par BOLL Engineering SA
Publié le 02 décembre.2024
La plateforme unifiée de gestion des risques de Group-IB s’appuie sur plus de vingt ans d’expérience dans le domaine des enquêtes sur la cybercriminalité et de la réponse aux incidents. Les informations sont rassemblées dans le plus grand lac de données de renseignement (intelligence data lake) du monde et continuent à être actualisées en temps réel.
Pour pouvoir évaluer à temps les cybermenaces, réagir rapidement en cas d’incident, endiguer efficacement la cybercriminalité et traduire les criminels en justice, il faut des méthodes d’investigation et de forensics bien pensées, des spécialistes expérimentés et des solutions de cybersécurité adaptées. Group-IB l’a compris il y a plus de vingt ans déjà et a commencé ses activités en proposant des services dans ces domaines. Au fil des années, l’entreprise fondée en 2003 et présente dans soixante pays, avec son siège à Singapour, a développé une multitude de solutions de protection de haute qualité – ceci afin de soutenir ses propres spécialistes et services et de rendre ces solutions accessibles à ses partenaires et clients.
Un lac de données de renseignement
Lire la suite : https://www.ictjournal.ch/news/2024-12-02/plateforme-de-cybersecurite-complete-basee-sur-la-threat-intelligence
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Des vendeurs d’armes se localisaient en un instant avec Telegram » : entretien avec le commandant de l’Unité nationale cyber
La gendarmerie cyber
numerama.com - par Bogdan Bodnar
Publié le O1 décembre 2024
Cinq questions au commandant de l’Unité nationale cyber, la branche de la gendarmerie chargée de lutter contre une cybercriminalité en plein essor, allant du phishing au cyberharcèlement en passant par le marché noir.
Ventes d’armes, de stupéfiants, campagne de phishing, cyberharcèlement… Tous ces crimes et délits partagent un dénominateur commun : celui de transiter par des plateformes numériques opaques. L’Unité nationale cyber (UNCyber), qui succède au ComCyberGend, a été lancée en début d’année pour lutter plus efficacement contre une cybercriminalité toujours plus étendue et interconnectée entre les crimes. Impliqués dans l’affaire des réquisitions Telegram, ces gendarmes traquent les activités malveillantes sur le réseau. Son commandant, le Colonel Hervé Pétry, rencontré dans le cadre du Salon Agir, nous présente les défis posés par les plateformes chiffrées, devenues des refuges pour les criminels.
Le Colonel Hervé Pétry. // Source : Unité national cyber
L’arrestation de Pavel Dourov a mis en lumière Telegram, fréquemment perçu comme un réseau opaque et attractif pour les criminels. Pourquoi Telegram posait-il autant de problèmes aux autorités ?
Colonel Hervé Pétry : Telegram a longtemps été une plateforme qui ralentissait les enquêtes. Le principal obstacle venait du fait qu’elle ne répondait pas aux réquisitions judiciaires de la justice française, ce qui est anormal. En plus de cela, il y avait un second problème, lié à la modération des contenus sur la plateforme.
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Cybersécurité : Amazon Web Services lance son centre de réponse aux incidents
usine-digitale.fr - par Yoann Bourgin
Publié le 02 décembre 2024
Avec ce service, le géant du cloud entend diminuer le temps nécessaire à une entreprise pour se remettre d'une cyberattaque. Un outil spécialement conçu pour lutter contre les ransomwares, les fuites de données et les prises de contrôle à distance.
À l'occasion de sa conférence annuelle Re:Invent, Amazon Web Services (AWS) a présenté un nouveau service intitulé “Security Incident Response”, destiné à aider ses entreprises clientes à mieux réagir en cas de cyberattaque. Il vise à réduire le temps nécessaire à une entreprise pour qu'elle revienne à la normale, avec un CIRT dédié fonctionnant 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Un filtrage des incidents à traiter en priorité
Ce service comprend trois fonctions principales. Tout d'abord, il trie automatiquement les résultats de sécurité fournis par GuardDuty, l'outil de détection des menaces d'Amazon, et de l'ensemble des programmes de cybersécurité pris en charge par AWS. Ceci permet d'identifier les incidents de sécurité prioritaires (qui nécessitent une action immédiate), de les filtrer et de supprimer ceux qui ne seraient pas critiques. “Pour les résultats qui ne peuvent pas être corrigés automatiquement, Security Incident Response crée un dossier de sécurité et informe les parties prenantes appropriées au sein de l'organisation du client”, précise la firme de Seattle.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-amazon-web-services-lance-son-centre-de-reponse-aux-incidents.N2223551
Metavers
Nouvelles fonctionnalités excitantes pour l’Aventure du Qatar dans le Metavers !
lesnews.ca - par Gabriel Francesco
Publié le 1 décembre 2024
Doha : Q Life, une plateforme culturelle rattachée au Bureau des Médias Internationaux de l’État du Qatar (IMO), a annoncé le retour de “Qatar Adventure” sur Roblox, prévu pour le 29 novembre, en partenariat avec le développeur Century Games.
“Qatar Adventure” est un monde virtuel dans le métavers mettant en avant des activités culturelles authentiques du Qatar ainsi que certains des monuments les plus emblématiques du pays.
Cette initiative fait suite au succès de la Phase 1 de “Qatar Adventure”, qui a enregistré plus de 7 millions de visites durant ses huit semaines, la plaçant parmi les activations de nation les plus rapidement en croissance sur Roblox.
L’expérience, qui vise à réinventer les échanges culturels et à établir des passerelles de compréhension entre le Qatar et le monde, sera accessible gratuitement sur Livetopia sur Roblox, du 29 novembre 2024 au 28 février 2025.
Lire la suite : https://lesnews.ca/digital/meta/nouvelles-fonctionnalites-excitantes-pour-laventure-du-qatar-dans-le-metavers/
Atos
Atos : réalisation de l'augmentation de capital de 233 millions d'euros
boursorama.com - information fournie par AOF
Publié le 02 décembre /2024
(AOF) - Atos a annoncé que son augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS) de 233 millions d’euros avait été pleinement réalisée. Après réalisation de cette opération et compte tenu de la réalisation de la réduction de capital prévue par le plan de sauvegarde accélérée, le capital social de la société sera composé d’environ 63,175 milliards d’actions d’une valeur nominale de 0,0001 euro chacune.
Un peu plus de 18,475 milliards d'actions nouvelles ont été souscrites lors de l'augmentation de capital avec maintien du DPS. Cela inclut les actions nouvelles souscrites par Philippe Salle, président du conseil d'administration et futur directeur général de la société, qui a souscrit, conformément à son engagement de souscription, un peu plus de 2,43 milliards d'actions nouvelles, soit un montant total de 9 millions d'euros.
Le groupe informatique a rappelé que la finalisation de l'augmentation de capital avec maintien du DPS "marque une étape importante dans la réalisation du processus de restructuration financière d'Atos tel que prévu par son plan de sauvegarde accélérée".
"La mise en oeuvre du plan de restructuration financière entraînera une émission massive de nouvelles actions et une dilution substantielle des actionnaires actuels d'Atos, ce qui pourrait avoir un impact très défavorable sur le cours de l'action", a souligné une nouvelle fois la société. Au cours de ces derniers jours, l'action Atos a fortement rebondi.
Thales
THALES lance la solution Data Risk Intelligence pour une meilleure visibilité et une atténuation proactive des risques liés aux données
thalesgroujp.com - Communiqué
Publié le 03 décembre 2024
Thales annonce aujourd’hui le lancement de Data Risk Intelligence, une solution révolutionnaire disponible sur la plateforme Data Security Fabric (DSF) d’Imperva et qui permet de s’attaquer proactivement aux risques pesant sur les données, où qu’elles se trouvent. Cette solution est une première. Grâce à l’acquisition stratégique d’Imperva par Thales en décembre 2023, celle-ci permet de combiner les capacités d’identification des risques et des menaces de la plateforme Data Security Fabric d’Imperva avec les capacités de protection des données de la plateforme CipherTrust Data Security de Thales.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-lance-solution-data-risk-intelligence
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sentinel-1c, satellite copernicus d’observation de la terre, a été lancé avec succès
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 06 décembre 2024
Sentinel-1C fournira des images radar essentielles à la compréhension du changement climatique et à la préservation de notre planète
Kourou, le 6 décembre 2024 – Le satellite Copernicus d’observation de la Terre Sentinel-1C dont Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %), est le maître d’œuvre, a été lancé avec succès à bord d’une fusée Vega C opérée par Arianespace, depuis le port spatial européen de Kourou, en Guyane française.
Sentinel-1C fait partie de Copernicus, la composante d’observation de la Terre du programme spatial de l’Union Européenne (UE). Ce programme est géré par la Commission Européenne et financé par l’UE avec une contribution de l’Agence spatiale européenne (ESA) qui est responsable du développement et du lancement des satellites Sentinel. L’ESA exploite également certaines missions et assure la disponibilité des données.
Sentinel-1C rejoindra en orbite le satellite Sentinel-1A et fournira des images de la surface de la Terre, de jour comme de nuit et par tous les temps, au service d’un large éventail d’applications scientifiques pour la protection de notre planète.
Ces données cruciales seront utilisées pour surveiller les glissements de terrain, les zones de tremblement de terre, l'activité volcanique et les changements dans la calotte glaciaire. Elles fourniront également des informations précieuses pour le suivi de la déforestation, l’utilisation des ressources hydriques et le soutien à l’aide d’urgence et aux opérations de recherche et sauvetage lors de catastrophes naturelles. En outre, Sentinel-1C est le premier satellite de la mission Sentinel-1 à être équipé d’une charge utile AIS (système d'identification automatique) lui permettant de jouer un rôle essentiel dans la sécurité maritime en améliorant la gestion du trafic, en prévenant les collisions et en surveillant les navires situés en zone critique. Sentinel-1C intègre également une innovation majeure : à la fin de sa durée de vie, un mécanisme breveté permettra de séparer l’antenne radar de la plateforme du satellite lors de sa rentrée dans l’atmosphère – une première mondiale – contribuant à réduire les débris en orbite.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/espace/press_release/sentinel-1c-satellite-copernicus-dobservation-terre-ete-lance-succes
Mobilité
Près d'un Français sur cinq n'a pas de transports en commun à moins de dix minutes de marche de son domicile, selon une étude publiée mardi par l'UFC-Que Choisir, qui va lancer une campagne de sensibilisation à la mobilité collective auprès des élus notamment.
maire-info.com - Par AFP- par afp
Édition du mardi 26 novembre 2024
D'après l'association UFC-Que Choisir, « environ 17 % de la population métropolitaine (...) n'a aucun accès aux transports en commun dans un rayon de dix minutes de marche ».
L'absence d'arrêt d'autobus ou de gare est notamment criante dans les petites communes puisque près de la moitié (45 %) des communes de moins de 1 000 habitants en sont totalement privées.
L'UFC-Que Choisir a réalisé une cartographie de « l'accessibilité aux transports en commun » . Les départements les moins bien lotis sont aussi les plus ruraux avec en tête le Gers, le Lot et la Lozère. Sur ces trois territoires, plus de 60 % de la population ne dispose d'aucun arrêt de transports en commun à moins de dix minutes à pied de chez elle.
Au contraire, en Ile-de-France, plus de 90 % des gens peuvent se rendre à pied, en moins de dix minutes, de leur domicile à un arrêt d'autobus, de tramway, de métro ou bien à une gare. Le niveau de disponibilité des transports en commun est également plutôt bon dans le sud-est.
Manque de transport ferré
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Réseau Bato : Bordeaux Métropole fait un pari incertain à 8 millions d'euros sur la navette fluviale
acte.fr/nouvelle-aquitaine/Bordeaux - par Anaelle Montagne
Publié le 24 novembre 2024
Bordeaux Métropole vient d'investir 8 millions d'euros dans la refonte de son réseau fluvial. En dépit de la lente croissance d'affluence des usagers, la Métropole assume son pari.
Publié le 24 nov. 2024 à 17h32La Métropole de Bordeaux vient d’investir 8 millions d’euros dans la refonte de son réseau de navettes fluviales. La ligne unique a été divisée en trois, de nouveaux pontons apparaissent petit à petit et des navettes flambant neuves naviguent désormais sur la Garonne.
Alors que le réseau est actuellement emprunté par 378 000 personnes par an (contre 171 millions pour le tramway), la Métropole espère doubler ce chiffre d’ici 2027 et atteindre le million d’usagers annuels d’ici 2030. Des projections qui peuvent paraître optimistes, sachant que l’affluence n’avait augmenté que de 11% entre 2022 et 2023.
Avec les acteurs du projet, actu Bordeaux s’est donc penché sur ce qui a impulsé un tel investissement. D’autant qu’à l’investissement intial s’ajoute un coût de fonctionnement annuel de 3 millions d’euros.
Changement de paradigme
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Alstom célèbre le lancement du réseau de métro de Riyad
alstom.com - Communiqué
Publié le 28 novembre 2024
28 novembre 2024 – Alstom, leader mondial de la mobilité intelligente et durable, célèbre le lancement du réseau de métro de Riyad, une étape clé des plans ambitieux définis par la Commission royale pour la ville de Riyad (RCRC) afin d’améliorer la mobilité et la qualité de vie dans la capitale. Ce réseau de 176 km, qui comprend six lignes, 85 stations ultramodernes et sept dépôts, établit une nouvelle norme mondiale en matière de mobilité urbaine.
« Le lancement du métro de Riyad par la Commission royale pour la ville de Riyad marque une étape importante dans l’avancement de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite. En tirant parti d’une technologie innovante et de pratiques durables, nous remodelons la mobilité urbaine avec la Commission royale pour la ville de Riyad (RCRC) et donnons aux communautés les moyens d’agir tout en favorisant la croissance économique. » - Andrew DeLeone, Président de la région Afrique, Moyen-Orient et Asie centrale chez Alstom,
Lire la suite : https://www.alstom.com/fr/press-releases-news/2024/11/alstom-celebre-le-lancement-du-reseau-de-metro-de-riyad
Société
Plaintes, contrôles d'identité... La police municipale bientôt renforcée, avec de nouveaux pouvoirs ?
actu.fr - par Rédaction Actu
Publié le 24 novembre 2024
Le Beauvau des polices municipales vient d'être lancé. Il pourrait étendre les pouvoirs des policiers municipaux
Amorcé par le précédent gouvernement, le Beauvau des polices municipales a repris jeudi 21 novembre 2024 et devrait rendre ses conclusions en mars prochain.
L’enjeu est de baliser la future « loi-cadre » que le ministre délégué chargé de la Sécurité du quotidien, Nicolas Daragon, appelle de ses vœux. Ce dernier souhaite renforcer les prérogatives de la police municipale.
Police municipale « bridée »
Aujourd’hui s’ouvre une nouvelle séquence du Beauvau des polices municipales, un espace de discussion associant ministres, représentants de syndicats de la fonction publique territoriale, associations d’élus locaux, parlementaires et membres de l’institution judiciaire.
L’objectif explicite est de trouver des moyens d’augmenter le pouvoir des polices municipales : le ministre délégué à la Sécurité du quotidien, Nicolas Daragon a déclaré que si la police municipale est « bel et bien la troisième force de sécurité du pays, (elle est bridée) dans sa capacité à intervenir ». L’extension de ses pouvoirs s’inscrirait en particulier dans le cadre de la répression du trafic de stupéfiants.
lire la suite : https://actu.fr/societe/plaintes-controles-d-identite-la-police-municipale-bientot-renforcee-avec-de-nouveaux-pouvoirs_61906393.html
Cyber
Les prévisions du monde cyber pour 2025 : une continuité des menaces et de nouveaux risques
forbes.fr - Une contribution de Greg Day VP & Field CISO, Cybereason
Publié le 29 novembre 2024
Si 2024 aura vu l’entrée en vigueur de la directive NIS2 qui impose à toutes les entreprises une certaine rigueur en termes de cybersécurité, cette année a également vu de nouveaux développements en termes d’usages de l’IA. Ces avancées sont profitables pour lutter contre le risque cyber mais c’est par ailleurs un fait, les cybercriminels capitalisent sur les avancées technologiques.
Focus sur les 10 tendances phares du secteur, à suivre en 2025.
Lire la suite : https://www.forbes.fr/technologie/les-previsions-du-monde-cyber-pour-2025-une-continuite-des-menaces-et-de-nouveaux-risques/
Identité numérique
la Commission adopte des normes techniques pour les portefeuilles européens d’identité numérique transfrontières
digital-strategy.ec.europa.eu - Communiqué
Publié le 28 novembre 2024
Cette page est une traduction automatique fournie par le service eTranslation de la Commission européenne afin d’aider la compréhension. Veuillez lire les conditions d’utilisation. Pour lire la version originale, consultez la page source.
La Commission a adopté aujourd’hui des règles relatives aux fonctionnalités essentielles et à la certification des portefeuilles européens d’identité numérique (eID) au titre du cadre européen en matière d’identité numérique.
Il s’agit d’une étape majeure vers la construction par les États membres de leurs propres portefeuilles et leur libération d’ici la fin de 2026.
Quatre règlements d’exécution établissent des normes, spécifications et procédures uniformes pour les fonctionnalités techniques des portefeuilles, telles que les formats de données requis pour l’utilisation transfrontière de documents numériques et les mesures visant à garantir la fiabilité et la sécurité des portefeuilles. L’établissement de normes et de spécifications uniformes permettra à chaque État membre de développer des portefeuilles de manière interopérable et acceptée dans l’ensemble de l’UE, tout en protégeant les données à caractère personnel et la vie privée. Les données sont stockées localement sur le portefeuille, les utilisateurs ayant le contrôle sur les informations qu'ils partagent, sans aucun suivi ou profilage dans la conception des portefeuilles. Un tableau de bord de confidentialité sera également intégré, offrant une transparence totale sur la manière dont les informations du portefeuille sont partagées et avec qui.
Lire la suite : https://digital-strategy.ec.europa.eu/fr/news/commission-adopts-technical-standards-cross-border-european-digital-identity-wallets
Fonction Publique
Numérique et Service public : Aubaine ou traquenard ?
courrierdesmaires.fr - Dossier par la rédaction
Publié le 25 novembre 2024
La route vers des services publics dématérialisés de qualité est loin d’être un long fleuve tranquille. Dans ce difficile cheminement vers un numérique utile aux services publics et à leurs usagers se nichent de nombreuses embûches : enchevêtrement voire concurrence des compétences, bureaucratie persistante, « technicisme » numérique faisant fi de l’inclusion, agents insuffisamment formés... Et comme si cela ne suffisait pas, vient s’ajouter à ces obstacles la vulnérabilité aux cyberattaques comme aux arnaques en ligne, qui prolifèrent autant les unes que les autres.
C’est ce tableau des services publics numérisés, de prime abord bien sombre, que dresse « Le Courrier des maires » à travers son enquête, ses reportages et ses analyses. Un tableau à regarder en face pour construire un numérique utile aux citoyens et aux administrés, et donner toutes leurs chances aux initiatives locales d’innovation qui elles aussi, heureusement, ne manquent pas.
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Numérique : après la technique, enfin le temps des usages pour les services publics ?
courrierdesmaires.fr - par Hugo Soutra
Publié le <<éè novembre 2024
Entre garantir un accès équitable à un Internet THD et s’assurer que l’ensemble des usagers maîtrisent bien les subtilités de la e-administration et perçoivent la valeur ajoutée de cette dématérialisation, il y a un gouffre… que certains élus et acteurs publics locaux – de moins en moins isolés – s’attellent à combler.
Les 68 millions de Français bénéficieront-ils tous d’une connexion fiable à internet à horizon fin 2025 ? Rien n’est moins sûr, alors que des coupes budgétaires récentes et peut-être encore à venir font planer quelques incertitudes sur l’aboutissement du Plan France Très haut-débit. Les associations d’élus peinent à mobiliser sur ce sujet. Si des questions continuent à se poser en ce qui concerne la cybersécurité ou encore la souveraineté européenne, l’heure n’est en effet plus vraiment au seul déploiement des infrastructures numériques, mais aussi et surtout à l’appropriation de ces nouvelles technologies. Les pouvoirs publics n’ont pas franchement traîné pour apprivoiser le numérique, bousculant leurs process administratifs à grands coups d’algorithmes et dorénavant d’intelligence artificielle, et dématérialisant la plupart des démarches des usagers. Plusieurs dizaines de milliards d’euros ont[…]
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.courrierdesmaires.fr/article/numerique-apres-la-technique-enfin-le-temps-des-usages-pour-les-services-publics.58327
Intelligence artificielle
Réunion du groupe de travail sur l’IA
La première réunion du groupe de travail sur l'intelligence artificielle et les usages numériques citoyens se tiendra en visio le 10 décembre de 15h00 à 16H30.
Si vous ne l’avez pas déjà fait ou si vous ne voulez plus recevoir de message à ce sujet je vous invite à nous confirmer votre participation à ce groupe de travail par retour en complétant le formulaire en ligne
Vous pourrez également indiquer les sujets que vous souhaitez traiter.
La liste des inscrits est mise à jour sur Participants GT IA
Philippe Rousselet
Secrétaire général/ General Secretary
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Les salariés français restent sceptiques à l’égard de l’IA
itsocial.fr - par Serge Escalé -
Publié le 25 novembre 2024
Un rapport d’Atlassian indique que la majorité du personnel ne considèrent pas l’IA comme un partenaire de travail mais la voient comme un simple outil. Près d’un répondant français sur cinq déclare même que l'IA est inutile en milieu professionnel.
Avant novembre 2022, date à laquelle l’IA générative ChatGpt a fait l’objet d’un engouement hors normes, l’IA était déjà utilisée, notamment pour traiter les documents structurés, à savoir les formulaires et certificats ou des documents semi-structurés tels les factures et les bons de commandes. La croyance en l’IA générative, vecteur de croissance, semble s’estomper. Selon l’étude internationale (dont la France) d’Atlassian, éditeur de solutions de gestion de projets pour méthodes agiles, seuls 26 % des professionnels français utilisent l'IA comme un « collaborateur stratégique ».
Cependant, la majorité (58 %) la considère simplement comme une aide pour rationaliser les tâches quotidiennes. Il existe même 16 % des salariés français à estimer que l'IA ne sert à rien, une proportion plus élevée que celle observée aux États-Unis, en Allemagne et en Inde. Dans l’hexagone, la part du personnel enthousiaste sur l’intelligence artificielle est passée de 53 % à 41 %.
Ceux qui voient l’IA comme un outil contre ceux qui l’envisagent comme un partenaire
Lire la suite : https://itsocial.fr/metiers/metiers-articles/les-salaries-francais-restent-sceptiques-a-legard-de-lia/
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Le Conseil constitutionnel se dote d’un schéma stratégique d’intelligence artificielle
Sous la présidence de Laurent FABIUS, le Conseil constitutionnel a souhaité se doter d’un schéma d’intelligence artificielle, à l’heure où la pratique de certains métiers du droit commence à être transformée par cette technologie.
Par le schéma qu’il a adopté le jeudi 28 novembre 2024, le Conseil constitutionnel entend procéder de manière structurée et vigilante dans son approche de l’éventuelle mobilisation de solutions d’intelligence artificielle en relation avec l’exercice de ses missions. Il fait le constat qu’il lui revient, comme à toutes les organisations publiques ou privées, d’appréhender au mieux les adaptations induites par une technologie très évolutive et d’évaluer ce qu’il y aurait lieu d’en attendre ou d’en craindre pour l’organisation même de ses travaux.
Le schéma adopté ce jour s’ordonne autour de cinq axes :
• structuration d’une veille sur les progrès de l’intelligence artificielle susceptibles d’intéresser directement le fonctionnement du Conseil constitutionnel,
• déploiement d’une démarche interne continue de sensibilisation et de formation à l’intelligence artificielle,
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L’ascension des attaques de phishing : quand l’IA redéfinit la cybercriminalité
actuia.com - par Hamza Sayah
Publié le 16 octobre 2024
Les attaques de phishing ont atteint un niveau de sophistication sans précédent en 2024, marquant une nouvelle ère dans la cybercriminalité. Au cœur de cette évolution, l’Intelligence Artificielle joue un rôle central en transformant les méthodes des cybercriminels. Ce changement n’a pas seulement renforcé l’efficacité des campagnes de phishing, mais a aussi permis à des acteurs novices de mener des attaques complexes avec une facilité déconcertante. Cette démocratisation des outils d’IA met en lumière une menace croissante pour les entreprises du monde entier.
L’évolution des tactiques de phishing : un aperçu
En l’espace de quelques années, les campagnes de phishing sont passées de simples courriels de masse à des attaques ciblées, personnalisées et difficiles à détecter. Aujourd’hui, grâce à des technologies génératives comme les grands modèles de langage (LLM) et des outils d’automatisation, les cybercriminels peuvent créer des messages trompeurs quasi parfaits. Ils peuvent également cloner des sites web et des pages de connexion en quelques minutes, augmentant ainsi la probabilité de succès de leurs tentatives d’usurpation d’identité.
Les dernières statistiques montrent une augmentation significative de 58 % des attaques de phishing à l’échelle mondiale en 2023. Cette hausse reflète non seulement la portée croissante des cybercriminels, mais aussi leur capacité à exploiter des données publiques pour cibler des individus ou des organisations avec une précision redoutable.
Phishing et IA : une nouvelle frontière pour les cyberattaques
Lire la suite : https://www.actuia.com/contribution/hamza-sayah/lascension-des-attaques-de-phishing-quand-lia-redefinit-la-cybercriminalite/
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ONU Tourisme lance le Défi mondial de l’intelligence artificielle
ONU Tourisme recherche des start-up et des scale-up porteuses de solutions pionnières capables de révolutionner le secteur du tourisme.
Le Défi mondial de l’intelligence artificielle vise à soutenir des projets qui utilisent les technologies numériques pour améliorer le tourisme, promouvoir la durabilité et favoriser la croissance économique. Les participants sont invités à contribuer à la transformation numérique, la durabilité, l’inclusivité et la gouvernance numérique dans une série de domaines clé, notamment : stratégies de marque et marketing ; destinations intelligentes et deep tech ; solutions extensibles dans le domaine éducatif ; efficience opérationnelle. Dans ces catégories, on cherche à stimuler les innovations propres à rendre les destinations plus attrayantes, optimiser la gestion des ressources et créer des expériences touristiques intelligentes à impact.
Le Secrétaire général d’ONU Tourisme, Zurab Pololikashvili, a déclaré : « L’innovation est un moteur essentiel pour l’avenir du tourisme. Ce défi représente une chance fabuleuse de donner libre cours à la créativité, à l’appui d’une croissance durable et inclusive du secteur du tourisme. Nous avons hâte de connaître les solutions novatrices que cette initiative mondiale permettra de faire émerger. »
Ce défi représente une chance fabuleuse de donner libre cours à la créativité, à l’appui d’une croissance durable et inclusive du secteur du tourisme
Lire la suite : https://www.unwto.org/fr/news/onu-tourisme-lance-le-defi-mondial-de-l-intelligence-artificielle
Internet des Objets
AIS et IoT : succès du 3ème lancement de nanosatellites de la constellation KINEIS
actuia.com - par Pierre-yves Gerlat
Publié le 26 novembre 2024
Kineis, acteur spatial français, annonce que ce lundi 25 novembre, à 4h55 (heure de Paris), le lanceur Electron de Rocket Lab a réussi la mise en orbite de 5 nouveaux satellites de sa constellation dédiée aux marchés mondiaux de l’Internet des Objets (IoT) et au secteur maritime, l’AIS (Automatic Identification System). Avec ce troisième lancement, baptisé « Ice AIS Baby », la start-up toulousaine se rapproche de son objectif : 15 nanosatellites sur les 25 prévus sont désormais déployés en orbite basse (LEO).
Kineis a été fondée en 2018 par le CNES (Centre National d’Etudes Spatiales) et sa filiale CLS (Collecte Localisation Satellites) pour opérer le système Argos. Ce système mondial de localisation et de collecte de données géo-positionnées par satellite a été créé en 1978 à l’initiative du CNES, de la NASA et de l’agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
En 2020, Kineis a levé 100 millions d’euros pour financer le développement et le déploiement des 25 nanosatellites et 20 stations terrestres qui vont constituer sa constellation dont l’objectif est de démultiplier les capacités de suivi du système Argos.
Après avoir mis en orbite cinq premiers satellites en juin, puis cinq autres en septembre, depuis la base de lancement néo-zélandaise de Rocket Lab, située dans la péninsule de Māhia, le lanceur Electron vient donc de réaliser avec succès le troisième lancement. Le prochain devrait avoir lieu en décembre et le dernier, début 2025.
Alexandre Tisserant, Président de Kinéis, a salué cette étape :
lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/ais-et-iot-succes-du-3eme-lancement-de-nanosatellites-de-la-constellation-kineis/
Jumeaux numérique
Les terminaux du Havre amarrent la 5G privée à un jumeau numérique
lemondeinformatique.fr - par Reynald Fléchaux
Publié le 28 Novembre 2024
La société spécialisée dans la manutention de conteneurs déploie un réseau 5G privé sur son principal terminal du Havre. Objectif : parvenir à un suivi temps réel de ses opérations au sein d'un double numérique.
Employant plus de 1000 dockers - sur un total de quelque 1200 employés -, la GMP (Générale de Manutention Portuaire) est un poids lourd de la manutention portuaire. Selon son directeur général, Louis Jonquière, avec 1,7 million d'EVP (équivalent vingt pieds, soit le format des conteneurs standards dans le transport maritime) manipulés en 2023, la société représente 65% de parts de marché sur la manutention sur le port du Havre. Soit, étant donné le poids de ce dernier, 35% au niveau national.
« Sur la période 2025-2028, nous allons investir 258 M€ pour augmenter nos capacités de 500 000 EVP par an. Et un des trois piliers de la transformation pour y parvenir réside dans l'optimisation de nos opérations avec la data », reprend le directeur général de la société havraise créée en 1976. Un domaine où GMP part d'un existant déjà riche, constitué d'un ERP spécialisé (Navis), de réseaux dédiés (WiFi maillé pour la communication sur les terminaux, Lora et Sigfox pour l'IoT) et d'un jumeau 2D, développé en interne et permettant une visualisation dynamique de tous les mouvements terrestres sur les trois terminaux qu'opère le manutentionnaire.
Deux antennes pour le terminal recevant les géants des mers
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lireamp-les-terminaux-du-havre-amarrent-la-5g-privee-a-un-jumeau-numerique-95381.html
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e-santé
Trophées 2024 de la e-santé : six projets innovants ont retenu l’attention du jury
alliance.fr - par Fiona Slous
Publié le 28 novembre 2024
La 18eme édition de l’Université de la e-santé Castre-Mazamet s’est clôturée ce mercredi 27 novembre, par l’annonce des gagnants des Trophées de la e-santé. L’évènement aura regroupé plus de 30 sessions, 100 experts de la e-santé et plus de 20 heures de débats.
Le rideau est tombé sur la 18e édition de l’Université de la e-santé, organisée les 26 et 27 novembre à Castres-Mazamet, marquée par deux jours intenses de débats, d’échanges et de découvertes. Organisée par la Technopole de Castres-Mazamet dans les locaux de l’École ISIS, cette édition a mis l’accent sur les fondamentaux de la santé numérique : la prévention, les territoires et les données. Le point d’orgue de cet événement a été la cérémonie des de remise des Trophées qui a couronné six lauréats. Parmi les 84 dossiers reçus, 14 finalistes ont été sélectionnés pour présenter leur projet devant un jury prestigieux composé de 22 experts. « Cette édition a fait l’objet d’un niveau exceptionnel de proposition, suscitant des discussions riches et passionnées. Les lauréats incarnent une vision commune d’innovations orientées vers les patients et les professionnels de santé », a déclaré Olivier Siegler, président du jury et directeur de l’Accélération Digitale chez Pierre Fabre.
Les lauréats 2024
Le Grand Prix du Jury a été attribué à GMT Science (Rouen), qui a conçu un dispositif médical capable de prédire l’efficacité des immunothérapies contre le cancer via l’analyse du microbiote intestinal.
D’autres projets se sont distingués dans les thématiques suivantes :
Lire la suite : https://www.alliancy.fr/trophees-2024-de-la-e-sante-six-projets-innovants-ont-retenu-lattention-du-jury
Elections
Les montants de la dotation pour titres sécurisés dévoilés pour les 3 460 communes concernées
maire-info.com ©Deauville - par Franck Lemarc
Édition du mardi 26 novembre 2024
Le gouvernement a enfin publié les attributions individuelles de la dotation pour les titres sécurisés (DTS), versées aux 3 460 communes équipées d'un dispositif de recueil des empreintes digitales. Cette publication est d'autant plus utile que le mode de calcul est relativement complexe. La dotation s'échelonne, selon les communes, de 9 000 à 3 millions d'euros.
L’arrêté annonçant la publication des montants individuels de la DTS est paru le 13 novembre au Journal officiel, mais comme les choses ne sont jamais si simples, il a encore fallu attendre quelques jours pour connaître les montants exacts – le temps qu’ils soient publiés sur le site « documents administratifs » de l’État.
C’est maintenant chose faite, ce qui permettra à chacune des 3 460 communes concernées de savoir exactement le montant qu’elle va toucher au titre de l’année 2024.
La DTS par commune
Tableau: Maire infoSource: Min. de l'Intérieur Récupérer les données Créé avec Datawrapper
Le calcul de la DTS
Pour rappel, cette dotation est versée à toutes les communes équipées d’un DR (dispositif de recueil des empreintes digitales) installé au 1er janvier 2024. Son montant global est de 100 millions d’euros, mais elle est désormais répartie selon des modalités nouvelles – et assez complexes – définies dans un décret du 11 juillet dernier. Nouveauté de ce décret : une incitation financière aux communes acceptant d’offrir un nouveau service, la certification de l’identité numérique, et à celles ayant la plus forte activité.
Lire la suite : https://www.maire-info.com/elections/les-montants-la-dotation-pour-titres-securises-devoiles-pour-les-3-460-communes-concernees-article-29151
Blockchain
Une formation blockchain sur mesure : c'est désormais possible avec la Blockchain Business School
cryptoast.fr - par Th&o Zaraniri
Publié le 28 novembre 2024
La Blockchain Business School, organisme de référence dans la formation des professionnels du Web3 en France, lance un nouveau format inédit. Dès maintenant, il est possible de démarrer une formation sur mesure auprès de la BBS chaque lundi, sans attendre la prochaine session. Découvrez tout ce que cela change pour les apprenants de l'école blockchain.
La Blockchain Business School : une référence européenne pour se former aux métiers du Web3
La Blockchain Business School (BBS) est une institution française pionnière dédiée à la formation Web3 et IA, avec l'ambition de s'imposer comme la référence européenne dans ce domaine.
Fondée en 2023 par Fabien Ansaldi et Bilal Al Alamy, le PDG de PyratzLabs, le plus important incubateur Web3 d'Europe, la BBS propose des programmes uniques, conçus en partenariat avec des acteurs clés de l'écosystème, pour permettre aux étudiants d'appréhender pleinement les enjeux du Web3 et de l'IA.
Cette école propose une gamme variée de formations en ligne explorant tous les aspects du Web3 et de l'IA, tout en offrant des parcours sur mesure et encadrés par des mentors expérimentés et réputés dans l'écosystème Web3.
Lire la suite : https://cryptoast.fr/formation-blockchain-sur-mesure-blockchain-business-school/
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Wecan Chain s’ouvre au public : Simplifiez votre intégration à la blockchain
cointribune.com - par la rédaction
Publié le 29 Novembre 2024
Wecan Chain, une API puissante conçue pour simplifier l’intégration des entreprises avec la blockchain, ouvre désormais son accès au public. Wecan Chain offre une passerelle intuitive et fiable vers des technologies blockchain. Son objectif : démocratiser l’accès aux avantages de la blockchain tout en masquant la complexité technique, permettant ainsi à des entreprises de toutes tailles de transformer leur gestion des données et processus métiers.
Avec cette ouverture au public, Wecan Chain réaffirme son ambition de moderniser les infrastructures numériques et répondre aux besoins croissants de traçabilité de sécurité et d’immuabilité dans des environnements diversifiés.
Un concept simplifié pour une adoption rapide
Une interface pour des opérations complexes
Wecan Chain est une interface qui agit comme une couche d’abstraction entre les entreprises et la blockchain sous-jacente (notamment 3Achain). En masquant les aspects techniques, Wecan Chain permet aux organisations de s’interfacer avec la blockchain grâce à des outils simples et accessibles, réduisant ainsi la courbe d’apprentissage et les coûts de développement.
Lire la suite : https://www.cointribune.com/wecan-chain-souvre-au-public-simplifiez-votre-integration-a-la-blockchain/
Biométrie
« Serenity » et « IDEMIA Secure Transactions » lancent la carte biométrique sAxess pour une sécurité numérique et une récupération de données améliorées
cryptopolitan.com/fr - Par Chainwire
Cybersécurité
Cybercriminalité : le ministre délégué Nicolas Daragon annonce le lancement de la plateforme « 17Cyber »
gendarmerie.interieur.gouv.fr - Par le chef d'escadron Charlotte Desjardins
Publié le 28 novembre 2024
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L'Anssi plonge dans la cybersécurité du secteur de l'eau
lemondeinformatique.fr - par Jacques Cheminat
Publié le 28 Novembre 2024
Considéré comme une infrastructure essentielle, le secteur de l'eau intéresse de plus en plus les cybercriminels. L'Anssi dresse un état des lieux de la menace dans ce domaine discret mais sensible.
En février 2021, le piratage du système de traitement des eaux de la ville d’Oldsmar en Floride a mis en lumière la fragilité du secteur de l’eau. Un peu plus de trois ans après, l’ANSSI a décidé de se pencher sur la question en publiant un rapport. Dans ce document, on apprend qu’entre janvier 2021 et août 2024, 46 entités du secteur de la gestion de l’eau ont été touchées par un évènement de sécurité. . « Parmi ces entités, 12 sont des opérateurs régulés 3 , représentant 34% des évènements de sécurité traités et 7 ont fait l’objet de multiples évènements de sécurité sur la période étudiée » ajoute l’agence.
Elle constate par ailleurs que ce secteur comme beaucoup d’autres est un terrain de jeu pour des campagnes à but lucratif comme les ransomwares. Cela a été le cas pour BRL (compagnie d'aménagement du Bas-Rhône et du Languedoc), groupe d'ingénierie spécialisé dans la gestion de l'eau et l'environnement, tombé dans les filets de Lockbit. De son côté, le SIAAP (service public de l'assainissement francilien) avait alerté en novembre 2023 sur une attaque « très structurée ».
Un secteur protéiforme avec une maturité en cybersécurité faible
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-anssi-plonge-dans-la-cybersecurite-du-secteur-de-l-eau-95392.html
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Fraude assistée par l’IA : les premiers chiffres du rapport 2025 sur l’identité numérique
channelbiz.fr - par la rédaction ChannelBiz
Publié le 28 novembre 2024
Les attaques numériques continuent de prendre de l’ampleur, notamment avec l’essor de technologies comme l’IA générative. Le 2025 Identity Fraud Report, publié par l’Entrust Cybersecurity Institute, met en lumière les menaces croissantes liées aux deepfakes et à la manipulation de documents numériques.
Les chiffres clés issus du 2025 Identity Fraud Report* :
L’analyse :
Lire la suite : https://www.channelbiz.fr/2024/11/28/fraude-assistee-par-lia-les-1ers-chiffres-du-rapport-2025-sur-lidentite-numerique/
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La nouvelle législation européenne sur la cybersécurité s’attaque à la cybercriminalité
itsocial.fr - par la rédaction
Publié le 28 novembre 2024
Dans notre monde interconnecté, la cybersécurité est devenue une préoccupation majeure pour toutes les organisations. Selon Statista, plus de 181 zettaoctets de données devraient être accessibles via Internet en 2025, démontrant l’importance des enjeux liés à la cybersécurité. Ainsi, les entreprises doivent s'adapter au risque récurrent de vol et d'utilisation abusive des données.
Deux nouvelles réglementations européennes, la directive NIS2 et la loi sur la cyber-résilience (Cyber Resilience Act), répondent à la menace des cyberattaques. Les entreprises ont encore du mal à appréhender l'impact sur leurs projets et à déterminer quel niveau atteindre afin de répondre à ces enjeux.
La directive sur la sécurité des réseaux et de l'information (NIS 2)
La directive européenne NIS 2, transposée par les États membres depuis le 17 octobre 2024, permet de renforcer la sécurité des infrastructures de réseau et uniformise le niveau de cybersécurité dans l'UE. Applicable aux organisations privées et publiques de plus de
50 employés et réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 10 millions d’euros, NIS 2 cible les entités fournissant des services ou des biens sensibles ainsi que celles ayant des infrastructures critiques.
Pour rappel, NIS 2 est une extension de la directive NIS de 2016 (NIS-D), qui avait répertorié sept secteurs critiques, comme l'énergie, la santé, les transports, les banques et les services financiers. NIS 2 étend ce champ d'application à 18 secteurs, impliquant plus de 100 000 organisations européennes supplémentaires.
Principales exigences
Lire la suite : https://itsocial.fr/cybersecurite/cybersecurite-tribunes/la-nouvelle-legislation-europeenne-sur-la-cybersecurite-sattaque-a-la-cybercriminalite/
ATOS
L’Etat va acquérir les supercalculateurs d’Atos
lemonde.fr - par Olivier Pinaud
Publié le 25 novembre 2024
Un accord a été trouvé pour nationaliser cette activité sensible du groupe d’informatique, utilisée notamment pour la dissuasion nucléaire.
Après le fabricant de câbles de télécoms sous-marins, ASN, l’Etat va nationaliser une autre activité stratégique. Le ministère de l’économie a annoncé, lundi 25 novembre, « l’ouverture de discussions exclusives avec Atos visant à acquérir l’intégralité de ses activités “advanced computing” », pour une valeur d’entreprise de 500 millions d’euros, pouvant être potentiellement portée à 625 millions en incluant des compléments de prix. Après une phase d’audit qui devrait durer un mois, un contrat de cession engageant sera signé entre Atos et l’Agence des participations de l’Etat.
Cette division fabrique des supercalculateurs (« high performance computing », HPC), des ordinateurs extrêmement puissants qui servent pour des applications civiles, comme les prévisions météorologiques ou la recherche scientifique, mais aussi militaires. Les HPC d’Atos sont ainsi utilisés par le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives pour réaliser les calculs de simulation nucléaire. « Il est du rôle de l’Etat que de garantir, comme actionnaire lorsque cela le justifie, la pérennité et le développement des activités industrielles les plus stratégiques pour notre souveraineté », a déclaré Antoine Armand, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie.
lire la suite : https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/11/25/l-etat-achete-les-supercalculateurs-d-atos_6412941_3234.html
Mobilité
Nouvelle ligne de tram à Nantes, une enquête publique du 12 au 20 novembre 2024
By Erwan
Publié le 18 novembre 2024
L’annonce de l’enquête publique parcellaire liée aux nouvelles lignes de tramway à Nantes et Rezé, prévue du 12 au 29 novembre 2024, marque une avancée significative dans ce projet de mobilité urbaine.
La métropole nantaise mise sur un réseau de transport en commun renforcé et durable. À l’horizon 2027, deux nouvelles lignes de tramway verront le jour :
En parallèle, une ligne de busway électrique (ligne 8) sera créée, reliant Bouguenais (Ville-au-Denis) à Nantes (boulevard de Doulon), via Rezé (hôtel de ville). Ce bus écologique complète une offre de transport résolument tournée vers un avenir durable.
Lire la suite : https://www.infos-nantes.fr/nouvelle-ligne-de-tram-a-nantes-une-enquete-publique-du-12-au-29-novembre-2024/
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Seuls les taxis électriques seront autorisés
news.day.fr.com - par Philippe Moureau
Publié le 22 Novembre 2024
L’actualité de la voiture électriqueOslo vient d’écrire l’histoire de la mobilité urbaine en devenant la première capitale européenne à interdire les taxis thermiques dans ses rues. Cette décision audacieuse, entrée en vigueur le 1er novembre 2024, s’inscrit dans la lignée des politiques avant-gardistes de la Norvège en matière d’électrification des transports. Examinons de plus près cette initiative pionnière et ses implications pour l’avenir de la mobilité urbaine.
La Norvège, leader incontesté de la transition électrique
La Norvège s’est imposée comme un leader mondial dans l’adoption de véhicules électriques. En 2023, le pays a atteint un record impressionnant avec 88% des ventes de voitures neuves représentés par des modèles électriques. Ce chiffre démontre l’engagement profond du pays nordique en faveur d’une mobilité plus propre et plus durable.
Cette transition rapide vers l’électrique n’est pas le fruit du hasard. C’est le résultat d’une politique volontariste mise en place depuis plusieurs années, combinant incitations fiscales, investissements dans les infrastructures de recharge et sensibilisation du public aux bénéfices environnementaux des voitures électriques.
Oslo, pionnier des taxis zéro émission
Lire la suite : https://news.dayfr.com/entreprise/3974329.html
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Postes de Commande Centralisés : une révolution technologique au coeur de la mobilité urbaine
usinenouvelle.com - La Rédaction n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.
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Publié le 19 novembre 2024
Les Postes de Commande Centralisés (PCC) se transforment sous l’impulsion des technologies modernes comme l’intelligence artificielle, la 5G ou le cloud. Ces outils permettent non seulement d’améliorer la gestion des transports urbains en temps réel, mais aussi de poser les bases d’un système plus durable, sécurisé et adapté aux besoins des voyageurs.
Les PCC sont au cœur des systèmes de transport urbain depuis plusieurs décennies. Déployés pour la première fois dans les années 70, avec l’apparition des premiers métros automatiques, ils sont conçus pour superviser et réguler les flux de voyageurs.
Cependant, ils arrivent aujourd’hui à un tournant. Les infrastructures vieillissent et les technologies sur lesquelles reposent ces PCC d’ancienne génération ne répondent plus aux exigences actuelles. « Nous sommes à un moment charnière, avec une convergence d’éléments qui marque le début d’une nouvelle ère pour les PCC », analyse Farès Goucha, Directeur Rail Industry chez Capgemini Invent. Bien que souvent invisibles pour le public, ces technologies diffuses sont essentielles pour assurer une gestion fluide et optimisée des réseaux de transport. C’est dans ce contexte que des innovations comme l’intelligence artificielle (IA), le Big Data, la 5G ou encore le cloud computing viennent transformer les PCC, offrant un nouveau départ pour ces outils, véritables chefs d’orchestre de la mobilité urbaine.
En Île-de-France, dans un contexte de mise en concurrence des transports en commun les systèmes de commandes centralisées de demain doivent relever le défi de l’interopérabilité et de l’évolutivité. Pour répondre à ces nouveaux enjeux, la RATP a décidé de moderniser les systèmes d’aides à l’exploitation de ses tours de contrôle du RER, en les dotant d’outils d’aide à la décision et à la régulation performants, portés par le projet SAE+ (Système d’Aide à l’Exploitation de nouvelle génération).
Lire la suite : https://www.usinenouvelle.com/article/postes-de-commande-centralises-une-revolution-technologique-au-coeur-de-la-mobilite-urbaine.N2222370
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Ne faites surtout pas confiance à votre GPS sans connaître cette innovation
objetconnecté.com - Par Faniry R.
Publié le 19 novembre 2024
ThunderSoft et HERE Technologies annoncent une nouvelle alliance prometteuse. Ils visent à révolutionner la navigation intelligente et les cartes haute définition. Ce partenariat se veut stratégique, novateur et source de solutions globales pour le secteur automobile.
Les deux entreprises unissent leurs forces pour maximiser leurs compétences techniques. D'ailleurs, cette collaboration promet d'améliorer considérablement l'efficacité des systèmes de navigation modernes. La navigation intelligente est devenue une priorité essentielle pour des voitures plus connectées.
Un écosystème de mobilité plus connecté
Les technologies de localisation avancées de HERE vont s'intégrer aux systèmes ThunderSoft. De plus, le système d'exploitation Aqua Drive de ThunderSoft exploitera HERE SDK, HD Map, et bien d'autres solutions. Ce déploiement offre aux développeurs des outils efficaces pour innover.
Ainsi, les constructeurs automobiles bénéficieront d'une navigation de haute qualité. Ceci en intégrant des solutions personnalisées dans les véhicules. Ce soutien technologique rendra possible une navigation plus fluide. D'ailleurs, cela facilite des expériences de conduite enrichies. Les consommateurs en ressortiront gagnants.
Des solutions de cartographie immersive
Lire la suite : https://www.objetconnecte.com/navigation-intelligente-innovation-auto/
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EasyPark rachète Flowbird pour devenir le « premier fournisseur mondial de plateformes de mobilité »
auto-infos.fr - par Leslie Auzèmery
Publié le 20/11/2024
L'Autorité de la concurrence donne son feu vert au rachat de la société française Flowbird par le groupe suédois EasyPark.
Le 30 septembre dernier, EasyPark a notifié à l’Autorité de la concurrence son projet de prise de contrôle exclusif du groupe Flowbird. Par cette opération, le spécialiste des solutions de paiement pour le stationnement acquiert l’ensemble des activités du principal fournisseur d’horodateurs en France. Après un examen des effets de cette transaction sur les marchés concernés, l'opération a été autorisée sans conditions.
Un an après les premières annonces d'intention de rachat, le mastodonte du marché des horodateurs et de la billettique pour les transports publics, Flowbird, présent dans 80 pays, va passer sous pavillon suédois. La société française devient ainsi la propriété d'EasyPark, éditeur d’applications de stationnement (ParkMobile, RingGo, Park-line) déployées dans 4 000 villes réparties dans une vingtaine de pays, dont la France.
« Ensemble, nous voulons pleinement participer à la digitalisation de la mobilité urbaine et aspirons à devenir le premier fournisseur mondial de plateformes de mobilité », a déclaré le patron d’EasyPark. L'entreprise a déjà fait l'acquisition de Park Now en 2021.
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/easypark-rachete-flowbird-pour-devenir-le-1er-fournisseur-mondial-de-plateformes-de-mobilite.284780
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Barcelone teste des robots autonomes pour la livraison durable de colis
salirpoebarcelona.com - OCIO EN BARCELONA
La ville de Barcelone se positionne comme un laboratoire urbain de solutions innovantes en mettant en œuvre des tests avec le robot autonome Ona. Ce projet, mené par l’Universitat Politècnica de Catalunya (UPC) en collaboration avec CARNET et Vaivé Logistics, vise à réduire l’impact environnemental et acoustique de la livraison de marchandises dans les zones urbaines densément peuplées.
Les tests se déroulent dans les environs du Centre Cultural i de Memòria del Born, où le robot Ona effectue des tâches de livraison de colis. Ce projet fait partie de l’initiative Botnet, qui vise à réduire de 20 % le trafic et de 40 % les émissions générées par les transports traditionnels à Barcelone. Le robot électrique a la particularité d’être silencieux, non polluant et conçu pour interagir de manière conviviale avec les piétons. Outre l’optimisation de la logistique, l’acceptation de cette technologie par les citoyens est en cours d’évaluation, un aspect clé pour son intégration dans la vie urbaine.
Le modèle proposé comprend des centres de distribution proches, à partir desquels des robots pourraient remplacer les camionnettes traditionnelles.
L’innovation en action
Lire la suite : https://salirporbarcelona.com/fr/barcelone-teste-des-robots-autonomes-pour-la-livraison-durable-de-colis/
Congrès de l’AMF
Les propositions de l'AMF pour « un renouveau de l'action publique »
maire-info.com - Par Franck Lamard
Édition du vendredi 22 novembre 2024
André Laignel, en clôture du 106e congrès des maires, a exhorté le gouvernement à « ne pas affaiblir les communes », à consolider la décentralisation et « ouvrir enfin le temps des libertés locales ».
C’est toujours l’un des moments les plus solennels du Congrès : André Laignel a donné lecture, lors de la séance de clôture, de la résolution finale adoptée « à l’unanimité » par le Bureau de l’association, avant le discours de clôture du président de l’association David Lisnard.
« Spirale infernale »
« Rien ne serait possible en France sans l’engagement des communes », rappelle l’AMF au début de la résolution, dans un contexte de « fragilisation des institutions » et de « crises qui s’enchaînent ». « Pôles de stabilité », « socles de proximité », les communes sont « un repère pour les Français » . Elles sont pourtant « attaquées », ce qui a provoqué « la colère » des maires, exprimée pendant le congrès lors du rassemblement des « écharpes noires ». « Il n’est pas un maire qui ne se soit senti exaspéré car injustement mis en cause par la dénonciation calomnieuse de certains représentants de l’État nous accusant de mauvaise gestion », a martelé André Laignel. Pour l’AMF, cette situation n’est que le résultat d’un « long processus » venant d’un État qui a « perdu ses moyens d’agir, se veut omnipotent mais devient impotent » et a reculé partout sur le territoire.
En même temps que l’État « se retire » des territoires, « il se donne l’illusion de la puissance en corsetant l’action des collectivités » – comme en témoigne, par exemple, le ZAN, « caricature de la technocratie, dispositif descendant et souvent abscons ». Cette « impuissance » de l’État conduit à des « blocages », voire à la « colère populaire » … face à laquelle l’État fait appel aux collectivités pour tenter de recoudre le tissu social. Cette « spirale infernale » doit être brisée, martèle l’AMF, car « il n’est ni souhaitable ni responsable de laisser prospérer l’impuissance publique » – l’association redoute que le pays finisse par « être livré aux aventures que les crises portent en elles ».
Renouer avec la décentralisation
Lire la suite : https://www.maire-info.com/congres-amf/les-propositions-amf-pour-un-renouveau-action-publique--article-29145
Services Publics
IA dans les services publics : comment mieux protéger les droits des usagers ?
vie-publique.fr - Par : La Rédaction
Publié le 19 novembre 2024
Attribution de prestations sociales, calcul d’impôts, accès à l’enseignement supérieur : de plus de plus de démarches administratives sont désormais partiellement ou complètement automatiques. Que reste-t-il de l’intervention humaine dans la prise de décision ? Quels sont les effets de ces nouvelles pratiques sur les droits des usagers ?
Dans un rapport publié le 13 novembre 2024, le Défenseur des droits étudie l’usage croissant des algorithmes ou systèmes d’intelligence artificielle (IA) dans les services publics français, et notamment dans l’administration centrale. Malgré un gain d’efficacité dans la prise de décisions, le Défenseur des droits met en garde contre les atteintes aux droits fondamentaux des usagers et présente plusieurs recommandations.
Un recours croissant à l'IA dans les services publics
Le rapport fait état du recours croissant aux algorithmes et à des systèmes d'IA dans l'administration, dans le but d'automatiser, d'améliorer ou d'accélérer certaines procédures. De plus en plus de décisions administratives individuelles (comme l'attribution de prestations sociales, le calcul des impôts ou encore l'accès à l'enseignement supérieur) sont ainsi :
Pour le Défenseur des droits, cette évolution est à la fois porteuse de progrès et de risques pour les droits fondamentaux des usagers.
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/296127-ia-dans-les-services-publics-et-droits-des-usagers
Paiement électronique
Belgique
Le système de paiement européen Wero officiellement lancé en Belgique
Par la Rédaction Data News - Source Belga
Publié le 19 novembre 2024
Le nouveau système de paiement européen Wero, destiné à faciliter les paiements mobiles, a officiellement été lancé mardi en Belgique. Il est désormais accessible via les applications des quatre grandes banques belges, soit Belfius, BNP Paribas Fortis, ING et CBC, a annoncé mardi l’European Payments Initiative (EPI), la société chargée de son développement, lors d’une conférence de presse.
Les utilisateurs de Wero pourront transférer et recevoir de l’argent de manière instantanée, par l’intermédiaire d’un QR code. Pour les clients de Belfius et CBC, il sera également possible d’envoyer de l’argent vers des personnes présentes sur la liste de contacts de leur smartphone, également enregistrées sur Wero. Ces paiements pourront se faire directement depuis leur application bancaire habituelle, et ce de manière entièrement gratuite.
Avec Wero, EPI vise ainsi à créer “un portefeuille de paiement numérique unique et sécurisé, réunissant tous les cas d’usages possibles en une seule solution”.
EPI a également collaboré avec Bancontact Payconiq Company (BPC) dans le cadre du lancement de Wero en Belgique. Dans un premier temps, Wero et l’application de paiement déjà existante Payconiq continueront à coexister. Lorsque Wero sera bien intégrée dans les banques belges et que la phase de transition sera terminée, Payconiq sera remplacée par Wero. La date de son arrêt devrait être communiquée dans le courant 2025.
Intelligence artificielle
Mistral AI lâche une bombe du nom de Pixtral-Large, capable de battre Gemini 1.5 Pro et GPT-4o
usine-digitale.fr par Célia Séramour
Publié le 19 novembre 2024
Construit sur la base de Mistral Large 2, ce modèle multimodal est une attaque directe aux derniers modèles qui alimentent ChatGPT ainsi qu'aux LLM développés par Anthropic. Pour marquer le coup, la start-up française a par ailleurs intégré ce dernier modèle dans son interface conversationnelle "Le Chat", ajoutant des fonctions clés telles que canvas, génération d'images, recherche sur le web.
Mistral AI accélère la cadence. La start-up française la plus en vue dans le domaine de l'IA veut faire ses preuves. Et pour y parvenir, elle n'hésite pas à mettre le paquet sur le développement de ses modèles. Preuve en est avec son dernier modèle tout juste publié : Pixtral Large. Dans le détail, il s'agit d'un modèle multimodal à pondération ouverte de 124 milliards de paramètres (rien que ça) construit sur la base de Mistral Large 2.
Second modèle de la famille de modèles multimodaux, il démontre une compréhension d'images de "niveau frontier", affirme la start-up, insistant sur sa capacité à comprendre des documents, des graphiques et des images naturelles, tout en conservant la compréhension de texte de pointe de Mistral Large 2. Il possède par ailleurs une fenêtre de contexte de 128 000 jetons et peut contenir au moins 30 images haute résolution.
Mistral se mesure à Anthropic, Google et OpenAI
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La start-up xAI d'Elon Musk lève 5 milliards de dollars supplémentaires pour rivaliser avec OpenAI
usine-digitale.fr - par Jérôme Martin
Publié le 22 novembre 2024
Le milliardaire souhaite acheter 50 000 cartes graphiques H200 de Nvidia afin de doubler la puissance du supercalculateur Colossus, inauguré en septembre.
Six milliards de dollars au printemps. Et cinq milliards de plus juste avant l’hiver. L'année 2024 aura permis à Elon Musk de remplir les coffres de sa nouvelle start-up xAI, avec laquelle il souhaite s'imposer sur le marché de l'intelligence artificielle générative. Et notamment face à OpenAI, avec qui le milliardaire est en conflit.
Cette nouvelle levée de fonds n’a pas encore été officialisée par la société. Mais elle a été confirmée par ses dirigeants aux autres investisseurs, rapporte le Wall Street Journal. Selon le quotidien américain, l'opération a été réalisée sur la base d’une valorisation de 50 milliards de dollars, soit deux fois plus qu’en mai.
50.000 H200
D'après des sources citées par CNBC, la plus grande partie de cette somme sera apportée par des fonds souverains du Moyen-Orient. Le Wall Street Journal explique ainsi que Qatar Investment Authority sera de la partie. Les fonds américains Sequoia et Andreessen Horowitz devraient aussi remettre au pot.
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La « charte IA » : un outil de contrôle et de conformité désormais incontournable
explicite.fr - par Marie-Laure Tredan, Avocate Counsel CMS Francis Lefebvre Avocats
Mûre Maestrati, Avocate, CMS Francis Lefebvre Avocats
Publié le 22 novembre 2024
Comment encadrer l’usage de l’IA par les salariés tout en améliorant la conformité juridique de l’employeur ?
L’intelligence artificielle (l’« IA ») a envahi le monde du travail.
Côté salarié, son utilisation a explosé. Côté employeur, on s’interroge sur les mesures à mettre en place pour se conformer au très récent Règlement sur l’IA (1).
La charte IA, dont la vocation est d’encadrer les usages de l’IA tout en s’inscrivant dans la stratégie de compliance de l’entreprise qui la porte, est à la croisée des chemins.
Encadrer les usages de l’IA par les salariés
Presque un salarié sur quatre (22%) a déjà utilisé un outil d’intelligence artificielle dans le cadre professionnel. Parmi eux, plus de la moitié (55 %) l’ont fait sans en informer leur responsable (Étude IFOP pour LearnThings du 21 décembre 2023 au 3 janvier 2024 (2)).
Cette situation est créatrice de risques importants pour l’employeur – aussi bien juridiques que commerciaux, réputationnels, financiers ou concurrentiels. Il est donc nécessaire de réglementer les usages de l’IA et d’anticiper les écueils qui y sont liés afin de les éviter autant que possible.
C’est précisément l’objectif de la charte IA. Cette dernière, rédigée par l’employeur à destination des salariés, a pour objectif de réglementer les usages par les salariés des divers systèmes et modèles d’IA qu’ils pourraient être amenés à utiliser, tout en définissant les bonnes pratiques à suivre pour limiter les risques liés à cette utilisation et prévoir les outils permettant de s’assurer du bon respect de celle-ci.
Lire la suite : https://www.lexplicite.fr/la-charte-ia-un-outil-de-controle-et-de-conformite-desormais-incontournable/
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Kyutai, le surdoué français de l'IA qui rêve de concurrencer OpenAI : "Leur rapidité est exceptionnelle"
express.fr - par Aurore Gayte
Publié le 17 novembre 2024
Tech. Le laboratoire français de recherche, qui souffle sa première bougie, compte déjà à son actif une IA générative vocale impressionnante. Kyutai ne manque pas non plus d’ambition pour la suite.
Lorsque Rodolphe Saadé (CMA-CGM), Xavier Niel (Iliad) et Eric Schmidt (ex-Google) montent sur la scène de Station F le 17 novembre 2023, le secteur français de l’intelligence artificielle retient son souffle. Le résultat est à la hauteur des espérances : les trois entrepreneurs annoncent la création de Kyutai, un laboratoire de recherche en IA à but non lucratif doté de 300 millions d'euros. Sa mission ? Devenir une référence du domaine. Un an plus tard, le directeur général de Kyutai, Patrick Pérez, est tout sourire lorsqu’il rencontre L’Express. A raison : en un an, le laboratoire a déjà signé quelques prouesses, dont la plus importante est sans conteste Moshi. Le chatbot vocal, dont une démo a été dévoilée en juillet et le code source publié en septembre, est impressionnant de rapidité.
Un acteur européen face à OpenAI
Dès le départ, Kyutai a cherché à révolutionner le domaine des assistants vocaux tristement connus jusque-là pour leur lenteur et leur rigidité verbale. "Quand ChatGPT est sorti, cela nous a tous impressionné de pouvoir parler à une IA.
lire la suite (réservé aux abonnés : https://www.lexpress.fr/economie/high-tech/kyutai-le-surdoue-francais-de-lia-qui-reve-de-concurrencer-openai-B7KQN6UV4BCYVD22X5Z43G44XM/
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Des agents : C’est quoi ces « encore plus puissantes que CHATGPT », attendues pour 2025 ?
Kesso Diallo
Publié le 23 novembre 2024
Plusieurs entreprises du secteur, notamment Google et OpenAI, travaillent sur des projets "d'agents IA", afin de proposer aux utilisateurs des IA capables de réaliser des tâches en leur nom.
Des IA plus intelligentes que ChatGPT dès 2025. L’année prochaine, plusieurs entreprises du secteur pourraient dévoiler un nouveau type d’intelligence artificielle que l’on appelle des "agents". Google, Anthropic, Microsoft et OpenAI travaillent actuellement sur de tels projets visant à aller plus loin qu’un chatbot capable de répondre à des questions.
"Ce qu’on entend par 'agent', c’est l’idée de ne pas juste avoir une IA qui répond à nos questions, mais une IA qui est capable d’être plus personnelle, qui est capable de prendre des actions pour nous, qui est capable d’anticiper nos besoins et qui est capable aussi de traiter des tâches bien plus complexes", a expliqué Romain Huet, directeur de l’expérience développeur chez OpenAI, auprès de Tech&Co.
Un pont entre ChatGPT et les agents
Après avoir lancé ChatGPT, qui a rencontré un succès fulgurant, ces agents sont la prochaine étape pour la société américaine. Capables de réaliser des tâches à la place des utilisateurs, ils sont destinés à être utiles dans la vie professionnelle comme personnelle. Ils pourraient par exemple parcourir le web à la place de l’internaute pour réserver un vol ou approuver les retours d’articles de clients dans une entreprise pour faire gagner du temps aux employés.
Lire la suite :
Lire la suite : https://webmail.viaduc.fr/?_task=mail&_mbox=ADCET%2FPablo%2FRP%20ADCET%20Novembre%202024
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Rencontres AGIR
Les Rencontres AGIR font la part belle à l’intelligence artificielle pour penser demain
actuia.com - par Pierre-yves Gerlat.
Publié le 22 novembre 2024,
Le 28 novembre 2024, la Gendarmerie Nationale organise à Station F, Paris, une nouvelle édition des Rencontres AGIR (Accompagnement pour la Gendarmerie en Innovation et Recherche), un événement incontournable pour explorer les synergies entre innovation technologique, intelligence artificielle et sécurité publique. Cet événement stratégique, inscrit dans le cadre du plan GEND 20-24, vise à renforcer la collaboration entre les acteurs publics, privés et académiques pour répondre aux défis contemporains et futurs de la sécurité.
Les Rencontres AGIR, initiées par la Gendarmerie nationale, visent à partager les besoins opérationnels pour permettre aux industriels de concevoir des solutions adaptées. Bien plus qu’un simple échange, cet événement a déjà généré plus de 2M€ de marchés avec des entreprises rencontrées lors des éditions précédentes. La 4ᵉ édition a pour objectifs de rassembler la communauté de l’innovation des administrations publiques, des entreprises et du monde de la recherche, tout en accélérant la capacité d’action des acteurs d’État. Un hackathon low tech, coorganisé avec l’Agence Innovation Défense et le programme Centurion, impliquera étudiants et futurs ingénieurs pour imaginer les solutions de demain.
Une mobilisation d’envergure
Identité numérique
AVIS D’EXPERT – Identité numérique : quelles tendances pour 2025 et au-delà ?
Publié le 19 novembre 2024
À l’aube de 2025, l’identité numérique s’apprête à connaître une évolution majeure en Europe. Le déploiement des portefeuilles d’identité numérique européens (EUDI), porté par le règlement eIDAS 2.0, vise à transformer en profondeur les démarches d’authentification traditionnelles.
Face aux défis émergents, notamment la menace de l’IA générative dans la fraude à l’identité, l’UE renforce son arsenal réglementaire, tandis que la blockchain s’impose comme une solution d’avenir. Cyril Patou, VP Sales France d’IDnow, un fournisseur de plateformes de vérification d’identité en Europe, dresse un état des lieux des grandes tendances qui façonneront notre identité numérique en 2025.
L’avènement des portefeuilles d’identité numérique se poursuit
Grâce au nouveau règlement eIDAS 2.0, le recours à l’identité numérique est sur le point de transformer radicalement la manière dont les citoyens européens stockent et partagent leurs documents d’identité. Selon Gartner, près de 500 millions d’utilisateurs de smartphones dans le monde disposeront d’un portefeuille d’identité numérique d’ici ) 2026, et parmi eux, les utilisateurs européens du portefeuille d’identité numérique européen, EUDI Wallet. Ce « EUDI Wallet » ne remplacera pas simplement les documents d’identité (carte d’identité, passeport…), mais s’imposera comme un véritable outil multifonctionnel qui permettra de conserver et envoyer une multitude de documents et d’informations
personnelles, allant du permis de conduire aux numéros fiscaux, en passant par les diplômes universitaires.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/avis-dexpert-identite-numerique-quelles-tendances-pour-2025-et-au-dela/
RGPD
75 % des sites web les plus visités aux États-Unis et en Europe ne sont pas conformes aux règles sur la protection de la vie privée et ne respectent pas le consentement explicite (opt-in) exigé par le RGPD
web.developpez.com - par Jade Emy
Publié le 19 novembre 2024
75 % des 100 sites web les plus visités aux États-Unis et en Europe ne sont pas conformes aux réglementations actuelles en matière de protection de la vie privée et ne respectent pas le consentement explicite (opt-in) exigé par le RGPD. Malgré l'augmentation des amendes pour atteinte à la vie privée des deux côtés de l'Atlantique, la plupart des sites web ne respectent pas les exigences en matière de consentement aux États-Unis ou en Europe.
Un nouveau rapport révèle que 75 % des 100 sites web les plus visités aux États-Unis et en Europe ne sont pas conformes aux réglementations actuelles en matière de protection de la vie privée. L'étude de Privado.ai, fournisseur de solutions de protection de la vie privée, montre qu'en dépit d'une application plus stricte de la législation sur la protection de la vie privée en Europe, un pourcentage surprenant de 74 % des sites web les plus visités ne respectent pas le consentement explicite (opt-in) exigé par le règlement général sur la protection des données (RGPD) de l'Europe.
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Aménagement numérique du territoire
Couverture numérique : pour les élus la priorité reste la fibre pour tous d'ici 2025
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Édition du vendredi 22 novembre 2024
A l'occasion du Forum sur la couverture numérique du territoire, les élus locaux ont fait entendre leurs inquiétudes alors qu'il reste quelques années pour opérer la bascule du cuivre vers la fibre.
Par Lucile Bonnin
L’arrivée de la fibre, l’arrêt de l’ADSL : ces chantiers ont bousculé au fil des années le quotidien des maires. Avoir une bonne connexion internet est aujourd’hui plus qu’essentiel. « Est-ce qu’on accepterait aujourd’hui que des citoyens soient sans eau courante ? » , interpelle dans la salle Mickael Audegond, maire de Wailly (62).
C’est donc sans surprise que les questions ont été nombreuses durant le Forum consacré à la couverture numérique du territoire au 106e Congrès des maires de France et des présidents d’intercommunalité, le 20 novembre. L’occasion de faire remonter « le ressenti des élus locaux sur le terrain pour nourrir la réflexion dans les échanges avec les partenaires des collectivités » , introduit Michel Sauvade, co-président de la commission numérique de l’AMF.
La priorité de la fibre pour tous
Cybersécurité
Une enquête ouverte après le piratage des comptes Telegram de plusieurs députés
Par B.A. avec AFP
Publié le 22 novembre 2024
Les services de sécurité informatique de l’Assemblée nationale ont alerté les élus sur le risque de compromission de comptes. L’Office anticybercriminalité a été saisi.
La section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert une enquête après que des comptes Telegram de députés auraient été piratés, a indiqué vendredi le parquet. Sollicité par l'AFP, le parquet a confirmé avoir saisi l'Office anticybercriminalité (Ofac).
Le site d'information Politico a révélé que les élus de l'Assemblée nationale ont reçu mercredi un e-mail de mise en garde de la part des services de sécurité informatique de l'Assemblée nationale, alertant sur des « compromissions de comptes » sur la messagerie instantanée.
à lire aussi Application Telegram : que cache le mystérieux Pavel Durov ?
Ces e-mails les prévenait que s'ils cliquaient sur un lien frauduleux et tapaient leur numéro de téléphone leur compte Telegram pouvait être piraté et utilisé pour envoyer « du contenu malveillant ».
Lire la suite : https://www.lepoint.fr/politique/une-enquete-ouverte-apres-le-piratage-des-comptes-telegram-de-plusieurs-deputes-22-11-2024-2576051_20.php
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Alertes pour la détection des menaces de rançongiciel
Publié le 15 novembre 2024
IBM Storage Insights Pro peut alerter sur les attaques potentielles de ransomware sur différents produits IBM Storage Virtualize et IBM Storage FlashSystem. Dans IBM Storage Insights Pro, ces attaques potentielles sont transformées en alertes sur lesquelles les utilisateurs peuvent agir ou qu'ils peuvent transmettre à d'autres outils pour traitement ultérieur.
Quel que soit le IBM Storage Virtualize produit, vous pouvez activer les alertes pour la détection des menaces de ransomware dans IBM Storage Insights Pro en suivant les étapes détaillées dans Activation et désactivation des alertes pour la détection des menaces de ransomware.
Une fois les alertes de ransomware activées et configurées dans IBM Storage Insights Pro, un courriel est envoyé aux adresses électroniques prédéterminées lorsqu'une alerte de menace de ransomware est déclenchée. L'e-mail contient des détails sur l'attaque potentielle du ransomware, y compris un lien vers l'alerte enregistrée dans IBM Storage Insights Pro > Ressources > Block Storage Systèmes > [dispositif spécifique] > Général > Alertes.
Pour les menaces détectées à l'aide de la technologie IBM FlashCore Module 4, ces alertes contiennent le texte " Ransomware Threat Detected. Dans les alertes liées aux autres types de technologie, elles contiennent le texte "Anomalie de charge de travail". Dans tous les cas, la présence d'une menace est mise en évidence dans l'interface graphique et le ou les volumes associés à cette menace sont marqués commeCompromised, ainsi que toutes les copies protégées qui sont prises par la suite.
Les utilisateurs peuvent accuser réception de l'alerte pour indiquer qu'ils ont commencé à gérer la menace. Pour que les utilisateurs effacent complètement l'alerte, ils doivent effacer les volumes associés à la menace. Cela signifie que les futures copies protégées de ce volume effacé seront considérées comme étant à l'abri de toute menace et ne seront pas marquées comme étant compromises.
Lire la suite : https://www.ibm.com/docs/fr/storage-insights?topic=pro-alerts-ransomware-threat-detection
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Cybersécurité : le sentiment d'être peu exposées aux risques perdure chez les collectivités
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Édition du jeudi 21 novembre 2024
Cybermalveillance.gouv.fr publie sa troisième étude sur la maturité cyber des collectivités à l'occasion du Congrès des maires. Elle met en lumière une prise en compte des risques cyber encore très insuffisante et des budgets dédiés à la sécurité informatique qui restent limités.
Le dispositif national Cybermalveillance.gouv.fr dévoile de nouveaux résultats à travers cette troisième étude menée sur les collectivités de moins de 25 000 habitants. Les communes de moins de 300 habitants représentent 38 % de cet échantillon. Par conséquent, dans la majorité de ces petites communes, la responsabilité informatique relève directement du maire et de son secrétariat.
Concrètement, les collectivités restent des cibles majeures pour les cybercriminels et ce peu importe leur taille. Cependant, la prise de conscience peine à se faire, notamment pour les plus petites communes et des freins à la mise en place d’un système de sécurité subsistent.
Une collectivité sur dix a été victime d’une cyberattaque en 2024
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77% des petites collectivités dépensent moins de 2000 euros par an pour leur sécurité informatique
usine-digitée.fr - par Yoann Bourgin
Publié le 19 novembre 2024
Plus de 1700 agents et élus travaillant dans des collectivités françaises de moins de 25 000 habitants ont été interrogés sur le rapport à la cybersécurité dans leur structure. Malgré la mise en place progressive de dispositifs de sécurité, les collectivités territoriales accusent un retard en matière de cyberprotection. En cause, un manque de budget et d'accompagnement, mais aussi une méconnaissance des enjeux.
45% : c'est la part des petites collectivités françaises ayant subi une cyberattaque au cours des 12 derniers mois sans en connaître la cause. Un chiffre qui ressort du troisième baromètre OpinionWay sur la maturité cyber des collectivités françaises, réalisé pour la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr auprès de 1700 élus et agents territoriaux de structures de moins de 25 000 habitants.
Les collectivités s'estiment en majorité bien protégées…
Au total, une collectivité sur dix a déclaré avoir été victime d'une cyberattaque depuis l'année dernière (20% pour les collectivités de plus de 5000 habitants). Des incidents de cybersécurité s'étant essentiellement produits suite à des campagnes de phishing (30%), en raison du téléchargement d'un virus (12%) ou après avoir consulté un site infecté (12%). Près de 4 collectivités sur 10 ont subi une interruption de l'activité et/ou du service après une cyberattaque, loin devant la destruction (15%) et le vol de données (12%). À noter que seulement 10% des répondants ont signalé des pertes financières, un chiffre deux fois moins élevé qu'en 2023.
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Usurpation d'identité en ligne : une menace croissante MAIS des solutions pour les entreprises et les particuliers
journaldunet.com - Chronique de Jessye Boyer Signaturit Group
L'usurpation d'identité en ligne est devenue l'un des fléaux majeurs de l'ère numérique.
Avec l'essor du digital et la transformation des interactions, les individus et les entreprises sont de plus en plus vulnérables aux cyberattaques, notamment celles impliquant le vol d'identité. En France, 34% (source PWC) des citoyens ont déjà été victimes de ce type de fraude, souvent sans même s'en rendre compte. Les conséquences sont multiples : pertes financières, détérioration de la réputation des entreprises, et impacts sur la vie privée des particuliers. Pourtant, des solutions existent pour se prémunir contre ces risques croissants. Il est essentiel de comprendre les mécanismes de l'usurpation d'identité et d'explorer les solutions technologiques qui peuvent y répondre efficacement.
Quels risques et conséquences pour ce phénomène en forte progression ?
Entre 2020 et 2021, les fraudes à l'identité en ligne ont bondi de 112% en France (source : PWC), un phénomène largement amplifié par la digitalisation accélérée des entreprises pendant la crise du Covid-19. À l’échelle mondiale, les pertes financières dues à l’usurpation d’identité pourraient atteindre 206 milliards de dollars d’ici 2025 (source : Juniper). L'absence de renforcement adéquat des systèmes de sécurité pendant cette période a ainsi offert aux fraudeurs des opportunités sans précédent.
Aujourd’hui, les cybercriminels utilisent des techniques de plus en plus variées pour voler des identités, parmi lesquelles figurent le vol de documents, la falsification de données et le « morphing », une technique permettant de combiner des images pour créer de fausses identités. Certains de ces documents sont même obtenus via des réseaux de vente spécialisés accessibles depuis le dark web.
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Cyberattaque : la moitié des collectivités n’en connait pas la cause
solutions-numeriques.com - p r Juliette Paoli
Publié le 19 novembre 2024
1 collectivité sur 10 déclare avoir été victime d’une ou de plusieurs cyberattaques au cours des 12 derniers mois selon une enquête de cybermalveillance.gouv.fr et d’OpinionWay.
L’hameçonnage reste la cause principale dans 30 % des cas. Arrivent en deuxième place le téléchargement d’un virus ainsi que la consultation d’un site infecté, tous deux à 12 %. La faille de sécurité prend la troisième place (10 %). Mais 45 % des collectivités attaquées n’en connaissent pas la cause.
En ce qui concerne les conséquence, les collectivités touchées ont principalement déploré :
- une interruption d’activité et de services (37 %)
- une destruction ou un vol de données (24 %)
- une perte financière (10 %)
- une atteinte à leur réputation (10%)
De façon générale, la considération des risques reste limitée, car les collectivités, et en particulier les plus petites, pensent ne pas être vulnérables.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/cyberattaque-la-moitie-des-collectivites-nen-connait-pas-la-cause/
Détection
Orange révolutionne la détection précoce sous-marine de séismes et tsunamis avec la technologie « Fiber Sensing »
universfreebox.com - Source Ouest France par Maxime Raby
Publié le 21 novembre 2024
Une nouvelle innovation d’Orange s’annonce très prometteuse. Grâce aux câbles sous-marins de fibre optique et l’IA, il va être possible de détecter des signes précurseurs d’un tsunami ou de mouvements sismiques mais aussi d’identifier très rapidement des ruptures et interférences sur ces infrastructures.
Orange a présenté cette semaine lors de l’European Cyber Week à Rennes, une innovation prometteuse dans le domaine des câbles sous-marins : la technologie Fiber Sensing. Associant fibre optique et intelligence artificielle, cette avancée ouvre de nouvelles perspectives pour la surveillance des fonds marins et la détection précoce de phénomènes naturels ou d’anomalies humaines.
Concrètement, la Fiber Sensing repose sur un principe simple mais ingénieux : les impuretés présentes dans une fibre optique renvoient des échos lorsqu’un signal y circule. En analysant ces échos via l’intelligence artificielle, il devient possible de détecter des événements proches des câbles, comme un séisme sous-marin, un glissement de terrain, ou encore la présence d’animaux marins.
Cependant, la portée de cette technologie reste limitée : elle est actuellement fonctionnelle jusqu’à environ 80 kilomètres des côtes, soit la distance moyenne où se trouvent les répéteurs des câbles. Cela couvre les eaux territoriales et une partie des zones économiques exclusives.
Atos
Salon des Maires et des collectivités locales 2024 : la Software République lance la commercialisation de son concept « U1st Vision », une première dans les services mobiles centrés sur le citoyen et sur la santé, avec des premières livraisons prévues fin 2025
mots.net - Communiqué
Publié le 21 novembre 2024
Salon des Maires et des collectivités locales, Paris, France – 19 novembre 2024
La Software République, un écosystème d’innovation ouverte pour une mobilité intelligente, sécurisée et durable, dévoile aujourd’hui le concept « U1st Vision » (You First Vision). Ce démonstrateur technologique innovant met en scène sa vision de services « plus proches du citoyen », en lui offrant un accès facilité à une gamme de services de proximité variés, personnalisés et sécurisés.
Le démonstrateur « U1st Vision » est composé de 2 parties : un module autonome multiservices (« pop-up »), sur une plateforme de véhicule utilitaire électrique (FlexEVan), qui rassemble les innovations des 7 membres de la Software République et de ses partenaires impliqués sur ce concept.
Le cas d’usage « Health Pop-up »
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ATOS : Contrat pour un supercalculateur en Finlande
mercredi 20 novembre 2024 à 09h18
(CercleFinance.com) - Atos annonce un contrat cadre d'un montant allant jusqu'à 60 millions d'euros pour sa division Eviden, avec CSC - IT Center for Science en Finlande pour le développement de 'Roihu', le tout nouveau supercalculateur national de Finlande.
Grâce à Roihu, le CSC triplera la capacité de calcul des systèmes existants 'Mahti' et 'Puhti', et augmentera également de manière significative ses performances en l'intelligence artificielle', explique le groupe de services informatiques.
Construit à partir de sa plateforme hybride BullSequana XH3000, le nouveau système couvrira un large éventail de cas d'usage, notamment l'analyse d'enregistrements et les simulations telles que la dynamique des fluides ou encore la modélisation du climat.
Lire la suite : https://www.tradingsat.com/atos-FR0000051732/actualites/atos-atos-contrat-pour-un-supercalculateur-en-finlande-1127526.html
Thales
Thales présente GenAI4SOC, son IA générative pour accélérer la détection des cyberattaques
usine-digitale.fr par Alice Vitard
Publié le21 novembre 2024
Thales lance un nouvel outil dédié aux analystes en sécurité informatique. Alimenté par l’IA générative, GenAI4SOC leur propose une règle à appliquer, issue de la compréhension en langage naturel des rapports de renseignement de Thales. Le but : accélérer la détection des menaces et s’adapter aux évolutions extrêmement rapides du paysage cyber.
A l’occasion de la European Cyber Week qui se tient à Rennes du 19 au 21 novembre 2024, un événement dédié à la cybersécurité, Thales annonce le lancement d’une innovation dédiée aux SOC (Security Operations Center), le centre de gestion de la sécurité informatique qui veille à la surveillance, à la détection, à l'analyse et à la réponse aux incidents de sécurité.
Son petit nom : "GenAI4SOC". Développé par les équipes de cortAIx, l’accélérateur d’IA de Thales, il utilise l’apport de l’intelligence artificielle générative pour accélérer la détection des cybermenaces. Il repose sur "une base de connaissances de cybersécurité souveraine". Elle est alimentée par différentes sources de Thales (Cyber Threat Intelligence ou renseignement d’intérêt cyber, bibliothèque de règles de détection, veille de vulnérabilités), en particulier centrées sur les activités civiles critiques (finances, assurances, automobile, industrie, énergie), les activités de défense, aéronautiques et spatiales.
Industrialiser les règles de détection
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/thales-presente-genai4soc-son-ia-generative-pour-accelerer-la-detection-des-cyberattaques.N2222953
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Dans le sud de la France, la R&D de Thales prépare le passeport du futur
usinenouvelle.com - par Pauline Bandelier
Publié le 23 novembre 2024
Sur ses sites de Gémenos et de La Ciotat (Bouches-du-Rhône), Thales fabrique plusieurs centaines de millions de cartes bancaires et se prépare à un marché de plus en plus numérisé. Alors qu'un passeport dématérialisé doit voir le jour en 2026 en Europe, le groupe électronique français commercialise déjà des solutions d'identité comparables aux États-Unis et en Australie.
Comme les Américains du Queensland et de plusieurs États d'Outre-Atlantique, les Français pourraient bientôt se contenter de tendre leur smartphone pour justifier de leur identité. Ce «passeport électronique», qui doit voir le jour d'ici à 2026, selon un règlement européen, Thales, qui produit dans le berceau historique de la carte à puce à Gémenos (Bouches-du-Rhône), est prêt à le diffuser largement. Les cartes à puce du spécialiste de la sécurité permettent déjà d'intégrer son permis de conduire sur son téléphone. Pour le futur passeport, «la carte à puce du téléphone contiendra un élément intégré de vérification d'identité, une clé secrète. Pour les téléphones plus anciens, nous avons développé une solution 100 % logicielle, que nous faisons régulièrement tester par des hackeurs éthiques», détaille David Jencel, le chef produit documents numériques de Thales.
Lire la suite : https://www.usinenouvelle.com/article/dans-le-sud-de-la-france-la-r-d-de-thales-prepare-le-passeport-du-futur.N2220155
Mobilité
Tarif unique dans les transports en Ile-de-France : la réforme fin prête pour le 1er janvier
lesechos.fr - Par Denis Fainsilber
Publié le 12 novembre 2024
L'autorité régionale chargée des transports a adopté ce mardi le principe de la nouvelle tarification des métros, bus, RER et tramways, pour les usagers n'ayant pas de passe Navigo. Pour une majorité d'entre eux, les trajets occasionnels coûteront moins cher et seront plus lisibles.
La simplification des tarifs de transports en commun en Ile-de-France pour les usagers ne possédant pas de passe Navigo est désormais fin prête à entrer en vigueur, à compter du 1er janvier prochain. Le conseil d'administration d'IDFM, l'autorité organisatrice des transports régionale, a voté en faveur de cette vaste réforme tarifaire, dévoilée dans son principe à la mi-septembre.
« A partir du 1er janvier 2025, les voyageurs occasionnels n'auront plus que deux titres de transport pour leurs déplacements [soit métro-train-RER, soit bus ou tram, NDLR], une simplification majeure en comparaison aux 50.000 combinaisons tarifaires actuelles », indique IDFM. Ainsi l'usager qui veut se rendre par exemple d'Evry à Versailles, un trajet d'environ 40 km, acquittera un tarif unique de 2,50 euros par trajet, le même prix que pour un parcours de quelques stations seulement. Quant à la place dans un bus ou un tramway, elle est désormais fixée à 2 euros par trajet, y compris sur les bus longue distance régionaux.
Réduction de 20 %
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Strasbourg : la CTS va expérimenter la mesure de l’affluence en temps réel dans le tramway
bfmtv.com - par Mélanie Hennebique
Publié le 15 novembre 2024
Des capteurs sont installés à la station Etoile Bourse. Les voyageurs situés à la station suivante pourront voir en temps réel l'affluence du tramway avant qu'il n'arrive à quai.
Une toute nouvelle technologie est sur le point d'être expérimentée à Strasbourg. La Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) a annoncé dans un communiqué, ce vendred 15 novembre, le lancement d'un nouvel outil pour améliorer l'expérience des voyageurs.
La CTS s'est associée avec la start-up Affluences pour analyser en direct la fréquentation du tramway à la station Etoile Bourse, et ainsi rendre l'information "disponible en temps réel auprès de ses voyageurs à la station suivante Porte de l'Hôpital". Cette expérimentation durera six mois.
Un QR code pour identifier la bonne rame
En détail, un capteur "Tramway Scan" est installé au niveau du quai de la station Etoile Bourse en direction du centre-ville. Une caméra est connectée à un boîtier de comptage qui utilise l’IA pour scanner les rames et évaluer leur taux de charge à travers les fenêtres et portes vitrées.
Le comptage est ensuite transmis aux usagers par 4G sur une page internet dédiée. Il est doublement vérifié par un algorithme de la start-up Affluences et par des assesseurs humains de la CTS.
Lire la suite : https://www.bfmtv.com/alsace/strasbourg-la-cts-va-experimenter-la-mesure-de-l-affluence-en-temps-reel-dans-le-tramway_AN-202411151030.html
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Ligne 1 : le pilote automatique est mise en service dimanche !
lillemetropole.fr - par Info Métropole
Publié le 15 novembre 2024
Un pas décisif vers le doublement des rames de métro : le nouveau pilote automatique de la ligne 1 est mis en service ce dimanche.
Après des années d’attente et plusieurs périodes d’interruptions de service pour effectuer des tests rigoureux, cette étape cruciale marque un tournant dans le doublement attendu des rames de métro, qui culminera avec l’exploitation en rames de 52 mètres début 2026.
Un système plus moderne, plus réactif, plus performant
Le nouveau pilote automatique, conçu et développé par Alstom, offre des avancées technologiques significatives. Ce système intelligent permet :
Cette évolution est un prérequis essentiel au déploiement des rames de 52 mètres, qui doubleront la capacité de transport de la ligne 1 et faciliteront grandement la vie des usagers dès février 2026.
Un projet porté par un engagement collectif
Prochaines étapes vers 2026
Lire la suite : https://www.lillemetropole.fr/actualites/ligne-1-le-pilote-automatique-est-mise-en-service-dimanche
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Enquête : 12 500 habitants de la MEL seront interrogés sur leurs habitudes de déplacements
lavoixdunord.fr - par Patrick Seghi
Publié le 16 novembre 2024
La MEL lance une grande « enquête Mobilité 2024 ». Près de 12 500 habitants de la métropole de Lille seront contactés. Ce travail permettra de collecter de précieuses informations sur leurs trajets quotidiens afin « d’ajuster les actions en faveur d’une mobilité plus fluide et durable ».
« Ces données sont essentielles pour améliorer les infrastructures et les services de transport », souligne la Métropole européenne de Lille. - BAZIZ CHIBANE
Depuis le 13 novembre et jusqu’au 30 avril 2025, la Métropole européenne de Lille (MEL) organise une grande enquête « Mobilité 2024 » centrée sur les habitudes de déplacements des métropolitains. Une première depuis dix ans, dont les objectifs seront d’évaluer et de suivre l’évolution des pratiques de déplacements. « Ces données sont essentielles pour améliorer les infrastructures et les services de transport, tout en répondant aux enjeux écologiques et économiques de la mobilité du territoire », précisent les services de la MEL.
Réalisée en collaboration avec les communautés de communes de Flandres-Lys et de Pévèle-Carembault, cette enquête se doit de « fournir des éléments d’évaluation des politiques publiques ». Pour y parvenir, 12 500 habitants de la MEL, tirés au sort, seront contactés. Ces personnes seront interrogées entre novembre 2024 et avril 2025, soit en face-à-face avec un enquêteur (environ 9 500 personnes, dont 800 étudiants) ou par téléphone (environ 3 000 personnes). « Si vous faites partie des participants sélectionnés, vous serez contacté par la société Alyce, mandatée pour réaliser les entretiens. Vous pourriez recevoir un courrier ou un appel téléphonique de cette société. Nous vous encourageons à y répondre. » , précise la MEL.
Lire la suite : https://www.lavoixdunord.fr/1523459/article/2024-11-16/enquete-12-500-habitants-de-la-mel-seront-interroges-sur-leurs-habitudes-de
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La France franchit la barre des 15 000 point de recharge.
vipères.net - Publié par Pascal Coutance
Publié le15 Novembre 2024
Avec 150 052 points de recharge de véhicules électriques ouverts au public fin octobre 2024, le territoire français compte aujourd’hui en moyenne 223 points de recharge pour 100 000 habitants.
Selon le dernier Baromètre national des infrastructures de recharge ouvertes au public publié cette semaine par Avere-France, l’Association nationale pour le développement de la mobilité électrique, la France a dépassé le 31 octobre dernier la barre symbolique des 150 000 points de recharge pour véhicules électriques ouverts au public.
Avec 150 052 points de recharge publics installés à cette date, notre territoire en compte ainsi 35% de plus qu’il y a un an, trois fois plus qu’en 2021 (53 667) et cinq fois plus qu’en 2020 (32 736). Depuis le début de l’année, c’est 32 053 nouveaux points de recharge ouverts au public, qui ont été déployés sur le territoire. Ce faisant, la France compte aujourd’hui en moyenne 223 points de recharge pour 100 000 habitants.
Lire la suite : https://vipress.net/la-france-franchit-la-barre-des-150-000-points-de-recharge/
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On a testé pour vous le transport à la demande
Publié le 12 novembre 2024
Le Transport à la Demande (TAD) de Coulommiers est une solution de mobilité souple qui permet de se déplacer facilement dans la ville. Avec un système de réservation, il offre la possibilité de rejoindre de nombreux points d’arrêt du lundi au vendredi, de 7h30 à 12h et de 13h à 18h, le samedi de 9h à 12h et de 13h à 17h.
Habitant au quartier des Templiers, je voulais me rendre au centre-ville pour faire des achats. Pour réserver mon trajet, je me suis connecté à l’application « TAD Île-de-France Mobilités ». J’aurais également pu faire ma réservation sur le site tad.idfmobilites.fr ou en appelant le 09 70 80 96 63. Après avoir créé un compte gratuitement, j’ai indiqué ma destination, Gambetta et mon point de départ, la cité scolaire.
Le TAD dispose de points d’arrêts dédiés, différents de ceux desservis par les lignes de bus A et B. Grâce à l’application et au site internet, je peux indiquer ma position pour qu’ils me proposent l’arrêt le plus proche. J’ai mentionné la date et l’heure souhaitées pour mon trajet ainsi que le nombre de passagers. Il est possible de réserver son TAD jusqu’à 30 jours à l’avance, mais aussi au moins une heure avant le départ.
Choix du créneau horaire
Lire la suite : https://www.coulommiers.fr/actualites/on-a-teste-pour-vous-le-transport-a-la-demande/
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Les propositions de réforme de l’ECF pour une mobilité plus sûre
permismag.com - par La rédaction de PermisMag -
Publié le 12 novembre 2024
Dans un contexte où la sécurité routière et l’accessibilité à la mobilité sont devenues des priorités, le groupe ECF (École de Conduite Française) a proposé – lors de son dernier congrès annuel à Split (Croatie) – plusieurs pistes de réformes visant à transformer l’apprentissage et l’adaptation à la conduite. Ces initiatives couvrent plusieurs aspects de la formation à la conduite, de l’accompagnement des jeunes aux besoins des seniors, en passant par une évaluation plus rigoureuse des compétences.
1. Abaisser l’âge de l’AAC à 14 ans : un accès anticipé à la mobilité
L’ECF propose de permettre aux jeunes de commencer l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC) dès 14 ans, considérant cet âge comme un « carrefour de toutes les mobilités ». À cet âge, les jeunes acquièrent les bases de l’autonomie et sont déjà exposés à différents modes de transport. Cette initiative viserait à leur permettre d’intégrer progressivement les bonnes pratiques et les règles de sécurité en matière de conduite, à travers une formation étalée sur plusieurs années.
L’avantage de cette approche réside dans la période prolongée de pratique, qui renforcerait la confiance et les réflexes des jeunes. Ils auraient trois ans de conduite accompagnée jusqu’à 17 ans, âge auquel ils pourraient passer leur permis de conduire. Cela offrirait une expérience de conduite étendue, permettant aux jeunes de faire face à une plus grande variété de situations et d’apprendre à gérer les risques de manière responsable. Une modification du Code de la route serait nécessaire pour abaisser officiellement l’âge d’entrée en AAC.
2. Évaluation finale de formation : un bilan obligatoire pour plus d’efficacité
Lire la suite : https://www.permismag.com/les-propositions-de-reforme-de-lecf-pour-une-mobilite-plus-sure/
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Mobilité H2 : deux nouveaux dispositifs pour soutenir le déploiement en Région Occitanie
agence-adocc.com - Communiqué
Publié le 13 novembre 2024
Le Conseil Régional d’Occitanie a adopté deux dispositifs de soutien le 18 octobre 2024, pour aider les entreprises, collectivités et acteurs du secteur hydrogène à répondre aux enjeux de la mobilité et des infrastructures.
Dispositif d’aide pour la mobilité professionnelle terrestre et agricole hydrogène en Occitanie
Ce dispositif est à destination des usagers de mobilité hydrogène pour l’achat ou pour la location de véhicules terrestre. Le montant maximum d’aide est plafonné à 300 000 € par bénéficiaire il est ouvert jusqu’au 31/12/2025 avec une enveloppe totale de 2 M€
AMI « Densification du maillage de station H2 en Occitanie »
Cet AMI ouvert jusqu’au 30/05/2025 a pour objectif d’identifier des projets d’infrastructures d’avitaillement en hydrogène sur des zones stratégiques ou pertinentes sur le territoire occitan qui viendront compléter le premier maillage initié par le projet « Corridor H2 Occitanie ». Les stations devront répondre aux critères de l’AFIR à savoir :
Lire la suite : https://www.agence-adocc.com/actualites/mobilite-h2-deux-nouveaux-dispositifs-pour-soutenir-le-deploiement-en-region-occitanie/
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Dans cette ville, tout le monde peut désormais prendre un taxi sans chauffeur
news.dayfr.com - par sabilla International
Publié le 16 novembre 2024
Préparez-vous à vivre une expérience futuriste au cœur de la Cité des Anges. Waymo, pionnier des véhicules autonomes, vient de franchir une étape majeure en ouvrant son service de taxi sans conducteur au grand public à Los Angeles. Cette avancée technologique promet de transformer radicalement nos déplacements urbains.
Un déploiement progressif mais prometteur
Depuis mardi, tout résident ou visiteur de Los Angeles peut désormais commander un taxi Waymo entièrement autonome via l’application Waymo One. Fini le temps d’attente sur la liste d’approbation, l’aventure est désormais accessible à tous. Los Angeles rejoint ainsi San Francisco et Phoenix dans le club très fermé des villes où Waymo opère ses services de robotaxis.
N’espérez cependant pas pouvoir explorer tous les recoins de la vaste métropole californienne. La zone de couverture actuelle s’étend de Marina Del Rey et Playa Vista au sud, jusqu’à Santa Monica et West Hollywood au nord et Little Tokyo à l’est. Les quartiers populaires comme Silver Lake, Echo Park et Brentwood restent pour le moment hors de portée. De même, les zones à fort trafic comme le Sunset Strip ou l’aéroport international de LAX ne sont pas encore desservies. Il faudra probablement un certain temps avant que les systèmes autonomes soient capables de gérer le chaos d’un aéroport très fréquenté comme LAX.
Une expérience utilisateur révolutionnaire
Lire la suite : https://news.dayfr.com/entreprise/3944405.html
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Les mobilités dans une stratégie territoriale énergie-climat - Retour sur le rendez-vous mobilités du 28 mars 2024
cerema.fr - Communiqué
Publié le 12 novembre 2024
Cet article fait partie du dossier : Les Rendez-vous Mobilités du Cerema
Voir les 55 actualités liées à ce dossier
Dans le cadre des Rendez-vous mobilité, conférences en ligne qu’il organise quinze à vingt fois par an depuis le début 2021, le Cerema avait choisi pour sujet, le 28 mars 2024, "Stratégie territoriale énergie-climat : le rôle clé des mobilités durables".
Stéphane Chanut, directeur du département Mobilités, Espaces Publics et Sécurité au Cerema Territoires et Ville, et responsable du domaine Mobilités pour le Cerema, a accueilli les participants en rappelant le rendez-vous organisé un an auparavant sur le thème de la décarbonation des mobilités quotidiennes. Viser la neutralité carbone en 2050 constitue en effet une ambition très forte pour ce secteur premier émetteur de gaz à effet de serre en France.
Le Cerema propose d’élargir encore la problématique en évoquant la place que peuvent occuper ces mobilités dans la stratégie énergie-climat des territoires. Notre secteur d’activité, le seul à ne pas avoir vraiment diminué ses émissions depuis 1990, est en effet en première ligne dans les efforts à fournir pour respecter, au plan national comme au plan local, la trajectoire bas carbone sur laquelle notre pays s’est engagé. Il importe donc de se mobiliser à tous les niveaux pour atténuer le changement climatique et s’y adapter, en agissant directement en matière de mobilités, et en replaçant cette action dans le cadre de stratégies territoriales globales.
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/mobilites-strategie-territoriale-energie-climat-retour
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Dans les Hauts-de-France, la mobilité médiocre peut tirer l’emploi vers le bas
Les apprentis d'Auteuil ont sorti un baromètre.
evasionfm.com - par Nicolas Chacun - Vincent Frémeaux
Publié le 15 novembre 2024
Pas moins de 81% des 18-25 ans interrogés dans les Hauts-de-France ont dû renoncer à un emploi ou une formation en raison d'une difficulté à se déplacer. C'est le triste bilan de la fondation des apprentis d'Auteuil dans son 5ème baromètre annuel publié hier. Ce taux atteint même 87% chez les NEETS, les jeune sans emploi, études ou formation. La fondation rappelle que des aides existent dans l'Oise, notamment des dispositifs de remobilisation des jeunes en rupture à Beauvais, Méru et Crépy-en-Valois.
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Morphing Wheel, la roue qui épouse la forme des obstacles
mobilité-verte.com - par
Publié le 16 novembre 2024
Des chercheurs sud-coréens de l'institut KIMM (Korea Institute of Machinery & Materials) ont développé une roue novatrice, baptisée Morphing Wheel, capable d’épouser automatiquement le relief du terrain. Ce concept pourrait s’appliquer à différents véhicules, des fauteuils roulants aux robots, et même aux vélos et scooters électriques.
Légende : Une roue qui épouse la forme des obstacles © Valentin Lebrun / Mobilité Verte
Le prototype de la Morphing Wheel © Institut KIMM
La Morphing Wheel repousse les limites des roues traditionnelles grâce à une structure dite de chaîne flexible, composée de blocs flexibles stabilisés par des rayons en Kevlar. La longueur des rayons s’ajuste automatiquement pour que la roue change de forme et absorbe les irrégularités du sol. Conçue pour franchir des obstacles comme des pierres, voire des marches, elle pourrait rendre certains véhicules bien plus performants sur des terrains accidentés. Cette capacité d'adaptation est particulièrement prometteuse pour les véhicules électriques “lents” et légers, ouvrant la voie à de nouvelles applications en dehors des routes pavées.
Un prototype ambitieux, encore en développement
Identité
Carte vitale : elle sera bientôt intégrée à un dispositif numérique sur votre téléphone
Carte vitale : elle sera bientôt intégrée à un dispositif numérique sur votre téléphone
En 2025, la carte vitale pourrait devenir une véritable arme contre la fraude. Le gouvernement veut l'intégrer à un dispositif disponible sur votre téléphone. Mais cela requiert quelques notions en informatique. On vous explique.
Une changement important souhaité par Michel Barnier pour 2025. Pour lutter contre la fraude, le Premier ministre a annoncé auprès de La Tribune, vouloir "sécuriser les cartes vitales en les adossant aux cartes d'identités numériques". Qu'est-ce que cela signifie véritablement ?
La carte vitale prochainement intégrée à France Identité ?
L'application France Identité, permettant d'avoir accès à sa carte nationale d'identité depuis son smartphone, se verra bientôt agrémentée par l'ajout de la carte vitale virtuelle. Selon le site officiel France-identité.gouv, l'application donne "la possibilité de transmettre vos données d'identité", dans de multiples situations : "pour prouver votre âge" en cas de contrôle ou encore pour "récupérer un colis" nécessitant de prouver votre identité.
Lire la suite : https://www.planet.fr/societe-carte-vitale-elle-sera-bientot-integree-a-un-dispositif-numerique-sur-votre-telephone.2973637.29336.html
Intelligence artificielle
L’IA générative va-t-elle compliquer encore davantage l'accès à des emplois de qualité ?
worldbank.org - par Yan Liu et Christine Quiang
Publié le 01 novembre 2024
Le chômage et le sous-emploi frappent de plus en plus de jeunes dans le monde entier, et parmi eux en particulier les diplômés universitaires. Les jeunes sont de plus en plus nombreux à faire des études supérieures : les taux d’inscription dans les universités ont été multipliés par trois dans les dernières décennies, pour passer de 14 % en 1990 à 42 % en 2022. C'est le résultat de longues années d’investissement de la part des familles, portées par des aspirations de carrière dans des domaines nécessitant des compétences et des connaissances pointues, du droit à la diplomatie, en passant par la banque et l’ingénierie. Hélas, pour de nombreux jeunes, ces ambitions ne se sont pas concrétisées. En 2023, un jeune sur cinq dans le monde n’était ni en emploi, ni en études, ni en formation, les femmes représentant les deux tiers de ces jeunes sans activité (a). Aux États-Unis, plus de la moitié des fraîchement diplômés occupent des emplois qui ne nécessitent pas de diplôme universitaire (a).
Mais c’est surtout dans les économies en développement que le manque d’emplois en « col blanc », productifs et stables, est particulièrement aigu. Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire inférieur, plus d’un cinquième des moins de 30 ans titulaires d’un diplôme d’études supérieures sont au chômage, soit un taux bien supérieur à celui observé chez les personnes ayant un niveau d'éducation de base (a). En Afrique subsaharienne, près de trois jeunes adultes sur quatre âgés de 25 à 29 ans exercent une activité précaire, soit qu’ils travaillent pour leur compte, soit qu’ils occupent des emplois temporaires (a). Dans le monde arabe et en Afrique du Nord, un jeune actif sur trois est au chômage (a). La Chine a également connu ces dernières années une hausse significative de son taux de chômage officiel chez les jeunes, qui dépassait 20 % en juin 2023.
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Pourquoi Guillaume Kasbarian veut doper l’administration française à l’intelligence artificielle.
bfmtv.com - par Matthieu Belliard
Publié le 12 novembre 2024
Pour Guillaume Kasbarian, ministre de la Fonction publique, de la Simplification et de la Transformation de l’action publique, l’intelligence artificielle doit aider à améliorer l’efficacité du travail administratif.
Le ministre de la Fonction publique, Guillaume Kasbarian, veut doper l’administration française à l’intelligence artificielle. Il est aussi ministre de la Simplification, c’est lié. Changer la Fonction publique avec l’IA, dépoussiérer, et faire des économies aussi, il faut bien le dire. Il s’exprimait dans une conférence aux Rencontres de l’Avenir de Saint-Raphaël. Le ministre parle de "débureaucratisation à tous les étages", "pour améliorer la qualité de vie des agents".
Concrètement, pour la police, la justice, l’hôpital, il s’agirait de faciliter la prise de dépôts de plaintes par les forces de l’ordre avec une IA qui retranscrirait les témoignages, de résumer de gros dossiers judiciaires en quelques minutes, ou encore de faciliter le partage de dossiers médicaux. Il faut dire que les hôpitaux se passent encore des dossiers… par fax! Et apparemment, c’est une bonne chose. Le fax a une valeur juridique. Il est encore utilisé à l’hôpital donc, mais aussi dans le juridique, la finance, l’immobilier… Aucun piratage n’est possible, sa confidentialité est éprouvée. Ce qui présente des garanties de sécurité. L’enjeu de sécurité qui se pose si souvent avec le numérique aujourd’hui.
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IA et avenir du service public : le Sénat appelle à un cadre d’usage pour l’IA dans le système éducatif
actuia.com - par Marie-Claude Benoit.
Publié le 12 novembre 2024
Pour la délégation sénatoriale à la prospective, tous les secteurs d’activité seront bouleversés par l’IA générative et le secteur public n’y fera pas exception. “IA et éducation”, est l’une des cinq thématiques de son programme de travail 2024, “L’intelligence artificielle et l’avenir du service public”. Pour les rapporteurs, il ne s’agit plus de décider si l’IA doit être intégrée dans l’éducation, elle y a déjà fait irruption, mais de savoir comment accompagner son développement et répondre aux défis qu’elle pose.
La thématique “IA et éducation” a été confiée à Bernard Fialaire (RDSE, Rhône) et Christian Bruyen (LR, Marne). Ils soulignent dans le rapport qu’ils ont présenté le 30 octobre dernier, le potentiel de l’IA pour l’accès au savoir et les apprentissages mais également le besoin de lignes directrices claires.
Les sénateurs écrivent :
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Tous les outils IA à vie dans un seul logiciel et pour seulement 40€, c'est l'offre irrésistible à ne pas manquer
clubs.com - Par Clubic Bons Plans, expert bons plans.
Publié le 10 novembre 2024
Le nombre de solutions d'intelligence artificielle explose, et 1minAl vous permet de les réunir dans une seule interface. Cette promotion vous permet de profiter de tous ces services dans une seule app, et ce, à vie !
L'intelligence artificielle est le sujet brulant du moment sur la planète tech, et bien au-delà. L'IA est en train de transformer nos usages de l'informatique, que ce soit au travail pour simplifier des tâches répétitives (et bien souvent rébarbatives), mais aussi dans son quotidien pour réécrire ou rédiger un texte, ou encore créer des images de toutes pièces. De nombreuses sociétés, comme OpenAI avec ChatGPT ou encore Google avec Gemini, sans oublier Meta ou Mistral, se sont emparées des modèles de langage pour proposer leurs propres technologies. 1minAI est un logiciel qui vous permet de regrouper tous ces services en une seule interface afin de faciliter la réalisation de vos projets, et de gagner un temps précieux chaque jour.
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Intelligence artificielle : des robots qui débarrassent la table, font la lessive et plient le linge !
Publié le mardi 12 novembre 2024
La start-up Physical Intelligence travaille sur des robots capables d'une rare dextérité grâce à l'intelligence artificielle. Ils pourraient bientôt nous libérer des tâches ménagères.
Avouez qu’on vit une drôle d’époque. Avec les progrès de l’intelligence artificielle, on a aujourd’hui des machines capables d’écrire des poèmes, de battre n’importe qui aux échecs ou de passer avec brio les plus grands concours universitaires. Pourtant, nos robots aspirateurs sont toujours aussi stupides et passent leur temps à se cogner contre les meubles. On n’a toujours pas de machine capable, ne serait-ce que de trier un panier de linge par couleurs. Mais cela pourrait enfin changer.
**La start-up Physical Intelligence vient de présenter un nouveau modèle d’intelligence artificielle qui permet aux robots de mieux comprendre le monde réel et de s’y adapter. Pour schématiser, c’est une sorte de ChatGPT, mais qui au lieu de générer du texte, va générer des mouvements pour les robots. Et au lieu de manipuler des mots, va manipuler des objets. Donc on pourra lui demander : "débarrasse la table, mais laisse les verres". Il va comprendre et tout enlever, sauf les verres.
Vider le linge, plier les vêtements, débarrasser une table...
Numérique
Data centers, smartphones et consommation d’électricité : l’Ademe s’alarme sur le revers écologique
LINFO.RE – Par La rédaction
Publié le 10 novembre 2024
Smartphones, ordinateurs, objets connectés…, les équipements numériques envahissent nos foyers. Mais saviez-vous que cette avancée technologique a un coût environnemental élevé ?
’Agence de la transition écologique (Ademe) prévient sur les conséquences néfastes de ce secteur sur notre planète.
Des data centers énergivores
Notre quotidien est de plus en plus digitalisé. Les centres de données, véritables cerveaux du numérique, sont particulièrement gourmands en énergie. Selon l’Ademe, ils représentent à eux seuls 16 % de l’empreinte carbone du numérique en France. Cette consommation énergétique ne cesse d’augmenter en raison de l’essor de l’intelligence artificielle et du big data. À l’échelle mondiale, l’Agence internationale de l’énergie prévoit un doublement de la consommation électrique liée aux data centers d’ici 2026.
Lire la suite : https://www.linfo.re/france/societe/data-centers-smartphones-et-consommation-d-electricite-l-ademe-s-alarme-sur-le-revers-ecologique
Désinformation
Les enfants sont plus exposés aux risques d’abus et d’exploitation sexuels à travers les nouvelles technologies
© UNICEF/Ueslei Marcel
Publié le 11 octobre 2024, Droit et prévention du crime
Les abus sexuels et l’exploitation des enfants se sont intensifiés dans l’environnement numérique, avec plus de 300 millions d’enfants victimes chaque année d’abus sexuels et d’exploitation en ligne, a alerté vendredi une Experte indépendante des Nations Unies.
Dans un rapport présenté à l’Assemblée générale de l’ONU, la Rapporteure spéciale sur la vente, l’exploitation et les abus sexuels concernant des enfants explique comment l’utilisation abusive des technologies existantes et émergentes exacerbe et amplifie l’exposition des enfants aux risques, aux préjudices et aux diverses formes d’exploitation et d’abus sexuels.
Les technologies existantes sont utilisées à « mauvais escient pour harceler sexuellement, prendre et partager des images et des vidéos non consensuelles, produire du matériel pédopornographique, extorquer sexuellement des enfants et diffuser en direct des images d’abus sexuels sur des enfants».
L’impact des 'deepfakes' et de l’intelligence artificielle
« Les technologies offrent un large éventail de possibilités de protéger et de faire respecter les droits de l’enfant, mais leurs capacités rapides, évolutives et sans précédent présentent des risques importants pour les enfants et les exposent à des préjudices », a déclaré Mama Fatima Singhateh.
A l’instar des technologies émergentes, telles que « les deepfakes, la nudité, le dé-vieillissement, l’intelligence artificielle, le partage de fichiers peer-to-peer intégré et le clonage vocal », qui selon l’experte « amplifient et étendent les méthodes existantes d’exploitation des enfants et de production de matériel pédo-pornographique ».
Lire la suite : https://news.un.org/fr/story/2024/10/1149661
Réseaux Sociaux
Meta sanctionné d’une amende 798 millions d’euros par la Commission européenne pour avoir enfreint les règles de la concurrence
lemonde.fr - par Le Monde avec AFP
Publié le 14 novembre 2024
La Commission affirme que Facebook a abusé de sa position dominante. Meta a annoncé son intention de faire appel.
La Commission européenne a annoncé, jeudi 14 novembre, avoir infligé une amende de 798 millions d’euros à Meta pour avoir enfreint les règles de la concurrence en liant son service d’annonces publicitaires en ligne, Facebook Marketplace, à son réseau social Facebook.
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Cybersécurité
Cyberattaques, deepfake... comment les gendarmes s'emparent de l'IA pour mieux cerner et anticiper les enjeux futurs
france3-regions-francetvinfo.fr - par Catherine Munsch
Publié le 13 novembre 2024
L'IA ou intelligence artificielle évolue rapidement et dans tous les domaines de nos vies. Institutions, entreprises, collectivités, particuliers, tout le monde est concerné. La gendarmerie nationale a tenu un grand forum le mardi 5 novembre, pour sensibiliser les professionnels aux cyberattaques, deep fake et autres arnaques de plus en plus sophistiquées.
Depuis le début des années 2000, la gendarmerie s’intéresse aux questions d’intelligence artificielle, mais face aux risques grandissants, elle a dû renforcer ses moyens et aller beaucoup plus loin. La 17ᵉ édition du Forum du Rhin supérieur, organisé le 5 novembre 2024, était l'occasion de faire un point de situation.
"Nos futurs responsables doivent devenir des experts. On a besoin d’utiliser l’IA parce qu’elle détecte et anticipe plus vite les menaces que l’humain”, affirme le Général Perrot, fondateur de la chaire IA Sécurité à la Gendarmerie nationale.
"On travaille avec le monde de la recherche, pour être en avance et bien sûr pour les attaques criminelles, on travaille en riposte. On développe des outils pour détecter les failles dans les systèmes d’information. On a créé un outil pour détecter les images pédopornographiques, on a travaillé sur un outil de détection des deep fake, ces hypertrucages, que ce soit pour l’image, l'audio ou même le texte, parce qu'aujourd'hui, il est de plus en plus difficile d’avoir confiance dans l’information."
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Des cybercriminels exploitent l’identité d’OpenAI pour mener des attaques d’hameçonnage
itsocial.fr - par Mourad Krim
Publié le 15 novembre 2024
Les chercheurs de Barracuda ont récemment identifié une campagne d’usurpation d’identité de grande envergure, ciblant des entreprises du monde entier. Cette attaque, particulièrement préoccupante, repose sur l’utilisation de l’intelligence artificielle générative pour en accroître l’impact.
En exploitant l’image de confiance associée à OpenAI, les cybercriminels diffusent des courriels frauduleux prétendument urgents. Ces messages incitent les destinataires à mettre à jour leurs informations de paiement pour soi-disant régulariser un abonnement. Ce procédé classique vise à obtenir des informations sensibles tout en exploitant le sentiment d’urgence.
Les investigations ont révélé que cette campagne avait touché plus de 1 000 victimes potentielles. Les courriels frauduleux provenaient tous de la même adresse, info@mta.topmarinelogistics.com , un domaine n’ayant aucun lien avec OpenAI. Malgré une sophistication technique limitée, les cybercriminels ont réussi à contourner certains mécanismes de protection. Les messages ont en effet passé avec succès les contrôles DKIM (DomainKeys Identified Mail) et SPF (Sender Policy Framework), les deux protocoles de sécurisation des courriels, conçus pour lutter contre l’usurpation d’identité et les courriels frauduleux comme l’hameçonnage.
Poussés à agir dans l’urgence
Lire la suite : https://itsocial.fr/cybersecurite/cybersecurite-actualites/des-cybercriminels-exploitent-lidentite-dopenai-pour-mener-des-attaques-dhameconnage/
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Atlas de la cybercriminalité : un effort collaboratif contre les cybermenaces mondiales
Binance News - Communiqué
Publié le 14 novembre 2024
Résumé de l’IA
Le blog Binance a publié un nouvel article mettant en avant l'initiative collaborative connue sous le nom de Cybercrime Atlas, qui vise à perturber l'écosystème mondial de la cybercriminalité grâce à des renseignements open source et à des partenariats intersectoriels. Cette initiative, hébergée par le Forum économique mondial, vise à renforcer les efforts d'atténuation des menaces en unissant les entreprises privées, les forces de l'ordre et les décideurs politiques. Binance, ainsi que d'autres acteurs clés, contribuent activement à l'identification des vulnérabilités et à la promotion d'une approche unifiée pour lutter contre les cybermenaces au niveau systémique.
Malgré l’abondance des données sur les cybermenaces, les efforts mondiaux pour lutter contre la cybercriminalité ont souvent été fragmentés. L’Atlas de la cybercriminalité aborde ce problème en réunissant des experts de divers domaines, notamment la cybersécurité, les services financiers et les technologies de l’information, pour créer une carte complète de l’écosystème de la cybercriminalité. Lancée en janvier 2023, l’initiative implique actuellement 23 organisations de premier plan du secteur privé qui élaborent des stratégies d’atténuation des menaces. Binance a été un participant essentiel dès le début, en participant à des sessions hebdomadaires de recherche de menaces qui utilisent des renseignements open source pour analyser les menaces émergentes et coordonner les efforts de perturbation. En collaborant avec les forces de l’ordre et d’autres parties prenantes, l’Atlas améliore la compréhension des opérations cybercriminelles, permettant aux participants de prendre des mesures préventives significatives.
Lire la suite : https://www.binance.com/fr/square/post/11-14-2024-cybercrime-atlas-a-collaborative-effort-against-global-cyber-threats-16225162047553
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En 2022-2023, 86% des incidents de cybersécurité dans la santé ont touché des établissements hospitaliers (Anssi
Publié le 13 novembre 2024
PARIS (TICsanté) - L'Agence nationale de sécurité des systèmes d'information (Anssi) a publié le 7 novembre un rapport dressant un état de la menace informatique dans la santé, identifié comme critique en raison de l'importance de la continuité des soins et de la confidentialité des données, et soulignant qu'en 2022-2023, 86% des incidents de cybersécurité de ce secteur ont affecté des établissements de santé.
Sans surprise, le monde de la santé est particulièrement vulnérable aux attaques (rançongiciels, exfiltrations de données, usurpations d'identité…), avec des conséquences financières et opérationnelles sévères pour les organisations visées.
Il est soumis à régulation en matière de cybersécurité. En Europe, le règlement général sur la protection des données (RGPD), le Cyber Resilience Act et la directive NIS 2 (Network and Information Security) qui concernera plusieurs milliers d'établissements de santé, désignés comme des opérateurs de services essentiels (OSE), établissent des exigences en matière de sécurité et de notification des incidents. En France, le code de la santé publique impose lui aussi la sécurisation des données de santé ainsi que le signalement des incidents auprès des autorités.
lire la suite : https://www.ticsante.com/Story?id=7449
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Avancée historique en cybersécurité grâce à Google
lesaffaires.com - MARTIN BERTHIAUME
Publié le 11 novembre 2024
EXPERT INVITÉ. Les cybermenaces évoluent rapidement, mais une découverte importante par l’intelligence artificielle de Google change la donne pour la détection de vulnérabilités.
Avant d’aller plus loin dans l’histoire, voici quelques définitions importantes.
Une vulnérabilité est une faille dans un système ou logiciel pouvant être exploitée par des attaquants pour accéder ou endommager le système ou les données. Le terme «zéro-day» fait référence au fait qu’il y a eu « zéro jour » depuis la découverte de la vulnérabilité par les développeurs ou les équipes de sécurité du fabricant, donc aucun temps pour la corriger avant qu’elle puisse être exploitée. En d’autres termes, les attaquants peuvent l’exploiter immédiatement, car le développeur n’a pas encore eu la chance de créer un correctif.
Le 3 novembre, Google a annoncé une avancée historique dans la lutte contre ces menaces: son outil basé sur un modèle de langage avancé, nommé «Big Sleep», a découvert un «zéro-day» dans le moteur de base de données SQLite, une technologie «open source» très utilisée. Cette découverte a été rendue possible grâce à la collaboration entre DeepMind, l’entité de Google dédiée à l’intelligence artificielle, et Project Zero, une équipe de chercheurs en cybersécurité de Google.
Cette percée représente non seulement une étape importante dans la cybersécurité défensive, mais soulève également des préoccupations sérieuses quant à la manière dont les cybercriminels et les États peuvent également utiliser des outils similaires pour attaquer les infrastructures critiques. Dans cet article, nous explorerons en détail cette innovation, les avantages pour la cybersécurité et les enjeux d’une course à l’armement numérique alimentée par l’IA.
Une révolution dans la détection des vulnérabilités
Lire la suite : https://www.lesaffaires.com/dossiers/cybersecurite-miser-sur-lhumain/avancee-historique-en-cybersecurite-grace-a-google/
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Cybercriminalité. À Singapour, un contrôle des comptes bancaires pour lutter contre les escroqueries en ligne ?
Les cyberattaques deviennent un tel problème social que le gouvernement de Singapour a présenté, le 11 novembre, un projet de loi pour autoriser la police à bloquer les comptes bancaires des victimes. Ces dernières continuent souvent à verser des sommes importantes aux escrocs, malgré les avertissements.
L’ampleur des attaques de cybercriminels contre des ressortissants singapouriens est telle que les autorités de la cité-État souhaitent réagir avec vigueur, annonce The Straits Times.
Le quotidien officiel indique qu’un projet de loi présenté le 11 novembre vise à permettre à la police d’ordonner aux banques de limiter un certain nombre d’actions de leurs clients sur leurs comptes bancaires. Ils pourraient être interdits d’effectuer des transferts d’argent, d’utiliser les distributeurs, d’accéder au crédit et de faire des transactions au guichet.
“Singapour pourrait bientôt être le premier pays à donner à la police le pouvoir de contrôler les comptes bancaires des victimes d’escroqueries”, poursuit le journal.
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Interpol fait supprimer 22 000 IP malveillantes
solutions-numériques.com - par François Tonic
Publié le 12 novembre 2024
Interpol fait les choses en grand. Pour lutter contre la cybercriminalité, une des missions est d’identifier les serveurs et les IP malveillantes utilisés par les criminels. Plus de 30 000 adresses IP ont ainsi été répertoriées.
Sur l’ensemble des IP, plus de 22 000 ont été supprimées et 59 serveurs saisis et plusieurs dizaines de matériels divers. Interpol a pu agir en collaboration avec plusieurs éditeurs de sécurité dont Trend Micro ou encore Kaspersky. Ces derniers mois, ce sont plus de 1 000 serveurs qui ont été saisis dans différents pays.
« La nature mondiale de la cybercriminalité nécessite une réponse mondiale, comme en témoigne le soutien apporté par les pays membres à l’opération Synergia II. Ensemble, nous avons non seulement démantelé des infrastructures malveillantes, mais aussi empêché des centaines de milliers de victimes potentielles de tomber dans le piège de la cybercriminalité. Interpol est fier de rassembler une équipe diversifiée de pays membres pour lutter contre cette menace en constante évolution et rendre notre monde plus sûr » explique Neal Jetton, directeur du département Cybercriminalité d’Interpol.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/solutions-xdr-vectra-ai-lance-un-programme-a-destination-des-mssp/
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9e édition de l’European Cyber Week de Rennes : “La grande nouveauté, c’est l’IA de confiance et de défense”
solutions-numériques.com - par Arnaud Coustilliere, président du Pôle d'Excellence Cyber et responsable du Congrès European Cyber Week (ECW)
Publié le 14 novembre 2024
Entretien exclusif. Arnaud Coustillière, président du Pôle d’Excellence Cyber et responsable du Congrès European Cyber Week (ECW), qui se déroule du 18 au 21 novembre à Rennes, nous présente les enjeux actuels de la cybersécurité et les nouveautés à ne pas manquer.
Solutions numériques & cybersécurité – Quelles sont les nouveautés de l’ECW cette année ?
Arnaud Courtillière – La grande nouveauté dans le programme, c’est le renforcement de l’IA de confiance et de défense, et cela se traduit notamment par une demi journée supplémentaire. Le périmètre de l’ECW s’est toujours modifié en fonction des évolutions de la menace qui pèse sur le numérique, sous toutes ses formes. La désinformation est traitée depuis quelques années, par exemple, et notre second livre blanc sera présenté lors de cette édition.
“LE PÉRIMÈTRE DE L’ECW S’EST TOUJOURS MODIFIÉ EN FONCTION DES ÉVOLUTIONS DE LA MENACE QUI PÈSE SUR LE NUMÉRIQUE, SOUS TOUTES SES FORMES.”
L’IA n’est pas seulement abordée techniquement, bien que nous ayons des conférences extrêmement pointues sur le sujet, avec CAID (Conference on Artificial Intelligence for Defense) et ESSAI (European Symposium on Security and AI) conduites par la DGA. Nous avons également des sessions « Café de l’IA », « Ethique et IA » ou encore « IA et biais de genre »…
Chaque année, une part de plus en plus importante est accordée aux coopérations internationales. Les sessions Europe ont été amplifiées, la session Canada est reconduite pour la troisième fois et, surtout, cette année sera marquée par la venue de nombreuses délégations étrangères, à l’invitation du Comcyber et de l’armée de terre notamment.
“CETTE ANNÉE SERA MARQUÉE PAR LA VENUE DE NOMBREUSES DÉLÉGATIONS ÉTRANGÈRES.”
Pourquoi la cybermenace est-elle le risque numéro 1 ?
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/9e-edition-de-leuropean-cyber-week-de-rennes-la-grande-nouveaute-cest-lia-de-confiance-et-de-defense/
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Seulement 2 % des entreprises ont mis en œuvre un plan de résilience
itsocial.fr - par Serge Escalé -
Publié le 14 novembre 2024
Le coût moyen d'une fuite de données a atteint 3,3 millions de dollars en 2024. Les principaux enjeux en matière de cybersécurité, relevés par une enquête de PWC, sont dans l’ordre, la sécurité du cloud (42 %), la fuite de données (38 % dans le monde et 51 % pour la France), la sécurité des tierces parties (35 %).
En mai 2023, les données personnelles de salariés d’Amazon ont été exposées sur le darknet suite à une attaque visant MOVEit, un de ses fournisseurs de services. D’après plusieurs sources, près de 2800 organisations et des millions de personnes en subissent encore aujourd’hui les impacts. « il est impératif que les organisations évaluent attentivement la manière dont elles stockent et partagent leurs données, ainsi que les services tiers qui y ont accès, afin de réduire les risques et de protéger leurs actifs les plus sensibles.» prévient Scott Caveza, ingénieur de recherche chez Tenable.
Un constat que confirme l’étude annuelle et internationale de PWC qui a sondé plus de 4000 dirigeants d’entreprise dans 77 pays. Il montre la persistance des risques en matière de fuite des données.
Le graphique ci-dessous détaille notamment les menaces les plus préoccupantes. Noter que les préoccupations sur les alertes liées au cloud sont les plus élevées en France par rapport au reste du monde cependant que les fuites de données restent parmi les plus redoutées. Les attaques via les ransomwares sont considérées comme les risques les moins bien pris en compte et les moins préoccupants.
Une augmentation des budgets de sécurité mais cela ne suffit pas
Lire la suite : https://itsocial.fr/cybersecurite/cybersecurite-articles/seulement-2-des-entreprises-ont-mis-en-oeuvre-un-plan-de-resilience/
Thales
Lancement réussi du satellite de télécommunications Koreasat 6A
thalesaleniaspace.com - Communiqué
Publié le 12 novembre 2024
Cannes, le 12 novembre 2024 – Le satellite de télécommunications Koreasat 6A a été lancé avec succès hier à bord d’une fusée Falcon 9 de SpaceX, depuis la base de lancement de Cap Canaveral, en Floride.
Commandé en 2022 par KT SAT Corporation Ltd (KT SAT), opérateur national de télécommunications par satellite de la Corée du Sud, Koreasat 6A a été conçu et développé sous la maîtrise d’œuvre de Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %). Thales Alenia Space a assuré la conception, la fabrication, la campagne d’assemblage, d’intégration et de tests du satellite, ainsi que la supervision de sa campagne de lancement. L’entreprise est par ailleurs responsable de la mise à poste et des tests du satellite en orbite, et fournira une assistance opérationnelle pendant sa durée de vie initiale de 15 ans.
Basé sur la plateforme Spacebus 4000B2 de Thales Alenia Space, Koreasat 6A remplacera l’actuel satellite Koreasat 6. Il fournira des services fixes (FSS) et de radiodiffusion par satellite (BSS) à la Corée du Sud depuis son orbite géostationnaire, positionnée à 116° Est.
Koreasat 6A jouera également un rôle clé dans l’amélioration de la précision et de la fiabilité de la localisation apportée par le système navigation par satellite KASS (Korea Augmentation Satellite System) grâce à l’emport d’une charge utile SBAS (Satellite-Based Augmentation System) additionnelle. Comparable au système européen EGNOS, KASS a été développé par Thales Alenia Space en partenariat avec l’Agence spatiale coréenne KARI. Le système de navigation par satellite coréen est par ailleurs entré en service opérationnel en fin d’année 2023.
Initialement opérationnel grâce au satellite géostationnaire MEASAT-3D, le système KASS sera complété par les services de Koreasat 6A, qui permettra d’améliorer les performances de positionnement fournies par les systèmes de navigation par satellite (GNSS) dans de nombreux secteurs, notamment dans la navigation aérienne. A terme, ces services seront étendus à d’autres applications telles que le transport terrestre et les services basés sur la localisation.
Lire la suite : https://www.thalesaleniaspace.com/fr/press-releases/lancement-reussi-du-satellite-de-telecommunications-koreasat-6a
Mobilité
Un parking relais sur pilotis en chantier à la Boiseraie pour desservir la ligne 1 du tramway
madeinmarseille.net - Par la rédaction
Publié le 07 novembre 2024
La Métropole a lancé la construction du parking relais de la . (12e). Construit sur pilotis dans un bassin de rétention pour 12 millions d’euros, il sera connecté à la ligne 1 du tramway.
Faire des transports en commun, c’est bien. Mais pouvoir laisser sa voiture pour les utiliser, c’est mieux. Parking relais ou « pôles d’échanges multimodaux (PEM) », ces structures se multiplient à Marseille le long des lignes de tramways, métro et bus à haut niveau de service (BHNS).
Dernier en date, celui de la Fourragère dont la capacité a doublé fin 2023. Une stratégie pour tenter de convaincre les automobilistes de poser leur véhicule individuel à l’extérieur de la ville. Puis de poursuivre vers le centre en mobilité douce ou collective.
C’est l’objectif du futur parking-relais de la Boiseraie dont les travaux viennent de commencer à l’Est, dans le 12e arrondissement. « Il permettra notamment de réduire le trafic automobile et la pollution dans le centre de Marseille en favorisant l’usage des transports collectifs », espère la Métropole Aix-Marseille-Provence. L’intercommunalité mène ce chantier pour 12 millions d’euros, aidée par le Département des Bouches-du-Rhône.
Connecter la L2 et le tramway en 2026
Sur trois étages pour 185 mètres de long et 14 mètres de haut, l’ouvrage pourra accueillir jusqu’à 378 véhicules et 40 vélos.
Il se situera au 6, traverse de la Parette. Contre la station Boiseraie de la ligne 1 du tramway (Noailles – Les Caillols). Il offrira ainsi une liaison avec l’échangeur des Faïenciers de la L2, près de la sortie Saint-Jean-du-Désert.
Sa mise en service est prévue pour 2026, et il sera gratuit pour les abonnés aux transports publics.
Légende : un parking sur pilotis sur un bassin de rétention
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/170283-un-parking-relais-sur-pilotis-en-chantier-a-la-boiseraie-pour-desservir-la-ligne-1-du-tramway/
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Pam Francilien : Île de France Mobilités MET en demeure KISIO
presse.iledefrance-mobilites.fr - Communiqué
Publié le 04 Novembre 2024
En novembre 2023, Valérie Pécresse, présidente d’Île-de-France Mobilités et de la Région Île-de-France, avait demandé un plan de redressement du service PAM et appelait à effectuer un service « zéro défaut ». La Présidente estimait alors que la qualité de service n’était pas à la hauteur des investissements consentis par Île-de-France Mobilités, la Région Île-de-France et les départements lors de la régionalisation du PAM, soit 40 M€ par an.
Depuis, le volume de courses réalisées est en constante augmentation grâce au nouveau système régionalisé (passant de 7 000 courses par semaine fin 2023 à plus de 13 000 aujourd’hui) et le taux d’annulation de dernière minute par l’opérateur est en baisse depuis janvier 2024. L’opérateur du PAM, Kisio, a intégré dans son outil régionalisé en complément des Départements 75, 91, 94 les Départements 77, 78 et 92, avec un enjeu fort de récupération de dossiers administratifs parfois incomplets. Cette régionalisation a pour objectif d’apporter un service identique pour tous, de qualité, avec une tarification harmonisée et attractive et sans frontière dans toute la région.
Toutefois, des dysfonctionnements importants sont toujours constatés, notamment au niveau du centre d’appel et de services du PAM. Après plusieurs alertes sur le sujet, son opérateur, Kisio, est donc mis en demeure pour atteindre ses objectifs contractuels.
D’importantes difficultés persistent avec deux principales causes :
Lire la suite : https://presse.iledefrance-mobilites.fr/pam-francilien-ile-de-france-mobilites-met-en-demeure-kisio/
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Le R&D UK Centre soutient les communautés rurales dans le développement de la mobilité électrique
edu.fr - Communiqué
Publié le 08 novembre 2024
Pendant 6 mois, la R&D d’EDF et ses partenaires ont exploré la mobilité électrique en milieu rural au Royaume-Uni, dans le cadre d'un projet de l’agence gouvernementale britannique « Innovate UK ».
Le Royaume-Uni a besoin de solutions innovantes pour construire un réseau de recharge de véhicules électriques à long terme et qui convienne au plus grand nombre.
Le projet « Rural Electric Mobility Enabler » (REME) auquel le centre de R&D d’EDF au Royaume-Uni a participé avec ses partenaires durant 6 mois, avait plusieurs objectifs :
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Le premier bus à hydrogène du territoire a embarqué ses passagers à Fos
madeinmarseeille.net - Par Loïs Elziere
Publié le 07 novembre 2024
Pour la première fois sur le territoire, un bus à hydrogène a embarqué des passagers et circulé en conditions réelles à Fos-sur-Mer. D’autres expérimentations doivent débuter l’année prochaine.
C’est une première sur le territoire. Fin octobre, un bus roulant à l’hydrogène a circulé 10 jours en conditions réelles. Il a tourné sur la ligne 4 à Fos-sur-Mer, entre la Grand-Plage et le centre-ville.
Le véhicule opéré par Transdev pour la Métropole mobilité a pu s’approvisionner en hydrogène sur le site Air Liquide de Fos Tonkin. La « première station d’avitaillement hydrogène bas-carbone haute pression d’Europe », rappelle la Métropole Aix-Marseille-Provence.
Durant cette expérimentation, « les voyageurs comme les conducteurs ont valorisé le confort accru du fait de l’absence de vibrations du moteur », indique l’intercommunalité.
Mais son principal argument reste que l’hydrogène est « une solution pour la décarbonation du transport public durable ». Cette molécule permet « une autonomie importante et un temps de recharge identique à celui d’un véhicule thermique ».
À lire aussi
Un bateau alimenté à l’hydrogène à Marseille, une première mondiale
Décarboner les transports du territoire d’ici 2030
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/170433-le-premier-bus-a-hydrogene-du-territoire-a-embarque-ses-passagers-a-fos/
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L’abandon du «plan vélo» est «inacceptable», dénoncent des collectivités
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié le 6 novembre 2024
Des dizaines de collectivités ont appelé mercredi le gouvernement à maintenir le financement du «plan vélo», supprimé dans le budget 2024, sans quoi des centaines de projets risquent d'être stoppés net.
Des dizaines de collectivités ont appelé mercredi le gouvernement à maintenir le financement du «plan vélo», supprimé dans le budget 2024, sans quoi des centaines de projets risquent d'être stoppés net. «La suppression pure et simple d'une politique publique prometteuse, efficace et nécessaire est juste totalement inacceptable», lancent dans une lettre ouverte l'association Vélo et territoires et le Club des villes et territoires cyclables et marchables (CVTCM), qui réunissent des communes, départements et régions.
En 2023, Elisabeth Borne avait promis la poursuite de son plan vélo avec deux milliards d'euros jusqu'en 2027, avec une attention particulière aux zones rurales et périurbaines. Les 304 millions d'euros alloués au «Fonds mobilités actives» ont été supprimés dans le projet de budget 2024, parmi les mesures prises pour limiter le déficit. Les projets d'aménagements comme des pistes cyclables, préparés et déposés par plus de 400 territoires, risquent ainsi de rester lettre morte, dénoncent les associations de collectivités.
Ça va nous mettre un coup d'arrêt pour trois à quatre ans (François Cuillerier)
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/l-abandon-du-plan-velo-est-inacceptable-denoncent-les-collectivites-20241106
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Ce n’est ni une voiture ni une hybride : Toyota investit 500 millions de dollars dans un autre type de véhicule électrique
greenworks.lu - Par Raphaël Dubois
Publié le 09 novembre 2024
Toyota fera très bientôt ses prochains pas dans le secteur des voitures électriques. Mais avant cela, la marque a investi massivement dans d'autres véhicules zéro émission.
Toyota, l’un des pionniers de l’électrification avec son célèbre modèle Prius, surprend une fois de plus en annonçant un investissement colossal de 500 millions de dollars dans un segment atypique des véhicules électriques. Cette fois-ci, la marque japonaise ne se concentre pas sur les voitures hybrides ou électriques classiques, mais explore un tout nouveau territoire de la mobilité électrique. Cet investissement souligne la volonté de Toyota de diversifier son portefeuille et de jouer un rôle clé dans la transformation de la mobilité mondiale.
L’initiative s’inscrit dans une stratégie globale visant à développer des solutions de transport innovantes, qui ne se limitent plus uniquement à l’automobile. L’ambition de Toyota est de repousser les limites de la mobilité durable, en cherchant des voies alternatives pour réduire les émissions de carbone et proposer des solutions adaptées aux besoins du futur.
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Adoption d'une proposition de loi pour protéger davantage les mineurs, notamment dans les services de transport
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Édition du jeudi 7 novembre 2024
Mardi, le Sénat a adopté une proposition de loi tendant à renforcer les moyens de surveillance des individus condamnés pour des infractions sexuelles, violentes ou terroristes. Ce texte permettrait aux opérateurs de transport public de personnes de consulter les fichiers dans lesquels sont inscrits les auteurs d'infractions sexuelles et violentes.
La loi du 7 février 2022 relative à la protection des enfants a renforcé le contrôle des antécédents judiciaires de tous les professionnels et bénévoles intervenant auprès des jeunes, notamment dans les accueils collectifs de mineurs (ACM). Depuis, selon le ministère de l’Intérieur, ce sont 157 729 consultations du fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (Fijais) qui ont été réalisées en 2023 par les préfectures – à la demande des maires et/ou de présidents d'exécutifs locaux – représentant une hausse substantielle de 109,5 % par rapport à l'année 2022.
Pour « renforcer les moyens de surveillance des individus condamnés pour des infractions sexuelles, violentes ou terroristes » , la sénatrice de la Saône-et-Loire, Marie Mercier, a déposé une proposition de loi qui a été adoptée mardi au Sénat.
Consultation des fichiers judiciaires pour les conducteurs de transports
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Réduire la place de la voiture en ville est-il aussi impopulaire qu’on le pense ?
environnement-magazine.fr - par Mathieu Chassignet, Ingénieur transport et mobilité
Publié le 5 novembre 2024
Le drame de la mort de Paul, cycliste de 27 ans tué par un automobiliste sur une voie cyclable à Paris le 15 octobre dernier, est revenu questionner la place de la voiture en ville. Au nom de la transition écologique et de la santé publique, la tendance est déjà, depuis quelques années, à la limitation de la place de la voiture. Les maires, toutefois, se montrent souvent frileux, de crainte que la mesure soit considérée comme impopulaire par leur électorat. Cela tient pourtant de l’idée reçue.
Piétonnisation de l’espace public, limitation de vitesse à 30 km/h en ville, zones à faibles émissions, politiques de stationnement plus ou moins restrictives… les mesures visant à encadrer l’utilisation de la voiture sont à l’ordre du jour, tant dans les politiques locales que dans le débat médiatique.
Celles-ci répondent à différents objectifs politiques et sociaux : transition écologique, amélioration du cadre de vie, santé publique… Aujourd’hui, le défi n’est plus de convaincre les citoyens des raisons pour lesquelles nous devrions réduire la place de la voiture en ville, mais de savoir comment s’y prendre. Or, bien souvent, la crainte de mouvements de protestation très vifs tétanise les élus et se traduit par un recul sur la mise en place de telles mesures ou une diminution de leur niveau d’ambition.
Lire la suite : https://www.environnement-magazine.fr/mobilite/article/2024/11/05/150559/reduire-place-voiture-ville-estil-aussi-impopulaire-qu-pense
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Pays de la Loire: Hausse importante de la fréquentation dans les transports urbains depuis un an.
hitwest.ouest.fr - Par Elouen Rouchy
Publié le 4 novembre 2024
Avec 220,5 millions de voyages relevés fin juillet 2024, la fréquentation des transports urbains est en hausse cette année par rapport à l'année précédente : +15% notamment à Angers et +4,8% à Nantes. Un phénomène qui prend de l'ampleur depuis ces trois dernières années. Explications avec la FNAUT.
C'est une augmentation de 15% à Angers, et de près de 5% à Nantes, la fréquentation des transports urbains est en hausse dans les grandes villes des Pays de la Loire sur l’année 2023/2024 par rapport à la précédente. Au total, plus de 220 millions de voyages ont été enregistrés dans la région. Le chiffre augmente mais reste inférieur à ceux de 2019, avant la période Covid.
"les emplois et les logements ne sont pas très près les uns des autres, et cela crée des flux."
Nous avons interrogé la FNAUT, pour expliquer cette hausse. Jean Bernard Lugadet est membre de la Fédération Nationale des Associations d’Usagers des Transports à Nantes, et pour lui la "métropole grandit soit par la croissance naturelle, soit par l'arrivée de personnes. Les emplois et les logements sont, comme toujours, pas très près les uns des autres et cela créé des flux. Ensuite, post Covid, le retour des fréquentations et des loisirs s'est développé et on le voit bien en week-end par exemple...
Lire la suite : https://hitwest.ouest-france.fr/pays-de-la-loire-hausse-de-frequentation-dans-les-transports-urbains
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Les propriétaire de véhicules électriques émettent plus de carbone que les autres : pourquoi ?
Techno-sicence.net - par Adrien - Source : PLOS Climate
Publié le 03 novembre 2024
Rouler en véhicule électrique ne signifie pas forcément être économe en émission de carbone. Ce constat émerge d'une étude menée en Finlande. En cause: le profil type des propriétaires de ces voitures, qui tendent à consommer plus que la moyenne.
Cette étude, publiée dans PLOS Climate, a analysé les réponses de 3 857 personnes ayant participé au questionnaire CLIMATE NUDGE. Ce sondage visait à comprendre les choix de vie des Finlandais et leurs opinions sur les véhicules électriques (VE). Il s'avère que les propriétaires de VE sont, en moyenne, plus riches et mieux éduqués.
L'une des conclusions les plus frappantes de cette étude est que malgré l'achat d'un véhicule moins polluant, ces propriétaires ne parviennent pas à réduire leur empreinte carbone. Pourquoi ? Parce que leurs modes de consommation global sont beaucoup plus énergivores que ceux des autres conducteurs.
L'étude souligne que ces personnes parcourent en moyenne plus de kilomètres par an, et ce n'est pas tout. Elles utilisent plus d'électricité, souvent issue de centrales à charbon, et achètent davantage de biens, dont la fabrication génère des émissions de gaz à effet de serre. Malgré les avantages indéniables des VE, les chercheurs concluent que cela ne suffit pas à compenser l'empreinte carbone plus large des classes aisées. Cela met en lumière une réalité souvent oubliée: la consommation d'énergie ne se limite pas à l'usage d'une voiture.
Lire la suite : https://www.techno-science.net/actualite/proprietaires-vehicules-electriques-emettent-plus-carbone-autres-pourquoi-N25907.html
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Mobilités : un nouveau réseau de transports en janvier 2025
Publié le 04 novembre 2024
A l’occasion du renouvellement de la délégation de service public relative à l’exploitation des services de mobilités de l’Agglomération, Quimper Bretagne Occidentale et son réseau QUB proposeront dès 2025 un service élargi en matière de transports pour répondre aux besoins des habitants.
L’ambition de Quimper Bretagne Occidentale pour son nouveau réseau
Il est avéré que l’absence de mobilité a des impacts majeurs sur la précarité, l’isolement, le sentiment de relégation, le temps consacré aux déplacements au détriment de la vie familiale, etc.
Ainsi, au travers du renouvellement de la DSP transport, l’Agglomération avait fixé un certain nombre de principes dans son cahier des charges, afin de donner une nouvelle impulsion au réseau QUB. L’objectif était notamment de travailler au « droit à la mobilité » des citoyens de l’Agglomération, quel que soit leur lieu d’habitation, leur lieu de travail, leur lieu d’études, etc. et contribuer à réduire la précarité liée à la mobilité sur le territoire communautaire.
Concrètement, le nouveau réseau de transport en commun va s’appuyer sur les quatre piliers suivants :
Lire la suite : https://www.quimper.bzh/actualite/42428/3-mobilites-un-nouveau-reseau-de-transports-en-janvier-2025.htm
Identité numérique
IDnow Trust Services AB obtient la certification de Prestataire de Services de Confiance Qualifié dans l'Union européenne USA - Français
prnewswire.com - provide by IDnow
Publié le 05 novembre 2024
IDnow s'associe à IDnow Trust Services AB pour fournir des signatures électroniques qualifiées, des horodatages et des sceaux électroniques à ses clients et partenaires.
MUNICH et RENNES, France, 5 novembre 2024 /PRNewswire/ -- IDnow, l'un des principaux fournisseurs de plateformes de vérification d'identité en Europe, annonce son partenariat avec la société récemment créée, IDnow Trust Services AB, Prestataire de Services de Confiance Qualifié (QTSP) certifié selon le règlement européen 910/2014 (eIDAS[1]). Créée en début d'année à Stockholm par IDnow et ESYSCO, intégrateur de systèmes et fournisseur de technologie, la joint-venture offre des services de confiance qualifiés, tels que des signatures électroniques, des horodatages et des sceaux électroniques, alliant sécurité, conformité et facilité d'utilisation.
Innovation et leadership sur le marché de la signature électronique
En tant que QTSP reconnu au sein de l'UE par l'autorité de surveillance suédoise Post-och telestyrelsen (PTS), IDnow Trust Services AB émet, valide et gère des certificats électroniques et des horodatages, capture des informations supplémentaires comme l'horodatage qualifié, conserve les données de preuve d'identification et effectue des révocations de certificats, tout en se conformant aux exigences d'une Autorité de Certification (AC). Le QTSP garantit l'existence de données électroniques spécifiques à un moment précis, comme la preuve que des documents ont été soumis pour traitement.
Une joint-venture pour garantir la confiance et simplifier la conformité
Intelligence artificielle
L’IA au ministère de l’Économie et des Finances : l’analyse et les recommandations de la Cour des Comptes
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 5 novembre 2024
Alors que le ministère de l’Économie et des Finances a recours à l’IA depuis 2015, la Cour des comptes a récemment publié le rapport “L’intelligence artificielle dans les politiques publiques : l’exemple du ministère de l’Économie et des Finances”. Elle y examine les gains apportés par la mise en œuvre de l’IA, soulignant la nécessité de structurer le pilotage de l’IA et proposant plusieurs recommandations pour évoluer vers une IA publique de confiance.
Les observations de la Cour des comptes portent sur la période 2015-2023.
Fin 2023, les directions et services du ministère de l’Économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique (MEFSIN) étudiaient, développaient ou exploitaient au total 35 systèmes d’IA : treize étaient déployés et exploités, huit en cours de développement et 14 envisagés ou étant l’objet d’une étude de faisabilité.
Selon le bilan de la Cour des comptes, les projets d’IA ont généré plus de 20 millions d’euros d’économies annuelles en 2022, un montant nettement inférieur aux 46,6 millions € attendus.
Un déploiement diversifié, dominé par la gestion fiscale et la détection des fraudes.
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Automatisation documentaire chez LCL : l’IA classique tient mieux la route que l’IA générative
larevuedudigital.com - par Alain Clapaud dans fil d'actualité
Publié le 03 novembre 2024
Les cas d’usage de l’IA classique sont infinis, comme le démontre LCL. La banque a ainsi automatisé le traitement des documents liés aux successions, depuis l’acte de décès jusqu’au paiement de la facture des pompes funèbres. Un domaine où l’IA générative Gemini de Google – partenaire de la banque – testée par LCL doit encore faire ses preuves.
Axel Cypel, responsable des projets d’IA chez LCL, le reconnaît : l’ambition des métiers de la banque vis-à-vis des capacités d’automatisation est très élevée. De fait, l’IA a permis des avancées significatives en matière de reconnaissance des documents et d’extraction intelligente d’informations, si bien que l’automatisation de processus bancaires entiers devient possible, jusqu’à la mise en place du paiement automatique.
En l’occurrence, c’est le service de back office en charge des successions chez LCL qui s’est tourné vers Axel Cypel afin de mettre en œuvre l’IA dans ses processus internes. La banque traite de l’ordre de 60 000 dossiers de décès chaque année. « Lors d’un décès, le back office succession collecte de nombreux documents dans un contexte difficile pour les familles » explique le responsable.
Des contraintes réglementaires importantes à respecter
Lire la suite : https://www.larevuedudigital.com/automatisation-documentaire-chez-lcl-lia-classique-tient-mieux-la-route-que-lia-generative/
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Le plan de Trump et Musk pour une intelligence artificielle sans limites
futurs-sciences.com - par Sylvain Biget
Publié le 8 novembre 2024
AU SOMMAIRE
Elon Musk parle à l’oreille du président
Des IA débridées pour accélérer leur développement et aussi les empêcher de devenir « woke ». C'est le souhait du futur président américain Trump. Sans aucun doute sous l'influence de son contributeur de campagne Elon Musk, il a promis d'abroger les réglementations existantes sur l'IA, mises en place par le président actuel Joe Biden. Des dispositions adoptées en octobre 2023 et qui, de toute façon, avaient une portée déjà assez limitée sur les freins apportées aux IA en matière de sécurité.
Des IA trop « woke », qui sont l’expression des idées radicales de la gauche et des freins éthiques qui ralentissent l’innovation. Voici ce que pense le futur président des États-Unis, Donald Trump. Il compte abroger un décret qu'avaient promulgué les Démocrates pour sécuriser leur développement.
C'est le souhait du futur président américain Trump. Sans aucun doute sous l'influence de son contributeur de campagne Elon Musk, il a promis d'abroger les réglementations existantes sur l'IA, mises en place par le président actuel Joe Biden. Des dispositions adoptées en octobre 2023 et qui, de toute façon, avaient une portée déjà assez limitée sur les freins apportées aux IA en matière de sécurité.
Pour Trump, ce décret est considéré comme « dangereux » et entravant pour l'innovation en matière d'IA. Mais ce n'est pas tout, puisqu'il voit dans ce décret un acte politique des Démocrates qui « impose des idées radicales de gauche au développement de cette technologie ». Il souhaite une IA « enracinée dans la liberté d'expression et l'épanouissement humain ». Des mots qui semblent sortir tout droit de la bouche d'Elon Musk qui prône cette philosophie depuis son rachat de Twitter et sa transformation en X.
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/intelligence-artificielle-plan-trump-musk-intelligence-artificielle-limites-117382/
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Comment les cartes linguistiques de l’IA peuvent protéger de la désinformation avant la présidentielle américaine
ledevoir.com - par Rana Ali Adeeb, doctorante et chercheuse publique
Publié le 04 novembre 2024
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi des outils d’intelligence artificielle (IA), comme ChatGPT, fournissaient parfois des réponses différentes à des questions presque identiques ? La réponse réside dans leur façon d’interpréter le langage, non pas par les mots eux-mêmes, mais par une transformation mathématique appelée vectorisation. Ce processus permet à l’IA de transformer des contenus — comme des titres, des articles d’actualité ou des publications sur les réseaux sociaux — en « vecteurs » numériques qui représentent leur sens, leur ton et leur contexte au sein d’une vaste « carte » linguistique invisible. Les mots aux significations ou aux sentiments similaires tendent à se regrouper dans cet espace, ce qui crée un réseau de connexions qui révèle des nuances plus profondes que de simples recherches par mots-clés.
On peut se demander pourquoi cela est important dans le contexte de la désinformation, l’un des plus grands défis en ligne aujourd’hui. Tout comme ChatGPT peut donner des réponses différentes selon le ton ou la formulation des demandes, la vectorisation permet à l’IA de détecter quand un contenu est conçu pour manipuler plutôt que pour informer. En effet, la vectorisation, autrefois principalement utilisée dans le domaine technologique pour améliorer les réponses de l’IA, joue maintenant un rôle essentiel dans le repérage de contenus qui pourraient déformer la réalité ou être conçus pour manipuler les émotions.
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Intelligence artificielle (IA): le Conseil approuve des conclusions visant à renforcer les ambitions de l'UE
consilium.europa.eu - Conseil de l'Union européenne - Communiqué de presse
Publié le 5 novembre 2024
Le Conseil a approuvé aujourd'hui des conclusions sur un rapport de la Cour des comptes européenne (CCE) qui visent à rehausser le niveau d'ambition de l'UE en matière d'IA, notamment en renforçant la gouvernance et en veillant à ce que les investissements soient plus importants et mieux ciblés pour aller de l'avant dans ce domaine.
Le Conseil souscrit à la conclusion de la Cour selon laquelle l'UE doit accroître les investissements dans l'IA et faciliter l'accès aux infrastructures numériques, afin d'être un acteur compétitif à l'échelle mondiale ayant une incidence sur le monde, de jouer un rôle de premier plan dans le développement et le déploiement de l'IA, de stimuler les talents et de créer un écosystème fondé sur l'excellence et la confiance.
En outre, le Conseil souligne que l'incidence environnementale des systèmes d'IA, le calcul à haute performance et les solutions possibles pour accroître l'efficacité énergétique ainsi que la garantie d'une chaîne d'approvisionnement fiable en matériels sont des facteurs importants qui devraient également être pris en compte dans les politiques en matière d'IA.
Le Conseil partage également l'avis de la Cour selon lequel une coopération et une collaboration étroites avec les États membres et les organisations internationales, en vue d'optimiser les retombées des investissements au niveau de l'UE et au niveau national, tout en tirant parti des synergies, constituent un élément essentiel pour permettre à l'UE d'occuper un rôle de premier plan au niveau mondial dans le domaine de l'IA et de se positionner en tant que point de référence pour la gouvernance de l'IA.
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Avocats et juristes préoccupés par la GenAI
lemondeinformatique.fr - Par Emmanuelle Delsol
Publié le 07 novembre 2024
Une enquête réalisée pour l'éditeur Wolters Kluwer Legal & Regulatory identifie 3 préoccupations des avocats et juristes liées aux technologies. L'intelligence artificielle générative, sans surprise, mais aussi le volume croissant d'informations à gérer et la protection de ces dernières.
Sans surprise, 3 des 5 tendances qui devraient influencer le secteur juridique dans les 3 prochaines années sont liées à l'IT : l'IA générative, bien sûr, la sécurité de l'information et le volume croissant de données à traiter. C'est ce qu'indique une enquête auprès de plus de 700 professionnels aux États-Unis et en Europe, commandée en mai 2024 par l'éditeur de solutions juridiques Wolters Kluwer Legal & Regulatory.
76% des directions juridiques et 68% des cabinets d'avocat interrogés déclarent déjà utiliser la GenAI au moins une fois par semaine. Près d'un tiers y ont même recours quotidiennement. Les pratiques et organisations, mais aussi le niveau de l'utilisation de la GenAI variant d'un pays à l'autre, et en particulier entre les États-Unis et l'Europe, il est difficile de généraliser. Les États-Unis arrivent ainsi en tête des plus importants utilisateurs quotidiens de l'IA générative (44% des répondants) devant les Pays-Bas (42%) et l'Allemagne (38%). L'étude donne cependant une indication sur la maturité et l'état d'esprit des avocats et des juristes vis-à-vis des technologies et de leurs conséquences.
La GenAI pour la recherche documentaire
Catastrophes naturelles
En cas d'urgence, Paris ne pourrait survivre que quelques jours sans nourriture
geo.fr - Avec AFP
Publié le
En cas de catastrophe naturelle du type inondation, ou de blocus, Paris disposerait de denrées pour nourrir ses habitants pendant cinq à sept jours seulement, faute de capacités de stockage suffisantes, selon une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) parue mardi.
Une nouvelle étude, la première du genre en France, a été initiée par la mairie de Paris dans le cadre de sa "stratégie de résilience" lancée en 2022 pour anticiper, avec la préfecture, divers scénarios de crise, tels que des catastrophes naturelles ou des blocus.
"La rupture d'approvisionnement a été identifiée comme un risque majeur" que la crise sanitaire du Covid et les menaces de blocage d'agriculteurs en 2023 ont mis en lumière, a expliqué à l'AFP Pénélope Komitès, adjointe à la maire de Paris en charge de la résilience et de la prospective.
Mais les autorités ne disposaient d'aucune donnée fiable sur la résilience alimentaire. "On parlait de trois jours d'autonomie, sans savoir d'où venait ce chiffre", développe-t-elle.
Selon les travaux de l'Apur, révélés par Le Parisien, cette autonomie serait de "cinq à sept jours", ce que l'élue juge finalement "plutôt rassurant".
Remplir les greniers
Le besoin a été estimé à 3 090 tonnes de denrées pour nourrir les 2 146 000 Parisiens et proposer 6,5 millions de repas chaque jour.
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375 communes reconnues en état de catastrophe naturelle après les inondations du 16 au 20 octobre
maire-info.com © L'Avenir - Par Franck Lemarc
Édition du mardi 5 novembre 2024
Les pluies diluviennes qui ont touché le pays entre le 16 et le 20 octobre dernier ont occasionné de graves inondations dans 11 départements, notamment l'Ardèche et la Loire. L'arrêté de reconnaissance en état de catastrophe naturelle est paru ce matin au Journal officiel.
Comme il l’avait promis, le gouvernement a fait diligence : une quinzaine de jours seulement après la catastrophe – au lieu de plusieurs mois habituellement – l’arrêté portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle a été publié ce matin pour 375 communes situées dans 11 départements.
Des précipitations « inédites »
Rappelons que ces inondations ont été causées par de violents orages survenus entre le mardi 15 et le jeudi 17 octobre. Pendant ces quelques jours se sont cumulés un épisode cévenol sur le Gard, l’Ardèche et la Lozère, et une perturbation pluvieuse particulièrement active qui a traversé le pays du nord-ouest vers le sud-ouest. Certaines zones des Alpes-Maritimes et de la Lozère reçoivent alors près de 100 mm de pluie en trois heures. Dans la nuit du mercredi au jeudi, l’Ardèche reçoit 300 mm de pluie. Puis, jeudi, les fortes pluies s’étendent sur tout le quart sud-ouest avant de remonter vers le nord jusqu’à atteindre l’Île-de-France. L’épisode se poursuivra jusqu’au vendredi dans le centre du pays.
Numérique
Inclusion numérique : les associations d'élus demandent à ce que « l'État honore sa parole »
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Édition du mardi 5 novembre 2024
Dans le cadre des débats sur le plan de loi de finances 2025, treize associations d'élus engagées en faveur de l'inclusion numérique dénonce une « situation catastrophique » due aux coupes budgétaires annoncées pour le portage de cette politique. La pérennisation des conseillers numériques est en jeu.
Jeudi dernier, les associations d’élus, dont l’AMF, réunies au sein de « La Belle Alliance » ont diffusé un communiqué de presse pour dire « non au démantèlement de la politique d’inclusion numérique dans les territoires ».
« Aujourd’hui, au moment même où se signent les feuilles de route "France Numérique Ensemble" instaurées en 2023 afin de généraliser le plan d’autonomie numérique des Français sur l’ensemble du territoire, le projet de loi de finances 2025 porte un coup d’arrêt à cette politique partenariale pour l’inclusion numérique », alertent les associations d’élus.
Concrètement, le projet de loi de finances pour 2025 prévoit une réduction drastique du budget consacré aux conseillers numériques France services (CNFS). Ce dernier passerait en effet de 62 millions à 27 millions d'euros pour l'année 2025. Selon les acteurs, « la situation est catastrophique ».
Les conseillers numériques en danger
Lire la suite : https://www.maire-info.com/numerique/inclusion-numerique-les-associations-delus-demandent-ce-que-etat-honore-sa-parole--article-29081
Détection
Le dispositif de détection des incendies fait figure d'exemple pour les départements du Loiret, du Loir-et-Cher et du Cher
Sarthe.fr - Communiqué
Publié le 11 août 2024
Le dispositif de détection des incendies mis en place par le Service Départemental d'Incendie et de Secours de la Sarthe (SDIS) fait figure de modèle pour les départements du Loiret, du Loir-et-Cher et du Cher.
Dominique Le Mèner, Président du Conseil départemental de la Sarthe et du Service départemental d'Incendie et de Secours de la Sarthe, a accueilli, ce jeudi 8 août, au SDIS de Coulaines, Philippe Sartori, Président du SDIS 41 et vice-président du Conseil départemental du Loir-et-Cher en charge de la sécurité, de la protection de la population et du service départemental d'incendie et de secours.
Au programme de cette rencontre, la présentation du dispositif de détection des incendies. Il comprend 16 points hauts maillant tout le territoire et qui peuvent détecter à 360° les départs de feux.
Les SDIS du Loiret, Loir-et-Cher et Cher, vont installer le même dispositif novateur que celui des sapeurs-pompiers sarthois.
Lire la suite : https://www.sarthe.fr/actualites/le-dispositif-de-detection-des-incendies-fait-figure-dexemple-pour-les-departements-du
RGPD
QSPTAG #314
Publié le 9 novembre 2024
laquadrature.net - Communiqué
Campagne anti-GAFAM : LinkedIn enfin condamné à une grosse amende
Nous avions lancé notre campagne anti-GAFAM au moment de l’entrée en vigueur du RGPD, en mai 2018… Sur la base du tout nouveau règlement européen sur la protection des données personnelles, nous avions décidé d’attaquer les pratiques illégales des cinq plus grandes sociétés du numérique mondial : Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft. C’était la première action collective en Europe — une nouveauté permise par le RGPD — contre les entreprises privées qui exploitent délibérément et en toute illégalité les données personnelles des internautes sans leur consentement. Pour cette action collective, nous avions reçu le soutien de 12 000 personnes qui avaient décidé de nous donner leur mandat pour porter la plainte devant la CNIL. C’était chose faite le 18 mai 2018. Il y a six ans.
Le RGPD donne à la CNIL le pouvoir d’instruire les plaintes concernant les entreprises dont le siège européen est en France, ou n’ayant pas de siège social dans un autre pays de l’Union européenne. C’était le cas de Google à l’époque. La CNIL a donc traité d’abord la plainte contre Google, sans donner signe de son travail avant mai 2021, où elle a soudain rendu une décision bancale et insatisfaisante, assortie d’une amende minime de 50 millions de dollars, avant de transmettre le dossier à son homologue irlandais, la DPC, Google ayant entre temps créé un siège européen en Irlande (plus de détails dans cet article, dans le paragraphe « Google perdu au rebond »).
Lire la suite : https://www.laquadrature.net/2024/11/08/qsptag-314-8-novembre-2024/
Cybersécurité
Cybercriminalité en France : une menace en constante évolution selon ce rapport
En 2023, la cybercriminalité a continué de croître en France, posant des défis majeurs aux institutions, entreprises et citoyens. Ce rapport annuel, le premier du genre du ministère de l’Intérieur sur la cybercriminalité en 2024 dresse un tableau complet des menaces et des réponses apportées par les autorités françaises.
Une augmentation constante des infractions numériques
Le rapport révèle que 278 770 atteintes numériques ont été enregistrées en 2023, soit une augmentation de 40% par rapport aux cinq dernières années. Parmi ces infractions, les atteintes aux biens représentent la majorité, avec 130 000 escroqueries répertoriées, représentant 59% des infractions numériques. Les atteintes aux personnes et aux institutions suivent, constituant respectivement 34,5% et 6% des infractions.
Les femmes âgées de 18 à 44 ans sont particulièrement ciblées, représentant 50% des victimes d’atteintes numériques à la personne. Les cyberdélinquants exploitent diverses méthodes pour atteindre leurs objectifs, notamment les rançongiciels, les escroqueries en ligne et les attaques par déni de service distribué (DDoS).
Les rançongiciels : une menace croissante
Lire la suite : https://madeinperpignan.com/cybercriminalite-le-rapport-du-ministere-de-linterieur-montre-une-menace-en-constante-evolution/
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5 techniques de malware qui redéfinissent la cybercriminalité en 2024
clubs.com - Par Chloé Claessens, spécialiste cybersécurité.
Publié le 09 novembre 2024
Les choses bougent côté cybermenaces et modalités d’attaques en cette fin d’année. Gare aux infostealers, aux loaders, aux RAT et aux ransomwares, mais surtout à la manière dont ils s’infiltrent sur les systèmes.
Comme chaque trimestre, ANY.RUN a dévoilé cette semaine son rapport Q3 sur les dernières tendances des cybermenaces. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il traduit un virage significatif dans le paysage de la cybersécurité, tant concernant l’évolution des familles de malwares les plus actives, que vis-à-vis de l’intensification des attaques et de la sophistication des techniques employées par les hackers.
Des familles et types de malwares plus résilients
C’est un constat sans appel : les malwares gagnent en agressivité et en capacité d'adaptation, alors que l’on observe une diversification assumée des familles actives et une intensification des attaques.
D’après ANY.RUN, les utilisateurs et utilisatrices de la plateforme ont lancé plus d’un million de sessions de détection, un chiffre record en hausse de 23,7 % par rapport au trimestre précédent. Si ce nombre semble témoigner de pratiques de sécurité renforcées, les résultats restent préoccupants : 19,4 % des analyses révèlent des activités malveillantes confirmées, et plus de 4 % des cas restent suspects. En comparaison, le deuxième trimestre 2024 affichait un taux d'activités malveillantes de 18,4 % sur 880 000 analyses, tandis que le premier trimestre cumulait 877 000 analyses pour un taux de détection de 17,2%. En clair, la menace se renforce, trimestre après trimestre.
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-543083-techniques-de-malware-qui-redefinissent-la-cybercriminalite-en-2024.html
Atos
Atos lance une augmentation de capital de 233 millions d'euros
Par AGEFI - Dow Jones
Publié le 8 nov. 2024 à 08:26
PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le groupe de services informatiques en difficulté Atos a annoncé vendredi le lancement d'une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription ("DPS") d'un montant brut, prime d'émission incluse, de 233,33 millions d'euros.
Cette augmentation de capital s'inscrit dans le cadre de la restructuration en cours de l'entreprise et fait suite à l'approbation par le tribunal de commerce de Nanterre de son plan de sauvegarde accélérée, a expliqué Atos dans un communiqué.
"Le produit de l'émission sera affecté au financement des besoins généraux du groupe, et notamment le financement de son business plan, tel que mis à jour par la société le 2 septembre 2024, en vue d'atteindre une cible de profil de notation de crédit 'BB' d'ici 2027 et d'obtenir une réduction de la dette brute de 3,2 milliards d'euros", a ajouté Atos.
Lire la suite : https://investir.lesechos.fr/actu-des-valeurs/la-vie-des-actions/atos-lance-une-augmentation-de-capital-de-233-millions-deuros-2130518
Mobilité
Stockholm inaugure le premier service de ferry à hydroptère électrique au monde
fr.busenessam.be - par Business AM
Publié le 30 octobre 2024
Principaux renseignements
Le lancement du premier service de ferry à hydroptère électrique au monde à Stockholm marque une étape importante pour les transports urbains. Candela, l’entreprise à l’origine de cette innovation, travaille à la réalisation de cet objectif depuis plus de dix ans, en réunissant des experts de divers domaines pour révolutionner la navigation de plaisance électrique.
L’année dernière, Candela a obtenu un financement d’environ 18,6 millions d’euros pour faciliter la production en série de ses ferries et navettes maritimes. Ce financement a été suivi d’un investissement supplémentaire de 24,5 millions d’euros en mars 2024, qui comprenait le soutien du Groupe Beneteau, le plus grand fabricant de bateaux au monde.
Caractéristiques principales
Lire la suite : https://fr.businessam.be/stockholm-hydrofoil-ferry-electrique/
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Paris : interdiction de traverser les quatre premiers arrondissements en voiture à partir de lundi
liberation.fr - par Libération et AFP
Publié le 31 octobre 2024
Conformément à une promesse de campagne d’Anne Hidalgo, la mairie a publié ce jeudi un arrêté instaurant une zone à trafic limité dans l’hypercentre à compter du 4 novembre 2024.
Un pas de plus vers une ville moins tournée vers la voiture. La mairie de Paris a publié jeudi un arrêté instaurant une zone à trafic limité (ZTL) dans le cœur de Paris, qui entrera en vigueur dès lundi, selon l’adjoint écologiste chargé des transports de la mairie de Paris, David Belliard.
Cette zone d’environ 5,5 km² dans l’hypercentre de Paris ne sera plus autorisée qu’aux véhicules de secours, autobus, taxis, personnes à mobilité réduite, automobilistes y résidant ou y travaillant et tout le trafic «de destination», à savoir ceux dont les points de départ et d’arrivée se trouvent dans le secteur, pour un rendez-vous médical, faire des courses, aller au ciném
a… Exit, donc, les véhicules qui ne feraient que traverser les quatre premiers arrondissements de la capitale.
«Libérer de l’espace public» occupé par les voitures
Repoussée plusieurs fois, la mise en place de la ZTL est un engagement de campagne de la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo, destiné à «libérer de l’espace public» occupé par les voitures et réduire la pollution. Des zones similaires existent déjà dans les quartiers centraux de plusieurs grandes villes européennes, notamment Madrid, Milan, Rome…
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Repenser la mobilité rurale, un impératif pour l'avenir de nos territoires
latribune.fr - par Jean-Sébastien Barrault
Publié le 31 octobre 2024
OPINION. Transports partagés, covoiturage et initiatives multimodales s'imposent comme des pistes prometteuses pour désenclaver les campagnes et promouvoir une France plus solidaire et écologique. Par Jean-Sébastien Barrault, Président de la Fédération Nationale des Transports de Voyageurs (*)
Dans notre société moderne, le droit à la mobilité est fondamental. Pourtant, dans nos campagnes, ce droit est souvent compromis pour ceux qui ne possèdent pas de véhicule personnel ou qui ne peuvent plus conduire, exacerbant les inégalités et menaçant la cohésion de nos territoires.
L'urgence environnementale nous impose de repenser nos modes de déplacement. La dépendance à la voiture individuelle dans les zones rurales contribue significativement à notre empreinte carbone, alors même que ces territoires sont souvent les premiers touchés par les effets du changement climatique.
Lire la suite : https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/repenser-la-mobilite-rurale-un-imperatif-pour-l-avenir-de-nos-territoires-1010230.html
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IA et sécurité routière : la France devrait se doter de radars intelligents en 2025
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié e 31 octobre 2024
De nombreux pays utilisent désormais des radars routiers dotés d’IA pour améliorer la sécurité routière, la France prévoit de faire de même l’année prochaine, au grand dam d’associations d’usagers de la route comme “40 millions d’automobilistes” qui “dénonce le recours à outrance au système de verbalisation automatique”.
Selon une annexe du Projet de loi des finances 2025, 46,3 millions d’euros seront alloués à la Sécurité routière pour entretenir les radars existants et moderniser les équipements. Le nombre de radars déployés en France passera de 4000 à 4160, soit une hausse de 4 %. Si tous permettront de relever les excès de vitesse, plusieurs centaines d’entre eux détecteront trois autres infractions : le non-respect des distances de sécurité, l’absence de ceinture de sécurité et l’utilisation du téléphone au volant.
De nouvelles fonctionnalités rendues possibles grâce à “l’appropriation de technologie ou de techniques innovantes, comme l’extension de l’usage de l’intelligence artificielle pour améliorer les performances du contrôle automatisé et du recours à la datascience pour développer des outils de lutte contre la fraude“.
Chacune de ces infractions entraînera une amende de 135€ et un retrait de trois points sur le permis de conduire.
Les radars intelligents, des produits fiables ?
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Carte grise : une hausse de prix attendue dès le 1ᵉʳ janvier 2025, découvrez combien cela va vous coûter
newsly.fr - par Julien DONMEZ
Publié le 27 octobre 2024
L'année 2025 apportera une hausse inattendue des coûts de la carte grise dans certaines régions, bouleversant de nombreux automobilistes.
La hausse des coûts de la carte grise prévue pour janvier 2025 suscite des inquiétudes parmi les automobilistes. Cette augmentation pourrait influencer la mobilité des Français, déjà encouragés à revoir leur mode de transport. Dans cet article, nous explorerons les régions concernées par cette hausse, les raisons derrière cette décision et les implications pour les automobilistes. Il est crucial de comprendre ce changement pour anticiper son impact sur votre budget et vos choix de transport.
Les régions concernées par l’augmentation
À partir de janvier 2025, plusieurs régions françaises verront le prix de la carte grise grimper. La Normandie est à l’avant-garde de ce mouvement. Elle détient le record de l’augmentation la plus significative et devient ainsi un point chaud pour les automobilistes concernés.
En 2023, la Normandie avait déjà appliqué une hausse notable, et cette tendance se poursuit de manière préoccupante. Le coût de la carte grise, qui était de 46 € en 2023, passera à 60 € en 2025, marquant une hausse significative qui ne manquera pas d’affecter le budget des automobilistes.
Impact sur le pouvoir d’achat
Lire la suite : https://newsly.fr/2024/10/27/carte-grise-une-hausse-de-prix-attendue-des-le-1%E1%B5%89%CA%B3-janvier-2025-decouvrez-combien-cela-va-vous-couter/
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Vélo-taxi à Pau : le futur de la mobilité douce
passion-quitaine.ouest-france.fr
Publié le 27 octobre 2024
À Pau, Henri IV a troqué son cheval pour la dernière invention 100% écoresponsable : le vélo-taxi d’Ecloz. Ces drôles de rickshaws français sont en train de redéfinir notre manière de nous déplacer en ville. La capitale du Béarn, fervente défenseuse des mobilités douces, avait déjà entrepris l’extension de son réseau cyclable. Ces petites merveilles à pédales ajoutent ainsi une touche de modernité à cette ville à la fois historique et dynamique. Allez, en selle, on part à la découverte de cette tendance (électrique) qui roule à plein régime.
Le vélo-taxi, c’est quoi ?
Comme leur nom l’indique, les vélos-taxis sont une alternative avant-gardiste aux voitures et aux bus. À mi-chemin entre triporteur et tuk-tuk, ces engins à trois roues sont constitués d’une place conducteur à l’avant et de deux sièges passager à l’arrière. Vadrouillant dans la ville, ils récupèrent touristes comme locaux pour les amener à bon port. L’avantage ? En plus d’être pratiques, ces taxis sont 100% électriques ! C’est donc l’idéal pour se déplacer tout en faisant un geste pour la planète.
Une mobilité douce, pour tous
Légende : Circulation des vélos-taxis à Pau dans le Béarn - Ekloz
Lire la suite : https://passion-aquitaine.ouest-france.fr/velos-taxis-pau/
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Comment construire ensemble les mobilités de demain?
nicematin.com - sponsorisé par VINCI Autoroutes
Publié le 30 octobre 2024
Le 18 octobre dernier, plusieurs partenaires de la mobilité se sont réunis, à Nice, à l’Institut méditerranéen du risque de l’environnement et du développement durable de L’université Côte d’Azur pour échanger sur l’avenir de nos mobilités quotidiennes.
Ce colloque, animé par Denis Carreaux, directeur des rédactions du Groupe Nice-Matin, a permis aux acteurs du territoire d’échanger autour de trois tables rondes: comment la mobilité électrique se développe-t-elle? Comment décarboner les déplacements longue distance par le covoiturage ou une plus grande intermodalité dans nos trajets? Et enfin, quelles solutions existent déjà pour réduire les émissions de CO2 liées au transport de marchandises? Des débats enrichissants et des solutions concrètes car, la route représentant 80% des trajets quotidiens des Français, sa décarbonation apparaît comme un enjeu essentiel et collectif.
Il y a moins de cinq ans, la mobilité électrique était principalement cantonnée aux centres urbains. Mais depuis deux ans, la longue distance est possible et elle connaît une croissance significative. Face à l’urgence de réduire nos émissions quotidiennes de CO2, l’électromobilité s’impose comme la première solution concrète. Les ventes de véhicules électriques sont en plein essor, marquant ainsi un premier cap franchi vers 2035, date à laquelle l’Union Européenne prévoit l’arrêt de la vente des véhicules thermiques. Comment organiser cette transition majeure dans notre société?
Lire notre dossier spécial
Lire la suite : https://www.nicematin.com/economie/et-si-nous-construisions-ensemble-les-mobilites-de-demain-953045
Budget 2025
Budget 2025 : la commission s'oppose au « fonds de précaution », cette ponction de 3 milliards d'euros sur les collectivités
maire-info.com - Par A.W
Publié le 31 octobre 2024
Considérée comme « injustifiée », la mise en place de ce dispositif fait peser « un risque réel sur l'investissement des collectivités », selon les députés qui ont, par ailleurs, décidé d'exclure près de 200 intercommunalités et certaines communes urbaines du bénéfice de la DETR. Mais rien ne garantit que ces décisions soient conservées dans le budget final.
Le « fonds de précaution » voulu par le gouvernement ne passe décidément pas. Pas plus du côté des collectivités, qu’auprès des députés. Réunis en commission pour examiner le projet de loi de finances (PLF) pour 2025, ils ont rejeté, hier, cette future ponction de 3 milliards d'euros sur les recettes des quelque 450 plus importantes collectivités que l’exécutif prévoit d’imposer aux élus locaux l’an prochain.
Rappelons que cette décision des députés reste pour l’heure – et comme depuis le début des débats budgétaires – purement symbolique puisqu’ils devront réexaminer, en séance, la version initiale du texte et donc revoter à nouveau tous les amendements passés en commission. Absolument rien ne garantit donc qu’ils seront conservés dans le texte final.
Un prélèvement « mal conçu » et « injuste »
Fustigée par les élus locaux, l’instauration de ce mécanisme d’auto-assurance – qui constitue le premier étage du plan d’économies de 5 milliards d’euros (complété par un gel de la TVA et l’amputation du FCTVA) demandées aux collectivités – a donc bien été balayée en commission grâce à l’adoption d’une demi-douzaine d’amendements portés par le Nouveau front populaire (NFP) et le groupe Liot.
Un prélèvement considéré comme « totalement injustifié » par le député du Morbihan, Paul Molac (Liot), dans l’exposé des motifs de son amendement.
Intelligence artificielle
« Seuls 3 métiers survivront à l’IA », prévient Bill Gates
www.info.re - par la Rédaction
Pubié le 26 octobre 20245 – mis à jour le 28.10.2024
L’intelligence artificielle est-elle une menace pour nos emplois ? Le cofondateur de Microsoft a récemment partagé une vision plutôt alarmiste de cette évolution.
La simulation de l’intelligence humaine a été confinée aux romans de science-fiction. Désormais, c’est une réalité ancrée dans notre quotidien. Si l’intelligence artificielle offre des perspectives prometteuses, elle soulève aussi d’importantes interrogations, notamment sur l’avenir du marché du travail.
L’IA, un bouleversement sans précédent
Cette nouvelle technologie s’est immiscée dans tous les aspects de notre vie, de la santé à l’agriculture, en transformant radicalement l’industrie automobile et la technologie. Bill Gates assure que l’IA va profondément remodeler le paysage professionnel mondial. Selon lui, seuls trois secteurs seraient épargnés par cette révolution : l’énergie, la biologie et la programmation de l’IA elle-même."L’IA a le potentiel de nous permettre de travailler moins d’heures et de nous concentrer sur des tâches plus créatives et significatives", avance le pionnier de l’informatique.
Face à cette menace, il encourage vivement la population à se former aux compétences numériques, en particulier à la programmation. "L’IA évolue à un rythme vertigineux, et ceux qui maîtrisent ces compétences auront de meilleures opportunités d’emploi", affirme l’entrepreneur américain.
Si Internet a marqué une première révolution numérique, l’Intelligence artificielle s’annonce comme la prochaine étape, transformant à son tour nos modes de vie et de travail.
L’éducation, un enjeu clé
https://www.linfo.re/magazine/high-tech/seuls-3-metiers-survivront-a-l-ia-previent-bill-gates
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Offrir ChatGPT : la mesure inédite de la ville d'Arcachon pour "réduire la fracture numérique"
france3-regions.francetvinfo.fr
ChatGPT offert aux habitants de la ville d'Arcachon : l'initiative est-elle sans risque ?
© FRANK RUMPENHORST / DPA
Écrit par Catherine Bouvet
Publié le 26 octobre 2024
C’est une démarche inédite en France. La ville d’Arcachon offre à ses 12000 habitants un accès gratuit à ChatGPT, le célèbre outil d’intelligence artificielle. Portée par son maire Yves Foulon, l’initiative vise à réduire la fracture numérique dans l’une des communes les plus âgées du pays.
La ville vous offre l'Intelligence artificielle" indiquent les panneaux vert et bleu installés dans plusieurs sites de la ville. À 71 ans, Marie Acard semble très enthousiaste à l'idée d'essayer cette nouvelle application dont tout le monde parle.
Elle est venue ce jour-là s'informer auprès de l'animatrice, "une aidante numérique de la ville", qui va l'aider à faire ses premiers pas. Car depuis le 21 octobre, elle bénéficie d’un accès gratuit à ChatGPT. C'est un cadeau de la ville d’Arcachon.
Peut-être que c’est plus abordable pour les jeunes mais je trouve que c’est une opportunité d'utiliser ce genre ce site. Marie Acard - Retraitée
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L’Acte sur l’Intelligence Artificielle de l’Union Européenne : enjeux et perspectives
lesnews.ca : Par Faudel Tannouh
Publié le 26 octobre 2024
L’Union européenne (UE) a franchi une étape décisive en finalisant la loi sur l’ intelligence artificielle ( IA), établissant ainsi le premier cadre juridique mondial consacré à l’IA. Cet article présente l’historique, la structure, les exigences et les conséquences pratiques de la loi sur l’IA, y compris le vaste éventail d’amendes encourues.
I. Historique de la loi sur l’IA
La loi sur l’IA adoptée par le Parlement européen repose sur un projet présenté par la Commission européenne en 2021, mais a subi plusieurs modifications durant le processus législatif.
1. Premier projet de la Commission européenne de 2021
En avril 2021, la Commission européenne a publié son projet de loi sur l’IA[1] pour créer un cadre juridique uniforme applicable dans les États membres et faciliter la libre circulation des biens et services dans le domaine de l’IA.[2] La loi sur l’IA est une composante essentielle de la stratégie européenne en matière d’IA,[3] qui utilise une approche fondée sur les risques pour classifier les systèmes d’IA en plusieurs niveaux de risque.[4] Cette classification détermine les exigences et les conséquences juridiques, pouvant aller jusqu’à l’interdiction en cas de risque inacceptable.[5] Compte tenu de l’évolution rapide de ce domaine, les dispositions du projet ont été conçues pour être aussi résilientes que possible face à l’avenir.[6]
2. Projet du Parlement européen de juin 2022
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/lacte-sur-lintelligence-artificielle-de-lunion-europeenne-enjeux-et-perspectives/
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Détection de contenu généré par l’IA : Google rend son outil de filigrane de texte SynthID open source
actuia.com - Par Marie-Claude Benoit
Publié le 28 octobre 2024
Google fait partie des 7 grandes entreprises de l’IA à s’être engagées à soutenir le développement d’une IA responsable, en juillet 2023, notamment à filigraner le contenu audio et visuel pour indiquer clairement que le contenu est généré par l’IA. La société vient de rendre open source SynthID-Text, afin de mettre à la disposition des développeurs et entreprises des outils de filigrane pour la génération de texte. Cette technologie est disponible via sa boîte à outils “Google Responsible Generative AI Toolkit”.
La détection de contenu généré par IA est essentielle pour lutter contre la désinformation et les deepfakes, mais la tâche reste complexe. D’ailleurs, Google reconnaît que SynthID n’est pas parfait.
Initialement, SynthID a été développé par Google DeepMind et amélioré en collaboration avec Google Research pour évaluer la probabilité qu’une image ait été créée par Imagen. Il permet d’intégrer le filigrane numérique directement dans les pixels d’une image, le rendant invisible à l’œil nu et très difficile à falsifier sans endommager l’image. Le filigrane résiste aux modifications courantes (recadrage, filtres, compression), assurant ainsi une traçabilité même après des changements mineurs.
L’outil, qui permet aujourd’hui de détecter le contenu généré par l’IA que ce soit du texte, de la musique, des images ou des vidéos, a ensuite été étendu au filigrane et à l’identification du texte généré par Gemini.
Comment SynthID-Text fonctionne-t-il ?
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Sécurité nationale : l’administration Biden publie un mémorandum historique pour encadrer l’IA
actuia.com - par Marie-Clude Benoit
Publié le 28 octobre 2024
Le 30 octobre 2023, Joe Biden a émis un décret présidentiel historique visant à garantir que les Etats-Unis soient à l’avant-garde pour saisir les opportunités et gérer les risques de l’IA. Un an plus tard, il publie le tout premier Mémorandum de Sécurité Nationale (NSM) sur l’IA, soulignant son importance pour la sécurité nationale et la politique étrangère.
Ce NSM s’appuie sur les mesures clés déjà prises par le gouvernement fédéral, y compris ce décret exécutif historique. Il part du principe que les avancées de pointe en IA auront des répercussions significatives sur la sécurité nationale américaine et sa politique étrangère dans un avenir proche.
Le NSM définit plusieurs priorités stratégiques afin que les États-Unis conservent leur position de leaders mondiaux dans le développement de l’IA. Il vise également à exploiter cette dernière pour renforcer les capacités de sécurité nationale et à favoriser un consensus international autour de normes communes pour l’utilisation de cette technologie.
Des actions concrètes pour sécuriser la chaîne d’approvisionnement et prévenir les ingérences étrangères
L’un des volets essentiels du NSM concerne le renforcement de la chaîne d’approvisionnement en semi-conducteurs, technologie indispensable au développement de systèmes avancés d’IA. S’appuyant sur la loi CHIPS, signée par Joe Biden en 2023, le NSM appelle à sécuriser et diversifier l’accès aux puces, rendant les États-Unis moins dépendants de pays étrangers et mieux armés contre les cyber-menaces.
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SUD IA : La Région Sud investit 70 millions d’euros pour démocratiser l’accès à l’IA et booster l’économie régionale
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 29 octobre 2024
Lors de son assemblée plénière du 25 octobre, la Région Sud a adopté un plan ambitieux baptisé SUD IA. Doté de 70 millions d’euros sur cinq ans, ce plan vise à faire de l’IA un outil utile, accessible à tous les citoyens, et un levier de compétitivité pour les entreprises et start-ups régionales.
En 2023, la Région Sud a sollicité les avis d’experts (universitaires, ingénieurs, sociologues) pour évaluer les bénéfices et les risques liés au développement de l’IA. Leurs conclusions ont été positives : l’IA présente un potentiel de transformation pour de nombreux secteurs de l’action publique, allant de l’emploi à l’énergie, en passant par la gestion des déchets, la qualité de vie et la compétitivité économique. Après avoir annoncé un partenariat avec Microsoft afin d’accélérer l’adoption de l’IA dans l’administration régionale, par les entreprises et les habitants du territoire, la Région dévoile un vaste plan pour faire de la Région une “Terre d’IA”.
Un cadre structurant pour un développement responsable et inclusif
Afin de tirer parti des opportunités de l’IA tout en répondant aux questions d’éthique, de souveraineté et de préservation de l’emploi, le plan SUD IA repose sur trois axes stratégiques :
Faire de l’IA un outil au service de la population
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L'IA engendrera autant de pollution que 10 milliard d’aphone jetés d’ici 2030, selon une étude
bfmtv.com - Par héotim Raguet
Publié le 20 octobre 2024
L’IA ne génère pas que du texte ou des images, elle génère aussi des déchets. Une récente étude parue dans Nature estime la pollution engendrée par l’IA d’ici 2030.
Entre 1,2 et 5 milliards de tonnes de déchets électroniques soit l’équivalent de 20 milliards de smartphones, et ce, entre 2020 et 2030. L’IA et son développement polluent plus qu’on ne le croit. Des chercheurs de l’Académie des Sciences chinoise et de l’Université de Cambridge en montrent l’ampleur dans cette étude publiée dans la revue scientifique Nature Computational Science.
La tech, bientôt un des secteurs les plus polluants ?
Dans ce contexte, on parle de e-waste ou déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE). On compte parmi eux la plupart des équipements électroménagers, les écrans ou les téléphones. Mais les DEEE à l'origine de cette explosion de pollution, ce sont les composants électroniques comme les cartes ou les puces qu'on retrouve dans nos ordinateurs.
Il s'agit là de détritus qui polluent en raison de la présence de certains produits ou composants particulièrement nocifs. Selon le Ministère de l'Écologie, on y retrouve notamment du mercure, des PCB et certains gaz à effet de serre.
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Une avalanche de PV : comment vont fonctionner les nouveaux radars avec de l’IA
bfmtv.com - par Sylvain Trinel
Publié le 30 octobre 2024
Redoutés par les associations de défense des automobilistes, les nouveaux radars doivent entrer en fonction au début de l'année 2025.
Annoncées en catimini par le gouvernement, les nouvelles infractions décelables par les radars installés aux abords des routes entreront en vigueur au début de l'année 2025. Pour ce faire, la sécurité routière compte s'appuyer sur des radars utilisant de l'intelligence artificielle.
Parmi les infractions qu'un de ces nouveaux radars va pouvoir sanctionner, les distances de sécurité non respectées, l'absence du port de la ceinture ou encore le téléphone à l'oreille alors que l'on est au volant. Une annonce qui a fait bondir l'association 40 millions d'automobilistes, qui y voit une "avalanche de PV" dans les prochains mois.
De l'IA pour détecter les comportements à risque
Polices municipales
maire-info.com - par Franck Lenard
Publié le 29 octobre 2024
Le coût de fonctionnement des polices municipales pour les communes a dépassé les 2 milliards d'euros en 2023
L'Observatoire des finances et de la gestion publique locale (OFGL) a rendu publique hier une étude très attendue sur « les enjeux financiers des polices municipales », la première du genre. Enseignements.
« Nourrir le débat public sur l’organisation de la sécurité dans nos territoires. » C’est à cet objectif – et non à celui de « faire un rapport sur l’efficacité des polices municipales » – que répond cette enquête, explique en introduction André Laignel, président de l’OFGL. En effet, malgré la très forte progression du nombre de polices municipales ces dernières années, il n’existait pas jusqu’à présent d’étude sérieuse sur « leur impact budgétaire » pour les collectivités.
Et cet « impact » est considérable, selon les calculs de l’OFGL : les dépenses de fonctionnement pour l’ensemble des polices municipales sont estimées à 2,2 milliards d’euros en 2023, et « 155 millions d’euros en moyenne par an depuis 2018 » pour les dépenses d’investissement.
Hausse des dépenses de fonctionnement
Les auteurs de l’étude rappellent que 11 % des communes se sont dotées d’une police municipale, mais que cette proportion monte à plus de 80 % pour les communes de plus de 3 500 habitants. Au-delà de 20 000 habitants, les communes ont presque toutes fait le choix de se doter d’une police municipale, la proportion oscillant, selon les strates, entre 96 et 99,7 %.
Il y a aujourd’hui quelque 28 100 policiers municipaux employés par 3 613 communes.
Catastrophes naturelles
531 communes placées en état de catastrophe naturelle après les inondations survenues du 8 au 13 octobre
maire-info.com par Franck Lemarc
Édition du lundi 28 octobre 2024
L'arrêté portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle pour plus de 500 communes à la suite des inondations dues à la tempête Kirk a été publié ce week-end, alors que des maires de communes frappées par les intempéries demandent que celles-ci soient exemptées des ponctions budgétaires prévues par le gouvernement.
Ce n'est qu'une première salve : la reconnaissance en état de catastrophe naturelle qui a été publiée samedi au Journal officiel ne concerne que les dégâts causés entre le 8 et le 13 octobre par la tempête Kirk. Il y aura donc un deuxième arrêté, dans les prochains jours, pour les communes (parfois les mêmes) frappées par les très graves inondations survenues les 16 et 17 octobre, notamment en Ardèche et dans le Rhône.
Sept départements concernés
Pour ce qui concerne les seules conséquences de la tempête Kirk, ce sont sept départements qui ont été particulièrement touchés : l’état de catastrophe naturelle est reconnu dans 133 communes de l’Eure-et-Loir et 132 communes de la Seine-et-Marne, mais aussi dans 71 communes de l’Essonne, 58 de l’Aisne, 75 des Yvelines, 40 de la Loire-Atlantique et 22 du Loir-et-Cher.
Maire info publie ci-dessous la carte des communes reconnues en état de catastrophe naturelle dans chaque département concerné (voir en fin d'article).
Ponctions financières : des maires demandent à être « épargnés »
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La proposition de loi réformant le régime CatNat a été adoptée par le Sénat, mais sans extension du fonds Barnier
maire-info.com - Par Franck Lemarc
Publié le 30 octobre 2024
La proposition de loi « visant à assurer l'équilibre du régime d'indemnisation des catastrophes naturelles » a été adoptée hier par le Sénat, après avoir été enrichie de plusieurs amendements et vu certaines mesures retirées à la demande du gouvernement.
Comment assurer la soutenabilité du régime d’indemnisation des catastrophes naturelles, alors que les experts estiment que le coût de celles-ci va augmenter de 47 % d’ici à 2050 ? C’est la question à laquelle la sénatrice LR des Hauts-de-Seine, Christine Lavarde, a voulu contribuer à répondre en déposant en mai dernier une proposition de loi. Celle-ci a été adoptée hier à l’unanimité par le Sénat.
« Prévenir la catastrophe financière »
« Le régime CatNat est déjà à bout de souffle », explique la sénatrice dans l’exposé des motifs du texte, du fait du caractère de plus en plus fréquent des aléas climatiques et de l’émergence d’un nouveau risque de plus en plus prégnant, le retrait gonflement des argiles (RGA). Le relèvement du taux de la surprime prévu pour 2025 (de 12 à 20 %) ne suffira pas à garantir à long terme l’équilibre du régime, assure la sénatrice, qui déplore également un problème « d’équité », notamment sur le phénomène RGA – la moitié des communes qui demandent une reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle à ce titre se le voient refuser.
Cybersécurité
Cybersécurité : comment surveiller gratuitement vos données sur le dark web
lesnumeriques.com - Par Florent Lanne
Publié le 27 octobre 2024
Voici les meilleures méthodes gratuites pour détecter les fuites de vos données confidentielles sur le Dark web.
À l'ère du numérique, la cybersécurité est devenue une préoccupation majeure des internautes consciencieux de leurs données confidentielles. Si ces données —d'une simple adresse e-mail à un relevé d'identité bancaire, une copie de carte d'identité ou un mot de passe — sont précieuses à nos yeux, elles sont également la cible privilégiée des cybercriminels. Revendues en masse au travers du Dark web, elles peuvent ensuite être exploitées, compromises et utilisées à des fins frauduleuses par des individus malveillants. Comment savoir si vos informations ont fuité ? À quels outils et à quelles méthodes pouvez-vous recourir pour surveiller le Dark web et identifier d'éventuelles informations vous concernant ? Voici nos meilleurs conseils pour détecter les fuites des données qui vous concernent.
Surveiller gratuitement le Dark web avec Google
Google intègre une fonctionnalité permettant de surveiller les éventuelles fuites de vos données personnelles sur le Dark Web. Par le biais de votre compte Google, accédez à l'onglet intitulé "Sécurité". Puis, cliquez sur le module "Rapport sur le Dark web". Google permet d'ajouter plusieurs adresses e-mail — y compris de fournisseurs tiers à Gmail — ainsi que de suivre des numéros de téléphone et des adresses postales. Néanmoins, il sera nécessaire de valider par réception d'un code à usage unique les adresses e-mail renseignées afin d'éviter toute tentative de fraude.
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/appli-logiciel/cybersecurite-comment-surveiller-gratuitement-vos-donnees-sur-le-dark-web-n228025.html
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Free victime d’un piratage massif : que risquez-vous si votre IBAN a été volé ?
leparisien.fr - Par Enzo Guerini
Publié le 27 octobre 2024
En plus des informations personnelles de dizaines de milliers de clients Free, comme l’identité ou encore le numéro de téléphone, les IBAN de ces abonnés ont également été dérobés lors de la cyberattaque massive contre l’opérateur, révélée ce week-end.
Free, le deuxième opérateur de téléphonie en France, a été visé par un piratage d’ampleur, les clients commençant à en être informés à partir de vendredi soir. Les noms, prénoms, adresses e-mail et postale, dates et lieux de naissance, numéros de téléphone, identifiants abonné et données contractuelles de dizaines de milliers de clients ont ainsi été dérobés, comme l’indiquait Free dans un e-mail transmis à ses souscripteurs concernés.
Seulement, selon l’ingénieur en cybersécurité Clément Domingo, les IBAN (pour « International Bank Account Number »), code qui permet d’identifier un compte en banque, ont également été dérobés lors de cette attaque.
« La nuit dernière à 4h30 du matin, le cybercriminel à l’origine de la cyberattaque de Free a diffusé un échantillon de 100 000 IBAN sur les 5,11 millions qu’il dit détenir », détaille-t-il ce dimanche sur son compte X, partageant une capture d’écran d’une publication du hackeur sur le « Amazon de la cybercriminalité ». Le vol de ces IBAN a été confirmé par Free, dimanche, dans un email envoyé à certains de ses clients.
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Chercher un travail sur LinkedIn peut finir par un piratage de tous vos comptes
Le diable s'habille en recruteur
numerama.com - Par Bogdan Bodnar
Publié le 27 octobre 2024
Des utilisateurs de LinkedIn ont reçu des messages de phishing envoyés par des cybercriminels qui ciblent les personnes à la recherche d’un nouvel emploi.
Le #opentowork sur LinkedIn est devenu un bon moyen d’attirer tous les recruteurs comme des insectes autour d’une lampe. Et, dans le tas des nombreuses offres que vous allez trouver dans votre messagerie, vous tomberez peut-être sur celle d’un cybercriminel.
La société de cybersécurité Malwarebytes a mené une enquête, publiée le 23 octobre 2024, sur les bots qui envoient automatiquement des messages à tous les comptes qui annoncent être à la recherche d’un emploi. Quelques sociétés de recrutement se sont lancées dans l’automatisation des envois d’offres, et les cybercriminels n’ont pas tardé à les suivre.
Ces derniers se déguisent à travers des comptes premium et des usurpations d’identité, pour rendre leur demande de phishing encore plus crédible. Les experts en cybersécurité sont, par exemple, tombés sur le profil d’une fausse recruteuse nommée « Kay Poppe » qui prétend travailler pour Amazon. La photo de profil semble avoir été générée par l’IA, et le nom Kay Poppe nous rappelle vaguement la « K-pop », le phénomène de la musique pop coréenne, ce qui laisse penser aux campagnes de piratage nord-coréennes.
Les documents contenaient des descriptions de postes et un programme malveillant pour dérober les données personnelles.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1833262-chercher-un-travail-sur-linkedin-peut-finir-par-un-piratage-de-tous-vos-comptes.html
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Apple a un plan contre les arnaques téléphoniques
Jean-Noël Barrot en rêvait, Apple l'a fait
numerama.com - par Nicolas Lellouche
Publié le 17 octobre 2024
Dans une prochaine mise à jour d’iOS, Apple permettra aux entreprises de certifier leurs numéros de téléphone ou leurs adresses mail à l’aide d’un logo, afin d’authentifier la provenance d’une demande. Un changement souhaitable alors que les arnaques se multiplient.
Apple a du nouveau pour les entreprises membres de son programme « Apple Business Connect », qui permet aux groupes de gérer leur présence dans Plans et dans ses autres applications.
Dans les prochaines semaines, les entreprises membres du programme pourront disposer d’un logo personnalisé lors des paiements sans contact (avec la technologie Tap to Pay) et de l’envoi d’un mail. Ce logo attestera de l’authenticité d’un expéditeur, pour éviter de se faire arnaquer par une contrefaçon. Enfin, en 2025, Apple déploiera un système anti-spam dans l’application Téléphone. Il permettra d’authentifier une vraie entreprise en un coup d’œil.
Un logo réservé aux vraies entreprises : est-ce suffisant ?
Apple a fait la démonstration de son nouveau système anti-fraude à plusieurs médias, comme 9to5mac.
Avec iOS 18.2, une mise à jour attendue en décembre, les iPhone gagneront une toute nouvelle application Mail. Cette dernière disposera d’un nouveau design avec un système de tri similaire à celui de Gmail. Elle mettra aussi en avant des logos pour chaque expéditeur, qui indiqueront s’il s’agit d’un vrai ou d’un faux mail.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1827878-apple-a-un-plan-contre-les-arnaques-telephoniques.html
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Cybercriminalité : les « stealers » Redline et META visés par une opération policière internationale
lemonde.fr - Par Florian Reynaud
Publié le 29 octobre 2024
Le marché des identifiants dérobés est devenu un secteur central de la cybercriminalité. Les deux virus visés par cette opération policière, baptisée « Magnus », ont permis le vol de plus de 227 millions de mots de passe en 2024.
Les polices de plusieurs pays, dont les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Belgique et les Etats-Unis, ont participé à une opération policière internationale, selon des communiqués publiés mardi 29 octobre. Baptisée Magnus, elle visait Redline et META, deux acteurs majeurs de la cybercriminalité.
Tous deux sont ce que l’on appelle des « infostealers », des virus conçus pour dérober, sur un ordinateur infecté, toutes les informations pouvant servir à d’autres activités criminelles. Mots de passe et adresses e-mail, cookies de connexion, données bancaires… Ces logiciels fouillent le navigateur de la victime mais aussi d’autres programmes à la recherche de tout ce qui peut permettre de se connecter à une boîte e-mail, un compte sur les réseaux sociaux, un portail bancaire ou même un réseau d’entreprise.
Lire la suite - réservée aux abonnés : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2024/10/29/cybercriminalite-les-stealers-redline-et-meta-vises-par-une-operation-policiere-internationale_6364915_4408996.html
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Cybercriminalité : Un logiciel malveillant ciblant « des millions de personnes » a été neutralisé par « Eurojust »
20minutes.fr - Pr O.M. avec AFP
MALWARE•Les données personnelles volées étaient ensuite revendues sur des plateformes clandestines.
C’est un petit pas dans la lutte contre la criminalité, mais un grand pas pour votre sécurité : une opération policière internationale a neutralisé, lundi 28 octobre 2024, un logiciel malveillant ciblant « des millions de victimes dans le monde entier », a annoncé l’unité de coopération judiciaire de l’Union européenne, Eurojust.
« Une opération mondiale, soutenue par Eurojust, a permis de démanteler des serveurs d’infostealers, un type de logiciel malveillant utilisé pour voler des données personnelles et commettre des cybercrimes dans le monde entier », a indiqué Eurojust dans un communiqué publié mardi 29 octobre 2024.
1.200 serveurs dans plus de 10 pays
L’unité de coopération judiciaire basée à La Haye, aux Pays-Bas, explique que les autorités ont agi après avoir découvert que « plus de 1.200 serveurs, répartis dans des dizaines de pays, exécutaient le logiciel malveillant ».
Baptisée « opération Magnus », la coalition policière internationale comprenant les Pays-Bas, les États-Unis, la Belgique, le Portugal, le Royaume-Uni et l’Australie a fermé trois serveurs aux Pays-Bas, saisi deux domaines, engagé des poursuites aux États-Unis et placé deux personnes en garde à vue en Belgique.
Une des plus grandes plateformes de malwares au monde
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Cybersécurité : le Centre-Val de Loire se met à jour avec le GIP Cyberéponse
mafcentre.fr - Pr Mael Petit
Publié le 30 octobre 2024
Face aux vagues croissantes de cyberattaques en Centre-Val de Loire, une nouvelle structure voit le jour pour défendre le territoire numérique régional : le GIP Cyberéponse.
Elle était présentée comme la nouvelle arme de défense contre la cybercriminalité par les autorités régionales. La voici qui prend du galon. La structure Cyberéponse, nouvel acteur essentiel de la cybersécurité dans la région, a officiellement pris son envol pour renforcer la lutte contre la cybercriminalité. Lancé en mars 2023 sous la forme d’un CSIRT (Centre de réponse aux incidents de sécurité informatique) et aujourd’hui structuré en groupement d’intérêt public, le GIP Cyberéponse offre aux entreprises et établissements publics de la région un accompagnement sur mesure pour renforcer leur défense face aux menaces numériques. Aux précédentes assises régionales de la cybersécurité à Chartres en mars 2024, la Région, l’État et les différents acteurs de la sécurité numérique s’alarmaient de la multiplication des attaques contre les entreprises du Centre-Val de Loire, un phénomène récent appelé à encore s’intensifier ces prochaines années.
« Un service public contre la cybercriminalité »
Déjà alors les différents représentants des autorités locales louaient l’efficacité du dispositif au moment de dresser un premier bilan douze mois après son lancement. Initialement porté par le GIP RECIA, la Région Centre-Val de Loire et l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), Cyberéponse démontrait sa capacité à soutenir efficacement les structures touchées par des attaques cyber : plus de 250 dossiers pris en charge, dont 19 % concernaient des incidents majeurs, sans aucun dépôt de bilan pour les entreprises impactées.
Lire la suite: https://www.magcentre.fr/318854-cybersecurite-le-centre-val-de-loire-se-met-a-jour-avec-le-lancement-du-gip-cybereponse/
Atos
Activités stratégiques : pour protéger ATOS, l’État tient un droit de veto sur les supercalculateurs.
bfmtv.com - par PS avec AFP
Publié le 31 octobre 2024
L'État a acquis une action de préférence de la filiale de supercalculateurs d'Atos pour obtenir un droit de veto.
L'État, qui souhaite depuis mars racheter les "activités stratégiques" du géant français de l'informatique en difficulté Atos, a acquis une action de préférence de sa filiale de supercalculateurs pour obtenir un droit de veto, est-il indiqué dans le Journal officiel jeudi.
"C'est un signal très clair de notre détermination à protéger les actifs stratégiques d'Atos", avait déclaré en avril l'ancien ministre de l'Économie Bruno Le Maire, juste après avoir annoncé son intention d'acquérir cette action de préférence de la filiale Bull, constructeur des supercalculateurs d'Atos, en grande difficulté après la perte de plusieurs contrats.
Les actions de préférence accordent à leur propriétaire des avantages supplémentaires par rapport à une action ordinaire, comme un droit de veto sur certaines décisions, par exemple sur le rachat par une société étrangère du capital de la filiale.
Contrats avec l'armée française
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Franchissement d’une nouvelle étape décisive dans la réalisation de la restructuration financière : Arrêté du plan de sauvegarde accélérée d’Atos par le Tribunal de commerce spécialisé de Nanterre
atos.net - communiqué
Publié le 24 octobre 2024
Atos SE (« Atos » ou la « Société ») annonce aujourd’hui que, par jugement rendu le 24 octobre 2024, le Tribunal de commerce spécialisé de Nanterre (le « Tribunal »), après avoir constaté, en application des dispositions de l’article L. 626-31 du Code de commerce, que toutes les conditions légales avaient été satisfaites, a arrêté le plan de sauvegarde accélérée d’Atos (le « Plan »), présenté lors de l’audience du 15 octobre 2024.
Philippe Salle, Président du Conseil d’administration d’Atos, a déclaré : « L’arrêté du plan de sauvegarde accélérée d’Atos par le Tribunal de commerce spécialisé de Nanterre est une étape décisive dans notre processus de restructuration financière et je tiens à remercier l’ensemble de l’équipe de direction pour le travail remarquable qu’elle a accompli au cours des derniers mois. Cette étape importante garantit la pérennité des activités d’Atos dans le meilleur intérêt de nos employés et de nos clients, et permet de projeter le Groupe sereinement vers une nouvelle page de son histoire. »
Jean Pierre Mustier, Directeur Général d’Atos, a déclaré : « Notre groupe franchit une étape décisive qui lui permet d’avoir les ressources financières pour mener à bien une nouvelle période de développement industriel sous la direction de Philippe Salle, avec une forte mobilisation de toutes nos équipes pour servir au mieux nos clients à travers l’innovation et la qualité de service. »
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Atos: La commission des Finances adopte un amendement du NFP sur une nationalisation
zonebourse.com - Rédigé par Kate Entringer, édité par Augustin Turpin
Publié le 01 novembre 2024
PARIS (Reuters) - Les députés de la commission des Finances ont adopté vendredi un amendement visant à créer un programme de nationalisation du fournisseur de services numériques Atos, en grande difficultés.
"Victoire !", a commenté sur le réseau social X Bastien Lachaud, député La France insoumise - Nouveau front populaire (LFI-NFP), après l'adoption de l'amendement déposé par son groupe.
"Cette entreprise stratégique pour la défense comme la vie quotidienne des français doit être protégée contre la vente à la découpe envisagée par le gouvernement", a-t-il ajouté.
Le groupe parlementaire LFI-NFP, peut-on lire dans l'exposé de l'amendement, "propose de créer un programme 'Nationalisation d'Atos'" en l'abondant de 70 millions d'euros en autorisation d'engagement et en crédits de paiement.
La commission des Finances examine depuis lundi la seconde partie du projet de loi de finances (PLF) pour 2025. Pour entrer en vigueur, cet amendement devra toutefois être confirmé à la fin de la navette parlementaire entre l'Assemblée et le Sénat.
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ATOS : Communiqué de presse état
boursorama.com - Bravo22 - Communiqué de presse
Publié le 02 novembre 2O24
L’État décide l’acquisition d’une action de préférence dans Bull SA, filiale française d’Atos opérant les activités stratégiques de conception et de fabrication de supercalculateurs.
La Convention de protection des actifs stratégiques mise en place entre l’État et Atos le 28 juin 2024, en contrepartie du prêt octroyé à Atos par le Fonds de développement économique et social (FDES), prévoyait l’émission d’une action de préférence dans Bull SA au bénéfice de l’État.
La souscription de cette action actée par Antoine Armand, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, contribue directement à la protection des intérêts de la Nation et de son patrimoine technologique et industriel. « L’État bénéficiera ainsi de droits renforcés, inscrits dans les statuts et pouvant aller dans certains cas jusqu’au veto, sur les informations et décisions que pourraient prendre la société. La convention et l’action de préférence garantissent un haut niveau de sécurité indispensable à la souveraineté de la Nation et démontrent la capacité de l’État à déployer les protections nécessaires dans les entreprises qui opèrent des activités stratégiques », a déclaré le ministre.
L’État poursuit par ailleurs, comme annoncé le 7 octobre dernier, l’étude en lien avec Atos de nouveaux schémas d’opérations d’acquisition des activités sensibles de la société.
Lire sur : https://www.boursorama.com/bourse/forum/1rPATO/detail/465568878/
Mobilité
Nouvelle Tarification RATP : Paris, Londres, Dublin.. Quelle ville est la plus chère pour se déplacer.
bfmtv.com - Par Lilian Pouyaud
Publié le 14 octobre 2024
2025 va rimer avec une nouvelle tarification pour les usagers du réseau de transports Île-de-France Mobilités. Certains titres vont tout bonnement disparaître, un ticket unique va faire son apparition. Côté prix, tout le monde ne sera pas gagnant avec une augmentation de certains trajets. Mais où s'inscrit le réseau francilien par rapport à ses voisins européens?
Dès 2025, certains déplacements franciliens coûteront plus cher. Dès le 2 janvier de l'année prochaine, les usagers du réseau Île-de-France Mobilités vont devoir payer plus cher les trajets en métro et les liaisons vers les aéroports. Contre 2,15 euros actuellement, le ticket T+ commun aux métros, train et RER, sans limite de distance, passe à 2,50 euros.
Néanmoins, certains trajets vont baisser leurs prix (les tickets pour les bus et les tramways). Si la nouvelle n'est pas accueillie avec joie par l'ensemble des usagers, le prix du billet unique ne risque pas de faire évoluer la position de Paris parmi le classement des villes européennes où il est plus cher de voyager. RMC Conso s'est intéressé à la tarification des transports dans ces grandes capitales voisines de la France.
Londres, Dublin, Paris, Amsterdam et Bucarest. Voici les cinq villes européennes où les transports en commun coûtent le plus cher. Selon un classement publié en 2023 par Greenpeace, ces cinq capitales s'inscrivent parmi les villes où le trajet unique coûte en moyenne plus de 2,25 euros. Dans le détail, ce classement mérite des précisions, tant la situation a légèrement évolué au cas par cas selon les villes.
La grille tarifaire fin 2024
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Mobilités et transport
france.representation.ec.eurpa.eu - Communiqué
Publié le 14 octobre 2024
La politique des transports de l'Union Européenne (UE) vise à développer un réseau d'infrastructures moderne qui rend les trajets plus rapides et plus sûrs, tout en promouvant des solutions durables et numériques.
Pierre angulaire de l’intégration européenne, les transports sont un rouage essentiel de la libre circulation des personnes, des services et des marchandises. Mais les transports sont aussi déterminants pour faire de l’Europe le premier continent neutre en carbone d’ici 2050, l’une des grandes priorités politiques de l’UE. Les collectivités locales jouent un rôle clé dans la mise en œuvre des initiatives européennes en matière de mobilité durable.
Les compétences des communes en matière de transport
Les communes sont les autorités organisatrices de la mobilité sur leur territoire. Elles sont compétentes pour l’organisation des transports publics et des services de covoiturage, du transport scolaire, de l’autopartage, le service public de location de bicyclettes, le transport de marchandises et la logistique urbaine.
Elles s’occupent également de l’élaboration du plan de déplacements urbains ainsi que de l’instauration du versement transport. La compétence des lignes capillaires de frêt peut également être déléguée aux EPCI qui en font la demande auprès de l’état français ou de ses établissements publics.
La politique européenne des transports à l’échelle des communes
Lire la suite : https://france.representation.ec.europa.eu/mobilites-transport_fr
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"Une opération unique en France" : Bordeaux Métropole entame la rénovation de ses rames de tramway les plus anciennes
francebleu.fr - Bordeaux de Jules Brelaz - Par France Bleu Gironde
Publié le 16 octobre 2024
Pour rallonger de 10 ans leur durée de vie, les 62 rames les plus anciennes du réseau de tramway bordelais vont être rénovées dans l'entreprise spécialisée ACCM basée à Clermont-Ferrand.
Rien ne se perd, tout se récupère, y compris des rames de tramway ! Opération décrite comme sans précédent en France, Bordeaux Métropole et Keolis Bordeaux Métropole Mobilité ont entamé lundi la rénovation des 62 rames les plus anciennes. Celles qui circulent depuis 20 ans vont être remises à neuf en Auvergne chez ACCM. Fondée en 1919 à Clermont-Ferrand, cette entreprise spécialisée dans le ferroviaire a remporté le marché d'appel d'offres. Les rames ainsi remises à niveau pourront rouler 10 ans de plus, rallongeant leur durée de vie de 30 à 40 ans. Ce projet, dont le coût avoisine les 35 millions d'euros, va durer jusqu'en 2029.
Feu vert du Service Technique des Transports Guidés
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L'usage des caméras piétons dans les réseaux de transport temporairement interdit
maire-info.com - Par Franck Lenard
Édition du jeudi 17 octobre 2024
Une fois encore, un manque d'anticipation conduit à devoir stopper, momentanément du moins, une expérimentation pourtant plébiscitée par les principaux concernés : l'usage des caméras piétons par les contrôleurs des transports collectifs.
Par Franck Lemarc
Il semble que l’État n’apprend pas toujours de ses erreurs. Alors qu’une situation exactement similaire s’était déjà produite en 2018, à propos des caméras piétons des policiers municipaux, les contrôleurs des services de transport n’ont plus le droit, depuis le 1er juillet, d’utiliser les leurs.
Le précédent des policiers municipaux
Revenons un peu en arrière. En 2016, la loi sur la lutte contre le crime organisé autorisait à titre expérimental les policiers municipaux à être dotés de caméras piétons pour « procéder à un enregistrement audiovisuel de leurs interventions ». La durée de l’expérimentation était fixée à deux ans et devait s’arrêter au 3 juin 2018. Or les règles régissant les expérimentations sont claires : à l’issue d’une expérimentation, le dispositif expérimenté peut être soit généralisé, soit abandonné – et pour qu’il soit généralisé, il faut qu’une loi soit votée par le Parlement.
Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/usage-cameras-pietons-dans-les-reseaux-transport-temporairement-interdit-article-29018
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La Chambre de commerce et d’industrie du Loiret lance son incubateur de start-ups
francebleu.fr - Par France Bleu Orléans
Diffusé le 14 octobre 2024
La CCI 45 a lancé il y a quelques jours un incubateur de start-up sur des thématiques particulièrement concernantes dans notre département : la logistique, la mobilité et les transports.
C'était la seule CCI du Centre-Val de Loire à ne pas en avoir, c'est désormais chose fait. La semaine dernière, la Chambre de commerce et d'industrie du Loiret a inauguré son incubateur de start-up. Mais pour pouvoir l'intégrer, ces jeunes entreprises doivent travailler sur la mobilité, les transports et la logistique. Des thèmes centraux dans l'économie loirétaine, comme l'explique Philippe Gobinet, le directeur de la CCI 45 : "le Loiret est le cinquième pôle logistique en France, avec 2.20 établissements, 51.000 salariés". des choix basés aussi sur les demandes des entreprises elles-mêmes : "Nous sommes allés au devant des entreprises pour identifier les sujet de recherche et développement externalisés qui pourraient les intéresser" explique le président.
Quelques jours seulement après son lancement, deux start-ups ont déjà intégré l'incubateur : Asgard Motors, qui développe un quad électrique 100% français à destination du secteur agricole ou forestier, et Mobilitaf, dédié au développement du covoiturage en entreprise. La CCI espère accueillir cinq start-up dans son incubateur cette année, 10 d'ici l'année prochaine.
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/emissions/trois-questions-a/la-chambre-de-commerce-et-d-industrie-du-loiret-lance-son-incubateur-de-start-ups-5844826
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Une vitre pour protéger les femmes dans les bus : la genèse et l’impact d’une initiative sécuritaire
ma-grande-taille.com - Par Anale G.
Publié le 14 octobre 2024
Sur Tik Tok, une vidéo est devenue populaire montrant une conductrice de bus protéger une utilisatrice à l’aide d’une vitre. Bien que cette vidéo soit une mise en scène, elle montre que l’insécurité est un sujet primordial et préoccupant à l’heure actuelle. Cette vitre de protection pourrait être une bonne initiative dans les transports en commun.
Face à cet enjeu sociétal majeur, celui de la sécurité des femmes dans les espaces publics, des mesures ont quand même été mise en place notamment à Lyon, où chaque véhicule devient un refuge potentiel pour celles qui se sentent menacées.
L’engagement des acteurs locaux
La métropole de Lyon illustre son engagement par la formation approfondie des chauffeur.euse.s de bus, leur permettant d’accueillir et d’intervenir efficacement auprès des femmes en détresse. Bruno Bernard, président de la métropole, souligne que ce dispositif assure non seulement la protection mais aussi une prise en charge adaptée des demandes d’assistance.
Lire la suite : https://www.ma-grande-taille.com/societe/vitre-proteger-femmes-bus-initiative-393943
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Le Cybercab de Tesla : une vision audacieuse du transport urbain de demain
Posted by par : Sébastien Meunier
Publié le 14 octobre 2024
Tesla vient de franchir une nouvelle étape avec la présentation de son Cybercab. Ce concept de robotaxi électrique sans conducteur promet de redéfinir notre façon de nous déplacer en ville. Mais entre ambition et réalité, que faut-il retenir de cette annonce qui fait déjà beaucoup parler ?
Un véhicule qui repousse les limites du design automobile
Le Cybercab se démarque radicalement des taxis traditionnels. Avec ses lignes futuristes et ses portes papillon, il ressemble davantage à un vaisseau spatial qu’à un véhicule urbain classique. L’absence de volant et de pédales témoigne de la confiance de Tesla dans sa technologie de conduite autonome.
L’intérieur du véhicule a été repensé comme un espace de vie mobile. Tesla imagine un habitacle où les passagers pourront travailler, se divertir ou se reposer pendant leurs trajets, transformant ainsi le temps de transport en temps utile ou de détente.
Des promesses ambitieuses face à des défis de taille
Tesla annonce un prix de vente inférieur à 30 000 dollars, un tarif étonnamment bas pour un véhicule aussi avancé. Cette stratégie de prix agressive pourrait bouleverser le marché des transports urbains si elle se concrétise
Lire la suite : https://digitechnologie.com/cybercab-robot-taxi-tesla/
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Transports : le plan national de cars express lancé en 2025 ?
lautomobiliste.fr - Écrit par : Paolo Garoscio
Publié le 14 octobre 2024
Le gouvernement veut déployer des cars express pour améliorer les transports dans les zones rurales.
En 2025, le gouvernement français lancera un projet ambitieux : le plan national de cars express, un nouveau projet destinée à répondre aux enjeux majeurs de mobilité dans les zones rurales et périurbaines. François Durovray, ministre délégué aux Transports, a annoncé les grandes lignes de ce programme qui vise à faciliter les déplacements quotidiens des citoyens souvent laissés pour compte par les infrastructures de transport en commun.
Plan cars express : un projet conçu pour les zones délaissées
La fracture territoriale est un problème de plus en plus montré en France, et ce plan s’entend s’attaquer directement à cette inégalité en matière de mobilité. Actuellement, près de 15 millions de Français, principalement dans les zones rurales et les périphéries des grandes villes, n’ont pas accès à des transports en commun réguliers. Ce qui les contraint à utiliser leur voiture pour des trajets parfois longs, engendrant des coûts financiers importants et contribuant aux émissions de CO2.
Lire la suite : https://lautomobiliste.fr/14/10/2024/transports-le-plan-national-de-cars-express-lance-en-2025/
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Kiwee : des voitures sans permis en autopartage pour faciliter la mobilité périurbaine
wedemain.fr - Par florence Santrot
Publié le 16 octobre 2024
Pour répondre à une problématique de mobilité en périphérie des villes, Metacar, avec sa solution en autopartage Kiwee, table sur des véhicules légers pour des trajets courts plus inclusifs et durables.
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L'originalité de Kiwee est de pouvoir accrocher les véhicules en autopartage pour les ramener à une zone de rechargement des batteries. Crédit : Metacar.
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Le Mondial de l’Auto 2024, qui se tient à Paris du 14 au 20 octobre, n’est pas que l’occasion de découvrir de nouveaux SUV ou Kitt, la célèbre voiture de K2000 (même si…). Le Mondial de l’Auto est aussi une opportunité de découvrir des projets innovants – et éco-responsables – en matière de mobilité. C’est par exemple le cas de Metacar et de ses petits véhicules Kiwee en autopartage. L’idée a germé il y a un peu plus de 10 ans, en 2013, en… observant les caddies de supermarché. Leur façon de s’emboîter et de pouvoir ainsi être déplacés facilement d’un point à un autre par une seule personne est à l’origine du projet de la société lyonnaise Metacar.
Essayez de regarder cette vidéo sur www.youtube.com
Un usage flexible pour le dernier kilomètre ou pour décongestionner des trajets très empruntés
Lire la suite : https://www.wedemain.fr/inventer/kiwee-des-voitures-sans-permis-en-autopartage-pour-faciliter-la-mobilite-periurbaine/
Organisation territoriale - Rapport
Compétences, finances, gouvernance... une nouvelle et très large mission pour Boris Ravignon
banquedesterritoires.fr - par Claire Mallet, Localtis
Publié le 23 octobre 2024
Finances et fiscalité, Organisation territoriale, élus et institutions
Depuis sa nomination, à chacune de ses interventions devant les élus locaux (notamment lors de leurs congrès), Catherine Vautrin fait part de son intention de s'appuyer sur le rapport Ravignon remis en mai dernier au précédent gouvernement. Début octobre, elle précisait avoir demandé au maire de Charleville-Mézières de conduire une nouvelle mission pour approfondir certains points de ce rapport sur "le coût du millefeuille administratif".
Les choses sont désormais officielles puisque la ministre du Partenariat avec les territoires a signé le 17 octobre avec Laurent Saint-Martin, son collègue en charge du Budget, une nouvelle lettre de mission invitant Boris Ravignon à poursuivre son travail afin de "rendre rapidement opérationnelles" les propositions de son rapport, "en en définissant les voies et les moyens".
Les "axes" ébauchés par cette lettre diffusée par nos confrères de l'AEF couvrent un très large spectre :
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/competences-finances-gouvernance-une-nouvelle-et-tres-large-mission-pour-boris-ravignon
Blockchain
Un ordinateur quantique réussit à pirater des algorithmes cryptographiques – Est-ce une menace pour la blockchain ?
cryptoast.fr - Par Zacharie Tazrout
Publié le 14 octobre 2024
L'informatique quantique est généralement présentée comme l'avenir du traitement de données tant son potentiel est immense. Toutefois, des chercheurs ont montré que cette technologie, mieux maîtrisée, pourrait être utilisée pour pirater des algorithmes cryptographiques et mettre à mal la blockchain.
Un ordinateur quantique parvient à déchiffrer plusieurs algorithmes cryptographiques
Des chercheurs chinois de l'Université de Shanghai ont affirmé avoir piraté des algorithmes de chiffrement utilisés dans la finance et dans le secteur des cryptomonnaies. Pour y parvenir, les scientifiques se sont basés sur l'informatique quantique.
En utilisant un ordinateur quantique produit par la société canadienne D-Wave Systems, les chercheurs ont réussi à déchiffrer certains algorithmes comme Presents, Gift-64 ou encore Rectangle.
Les algorithmes Present, Gift-64 et Rectangle sont des exemples de chiffrements légers (lightweight ciphers) reposant sur une structure de réseau de substitution-permutation (SPN), similaire à celle utilisée par l'Advanced Encryption Standard (AES). Précisons cependant que ces algorithmes ne constituent pas la base de l'AES, qui est une norme de chiffrement robuste et largement adoptée dans des domaines comme la finance et la protection des portefeuilles de cryptomonnaies.
L'ordinateur quantique de D-Wave System exploite la technologie de recuit quantique. Selon les scientifiques, il s'agirait, par analogie, de l'équivalent quantique des réseaux de neurones utilisés dans l'intelligence artificielle pour le deep learning.
Lire la suite : https://cryptoast.fr/ordinateur-quantique-pirater-algorithmes-cryptographiques-menace-blockchain/
Fonction Publique
Coût de la prise en charge de l'instruction des cartes nationales d'identité pour les collectivités
senat.fr - Question écrite n°01685 - 17e législature
Question de M. CADEC Alain (Côtes-d'Armor - Les Républicains-A) publiée le 17/10/2024
M. Alain Cadec attire l'attention de M. le ministre de la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l'action publique M. Alain Cadec attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur la question du coût supporté par les communes concernant l'instruction et la délivrance des cartes nationales d'identité (CNI).
Mis en oeuvre sur la période 2016-2020, le plan « préfectures nouvelle génération » en matière d'instruction des demandes de cartes nationales d'identité a profondément modifié l'organisation de l'administration territoriale. Dès 2017, la mission qui concernait les demandes de CNI était confiée aux communes disposant d'un dispositif de recueil (DR), même si les mairies assuraient déjà depuis 2009 l'instruction des passeports biométriques.
Ce transfert de gestion reste une charge conséquente pour les communes, et qui pèse lourdement sur les finances, puisqu'il nécessite des moyens humains et matériels.
Pour exemple, dans le département des Côtes-d'Armor, la commune de La Motte. Un agent à mi-plein, affecté à cette mission, coûte à la commune plus de 17 364 euros par an alors que les dotations de compensations versées par l'État aux communes ne sont que de 8 530 euros par an.
Il lui demande si le Gouvernement a l'intention de compenser le coût réel de cette mission pour les communes, autrefois assurée par les services de l'État.
Lire la suite : https://www.senat.fr/questions/base/2024/qSEQ241001685.html
France Identité
La carte vitale et France Identité ne fusionneront pas, mais les apps vont s’aider entre elles.
igen.fr - Par Greg Onizuka
Publié le 18 octobre 2024
Depuis maintenant plusieurs mois, voire plus d’un an, le gouvernement louvoie sur le rapprochement de la carte d’identité et de la carte vitale. Projet longtemps couvé par Gabriel Attal, déjà en tant que ministre de l’Action et des Comptes publics mais plus encore en tant que Premier Ministre, il semblait devoir continuer sous l’ère Barnier, en tout cas si l’on se référait à ses premières déclarations.
Il en va cependant autrement après les clarifications plus que nécessaires obtenues récemment par Acteurs publics. Alors que l’on s’attendait à voir fusionner la carte vitale (ou plutôt son penchant numérique, la e-carte vitale) avec la carte d’identité dématérialisée, le tout dans l’app France Identité, ce ne sera finalement pas le cas. Même si les deux se rapprochent effectivement, le mariage n’aura pas lieu.
Une procédure simplifiée
Si chacune restera dans son app personnelle, la CNIe (pour Carte Nationale d’Identité électronique) et son acolyte France Identité permettront tout de même de faciliter la création d’une e-carte vitale, en simplifiant la procédure d’enregistrement jusqu’ici plutôt lourde.
Sans CNIe, l’utilisateur souhaitant une carte vitale dématérialisée doit en effet suivre plusieurs étapes : enregistrement du numéro de carte vitale, de l’adresse mail, vérification de cette dernière par code, vérification vidéo de la pièce d’identité, et enfin une reconnaissance faciale ! Seulement une fois toutes ces étapes remplies, vous aurez votre fameuse e-carte vitale, sous 48h. Sous réserve que tout se passe bien...
Lire la suite : https://www.igen.fr/app-store/2024/10/la-carte-vitale-et-france-identite-ne-fusionneront-pas-mais-les-apps-vont-saider-entre-elles-146497
Intelligence artificielle
Intelligence artificielle : quelle mise en œuvre au ministère de l'économie et des finances ?
vie-publique.fr - Par La Rédaction
La Cour des comptes a publié de récentes observations sur la mise en œuvre de l’intelligence artificielle (IA) dans les politiques publiques. Le ministère de l’économie et des finances, qui expérimente l’IA depuis 2015, sert d’objet d’étude.
Les observations publiées le 22 octobre 2024 étudient les effets de l'IA en termes de gains de productivité ainsi que la manière dont est géré le risque au sein du ministère de l'économie et des finances, sur les exercices 2015-2023.
Le déploiement de l'IA au sein du ministère de l'économie et des finances
Huit directions du ministère recourent aux systèmes d’IA. La Cour estime à 66,3 millions d’euros le montant total des coûts de développement des 35 systèmes d’IA recensés au ministère sur la période 2015-2023. L’IA est utilisée pour des missions variées. Comme le souligne la Cour : "les systèmes d’IA recensés concernent la fiscalité, les contrôles douaniers, la lutte contre le blanchiment, la statistique publique, le droit de la consommation, les aides aux entreprises, la sécurité économique, le contrôle réglementaire de la dépense publique ou encore les relations avec les fournisseurs de l’État".
Pour la Cour des comptes, l’IA permet globalement des gains de productivité. Le recours à cinq systèmes d’IA à la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et à l’Agence pour l’informatique financière de l’État (AIFE) a généré 20,4 millions d’euros d'économie en 2022 même si une économie de 46,6 millions d’euros était attendue pour l'exercice 2022.
Globalement, les systèmes d’IA améliorent la productivité dans une majorité de cas mais ne permettent pas nécessairement de libérer des emplois. Dans un certain nombre de tâches, le recours aux systèmes d’IA peut même accroître le volume d’activité des services.
Des risques maîtrisés ?
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/295892-intelligence-artificielle-quelle-mise-en-oeuvre-au-sein-de-letat
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Ces méthodes permettent de mieux identifier la vérité »… Un chercheur français en intelligence artificielle récompensé
20 minutes.fr - Par Gilles Durand
Publié le 18 septembre 2024
INTERVIEW - Directeur de recherche au CNRS, le Nordiste Sébastien Konieczny a été récompensé par un prix européen pour ses travaux sur l’intelligence artificielle.
L'essentiel Le chercheur Sébastien Konieczny a été nommé EuAI Fellow 2024 pour ses travaux dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Les systèmes intelligents peuvent-ils raisonner de manière fiable en présence d’incohérences dans leurs sources d’information ? C’est l’un des grands enjeux du développement de l’intelligence artificielle (IA). Un chercheur nordiste de 50 ans vient d’être nommé EuAI Fellow 2024, un titre, décerné par l’association européenne d’intelligence artificielle qui récompense « l’ensemble de ses activités de recherche portant sur la fusion de croyances et la gestion de l’incohérence ». Rencontre avec Sébastien Konieczny, directeur de recherche CNRS au centre de recherche en informatique de Lens*, dans le Pas-de-Calais.
Comment vivez-vous cette récompense ?
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« Chez BNP Paribas, l'intelligence artificielle entre dans une nouvelle ère ! »
http.group.bnpparibas - Par Hugues Even, Group Chief Data Officer
Publié le 15. octobre 2024
BNP Paribas entre dans une nouvelle phase d’intégration de l’intelligence artificielle, avec plus de 750 cas d’usage déjà en production et de fortes ambitions de développement. Rencontre avec Hugues Even, Chief Data Officer de BNP Paribas, qui revient sur les progrès réalisés au sein du Groupe et les défis à relever pour que l’IA soit responsable et au service de tous et toutes.
Group Data Office de BNP Paribas, dont vous êtes responsable, a récemment organisé la 7ème édition de l'AI Summer School. Quel était le thème cette année et sur quoi ont principalement porté les échanges ?
Cette année, plus de 4000 collaborateurs et collaboratrices, issus de l’ensemble de nos métiers et fonctions, ont participé à l’AI Summer School de BNP Paribas. Un chiffre qui montre bien que le sujet de l’intelligence artificielle est entré dans une nouvelle dimension. Ce n’est plus aujourd’hui une thématique intéressant seulement les experts de l’IA, de la data et de l’IT, mais un enjeu véritablement transverse à l’entreprise qui concerne l’ensemble de nos équipes, qu’elles couvrent les ventes, le marketing, la conformité, les risques ou encore le juridique.
Cette année, les échanges ont largement porté sur l’intelligence artificielle générative (Gen AI). Nous avons également abordé l'importance capitale de la formation et du développement des compétences, ainsi que la nécessité d'une collaboration renforcée entre experts internes et partenaires externes, à l’instar de l’accord partenariat récemment conclut avec Mistral AI.
Où en est le groupe BNP Paribas en matière d'intelligence artificielle ?
Lire la suite : https://group.bnpparibas/actualite/chez-bnp-paribas-lintelligence-artificielle-entre-dans-une-nouvelle-ere
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Pour l'adoption d'une IA responsable et sécurisée dans l'entreprise : et si l'IA privée était la clé ?
Journaldunet.com - Chronique de Nicolas Ouerimi VMware
Publié le 16 octobre 2024
Les dépenses dans l'intelligence artificielle devraient passer de 175,9 milliards de dollars en 2023 à 509,1 milliards de dollars en 2027, soit une augmentation de 30,4 %.
« Plus de 80% des entreprises du Fortune 500 ont adopté ChatGPT », se félicitait OpenAI en août dernier. Une façon de suggérer que le chatbot est très bien implanté dans le monde du travail et que la percée de l’IA générative a accéléré la progression de l’IA en entreprise au cours des douze derniers mois. Ainsi, selon les prévisions du cabinet IDC, les dépenses dans l’intelligence artificielle devraient passer de 175,9 milliards de dollars en 2023 à 509,1 milliards de dollars en 2027, soit une augmentation de 30,4 %.
Toutefois, la plongée au cœur du quotidien des entreprises révèle une réalité plus contrastée. En effet, nombreux sont les départements IT qui sont favorables à la vague de l’intelligence artificielle et à son adoption mais qui laissent poindre leurs craintes concernant la gestion et la sécurité des données. Les données représentant le cœur des systèmes d’intelligence artificielle, les entreprises doivent donc les protéger et les exploiter scrupuleusement pour alimenter de manière effective leurs modèles. Cependant, elles doivent également se démarquer de la concurrence en maintenant la cadence et le champ de l’innovation autour de l’IA. Face à cette double injonction, comment peuvent-elles maximiser le potentiel de l’IA tout en adoptant cette technologie de manière durable et éthique ?
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Open source : IBM dévoile Granite 3.0, sa nouvelle génération de LLMs optimisés pour les entreprises
actuai.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 25 octobre 2024
Lors de l’événement annuel TechXchange d’IBM, la société a annoncé la sortie de Granite 3.0, la dernière version de sa famille de modèles de langage (LLM) open source, adaptés aux besoins des entreprises. Granite 3.0 se distingue par son équilibre entre performance, sécurité et rentabilité, répondant aux défis de l’utilisation de LLMs dans des environnements professionnels.
La suite de modèles Granite 3.0 comprend :
Granite 3.0 : un modèle d’efficacité et de flexibilité
Granite 3.0 8B et 2B ont été entraînés à partir de 12 000 milliards de jetons de données, provenant de 12 langages naturels et de 116 langages de programmation différents. Les entreprises peuvent les personnaliser avec leurs propres données grâce à la méthode d’alignement InstructLab, introduite par IBM et Red Hat en mai dernier. Elle permet aux entreprises de personnaliser les modèles en utilisant des données synthétiques et des protocoles de formation adaptés à leurs besoins, réduisant ainsi les coûts de trois à vingt-trois fois, et les délais de mise en œuvre.
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L’ascension des attaques de phishing : quand l’IA redéfinit la cybercriminalité
forbes.com - Une contribution de Hamza Sayah, co-fondateur et CTO de Qevlar AI
Publié le 12 octobre 2024
Les attaques de phishing ont atteint un niveau de sophistication sans précédent en 2024, marquant une nouvelle ère dans la cybercriminalité. Au cœur de cette évolution, l’Intelligence Artificielle (IA) joue un rôle central en transformant les méthodes des cybercriminels. Ce changement n’a pas seulement renforcé l’efficacité des campagnes de phishing, mais a aussi permis à des acteurs novices de mener des attaques complexes avec une facilité déconcertante. Cette démocratisation des outils d’IA met en lumière une menace croissante pour les entreprises du monde entier.
L’évolution des tactiques de phishing : un aperçu
En l’espace de quelques années, les campagnes de phishing sont passées de simples courriels de masse à des attaques ciblées, personnalisées et difficiles à détecter. Aujourd’hui, grâce à des technologies génératives comme les grands modèles de langage (LLM) et des outils d’automatisation, les cybercriminels peuvent créer des messages trompeurs quasi parfaits. Ils peuvent également cloner des sites web et des pages de connexion en quelques minutes, augmentant ainsi la probabilité de succès de leurs tentatives d’usurpation d’identité.
Les dernières statistiques montrent une augmentation significative de 58 % des attaques de phishing à l’échelle mondiale en 2023. Cette hausse reflète non seulement la portée croissante des cybercriminels, mais aussi leur capacité à exploiter des données publiques pour cibler des individus ou des organisations avec une précision redoutable.
Phishing et IA : une nouvelle frontière pour les cyberattaques
Lire la suite : https://www.forbes.fr/technologie/lascension-des-attaques-de-phishing-quand-lia-redefinit-la-cybercriminalite/
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Lutte contre la fraude fiscale : quelle place pour l'intelligence artificielle ?
vie-publique.fr - Par la Rédaction
Publié le 14 octobre 2024
L’évasion fiscale coûte chaque année entre 80 et 120 milliards d’euros à l’État. L’intelligence artificielle (IA) est utilisée depuis 2013 par la Direction générale des finances publiques (DGFiP) pour moderniser le ciblage de la fraude fiscale. Un rapport parlementaire fait le point sur ce recours à l’IA.
L'Assemblée nationale a publié, en juillet 2024, un rapport d'information sur l'usage des nouvelles technologies dans le contrôle fiscal.
Intelligence artificielle et moyens humains
Extraction automatisée d’informations par reconnaissance optique de caractère, data mining (exploration de données)... différentes techniques permettent un meilleur repérage des situations frauduleuses, tout en entraînant des gains de productivité.
Entre 2016 et 2022, les effectifs du contrôle fiscal ont diminué de plus de 15%, passant de 12 303 à 10 427 équivalents temps plein (ETP).
Selon le rapport, alors que le recours à l'IA sert régulièrement de justification à des suppressions de postes, les gains de productivité n’ont pas été réellement mesurés. La part des suppressions de postes véritablement induite par l’utilisation de l'IA n’est pas quantifiable.
Le recours à l'IA et au data mining ne supprime pas l’intervention humaine, car les dossiers ciblés font toujours l’objet d’un examen par un agent pour vérifier la pertinence des motifs de sélection et pour organiser un contrôle.
Par ailleurs, l'utilisation de l'IA en administration centrale a entraîné une perte de compétence des agents des services déconcentrés.
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/295696-lia-au-service-de-la-lutte-contre-la-fraude-fiscale
Vie numérique
Un dernier adieu à l'ère numérique : et si notre identité survivait dans le cloud ?
journaldunet.com - Chronique de Sacha Carol - Interpresse SAS
Notre vie numérique est devenue une extension de nous-mêmes. Réseaux sociaux, courriels, photos, documents : nos données personnelles sont disséminées sur d'innombrables plateformes.
Notre identité numérique : un double virtuel
Si l'on considère que notre identité numérique est un reflet de notre personnalité, de nos passions et de nos relations, alors sa disparition soulève de nombreuses interrogations. Que se passe-t-il de nos souvenirs numérisés, de nos échanges avec nos proches ? Comment concilier notre désir d'immortaliser notre mémoire et le caractère éphémère de nos données en ligne ?
Le défi de la succession numérique
La mort pose des questions complexes en matière d'héritage. Si l'héritage matériel est relativement bien réglementé, qu'en est-il de notre patrimoine numérique ? Comment transmettre ses mots de passe, ses comptes en banque en ligne, ses photos et ses vidéos à ses proches ? En l'absence de directives claires, c'est souvent le chaos qui s'installe, laissant les familles démunies face à un labyrinthe numérique.
Les enjeux juridiques et éthiques
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cloud/1534949-un-dernier-adieu-a-l-ere-numerique-et-si-notre-identite-survivait-dans-le-cloud/
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Vers une numérisation des passeports et cartes d’identité pour plus de services en Europe
solutions.numériques.com - par Patrice Repreneur
Publié le 15 octobre 2024
La Commission européenne a récemment soumis une proposition pour numériser les passeports et les cartes d’identité pour toute personne voyageant à destination ou en provenance de l’espace Schengen. Cette initiative, qui pourrait se concrétiser d’ici à 2030, s’inscrit dans le cadre de l’évolution numérique des services publics européens et a pour objectif d’améliorer la sécurité, l’efficacité des contrôles aux frontières et de faciliter les déplacements des personnes.
Chacun pourra demander une identité gratuitement pour faciliter sa mobilité et l’accès à de nombreux services.
Cette proposition est liée à la mise en place des portefeuilles européens d’identité numérique, dans lesquels les passeports et cartes d’identité numériques pourront être stockés au même endroit que les permis de conduire, prescriptions médicales et autres documents de la vie des utilisateurs en format numérique.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/vers-une-numerisation-des-passeports-et-cartes-didentite-pour-plus-de-services-en-europe/
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La carte vitale et France Identité ne fusionneront pas, mais les apps vont s’aider entre elles
igen.fr - Par Greg Onizuka
Publié le 18 octobre 2024
Depuis maintenant plusieurs mois, voire plus d’un an, le gouvernement louvoie sur le rapprochement de la carte d’identité et de la carte vitale. Projet longtemps couvé par Gabriel Attal, déjà en tant que ministre de l’Action et des Comptes publics mais plus encore en tant que Premier Ministre, il semblait devoir continuer sous l’ère Barnier, en tout cas si l’on se référait à ses premières déclarations.
Il en va cependant autrement après les clarifications plus que nécessaires obtenues récemment par Acteurs publics. Alors que l’on s’attendait à voir fusionner la carte vitale (ou plutôt son penchant numérique, la e-carte vitale) avec la carte d’identité dématérialisée, le tout dans l’app France Identité, ce ne sera finalement pas le cas. Même si les deux se rapprochent effectivement, le mariage n’aura pas lieu.
Une procédure simplifiée
Lire la suite : https://www.igen.fr/app-store/2024/10/la-carte-vitale-et-france-identite-ne-fusionneront-pas-mais-les-apps-vont-saider-entre-elles-146497
Paiement électronique
L’Algérie prépare le lancement d’un système de paiement électronique instantané
wearetech.africa.fr - Par Samira Njoya
Publié le 14 octobre 2024
A l'instar de nombreux pays africains, l'Algérie s'efforce d'améliorer le niveau de vie et de moderniser ses infrastructures. Le lancement d’un système de paiement instantané s'inscrit dans ces efforts pour une prospérité durable et une inclusion financière renforcée.
L’Algérie se prépare à lancer un système de paiement électronique instantané dans les prochains mois. C’est ce qu’a annoncé Nabil Dahia, vice-directeur général du Centre de pré-compensation interbancaire (CPI), lors de la Conférence internationale sur les paiements numériques organisée la semaine passée par le ministère algérien des Finances et la Banque d’Algérie, en partenariat avec le Fonds monétaire arabe (FMA).
« La Banque d’Algérie se prépare au lancement du projet de système de paiement instantané afin d’atteindre des objectifs stratégiques liés à l’inclusion financière, d’améliorer l’accès aux services de paiement et de réduire les coûts et les risques associés aux transactions », a déclaré Nabil Dahia.
Le futur système permettra d’effectuer des transactions financières en ligne de manière instantanée, permettant aux commerçants de recevoir immédiatement le montant des transactions. A l’heure actuelle, les fonds versés par les clients sont crédités sur le compte du commerçant après un délai pouvant atteindre 72 heures. Cette évolution représente un saut qualitatif dans le secteur des services bancaires, visant à fluidifier les paiements et à faciliter les échanges.
Lire la suite : https://www.wearetech.africa/fr/fils/actualites/tech/l-algerie-prepare-le-lancement-d-un-systeme-de-paiement-electronique-instantane
Désinformation
Les enfants sont plus exposés aux risques d’abus et d’exploitation sexuels à travers les nouvelles technologies
© UNICEF/Ueslei Marcel
Publié le 11 octobre 2024, Droit et prévention du crime
Les abus sexuels et l’exploitation des enfants se sont intensifiés dans l’environnement numérique, avec plus de 300 millions d’enfants victimes chaque année d’abus sexuels et d’exploitation en ligne, a alerté vendredi une Experte indépendante des Nations Unies.
Dans un rapport présenté à l’Assemblée générale de l’ONU, la Rapporteure spéciale sur la vente, l’exploitation et les abus sexuels concernant des enfants explique comment l’utilisation abusive des technologies existantes et émergentes exacerbe et amplifie l’exposition des enfants aux risques, aux préjudices et aux diverses formes d’exploitation et d’abus sexuels.
Les technologies existantes sont utilisées à « mauvais escient pour harceler sexuellement, prendre et partager des images et des vidéos non consensuelles, produire du matériel pédopornographique, extorquer sexuellement des enfants et diffuser en direct des images d’abus sexuels sur des enfants».
L’impact des 'deepfakes' et de l’intelligence artificielle
« Les technologies offrent un large éventail de possibilités de protéger et de faire respecter les droits de l’enfant, mais leurs capacités rapides, évolutives et sans précédent présentent des risques importants pour les enfants et les exposent à des préjudices », a déclaré Mama Fatima Singhateh.
A l’instar des technologies émergentes, telles que « les deepfakes, la nudité, le dé-vieillissement, l’intelligence artificielle, le partage de fichiers peer-to-peer intégré et le clonage vocal », qui selon l’experte « amplifient et étendent les méthodes existantes d’exploitation des enfants et de production de matériel pédo-pornographique ».
Lire la suite : https://news.un.org/fr/story/2024/10/1149661
CNIL
Quels sont les manquements récemment sanctionnés par la CNIL ?
solutions-numériques.com - Par Patrice Remeur
Publié le 14 octobre 2024
Depuis juin 2024, la CNIL a prononcé onze sanctions dans le cadre de sa procédure simplifiée, pour un total d’amendes de 129 000 euros. Ces sanctions révèlent divers manquements au RGPD qui sont couramment réalisées par les organisations.
Quels sont les principaux manquements relevés dans cette procédure simplifiée ? Mise en place en 2024, cette procédure a conduit à 28 décisions en 9 mois, pour un total de 290 500 euros d’amendes, dépassant ainsi les sanctions de 2023.
« Cette augmentation reflète la volonté de la CNIL d’appliquer rigoureusement le RGPD », souligne l’autorité. « Il est important de rappeler que la mise en conformité peut aussi se faire sans mises en demeure ou sanctions. Par exemple, lors du traitement des plaintes, les services de la CNIL peuvent intervenir auprès des responsables pour obtenir cette mise en conformité, comme lors d’échanges avec le délégué à la protection des données afin de satisfaire une demande d’exercice de droits », prévient-elle également.
Des manquements courants
Ainsi, les principaux manquements des entreprises constatés sont :
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/quels-sont-les-manquements-recemment-sanctionnes-par-la-cnil/
Budget 2025
Budget 2025 : le gouvernement confirme l'effort demandé aux élus locaux
N°AMF Finances - Par Xavier Brivet
Publié le 17 octobre 2024
Devant les élus d'Intercommunalités de France, réunis lors de leur Convention nationale, le 17 octobre, au Havre (76), Catherine Vautrin a confirmé l'effort de 5 milliards d'euros demandé par le gouvernement aux collectivités et à leurs groupements. Elle a ouvert deux chantiers : l'un sur la fiscalité locale, l'autre sur la simplification pour supprimer les mesures pesant sur les budgets locaux.
La ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation, Catherine Vautrin, à la 34e convention d'Intercommunalités de France, le 17 octobre 2024, au Havre.
« Je ne peux pas effacer les 5 milliards d’euros », a déclaré Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation, le 17 octobre, devant les élus d’Intercommunalités de France réunis en convention nationale, au Havre (76). La veille, dans une motion, ces derniers avaient demandé au gouvernement de renoncer à leur imposer, l’an prochain, cette contribution dans le cadre de leur participation au redressement des comptes publics.
Devant la ministre, Sébastien Martin, président de la communauté d’agglomération du Grand Chalon (71) et d’Intercommunalités de France, a fustigé «une reprise en main des budgets locaux », qui aura un impact direct «sur les services publics rendus aux habitants et l’investissement local ».
Haro sur le «fonds de précaution »
Lire la suite : https://www.mairesdefrance.com/budget-2025-gouvernement-confirme-effort-demande-elus-locaux-article-28115-0
Cybersécurité
Cybersécurité : Numeum et le Campus Cyber lancent la plateforme Cyber4Tomorrow.fr et signent un partenariat avec Cybermalveillance.gouv.fr pour une cybersécurité durable et inclusive
cybermalveillance.com - Communiqué
Publié le 15 octobre 2024
À l’occasion des Assises de la Cybersécurité 2024, et en plein cœur du Cybermoi/s, Numeum et le Campus Cyber annoncent deux initiatives majeures : le lancement de la plateforme Cyber4Tomorrow.fr et la signature d’un partenariat avec Cybermalveillance.gouv.fr. L’ambition est commune : mobiliser l’écosystème cyber et les citoyens autour de pratiques durables, inclusives et sécurisées dans le cyberespace. Ce type d’initiative se révèle d’autant plus utile dans un contexte où près d’une entreprise française sur deux (49%)* déclare avoir subi au moins une cyberattaque en 2023.
Cyber4Tomorrow : trois piliers pour passer à l’action
Incubée au Studio des Communs du Campus Cyber, l’initiative Cyber4Tomorrow vise à promouvoir un grand mouvement « cybercitoyen » en embarquant une large communauté d’acteurs : professionnels de la cybersécurité (ESN, startups, clients finaux, etc.), institutionnels, acteurs de la recherche ou encore étudiants pour répondre aux défis sociaux et environnementaux liés à la sécurité numérique. Elle permet à ces professionnels de devenir de véritables cybercitoyens en passant à l’action grâce à trois piliers fondateurs :
L’initiative est aujourd’hui pilotée par le Campus Cyber, Numeum, et de nombreuses entreprises de la filière fortement engagées en faveur d’une cybersécurité et d’un numérique plus responsable.
Cyber4Tomorrow : la plateforme d’actions concrètes pour une cybersécurité à impact
Lire la suite : https://www.cybermalveillance.gouv.fr/tous-nos-contenus/actualites/numeum-campus-cyber-cyber4tomorrowfr-cybermalveillancegouvfr
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Cybersécurité : la loi NIS 2 entre en vigueur, un tsunami pour les entreprises et collectivités
latribune.fr - Par Guillaume Renouard, à Londres
Publié le 16 octobre 2016
La directive entre en application dès le 17 octobre et s'applique à 100.000 organisations en Europe, dont 15.000 en France. Elle impose aux grands groupes et aux PME de 18 secteurs de renforcer leurs cyberdéfenses.
La nouvelle loi NIS 2 touche davantage de PME, et le champ d'activité a été étendu à 18 secteurs, dont la santé, les transports, la gestion des déchets, les fournisseurs de services numériques ou encore les communes de plus de 30.000 habitants. (Crédits : Reuters)
Plus une semaine ne passe sans une cyberattaque d'ampleur, obligeant les autorités à adapter leur législation au fil de l'eau pour protéger leurs entreprises et infrastructures publiques. Cet impératif a poussé en 2016 le Parlement européen à adopter la directive NIS (pour Network and Information Systems), dont l'application a démarré à partir de 2018. Son objectif était d'imposer un certain standard de cybersécurité aux entreprises opérant dans des secteurs d'importance vitale ou stratégique, comme l'énergie, l'alimentation ou encore les services financiers.
Mais le domaine de la cybersécurité évoluant à toute allure, NIS se révèle déjà obsolète. Comme les grandes entreprises et agences gouvernementales ont considérablement renforcé leurs cyberdéfenses, les cybercriminels ont en effet déniché une nouvelle astuce pour les contourner : cibler les plus petites sociétés situées en amont et en aval de la chaîne de valeur, plus vulnérables. Et qui ne tombaient pas sous le coup des exigences de NIS.
Cybercriminalité
Attaques de phishing : quand l’IA redéfinit la cybercriminalité
ecoreseau.fr - Par LMedia
Publié le 14 octobre 2024
Par Hamza Sayah, cofondateur et CTO de Qevlar AI, qui utilise l’IA pour aider les entreprises à lutter contre les cyberattaques.TRIBUNE. Les attaques de phishing ont atteint un niveau de sophistication sans précédent en 2024, marquant une nouvelle ère dans la cybercriminalité. Au cœur de cette évolution, l’Intelligence Artificielle (IA) joue un rôle central en transformant les méthodes des cybercriminels. Ce changement n’a pas seulement renforcé l’efficacité des campagnes de phishing, mais a aussi permis à des acteurs novices de mener des attaques complexes avec une facilité déconcertante. Cette démocratisation des outils d’IA met en lumière une menace croissante pour les entreprises du monde entier
L’évolution des tactiques de phishing : un aperçu
En l’espace de quelques années, les campagnes de phishing sont passées de simples courriels de masse à des attaques ciblées, personnalisées et difficiles à détecter. Aujourd’hui, grâce à des technologies génératives comme les grands modèles de langage (LLM) et des outils d’automatisation, les cybercriminels peuvent créer des messages trompeurs quasi parfaits. Ils peuvent également cloner des sites Web et des pages de connexion en quelques minutes, augmentant ainsi la probabilité de succès de leurs tentatives d’usurpation d’identité.
Lire la suite : https://www.ecoreseau.fr/expressions/tribune-libre/attaques-de-phishing-quand-lia-redefinit-la-cybercriminalite-2024-10-14-108621
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La France est le cinquième pays européen le plus ciblé par des cybercriminels affiliés à un État
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 16 octobre 2024
Microsoft a publié son rapport annuel sur l’état de la cybercriminalité et les tendances en matière de menaces cyber. Cette étude met en évidence une augmentation significative du recours aux outils d’IA générative de la part des acteurs malveillants, notamment russes et chinois, et une concentration des menaces étatiques autour de zones de conflit.
600 millions : c’est le nombre d’attaques provenant de cybercriminels ou de groupes étatiques auxquelles sont confrontés les clients de Microsoft chaque jour, qu’il s’agisse d’opérations de ransomware, de phishing ou d’usurpation d’identité. Un chiffre qui ressort du cinquième rapport sur la défense numérique publié le 15 octobre par la firme de Redmond. Entre juillet 2023 et juin 2024, Microsoft a reçu en moyenne 78 000 milliards de “signaux de sécurité” par jour, à partir des différents outils logiciels, du cloud et des terminaux (+20% sur un an).
Les hackers utilisent des outils d’IA pour générer des milliers de faux CV
PLire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/la-france-est-le-cinquieme-pays-europeen-le-plus-cible-par-des-cybercriminels-affilies-a-un-etat.N2220576
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Cybersécurité : OpenAI a perturbé plus de 20 opérations malveillantes exploitant ChatGPT
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 14 octobre 2024
La société d’intelligence artificielle affirme que son agent conversationnel est utilisé par des cybercriminels pour développer des malwares, mener des attaques de phishing par ingénierie sociale et contribuer à la désinformation. Elle a notamment identifié des groupes de hackers chinois et iraniens.
OpenAI a publié la semaine dernière un rapport détaillant une vingtaine de cas dans lesquels des acteurs malveillants ont utilisé ChatGPT pour mener à bien leurs opérations. “Depuis le début de l’année, nous avons perturbé plus de 20 opérations et réseaux frauduleux du monde entier, qui tentaient d’utiliser nos modèles, écrit la société de San Francisco. Leurs activités allaient du développement de malwares à la rédaction d’articles web, en passant par la création de contenus par de faux profils ensuite postés sur les réseaux sociaux.”
Une utilisation de ChatGPT pour faciliter les opérations cybermalveillantes offensives
La société américaine avait déjà fait part d’opérations malveillantes exploitant ses outils d’IA générative, notamment pour mener des campagnes d’influence et rechercher des vulnérabilités. Avec ce rapport, OpenAI montre que des hackers peuvent être aussi facilités dans leurs opérations offensives. “Les acteurs de la menace ont le plus souvent utilisé nos modèles pour effectuer des tâches dans une phase spécifique et intermédiaire de leur activité”, précise-t-elle. Cela signifie par exemple que des hackers ont pu utiliser ChatGPT pour déployer des malwares et faux profils, mais ne s’en sont pas servi pour se procurer des noms de comptes.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-openai-a-perturbe-plus-de-20-operations-malveillantes-exploitant-chatgpt.N2220430
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Cyberguerre : Microsoft appelle les démocraties à s’armer face aux menaces de la Russie, de l’Iran et de la Chine
challenges.fr - Par Paul Loubière
Publié le 16 octobre 2024
Le rapport de Microsoft sur l’état des cybermenaces en 2024 vient de sortir. Il se démarque nettement des opus précédents en demandant la mise en place d’une régulation internationale pour lutter contre la cybercriminalité en provenance de certains États. Sans surprise, le rapport épingle la Russie, l’Iran, la Chine et la Corée du Nord et lance un plan de formation en France pour contribuer à combler le déficit en compétences.
Une fois n’est pas coutume, Microsoft souhaite davantage de régulation et milite pour que les Etats s’engagent ouvertement dans la défense de l’internet. Dans son dernier rapport sur les cybermenaces, le géant américain explique en effet que la guerre contre la cybercriminalité ne peut pas se faire avec seulement des moyens techniques. Il en appelle à la dissuasion judiciaire. « Si l’industrie doit faire davantage pour déjouer les efforts des attaquants grâce à une meilleure cybersécurité, affirme Tom Burt, vice-président sûreté et confiance des consommateurs, cela doit aller de pair avec des actions du gouvernement pour imposer des conséquences qui découragent les attaques les plus dangereuses. » En clair, Microsoft souhaite la mise en place d’une véritable dissuasion cyber pour décourager les criminels qui, aujourd’hui, ne risquent pas grand-chose faute d’une véritable coopération internationale.
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[Etude Cybercriminalité] une multiplication alarmante des tentatives de fraudes basées sur l’IA !
webmarketing.com - Par Nini Brusa
Publié le 8 octobre 2024
L’intelligence artificielle n’est pas seulement utilisée pour générer du texte, des images ou de la musique. De plus en plus exploitée pour mettre en œuvre des pratiques frauduleuses complexes, elle est devenue une arme redoutable pour les cybercriminels ! Alertées par la multiplication des tentatives de fraude basées sur l’IA, les institutions financières ont plus que jamais besoin de renforcer leurs défenses. Pour mieux comprendre ce phénomène et nous aider à mieux réagir, Signicat a dévoilé sa nouvelle étude Battle Against AI-Driven Identity Fraud…
De nouvelles tendances alarmantes en matière de fraude basée sur l’IA
Les techniques de fraude utilisant l’IA représentent aujourd’hui une grande menace dans plusieurs secteurs, à commencer par le secteur financier. Dans son étude, Signicat a principalement mentionné les campagnes de phishing ou hameçonnage avancées, les deepfakes et l’utilisation d’identités synthétiques.
Avec ces nouvelles techniques, les cybercriminels parviennent à exécuter encore plus facilement des fraudes de plus en plus sophistiquées.
Lire la suite : https://www.webmarketing-com.com/2024/10/18/1733198-etude-cybercriminalite-multiplication-fraude-basees-sur-ia
Thales
LES SYSTÈMES RADIO DE THALES, TESTÉS AVEC SUCCÈS PAR LES FORCES ARMÉES ALLEMANDES, SERONT DÉPLOYÉS AU SEIN DES GROUPEMENTS DE PRÉSENCE AVANCÉE DE L’OTAN
thalesgroup.com/fr - Communiqué de presse
Publié le 15 octobre 2024
Les forces armées allemandes ont réalisé des essais opérationnels avec les systèmes radio PR4G et SYNAPS-H de Thales en vue de démontrer leur conformité aux besoins des groupements tactiques multinationaux déployés par l’OTAN.
Les systèmes radio de Thales, destinés à être utilisés dans le cadre de la présence avancée de l’OTAN ont été testés lors d’essais opérationnels d’une durée de quatre semaines, organisés sous la direction du bureau de développement des forces armées. Ces essais ont été réalisés avec la participation de cet organisme, mais aussi du BAAINBw, l’office fédéral des équipements, technologies de l’information et soutien en service de la Bundeswehr, des équipes Tests et Essais de l’armée de Terre allemande et des forces armées néerlandaises et françaises.
L’objectif était ici de fournir des systèmes radio de commandement et de contrôle modernes et cryptés, compatibles avec les capacités de contremesures électroniques (ECCM), pour faciliter le déploiement des groupements de présence avancée, capables de transmissions vocales parallèlement aux échanges de données et à la localisation géographique.
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THALES DÉMONTRE SA CAPACITÉ À DÉPLOYER DES ESSAIMS DE DRONES À UN NIVEAU D’AUTONOMIE INÉGALÉ GRÂCE À L’IA
Publié le 16 octobre 2024
C’est un fait établi, les drones offrent des avantages considérables sur les théâtres d’opérations. Ils présentent encore deux limites : un mode d’emploi impliquant un pilotage par un opérateur dédié dans la majorité des cas, et la nécessité d’une liaison de données sécurisée et résistante durant toute la durée de la mission. Lors de la Journée de Démonstrations d’Essaims de drones de Contact (JDEC), Thales et ses partenaires ont dévoilé leurs dernières avancées visant à apporter des réponses à ces contraintes afin de permettre des opérations en essaims adaptées aux besoins militaires. Au cœur de cette journée : le démonstrateur COHESION de la solution d’essaim Thales qui permet d’atteindre un niveau d’autonomie inégalé grâce à l’IA et à l’usage d’agents intelligents.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-demontre-sa-capacite-deployer-des-essaims-drones
ATOS
Qui est Philippe Salle, le nouveau PDG d’Atos ?
forbes.fr - Par Gaëlle Ménage
Publié le 16 octobre 2024
Le groupe informatique Atos, en pleine restructuration, a nommé Philippe Salle président de son conseil d’administration ce lundi. Il deviendra PDG de l’ex-fleuron de la tech le 1er février 2025, selon un communiqué publié mardi.
Lire la suite : https://www.forbes.fr/business/qui-est-philippe-salle-le-nouveau-pdg-datos/
Mobilité
Nouvelle Tarification RATP : Paris, Londres, Dublin.. Quelle ville est la plus chère pour se déplacer
bfmtv.com - Par Lilian Pouyaud
Publié le 14 octobre 2024
2025 va rimer avec une nouvelle tarification pour les usagers du réseau de transports Île-de-France Mobilités. Certains titres vont tout bonnement disparaître, un ticket unique va faire son apparition. Côté prix, tout le monde ne sera pas gagnant avec une augmentation de certains trajets. Mais où s'inscrit le réseau francilien par rapport à ses voisins européens?
Dès 2025, certains déplacements franciliens coûteront plus cher. Dès le 2 janvier de l'année prochaine, les usagers du réseau Île-de-France Mobilités vont devoir payer plus cher les trajets en métro et les liaisons vers les aéroports. Contre 2,15 euros actuellement, le ticket T+ commun aux métros, train et RER, sans limite de distance, passe à 2,50 euros.
Néanmoins, certains trajets vont baisser leurs prix (les tickets pour les bus et les tramways). Si la nouvelle n'est pas accueillie avec joie par l'ensemble des usagers, le prix du billet unique ne risque pas de faire évoluer la position de Paris parmi le classement des villes européennes où il est plus cher de voyager. RMC Conso s'est intéressé à la tarification des transports dans ces grandes capitales voisines de la France.
Londres, Dublin, Paris, Amsterdam et Bucarest. Voici les cinq villes européennes où les transports en commun coûtent le plus cher. Selon un classement publié en 2023 par Greenpeace, ces cinq capitales s'inscrivent parmi les villes où le trajet unique coûte en moyenne plus de 2,25 euros. Dans le détail, ce classement mérite des précisions, tant la situation a légèrement évolué au cas par cas selon les villes.
La grille tarifaire fin 2024
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Mobilités et transport
france.representation.ec.eurpa.eu - Communiqué
Publié le 14 octobre 2024
La politique des transports de l'Union Européenne (UE) vise à développer un réseau d'infrastructures moderne qui rend les trajets plus rapides et plus sûrs, tout en promouvant des solutions durables et numériques.
Pierre angulaire de l’intégration européenne, les transports sont un rouage essentiel de la libre circulation des personnes, des services et des marchandises. Mais les transports sont aussi déterminants pour faire de l’Europe le premier continent neutre en carbone d’ici 2050, l’une des grandes priorités politiques de l’UE. Les collectivités locales jouent un rôle clé dans la mise en œuvre des initiatives européennes en matière de mobilité durable.
Les compétences des communes en matière de transport
Les communes sont les autorités organisatrices de la mobilité sur leur territoire. Elles sont compétentes pour l’organisation des transports publics et des services de covoiturage, du transport scolaire, de l’autopartage, le service public de location de bicyclettes, le transport de marchandises et la logistique urbaine.
Elles s’occupent également de l’élaboration du plan de déplacements urbains ainsi que de l’instauration du versement transport. La compétence des lignes capillaires de frêt peut également être déléguée aux EPCI qui en font la demande auprès de l’état français ou de ses établissements publics.
La politique européenne des transports à l’échelle des communes
Lire la suite : https://france.representation.ec.europa.eu/mobilites-transport_fr
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"Une opération unique en France" : Bordeaux Métropole entame la rénovation de ses rames de tramway les plus anciennes
francebleu.fr - Bordeaux de Jules Brelaz - Par France Bleu Gironde
Publié le 16 octobre 2024
Pour rallonger de 10 ans leur durée de vie, les 62 rames les plus anciennes du réseau de tramway bordelais vont être rénovées dans l'entreprise spécialisée ACCM basée à Clermont-Ferrand.
Rien ne se perd, tout se récupère, y compris des rames de tramway ! Opération décrite comme sans précédent en France, Bordeaux Métropole et Keolis Bordeaux Métropole Mobilité ont entamé lundi la rénovation des 62 rames les plus anciennes. Celles qui circulent depuis 20 ans vont être remises à neuf en Auvergne chez ACCM. Fondée en 1919 à Clermont-Ferrand, cette entreprise spécialisée dans le ferroviaire a remporté le marché d'appel d'offres. Les rames ainsi remises à niveau pourront rouler 10 ans de plus, rallongeant leur durée de vie de 30 à 40 ans. Ce projet, dont le coût avoisine les 35 millions d'euros, va durer jusqu'en 2029.
Feu vert du Service Technique des Transports Guidés
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L'usage des caméras piétons dans les réseaux de transport temporairement interdit
maire-info.com - Par Franck Lenard
Édition du jeudi 17 octobre 2024
Une fois encore, un manque d'anticipation conduit à devoir stopper, momentanément du moins, une expérimentation pourtant plébiscitée par les principaux concernés : l'usage des caméras piétons par les contrôleurs des transports collectifs.
Par Franck Lemarc
Il semble que l’État n’apprend pas toujours de ses erreurs. Alors qu’une situation exactement similaire s’était déjà produite en 2018, à propos des caméras piétons des policiers municipaux, les contrôleurs des services de transport n’ont plus le droit, depuis le 1er juillet, d’utiliser les leurs.
Le précédent des policiers municipaux
Revenons un peu en arrière. En 2016, la loi sur la lutte contre le crime organisé autorisait à titre expérimental les policiers municipaux à être dotés de caméras piétons pour « procéder à un enregistrement audiovisuel de leurs interventions ». La durée de l’expérimentation était fixée à deux ans et devait s’arrêter au 3 juin 2018. Or les règles régissant les expérimentations sont claires : à l’issue d’une expérimentation, le dispositif expérimenté peut être soit généralisé, soit abandonné – et pour qu’il soit généralisé, il faut qu’une loi soit votée par le Parlement.
Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/usage-cameras-pietons-dans-les-reseaux-transport-temporairement-interdit-article-29018
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La Chambre de commerce et d’industrie du Loiret lance son incubateur de start-ups
francebleu.fr - Par France Bleu Orléans
Diffusé le 14 octobre 2024
La CCI 45 a lancé il y a quelques jours un incubateur de start-up sur des thématiques particulièrement concernantes dans notre département : la logistique, la mobilité et les transports.
C'était la seule CCI du Centre-Val de Loire à ne pas en avoir, c'est désormais chose fait. La semaine dernière, la Chambre de commerce et d'industrie du Loiret a inauguré son incubateur de start-up. Mais pour pouvoir l'intégrer, ces jeunes entreprises doivent travailler sur la mobilité, les transports et la logistique. Des thèmes centraux dans l'économie loirétaine, comme l'explique Philippe Gobinet, le directeur de la CCI 45 : "le Loiret est le cinquième pôle logistique en France, avec 2.20 établissements, 51.000 salariés". des choix basés aussi sur les demandes des entreprises elles-mêmes : "Nous sommes allés au devant des entreprises pour identifier les sujet de recherche et développement externalisés qui pourraient les intéresser" explique le président.
Quelques jours seulement après son lancement, deux start-ups ont déjà intégré l'incubateur : Asgard Motors, qui développe un quad électrique 100% français à destination du secteur agricole ou forestier, et Mobilitaf, dédié au développement du covoiturage en entreprise. La CCI espère accueillir cinq start-up dans son incubateur cette année, 10 d'ici l'année prochaine.
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/emissions/trois-questions-a/la-chambre-de-commerce-et-d-industrie-du-loiret-lance-son-incubateur-de-start-ups-5844826
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Une vitre pour protéger les femmes dans les bus : la genèse et l’impact d’une initiative sécuritaire
ma-grande-taille.com - Par Anale G.
Publié le 14 octobre 2024
Sur Tik Tok, une vidéo est devenue populaire montrant une conductrice de bus protéger une utilisatrice à l’aide d’une vitre. Bien que cette vidéo soit une mise en scène, elle montre que l’insécurité est un sujet primordial et préoccupant à l’heure actuelle. Cette vitre de protection pourrait être une bonne initiative dans les transports en commun.
Face à cet enjeu sociétal majeur, celui de la sécurité des femmes dans les espaces publics, des mesures ont quand même été mise en place notamment à Lyon, où chaque véhicule devient un refuge potentiel pour celles qui se sentent menacées.
L’engagement des acteurs locaux
La métropole de Lyon illustre son engagement par la formation approfondie des chauffeur.euse.s de bus, leur permettant d’accueillir et d’intervenir efficacement auprès des femmes en détresse. Bruno Bernard, président de la métropole, souligne que ce dispositif assure non seulement la protection mais aussi une prise en charge adaptée des demandes d’assistance.
Lire la suite : https://www.ma-grande-taille.com/societe/vitre-proteger-femmes-bus-initiative-393943
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Le Cybercab de Tesla : une vision audacieuse du transport urbain de demain
Posted by par : Sébastien Meunier
Publié le 14 octobre 2024
Tesla vient de franchir une nouvelle étape avec la présentation de son Cybercab. Ce concept de robotaxi électrique sans conducteur promet de redéfinir notre façon de nous déplacer en ville. Mais entre ambition et réalité, que faut-il retenir de cette annonce qui fait déjà beaucoup parler ?
Un véhicule qui repousse les limites du design automobile
Le Cybercab se démarque radicalement des taxis traditionnels. Avec ses lignes futuristes et ses portes papillon, il ressemble davantage à un vaisseau spatial qu’à un véhicule urbain classique. L’absence de volant et de pédales témoigne de la confiance de Tesla dans sa technologie de conduite autonome.
L’intérieur du véhicule a été repensé comme un espace de vie mobile. Tesla imagine un habitacle où les passagers pourront travailler, se divertir ou se reposer pendant leurs trajets, transformant ainsi le temps de transport en temps utile ou de détente.
Des promesses ambitieuses face à des défis de taille
Tesla annonce un prix de vente inférieur à 30 000 dollars, un tarif étonnamment bas pour un véhicule aussi avancé. Cette stratégie de prix agressive pourrait bouleverser le marché des transports urbains si elle se concrétise
Lire la suite : https://digitechnologie.com/cybercab-robot-taxi-tesla/
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Transports : le plan national de cars express lancé en 2025 ?
lautomobiliste.fr - Écrit par : Paolo Garoscio
Publié le 14 octobre 2024
Le gouvernement veut déployer des cars express pour améliorer les transports dans les zones rurales.
En 2025, le gouvernement français lancera un projet ambitieux : le plan national de cars express, un nouveau projet destinée à répondre aux enjeux majeurs de mobilité dans les zones rurales et périurbaines. François Durovray, ministre délégué aux Transports, a annoncé les grandes lignes de ce programme qui vise à faciliter les déplacements quotidiens des citoyens souvent laissés pour compte par les infrastructures de transport en commun.
Plan cars express : un projet conçu pour les zones délaissées
La fracture territoriale est un problème de plus en plus montré en France, et ce plan s’entend s’attaquer directement à cette inégalité en matière de mobilité. Actuellement, près de 15 millions de Français, principalement dans les zones rurales et les périphéries des grandes villes, n’ont pas accès à des transports en commun réguliers. Ce qui les contraint à utiliser leur voiture pour des trajets parfois longs, engendrant des coûts financiers importants et contribuant aux émissions de CO2.
Lire la suite : https://lautomobiliste.fr/14/10/2024/transports-le-plan-national-de-cars-express-lance-en-2025/
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Kiwee : des voitures sans permis en autopartage pour faciliter la mobilité périurbaine
wedemain.fr - Par florence Santrot
Publié le 16 octobre 2024
Pour répondre à une problématique de mobilité en périphérie des villes, Metacar, avec sa solution en autopartage Kiwee, table sur des véhicules légers pour des trajets courts plus inclusifs et durables.
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L'originalité de Kiwee est de pouvoir accrocher les véhicules en autopartage pour les ramener à une zone de rechargement des batteries. Crédit : Metacar.
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Le Mondial de l’Auto 2024, qui se tient à Paris du 14 au 20 octobre, n’est pas que l’occasion de découvrir de nouveaux SUV ou Kitt, la célèbre voiture de K2000 (même si…). Le Mondial de l’Auto est aussi une opportunité de découvrir des projets innovants – et éco-responsables – en matière de mobilité. C’est par exemple le cas de Metacar et de ses petits véhicules Kiwee en autopartage. L’idée a germé il y a un peu plus de 10 ans, en 2013, en… observant les caddies de supermarché. Leur façon de s’emboîter et de pouvoir ainsi être déplacés facilement d’un point à un autre par une seule personne est à l’origine du projet de la société lyonnaise Metacar.
Essayez de regarder cette vidéo sur www.youtube.com
Un usage flexible pour le dernier kilomètre ou pour décongestionner des trajets très empruntés
Lire la suite : https://www.wedemain.fr/inventer/kiwee-des-voitures-sans-permis-en-autopartage-pour-faciliter-la-mobilite-periurbaine/
Blockchain
Un ordinateur quantique réussit à pirater des algorithmes cryptographiques – Est-ce une menace pour la blockchain ?
cryptoast.fr - Par Zacharie Tazrout
Publié le 14 octobre 2024
L'informatique quantique est généralement présentée comme l'avenir du traitement de données tant son potentiel est immense. Toutefois, des chercheurs ont montré que cette technologie, mieux maîtrisée, pourrait être utilisée pour pirater des algorithmes cryptographiques et mettre à mal la blockchain.
Un ordinateur quantique parvient à déchiffrer plusieurs algorithmes cryptographiques
Des chercheurs chinois de l'Université de Shanghai ont affirmé avoir piraté des algorithmes de chiffrement utilisés dans la finance et dans le secteur des cryptomonnaies. Pour y parvenir, les scientifiques se sont basés sur l'informatique quantique.
En utilisant un ordinateur quantique produit par la société canadienne D-Wave Systems, les chercheurs ont réussi à déchiffrer certains algorithmes comme Presents, Gift-64 ou encore Rectangle.
Les algorithmes Present, Gift-64 et Rectangle sont des exemples de chiffrements légers (lightweight ciphers) reposant sur une structure de réseau de substitution-permutation (SPN), similaire à celle utilisée par l'Advanced Encryption Standard (AES). Précisons cependant que ces algorithmes ne constituent pas la base de l'AES, qui est une norme de chiffrement robuste et largement adoptée dans des domaines comme la finance et la protection des portefeuilles de cryptomonnaies.
L'ordinateur quantique de D-Wave System exploite la technologie de recuit quantique. Selon les scientifiques, il s'agirait, par analogie, de l'équivalent quantique des réseaux de neurones utilisés dans l'intelligence artificielle pour le deep learning.
Lire la suite : https://cryptoast.fr/ordinateur-quantique-pirater-algorithmes-cryptographiques-menace-blockchain/
Fonction Publique
Coût de la prise en charge de l'instruction des cartes nationales d'identité pour les collectivités
senat.fr - Question écrite n°01685 - 17e législature
Question de M. CADEC Alain (Côtes-d'Armor - Les Républicains-A) publiée le 17/10/2024
M. Alain Cadec attire l'attention de M. le ministre de la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l'action publique M. Alain Cadec attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur la question du coût supporté par les communes concernant l'instruction et la délivrance des cartes nationales d'identité (CNI).
Mis en oeuvre sur la période 2016-2020, le plan « préfectures nouvelle génération » en matière d'instruction des demandes de cartes nationales d'identité a profondément modifié l'organisation de l'administration territoriale. Dès 2017, la mission qui concernait les demandes de CNI était confiée aux communes disposant d'un dispositif de recueil (DR), même si les mairies assuraient déjà depuis 2009 l'instruction des passeports biométriques.
Ce transfert de gestion reste une charge conséquente pour les communes, et qui pèse lourdement sur les finances, puisqu'il nécessite des moyens humains et matériels.
Pour exemple, dans le département des Côtes-d'Armor, la commune de La Motte. Un agent à mi-plein, affecté à cette mission, coûte à la commune plus de 17 364 euros par an alors que les dotations de compensations versées par l'État aux communes ne sont que de 8 530 euros par an.
Il lui demande si le Gouvernement a l'intention de compenser le coût réel de cette mission pour les communes, autrefois assurée par les services de l'État.
Lire la suite : https://www.senat.fr/questions/base/2024/qSEQ241001685.html
France Identité
La carte vitale et France Identité ne fusionneront pas, mais les apps vont s’aider entre elles.
igen.fr - Par Greg Onizuka
Publié le 18 octobre 2024
Depuis maintenant plusieurs mois, voire plus d’un an, le gouvernement louvoie sur le rapprochement de la carte d’identité et de la carte vitale. Projet longtemps couvé par Gabriel Attal, déjà en tant que ministre de l’Action et des Comptes publics mais plus encore en tant que Premier Ministre, il semblait devoir continuer sous l’ère Barnier, en tout cas si l’on se référait à ses premières déclarations.
Il en va cependant autrement après les clarifications plus que nécessaires obtenues récemment par Acteurs publics. Alors que l’on s’attendait à voir fusionner la carte vitale (ou plutôt son penchant numérique, la e-carte vitale) avec la carte d’identité dématérialisée, le tout dans l’app France Identité, ce ne sera finalement pas le cas. Même si les deux se rapprochent effectivement, le mariage n’aura pas lieu.
Une procédure simplifiée
Si chacune restera dans son app personnelle, la CNIe (pour Carte Nationale d’Identité électronique) et son acolyte France Identité permettront tout de même de faciliter la création d’une e-carte vitale, en simplifiant la procédure d’enregistrement jusqu’ici plutôt lourde.
Sans CNIe, l’utilisateur souhaitant une carte vitale dématérialisée doit en effet suivre plusieurs étapes : enregistrement du numéro de carte vitale, de l’adresse mail, vérification de cette dernière par code, vérification vidéo de la pièce d’identité, et enfin une reconnaissance faciale ! Seulement une fois toutes ces étapes remplies, vous aurez votre fameuse e-carte vitale, sous 48h. Sous réserve que tout se passe bien...
Lire la suite : https://www.igen.fr/app-store/2024/10/la-carte-vitale-et-france-identite-ne-fusionneront-pas-mais-les-apps-vont-saider-entre-elles-146497
Intelligence artificielle
Ces méthodes permettent de mieux identifier la vérité »… Un chercheur français en intelligence artificielle récompensé
20 minutes.fr - Par Gilles Durand
Publié le 18 septembre 2024
INTERVIEW•Directeur de recherche au CNRS, le Nordiste Sébastien Konieczny a été récompensé par un prix européen pour ses travaux sur l’intelligence artificielle.
L'essentiel• Le chercheur Sébastien Konieczny a été nommé EuAI Fellow 2024 pour ses travaux dans le domaine de l’intelligence artificielle.
• Ses recherches se focalisent sur la fusion et la révision des connaissances, notamment par la gestion de l’incohérence.
• Il part du « théorème du jury de Condorcet » sur la prise de décision collective et qui suppose que toutes les sources ont la même fiabilité.
Les systèmes intelligents peuvent-ils raisonner de manière fiable en présence d’incohérences dans leurs sources d’information ? C’est l’un des grands enjeux du développement de l’intelligence artificielle (IA). Un chercheur nordiste de 50 ans vient d’être nommé EuAI Fellow 2024, un titre, décerné par l’association européenne d’intelligence artificielle qui récompense « l’ensemble de ses activités de recherche portant sur la fusion de croyances et la gestion de l’incohérence ». Rencontre avec Sébastien Konieczny, directeur de recherche CNRS au centre de recherche en informatique de Lens*, dans le Pas-de-Calais.
Comment vivez-vous cette récompense ?
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« Chez BNP Paribas, l'intelligence artificielle entre dans une nouvelle ère ! »
http.group.bnpparibas - Par Hugues Even, Group Chief Data Officer
Publié le 15. octobre 2024
BNP Paribas entre dans une nouvelle phase d’intégration de l’intelligence artificielle, avec plus de 750 cas d’usage déjà en production et de fortes ambitions de développement. Rencontre avec Hugues Even, Chief Data Officer de BNP Paribas, qui revient sur les progrès réalisés au sein du Groupe et les défis à relever pour que l’IA soit responsable et au service de tous et toutes.
Group Data Office de BNP Paribas, dont vous êtes responsable, a récemment organisé la 7ème édition de l'AI Summer School. Quel était le thème cette année et sur quoi ont principalement porté les échanges ?
Cette année, plus de 4000 collaborateurs et collaboratrices, issus de l’ensemble de nos métiers et fonctions, ont participé à l’AI Summer School de BNP Paribas. Un chiffre qui montre bien que le sujet de l’intelligence artificielle est entré dans une nouvelle dimension. Ce n’est plus aujourd’hui une thématique intéressant seulement les experts de l’IA, de la data et de l’IT, mais un enjeu véritablement transverse à l’entreprise qui concerne l’ensemble de nos équipes, qu’elles couvrent les ventes, le marketing, la conformité, les risques ou encore le juridique.
Cette année, les échanges ont largement porté sur l’intelligence artificielle générative (Gen AI). Nous avons également abordé l'importance capitale de la formation et du développement des compétences, ainsi que la nécessité d'une collaboration renforcée entre experts internes et partenaires externes, à l’instar de l’accord partenariat récemment conclut avec Mistral AI.
Où en est le groupe BNP Paribas en matière d'intelligence artificielle ?
Lire la suite : https://group.bnpparibas/actualite/chez-bnp-paribas-lintelligence-artificielle-entre-dans-une-nouvelle-ere
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Pour l'adoption d'une IA responsable et sécurisée dans l'entreprise : et si l'IA privée était la clé ?
Journaldunet.com - Chronique de Nicolas Ouerimi VMware
Publié le 16 octobre 2024
Les dépenses dans l'intelligence artificielle devraient passer de 175,9 milliards de dollars en 2023 à 509,1 milliards de dollars en 2027, soit une augmentation de 30,4 %.
« Plus de 80% des entreprises du Fortune 500 ont adopté ChatGPT », se félicitait OpenAI en août dernier. Une façon de suggérer que le chatbot est très bien implanté dans le monde du travail et que la percée de l’IA générative a accéléré la progression de l’IA en entreprise au cours des douze derniers mois. Ainsi, selon les prévisions du cabinet IDC, les dépenses dans l’intelligence artificielle devraient passer de 175,9 milliards de dollars en 2023 à 509,1 milliards de dollars en 2027, soit une augmentation de 30,4 %.
Toutefois, la plongée au cœur du quotidien des entreprises révèle une réalité plus contrastée. En effet, nombreux sont les départements IT qui sont favorables à la vague de l’intelligence artificielle et à son adoption mais qui laissent poindre leurs craintes concernant la gestion et la sécurité des données. Les données représentant le cœur des systèmes d’intelligence artificielle, les entreprises doivent donc les protéger et les exploiter scrupuleusement pour alimenter de manière effective leurs modèles. Cependant, elles doivent également se démarquer de la concurrence en maintenant la cadence et le champ de l’innovation autour de l’IA. Face à cette double injonction, comment peuvent-elles maximiser le potentiel de l’IA tout en adoptant cette technologie de manière durable et éthique ?
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L’ascension des attaques de phishing : quand l’IA redéfinit la cybercriminalité
forbes.com - Une contribution de Hamza Sayah, co-fondateur et CTO de Qevlar AI
Publié le 12 octobre 2024
Les attaques de phishing ont atteint un niveau de sophistication sans précédent en 2024, marquant une nouvelle ère dans la cybercriminalité. Au cœur de cette évolution, l’Intelligence Artificielle (IA) joue un rôle central en transformant les méthodes des cybercriminels. Ce changement n’a pas seulement renforcé l’efficacité des campagnes de phishing, mais a aussi permis à des acteurs novices de mener des attaques complexes avec une facilité déconcertante. Cette démocratisation des outils d’IA met en lumière une menace croissante pour les entreprises du monde entier.
L’évolution des tactiques de phishing : un aperçu
En l’espace de quelques années, les campagnes de phishing sont passées de simples courriels de masse à des attaques ciblées, personnalisées et difficiles à détecter. Aujourd’hui, grâce à des technologies génératives comme les grands modèles de langage (LLM) et des outils d’automatisation, les cybercriminels peuvent créer des messages trompeurs quasi parfaits. Ils peuvent également cloner des sites web et des pages de connexion en quelques minutes, augmentant ainsi la probabilité de succès de leurs tentatives d’usurpation d’identité.
Les dernières statistiques montrent une augmentation significative de 58 % des attaques de phishing à l’échelle mondiale en 2023. Cette hausse reflète non seulement la portée croissante des cybercriminels, mais aussi leur capacité à exploiter des données publiques pour cibler des individus ou des organisations avec une précision redoutable.
Phishing et IA : une nouvelle frontière pour les cyberattaques
Lire la suite : https://www.forbes.fr/technologie/lascension-des-attaques-de-phishing-quand-lia-redefinit-la-cybercriminalite/
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Lutte contre la fraude fiscale : quelle place pour l'intelligence artificielle ?
vie-publique.fr - Par la Rédaction
Publié le 14 octobre 2024
L’évasion fiscale coûte chaque année entre 80 et 120 milliards d’euros à l’État. L’intelligence artificielle (IA) est utilisée depuis 2013 par la Direction générale des finances publiques (DGFiP) pour moderniser le ciblage de la fraude fiscale. Un rapport parlementaire fait le point sur ce recours à l’IA.
L'Assemblée nationale a publié, en juillet 2024, un rapport d'information sur l'usage des nouvelles technologies dans le contrôle fiscal.
Intelligence artificielle et moyens humains
Extraction automatisée d’informations par reconnaissance optique de caractère, data mining (exploration de données)... différentes techniques permettent un meilleur repérage des situations frauduleuses, tout en entraînant des gains de productivité.
Entre 2016 et 2022, les effectifs du contrôle fiscal ont diminué de plus de 15%, passant de 12 303 à 10 427 équivalents temps plein (ETP).
Selon le rapport, alors que le recours à l'IA sert régulièrement de justification à des suppressions de postes, les gains de productivité n’ont pas été réellement mesurés. La part des suppressions de postes véritablement induite par l’utilisation de l'IA n’est pas quantifiable.
Le recours à l'IA et au data mining ne supprime pas l’intervention humaine, car les dossiers ciblés font toujours l’objet d’un examen par un agent pour vérifier la pertinence des motifs de sélection et pour organiser un contrôle.
Par ailleurs, l'utilisation de l'IA en administration centrale a entraîné une perte de compétence des agents des services déconcentrés.
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/295696-lia-au-service-de-la-lutte-contre-la-fraude-fiscale
Vie numérique
Un dernier adieu à l'ère numérique : et si notre identité survivait dans le cloud ?
journaldunet.com - Chronique de Sacha Carol - Interpresse SAS
Notre vie numérique est devenue une extension de nous-mêmes. Réseaux sociaux, courriels, photos, documents : nos données personnelles sont disséminées sur d'innombrables plateformes.
Notre identité numérique : un double virtuel
Si l'on considère que notre identité numérique est un reflet de notre personnalité, de nos passions et de nos relations, alors sa disparition soulève de nombreuses interrogations. Que se passe-t-il de nos souvenirs numérisés, de nos échanges avec nos proches ? Comment concilier notre désir d'immortaliser notre mémoire et le caractère éphémère de nos données en ligne ?
Le défi de la succession numérique
La mort pose des questions complexes en matière d'héritage. Si l'héritage matériel est relativement bien réglementé, qu'en est-il de notre patrimoine numérique ? Comment transmettre ses mots de passe, ses comptes en banque en ligne, ses photos et ses vidéos à ses proches ? En l'absence de directives claires, c'est souvent le chaos qui s'installe, laissant les familles démunies face à un labyrinthe numérique.
Les enjeux juridiques et éthiques
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cloud/1534949-un-dernier-adieu-a-l-ere-numerique-et-si-notre-identite-survivait-dans-le-cloud/
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Vers une numérisation des passeports et cartes d’identité pour plus de services en Europe
Publié le 15 octobre 2024
La Commission européenne a récemment soumis une proposition pour numériser les passeports et les cartes d’identité pour toute personne voyageant à destination ou en provenance de l’espace Schengen. Cette initiative, qui pourrait se concrétiser d’ici à 2030, s’inscrit dans le cadre de l’évolution numérique des services publics européens et a pour objectif d’améliorer la sécurité, l’efficacité des contrôles aux frontières et de faciliter les déplacements des personnes.
Chacun pourra demander une identité gratuitement pour faciliter sa mobilité et l’accès à de nombreux services.
Cette proposition est liée à la mise en place des portefeuilles européens d’identité numérique, dans lesquels les passeports et cartes d’identité numériques pourront être stockés au même endroit que les permis de conduire, prescriptions médicales et autres documents de la vie des utilisateurs en format numérique.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/vers-une-numerisation-des-passeports-et-cartes-didentite-pour-plus-de-services-en-europe/
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La carte vitale et France Identité ne fusionneront pas, mais les apps vont s’aider entre elles
igen.fr - Par Greg Onizuka
Publié le 18 octobre 2024
Depuis maintenant plusieurs mois, voire plus d’un an, le gouvernement louvoie sur le rapprochement de la carte d’identité et de la carte vitale. Projet longtemps couvé par Gabriel Attal, déjà en tant que ministre de l’Action et des Comptes publics mais plus encore en tant que Premier Ministre, il semblait devoir continuer sous l’ère Barnier, en tout cas si l’on se référait à ses premières déclarations.
Il en va cependant autrement après les clarifications plus que nécessaires obtenues récemment par Acteurs publics. Alors que l’on s’attendait à voir fusionner la carte vitale (ou plutôt son penchant numérique, la e-carte vitale) avec la carte d’identité dématérialisée, le tout dans l’app France Identité, ce ne sera finalement pas le cas. Même si les deux se rapprochent effectivement, le mariage n’aura pas lieu.
Une procédure simplifiée
Lire la suite : https://www.igen.fr/app-store/2024/10/la-carte-vitale-et-france-identite-ne-fusionneront-pas-mais-les-apps-vont-saider-entre-elles-146497
Paiement électronique
L’Algérie prépare le lancement d’un système de paiement électronique instantané
wearetech.africa.fr - Par Samira Njoya
Publié le 14 octobre 2024
A l'instar de nombreux pays africains, l'Algérie s'efforce d'améliorer le niveau de vie et de moderniser ses infrastructures. Le lancement d’un système de paiement instantané s'inscrit dans ces efforts pour une prospérité durable et une inclusion financière renforcée.
L’Algérie se prépare à lancer un système de paiement électronique instantané dans les prochains mois. C’est ce qu’a annoncé Nabil Dahia, vice-directeur général du Centre de pré-compensation interbancaire (CPI), lors de la Conférence internationale sur les paiements numériques organisée la semaine passée par le ministère algérien des Finances et la Banque d’Algérie, en partenariat avec le Fonds monétaire arabe (FMA).
« La Banque d’Algérie se prépare au lancement du projet de système de paiement instantané afin d’atteindre des objectifs stratégiques liés à l’inclusion financière, d’améliorer l’accès aux services de paiement et de réduire les coûts et les risques associés aux transactions », a déclaré Nabil Dahia.
Le futur système permettra d’effectuer des transactions financières en ligne de manière instantanée, permettant aux commerçants de recevoir immédiatement le montant des transactions. A l’heure actuelle, les fonds versés par les clients sont crédités sur le compte du commerçant après un délai pouvant atteindre 72 heures. Cette évolution représente un saut qualitatif dans le secteur des services bancaires, visant à fluidifier les paiements et à faciliter les échanges.
Lire la suite : https://www.wearetech.africa/fr/fils/actualites/tech/l-algerie-prepare-le-lancement-d-un-systeme-de-paiement-electronique-instantane
Désinformation
Les enfants sont plus exposés aux risques d’abus et d’exploitation sexuels à travers les nouvelles technologies
© UNICEF/Ueslei Marcel
Publié le 11 octobre 2024, Droit et prévention du crime
Les abus sexuels et l’exploitation des enfants se sont intensifiés dans l’environnement numérique, avec plus de 300 millions d’enfants victimes chaque année d’abus sexuels et d’exploitation en ligne, a alerté vendredi une Experte indépendante des Nations Unies.
Dans un rapport présenté à l’Assemblée générale de l’ONU, la Rapporteure spéciale sur la vente, l’exploitation et les abus sexuels concernant des enfants explique comment l’utilisation abusive des technologies existantes et émergentes exacerbe et amplifie l’exposition des enfants aux risques, aux préjudices et aux diverses formes d’exploitation et d’abus sexuels.
Les technologies existantes sont utilisées à « mauvais escient pour harceler sexuellement, prendre et partager des images et des vidéos non consensuelles, produire du matériel pédopornographique, extorquer sexuellement des enfants et diffuser en direct des images d’abus sexuels sur des enfants».
L’impact des 'deepfakes' et de l’intelligence artificielle
« Les technologies offrent un large éventail de possibilités de protéger et de faire respecter les droits de l’enfant, mais leurs capacités rapides, évolutives et sans précédent présentent des risques importants pour les enfants et les exposent à des préjudices », a déclaré Mama Fatima Singhateh.
A l’instar des technologies émergentes, telles que « les deepfakes, la nudité, le dé-vieillissement, l’intelligence artificielle, le partage de fichiers peer-to-peer intégré et le clonage vocal », qui selon l’experte « amplifient et étendent les méthodes existantes d’exploitation des enfants et de production de matériel pédo-pornographique ».
Lire la suite : https://news.un.org/fr/story/2024/10/1149661
CNIL
Quels sont les manquements récemment sanctionnés par la CNIL ?
solutions-numériques.com - Par Patrice Remeur
Publié le 14 octobre 2024
Depuis juin 2024, la CNIL a prononcé onze sanctions dans le cadre de sa procédure simplifiée, pour un total d’amendes de 129 000 euros. Ces sanctions révèlent divers manquements au RGPD qui sont couramment réalisées par les organisations.
Quels sont les principaux manquements relevés dans cette procédure simplifiée ? Mise en place en 2024, cette procédure a conduit à 28 décisions en 9 mois, pour un total de 290 500 euros d’amendes, dépassant ainsi les sanctions de 2023.
« Cette augmentation reflète la volonté de la CNIL d’appliquer rigoureusement le RGPD », souligne l’autorité. « Il est important de rappeler que la mise en conformité peut aussi se faire sans mises en demeure ou sanctions. Par exemple, lors du traitement des plaintes, les services de la CNIL peuvent intervenir auprès des responsables pour obtenir cette mise en conformité, comme lors d’échanges avec le délégué à la protection des données afin de satisfaire une demande d’exercice de droits », prévient-elle également.
Des manquements courants
Ainsi, les principaux manquements des entreprises constatés sont :
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/quels-sont-les-manquements-recemment-sanctionnes-par-la-cnil/
Budget 2025
Budget 2025 : le gouvernement confirme l'effort demandé aux élus locaux
N°AMF Finances - Par Xavier Brivet
Publié le 17 octobre 2024
Devant les élus d'Intercommunalités de France, réunis lors de leur Convention nationale, le 17 octobre, au Havre (76), Catherine Vautrin a confirmé l'effort de 5 milliards d'euros demandé par le gouvernement aux collectivités et à leurs groupements. Elle a ouvert deux chantiers : l'un sur la fiscalité locale, l'autre sur la simplification pour supprimer les mesures pesant sur les budgets locaux.
La ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation, Catherine Vautrin, à la 34e convention d'Intercommunalités de France, le 17 octobre 2024, au Havre.
« Je ne peux pas effacer les 5 milliards d’euros », a déclaré Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation, le 17 octobre, devant les élus d’Intercommunalités de France réunis en convention nationale, au Havre (76). La veille, dans une motion, ces derniers avaient demandé au gouvernement de renoncer à leur imposer, l’an prochain, cette contribution dans le cadre de leur participation au redressement des comptes publics.
Devant la ministre, Sébastien Martin, président de la communauté d’agglomération du Grand Chalon (71) et d’Intercommunalités de France, a fustigé «une reprise en main des budgets locaux », qui aura un impact direct «sur les services publics rendus aux habitants et l’investissement local ».
Haro sur le «fonds de précaution »
Lire la suite : https://www.mairesdefrance.com/budget-2025-gouvernement-confirme-effort-demande-elus-locaux-article-28115-0
Cybersécurité
Cybersécurité : Numeum et le Campus Cyber lancent la plateforme Cyber4Tomorrow.fr et signent un partenariat avec Cybermalveillance.gouv.fr pour une cybersécurité durable et inclusive
cybermalveillance.com - Communiqué
Publié le 15 octobre 2024
À l’occasion des Assises de la Cybersécurité 2024, et en plein cœur du Cybermoi/s, Numeum et le Campus Cyber annoncent deux initiatives majeures : le lancement de la plateforme Cyber4Tomorrow.fr et la signature d’un partenariat avec Cybermalveillance.gouv.fr. L’ambition est commune : mobiliser l’écosystème cyber et les citoyens autour de pratiques durables, inclusives et sécurisées dans le cyberespace. Ce type d’initiative se révèle d’autant plus utile dans un contexte où près d’une entreprise française sur deux (49%)* déclare avoir subi au moins une cyberattaque en 2023.
Cyber4Tomorrow : trois piliers pour passer à l’action
Incubée au Studio des Communs du Campus Cyber, l’initiative Cyber4Tomorrow vise à promouvoir un grand mouvement « cybercitoyen » en embarquant une large communauté d’acteurs : professionnels de la cybersécurité (ESN, startups, clients finaux, etc.), institutionnels, acteurs de la recherche ou encore étudiants pour répondre aux défis sociaux et environnementaux liés à la sécurité numérique. Elle permet à ces professionnels de devenir de véritables cybercitoyens en passant à l’action grâce à trois piliers fondateurs :
L’initiative est aujourd’hui pilotée par le Campus Cyber, Numeum, et de nombreuses entreprises de la filière fortement engagées en faveur d’une cybersécurité et d’un numérique plus responsable.
Cyber4Tomorrow : la plateforme d’actions concrètes pour une cybersécurité à impact
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Cybersécurité : la loi NIS 2 entre en vigueur, un tsunami pour les entreprises et collectivités
latribune.fr - Par Guillaume Renouard, à Londres
Publié le 16 octobre 2016
La directive entre en application dès le 17 octobre et s'applique à 100.000 organisations en Europe, dont 15.000 en France. Elle impose aux grands groupes et aux PME de 18 secteurs de renforcer leurs cyberdéfenses.
La nouvelle loi NIS 2 touche davantage de PME, et le champ d'activité a été étendu à 18 secteurs, dont la santé, les transports, la gestion des déchets, les fournisseurs de services numériques ou encore les communes de plus de 30.000 habitants. (Crédits : Reuters)
Plus une semaine ne passe sans une cyberattaque d'ampleur, obligeant les autorités à adapter leur législation au fil de l'eau pour protéger leurs entreprises et infrastructures publiques. Cet impératif a poussé en 2016 le Parlement européen à adopter la directive NIS (pour Network and Information Systems), dont l'application a démarré à partir de 2018. Son objectif était d'imposer un certain standard de cybersécurité aux entreprises opérant dans des secteurs d'importance vitale ou stratégique, comme l'énergie, l'alimentation ou encore les services financiers.
Mais le domaine de la cybersécurité évoluant à toute allure, NIS se révèle déjà obsolète. Comme les grandes entreprises et agences gouvernementales ont considérablement renforcé leurs cyberdéfenses, les cybercriminels ont en effet déniché une nouvelle astuce pour les contourner : cibler les plus petites sociétés situées en amont et en aval de la chaîne de valeur, plus vulnérables. Et qui ne tombaient pas sous le coup des exigences de NIS.
Cybercriminalité
Attaques de phishing : quand l’IA redéfinit la cybercriminalité
ecoreseau.fr - Par LMedia
Publié le 14 octobre 2024
Par Hamza Sayah, cofondateur et CTO de Qevlar AI, qui utilise l’IA pour aider les entreprises à lutter contre les cyberattaques.TRIBUNE. Les attaques de phishing ont atteint un niveau de sophistication sans précédent en 2024, marquant une nouvelle ère dans la cybercriminalité. Au cœur de cette évolution, l’Intelligence Artificielle (IA) joue un rôle central en transformant les méthodes des cybercriminels. Ce changement n’a pas seulement renforcé l’efficacité des campagnes de phishing, mais a aussi permis à des acteurs novices de mener des attaques complexes avec une facilité déconcertante. Cette démocratisation des outils d’IA met en lumière une menace croissante pour les entreprises du monde entier
L’évolution des tactiques de phishing : un aperçu
En l’espace de quelques années, les campagnes de phishing sont passées de simples courriels de masse à des attaques ciblées, personnalisées et difficiles à détecter. Aujourd’hui, grâce à des technologies génératives comme les grands modèles de langage (LLM) et des outils d’automatisation, les cybercriminels peuvent créer des messages trompeurs quasi parfaits. Ils peuvent également cloner des sites Web et des pages de connexion en quelques minutes, augmentant ainsi la probabilité de succès de leurs tentatives d’usurpation d’identité.
Lire la suite : https://www.ecoreseau.fr/expressions/tribune-libre/attaques-de-phishing-quand-lia-redefinit-la-cybercriminalite-2024-10-14-108621
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La France est le cinquième pays européen le plus ciblé par des cybercriminels affiliés à un État
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 16 octobre 2024
Microsoft a publié son rapport annuel sur l’état de la cybercriminalité et les tendances en matière de menaces cyber. Cette étude met en évidence une augmentation significative du recours aux outils d’IA générative de la part des acteurs malveillants, notamment russes et chinois, et une concentration des menaces étatiques autour de zones de conflit.
600 millions : c’est le nombre d’attaques provenant de cybercriminels ou de groupes étatiques auxquelles sont confrontés les clients de Microsoft chaque jour, qu’il s’agisse d’opérations de ransomware, de phishing ou d’usurpation d’identité. Un chiffre qui ressort du cinquième rapport sur la défense numérique publié le 15 octobre par la firme de Redmond. Entre juillet 2023 et juin 2024, Microsoft a reçu en moyenne 78 000 milliards de “signaux de sécurité” par jour, à partir des différents outils logiciels, du cloud et des terminaux (+20% sur un an).
Les hackers utilisent des outils d’IA pour générer des milliers de faux CV
PLire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/la-france-est-le-cinquieme-pays-europeen-le-plus-cible-par-des-cybercriminels-affilies-a-un-etat.N2220576
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Cybersécurité : OpenAI a perturbé plus de 20 opérations malveillantes exploitant ChatGPT
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 14 octobre 2024
La société d’intelligence artificielle affirme que son agent conversationnel est utilisé par des cybercriminels pour développer des malwares, mener des attaques de phishing par ingénierie sociale et contribuer à la désinformation. Elle a notamment identifié des groupes de hackers chinois et iraniens.
OpenAI a publié la semaine dernière un rapport détaillant une vingtaine de cas dans lesquels des acteurs malveillants ont utilisé ChatGPT pour mener à bien leurs opérations. “Depuis le début de l’année, nous avons perturbé plus de 20 opérations et réseaux frauduleux du monde entier, qui tentaient d’utiliser nos modèles, écrit la société de San Francisco. Leurs activités allaient du développement de malwares à la rédaction d’articles web, en passant par la création de contenus par de faux profils ensuite postés sur les réseaux sociaux.”
Une utilisation de ChatGPT pour faciliter les opérations cybermalveillantes offensives
La société américaine avait déjà fait part d’opérations malveillantes exploitant ses outils d’IA générative, notamment pour mener des campagnes d’influence et rechercher des vulnérabilités. Avec ce rapport, OpenAI montre que des hackers peuvent être aussi facilités dans leurs opérations offensives. “Les acteurs de la menace ont le plus souvent utilisé nos modèles pour effectuer des tâches dans une phase spécifique et intermédiaire de leur activité”, précise-t-elle. Cela signifie par exemple que des hackers ont pu utiliser ChatGPT pour déployer des malwares et faux profils, mais ne s’en sont pas servi pour se procurer des noms de comptes.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-openai-a-perturbe-plus-de-20-operations-malveillantes-exploitant-chatgpt.N2220430
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Cyberguerre : Microsoft appelle les démocraties à s’armer face aux menaces de la Russie, de l’Iran et de la Chine
challenges.fr - Par Paul Loubière
Publié le 16 octobre 2024
Le rapport de Microsoft sur l’état des cybermenaces en 2024 vient de sortir. Il se démarque nettement des opus précédents en demandant la mise en place d’une régulation internationale pour lutter contre la cybercriminalité en provenance de certains États. Sans surprise, le rapport épingle la Russie, l’Iran, la Chine et la Corée du Nord et lance un plan de formation en France pour contribuer à combler le déficit en compétences.
Une fois n’est pas coutume, Microsoft souhaite davantage de régulation et milite pour que les Etats s’engagent ouvertement dans la défense de l’internet. Dans son dernier rapport sur les cybermenaces, le géant américain explique en effet que la guerre contre la cybercriminalité ne peut pas se faire avec seulement des moyens techniques. Il en appelle à la dissuasion judiciaire. « Si l’industrie doit faire davantage pour déjouer les efforts des attaquants grâce à une meilleure cybersécurité, affirme Tom Burt, vice-président sûreté et confiance des consommateurs, cela doit aller de pair avec des actions du gouvernement pour imposer des conséquences qui découragent les attaques les plus dangereuses. » En clair, Microsoft souhaite la mise en place d’une véritable dissuasion cyber pour décourager les criminels qui, aujourd’hui, ne risquent pas grand-chose faute d’une véritable coopération internationale.
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[Etude Cybercriminalité] une multiplication alarmante des tentatives de fraudes basées sur l’IA !
webmarketing.com - Par Nini Brusa
Publié le 8 octobre 2024
L’intelligence artificielle n’est pas seulement utilisée pour générer du texte, des images ou de la musique. De plus en plus exploitée pour mettre en œuvre des pratiques frauduleuses complexes, elle est devenue une arme redoutable pour les cybercriminels ! Alertées par la multiplication des tentatives de fraude basées sur l’IA, les institutions financières ont plus que jamais besoin de renforcer leurs défenses. Pour mieux comprendre ce phénomène et nous aider à mieux réagir, Signicat a dévoilé sa nouvelle étude Battle Against AI-Driven Identity Fraud…
De nouvelles tendances alarmantes en matière de fraude basée sur l’IA
Les techniques de fraude utilisant l’IA représentent aujourd’hui une grande menace dans plusieurs secteurs, à commencer par le secteur financier. Dans son étude, Signicat a principalement mentionné les campagnes de phishing ou hameçonnage avancées, les deepfakes et l’utilisation d’identités synthétiques.
Avec ces nouvelles techniques, les cybercriminels parviennent à exécuter encore plus facilement des fraudes de plus en plus sophistiquées.
Lire la suite : https://www.webmarketing-com.com/2024/10/18/1733198-etude-cybercriminalite-multiplication-fraude-basees-sur-ia
Thales
LES SYSTÈMES RADIO DE THALES, TESTÉS AVEC SUCCÈS PAR LES FORCES ARMÉES ALLEMANDES, SERONT DÉPLOYÉS AU SEIN DES GROUPEMENTS DE PRÉSENCE AVANCÉE DE L’OTAN
thalesgroup.com/fr - Communiqué de presse
Publié le 15 octobre 2024
Les forces armées allemandes ont réalisé des essais opérationnels avec les systèmes radio PR4G et SYNAPS-H de Thales en vue de démontrer leur conformité aux besoins des groupements tactiques multinationaux déployés par l’OTAN.
Les systèmes radio de Thales, destinés à être utilisés dans le cadre de la présence avancée de l’OTAN ont été testés lors d’essais opérationnels d’une durée de quatre semaines, organisés sous la direction du bureau de développement des forces armées. Ces essais ont été réalisés avec la participation de cet organisme, mais aussi du BAAINBw, l’office fédéral des équipements, technologies de l’information et soutien en service de la Bundeswehr, des équipes Tests et Essais de l’armée de Terre allemande et des forces armées néerlandaises et françaises.
L’objectif était ici de fournir des systèmes radio de commandement et de contrôle modernes et cryptés, compatibles avec les capacités de contremesures électroniques (ECCM), pour faciliter le déploiement des groupements de présence avancée, capables de transmissions vocales parallèlement aux échanges de données et à la localisation géographique.
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THALES DÉMONTRE SA CAPACITÉ À DÉPLOYER DES ESSAIMS DE DRONES À UN NIVEAU D’AUTONOMIE INÉGALÉ GRÂCE À L’IA
Publié le 16 octobre 2024
• Mercredi 16 octobre 2024, Thales a démontré à l’occasion de tests en vol inédits tout le potentiel des essaims de drones intégrant différents niveaux d’autonomie. Optimisée grâce à l’Intelligence Artificielle (IA) et aux agents intelligents, cette autonomie permet d’alléger la charge cognitive de l’opérateur, tout en lui permettant de conserver le contrôle de la mission à tout moment, notamment lors des phases critiques.
• Dans la continuité de l’offre Drone Warfare, Thales et ses partenaires appliquent les principes d'interopérabilité et d'intégration aux essaims de drones, afin de faciliter leur utilisation coordonnée.
• Pour répondre aux besoins des forces armées, Thales propose une architecture système innovante basée sur l’IA, assurant aux essaims de drones un niveau d’autonomie supervisée inégalé, leur permettant de s’adapter à des besoins opérationnels fluctuants.
C’est un fait établi, les drones offrent des avantages considérables sur les théâtres d’opérations. Ils présentent encore deux limites : un mode d’emploi impliquant un pilotage par un opérateur dédié dans la majorité des cas, et la nécessité d’une liaison de données sécurisée et résistante durant toute la durée de la mission. Lors de la Journée de Démonstrations d’Essaims de drones de Contact (JDEC), Thales et ses partenaires ont dévoilé leurs dernières avancées visant à apporter des réponses à ces contraintes afin de permettre des opérations en essaims adaptées aux besoins militaires. Au cœur de cette journée : le démonstrateur COHESION de la solution d’essaim Thales qui permet d’atteindre un niveau d’autonomie inégalé grâce à l’IA et à l’usage d’agents intelligents.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-demontre-sa-capacite-deployer-des-essaims-drones
ATOS
Qui est Philippe Salle, le nouveau PDG d’Atos ?
forbes.fr - Par Gaëlle Ménage
Publié le 16 octobre 2024
Le groupe informatique Atos, en pleine restructuration, a nommé Philippe Salle président de son conseil d’administration ce lundi. Il deviendra PDG de l’ex-fleuron de la tech le 1er février 2025, selon un communiqué publié mardi.
Lire la suite : https://www.forbes.fr/business/qui-est-philippe-salle-le-nouveau-pdg-datos/
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Supercalculateur de défense : le duo HPE-Orange écarte Atos
Le contrat est destiné à l’agence ministérielle pour l’intelligence artificielle de défense (AMIAD). Hewlett Packard Enterprise (HPE) fournirait le matériel du supercalculateur, notamment des processeurs graphiques (GPU) Nvidia. De son côté, Orange serait responsable de la partie logicielle. Atos disposait de 15 jours pour contester cette décision, annoncée le 2 octobre.
L’annonce intervient alors que l’État négocie le rachat des supercalculateurs Atos, estimés entre 700 millions et 1 milliard d’euros. L’entreprise, récemment privée de son statut de partenaire pour les Jeux Olympiques, connait aujourd’hui d’importantes difficultés financières. Le contrat, à hauteur de 300 millions d’euros, aurait pu offrir au groupe français les ressources nécessaires pour se redresser.
Mais, sur le plan des capacités technologiques, des prix et des délais, le duo HPE-Orange semble proposer une solution « anormalement » supérieure à celle d’Atos, selon Sébastien Lecornu, ministre des Armées. Ce dernier a donc saisi le Contrôle général des armées afin de s’assurer du respect de la procédure. Le 14 octobre, aucune décision n’était encore prise.
Une dépendance accrue aux technologies étrangères ?
Lire la suite : https://www.portail-ie.fr/univers/risques-et-gouvernance-cyber/2024/supercalculateur/
Mobilité
La Cour de justice européenne valide l’essentiel du paquet mobilité adopté en 2020 : un pas décisif vers un transport durable, équitable et social !
écologie.gouv.fr - Communiqué de presse
publié le 08 octobre 2024
François DUROVRAY, Ministre délégué aux Transports, se réjouit que la Cour de Justice de l’Union européenne confirme largement la validité du paquet mobilité adopté au Parlement et au Conseil européen en 2020. Il permet d’améliorer les conditions de travail des conducteurs tout en restreignant les distorsions de concurrence au sein de l’Union.
La Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) juge que, par le paquet mobilité, le législateur de l’Union a visé à assurer un nouvel équilibre entre l’intérêt des conducteurs à bénéficier de meilleures conditions sociales de travail et l’intérêt des employeurs à exercer leurs activités de transport dans des conditions commerciales équitables.
Elle valide notamment :
• L’interdiction faite aux conducteurs de prendre leur repos hebdomadaire à bord du véhicule,
• L’obligation pour les entreprises de transport d’organiser le travail de leurs conducteurs de telle sorte que ces derniers soient en mesure de retourner, pendant le temps de travail, toutes les trois ou quatre semaines, au centre opérationnel de l’entreprise ou à leur lieu de résidence, pour y entamer ou y passer au moins leur temps de repos hebdomadaire normal ou compensatoire ;
Lire la suite : https://www.ecologie.gouv.fr/presse/cour-justice-europeenne-valide-lessentiel-du-paquet-mobilite-adopte-2020-pas-decisif
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Grand Paris • Ile-de-France - Contrat de plan : 7,4 Mds € pour les transports en commun
lemoniteur.fr - N.M.
Publié le 09 octobre 2024
Adopté par les élus franciliens le 26 septembre, le volet mobilités 2023-2027 du contrat de plan Etat-région 2021-2027 a été signé le même jour par Valérie Pécresse, présidente de la région, François Durovray, nouveau ministre délégué aux Transports et président du département de l'Essonne, ainsi que par Marc Guillaume, préfet d'Ile-de-France. La conclusion d'un protocole d'accord en décembre 2023 avait précédé cette signature, suivie de la saisine de l'autorité environnementale au printemps dernier puis de la consultation du public cet été.
Doté de 8,4 Mds €, ce volet mobilités est financé par la région (3,7 Mds €), l'Etat et la Société des grands projets (3 Mds €), les collectivités locales, Ile-de-France Mobilités et les opérateurs RATP/SNCF (1,7 M d€). Il consacre la presque totalité des investissements (88 %) aux transports en commun. Il réserve ainsi 1,8 Md € à la modernisation du réseau existant qualifiée de « priorité » par Valérie Pécresse et François Durovray, avec notamment l'automatisation des lignes B et D du RER (système Nexteo) à hauteur de 712 M€. L'extension d'Eole de Nanterre (Hauts-de-Seine) à Mantes-la-Jolie (Yvelines) mobilise à elle seule 1,7 Md €. « De nouveaux surcoûts sur ce chantier seraient inacceptables », a prévenu la présidente du conseil régional. Les prolongements de lignes de métro et de tramways bénéficient d'un peu plus de 1,4 Md € et les projets de bus à haut niveau de service de près de 900 M€.
Connexion avec le GPE. « L'intermodalité du réseau existant avec celui du Grand Paris Express (GPE), autre enjeu des transports en Ile-de-France, est désormais financée », a commenté le ministre. Quelque 179 M€ sont ainsi fléchés vers l'adaptation des gares existantes qui seront connectées au GPE et 449 M€ vers celles qui seront créées (gare du RER E Villiers-Champigny-Bry sur la ligne 15 sud et arrêt de la ligne H en correspondance avec la gare Saint-Denis-Pleyel).
Lire la suite : https://www.lemoniteur.fr/article/region-contrat-de-plan-7-4-mds-pour-les-transports-en-commun.2335968
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À Dijon, un écosystème complet pour la mobilité hydrogène
acte-environnement.com - Par N. Gorbatko
Publié le 11 octobre 2024
Après toute une série de retards, l'écosystème hydrogène de la métropole de Dijon a été inauguré en juin dernier. Retour sur une entreprise de coconstruction volontariste, émaillée de quelques déconvenues dues au manque de maturité du marché.
La station alimente les bus et les bennes à ordures ménagères à hydrogène de Dijon Métropole.
À l'arrière, un électrolyseur d'un mégawatt de puissance, des conteneurs de déminéralisation de l'eau et des équipements de stockage. À l'avant, quatre bornes de recharge, dont une pour les véhicules légers (700 bars) et trois pour les véhicules lourds (350 et 700 bars). Mais surtout, une nuée d'élus, de fonctionnaires et d'acteurs économiques à la mine réjouie. Le 24 juin dernier, après cinq longues années d'attente, la métropole de Dijon inaugurait enfin sa première station d'hydrogène, sur une parcelle de 9 000 mètres carrés, tout au nord de l'agglomération. L'infrastructure complète (fabrication et distribution) dispose d'une capacité de production de 430 kg d'hydrogène par jour, 18 kg par heure. De quoi ravitailler une vingtaine de véhicules lourds quotidiennement.
Essentiellement alimentée « en circuit court » par l'électricité turbinée par l'usine d'incinération des déchets voisine, qui valorise 92 % des ordures ménagères du département, la station est théoriquement ouverte à tous les usages. Objectif : réduire de 1 200 tonnes par an les émissions de C02, soit l'équivalent de 10 millions de kilomètres effectués en voiture citadine à moteur thermique, puis de 4 000 tonnes à plus long terme.
Lire la suite : https://www.actu-environnement.com/ae/news/ecosysteme-mobilite-hydrogene-Dijon-metropole-44865.php4
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Lille joue de tous les leviers pour verdir ses transports
lesechos.fr - Par Olivier Ducuing
Publié le 10 octobre 2024
La Métropole européenne de Lille (MEL) a adopté un plan de mobilités ambitieux pour réduire la place de la voiture. Sur fond de gros enjeux d'infrastructures et de changement de comportements.
Le boulevard Carnot, grande pénétrante lilloise, ramenée à deux voies et bordée de plantations ; un écobonus gratifiant les Nordistes qui renoncent à leur voiture aux heures les plus denses sur l'A25 vers Dunkerque : ces exemples illustrent la politique de la métropole lilloise qui souhaite réduire toujours plus la place de la voiture au profit de modes alternatifs pour son 1,2 million d'habitants, soit 5 millions de déplacements chaque jour. Une politique renforcée dans le nouveau plan de mobilités voté en octobre dernier.
Cette planification à horizon 2035 s'articule avec le schéma directeur des infrastructures de transport (SDIT) adopté, lui, en 2019, qui prévoit un net renforcement des transports en commun, avec, par exemple, la création de nouvelles lignes de tramway ou de nouvelles dessertes en bus à haut niveau de service. Soit environ 2 milliards d'euros d'investissements, sans compter un plan vélo de 100 millions d'euros pour démocratiser un usage beaucoup plus ancré de l'autre côté de la frontière, en Belgique.
Lire la suite : https://www.lesechos.fr/thema/articles/lille-joue-de-tous-les-leviers-pour-verdir-ses-transports-2124330
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Mobilités durables : la Métropole européenne de Lille obtient 276 millions d'euros de financements européens
banquedesterritoires.fr - Par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 26 septembre 2024
La Métropole européenne de Lille (MEL) va bénéficier d'un prêt vert de 245 millions d'euros de la Banque européenne d'investissement (BEI) pour ses projets de modernisation des transports urbains, auquel s'ajoute une subvention de 31,5 millions d'euros de la Commission européenne au titre de la facilité de prêt au secteur public (FPSP) mise en place dans le cadre du mécanisme pour une transition juste (JTM) prévu par le Pacte vert européen. Ce soutien combiné permet de mobiliser des investissements supplémentaires pour les entités publiques situées dans les régions d'Europe les plus touchées par la transition énergétique, font valoir la BEI, la Commission et la MEL dans un communiqué commun diffusé ce 24 septembre.
Pour financer le projet "Mel in Green Mobility" de modernisation de ses transports urbains, la Métropole européenne de Lille (MEL) a fait coup double en obtenant un prêt vert de 245 millions d'euros auprès de la Banque européenne d'investissement (BEI) et une subvention de 31,5 millions d'euros de la Commission européenne au titre de la facilité de prêt au secteur public (FPSP) mise en place dans le cadre du mécanisme pour une transition juste (JTM) prévu par le Pacte vert européen (lire notre encadré).
Le projet lillois prévoit en premier lieu des investissements dans la modernisation de la flotte de transports publics avec le renouvellement de 30 rames de tramway et de 42 bus avec de nouveaux véhicules propres. Il comprend également des investissements dans les plateformes, dépôts et autres équipements connexes, le financement d’une nouvelle ligne de bus à haut niveau de service et la construction d'un pôle d'échange multimodal. Enfin, il accompagne un plan cyclable ambitieux qui prévoit 220 km d’infrastructures supplémentaires sur la période 2023-2027.
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/mobilites-durables-la-metropole-europeenne-de-lille-obtient-276-millions-deuros-de-financements
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BARCELONE : L’Europe en quête de 1 500 milliards d’€ pour les besoins de la mobilité urbaine durable à l’horizon 2050
presseagence.fr - Par Gilles Carvoyeur
Publié le 10 octobre 2024
Les investissements nécessaires à la mise en place des mesures visant la mobilité durable des villes européennes devront représenter une enveloppe de 1 500 milliards d’euros pour satisfaire aux objectifs du pacte vert pour l’Europe d’ici à 2025.
Telle est la principale conclusion de l’étude rapportée aux coûts et avantages de la transition de la mobilité urbaine réalisée par EIT Urban Mobility, une initiative de l’Institut européen d’innovation et de technologie (ou EIT pour European Institute of Technology and Innovation), un organisme de l’Union européenne. L’étude sera présentée le 6 novembre prochain, à l’occasion du congrès mondial de la mobilité de demain Tomorrow.Mobility (ci-après TMWC pour Tomorrow.Mobility World Congress), l’événement international dédié à la promotion de la conception et adoption de nouveaux modèles pour la mobilité urbaine durable.
Cette recherche approfondie présente une simulation détaillée de trois scénarios de transition visant douze prototypes de villes européennes, ce chiffre reflétant la diversité des environnements urbains au sein de l’UE. Elle révèle que, même si le progrès technologique peut à lui seul induire une réduction des émissions de CO2 de 21 % d’ici 2030, l’atteinte des objectifs du pacte vert exige des mesures beaucoup plus ambitieuses. La seule voie de réduction des émissions pour la mobilité urbaine qui respecte l’objectif 2030 du pacte vert sous-entend une baisse de 44 % des émissions, et s’accompagne d’enjeux majeurs d’acceptation publique et de comportement.
Lire la suite : https://presseagence.fr/barcelone-leurope-en-quete-de-1-500-milliards-de-pour-les-besoins-de-la-mobilite-urbaine-durable-a-lhorizon-2050/
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Mobilité hydrogène : La France, un marché qui démarre
techniques-ingénieur.fr - Par Matthieu Combe dans Énergie
Publié le 07 octobre 2024
Le Pôle Véhicule du Futur vient de publier le 1er baromètre du déploiement de la mobilité hydrogène dans le monde. Si peu de véhicules roulent encore à l'hydrogène, le cap des 100 000 véhicules routiers devrait être dépassé d'ici fin 2024.
Le marché du véhicule hydrogène se développe doucement. Le 1er baromètre du déploiement de la mobilité hydrogène, lancé par le Pôle Véhicule du Futur, s’intéresse aux tendances et dynamiques des marchés en France, en Europe et à l’échelle mondiale, de nombreux véhicules : les voitures particulières, les utilitaires, les camions et autobus, mais aussi les engins de manutention et les rames hydrogène du ferroviaire.
Selon ce pôle de compétitivité qui anime la filière hydrogène sur les régions Bourgogne-Franche-Comté et Grand Est, le parc mondial de véhicules hydrogène s’élève à près de 89 000 véhicules : 76 % de véhicules particuliers, 11 % de camions, 9 % d’autobus et 5 % de véhicules utilitaires légers[1]. Il devrait dépasser les 100 000 véhicules d’ici la fin de l’année 2024.
En 2023, 17 500 nouveaux véhicules hydrogène ont été immatriculés, en baisse de 8 % par rapport à 2022. La Corée du Sud se hisse en tête des ventes, avec 4 254 immatriculations, en baisse de 58 % sur un an. Suivent les États-Unis (2 978 immatriculations, +10 %), l’Europe (856 véhicules, -37 %) et le Japon (424 immatriculations, -50 %).
La France, premier marché européen pour les voitures en 2023
Lire la suite:https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/mobilite-hydrogene-la-france-un-marche-qui-demarre-138553/
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Paquet mobilité : les juges européens annulent le retour périodique des poids lourds dans l’Etat d’origine
transportinfo.fr - Par Marc Fressoz
Publié le 07 octobre 2024
Les transporteurs européens n’auront plus l’obligation de faire rentrer leur camion dans leur pays d’origine toutes les huit semaines. Ainsi en décidé la Cour des justices de l’UE dont le jugement rendu le 4 octobre s’applique immédiatement.
Cette mesure emblématique du paquet mobilité, destinée à mieux contrôler le cabotage et le recours à des sociétés coquille vides, visait en priorité les pavillons des États périphériques à bas coût. Sept d’entre eux (Bulgarie, Chypre, Hongrie, Lituanie, Malte, Pologne, Roumanie) sont d’ailleurs à l’origine de la saisine de la Cour européenne.
En novembre 2023, l’avocat général de la Cour, convaincu par leurs arguments, avait recommandé d’annuler cette contrainte. Dans le jugement rendu la semaine passée, les juges considèrent que la « proportionnalité de la mesure » n’a pas été suffisamment prise en compte selon les pays.
Cette annulation peut-elle faire l’objet d’un recours ? « Difficile d’imaginer la suite » admet l’IRU.
Lire la suite : https://www.transportinfo.fr/paquet-mobilite-les-juges-europeens-annulent-le-retour-periodique-des-poids-lourds-dans-letat-dorigine/
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Mobilité aérienne urbaine : les défis logistiques des taxis volants
enerzine.com - Par la rédaction
Publié le 11 octobre 2024
La mobilité aérienne urbaine (UAM) émerge comme une solution novatrice pour fluidifier les déplacements dans les métropoles. Les taxis volants électriques, autrefois relégués au domaine de l’imaginaire, s’apprêtent à devenir une réalité concrète dès 2025 aux États-Unis. Cette technologie soulève de nombreuses interrogations logistiques et organisationnelles. Comment optimiser les itinéraires ? Quelles sont les contraintes techniques à considérer ? Quels enjeux attendent les opérateurs de ces nouveaux modes de transport ?
Les eVTOLs (electric vertical take-off and landing aircraft) constituent une innovation de rupture dans le domaine du transport urbain. Ces aéronefs électriques à décollage et atterrissage verticaux allient les atouts des hélicoptères et des véhicules électriques. Leur fonctionnement silencieux et leur capacité à transporter 4 à 6 passagers en font des candidats sérieux pour la mobilité urbaine de demain.
«Ce concept s’inscrit dans l’idée des villes intelligentes où les déplacements – d’un endroit à l’autre – seront beaucoup plus faciles et durables, tout en permettant des zones urbaines denses.» a expliqué Raghu Raghavan, professeur à l’Université du Maryland.
Optimisation des trajets : un défi logistique considérable
Lire la suite : https://www.enerzine.com/mobilite-aerienne-urbaine-les-defis-logistiques-des-taxis-volants/147086-2024-10
Identité
Matignon veut adosser la carte vitale à la carte d'identité électronique
banquedesterritoires.fr - Par Olivier Devillers, pour Localtis
Publié le 8 octobre 2024
Dans son discours de politique générale, Michel Barnier Premier ministre a déclaré vouloir "lutter dans la durée contre la fraude fiscale et sociale" citant notamment "la sécurisation des cartes vitales pour éviter le versement indu d'allocations". Un rapport du Haut Conseil du financement de la protection sociale (HCFIPS) publié fin septembre évalue à 1,71 milliard d’euros le montant de la fraude à l'Assurance Maladie, essentiellement en raison des pratiques de certains professionnels de santé, et non des assurés porteurs de carte vitale.
Dans un article du journal La Tribune daté du 6 octobre 2024, Michel Barnier a précisé ses intentions en déclarant vouloir "sécuriser les cartes vitales en les adossant aux cartes d’identité numériques". Le mot "fusion" évoqué par son prédécesseur Gabriel Attal en mars 2024 n'a en revanche pas été prononcé.
Selon nos confrères du Parisien, "l'adossement" évoqué par Matignon devrait ressembler fortement à ce qui existe pour le permis de conduire (notre article du 14 février 2024). À partir du premier trimestre 2025, les titulaires d'une carte nationale d'identité électronique (CNie), la nouvelle carte d'identité très sécurisée, au format carte bancaire, devraient pouvoir importer leur carte vitale dans France Identité. Le mode d'enrôlement des cartes, qui comprend la vérification d'identité du détenteur, serait encore à l'étude, le périmètre carte vitale et CNie ne se recoupant que partiellement.
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Un seul compte pour se connecter à tous les services publics, France Services lance une campagne "identité numérique"
francebleu.fr - Par Par France Bleu Gard Lozère - Laura Blairet
Publié le 8 octobre 2024
Un code et un identifiant unique pour accéder à tous les sites du service public. C'est ce en quoi consiste "l'identité numérique". Un gain de temps, de praticité et de sécurité. Pour vous aider à la créer, La Poste et France Services proposent une campagne du 7 au 19 octobre.
Se connecter avec un seul code au site des impôts, de la Caisse d'allocations familiales (CAF) ou encore à celui de l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) pour un passeport, par exemple, c'est possible depuis quelques années grâce à "l'identité numérique". C'est un service proposé par La Poste, qui permet, en une application, de se connecter facilement à 1.700 sites de services publics. Et de ne plus avoir à retenir une grande quantité d'identifiants et de mots de passe.
Disponible toute l'année en bureau de poste
Sauf que ce n'est encore ni très connu, ni facile d'accès pour tout le monde. Il faut avoir un smartphone, y télécharger une application et suivre toute une série d'étapes.
Paiement électronique
Wero : le nouveau service de paiement européen débarque enfin en France
lesnumeriques.com - Par Sofian Nouira
Publié le 10 octobre 2024
Wero, le nouveau service de paiement mobile européen, débarque en France. Porté par les grandes banques, il entend concurrencer les géants étasuniens en autorisant des transferts instantanés et bientôt des paiements en ligne et en magasin.
Il y a quelques mois, nous évoquions Wero, le nouveau service de paiement mobile européen. Avec un peu de retard, la solution arrive enfin sur le marché français, à partir de ce mois d'octobre 2024.Porté par un consortium de 16 grandes banques européennes, dont BNP Paribas, BPCE, Crédit Agricole, Crédit Mutuel Alliance Fédérale, La Banque Postale et Société Générale en France, Wero ambitionne de devenir une alternative crédible aux géants d'outre-Atlantique comme Visa, Mastercard, PayPal ou encore Apple Pay.
Déjà disponible en Allemagne et Belgique depuis quelques semaines, Wero sera progressivement déployé en France selon un calendrier qui variera en fonction des banques, entre octobre 2024 et janvier 2025. Le Luxembourg et les Pays-Bas suivront prochainement.
Un successeur de Paylib aux fonctionnalités étendues
Wero va remplacer progressivement le service de paiement mobile français Paylib, qui compte à ce jour 35 millions d'inscrits et 15 millions d'utilisateurs réguliers pour 6 milliards d'euros échangés chaque année. Les deux services resteront compatibles, il sera possible de transférer de l'argent d'un service à l'autre.Comme Paylib, Wero permettra d'envoyer et recevoir de l'argent instantanément entre particuliers, en utilisant simplement le numéro de téléphone ou l'adresse email du destinataire. Il sera aussi possible de générer un QR Code personnel directement depuis une app dédiée à la solution. Les virements seront plafonnés à 500 € par transaction dans un premier temps. Notez que les établissements bancaires devraient également proposer Wero depuis leurs propres applications.
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/banque-en-ligne/wero-le-nouveau-service-de-paiement-europeen-debarque-enfin-en-france-n227500.html
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Quelles sont les dernières innovations pour sécuriser vos paiements en ligne ?
zataz.com - Par sébastien Mangel
Publié le 06 octobre 2024
Dans un environnement où les transactions numériques explosent, vous devez désormais accorder une attention particulière à la sécurité de vos paiements en ligne. Que vous utilisiez une carte bancaire ou des alternatives sans carte, les risques de fraude persistent. Heureusement, les innovations technologiques pour renforcer cette sécurité avancent rapidement, avec des solutions comme la tokenisation, l’authentification biométrique et les portefeuilles numériques, qui établissent de nouveaux standards de protection.
L’évolution de la validation des achats sur le Play Store
Google a récemment mis à jour son système de validation des achats sur le Play Store pour renforcer la sécurité des transactions tout en offrant une expérience fluide et agréable. Grâce à cette initiative, vous bénéficiez d’un environnement de paiement plus sécurisé.
Les mots de passe traditionnels : efficaces mais pas sans faille
Jusqu’à présent, vous deviez confirmer vos achats sur le Play Store en entrant votre mot de passe Google. Si cette méthode reste efficace, elle présente des failles, notamment face à l’oubli de mots de passe ou aux risques de piratage.
Du nouveau chez Google : la validation des achats par biométrie
Lire la suite : https://www.zataz.com/quelles-sont-les-dernieres-innovations-pour-securiser-vos-paiements-en-ligne/
Services Publics
L'État peut-il faire des économies en fusionnant des services publics ?
francetvinfo.fr - Par Armêl Balogog
Publié le 07 octobre 2024
Dans L'Événement, jeudi, sur France 2, le Premier ministre Michel Barnier a dit vouloir notamment "fusionner des services publics" pour faire des économies de dépenses publiques.
Une agence France travail (anciennement Pôle Emploi) en Vendée, (photo d'illustration, le 10 mars 2024. (MATHIEU THOMASSET / HANS LUCAS)
C'est une annonce qui a fait beaucoup réagir. Le syndicat FSU dénonce de "la pure démagogie". Le Premier ministre, Michel Barnier, veut faire 40 milliards d'euros d'économies en baissant les dépenses publiques. Interviewé dans l'émission L'Événement sur France 2, jeudi 3 octobre, il a listé quelques pistes pour faire des économies et a notamment dit vouloir "fusionner des services publics" et "sans doute ne pas remplacer tous les fonctionnaires". Mais fusionner des services publics permet-il vraiment de faire des économies ?
Des surcoûts les premières années après la fusion
Il n'y a aucune étude globale, neutre, absolue, qui permettrait de répondre par oui ou par non à cette question. En revanche, il est possible de faire le bilan de deux fusions de services publics récentes : la fusion de la Direction générale des impôts et de la Direction générale de la comptabilité publique qui a donné naissance à la Direction générale des finances publiques en 2008, et la création, la même année, de Pôle emploi, après une fusion entre l'ANPE et les Assedic.
Dans un premier temps, il s'est passé exactement l'inverse de ce qu'espère le Premier ministre : il y a eu des surcoûts. Concernant Pôle emploi, ces surcoûts ont d'abord été estimés entre 350 et 500 millions d'euros par le Conseil d'analyse économique. Finalement, un rapport d'information du Sénat publié en 2011 note qu'il y a eu un surcoût de 500 millions d'euros. Selon le rapport annuel de performance annexé au projet de loi de règlement des comptes pour 2010, ce surcoût est dû à l'acquisition d'une partie des biens mobiliers et immobiliers de l'Unédic (324 millions d'euros) et à l'impact de la nouvelle convention collective nationale sur la comptabilisation des engagements sociaux (188 millions d'euros). Les salaires d'une grande majorité des anciens de l'ANPE – qui avaient accepté la nouvelle convention collective – ont augmenté de 20% pour être mis au niveau de la rémunération des anciens des Assedic.
Finances locales
Les élus et leurs associations vent debout contre la ponction programmée sur les finances locales
maire-info.com - Par Franck Lemarc
Publié le 9 octobre 2024
Individuellement ou collectivement, les responsables d'associations d'élus et les élus eux-mêmes ont vivement réagi à l'annonce, hier, d'une ponction de 5 milliards d'euros sur les finances des collectivités territoriales. Florilège.
Par Franck Lemarc
Avec sa formule « Nous n’accepterons aucune des mesures proposées », André Laignel, président du CLF et numéro deux de l’AMF, a donné le ton. Depuis hier après après-midi, communiqués de presse, tweets et déclarations se succèdent, et les choses sont claires : le gouvernement fait l’unanimité contre lui.
Mesures « triplement inacceptables »
Interrogé ce matin sur Franceinfo, le président de l’AMF, David Lisnard, a refusé le terme « d’économies » demandées aux collectivités : « Ce ne sont pas des mesures d’économies mais des prélèvements supplémentaires de l’État », qui « une fois de plus demande aux autres d’assumer ses propres turpitudes ». Parlant de « rafistolage d’un système à bout de souffle », le maire de Cannes a rappelé que les gouvernements successifs n’ont cessé de confier des responsabilités, des compétences et des charges supplémentaires aux collectivités, et de l’autre main les ponctionnent. « Le gouvernement prévoit de créer un ‘’fonds de précaution’’ [dans les plus grandes collectivités] de 2 %. Chez moi à Cannes, 2 % cela voudra dire 10 millions d’euros en moins. Et on nous demande de faire plus de crèches ? ». Le président de l’AMF a une fois de plus rappelé que les dépenses cumulées de tous les niveaux de collectivités et des EPCI, en France, représente 11 % du PIB, contre une moyenne « de 19 % en Europe ».
Intelligence artificielle
Comment faire de l’intelligence artificielle une technologie vertueuse pour l'emploi et le travail ?
vie-publique.fr - Par : Nathalie Greenan ; Flore Barcellini et Moustafa Zouinar
Publié le 11 octobre 2024
Les opportunités comme les risques de l'intelligence artificielle (IA) pour le monde du travail sont nombreux. Pour l'instant, leur évaluation scientifique reste limitée. Que suggèrent les résultats empiriques en économie et en ergonomie et comment les pouvoirs publics peuvent-ils favoriser une approche nuancée et vertueuse des usages l'IA ?
L'Intelligence artificielle (IA) connaît actuellement un regain d'intérêt sans précédent dans les sphères politiques et socio-économiques. Les discours qui en émanent prônent une nouvelle ère d'innovations technologiques et de services, à même de transformer le monde du travail. Face à cette évolution, plusieurs pays ont mis en place des plans stratégiques visant à soutenir et encadrer le développement de l'IA. En France, le rapport Villani de 2018 a conduit au lancement du Programme national de recherche en IA (PNRIA). La Commission de l'intelligence artificielle a publié un rapport en mars 2024, contenant 25 recommandations tandis qu'au niveau européen, le Règlement sur l'IA, qui établit des règles harmonisées fondées sur les risques, a été adopté par le Conseil de l'Europe en mai 2024.
SOMMAIRE
L'IA : une technologie en pleine mutation qui devient une affaire politique et sociale
Les opportunités et les risques pour l'entreprise et le salarié
Au-delà de l'IA : les vrais moteurs de la révolution du travail
L'enjeu des politiques publiques : promouvoir des "scénarios vertueux" d'usages de l'IA
L'IA : une technologie en pleine mutation qui devient une affaire politique et sociale
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/295603-lintelligence-artificielle-lemploi-et-le-travail
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Intelligence artificielle : pourquoi les lauréats du Nobel de physique sonnent l’alarme
la-croix.com - Par Elie Guidi avec AFP)
Publié le 09 octobre 2024
Récompensés mardi 8 octobre du Nobel de physique pour leurs travaux en lien avec le développement de l’intelligence artificielle (IA), Geoffrey Hinton et John Hopfield ne cachent pas leur inquiétude concernant les risques de cette technologie et appellent à l’empêcher de devenir incontrôlable.
L’intelligence artificielle, une menace pour l’humanité ? Les chercheurs américains John Hopfield et britanno-canadien Geoffrey Hinton, récompensés mardi 8 octobre du prix Nobel de physique pour leurs travaux respectifs dans « l’apprentissage automatique », cruciaux pour le développement de l’intelligence artificielle (IA), ont sonné l’alarme sur cette technologie.
« Je crains que la conséquence globale de tout cela ne soit des systèmes plus intelligents que nous, qui finissent par prendre le contrôle », a déclaré à la presse, après l’annonce mardi, Geoffrey Hinton. John Hopfied a quant à lui appelé à une meilleure compréhension de l’IA pour l’empêcher de devenir incontrôlable.
Les deux scientifiques ont mené des recherches dans les réseaux de neurones artificiels dès les années 1980, ouvrant la voie aux promesses de l’intelligence artificielle, révolution technologique qui suscite des inquiétudes y compris chez ses inspirateurs.
« Ce n’est pas inimaginable »
Considéré comme l’un des pères fondateurs de l’intelligence artificielle, Geoffrey Hinton multiplie des alertes sur les dangers de cette technologie. En mars 2023, interrogé par une télévision américaine sur les « risques que l’intelligence artificielle anéantisse l’humanité », le professeur de l’université de Toronto ne cache pas son inquiétude et répond : « Ce n’est pas inimaginable. »
Lire la suite : https://www.la-croix.com/international/intelligence-artificielle-pourquoi-les-laureats-du-nobel-de-physique-sonnent-l-alarme-20241009
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« L’intelligence artificielle peut être très utile aux collectivités territoriales »
Ouest-France.fr - Par Emilie Michel
Publié le 07 octobre 2024
Thomas Solignac, expert en intelligence artificielle et en innovations, a présenté une conférence sur l’IA à l’attention des collectivités territoriales, en Normandie. Il les invite à s’informer et se former à ce nouvel outil qui peut les aider au quotidien.
Où les collectivités en sont-elles avec l’intelligence artificielle ? En quoi celle-ci peut-elle leur être utile ? Pour répondre à ces questions, les Centres de gestion normands ont organisé une conférence interactive mercredi 2 octobre 2024. Ils avaient convié un spécialiste en la matière, Thomas Solignac, dans le cadre de la 3e édition de la Conférence régionale pour l’emploi territorial en Normandie.
« Il y a une accélération très forte de l’IA depuis deux ans »
Pourquoi parler d’intelligence artificielle aux collectivités territoriales ?
Depuis deux ans, il y a une accélération très forte de l’IA, qui touche aussi bien la sphère privée que la sphère publique. Les collectivités ont aussi un questionnement à ce sujet.
lire la suite : (réservée aux abonnés) : https://www.ouest-france.fr/high-tech/intelligence-artificielle/entretien-lintelligence-artificielle-peut-etre-tres-utile-aux-collectivites-territoriales-9186c37c-825c-11ef-91d9-7f562215fe95
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AI World Summit 2024 : l’IA à l’épreuve du sens
alliancy.fr - Par par Stéphane Gervais Ducouret
Publié le 11 octobre 2024
Dans sa nouvelle chronique, Stéphane Gervais revient sur sa participation à l’évènement mondial de référence de l’IA, au Pays-Bas. La réglementation et les enjeux d’IA responsable ont été un filtre permanent pour donner du sens aux technologies et aux innovations présentées.
« AI World Summit 2024 » s’est déroulé le 9 et 10 octobre à Amsterdam et a réuni 6 000 leaders mondiaux, décideurs politiques et experts en technologie. Une étape importante dans l’avenir de l’intelligence artificielle (IA) par ceux qui développent les technologies, ceux qui les utilisent et ceux qui les régulent. En effet, même si l’événement a mis en lumière les opportunités grandissantes offertes par l’IA, les défis considérables auxquels nous devons faire face collectivement ont été adressés. Entre progrès très rapides et régulation nécessaire, l’IA a été placée sous les projecteurs sous des angles intéressants et constructifs.
Des voix influentes pour un avenir réfléchi de l’IA
Des personnalités influentes, telles que Sarah Porter, ont rappelé que chaque individu a un rôle à jouer pour façonner l’avenir de l’IA et son impact sur la société. En évoquant l’importance de l’action personnelle, Porter a réitéré l’idée que la technologie doit être utilisée de manière éthique et responsable. Alexander Scholtes, responsable numérique de la ville d’Amsterdam, a souligné un point fondamental : la technologie doit servir les gens, et non l’inverse. Cette idée a même été renforcée par Microsoft, qui a expliqué que les innovations les plus puissantes en IA sont celles qui autonomisent les utilisateurs, en leur donnant plus de contrôle et de capacité.
Les villes en première ligne pour une IA responsable
Lire la suite : https://www.alliancy.fr/ai-world-summit-2024-ia-epreuve-sens
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Révolution pour l'intelligence artificielle: un nouveau type de mémoire vive la rendrait 2500 fois moins vorace
geo.fr - Par Pierre Monnier
Publié le 08 octobre 2024
L'intelligence artificielle est confrontée à un problème majeur : sa consommation électrique. Heureusement, une nouvelle technologie de mémoire vive promet d'apporter une solution radicale.
L'intelligence artificielle pèse sur de nombreuses industries. Dans l'art, Hollywood avait manifesté pour des garanties quant à l'utilisation de cette technologie au cours d'une grève en 2023. Dans l'informatique, l'émergence de l'IA avait lourdement pesé sur la disponibilité de composants électroniques. Aussi, les calculs incessants nécessaires pour générer des images, répondre à des questions (ou bien raconter n'importe quoi) impactent grandement le secteur énergétique.
C'est pourquoi des chercheurs ont tenté de trouver comment réduire le besoin des intelligences artificielles en électricité, indique Live Science. Pour ce faire, ils ont développé un nouveau type de mémoire vive : la CRAM. La RAM (pour random access memory) permet à un ordinateur de stocker temporairement des informations afin qu'un processeur puisse exécuter un programme.
Prédiction inquiétante : la consommation énergétique de l'IA aura doublé d'ici 2026
Mais la mémoire mise en œuvre par les scientifiques de l'université du Minnesota dépasse de loin cette fonction. La CRAM est un dispositif de mémoire vive computationnel, c'est-à-dire qu'elle ne va pas stocker des informations, mais procéder à des calculs. Cette différence évite de déplacer des données d'une partie à une autre d'un ordinateur avant qu'elles ne soient traitées.
Lire la suite : https://www.geo.fr/sciences/revolution-intelligence-artificielle-calculs-energie-vorace-2500-fois-memoire-vive-computationnel-cram-221627
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Un quart des victimes de fraude à l’identité accusent l’IA
zoner.fr - Par Artie Beaty
Publié le 06 octobre 2024
Beaucoup de personnes n'ont pas confiance en leur capacité à détecter les deepfakes, ce qui fait peser une menace sur la protection de l'identité.
L'intelligence artificielle (IA) fait fureur de nos jours, qu'il s'agisse d'une nouvelle fonction pour le dernier téléphone portable, d'un outil pour générer des images ou d'un moyen de créer des podcasts en quelques secondes. Malheureusement, l'IA est également populaire dans le monde criminel.
De nombreuses escroqueries utilisent l'IA, qu'il s'agisse d'une escroquerie téléphonique clonant la voix d’un proche, d'une fausse facture pour un achat de cryptomonnaie ou d'une arnaque alimentée par l'IA qui a infiltré le monde du tricot et du crochet.
Les deepfakes inquiètent...
Selon une étude récente de Censuswide, plus de 25 % des personnes ont déclaré avoir été victimes d'une escroquerie liée à l'usurpation d'identité. La majorité de ces victimes ont blâmé l'IA.
Même si l'escroquerie dont ces personnes ont été victimes n'était peut-être pas liée à l’intelligence artificielle, le potentiel des deepfakes est leur plus grande préoccupation. Interrogés sur la plus grande menace pesant sur la sécurité de l'identité, 78 % des personnes interrogées ont pointé du doigt l'utilisation abusive de l'IA.
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/1-personne-sur-4-a-ete-victime-dune-fraude-a-lidentite-et-la-plupart-accusent-lia-398922.htm
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Nomination de Clara Chappaz : La voie vers une nouvelle mission ?
actuia.com - Par Jade Berre
Publié le e 8 octobre 2024
En ligne avec l’intervention en Serbie d’Emmanuel Macron fin août, la nomination de Clara Chappaz en tant que Secrétaire d’Etat Chargée de l’Intelligence Artificielle et du Numérique, fait écho à l’ambition d’un « modèle mixte public-privé » pour le développement de l’IA, dans le contexte de l’action publique française. Coïncidence ? En aucun cas. Cohérence ? Sans aucun doute. Ayant déployé de multiples tactiques de structuration et de croissance sur l’échiquier des start-ups françaises, elle apparait aujourd’hui comme un symbole de diversité dans le monde de la tech et du numérique français.
Si « d’ici 2025, l’IA et le BD pourraient augmenter la productivité des entreprises françaises de 10% » (source : PWC), il est aisé d’imaginer que le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a encore fort à faire. Heureusement, l’appellation même de cette entité et la nomination récente de Clara Chappaz soulignent un positionnement de l’action publique en ligne avec la philosophie de nombreux acteurs liés à l’IA (Deepmind, Meta, OpenAI, Mistral AI ou Hugging Face). En d’autres termes, innover et relever les défis liés à l’IA (notamment sa fiabilité technologique) via la recherche scientifique.
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/nomination-de-clara-chappaz-la-voie-vers-une-nouvelle-mission/
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ARNEO : L’IA pour révolutionner le recrutement
cbnews.fr - par Fouzia Kamal
Publié le 06 octobre 2024
Arneo lève le voile sur Aptitud.ai, nouvel outil basé sur l’intelligence artificielle qui ambitionne de transformer la gestion des compétences et le processus de recrutement des entreprises de services du numérique et cabinets de recrutement. Au cœur du modèle développé : « sa capacité à analyser rapidement des CV, interpréter les besoins des recruteurs et générer des dossiers de compétences sur mesure, tout cela en quelques clics. Cet outil innovant permet aux recruteurs de gagner un temps précieux et d’améliorer la pertinence des profils sélectionnés pour chaque mission », indique un communiqué de l’agence digitale.
Lire la suite : https://www.cbnews.fr/digital/image-arneo-ia-revolutionner-recrutement-87642
CNIL
La CNIL a prononcé ces trois derniers mois onze nouvelles sanctions dans le cadre de la procédure simplifiée
cnil.fr - Communiqué
Publié le 08 octobre 2024
Collecte excessive de données, absence de registre, non-respect des droits des personnes ou défaut de coopération : la CNIL a prononcé onze nouvelles sanctions simplifiées depuis juin 2024. Elle rappelle les règles et les mesures répressives qu’elle peut prendre en cas de non-conformité.
Depuis juin 2024, la CNIL a rendu onze nouvelles décisions de sanctions dans le cadre de sa procédure simplifiée pour un montant cumulé d’amendes de 129 000 euros.
Les principaux manquements retenus concernent :
Des manquements au principe de minimisation des données
Plusieurs sanctions prises dans le cadre de la procédure simplifiée ont retenu un manquement au principe de minimisation des données, qu’il s’agisse de la vidéosurveillance des salariés ou de l’enregistrement systématique et en intégralité des conversations téléphoniques entre des téléconseillers et des prospects ou clients.
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/onze-nouvelles-sanctions-procedure-simplifiee
Détection de fraudes
Florence Giuliano (SAS) "L'IA augmente la précision des modèles de détection de fraude utilisés par les banques"
journaldunet.com - Par Bleuirent Fréquent
Publié le 07 octobre 2024
Florence Giuliano, directrice des solutions pour la lutte contre la criminalité financière chez SAS, dresse un état des lieux des nouvelles typologies de fraudes et des innovations pour aider à leur détection.
Alors que les transactions se modernisent avec l'open banking, quelles nouvelles fraudes émergent ?
Le rapport de l'Observatoire de la sécurité des moyens de paiement, publié ce 10 septembre, fait état de la fraude sur les moyens de paiement scripturaux (chèques, cartes, virements, prélèvements…), pour un total de 1,195 milliard d'euros en 2023. La fraude à la carte, qui inclut les retraits, représente 42% des fraudes cette année, contre 39% en 2022. La fraude au virement qui avait explosé, multipliée par 3 en 5 ans en passant de 78 millions d'euros en 2017 à 313 millions en 2022, se stabilise cette année à 312 millions. Ce qui ressort également, c'est l'importance croissante des fraudes par manipulation, ou ingénierie sociale, qui représentent environ un tiers du montant total des fraudes, soit 379 millions d'euros. Ces fraudes touchent particulièrement les personnes physiques, notamment les jeunes adultes. Exemple typique : un étudiant révise tard et reçoit un SMS à 3 heures du matin qui prétend qu'il a reçu une contravention pour avoir grillé un feu rouge. Il rentre alors ses coordonnées bancaires sur un faux site, croyant qu'il s'agissait d'une démarche légitime.
Comment l'IA générative augmente le risque ces fraudes par manipulation ?
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1534779-florence-giuliano-sas/
Cybersécurité
La gouvernance de la cybersécurité française : un panorama des acteurs
« La gouvernance de la cybersécurité française : un panorama des acteurs » Revue n° 873 Octobre 2024 - p. 47-50
La cybersécurité devient un enjeu en croissance exponentielle face aux menaces et cyberattaques de plus en plus nombreuses. Cela oblige à organiser des outils et des structures efficaces pour contrer les risques. Les organismes comme l’Anssi ou la Cnil voient leur périmètre s’élargir avec plus de responsabilités et d’interlocuteurs concernés.
La gouvernance de la cybersécurité est un enjeu multidimensionnel et crucial pour la sécurité nationale. Elle nécessite de fait la coordination d’acteurs d’horizons variés au plan national comme international, ce que défend la France depuis l’Appel de Paris du président Emmanuel Macron le 12 novembre 2018 (1). Avec plus de 1 200 soutiens de tous les continents (80 États, entreprises, organisations de la société civile, collectivités locales et autorités publiques dont la Commission européenne), la doctrine française a donc vocation à essaimer dans le monde.
Une gouvernance efficace de la cybersécurité permet de renforcer la souveraineté numérique et l’indépendance technologique d’un pays, réduisant sa vulnérabilité face aux cybermenaces étrangères. Elle nécessite de mettre en place des politiques, des procédures et des technologies visant à prévenir les cyberattaques et à y répondre efficacement. Cependant, face à l’hétérogénéité des enjeux cyber sur le territoire, des formes de réponse se structurent autour de catégories d’acteurs.
Des typologies relatives à la vulnérabilité des organisations au risque cyber
Lire la suite : https://www.defnat.com/e-RDN/vue-article.php?carticle=23536
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Mois de la cybersécurité : l'ARS Île-de-France en première ligne pour la protection des données de santé
iledefrance.ars.sante.fr - Communiqué
Publié le 08 octobre 2024
En octobre, le Mois européen de la cybersécurité est une opportunité pour sensibiliser les acteurs de la santé aux menaces grandissantes en matière de sécurité informatique. Pour l’ARS Île-de-France, garantir la confidentialité des données de santé et la sécurité des infrastructures numériques des établissements de santé est une priorité absolue. Focus sur les actions mises en place.
En 2023, plus de 600 cyberattaques ont visé des établissements de santé en France, faisant du secteur de la santé la 3e cible la plus concernée par les cyber-attaques au niveau mondial.
En moyenne, un incident cyber est remonté à l’Agence régionale de santé Île-de-France une fois tous les 7 jours et des alertes moins conséquentes interviennent quotidiennement. Depuis plusieurs années, l’ARS investit massivement dans le renforcement de la cybersécurité des acteurs régionaux, en partenariat avec les acteurs nationaux (DNS et ANS, ANSSI, CertSanté notamment) et le GIP SESAN. L’offre en matière de cybersécurité s’est considérablement étoffée et couvre désormais la surveillance, la sensibilisation, la préparation et la réponse aux crises cyber.
L'engagement institutionnel en matière de cybersécurité
Lire la suite : https://www.iledefrance.ars.sante.fr/mois-de-la-cybersecurite-lars-ile-de-france-en-premiere-ligne-pour-la-protection-des-donnees-de
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Que change le règlement Cyber Résilience Act (CRA) adopté par le Conseil de l’UE ?
solutions-numériques.com - Par Patrice Remeur
Publié le 11 octobre 2024
Le Conseil de l’UE a adopté le 10 octobre, le règlement Cyber résilience act (CRA). Ce texte majeur impose la sécurité numérique à tous les produits digitaux. De nombreuses entreprises, grandes ou petites de l’UE ou hors UE, sont concernées.
Le CRA vise à compléter NIS2 et DORA en renforçant la cybersécurité des produits intégrant des éléments numériques. Il impose des exigences minimales de sécurité à tous produits numériques : caméras connectées, réfrigérateurs intelligents, téléviseurs et jouets connectés… avant leur mise sur le marché de l’Union européenne.
De manière générale, le CRA couvre les organisations qui réalisent :
– Des produits physiques (hardware) dotés de fonctionnalités connectées : smartphones, ordinateurs portables, caméras domestiques, montres connectées, jouets connectés, modems, pare-feu, compteurs intelligents…
– Des logiciels (software) commercialisés séparément des produits physiques, tels que les logiciels de comptabilité, jeux en ligne ou applications mobiles…
Les logiciels libres non commerciaux sont exclus du règlement. Cependant, les logiciels libres distribués à des fins commerciales devront respecter les règles du CRA, à l’exception des projets gérés par des fondations open source, qui bénéficient d’un régime spécial.
Les produits intégrant des logiciels libres devront garantir que ces logiciels sont sécurisés afin de limiter les risques liés à la chaîne d’approvisionnement.
Lire la suite: https://www.solutions-numeriques.com/que-change-le-reglement-cyber-resilience-act-cra-adopte-par-le-conseil-de-lue/
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Indispensable, le Guide Cybersécurité 2024-2025 !
solutions-numériques.com - Par Juliette Paoli
Publié le 11 octobre 2024
Le Guide Cybersécurité 8e édition vient de sortir. Découvrez-le en ligne.
Ce guide annuel, indispensable, réunit les solutions et services de la cybersécurité.
Ce sont en tout plus de 900 acteurs du domaine qui y sont référencés : éditeurs, conseils, prestataires, formateurs, distributeurs…
Il réalise par ailleurs un focus sur 68 champions de la cyber.
Au sommaire également le règlement NIS2, la cybersécurité managée et le SOC.
Et retrouvez les avis d’expert et tribunes des professionnels et organisations du secteur : le Clusif, le Cigref, le Campus Cyber, le Cesin, Numeum, etc.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/indispensable-le-guide-cybersecurite-2024-2025/
Cybercriminalité
Un quart des victimes de fraude à l’identité accusent l’IA
Beaucoup de personnes n'ont pas confiance en leur capacité à détecter les deepfakes, ce qui fait peser une menace sur la protection de l'identité.
L'intelligence artificielle (IA) fait fureur de nos jours, qu'il s'agisse d'une nouvelle fonction pour le dernier téléphone portable, d'un outil pour générer des images ou d'un moyen de créer des podcasts en quelques secondes. Malheureusement, l'IA est également populaire dans le monde criminel.
De nombreuses escroqueries utilisent l'IA, qu'il s'agisse d'une escroquerie téléphonique clonant la voix d’un proche, d'une fausse facture pour un achat de cryptomonnaie ou d'une arnaque alimentée par l'IA qui a infiltré le monde du tricot et du crochet.
Les deepfakes inquiètent...
Selon une étude récente de Censuswide, plus de 25 % des personnes ont déclaré avoir été victimes d'une escroquerie liée à l'usurpation d'identité. La majorité de ces victimes ont blâmé l'IA.
Même si l'escroquerie dont ces personnes ont été victimes n'était peut-être pas liée à l’intelligence artificielle, le potentiel des deepfakes est leur plus grande préoccupation. Interrogés sur la plus grande menace pesant sur la sécurité de l'identité, 78 % des personnes interrogées ont pointé du doigt l'utilisation abusive de l'IA.
Face aux deepfakes, quelles stratégies de défense ?
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/1-personne-sur-4-a-ete-victime-dune-fraude-a-lidentite-et-la-plupart-accusent-lia-398922.htm
Atos
De cloud first à cloud smart
atos.net - Par Laurent Barbet
Publié le 11 octobre 2024
L’adoption des technologies cloud est devenue une étape incontournable pour les entreprises. Faut-il pour autant se lancer tête baissée dans une approche cloud first ?
Le recours au cloud est désormais pratique courante. Quel que soit leur secteur d’activité, chefs d’entreprise et responsables technologiques sont acquis aux bénéfices du cloud : une meilleure agilité, une plus grande efficacité et une plus forte résilience. La preuve, 80 % des entreprises devraient avoir fermé leurs datacenters d’ici 2025.
Le fardeau des datacenters pour les entreprises
L'immobilier coûte cher. Les datacenters d’anciennes générations ne sont pas vraiment économes en énergie. Leur exploitation exige des investissements conséquents et des compétences technologiques de plus en plus rares. Il est donc logique que les entreprises mettent en place des stratégies de sortie lorsque les contraintes de souveraineté le permettent. C’est d’ailleurs un sujet sur lequel Atos accompagne ses clients depuis plus d’une décennie. En étroite collaboration avec eux, nous avons, depuis 2010, fermé 112 datacenters et déplacé des centaines d’applications vers le cloud.
Les entreprises se tournent vers les services cloud des hyperscalers qui proposent un modèle de paiement à l’usage. Propulsés par l’automatisation et déployés via des API accessibles depuis internet, leur mode de consommation garantit rapidité et flexibilité. Il n'est donc pas surprenant que de plus en plus de grandes entreprises se tournent vers le cloud public.
Mais la migration de toutes les applications vers le cloud public est-elle la meilleure des stratégies pour fermer un datacenter ? Je suis convaincu que non.
Comment éviter le casse-tête de la migration sans fin ?
Lire la suite : https://atos.net/fr/blog/de-cloud-first-a-cloud-smart
Thales
Thales façonne ses cartes à puce au profit de la cybersécurité
challenges.fr - Par Margaux Vulliet
Publié le 06 octobre 2024
Cartes biométriques, eSIM, reconnaissance faciale… Le géant de l’électronique, Thales, développe avec succès ses solutions de paiement et de vérification d’identité.
Chaque mois, ce sont plus de 20 millions de cartes à puce qui sortent de l’usine de Gémenos, près de Marseille, emplacement historique de Gemalto, le pionnier de la sécurité numérique. Cinquante ans après son invention par Roland Moreno, bidouilleur de génie, le petit rectangle de plastique et de silicium tient toujours la vedette. Selon Mordor Intelligence, ce marché devrait atteindre près de 17 milliards d’euros en 2024 et bondir de 10 % par an ces cinq prochaines années. Et Gemalto, devenu la division Digital Identity and Security (DIS) de Thales, est désormais l’une des activités les plus rentables du groupe, son propriétaire depuis 2019. « Ce n’est pas la fin de la carte à puce, assure David Byrne, en charge de l’innovation pour DIS. Des offres physiques et dématérialisées coexistent désormais. »
Mais la concurrence est de plus en plus rude. Après l’absorption de Gemalto, Thales a multiplié les rachats afin de « créer des synergies », confie Philippe Vallée, l’ex-patron de l’entreprise, qui dirige désormais DIS. L’une des dernières acquisitions en date est celle de l’américain Imperva, spécialiste de la menace cyber, acheté 3,6 milliards de dollars. Une stratégie qui semble fonctionner puisque la filiale de Thales continue de croître dans ce marché très disputé : son chiffre d’affaires, à 3,3 milliards d’euros en 2023, était en hausse de 4,1 % sur un an.
Lire la suite : https://www.challenges.fr/entreprise/tech-numerique/thales-faconne-ses-cartes-a-puce-au-profit-de-la-cybersecurite_907169
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Lancement réussi pour la mission de défense planétaire HERA
thalesgroup.com - communiqué
Publié le 08 octobre 2024
Hera a pour mission de confirmer la possibilité de dévier la trajectoire d’un astéroïde menaçant d’entrer en collision avec la Terre, en tant que stratégie répétable rapidement déployable en cas de risque avéré;
Thales Alenia Space a fourni certaines des technologies clés de la sonde Hera, notamment pour transmettre les données relatives à l’astéroïde binaire Didymos - un exemple de géocroiseur parmi tant d’autres susceptibles de représenter une menace pour notre planète
Madrid, le 8 octobre 2024 - Hera, la première mission de défense planétaire de l’Agence spatiale européenne (ESA), a été lancée avec succès hier à bord d’une fusée Falcon 9 de SpaceX depuis Cap Canaveral, en Floride. Le satellite est désormais en route vers sa cible finale, le système d’astéroïde binaire Didymos-Dimorphos, qui n’est que l’un des quelque 1,3 million de géocroiseurs connus de notre Système solaire.
Si l’un de ces corps célestes venait à menacer la Terre, quelle serait la parade possible ? Le 26 septembre 2022, la mission DART (Double Asteroid Redirection Test) de la NASA a tenté une première mondiale : lancer un impacteur cinétique contre la petite lune baptisée Dimorphos, de la taille d’une des grandes pyramides d’égypte, afin de dévier sa trajectoire. L’impact a eu pour effet d’infléchir très légèrement son orbite autour de l’astéroïde principal Didymos, grand comme une montagne.
Vient à présent la propre contribution de l’ESA au programme collaboratif international AIDA (Asteroid Impact & Deflection Assessment) : la mission Hera s’approchera de Dimorphos suffisamment près pour caractériser le corps dévié et transformer l’expérience d’impact cinétique à grande échelle de la mission DART en technique de défense planétaire bien maîtrisée et potentiellement répétable. À cet égard, la sonde Hera mesurera précisément la masse de l’astéroïde et recueillera de précieuses informations sur sa composition et sa structure interne, afin de pouvoir interpréter le résultat de l’impact.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/espace/press_release/lancement-reussi-mission-defense-planetaire-hera
Mobilité
Décryptage : 5 directions pour repenser notre mobilité
infos.ademe.fr - Par Ademe magazine
Numéro d’Octobre 2024
Le transport représente 31 % des émissions de gaz à effet de serre de la France, la part la plus importante des émissions du pays. Pour atteindre nos objectifs de décarbonation du secteur et améliorer notamment la qualité de l’air, nos habitudes doivent évoluer. Mais de quelle manière ?
Revenir à une plus grande proximité
En plusieurs décennies, nous nous sommes éloignés de nos lieux de travail, de consommation, d’accès aux soins… En cause, le développement de transports plus performants et surtout de la voiture, qui nous permettent d’aller plus loin, et plus vite.
Le premier levier d’action préconisé par la Stratégie nationale bas carbone pour réduire les émissions de CO2 des transports est d’abaisser le nombre de kilomètres parcourus chaque jour par les Français.
Et donc, de revoir les distances qui séparent nos différents lieux de vie, grâce à des politiques publiques qui encouragent et favorisent la proximité. Jusqu’à présent, notre mobilité a été façonnée par cette course à la vitesse, par le développement d’infrastructures autoroutières et de parkings, et par la concentration de pôles d’activités qui rendent indispensable l’utilisation de la voiture.
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1.500 milliards d’euros : le coût de la mobilité durable en Europe d’ici 2050
deplacementspros.com - par David Keller-Poalski
Publié le 2 octobre 2024
Un rapport révèle qu’un investissement de 1.500 milliards d’euros est nécessaire pour la mobilité durable d’ici 2050 en Europe.
EIT Urban Mobility - une initiative de l’Institut européen de technologie et d’innovation (EIT), un organisme de l’Union européenne - vient de dévoiler sa dernière étude intitulée “Coût et bénéfice de la transition de la mobilité urbaine”. Cette recherche approfondie explore la façon dont les villes européennes peuvent atteindre les objectifs fixés par le Pacte vert européen dans le secteur des transports d’ici 2030 et 2050, en évaluant les impacts financiers et sociétaux des diverses stratégies de mobilité.
Trois scénarios
L’étude propose une simulation détaillée de trois scénarios de transition dans douze prototypes de villes européennes, reflétant la diversité des environnements urbains au sein de l’UE. Elle révèle que si les avancées technologiques pourraient à elles seules réduire les émissions de CO2 de 21 % d’ici à 2030, la réalisation des objectifs du Pacte vert nécessite des mesures beaucoup plus ambitieuses. La seule voie de réduction des émissions pour la mobilité urbaine permettant d’atteindre les objectifs du Pacte vert pour 2030 implique une réduction de 44 % des émissions, mais elle s’accompagne de défis importants en matière d’acceptation par le public et de changement des comportements.
Lire la suite : https://www.deplacementspros.com/international/europe/1-500-milliards-deuros-le-cout-de-la-mobilite-durable-en-europe-dici-2050
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Quand la mobilité rencontre la neutralité carbone : 4 scénarios pour 2050
infos.ademe.fr - Par Ademe Magazine
Numéro Octobre 2024
Les transports sont le premier poste d’émissions de gaz à effet de serre en France, à hauteur de 30 %, loin devant les autres secteurs très émetteurs comme l’industrie, l’agriculture et le bâtiment qui se situent entre 18 et 20 %. Alors, comment les faire évoluer pour atteindre la neutralité carbone en 2050 ? Le travail prospectif Transition(s) 2050 mené par l’ADEME dessine 4 scénarios types.
Scénario 1 – En route vers la sobriété
Une formule résume très bien ce scénario : « Moins, c’est mieux ! ». Dans cette logique, le nombre de kilomètres parcourus par les Français baisse fortement du fait de l’évolution des modes de vie qui tendent vers une proximité plus importante et donc une « démobilité » ainsi qu’un ralentissement. Les modes actifs (marche, vélo, etc.) sont donc favorisés, tandis que la voiture en usage individuel et le recours au transport aérien sont en fort retrait en raison d’évolutions réglementaires et fiscales. Les voitures s’électrifient, deviennent plus légères, et leurs vitesses de circulation baissent, tandis que le covoiturage solidaire et l’autostop se développent dans les zones rurales.
-26 % de kilomètres
au total parcourus et –55 % de trajets en voiture.
Levier le plus sollicité : la modération de la demande de transport.
Scénario 2 – Des transports oui, mais toujours plus durables
Lire la suite : https://infos.ademe.fr/magazine-octobre-2024/quand-la-mobilite-rencontre-la-neutralite-carbone-4-scenarios-pour-2050/
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Tout savoir sur le paiement par SMS qui débarque ce mardi dans les transports Bibus, à Brest
Publié le 01 octobre 2024
De nombreux usagers du réseau Bibus s’interrogent sur le nouveau service d’achat de ticket par SMS, qui pallie la suspension du paiement sans contact dans les transports de la Métropole. On répond à toutes vos questions.
« Notre prestataire a cessé son activité, mais nous souhaitions continuer à permettre aux usagers occasionnels d’effectuer un achat simple, rapide et dématérialisé », souligne Bibus. Le service de transport public rassure : « Le paiement sans contact à bord est très utilisé depuis sa mise en place en septembre 2020 (plus de trois millions de fois). Il sera remis en place dès l’été prochain avec un nouveau prestataire, une nouvelle billettique et de nouveaux valideurs ».
2 Quand et comment dois-je acheter mon ticket ?
Lire la suite : https://footamateur.letelegramme.fr/6672833/tout-savoir-sur-le-paiement-par-sms-qui-debarque-le-1er-octobre-dans-les-transports-bibus-a-brest/
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Carte Navigo imagine R : comment vous faire rembourser 100 euros ?
capital.fr - Par Solina Prak
Publié le 30 septembre 2024
La région Île-de-France propose aux usagers titulaires d’une carte Navigo imagine R de récupérer 100 euros sur leur forfait. Pour profiter de cette offre, il faut se rendre sur l’application mobile Labaz, destinée aux 15-25 ans.
Avis aux lycéens franciliens, la région Île-de-France vous offre un coup de pouce financier. Les titulaires d’une carte Navigo imagine R peuvent en effet récupérer 100 euros sur leur forfait. Pour bénéficier de cette offre, il faut se rendre sur l’application mobile Labaz, destinée aux 15-25 ans, comme l’indique le site Sortir à Paris. Les demandes de remboursement pourront être déposées dès ce mardi 1er octobre. Le versement de cette aide sera ensuite effectué à partir de la mi-novembre.
Avec cette initiative, la région Île-de-France entend soutenir le pouvoir d'achat des familles mais aussi encourager l'utilisation des transports en commun. En cette rentrée, cette action en faveur des jeunes est la bienvenue alors que le coût du forfait imagine R pour l'année scolaire 2024-2025 s'élève à 382,40 euros. Attention, ce dispositif est toutefois réservé aux lycéens franciliens qui ne bénéficient pas déjà d’aides départementales, précise le site. Plus de 500 000 jeunes peuvent ainsi profiter de ce coup de pouce.
Lire la suite : https://www.capital.fr/votre-argent/carte-navigo-imagine-r-comment-vous-faire-rembourser-100-euros-1503148
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Logement, transports : l'idée d'une "carte monofamille" pour renforcer les droits des parents isolés relancée
laprovence.com - Par Sandra Lorenzo
Publié le 30 septembre 2024
Un rapport sénatorial dévoilé ce lundi 30 septembre recommande l'instauration de plusieurs mesures pour faciliter le quotidien des parents solos et accentuer l'implication des deux parents dans l'éducation de l'enfant après leur séparation.
Après un rapport publié en mars par la délégation aux droits des femmes du Sénat, la piste d'une carte de "famille monoparentale" revient sur la table avec les conclusions d'une mission confiée au sénateur Xavier Iacovelli par l'ancien gouvernement. Pour l'élu Renaissance des Hauts-de-Seine, les bénéficiaires de cette "carte dématérialisée" pourraient prouver leur statut aux collectivités locales ou entreprises publiques ou privées, susceptibles de leur accorder des prestations: logement, tarif de transport...
En France, une famille sur quatre est monoparentale (soit deux millions de familles et 3,1 millions d'enfants mineurs) et compte à sa tête une femme dans plus de 80% des cas. Selon l'Insee, la pauvreté touche 45% des enfants qui vivent seuls avec leur mère. La "carte monofamille" serait obtenue par ceux qui cochent la case "parent isolé" sur la déclaration de revenus.
Garde alternée envisagée "avant toute autre solution"
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Elaborer un plan de mobilité simplifié (PDMS) en villes moyennes : bilan de l'accompagnement de 6 territoires
cerema.fr - Communiqué
Publié le 1 octobre 2024
Durant l'appel à partenariat "Plans de mobilités simplifiés en villes moyennes" le Cerema a accompagné 6 collectivités dans l'élaboration de leur PDMS.
L'objectif était double : d'une part soutenir et assister individuellement ces territoires dans le développement de leur projet ; d'autre part mutualiser les retours d'expérience pour enrichir ces PDMS, et les partager avec tous.
Le rapport d'étude met à disposition les enseignements acquis.
Le Plan De Mobilité Simplifié (PDMS) est un document de planification de la mobilité, crée par la Loi d'Orientation des Mobilités (cf. article L1214-36-1 du Code des transports). Il permet aux autorités organisatrices de la mobilité (AOM) des territoires ruraux et des villes moyennes de planifier, au sein d'un document souple et au cadre allégé, des solutions de mobilités pour les populations.
6 TERRITOIRES ACCOMPAGNÉS DANS LA RÉALISATION DE LEUR PDMS AUTOUR DE VILLES MOYENNES
Le PDMS est élaboré, de manière volontaire, sur l’intégralité du ressort territorial de l’AOM. Il est fait pour répondre aux problématiques locales en matière de mobilité, et son contenu technique est libre. Pour autant, son élaboration relève le plus souvent d’une méthodologie commune, qui a fait l’objet d’un guide du Cerema.
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/elaborer-plan-mobilite-simplifie-pdms-villes-moyennes-bilan
Identité électronique
Comment l’Etat veut lutter contre l’usurpation d’identité
challenges.fr - Par Paul Loubiere
Publié le 01 octobre 2024
L’usurpation d’identité est le point d’entrée du piratage. La nouvelle loi qui entre en vigueur ce 1er octobre oblige les opérateurs à interdire l’utilisation par un tiers d’un numéro de téléphone appartenant à une autre personne. L’usurpation d’identité est en constante augmentation et, dans le seul domaine bancaire, représente une perte de 379 millions d’euros.
L’usurpation d’identité est un fléau qui peut transformer la vie d’un particulier en enfer mais les entreprises ne sont pas à l’abri. Au cours des derniers mois, les autorités ont repéré diverses fraudes reposant sur ce principe. Dans le Gard, par exemple, la police a alerté sur la recrudescence des vols de salaire. Un escroc usurpe l’identité d’un salarié puis prend contact avec son employeur pour avertir d’un changement de coordonnées bancaires. Les salaires sont alors versés sur le nouveau compte, souvent situé dans un autre pays, et récupéré par le malfaiteur. La fraude au faux colis, le SMS envoyé par une société de livraison, la demande de paiement d’une amende (urgent, sinon le montant de l’amende est majoré) et bien sûr, l’incontournable faux conseiller bancaire qui appelle pour dénoncer une fraude sur un compte, sont devenus des moustiques numériques avec lesquels il faut vivre. Ils ne réussissent pas à piquer chaque fois mais sur le nombre, il y en a toujours qui arrivent à leurs fins.
L’usurpation d’identité est le point d’entrée du piratage
Lire la suite : https://www.challenges.fr/cybersecurite/comment-l-etat-veut-lutter-contre-l-usurpation-d-identite_906747
Finances locales
Suppression de 100 000 emplois dans la territoriale : la proposition de la Cour des comptes choque les associations d'élus
maire-info.com - Par A.W.
Publié le 3 octobre 2024
Les magistrats estiment que cette mesure permettrait de réaliser une économie de 4,1 milliards d'euros par an à partir de 2030. Ils proposent également de modérer sévèrement les recettes des collectivités. Les associations d'élus sont vent debout.
© Wikipedia
Suppression de 100 000 postes, modération des recettes, fléchage accru des transferts de l’État vers des investissements verts… Le remède proposé, hier, par la Cour des comptes pour réduire le déficit public risque d’être digéré difficilement par les collectivités. Si elles ne s’étranglent pas d’emblée.
Alors que le nouveau Premier ministre a fait de la réduction des dépenses publiques l’une de ses priorités pour 2025 en en faisant « partager l’effort » aux collectivités, la haute juridiction de la rue Cambon vient de déposer sur son bureau un ensemble de pistes d'économies qui leur sont destinées et sur lesquelles il pourrait s'appuyer.
La trajectoire « dérape de plus en plus »
C’est ce que souhaitait, en tout cas, l’ancien gouvernement qui a chargé les magistrats financiers de réaliser ce travail qui doit permettre aux collectivités de contribuer à « l’indispensable redressement des finances publiques ». Une contribution « justifiée », selon la Cour qui reprend à son compte les critiques de l’ancien et du nouveau ministres de l'Économie, Bruno Le Maire et Antoine Armand, sur la trajectoire budgétaire des collectivités.
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Le gouvernement prévoit 60 milliards d'euros d'économies en 2025, et un « lissage » des dépenses des collectivités
maire-info.com - Par Franck Lemarc
Publié le 3 octobre 2023
Les premiers éléments chiffrés du projet de loi de finances pour 2025 commencent à être diffusés par Bercy, maintenant que le Premier ministre a présenté les grands axes de son projet politique. Le gouvernement s'apprête à présenter un budget qu'on ne peut qualifier autrement que de rigueur.
Par Franck Lemarc
Au début de l’année, les ministres chargés de l’économie et du budget prévenaient qu’il allait falloir réaliser 10, 15, voire 20 milliards d’économies sur le prochain budget, ce qui était déjà apparu, alors, comme un très sérieux tour de vis sur les finances publiques. On était pourtant, alors, loin du compte, puisque c’est un coup de rabot trois fois supérieur que s’apprête à faire le gouvernement Barnier.
Dépenses en baisse de 40 milliards d’euros
Le dérapage des comptes publiques sera en effet plus grave que Bercy ne l’escomptait en janvier : selon les dernières estimations, il devrait s’élever cette année à 6,1 % du PIB. Michel Barnier, dans son discours de politique générale, a fixé le cap : réduction de ce déficit à 5 % du PIB dès 2025, et un retour à 3 % en 2029.
Intelligence artificielle
Comment IA School prépare-t-elle les futurs experts en IA ?
journaldunet.com - Par Bovi Rémy
Découvrez comment IA School forme les experts de demain en intelligence artificielle et big data, en combinant rigueur académique et mise en pratique des connaissances. Focus.
L'intelligence artificielle (IA) et le big data transforment radicalement notre monde, se positionnant au cœur de la deuxième révolution numérique. Dans un contexte où les entreprises de tous les secteurs recherchent ardemment des experts capables de maîtriser ces technologies de pointe, la formation aux compétences techniques en IA devient cruciale. Les professionnels dotés de connaissances en machine learning, deep learning, et data science sont désormais les architectes de l'innovation, capables de mener des analyses de données avancées, d'automatiser des tâches complexes et de personnaliser l'expérience client à un niveau sans précédent.
En offrant des formations complètes de Bac+1 à Bac+5, l'IA School prépare les futurs leaders de l'intelligence artificielle. Cette institution combine un enseignement technique rigoureux avec une compréhension approfondie des enjeux business, créant des profils hybrides capables de naviguer dans l'univers complexe de l'IA et du big data. Avec un réseau de plus de 500 entreprises partenaires et un taux d'insertion professionnelle de 87%, l'IA School est le tremplin idéal pour ceux qui souhaitent non seulement suivre, mais aussi façonner la révolution numérique en cours.
Des projets réels pour de la mise en pratique
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/intelligence-artificielle/1533777-comment-ia-school-prepare-t-elle-les-futurs-experts-en-ia/
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Face à l'explosion des cyberattaques, l'heure n'est plus à la prévention et à la détection mais à la continuité des activités
journaldunet.com - Chronique de Bovi Rémy
Publié le 3 octobre 2024
Il n'est aujourd'hui plus possible de se prémunir totalement des cyberattaques. Il faut donc privilégier la continuité des activités, même en mode dégradé, pour assurer la survie des organisations.
Face à l’explosion de la cybercriminalité, il n’est aujourd’hui plus possible de se prémunir totalement : une PME française sur deux déclare ainsi avoir déjà été touchée (sondage Watchguard, septembre 2024). Il faut donc privilégier la continuité des services, même en mode dégradé, pour assurer la survie des organisations, à travers des projets de haute résilience.
Une vague massive qu’il est désormais difficile de contenir
Difficile aujourd’hui, pour les entreprises et les acteurs public de faire face à des cyberattaques de plus en plus massives : en 2023, 94% des responsables informatiques et de la sécurité déclaraient avoir subi une attaque majeure, avec une moyenne de 30 tentatives annuelles (Source : Rubrik Zero Labs) ; entre février et mars 2024, les mairies subissaient une augmentation de 95% de ces tentatives (source : Mailinblack).
Un SI “ceinture et bretelles” qui permet d’assurer la continuité des activités
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Ne dites plus « Prompt », mais « instruction générative » : la France publie son lexique IA
lebigdata.fr - Par Ny Ando
Publié le 1 octobre 2024
La France a dévoilé le lexique officiel pour l’intelligence artificielle générative. Ce sont des traductions françaises destinées à remplacer les termes anglophones actuellement utilisés.
L’IA Générative a apporté un flot de nouvelles expressions dont « Prompt », « token » ou encore « GenAI ». Ces termes ont rapidement été adoptés par les experts, mais restent parfois obscurs pour le grand public.
Comme vous le constatez ce sont toutes des expressions anglaises, ce qui ne plaît pas à la Commission d’enrichissement de la langue française. Voilà pourquoi, dès le début septembre, elle a publié une liste de traductions pour l’IA générative au Journal Officiel.
France : « Prompt » c’est terminé, place au lexique français
Voici un petit aperçu de cette nouvelle série de traductions :
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/ne-dites-plus-prompt-mais-instruction-generative-la-france-publie-son-lexique-ia
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Un rapport d'Europol passe en revue les usages et les risques liés à une utilisation de l'intelligence artificielle dans les missions des forces de sécurité intérieure.
francetvinfo.fr Radio France - Article rédigé par Nicolas Arpagian
Publié le 29 septembre 2924
Si d’habitude les choix technologiques des forces de sécurité s’effectuent plutôt de manière discrète, on notera la publication en cette fin septembre d’un rapport émanant d’EUROPOL sur les avantages et les défis de l’utilisation de l’intelligence artificielle par les services de sécurité : police, gendarme, douanes…
Rappelons-le, Europol est l’agence européenne pour la coopération, en matière d’application de la loi pénale. Elle a été fondée en 1992 par le traité de Maastricht. Ce n’est pas un FBI européen, mais bien une instance de partage d’informations entre les Etats membres, et un point de coopération avec leurs homologues étrangers comme les Etats-Unis, le Canada ou l’Australie.
Les principaux domaines d’application de l’IA dans le domaine de la sécurité publique ?
Ils sont principalement de deux sortes : D’une part, il y a la capacité à analyser d’importants volumes de données. Notamment pour identifier des liens entre des personnes ou des organisations parmi une grande variété de documents : textes, tableaux de chiffres, images…
Cela permet de détecter des comportements inhabituels, par exemple parmi des centaines de milliers de transactions recensées dans de la documentation bancaire. Un moyen utilisé pour identifier des fraudes ou des soupçons de fraude. Cela facilite la reconstitution de mouvements financiers voire d’identifier des schémas criminels entre différentes entités.
Lire la suite : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/nouveau-monde/l-intelligence-artificielle-bientot-au-c-ur-des-enquetes-policieres_6781753.html
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IA : veto du gouverneur de Californie sur une loi crainte par la Silicon Valley
Publié le 1 octobre 2024
Les géants de la tech n’auront pas, pour l’instant, à s’assurer que leurs modèles d’IA ne sont pas susceptibles de provoquer une catastrophe (humaine ou économique). Le projet de loi en ce sens du législateur californien s’est vu opposé le veto du gouverneur.
Les tentatives de régulation de l’IA sont légion, de notre côté de l’Atlantique comme aux Etats-Unis. Mais peu de textes ont autant cristallisé les tensions que le Californien SB 1047. Ce projet de loi « Safe and Secure Innovation for Frontier Artificial Intelligence Models Act » n’entendait rien de moins qu’éviter les catastrophes liées aux modèles d’intelligence artificielle avant qu’elle ne se produise.
Protocoles de sécurité et responsabilité
Approuvé par le Sénat californien en août, le texte faisait l’objet d’un feu nourri de la part des géants de l’IA, des fonds d’investissements et de quelques élus. Le projet de loi prévoyait, entre autres, que le procureur de l’Etat puisse engager des poursuites contre une entreprise qui se montrerait négligente en matière de sureté. Par ailleurs, les développeurs devaient apporter « l’assurance raisonnable » que leurs modèles ne posaient pas de risques de « catastrophe ».
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/ia-veto-du-gouverneur-de-californie-sur-une-loi-crainte-par-la-silicon-valley/
Internet des Objets
STMicroelectronics : collaboration avec Qualcomm dans l'IoT enrichi à l'IA
Publié le 1 octobre 2024
Publié le 1 octobre 2024
(AOF) - STMicroelectronics et Qualcomm Technologies International, Ltd. ont annoncé une nouvelle collaboration stratégique portant sur la prochaine génération de solutions connectées à l’internet des objets (IoT) à usage industriel et grand public et enrichies par l’intelligence artificielle embarquée. Cette collaboration associera l'écosystème des microcontrôleurs STM32 de STMicroelectronics et les solutions de connectivité sans fil de classe mondiale de Qualcomm.
L'intégration transparente à l'actuel écosystème de développeurs STM32 permettra de concevoir simplement, rapidement et au meilleur coût des applications IoT industrielles et grand public de nouvelle génération, enrichies par l'intelligence artificielle embarquée.
Jumeaux numériques
Dassault Systèmes conclut un partenariat avec la Ville de Meudon
boursier.com - Par Alexandra Saintpierre
Publié le 26 septembre 2024
(Boursier.com) — Dassault Systemes et la Ville de Meudon annoncent un partenariat visant à améliorer la qualité de vie dans la ville en réponse au changement climatique. Le projet utilise la technologie de simulation pour identifier les îlots de chaleur urbains (ICU) présents à Meudon et les moyens d'améliorer le confort thermique de ses 47.000 habitants.
Ce projet inédit s'appuie sur les applications Simulia de Dassault Systèmes pour créer le jumeau virtuel de trois espaces publics de Meudon, où des projets d'aménagement sont en cours en vue de les transformer en espaces plus verts. Les simulations visent à calculer et évaluer la circulation d'air et la température dans ces trois sites. Elles prennent en compte différentes conditions météorologiques à différents moments de la journée en intégrant les bâtiments, les arbres, les routes, le sol, le vent, la lumière du soleil et d'autres facteurs dans le jumeau virtuel. Ces simulations permettront d'éclairer les orientations d'aménagements futurs des espaces publics de la Ville, le tout en fournissant aux responsables municipaux des indications concernant l'atténuation de ces phénomènes d'îlots de chaleur.
Cet accord est annoncé dans le cadre du festival de l'espace Star's UP. A l'occasion de la table ronde "Synergie : Espace et Territoires", Jacques Beltran et Denis Larghero se pencheront sur les enjeux du changement climatique pour les villes, ainsi que sur la façon dont le numérique contribue à la prise de décisions éclairées. Dassault Systèmes et la Ville de Meudon soutiennent par ailleurs le hackathon organisé dans le cadre de l'évènement sous le titre "New Space et risques climatiques".
Lire la suite : https://www.boursier.com/actions/actualites/news/dassault-systemes-conclut-un-partenariat-avec-la-ville-de-meudon-939542.html
Panoramax
L’alternative libre pour photo-cartographier les territoires
Panoramax est une ressource numérique permettant la mise en commun et l'utilisation de photos de terrain. Toute personne peut photographier des lieux visibles depuis la voie publique afin d’alimenter la base de données de Panoramax. Ces données sont ensuite librement accessibles et réutilisables.
Comment ça marche ?
Panoramax fédère les initiatives d'une large communauté (collectivités, contributeurs OSM, IGN, services publics) participant au géocommun de bases de vues de terrain.
Quels sont les usages de Panoramax ?
Panoramax permet la contribution et la réutilisation de photos de terrain pour de nombreux cas d'usage comme : la gestion du mobilier urbain et des voiries, l'identification des panneaux de signalisation etc.
Lire la suite : https://panoramax.fr/#speed=250
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Panorama : une seule photo pour les servir tous
La prise de photos de terrain est le meilleur moyen de capter un maximum d'informations en peu de temps et à moindre frais.
En versant ses photos dans un pot commun, on évite de nombreux déplacements pour toutes les personnes avec qui on les partage.
Chacun profite ainsi des versements des autres ce qui génère une économie d'échelle par l'effet de réseau car une photo partagée pourra être réutilisée de nombreuses fois pour des usages très variés.
En voici quelques-uns...
Les acteurs publics et privés se saisissent de Panoramax
Lire la suite : https://panoramax.fr/cas-d-usage
Videosurveillance
"À Nice, nous sommes prêts": Christian Estrosi se réjouit de la généralisation de la vidéosurveillance algorithmique
L’annonce du Premier ministre de généraliser la vidéosurveillance algorithmique en France jusqu’en mars 2025 a évidemment été bien accueillie par le maire de Nice, ville la plus télésurveillée de France avec 5.000 caméras.
Mathilde Tranoy Publié le 03/10/2024 à 07:25, mis à jour le 03/10/2024 à 07:25
Nice est la ville la plus télésurveillée de France avec 5.000 caméras.
L’annonce du Premier ministre a évidemment été bien accueillie par le maire de Nice, ville la plus télésurveillée de France avec 5.000 caméras.
"Cela fait plusieurs années qu’à Nice, je me bats pour la sécurité des habitants. Cela passe notamment par la vidéoprotection, dont l’efficacité ne fait aujourd’hui plus aucun doute", a réagi Christian Estrosi, dans un communiqué, ce mercredi.
"Le recours à des solutions basées sur l’intelligence artificielle pendant les Jeux olympiques a permis de démontrer l’efficacité des caméras de vidéoprotection alliées à des technologies qui existent et permettent de raccourcir au maximum la remontée de l’alerte vers les forces de l’ordre. Je le dis depuis des années: il faut sortir des débats idéologiques basés sur des textes de loi des années 70 et légiférer le plus rapidement possible pour donner aux maires et aux forces de l’ordre les outils nécessaires pour l’utilisation de ces solutions au service de la sécurité des Français", a-t-il ajouté.
"Si le recours aux algorithmes est conforme au droit et a pu être utilisé pour les Jeux olympiques, il doit aussi l’être pour les autres grands événements, et pour la sécurité du quotidien. Nous sommes prêts à Nice pour mettre en place leur généralisation au service des Niçois", a conclu le maire.
La reconnaissance faciale expérimentée en 2019
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6 questions pour tout comprendre à la généralisation de la vidéosurveillance algorithmique annoncée par Michel Barnier
nicematin.com - Par Lauriane Sandrini
Publié le 02 octobre 2024
Le Premier ministre Michel Barnier souhaite généraliser la vidéosurveillance algorithmique, expérimentée pendant les Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Cadre légal, signalements... On vous explique ce que cela implique.
La vidéosurveillance algorithmique a été testée la première fois à Cannes pendant le FIF. Photo d'archives Sébastien Botella
Michel Barnier souhaite la "généralisation de la méthode expérimentée pendant les Jeux olympiques", a-t-il affirmé ce mardi 1er octobre lors de sa déclaration de politique générale.
Le Premier ministre fait référence, selon franceinfo, au développement de la vidéosurveillance algorithmique (VSA).
C'est quoi?
Derrière ce nom obscur, il faut comprendre que des logiciels sont associés à des caméras de surveillance ou à des caméras montées sur drone pour repérer des événements jugés suspects ou à risque, et alerter un opérateur en temps réel.
Ce système est utilisé "à la seule fin d'assurer la sécurité de manifestations sportives, récréatives ou culturelles qui, par l'ampleur de leur fréquentation ou par leurs circonstances, sont particulièrement exposées à des risques d'actes de terrorisme ou d'atteintes graves à la sécurité des personnes", explicite la loi du 19 mai 2023 relative aux Jeux olympiques et paralympiques 2024.
À quoi ça sert ?
Fraude bancaire
Arnaque au faux RIB : une parade bientôt mise en place par les banques pour stopper cette escroquerie
tf1info.fr - Par M.D. | Reportage TF1 : Pierre Corrieu, Elise Coussemacq
Publié le 04 octobre 2024
Les fraudes au virement ont atteint l'an dernier un montant de près de 312 millions d'euros.
Les banques vont bientôt mettre en place un nouveau dispositif pour lutter contre l'arnaque au "faux RIB".
On vous explique.
Bientôt la fin des arnaques au "faux IBAN" ? Même si elles tendent à diminuer (-0,5%), les fraudes au virement ont atteint l'an dernier un montant de près de 312 millions d'euros, selon les chiffres de l'Observatoire de la sécurité des moyens de paiement (OSMP). L’escroquerie au virement, ou arnaque au "faux RIB (nouvelle fenêtre)
" comme on l'appelle plus souvent, consiste à tromper la victime, en usurpant l’identité d’un créancier avec lequel elle est en relation (artisan, notaire, propriétaire/bailleur…), afin de lui faire réaliser un virement vers un compte bancaire détenu par un escroc.
Lorsque vous entrez des coordonnées bancaires pour effectuer un virement, c’est à vous de renseigner le nom de la personne ou de l’entreprise qui doit recevoir l’argent. Votre banque ne procède à aucune vérification. Et cela peut donner lieu à une escroquerie bien connue, la fraude au faux IBAN. "On peut faire des travaux chez soi et recevoir une facture d’un artisan et si ce dernier s’est fait pirater sa boîte mail, le client pouvait recevoir un faux RIB sur lequel les fonds étaient envoyés", explique Pierre Bienvenu, chef du service des moyens de paiement scripturaux à la Banque de France, dans le reportage du 20H de TF1 en têt de cet article.
Cybersécurité
Cybermoi/s 2024 : un mois pour tous devenir #CyberEngagés
cnil.fr - Communiqué
Publié le 01 octobre 2024
Le Cybermoi/s est un rendez-vous annuel, organisé par Cybermalveillance.gouv.fr du 1er au 31 octobre. De nombreuses activités et ressources autour des enjeux de cybersécurité vous seront proposées tout au long du mois : conférences, campagnes vidéos, articles, action citoyenne, etc.
À propos du Cybermoi/s
Créé en 2012, le Mois européen de la cybersécurité (European Cybersecurity Month – ECSM) est une initiative conçue par l’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité (ENISA). Elle vise à promouvoir la cybersécurité dans tous les pays de l’UE pour permettre de mieux comprendre les menaces et les appréhender.
En France, le Mois européen de la cybersécurité a été décliné en « Cybermoi/s » et est piloté par le dispositif national Cybermalveillance.gouv.fr qui a pour missions la sensibilisation, la prévention et l’assistance aux victimes d’actes de cybermalveillance.
Tout au long du mois d’octobre 2024, des activités vont être organisées en France et en Europe autour des enjeux de cybersécurité : événement de lancement, événements de sensibilisation, campagnes vidéo… Comme chaque année, un panel d’acteurs publics, privés et associatifs se mobiliseront pour proposer un programme de sensibilisation pédagogique à destination de tous les publics et ainsi développer une culture européenne cyber commune.
Les temps forts du Cybermoi/s 2024
https://www.cnil.fr/fr/cybermois-2024
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Cybersécurité : la transposition de la directive « NIS 2 », enjeu crucial pour les collectivités
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Publié le 4 octobre 2024
La Commission supérieure du numérique et des postes (CSNP) a présenté hier un rapport sur les enjeux de la transposition de la directive « NIS 2 » en France. Alors que la situation politique a mis en pause les travaux sur le sujet, les parlementaires insistent sur la nécessité d'adapter les règles pour les collectivités.
Par Lucile Bonnin
La directive du 14 décembre 2022 dite « NIS 2 » devait être transposée en France avant le 17 octobre 2024. La première réglementation européenne en matière de cybersécurité a été publiée en 2016 et concernait 300 entités « Opérateurs de services essentiels ». Les communes et les EPCI n’étaient pas concernés jusqu’à maintenant. « La directive NIS 2, qui s’appuie sur les acquis de la directive NIS 1, marque un changement de paradigme », peut-on lire sur le site de l'Anssi. Les administrations publiques seront désormais concernées par la mise en place de nouvelles pratiques en faveur d’une meilleure cybersécurité. Ainsi, certaines mesures seront applicables aux collectivités.
Hier, au Sénat, les membres de la Commission supérieure du numérique et des postes (CSNP) ont présenté un rapport après avoir auditionné une quarantaine d’acteurs concernés dont les associations d’élus. Ils attirent l’attention sur les défis face auxquels les entités, notamment les collectivités, vont se retrouver une fois régies par les dispositions de NIS 2 et formulent des recommandations pour l’étude du projet de loi.
« Aucune visibilité »
Cybercriminalité
Augmentation de la cybercriminalité visant les collectivités territoriales
Senat.fr - Communiqué
Question écrite n°01026 - 17e législature
Les informations clés
Question de M. MAUREY Hervé (Eure - UC) publiée le 03 octobre 2024
M. Hervé Maurey attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur l'augmentation des actes de cybercriminalité visant les collectivités territoriales.
Selon le rapport du groupement d'intérêt public Cybermalveillance publié le 5 mars 2024, les demandes d'assistance adressées à cybermalveillance.gouv.fr de la part de collectivités territoriales a augmenté de 17 % entre 2022 et 2023.
Les attaques visant à défigurer le site internet d'une collectivité auraient augmenté de 73 % par rapport à 2022. Les détections d'un virus ou d'un programme malveillant auraient, quant à elles, crû de 71 %. Les cas de fraudes au faux support technique seraient en hausse de 54 % et ceux de violation de données en hausse de 45 %.
Il souhaite donc connaître les mesures que compte prendre le Gouvernement afin de prévenir ces attaques et d'aider les collectivités territoriales à s'en protéger.
Publiée dans le JO Sénat du 03 octobre 2024 - page 3501
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Un tournant historique pour le démarchage téléphonique : ça y est, les opérateurs ont un outil imparable contre les arnaques
Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.
Publié le 30 septembre 2024
Un nouveau bouclier anti-démarchage téléphonique, le dispositif MAN, entre en vigueur chez les opérateurs ce mardi 1er octobre. Il doit grandement renforcer la lutte contre les arnaques et sécuriser les appels.
Les appels indésirables incarnés par ces individus malveillants qui se font passer pour votre conseiller bancaire, et si c'était bientôt fini ? C'est tout l'ambition du législateur et des opérateurs français, qui déploient enfin le Mécanisme d'Authentification des Numéros (MAN). Cette innovation, qui entre en vigueur ce 1er octobre 2024, pourrait marquer un tournant dans la lutte contre le démarchage abusif et les arnaques téléphoniques. On vous explique ce qu'il change.
Le MAN, un vrai rempart contre la fraude et le démarchage téléphoniques
Le dispositif MAN s'attaque à un fléau bien connu : l'usurpation de numéros, ce que l'on appelle le « spoofing ». Cette pratique permet aux escrocs et démarcheurs de se faire passer pour votre banque, pour une administration ou toute autre entité de confiance. Avec le nouveau système, issu de la loi Naegelen du 24 juillet 2020, les opérateurs télécoms, à savoir Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free, pourront authentifier l'origine des appels et rendre quasi impossible la falsification des numéros.
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5 000 fausses notifications de Microsoft identifiées, peut-on parler d'un carnage ?
Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.
Publié le 30 septembre 2024
Des chercheurs en cybersécurité ont identifié plus de 5 000 e-mails frauduleux imitant des notifications Microsoft en seulement un mois. Cette recrudescence de cyberattaques sophistiquées menace sérieusement la sécurité des entreprises.
Microsoft, géant incontournable de la tech, est devenu la cible de prédilection des pirates informatiques, en étant l'une des marques les plus usurpées du globe. Une récente étude menée par les spécialistes en cybersécurité d'Harmony Email & Collaboration révèle l'ampleur inquiétante de ce phénomène, avec des conséquences potentiellement dévastatrices pour les entreprises. Hélas, les cybercriminels rivalisent d'ingéniosité pour piéger les internautes.
Une vague de faux e-mails Microsoft déferlant sur les boîtes de réception
Les hackers ne lésinent pas sur les moyens, c'est le moins qu'on puisse dire. Ils utilisent aujourd'hui des domaines professionnels pour donner l'illusion d'e-mails officiels provenant d'administrateurs Microsoft. Cette technique augmente considérablement les chances que les destinataires tombent dans le piège.
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Cybermoi/s 2024 : un mois pour tous devenir #CyberEngagés
cnil.fr - Communiqué
Publié le 01 octobre 2024
Le Cybermoi/s est un rendez-vous annuel, organisé par Cybermalveillance.gouv.fr du 1er au 31 octobre. De nombreuses activités et ressources autour des enjeux de cybersécurité vous seront proposées tout au long du mois : conférences, campagnes vidéos, articles, action citoyenne, etc.
À propos du Cybermoi/s
Créé en 2012, le Mois européen de la cybersécurité (European Cybersecurity Month – ECSM) est une initiative conçue par l’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité (ENISA). Elle vise à promouvoir la cybersécurité dans tous les pays de l’UE pour permettre de mieux comprendre les menaces et les appréhender.
En France, le Mois européen de la cybersécurité a été décliné en « Cybermoi/s » et est piloté par le dispositif national Cybermalveillance.gouv.fr qui a pour missions la sensibilisation, la prévention et l’assistance aux victimes d’actes de cybermalveillance.
Tout au long du mois d’octobre 2024, des activités vont être organisées en France et en Europe autour des enjeux de cybersécurité : événement de lancement, événements de sensibilisation, campagnes vidéo… Comme chaque année, un panel d’acteurs publics, privés et associatifs se mobiliseront pour proposer un programme de sensibilisation pédagogique à destination de tous les publics et ainsi développer une culture européenne cyber commune.
Les temps forts du Cybermoi/s 2024
L’agenda du Cybermoi/s
Les actions menées durant le Cybermoi/s en France sont recensées au sein d’un agenda à disposition de tous les publics.
Renseignez-vous : un événement se tient peut-être juste à côté de chez vous !
Événement de lancement officiel du Cybermoi/s 2024
Le 2 octobre 2024 marquera la journée de lancement officiel de la douzième édition du Cybermoi/s à l’Assemblée nationale, membre de Cybermalveillance.gouv.fr
À cette occasion, différentes thématiques seront abordées pour tous les publics sur le thème de « la cybersécurité au service de la souveraineté et de la démocratie ».
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/cybermois-2024
Solutions de paiement
Les banques européennes s’unissent pour créer Wero, une solution de paiement entre particuliers
lefigaro.fr - Par Danielle Guinot
Publié le 30 septembre 2024
DÉCRYPTAGE - Quatorze groupes bancaires européens, dont tous les établissements français, ont créé un nouveau service de paiement numérique. Il vient remplacer Paylib.
« L’attaque est la meilleure défense. » Cet adage pourrait s’appliquer aux banques européennes, qui unissent leurs forces pour partir à l’assaut des géants américains des paiements PayPal, Visa, MasterCard, Apple Pay, Google Pay qui dominent le marché. Pour contrer ces mastodontes, quatorze groupes bancaires européens, dont l’ensemble des établissements français (BNP Paribas, Crédit agricole, BPCE, Crédit mutuel, Société générale, La Banque postale), ont créé un portefeuille de paiement numérique (ou « wallet ») paneuropéen. Baptisé « Wero », il pourra dans un premier temps être utilisé pour les paiements entre particuliers par l’intermédiaire d’un téléphone mobile.
Recevez tous les lundis l’actualité de l’Entreprise : emploi, formation, vie de bureau, entrepreneurs, social…
Ils pourront effectuer des virements instantanés de compte à compte pour rembourser un ami, envoyer de l’argent à un enfant ou régler un artisan. Ce marché est dominé par PayPal et, chez les jeunes Français, par Lydia. « L’idée est de construire une alternative aux solutions internationales de paiement afin d’offrir aux acteurs et consommateurs européens un choix européen », explique Martina Weimert, directrice générale de European Payments Initiative (EPI), société chargée de développer Wero.
Le service sera gratuit
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/societes/paiements-entre-particuliers-l-union-sacree-des-banques-contre-paypal-visa-et-apple-20240930
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Wero, le portefeuille électronique européen, fait ses premiers pas en France
lemonde.fr - Par Marc Angrand
Publié lundi 30 septembre 2024
Sept grandes banques françaises vont déployer Wero, appelé à remplacer Paylib pour les paiements entre particuliers, puis à s’étendre au commerce électronique et au paiement en magasin. Son ambition : concurrencer les grands réseaux de paiement, essentiellement américains.
Les occasions ne sont pas si fréquentes de voir sept groupes bancaires français (BNP Paribas, BPCE, Crédit agricole, Crédit mutuel-Alliance fédérale, Crédit mutuel Arkéa, La Banque postale et Société générale) se rassembler pour promouvoir un projet commun.
C’est le cas en ce début d’automne pour le déploiement sur le marché français du portefeuille électronique Wero, fruit d’années de tractations entre banques à l’échelle du continent et appelé à terme à rivaliser avec les grands « schémas » internationaux de paiement par carte Visa et Mastercard comme avec les nouveaux acteurs du paiement en ligne tels PayPal, ou mobile comme Apple et Google.
Lire la suite : https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/09/30/premiers-pas-en-france-pour-wero-le-portefeuille-electronique-europeen_6339495_3234.html
Quantique
IBM étend son empreinte quantique avec un premier datacenter européen
actuia.com - par Thierry Maubant
Publié le 2 octobre 2024
IBM a inauguré hier son premier datacenter quantique en Europe. Ce nouveau centre de données, situé à Ehningen, en Allemagne, est la première installation d’IBM en dehors des États-Unis dédiée à l’informatique quantique. L’entreprise possède un autre datacenter quantique à Poughkeepsie, dans l’État de New York, dont elle vient d’achever l’extension.
L’inauguration a eu lieu en présence du Chancelier allemand, Olaf Scholz, de dirigeants d’IBM, dont Arvind Krishna, son PDG, et Ana Paula Assis, General Manager d’IBM EMEA, ainsi que de nombreux représentants de grandes entreprises européennes telles que Volkswagen, Bosch, Crédit Mutuel, E.ON et des institutions de recherche comme l’Université du Pays basque et la Fraunhofer-Gesellschaft.
Le nouveau datacenter abrite déjà deux ordinateurs quantiques, fonctionnant à une échelle utile, basés sur le processeur Eagle et accueillera prochainement un système quantique utilisant le processeur IBM Quantum Heron, qui permet de réduire les taux d’erreur, offrant des performances 16 fois supérieures et une vitesse 25 fois plus rapide par rapport aux précédents ordinateurs quantiques d’IBM de 2022.
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/ibm-etend-son-empreinte-quantique-avec-un-premier-datacenter-europeen/?mc_cid=358b682a40&mc_eid=1b5f52f4fd
ATOS
Atos récompensé pour la cinquième année consécutive par une médaille ‘EcoVadis Platine’ pour son engagement en matière de développement durable
Paris (France), le 26 octobre 2024
Atos annonce aujourd’hui avoir reçu une nouvelle fois, pour la cinquième année consécutive, la médaille ’Platine’ d’EcoVadis pour sa performance en matière de Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE), avec 80 points sur 100.
Atos confirme ainsi sa position aux côtés des 1% des entreprises les plus performantes évaluées par EcoVadis dans son secteur (programmation informatique, conseil et activités connexes).
L’évaluation d’EcoVadis porte sur quatre catégories : Environnement, Travail et Droits de l’homme, Éthique, Achats durables. Atos a obtenu d’excellents résultats dans chacune d’entre elles, en particulier dans la catégorie Environnement.
Après avoir reçu pendant huit années consécutives la médaille d’or EcoVadis, Atos s’est vu décerner, depuis 2020, une médaille de platine, en reconnaissance de son engagement durable. Cette médaille, associée à un excellent score dans la catégorie Environnement, confirme le rôle d’Atos en tant que leader mondial de la décarbonation numérique et reflète son engagement à atteindre des objectifs climatiques ambitieux.
Le leadership d’Atos pour les sujets climatiques et son programme environnemental ont été récompensés année après année par des organisations et des classements internationaux, telles que l’indice DJSI et le Carbon Disclosure Project.
Pour en savoir plus sur l’engagement d’Atos en matière de développement durable, veuillez vous référer au document d’enregistrement universel 2023 du Groupe.
Bibliotheca communique: "Acteur majeur des bibliothèques depuis plus de 40 ans, Bibliotheca équipe aujourd’hui plus de 1 500 sites en France en solutions de protection de documents et d’automatisation. Notre objectif premier est de donner un plus grand accès à la culture en accompagnant chaque Médiathèque, Bibliothèque vers la transformation et l’optimisation de ses services. Nous développons en permanence des solutions innovantes basées sur une communication permanente avec les administrateurs et utilisateurs des bibliothèques.
Mobilité
Mobilités durables : la Métropole européenne de Lille obtient 276 millions d'euros de financements européens
banquedesterritoires.fr Localtis - Par Anne Lenormand
Publié le 26 septembre 2024
La Métropole européenne de Lille (MEL) va bénéficier d'un prêt vert de 245 millions d'euros de la Banque européenne d'investissement (BEI) pour ses projets de modernisation des transports urbains, auquel s'ajoute une subvention de 31,5 millions d'euros de la Commission européenne au titre de la facilité de prêt au secteur public (FPSP) mise en place dans le cadre du mécanisme pour une transition juste (JTM) prévu par le Pacte vert européen. Ce soutien combiné permet de mobiliser des investissements supplémentaires pour les entités publiques situées dans les régions d'Europe les plus touchées par la transition énergétique, font valoir la BEI, la Commission et la MEL dans un communiqué commun diffusé ce 24 septembre.
Pour financer le projet "Mel in Green Mobility" de modernisation de ses transports urbains, la Métropole européenne de Lille (MEL) a fait coup double en obtenant un prêt vert de 245 millions d'euros auprès de la Banque européenne d'investissement (BEI) et une subvention de 31,5 millions d'euros de la Commission européenne au titre de la facilité de prêt au secteur public (FPSP) mise en place dans le cadre du mécanisme pour une transition juste (JTM) prévu par le Pacte vert européen (lire notre encadré).
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Le passe Navigo Liberté+ arrivera enfin sur smartphone en 2025
commentcamarche.net - Par Maurine Briantais
Publié le 20 septembre 2024
Bonne nouvelle pour les usagers des transports en commun parisiens ! Dès le printemps 2025, le passe Navigo Liberté+ pourra directement être chargé sur votre smartphone. Les tarifs pour se déplacer sont également simplifiés.
Le passe Navigo avait été activé sur les smartphones Android il y a deux ans, avant de débarquer en mai dernier sur iOS, après d'interminables négociations entre IDFM et Apple. L'offre n'est toutefois pas disponible au grand complet. En effet, l'application mobile permet de se procurer un Forfait Navigo Jour, des tickets t+ à l'unité, par trois, par cinq ou en carnet de dix au tarif normal ou réduit, ainsi que des Tickets OrlyBus ou RoissyBus. Ainsi, les forfaits Navigo hebdomadaires, mensuels ou annuels, comme les forfaits Imagine R ou Liberté+, ne figurent pas parmi les options proposées. Jusqu'ici, Île-de-France Mobilités (IDFM) se contentait d'annoncer 2025 comme fenêtre de lancement pour le passe Navigo Liberté+. Les choses se précisent enfin un peu plus puisque, selon le dernier billet de blog de l'organisme, ce sera finalement au printemps 2025.
Passe Navigo Liberté+ : une simplification des différentes offres IDFM
Ainsi, le passe Navigo Liberté+ pourra être chargé et utilisé directement depuis un smartphone iOS et Android. Mieux encore, il pourra permettre de voyager dans l'ensemble de l'Île-de-France. Jusqu'alors, cette formule était limitée à la zone 1, correspondant à Paris intra-muros.
Une excellente nouvelle donc !
Lire la suite : https://www.commentcamarche.net/applis-sites/transports-cartes/32315-le-passe-navigo-liberte-arrive-enfin-sur-smartphone-en-2025/
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« C’est une première en France » : à Gien, la SNCF expérimente des passages à niveau peints en ocre
leparisien.fr - Par Christine Berkovicius
Publié le 23 septembre 2024
Le but est de renforcer l’attention des automobilistes en modifiant la couleur au sol sur deux passages à niveau qui avaient été le théâtre d’accidents mortels en 2022. Si cet aménagement se révèle efficace, il sera dupliqué.
Ces drames avaient beaucoup traumatisé les esprits il y a deux ans : en 2022, deux jeunes gens avaient perdu la vie coup sur coup. Ils avaient tenté de franchir deux passages à niveau à Gien (Loiret) en août et novembre de cette année-là, sur la ligne Paris-Clermont-Ferrand où les trains roulent à plus de 140 km/h. Depuis lors, la municipalité demande à la SNCF de les sécuriser davantage.
Le maire, Francis Cammal, avait suggéré que l’exploitant installe des barrières pleines qui bloquent la totalité de la chaussée, au lieu des demi-barrières qui laissent la possibilité aux automobilistes trop pressés de franchir l’obstacle en faisant une chicane, même lorsque le signal rouge est déclenché. En réponse, la SNCF a préféré mettre en place d’autres mesures. Cet été, elle a modifié la couleur au sol des passages à niveau pour installer un « platelage » ocre, qui se veut plus visible, de façon à davantage interpeller l’automobiliste et à l’inciter à ralentir.
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Tunisie et France : vers une coopération renforcée dans le secteur des transports urbains et ferroviaires
23 septembre 2024 - Par : WMC avec TAP
Publié le 24 septembre 2024
La France est disposée à renforcer la coopération avec la Tunisie, dans le secteur de transport, a affirmé l’ambassadrice de France en Tunisie, Anne Gueguen, lors d’une entrevue, tenue vendredi soir, avec le ministre des Transports, Rachid Amri, en présence d’une délégation de l’Agence française de développement (AFD), et d’un représentant du ministère des Affaires étrangères, de l’Immigration et des Tunisiens de l’étranger.
D’après un communiqué publié, samedi, par le département des Transports, l’ambassadrice a souligné, à cette occasion, l’importance d’élaborer une feuille de route commune fixant les grands lignes de cette coopération, dans l’intérêt des deux pays.
De son côté, Amri a salué le niveau de collaboration entre les deux pays dans le domaine des transports, grâce notamment au rôle joué par l’AFD dans la mise en œuvre de projets surtout ceux dédiés aux transports urbain, ferroviaire, et maritime.
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CARTE. Grand Est : avec Vélo Fluo, du train au vélo il n’y a qu’un pas
lasemaine.fr - Par Jennifer Febvay
Publié le 24 septembre 2024
Le nouveau service de location de vélos en libre-service arrive dans 52 gares du Grand Est. Voici lesquelles.
Prendre les transports en commun n’est pas toujours la solution la plus évidente pour réduire son empreinte carbone. En effet, il arrive que les arrêts ne correspondent pas au lieu de destination. En ce sens, la Région Grand Est annonce le lancement prochain de son dispositif de location de vélos en libre-service. Objectif : favoriser l’intermodalité dans les trajets quotidiens, notamment par la combinaison train et vélo pour effectuer les derniers kilomètres à l’arrivée. Ce projet s’inscrit dans le cadre du plan vélo 2022-2028 déployer par la Région Grand Est, visant une part de transport à vélo de 12 % d’ici 2030.
Début 2024, la plateforme participative « Ma Région Demain » a accueilli une vaste consultation citoyenne visant à recueillir les avis des habitants sur ce futur service et les localisations souhaitées pour son déploiement. En s’appuyant sur ces retours usagers, 52 gares ont été sélectionnées pour une première phase de déploiement. Dont celles de Nancy, Metz et Thionville notamment.
Lire la suite : https://www.lasemaine.fr/carte-grand-est-avec-velo-fluo-du-train-au-velo-il-ny-a-quun-pas/
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La Métropole Lilloise va déployer 800 bornes de recharges de voitures électriques d’ici à l’automne 2025
Matthieu Giboire avec Alicia Foricher
Publié le 25 septembre 2024
Le déploiement des nouvelles bornes de recharge continue dans la MEL. Trois bornes pilotes ont été inaugurées ce mardi 24 septembre par la métropole lilloise et Total Energies.
Le déploiement des nouvelles bornes de recharge continue dans la Métropole européenne de Lille avec Iléwatt, le nom du nouveau réseau de recharge électrique de la Mel. Le concessionnaire choisi par la métropole, Total Énergies, vient d'inaugurer ce mardi 24 septembre, ses trois premières bornes pilotes à Saint-André-lez-Lille.
Des bornes numérotées, avec un écran tactile et un terminal de paiement. À ce sujet, les ambitions de la Mel sont grandes. Dans un an, 95 communes de la Mel auront un point de charge.
"On démarre à Saint-André et l'idée c'est d'avoir à échéance du 15 octobre 2025, 800 points de charge déployés par notre concessionnaire, qui reprend la centaine de points de charge que nous avons déjà installés, nous la métropole, sur le territoire métropolitain", explique Sébastien Leprêtre, vice-président de la Métropole au micro de BFM Grand Lille.
"Donc ça fera en tout, 900 points de charge qui vont mailler tout le territoire métropolitain", poursuit ce dernier.
Un abonnement et une offre visiteur
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"Les nouvelles mobilités, ça s’apprend aussi"
ladepeche.fr - Par Marc Centene
Publié le 26 septembre 2024
Wimoov peut aujourd’hui apporter son aide à tous les publics, dans l’Agglo auscitaine. L’organisme accompagne les bénéficiaires vers une mobilité autonome et responsable.
L’offre de la plateforme de mobilité Wimoov s’étend aujourd’hui à tous les publics de l’Agglo. Installé dans le Gers à l’Innoparc de la zone de l’Hippodrome, ce dispositif recherche des solutions pour permettre l’accès à la mobilité des publics en situation de fragilité. Un Français sur 4 refuse un emploi faute de moyen de transport. Et dans le Gers, la mobilité figure en tête des problèmes d’insertion.
"Auparavant, il fallait passer par des organismes prescripteurs, comme France Travail ou la Région, explique Aude Renevier, la responsable Wimoov du Gers. Il fallait également avoir un contrat de travail. Ce n’est plus nécessaire."
Aide multiple
Lire la suite : https://www.ladepeche.fr/2024/09/26/les-nouvelles-mobilites-ca-sapprend-aussi-12221712.php
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Alstom présente ses solutions innovantes pour une mobilité durable et intelligente au salon European Mobility Expo 2024, à Strasbourg
Contact presse - Philippe Molitor - Arnaud Zeisser France Grand Est
26 septembre 2024 – Alstom, leader mondial de la mobilité durable et intelligente, sera présent à l’European Mobility Expo (EuMo Expo), qui se déroulera du 1er au 3 octobre 2024 au Parc des Expositions de Strasbourg, et y présentera sa gamme de solutions innovantes pour une mobilité plus durable et plus intelligente.
Alstom présentera à EuMo Expo toute sa gamme de matériels roulants ayant déjà fait leurs preuves sur les réseaux urbains, périurbains et grandes lignes, en France et à l’international.
Pour le transport urbain et périurbain, Alstom démontrera son expertise et présentera sa gamme de métros Metropolis et de tramways Citadis. Le Citadis Dualis, capable de relier le réseau de tramway du centre-ville au réseau ferroviaire périurbain, et le train Omneo/Regio 2N, pour les services à grande capacité, seront également à l’affiche.
Pour les lignes à grande vitesse, le salon EuMo Expo 2024 sera l’occasion pour Alstom de mettre en avant la nouvelle génération de trains à très grande vitesse Avelia Horizon.
Une offre complète pour maximiser la disponibilité et la fiabilité des matériels roulants
Identité électronique
Identité numérique : après le succès de FranceConnect, l’État lance ProConnect un nouveau service d’authentification unifié pour les agents publics et les professionnels
numérique.gouv.fr - Communiqué
Publié le 25 septembre 2024
Pour simplifier et sécuriser l’accès de tous les professionnels aux services numériques utilisés dans la sphère publique, la direction interministérielle du numérique (DINUM) en charge de la transformation numérique de l’État annonce le lancement de ProConnect, un nouveau service d’authentification unifié pour tous les agents publics (de la fonction publique d’État et territoriale) et professionnels du secteur privé renforçant la lisibilité de l’offre d’identité numérique de l’État.
Annoncé aujourd’hui à Numérique en commun[s], l’événement portant sur le numérique d’intérêt général et les communs numériques, ce lancement s’inscrit dans la continuité de celui de La Suite numérique en mai 2024, visant à fédérer tous les agents et professionnels de la sphère publique autour des outils qu’ils utilisent au quotidien, dont l’interconnexion rend le travail collaboratif plus efficace et plus fluide. ProConnect s’appuie également sur le succès de FranceConnect permettant à plus de 43 millions de Français d’accéder à leurs démarches en ligne de manière simple et sécurisée avec 1 seul identifiant et 1 seul mot de passe existant.
Prenant part à la plénière d’ouverture de Numérique en commun[s], Stéphanie Schaer, la directrice interministérielle du numérique, vient d’annoncer le lancement de ProConnect en incitant tous les agents publics à s’en emparer pour se connecter à leurs outils de travail et tous les éditeurs de logiciels, à l’utiliser et à demander son intégration dans leurs propres applications, facilitant ainsi leur insertion dans les environnements de travail de la sphère publique.
Lire la suite : https://www.numerique.gouv.fr/espace-presse//lEtat-lance-ProConnect/
Plan d’aménagement urbain
L'Île-de-France adopte son plan d’aménagement urbain jusqu'en 2040
mesinfos.fr - Par Antonin Albert
Publié le 23 septembre 2024
Le schéma directeur de la région Ile-de-France a été adopté par le conseil régional. Il doit fixer les grandes trajectoires en matière d'urbanisme jusqu’en 2040.
La région Île-de-France a adopté un nouveau plan d’aménagement du territoire qui s'appliquera jusqu'en 2040. Parmi les mesures phares, une disposition "anti-ghetto" controversée visant à limiter la construction de logements sociaux dans les communes qui en comptent déjà plus de 30 %, ainsi que le concept de "Région des 20 minutes", visant à garantir un accès rapide aux services publics.
Ce nouveau Schéma directeur de la région Île-de-France (Sdrif), qui succède à celui de 2013, a été approuvé par une "très large majorité" des élus du conseil régional, dirigé par Valérie Pécresse (LR). L'adoption du plan intervient après une enquête publique ayant recueilli 8 700 contributions.
La mesure "anti-ghetto", destinée à encourager une "mixité sociale réelle" plutôt que de concentrer la pauvreté dans certaines zones, a suscité des débats. En 2023, les services de l'État avaient rejeté une version plus stricte de cette clause, craignant qu'elle ne réduise la construction de logements sociaux de 21 %. Les élus communistes ont critiqué la version finale du texte, qu'ils jugent désormais "incitative" et considèrent comme une "défaite idéologique" pour Valérie Pécresse. De son côté, Jean-Philippe Dugouin-Clément (UDI), vice-président de la région, a affirmé que la clause restait inchangée et que la région poursuivrait sa politique de non-financement des l
Lire la suite : https://mesinfos.fr/ile-de-france/l-ile-de-france-adopte-son-plan-d-amenagement-urbain-jusqu-en-2040-206703.html
Services publics
Repenser les services publics à l'aune de l'urgence écologique
banquedesterritoires.fr - Par C.M., Localtis, et AFP
Publié le 24 septembre 2024
Le collectif Nos Services publics publie son rapport "Les services publics au défi de la bifurcation écologique : un nouvel horizon pour le pacte social français ?". Qui passe notamment au crible la question des "conflits de besoin" dans plusieurs domaines : eau, logement, transports, santé, éducation, enseignement supérieur, emploi, financement et justice/sécurité.
Trois jours après la nomination du nouveau gouvernement, le collectif de fonctionnaires a plaidé ce mardi 24 septembre pour repenser en profondeur les services publics en tant qu'"élément clef de la solution" face à "l'urgence écologique". Etiqueté à gauche et cofondé par l'ex-candidate du Nouveau Front populaire à Matignon Lucie Castets, le collectif souligne dans cette deuxième édition de son rapport annuel "sur l'état des services publics" que leur "architecture actuelle" et "leur fonctionnement ont été conçus sans intégrer la transition écologique ni les conséquences des crises environnementales". Or "l'épuisement des ressources naturelles, le changement climatique et l'effondrement de la biodiversité" ont mis fin à "l'illusion" sur laquelle reposait ce modèle, l'idée qu'il était possible de satisfaire des besoins individuels et collectifs toujours croissants grâce notamment aux politiques publiques.
Intelligence artificielle
Clara Chappaz nommée à la tête du nouveau Secrétariat d’État chargé de l’Intelligence artificielle et du Numérique
actuia.com - Par Thierry Daubant
Publié le 23 septembre 2024
Samedi dernier, Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, a annoncé la nomination de Clara Chappaz au Secrétariat d’État chargé de l’Intelligence artificielle et du Numérique dans le gouvernement de Michel Barnier. Cette décision marque une première : l’intégration officielle de l’IA dans un portefeuille ministériel. Elle a été largement saluée par l’écosystème des start-ups françaises, d’autant plus que, Clara Chappaz, forte de son expérience à la tête de la Mission French Tech, a déjà prouvé son engagement auprès d’elles.
Clara Chappaz succède donc à Marina Ferrari, secrétaire d’État chargée du Numérique depuis le 9 février 2024. Par contre, elle ne sera pas placée sous la tutelle du Ministère de l’Economie et des Finances, mais sous celle du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, dirigé par Patrick Hetzel, depuis ce 21 septembre. Un choix stratégique qui souligne l’importance de la recherche dans le développement de l’IA et des technologies numériques.
La nouvelle secrétaire d’État sera confrontée à des enjeux de taille, notamment les difficultés de financement auxquelles sont confrontées de nombreuses start-ups françaises. Le développement de l’IA et la nécessité de soutenir cette transition technologique par des investissements adaptés seront au cœur de son mandat.
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IA générative : Microsoft relance la centrale nucléaire de Three Mile Island pour alimenter ses data centers
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 23 septembre 203-24
Gargantuesque, le plan l'est tant sur le plan économique que sur le plan environnemental. En relançant l'un des deux réacteurs du site historique de Three Mile Island, Microsoft mise sur une production de plus de 800 mégawatts d'électricité, et ce jusqu'en 2054.
© US Dept of Energy
https://www.usine-digitale.fr/mediatheque/2/1/4/001516412_896x598_c.jpg
La centrale nucléaire de Three Mile Island située en Pennsylvanie a subi une fusion partielle en 1979.
Arrêtée en 2019, la centrale nucléaire américaine de Three Mile Island en Pennsylvanie reprend du service. La raison ? Microsoft souhaite exploiter l'énergie produite par l'un des réacteurs – l'unité 1 – pour alimenter ses centres de données aux Etats-Unis. La société Constellation, propriétaire du réacteur depuis 1999, a ainsi annoncé avoir signé un contrat d'achat d'électricité de 20 ans avec Microsoft "qui ouvrira la voie au lancement du Crane Clean Energy Center (CCEC) et au redémarrage de l'unité 1 de Three Mile Island".
Concrètement, l'accord prévoit que la firme de Redmond achète l'énergie issue de la centrale "dans le but d'aider à compenser l'énergie utilisée par ses centres de données […] par de l'énergie sans carbone". La centrale sera rebaptisée Crane Clean Energy Center en hommage à Chris Crane, CEO de l'ancienne société mère de Constellation.
Un redémarrage forcé
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L’intelligence artificielle dans les entreprises, pour quoi faire ?
nouvelles.com - Par Dominique Nora
Publié le 23 septembre 2024
D’après le cabinet de conseil Sopra Steria Next, le marché mondial de l’IA devrait doubler dans les cinq prochaines années, passant de 540 milliards de dollars aujourd’hui à 1 270 milliards de dollars d’ici à 2028. RICCARDO MILANI/HANS LUCAS VIA AFP
Décryptage Les dirigeants d’entreprise se demandent comment surfer sur la vague de l’IA sans se noyer. Une étude ambitionne de leur fournir une « boussole » pour mieux naviguer, déployer des modèles adaptés à leur métier, trouver les bons cas d’usage, embarquer leurs troupes.
A quoi sert vraiment l’intelligence artificielle (IA) ? C’est la question que tous les dirigeants d’entreprise se posent. Car ils font actuellement face à un angoissant dilemme. Soit ils ne font rien et risquent de rater le coche de cette nouvelle vague technologique, susceptible de doper leur compétitivité. Soit ils foncent et s’embarquent dans d’importantes transformations, sans savoir quel retour sur investissement en attendre.
Lire la suite : https://www.nouvelobs.com/economie/20240923.OBS93954/l-intelligence-artificielle-dans-les-entreprises-pour-quoi-faire.html
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NVIDIA dévoile un modèle IA ultraléger, prêt pour votre ordinateur !
intelligence-artificielle.com - Par Narindra R.
NVIDIA a récemment créé un nouveau modèle d’intelligence artificielle, plus petit et plus léger. Il s’agit du fruit de la collaboration entre le géant des cartes graphiques et de Mistral AI, une société française spécialisée dans l’IA. Le nouveau modènle, baptisé Mistral NeMo Minitro 8B, n’est autre qu’une version réduite du modèle Mistral Nemo 12B. Mais son avantage, c’est qu’il peut fonctionner sur des ordinateurs normaux, à condition qu’ils aient une carte graphique NVIDIA RTX.
Bryan Catanzaro, un haut responsable chez NVIDIA, nous explique comment son équipe a amélioré leur modèle d’intelligence artificielle.
Ils ont utilisé deux techniques principales pour rendre le modèle plus efficace : l’élagage et la distillation.
« C’est un peu comme tailler un arbre. On a réduit le nombre de paramètres, qui sont les éléments de base du modèle, de 12 milliards à 8 milliards », a-t-il ajouté.
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L’OCDE et les Nations Unies annoncent les prochaines étapes de leur collaboration sur l’intelligence artificielle
oecd.org - Communiqué de presse
22 Publié le 22 septembre 2024
Réunis en marge du Sommet du futur au siège de l’Organisation des Nations Unies (ONU) à New York, le Secrétaire général adjoint de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Ulrik Vestergaard Knudsen, et l’Envoyé du Secrétaire général des Nations Unies pour les technologies et Secrétaire général adjoint, Amandeep Singh Gill, ont annoncé une nouvelle collaboration renforcée entre l’ONU et l’OCDE sur la gouvernance mondiale de l'IA.
« Le développement rapide des technologies d’IA et l’ampleur de leur impact nécessitent une collaboration renforcée, et en temps réel, entre les divers écosystèmes de politiques publiques. Je me réjouis de voir l’OCDE et l’ONU unir leurs forces pour aider les gouvernements à agir plus rapidement et plus efficacement en réponse aux opportunités et aux risques que présente l’IA », a déclaré M. Gill, Secrétaire général adjoint des Nations Unies. « Nous collaborerons avec l’ensemble des parties prenantes concernées, notamment des scientifiques et des centres universitaires de premier plan du monde entier, pour atteindre cet objectif ».
« L’évaluation scientifique rigoureuse et fondée sur des données probantes doit être au cœur de la gouvernance mondiale de l’IA. Notre annonce marque une avancée notable dans cette direction : le partenariat alliera les capacités techniques et analytiques de l’OCDE au vaste rayonnement mondial des Nations Unies et à ses efforts complémentaires pour soutenir une coordination internationale de la gouvernance de l’IA », a déclaré M. Knudsen, Secrétaire général adjoint de l’OCDE.
Lire la suite : https://www.oecd.org/fr/about/news/press-releases/2024/09/oecd-and-un-announce-next-steps-in-collaboration-on-artificial-intelligence.html
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Dassault Systèmes parmi les premiers signataires du Pacte de l’UE sur l’IA
actuia.com - Par Pierre-yves Gerlat
Publié le 26 septembre 2024
L’éditeur de logiciels Dassault Systems annonce avoir signé le Pacte sur l’IA, une initiative de la Commission européenne visant à encourager les entreprises à utiliser l’IA de manière éthique et responsable. Il rejoint ainsi la centaine d’entreprises qui se sont engagées volontairement à commencer à appliquer les principes de l’AI Act qui est entré en vigueur le 1 août dernier, mais ne sera pas pleinement applicable avant deux ans.
Plus de cent multinationales et PME européennes de divers secteurs, dont l’informatique, les télécommunications, les soins de santé, les banques, l’automobile et l’aéronautique, ont d’ores et déjà signé ce pacte. Parmi les signataires figurent Amazon, IBM, Google, Microsoft, Open AI.
Le pacte sur l’IA n’est pas contraignant, elles se sont engagées volontairement à adopter une stratégie de gouvernance portant sur l’utilisation de l’IA au sein de leur organisation, à créer un registre des systèmes d’IA dignes de confiance qu’elles déploient dans les secteurs à haut risque, et à former leurs employés à l’utilisation responsable de cette technologie.
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/dassault-systemes-parmi-les-premiers-signataires-du-pacte-de-lue-sur-lia/?mc_cid=d5e67d53c1&mc_eid=1b5f52f4fd
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Microsoft mise sur le nucléaire pour développer l’intelligence artificielle
novethic.fr - Par Florine Morestin
Publié le 24 septembre 2024
Sous l’impulsion de Microsoft, la centrale nucléaire de Three Mile Island, aux Etats-Unis, va renaître de ses cendres. Le géant de la tech s’est engagé à se fournir en énergie “décarbonée” auprès de ce site mis à l’arrêt depuis plusieurs années pour soutenir la consommation effrénée de ses centres de données. Un choix qu’il n’est pas le seul à faire alors que le développement de l’IA accélère la demande énergétique.
Quand la course à l’intelligence artificielle devient la course à l’énergie décarbonée. Pour répondre au double challenge du développement de ses activités et de l’atteinte de ses objectifs de neutralité carbone, Microsoft devrait participer à la relance d’une centrale nucléaire aux Etats-Unis. Vendredi 20 septembre, l’énergéticien Constellation a en effet annoncé la prochaine remise en route du site de Three Mile Island, en Pennsylvanie, au travers d’un accord signé avec le géant de la tech. Ce contrat permettra d’alimenter en électricité les centres de données de Microsoft pour une durée de vingt ans.
Moyens de paiement
Biométrique, parlante ou avec un code qui change… Les nouvelles prouesses de la carte bancaire
leparisien.fr - Par Maxime Gayraud
Publié le 23 septembre 2024
Plusieurs innovations sont venues augmenter encore un peu plus la sécurité des paiements ces dernières années. Mais leur diffusion aux clients reste limitée.
La carte bancaire connaît des évolutions répondant à chaque fois à des problématiques spécifiques de sécurité.
La carte biométrique
Avec elle, plus besoin de votre code, même pour des paiements au-delà de 50 euros. La carte biométrique dispose d’un capteur d’empreinte digitale intégré : après avoir enregistré son empreinte, il suffit d’y apposer le doigt pour valider le paiement quel que soit le montant, en sans contact ou en ayant inséré la carte. « La prouesse, c’est l’autoalimentation de la carte, pointe Ali Zeamari, responsable innovation DIS (pour Digital Identity and Security) chez Thales. Grâce à l’induction, on récupère l’énergie du champ magnétique. » Un module d’intelligence artificielle intégré permet aussi de détecter les fraudeurs qui souhaiteraient utiliser un « faux doigt ».
Proposé en option par BNP Paribas ou la Société générale, son usage tarde néanmoins à décoller. Car la carte biométrique doit faire face à la concurrence du paiement mobile qui repose aussi sur la biométrie : une fois sa carte bancaire embarquée dans son smartphone, l’empreinte digitale ou la reconnaissance faciale permettent de valider les paiements.
La carte parlante
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Wero, nouvelle appli de virements gratuits en France & Europe via mobile, qui remplacera Paylib
Publié le 26 septembre 2024
Wero va révolutionner les transactions financières pour plus de 30 millions de français à partir d’octobre 2024 : c’est la promesse de cette application qui doit remplacer Paylib. Ce nouveau portefeuille mobile vise à simplifier les virements bancaires à l’échelle européenne, tout en restant gratuit et instantané. Découvrez les fonctionnalités de ce service qui pourrait bientôt concurrencer les géants mondiaux du paiement comme Mastercard et Visa.
Qu’est-ce que Wero, le remplaçant de Paylib ?
Le canal mobile attire l’attention de nombreux acteurs du secteur bancaire… et suscite même l’appétit des leaders technologiques : on a découvert récemment le lancement de Tap to pay d’Apple, qui permet aux commerçants d’utiliser leur iPhone pour encaisser des paiements clients. Ici, on est dans un autre registre, plus traditionnel, puisque Paylib, un service de paiement mobile utilisé par des millions de Français, sera remplacé par Wero, un nouveau système de virement européen.
Ce portefeuille électronique, développé pour faciliter les échanges interbancaires à travers l’Europe, permettra d’effectuer des transactions en quelques secondes, sans frais additionnels, à la manière de ce qui se fait déjà chez de nombreuses neo-banques comme Revolut ou encore N26. Bien que Paylib continue de fonctionner pour l’instant, le basculement vers Wero se fera progressivement. En France, des banques comme SG (Société Générale), LCL, BNP Paribas, Banque Populaire, Crédit Agricole ou encore le CIC feront partie des banques compatibles avec cette nouvelle application.
Lire la suite : https://www.emarketerz.fr/wero-nouvelle-appli-de-virements-gratuits-en-france-europe-via-mobile-qui-remplacera-paylib/
5G
La TNT bientôt disponible sur smartphones avec la 5G Broadcast
journaldugeek.com - Par Olivier
Publié le 23 septembre 2024
TDF expérimente depuis cet été la diffusion en direct de la télévision et de la radio sur mobile via la technologie 5G Broadcast. Une première en France qui pourrait transformer en profondeur notre façon de regarder la TNT.
Depuis mi-juillet, TDF, l’opérateur de diffusion de la Télévision Numérique Terrestre (TNT), teste en temps réel une nouvelle technologie de diffusion en direct sur smartphone, sans abonnement ni connexion Internet. Baptisée 5G Broadcast, cette nouveauté permet de recevoir des chaînes de télévision et des stations de radio sur mobile, tout en se passant des contraintes traditionnelles liées à la téléphonie ou au streaming. Le projet, initié par France Télévisions, pourrait bien représenter un changement majeur pour l’audiovisuel mobile.
La TNT sur smartphone avec une puce spéciale
Le test, mené en Île-de-France, à Nantes et à Bordeaux, permet aux utilisateurs équipés de smartphones dotés d’une puce Qualcomm spécialement configurée la possibilité de visionner en direct des chaînes comme France 2, France 24 et Arte, ou encore d’écouter des stations de radio (France Bleu, France Info…). Pour Karim El Naggar, directeur général audiovisuel et réseaux de TDF, « cette expérimentation souligne notre engagement à rendre la TNT accessible sur mobile d’ici trois ans ». Cette technologie ouvre de nouvelles perspectives pour toucher un public plus large, notamment les jeunes.
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/09/23/la-tnt-bientot-disponible-sur-smartphones-avec-la-5g-broadcast/
RGPD
Accompagnement renforcé : la CNIL guidera quatre entreprises pendant six mois
Publié le 23 septembre 2024
La CNIL a sélectionné les entreprises Docaposte, Doctrine, la Française des Jeux et ShareID pour bénéficier d’un accompagnement renforcé sur les six prochains mois. Elle leur apportera des réponses sur mesure afin de les guider vers une bonne prise en compte de la règlementation sur la protection des données.
En mai dernier, la CNIL a lancé un nouvel appel à candidature pour permettre à des entreprises innovantes, engagées dans une évolution rapide de leurs activités et dont le modèle d’affaires repose sur le traitement de données, de bénéficier d’un appui des équipes de la CNIL.
Cette année encore, la CNIL a reçu des dossiers couvrant des champs d’activités variés : identité numérique, vidéo augmentée, numérique en santé, sécurité numérique, legal tech, jeux d’argent… témoignant d’une forte demande d’accompagnement en matière de protection des données.
La CNIL a analysé les candidatures reçues sur la base de 5 critères :
Les quatre lauréats
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/accompagnement-renforce-la-cnil-guidera-quatre-entreprises-pendant-six-mois
Cybersécurité
Seulement 24% des RSSI français disposeraient de ressources suffisantes pour assurer une couverture cybersécurité 24/7
channelbiz.fr - Par - Guilhem Thérond,
Publié le 22 septembre 2024
Le manque d’adhésion des conseils d’administration aux enjeux de cybersécurité exposerait encore trop fortement les entreprises. C’est en tout cas la tendance qui ressort du dernier rapport mondial que Trend Micro vient de dévoiler.
Une étude intitulée ‘Underfunded and unaccountable: How a lack of corporate leadership is hurting cybersecurity’ , qui avait pour objectif de permettre de mieux comprendre les attitudes des RSSI envers la gestion des risques liés à la surface d’attaque (ASRM). Et qui relève en premier lieu un manque de ressources et d’adhésion de la direction pour mesurer et atténuer efficacement les risques liés à leur surface d’attaque :
Des lacunes dans la gestion du risque et de la surface d’attaque au sein des organisations ?
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Maîtriser l'augmentation des alertes de cybersécurité grâce à l'IA générative
jjournaldunet.com - Chronique de Renaud Bidou Fortinet
Publié le 26 septembre 2024
Voici les avantages de l'IA générative dans la gestion des alertes de cybersecurité, à condition de respecter un cadre.
Le nombre d'alertes de cybersécurité n'a cessé d'augmenter au cours de ces dernières années. Au-delà du volume, elles sont également de plus en plus complexes. Les attaques continuant d’évoluer, les défenses doivent s’adapter. Dans ce contexte, l’IA générative offre des solutions innovantes. Elle joue un rôle central dans la cybersécurité, en renforçant le renseignement contre les menaces et en permettant aux professionnels de la sécurité de rechercher les caractéristiques des cyberattaques, d'analyser de grandes quantités de données et d’identifier les cybercriminels plus rapidement.
Les avantages de l'IA générative dans la gestion des alertes de cybersecurité
L’amélioration de la détection et de l'analyse des menaces fait partie des avantages évidents de l’IA générative. Elle permet de générer des synthèses didactiques en quelques secondes et automatise les protocoles de réponses aux incidents courants, réduisant ainsi la charge de travail des collaborateurs pour les tâches récurrentes et chronophages. Les équipes de sécurité peuvent alors se concentrer sur des menaces plus sophistiquées et des missions stratégiques.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/intelligence-artificielle/1533747-maitriser-l-augmentation-des-alertes-de-cybersecurite-grace-a-l-ia-generative/
Cybercriminalité
Les hackers russes veulent vous voler votre compte ChatGPT
Des chatbots inaccessibles en Russie
numerama.com - Par Bogdan Bodnar
Publié le 22 septembre 2024
Les comptes de chatbot reposant sur de l’IA générative, comme ChatGPT, sont de plus en plus recherchés par les cybercriminels. Des pirates s’efforcent d’exploiter des identifiants volés pour accéder frauduleusement à des comptes, pour des raisons personnelles ou contourner des sanctions.
Les agents conversationnels à base d’IA sont un bien convoité. Dans un rapport publié le 18 septembre par la société spécialisée dans le cloud Sysdig, il est rapporté que les comptes ayant accès à des modèles de langage sont recherchés par les cybercriminels. Des outils que le grand public connait bien : ChatGPT repose sur ces technologies.
D’après les experts en cybersécurité du groupe, les pirates chercheraient notamment à piéger des employés pour récupérer leur compte personnel ou professionnel. Une des raisons est liée au contexte géopolitique, et plus spécifiquement à la vague de restrictions d’accès qui a frappé la Russie depuis l’extension de la guerre en Ukraine, en 2022.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1811590-les-hackers-russes-veulent-vous-voler-votre-compte-chatgpt.html
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Le Conseil de l'UE présente l'éthique du piratage basée sur l'IA contre la cybercriminalité
hackerneoon.com - Par EC-Conseil
Publié le 23 septembre 2024
TAMPA, FLORIDE, 23 septembre 2024 : EC-Council, leader mondial de la certification, de l'éducation et de la formation en cybersécurité, a annoncé aujourd'hui le lancement de Certified Ethical Hacker CEH v13 avec des capacités basées sur l'IA , une certification inédite en matière de cybersécurité. Reconnu depuis longtemps comme la certification de piratage éthique n°1 au monde, ce nouveau programme révolutionnaire et amélioré intègre l'apprentissage de l'intelligence artificielle (IA) dans les pratiques de piratage éthique, offrant aux professionnels des compétences et des outils avancés pour lutter contre les cybercriminels mondiaux.
Le CEH v13 propose une formation approfondie en intégrant l'IA dans les cinq phases du piratage éthique, de la reconnaissance et de l'analyse à l'obtention et au maintien de l'accès, en passant par la couverture des pistes pour aider à combler le gouffre de l'IA. Tout au long du cours, les apprenants seront équipés pour exploiter l'IA afin d'améliorer leurs techniques de piratage et de pirater les systèmes d'IA pour automatiser leurs tâches de piratage éthique tout en améliorant jusqu'à 40 % l'efficacité de la cyberdéfense et en doublant leur productivité.
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La cybercriminalité en France : statistiques et tendances 2024
siteggek.fr - Par Gwen
Publié le 23 septembre 2024
La France, comme beaucoup d’autres pays, fait face à une montée significative de la cybercriminalité. Cette menace persistante impacte non seulement les grandes organisations, mais aussi les petites et moyennes entreprises (PME), ainsi que les particuliers. Pour comprendre l’ampleur du phénomène, il est crucial d’analyser les statistiques et les tendances actuelles de la cybercriminalité dans le pays. Cet article s’intéressera aux études de cas récentes, aux avis d’experts et aux prévisions pour l’avenir.
Sommaire
Les statistiques de la cybercriminalité en France
Le volume croissant des attaques
Les industries les plus touchées
Tendances actuelles et futures
Les statistiques de la cybercriminalité en France
Le volume croissant des attaques
Lire la suite : https://www.sitegeek.fr/article-technologie/cybercriminalite-france-statistiques-tendances-2024/
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Cybersécurité et IA : vers un nouveau modèle de protection numérique
solutions-numeriques.com - Par Ahmed Achchak, CEO et co-fondateur de Qevlar AI
Publié le 23 septembre 2024
Face à la multiplication des cyber attaques et à leur sophistication croissante, les entreprises se tournent vers des solutions innovantes pour protéger leurs infrastructures numériques. L’intelligence artificielle (IA) s’impose comme l’une de ces solutions incontournables, en transformant en profondeur les centres opérationnels de sécurité (SOC). Mais comment cette technologie façonne-t-elle réellement l’avenir de la cybersécurité ?
Une nouvelle ère pour les SOC
Traditionnellement réactifs, les SOC d’aujourd’hui se modernisent grâce à l’IA, passant d’une approche défensive à une stratégie proactive. Les systèmes d’intelligence artificielle permettent non seulement d’analyser des volumes colossaux de données en temps réel, mais aussi d’identifier des comportements suspects avant même que des menaces ne se concrétisent. Cette anticipation redéfinit le rôle des SOC et leur efficacité.
L’IA face à la pénurie de talents
L’automatisation par l’IA répond à un défi clé : la pénurie de talents en cybersécurité. De nombreuses tâches chronophages, autrefois effectuées manuellement, sont désormais confiées à des algorithmes sophistiqués. Cela permet aux équipes SOC de se focaliser sur des activités à plus forte valeur ajoutée, tout en optimisant la réactivité des opérations.
Le rôle renforcé de l’analyse SOC
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/cyber-securite-et-ia-vers-un-nouveau-modele-de-protection-numerique/
Réseaux sociaux
Les géants des réseaux sociaux accusés de “surveillance de masse” par l’Autorité américaine de la concurrence
Publié le 23 septembre 2024
Les différentes données collectées par les grandes plateformes :https://www.solutions-numeriques.com/wp-content/uploads/2024/09/affeloumagasin.jpg
Les géants des réseaux sociaux pratiquent “une surveillance de masse” pour capitaliser sur les données personnelles des internautes, selon une étude publiée par l’Autorité américaine de la concurrence (FTC).
Un rapport publié le 19 septembre au soir et réalisé à partir de requêtes lancées il y a quatre ans sur neuf grandes sociétés (Amazon.com, operateur de Twitch, ByteDance, operateur de TikTok, Discord, Meta, Reddit, Snap, X, WhatsApp et YouTube) a établi qu’elles collectaient des quantités importantes de données, parfois via des courtiers en données personnelles, et pouvaient conserver ces informations indéfiniment.
“Le rapport explique comment ces plateformes ont collecté et récolté une énorme quantité de données sur leurs utilisateurs – et utilisé, combiné, conservé, diffusé et partagé ces données de façons inattendues. Les utilisateurs ont été surveillés non “seulement sur les plateformes des entreprises, mais aussi sur Internet, en rassemblant les informations compilées. Les dossiers sont ensuite mis à la disposition des annonceurs et d’autres entités », a expliqué dans un communiqué la patronne de la FTC, Lina Khan.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/les-geants-des-reseaux-sociaux-accuses-de-surveillance-de-masse-par-lautorite-americaine-de-la-concurrence/
META
Meta frappe fort : les médias d’État russes bannis de Facebook et Instagram
matte.com - Par la Rédaction
Publié le 22 septembre 2024
Meta, la maison mère de Facebook et Instagram, prend des mesures drastiques en restreignant l’accès des médias d’État russes à ses plateformes. Cette décision a été motivée par une volonté explicite de contrer les désinformations propagées par ces entités, souvent utilisées pour diffuser de la propagande étatique. La récente invasion de l’Ukraine accentue cette nécessité.
Des mesures face à une urgence
Meta ajoute qu’elle prévoit des actions pour bloquer les contenus issus de ces médias d’État en Russie elle-même. Plusieurs points sont importants à noter :
Dans ce contexte de crise, assurer la justesse de l’information est devenu une priorité pour Meta. Les actions visent à minimiser la propagation de la propagande, tout en garantissant la transparence et la sécurité des informations diffusées sur ses plateformes.
Les conséquences de l’invasion
Lire la suite : https://www.matbe.com/2024/09/22/meta-frappe-fort-les-medias-detat-russes-bannis-de-facebook-et-instagram/
ATOS
L'Etat en tandem avec Thales sur la reprise des actifs stratégiques d'Atos
lemondeinformatique.fr - Par Jacques Cheminat
Publié le 27 Septembre 2024
A la recherche d'un partenaire industriel pour le rachat des activités stratégiques d'Atos, le gouvernement s'est finalement associé à Thales, selon Marianne.
Le gouvernement sera épaulé par Thales pour le rachat des activités sensibles dont les supercalculateurs. (Crédit Photo: Atos)
Le feuilleton du rachat des activités sensibles d’AtoS vient probablement de trouver son épilogue avec une association entre l’Etat et Thales, indique nos confrères de Marianne. Pour mémoire, en pleine discussion sur l’avenir financier de la SSII française, Bruno Le Maire, alors ministre de l’Economie avait tranché en avril en déposant une offre de reprise des activités stratégiques. Elle concernait donc « 100% des activités d’Advanced Computing, de Mission-Critical Systems (MCS) et de Cybersecurity Products de la division BDS (Big Data & Cybersécurité) ». L’objectif était d’exfiltrer les supercalculateurs pour la simulation d’essais nucléaires ou les outils pour la gestion du parc des centrales nucléaires d’EDF.
A l’époque, le ministre avait lancé des appels du pied à « des groupes proches des activités de la Défense ou de l’aéronautique » (Thales et Airbus) pour que l’Etat ne soit pas seul dans l’aventure. Puis en juin dernier, l’Etat a donné un peu plus de détails sur cette opération, notamment le prix évalué à 700M€ soit le bas de la fourchette. Lors de cette annonce, nos confrères de La Lettre avaient souligné l’intérêt de Thales et de Dassault dans ce rachat qui englobe 4 000 personnes.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-etat-en-tandem-avec-thales-sur-les-activites-strategiques-d-atos-94827.html
Eviden
La RATP choisit les solutions TETRA Radio embarquées d’Eviden pour équiper ses métros et tramways
eviden.com - Communiqué
Publié le 24 septembre 2024
InnoTrans, Berlin, Allemagne et Paris, France
Eviden, la ligne d’activités du groupe Atos leader dans le digital, le cloud, le big data et la sécurité, annonce aujourd’hui avoir remporté l’appel d’offres de la RATP pour équiper ses rames de métro MP14 et futurs MF19 ainsi que les tramways TW20 de la régie de transport parisienne avec des systèmes de communication radio TETRA entre le poste de commande centralisé de la ligne et les différents matériels roulants. Le contrat porte sur 132 équipements radio, avec une option pour 800 équipements radio, sur une période maximale de 8 ans.
La RATP est un partenaire de longue date d’Eviden. La régie a déjà équipé sa précédente flotte de métro avec la technologie radio embarquée TETRA d’Eviden. Cette fois-ci, le plus grand défi de la RATP consiste à moderniser son réseau d’infrastructures de transport et d’étendre certaines lignes avec du nouveau matériel roulant afin d’accueillir plus de passagers en toute sécurité. De manière concrète, la solution jouera un rôle central dans la modernisation des systèmes radio embarqués existants de la RATP, garantissant leur viabilité à long terme, sachant que ces derniers exigent de plus en plus de puissance de calcul pour les services voix/données et sécurité/sûreté, avec la contrainte d’occuper le moins d’espace possible à bord.
Mobilité
15 millions de Français en situation de mobilité précaire
Publié le 20 septembre 2024
L’association Wimoov vient de publier la troisième édition de son baromètre des mobilités du quotidien et le bilan est alarmant. L’étude dénombre 15 millions de Français en situation de mobilité précaire, un chiffre en forte hausse.
La situation s’aggrave et inquiète. Dans la troisième édition de son baromètre biannuel des mobilités du quotidien, l’association Wimoov, active en faveur de la liberté de déplacement pour tous au quotidien, brosse un portrait peu reluisant de la mobilité en France.
En effet, d'après l’enquête réalisée sur un échantillon de 12 500 personnes, rapporté à la population totale, 15 millions de Français âgés de plus de 18 ans seraient en situation de précarité de mobilité. Un chiffre qui connaît une forte croissance par rapport à la précédente édition, qui dénombrait 13,5 millions de Français dans cette situation.
"Cette situation est le reflet d’une combinaison complexe de facteurs économiques, sociaux et environnementaux. Cette enquête laisse apparaître également en filigrane d’importantes disparités socioculturelles et territoriales", précise le Laboratoire de la mobilité inclusive. Une précarité qui touche toutes les générations, que ce soit en ville, en banlieue ou à la campagne, que les personnes aient un emploi ou pas.
Lire la suite : https://journalauto.com/services/15-millions-de-francais-en-situation-de-mobilite-precaire/
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Les rendez-vous de la mobilité reviennent dans le pays de Saint-Malo, du 16 septembre au 6 octobre
Publié le 15 septembre 2024
Les déplacements doux sont au cœur des animations organisées par Saint-Malo agglomération, dans le cadre des rendez-vous de la mobilité, du lundi 16 septembre au 6 octobre.
On peut se faire plaisir en bougeant autrement, invite le flyer du programme des animations prévues par Saint-Malo agglomération, sur le thème des mobilités. Et pour mieux s’en convaincre, elle organise des balades, sorties, initiations, projections, conférences et ateliers, gratuits, du lundi 16 septembre au dimanche 6 octobre 2024, en partenariat avec les associations À vélo Malo, des Cyclotouristes cancalais, Coef 180, Pass’emploi, l’association des parents d’élèves de l’école Notre-Dame-du-Verger à Cancale, les communes de Cancale, Saint-Jouan, Hirel, ainsi que les entreprises Veole et Sportdical.
Le patrimoine, à pied ou à vélo
Samedi 21 septembre, deux balades sont prévues. La première, à pied, partira de la mairie d’Hirel à 9 h, à la découverte de l’histoire et des patrimoines communaux d’Hirel et Vildé-la-Marine, en compagnie d’un coach sportif qui donnera des conseils sur la pratique de la marche. Accès libre.
Une autre balade, à vélo cette fois, partira de la place de l’église de Saint-Jouan-des-Guérets, à 14 h, toujours à la découverte du patrimoine communal...
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400/les-rendez-vous-de-la-mobilite-reviennent-dans-le-pays-de-saint-malo-du-16-septembre-au-6-octobre-4f5f9532-71d6-11ef-85ef-f14e8299cf17
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Circulation inter-files : l'expérimentation est prolongée jusqu'à fin 2024
service-public.fr - Communiqué
Publié le 20 septembre 2024
Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
L'expérimentation de la circulation inter-files pour les deux-roues et trois-roues motorisés, mise en place en 2021, est à nouveau prolongée jusqu'au 31 décembre 2024.
Depuis le 2 août 2021, la circulation inter-files (CIF) est autorisée à titre expérimental pour les deux-roues et trois-roues motorisés circulant sur les autoroutes et les voies rapides, lorsque le trafic est dense. Cette expérimentation devait prendre fin le 1er août 2024 et faire l'objet d'un bilan.
Le dispositif s'est vu prolongé une première fois jusqu'au 15 septembre 2024.
Un nouvel arrêté du 11 septembre 2024 le prolonge à nouveau jusqu'au 31 décembre.
Rappel
L'expérimentation avait été suspendue entre le 15 juillet et le 15 septembre 2024 sur les voies réservées aux Jeux olympiques et paralympiques en Île-de-France.
Les principes de la circulation inter-files
Cette expérimentation menée depuis 3 ans concerne 21 départements dont : les Bouches-du-Rhône, la Haute-Garonne, la Gironde, l'Hérault, l'Isère, la Loire-Atlantique, le Nord, le Rhône (y compris la métropole lyonnaise), le Var, les Alpes-Maritimes, la Drôme, le Vaucluse, les Pyrénées-Orientales ainsi que les 8 départements de la région Île-de-France.
Dans les zones expérimentales, les conditions suivantes doivent être respectées :
Le non-respect de ces conditions expose à un retrait de 3 points sur le permis de conduire et à une amende forfaitaire de 135 €.
Lire la suite : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15077
Blockchain
Les valeurs cryptographiques s'effondrent en raison de la faiblesse du bitcoin
boursorama.com - information fournie par REUTERS
Publié le 16 septembre 2024
((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
16 septembre - ** Les actions des sociétés liées aux crypto-monnaies et à la blockchain sont en baisse dans les premières heures de transactions, pénalisées par la faiblesse du bitcoin
** Bitcoin BTC= , la plus grande crypto-monnaie au monde,chute de ~2,8%, tandis quel 'éther ETH= perd ~5,5%
** La bourse de crypto-monnaies Coinbase Global COIN.O en baisse de ~3,4%, les actions cotées aux États-Unis de l'opérateur de fermes blockchain Bitfarms Ltd BITF.O en baisse de ~4,2%
** Les mineurs de crypto-monnaies Riot Platforms Inc RIOT.O , Hut 8 Mining HUT.O et Marathon Digital MARA.O en baisse de ~3,2% à ~6%
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18 % des Français détiennent des cryptomonnaies et 30 % en ont déjà possédé, selon une étude de Gemini
cryptoast.fr - Par Maris Farashi Tasooji
Publié le le 11 septembre 2024
Selon une étude récente de la plateforme d'échange Gemini, 18 % des Français détiennent aujourd'hui des cryptomonnaies, tandis que 30 % en ont déjà possédé. Ces chiffres montrent une adoption croissante des actifs numériques en France, malgré les fluctuations des marchés et les débats sur leur réglementation.
Le nombre d'utilisateurs de Bitcoin et des cryptomonnaies augmentent
Depuis sa création, l'adoption de Bitcoin et le nombre de ses détenteurs n'ont cessé de croître. Portés par la médiatisation de Bitcoin et des autres cryptomonnaies lors des marchés haussiers, de nombreux investisseurs rejoignent l'écosystème dans l'espoir de réaliser des gains, avant d'être finalement séduits par l'essence même de Bitcoin et de continuer à l'utiliser.
Or, une étude récente menée par la Réserve fédérale (FED) de Philadelphie a révélé que l'adoption des cryptomonnaies ne suivait pas nécessairement l'augmentation de leur prix, soulignant une baisse du nombre d'utilisateurs aux États-Unis alors que le cours du BTC est en forte hausse depuis près de 2 ans.
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Une étude menée par la plateforme d'échange Gemini semble contredire les conclusions de l'étude de la FED. Gemini aurait interrogé 6 000 adultes en France, aux États-Unis, au Royaume-Uni et à Singapour, et révèle que l'adoption de Bitcoin et des cryptomonnaies est en nette augmentation depuis 2022.
Lire la suite : https://cryptoast.fr/18-francais-detiennent-cryptomonnaies-30-ont-deja-possede-selon-gemini/
Services publics
Mois de l'innovation publique 2024 : quelles actions pour améliorer nos services publics ?
modernisation.gouv.fr - Communiqué
Publié le 16 septembre 2024
Conférences, ateliers, portes ouvertes… Près de 300 événements sont attendus dans toute la France dans le cadre du Mois de l’innovation publique 2024. Cette 11e édition sera consacrée aux actions engagées pour améliorer nos services publics. Amélioration des délais, de la qualité de service et de l’accessibilité des services publics…, cet événement proposé par la DITP permettra de partager toutes les bonnes pratiques mises en œuvre par les agents sur le terrain.
Le Mois de l’innovation publique, c’est le rendez-vous annuel organisé par la DITP pour valoriser la capacité d’innovation des acteurs publics. Chaque année, plus de 300 événements sont organisés dans toute la France !
Du 4 au 30 novembre 2024, un mois pour partager les projets qui améliorent l’efficacité des services publics
« Le Mois de l’innovation publique est un formidable moment de partage des méthodes innovantes et des expérimentations mises en œuvre à travers toute la France pour améliorer concrètement la qualité des services publics et de l’efficacité de l’action publique au bénéfice de tous les usagers et agents ». Grégoire Tirot, chef du service Innovation et Participation citoyenne à la DITP.
Ce mois de l’innovation mettra en avant les initiatives engagées par les agents sur le terrain pour améliorer les services publics en termes de qualité, d’accessibilité, d’efficacité et de délais.
Centre de preuves du dynamisme des agents publics, cette 11e édition donnera à voir des actions innovantes engagées notamment dans le cadre du Conseil national de la refondation (CNR).
Le Mois de l’innovation publique est l’occasion de mettre en lumière les améliorations engagées par les administrations pour améliorer leur qualité de service et leur efficacité. C’est le sens du programme Services Publics + qui mobilise tous les services publics autour de 8 engagements communs de qualité de service : simplification des démarches, amélioration de l’accueil téléphonique, réduction des délais de traitement ou mise en œuvre du droit à l’erreur, les services publics se transforment.
De l’expérimentation de l’usage de l’IA pour permettre aux agents de répondre mieux et plus vite aux usagers, de l’initiative "Help" proposée aux entrepreneurs en difficulté afin de mutualiser toutes leurs demandes d’aide auprès de l’Urssaf, de la CAF, de la Carsat et de la CPAM, ou encore le test de RSA rénové qui permet des délais raccourcis de 3 mois à 15 jours pour un premier rdv avec France Travail à l’ouverture des droits au RSA.
Consulter l’ensemble du programme sur le site de la DITP modernisation.gouv.fr.
Plus de 300 événements attendus dans toute la France : agents référencez vos événements sur le site de la DITP pour valoriser votre projet
Lire la suite : https://www.modernisation.gouv.fr/presse/mois-de-linnovation-publique-2024-quelles-actions-pour-ameliorer-nos-services-publics
Intelligence artificielle
massyness.com - Par Cedric O.
Publié le 21 septembre 2024
Clara Chappaz devient Secrétaire d'Etat à l'Intelligence Artificielle et au numérique
L'ancienne directrice de la mission French Tech devient ce samedi 21 septembre, secrétaire d'Etat à l'Intelligence Artificielle et au numérique. Une figure connue et très appréciée de l'écosystème, qui va porter le sujet de l'Intelligence Artificielle qui rejoint le portefeuille historique du Numérique.
Arrivée à la tête de la Mission French Tech il y a 2 ans, le parcours de Clara Chappaz prend une nouvelle dimension depuis sa nomination au sein du Gouvernement Barnier ce samedi 21 septembre 2024. Alors qu'il était autrefois piloté par le ministère de l'économie, ce portefeuille rejoint le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, décroché par Patrick Hetzel.
De leurs côtés, les ex-ministres du Numérique Jean-Noël Barrot et Marina Ferrari restent au gouvernement et deviennent respectivement ministre des affaires étrangères et ministre déléguée chargée de l'économie et du tourisme.
Malgré les vagues et les tempêtes économiques, géopolitiques, sociales… Clara Chappaz a vécu l’euphorie post Covid à son arrivée, côtoyé les sommets avec des levées de fonds à 9 chiffres puis assisté au retournement de l’économie, aux startups qui serrent les dents et au virage de l’hypercroissance à la profitabilité.
Lire la suite : https://www.maddyness.com/2024/09/21/clara-chappaz-devient-secretaire-detat-a-lintelligence-artificielle-et-au-numerique/
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IA de confiance : comment se préparer à l'AI Act
journaldunet.com - Part Xavier Biseul
Publié le 17 septembre 2024
Si le règlement européen sur l'IA sera, pour l'essentiel, applicable en 2026, les entreprises sont invitées à anticiper leur mise en conformité. Sensibilisation, cartographie des IA, évaluation des risques… Voici les étapes d'un chantier hors normes.
Le saviez-vous ? L'AI Act, le règlement européen sur l'intelligence artificielle, est entré en vigueur au cœur de l'été, le 2 août dernier. La "première législation au monde sur l'IA" s'appliquera à toutes les sociétés de l'Union européenne qui développent, fournissent ou déploient des systèmes d'intelligence artificielle. Une entreprise qui achète des modèles d'IA du marché tout en développant en interne ses propres systèmes aura le double statut de "déployeur" et de fournisseur. Pour rappel, l'Union européenne a retenu une approche pilotée par les risques tout en introduisant des exigences spécifiques aux outils d'IA générative comme ChatGPT d'OpenAI ou Gemini de Google. Quatre catégories ont été définies : les IA à risque inacceptable, à risque élevé, à risque modéré et à risque minime.
Le texte entrera progressivement en application dans les 6, 12, 24 et 36 prochains mois. L'association Hub France IA a mis en ligne un calendrier pour se repérer. La première date-clés est fixée au 2 février 2025. Elle marquera l'interdiction de la commercialisation des IA présentant un risque inacceptable pour les droits fondamentaux tels les outils de surveillance de masse des populations. Autant dire que le cadre législatif français a déjà proscrit ce type de menace.
La prochaine date à retenir est le 2 août 2026. L'essentiel des dispositifs du texte, concernant notamment les IA à risque élevé (scoring bancaire, reconnaissance faciale, recrutement prédictif...) seront alors applicables. Sans attendre cette échéance, les entreprises concernées sont invitées dès maintenant à se mettre en conformité même s'il manque encore un grand nombre de guidelines et de spécifications opérationnelles, des éléments attendus dans les prochains mois. Pas question de reproduire, dix ans après, le retard à l'allumage qui avait été constaté lors de la mise en place du RGPD.
Sensibiliser en interne
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/intelligence-artificielle/1533413-ia-de-confiance-comment-se-preparer-a-l-ai-act/
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Le grand moissonnage des données personnelles
lemonde.fr - Par BINAIRE
Publié le 20 septembre 2024
Solove et Hartzog viennent de publier un excellent article sur le moissonnage massif des données sur le web (« web scraping » en anglais) pour l’entraînement des systèmes d’Intelligence Artificielle et les tensions que cela génère avec les principes de la protection des données personnelles. Cet article nous permet de revisiter la problématique du moissonnage massif des données et de rappeler les travaux et consultations menés par la CNIL sur ce sujet depuis plusieurs mois2. Serge Abiteboul, Antoine Rousseau et Ikram Chraibi-Kaadoud
L’IA, en particulier l’IA générative, nécessite de vastes quantités de données pour son entraînement. Certaines de ces données sont collectées directement auprès des individus, tandis que d’autres sont obtenues via une interface de programmation d’application (API) conçue pour une extraction et un partage consensuel des données. Toutefois, la majorité des données sont obtenues par moissonnage. Le moissonnage des données sur Internet consiste à utiliser des logiciels automatisés pour extraire des informations à partir de sites web ou de réseaux sociaux.
Moissonnage et Intelligence Artificielle
Le moissonnage de données est un outil essentiel pour les chercheurs et les journalistes qui leur permet d’accéder à des informations cruciales pour leurs projets. En collectant rapidement des données issues de multiples sources, il facilite des recherches et des études qui seraient autrement impossibles. Cette collecte massive des données semble également être essentielle pour le développement et l’amélioration des modèles d’IA, car elle fournit les vastes quantités de données nécessaires à l’entraînement des algorithmes. Par ailleurs, en diversifiant les sources de données à travers différentes régions et cultures, le moissonnage peut aussi aider à éviter les biais dans les modèles d’IA.
Lire la suite : https://www.lemonde.fr/blog/binaire/2024/09/20/le-grand-moissonnage-des-donnees-personnelles/
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Ce chercheur a calculé l'empreinte carbone d'une recherche ChatGpt
Slate.fr - Par Bénédicte Le Gall
Publié le 21 septembre 2024
ChatGPT consomme beaucoup d'eau car les centres de données chauffent énormément lorsqu'ils effectuent des calculs. | Jan van der Wolf via Pexels.
Depuis son lancement en 2022, l'agent conversationnel ChatGPT a largement révolutionné le monde de l'intelligence artificielle - et sauvé au passage la mise à quelques étudiants en détresse dans la rédaction de leur mémoire. Aujourd'hui, nombreux sont ceux qui l'utilisent quotidiennement pour tous types de requêtes -planning de vacances, rédaction d'emails ou de brèves journalistiques. Mais connaît-on l'empreinte carbone d'une simple demande formulée à ChatGPT? Futurism s'est penché sur la question.
Selon Shaolei Ren, chercheur à l'Université de Riverside en Californie, une réponse ChatGPT d'une centaine de mots à une requête serait particulièrement énergivore, notamment en eau. «Cela revient à consommer une bouteille d'eau et à allumer 14 ampoules LED pendant une heure», explique le scientifique. Un coût environnemental qui peut vite grimper au vu du nombre d'adeptes du chatbot dans le monde.
Un outil énergivore
En se basant sur les estimations de Shaolei Ren, si un travailleur américain sur dix utilise ChatGPT une fois par semaine pendant un an pour rédiger un courriel, il consommerait 435 millions de litres d'eau et 121.517 mégawattheures d'électricité -soit assez d'électricité pour éclairer tous les foyers de Washington DC pendant 20 jours.
Lire la suite : https://www.slate.fr/tech-internet/chercheur-calcul-empreinte-carbon-chat-gpt-ia-eau
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L’intelligence artificielle ne peut être abandonnée aux « caprices » du marché, alertent des experts de l’ONU
sudeouest.fr - Par SudOuest.fr avec AFP
Publié le 20 septembre 2024
Des experts des Nations unies plaident pour des outils de coopération internationale sur l’intelligence artificielle (IA), sans aller toutefois jusqu’à une agence mondiale de gouvernance.
Le développement de l’intelligence artificielle (IA) et les risques associés ne peuvent être abandonnés « aux caprices » du marché, mettent en garde jeudi des experts de l’ONU qui plaident pour des outils de coopération internationale sans aller toutefois jusqu’à une agence mondiale de gouvernance. Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres avait mis en place il y a près d’un an ce comité d’une quarantaine d’experts dans le domaine des technologies, du droit ou de la protection des données personnelles, issus du monde universitaire, de gouvernements ou encore du secteur privé comme Microsoft, Google-Alphabet et OpenAI.
Leur rapport final publié à quelques jours du « Sommet pour l’avenir » à New York constate sans surprise « le déficit de gouvernance mondiale en matière d’IA », et la quasi-exclusion des pays en développement des discussions sur un sujet existentiel. Ainsi, sur les 193 États membres de l’ONU, seuls sept font partie de sept initiatives majeures liées à la gouvernance de l’IA (dans le cadre de l’OCDE, du G20 ou du Conseil de l’Europe), et 118 en sont totalement absents, principalement des pays du sud. Pourtant, la nature même, « transfrontalière » de ces technologies « nécessite une approche mondiale », insiste le comité.
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Lettre ouverte : “L’Europe a besoin de certitude réglementaire en matière d’IA”
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 20 septembre 2024.
Ce 19 septembre, une trentaine d’entreprises, des chercheurs et des institutions européens ont publié une lettre ouverte adressée aux régulateurs de l’UE avec un message clair : l’Europe doit harmoniser ses approches réglementaires en matière d’IA si elle veut libérer pleinement le potentiel de l’IA générative, notamment open source. Parmi les signataires figurent Mark Zuckerberg (Meta), Daniel Ek (Spotify), Yann LeCun (Meta), Christian Klein (SAP), Maurice Lévy (Publicis Groupe), Börje Ekholm (Ericsson) qui soulignent l’urgence d’une prise de décision rapide et cohérente pour garantir que l’Europe reste compétitive.
Selon la lettre ouverte, “l’Europe est devenue moins compétitive et moins innovante par rapport à d’autres régions, et elle risque maintenant de prendre encore plus de retard à l’ère de l’IA en raison de décisions réglementaires incohérentes”.
L’environnement réglementaire européen, qui a pour but de protéger les consommateurs et de garantir une concurrence équitable, a été source de tensions entre des géants technologiques comme Meta ou OpenAI et les régulateurs européens.
La loi sur les Marchés Numériques (DMA), cherche à limiter le pouvoir des grandes plateformes en ligne, en imposant des règles pour empêcher les comportements anticoncurrentiels alors que la loi sur les Services Numériques (DSA) vise à créer un espace numérique plus sûr, exigeant des plateformes en ligne une modération rigoureuse des contenus. De son côté, le règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) impose des règles strictes sur la collecte, le traitement et le stockage des données personnelles des citoyens européens.
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/lettre-ouverte-leurope-a-besoin-de-certitude-reglementaire-en-matiere-dia/
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Les chercheurs alertent : le développement de l’IA mène à une « catastrophe probable »
Publié le 21 septembre 2024
Des chercheurs de Google et de l'université d'Oxford lancent un avertissement alarmant. Selon eux, le développement rapide de l'intelligence artificielle pourrait mener à une « catastrophe probable » pour l'humanité. Quels sont les mécanismes qui sous-tendent cette prédiction inquiétante ? Comment l'IA pourrait-elle devenir une menace existentielle pour notre espèce ?
En septembre 2022, une étude publiée dans AI Magazine a secoué la communauté scientifique. Des chercheurs renommés de Google et de l'université d'Oxford ont conclu que l'intelligence artificielle (IA) représente une menace sérieuse pour l'avenir de l'humanité. Cette annonce, loin d'être un simple cri d'alarme, s'appuie sur une analyse approfondie des mécanismes d'apprentissage des IA et de leurs potentielles conséquences à long terme.
Le mécanisme de récompense au cœur du problème
L'étude se concentre sur un aspect fondamental du fonctionnement des IA : l'apprentissage par renforcement. Ce processus, qui guide le développement des systèmes d'IA, repose sur un système de récompense. L'IA reçoit une « récompense » lorsqu'elle atteint l'objectif fixé, ce qui l'encourage à reproduire les actions ayant mené à ce succès.
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/intelligence-artificielle-chercheurs-alertent-developpement-ia-mene-catastrophe-probable-116150/
Internet des Objets
L’IOT, une menace à ne pas négliger pour les RSSI
Lemondeinformatique.fr - ParSteven Sim, IDGNS (adapté par E.Delsol)
Publié le 17 Septembre 2024
Ascenseurs, onduleurs, bâtiments sont tous désormais équipés en capteurs et logiciels. Regroupés sous le terme operational technology (OT), ils sont de plus en plus vulnérables aux cybermenaces et deviennent ainsi l'affaire des RSSI.
De nombreux responsables sécurité sont encore convaincus qu'ils n'ont pas à évaluer les risques liés aux technologies opérationnelles (OT), parce qu'ils n'en ont pas la charge. Une attitude dépassée qui conduit souvent à des angles morts. Les équipements opérationnels représentent toute une gamme de matériel et de logiciels, au sein des systèmes de gestion des bâtiments, des ascenseurs, du chauffage, de la ventilation, de la climatisation ou des dispositifs de contrôle d'accès.
Compte tenu du rapprochement de plus en plus courant entre l'IT et l'OT (operational technology) et de l'importance croissante du nombre de bâtiments intelligents, le risque cyber dans ces domaines est plus important que jamais. D'autant que l'OT, qui restait plutôt protégée, est aujourd'hui de plus en plus vulnérable à cause des capteurs intelligents ou des accès à distance à des fins d'analyse prédictive. En voici quelques exemples concrets.
La vulnérabilité d'un thermomètre ou de la climatisation
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-ot-une-menace-a-ne-pas-negliger-pour-les-rssi-94726.html
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SEALSQ annonce des appareils IoT avec des capacités de paiement
Publié le 20 septembre 2024
GENÈVE - SEALSQ Corp (NASDAQ:LAES), un développeur de semi-conducteurs, de PKI et de technologies post-quantiques matérielles et logicielles, a dévoilé sa dernière innovation dans le domaine de l'Internet des objets (IoT) : des solutions de semi-conducteurs intégrées à l'Internet des paiements (IoP). Cette avancée permet aux appareils IoT d'effectuer des transactions financières sécurisées et autonomes, une initiative qui place SEALSQ à la pointe du commerce numérique.
L'intégration de la technologie IoP dans les semi-conducteurs de SEALSQ transforme les appareils connectés en agents économiques actifs capables de gérer de manière autonome les paiements et les services. Cela positionne ces appareils pour non seulement communiquer, mais aussi participer à des transactions financières au sein de l'économie mondiale. Le PDG de l'entreprise, Carlos Moreira, a déclaré que cette intégration marque un bond en avant significatif pour l'industrie de l'IoT.
Les semi-conducteurs de nouvelle génération de SEALSQ sont conçus avec des caractéristiques qui répondent aux exigences des applications IoP, notamment des transactions autonomes sécurisées, un traitement en temps réel, une évolutivité dans divers secteurs et des modules de paiement économes en énergie.
Les applications des semi-conducteurs IoP de SEALSQ sont vastes, avec des utilisations potentielles dans le secteur automobile où les voitures pourraient payer automatiquement le carburant ou les péages, dans la domotique pour les appareils qui commandent et paient les fournitures, et dans l'IoT industriel où les machines pourraient commander automatiquement des pièces et des services.
Lire la suite : https://fr.investing.com/news/company-news/sealsq-annonce-des-appareils-iot-avec-des-capacites-de-paiement-93CH-2570083
Fraude Carte Bancaire
Carte bancaire : ces quatre arnaques dont il faut se méfier
Après deux années enchaînant repli puis stabilisation, le montant de la fraude à la carte bancaire est reparti à la hausse, en 2023. Il représente désormais 496 millions d'euros (+7% par rapport à 2022). Voici les dernières arnaques répertoriées en France.
Quelqu'un vous demande de couper votre carte bancaire
C'est une arnaque au faux coursier d'un nouveau genre, qui a fait surface ces derniers jours. « Après avoir reçu un SMS ou un appel, les victimes échangent avec une personne se faisant passer pour un conseiller bancaire du service des fraudes », indique un message des gendarmes de l'Ariège sur Facebook, relayé par Actu.fr.
Ce conseiller indique que des retraits frauduleux sont constatés et qu'il va bloquer les opérations. Pour finaliser l'opération, il demande à la victime de couper sa carte bancaire « afin qu'une personne se présente à son domicile pour la récupérer ». Il s'agit d'une arnaque, les victimes constatant, plus tard, des retraits et des achats sur leur compte.
Faux conseiller bancaire : cette arnaque qui a explosé en 2023
Quelques piqûres de rappel accompagnent le message de prévention : « Soyez vigilants aux messages que vous recevez, que ce soit par SMS ou par e-mail ; ne cliquez pas sur les liens suspects ; ne répondez à aucune sollicitation que vous n'avez pas initiée (SMS, mails, appels...) et ne donnez pas votre carte bancaire même coupée en deux à un coursier ».
L'arnaque au sans contact dans les transports en commun
lire la suite : https://www.moneyvox.fr/carte-bancaire/actualites/99600/ces-quatre-arnaques-dont-il-faut-se-mefier
CNIL
Michel COMBOT, nouveau directeur des technologies et de l’innovation de la CNIL
cnil.fr - Communiqué
Publié le 16 septembre 2024
Michel COMBOT rejoindra la CNIL le 1er octobre 2024 en tant que directeur des technologies et de l’innovation.
Diplômé de l’École Polytechnique et de Télécom Paris, Michel COMBOT bénéficie de 26 ans d'expérience dans les domaines de l'économie numérique, des télécoms et des médias.
Il était, jusqu’à présent, délégué général de Numeum, une organisation représentant l’écosystème numérique en France et membre du Conseil d’administration de Digital Europe, son homologue au niveau européen.
Pendant 7 ans, il a également occupé le poste de directeur général de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) et délégué permanent du comité stratégique de la filière « infrastructures numériques ».
Michel COMBOT a consacré près de 18 ans de sa carrière au secteur public. Il a travaillé au sein d’autorités administratives indépendantes, notamment en tant que directeur général adjoint de l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes et de la distribution de la presse) puis du CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel devenu l’ARCOM), et dans plusieurs cabinets ministériels. Il a ainsi contribué à définir et mettre en œuvre de nombreuses politiques publiques liées à l'économie numérique, à l'industrie des télécoms, aux médias et aux services numériques.
Fort de son expertise et de sa connaissance de l’inter-régulation, Michel COMBOT rejoindra la CNIL à compter du 1er octobre 2024.
Il succède ainsi à Bertrand PAILHÈS, directeur des technologies et de l’innovation de la CNIL depuis 2019.
La direction des technologies et de l’innovation de la CNIL
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/michel-combot-nouveau-directeur-des-technologies-et-de-linnovation-de-la-cnil
Cybersécurité
Cette fausse application imite Google Chrome mais elle envoie toutes vos données en Russie
presse-citron.net - La rédaction
Publié le 21 septembre 2024
Les pirates informatiques doublent de créativité pour extorquer les données de leurs victimes.
Une nouvelle menace cyber vient a été mise au jour par les experts d’AG Data, rapporte nos confrères de MSN. Il s’agit d’une application Android malveillante qui se fait passer pour… le navigateur Google Chrome. Cette découverte alarmante soulève des inquiétudes quant à la sécurité des données personnelles des utilisateurs. On rappelle que le Google Play Store est moins contrôlé que l’App Store d’Apple, ce qui explique que certaines applications vérolées puissent y apparaitre.
Une interface quasi-identique
L’application en question, téléchargée depuis des sources non officielles, présente une interface quasi identique à celle du véritable navigateur Chrome. Cependant, derrière cette façade trompeuse se cache un code malveillant conçu pour dérober des informations sensibles.
Lire la suite : https://www.presse-citron.net/cette-fausse-application-imite-google-chrome-mais-elle-envoie-toutes-vos-donnees-en-russie/
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Contre les cyberattaques, des ateliers gratuits proposés aux entreprises des Côtes-d’Armor
ouest-france.fr - La rédaction
Publié le 20 semtembre 2024
Afin de bien protéger les petites et moyennes entreprises, la chambre de commerce et d’industrie des Côtes-d’Armor organise des ateliers de sensibilisation à la cybersécurité dans quatre villes du département.
En 2023, 34 % des petites et moyennes entreprises (PME) ont été victimes de cyberattaques, selon l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI).
En 2023, 34 % des petites et moyennes entreprises (PME) ont été victimes de cyberattaques, selon l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI).
Pour se protéger efficacement, la chambre de commerce et d’industrie (CCI) des Côtes-d’Armor, en partenariat avec la Gendarmerie des Côtes-d’Armor, proposent une série d’ateliers de sensibilisation gratuits. L’objectif : faire face à ces nouveaux enjeux et défis de la cybersécurité.
Trois thématiques
Au programme : Quels sont les principaux risques auxquels les TPE et PME sont exposées ? Comment vous protéger et préserver la continuité de votre activité ? Quelles sont les bonnes pratiques à adopter pour renforcer rapidement votre sécurité ?
Ces ateliers seront animés par l’adjudante Adeline Betton, référente Sûreté et cybersécurité au Groupement de gendarmerie 22. Ils se dérouleront les vendredis 4 octobre à Dinan (Quévert) ; 11 octobre, à Loudéac ; 18 octobre, à Lannion, et 8 novembre, à Saint-Brieuc, de 8 h 30 à 9 h 45.
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État de la cybersécurité en 2024 : la course à l’exploitation de l’IA
slunk.com - Communiqué
Publié le 20 septembre 2024
En 2024, les équipes de sécurité seront confrontées à de nouvelles opportunités et à de nouveaux obstacles, tels que l’intensification des tensions géopolitiques, le renforcement des exigences de conformité et l’essor de l’IA générative – qui transformera véritablement le secteur.
Dans notre rapport État de la cybersécurité en 2024 : la course à l’exploitation de l’IA, nous identifions les organisations qui parviennent à tirer leur épingle du jeu, indiquons ce qui les distingue de leurs homologues et partageons les grandes conclusions de notre étude.
Téléchargez le rapport complet pour découvrir comment les responsables de la cybersécurité surmontent les obstacles, innovent grâce à l’IA et renforcent la résilience numérique.
ATOS
Atos signe une performance IT historique pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024
finance.yahoo.com - Communiqué de presse
Publié le vendredi 20 septembre 2024
Atos signe une performance IT historique pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 : les plus numériques et sécurisés de l’histoire
Paris, France – 20 septembre 2024 – Atos, en tant que partenaire informatique mondial des Jeux Olympiques et Paralympiques, a annoncé aujourd'hui le succès de l’orchestration de l’informatique pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Les équipes d'Atos, qui sont engagées aux côtés du Mouvement Olympique depuis 35 ans, ont intégré, opéré et sécurisé les systèmes informatiques critiques pour offrir à des milliards de fans à travers le monde les Jeux Olympiques et Paralympiques les plus numériques de l'histoire. Atos est le principal intégrateur des technologies, de la gestion du programme à l'intégration de systèmes, et le fournisseur de plus de 150 applications critiques.
La division Eviden a également géré la planification, la préparation, l'orchestration et les opérations de cybersécurité pour sécuriser les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Eviden a mis en œuvre ses services et solutions en cybersécurité avec plus de 300 workflows automatisés pour s'assurer que les cybermenaces potentielles étaient identifiées et neutralisées avant qu'elles ne perturbent les compétitions.
« La mobilisation et l'enthousiasme de nos équipes ont été exceptionnels pour assurer une maîtrise et une orchestration sans faille de la technologie des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, « à la maison », dans le pays du groupe Atos. Cet événement est une occasion unique pour démontrer notre expertise en transformation digitale, et notre engagement auprès du Mouvement Olympique depuis 35 ans. », a déclaré Patrick Adiba, CEO Major Events d'Atos.
Lire la suite : https://fr.finance.yahoo.com/actualites/atos-signe-performance-it-historique-100000305.html
Thales
Journée Internationale de l’Identité : Thales défend une identité légale et de confiance pour tous
thalesgroup.com/fr - Communiqué
Publié le 16 septembre 2024
Le 16 septembre, Thales célèbre la Journée Internationale de l'Identité (ID Day), une journée symbolique pour mettre en lumière l'Objectif de Développement Durable ‘16.9’ des Nations Unies, qui vise à fournir une identité légale pour tous. L'ID Day est dédiée à sensibiliser à l'importance de l'identité légale en tant que droit humain fondamental et levier clé du développement social et économique inclusif. Thales soutient les efforts mondiaux visant à garantir que chaque individu ait accès à une identité sécurisée et de confiance.
Thales, un leader dans le domaine de l'identité physique sécurisée et biométrique, participe activement à des projets alignés sur l'Objectif de Développement Durable ‘16.9’ des Nations Unies, y compris l'enregistrement des naissances, d'ici 2030. Selon les estimations 2023 de l'initiative ‘Identification pour le Développement’ (ID4D) de la Banque Mondiale, plus de 850 millions de personnes dans le monde ne disposent pas d'une identité officielle. Grâce à la mobilisation mondiale, la situation s'est améliorée depuis 2020, année où 1 milliard de personnes manquaient d'une identité légale.
La Journée de l'Identité met en avant l'importance d'avoir une identité légale et l'impact positif qu'elle a sur les individus et les communautés à travers le monde. Une identité légale permet l'accès à des services essentiels, favorise l'inclusion sociale et facilite la participation à l'économie mondiale. C'est pourquoi Thales, reconnu comme le leader de l'identité numérique par Juniper Research (dans son "Tableau de Bord des Concurrents 2024"), défend un avenir inclusif où chacun pourra bénéficier d'une identité de confiance et la prouver.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/journee-internationale-lidentite-thales-defend
Mobilité
Avec le projet REALLOCATE, le Cerema partage ses compétences en Europe pour une mobilité durable
cerema.fr - Communiqué
Publié le 14 septembre 2024
Le projet européen REALLOCATE a pour objectif d'identifier les leviers et nouvelles pratiques d'aménagement pour favoriser les mobilités durables.
Le thème de l’édition 2024 de la Semaine européenne de la mobilité, la 22e du nom, est "l’espace public partagé". Ce vaste sujet constitue précisément le cœur du projet européen REALLOCATE [1].
Financé dans le cadre du programme Horizon Europe avec une enveloppe globale de 12 millions d’euros, ce projet de 4 ans démarré en mai 2023 vise en effet à repenser l'aménagement des rues et des espaces publics afin d’engager nos villes vers un modèle de mobilités mieux adapté aux changements climatiques et aux modes actifs et durables.
POURQUOI PARTAGER (ET POURQUOI MAINTENANT) ?
Les espaces publics désignent "la partie du domaine public non bâti affecté à des usages publics" [2], c’est-à-dire l’ensemble des lieux accessibles et gratuits où les individus se croisent, se rencontrent et échangent. Ils renvoient aux rues, aux avenues, aux places, aux parvis, aux boulevards, aux jardins, aux parcs, aux parkings, etc. Ces lieux sont précieux à double titre :
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/projet-reallocate-cerema-partage-ses-competences-europe
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C’est fini pour Kéolis, la RATP reprend la gestion des transports urbains dans l’agglo de Caen
ouest-france.fr - Par Thiphaine LE Berre
Publié le 11 septembre 2024
C’est fini pour Kéolis, la RATP reprend la gestion des transports urbains dans l’agglo de Caen
Keolis, l’opérateur du transport urbain sur le territoire de Caen-la-Mer (Calvados) depuis presque toujours, ne rempilera pas sur un nouveau contrat de délégation de service public. Le nouveau a été attribué à RATP Dev et entrera en vigueur le 1er janvier 2025.
C’est un petit tremblement de terre dans le monde des transports de l’agglomération caennaise. À compter du 31 décembre 2024, Keolis, délégataire historique pour le compte de la communauté urbaine Caen-la-Mer, perdra la main sur le réseau de transports urbains Twisto. Le nouveau contrat a été attribué pour six ans à l’un de ses concurrents : RATP Dev.
Cette information, les syndicats en ont eu la primeur cet été. Restait au conseil communautaire de délibérer sur le sujet. C’est désormais chose faite : ce mardi 10 septembre 2024, les élus de Caen-la-Mer ont validé ce nouveau contrat.
Au 1er janvier 2025, RATP Dev aura donc la charge de l’exploitation du réseau, de la gestion de l’offre des mobilités alternatives comme l’autopartage ou encore les vélos en libre-service, ainsi que de la maintenance des infrastructures et...
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/dans-lagglomeration-de-caen-keolis-perd-la-delegation-de-service-public-pour-le-transport-6af88848-6eb2-11ef-8186-bc3b55f9d8c3
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Mobilité verte : difficile de passer à l’acte, déplorent les Français
ouest-france.fr - Par Franck Dubray
Publié le 12 septembre 2024
Publié le 12 septembre 2024 |
Selon un sondage publié par Les Échos la 5 septembre, le coût des transports décarbonés est un frein « aux comportements vertueux ».
Le « prix élevé des véhicules électriques et le manque de bornes de recharge » sont des freins.
« L’évolution des comportements se heurte au coût et à l’accessibilité des transports décarbonés. » C’est ce que montre le sondage Les Français et la réduction des déplacements à fort impact CO2 réalisé par OpinionWay pour Movin’On et le journal Les Échos, réalisé en ligne en juin 2024. Quant « aux actions du législateur », et aux mesures incitatives des employeurs, ils demeurent des leviers limités.
Des véhicules électriques trop cher
58 % des répondants déplorent « le prix élevé du véhicule électrique », et 35 % « les tarifs excessifs de la SNCF ». 29 % des sondés pointent aussi « la limitation des bornes de recharge », tandis que 21 % jugent insuffisants les « fréquences et [le] maillage des transports collectifs ».
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La France accompagne le Vietnam dans le développement des transports urbains durables
lecourrier.vn - Par Diêu Thuy - CVN
Publié le 11 septembre 2024
L'inauguration de la section surélevée de la ligne ferroviaire urbaine N°3 marque une étape importante dans un projet symbolique pour la coopération franco-vietnamienne dans les transports urbains durables.
La conférence de presse intitulée ''Le savoir-faire français au service de la mobilité durable au Vietnam'' a été organisée par l’ambassade de France mercredi 11 septembre à Hanoï, à l’occasion de l’inauguration de la partie aérienne de la ligne 3 du métro de la capitale.
Lors de l'ouverture de la conférence, l’ambassadeur de France au Vietnam, Olivier Brochet, a informé que la ligne 3 du métro de Hanoï, en service depuis un mois, avait déjà accueilli plus d'un million de passagers. ''C'est un grand succès. C’est pourquoi nous avons souhaité organiser un point presse pour discuter de ce projet majeur de coopération transatlantique'', a souligné le diplomate.
La section surélevée de 8 km de la ligne ferroviaire urbaine N°3, comprenant huit gares, a été mise en service le 8 août. Elle contribue à à réduire les embouteillages et les émissions de CO2 dans la capitale Hanoï. La section souterraine, avec quatre stations supplémentaires, devrait être terminée d'ici 2027.
Cet événement marque une étape importante dans ce projet symbolisant la coopération entre la France et le Vietnam dans le domaine du transport urbain durable.
Une étape importante
Lire la suite : https://lecourrier.vn/la-france-accompagne-le-vietnam-dans-le-developpement-des-transports-urbains-durables/1268879.html
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Chartres : attention à cette offre pour des transports gratuits pendant six mois, c’est une arnaque
lnouvelerepublique.fr - Par La Nouvelle République aec Newsgene
Publié le 13 septembre 2024
Le réseau de transports en commun de la métropole de Chartres alerte les habitants contre une escroquerie sur Facebook. Un faux compte prétend offrir six mois de voyages gratuits, dans le but de dérober les données bancaires des victimes.
Le réseau de transports a été victime d’une usurpation d’identité et la collectivité appelle les usagers à se méfier d’une arnaque. Sur Facebook, une publication frauduleuse dans un groupe promettait aux voyageurs un avantage plus qu’intéressant rapporte l’Écho Républicain.
Un signalement à Facebook
Nommé « Carte des transports publics à Chartres », celui-ci fait croire qu’il est possible d’obtenir « une carte JV Malin pour voyager gratuitement pendant six mois ». Une offre qui s’inscrirait dans une soi-disant « campagne pour soutenir le public après l’augmentation des tarifs », cite le journal local. « Cette publication est une arnaque et les commentaires complètement faux. Surtout ne cliquez pas sur le bouton acheter », alerte le réseau de transports sur son site internet.
En réalité, les malfaiteurs derrière cette escroquerie cherchent à récupérer les données personnelles des victimes, notamment bancaires. Pour les obtenir, le site demande de régler la somme de 2 euros en carte bleue pour avoir accès à l’offre, expliquent nos confrères.
Moyens de paiement
Stabilisation des taux de fraude à un niveau historiquement bas
banquedefrance.fr - Communiqué
Publié le 10 septembre 2024
L’Observatoire souligne l’importance de la lutte engagée contre les procédés d’usurpation d’identité et appelle les utilisateurs à demeurer vigilants
L’année 2023 confirme la progression générale de l’usage des moyens de paiement scripturaux (+ 5,2 % en nombre d’opérations) observée ces dernières années, portée par une adoption dynamique de nouveaux modes de paiement, tels que le paiement par mobile ou le virement instantané, ainsi que par une croissance toujours vigoureuse du commerce en ligne. Cette croissance des flux s’accompagne d’une stabilité du montant total de la fraude, qui reste sous la barre des 1,2 milliard d’euros.
Mise en ligne le 10 Septembre 2024
Ces taux de fraude historiquement bas sur les paiements électroniques attestent de l’efficacité de l’authentification forte et des outils avancés d’appréciation du risque de fraude déployés par les acteurs de marché sous l’impulsion de la réglementation européenne. Toutefois, face au développement de nouvelles techniques de fraude par manipulation de l’utilisateur (dont la fraude au faux conseiller bancaire), l’Observatoire a fait de la lutte contre l’usurpation d’identité sur les réseaux de communication un axe de travail prioritaire. À ce titre, l’Observatoire se félicite de l’implication des opérateurs de téléphonie, désormais représentés en son sein, dans la mise en place de mécanismes innovants visant à protéger les identifiants de communication des professionnels sur leurs réseaux :
Pour en savoir plus : www.observatoire-paiements.fr
Intelligence Artificielle
Tenable lance une solution qui optimise la détection des risques cyber liés à l’IA
solutions-numeriques.com - Par
Publié le 12 septembre 2024
Tenable AI Aware fournit des informations clés sur les expositions cyber dans les applications, bibliothèques et plug-ins IA.
Tenable, la société de gestion de l’exposition au risque cyber, annonce le lancement d’AI Aware, un ensemble de capacités permettant de détecter et d’évaluer rapidement les risques liés à l’intelligence artificielle (IA). Intégré dans la solution de gestion des vulnérabilités Tenable Vulnerability Management, AI Aware fournit des informations clés sur les expositions cyber dans les applications, bibliothèques et plug-ins IA. Cela permet aux entreprises de gérer les risques associés à l’IA sans perturber leurs opérations.
Selon une étude Tenable Research, plus d’un tiers des équipes de sécurité ont observé une utilisation d’applications IA susceptibles d’avoir été provisionnées hors des processus formels. Sur 75 jours entre fin juin et début septembre, Tenable a détecté plus de 9 millions d’instances d’application d’IA sur plus d’un million d’hôtes. Le risque cyber associé à un usage illimité de l’IA est exacerbé par le volume constant des vulnérabilités liées à cette technologie. Tenable Research a identifié et divulgué plusieurs vulnérabilités dans des solutions IA, telles que Microsoft Copilot, Flowise et Langflow.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/communiques/tenable-lance-une-solution-qui-optimise-la-detection-des-risques-cyber-lies-a-lia/
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L'IA, alliée incontournable contre la fraude dans le paiement en ligne
lladn.eu - Par L'ADN Avec Paris Retail Week
Publié le 10 septembre 2024
Depuis la démocratisation d’Internet, le commerce en ligne a connu plusieurs révolutions. Parallèlement, les techniques de fraude ont évolué, s’adaptant aux innovations dans les modes de paiement en ligne. Pour sécuriser au mieux ces transactions, dont l'absence de fiabilité peut être coûteuse pour les commerçants, l’intelligence artificielle peut-elle être utile ? Rencontre avec Arnaud Bodzon, Head of Payment Group chez LVMH.
Arnaud Bodzon est un expert du paiement depuis 20 ans. Depuis 2017, il définit la stratégie des moyens de paiement et de lutte contre la fraude pour le groupe LVMH. Ce poste d’observation privilégié lui permet de suivre les évolutions des pratiques et des attentes des professionnels et des consommateurs.
Cependant, comme tout domaine touchant à l’argent, le paiement en ligne n’échappe pas à la fraude. Si le développement de l’intelligence artificielle et du machine learning a permis d’anticiper et de limiter les risques, certains fraudeurs font preuve d'une grande ingéniosité et sont prêts à tout pour réduire leurs dépenses en exploitant les failles pour escroquer marchands et clients finaux.
Pour Arnaud Bodzon, il est impératif de définir une stratégie commune au sein des différentes directions du groupe pour lequel il travaille afin de mener une lutte efficace contre la fraude. Puisque l’intelligence artificielle devient un outil essentiel dans de nombreux secteurs du retail et de l’expérience client, peut-elle réellement aider à lutter contre la fraude ? Eléments de réponse, avant de plonger plus avant dans le sujet en sa compagnie au cours de la Paris Retail Week.
Quels sont les défis actuels du paiement en ligne ?
Depuis la démocratisation d’Internet, le commerce en ligne a connu plusieurs révolutions. Parallèlement, les techniques de fraude ont évolué, s’adaptant aux innovations dans les modes de paiement en ligne. Pour sécuriser au mieux ces transactions, dont l'absence de fiabilité peut être coûteuse pour les commerçants, l’intelligence artificielle peut-elle être utile ? Rencontre avec Arnaud Bodzon, Head of Payment Group chez LVMH.
Lire la suite : https://www.ladn.eu/tech-a-suivre/ia-alliee-fraude-paiement/
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Intelligence artificielle : OpenAI lance o1, un modèle d’IA doué de « raison »
sudouest.fr - Par SudOuest avec AFP
Publié le 13 septembre 2024
OpenAI progresse vers l’objectif qu’elle s’est fixé de mettre au point une IA « générale », c’est-à-dire une intelligence artificielle semblable à celle des humains
OpenAI, le créateur de ChatGPT, a lancé jeudi o1, un modèle d’intelligence artificielle (IA) générative d’un nouveau genre, capable de raisonner et de répondre à des questions plus complexes, notamment mathématiques, espérant ainsi réduire le risque d’hallucinations. « o1 réfléchit avant de répondre », indique OpenAI dans un communiqué publié en ligne. L’entreprise progresse ainsi vers l’objectif qu’elle s’est fixé de mettre au point une IA « générale », c’est-à-dire une intelligence artificielle mais semblable à celle des humains.
Sam Altman, le patron d’OpenAI, a félicité ses équipes sur X pour ce « nouveau paradigme : une IA capable de raisonner de manière complexe et généraliste ». Il a toutefois précisé que la technologie « est encore imparfaite, encore limitée, et qu’elle semble plus impressionnante à la première utilisation qu’après y avoir passé plus de temps ». La version bêta de o1 a été mise à disposition dès jeudi, pour les utilisateurs payants de ChatGPT dans un premier temps.
Internet des Objets
La Chine s’apprête à promouvoir l’IoT mobile pour une « connectivité intelligente »
eurasiatimes.org - Par Mei-Ling Chen
Publié le 14 septembre 2024
Le ministère chinois de l’Industrie et des Technologies de l’information a dévoilé mercredi un plan visant à favoriser le développement de l’Internet des objets (IoT) mobile pour une « connectivité intelligente », dans le but de stimuler l’offre, les capacités d’innovation et la valeur industrielle du secteur.
Selon le plan, le pays encouragera l’application de l’IoT mobile dans des domaines tels que les véhicules intelligents connectés, les soins de santé et les maisons intelligentes.
Pour les véhicules intelligents connectés, des efforts seront déployés pour favoriser l’application de l’IoT mobile dans des scénarios tels que la surveillance de la conduite et la conduite autonome, et pour réaliser des fonctions telles que l’échange et le partage d’informations, la perception d’un environnement complexe et la prise de décision intelligente.
D’ici 2027, la Chine s’efforcera d’améliorer davantage son écosystème IoT mobile, le nombre de connexions de terminaux IoT mobiles devant dépasser 3,6 milliards, selon le plan.
Le pays prévoit de soutenir la création de plus de cinq pôles industriels IoT mobiles et de mettre en place plus de 10 bases de démonstration de l’industrie IoT mobile d’ici 2027, a-t-il déclaré.
Le plan définit quatre tâches clés, à savoir le renforcement du réseau IoT fondamental, l’amélioration de la capacité d’innovation industrielle, la promotion de l’application intégrée des technologies intelligentes et la promotion d’un environnement de développement favorable.
Lire la suite : https://www.eurasiatimes.org/la-chine-sapprete-a-promouvoir-liot-mobile-pour-une-connectivite-intelligente/
Cybersécurité
Cybersécurité : une nouvelle plateforme pour comprendre les enjeux de la directive « NIS 2 »
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Publié le 10 septembre 2024
Alors que la directive du 14 décembre 2022 dite « NIS 2 » visant à assurer un niveau élevé commun de cybersécurité dans l'ensemble de l'Union européenne doit être transposée en France avant le 17 octobre 2024, une nouvelle plateforme de l'Anssi propose un accompagnement personnalisé sur le sujet.
« Une collectivité sur 10 déclare avoir déjà été victime d’une ou plusieurs attaques au cours des 12 derniers mois, notamment d’hameçonnage à 46 % », selon Cybermalveillance.gouv.fr. C’est dans ce contexte que la directive du 14 décembre 2022 dite « NIS 2 » doit être transposée en France avant le 17 octobre 2024.
Pour mémoire, la première réglementation européenne en matière de cybersécurité a été publiée en 2016 et concernait 300 entités « Opérateurs de services essentiels ». Les communes et les EPCI n’étaient pas concernés jusqu’à maintenant. « La directive NIS 2, qui s’appuie sur les acquis de la directive NIS 1, marque un changement de paradigme », peut-on lire sur le site de l'Anssi. En effet, les administrations publiques seront désormais concernées par la mise en place de nouvelles pratiques en faveur d’une meilleure cybersécurité. Ainsi, certaines mesures seront applicables aux collectivités.
Sur son site, l’Anssi indique qu’elle « communiquera sur la directive NIS 2 tout au long de sa transposition à l’échelle nationale, partageant à l’ensemble des parties prenantes le fruit de ses travaux. » Pour les entreprises et collectivités qui vont être concernées par ces nouvelles règles, un site internet vient d’ouvrir.
Mon Espace NIS 2
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Cybersécurité. Petit inventaire des crimes et délits sur Telegram
courrierinternational.com - Source : Novïa Gazeta Europe
Pédocriminalité, trafic de drogue, terrorisme… Le journal russe en exil “Novaïa Gazeta” s’est intéressé aux spécificités et aux failles de l’application de messagerie instantanée qui ont permis à divers groupes criminels et terroristes de s’y retrouver et de s’y exprimer en toute liberté.
Réservé aux abonnés Lecture 5 min. Publié le 7 septembre 2024 à 13h23
La politique de confidentialité de Telegram a pour principe de ne pas intervenir dans les conversations ou les groupes privés, et ses modérateurs ne peuvent supprimer des contenus que sur les chaînes publiques. Il n’y a donc aucun mécanisme permettant d’éviter la diffusion de contenus illégaux dans des échanges privés.
Les criminels profitent ainsi de la confidentialité de communications qui ne sont pas soumises au contrôle de l’application : les utilisateurs du dark web peuvent créer des chaînes privées et des groupes pour proposer à la vente des armes et de faux documents d’identité. En règle générale, ils postent simplement des publicités avec des photos et des liens qui renvoient sur le dark web, où il est possible de payer en cryptomonnaie.
Telegram a déjà été épinglé à ce sujet – la plateforme a été supprimée de l’App Store pendant vingt-quatre heures en 2018 pour sa complaisance à l’égard de la pédopornographie. Dourov a assuré à Apple qu’il allait prendre des mesures, et l’appli a de nouveau pu être téléchargée dès le lendemain, une fois les contenus incriminés retirés.
Une chaîne est supprimée… Et une autre aussitôt créée
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.courrierinternational.com/article/cybersecurite-petit-inventaire-des-crimes-et-delits-sur-telegram_221628
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Cybersécurité : une directive européenne (NIS-2), en vigueur en octobre 2024, fixe des obligations à 30 000 entreprises et collectivités françaises
francetvinfo - Par Nicolas Arpagian
Face à des cyberattaques en constant développement, l'Europe impose d'importantes exigences de sécurisation pour les entreprises et les collectivités jugées majeures pour l'activité de leur pays. Avec des amendes et la mise en cause des dirigeants.
Publié le 08/09/2024 18:34
Mis à jour le 08 sptembre 2024
À partir d'octobre, l'Europe demande à davantage d'entreprise de garantir leur cybersécurité face aux hackeurs. (MICHAEL DESPREZ / MAXPPP)
Piratages d'hôpitaux, avions cloués au sol, vols de données bancaires ou de fichiers de données personnelles : l'actualité des cyberattaques est permanente et concerne tant les entreprises, les administrations que les collectivités. Et évidemment toujours les particuliers, qu'ils soient salariés clients d'entreprises ou usagers du service public.
En partant de l'idée que les attaques ne pourraient être empêchées, la France a initié avec l'Allemagne en 2016 un texte européen, la directive NIS, qui s'est appliquée en Europe à partir de 2018. Elle a eu pour conséquence en France la désignation comme "opérateurs d'importance vitale" (OIV) d'environ 300 entreprises issues de 12 secteurs d'activité (les télécommunications, les services financiers, l'alimentation, l'énergie, etc.).
Éviter des attaques systèmes qui paralyseraient le pays
Thales
A 50 ans, la carte à puce s’invente une nouvelle vie
lemonde.fr - Par Olivier Pinaud
publié le 09 septembre 2024
A Gémenos et à La Ciotat, Thales développe de nouvelles fonctions dans la banque, les télécoms, l’automobile ou la cybersécurité.
La chaîne de fabrication des modules de carte à puce, à Gémenos (Bouches-du-Rhône), le 16 septembre 2021. PATRICK GHERDOUSSI/DIVERGENCE POUR « LE MONDE »
A première vue, son métier semble moins rock’n’roll que celui de son homonyme, cofondateur des Talking Heads, groupe post-punk culte de la fin des années 1970. Et pourtant, dans sa blouse blanche, David Byrne, directeur de l’innovation et de la production de l’activité identité et sécurité numériques (digital identity and security, DIS) de Thales, secoue, à sa façon, son univers : la carte à puce, dont on vient de fêter, en mars, le 50e anniversaire.
Arrivé en 2013 dans l’usine de Gémenos (Bouches-du-Rhône) où a été industrialisée, par Gemplus, à la fin des années 1980, la technologie inventée en 1974 par Roland Moreno, M. Byrne imagine toute la journée les nouvelles formes que pourrait prendre la carte bancaire. Car celle que l’on dit ringardisée par les applications de paiement mobile reste encore très utilisée : le réseau de cartes bancaires français CB en comptait 77 millions en circulation en 2023 dans l’Hexagone ; dans le monde, plus de 3,3 milliards ont été livrés cette même année, selon le cabinet Eurosmart.
https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/09/09/a-50-ans-la-carte-a-puce-s-invente-une-
Mobilité
Mobilité durable et inclusive : neuf territoires lauréats d'un appel à manifestation d'intérêt
banquedesterritoires.fr - par Anne Lenormand, Locatis
Publié le 5 septembre 2024
À l'issue d'un appel à manifestation d'intérêt (AMI), neuf territoires vont bénéficier d'un soutien du programme Tims
(Lien sortant, nouvelle fenêtre)
(Territoires Insertion Mobilité Sobriété) pour développer "des politiques transversales de mobilité durable et inclusive" selon un communiqué des partenaires du programme diffusé ce 5 septembre. Porté par le réseau Cler, le réseau Mob'in, Auvergne-Rhône-Alpes Énergie Environnement et le Réseau des agences régionales de l'énergie et de l'environnement, le programme Tims, lancé en 2022, est financé par les certificats d'économies d'énergie (CEE) jusqu'à la fin 2026. Il entend encourager des modes de mobilité permettant de réaliser des économies d'énergie et cible tout particulièrement les personnes rencontrant des difficultés dans leurs déplacements, l'objectif étant de leur permettre d'accéder aux services essentiels et d'exercer pleinement leurs droits fondamentaux.
Les territoires lauréats de l'AMI proviennent de sept régions : la communauté de communes Combrailles, Sioule, Morge et l'agence locale du climat et de l'énergie de l'Ain en Auvergne-Rhône-Alpes, le parc naturel régional du Morvan en Bourgogne-Franche-Comté, la communauté de communes de la vallée de Kaysersberg et le département de la Meuse dans le Grand Est, la communauté d'agglomération Lisieux Normandie en Normandie, le parc naturel régional de Millevaches en Nouvelle-Aquitaine, les communautés de communes Piège Lauragais Malepère et Castelnaudary Lauragais Audois avec le conseil départemental de l'Aude en Occitanie et la communauté de communes Erdre et Gesvres avec l'association Alisée dans les Pays de la Loire.
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Île-de-France : qu'est-ce que la "région des 20 minutes" promise par Valérie Pécresse ?
La présidente de la Région Île-de-France veut rapprocher les commerces et services des logements des Franciliens pour qu'ils y soient à 20 minutes maximum.
ParDCorine Goth
Publié le 4 septembre
Après la « ville du quart d’heure » défendue par Anne Hidalgo, place à la « région des 20 minutes » de Valérie Pécresse. Mardi 3 septembre 2024, la présidente de la Région Île-de-France présentait le futur schéma directeur environnemental SDRIF-E qui devrait être adopté le 11 septembre 2024. Au cœur de ce nouveau carnet de bord pour 15 ans, l’objectif de créer la « région des 20 minutes » pour mettre fin « aux banlieues dortoir ».
Décentraliser la région
Pour l’atteindre, le plan prévoit la création de 27 centralités et de 117 polarités qui regrouperont les six grands pôles de services essentiels au quotidien : l’éducation, la santé, la culture, les commerces, les sports et les espaces verts. Pour ça, la Région ne part pas de zéro. « Aujourd’hui, 74 % des Franciliens ont accès en moins de 20 minutes à au moins cinq des six socles définis », expose Nicolas Bauquet, directeur général de l’Institut Paris Région.
Lire la suite : https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/ile-de-france-qu-est-ce-que-la-region-des-20-minutes-promise-par-valerie-pecresse_61565203.html
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Transports dans l’agglo de Vannes : embouteillage de rentrée pour la carte KorriGo
Pbluié le31 août 2024
L’agglomération de Vannes introduit une petite révolution en cette rentrée : le regroupement de tous les abonnements sur un seul support, la carte régionale KorriGo. La demande de cartes est telle qu’un embouteillage s’est créé.
Téléphone intelligent, montre connectée, carte de crédit… En cette rentrée, les bus du réseau Kicéo passent au 100 % numérique. Le carton est presque éliminé - il reste une carte cartonnée pour les déplacements occasionnels. La compagnie de l’agglomération de Vannes lance son nouveau titre de transport pour les abonnés, la carte KorriGo, le sésame pour tout le réseau urbain, interurbain, mais aussi le TER. Elle porte la photo du passager. Malgré une campagne de communication, un embouteillage s’est créé à la fin août, la rentrée scolaire approchant. « On a une dizaine de jours d’attente pour les cartes KorriGo (- de 26 ans et scolaires, NDLR), explique David Daublain, le directeur de Kicéo. On va accélérer la production des cartes en cette rentrée, et en attendant, les chauffeurs accepteront les justificatifs de paiement faute de carte ».
Tarifs inchangés, sauf en espèces
Lire la suite : https://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes-56000/transports-dans-lagglo-de-vannes-embouteillage-de-rentree-pour-la-carte-korrigo-6651571.php
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Avec European Mobility Expo, l’Europe des mobilités se donne rendez-vous à Strasbourg
strasbourg.eu - Communiqué
Du 1er au 3 octobre 2024, l’Eurométropole de Strasbourg est fière d'accueillir European Mobility Expo, le rendez-vous incontournable des acteurs la filière mobilité en Europe. Près de 220 exposants et 11 000 visiteurs de plus de 60 pays sont attendus pour une édition inédite hors de Paris consolidant ainsi la place de Strasbourg, capitale européenne, au cœur des enjeux des mobilités en Europe.
European Mobility Expo
European Mobility ExpoEuropean Mobility Expo est organisée tous les deux ans par le GIE Objectif Transport Public en lien avec le Groupement des Autorités Responsables du Transport (GART) et l’Union des Transports Publics (UTP). Son accueil à Strasbourg offre une opportunité unique de mettre en avant la vocation pionnière et l’expertise du territoire dans les transports en commun, les mobilités actives et les services à la mobilité en particulier.
Installée au Parc des Expositions de Strasbourg et d’accès gratuit, European Mobility Expo offrira un programme varié de conférences en présence d’experts, démonstrations des dernières innovations, expositions, espaces de partenariats et visites techniques autour des acteurs et projets emblématiques du territoire y compris dans sa dimension transfrontalière.
L’Eurométropole de Strasbourg et la Région Grand Est s’associent sur un espace commun où seront présentés leurs politiques de mobilité et projets pour un territoire laboratoire de la transition énergétique et écologique. Les collectivités organiseront de manière continue des animations et des échanges partenariaux centrés sur les enjeux et bonnes pratiques en matière de mobilité.
Informations pratiques
Lire la suite : https://www.strasbourg.eu/european-mobility-expo
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Bourges : la fréquentation des bus à bondi de 80 % grâce à la gratuité du réseau
France Bleu Berry - Par Michel Benoît
Publié le 1 septembre 2024 à 19:24
Il y a un an, les transports en commun de Bourges devenaient gratuits pour les voyageurs. Un vrai succès ! La fréquentation a bondi de 80 %. Une affluence qui pousse Agglobus à renforcer encore son offre en cette rentrée.
Trois grands bus articulés viennent renforcer le réseau en ce lundi 2 septembre. Une mise en service anticipée d'un an pour faire face à l'accroissement du nombre de voyageurs sur le réseau Agglobus : " Ces trois bus articulés devaient à l'origine remplacer des bus standards ; finalement on les a acquis avec un an d'avance et ils viennent s'ajouter à la flotte existante, précise Jean-Michel Guérineau, président d'Agglobus. On a donc aujourd'hui un parc de 60 bus en service dont 11 bus articulés, très utiles notamment aux heures de pointe. Je rappelle toujours le plan que nous avons défini quand on a décidé d'augmenter le versement mobilité acquitté par les entreprises à partir de 11 salariés : un tiers finance la gratuité pour les voyageurs ; un tiers finance l'augmentation de l'offre. On injecte d'ailleurs 700.000 euros supplémentaires avec l'augmentation de l'offre en cette rentrée. Et le dernier tiers, sert à renforcer l'infrastructure du réseau avec la mise en place progressive du Bus à Haut Niveau de Service." Le versement mobilité est à présent au maximum sur l'agglomération de Bourges à 2 % de la masse salariale.
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/infos/transports/bourges-la-frequentation-des-bus-a-bondi-de-80-grace-a-la-gratuite-du-reseau-7939090
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Le RTC invite les citoyens à adopter la mobilité intégrée
rtcquebec.ca - Communiqué
Défi sans auto solo
Publié le 30 août 2024
Québec, le 30 août 2024 – Dans le cadre du Défi sans auto solo, le Réseau de transport de la Capitale (RTC), en collaboration avec Communauto, invite les citoyens de Québec à participer à un rallye d’une demi-journée visant à tester la mobilité intégrée. L’événement, qui se tiendra du 17 au 20 septembre, sera l’occasion pour quatre équipes de parcourir un itinéraire comprenant six destinations en utilisant le service d’autobus du RTC, le service de vélo-partage à assistance électrique àVélo, le transport à la demande Flexibus et Communauto.
Chaque équipe sera constituée d’un habitué des services du RTC et d’une personne à initier. Le Service d’accompagnement à la mobilité intégrée (SAMI) servira de point de départ et d’arrivée pour les participants, qui parcourront tant le centre-ville que la couronne nord de l’agglomération. La période d’inscription au rallye est en cours sur la plateforme Voie libre du RTC et se poursuivra jusqu’au 5 septembre, après quoi les participants retenus seront contactés.
En plus de faire découvrir les services et outils de planification, de paiement et de réservation du RTC et de Communauto à de nouveaux clients et de les encourager à réduire leur utilisation de l’auto solo, le défi permettra de documenter l’expérience client en contexte de mobilité intégrée. Cette information servira au RTC dans ses démarches pour développer une offre intégrée de services en mobilité.
« Le RTC poursuit ses efforts d’innovation pour développer la mobilité intégrée à Québec et répondre encore plus efficacement aux besoins des citoyens en matière de déplacements. En effet, le rallye nous placera aux premières loges de l’expérience des participants qui testeront la combinaison de quatre moyens de transport. Leurs témoignages nous permettront de bien nous préparer à la prochaine étape en termes de mobilité intégrée et du lancement futur de la nouvelle plateforme numérique, qui regroupera l’ensemble des services de mobilité urbaine offerts sur le territoire de la communauté métropolitaine de Québec », souligne la présidente du RTC, Maude Mercier Larouche.
Lire la suite : https://www.rtcquebec.ca/medias/communiques/le-rtc-invite-les-citoyens-adopter-la-mobilite-integree
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Mobilité urbaine, région parisienne
Évènement
25 novembre à 10 h 00 min – 26 novembre à 16 h 30 min
Le Cerema, en partenariat avec la Fédération nationale des agences d’urbanisme (Fnau), organise les journées d’échanges sur la mobilité urbaine les 25 et 26 novembre 2024 à l’Université Gustave Eiffel (Champs-sur-Marne). Cette neuvième édition est centrée sur la connaissance des mobilités pour élaborer des politiques décarbonées, sobres et solidaires.
Au cours de ces deux journées, les échanges et présentations porteront sur :
De nouveaux outils d’observation seront présentés pour évaluer la vulnérabilité des ménages aux coûts de l’énergie et l’interaction entre mobilité et santé.
Lire la suite : https://www.isabelleetlevelo.fr/evenement/mobilite-urbaine-region-parisienne/
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Mobility Corporate : une carte pour couvrir 100% des besoins de mobilité professionnelle.
bfmtv.com - En partenariat avec TotalEnergies
Les salariés français dépenseraient en moyenne 2 525 € de notes de frais par an. Des frais professionnels élevés qui entraînent des lourdeurs de traitements administratifs et mobilisent du temps et de l’argent à l’entreprise. C’est pourquoi TotalEnergies a créé la carte Mobility Corporate capable de centraliser et gérer toutes les dépenses et simplifier les déplacements professionnels. Présentation.
Si le principe de note de frais est entré dans les usages professionnels, force est de constater qu’il n’est pas des plus pratiques, ni pour le collaborateur qui doit avancer et saisir toutes les factures, ni pour l’entreprise qui doit les traiter. En moyenne, on estime le coût de traitement d’une note de frais à 53€ selon une étude Traveler 360° publiée par American Express GBT en 2018. Il existe pourtant aujourd’hui des solutions afin de faciliter ces démarches et réduire les coûts. La carte Mobility Corporate de TotalEnergies fait partie des plus accessibles et efficaces dans le domaine.
Qu’est-ce que la carte Mobility Corporate ?
Blockchain
La Banque de France et le Campus Cyber s’allient sur la sécurité de la blockchain
zdnzt.fr - Par Christophe Auffray
Publié le 06 septembre 2024
Les deux organisations poursuivent leur association autour de la sécurisation de la finance décentralisée. Dans le cadre de la Mission Smart un nouveau défi est lancé pour identifier une solution open-source destinée à sécuriser les smart contracts.
Les cryptomonnaies, dont Bitcoin, ne sont pas les seules applications possibles de la blockchain dans l’univers de la finance.
Recevez le meilleur de l'actualité Cybersécurité chaque semaine dans votre boîte mail.
Les acteurs institutionnels, dont les banques centrales, s’intéressent eux aussi au potentiel de cette technologie.
La tokenisation pourrait ainsi représenter la prochaine transformation majeure du secteur. Mais s’il y a un domaine dans lequel la finance décentralisée continue de susciter d’importantes réserves, c’est celui de la sécurité.
Le smart contract rouage essentiel de la blockchain
Pour apporter des réponses concrètes à ces défis, deux institutions françaises collaborent : la Banque de France et le Campus Cyber. Cette collaboration a été initiée quelques mois auparavant au travers de l’initiative Mission Smart.
En partenariat, la banque centrale française et le Campus lançaient un appel à solutions axé sur la protection des smart contracts, un composant essentiel des usages de la blockchain pour l’industrie de la finance.
Banque de France et Campus Cyber s’attaquent à présent au second round de la Mission Smart par le biais d’un nouvel appel à projets. Étudiants et startups sont invités à participer au “défi” visant à développer une solution open source.
Une solution open source de sécurité
L’application attendue devra spécifiquement porter sur la sécurisation des smarts contracts. Quant au choix de l’open source, il est justifié par la volonté de faire bénéficier “l'ensemble de l'écosystème des enseignements et des avancées réalisés dans ce domaine.”
Les candidats au challenge ont jusqu’au 22 septembre pour déposer leur dossier auprès du Lab de la Banque de France. Les participants auront ensuite jusqu’au 1 janvier 2025, soit 3 mois, pour développer leur solution.
Les trois meilleurs dossiers accéderont à un programme d’incubation d’un an au sein du CyberBooster, “le 1er incubateur français dédié à la cybersécurité”. Depuis sa création en décembre 2021, le CyberBooster a accompagné plus de 30 startups de la cybersécurité.
Un cadre de confiance pour la finance
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/la-banque-de-france-et-le-campus-cyber-sallient-sur-la-securite-de-la-blockchain-396611.htm
Services publics
3e campagne de participation citoyenne 2024 : les citoyens invités à contribuer aux travaux des juridictions financières
comptes.fr - Communiqué
Publié le 02 septembre 2024
La troisième édition de la campagne de participation citoyenne se déroulera du lundi 2 septembre au vendredi 4 octobre. Pendant un mois, tous les citoyens âgés d’au moins 15 ans pourront proposer des thèmes de contrôle à la Cour et aux chambres régionales et territoriales des comptes (CRTC). Cette campagne s’inscrit dans la continuité du projet stratégique de modernisation de l’institution « JF 2025 » porté par Pierre Moscovici, Premier président. Elle vise à associer les citoyens à la planification des travaux des juridictions financières, en les impliquant en tant qu’usagers, contribuables, électeurs ou acteurs de la vie publique. L’objectif de cette initiative est également de sensibiliser à l’importance de la transparence, de l'efficacité de l'action publique et de la responsabilité dans la gestion des fonds publics.
Bilan des consultations citoyennes 2022-2023
En 2022, plus de 9 000 citoyens avaient participé à cette consultation en soumettant ou en soutenant des propositions. À la suite de cette campagne, 6 rapports avaient été choisis par la Cour, dont 5 d’entre eux ont été rendus publics : le recours par l’État à des cabinets de conseil privé, l’évaluation de l’efficacité et la détection de la fraude fiscale des particuliers, les soutiens publics aux fédérations de chasseurs, l’égalité entre les femmes et les hommes et l’intérim médical et la permanence des soins. Enfin, dans le courant du mois de septembre, deux nouveaux rapports d’initiative citoyenne paraîtront, respectivement consacrés à l’école inclusive et à l’Office national des forêts face au défi de la transition écologique.
En 2023, l’exercice de démocratie participative avait été élargi aux champs de compétences des CRTC ainsi qu’aux 15-18 ans, qui disposent désormais de la majorité numérique (loi du 7 juillet 2023). Ces évolutions avaient permis d’amplifier la dynamique de la plateforme : plus de 19 000 citoyens avaient en effet participé à cette 2e consultation.
À l’issue de cette campagne, 25 thèmes avaient été retenus – 10 par la Cour et 15 par les CRTC.
Lancement de la troisième campagne de participation citoyenne
Lire la suite : https://www.ccomptes.fr/fr/communiques-presse/3e-campagne-de-participation-citoyenne-2024-les-citoyens-invites-contribuer-aux
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L'accès aux services publics, parmi les priorités du nouveau Premier ministre Michel Barnier
Matignon
Avec la nomination, jeudi 5 septembre, de l’ancien ministre et commissaire européen Michel Barnier au poste de Premier ministre, Emmanuel Macron tente de mettre fin à une crise politique sans précédent et qui dure depuis près de deux mois. Le nouveau venu à Matignon a évoqué, ors de la cérémonie de passation de pouvoir, sa volonté d'oeuvrer en faveur de l'accès aux services publics.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://acteurspublics.fr/articles/michel-barnier-un-premier-ministre-de-droite-issu-du-serail
Intelligence artificielle
L'intelligence artificielle se transforme doucement en monstre consanguin complètement débile
lori.slate.fr - Par Alice Belkacem
Publié le 1er septembre 2024
Déjà qu'elle n'était pas fiable, l'IA est maintenant entrée dans un cercle vicieux qui lui fait dire n'importe quoi.
Repéré sur Futurism, The New York Times
L'intelligence artificielle (IA) serait en train de semer les graines de sa propre destruction, explique le média en ligne Futurism. De plus en plus de recherches, comme l'écrit Aatish Bhatia pour le New York Times, ont dégagé une tendance inquiétante: l'entraînement des modèles d'IA sur du contenu généré par l'IA elle-même. Ce phénomène a été surnommé «Habsburg AI» par le chercheur Jathan Sadowski, car il rappelle les effets négatifs de la consanguinité au sein de la dynastie des Habsbourg, l'historique famille royale européenne de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance.
Les modèles d'IA ont besoin de grandes quantités de données pour s'améliorer et celles-ci sont souvent extraites du web. Néanmoins, la prolifération du contenu généré par l'IA sur internet rend de plus en plus difficile le fait d'éviter d'entraîner ces modèles sur des données artificielles, ce qui pourrait nuire à leur efficacité. Le serpent se mord la queue.
Des absurdités à répétition
Basé au Royaume-Uni et au Canada, un groupe de scientifiques a étudié le problème en demandant aux modèles d'IA de compléter la phrase suivante: «Pour cuisiner une dinde pour Thanksgiving, vous…» La première réponse était normale, mais au bout de la quatrième, le modèle a commencé à dire n'importe quoi: «Pour cuisiner une dinde pour Thanksgiving, vous devez savoir ce que vous allez faire de votre vie, si vous ne savez pas ce que vous allez faire de votre vie, si vous ne savez pas ce que vous allez faire de votre vie…» De quoi se remettre en question sans jamais passer à table.
Lire la suite : https://korii.slate.fr/tech/intelligence-artificielle-transforme-monstre-consanguin-debile-entrainement-modeles-ia-generative-contenu-donnees
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Intelligence artificielle : ce nouvel outil pourrait « sauver des vies » en anticipant les séismes
ouest-France.fr - avec agence
Publié le 4 septembre 2024
Deux chercheurs ont annoncé mercredi 28 août 2024 avoir développé un outil d’intelligence artificielle capable d’identifier de gros séismes jusqu’à trois mois avant leur arrivée. Pour ce faire, l’algorithme détecte les signes précurseurs dans les données sismiques de la région. Cette méthode devrait être prochainement testée en conditions réelles.
Le séisme de Ridgecrest, en Californie (États-Unis), en 2019, a été étudié par deux chercheurs pour mettre au point un outil d’intelligence artificielle capable d’identifier de gros séismes jusqu’à trois mois avant leur arrivée. Dans le cas d’une catastrophe naturelle, tout est une question de temps. Plus l’anomalie est détectée tôt, plus on peut limiter le risque pour les populations. À ce sujet, deux chercheurs ont présenté dans la revue Nature Communications , mercredi 28 août 2024, une nouvelle méthode de détection des tremblements de terre basée sur l’intelligence artificielle.
Des signes avant-coureurs
« Notre article démontre que des techniques statistiques avancées, en particulier l’apprentissage automatique, peuvent permettre d’identifier les signes précurseurs de tremblements de terre de grande magnitude », a expliqué Társilo Girona, géophysicien et professeur assistant à l’Institut de géophysique de l’UAF. Ce scientifique des données a travaillé avec Kyriaki Drymoni, géologue à l’université Louis-et-Maximilien de Munich (Allemagne).
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L’intelligence artificielle rendra-t-elle l’industrie verte ?
usbeketrica.com - par Bpifrance Le Hub
Publié le 4 septembre 2024
L’industrie figure parmi les plus gros émetteurs de CO2 au monde. L’intelligence artificielle peut-elle assister le secteur dans sa transition écologique ? Sous quelles conditions et pour quelles applications ? C’était tout l’objet de la deuxième session des Look’Up du Hub, une série d’événements organisés par Bpifrance Le Hub, le 10 juillet dernier.
« Si on relocalise un milliard (d’euros) de valeur ajoutée sur les quelque 2 000 milliards que représente le PIB français, introduit François-Xavier de Thieulloy, Directeur pôle Expertise Bpifrance, l’émission d’environ 740 000 tonnes de CO2 sera évitée ». En cette matinée de juillet, au 4e étage des bureaux du Boulevard Haussmann de Bpifrance, sont réunis des experts de l’industrie et de l’intelligence artificielle. Deux heures durant, ces derniers interrogeront la pertinence d’avoir recours à l’intelligence artificielle pour verdir l’industrie française.
Un mariage possible ?
D’entrée de jeu, abordons le sujet qui fâche : la compatibilité des termes « intelligence artificielle » et « industrie verte ». L’association n’est pas évidente. Depuis 2021, les modèles d’IA générative se font une guerre couverte à coups de paramètres et de volume de données. Pour se développer, l’IA générative consomme des quantités de données colossales. On estime ainsi que l’entraînement de GPT-3 aurait émis autant de CO2 qu’un aller-retour en voiture de la Terre à la Lune. Une seule requête avec ChatGPT nécessite jusqu’à 10 fois plus de puissance qu’une recherche en ligne sur Google.
« Il est tout à fait possible de concevoir une intelligence artificielle qui ne consomme quasi rien »
Plus que la technologie elle-même, c’est l’utilisation qu’on en fait qui est préoccupante. L’IA générative a connu l’adoption la plus rapide de l’histoire des technologies. ChatGPT compterait aujourd’hui plus de 100 millions d’utilisateurs. « Et si 100 millions d’utilisateurs y ont recours tous les jours, ça commence à faire beaucoup, commente Théo Alves Da Costa, Head of AI for Sustainability & Climate d’Ekimetrics. Et ça va en s’empirant : la version gratuite de ChatGPT accuse une empreinte carbone multipliée par 25 ». C’est une question de design. « Il est tout à fait possible de concevoir une intelligence artificielle qui ne consomme quasi rien » et qui serve les besoins de l’industrie.
50 nuances d’algorithmes
Lire la suite : https://usbeketrica.com/fr/article/l-intelligence-artificielle-rendra-t-elle-l-industrie-verte
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Le rôle de l’IA dans la décarbonation des transports
bigmedia.bpifrance.fr - Nos dossiers
Publié le 4 septembre 2024
Plongez dans la mobilité de demain avec l’intelligence artificielle. Découvrez comment l’IA transforme les trajets, diminue les coûts et ouvre la voie à une mobilité urbaine plus verte et intelligente.
Avec 130,5 millions de tonnes équivalent CO2 émises en 2022, le secteur des transports reste le premier contributeur aux émissions de gaz à effet de serre (GES) en France (32 %) (Source : Notre-Environnement). Face à l’urgence climatique, l’IA propose des solutions innovantes pour optimiser la gestion du trafic, améliorer l’efficacité énergétique des flottes de véhicules et transformer notre manière de nous déplacer.
Importance de la décarbonation dans le secteur des transports
Le travail de décarbonation doit diminuer l’impact environnemental des transports tout en répondant aux besoins croissants de mobilité. L’Union européenne projette de réduire ses émissions nettes de gaz à effet de serre d’au moins 55 % d’ici 2030 (Source : Ecologie.gouv). L’alliance IA/transports joue un rôle clé dans cette transition.
Les technologies d’IA appliquées aux transports
L’intelligence artificielle (IA) révolutionne le secteur avec des technologies comme les véhicules autonomes, la gestion en temps réel du trafic ou la maintenance prédictive. Ces technologies transforment profondément la manière dont nous nous déplaçons.
La voiture autonome : l’avenir de la conduite individuelle ?
Les voitures autonomes représentent l’avenir de la mobilité individuelle. En France, des entreprises comme Navya développent des véhicules autonomes capables d’améliorer la fluidité du trafic ou de réduire les émissions de CO2 en optimisant les trajets. Ces véhicules s’adaptent en temps réel aux conditions de circulation. Ils limitent les embouteillages ou les arrêts inutiles, deux facteurs majeurs de pollution.
Une récente Étude du MIT (Source : MIT) souligne un risque majeur : la puissance informatique nécessaire pour le fonctionnement de ces véhicules intelligents pourrait, à terme, générer autant de CO2 que tous les data centers mondiaux. Si le rythme actuel de décarbonation de l’énergie ne s’accélère pas, ces véhicules risquent d’aggraver le bilan carbone global.
Lire la suite : https://bigmedia.bpifrance.fr/nos-dossiers/le-role-de-lia-dans-la-decarbonation-des-transports
Internet des Objets
Près de 19 milliards d’appareils IoT connectés prévus pour 2024
BtB / IOT / Entreprise
Servicesmobiles.fr - Par Christophe
Publié le 4 septembre 2024
Préparez-vous à un futur hyper-connecté : le nombre d'appareils IoT devrait atteindre le chiffre impressionnant de 19 milliards en 2024!
Un ralentissement anticipé dans la croissance des appareils IoT connectés
La firme de recherche IoT Analytics prédit une légère baisse du taux de croissance du nombre d’appareils connectés pour le secteur en 2024. Cette prédiction est motivée par le fait que les entreprises surveillent de plus près leurs dépenses en raison de divers aléas mondiaux.
Prévision du nombre d’appareils connectés
IoT Analytics estime que le nombre d’appareils IoT connectés atteindra les 18,8 milliards d’ici la fin de l’année, en hausse par rapport aux 16,6 milliards en 2023. Cela se traduirait par une croissance annuelle de 13 % en 2024, comparativement à 15 % en 2023.
Facteurs influant sur la croissance du nombre d’appareils
IoT Analytics indique que les entreprises sont prudentes en matière de dépenses en raison de « l’inflation élevée et des taux d’intérêt », bien que ces derniers commencent à se modérer. Parmi les autres facteurs ayant un impact sur la croissance du nombre d’appareils, on peut citer :
Définition des appareils IoT connectés par IoT Analytics
Lire la suite : https://www.servicesmobiles.fr/pres-de-19-milliards-dappareils-iot-connectes-prevus-pour-2024-100458
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Kinéis poursuit son déploiement de satellites pour l’IoT
Publié le 4 septembre 2024
L’opérateur satellitaire français Kinéis continue à renforcer sa position sur le marché de l’Internet des Objets (IoT) avec le déploiement de sa constellation de 25 nanosatellites. Après un premier lancement réussi en juin 2024, la société s’apprête à placer cinq nouveaux satellites en orbite lors d’un second lancement prévu entre le 17 et le 30 septembre 2024. Baptisée « Kinéis Killed the RadIoT Star », l’opération marque une étape cruciale dans l’extension de cette constellation destinée à révolutionner la connectivité IoT, et donc probablement à terme nos maisons connectées.
Kinéis tient la cadence avec déploiement soutenu
Fondée en 2018, Kinéis est une entreprise toulousaine du secteur spatial spécialisée dans l’Internet des Objets. Avec 25 satellites en orbite, la société vise à connecter des objets partout sur le globe en quasi-temps réel. Forte de plus de quarante ans d’expertise dans la collecte de données depuis l’espace, héritée du CNES et de CLS, ses principaux actionnaires, Kinéis entend révolutionner le secteur.
Respectant son calendrier de déploiement, ce deuxième lancement, prévu depuis la Nouvelle-Zélande avec le lanceur Electron de Rocket Lab, démontre la capacité de la société à gérer simultanément plusieurs satellites en orbite. Alexandre Tisserant, Président de Kinéis, a souligné l’importance de ce lancement pour consolider le succès du premier, en ajoutant que l’entreprise est désormais prête à relever les défis techniques associés à la gestion de ces dix satellites.
Lire la suite : https://www.lesalexiens.fr/actualites/kineis-poursuit-son-deploiement-de-satellites-pour-liot/
Détection
Huawei et ses partenaires testent avec succès une nouvelle solution de détection des incendies en Grèce
Publié le 4 septembre 2024
prnewsware.com - Huawei
ATHÈNES, Grèce - Huawei et ses partenaires, l'Université nationale et capodistrienne d'Athènes (NKUA) et la startup PROBOTEK, ont testé avec succès un système de prévention des incendies de forêt en Grèce.
Les partenaires ont testé le système de détection en temps réel à l'aide d'une simulation de fumée et d'incendie. Développée dans le cadre de l'initiative TECH4ALL de Huawei, la solution permettra aux services d'urgence de réagir en 15 minutes aux incendies de forêt potentiels, délai dans lequel les risques d'incendie peuvent être contrôlés au mieux.
« Au cours des 20 dernières années, Huawei a lancé des technologies de pointe en Grèce, croyant au pouvoir de l'innovation pour protéger l'environnement, préserver la biodiversité et assurer la sécurité des citoyens et de leurs biens », déclare Ren Fujun, CEO pour la région Europe du Sud-Est, Huawei.
Avec des étés chauds, secs et venteux, la Grèce continentale et ses îles sont très exposées aux incendies de forêt de grande ampleur. Compte tenu de l'impact du changement climatique, les incendies en Grèce augmentent en nombre et en fréquence chaque année, causant un impact potentiellement permanent sur les écosystèmes naturels et posant un risque accru de pertes humaines et de dommages matériels.
RGPD
Données personnelles : Uber écope d’une amende de 290 millions d’euros
décideurs-magazine.com - Par Anne-Laure Blouin
Publié le 1 septembre 2024
L’autorité néerlandaise de protection des données vient de prononcer une amende de 290 millions d’euros à l’encontre d’Uber. L’entreprise de VTC a envoyé certaines données personnelles de ses chauffeurs aux États-Unis sans respecter les garanties instaurées par le RGPD.
C’est une victoire pour l’avocat spécialiste en IP/IT Numérique Jérôme Giusti. Sur le réseau professionnel LinkedIn, il se félicite de la décision de l’autorité néerlandaise de protection (DPA) des données qui condamne Uber à une “amende record” de 290 millions d’euros. Faits reprochés à l’entreprise de la Silicon Valley : avoir transféré des millions de données personnelles appartenant à ses chauffeurs en dehors de l’Union européenne sans aucune garantie de confidentialité.
Pendant plus de deux ans, entre le 6 août 2021 et le 21 novembre 2023, Uber a envoyé à son siège américain des informations relatives aux comptes et aux licences de taxi, des données de localisation, des photos, des informations de paiement, des documents d'identité, et parfois des données criminelles et médicales des chauffeurs
Lire la suite : https://www.decideurs-magazine.com/droit/59088-donnees-personnelles-uber-ecope-d-une-amende-de-290-millions-d-euros.html
Cybersécurité
Les entreprises allemandes touchées par le coût de la cybercriminalité approchant 300B€
Servicesmobiles.fr - Par Christophe
Par Christophe publié le 31 août 2024
Publié le 31 août 2024
Découvrez comment les entreprises allemandes sont frappées par les coûts de la cybercriminalité, approchant les 300 milliards d'euros - un chiffre stupéfiant qui soulève de graves questions de sécurité.
Le cybercrime menace l’économie allemande
L’essor du cybercrime a fait perdre environ 267 milliards d’euros aux entreprises allemandes au cours des 12 derniers mois, selon une étude de l’association numérique Bitkom. La majorité des entreprises prévoit une augmentation des attaques d’ici 2025.
Une augmentation des coûts et des attaques
Une enquête menée auprès de 1000 entreprises allemandes de divers secteurs a révélé une hausse des coûts de 29% par rapport aux 205,9 milliards d’euros enregistrés au cours de la même période en 2023. Les menaces incluent non seulement le vol de données, y compris les détails sur les clients et les informations d’accès telles que les mots de passe, mais aussi « des actes de sabotage et le crime organisé, ainsi que l’espionnage ».
Lire la suite : https://www.servicesmobiles.fr/les-entreprises-allemandes-touchees-par-le-cout-de-la-cybercriminalite-approchant-300be-100367
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Les enfants vont-ils bien ? Comment les autorités européennes veulent lutter contre le piratage informatique impliquant des enfants
observatoiredeleurope.com - Par Jean Delaunay
Publié le 1 septembre 2024
Les pays européens recherchent de nouvelles façons de lutter contre le piratage informatique impliquant des mineurs, en privilégiant de plus en plus les programmes de réhabilitation et de prévention.
Les politiques mises en place pour lutter contre la cybercriminalité croissante varient d’un pays à l’autre. Certains pays prévoient des sanctions sévères pour le piratage informatique illégal, mais avec autant de pirates informatiques âgés de moins de 30 ans, une vie derrière les barreaux est-elle vraiment la réponse à la montée de la cybercriminalité ?« La cybercriminalité ne connaît pas de tranche d’âge », explique Mike Jones, un ancien hacker connu sous le pseudonyme H4UNT3D Hacker, « et malheureusement, les enfants étant naïfs et vulnérables, ils constituent la majorité des personnes qui se retrouvent dans ce groupe de cybercriminels. » Alors que de nombreux États-nations hésitent à envoyer des délinquants souvent naïfs en prison, de nombreux pays se tournent désormais vers la réhabilitation et la prévention. Les services de police et les agences criminelles de toute l’Europe mettent en place des programmes pour orienter les jeunes délinquants vers des formes légales et souvent bien rémunérées de piratage informatique.
En rapport
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Piratage de SFR : Les données personnelles de 55.000 particuliers et entreprises volées par des cybercriminels
20minutes.fr - Avec Agence
Publié le 5 septembre 2024
GROS COUP • Les cybercriminels du French Hackers Squad ont affirmé fin août avoir en leur possession les informations confidentielles piratées dans 55.000 dossiers en ligne des clients de SFR
Piratage de SFR : Les données personnelles de 55.000 particuliers et entreprises volées par des cybercriminelsstales des abonnés, détaille Frandroid ce mercredi.
We're giving you a chance to make your websites a little more secure. If in 60 days' time we see that you haven't changed your authentication systems, we'll keep on attacking you.
— French Hackers Squad (@FrenchHackSquad) August 27, 2024
Des particuliers et des entreprises ont été visés. Les membres de French Hackers Squad ont expliqué avoir pu accéder aux données en entrant dans la base SFR un mot de passe et un login qu’ils ont communiqué. Les hackers ont assuré vouloir laisser une chance à l’entreprise en lui laissant 60 jours pour « rendre ses sites Web un peu plus sécurisés ». Au-delà de ce délai, « nous continuerons à vous attaquer », ont prévenu les pirates.
Des particuliers et des entreprises ont été visés. Les membres de French Hackers Squad ont expliqué avoir pu accéder aux données en entrant dans la base SFR un mot de passe et un login qu’ils ont communiqué. Les hackers ont assuré vouloir laisser une chance à l’entreprise en lui laissant 60 jours pour « rendre ses sites Web un peu plus sécurisés ». Au-delà de ce délai, « nous continuerons à vous attaquer », ont prévenu les pirates.
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/high-tech/4108511-20240905-piratage-sfr-donnees-personnelles-55-000-particuliers-entreprises-volees-cybercriminels
Thales
THALES PILOTERA LE PROJET DE RECHERCHE DECOR VISANT À TESTER DES SOLUTIONS POUR RÉDUIRE L’IMPACT DES OPÉRATIONS AÉRIENNES SUR L’ENVIRONNEMENT
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 05 septembre 2024
Le secteur du transport aérien a mis en place un plan de grande envergure pour éliminer ses émissions et atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Pour soutenir cette transformation environnementale en France, la DGAC a lancé le projet DECOR, financé par le plan d'investissement « France 2030 », afin de promouvoir des opérations aériennes plus respectueuses de l'environnement.
Thales, à la tête de ce projet sponsorisé par la DSNA et soutenu par EUROCONTROL, travaille en partenariat avec Airbus, Air France, Amelia, Atmosphere, CERFACS, CGX AERO, FRACS et l'ONERA. Le projet novateur DECOR a pour objectif de créer de nouvelles solutions numériques et d’optimiser celles existantes afin de réduire l'empreinte sur l’environnement de l'industrie du transport aérien d’ici 2025, en optimisant les trajectoires de vol et en gérant de manière plus efficace les flux du trafic aérien.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/thales-pilotera-le-projet-recherche-decor-visant-tester-des
Mobilité
Avec European Mobility Expo, l’Europe des mobilités se donne rendez-vous à Strasbourg
Du 1er au 3 octobre 2024, l’Eurométropole de Strasbourg est fière d'accueillir European Mobility Expo, le rendez-vous incontournable des acteurs la filière mobilité en Europe. Près de 220 exposants et 11 000 visiteurs de plus de 60 pays sont attendus pour une édition inédite hors de Paris consolidant ainsi la place de Strasbourg, capitale européenne, au cœur des enjeux des mobilités en Europe.
European Mobility Expo
European Mobility ExpoEuropean Mobility Expo est organisée tous les deux ans par le GIE Objectif Transport Public en lien avec le Groupement des Autorités Responsables du Transport (GART) et l’Union des Transports Publics (UTP). Son accueil à Strasbourg offre une opportunité unique de mettre en avant la vocation pionnière et l’expertise du territoire dans les transports en commun, les mobilités actives et les services à la mobilité en particulier.
Installée au Parc des Expositions de Strasbourg et d’accès gratuit, European Mobility Expo offrira un programme varié de conférences en présence d’experts, démonstrations des dernières innovations, expositions, espaces de partenariats et visites techniques autour des acteurs et projets emblématiques du territoire y compris dans sa dimension transfrontalière.
L’Eurométropole de Strasbourg et la Région Grand Est s’associent sur un espace commun où seront présentés leurs politiques de mobilité et projets pour un territoire laboratoire de la transition énergétique et écologique. Les collectivités organiseront de manière continue des animations et des échanges partenariaux centrés sur les enjeux et bonnes pratiques en matière de mobilité.
Informations pratiques
European Mobility Expo : du 1er au 3 octobre 2024 au Parc des Expositions de Strasbourg
Programme et inscriptions sur le site European Mobility Expo
Lire sur : https://www.strasbourg.eu/european-mobility-expo
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Semaine Européenne de la Mobilité 2024
iledefrance-mobilites.fr - Communiqué
Publié le 29 août 2024
Du 16 au 22 septembre 2024, les équipes de votre territoire viennent à votre rencontre à l’occasion de la Semaine Européenne de la Mobilité.
Les équipes de votre territoire de Vallée de Montmorency viennent à votre rencontre, à l’occasion de la Semaine Européenne de la Mobilité, du 16 au 22 septembre 2024, pour vous renseigner sur l’offre de transport de vos lignes de bus.
Nous vous donnons rendez-vous le mardi 17 septembre de 15h à 17h en gare d'Ermont Eaubonne
Nos équipes seront également ravies de répondre à vos interrogations ou demandes d’informations sur les titres de transport et services proposés sur le territoire de Vallée de Montmorency.
Nous vous attendons nombreuses et nombreux !
Lire la suite : https://www.iledefrance-mobilites.fr/actualites/locales/detail/semaine-de-la-mobilite-montmorency
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Mobilité en 2050 : le scénario le plus probable n’est pas le plus apprécié
auto-infos.fr - par Clotilde Gaillard
Publié le 30 août /2024
Une étude menée par la Fabrique de la Cité et l’ObSoCO (l’Observatoire Société et Consommation) s’est intéressée à la vision que les Français ont de la mobilité à l’horizon 2050. Il en ressort trois scénarios possibles dont le plus vraisemblable, celui « techno », ne serait pas le plus plébiscité.
À quoi ressembleront nos déplacements dans 25 ans ? C’est la question que soulève une enquête de la Fabrique de la Cité et de l’ObSoCO (l’Observatoire Société et Consommation) réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 4 000 Français de 18 à 75 ans. Dans un contexte où presque 7 sondés sur 10 (69 %) jugent la situation environnementale alarmante ou très préoccupante, 66 % estiment que les habitudes et les comportements doivent évoluer au regard de ces enjeux écologiques.
Un rythme de transition qui apparaît toutefois bien trop rapide pour deux tiers des Français interrogés (73 %), dont un ratio similaire (76 %) imagine également que leurs déplacements seront, à l’avenir, de plus en plus contraints. Néanmoins, seuls 41 % des sondés croient que la limitation des trajets permettra de répondre aux enjeux environnementaux, soit autant que de personnes affirmant que « la réponse aux enjeux environnementaux ne doit en aucun cas restreindre les libertés individuelles ». Clivante aussi la question de la technologie comme solution durable aux enjeux écologiques, jugée efficace pour 37 % et insuffisante pour 35 % des répondants.
Trois pistes d’anticipation pour un futur qui s’annonce innovant
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/mobilite-en-2050-le-scenario-le-plus-probable-n-est-pas-le-plus-apprecie.283500
Un tiers (33 %) des Français participant à l’étude aimeraient se déplacer moins en 2050, tout en ayant les capacités d’aller plus loin (pour 41 %).
Une étude menée par la Fabrique de la Cité et l’ObSoCO (l’Observatoire Société et Consommation) s’est intéressée à la vision que les Français ont de la mobilité à l’horizon 2050. Il en ressort trois scénarios possibles dont le plus vraisemblable, celui « techno », ne serait pas le plus plébiscité.
À quoi ressembleront nos déplacements dans 25 ans ?
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/mobilite-en-2050-le-scenario-le-plus-probable-n-est-pas-le-plus-apprecie.283500
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Strasbourg : des changements dans les transports en commun
Publié le 24 août 2024
À partir du lundi 26 août, la CTS à Strasbourg va apporter plusieurs modifications à son réseau. Cette année, elle prévoit d'investir 6 millions d'euros supplémentaires, permettant ainsi aux bus et tramways de parcourir 800 000 kilomètres de plus.
Des changements auront lieu dans les transports en commun strasbourgeois à compter de ce lundi 26 août. La Compagnie des Transports Strasbourgeois (CTS) a annoncé via un communiqué de presse avoir dépensé 6 millions d’euros. En clair, 800 000 km de distance seront rajoutés à destination des bus et des tramways.
Les lignes G, Chron’Hop C6, C7, C8 ainsi que 2, 45, 72 et 75 seront ajustées. Des changements ont été effectués pour les élèves du Lycée Pasteur à Strasbourg mais aussi du collège Katia et Maurice Kraft à Eckbolsheim. Un nouveau règlement à destination des services scolaires a été créé pour renforcer la sécurité et le confort sur ces lignes.
« L’Eurométropole de Strasbourg s'engage résolument à transformer la mobilité dans ses 33 communes, en investissant massivement pour proposer des solutions adaptées aux besoins des usagers, des visiteurs et des entreprises. En s'intégrant parfaitement avec les autres modes de transport, tels que le rail, les cars express, le vélo et le covoiturage, l’Eurométropole de Strasbourg et la CTS (Compagnie des Transports Strasbourgeois) permettent à chacun de se déplacer de manière fluide et efficace, à tout moment de la journée, tout en maîtrisant les coûts et en réduisant l'empreinte écologique », détaille l’Eurométropole de Strasbourg.
Les changements ligne par ligne
Lire la suite : https://www.topmusic.fr/strasbourg-des-changements-dans-les-transports-en-commun
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Les pratiques de mobilité des Français varient selon la densité des territoires
TRANSPORTS
statistiques.developpement-durable.gouv.fr - Par
Publié le 29 août 2024
Les pratiques de mobilité des Français varient selon les territoires. Selon l’enquête mobilité des personnes 2019, les ménages des communes rurales (33 % de la population) réalisent des déplacements relativement longs en mobilité locale, très fréquemment en voiture : plus de la moitié des distances parcourues concernent des trajets de 10 à 100 km. Les habitants des communes les plus densément peuplées (38 % de la population) se déplacent moins au quotidien mais partent en voyage plus souvent et plus loin, majoritairement en avion : près de 30 % de leurs distances parcourues concernent des déplacements de 1 000 km ou plus.
Du fait de l’importance de leurs mobilités locales, les ménages des communes rurales concentrent plus de 40 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) des déplacements.
LES DÉPLACEMENTS COURTS, MAJORITAIRES MAIS MINORITAIRES EN DISTANCE
En 2019, selon l’enquête mobilité des personnes, les déplacements de moins de 10 km représentent 71 % de l’ensemble des déplacements et 42 % des temps de transport, contre moins de 13 % des distances parcourues et moins de 13 % des émissions de gaz à effet de serre de la mobilité (amont, traînées et autres effets non-CO2 de l’aviation inclus).
A contrario, les déplacements de plus de 100 km ne représentent que 1,5 % des déplacements, mais près de 47 % des distances, et 45 % des émissions de gaz à effet de serre (amont, traînées et autres effets non-CO2 de l’aviation ; 37 % si l’on ne comptabilise que les émissions directes).
Répartition des caractéristiques de mobilité par classe de distance
Lire la suite : https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/les-pratiques-de-mobilite-des-francais-varient-selon-la-densite-des-territoires
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Mobilités douces : une nouvelle solution sur 19 communes de la métropole tourangelle avec les vélos en libre-service
france3-rgions-francetvinfo.fr - Par Patrick Ferret
Publié le 27 août 2024
D'ici à la fin du mois d'octobre, 500 vélos "musculaires" et 1100 vélos deux places à assistance électrique vont être déployés, sur des emplacements dédiés, dans 18 communes de Tours Métropole ainsi qu'à La Ville-aux-Dames. Le Syndicat des Mobilités de Touraine a confié la mise en place de cette nouvelle offre de vélos en libre-service à la société Pony, basée à Angers.
Société
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Pour découvrir le nouveau dispositif, le Syndicat des Mobiltés de Touraine (SMT) a donné rendez-vous à la presse à l'intersection du boulevard Béranger et de la rue Marceau. Là où, dans le cadre du plan d'apaisement, la traversée du mail est désormais interdite aux véhicules motorisés (depuis la mi-juin).
Logique, puisque les vélos en libre-service viennent compléter l'offre existante en matière de modes de déplacement doux, comme l'explique Christophe Boulanger, premier vice-président du SMT :
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VélÔToulouse passe à l’électrique : une révolution pour la mobilité urbaine
26 août 2024 - 09:05
Des vélos à assistances électriques en libre-service seront proposés par VélÔToulouse à compter du vendredi 30 août. Des nouvelles stations sont également installées afin de renforcer le maillage du territoire.
VélÔToulouse est sur le point de franchir une nouvelle étape de son développement en intégrant des vélos à assistance électrique (VAE) à sa flotte dès le vendredi 30 août. La nouveauté a été décidée lors du renouvellement du matché du vélo en libre-service avec JCDecaux l’an dernier. Pour Toulouse Métropole, « l’objectif est de s’adapter aux nouveaux usages et aux besoins des habitants ».
Ainsi, la flotte sera progressivement composée à 50% de VAE et à 50% de vélos classiques. Cette proportion pourra même évoluer jusqu’à 75% de vélos électriques en fonction de la demande des utilisateurs pour cet équipement. Il s’agit d’une avancée pour encourager l’usage du vélo, même sur les trajets les plus longs ou les plus pentus.
Des nouvelles stations font leur apparition sur le territoire
Le réseau VélÔToulouse s’agrandit également avec 117 nouvelles stations dans les quartiers toulousains, soit 700 nouveaux vélos mis en service. Par ailleurs, tous les vélos actuels seront remplacés petit à petit. Aussi, une application mobile permettra désormais de libérer les vélos sans passer par la borne, simplifiant encore plus l’accès au service.
Lire la suite : https://www.lejournaltoulousain.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/velotoulouse-passe-electrique-revolution-mobilite-urbaine-279960/ v
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Métro : à Paris, Valérie Pécresse veut rendre toutes les lignes accessibles aux personnes à mobilité réduite
leparisien.fr - Par Marie-Anne Gairaud
Publié le Le 26 août 2024
À deux jours du coup d’envoi de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques, la présidente (LR) de la région Île-de-France Valérie Pécresse propose à l’État et à la mairie de Paris de lancer un grand plan pour rendre le vieux métro parisien accessible à tous.
Les Jeux paralympiques vont-ils donner un coup d’accélérateur pour transformer la vie des personnes à mobilité réduite en région parisienne ? Ce matin, dans l’hémicycle du conseil régional à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), la présidente (LR) de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, a annoncé au cours d’une conférence de presse sur l’organisation des Jeux paralympiques sa volonté de lancer un grand projet pour rendre le métro historique parisien accessible aux personnes à mobilité réduite.
Après le Grand Paris Express — le supermétro automatique de 200 km, qui desservira la banlieue parisienne au gré de 68 gares —, Valérie Pécresse juge que c’est LE grand chantier majeur à lancer dans les prochaines années.
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TRANSIT : La nouvelle application mobile pour les transports
dreux-agglomeration.fr - Par la rédaction
Publié le 30 août 2024
Transit, c’est le nom d’une toute nouvelle appli mobile proposée par Linead. Véritable « Mappy » dédié aux transports urbains (réseau Linead, transilien et TER), elle est téléchargeable gratuitement sur tous les mobiles (IPhone et Android) et son utilisation est très simple et intuitive.
Transit, comment ça marche ?
Après avoir été téléchargée, l’application géolocalise son utilisateur et lui indique automatiquement les différents arrêts de bus les plus proches. Un onglet permet également d’indiquer un lieu de destination. L’appli propose alors pour celui-ci l’itinéraire le plus approprié : arrêt de bus le plus proche, temps de trajet, correspondances… Elle prend même en compte les cheminements à pied et trace le trajet sur une carte. Mais elle ne se limite pas aux bus. Elle inclut dans ses propositions le réseau TER et la ligne N à destination de Paris. À noter que le système de géolocalisation permet d’utiliser Transit dans toutes les villes l’ayant mise à disposition de leurs usagers.
Les petits « plus » de l’appli ?
Les bus sont géolocalisés grâce à une antenne, installée sur chacun des véhicules. Les usagers peuvent donc connaître en temps réel où se trouve leur bus, les perturbations sur les lignes sont indiquées (ex : travaux, arrêts de bus non desservis pendant une durée déterminée, arrêts de bus temporaires…) et instantanément grâce à l’activation des notifications.
Un ou plusieurs trajets habituels peuvent être épinglés en favori, permettant à l’utilisateur de recevoir toutes les informations utiles sur ces trajets spécifiques.
Et pour les transports scolaires ?
Lire la suite : https://www.dreux-agglomeration.fr/actualite/transit-la-nouvelle-application-mobile-pour-les-transports/
Intelligence artificielle
Intelligence artificielle : Apple et Nvidia discuteraient d'un possible investissement dans OpenAI
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié le 30 août 2024
Premier actionnaire d'OpenAI (49% du capital), Microsoft pourrait également remettre au pot Dado Ruvic / REUTERS
Plusieurs médias américains rapportent que le fleuron de l’intelligence artificielle générative OpenAI pourrait lever plusieurs dizaines de milliards de dollars via ce nouveau tour de table.
Apple et Nvidia discutent actuellement d'un possible investissement au capital d'OpenAI, le fleuron de l'intelligence artificielle (IA) générative, créateur de l'interface ChatGPT, rapportent jeudi plusieurs médias américains. D'autres investisseurs devraient figurer dans ce nouveau tour de table d'OpenAI, en premier lieu la société de capital-investissement Thrive Capital, sur la base d'une valorisation de 100 milliards de dollars. C'est 20 milliards de plus que lors du dernier tour de table, réalisé il y a huit mois seulement.
Premier actionnaire d'OpenAI (49% du capital), Microsoft pourrait également remettre au pot, selon des médias américains, ce nouveau tour de table atteignant plusieurs milliards de dollars. Plus encore qu'OpenAI, Nvidia est l'incontestable gagnant de la révolution de l'IA générative, car ses puces, les GPU, sont considérées comme indispensables au développement de cette technologie. Il a notamment investi 1,3 milliard de dollars, l'an passé, au capital d'Inflection AI, l'une des start-up les plus en vue dans l'IA générative.
Quant à Apple, il a déjà passé, au printemps un partenariat avec OpenAI pour pouvoir utiliser ses modèles d'IA générative sur ses appareils de nouvelle génération, en particulier l'iPhone. Le groupe à la pomme dispose de réserves de liquidités considérables, qui atteignaient, fin juin, 160 milliards de dollars. Sollicité par l'AFP, Apple n'a pas donné suite dans l'immédiat.
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L’IA générative : une adoption en forte croissance au cours de l’année écoulée
itsocial.fr - Par Mourad Krim -
Publié le 26 août 2024
L’étude menée par le Capgemini Research Institute sur l’adoption de l’IA générative montre une augmentation marquée de l’investissement et de l’implémentation de l’IA générative au cours de l’année écoulée. Pour les répondants, les avantages l’emportent sur les risques.
L’intelligence artificielle se distingue des autres technologies par plusieurs aspects transformationnels qui en font une innovation unique. Jusqu’à l’invention de l’informatique, les outils inventés par l’homme étaient des objets physiques qui étendaient ses capacités, et avaient une action mécanique ou physique. L’informatique, en revanche, est un outil immatériel basé sur des systèmes électroniques, logiciels, et matériels.
Elle est conçue pour traiter, stocker, et manipuler des informations, et permet la gestion de données complexes, et l’exécution de processus cognitifs, ce qui va au-delà des simples extensions physiques des capacités humaines.
Les ordinateurs et les logiciels n’ont pas besoin d’une intervention humaine constante une fois programmés. Ils exécutent des instructions complexes et peuvent traiter de vastes quantités de données rapidement et avec une grande précision.
L’arrivée de l’IA a octroyé de nouvelles capacités aux programmes informatiques. Au lieu d’exécuter des tâches programmées, l’IA, en particulier les modèles d’apprentissage automatique, a la capacité d’apprendre et d’améliorer ses performances au fil du temps sans intervention humaine. Elle peut analyser des données, identifier des schémas et faire des prédictions ou prendre des décisions basées sur ces données, s’adaptant ainsi aux nouvelles informations.
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Aux États-unis, l’IA est utilisée pour écrire des rapports des rapports de mission à la place des policiers.
bfmtv.com - Par Kesso Diallo
Publié le 30 août 2024
Des services de police américains utilisent un outil d’intelligence artificielle du groupe Axon (Taser) pour générer des rapports à la place des policiers.
Faciliter le travail des policiers. C’est l’objectif de Draft One, un outil d’intelligence artificielle développé par le groupe Axon, à l’origine du taser. Il est présenté comme "un multiplicateur de force pour les officiers" en "tirant parti de l’IA générative et de l’audio des caméras corporelles pour produire en quelques secondes des rapports préliminaires de haute qualité".
Cet outil fait actuellement l’objet d’une expérimentation dans quelques services de police américains, notamment par les forces de l’ordre d’Oklahoma City, rapporte l’Associated Press.
Un outil qui inquiète
Draft One a ainsi rédigé un rapport en huit secondes à partir des sons et des échanges radio captés par le microphone de la caméra corporelle d'un agent. "C’était un meilleur rapport que celui que j'aurais pu rédiger, et il était précis à 100%", a assuré ce dernier. L’outil d’Axon a même rapporté une information que le sergent ne se souvenait pas avoir entendue, concernant la couleur de la voiture de suspects. Elle avait été mentionnée à l'oral par un autre agent de police.
Si les policiers sont enthousiasmés par Draft One, d’autres personnes s’inquiètent. Les procureurs veulent par exemple être sûrs que ce n’est pas seulement cet outil qui a été utilisé pour rédiger des rapports, mais que les policiers y ont aussi contribué.
RGPD
Loi RGPD : les nouvelles règles mises en place par la CNIL en 2024
Publié le 28 août 2024
En 2024, la Commission National de l’Informatique et des Libertés (CNIL) a entrepris une restructuration de son guide de la sécurité des données personnelles, intégrant cinq nouvelles fiches spécifiques aux domaines technologiques émergents et aux pratiques courantes.
Ces nouvelles sections couvrent le cloud, les applications mobiles, les interfaces de programmation applicative (API), l'intelligence artificielle (IA) et le pilotage de la sécurité des données. L’objectif : assurer une meilleure protection des données personnelles, dans un contexte numérique en constante évolution.
Pour les entreprises, cela signifie que de nouvelles règles RGPD s’imposent. Les voici.
Durcissement des contrôles concernant le cloud
Les entreprises doivent désormais réaliser des évaluations de sécurité rigoureuses avant de sélectionner un fournisseur de services cloud, afin de garantir que ce dernier respecte les normes de sécurité et de conformité du RGPD.
Cette évaluation doit comporter des audits de sécurité approfondis et des examens de conformité détaillés.
En outre, les organisations doivent instaurer des contrôles de sécurité continus et des systèmes de surveillance actifs pour détecter et traiter rapidement tout incident de sécurité dans le cloud.
Tout ceci implique d’utiliser des solutions avancées de détection d'intrusion et de mettre en place des protocoles stricts de réponse aux incidents, afin d’assurer une protection proactive et réactive des données.
Nouveautés concernant les applications mobiles
Lire la suite : https://solutions.lesechos.fr/juridique/loi-conformite/loi-rgpd-les-nouvelles-regles-mises-en-place-par-la-cnil-en-2024/
Cybersécurité
Naissance d’un géant de la cybersécurité en France suite au rachat d’un leader allemand du secteur
media24.fr - par Guillaume Aigron
Publié le 30 août 2024
VINCI Energies s’empare de Fernao pour devenir un géant de la cybersécurité en Europe.
VINCI Energies, acteur majeur du secteur de l’énergie et des concessions, vient d’annoncer la signature d’un accord pour l’acquisition du groupe allemand Fernao, spécialiste de la cybersécurité. Cette opération stratégique permet à VINCI de renforcer sa présence dans un domaine en pleine expansion.
Consolidation et expansion stratégique pour Vinci
VINCI Energies a conclu un accord visant l’acquisition de Fernao, une entreprise allemande leader dans le secteur de la cybersécurité avec une forte présence également en Suisse. Cette démarche s’inscrit dans une volonté de consolider et d’élargir son expertise dans les technologies de l’information.
Une expertise de longue date en sécurité informatique
Fernao est reconnu depuis plus de 35 ans pour ses compétences dans la sécurité des systèmes informatiques. Le groupe propose des services et des solutions intégrales, identifiant les risques et les menaces pour protéger de manière globale les entreprises et leurs données. Sa capacité à intégrer des systèmes et à gérer des infrastructures informatiques en fait un partenaire de choix dans le domaine de la cybersécurité.
Un maillage territorial efficace
Lire la suite : https://media24.fr/2024/08/30/naissance-dun-geant-de-la-cybersecurite-en-france-suite-au-rachat-dun-leader-allemand-du-secteur/
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Accenture et Google Cloud renforcent leurs services d'IA et de cybersécurité
Investing.com - Actualités des entrepriss
Publié le 29 août 2024
NEW YORK & SUNNYVALE, Californie - Accenture (NYSE: NYSE:ACN) et Google Cloud ont annoncé l'élargissement de leur alliance stratégique pour faire progresser les solutions d'entreprise en matière d'IA générative et de cybersécurité. Cette collaboration vise à soutenir les entreprises à chaque phase de la mise en œuvre d'un projet d'IA, de la conceptualisation à la mise à l'échelle de la technologie en toute sécurité.
Le partenariat, qui a déjà vu 45% des projets de clients communs passer de la preuve de concept d'IA générative à la production, va maintenant augmenter les investissements dans les services visant à optimiser les opérations commerciales et à gérer les risques de cybersécurité associés aux technologies d'IA.
Le centre d'excellence en IA générative d'Accenture et de Google Cloud, créé en décembre 2023, a facilité la fourniture rapide de nouvelles solutions et de nouveaux services d'IA. Leurs efforts ont abouti à plus de 60 accélérateurs industriels conjoints, abordant des défis tels que l'optimisation de la chaîne d'approvisionnement et l'amélioration de l'expérience de la vente au détail.
Des clients, dont Banco BV au Brésil, ont bénéficié de ce partenariat, tirant parti de l'IA pour des interactions plus personnalisées avec les clients. De même, Radisson Hotel Group a utilisé des modèles d'IA pour améliorer de manière significative la productivité et le chiffre d'affaires de la publicité.
Outre les applications d'IA, l'alliance a renforcé les opérations de sécurité pour les entreprises clientes. Le service géré de détection et de réponse étendues (MxDR) d'Accenture s'intègre aux opérations de sécurité de Google, offrant des capacités avancées de renseignement et de réponse aux cybermenaces.
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Avec le projet Cypress, VMware met la GenAI au service de la cybersécurité
lemondeinformatique.fr - Par Maria Korolov, IDG NS (adaptation Jean Elyan)
Publié le 28 Aout 2024
Lors de sa conférence annuelle, VMware a annoncé l'ajout d'un copilote d'IA générative à sa plateforme de cybersécurité vDefend. Le projet Cypress devrait dans un premier temps fournir des recommandations mais ne sera pas capable d'agir tout seul.
Annoncé l'année dernière en tant qu'aperçu technique, le projet Cypress prend forme à l’occasion de VMware Explore qui se déroule cette semaine à Las Vegas. Cette initiative à base d’IA générative va renforcer la plateforme de cybersécurité vDefend, a indiqué Umesh Mahajan, vice-président et directeur général de l’activité Application Networking et Security chez Broadcom, qui a achevé l'acquisition de VMware en novembre dernier. L'outil a depuis été amélioré et fait désormais partie de la solution de sécurité latérale vDefend, et, selon le dirigeant, il devrait intéresser les clients qui ont déployé vDefend Advanced Threat Prevention. Dans un premier temps, l'outil ne sera disponible qu'à titre consultatif et ne pourra pas agir de manière autonome.
Un copilote pour les équipes de sécurité
Les attaquants n'ont pas tardé à exploiter l'IA générative pour augmenter à la fois le volume et la complexité de leurs attaques. « Les équipes de sécurité sont submergées par un grand nombre de campagnes de menaces et de fausses alertes », a poursuivi Umesh Mahajan. « Via une interface en langage naturel, le projet Cypress facilitera le tri et accélèrera les enquêtes sur les campagnes de menaces à haut risque, pourra expliquer une offensive particulière dans son contexte pour que l'équipe de sécurité prenne rapidement les mesures appropriées, recommande des options de remédiation et il pourra appliquer l'option sélectionnée par l'équipe de sécurité via les capacités de prévention des menaces de vDefend », a-t-il détaillé.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-avec-le-projet-cypress-vmware-met-la-genai-au-service-de-la-cybersecurite-94553.html
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Cybercriminalité : Yashechka, le hacker qui bouscule la cybersécurité mondiale
globalsecuritymage.fr - par CATO Networks
Publié en août 2024
Pour sensibiliser le public aux activités des acteurs de la menace sur le dark web, Cato Networks lance une série de rapports sous forme de blogs intitulée Cato CTRL Threat Actor Profile. Cette série a pour but de dresser le portrait de divers cybercriminels et de documenter les activités notables que nous observons. Le premier rapport de cette série est consacré à Yashechka, un cybercriminel russe dont les actions ont des répercussions significatives sur la cybersécurité mondiale.
La ligne entre éthique et criminalité numérique est souvent floue de nos jours, Yashechka se distingue comme une figure majeure, capable de bouleverser le paysage de la cybersécurité. Il représente une nouvelle génération de hackers : hautement compétent, influent au sein des communautés clandestines, et redoutablement efficace dans la diffusion de connaissances et d’outils malveillants. Comprendre des profils comme celui de Yashechka devient essentiel pour anticiper et contrer les menaces futures.
« Yashechka représente un niveau de menace élevé en raison de ses compétences techniques, de son implication active dans la communauté cybercriminelle et de l’importance qu’il accorde à la diffusion d’informations et d’outils nuisibles. Ses activités sont susceptibles de soutenir et de renforcer les opérations cybercriminelles (à la fois individuellement et au niveau de la communauté), ce qui constitue une menace directe pour les organisations », explique Etay Maor, Chief Security Strategist chez Cato Networks, membre fondateur de Cato CTRL et chercheur en cybersécurité reconnu par l’industrie.
Lire la suite : https://www.globalsecuritymag.fr/cybercriminalite-yashechka-le-hacker-qui-bouscule-la-cybersecurite-mondiale.html
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Une page Facebook frauduleuse usurpe celle de Saint-Lô Agglo pour proposer des cartes de transport
saint-lo-maville.com - Par Paul GUYO.
Publié le 28 août 2024
Depuis la fin du mois d’août 2024, une page Facebook propose une carte de transport Slam gratuite pendant six mois à Saint-Lô (Manche). Le problème : il s’agit d’une arnaque.
« Achetez une carte de transport de la première société de transport de Saint-Lô. Slam lance un nouveau concours. Nous distribuons 400 cartes qui permettront à tous les habitants de voyager gratuitement pendant six mois. » C’est une offre que vous avez peut-être vu circuler ces derniers jours sur les réseaux sociaux de la ville de Saint-Lô (Manche). Le hic : il s’agit d’une arnaque.
Saint-Lô Agglo a réagi par un communiqué de presse : « Cette page malveillante prétend offrir une promotion sur notre carte de transport, annonçant six mois de gratuité, ce qui est entièrement faux. […] Cette offre n’a jamais été lancée ni par Saint-Lô Agglo ni par la Ville de Saint-Lô. Il s’agit d’une tentative de fraude visant à tromper nos usagers et le public. » La communauté de communes encourage « toutes les personnes à la plus grande vigilance face à cette arnaque » et travaille pour « faire supprimer cette page frauduleuse ».
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Les dépenses consacrées à la cybersécurité vont augmenter de 15% en 2025
channelsnews.fr - Par Lucie Robert
Publié le 29 août 2024
La recrudescence des cyberattaques et nouvelles menaces alimentées par l’IA générative vont engendrer une croissance de 15% environ des dépenses en cybersécurité en 2025, selon le cabinet d’études Gartner, pour atteindre les 212 milliards de dollars l’année prochaine.
D’ici 2027, 17% des cyberattaques et fuites de données impliqueront des technologies GenAI, d’après Gartner. ChatGPT et OpenAI fournissent un moyen simple de créer des emails d’hameçonnage très convaincants, par exemple.
Les logiciels de sécurité devraient connaître la croissance la plus rapide (+14,2%, soient 101 milliards de dollars), suivis des services de sécurité (+13,8 %, soient 86 milliards de dollars) en 2025. Quant aux dépenses en matière de sécurité des réseaux, elles devraient augmenter de 9,6% en 2025 pour atteindre les 25 milliards de dollars.
Lire la suite : https://www.channelnews.fr/les-depenses-consacrees-a-la-cybersecurite-vont-augmenter-de-15-en-2025-137546
Thales
THALES, FOURNISSEUR DU PROGRAMME RÉVOLUTIONNAIRE D'AVIONS EVTOL DE LILIUM
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le août 2024
Thales, leader mondial des solutions de communication et de navigation aéroportées, anciennement Cobham Aerospace Communications, a été sélectionné par Lilium comme fournisseur d'antennes de navigation et de communication pour son programme révolutionnaire d'avions électriques à décollage et atterrissage verticaux (eVTOL).
• Lilium est l'un des principaux constructeurs d'avions électriques, qui vise à révolutionner la mobilité aérienne régionale (RAM) et à réduire considérablement les émissions de carbone avec le Lilium Jet, dont l'entrée en service est prévue en 2026.
• Avec les solutions Thales Aerospace Communications à bord, Lilium contribue à un transport aérien durable et efficace.
Ce partenariat entre Thales et Lilium constitue un moment charnière dans l’industrie aéronautique, alliant technologie de pointe et des décennies d’expertise. L'ensemble des plateformes prévues pour la flotte eVTOL de Lilium comprendra un ensemble constitué d’antennes commerciales disponibles sur étagère (COTS) et d’antennes sur mesure. Ces antennes comprennent VHF Com + GPS, Wi-Fi/LTE, ELT, GNSS, DME, VOR, LOC, Glideslope, UAT et transpondeur, garantissant des capacités de communication et de navigation transparentes pour les avions innovants de Lilium.
Avec plus de cinquante ans d’expérience, Thales est réputé pour son excellence dans la fabrication d’antennes aéroportées et bénéficie d’une expertise en matière de plates-formes à voilure fixe et de plateformes à hélices. Thales est donc à même de relever les défis liés à la conception des avions eVTOL. De la réduction de la traînée et du poids à l'optimisation du placement de l'antenne, l'expertise de Thales sera déterminante dans le succès de l'ambitieux programme eVTOL de Lilium, tout en contribuant à atteindre les objectifs de développement durable du secteur.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/thales-fournisseur-du-programme-revolutionnaire-davions-evtol
Mobilité
Toulouse. Un nouveau titre de transport annoncé pour 2025 sur le réseau Tisséo : de quoi s'agit-il ?
actu.fr - par Marie Lamarque
Publié le 19 août 2024
C'est une nouveauté annoncée sur le réseau Tisséo à Toulouse, et attendue pour 2025. Les usagers pourront découvrir un nouveau titre de transport, qui fonctionnera sans contact.
C’est un titre de transport d’un nouveau genre qui devrait voir le jour sur le réseau Tisséo pour le premier semestre 2025. « Il s’agira d’un titre rechargeable et non nominatif », explique l’opérateur des transports en commun de la Ville rose, contacté par Actu Toulouse ce vendredi 16 août 2024.
Comment va-t-il fonctionner ?
L’information a été dévoilée par nos confrères de La Dépêche du Midi. Ce nouveau titre, sans contact, sera rechargeable « une trentaine de fois », souligne Tisséo.
Contrairement à la carte Pastel, il ne sera pas nominatif. Il pourra donc être utilisé par plusieurs usagers. Prenons l’exemple d’une famille de quatre personnes qui voyage ensemble. Au moment de franchir le tourniquet de la station de métro, ou en montant dans le bus, elle pourra faire valider quatre fois le même titre de transport. Pratique !
« Il s’agit d’un outil qui sera proposé en plus de la carte Pastel et de ‘l’open payment’ [comprendre le nouveau système de paiement direct par carte bancaire ou par smartphone pour régler son trajet et récemment mis en place sur le réseau Tisséo].
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Nouveau réseau de transport public impulsyon à La Roche-sur-Yon
transbus.org - par Olivier Meyer
Publié le 19 août 2024
Ce lundi 19 août 2024, le réseau de transport public impulsyon de La Roche-sur-Yon Agglomération est profondément modifié. L'exploitant Compagnie des Transports du Yonnais (CTY), filiale du groupe RATP Dev, met en place une offre de transport restructurée avec de nouveaux services et une évolution de la gamme tarifaire.
Modifications des lignes
Les numéros, itinéraires et horaires des lignes régulières sont modifiés. Les nouvelles lignes 1 à 7 desservent la ville-centre. Les lignes 10 à 15 desservent les autres communes via la place Napoléon. Les 2 lignes de nuit N1 et N2 circulent du jeudi au samedi de 21h à 1h. Une navette Campus fonctionne du lundi au vendredi soir durant l'année universitaire au départ des trois principaux sites universitaires vers un arrêt de bus de La Roche-sur-Yon intramuros.
Les lignes 1 et 2, 3 et 4 ainsi que 5 et 6 sont complémentaires. Une fois arrivé au terminus, le bus poursuit son trajet. Ainsi, arrivé à Tournefou, le bus de la ligne 1 continue son parcours sur la ligne 2 en direction d'Atinéa.
Le soir, le dernier départ de la place Napoléon vers les quartiers de la Roche-sur-Yon intramuros a lieu à 20h35 avec 4 bus, un par secteur (dépose à la demande).
Application mobile
Lire la suite : https://www.transbus.org/actualite/actu-2024-08-nouveau-reseau-transport-impulsyon.html
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À Poitiers, le réseau de bus Vitalis dénonce encore une arnaque sur Facebook et alerte les habitants
francebleu.fr - Poitiers - par Manon Vautier-Chollet
Publié le lundi 19 août 2024
Ce lundi, Vitalis dénonce une publicité mensongère qui se fait passer pour le réseau de transports en commun poitevin, en promettant un faux pass gratuit, pour "recueillir des données personnelles". Ça n'est pas la première fois que ça arrive.
Ce lundi 19 août, le réseau de transports en commun poitevin Vitalis alerte sur une nouvelle arnaque qui circule sur Facebook. Un compte, qui usurpe son identité, "promet une carte Vpass gratuite pendant six mois", précise Vitalis dans son message d'alerte. La même chose s'était déjà déroulée au mois de mai 2024.
"Arnaque destinée à recueillir des données personnelles"
La publicité mensongère, publiée sur une page s'appelant "Carte des transports en commun à Poitiers", "est une arnaque destinée à recueillir des données personnelles, et notamment bancaires. Elle est assortie de commentaires rassurants émanant de faux comptes", poursuit Vitalis qui appelle donc les usagers à ne surtout pas cliquer.
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Lyons Andelle : 1,3 million d'euros pour la mobilité
actu.fr - Par Aurélie Hébert
Publié le 19 août 2024
La Communauté de communes Lyons Andelle (Eure) a dévoilé sa stratégie mobilités lors de son dernier conseil communautaire. 1,3 million d'euros est budgété sur 5 ans.
Pour leur dernier conseil communautaire avant les vacances d’été 2024, les élus siégeant à la Communauté de communes Lyons Andelle (Eure) ont traité plusieurs dossiers d’importance dont la stratégie mobilités, le développement touristique ou encore l’urbanisme, comme l’a souligné dans son discours d’ouverture le président Jean-Luc Romet.
Pour aborder la stratégie mobilités, c’est Pascal Calais, vice-président en charge du dossier qui a pris la parole. Il a ainsi développé les sept axes qui ont été déterminés, et déclinés en fiche action.
« La déclinaison des sept axes concernant la stratégie mobilités est estimée à 1 357 250 € sur 5 ans, avant l’obtention de subventions. » Pascal Calais, vice-président de la Communauté de communes Lyons Andelle
Cela représenterait un budget moyen par an de 271 450 € (toujours avant l’obtention de subventions).
Lire la suite : https://actu.fr/normandie/charleval_27151/lyons-andelle-13-million-deuros-pour-la-mobilite_61499454.html
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Strasbourg : quelles évolutions dans les transports de l'Eurométropole à partir du 26 août ?
francebleu.fr - par Cédric Hermel
Publié le 21 août 2024
La Compagnie des Transports Strasbourgeois (CTS) va procéder à plusieurs changements et évolutions dans son réseau à partir du lundi 26 août. La CTS annonce qu'elle va injecter 6 millions d'euros supplémentaires cette année, ce qui correspond à 800.000 km en plus parcourus par les bus et tram.
Si vous prenez le tram ou le bus dans une des communes de l'Eurométropole de Strasbourg, préparez-vous à des changements sur certaines lignes à partir du lundi 26 août prochain. La Compagnie des Transports Strasbourgeois (CTS), a précisé, via un communiqué**, quelles lignes sont impactées**. Il s'agit des lignes G, Chron’Hop C6, C7, C8 ainsi que 2, 45, 72 et 75, elles vont avoir des ajustements. Ces changements entrainent l'injection de 6 millions d'euros en plus cette année, ce qui correspond à 800.000 km supplémentaires parcourus sur l'année. Il s'agit pour la CTS et l'Eurométropole "d'améliorer l'offre de services dès la rentrée 2024", explique Pia Imbs, présidente de l'Eurométropole.
Les changements dans les lignes de bus
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/infos/transports/strasbourg-quelles-evolutions-dans-les-transports-de-l-eurometropole-a-partir-du-26-aout-7947003
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Agglo'Bus : un nouveau plan de réseau plus souple et moins coûteux pour l'agglomération du Grand Guéret
lamontagne.fr - par Elodie Richer
Publié le 22 août 2024
Après dix ans de fonctionnement, le réseau Agglo’Bus change de formule. Une optimisation pour réduire les coûts et simplifier les usages.
Plus simple, plus souple, plus près des usages. Et moins coûteux, aussi. Le nouveau plan du réseau de transport Agglo’Bus est mis en service dès le 2 septembre prochain. Un nouveau schéma, mis en place par l’agglomération du Grand Guéret après un long travail avec le cabinet Inddigo, qui vise notamment à optimiser le réseau urbain sur Guéret. « C’est important que le nombre de gens qui montent dans le bus augmente », affirme François Vallès, délégué communautaire en charge des transports urbains et président du comité des partenaires. Pour y parvenir, pas de révolution, mais du changement. « On est dans l’adaptation », ajoute-t-il.
Le TAD urbain, premier du nom
Concrètement, les arrêts les moins utilisés – parfois 6 montées par mois en moyenne – ont été supprimés. Ce qui implique, de facto, des temps de trajet plus rapides. À ça, il faut ajouter un renforcement des fréquences sur les axes Nord-Sud et Est-Ouest, et une meilleure desserte du centre-ville de Guéret. Au total, dix arrêts ont été supprimés, dix autres crées. Avec un nouveau service : le TAD urbain. Ce nouveau service de transport à la demande dans Guéret – avec des arrêts et des horaires définis – desservira de nouveaux secteurs comme Tremplin Nature ou l’institut de formation en soins infirmiers. « Là aussi, l’idée directrice c’est d’amener de la souplesse dans l’offre de transports », estime Patrick Rougeot, vice-président en charge des mobilités à l’agglomération du Grand Guéret. Le TAD urbain a été pensé sur le même modèle que le TAD rural, déjà en place. La navette du transport à la demande urbain est ouverte à tous, sur réservation. Elle fonctionnera du lundi au vendredi. « Il faut que les habitants s’approprient le TAD urbain », espère François Vallès.
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Zoom sur la Bourse Mobilité Solidarité du département
Publié le 23 août 2024
Vous avez entre 18 et 25 ans ? Découvrez la Bourse Mobilité Solidaire proposée par le département des Hauts-de-Seine !
Ce dispositif soutient des initiatives individuelles ou collectives, en collaboration avec des associations, et valorise l'engagement des jeunes dans des actions humanitaires ou de développement.
Ce programme offre ainsi aux jeunes Altoséquanais une précieuse opportunité de s'engager à l'international tout en bénéficiant d'un soutien financier pour concrétiser leurs projets solidaires.
Suis-je éligible ?
Pour bénéficier de cette bourse, plusieurs conditions sont requises :
la bourse est exclusivement réservée aux jeunes domiciliés dans les Hauts-de-Seine ;
le projet doit être porté par une association assurant toutes les garanties de sécurité utiles à la réalisation du projet, et dont le siège social est basé en France ;
un partenariat avec un acteur local dans le pays d'accueil est demandé ;
le projet doit s'inscrire dans les Objectifs de Développement Durable (ODD) et peut être réalisé en solo ou en groupe (maximum de 3 participants par projet).
Lire la suite : https://www.puteaux.fr/puteaux/Jeunesse/Actualites/Zoom-sur-la-Bourse-Mobilite-Solidarite-du-departement
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Un forum pour dévoiler les clés d’une mobilité réussie à l’international
picardiegazette.fr - Par A.B
Publié le 23 août 2024
Le vendredi 27 septembre prochain, la ville de Saint-Quentin accueillera, pour la troisième année consécutive, le forum annuel dédié à la mobilité européenne et internationale. Celui-ci se tiendra au Palais de Fervaques, de 14h00 à 18h00.
Cet événement est destiné aux jeunes qui souhaitent étudier, travailler ou faire du volontariat à l’étranger afin de gagner en autonomie, développer leur flexibilité, améliorer leurs compétences linguistiques ou s’ouvrir à d’autres cultures. Il a pour objectif de les équiper de tous les outils nécessaires afin de leur permettre de vivre une expérience enrichissante à l’international.
Durant de cette rencontre, les participants auront l’opportunité de bénéficier de conseils d’experts. De plus, de nombreuses opportunités seront mises à leur disposition pour les aider à construire leurs projets de mobilité. Ils trouveront toutes les informations nécessaires liées aux démarches administratives, au logement ainsi qu'aux dispositifs de financement. En outre, les conseillers du CRIJ (Centre Régional Information Jeunesse) Hauts-de-France seront présents lors de ce rendez-vous pour faire découvrir leur plateforme consacrée à la mobilité internationale “Youth Mobility Makers” qui présente de nombreuses offres de stage, de volontariat et d’emploi à l’étranger.
Lire la suite : https://www.picardiegazette.fr/article/un-forum-pour-devoiler-les-cles-d-une-mobilite-reussie-a-l-international
Smart City
Hypervision de l'Espace Publique de l'Eurométropole de Metz : un pari gagnant !
Rédigé par Reynald WERQUIN le Jeudi 22 Août 2024 à 08:52
Le mot peut surprendre mais il révèle un dispositif numérique pertinent. Proposé par l'Eurométropole aux communes, l'hyperviseur leur permet une réactivité appréciable pour améliorer un service ou régler des incidents du quotidien. Six communes de la métropole - bientôt 18 - testent actuellement ce système connecté créé sur mesure pour elles.
Les communes de Cuvry, Châtel-Saint-Germain, La Maxe, Marieulles-Vezon, Saulny et Vaux se sont d'emblée portées volontaires pour tester le dispositif d'hypervision mis en oeuvre par Eurometropole en collaboration avec la société NGE Connect.
Des capteurs ont été installés dans les bâtiments et dans l'espace publique afin de collecter des données, comme la consommation d'électricité ou d'eau, ou encore le fonctionnement de l'éclairage public.
«L'Hyperviseur est personnalisé pour chaque commune. La société NGE Connect s'est adaptée à nos besoins », précise Claire Ancel, conseillère de l'Eurométropole déléguée au numérique et maire de Châtel-Saint-Germain.
Ces données sont accessibles par les responsables locaux via un outil en ligne, un hyperviseur, qui permet de programmer des alertes en cas d'anomalies. Température trop élevée ou trop basse, taux de CO2 trop important dans une salle de classe, lumière restée allumée dans un bâtiment public en dehors de ses heures de fonctionnement, etc. : autant de paramètres sous contrôle.
Les données collectées nous permettent de voir si nous sommes dans les normes », poursuit Claire Ancel. Les informations enregistrées amènent ainsi par exemple à régler différemment une chaudière ou à décider de la changer.
"On parvient à faire des économies sérieuses", témoigne François Carpentier, maire de Cuvry et conseiller métropolitain délégué à l'assainissement.
Et avec l'analyse du taux de CO, dans l'air ambiant, on touche à des questions de santé publique », ajoute-t-il.
Lire la suite : https://www.villeintelligente-mag.fr/Hypervision-de-l-Espace-Publique-de-l-Eurometropole-de-Metz-un-pari-gagnant-_a1542.html
Carte bancaire
Les dessous de la détection de la fraude chez la Banque Postale et la Société Générale
lamait.fr - par Gaetan Raoul
Publié le 22 août 2024
À travers leur coentreprise Transactis, La Banque Postale et la Société Générale ont déployé un système de détection de la fraude à la carte bancaire propulsé en partie par des algorithmes de machine learning. Son créateur, Probayes, en explique précisément le fonctionnement.
Née en 2003, Probayes est une société spécialisée dans le développement et le conseil en IA dans différents secteurs. Elle a été acquise par le groupe La Poste en 2016. Les 90 collaborateurs de Probayes mènent plus de 100 projets par an. L’entreprise réalise un chiffre d’affaires d’environ 10 millions d’euros.
Probayes s’est d’abord consacrée à la lutte contre la fraude bancaire. En ce sens, elle a développé dès 2008 un outil de détection des fraudes s’appuyant sur des réseaux bayésiens pour le groupement des cartes bancaires de France. Le rachat de La Poste n’est pas un hasard, car dès 2015, Probayes conçoit pour la Banque Postale un système de détection d’anomalies dans les transactions de retraits, puis de points de compromission dans ces mêmes distributeurs en 2016.
La naissance de FraudIA
Lire la suite : https://www.lemagit.fr/etude/Les-dessous-de-la-detection-de-la-fraude-chez-la-Banque-Postale-et-la-Societe-Generale
Intelligence artificielle
La France vise à devenir une superpuissance mondiale en intelligence artificielle, mais pas sans l’aide des géants américains
actuia.com - par Gabriel Frasconi
Publié le 22 août 2024
La France émerge comme un acteur central dans la révolution mondiale de l’intelligence artificielle, et consolide sa position de leader européen.
La France en quête de leadership dans l’Intelligence Artificielle
L’intelligence artificielle est aujourd’hui omniprésente. Même si les géants américains tels que Salesforce et AWS sont très actifs, les entreprises françaises innovantes telles que H, anciennement Holistic, qui a levé 220 millions de dollars avec le soutien d’investisseurs de renom tels qu’Amazon et Eric Schmidt, ex-PDG de Google, elles sont présentes sur le devant de la scène. Cette levée de fonds illustre parfaitement la capacité de la France à attirer des investissements internationaux significatifs et à jouer un rôle clé dans l’écosystème global de l’IA.
L’engagement massif de Microsoft, avec un investissement historique de 4 milliards d’euros en France, illustre la confiance des grandes entreprises américaines dans le potentiel français en matière d’IA, ainsi que l’ambition de la France de développer ses propres technologies et de devenir un hub mondial de l’innovation technologique. Le gouvernement français soutient activement cette dynamique avec des politiques favorables à l’innovation, des subventions à la recherche et des initiatives de formation pour répondre à la demande croissante de compétences en IA.
Un centre de recherche et incubateur de start-ups technologiques à Paris
La France abrite déjà des centres de recherche en IA de premier plan, tels que le Facebook AI Research Center de Meta et le hub de recherche en IA de Google à Paris, en plus de ses universités renommées. Cet écosystème vibrant stimule une scène de start-ups florissante, où de nombreux chercheurs et ingénieurs en IA issus de ces laboratoires se lancent dans la création d’entreprises innovantes.
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Chiffre marché : les dépenses en matière d'IA atteindront 632 milliards de dollars au cours des 5 prochaines années
zoner.fr - par Matene Toure
Publié le 23 août 2024
Malgré une préoccupation croissante sur les risques de l'IA, les dépenses en la matière devraient doubler d'ici 2028. Voici les secteurs concernés.
L'adoption généralisée des technologies d'intelligence artificielle (IA) dans tous les secteurs économiques ne montre aucun signe de ralentissement. Toutefois, de nombreuses entreprises éprouvent des difficultés à intégrer l'IA de manière transparente dans leur business model. Ce qui entraîne des échecs coûteux.
Les montants consacrés aux applications de l'IA commence également à faire réfléchir les investisseurs.
Selon une nouvelle prévision du cabinet d’études international Da Corporation (IDC), les dépenses mondiales consacrées à l'IA vont néanmoins plus que doubler au cours des cinq prochaines années. Pour atteindre le chiffre stupéfiant de 632 milliards de dollars d'ici à 2028.
Les dépenses augmenteront de 29 % par an
Le rapport propose une analyse complète du paysage des dépenses en IA. Et des marchés cibles où les opportunités de l'IA semblent être les plus lucratives. IDC a examiné plus de 250 cas d'utilisation fonctionnels.
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AI Risk Repository : le MIT publie un référentiel des risques liés à l’IA
Le 19 août 2024, par Thomas Calvi.
Alors que l’IA occupe une place de plus en plus grande dans notre quotidien et que les entreprises sont nombreuses à envisager son adoption, qu’en est-il de notre compréhension des risques liés sur lesquels alertent de nombreux experts ? Les cadres actuels d’évaluation de ces risques, bien qu’utiles, montrent des lacunes significatives. Pour tenter de les combler, les chercheurs du MIT publient “AI Risk Repository”, un référentiel qui comprend une base de données accessible au public, comptant plus de 700 risques liés à l’IA, qui sera élargie et mise à jour pour s’assurer qu’elle reste pertinente.
Ce référentiel a été élaboré par des chercheurs du MIT CSAIL, du MIT FutureTech, de l’Université du Queensland, du Future of Life Institute, de la KU Leuven et d’Harmony Intelligence. En rendant cette base de données accessible au public, ils espèrent non seulement sensibiliser davantage aux risques potentiels de l’IA, mais aussi encourager une collaboration plus étroite entre les différents acteurs concernés, qu’il s’agisse de développeurs, de régulateurs ou de simples utilisateurs. L’objectif est de créer un cadre de référence commun qui facilite la discussion, la recherche et la mise en place de mesures de prévention adaptées, permettant ainsi une adoption plus sûre et plus éthique de l’IA.
Peter Slattery, postdoctorant entrant au MIT FutureTech Lab et actuel chef de projet, explique :
“Étant donné que la littérature sur les risques liés à l’IA est dispersée dans des revues à comité de lecture, des prépublications et des rapports de l’industrie, et qu’elle est très variée, je crains que les décideurs ne consultent involontairement des aperçus incomplets, passent à côté de préoccupations importantes et développent des angles morts collectifs”.
Un référentiel inédit des risques liés à l’IA
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/ai-risk-repertory-le-mit-publie-un-referentiel-des-risques-lies-a-lia/
Internet des Objets
Sateliot étend sa constellation de satellites 5G-IOT NTN
Technews.fr - Par Nolan Girault
Publié le 19 août 2024
Sateliot a lancé quatre nanosatellites supplémentaires en orbite terrestre basse (LEO) dans le cadre de sa constellation croissante de satellites 5G NB-IoT NTN. Les satellites ont été lancés le 16 août à 19h18 BST depuis une fusée Falcon 9 de SpaceX depuis la base aérienne de Vandenberg en Californie.
Ces satellites sont conçus pour étendre la couverture des opérateurs de télécommunications mobiles à l’ensemble de la planète, en comblant les lacunes en matière de connectivité et en permettant le déploiement de capacités IoT dans le monde entier. Cette expansion rapproche Sateliot de son objectif d’exploiter une constellation de plus de 100 satellites d’ici 2028, transformant potentiellement les industries, indépendamment de leur localisation ou de l’infrastructure existante.
Jaume Sanpera, PDG et cofondateur de Sateliot, a déclaré : « Ce lancement nous propulse dans une nouvelle phase de développement. Non seulement nous commencerons à générer des revenus, mais nous positionnerons également l’Espagne comme un leader mondial de la connectivité IoT. »
L'approche de l'entreprise intègre une technologie brevetée « Store and Forward », qui offre une connectivité mondiale grâce à son nouveau plan orbital. Les satellites de Sateliot sont les premiers à mettre en œuvre pleinement les développements standards GSMA et 3GPP, avec pour objectif de les utiliser « pour continuer à mener la communauté NTN (Non-Terrestrial Networks) dans les innovations futures ».
Lire la suite : https://technews.fr/2024/08/sateliot-etend-sa-constellation-de-satellites-5g-nb-iot.html
Identité numérique
Quid de l’identité numérique à l’heure de eIDAS 2.0
globalsecuritymag.fr - par Jessye Boyer, Head of Legal & DPO chez Signaturit Group
Publié en août 2024
L’identité numérique comprend l’ensemble des données permettant d’identifier une personne en ligne. Celle-ci peut inclure des informations diverses allant du nom à une adresse mail, en passant par un profil de réseau social ou des éléments biométriques (empreintes digitales, reconnaissance faciale, etc.). Elle peut être utilisée pour authentifier une personne lors de l’accès à des services en ligne, de transactions, ou de communications.
Bien que l’identification numérique participe à l’accélération des transactions numériques au sein des organisations, elle est, de part de son caractère multiple, source d’enjeux importants, qui vont au-delà des processus technologiques. En effet, plusieurs questions se posent d’un point de vue éthique, sociétal ou encore pratique et représentent un défi pour les gouvernements et les entreprises de l’Union européenne.
Aujourd’hui, toute transaction demande de justifier d’une identité fiable c’est-à-dire digne de confiance. Cependant, la multiplicité des identités numériques possibles pour un seul et même individu impose aussi des contraintes et risques, en matière de protection des données notamment.
Où en est l’Europe sur le sujet et comment répondre aux besoins à venir ?
Entré en vigueur depuis 2014, le règlement eIDAS (« Electronic Identification, Authentication and Trust Services ») a pour but de donner un cadre sécurisé pour toutes les transactions numériques au sein de l’Union européenne. Cela passe entre autres par la définition des différents services de confiance qualifiés ou non qualifiés tels que la signature électronique, le cachet électronique ou encore l’horodatage. Cependant, l’environnement a évolué au cours des dernières années, imposant ainsi une version améliorée de cette réglementation avec eIDAS 2.0, la première version d’eIDAS n’ayant pas tenu les promesses annoncées, notamment par l’impossibilité pour les prestataires privés de se connecter aux systèmes. Alors que la version première d’eIDAS était principalement axée sur la reconnaissance mutuelle des identités numériques au sein de l’Union tout en définissant différents services de confiance, eIDAS 2.0 a pour mission de répondre aux enjeux d’aujourd’hui.
Lire la suite : https://www.globalsecuritymag.fr/quid-de-l-identite-numerique-a-l-heure-de-eidas-2-0.html
RGPD
Comment intégrer l’intelligence artificielle en entreprise de manière conforme ?
generali.fr - Communiqué
Publié le 19 août 2024
En raison de leurs nombreuses fonctionnalités, les systèmes reposant sur intelligence artificielle (IA) sont de plus en plus présents au sein des entreprises. Toutefois, leur intégration vous soumet à des impératifs stricts, notamment en ce qui concerne la sécurité et la protection des données personnelles.
Quels sont les enjeux de conformité liés à l’intégration de l’IA ?
Une technologie reposant sur des données personnelles
Création de contenus textuels, visuels et graphiques, chat-bot conversationnel, ciblage marketing, reconnaissance faciale, maintenance prédictive, détection des fraudes, analyse des candidatures... L’intelligence artificielle (IA) offre un champ exponentiel d'usages en entreprise.
Pour fonctionner, cette technologie – capable de reproduire un raisonnement humain – nécessite de très importants volumes de données, bien souvent à caractère personnel, voire même sensible. C’est pourquoi vous devez notamment garantir votre conformité avec le RGPD (Règlement général sur la protection des données) pour bien utiliser l’IA.
Le tout premier règlement sur l’usage de l’IA
L’adoption de solutions IA confronte l’entreprise à différents enjeux de conformité réglementaire, mais également de sécurité et de protection des données. Pour compléter le cadre du RGPD, encadrant uniquement l’usage des informations personnelles, l'Union européenne vient d'adopter la première loi sur l'intelligence artificielle.
Ce nouveau règlement européen prévoit notamment(1) :
Lire la suite : https://www.generali.fr/professionnel/ia-enjeux-conformite-ia/
Blockchain
Les 10 meilleurs projets de blockchain IoT à suivre : IOTA, Chainlink, VeChain parmi les évolutions du marché
crypto-news-flash.com - par Jeff Taylor
Publié le 23. août 2024
Selon une récente mise à jour sur Securities.io, la mise à jour des détails sur l’Internet des objets (IoT ) a été particulièrement discutée. L’IdO révolutionne diverses industries en offrant une traçabilité avancée et en permettant l’économie des machines.
Dans cet article, nous examinerons brièvement comment l’IdO révolutionne les industries en permettant le suivi et l’automatisation en temps réel, en particulier lorsqu’il est intégré à la technologie blockchain.
Principaux projets blockchain de l’IdO à l’origine de l’innovation
Des projets de premier plan comme (1) IOTA, (2) Helium et (3) Chainlink améliorent l’interopérabilité et la sécurité. Tangle d’IOTA de son côté soutient les communications machine-machine, Helium fournit des réseaux décentralisés pour les appareils IoT de faible puissance, et Chainlink sécurise l’intégration des données hors chaîne. (4) IoTeX quant à lui se concentre sur l’infrastructure évolutive pour les villes intelligentes, tandis que (5) VeChain améliore la logistique grâce à la traçabilité basée sur l’IdO.
Désinformation
Vers une première solution grand public de détection de deepfakes
pesesurstart.com - ETX Studio
Publié le 23 août 2024
Face à la déferlante des deepfakes sur Internet, ces fausses vidéos produites par de l'IA mais plus vraies que nature, l'éditeur McAfee annonce l'arrivée prochaine sur PC d'un premier outil de détection à destination des internautes.
Un deepfake prend généralement la forme d'une fausse vidéo hautement réaliste, produite à l'aide d'une intelligence artificielle générative. Il est ainsi possible de superposer un visage sur un autre ou de faire dire à quelqu'un des mots qu'il n'a en réalité jamais prononcés. À noter que cela peut aussi concerner de simples fichiers audio, qui reproduisent les voix de personnes pour leur faire dire n'importe quoi.
Il en résulte de la désinformation, avec de véritables campagnes menées sur les réseaux sociaux, et pour les personnes concernées, cela s'assimile à de l'usurpation d'identité. Dans un style plus léger, cela peut aussi conduire à produire des contenus humoristiques, mais toujours sans l'aval des principaux concernés.
Le plus grand risque, observé ces derniers mois, concerne la manipulation de l'opinion publique, dans le but d'influencer des élections ou de déclencher des conflits. Ils représentent par conséquent un risque majeur, surtout lorsqu'ils mettent en scène des personnalités politiques.
Lire la suite : https://www.pesesurstart.com/2024/08/23/vers-une-premiere-solution-grand-public-de-detection-de-deepfakes
Cybersécurité
SentinelOne et Google Cloud renforcent leur partenariat pour une cybersécurité plus robuste
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 21 août 2024
Fort de son partenariat avec Mandiant, une société acquise par Google Cloud en 2022, SentinelOne, leader mondial en cybersécurité, a annoncé ce 20 août le renforcement de sa collaboration stratégique avec Google Cloud. Ce partenariat étendu vise à offrir aux entreprises une cyberdéfense encore plus robuste en combinant la protection autonome avancée des endpoints de SentinelOne avec les capacités de renseignement sur les menaces de Google Cloud.
Basée à Mountain View, en Californie, SentinelOne a été fondée en 2013 par Tomer Weingarten, Almog Cohen et Ehud Shamir. L’entreprise développe des solutions de sécurité autonomes basées sur l’IA pour protéger les endpoints, (points de terminaison tels que les ordinateurs de bureau, les ordinateurs portables, les smartphones, les tablettes, les serveurs), le cloud et les données des entreprises.
Elle propose deux plateformes principales :
Une collaboration pour une meilleure protection des entreprises
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/sentinelone-et-google-cloud-renforcent-leur-partenariat-pour-une-cybersecurite-plus-robuste/
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Vous utilisez des produits IBM ? Attention ! Un risque majeur vous menace avec cette vulnérabilité critique
secret-defense.org - Par Guillaume Aigron
Publié le 18 août 2024
Le 16 août 2024, le CERT-FR a publié un avis détaillant plusieurs vulnérabilités critiques découvertes dans divers produits IBM.
Ces failles, si elles ne sont pas rapidement corrigées, pourraient compromettre la sécurité des systèmes et des données de nombreuses entreprises. Le présent article vous offre un décryptage complet de ces menaces, ainsi que des conseils pour y remédier.
Un bilan inquiétant : des vulnérabilités multiples
Le CERT-FR a répertorié ces vulnérabilités sous la référence CERTFR-2024-AVI-0692. Elles
concernent plusieurs versions de produits IBM, notamment AIX, Cognos Dashboards, Db2, IBM WebSphere Application Server, et bien d'autres. Les bulletins de sécurité émis par IBM entre le 11 et le 16 août 2024 ont permis d'identifier ces failles, dont certaines sont particulièrement dangereuses. Les risques associés à ces vulnérabilités sont nombreux : atteinte à l'intégrité et à la confidentialité des données, contournement de la politique de sécurité, déni de service à distance, exécution de code arbitraire à distance, injection de code indirecte à distance (XSS), et élévation de privilèges. Pour les administrateurs de systèmes, ces menaces ne doivent pas être prises à la légère.
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Lutte contre la cybercriminalité : Analyse du traité sur la cybersécurité de l’ONU et de la position de l’Algérie
elwatan-dz.com - par Par Dr Ali Kahlane
Publié le 24 août 2024
La cybersécurité est devenue une priorité absolue pour les nations du monde entier. Avec l’augmentation des crimes en ligne, allant du vol d’identité au piratage, en passant par le blanchiment d’argent et la pédopornographie, les gouvernements cherchent à mettre en place des cadres législatifs et des conventions internationales pour lutter contre ces menaces.
Cet article examine les principales conventions internationales sur la cybercriminalité, en mettant un accent particulier sur la récente Convention des Nations unies de 2024, qui a été officiellement approuvée le 8 août 2024. Nous explorons également la position de l’Algérie dans ce contexte, son rôle dans la ratification de ces traités, et les implications pour sa politique nationale de cybersécurité.
La Cybercriminalité : Un Défi Mondial
La cybercriminalité est l’une des menaces les plus pressantes du 21e siècle. Elle englobe une variété d’activités illégales qui utilisent les technologies numériques comme vecteur principal.
Ces activités incluent le piratage informatique, le vol d’identité, les fraudes financières, la distribution de contenus illégaux, et bien plus encore. Les criminels exploitent les failles des systèmes informatiques pour voler des informations sensibles, perturber des services et extorquer de l’argent.
L’importance de la cybercriminalité ne se limite pas aux pertes financières. Les cyber-attaques peuvent déstabiliser des gouvernements, menacer la sécurité nationale et violer les droits humains fondamentaux, tels que la vie privée et la liberté d’expression. C’est pourquoi la communauté internationale a cherché à élaborer des conventions pour harmoniser les législations nationales et renforcer la coopération entre les pays.
Les Conventions Internationales sur la Cybercriminalité
Plusieurs conventions et traités internationaux ont été développés pour lutter contre la cybercriminalité. Chaque convention a ses propres objectifs, portée et mécanismes d’application. Nous allons explorer les principales d’entre elles et leur application dans le contexte algérien.
La Position de l’Algérie dans le Contexte International
Lire la suite : https://elwatan-dz.com/lutte-contre-la-cybercriminalite-analyse-du-traite-sur-la-cybersecurite-de-lonu-et-de-la-position-de-lalgerie
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Le symposium d’Helvetia met en lumière les menaces que représente la cybercriminalité
Publié le 21 août 2024
Les représentants du secteur privé, de la recherche, de l’État et de la politique s’accordent à dire que la vulnérabilité aux cyberattaques n’a pas fini d’augmenter.
Martin Jara, CEO de Helvetia Suisse, ouvre le cyber-symposium le 21 mai 2024 à Berne.
Quelle: Helvetia
Veröffentlicht am 21.08.2024 - 14:31 Uhr
Des attaques ciblées contre des infrastructures critiques pourraient entraîner des dommages consécutifs de plus de 1’000 milliards de dollars américains dans le monde entier. La lacune d’assurance en cas de cyberattaques de grande envergure reste très importante en Suisse et dans le monde. Le secteur de l’assurance doit continuer à promouvoir la pénétration des polices cyber sur le marché. Une sensibilisation complète des utilisatrices et utilisateurs ainsi que la mise en place d’une résilience maximale au niveau des entreprises et chez les particuliers sont la base de la lutte contre les cybercriminels. Il est impératif de renforcer la coopération et la coordination entre tous les acteurs concernés, tels que les entreprises, les milieux scientifiques et les pouvoirs publics. La Suisse pourrait jouer le rôle de médiatrice dans la lutte pour des solutions internationales.
Le nombre de cyberattaques dans le monde entier a augmenté de manière significative en l’espace d’un an. Rien qu’au deuxième trimestre 2024, le nombre d’incidents signalés a augmenté d’environ 30% par rapport à la même période de l’année écoulée. En Suisse, on a même enregistré en 2023 une augmentation des cyberattaques de 61% par rapport à l’année précédente. Près de la moitié des grandes entreprises suisses ont été attaquées au moins une fois par des cybercriminels. Les enquêtes actuelles laissent craindre que cette tendance ne s’aggrave au cours de l’année.
Face à cette évolution, le Conseil fédéral a publié cet été un rapport qui, d’une part, souligne la nécessité de coordonner la prévention et la répression et, d’autre part, demande une collaboration encore plus étroite entre les différents acteurs et une intensification du travail de prévention pour protéger la population et les entreprises.
Lire la suite : https://www.handelszeitung.ch/insurance/le-symposium-dhelvetia-met-en-lumiere-les-menaces-que-represente-la-cybercriminalite-740964
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Appels d'offres sur la cybersécurité des ministères : la souveraineté attendra
lemondeinformatique.fr - par Jacques Cheminat
Publié le 23 Aout 2024
Le marché du conseil et de la formation en cybersécurité des ministères a été attribué selon le Canard Enchaîné à un duo franco-canadien, Wavestone et CGI. Ils ont damé le pion à un consortium franco-français en proposant un prix beaucoup moins élevé.
Après l’hébergement des données de santé chez Microsoft dans le cadre du Health Data Hub ou des données de maintenance des centrales nucléaires d’EDF chez AWS, c’est au tour des ministères de retenir un duo franco-canadien pour la cybersécurité des ministères. Le couple Wavestone (cabinet de conseil français) et CGI (SSII canadienne) ont été - selon nos confrères du Canard Enchaîné - les gagnants d’un appel d’offres sur le conseil et la formation en cybersécurité auprès des ministères à l’exception de celui des Armées. Le montant du contrat est estimé à 250 millions d’euros sur 4 ans. Le duo avait déjà été retenu en 2019 pour le même lot.
Ce qui fait grincer des dents est que face aux deux fournisseurs, un consortium comprenant plusieurs acteurs français (Capgemini, Atos, Thalès et Headmind Partners (ex Bejaflore)) affichait l'ambition de rafler la mise. Le Canard indique que ce groupement avait le soutien du patron du Campus Cyber, Michel Van Den Berghe à travers une lettre envoyée au ministère de l’Agriculture. Ce dernier a été choisi pour être le décisionnaire sur l’appel d’offres. Mais l’action de lobbying n’a pas fonctionné.
Un rabais de 30% décrié
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-appels-d-offres-sur-la-cybersecurite-des-ministeres-la-souverainete-attendra-94523.html
Chat GPT
Le Maroc est le deuxième pays au monde pour l'utilisation du ChatGPT
atalayar.com - par Enrique Fernandez
Publié le 23 août 2024
L'utilisation de l'outil dans les entreprises et l'éducation transforme profondément la société marocaine
Le Maroc est le deuxième pays au monde pour l'utilisation de l'outil d'intelligence artificielle ChatGPT. Selon la récente enquête menée par le Boston Consulting Group (BCG), le Maroc est à la pointe de l'utilisation de ChatGPT, devant des pays comme les États-Unis et la Chine et des régions comme l'Union européenne.
Juste derrière le géant technologique qu'est l'Inde, le pays d'Afrique du Nord est à la pointe de l'utilisation de ces nouvelles sciences qui, selon le rapport, sont en train de transformer le secteur de l'éducation.
Tant la connaissance de l'outil (8 Marocains sur 10 le connaissent) que le pourcentage d'utilisation (38% l'utilisent quotidiennement) montrent la voie vers laquelle s'oriente la société marocaine. D'autres données fournies sont le pourcentage de sentiments liés à l'utilisation de l'application : satisfaction (44%), inquiétude (22%) et conflit (34%).
La bonne compréhension associée à la myriade de possibilités offertes par ChatGPTpeut stimuler la créativité, le progrès dans une myriade de domaines et l'innovation, du développement de produits et de services à l'éducation.
Thales
THALES sélectionné par LILIUM pour équiper ses avions électriques
vipress.net - Posté par Pascal Coutance
Publié le 21 Août 2024
L’industriel français fournira au constructeur allemand d’avions électriques à décollage vertical des antennes de navigation et de communication à partir de sa division issue du rachat de Cobham Aerospace Communications.
Thales a annoncé début août avoir été retenu par Lilium en tant que fournisseur pour équiper les avions électriques à décollage et atterrissage verticaux (eVTOL) de la société allemande. Lilium est l’un des principaux constructeurs d’avions électriques qui ambitionne de révolutionner la mobilité aérienne régionale (RAM) et de réduire considérablement les émissions de carbone avec son Lilium Jet dont l’entrée en service est prévue en 2026.
Dans le cadre de ce contrat dont le montant n’a pas été dévoilé, l’industriel français fournira à Lilium des antennes de navigation et de communication à partir de sa division Thales Aerospace Communications dédiée aux solutions de communication et de navigation aéroportées, issue du rachat de Cobham Aerospace Communications, en avril dernier.
L’ensemble des plateformes prévues pour la flotte eVTOL de Lilium comprendra un ensemble constitué d’antennes commerciales disponibles sur étagère (COTS) et d’antennes sur mesure. Ces antennes comprennent VHF Com + GPS, Wi-Fi/LTE, ELT, GNSS, DME, VOR, LOC, Glideslope, UAT et transpondeur, garantissant des capacités de communication et de navigation transparentes pour les avions électriques de Lilium.
« Le segment de la mobilité aérienne régionale présente une opportunité unique d’aider les constructeurs d’avions eVTOL alors qu’ils cherchent à relever les défis en matière de coût et de temps liés au transport aérien métropolitain, se félicite Nicolas Bonleux, vice-président de Thales Aerospace Communications. Cette collaboration permettra de renforcer notre position en tant que fournisseur de confiance dans le domaine des solutions de communication et de navigation aéroportées. »
Lire la suite : https://vipress.net/thales-selectionne-par-lilium-pour-equiper-ses-avions-electriques/
Ville Solaire
Bordeaux : Créer « une ville solaire »… Comment la ville veut rayonner grâce à l’énergie photovoltaïque
LUMINEUX•L’Etat a annoncé lundi un projet de couverture en panneaux solaires de plusieurs échangeurs de la rocade de Bordeaux, ce qui vient s’ajouter à d’autres programmes initiés par la ville
L'essentiel
Faire rayonner la ville grâce au solaire. Avant que la rocade de Bordeaux ne soit recouverte un jour de panneaux solaires, l’Etat a annoncé lundi le lancement d’un projet pour des panneaux photovoltaïques sur différents échangeurs de la ceinture routière bordelaise.
La Dira (Direction interdépartementale des routes atlantique) propose ainsi à des opérateurs « d’installer des panneaux solaires dans les échangeurs 15, 19 et 22 de la rocade de Bordeaux, sur les communes de Pessac, de Villenave-d’Ornon et de Bouliac », annonce la préfecture dans un communiqué.
« L’emprise potentielle de ce projet de centrales photovoltaïques est d’environ sept hectares aux abords immédiats de la rocade de Bordeaux », poursuit la préfecture dans son communiqué. « En mettant à disposition plusieurs emprises du domaine public routier, comme il l’a fait précédemment avec l’aire de Grolle sur la RN10 en Charente, l’État entend poursuivre le développement des énergies renouvelables sur le territoire ». Et en particulier à Bordeaux.
Mobilité
900 millions d’euros d’aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux : les élus et les citoyens divisés sur leur utilité
lefigaro.fr/bordeaux - Par Jean Cittone
Publié le 13/08/2024
Des travaux d’aménagement sont prévus afin de créer une troisième voie au sud de Bordeaux. Un chantier vivement contesté par plusieurs élus locaux, qui déplorent l’abandon des lignes du quotidien au profit des trains à grande vitesse.
Le Figaro Bordeaux
C’est un chantier pharaonique. Le GPSO (Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest) prévoit de relier Bordeaux à Toulouse puis Bordeaux à l’Espagne en créant deux nouvelles lignes à grande vitesse. Un projet à 14,3 milliards d’euros qui implique d’artificialiser plusieurs milliers d’hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers et de réaliser de nombreux travaux d’ampleur. Jusqu’au 28 août, une enquête publique environnementale est en cours à propos des aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux (AFSB), partie intégrante du GPSO, dont le coût est estimé à 900 millions d’euros. Plusieurs avis ont été déposés, témoignant de vives inquiétudes.
La communauté de communes de Montesquieu (CCM), située au sud de la métropole de Bordeaux, a par exemple rendu un avis négatif et détaillé, déplorant notamment des «incidences significatives et graves» sur un site Natura 2000, «ses habitats et ses espèces». Selon la collectivité girondine, «la ligne ferroviaire va couper de nombreuses continuités écologiques et hydrauliques dans une zone très riche en esteys et ruisseaux avec des risques de pollutions potentielles non maîtrisés». Le Conseil national pour la protection de la nature (CNPN) est également défavorable à ces aménagements, estimant que «les perspectives réelles» des mesures de compensation présentées pour pallier la destruction des espaces naturels «ne sont pas convaincantes et inquiètent pour l’avenir des espèces protégées».
L’enjeu du RER métropolitain
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Le Navigo annuel et Liberté + sur smartphone, c’est pour quand ?
leparisien.fr - Par Marion Hilaire
Publié le E12 août 2024
Les 4 millions de voyageurs transportés chaque jour durant les JO ont pu payer leur ticket de métro via leur téléphone. Une expérience fort attendue par une bonne partie des usagers, pour l’instant exclus du dispositif.
Paris (XVe), station de métro Bir-Hakeim, le 9 juillet. Le paiement par smartphone a été privilégié durant les Jeux olympiques pour éviter l'affluence aux automates. LP/Delphine Goldsztejn
« Waouh, ça fonctionne, c’est magique ! » s’émerveille Annabelle après avoir validé pour la première fois de sa vie son ticket de métro depuis son téléphone en gare de Montparnasse. « C’est vraiment super. On a été aidé par du personnel RATP, mais maintenant, on va gagner tellement de temps », se félicite la jeune femme, même si son amie Sally, elle, fait la moue : « Je n’ai pas la bonne mise à jour sur mon téléphone, donc j’ai dû acheter un passe Navigo Easy à 2 euros pour mettre mon ticket dessus », soupire-t-elle.
Depuis fin mai 2024, la version dématérialisée du passe Navigo est disponible pour les propriétaires d’iPhone — ceux qui possèdent des téléphones Android peuvent le faire depuis fin 2022. Pour valider, il suffit d’accoler au portique votre smartphone ou montre connectée après avoir acheté votre titre de transport sur l’application d’Île-de-France Mobilités (IDFM).
30 % de titres dématérialisés vendus pendant les Jeux
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Metz : les transports en commun deviendront-ils gratuits pour tous, un jour ?
actu.fr - Par Florent Arnold
Publié le 14 août 2024
La gratuité des transports en commun à Metz est un sujet qui est loin de faire l'unanimité. La majorité est férocement contre, mais l'opposition à gauche ne lâche pas.
Pourra-t-on un jour prendre le Mettis sans acheter de ticket ? À Metz, l’opposition de gauche s’est investie de la mission de rendre les transports en commun gratuits. Réunis avec des syndicalistes autour d’un collectif, ils avaient mis la pression à la majorité en mars 2024 en publiant une pétition.
Pourtant, dans le magazine de la Métropole de mai-juin 2024, la majorité de cette instance menée par François Grosdidier s’est targuée d’une double page en défaveur de la gratuité du MET’.
Comment financer la gratuité des transports en commun à Metz ?
L’Eurométropole estime à 21 millions d’euros par an le coût de la mise en place de la gratuité sur l’ensemble de son réseau de bus. D’après la majorité, financer ce projet paraît impossible. Il est inenvisageable, pour eux, de supprimer les contrôleurs pour des raisons de sûreté. Quant à la billettique, elle est indispensable pour suivre la fréquentation du réseau. La seule solution, à leurs yeux, serait d’augmenter la taxe foncière sur le bâti de 2,09 % à 8 %. « Une charge lourde pour l’ensemble des ménages », est-il écrit.
Lire la suite : https://actu.fr/grand-est/metz_57463/metz-les-transports-en-commun-deviendront-ils-gratuits-pour-tous-un-jour_61482045.html
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Cette start-up veut révolutionner le transport urbain grâce à son hélicoptère électrique
presse-citron.net - Par Mathilde Rochefort
Publié le 12 août 2024
Ce concept de taxi volant promet des trajets urbains rapides, écologiques et abordables.
Bien que les eVTOL (véhicules électriques à décollage et atterrissage verticaux) suscitent beaucoup d’intérêt et fassent l’objet de nombreuses discussions dans le secteur de la mobilité urbaine, leur adoption à grande échelle et leur intégration concrète dans les systèmes de transport actuels restent encore un défi à surmonter. Avec l’eCopter, la start-up FlyNow Aviation entend changer la donne.
FlyNow Aviation opte pour les trajets prédéfinis plutôt que le pilotage autonome
Basée à Salzburg en Autriche, FlyNow Aviation a été fondée en 2019. Elle teste actuellement l’eCopter, son aéronef classé comme hélicoptère électrique par l’Agence européenne de la sécurité aérienne. L’appareil, qui utilise un système de propulsion coaxial électrique avec deux rotors contrarotatifs, devrait ainsi bénéficier d’une certification plus rapidement que pour les taxis aériens de type drone.
Sa conception modulaire et simplifiée, avec peu de pièces mobiles, réduit les points de défaillance potentiels et facilite la maintenance, explique l’entreprise. Doté d’une autonomie de 50 kilomètres, l’eCopter atteint une vitesse de croisière de 130 kilomètres par heure. Il dispose, en outre, d’une capacité de charge maximale de 200 kilos. La start-up compte aussi bien l’exploiter pour transporter du cargo qu’un ou deux passagers.
Lire la suite : https://www.presse-citron.net/cette-start-up-veut-revolutionner-le-transport-urbain-grace-a-son-helicoptere-electrique/
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Voirie et espace public : la Métropole transforme le territoire
lillemetropole.fr - Aménagement de la Métropole
Publié le 13 août 2024
La MEL investit massivement pour transformer durablement son territoire au travers de projets innovants. Focus sur quelques chantiers.
Les projets de la Métropole pour transformer durablement le territoire sont nombreux. Innovants, ils répondent aux enjeux environnementaux et économiques. Les 20 000 interventions annuelles dans l’espace public nécessitent bien sûr des investissements massifs. Au total, 500 M€ seront investis entre 2022 et 2026. Et en 2024, 430 chantiers représentant un montant de près de 130 M€ sont prévus.
Trois grands bénéfices pour le territoire
Important renforcement des aménagements cyclables, large piétonisation urbaine, mise en œuvre de zones 30, transports publics toujours plus efficaces… Tout cela contribue à une utilisation raisonnée de l’automobile pour limiter les émissions de gaz à effet de serre.
Lieu de déplacements, l’espace public est aussi un lieu de rencontres, d’échanges et de promenades. Il constitue donc un véritable lieu de vie qu’il s’agit de mettre en valeur et d’améliorer, via des équipements et des dispositifs qui en facilitent le partage et permettent les usages de chacun.
Un territoire est dit résilient lorsqu'il est capable d'anticiper, de réagir, et de s'adapter à des perturbations. C’est ce à quoi la MEL s’emploie en créant des aménagements aptes à lutter contre le changement climatique, les inondations ou les phénomènes de sécheresse récurrents.
Focus sur trois projets
Lire la suite : https://www.lillemetropole.fr/actualites/voirie-et-espace-public-la-metropole-transforme-le-territoire
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Google Maps dévoile une fonctionnalité révolutionnaire pour les utilisateurs des transports en commun
sports-cars.fr - Par Luc Jarson
L’application de navigation star de Google ne se contente plus de guider les automobilistes. Avec sa nouvelle fonction dédiée aux transports en commun, Google Maps s’impose comme l’allié incontournable des citadins soucieux de leur ponctualité. Découvrez comment cette innovation peut transformer vos déplacements urbains.
Une application polyvalente au service de tous les usagers
Google Maps s’est imposé comme l’outil de navigation par excellence pour de nombreux automobilistes. Cependant, l’application ne cesse d’évoluer pour répondre aux besoins d’un public plus large. Sa nouvelle fonctionnalité dédiée aux transports en commun marque une avancée significative pour les usagers non-motorisés.
Cette mise à jour permet désormais d’accéder en temps réel aux informations sur les réseaux de transport public de votre ville. Horaires, itinéraires, correspondances : tout est à portée de main pour optimiser vos déplacements et dire adieu aux retards.
Lire la suite : https://www.sports-cars.fr/google-maps-devoile-une-fonctionnalite-revolutionnaire-pour-les-utilisateurs-des-transports-en-commun/
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Les rencontres données de mobilité 2024 par l’Art
avec.fr - Communiqué
Publié le 12 août 2024
Cinq ans après la promulgation de la loi d’orientation des mobilités (LOM) qui définit le cadre juridique nécessaire à l’ouverture des données utiles à l’information voyageurs, l’Autorité de régulation des transports (ART) organise, le 7 octobre 2024, un webinaire sur le thème des données de mobilité.
Face, notamment, aux difficultés que rencontrent toujours certains acteurs à se mettre en conformité avec les obligations de publication et réutilisation des données de mobilité qui leur incombent, à la récente modification du règlement MMTIS (Multi-Modal Travel Information Services) et à l’extension des données de mobilité pouvant être publiées sur le Point d’Accès National : ce webinaire permettra de rappeler le cadre juridique et ses évolutions récentes, de faire le point sur le déploiement des profils et des normes, de présenter les actions à venir du Point d’accès national et de l’ART mais aussi de partager des retours d’expériences avec les détenteurs et utilisateurs de données ainsi que des usagers de l’information voyageurs.
Cet évènement s’adresse aux autorités organisatrices de la mobilité et à leurs délégataires ou prestataires, aux entités en charge de la publication des données de mobilité, aux opérateurs de transports, et aux réutilisateurs de données de mobilité.
Déroulé prévisionnel des rencontres :
Rendez-vous : Lundi 07 octobre 2024
Lire sur : https://www.avem.fr/evenement/les-rencontres-donnees-de-mobilite-2024-par-lart/
Services publics
"57 % des habitants ne connaissent pas France Services". Un état des lieux du désengagement de l’État en zone rurale
ladepeche.fr - Par Venance Bertrand-Trouvé
Publié le 15 août 2024
Si la question des services publics en milieu rural intéresse depuis plus de dix ans les trois universitaires, leurs travaux ont connu un regain d’intérêt avec la crise des Gilets Jaune. "On nous a demandé d’avoir des cas concrets et un discours national" explique François Taulelle, enseignant-chercheur en géographie. Avec ses collègues géographe Thibault Courcelle et sociologue Ygal Fijalkow, ils publient "Égalité, accessibilité, solidarité : les renoncements de l’État", un ouvrage qui synthétise leurs recherches sur les services publics en zone rurale.
Les trois universitaires se sont intéressées à dix intercommunalités de faible densité de populations dans les départements des Hautes-Pyrénées, d’Indre, d’Ardèche, de Nièvre et du Cantal. Aidés par des élèves de master, ils y ont interrogé plus de 1 600 habitants.
L’éducation et la santé, premières inquiétudes de la population
"Ceux qui habitent dans ces territoires ne se plaignent pas d’être isolés" souligne Ygal Fijalkow. Mais ils ressentent une forme d’abandon face aux regroupements ou aux fermetures de certaines administrations. "Les personnes se plaignent par exemple de ne plus avoir accès au Trésor public", cite le sociologue. La fermeture d’écoles et le manque de médecins sont également "en tête des préoccupations des habitants" poursuit-il.
Au-delà du service, c’est le message qu’envoie la fermeture d’un établissement qui est mise en avant dans le travail des universitaires. "Une pharmacie c’est très symbolique. Avec sa fermeture, c’est une certaine catégorie sociale qui quitte le village" explique François Taulelle. "La poste aussi est un totem", ajoute Ygal Fijalkow : "Enlever la Poste, c’est porter atteinte à la collectivité".
Lire la suite (Réservée aux abonnés) : https://www.ladepeche.fr/2024/08/15/57-des-habitants-ne-connaissent-pas-france-services-un-etat-des-lieux-du-desengagement-de-letat-en-zone-rurale-11999162.php
Intelligence artificielle
Exploration des dangers de l’intelligence artificielle avec l’AI Risk Repository
https://elblog.pl/fr/ - Par Kevin Topolsky
Publié le 16 août 2024
Une équipe de chercheurs du groupe FutureTech du Laboratoire d’informatique et d’intelligence artificielle (CSAIL) du MIT s’est lancée dans une entreprise révolutionnaire visant à compiler un répertoire exhaustif des risques liés à l’IA.
Les chercheurs ont découvert des lacunes significatives dans les cadres existants d’évaluation des risques liés à l’IA, avec environ 30% des risques identifiés qui étaient négligés même par les cadres individuels les plus complets. Cela met en évidence un défi urgent dans le domaine – la dispersion des informations concernant les risques liés à l’IA à travers les revues académiques, les prépublications et les rapports industriels crée des angles morts dans la compréhension collective.
Le projet du Répertoire des risques liés à l’IA se compose de trois composantes principales :
1. **Base de données des risques liés à l’IA :** Compilation de plus de 700 risques issus de 43 cadres d’IA existants.
2. **Taxonomie causale :** Classification des risques pour comprendre comment, quand et pourquoi ils surviennent.
3. **Taxonomie de domaine :** Catégorisation des risques en sept domaines de base et 23 sous-domaines, incluant la discrimination, la confidentialité, la désinformation, les acteurs malveillants, l’interaction homme-ordinateur, les dangers socio-économiques et environnementaux, ainsi que la sécurité, les dommages et les limites des systèmes d’IA.
Lire la suite : https://elblog.pl/fr/2024/08/16/exploration-des-dangers-de-lintelligence-artificielle-avec-lai-risk-repository/
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L’intelligence artificielle pourrait rendre les marchés mondiaux plus instables
netpublic.fr - Par l’équipe Netpublic
Publié le 16 août 2024
Le dernier lundi noir sur les marchés financiers mondiaux, avec les actions de toutes les grandes entreprises technologiques en chute libre, suggère qu’une question, parmi beaucoup d’autres, devrait être posée : quel impact l’intelligence artificielle et, en particulier, la circonstance que, au moins jusqu’à présent, les usines d’algorithmes les plus prometteuses ont leurs usines dans les sièges des grandes entreprises technologiques ont eu, et pourraient avoir à l’avenir sur les marchés financiers mondiaux ?
Réalités possibles
Comme toujours dans le domaine des marchés financiers, il n’y a bien sûr pas de réponse unique possible, mais une série d’alternatives. Parmi celles-ci, l’une suggère que la forte concentration de ces actifs technologiques entre les mains d’une poignée d’entreprises, qui sont déjà les maîtres incontestés des marchés numériques, l’extrême volatilité et l’inconstance des choses de l’intelligence artificielle, et la nature transversale de l’IA par rapport à des marchés très éloignés de celui de la technologie, pourraient représenter les éléments d’une tempête parfaite destinée à produire une saison de grande instabilité systémique sur les marchés financiers, les tirant brusquement vers le haut et les laissant plonger, tout aussi rapidement, vers le bas, avec des pics et des creux tout aussi élevés et profonds.
Il convient de s’arrêter quelques instants sur chacun de ces éléments. Le premier peut être considéré comme une évidence : ce sont et ce seront les big techs – moins d’une dizaine d’entreprises mondiales qui dominent déjà les marchés numériques – qui sont les protagonistes de l’industrie de l’intelligence artificielle.
Ensemble, en termes financiers, elles pèsent plus de 20 000 milliards de dollars, soit près de 20 % de l’ensemble du marché mondial, sans parler de la puissance technologique qu’elles détiennent et qui est capable d’allumer et d’éteindre le monde dans toutes ses dimensions. Il n’y a donc aucun doute sur l’existence d’une énorme concentration – probablement la plus grande jamais enregistrée à ce jour – de pouvoir technologique et financier entre les mains d’une toute petite poignée de sujets.
Une volatilité perpétuelle
Lire la suite : https://www.netpublic.fr/blog/lintelligence-artificielle-pourrait-rendre-les-marches-mondiaux-plus-instables/
Détection
Le dispositif de détection des incendies fait figure d'exemple pour les départements du Loiret, du Loir-et-Cher et du Cher
Sarthe.fr - Communiqué
Publié le 11 août 2024
Le dispositif de détection des incendies mis en place par le Service Départemental d'Incendie et de Secours de la Sarthe (SDIS) fait figure de modèle pour les départements du Loiret, du Loir-et-Cher et du Cher.
Dominique Le Mèner, Président du Conseil départemental de la Sarthe et du Service départemental d'Incendie et de Secours de la Sarthe, a accueilli, ce jeudi 8 août, au SDIS de Coulaines, Philippe Sartori, Président du SDIS 41 et vice-président du Conseil départemental du Loir-et-Cher en charge de la sécurité, de la protection de la population et du service départemental d'incendie et de secours.
Au programme de cette rencontre, la présentation du dispositif de détection des incendies. Il comprend 16 points hauts maillant tout le territoire et qui peuvent détecter à 360° les départs de feux.
Les SDIS du Loiret, Loir-et-Cher et Cher, vont installer le même dispositif novateur que celui des sapeurs-pompiers sarthois.
Lire la suite : https://www.sarthe.fr/actualites/le-dispositif-de-detection-des-incendies-fait-figure-dexemple-pour-les-departements-du
RGPD
X (anciennement Twitter) face à neuf plaintes de NOYB pour violation du RGPD
actuia.com - par Thierry Maubant.
Publié le 13 août 2024
La Commission de protection des données (DPC) irlandaise a annoncé le 8 août dernier avoir obtenu du réseau social X la suspension du traitement des données à caractère personnel contenues dans les publications publiques de ses utilisateurs dans l’UE/EEE, traitées entre le 7 mai 2024 et le 1er août 2024. NOYB, estimant cet engagement insuffisant, a fait savoir ce lundi 12 août qu’elle a porté plainte auprès des organismes compétents dans neuf pays européens contre X afin d’obtenir une enquête complète.
Noyb est une organisation à but non lucratif basée à Vienne, en Autriche, qui vise à faire respecter les droits à la vie privée et à la protection des données personnelles. Elle a notamment porté plainte contre OpenAI auprès de l’autorité autrichienne de protection des données, et plus récemment, déposé 11 plaintes contre Meta qui ont poussé ce dernier à suspendre l’utilisation des données personnelles de ses utilisateurs dans l’UE/EEE.
Une violation flagrante du RGPD
En mai 2024, X a commencé à utiliser les données personnelles de plus de 60 millions d’utilisateurs européens, notamment pour développer son IA “Grok”. Cependant, cette initiative s’est faite sans aucune communication préalable avec les utilisateurs, et surtout, sans leur consentement explicite, un élément pourtant fondamental du RGPD. Au contraire, il semble que le nouveau paramètre par défaut permettant d’utiliser ces données par X, le réseau social d’Elon Musk, et sa start-up xAI à l’origine de Grok, ait été révélé grâce à une publication virale d’un utilisateur nommé « @EasyBakedOven » le 26 juillet dernier.
L’intervention de la DPC irlandaise : une action mitigée
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/x-anciennement-twitter-face-a-neuf-plaintes-de-noyb-pour-violation-du-rgpd/
Cybersécurité
Cybercriminalité en France : une menace en constante évolution selon ce rapport
madeinperpignan.com - Par Maïté Torres
Publié le 11 août 2024
En 2023, la cybercriminalité a continué de croître en France, posant des défis majeurs aux institutions, entreprises et citoyens. Ce rapport annuel, le premier du genre du ministère de l’Intérieur sur la cybercriminalité en 2024 dresse un tableau complet des menaces et des réponses apportées par les autorités françaises.
Une augmentation constante des infractions numériques
Le rapport révèle que 278 770 atteintes numériques ont été enregistrées en 2023, soit une augmentation de 40% par rapport aux cinq dernières années. Parmi ces infractions, les atteintes aux biens représentent la majorité, avec 130 000 escroqueries répertoriées, représentant 59% des infractions numériques. Les atteintes aux personnes et aux institutions suivent, constituant respectivement 34,5% et 6% des infractions.
Les femmes âgées de 18 à 44 ans sont particulièrement ciblées, représentant 50% des victimes d’atteintes numériques à la personne. Les cyberdélinquants exploitent diverses méthodes pour atteindre leurs objectifs, notamment les rançongiciels, les escroqueries en ligne et les attaques par déni de service distribué (DDoS).
Les rançongiciels : une menace croissante
Les attaques par rançongiciel ont connu une augmentation de 28% en 2023, avec 542 saisines enregistrées par la section J3 du Parquet de Paris. Ces attaques, qui consistent à chiffrer les données des victimes et à exiger une rançon pour leur déchiffrement, sont devenues plus fréquentes en raison de l’industrialisation des processus cybercriminels. « Le rançongiciel en tant que service permet une démocratisation de ce type d’attaque », souligne le rapport.
Les escroqueries en ligne : des méthodes diversifiées
Lire la suite : https://madeinperpignan.com/cybercriminalite-le-rapport-du-ministere-de-linterieur-montre-une-menace-en-constante-evolution/
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Écouter des câbles HDMI pour pirater des mots de passe, une technique qui inquiète
clubs.com - Par Alexandre Boero
Publié le 17 août 2024
La menace qui consiste à pirater des câbles HDMI en écoutant les émissions électromagnétiques qu'ils émettent inquiète la communauté cyber. Elle permet de voler des données sensibles, comme des mots de passe.
Les chercheurs en cybersécurité d'une université de l'Uruguay ont mis en lumière une technique relativement peu connue du grand public mais carrément redoutable, avec le vol de données sensibles grâce à de simples câbles HDMI. La technique, qui permet de faire de cette technologie un outil d'espionnage, repose sur l'interception des émissions électromagnétiques des câbles HDMI. En quoi consiste-t-elle plus précisément ?
Un piratage du câble HDMI qui permet de reconstituer ce qui se trouve à l'écran de la victime
Les membres de la Universidad de la Republica de Montevideo ont démontré qu'il était possible d'exploiter l'intelligence artificielle pour décoder les émissions électromagnétiques de connexions HDMI. Cette technique permet de reconstituer le contenu affiché sur l'écran d'un ordinateur, ce qui ouvre la voie à une nouvelle forme de piratage, dont il va falloir se méfier.
C'est grâce à un équipement de radio logicielles que l'on peut retrouver dans le commerce que les chercheurs ont pu capturer ces émissions et utiliser des algorithmes d'apprentissage profond pour reconstruire aussi bien les textes que les images. Ils évoquent une précision pouvant aller jusqu'à 70%.
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-535013-ecouter-des-cables-hdmi-pour-pirater-des-mots-de-passe-une-technique-qui-inquiete.html
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JO Paris 2024 : 141 événements de cybersécurité en lien avec l'organisation des Jeux comptabilisés par l'ANSSI
francebleu.fr - Par Coline Mollard
Publié le 13 août 2024
L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information comptabilise au total 141 événements de cybersécurité pendant les Jeux olympiques de Paris 2024, la plupart ayant eu un impact faible.
Au total, 141 événements de cybersécurité affectant des entités en lien avec l'organisation des Jeux olympiques de Paris 2024 ont été rapportés à l'ANSSI entre le 26 juillet et le 11 août, selon un communiqué de l'agence publié ce mardi, précisant que "tous les événements cyber survenus au cours de cette période sont globalement caractérisés par leurs faibles impacts". Quelques jours après le début des Jeux, le Premier ministre démissionnaire, Gabriel Attal, avait rapporté que 68 cyberattaques avaient été détectées et déjouées.
Pas de conséquences sur les cérémonies et les épreuves
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Cybercriminalité: ce qu’anticipe le ministère de l’Intérieur
zdnet.fr - Par Gabriel Thierry
Publié le 12 août 2024
Dans son dernier rapport annuel sur la cybercriminalité, la Place Beauvau signale ses axes de vigilance sur l’évolution de la criminalité informatique.
Une probable réorganisation des gangs de rançongiciels, un perfectionnement des cybercriminels, des formes de hameçonnage à surveiller ou encore des services criminels encore plus accessibles. Dans son premier rapport sur la cybercriminalité, dont ZDNET.fr vous avait déjà parlé, le commandement du ministère de l’Intérieur dans le cyberespace partage également ses anticipations sur l’évolution de la menace.
Ainsi, les policiers et les gendarmes estiment qu’il y aura de “probables recompositions ou réorganisations” des cybercriminels impliqués dans le rançongiciel. Ces logiciels malveillants visent à faire de l’extorsion. Cette analyse fait actuellement consensus. Après les coups de butoir judiciaires contre l’ancien leader du secteur, LockBit, au printemps, il est en effet probable que des cybercriminels se détournent de cette franchise criminelle pour offrir leurs services à d’autres gangs.
Démocratisation à surveiller
Ce genre de gang peut attirer des “jeunes pirates informatiques disposant de peu de moyens”, rappelle le ministère de l’Intérieur. Cette démocratisation de la cybercriminalité, observée en 2023, “sera un axe à suivre avec attention en 2024”. Ce phénomène est facilité par la simplicité d’accès aux forums des cybercriminels, mais également poussé par “un sentiment d’impunité”.
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/cybercriminalite-ce-quanticipe-le-ministere-de-linterieur-395603.htm
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Cybersécurité : 2,7 milliards de données personnelles publiées sur le dark web
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 14 août 2024
Les données volées comprennent notamment des adresses postales et numéros de sécurité sociale appartenant à des citoyens américains, canadiens et britanniques. Elles ont été obtenues auprès de National Public Data, une société américaine collectant des données personnelles pour vérifier les antécédents de futurs employés et aider les enquêteurs privés.
Des cybercriminels ont publié gratuitement 2,7 milliards d’entrées contenant des données personnelles sur BreachForums, l’un des plus importants sites de piratage. Ces données, non chiffrées, comprennent en grande majorité les noms, prénoms, adresses postales et numéros de sécurité sociale de citoyens américains. Les Canadiens et Britanniques seraient aussi concernés.
Une société qui agrège des données personnelles avant de les revendre
L’ensemble de ces entrées provient de National Public Data, une société basée à Coral Springs (Floride) qui collecte des données personnelles à partir de bases de données publiques et privées et de dossiers judiciaires. Ce courtier en données s’adresse aux entreprises souhaitant effectuer des vérifications d’antécédents judiciaires et professionnels pour leurs futurs recrutements, ainsi qu’aux enquêteurs privés.
En avril, un acteur malveillant nommé “USDoD” affirmait avoir en sa possession 2,9 milliards de fichiers comprenant les données personnelles de citoyens américains, canadiens et britanniques, appartenant à National Public Data. Il avait mis en vente cette base de données pour 3,5 millions de dollars (3,17 millions d’euros). Plusieurs hackers ont ensuite diffusé des copies partielles de données, contenant à chaque fois un nombre différent d’entrées.
National Public Data visée par quatre actions collectives
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-2-7-milliards-de-donnees-personnelles-publiees-sur-le-dark-web.N2217166
Lille Métropole
La campagne de programmation 2025 du contrat de ville est ouverte
lillemetropole.fr - Communiqué
Publié le 08 août 2024
Appel à projets 2025. Vous avez un projet à mener dans les quartiers prioritaires de la ville qui répond aux enjeux du contrat de ville et des solidarités ?
La campagne de programmation 2025 du contrat de ville s’adresse à tous ceux qui agissent avec et pour les habitants des quartiers prioritaires de la Politique de la Ville.
Elle est proposée conjointement par la MEL, l’Etat, les Villes en Politique de la Ville, le Conseil régional, le Département et la Caisse d’Allocations Familiales.
Vous avez un projet qui répond aux enjeux du contrat de ville ? Vous trouverez ci-dessous l’ensemble des informations utiles : l’accès aux liens « démarches simplifiées » pour saisir vos dossiers et la note de cadrage. Vous pouvez également vous connecter directement sur le site « demarches-simplifiees.fr ».
Nous vous invitons également à prendre contact avec les chefs de projet politique de la ville des villes ou avec le service Politique de la Ville de la MEL chargés de vous guider dans le dépôt de votre dossier.
Date limite de dépôt des dossiers : le mardi 15 octobre
Plateforme dématérialisée "Démarches simplifiées"
Programmation 2025 du contrat de ville
Avant de renseigner toute demande de subvention, merci de bien vouloir enregistrer votre structure.
• J’enregistre ma fiche structure
Une fois mon dossier structure enregistré, je peux renseigner mes demandes de subventions
• Si mon projet concerne une seule commune, j'enregistre mon dossier de demande de subvention en dossier COMMUNAL.
• Si mon projet se déroule sur plusieurs communes et/ou à une échelle d’intervention métropolitaine, j'enregistre mon dossier de demande de subvention en dossier INTERCOMMUNAL*.
Les dossiers PRE doivent être enregistrés dans la programmation communale avec
• un dossier global reprenant l’ensemble des actions (il n’est pas nécessaire de déposer une fiche par action)
• un dossier ingénierie
Des groupes d’appui technique seront organisés début septembre à la MEL – bâtiment biotope afin de vous aider à déposer vos projets sur démarches simplifiées et pour répondre à toutes questions sur la programmation.
Vous pouvez vous inscrire via le lien suivant (lien disponible prochainement)
*Les actions intercommunales susceptibles de bénéficier d’une subvention de la MEL doivent :
- avoir un caractère intercommunal, c’est-à-dire toucher au minimum 2 villes différentes
Lire la suite : https://www.lillemetropole.fr/actualites/la-campagne-de-programmation-2025-du-contrat-de-ville-est-ouverte
Mobilité
Métropole Nice Côte d’Azur : La ligne 5 du tramway représente un investissement de 376 M€
investincotedazur.com - Communiqué
Faits marquants
• Approbation officielle : Le conseil métropolitain de Nice Côte d’Azur valide le financement et les enquêtes nécessaires pour la ligne 5 du tramway.
• Montant total : Le coût prévisionnel est estimé à 376 millions d’euros HT, incluant travaux, acquisitions foncières et équipements.
• Impact économique et environnemental : Création d’emplois, réduction des émissions de carbone et amélioration de la mobilité urbaine.
Le conseil métropolitain de Nice Côte d’Azur a approuvé, début juillet, les procédures d’enquête et les autorisations nécessaires pour la mise en œuvre de la ligne 5 du tramway. Ce projet, essentiel pour le territoire, représente un investissement majeur de 376 millions d’euros hors taxes, couvrant les ajustements post-concertation, les acquisitions foncières, les travaux d’infrastructure et les équipements requis. Ce financement ambitieux vise à desservir les quartiers de Nice-Bon Voyage, Nice-L’Ariane, ainsi que les communes de La Trinité et Drap.
Impact économique et environnemental
L’investissement dans la ligne 5 du tramway aura des retombées économiques et environnementales importantes. Le projet, qui concerne 47 000 habitants et 14 000 emplois, vise à économiser 2 000 tonnes équivalent carbone par an. Il inclut également la plantation de plus de 1 000 arbres et la création d’espaces publics végétalisés, contribuant à la réduction des îlots de chaleur urbains.
Intermodalité et infrastructures
Le projet prévoit la construction de 7,6 km de nouvelle infrastructure, desservant 15 stations et incluant des pistes cyclables et des parkings-relais à des emplacements stratégiques. La ligne améliorera l’offre de transports collectifs et leur qualité en intermodalité avec trois gares ferroviaires existantes : La Trinité-Victor, L’Ariane-La Trinité, et Pont-Michel.
Prochaines étapes
Lire la suite : https://www.investincotedazur.com/metropole-nice-cote-dazur-la-ligne-5-du-tramway-represente-un-investissement-de-376-me/
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L’IoT pour réguler le passage des véhicules de premiers secours
trm24.fr - Par Sarah Attal
Publié le 8 août 2024
L’internet des objets (IoT) ne cesse de se développer dans les transports. Les innovations sont de plus en plus nombreuses. Objenious, marque de Bouygues Telecom dédiée à l’internet des objets, présente une série de projets concrétisés comme ces feux de circulation connectés proposés par Ford pour faciliter le déplacement des véhicules de secours.
Ford a donc créé des feux de circulation connectés, passant automatiquement au vert quand ils détectent les pompiers, les ambulanciers et les véhicules de police. Le Ministère Fédéral Allemand du Numérique et des Transports a décidé de financer ce projet, avec le soutien d’entreprises, d’universités et de la ville test d’Aix-la-Chapelle. L’Allemagne a pu ainsi expérimenter en avant-première cette application routière innovante.
Grâce à un prototype spécifique aux véhicules dit C-V2X (Cellular Vehicle-to-Everything), fonctionnant avec la 4G et la 5G, les itinéraires sont plus fluides sur les routes allemandes. Les véhicules de secours communiquent avec l’infrastructure routière pour simplifier le parcours et adapter la vitesse. Le feu tricolore passe au vert au moment opportun, sans qu’il n’y ait d’accélération ou de freinage trop abrupts.
Les services d’urgence et les pompiers doivent parfois se déplacer dans un immeuble en feu et envahi par la fumée. La progression est très compliquée et se fait parfois dans un environnement opaque, complexifiant ainsi la recherche de potentielles victimes. Aux Etats-Unis, les pompiers bénéficient de dispositifs IoT connectés – comme des casques connectés, qui leur offrent une meilleure visibilité dans les situations où ils ne peuvent plus se fier à leur simple vision. Ces outils deviennent essentiels lorsque la méthode traditionnelle de « suivre les murs » ne suffit plus à assurer leur sécurité lors des déplacements.
Fonctionnant grâce à la 5G, la technologie C-Thru (Qwake) combine imagerie thermique et détection infrarouge dans un casque de réalité augmentée qui permet de voir en toutes circonstances.
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Lire la suite : https://www.trm24.fr/liot-pour-reguler-le-passage-des-vehicules-de-premiers-secours/
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23e édition de la Semaine européenne de la mobilité
edd.ac-besancon.fr Par Eric Jourdan
Publié le 8 août 2024
La 23ème édition de la Semaine européenne de la mobilité se déroulera du 16 au 22 septembre 2024 dans de nombreuses villes européennes. Cet événement vise à inciter les citoyens et les collectivités à opter pour des modes de déplacements plus respectueux de l’environnement.
Objectifs de la semaine europennée de la mobilité :
• Améliorer la qualité de vie et promouvoir des infrastructures à taille humaine
• Valoriser d’autres initiatives européennes, tels que le plan REPowerEU et le pacte vert pour l’Europe
• Faciliter l’utilisation de modes de transport plus écologiques et encourager un changement des comportements en changeant l’affectation de l’usage des infrastructures routières et en soutenant les conditions à l’usage d’une mobilité active et des transports publics
Thème 2024 : « L’espace public partagé ». L’espace public partagé apporte de nombreux avantages à la société. Un endroit où les personnes, les modes de transport et les activités ont tous leur propre espace est un endroit où il y a plus d’équité sociale, plus de sécurité routière, moins de bruit et de pollution atmosphérique et une meilleure qualité de vie.
La Semaine européenne de la mobilité nous invite à décider collectivement de la manière de partager notre espace public et à garantir que chacun puisse se déplacer en toute sécurité et confortablement dans un environnement agréable, en particulier les piétons et les cyclistes.
Lire la suite : http://edd.ac-besancon.fr/23e-edition-de-la-semaine-europeenne-de-la-mobilite/
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PARIS : TACTIC transforme la logistique urbaine dans la Métropole du Grand Paris
presseagence.fr - Par Gilles Carroyer
Publié le 8 août 2024
EIT Urban Mobility est une initiative du European Institute of Innovation and Technology (EIT), un organe de l’Union européenne.
EIT Urban Mobility finance le projet TACTIC qui, au travers de solutions de livraison écologiques (vélos cargos électriques et véhicules utilitaires), transforme la logistique urbaine dans la Métropole du Grand Paris.
Le projet TACTIC (Tools for locAl Commerce logisTICs), mené par un consortium piloté par Factual et Clem’, et constitué de la Métropole du Grand Paris et de la Ville de Barcelone, a été retenu dans le cadre d’un appel à projet européen de l’EIT Urban Mobility, une initiative de l’Institut européen d’innovation et de technologie (EIT), un organe de l’Union européenne.
Le projet TACTIC se concentre sur des solutions écologiques de livraison du dernier kilomètre. Il permet aux professionnels (commerçants, artisans, logisticiens) de bénéficier d’un système de
partage de véhicules utilitaires légers et de vélos-cargos pour leurs déplacements et leurs livraisons de marchandises. La ville de Rueil-Malmaison va expérimenter la solution jusqu’à mi-2024.
Avec la Métropole du Grand Paris, la ville de Rueil-Malmaison teste et lance en collaboration avec l’entreprise Clem’, une plateforme innovante de partage de véhicules utilitaires ouverte aux
commerçants, artisans, professionnels de la logistique, ainsi qu’aux habitants, pour leur transport de marchandises. Des véhicules utilitaires et des vélos-cargos électriques, situés respectivement
dans le centre-ville de Rueil et à la limite de Suresnes, seront accessibles via l’application Clem Mobi.
Clem’ possède une vaste expérience dans le secteur des véhicules partagés, avec des véhicules utilitaires électriques et des stations de recharge à divers points de la Métropole du Grand Paris. En particulier, les utilitaires électriques ont enregistré un total de 8 300 réservations et parcouru plus de 187 000 kilomètres dans la grande zone métropolitaine.
Avec ces chiffres à l’esprit, l’objectif de TACTIC était d’étendre les services à d’autres parties de la ville, notamment les petites zones avec des commerces locaux qui pourraient utiliser des véhicules
partagés pour réduire les coûts et accroître leur portée en offrant des services de livraison.
Lire la suite : https://presseagence.fr/paris-tactic-transforme-la-logistique-urbaine-dans-la-metropole-du-grand-paris/
Intelligence artificielle
Palantir, Microsoft et la NSA accélèrent le recours aux IA et LLM par le renseignement américain
https://next.ink/ - Par Jean-Marc Manach
Publié le 9 août 2024
Ces derniers mois, Palantir, Microsoft, le Pentagone et la NSA ont multiplié les annonces relatives aux capacités et projets en matière d'intelligence artificielle à des fins de renseignement et de ciblage militaire.
Palantir et Microsoft viennent conjointement d'annoncer une « avancée significative » dans leur « partenariat visant à apporter certaines des capacités cloud, IA et analytiques les plus sophistiquées et les plus sécurisées » à la défense et à la communauté du renseignement des États-Unis.
L'objectif est de leur permettre d' « opérationnaliser les grands modèles linguistiques (LLM) de Microsoft, les meilleurs de leur catégorie, via le service Azure OpenAI (AOAI) au sein de la plateforme d'IA de Palantir (AIP) » dans les environnements cloud gouvernementaux et classifiés de Microsoft :
« Désormais, grâce à ce partenariat, Palantir déploiera sa suite de produits – Foundry, Gotham, Apollo et AIP – dans Microsoft Azure Government et dans les nuages Azure Government Secret (DoD Impact Level 6) et Top Secret. Palantir sera également l'un des premiers à adopter le service OpenAI d'Azure dans les environnements Secret et Top Secret de Microsoft. »
Exploiter les capacités des IA, au-delà du chat
Lire la suite : https://next.ink/146255/palantir-microsoft-et-la-nsa-accelerent-le-recours-aux-ia-et-llm-par-le-renseignement-americain/
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La Commission européenne veut développer les « usines d’IA » et accélérer la compétitivité de l’UE
euractiv.fr - Par : Jacob Wulff Wold | Euractiv.com | translated by Marine Beguin
Publié le 5 août 2024
La Commission européenne cherche à faciliter la création de centres de données pour l’intelligence artificielle (IA), indispensables à la compétitivité de l’UE au niveau mondial dans ce domaine.
L’UE souhaite encourager l’innovation dans le domaine de l’IA sur son territoire mais cela nécessite d’importantes puissances de calcul. Problème, l’offre des centres de données dotés de superordinateurs (ou superordinateurs) pour entraîner des modèles IA à grande échelle (surnommés « usines d’IA » par les responsables politiques de l’UE), est non seulement insuffisante par rapport à la croissance attendue de la demande, mais est aussi concentrée entre les mains de quelques entreprises.
Selon la Commission, ces usines d’IA fourniront des ordinateurs, des données et des talents afin de développer et tester des modèles d’IA pour les start-ups, les petites et moyennes entreprises (PME) et les scientifiques.
« Si l’UE veut être compétitive face à la Chine ou aux États-Unis, nous devons être rapides [dans la mise en place des usines IA] », avait expliqué un porte-parole de la Commission à Euractiv en juin.
Le 26 juillet dernier, l’entreprise commune pour le calcul à haute performance européen (entreprise commune EuroHPC), une initiative conjointe de l’UE et des États européens pour accroître et exploiter les supercalculateurs, a modifié son programme de travail pour ouvrir la voie aux usines d’IA.
L’entreprise commune EuroHPC a également annoncé qu’elle lancerait, le 9 septembre prochain, un appel à manifestation d’intérêt pour les pays souhaitant accueillir une usine d’IA, avec deux mois de retard sur le calendrier initial.
Le premier appel pour les entités hébergeant des usines d’IA était « envisagé » pour juillet 2024, les usines devant être déployées à la mi-2025, a déclaré le porte-parole de la Commission.
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Comment l’Argentine veut utiliser l’IA pour prédire de futurs crimes et attentats
lefigaro.fr - Par Klara Durand
Publié le 05 août 2024
Le président Javier Milei a créé une Unité dédiée à la sécurité et qui, à terme, doit «prédire les crimes futurs». Une annonce qui a déclenché un tollé auprès des défenseurs des droits de l’homme du pays.
Utiliser l’IA pour prédire l’avenir. Si l’idée semblait, il y a peu, encore farfelue, les progrès de cette technologie la rendent bien plus concrète. Et certains gouvernements y voient déjà une aubaine. À l’instar de celui du président argentin de droite nationaliste Javier Milei. Ce dernier a annoncé début août la création d’une Unité d’intelligence artificielle appliquée à la sécurité. Laquelle aura pour mission d’utiliser les «algorithmes d’apprentissage automatique», pour analyser «les données historiques sur la criminalité», rapporte le Guardian. Avec un objectif : prédire les potentiels crimes et attentats qui pourraient avoir lieu dans le pays.
La résolution autorisant la création de cette unité est disponible sur le site du journal officiel de la République d’Argentine. En parcourant le texte, adopté le 26 juillet dernier, il est indiqué que l’Unité d’intelligence artificielle appliquée à la sécurité (UIAAS) sera dirigée par le Directeur de la Cybercriminalité et des Affaires cybernétique. Surtout, elle est intégrée par les Forces de Police et de Sécurité Fédérales argentines. Elle a pour mission «la prévention, la détection, l’investigation et la poursuite du crime et de ses connexions à travers l’utilisation de l’intelligence artificielle.»
Établir des profils de suspects avec des données
L’ambition du gouvernement argentin vis-à-vis de cette unité paraît importante. Le président compte sur la technologie derrière l’intelligence artificielle pour «surveiller les réseaux sociaux, les sites internet, les applications ainsi que le Dark-Web (l’internet clandestin ndlr), dans le cadre d’enquête sur des crimes et l’identification de leurs auteurs, précise l’article 4 du texte. Ainsi que la détection de situations de risque grave pour la sécurité, dans le cadre de la Constitution Nationale et de la législation en vigueur.»
Toujours dans l’optique de mener des enquêtes, les IA utilisées pourront «identifier et comparer des images sur support physique virtuel et analyser les images des caméras de sécurité en temps réel afin de détecter des activités suspectes ou d’identifier des personnes recherchées en utilisant la reconnaissance faciale.»
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/comment-l-argentine-veut-utiliser-l-ia-pour-predire-de-futurs-crimes-et-attentats-20240805
Identité numérique Seine-Maritime. Huit communes vous délivrent une identité numérique sécurisée Administration. tendanceouest.com - Par Gilles Antoine Publié le 9 août 2024 Pour prouver votre identité en ligne ou présenter un permis de conduire sur votre smartphone, l'identité numérique existe depuis la fin 2023. En Seine-Maritime, sept communes peuvent vous délivrer cette identité numérique sécurisée, et bientôt une huitième, Saint-Valery-en-Caux. Huit communes vont pouvoir délivrer une identité numérique en Seine-Maritime. Vous en avez peut-être marre de devoir penser à prendre vos pièces d'identité à chaque balade. L'Etat a mis en place depuis la fin de l'année 2023, l'identité numérique. Cela permet depuis votre smartphone de prouver votre identité (carte d'identité, passeport, permis de conduire). Cela permet notamment de réaliser des démarches en ligne qui nécessitaient auparavant de se déplacer, comme une procuration ou encore une démarche bancaire. L'identité numérique permet aussi de présenter son permis de conduire sur un smartphone lors d'un contrôle routier. Passage par la mairie Pour créer votre identité numérique, il faut obligatoirement passer par une mairie pour qu'un agent vérifie votre carte d'identité ou votre passeport. Actuellement, sept villes sont agréées en Seine-Maritime : Rouen, Le Havre, Dieppe, Gournay-en-Bray, Le Tréport, Caudebec-lès-Elbeuf et Port-Jérôme-sur-Seine. Une huitième le sera très prochainement, Saint-Valery-en-Caux. Vous n'êtes, bien sûr, pas obligé d'habiter une de ces communes pour prendre rendez-vous. Lire la suite : https://www.tendanceouest.com/actualite-421365-seine-maritime-huit-communes-vous-delivrent-une-identite-numerique-securisee ••• Identités numériques : comment prévenir et anticiper les deepfakes en Europe ? itmag-dz.com - Par Brigitte Thomas Publié le 4 août 2024 Les deepfakes représentent un réel défi pour la protection des identités numériques. Découvrons ensemble comment anticiper et prévenir ce phénomène en Europe. |
Comprendre le fonctionnement des deepfakes
Avant d’aborder les solutions pour lutter contre les deepfakes, il convient de comprendre leur fonctionnement. Les deepfakes sont des vidéos ou des images manipulées grâce à l’intelligence artificielle (IA), qui permet de remplacer le visage d’une personne par un autre, de modifier sa voix ou encore de créer des scènes fictives. Leur réalisme est souvent troublant, ce qui peut engendrer de graves conséquences sur la réputation d’un individu ou la diffusion de fausses informations.
Les enjeux liés aux deepfakes en Europe
L’Europe est confrontée à plusieurs enjeux majeurs liés aux deepfakes :
• Atteinte à la vie privée : usurpation d’identité, chantage, harcèlement
• Déstabilisation politique : manipulation de l’opinion publique, fake news
• Mise en danger des entreprises : espionnage industriel, fraude
Pour y faire face, plusieurs initiatives ont été mises en place au niveau européen.
Les actions menées par l’Union européenne (UE)
Lire la suite : https://www.itmag-dz.com/securite/identites-numeriques-comment-prevenir-et-anticiper-les-deepfakes-en-europe/
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L’état de la sécurité de l’identité en 2024 : menaces, violations et meilleures pratiques en matière de sécurité basées sur l’identité
itsocial.fr - Par la Rédaction
Publié le 08 août 2024
Selon le rapport 2024 Trends in Securing Digital Identities récemment publié par l’association à but non lucratif Identity Defined Security Alliance (IDSA), 90 % des organisations ont connu au moins un incident lié à l’identité au cours de l’année écoulée. Ce chiffre est resté stable, à 90 %, depuis 2023. De plus, 84 % des parties prenantes du secteur de l’identité qui ont subi une violation liée à l’identité au cours de l’année écoulée ont déclaré avoir subi un impact commercial direct en conséquence, contre 68 % qui ont déclaré cela en 2023. L’impact de violation le plus souvent cité (52 %) était la distraction par rapport à l’activité principale.
Ce n'est pas un hasard si l'augmentation du nombre et de la complexité des identités coïncide avec une augmentation des violations liées à l'identité. Les identités se multiplient en termes de types et de nombres, ce qui modifie la dynamique de la protection de l'identité, et ces changements représentent un risque direct pour la sécurité informatique des entreprises.
Quid de l’importance de gérer et de sécuriser efficacement les identités numériques au sein du programme de sécurité de l’entreprise en 2024 ?
Selon le rapport, 98 % des entreprises considèrent la sécurisation des identités comme l’une de leurs 10 principales priorités. Cette tendance à une priorité croissante est une reconnaissance positive de l’importance de l’identité.
Plus de la moitié des répondants (51 %) ont déclaré qu'ils considéraient désormais la sécurisation des identités comme l'une des trois principales priorités, et 22 % des entreprises la considèrent comme la priorité numéro un de leur programme de sécurité, contre 17 % en 2023. L'IDSA a constaté que 93 % des entreprises interrogées se concentrent sur la gestion de la prolifération des identités, 57 % d'entre elles déclarant qu'il s'agit d'un objectif « majeur ».
Cybersécurité
Publication du 1er rapport sur la cybercriminalité par le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer
Début 2023, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer a décidé de lancer un commandement cyber associant la police et la gendarmerie, intitulé COMCYBER-MI
L’une des missions de COMCYBER-MI est d’analyser dans le temps le niveau de la menace cyber qui pèse sur les citoyens, les entreprises (et notamment les PME), mais également les institutions publiques.
C’est dans ce contexte que le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer publie ce jour le premier rapport annuel sur la cybercriminalité. Il revient en détail sur ce phénomène qui touche les français dans leur quotidien. En effet, 9 français sur 10 ont déjà été confrontés à une situation de malveillance informatique, notamment à l’hameçonnage (pour 70% d’entre eux), mais aussi de nouvelles menaces comme le « quishing », technique exploitant de faux QR codes pour subtiliser de l’argent.
278 703 infractions liées au numérique ont été enregistrées par les forces de sécurité intérieures en 2023 (en augmentation de 9% par rapport à 2022 selon le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure, SSMSI).
59% de ces infractions sont des atteintes « numériques » aux biens (escroqueries, arnaques en ligne etc.), 34% sont des atteintes « numériques » à la personne, 5% sont des atteintes aux institutions.
Toutes les couches de la population sont concernées par cette cyberdéliquance et notamment les plus jeunes : 47% des victimes de préjudice financier en ligne ont moins de 44 ans. Les atteintes numériques à la personne visent pour leur part majoritairement les femmes, qui représentent 67 % du total des plaintes déposées.
L’ensemble des policiers et gendarmes sont désormais formés, et les forces de l’ordre équipées en moyens pour répondre à ces nouvelles menaces.
Lire la suite : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/communiques-de-presse/publication-du-1er-rapport-sur-cybercriminalite-par-ministere-de
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La cybersécurité des JO de Paris 2024 : « une expérience folle »
lamait.fr par Gaétan Raoul
Publié le 08 août 2024
Alors que la quinzaine des Jeux olympiques touche à sa fin, Atos, chef d’orchestre des prestations IT pour l’événement sportif est revenu sur le dispositif pour contrer les cybermenaces. Un bilan chiffré ne sera fourni qu’après la fin des jeux paralympiques.
Le 7 août, 15 heures. Benoît Delpierre, directeur technique adjoint chez Eviden et l’un des trois responsables des opérations de cybersécurité pendant les Jeux, entre dans la petite salle de conférence du TOC, le centre des opérations technologiques des JO. Il a une petite mine. Quelques heures plus tôt, il terminait son neuvième shift de nuit depuis le début de l’événement sportif. « C’est une expérience folle en matière de cybersécurité », relate-t-il auprès de la presse française.
Une cellule cyber sous surveillance
Les organisateurs des Jeux olympiques et paralympiques se sont montrés jusqu’alors peu enclins à communiquer sur le dispositif déployé pour protéger l’IT des deux événements. De fait, la cellule cyber au sein du TOC n’est pas accessible par les visiteurs. Un peu plus loin, la présence d’un membre des forces de l’ordre à la machine à café donne une idée de la criticité du site.
Le COJOP (Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024), le Comité international olympique (CIO) et son prestataire IT principal, Atos, se savent attendus au tournant. Cependant, même quelques jours avant la fin de la quinzaine olympique et quand bien même le Premier ministre de Gabriel Attal s’est déjà exprimé sur 68 cyberattaques déjouées, les responsables chez Atos ne préfèrent pas donner de chiffres.
Plusieurs raisons à cela. La première d’entre elles, c’est qu’il est trop tôt. Les Jeux olympiques et paralympiques n’étant pas terminés, il serait présomptueux de fournir un bilan, même temporaire. Deuxièmement, pendant l’événement, le rôle de la cellule cyber du TOC n’est pas de faire un décompte des menaces observées, mais de les bloquer.
« Il me semble difficile d’analyser la provenance des attaques en une semaine », ajoute Benoît Delpierre.
« Il me semble difficile d’analyser la provenance des attaques en une semaine ».
Benoît Delpierre, CTO adjoint, Eviden
Troisièmement, la cellule cyber du TOC ne souhaite pas reproduire la précédente méthode de comptage, notamment usité lors des jeux de Tokyo 2020. Après l’événement retardé en 2021, Atos et le CIO avaient évoqué 5 milliards d’événements de cybersécurité. Or, comme le précise Patrick Adiba, CEO Major Events, chez Atos, un événement peut tout aussi bien représenter une tentative d’intrusion malveillante dans un système qu’un utilisateur ayant tapé son mot de passe de manière erronée. « Sur les 5 milliards d’événements comptabilisé pendant les Jeux de Tokyo, environ 400 d’entre eux correspondaient à de potentielles attaques », précise-t-il. Des aiguilles dans une (très grosse) botte de foin.
Des athlètes de la cybersécurité
Benoît Delpierre a surtout pris le temps de revenir sur le dispositif de réponse à incidents de cette équipe cyber avant et pendant les Jeux.
Lire la suite : https://www.lemagit.fr/actualites/366602282/La-cybersecurite-des-JO-de-Paris-2024-une-experience-folle
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Approbation du premier traité de l'ONU contre la cybercriminalité
Publié le 8 août 2024
Les Etats membres de l'ONU ont approuvé jeudi le premier traité pour lutter contre la cybercriminalité malgré l'opposition des défenseurs des droits qui ont mis en garde contre un outil de surveillance mondiale. Le texte doit encore être soumis à l'assemblée générale.
Après trois ans de négociations et une dernière session de deux semaines à New York, la 'convention des Nations unies contre la cybercriminalité' a été approuvée par consensus. Le texte pourra entrer en vigueur après avoir été ratifié par 40 Etats.
'Je considère que les documents [...] sont adoptés. Merci beaucoup! Bravo à tous!', a lancé sous les applaudissements Faouzia Boumaiza Mebarki, présidente du comité intergouvernemental créé en 2019 pour rédiger ce traité, sur une proposition de la Russie.
Le nouveau traité vise à 'combattre plus efficacement la cybercriminalité' et à renforcer la coopération internationale en la matière, citant notamment les images pédopornographiques ou le blanchiment d'argent.
Surveillance mondiale
Mais ses détracteurs, alliance inhabituelle entre défenseurs des droits fondamentaux et grandes entreprises de la technologie, dénoncent un périmètre bien trop large, qui en fera, selon eux, un traité de 'surveillance' mondiale.
Lire la suite : https://www.lemanbleu.ch/fr/Actualite/Economie/Approbation-du-premier-traite-de-l-ONU-contre-la-cybercriminalite.html
Mobilité
L’Eurométropole de Metz acte la création d’une « police métropolitaine »
tout-metz.com - Par Joscelyn LAPART
Publié le 8 juillet 2024
À l’occasion du conseil métropolitain du lundi 8 juillet 2024, les élus de l’Eurométropole ont voté la création d’un service intercommunal de police municipale, soit une « police métropolitaine » qui ne porte pas son nom pour des raisons juridiques.
Après la création d’un Centre de Supervision Urbain (CSU) métropolitain en 2023, la création de ce nouvel échelon sécuritaire doit répondre aux enjeux de sécurité publique sur l’ensemble des communes de la métropole. Elle aura comme compétence la sécurisation des transports publics, la protection de l’environnement et le soutien aux communes notamment lors des grandes manifestations.
La mise en place du service doit se faire au 1er janvier 2025
Ce nouveau service comptera 28 agents au lancement (12 policiers municipaux pour les missions de police des communes, 12 policiers municipaux pour les transports en commun, 3 gardes-champêtres pour l’environnement et 1 responsable), dont 22 nouvellement recrutés. Son siège devrait se situer à Augny, sur le plateau de Frescaty.
La création du service intercommunal nécessitera la mise en place d’une convention entre la métropole et l’État et d’une convention entre la métropole et les communes, mais elle ne nécessite pas de transfert de compétences des communes vers la métropole.
Les policiers se trouveront sous l’autorité du maire de la commune où ils se situeront dans le cadre de leur activité et seront armés sur toute l’Eurométropole pour « assurer une continuité territoriale cohérente et opérationnelle ».
La gauche dénonce une surenchère sécuritaire
Article original : L’Eurométropole de Metz acte la création d’une « police métropolitaine » https://tout-metz.com/eurometropole-metz-acte-creation-une-police-metropolitaine-2024-613975.php
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Zone à trafic limité à Paris : le préfet de police rendra sa décision après les Jeux olympiques
leparisien.fr - Par Auguste Canier
Publié le 11 juillet 2024
Le Conseil de Paris a adopté ce jeudi la délibération déclarant d’intérêt général la mise en œuvre de la ZTL dans Paris Centre, prévue en octobre 2024. Le préfet de police, Laurent Nuñez, se prononcera pour ou contre ce projet après les JO, afin de tirer les enseignements des restrictions de circulation instaurés durant l’été.
La mise en œuvre de la Zone à trafic limité (ZTL) dans le centre de Paris dépendra de l’efficacité des restrictions de circulation mises en place pendant les Jeux olympiques de Paris 2024. C’est en substance ce qu’a fait comprendre le préfet de police Laurent Nuñez aux élus de la Ville, par la voix de sa directrice adjointe Élise Lavielle, ce jeudi soir au Conseil de Paris.
Au terme de plusieurs minutes de débats animés, les élus ont adopté une délibération déclarant la mise en œuvre de la ZTL comme étant « d’intérêt général », après l’avis favorable rendu par la commissaire enquêteur en charge de l’enquête publique. Mais la préfecture de police a indiqué qu’elle se prononcerait seulement après les JO, pour « tirer les enseignements des restrictions de circulation » mises en place durant la compétition, afin que « cette ZTL puisse fonctionner au mieux ».
Laurent Nuñez prévient en effet qu’il se veut « particulièrement attentif » aux modalités d’accès et de contrôle de cette ZTL. Or, à ses yeux, « les périmètres de restriction de circulation autour des sites olympiques sont par nature des zones à trafic limité », souligne Elise Lavielle. Reprenant la réglementation déployée durant les JO, Élise Lavielle a ainsi résumé : « La ZTL de Paris Centre est un mélange de zones bleues, pour limiter la circulation de transit, et de zones rouges, puisque seuls les ayants droit pourront y avoir accès. » Laurent Nuñez attend donc ce retour d’expérience pour se faire un avis sur la faisabilité de la ZTL.
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Mobilité transfrontalière : la Région Grand Est lance un dispositif de soutien
lasemaine.fr - Par Arthur Cramier
Publié le 7 juillet 2024
Un appel à projets est lancé pour favoriser la mobilité des jeunes de la Région Grand Est.
Le Grand Est est une région transfrontalière et tournée vers l’Europe. Une ouverture dont les élus locaux veulent faire profiter au plus grand nombre.
À ce titre, « afin de permettre aux jeunes d’avoir une expérience de mobilité à l’étranger », la Région Grand Est a lancé un tout nouveau « dispositif de soutien au montage de projets de mobilité transfrontalière, européenne et internationale ».
Toutes les structures de la Région qui préparent des projets de mobilité peuvent bénéficier d’une aide allant jusqu’à 10 000 euros. Un appel est projet est ouvert jusqu’au 31 juillet 2024.
« Une attention particulière sera portée aux projets visant à donner à des jeunes venant de zones rurales ou de quartiers prioritaires de la politique de la ville une première expérience de mobilité », ajoute la Région.
Lire la suite : https://www.lasemaine.fr/mobilite-transfrontaliere-la-region-grand-est-lance-un-dispositif-de-soutien/
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Des caméras capables de détecter les conducteurs alcoolisés
dolcissimo.fr - Par AFP Relaxnews
Publié le 07 juillet 2024
Une équipe de chercheurs australiens a développé un système intelligent capable de détecter, via les images fournies par une caméra, le niveau d'ébriété des automobilistes. Combiné à des caméras de surveillance, cela pourrait en faire un outil redoutable pour les autorités.
Des chercheurs de l'université Edith Cowan (ECU), en Australie, ont mis au point une technologie de suivi visuel capable de détecter à partir d'une simple caméra les conducteurs trop alcoolisés pour pouvoir prendre le volant en toute sécurité. Cette technologie se sert de l'apprentissage automatique pour analyser différents traits du visage, mais aussi la position de la tête et la direction du regard du conducteur pour déterminer son niveau d'intoxication. Il s'agit de la toute première solution utilisant une caméra RVB classique dans le but de détecter les niveaux d'intoxication alcoolique basés sur des signes d'altération sur le visage des conducteurs.
Pour entrainer leur outil, ces chercheurs se sont aidé de MiX by Powerfleet, une application de gestion de parc roulant permettant d'ordinaire de suivre le comportement des conducteurs. Les participants, répartis en trois niveaux d'intoxication alcoolique (sobre, légèrement intoxiqué et gravement intoxiqué) ont été enregistrés pendant qu'ils conduisaient sur un simulateur. Ce sont ces images qui ont ensuite nourri l'outil intelligent qu'ils ont développé.
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Avec 10 millions de paiements, le sans contact est devenu le titre de voyage le plus vendu à la STIB : "Utilisé surtout en déplacements ponctuels"
lalibre.be - Par La Rédaction de L'Avenir
Publié le 12 juillet 2024
Le sans contact est désormais le mode de payement majoritaire à la STIB. Le scan de votre carte bancaire pour payer votre voyage séduit spectaculairement lors des événements à Bruxelles. Pratique : le tarif journalier à 7,50 euros s'y enclenche automatiquement au-delà de 3 voyages.
9,9 millions de transactions : c'est le nombre de payements sans contact enregistré par la STIB en 2023. Ce qui fait de la technologie EMV (Europay Mastercard Visa) "le mode de paiement le plus utilisé pour voyager avec la STIB avec 57 % des titres de voyage vendus", relève celle-ci ce 11 juillet 2024.
La STIB a lancé le sans contact en juillet 2020. "Cette solution permet de s'acquitter d'un titre de transport en scannant une carte bancaire ou un dispositif connecté aux valideurs gris dans les véhicules ou aux portillons d'accès du métro", rappelle le gestionnaire du réseau bruxellois.
3 avantages
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Cet entrepreneur de l'Essonne a créé un service innovant de mobilité partagée
acte.fr - Par Rédaction Essonne
Publié le 07 juillet 2024
Jean-Marie Madoré a créé à Savigny-sur-Orge, un service de mobilité partagée basé sur des véhicules ultra-sobres pour les associations, les groupe de voisins et les collectivités.
Une mobilité raisonnée, adaptée et engagée. Tel est le crédo de Jean-Marie Madoré. Ce dynamique entrepreneur a créé à Savigny-sur-Orge (Essonne) Mobility Partner, un service de mobilité partagée, basé sur des véhicules ultra-sobres, qu’il a présenté mercredi 3 juillet 2024 à l’espace de coworking Le Rooftop à Viry-Châtillon.
L’ambition de réduire l’empreinte carbone des déplacements de proximité
Partant du constat que les ressources planétaires sont limitées, notamment en ce qui concerne les métaux et que le contexte environnemental est alarmant, Jean-Marie Madoré, a recherché des solutions pour réduire l’empreinte carbone des déplacements de proximité.
En effet, selon une étude de Vinci Autoroutes, 87 % des déplacements domicile-travail s’effectuent dans une voiture avec un seul occupant alors que celle-ci est souvent conçue pour en transporter quatre ou cinq sur de longues distances.
Par ailleurs, en France, 95 % des émissions de gaz à effet de serre des transports terrestres proviennent de la mobilité routière. La moitié de ces émissions sont attribuables à la voiture individuelle.
Lire la suite : https://actu.fr/ile-de-france/savigny-sur-orge_91589/cet-entrepreneur-de-l-essonne-a-cree-un-service-innovant-de-mobilite-partagee_61313161.html
Services Mobiles
Prédiction d’une adoption massive de l’eSIM par des analystes
servicesmobiles.fr - Par la rédaction
Publié le 8 juillet 2024
Préparez-vous à un changement technologique : des analystes prévoient une adoption massive de l’eSIM, bouleversant les habitudes des consommateurs ! D'ici 2030, près de 70% de tous les appareils cellulaires expédiés seront compatibles eSIM/iSIM, pilotés par des smartphones et des modules IoT cellulaires.
Une adoption massive des eSIM et technologies similaires d’ici 2030
L’industrie a dépassé un point d’inflexion après la sortie de l’iPhone exclusif à l’eSIM aux États-Unis en 2022 et entre maintenant dans une période d’hyper croissance. En effet, les prévisions de ce cabinet d’experts indiquent une adoption massive des eSIM et des technologies similaires, avec plus de neuf milliards d’appareils qui les intégreront entre 2024 et 2030. Cette progression spectaculaire est principalement portée par l’utilisation croissante de ces technologies dans les smartphones et les objets connectés (IoT). Plus de 400 opérateurs prennent désormais en charge les services eSIM à l’échelle mondiale, ce qui permet d’utiliser en moyenne plus de 50 appareils grand public (smartwatches, XR devices, routers, drones, PC…)
Lire la suite : https://www.servicesmobiles.fr/prediction-dune-adoption-massive-de-lesim-par-des-analystes-99110
5G
L'Allemagne décide de se débarrasser des Chinois Huawei et ZTE pour son réseau 5G
Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.
Publié le 12 juillet 2024
Première économie de l'Union européenne, l'Allemagne a décidé de bannir les composants chinois de son réseau 5G, et ce d'ici 2026. Cela exclut, de fait, les géants Huawei et ZTE.
Dans divers pays européens, comme la France, la vente d'équipements de plusieurs fournisseurs chinois est ou va être prochainement interdite, pour ce qui est des composants des réseaux 5G. L'Allemagne est le dernier sur la liste à avoir pris cette décision. Les technologies Huawei ou encore ZTE vont être définitivement écartées du pays au plus tard en 2029.
La décision radicale prise par l'Allemagne pour son réseau 5G
L'Allemagne a tranché en annonçant, le jeudi 11 juillet, l'interdiction des composants et technologies des groupes chinois Huawei et ZTE, pour des raisons de sécurité. Plus précisément, le bannissement concerne l'ensemble des réseaux 5G outre-Rhin.
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-532239-l-allemagne-decide-de-se-debarrasser-des-chinois-huawei-et-zte-pour-son-reseau-5g.html
Paiement électronique
Que va devenir Apple Pay en Europe, maintenant que les banques peuvent l’abandonner ?
numerama.com - Par Nicolas Lellouche
Cet article existe grâce à Numerama+
Publié le 11 juillet 2024
La fin d'Apple Pay ?
Dans un communiqué de presse, la Commission européenne annonce avoir trouvé un accord avec Apple pour ouvrir la puce NFC de l’iPhone aux applications des banques. Dans les prochains jours, Apple Pay pourrait être concurrencé par d’autres applications, voire abandonné par certaines banques.
En 2016, deux ans après son lancement aux États-Unis, Apple Pay est arrivé en France. Cette technologie de paiement sans contact, qui remplace la carte bancaire par un iPhone, est devenue au fil du temps une solution de paiement comme une autre. 98 % des cartes françaises sont compatibles avec Apple Pay aujourd’hui, ce qui fait de la France un des pays leaders en matière de paiement mobile. Même certains Français initialement réticents ont fini par l’adopter et ne payent plus qu’avec leur smartphone aujourd’hui.
Une des clés du succès d’Apple Pay est sa simplicité. On scanne sa carte dans l’application Apple Cartes, on s’authentifie avec un code reçu par SMS et… voilà. Il suffit d’appuyer deux fois sur le bouton latéral de son iPhone pour payer, après un scan de son visage avec Face ID (qui remplace le code à quatre chiffres). Tous les propriétaires d’iPhone utilisent le même système, là où l’écosystème Android dispose très souvent d’une application par banque.
Justement, c’est cette fameuse simplicité qui pourrait cesser d’exister dans les prochains mois. Dans un communiqué publié le 11 juillet, la Commission européenne annonce avoir trouvé un accord avec Apple pour mettre fin à « l’abus de position dominante » d’Apple Pay. Au nom du droit à la concurrence, Apple doit maintenant autoriser les banques à lancer leurs propres applications de paiement sur iPhone, au risque de drastiquement détériorer l’expérience Apple Pay.
La puce NFC ouverte à tous : que change la Commission européenne ?
Lire la suite : https://www.numerama.com/tech/1774492-que-va-devenir-apple-pay-en-europe-maintenant-que-les-banques-peuvent-labandonner.html
Intelligence artificielle
L’intelligence artificielle, une technologie particulièrement énergivore
lepoint.fr - Par M.P. avec AFP
Publié le 06 juillet 2024
Les émissions carbone de Google ont grimpé de 48 % en cinq ans à cause de l’explosion de l’intelligence artificielle (IA), a indiqué le géant américain.
L’intelligence artificielle (IA) est particulièrement énergivore. Google a récemment confié que ses émissions carbone ont explosé de 48 % en cinq ans, mettant en avant un problème de l'IA qui évolue vite : sa voracité énergétique. Cela s'explique par les énormes capacités de calcul nécessaires pour s'entraîner sur des milliards de données pour utiliser les modèles de langage, exigeant de puissants serveurs. Chaque fois qu'un utilisateur envoie une requête à ChatGPT ou toute autre IA générative, cela fait fonctionner des serveurs situés dans un centre de données.
Ces serveurs consomment de l'électricité, chauffent et doivent être refroidis avec des systèmes qui nécessitent à leur tour de l'énergie. Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), les centres de données utilisent en général près de 40 % de leur électricité pour alimenter les serveurs et 40 % pour les refroidir. Une requête à ChatGPT nécessite ainsi, en moyenne, dix fois plus d'énergie qu'une simple requête sur le moteur de recherche Google, ont montré plusieurs études.
à lire aussi Que devient notre mémoire à l'heure de l'IA ?
Or le boom de l'IA depuis 2022 a conduit les géants d'Internet, comme Amazon, Google et Microsoft, à investir massivement dans la création de centres de données à travers le monde. Google met notamment en avant, dans son rapport environnemental, la hausse de la consommation d'énergie dans ses centres de données ainsi que le bond des émissions liées à la construction de nouveaux « data centers » et la modernisation de ceux existants.
Lire la suite : https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/l-intelligence-artificielle-une-technologie-particulierement-energivore-06-07-2024-2564963_47.php
Innovation
PERSEPHONE : Prophesée développe une IA neuromorphique pour les smartphones avec le soutien de Bpifrance
Actuia.com - Par Thomas Calvi.
Publié le 12 juillet 2024
Prophesee, start-up parisienne spécialisée dans les systèmes de vision artificielle basés sur l’ingénierie neuromorphique, annonce un investissement de 15 millions d’euros pour développer la prochaine génération d’IA neuromorphique dédiée aux téléphones mobiles. Ce projet, baptisé PERSEPHONE, cofinancé par Bpifrance dans le cadre de l’appel à projet “IA Embarquée” de France 2030, vise au développement d’une nouvelle génération de capteurs neuromorphiques, fabriqués en France.
La vision neuromorphique est une technologie inspirée du fonctionnement du système visuel humain, en particulier du couple œil-cerveau. Elle se base sur des capteurs et des algorithmes qui imitent la manière dont le cerveau humain traite les informations visuelles. Contrairement aux caméras traditionnelles, qui capturent des images à des intervalles de temps fixes (par exemple, 30 images par seconde), les capteurs neuromorphiques capturent les changements dans une scène de manière asynchrone, en se concentrant uniquement sur les variations locales de luminosité.
Elle est utilisée dans différents domaines comme les véhicules autonomes, la robotique, la surveillance et la sécurité, la santé et les appareils mobiles.
Appliquée aux téléphones mobiles, l’IA neuromorphique rend possible de nombreuses avancées technologiques significatives en termes de qualité d’image, de très basse consommation énergétique, de traitement beaucoup plus rapide et de confidentialité des données puisque le traitement embarqué ne nécessite pas l’utilisation et le stockage dans un cloud.
Le projet PERSEPHONE
Metavers
Meta veut ressusciter le métavers… grâce à l’IA générative !
lebigdata.fr - Par Dina
Publié le 12 juillet 2024
Vous êtes un fan de Métavers ? Cette nouvelle va vous ravir ! Meta promet de proposer des expériences uniques grâce à son nouveau projet pour ses jeux de réalité virtuelle. Voici les détails.
Alors que Métavers semble être en déclin depuis un certain temps, Meta travaille actuellement sur l'intégration de l'IA générative dans les jeux. La société cherche d'ailleurs à redynamiser sa stratégie pour ressusciter ses jeux de réalité virtuelle.
Meta est à la recherche d'un nouveau dirigeant pour son nouveau projet
Lors du lancement de métavers, Mark Zuckerberg misait tout sur son projet. C'est probablement la raison pour laquelle il avait changé le nom de son entreprise Facebook à Meta. Ensuite, l'intelligence artificielle a émergé et il se consacrait entièrement à cette technologie.
D'après une récente offre d'emploi, la société souhaite réunir les deux technologies dans le but de « créer de nouvelles expériences qui ne sont même pas possibles aujourd'hui ».
Le candidat choisi va travailler en étroite collaboration avec l'équipe de contenu du métavers de la société. Il se charge également de diriger la stratégie AGI pour les jeux de réalité virtuelle. Le projet se porte principalement sur Horizon, le monde de jeu en réalité mixte de Meta, qui profite d'un support produit sur ses plateformes de réalité virtuelle et augmentée.
Notons que dans le futur, les produits AGI pourraient se déployer aux plateformes mobiles et PC. Ce nouveau rôle était d'ailleurs confié à la division métavers de Meta connu sous le nom de Reality Labs. Mais elle s'est révélée être un gouffre financier, car elle a perdu jusqu'à 45 milliards de dollars depuis fin 2020.
Intégrer l'IA dans le Métavers pour offrir une meilleure expérience
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/meta-veut-ressusciter-le-metavers-grace-a-lia-generative
Identité numérique
FranceConnect+ ajoute un nouveau service d'identification pour ses démarches en ligne.
Par Rémi Kumar
Publié le 12 juillet 2024
Depuis le 11 juillet, il est désormais possible de prouver son identité sur FranceConnect+ à l'aide de France Identité, facilitant les démarches exigeant nos données les plus sensibles.
Entamer des démarches en ligne plus ou moins sensibles, se connecter à différents services ou encore prouver son identité : toutes ces actions sont facilitées et permises grâce à deux portails de l'État, FranceConnect et FranceConnect+. La promesse d'accès à plus de 1 800 services couplée à une réduction drastique du nombre de comptes à créer par service en fait une plateforme incoutournable. Depuis 2016, on dénombre plus de 40 millions d'usagers pour les deux portails.
Une version "+" restreinte
Si le premier centralise les services en facilitant l'identification, le second est beaucoup plus restreint puisqu'il est consacré à toutes les démarches requérants votre identité numérique, données sensibles, donc. Il englobe alors les demandes d'accès à des dossiers médicaux, ouvertures de compte bancaire, MaPrimeRénov, etc.. Dans ce sens, FranceConnect+ souhaite s'ouvrir, en ajoutant cette fois FranceIdentité comme second service d'identification.
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/appli-logiciel/franceconnect-ajoute-un-nouveau-service-d-identification-pour-ses-demarches-en-ligne-n224095.html
CNDH
Vidéosurveillance de l’espace public : alerte et recommandations de la CNCDH
IP/IT ET COMMUNICATION - Par Margot Musson, Docteure en droit, ATER Centre de droit de la famille, Équipe de recherche Louis Josserand Université Jean Moulin Lyon III
Publié le 12 juillet 2024
La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) a rendu, le 20 juin 2024, un avis sur la surveillance de l’espace public à l’aune notamment des Jeux olympiques et paralympiques. Elle y exprime ses craintes quant au respect des droits et libertés fondamentaux des individus et à la sauvegarde de l’ordre public et, à ce titre, émet des recommandations pour renforcer les garanties entourant l’usage de la vidéosurveillance, notamment algorithmique.
Importance de la vidéoprotection en France. La surveillance de l’espace public grâce aux nouvelles technologies est apparue en France grâce à la loi n° 95-74 du 21 janvier 1995 mais ce phénomène a, depuis, été amplifié, en particulier en prévision des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 qui imposent une sécurité renforcée. En effet, avec la loi n° 2023-380 du 19 mai 2023, la vidéosurveillance algorithmique sera notamment expérimentée et ce jusqu’au 31 mars 2025 : « les images collectées par des caméras de surveillance seront analysées par des logiciels programmés pour détecter, en temps réel, des événements susceptibles de présenter un risque pour la sécurité publique ». Depuis des années déjà, des technologies de surveillance sont massivement utilisées par les autorités publiques à des fins de sécurité, tels que les centres de supervision urbains. Par ailleurs, de nouvelles expérimentations avec les mêmes technologies sont envisagées par la proposition de loi n° 2223 adoptée par le Sénat le 15 février 2024, après engagement de la procédure accélérée, relative au renforcement de la sûreté dans les transports. Différents mécanismes sont à différencier (vidéosurveillance algorithmique, caméra thermique, caméra optique), lesquels ne représentent pas tous la même menace pour les droits et libertés comme le souligne la CNCDH qui tient à les distinguer.
Lire la suite : https://www.dalloz-actualite.fr/flash/videosurveillance-de-l-espace-public-alerte-et-recommandations-de-cncdh
Cybersécurité
Alerte sur iPhone : Apple révèle qu’un malware espion se propage dans 98 pays
01net.com - Par Florian Bayard
Publié le 12 juillet 2024
Apple a envoyé une notification à certains utilisateurs d’iPhone. Le message d’alerte indique qu’un malware espion chercherait à s’infiltrer sur le smartphone des utilisateurs. C’est la deuxième fois qu’Apple sonne l’alarme cette année.
Apple tire la sonnette d’alarme. Le géant californien vient d’envoyer une notification à certains utilisateurs d’iPhone répartis dans 98 pays. Comme le rapportent nos confrères de TechCrunch, la notification indique que leur smartphone pourrait être la cible d’un malware espion.
« Apple a détecté que vous êtes la cible d’une attaque de logiciels espions mercenaires qui tente de compromettre à distance l’iPhone associé à votre identifiant Apple », explique Apple dans la notification.
Une cyberattaque ciblée
L’entreprise ajoute que les utilisateurs se retrouvent dans le collimateur du virus « en raison de qui vous êtes ou de ce que vous faites ». Il s’agit vraisemblablement d’une opération d’espionnage diligentée par un gouvernement et ciblant des journalistes, des activistes ou des responsables politiques. Sauf surprise, le nombre de cibles reste limité.
Lire la suite : https://www.01net.com/actualites/alerte-iphone-apple-revele-malware-espion-propage-98-pays.html
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Cybersécurité: les rançongiciels marquent le pas, après une année record en 2023
lessor.org - Par la Rédaction
Publié le 7 juillet 2024
Après une année 2023 record, tant en nombre d'attaques qu'en montants extorqués aux victimes, les rançongiciels sont en recul depuis début 2024, des opérations de police d'envergure ayant déstabilisé les réseaux cybercriminels, estiment plusieurs experts.
"Sur les quatre premiers mois de 2024, le nombre d'incidents signalés publiquement et liés à des +ransomwares+ (rançongiciels) a diminué par rapport aux quatre premiers mois de 2023", révèle à l'AFP Allan Liska, expert en cybersécurité chez Recorded Future.
Ce type de logiciel malveillant exploite des failles de sécurité d'une entreprise, d'un bâtiment public, d'une collectivité ou d'un individu, pour chiffrer et bloquer ses systèmes informatiques, exigeant une rançon pour les débloquer.
Particulièrement lucratives pour les pirates, ces attaques sont dévastatrices pour les victimes, qui, même lorsqu'elles finissent par payer, peuvent voir leurs données volées et revendues sur le dark web, dans les tréfonds d'internet.
Dans son rapport du premier trimestre 2024 sur la sécurité d'internet, le spécialiste américain de la défense informatique WatchGuard observe également une diminution de 23 % des attaques par rançongiciel par rapport à fin 2023.
Nettoyage
Lire la suite : https://lessor.org/societe/cybersecurite-les-rancongiciels-marquent-le-pas-ap
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L'IA facilite la manipulation par les cyber-adversaires à l'heure des élections de 2024
journaldunet.com - Chronique de Shawn Henry, CrowdStrike
Publié le 11 juillet 2024
L'utilisation malveillante et la prolifération de l'IA générative en 2024 présentent l'un des défis les plus importants que nous devrons affronter lors d'une année électorale.
Depuis des années, les adversaires étrangers tentent de perturber les systèmes électoraux mondiaux par divers moyens – la menace des groupes cyber sophistiqués est réelle et d’actualité. Par ailleurs, l'IA générative modifie le champ des attaques, dans un écosystème où la désinformation et la mésinformation peuvent se répandre rapidement, impactant jusqu’à notre géopolitique.
S’il n’est pas rare de rencontrer des adversaires techniquement sophistiqués tentant de semer la confusion et de paralyser les réseaux, les acteurs de cybermenaces développent aujourd’hui des outils et des tactiques pour perturber les entreprises, les gouvernements, et plus encore. L'utilisation malveillante et la prolifération de l'IA générative en 2024 présentent l'un des défis les plus importants que nous devrons affronter lors d'une année électorale.
Les adversaires poursuivent leur chemin vers la désorganisation et le démantèlement
es adversaires États-nations affiliés à des gouvernements étrangers et liés aux motivations de ces derniers disposent des ressources nécessaires pour étendre leurs opérations et constituent une menace constante pour nos normes démocratiques. Depuis 2022, les tensions entre l'UE et la Russie, la Chine et l'Iran se sont accrues. Ces adversaires poursuivent leurs efforts pour influencer la perception des électeurs européens sur les questions géopolitiques et les politiques de l'UE autour du cycle électoral de 2024, y compris le soutien à l'Ukraine, la coopération économique et la guerre entre Israël et le Hamas.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1531713-l-ia-facilite-la-manipulation-par-les-cyber-adversaires-a-l-heure-des-elections-de-2024/
Cybercriminalité
Des hackers chinois dérobent des données de reconnaissance faciale pour infiltrer les applis bancaires
Une première campagne en Asie
numerama.com - Par Bogdan Bodnar
Un groupe de pirates chinois a développé des applications clones de services bancaires ou de plateformes de crypto-monnaies. Elles sont capables de récupérer les images de reconnaissance faciale.
Un groupe de hackers chinois a trouvé une technique pour récupérer des données de reconnaissance faciale. Le rapport mi-annuel des menaces cyber, rédigé par la société ESET et publié le 1er juillet, analyse une campagne de vol de données en Asie et en Amérique latine, menée durant l’hiver 2023 et le printemps 2024.
Un logiciel malveillant, baptisé GoldPickaxe (Pioche d’or), a d’abord été repéré par la société Group-IB. Il cible les détenteurs de portefeuilles de crypto-monnaies ainsi que les clients de services financiers en Asie.
De nombreuses applications bancaires ou d’échanges de crypto-monnaies demandent aujourd’hui de certifier l’identité de l’utilisateur en prenant des photos ou une vidéo de son visage.
Les cybercriminels vont copier ce procédé avec un long cheminement qui part le plus souvent d’un message et qui se termine par un vol de données sensibles.
Une fausse application de reconnaissance faciale
THALES
THALES ET LE COMITÉ STRATÉGIQUE DE FILIÈRE INDUSTRIE ET TECHNOLOGIES DE SANTÉ INAUGURENT AXEL, LE PREMIER ACCÉLÉRATEUR INDUSTRIEL D’IMAGERIE MÉDICALE EN FRANCE.
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 12 juillet 2024
- Lors de l’Assemblée Générale constitutive du 12 juillet 2024, tenue sur le site de Thales à Moirans, le CSF et Thales, leader des technologies d’imagerie par rayons X, ont acté la création d’Axel. Sa vocation est d’aider les PME et les start-ups de la Medtech française à relever les défis de l’industrialisation et de leur développement économique grâce à un accès direct à la filière.
Evalué à 40 milliards de dollars, le marché mondial de l’imagerie médicale a connu une croissance annuelle de 4,5% en moyenne entre 2021 et 2024, face à l’élargissement continu du champ d’application de ce domaine et au vieillissement de la population. Dans ce secteur, la France possède de nombreux atouts, tels qu’une recherche académique et technologique d’excellence et un tissu d’entreprises expertes. Néanmoins, afin de renforcer son autonomie dans le secteur médical depuis la crise Covid, l’industrie nationale a besoin de s'affirmer face à des entreprises internationales, notamment européennes, qui détiennent les deux tiers du marché mondial.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/groupe/press_release/thales-et-le-comite-strategique-filiere-industrie-et-technologies-sante
Mobilité
JO 2024 : on a testé le parcours SNCF dédié aux touristes pour rallier l'aéroport de Roissy à Paris
actu.fr - Par Dorine Goth
Publié le 30 juin 2024
Pour limiter au maximum les temps d'attente au départ de l'aéroport de Roissy, la SNCF a repensé la distribution de la billettique pour la vente des billets en direction de Paris.
C’est le trajet qui sépare les touristes de leur destination finale : le RER B. Un dernier moyen de transport pour enfin quitter l’atmosphère confinée de l’aéroport et rallier Paris, capitale touristique mondiale et ville hôte des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.
À cette occasion, des dizaines de milliers de voyageurs sont attendus du 26 juillet au 8 septembre à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Un défi logistique pour Île-de-France Mobilités et la SNCF qui devront acheminer tous ces passagers et leur faire préférer les transports en commun aux taxis.
Objectif : limiter l’attente
Pour l’occasion, l’accueil a été repensé et les effectifs renforcés. Objectif : passer le moins de temps possible en gare. Le temps d’une après-midi, actu Paris s’est mis dans la peau d’un touriste qui débarque dans le plus grand aéroport de France.
Lire la suite : https://actu.fr/societe/jo-2024-on-a-teste-le-parcours-sncf-dedie-aux-touristes-pour-rallier-l-aeroport-de-roissy-a-paris_61266172.html
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Futurs RER métropolitains : dans l'attente de financement, les 15 premiers projets mis sur les rails
maire-info.com - Par A.W
Édition du mercredi 3 juillet 2024
Cette première vague de labellisation est une étape indispensable en vue d'obtenir des aides de l'Etat. Particulièrement épineuse, la question du financement des « services express régionaux métropolitains » reste toujours en suspens alors que le contexte politique se complique.
Après Paris, au tour des autres métropoles françaises de prétendre au développement de leurs réseaux de transports. Dans la foulée de la première réalisation du Grand Paris Express inaugurée la semaine dernière (le prolongement de la ligne 14), le ministère des Transports vient de mettre sur les rails les 15 premiers projets de services express régionaux métropolitains (Serm) du pays, auxquels il a décidé d’accorder son label.
Imaginé sur le modèle du Grand Paris express lancé en 2009 par Nicolas Sarkozy, ces futurs « RER métropolitains » - comme les avait initialement nommés Emmanuel Macron – devraient permettre de mieux desservir les liaisons entre les métropoles et leurs périphéries en associant ferroviaire, cars express, réseau cyclable, covoiturage...
Deuxième vague « dans les prochains jours »
Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/futurs-rer-metropolitains-dans-attente-financement-les-15-premiers-projets-mis-sur-les-rails-article-28776
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Zone à Trafic Limité dans le centre de Paris
paris.fr - Communiqué
Mise à jour le 03 juillet 2024
Favoriser les transports en commun, les mobilités douces et abaisser la pollution et le bruit : tels sont les objectifs de la Zone à Trafic Limité (ZTL) qui sera mise en place dans le centre de Paris à l'issue des Jeux de 2024. Une consultation publique était organisée du 11 avril au 13 mai pour recueillir l'avis des Parisiens. Les conclusions ont été rendues mi-juin.
Une Zone à Trafic Limité (ZTL), dispositif déjà utilisé par plusieurs grandes villes européennes comme Madrid, Milan ou Rome, consiste en la création d'une zone où le trafic dit de « transit », c'est-à-dire des véhicules ne faisant que traverser la zone sans s'y arrêter, est interdit.
Cette mesure a pour effet de diminuer massivement le flux de véhicules motorisés en centre-ville. Dans le centre de Paris, elle permettra de réduire substantiellement les niveaux de trafic sur certains axes majeurs.
La zone restera en revanche accessible au trafic de destination, c'est-à-dire pour les usagers en voiture qui s'y arrêtent : résidents, commerçants, livreurs, visiteurs, etc.
Une ZTL dans le centre de Paris
Le périmètre de la ZTL, travaillé en concertation avec la préfecture de police, correspondra au secteur de Paris Centre (les 1er, 2e, 3e et 4e arrondissements). Les discussions se poursuivent avec l'État concernant l'inclusion des îles et des quais hauts rive droite dans ce périmètre, souhaitée par la Ville de Paris mais dépendant de la décision de la préfecture de police.
Cette ZTL sera mise en place à l'automne 2024, à l'issue des Jeux olympiques et paralympiques.
Ce dispositif permettra de réorganiser le partage de l'espace public au profit des transports en commun, du vélo et de la marche, ainsi que de certaines catégories d'usagers (visiteurs, résidents, commerçants, artisans, taxis, services publics, personnes à mobilité réduite…). Il induira également une réduction de la pollution de l'air et du bruit.
Lire la suite : https://www.paris.fr/pages/paris-cree-une-zone-apaisee-dans-le-centre-de-la-capitale-20426
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Hyundai révolutionne le stationnement avec son robot autonome
motorsactu.com - Par Faris Bouchaala
Publié le 30 juin 2024
Hyundai Motor Group franchit une nouvelle étape dans l’innovation technologique en déployant son robot de stationnement autonome au Factorial Seongsu, un immeuble de bureaux intelligent à Séoul. Cette première commerciale en Corée marque une avancée significative dans l’automatisation des parkings.
Développé par Hyundai WIA, ce robot compact et polyvalent peut gérer des véhicules pesant jusqu’à 2,2 tonnes. Sa conception ingénieuse lui permet de se déplacer dans toutes les directions à une vitesse maximale de 1,2 mètre par seconde, optimisant ainsi l’utilisation de l’espace de stationnement.
Le système se compose de deux robots plats qui se glissent sous le véhicule pour le soulever et le déplacer. Avec une hauteur de seulement 110 millimètres, ils sont compatibles avec la plupart des véhicules. Des caméras et des capteurs LiDAR assurent un positionnement précis et une sécurité optimale.
Un système de contrôle intelligent peut gérer jusqu’à 50 robots simultanément, optimisant les itinéraires et l’efficacité du stationnement. Hyundai prévoit d’étendre ses capacités pour inclure la gestion des véhicules stationnés manuellement.
Lire la suite : https://motorsactu.com/hyundai-revolutionne-le-stationnement-avec-son-robot-autonome/
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Trains, autocars, tramway... FAIRTIQ, une nouvelle application mobile pour circuler en Normandie
actu.fr - Par Jessie Leclerc
Publié le 2 juillet 2024
Vendredi 28 juin 2024, la nouvelle application FAIRTIQ a été inaugurée à la gare du Havre. Elle permet de faciliter la circulation en Normandie grâce à un titre unique.
C’est nouveau. Atoumod revisite la façon de circuler sur l’ensemble du territoire normand. L’application FAIRTIQ déjà en place depuis plusieurs années, fait peau neuve et s’élargit au transport en trains. Elle a été lancée vendredi 28 juin à la gare du Havre (Seine-Maritime).
Une première en France
L’application FAIRTIQ existe depuis plusieurs années en Occitanie où elle ne s’applique qu’aux trains. Depuis plus d’un an, elle est en place en Normandie pour les transports urbains LIA (Le Havre) et Twisto (Caen) et les autocars.
L’élargissement de cette application aux trajets en train, c’est une nouveauté nationale. « C’est une solution nouvelle de multimodalité, une première en France » explique Jean-Baptiste Gastinne, vice-président de la Région Normandie.
Lire la suite : https://actu.fr/societe/trains-autocars-tramway-fairtiq-une-nouvelle-application-mobile-pour-circuler-en-normandie_61285728.html
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Keolis lance l’application Transit pour établir son trajet
mtaville.fr - Par Annie DUVAL-PÉTRIX
Publié le 02 juillet 2024
Transit, c’est le nom de cette nouvelle application digitale mise en place à partir du 8 juillet par le transporteur Keolis sur son réseau Linead.
Jean-François Beaurain, directeur de Keolis Dreux, et David Nikiema, chargé du marketing, ont présenté la nouvelle application digitale proposée par Keolis pour les transports urbains (réseaux Linead, transilien et TER), vendredi 28 juin. Elle est téléchargeable gratuitement sur tous les mobiles (Iphone et Android). « Cette application est simple et intuitive. Elle géolocalise l’utilisateur et propose l’arrêt de bus à proximité de la ligne de bus la plus appropriée pour aller d’un point A à un point B, calcule l’itinéraire, en prenant en compte les temps de trajet à pied et trace le trajet sur une carte. Les bus sont géolocalisés en temps réel grâce à une antenne, installée sur chacun des véhicules. Les usagers peuvent ainsi connaître en temps réel où se trouve leur bus, ce qui permet de limiter le mécontentement dû à l’attente », explique David Nikiema.
« De même, toutes les perturbations sur les lignes seront signalées : les travaux, les arrêts de bus non-desservis pendant une durée déterminée ou les arrêts de bus temporaires… Les usagers seront prévenus des perturbations grâce à des notifications (si l’usager souhaite les recevoir). Jusqu’à présent, l’usager devait aller sur le site internet Linead.fr », ajoute Jean-François Beaurain. L’usager peut épingler un trajet en favori et recevoir toutes les informations le concernant. L’application Transit concerne également les transports scolaires. Les parents pourront géolocaliser les bus de leurs enfants. Là-aussi, chacun peut choisir ou non de recevoir les notifications. « Auparavant, tout le monde recevait un SMS, ce qui peut être considéré par les personnes non concernées, comme intrusif », indiquait les professionnels.
Lire la suite : https://mtaville.fr/28100/dreux/actualites/keolis-lance-leapplication-transit-pour-etablir-son-trajet-161474.php
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La Stas lance son titre de transport directement par carte bancaire
if-saint-etienne.fr - Par Xavier Alix
Publié le 4 juillet 2024
Pas le temps d’acheter un billet à une borne sur le quai ? L’usager peut désormais sortir sa carte bancaire et payer directement à l’intérieur d’un véhicule de transport en commun qu’il emprunte sur le réseau Stas. De payer et de justifier le paiement : ce nouveau service vous permet d’utiliser votre carte bancaire ou tout objet connecté (téléphone ou montre pour s’acquitter du prix aussi) comme titre de transport pour voyager sur le réseau. Il a été présenté hier au QG du délégataire de Saint-Etienne Métropole à Saint-Priest-en-Jarez. À chaque correspondance, le voyageur valide à nouveau avec sa carte bancaire. S’il valide dans le délai de 1 h 30 (ticket de base à 1,6 €) bien sûr, il ne sera pas prélevé de nouveau. En cas de contrôle, le voyageur présente simplement le support utilisé lors de la validation (carte bancaire, smartphone ou montre) à l’agent vérificateur.
Des valideurs spécifiques puis uniques
Pour assurer ce nouveau service, de nouveaux valideurs ont été installés à bord des bus, trolleybus et tramways du réseau. Ils s’ajoutent aux valideurs « historiques » conçus pour valider les titres individuels ou les cartes OùRA.
Lire la suite : https://www.if-saint-etienne.fr/breves/la-stas-lance-son-titre-de-transport-directement-par-carte-bancaire
RGPD
La Cnil alerte sur le manque de moyens alloués aux délégués à la protection des données dans les petites structures
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Édition du mercredi 3 juillet 2024
Cinq ans après l'entrée en application du RGPD, la Cnil a mené une enquête sur le métier de délégués à la protection des données (DPD). Si la fonction évolue, le développement de cette profession au sein des plus petites structures est souvent associé à moins de moyens.
Depuis le 25 mai 2018, le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est entré en vigueur. A suivi, le 20 juin 2018, la publication au JO de la loi relative à la protection des données personnelles qui adapte le RGPD à la loi française.
Une des grandes nouveautés du RGPD par rapport à la loi Informatique et libertés : la responsabilisation des acteurs qui traitent les données à caractère personnel. Ces derniers doivent en effet prendre toutes les mesures en matière de protection des données personnelles et démontrer leur conformité.
En conséquence, le RGPD impose « à toute collectivité territoriale, quelle que soit sa taille, de désigner un délégué à la protection des données qui sera le pilote de sa mise en conformité » (lire Maire info du 1er décembre 2021).
Lundi, le ministère du Travail, de la santé et des solidarités, la CNIL et l’AFCDP ont publié une enquête menée en 2024 dans le cadre de l’observatoire dédié au métier de DPD. Cette dernière confirme que la taille de l’organisation pour lequel le DPD travaille a une influence sur son profil mais aussi sur ces capacités à évaluer les risques et à réaliser leurs missions. Les petites communes seraient donc de fait pénalisées alors même qu’elles sont de plus en plus victimes de cyberattaques.
Manque de formation
Détection
AudioSeal : un nouveau modèle de Meta pour détecter les voix générées par IA
leptidigital.fr - Par Fanny Castaldi
Découvrez AudioSeal de Meta : la solution pour ajouter des filigranes invisibles aux enregistrements audio et garantir leur authenticité.
Face à la montée des deepfakes et des imitations vocales, la question de l’authenticité des voix et fichiers audio se pose de plus en plus. AudioSeal, développé par Meta, propose une solution pour ajouter des filigranes invisibles aux enregistrements audio générés par IA. Voici ce qu’il faut savoir à son sujet.
Qu’est-ce que AudioSeal ?
AudioSeal est la première technique de filigrane audio spécifiquement conçue pour la détection de voix générées par l’IA et le watermarking de sons sans altération du son d’origine.
Contrairement aux méthodes traditionnelles, qui utilisent des algorithmes de décodage complexes, AudioSeal utilise la détection localisée.
Cette technique permet d’identifier les segments audio générés par l’IA dans un enregistrement plus long. Le modèle est également conçu pour pouvoir détecter si un enregistrement audio a été modifié ou édité en post production.
Quelles sont ses principales caractéristiques ?
Lire la suite : https://www.leptidigital.fr/actualites/audioseal-ia-detection-voix-generees-60444/
Transformation numérique
Programme “Pour une Europe numérique” : 210 millions pour renforcer la cybersécurité et les capacités numériques
actuia.com - Par Marie-Claude Benoit.
Publié le 5 juillet 2024
Dans le cadre de son engagement à promouvoir la résilience numérique et l’innovation technologique, la Commission européenne a lancé ce jeudi 4 juillet des appels à propositions totalisant plus de 210 millions d’euros. Ces financements, issus du programme “Pour une Europe numérique”, visent à renforcer la cybersécurité et à développer les compétences numériques à travers l’Union européenne.
Approuvé le 16 mars 2021 par le Conseil de l’UE, le programme “Pour une Europe numérique” vise à stimuler la transformation numérique en finançant le déploiement de technologies de pointe dans des domaines cruciaux tels que l’IA, le calcul à haute performance (HPC), la cybersécurité et en développant les compétences numériques. Ce programme, le premier de l’UE à se concentrer sur l’apport de la technologie numérique aux entreprises et aux citoyens, dispose d’un budget de 7,5 milliards d’euros sur 7 ans (2021-2027). Son objectif premier était d’accélérer la reprise économique post-COVID en transformant numériquement la société et l’économie européennes, avec un accent particulier sur les petites et moyennes entreprises. Cette crise, tout comme la guerre lancée par la Russie contre l’Ukraine, a démontré l’importance pour l’Europe de ne pas dépendre de systèmes et solutions provenant d’autres régions du monde.
Sa mise en œuvre se fait à travers des programmes de travail pluriannuels. Les appels à propositions sont ouverts aux entreprises, aux organisations et aux administrations publiques des États membres de l’UE et des pays de l’AELE/EEE.
102,8 millions d’euros pour accroître la cybersécurité
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/programme-pour-une-europe-numerique-210-millions-pour-renforcer-la-cybersecurite-et-les-capacites-numeriques/
Intelligence artificielle
Intelligence artificielle : évolution et résultats. Confiance numérique, données et cloud
banque-france.fr - Par Denis Beau, Premier sous-gouverneur
Publié le 2 Juillet 2024
Point Zero Forum - Zurich
Mesdames, Messieurs,
C’est avec grand plaisir que j’ouvre cette table-ronde consacrée à l’intelligence artificielle (IA). L’IA constitue en effet une innovation de rupture, susceptible de conduire à de véritables bouleversements économiques. C’est particulièrement vrai dans le secteur financier, dont l’IA constitue, depuis quelques années déjà, le principal moteur de transformation. L’arrivée de l’IA générative devrait d’ailleurs encore accélérer cette tendance, non seulement en renforçant l’adoption des outils d’IA par les utilisateurs, mais également en accélérant structurellement le rythme de l’innovation (pensons par exemple à la capacité nouvelle de générer du code informatique à partir de requêtes en langage naturel).
Ces évolutions, marquantes, ne vont toutefois pas sans poser de questions, et notamment pour le banquier central et le superviseur financier que je suis. Je souhaite partager avec vous quelques-unes de ces interrogations, avant de vous faire part d’un certain nombre de convictions quant à la manière dont nous devons nous emparer du sujet.
1/ D’abord, malgré les progrès récents, la technologie sous-jacente ne paraît pas encore entièrement mûre, notamment s’agissant de l’IA générative. Sur ce sujet, un certain nombre de questions restent aujourd’hui sans réponse. J’en aborderai deux, qui pourront d’ailleurs ultérieurement stimuler les discussions du prestigieux panel réuni ici.
Premièrement, la question des modèles à usage général : quelle sera leur performance dans toute une série de tâches intéressant le secteur financier ? Cette question se pose en réalité à deux niveaux. Est-ce que les modèles généralistes vont devenir la norme pour tous les usages, au détriment des modèles spécialisés Les petits modèles bien entraînés – c’est-à-dire plus spécialisés – auront-ils la capacité à tirer leur épingle du jeu face aux gros modèles plus généralistes ? Ces questions de performance ont de nombreuses conséquences potentielles, notamment en matière de concurrence : si les gros modèles généralistes s’imposent dans tous les domaines, nous risquons fort de nous retrouver dans une situation de monopole ou d’oligopole naturel, qui viendrait d’ajouter au caractère déjà largement oligopolistique du marché du cloud.
Lire la suite : https://www.banque-france.fr/fr/interventions-gouverneur/artificial-intelligence-evolution-and-outcomes-digital-trust-data-and-cloud
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Cette intelligence artificielle identifie les signes du cancer
santemagazine.fr - Par Johanna Amselem
Publié le 2 juillet 2024
Des chercheurs suédois sont parvenus à élaborer un modèle d'intelligence artificielle destiné à accélérer la pose de diagnostic du cancer.
Aujourd’hui, 3,8 millions de personnes vivent en France avec un diagnostic de cancer. Cette maladie représente la première cause de mortalité prématurée devant les maladies cardiovasculaires. Selon l’Institut national du cancer (INCa), on estime à 433 136 le nombre de nouveaux cas de cancers pour l’année 2023 en France métropolitaine, 245 610 chez l’homme et 187 526 chez la femme. Au quotidien, la prévention et la lutte contre les facteurs de risque permettent de limiter l’incidence de certains cancers.
En Suède, des chercheurs de l’Université de Göteborg ont développé un modèle d’intelligence artificielle qui augmente le potentiel de détection du cancer grâce aux analyses de sucre. « Les glycanes, ou structures des molécules de sucre dans nos cellules, peuvent être mesurés par spectrométrie de masse. L’une de ses utilisations importantes est que ces structures peuvent indiquer différentes formes de cancer dans les cellules », explique le communiqué de l’étude. Comme l'explique le site du CNRS, derrière le nom commun de sucre se cachent des molécules complexes appelées "glycanes".
Accélérer le diagnostic
Lire la suite : https://www.santemagazine.fr/actualites/actualites-sante/cette-intelligence-artificielle-identifie-les-signes-du-cancer-1093764
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L’IA à la rescousse des infirmières : l’expérience pionnière d’UW Health
zataz.com - Par Damien Bancal
Publié le 02 juillet 2024
Dans le cadre d’un programme pilote conjoint d’intelligence artificielle lancé en 2023 avec Microsoft et Epic, UW Health explore comment un grand modèle linguistique (LLM) peut aider les infirmières à rédiger des réponses aux questions des patients.
Retrouver toutes les actualités Intelligence Artificielle dans les NEWS ZATAZ IA
Face à une pénurie de main-d’œuvre et à une demande croissante de soins de santé, une initiative vise à alléger la charge de travail des infirmières tout en maintenant un haut niveau de soins. Mission, permettre de répondre à des questions envoyées via le portail patient du système de santé. « Il est essentiel que nous, les infirmières, participions à la conversation lorsqu’il s’agit d’utiliser cette technologie pour soigner les patients », a déclaré Rudy Jackson, directeur général des soins infirmiers à UW Health.
Depuis septembre, plus de 75 infirmières d’UW Health ont utilisé l’IA générative pour créer plus de 3 000 messages aux patients dans plus de 30 services. Ces messages, bien que générés par l’IA, sont toujours révisés et édités par les infirmières avant d’être envoyés, garantissant ainsi que la qualité des réponses est maintenue.
Lire la suite : https://www.zataz.com/lia-a-la-rescousse-des-infirmieres-lexperience-pionniere-duw-health/#google_vignette
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Crédit Mutuel Alliance Fédérale et IBM renforcent leur collaboration pour accélérer le déploiement de l’IA générative
actuia.com - par Thomas Calvi
Publié le 3 juillet 2024
Crédit Mutuel Alliance Fédérale, bancassureur de premier plan en France pionnier dans l’adoption de l’IA, intensifie ses efforts pour intégrer les technologies de pointe dans ses opérations quotidiennes. En collaboration avec IBM, la banque mutualiste se prépare à déployer des solutions d’IA générative innovantes qui transformeront les services offerts à ses clients et sociétaires.
Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe 14 fédérations du Crédit Mutuel qui est partenaire d’IBM depuis plus de 50 ans. Leur collaboration autour de l’intelligence artificielle a débuté il y a environ huit ans avec la création par sa filiale technologique, Euro-Information, et IBM, d’un centre de compétences dédié au développement de solutions d’IA à Strasbourg : “Cognitive Factory”. En 2021, les deux partenaires annonçaient le lancement d’AmbitionS, un nouveau pôle d’excellence technologique permettant d’accélérer l’offre de services et technologies comme l’IA ou le cloud privé, en synergie avec la plateforme IBM Z, pour les clients et adhérents, partenaires et salariés de toutes les fédérations de Crédit Mutuel, et leurs filiales.
Une nouvelle étape dans la collaboration avec IBM
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Programme “Pour une Europe numérique” : 210 millions pour renforcer la cybersécurité et les capacités numériques
actuia.com - Par Marie-Claude Benoit
Publié le 5 juillet 2024
Dans le cadre de son engagement à promouvoir la résilience numérique et l’innovation technologique, la Commission européenne a lancé ce jeudi 4 juillet des appels à propositions totalisant plus de 210 millions d’euros. Ces financements, issus du programme “Pour une Europe numérique”, visent à renforcer la cybersécurité et à développer les compétences numériques à travers l’Union européenne.
Approuvé le 16 mars 2021 par le Conseil de l’UE, le programme “Pour une Europe numérique” vise à stimuler la transformation numérique en finançant le déploiement de technologies de pointe dans des domaines cruciaux tels que l’IA, le calcul à haute performance (HPC), la cybersécurité et en développant les compétences numériques. Ce programme, le premier de l’UE à se concentrer sur l’apport de la technologie numérique aux entreprises et aux citoyens, dispose d’un budget de 7,5 milliards d’euros sur 7 ans (2021-2027). Son objectif premier était d’accélérer la reprise économique post-COVID en transformant numériquement la société et l’économie européennes, avec un accent particulier sur les petites et moyennes entreprises. Cette crise, tout comme la guerre lancée par la Russie contre l’Ukraine, a démontré l’importance pour l’Europe de ne pas dépendre de systèmes et solutions provenant d’autres régions du monde.
Sa mise en œuvre se fait à travers des programmes de travail pluriannuels. Les appels à propositions sont ouverts aux entreprises, aux organisations et aux administrations publiques des États membres de l’UE et des pays de l’AELE/EEE.
102,8 millions d’euros pour accroître la cybersécurité
Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/programme-pour-une-europe-numerique-210-millions-pour-renforcer-la-cybersecurite-et-les-capacites-numeriques/
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L'IA consomme trop de (mauvaises) données : comment obtenir un meilleur rendement ?
zdnet.fr - Par joe mckendrick
Publié le 04 juillet 2024
La qualité des données est au cœur des préoccupations depuis des années. Mais désormais, l'identification des données essentielles pour l'IA et les modèles d'entraînement constitue un autre défi.
Peut-on maîtriser la surabondance de données inadéquates ou douteuses qui circulent dans les modèles d'intelligence artificielle ? L'efficacité de l'IA est entravée par des biais, des données polluées et, en fin de compte, par l'incertitude.
Certains spécialistes de l'IT ont quelques idées pour mettre de l'ordre dans ces données.
Si les données sont le nouveau pétrole, alors l'IA, "qui a besoin de beaucoup de données, est un gaspilleur de données", explique à ZDNET Andy Thurai, analyste principal chez Constellation Research. La consommation de gros volumes de données risque d'entraîner une perte de qualité dans le processus. Ce qui crée des problèmes de confiance envers l'IA.
Une perte de confiance envers l'IA
Une enquête menée par Salesforce auprès de 6 000 employés révèle que les trois quarts d'entre eux n'ont pas confiance dans les données qui servent à former l'IA avec laquelle ils travaillent.
Une autre enquête menée récemment par Fivetran auprès de 550 dirigeants de grandes entreprises estime que les entreprises perdent en moyenne 6 % de leur chiffre d'affaires annuel, soit 406 millions de dollars, en raison de modèles d'IA peu performants (construits à partir de données inexactes ou de mauvaise qualité). Ce qui se traduit par des prises de décisions incorrectes.
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/lia-consomme-trop-de-mauvaises-donnees-comment-obtenir-un-meilleur-rendement-394100.htm
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Intelligence artificielle : un nouveau référentiel pour tendre vers la frugalité
acte-environnement.com - Par E. Gouty
Publié le 1 juillet 2024
« De plus en plus de clients d'intelligence artificielle, à commencer par la puissance publique, ont des attentes basées sur l'impact environnemental de l'IA, a attesté le ministère de la Transition écologique, le 28 juin. Pour y répondre et réduire globalement cet impact dans toutes les organisations, il est primordial de disposer d'un référentiel pour outiller les acteurs à l'évaluation de ces impacts. » Et non seulement, c'est chose faite, mais toujours d'après le ministère, il s'agit d'une « première au niveau international ». L'Association française de normalisation (Afnor) et l'Écolab, l'aile innovation du Commissariat général du développement durable (CGDD) attaché au ministère, l'ont élaboré en réponse à la Stratégie nationale sur l'IA, présentée en novembre 2022.
Ce référentiel général (1) , qui ne constitue pas une norme mais une série de lignes directrices volontaires, consiste principalement en trois choses. En premier lieu, il donne une définition à ce qui peut être considéré comme un « service frugal d'IA ». À savoir, une technologie dont la performance reste meilleure qu'une « autre solution moins consommatrice », et dont le développement et l'usage s'attachent à l'adoption de « bonnes pratiques » pour en diminuer les impacts environnementaux tout en « restant dans les limites planétaires ». Pour préciser tout cela, le référentiel établit ensuite les indicateurs et les champs d'évaluation de l'empreinte environnementale de ce service, sur l'ensemble de son cycle de vie.
1. Accéder au référentiel sur le site de l'Afnor
https://telechargement.afnor.info/normalisation-afnor-spec-ia-frugale
Lire la suite : https://www.actu-environnement.com/ae/news/intelligence-artificielle-referentiel-frugalite-44349.php4
Internet des Objets
Nouvelle génération d'IoT : Pourquoi la gestion des mises à jour est devenue un impératif
Chronique de Fred Simon
Publié le 02 juillet 2024
Les objets connectés sont devenus bien plus puissants qu'avant, et leurs logiciels complexes, nécessitant un vrai contrôle sur le cycle de vie pour garantir le succès de ces projets. Explications.
L’Internet des Objets (IoT) a considérablement évolué depuis sa création dans le but de connecter des équipements physiques à Internet. Ses premiers cas d’usage se focalisent sur la collecte de données environnementales (température, humidité, vibrations, débit, pression et mouvements), et leur transmission vers un serveur centralisé à des fins de traitement et d’analyse. Les objectifs principaux sont alors d’obtenir une meilleure visibilité en temps réel sur les données, d’éliminer le besoin de supervision humaine et d’automatiser la détection des anomalies grâce à des politiques et des seuils prédéfinis.
Les systèmes de comptage d’eau intelligents permettent ainsi aux services publics d’assurer un suivi à distance de l’utilisation, des débits et de la pression de l’eau. Ils peuvent identifier des anomalies telles que la présence d’air dans la tuyauterie, des fuites, ainsi que des altérations au niveau du système d’approvisionnement en eau. Surtout, avec des compteurs intelligents, plus besoin de relevés et de supervision manuels. Les services publics bénéficient ainsi d’une meilleure visibilité en temps réel sur leurs données, ce qui peut aider à réaliser des économies d’eau, à réduire leurs coûts, à augmenter leurs revenus et à accroître la satisfaction des clients.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/iot/1531441-nouvelle-generation-d-iot-pourquoi-la-gestion-des-mises-a-jour-est-devenue-un-imperatif/
Réseau Radio du Futur
Réseau radio du futur : une transition qui risque de coûter cher aux collectivités
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Édition du jeudi 4 juillet 2024
Incendie et Secours
Un arrêté publié hier au Journal officiel vise à assurer dans les établissements recevant du public (ERP) la disponibilité d'une couverture radioélectrique très haut débit nécessaire à l'usage du Réseau radio du futur (RRF) par les services de sécurité et de secours. Une disposition qui risque de peser dans le budget des collectivités.
Par Lucile Bonnin
C’est en octobre 2022 que le ministère de l’intérieur a annoncé le remplacement du réseau radio Infrastructure nationale partageable des transmissions (INPT), par le Réseau Radio du Futur (RRF).
Cette évolution répond à un besoin impérieux de renouveler les technologies : « Aujourd'hui, les policiers, les gendarmes, les sapeurs-pompiers, les médecins du SAMU utilisent des équipements radio conçus au début des années 1990 (…) qui ne permettent pas la transmission d'importantes quantités de données ou d'images en temps réel depuis le terrain, peut-on lire sur le site du ministère de l'Intérieur. Avec le RRF, la France va se doter d'un réseau de communication très haut débit (4G puis 5G) commun à l'ensemble des acteurs de la sécurité et du secours, leur permettant de communiquer instantanément les uns avec les autres en bénéficiant de nouvelles fonctionnalités : appels vidéo, partage de position en direct, envoi d'électrocardiogrammes etc. » Le lancement du RRF est prévu pour avril 2025.
L’enjeu est donc désormais de réussir cette transition et d’assurer la continuité des communications radioélectriques. C’est dans ce contexte qu’a été publié hier un arrêté « modifiant l'arrêté du 25 juin 1980 modifié portant approbation des dispositions générales du règlement de sécurité contre les risques d'incendie et de panique dans les établissements recevant du public (ERP)
Lire la suite : https://www.maire-info.com/incendie-secours/reseau-radio-du-futur-une-transition-qui-risque-coter-cher-aux-collectivites--article-28783
Cybercriminalité
Interpol vient de faire l'arrestation du siècle en coffrant 4000 cybercriminels à travers 61 pays !
jeuxvideo.com - Par - nicoln - Journaliste jeuxvideo.com
Publié le 01 juillet 2024
Coup de tonnerre dans le monde de la cybercriminalité : l'opération "First Light 2024" d'Interpol a démantelé des réseaux d'escrocs opérant dans 61 pays. Près de 4 000 arrestations et 257 millions de dollars saisis témoignent de l'ampleur de cette victoire contre les escroqueries en ligne.
Interpol frappe fort
L'opération "First Light 2024", orchestrée par Interpol, a fait un coup de filet historique dans le monde de la cybercriminalité. Cette vaste offensive, menée simultanément dans 61 pays, a permis de démanteler de vastes réseaux d'escroquerie en ligne et de coffrer près de 4 000 cybercriminels. Les forces de l'ordre ont également saisi la somme faramineuse de 257 millions de dollars.
Phishing, arnaques sentimentales, faux sites marchands, fraudes à l'investissement... Aucune forme d'escroquerie en ligne n'a échappé à la vigilance des enquêteurs d'Interpol. Les criminels, qui profitaient de l'anonymat du web pour piéger leurs victimes, ont été traqués pendant des mois pour démanteler leurs réseaux.
Parmi les affaires les plus marquantes, on peut citer le démantèlement d'un réseau international d'escroquerie en Namibie, qui exploitait 88 jeunes forcés à mener des arnaques en ligne. Les autorités ont saisi 163 ordinateurs et 350 téléphones portables, dont les données ont été transmises à Interpol pour analyse.
À Singapour, la coopération entre le centre anti-escroquerie de la police et les banques locales a permis d'éviter une arnaque au faux support technique, sauvant ainsi les économies d'un septuagénaire qui risquait de perdre 280 000 dollars.
Lire la suite : https://www.jeuxvideo.com/news/1900657/interpol-vient-de-faire-l-arrestation-du-siecle-en-coffrant-4000-cybercriminels-a-travers-61-pays.htm
Cybersécurité
Cybersécurité : Les hackers russes, forte menace lors des Jeux Olympiques
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 01 juillet 2024
La société de cybersécurité WithSecure a publié un rapport sur les cybermenaces susceptibles de se produire lors des Jeux Olympiques. Elle estime qu’il existe une menace “modérée à élevée” provenant de groupes soutenus par l’État russe, qui peuvent nuire à la fois à la France et au Comité international olympique.
WithSecure, société finlandaise proposant des solutions de cybersécurité à destination des entreprises, a publié un rapport sur l’état de la cybermenace à l’occasion des Jeux Olympiques cet été. Elle considère avec un degré de confiance élevé qu’en raison des tensions géopolitiques avec la Russie, les JO, qui s’ouvrent dans moins d’un mois, seront exposés à un “risque accru de cyberactivité malveillante”.
La Russie pourrait mener des campagnes de discréditation des JO
Plus précisément, WithSecure estime qu’il existe une menace “modérée à élevée” provenant de groupes soutenus par l’État russe, à la fois contre les infrastructures nationales et locales et contre le Comité international olympique (CIO). La Russie pourrait tout d’abord discréditer la France sur la scène internationale, en cas de raté dans l’organisation.
Elle pourrait également faire perdre le CIO en notoriété, après avoir annoncé le lancement en
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-les-hackers-russes-forte-menace-lors-des-jeux-olympiques.N2215329
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Cybersécurité et protection des données : dernières recommandations avant les JO
banquedesterritoires.fr - Par Olivier Devillers, pour Laçais
Publié le 2 juillet 2024
À l'approche des JO, le risque cyber est plus que jamais d'actualité. Les centres de réponse aux incidents cyber (C-Sirt) ont aidé les collectivités à colmater des failles de sécurité sur leurs sites web. Des fiches de remédiation aux incidents ont également été diffusées. La Cnil a pour sa part publié une foire aux questions sur le volet numérique des JO.
Depuis plusieurs mois, l'Agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information (Anssi) alerte sur le risque d'une multiplication des cyberattaques à l'occasion des Jeux olympiques. Et si les 500 entités accompagnées par l'agence figurent en tête des cibles potentielles (voir ci-dessous), l'étendue des attaques pourrait être beaucoup plus vaste. La sensibilisation des pouvoirs publics aux risques se doit donc d'être la plus large possible.
Repérage massif de failles de sécurité
Toute entité symbolisant la France – notamment avec un domaine en .fr - est potentiellement menacée. Dans cet esprit, on signalera la mobilisation des centres de réponse aux incidents cyber (C-Sirt) régionaux pour aider les collectivités à remédier aux failles de sécurité de leurs services en ligne en amont des JO. Initiée par Breizh Cyber, en partenariat avec les C-Sirt métropolitains, ultramarins et la société Onyphe, cette campagne a eu lieu en avril 2024. L'objectif était de scanner via internet les vulnérabilités des sites et messageries de 25.334 entités publiques françaises, incluant 67% des communes (le reste n'ayant pas de site), 99% des intercommunalités et centres de gestion ainsi que la totalité des départements et régions.
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/cybersecurite-et-protection-des-donnees-dernieres-recommandations-avant-les-jo
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Cybersécurité : Une nouvelle technique permet de contourner les restrictions éthiques des LLM
usine-digitale - Par Yoann Bourgin
Publié le 04 juillet 2024
Microsoft alerte sur le fonctionnement de “Skeleton Key”, une technique de "jailbreak" permettant d'outrepasser les protections de n’importe quel agent conversationnel pour la génération de contenus préjudiciables ou interdits. Une technique peu sophistiquée, mais à laquelle n’échappent pas les modèles les plus avancés d’IA générative, comme ceux d’OpenAI, Google ou Anthropic.
Avant chaque mise en service d’un modèle d’IA générative, les développeurs mettent en place des garde-fous, afin d’éviter que les chatbots ne génèrent du contenu discriminant ou illégal. Ces mesures de protection peuvent toutefois être contournées : l’équipe de sécurité de Microsoft a décrit sur son site le fonctionnement de “Skeleton Key”, qui se présente sous la forme d’une attaque par jailbreak. Elle permet à n’importe quel utilisateur de donner une instruction particulière à un agent conversationnel qui, en retour, générera du contenu interdit.
Neutralisation des garde-fous
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-une-nouvelle-technique-permet-de-contourner-les-restrictions-ethiques-des-llm.N2215434
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Découvrez les nouvelles menaces en cybersécurité en 2024 !
Par Eléonore Dupont De la Rivière
Publié le 06 juillet 2024
Nous vivons à une époque où notre dépendance à l'égard de la technologie ne cesse de croître, et avec elle, les risques liés à la cybersécurité. En cette année 2024, ces menaces ont pris de nouvelles formes et sont plus sophistiquées que jamais. Cet article vise à vous informer des dernières tendances en matière de cybermenaces, des vulnérabilités des entreprises et des moyens pour y faire face.
Évolution des cybermenaces en 2024 : quelles sont les tendances ?
Cyberattaques : un phénomène en constante progression
Les cyberattaques sont devenues légion : selon une étude récente, leur nombre a augmenté de 300% par rapport à l'année précédente.
Nouvelles formes d'attaques : sophistication et ingéniosité
ette année, on observe une augmentation significative des ransomwares et des attaques par hameçonnage qui exploitent la crédulité humaine.
Type d’attaque Pourcentage d’augmentation
Ransomware 250%
Phishing 200%
Avant de nous pencher sur les vulnérabilités spécifiques auxquelles doivent faire face les entreprises, il est essentiel de comprendre comment ces nouvelles menaces se manifestent.
Les principales vulnérabilités des entreprises face aux nouvelles attaques
Lire la suite : https://www.secret-defense.org/cybersecurite/decouvrez-les-nouvelles-menaces-en-cybersecurite-en-2024/
Mobilité
Transports : quel est votre avis sur la mise en place de la gratuité ?
comptes.fr - CRC OCCITANIE
Publié le 26 juin 2024
La Cour des Comptes réalise actuellement une enquête sur les transports urbains. Dans ce cadre, des questionnaires ont été adressés aux usagers de la TaM de Montpellier Méditerranée Métropole, afin de recueillir leurs avis suite à la mise en place de la gratuité des transports.
Des question sont parvenues à la Chambre régionale des comptes Occitanie, concernant cette enquête. Celle-ci prend en effet la forme d’un courriel, envoyé sur les adresses personnelles des usagers, qui leur propose ensuite de cliquer sur un lien pour répondre à des questions précises.
Il s’agit donc bien d’un travail de la Cour des comptes. Ce qui n’exonère pas de demeurer vigilant quant à la provenance de ce type de mail. Les usagers sont invités à vérifier l'adresse de l'expéditeur avant d'ouvrir tout courrier électronique.
Par ailleurs, pour celles et ceux qui souhaitent davantage d’informations sur ce sujet, rappelons que la Chambre régionale des comptes Occitanie a publié un rapport, en 2023, sur la TaM, délégataire de l’exploitation du réseau des transports publics de Montpellier Métropole Méditerranée, avant le passage à la gratuité. Ce rapport est consultable librement, en suivant ce lien.
Lire la suite : https://www.ccomptes.fr/fr/actualites/transports-quel-est-votre-avis-sur-la-mise-en-place-de-la-gratuite
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Mobilités : comment se déplacera-t-on dans l’agglomération dans dix ans ?
estrepublicains.fr - Par C.M.
Publié le 29 juin 2024
Le plan de mobilité sera bientôt soumis à enquête publique : il fixe les principes d’organisation des transports et de la circulation dans l’agglomération pour les 10 ans à venir. Principal objectif de Grand Besançon Métropole : réduire la part de la voiture de 57 % à 36 % et développer les autres modes de déplacement.
C’est un document de planification obligatoire pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants : le plan de mobilité (PDM) fixe les orientations du territoire en matière de déplacement pour les dix années à venir. Bref, un ensemble de principes, d’objectifs et d’actions qui sera bientôt soumis à enquête publique puisque le projet 2025-2035 a été acté ce jeudi soir, lors de la séance du conseil communautaire.
Des objectifs fixés par la loi
Le plan de mobilité ne sort pas de nulle part. Il doit évidemment prendre en compte les objectifs fixés par le Code des transports (et notamment la « diminution du trafic automobile ») mais aussi ceux que détermine la loi - parmi lesquels la part « vélo » à atteindre, soit 12 % des modes de déplacement d’ici à 2030.
69 % des déplacements font moins de 5 km
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.estrepublicain.fr/transport/2024/06/29/mobilites-comment-se-deplacera-t-on-dans-l-agglomeration-dans-dix-ans
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Des plaques d’immatriculation sur les trottinettes électriques en France ? C’est de plus en plus probable
journaldugeek.com - Par Olivier
Publié le 29 juin 2024
Actuellement, les utilisateurs de trottinettes électriques doivent être âgés d’au moins 14 ans, ils doivent aussi posséder une assurance responsabilité civile et respecter les règles de priorité des véhicules. Mais l’absence de plaques d’immatriculation complique la tâche des autorités pour verbaliser les contrevenants.
Après avoir adopté un code de la rue pour améliorer la cohabitation entre piétons et cycliste, la ville de Toulouse veut responsabiliser les utilisateurs de trottinettes électriques. Et le dossier de l’immatriculation de ces véhicules est revenu sur la table, comme le rappelle La Dépêche. « Lors des discussions sur le code de la rue, le respect des règles pour les trottinettes est revenu régulièrement », explique Maxime Boyer, l’adjoint au maire en charge de la mobilité.
Les plaques d’immatriculation obligatoires en Italie
C’est pourquoi durant le dernier conseil municipal, une proposition a été votée pour demander au gouvernement d’instaurer des plaques d’immatriculation pour les trottinettes électriques. « Cela permettra aux policiers municipaux et aux agents de vidéoverbalisation de savoir qui est le propriétaire », ajoute Maxime Boyer. Le vœu inclut également la proposition de rendre l’assurance des trottinettes obligatoire et de renforcer les contrôles de motorisation.
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/06/29/des-plaques-dimmatriculation-sur-les-trottinettes-electriques-en-france-cest-de-plus-en-plus-probable/
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L'Aéroport de Marseille se dote d'une solution biométrique
tourmag.com Par Manon Morelli
Publié le 26 juin 2024
L’Aéroport de Marseille-Provence a sélectionné IN Groupe pour mettre en place une carte d’embarquement biométrique pour faciliter le parcours voyageur.
IN Groupe a été choisi par l'Aéroport de Marseille-Provence pour mettre en place la solution Fly’IN – Fast Track.
Cette solution permet aux voyageurs de créer une carte d’embarquement biométrique associant leur photo à leur titre de transport. Fly’IN respecte les exigences de sécurité des données personnelles grâce à une biométrie qui ne nécessite pas de base de données centralisée, assurant ainsi que les passagers gardent le contrôle de leurs données.
Cette initiative vise à offrir une expérience de voyage plus fluide et sécurisée.
L'Aéroport de Marseille-Provence est le premier à adopter cette technologie développée par IN Groupe, conforme aux plus hautes exigences réglementaires en matière de protection et d'utilisation des données privées et biométriques.
La solution Fly’IN – Fast Track innove en combinant automatiquement et de manière sécurisée la carte d’embarquement, le titre d’identité et la photo du voyageur. Ces informations restent toujours en possession du voyageur. L'opération est simple et peut être effectuée via l'application mobile de l'aéroport à tout moment, ou directement à l'aéroport sur l'une des bornes libre-service dédiées à l'enregistrement des passagers. Cette combinaison permet au voyageur d’obtenir une carte d’embarquement biométrique.
Lire la suite : https://www.tourmag.com/L-Aeroport-de-Marseille-se-dote-d-une-solution-biometrique_a123294.html
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Extramobile : les futures lignes de transports en commun de la Métropole
lillemetropole.fr - Communiqué
Publié le 24 juin 2024
Extramobile, ce sont les grands projets qui feront bouger les mobilités dans la métropole. Ils proposeront de nouvelles offres et solutions de déplacements, performantes, économiques et de qualité.
Un réseau de transport transformé
Le projet prévoit de développer et renforcer le réseau de transport existant pour multiplier les dessertes et les connexions.
De nouvelles lignes structurantes :
Un réseau plus performant
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Mobilités, données et territoire. Quels retours d'expériences ? Retour sur le Rendez-Vous Mobilités du 23 mai 2024
Publié le 25 juin 2024
Retour sur les échanges du Rendez-Vous Mobilités organisé par le Cerema avec ATEC ITS France et France Mobilités le 23 mai 2024 sur les retours d'expérience en matière d'exploitation des données de mobilité et les nouvelles pratiques.
Les données ont de la valeur ! Elles contribuent à l'émergence de service de mobilité fiables que les usagers recherchent. Les règlements délégués de la Commission Européenne établissent les spécifications nécessaires pour garantir l’accessibilité, l’échange, la réutilisation et la mise à jour des données par leurs détenteurs. Ils offrent un cadre pour la mise à disposition de services d’informations en temps réel sur la mobilité.
La donnée au cœur des stratégies de mobilité
Ces règlements s’appliquent à l’ensemble du réseau routier accessible au public, à l’exception de certaines voies privées. Cette Conférence Technique Territoriale (CTT) est revenue sur ces règlements européens pour préciser aux gestionnaires routiers leurs obligations. Elle a montré, avec des exemples locaux, les bénéfices partagés de cette mise à disposition des données.
La CTT "Mobilités, données et territoires : retours d’expérience" du 23 mai 2024 a permis de faire le point sur les nouvelles pratiques en matière de partage et de (ré)utilisation de données de mobilité et de services innovants, par la présentation de solutions opérationnelles et le partage d’expériences des acteurs de la mobilité dans les territoires de la région PACA.
Plus de 80 personnes ont assisté à cette journée co-organisée par ATEC ITS, France Mobilité et le Cerema.
Les interventions de la journée
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/mobilites-donnees-territoire-quels-retours-experiences
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Voici MobiOne, un nouveau concept de mobilité inventé par trois ingénieurs liégeois pour... mettre fin aux embouteillages
www.rtl.be - Par RTL info avec Vincent Jamoulle et David Muller
Publié le 23 juin 2024
Trois ingénieurs liégeois pensent avoir trouvé la solution aux embouteillages. Ils développent un nouveau concept de mobilité : un petit véhicule électrique qui est à mi-chemin entre la voiture et le vélo. Ils cherchent à présent des partenaires pour développer leur projet.
Si les embouteillages vous rendent dingue, ou que le vélo ce n'est pas pour vous, voici un compris qui pourrait vous intéresser : MobiOne. Il s'agit d'une mini voiture électrique, qui peut éviter les bouchons en empruntant les zones réservées aux cyclistes.
Alexandre Simonis, un des responsables du projet, donne des détails sur son invention : "Légalement, ce sera un cyclomoteur de classe A, limité à 25 km heure et qu'on peut conduire sans permis. Et donc effectivement, il est dimensionné sur la même dimension qu'un vélo-cargo électrique pour pouvoir rouler sur les pistes cyclables".
Lire la suite : https://www.rtl.be/actu/belgique/societe/voici-mobione-un-nouveau-concept-de-mobilite-invente-par-trois-ingenieurs/2024-06-23/article/683111
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Grand Paris : comment la ligne 14 peut transformer la Seine-Saint-Denis
latribune.fr - Par Alexandre Schmitt
Publié le 24 Juin 2024
Après huit ans de travaux, le prolongement de la ligne 14 au nord et au sud de Paris a été inauguré ce lundi 24 juin. A la nouvelle gare de Saint-Denis Pleyel, et dans l'ombre d'Emmanuel Macron, les élus locaux se réjouissent de l'arrivée de la ligne sur leur territoire. Reportage.
Sous le soleil éclatant du mois de juin, debout sur le parvis de la gare de Saint-Denis Pleyel, la centaine d'invités attend patiemment l'arrivée du président de la République. Ce lundi, les Dionysiens voient arriver pour la première fois la ligne 14 jusqu'à eux.
Le prolongement aura coûté 3,5 milliards d'euros, intégralement financés par la Société des grands projets (SGP). L'extension devra profiter à 250.000 habitants, en 2031, au nord de Paris et en Seine-Saint-Denis selon Île-de-France Mobilités (IDFM).
Dans une période où la Seine-Saint-Denis est sous le feu des projecteurs, les élus locaux accueillent cette nouveauté avec enthousiasme. Le 93 accueillera une grande partie des épreuves pendant les Jeux olympiques, ainsi que les villages des athlètes et des médias. Pour Mathieu Hanotin, président de Plaine Commune et maire (PS) de Saint-Denis, cette gare fera de sa ville le « cœur battant de la métropole parisienne ».
Connecter la Seine-Saint-Denis à Paris
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Kairos EV : l’étonnant véhicule électrique à trois roues français
Par Olivier le 23 juin 2024
Le Kairos EV mis au point par l’association française SIREMS multiplie les dispositifs de sécurité pour les véhicules électriques à trois roues.
Les véhicules électriques à trois roues sont réputés pour leur agilité mais ils présentent plusieurs défis en termes de sécurité par rapport aux voitures à quatre roues. Le Kairos EV, conçu par Mathieu L’Hopitault et développé par l’association SIREMS, veut changer cette perception grâce à deux systèmes de sécurité qui sortent de l’ordinaire.
Meilleure stabilité, plus grande sécurité
Contrairement aux autres véhicules à trois roues qui placent les deux roues à l’avant pour assurer la stabilité dans les virages, le Kairos adopte une approche différente en les plaçant… à l’arrière. Cette disposition, combinée à une position de conduite semi-inclinée et les pieds en avant, permet de placer la majorité du poids du conducteur sur les roues arrière, ce qui optimise la traction. Les roues arrière du Kairos s’inclinent par rapport au corps principal du véhicule lors des virages, permettant au véhicule de pencher dans les virages pour une plus grande maniabilité.
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/06/23/kairos-ev-letonnant-vehicule-electrique-a-trois-roues-francais/
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La première liaison hyperloop est prévue en 2035 en Chine
journaldugeek.com Par Olivier
Publié le 23 juin 2024
La Chine a l’intention de mettre en service un système de transport hyperloop d’ici 2035. Ce projet, qui reliera Shanghai à Hangzhou, marquera une avancée très importante dans le domaine des transports à très haute vitesse.
La Chine, qui est déjà un des leaders mondiaux dans le secteur des technologies ferroviaires à grande vitesse, se tourne résolument vers l’hyperloop, un système de transport utilisant des tunnels sous vide pour des vitesses allant jusqu’à 1.000 km/h. Le projet concerne une ligne de 150 km entre Shanghai et Hangzhou, qui permettra de réduire le temps de trajet à environ 15 minutes, contre 1 heure actuellement en train à grande vitesse.
La Chine plein pot sur le train à très grande vitesse
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/06/23/la-premiere-liaison-hyperloop-est-prevue-en-2035-en-chine/
Identité
Cette application peut-elle empêcher l’usurpation d’identité professionnelle ?
media24.fr - Publié par : Eric Garletti
Publié le 28 juin 2024
L’usurpation d’identité affecte un nombre croissant d’individus et d’entreprises. En 2021, la France a vu 210 000 de ses citoyens victimes de ce type de fraude, révélant la vulnérabilité des systèmes de sécurité actuels dominés par le facteur humain, responsable de plus de 99% des incidents de sécurité. Les prévisions de Juniper Research suggèrent que l’impact financier de ces fraudes pourrait grimper jusqu’à 190 milliards d’euros d’ici 2025. Face à cette menace grandissante, une application mobile innovante, WeCA, émerge comme un bouclier potentiel contre l’usurpation d’identité professionnelle.
WeCA : Une solution complète pour sécuriser les interactions professionnelles
WeCA propose une réponse concrète aux défis posés par l’usurpation d’identité en entreprise et dans les interactions quotidiennes. Grâce à une interface intuitive et une technologie de clés éphémères, WeCA permet aux utilisateurs de vérifier l’identité de leurs interlocuteurs en temps réel, que ce soit en face à face, à distance ou en ligne. L’application offre plusieurs fonctionnalités dédiées :
Cette solution SaaS permet également une intégration fluide dans les systèmes existants des entreprises, sans perturber leurs opérations habituelles.
Lire la suite : https://media24.fr/2024/06/28/cette-application-peut-elle-empecher-lusurpation-didentite-professionnelle/
Intelligence artificielle
IA : les emplois qualifiés seraient les plus susceptibles d'être impactés
lesnumeriques.com - Par Passim Chentouf
Publié le 24 juin 2024
Une nouvelle étude, basée sur les prédictions de GPT-4-LLM et une analyse humaine, montre que les métiers qualifiés sont les plus susceptibles d'être impactés par l'adoption de l'IA. Les métiers manuels seraient à l'abri des perturbations liées à cette technologie.
Depuis la généralisation de l’IA auprès du grand public, plusieurs études alertent sur ses conséquences dans le monde du travail, bonnes comme mauvaises. Selon un rapport publié dans Science, ces modèles sont plus susceptibles d’impacter les hauts revenus et les professions qualifiées, comme les ingénieurs en informatique et les experts en science des données.
18,5 % des professions seraient impactées par l’IA
Basée sur 923 professions, l’étude dévoile que 18,5 % des employés pourraient voir la moitié de leurs tâches effectuées par de nouvelles avancées technologiques comme l’IA. Il s’agit d’une prédiction du modèle GPT-4-LLM, qui a été soumis à plusieurs variables, ainsi que d’une analyse humaine. Le grand modèle de langage a analysé si la technologie était en mesure de réduire au moins de moitié le temps nécessaire pour accomplir une tâche sans impacter sa qualité.
L’étude a été pilotée par deux employés d’OpenAI (entreprise à laquelle on doit ChatGPT) et par le Centre for the Governance of AI, une organisation à but non lucratif britannique.
Les métiers manuels échapperaient à l’IA
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/intelligence-artificielle/ia-les-emplois-qualifies-seraient-les-plus-susceptibles-d-etre-impactes-n223140.html
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Dans l’IA, les profits avant tout
cafetech.substack.com - Par Jérôme Marin
Publié le 34 juin 2024
Comment la course aux profits s'est imposée dans l'intelligence artificielle
Ilya Sutskever n’a pas tardé à rebondir. À peine un mois après sa démission, l’ancien directeur scientifique d’OpenAI vient de lancer une nouvelle start-up spécialisée dans l’intelligence artificielle générative. Sa mission se retrouve dans son nom: Safe Superintelligence. Autrement dit, développer une “super-intelligence sûre”, explique son fondateur, accompagné dans ce projet par l’ancien responsable de l’IA chez Apple. “C’est notre unique objectif”, assure-t-il. Et de promettre de ne pas céder à des “pressions commerciales de court terme”, en multipliant les lancements de produits pour satisfaire les intérêts financiers des actionnaires. En quelque sorte, il souhaite mener à bien la mission que s’était initialement fixée le concepteur de ChatGPT, désormais davantage focalisé vers la recherche de profits.
Les profits avant tout – Safe Superintelligence fait presque office d’exception. Dans le secteur de l’IA, “la sécurité a été reléguée au second plan”, dénonce Jan Leike, qui vient également de quitter OpenAI. Même chose pour la recherche fondamentale, elle aussi supplantée par les immenses enjeux financiers. L’entraînement des derniers modèles nécessite en effet une importante puissance de calcul. Cela se traduit par des investissements massifs, pour acheter des cartes graphiques ou utiliser une plateforme de cloud. Et par des levées de fonds se chiffrant en centaines de millions, voire en milliards de dollars. Sur un marché très concurrentiel, c’est une course de vitesse qui s’est donc engagée, avec en ligne de mire des retombées commerciales potentiellement énormes, tant l’IA pourrait révolutionner de nombreux métiers.
Chez Google, la recherche sacrifiée
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IA vs IA : face aux deepfakes, un algorithme serait notre meilleur atout
science-et-vie.com - Par Antoine Ducarre
Publié le 24 juin 2024
Avec l'avènement de l’intelligence artificielle, les dérives sont, elles aussi, en pleine expansion.
EN BREF
• Des scientifiques ont développé un algorithme d'IA, MISLnet, capable de détecter les deepfakes avec 98% de précision, selon une étude publiée sur arXiv en avril 2024.
• L’algorithme utilise une méthode d'apprentissage pour distinguer les "traces" laissées par les programmes d'IA générative, surpassant d'autres outils avec une précision supérieure.
• Cette avancée représente un pas significatif dans la lutte contre les deepfakes, offrant une méthode plus efficace pour identifier les contenus générés par IA.
Il n’est pas rare que lorsqu’une nouvelle technologie se développe et arrive entre les mains du grand public, des dérives concernant son utilisation voient le jour. C’est le cas des deepfakes qui grâce à l’intelligence artificielle ont pu se répandre sur Internet.
Face à ce fléau, qui pourrait être une menace à bien des égards, des scientifiques auraient réussi à mettre au point un algorithme d’IA capable de détecter les deepfakes avec une précision dite de 98%. L’étude a été publiée sur arXiv en avril 2024, sous le nom de “Beyond Deepfake Images : Detecting AI-Generated Videos” (Au-delà des fausses images de Deepfake : Détection des vidéos générées par l'IA).
Que sont les deepfakes ?
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IA : meta lance un programme pour les start-up européennes en france
bfmtv.com - OC avec AFP
Publié le 24 juin 2024
Lancé en partenariat avec Scaleway et la pépite française Hugging Face, ce nouveau programme accompagnera cinq start-up européennes de septembre 2024 à février 2025.
Meta a annoncé lundi le lancement en France d'un nouveau programme dédié à l'intelligence artificielle (IA) en source ouverte pour les start-up européennes, qui peinent à rester compétitives, selon le géant américain.
"Nous avons un vrai problème en Europe, nous sommes en train de nous faire dépasser à toute vitesse par les Etats-Unis et la Chine", a déclaré à l'AFP, Nick Clegg, ancien vice-Premier ministre britannique et responsable des affaires internationales de Meta.
"Pendant trop longtemps, on a pensé que le seul rôle de l'Europe était de réguler, pendant que la Chine copie et l'Amérique innove", a-t-il poursuivi.
"On ne parvient pas au succès grâce à des réglementations mais grâce à l'innovation, l'entrepreneuriat et des partenariats entre les géants de la tech et des petites start-up, ce qui correspond aux ambitions de ce programme", a complété Nick Clegg.
Approche open-source
Lire la suite : https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/ia-meta-lance-un-programme-pour-les-start-up-europeennes-en-france_AD-202406240174.html
Détection
Le logiciel de détection des gestes suspects de la start-up Veesion n'est pas conforme au RGPD
usine-digitale.fr - Par Alice Vitard
Publié le 24 juin 2024
Le Conseil d'Etat a rejeté le référé de l'entreprise Veesion qui demandait la suspension de l'exécution du courrier de la Commission nationale de l'informatique et des libertés jugeant que son logiciel de détection des gestes suspects pour le retail n'était pas conforme au RGPD. Notamment, il ne remplit pas les conditions de la loi du 19 mai 2023 qui autorise, à titre expérimental, le traitement algorithmique des images collectées au moyen de systèmes de vidéosurveillance.
Mise à jour (26/06/2024) : La société Veesion a également objecté auprès de la Cnil, qui lui a donné un délai d'un mois pour présenter ses observations quant à ce manquement.
Article original : Le logiciel de "reconnaissance des gestes", développé et commercialisé par l'entreprise Veesion, n'est pas conforme au Règlement général sur la protection des données (RGPD), a conclu la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) dans un courrier du 6 juin 2024 envoyé à l'entreprise française. Cette dernière a contesté cette décision devant le Conseil d'Etat dans le cadre d'une procédure de référé-suspension, une procédure d'urgence permettant d'obtenir la suspension d'une décision administrative.
Fondée par Benoît Koenig, Thibault David et Damien Ménigaux, Veesion est une entreprise qui a développé et commercialise un logiciel de détection des "comportements suspects en temps réel" grâce à l'intelligence artificielle. Dédié au secteur du retail pour détecter les vols à l'étalage, il est installé sur des boîtiers ajoutés au dispositif de vidéosurveillance d'un magasin.
Les prétentions de Veesion rejetées
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.usine-digitale.fr/article/le-logiciel-de-detection-des-gestes-suspects-de-la-start-up-veesion-n-est-pas-conforme-au-rgpd.N2214959
Spoofing
Skyjacker va donner du fil à retordre aux drones malveillants durant les JO
journaldugeek.com - Par Olivier
Publié le 23 juin 2024
Safran déploiera cet été son système de brouillage GPS de pointe Skyjacker pour protéger les Jeux Olympiques de Paris contre les menaces des drones. Cette technologie a pour mission d’assurer une sécurité optimale pour l’événement.
Safran a donné plus d’informations sur son système de brouillage GPS de pointe, nommé Skyjacker, qui va servir à protéger les Jeux Olympiques de Paris 2024. Ce dispositif présenté lors du salon Eurosatory est conçu pour neutraliser les drones malveillants en leur transmettant de faux signaux GPS. Cette technique, connue sous le nom de « spoofing », désoriente les drones en leur faisant croire qu’ils se trouvent à une autre position géographique, les empêchant ainsi de mener à bien leurs missions.
Un bouclier contre les menaces aériennes
Skyjacker utilise un capteur optronique et un radar pour détecter les drones et leur envoyer des signaux erronés. Le système est modulable et peut être monté sur diverses plateformes, des navires aux installations fixes. L’idée est de mettre en œuvre une réponse rapide et adaptée à la menace. Safran espère que Skyjacker sera une solution de choix non seulement pour les missions militaires mais aussi pour la protection de grands événements civils — à l’image des JO.
Lire la suite : https://www.journaldugeek.com/2024/06/23/skyjacker-va-donner-du-fil-a-retordre-aux-drones-malveillants-durant-les-jo/
Implants cérébraux
Elon Musk annonce la fin du smartphone : voici la tech qui va le remplacer
lebigdata.fr - Par Nirina.R.
Publié le 24 juin 2024
Elon Musk, connu pour ses visions futuristes, a encore frappé fort. Cette fois, il prédit la fin imminente des smartphones, remplacés par une technologie encore plus avancée : les interfaces cérébrales directes, comme celle développée par Neuralink.
« Les smartphones deviendront bientôt obsolètes. » C'est avec ces mots qu'Elon Musk, le PDG de Neuralink, a secoué le monde technologique. Il est convaincu que les puces cérébrales, comme celles que développe sa société, sont l'avenir.
En réponse à un article sur X, un réseau social, Musk a précisé sa vision : « Dans le futur, il n'y aura pas de téléphones, juste des Neuralinks. » Cette prédiction repose sur la capacité des BCI (interfaces cérébrales directes) à offrir une communication plus directe et efficace.
Esprit connecté : l'Intrigante évolution de Neuralink
Neuralink, sous la direction de Musk, a déjà commencé à réaliser cette vision futuriste. Rappelons que la société a fait des progrès significatifs avec ses technologies de puce cérébrale.
Un exemple frappant est celui de Noland Arbaugh, un homme de 29 ans qui est resté paralysé des épaules aux pieds après un accident survenu il y a huit ans. Le 28 janvier, Arbaugh a subi une intervention chirurgicale pour implanter une puce Neuralink dans son cerveau.
Video sur Youtube (en anglais) Par Keralakaumudi.com : https://www.youtube.com/watch?v=fkcP4qAWQdU&t=45s
Défense Nationale
SAFRAN développe la communication optique laser pour la défense du futur
vipress.net - Posté par Pascal Coutance
Publié le 21 Juin 2024
Fournir aux forces armées une solution de communication à très haut débit qui s’affranchit des risques d’interception et de brouillage, tel est l’objectif de la technologie optique laser développée par Safran Electronics & Defense.
Lors du salon Eurosatory qui ferme ses portes aujourd’hui, Safran Electronics & Defense a annoncé mettre au point une nouvelle solution de communication à très haut débit à destination des forces armées qui s’affranchit des risques d’interception et de brouillage
Tirant partie du savoir-faire de l’équipementier français dans les domaines de la navigation inertielle, de l’optronique et de la communication, la solution proposée est basée sur la communication optique par laser.
La technologie de communication optique par laser développée par Safran reposera sur des terminaux pouvant à la fois émettre et recevoir des communications optiques – l’un pour envoyer des données encodées dans un faisceau laser, l’autre pour le recevoir et le convertir en informations numériques – afin que les utilisateurs puissent partager des messages, images et vidéos à plusieurs dizaines de kilomètres de distance, voire davantage encore en se servant de satellites comme relais.
Lire la suite : https://vipress.net/safran-developpe-la-communication-optique-laser-pour-la-defense-du-futur/
Commission Européenne
L’Europe se dit fière de l’abandon d’Apple Intelligence en France
Apple a-t-il eu peur ?
Cet article existe grâce à Numerama+
numerama.com - Par Nicolas Lellouche
Interrogée par Numerama, la Commission européenne juge positivement la décision d’Apple de ne pas lancer plusieurs fonctions d’iOS 18 en France. Elle y voit la preuve que cette « intégration de l’IA peut être anticoncurrentielle » et que la régulation permise par la législation DMA pousse les grandes plateformes à la prudence.
Apple publiera cet automne des nouveautés majeures sur ses appareils, dont Apple Intelligence (des intelligences artificielles génératives intégrées à ses systèmes d’exploitation) et iPhone Mirroring (l’écran de son iPhone sur son Mac). Ces fonctions n’arriveront pas dans l’immédiat dans l’Union européenne, car l’entreprise américaine dit craindre « des incertitudes réglementaires engendrées par le Digital Markets Act (DMA) ».
Le bras de fer entre Apple et la Commission européenne n’est pas nouveau, mais il n’avait jusque-là jamais incité la marque à bloquer des nouveautés en Europe. La marque californienne espère sans doute que sa clientèle du Vieux Continent fera pression sur l’UE dans le but de lui faire assouplir sa politique. Interrogée par Numerama, la Commission européenne, qui vient de condamner Apple pour violation du DMA, voit les choses autrement. De son point de vue, la capitulation d’Apple est une victoire pour la régulation européenne.
« Un signe d’inquiétude pour le reste du monde » : Bruxelles se félicite du blocage
CNIL
La CNIL lance une nouvelle consultation publique pour le développement de systèmes d’IA respectueux des droits de l’Homme
actuia.com - par Thomas Calvi
Publié le 24 juin 2024
“Permettre aux entreprises de concilier innovation et respect des droits des personnes” : tel est l’objectif que la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) poursuit avec ses recommandations. Après avoir soumis une première série de fiches pratiques à consultation publique en 2023, à l’issue de laquelle elle a publié le 8 avril dernier ses premières recommandations sur l’application du RGPD au développement des systèmes d’IA, elle lance une nouvelle consultation publique portant sur une deuxième série de fiches pratiques et un questionnaire consacré à l’encadrement du développement des systèmes d’IA.
Pour la CNIL, le RGPD a vocation à s’appliquer à l’ensemble des traitements de données personnelles, à la fois dans le secteur public et le secteur privé, à l’exception toutefois des traitements relevant du régime spécifique aux secteurs “police-justice” ou du régime intéressant la défense nationale ou la sûreté de l’État.
Les principaux acteurs français de l’IA, qu’il s’agisse d’entreprises, de laboratoires ou encore des pouvoirs publics, rencontrés par la CNIL, ont fait remonter un fort besoin de sécurité juridique mais aussi des inquiétudes liées au RGPD : selon certains, ses principes de finalité, de minimisation, de conservation limitée et de réutilisation restreinte freineraient voire empêcheraient certaines recherches ou applications de l’intelligence artificielle. Les 7 premières fiches ont donc abordé ces problèmes et ont également clarifié certaines règles applicables à la recherche scientifique, à la réutilisation de bases de données ou à la réalisation d’analyse d’impact sur la protection des données (AIPD).
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Cybersécurité
NetApp reçoit la note AAA pour la toute première solution intégrée de détection des rançongiciels optimisée par l’IA
itespresso.fr - Par BusinessWire
Publié le 27 juin 2024
NetApp® (NASDAQ : NTAP), le spécialiste des infrastructures de données intelligentes, annonce ce jour que sa solution NetApp ONTAP® Autonomous Ransomware Protection with Artificial Intelligence (ARP/AI) a reçu une notation AAA de SE Labs, une société de tests indépendante qui évalue des produits et services de sécurité. SE Labs a validé l’efficacité de protection de NetApp ARP/AI avec un rappel de 99 % (un indicateur qui mesure les taux de détection des logiciels malveillants) pour les attaques de ransomware, tout en soulignant l’absence de faux positifs.
Lorsque vous ripostez face aux attaques de ransomwares, quelques secondes peuvent faire la différence entre assurer la continuité des opérations et une perturbation massive. Les entreprises ont besoin de capacités de détection et de réponse rapides, automatisées et précises intégrées à leurs systèmes de stockage primaires pour minimiser les impacts causés par la perte de données de production et les temps d’arrêt. Avec sa capacité de détection des ransomwares optimisée par l’IA, NetApp ARP/AI comble cette lacune en fournissant une détection et une réponse en temps réel afin de minimiser l’impact des menaces de cybersécurité.
SE Labs a rigoureusement testé NetApp ARP/AI avec des centaines de variantes de ransomware connues et a observé des résultats impressionnants. NetApp ARP/AI a démontré une détection à 99 % des attaques avancées de ransomware. NetApp ARP/AI a également réalisé une détection à 100 % des fichiers légitimes sans signaler de faux positifs, ce qui indique une capacité éprouvée à opérer dans un contexte d’entreprise sans occasionner le stress lié aux fausses alertes.
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Renforcer la cybersécurité pendant les Jeux Olympiques : l'importance d'une collaboration multipartite
journaldunet.com - Chronique de Sandy Le Corre
Publié le 24 juin 2024
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 soulèvent des enjeux de cybersécurité en France, intensifiant l'activité cybercriminelle. Une collaboration entre gouvernement, fournisseurs de sécurité et entreprises s'impose.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 mettent à nouveau les enjeux de cybersécurité en lumière en France. L’organisation d’événements de cette ampleur entraine une intensification de l'activité cybercriminelle ainsi qu’un risque pour la sécurité, la réputation et la continuité des activités des entreprises. Une collaboration multipartite entre les autorités gouvernementales, les fournisseurs de services de sécurité et les entreprises est indispensable à la résilience de ces dernières.
Cybersécurité et entreprises
Le baromètre annuel que nous menons avec OpinionWay nous permet de mesurer l’état d’esprit des entreprises sur leur capacité à gérer une crise cyber. Selon le dernier en date, 29 % des dirigeants considèrent le risque cyber comme l'un des principaux risques pour leur entreprise(1). Si le contexte géopolitique récent a été un déclic pour un certain nombre d’entre eux, tout laisse à penser que leur inquiétude devrait s’accroître à l’approche des JO.
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IA et cybersécurité : Quels avantages ? Quels risques ?
datascientest.com - Par Jérémy Robert
Publié 24 Juin 2024
Le marché de l’IA en cybersécurité devrait passer de 1 milliard de dollars à 34,8 milliards de dollars d’ici 2025. Avec des pirates informatiques de plus en plus sophistiqués, de données en constante augmentation, des surfaces d’attaques en extension… Les experts en sécurité informatiques doivent utiliser tous les outils à leur disposition pour protéger les données. L’intelligence artificielle en fait partie. Mais si cette technologie est d’une aide précieuse pour se protéger des menaces cyber, elle est loin d’être sans risque.
6 avantages de l’utilisation de l’IA et cybersécurité
Capable de traiter l’énorme volume de données à la vitesse de l’éclair, l’IA se révèle être un allié indispensable en matière de cyberdéfense. Voici ses atouts.
1 - L'erreur humaine
Même si l’erreur est humaine, elle peut parfois être dramatique en matière de sécurité informatique. Or, en cas de remplacement, modification ou mise à jour du système réseau, ces erreurs sont d’autant plus plus fréquentes ; laissant ainsi le champ libre à des pirates mal intentionnés.
Pour mettre en place un système de management de la sécurité informatique efficace, il est primordial de réaliser un certain nombre de tâches, notamment autour de la configuration réseau. Or, ces tâches indispensables sont particulièrement chronophages. Les experts cyber peuvent passer des heures à paramétrer le réseau, plutôt que de se focaliser sur l’analyse des vulnérabilités.
Heureusement, l’IA peut prendre en charge ces tâches fastidieuses et les automatiser.
Lire la suite : https://datascientest.com/ia-et-cybersecurite-tout-savoir
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Face la croissance exponentielle et l’automatisation des cyberattaques, Orange Cyberdéfense lance une plateforme communautaire pour vérifier la légitimité d'un site ou d'un sms.
lyoncapitale.fr - Par Guillaume Lamy
Publié le 29 juin 2024
"On imagine 8 à 10 fois plus d'attaques potentielles pendant les Jeux olympiques et paralympiques d'été de Paris que pendant ceux de Tokyo". Gérard Vallet est le directeur Auvergne-Rhône-Alpes d'Orange Cyberdéfense, la filiale de l'opérateur dédiée à la cybersécurité.
Globalement, aujourd'hui, toute actualité - on le voit avec les élections législatives - est accompagnée d'un risque cyber. Les élections législatives ne font pas exception. Dans une note datée du 25 juin, le ministre de l'Intérieur alerte les préfets sur "plusieurs risques sécuritaires" concernant le scrutin. Il cite notamment "la menace terroriste" et "des actions de déstabilisation ciblées" en lien avec "le contexte international", ciblant en particulier la Russie.
8 à 10 fois plus de cyberattaques prévues pendant les JO de Paris
En 2023, 2 français sur 3 ont déclaré recevoir des messages suspects chaque semaine (1) et 280 000 demandes d'assistance pour fraude numérique ont été enregistrées sur un an sur la plateforme d'aide aux victimes de cybermalveillance du gouvernement, avec, c'est le phénomène de l'année, + 78% d'attaques téléphoniques aux faux conseillers bancaires.
Face la croissance exponentielle et l’automatisation des cyberattaques, Orange a mis en place une plateforme, accessible à tous, "quel que soit son opérateur", sur laquelle tout particulier, pourra vérifier, gratuitement, par un simple copier/coller, la légitimité d’un site, d’un lien, d’un email ou d’un SMS qui lui semble suspect. "Comme plateforme communautaire, il faut bien voir ce portail comme le 'Waze de la cybersécurité' ", souligne Gérald Vallet.
Le site cybersecure d'Orange est accessible ici.
Lire la suite : https://www.lyoncapitale.fr/actualite/orange-lance-le-waze-de-la-cybersecurite
Technologies émergentes
Forrester présente son top 10 des technologies émergentes pour 2024 : l’IA générative, les TuringBots et la sécurité IoT devraient générer le retour sur investissement le plus rapide
itespresso.fr - Par BusinessWire,
Publié le 25 juin 2024
Sponsorisé par Businesswire
Selon le rapport de Forrester (Nasdaq : FORR) intitulé The Top 10 Emerging Technologies In 2024, l’IA générative pour le contenu visuel, l’IA générative pour le langage, les TuringBots et la sécurité IoT sont les meilleures technologies émergentes qui fourniront le retour sur investissement le plus immédiat pour les entreprises en 2024 et au-delà.
Alors que de nouvelles technologies semblent apparaître tous les jours, les chefs d’entreprise et les responsables technologiques doivent calculer quand réaliser ces investissements en fonction de la valeur, des risques et des délais de rendement potentiels. Forrester répertorie les meilleures technologies émergentes en fonction du calendrier des bénéfices pour aider à prendre ces décisions.
Les technologies émergentes qui offriront d’importants avantages au cours des deux prochaines années sont :
Consulter la version source : https://www.businesswire.com/news/home/20240625094037/fr/
Thales
Thales signe 3 accords avec l’industrie ukrainienne : décryptage des accords pour un soutien de première ligne
Par Jean-Baptiste Giraud
Publié le 23 juin 2024
Thales a signé trois accords avec des entreprises ukrainiennes pour améliorer le soutien opérationnel des forces armées ukrainiennes et renforcer les capacités de défense locales.
Un partenariat stratégique pour des technologies de pointe
Lors du salon Eurosatory, Thales, sous l'égide des ministères français des Armées et ukrainien des Industries stratégiques, a signé trois accords avec des entreprises ukrainiennes. Ces accords couvrent plusieurs domaines clés de la défense, notamment la guerre électronique, les communications tactiques, les systèmes de défense aérienne et les systèmes aériens sans pilote (UAV).
Détails des accords
Accord pour une coentreprise en Ukraine
Le premier accord vise à créer une coentreprise en Ukraine pour faciliter la livraison et l'exploitation des équipements du portefeuille de Thales, incluant les systèmes de guerre électronique, les équipements de communications tactiques, les systèmes de défense aérienne et les radars.
Développement de systèmes aériens sans pilote
Le troisième accord, signé avec le spécialiste ukrainien des UAV et UGV FRDM, concerne la co-développement et la fabrication d'un système aérien sans pilote capable de transporter et de larguer des munitions.
Engagement à long terme
Lire la suite : https://armees.com/thales-signe-3-accords-avec-lindustrie-ukrainienne-decryptage-des-accords-pour-un-soutien-de-premiere-ligne/
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THALES réalise une percée dans les opérations de drones en obtenant le premier dvr délivré par l’aesa
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 24 06 2024
• Le Design Verification Report (DVR) est une nouvelle procédure initiée par l’AESA pour approuver la conception des drones destinés à des opérations à risques modérés. Ces opérations sont actuellement définies par les niveaux SAIL III et IV (Specific Assurance Integrity Level).
Thales a obtenu le premier rapport de vérification de conception DVR (Design Verification Report) attribué en Europe par l’AESA pour les opérations de drone léger en conditions SAIL III (risques modérés). Ce DVR mis en place en avril 2021 par l’Agence européenne vise à assurer la sûreté opérationnelle des drones. Cette première renforce la position du Groupe sur le marché émergent des drones civils et marque une nouvelle avancée vers la certification du drone UAS100 de Thales dans les conditions d’exploitation et de vol les plus exigeantes.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/thales-realise-une-percee-operations-drones-obtenant-le-premier
Mobilité
"Faisons des mobilités du quotidien, une priorité nationale" : l'appel du Gart aux candidats aux législatives
banquedesterritoirs.fr - Par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 17 juin 2024
Transport et mobilité décarbonée
Le Gart a lancé ce 17 juin un appel à tous les candidats aux élections législatives pour qu'ils portent une "vision nationale ambitieuse en matière de mobilité".
"Faisons des mobilités du quotidien, une priorité nationale" : dans un communiqué diffusé ce 17 juin, les élus du Gart lancent un appel aux candidats aux élections législatives. Ils leur rappellent d'emblée que les chantiers engagés en matière de mobilité durable "restent plus que jamais d'actualité : concrétisation du titre unique de transport et du Pass Rail, mise en œuvre de la conférence nationale de financement des services express régionaux métropolitains (Serm), travaux sur le modèle économique du transport public…" "Nos concitoyens continuent d’exprimer une attente forte envers des solutions de transport performantes et accessibles, qui améliorent le quotidien de tous tout en réduisant l’empreinte carbone, affirme le Gart. Ce besoin souligne l'importance de politiques publiques de mobilité pérennes et continues." Dans ce contexte, les élus du Gart "appellent tous les candidats à une prise en considération des enjeux de mobilité au sein du débat public qui s’ouvre". "La prochaine mandature législative aura pour responsabilité d’apporter des réponses concrètes à la hauteur des graves défis écologiques, sociaux et économiques qui nous font face", préviennent-ils.
Pour "une vision nationale ambitieuse en matière de mobilité"
Le Gart assure qu'il poursuivra "son action et sa capacité à être force de proposition". "Nos prises de positions répétées témoignent de notre volonté de faire avancer résolument les mobilités du quotidien", assure-t-il en détaillant ses propositions : "création d’un titre unique de transport pour simplifier l’accès des usagers aux services de mobilité ; appel à une conférence nationale de financement de la mobilité et des infrastructures ; mise en œuvre d’un modèle économique efficace à disposition des autorités organisatrices pour financer les mobilités du quotidien et leur permettre de faire face au mur d’investissement nécessaire au choc d’offres, qui permettra de favoriser le report modal de l’autosolisme vers des solutions de mobilité plus durables".
Selon les élus, "l’action de l’État ne peut se limiter à des ajustements techniques". Ils appellent donc "à une vision nationale ambitieuse en matière de mobilité, où chaque citoyen peut accéder équitablement aux infrastructures et aux politiques de mobilités mises en place dans son territoire. En engageant des moyens financiers, en encourageant la concertation et en soutenant l’innovation, nous pouvons collectivement construire un modèle de transport public performant".
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Les Régions Centre-Val de Loire et Ile-de-France annoncent un partenariat inédit et créent ensemble le titre unique NAVIGO RÉMI.
centre-valdeloire.fr - Par la Rédaction
Publié le 21 juin 2024
Alors que plus de 7 000 abonnés doivent se munir de 2 titres pour leurs trajets quotidiens domicile-travail entre le Centre-Val de Loire et l’Ile de France, les deux Régions annoncent un partenariat inédit pour la création dès 2025 d’un titre de transport unique : le NAVIGO RÉMI.
Un partenariat inédit pour simplifier le quotidien des usagers et faire préférer le train !
A l’occasion de deux points presse, à Dreux et Montargis, organisés ce jeudi 20 juin 2024, François BONNEAU, Président de la Région Centre-Val de Loire et Valérie PÉCRESSE, Présidente de la Région Ile-de-France et de Ile-de-France Mobilités ont annoncé un partenariat inédit entre leurs deux Régions, permettant la simplification et l’unification des titres de transports pour les abonnés des lignes Paris-Dreux, Paris-Montargis-Gien-Briare, et Paris – Chartres – Nogent le Rotrou.
Plus de 7 000 abonnés utilisent chaque jour ces lignes ferroviaires entre les régions Centre-Val de Loire et Ile de France et font face à une situation complexe les obligeant à se munir de deux titres de transports pour leurs déplacements quotidiens domicile-travail : le Pass Navigo en Ile de France et l’abonnement Rémi Zen en Centre-Val de Loire.
Face à cette situation et dans l’objectif de faciliter l’utilisation du train et de réduire l’usage de la voiture, François Bonneau, Président de la Région Centre-Val de Loire et Valérie Pécresse, Présidente de la Région Ile-de-France et de Ile de France Mobilités, ont décidé de porter une vision unifiée et de lancer le titre unique NAVIGO RÉMI pour résoudre les difficultés quotidiennes des voyageurs.
Les milliers d’abonnés utilisant ces lignes pour leurs déplacements quotidiens entre leur domicile et leur lieu de travail, qu’ils soient en région Parisienne ou en Centre-Val de Loire, vont pouvoir ainsi bénéficier à partir de 2025 d’un titre unique, d’un tarif unifié et d’une démarche de commercialisation simplifiée.
Lire la suite : https://www.centre-valdeloire.fr/lactualite-de-la-region-centre-valdeloire/les-regions-centre-val-de-loire-et-ile-de-france
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Qu'est-ce que le prêt à taux zéro mobilité ?
autoplus.fr - Par La rédaction Auto Plus avec Saïda Djerrada, Pascal Charles et François Tarrain
Publé le 20 juin 2024
Le Gouvernement a mis en place un prêt à taux zéro mobilité, également appelé PTZ-m, pour venir en aide aux foyers les plus modestes qui souhaitent renouveler leur véhicule.
Que devient le prêt à taux zéro mobilité ?
Officiellement, le PTZ-m permet, depuis quelques mois, aux personnes justifiant d'un revenu fiscal de référence par part inférieur à 14.089 € et habitant dans l'une des onze ZFE (Zones à Faibles Émissions : Paris, Lyon, Aix-Marseille, Toulouse, Nice, Montpellier, Strasbourg, Grenoble, Rouen, Reims ou encore Saint-Étienne) de bénéficier d'un crédit avantageux pour l'achat d'un véhicule électrique ou hybride rechargeable. C'est le "prêt à taux zéro mobilité".
L'aide s'adresse également aux entreprises dont le chiffre d'affaires annuel ou le total du bilan annuel est inférieur ou égal à 2 millions d'euros. Le véhicule doit quant à lui être inférieur à 47.000 euros TTC pour une voiture particulière, et à 60.000 euros TTC pour une camionnette.
Ce prêt sans intérêt peut être accordé sur sept ans pour un montant de 30.000 € (ou 10.000 € pour une location longue durée). Une aubaine, vu les taux d'intérêt actuels ! Sauf que, pour l'heure, la liste des établissements de crédit habilités à le proposer n'a pas encore été diffusée... Mais elle devrait l'être prochainement.
Une aide pour se conformer aux règles des ZFE
Le Gouvernement a mis en place un prêt à taux zéro mobilité, également appelé PTZ-m, pour venir en aide aux foyers les plus modestes qui souhaitent renouveler leur véhicule.
Que devient le prêt à taux zéro mobilité ?
Lire la suite : https://www.autoplus.fr/environnement/quest-ce-que-le-pret-a-taux-zero-mobilite-1334199.html
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Une nouvelle application pour recharger sa carte OPUS avec un téléphone intelligent
Publié le 19 juin 2024
Faciliter l’achat de titres de transports
Dès aujourd’hui, les utilisateurs du Réseau de transport de la Capitale (RTC) et de la Société de transport de Lévis (STLévis) pourront, via une application mobile, acheter et ajouter des titres de transport sur leur carte OPUS à l’aide d’un téléphone intelligent. Cette technologie, développée en collaboration avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), permet également de lire le contenu de la carte OPUS et d’une carte Occasionnelle en l’appuyant tout simplement à l’arrière d’un téléphone intelligent.
Les applications RTC Recharge OPUS et STLévis Recharge OPUS s’ajoutent à l’éventail de solutions de paiement déjà accessibles à la clientèle, dont RTC Nomade paiement, solution de paiement partagée entre les deux sociétés de transport depuis 2020. Ainsi, les détenteurs d’une carte OPUS pourront choisir de la recharger sur leur téléphone mobile, plutôt que d’avoir à se déplacer dans un point de vente.
« La carte OPUS reste, à ce jour, le moyen de paiement le plus utilisé par les usagers, c’est pourquoi nous sommes heureux d’annoncer qu’il sera encore plus simple de se procurer des titres de transport. Il est important pour nous de faciliter l’accès au transport collectif et la vie des utilisateurs, c’est pourquoi leur permettre de remplir leur carte OPUS et même celles de toute la famille, à l’endroit et au moment de leur choix représente un grand bénéfice », a ajouté Maude Mercier Larouche, présidente du RTC.
Lire la suite : https://www.rtcquebec.ca/medias/communiques/une-nouvelle-application-pour-recharger-sa-carte-opus-avec-un-telephone
Désinformation
Comment la Fondation Descartes s’arme contre la désinformation
challenges.fr - Par Antoine Izambard
Publié le 19 juin 2024
Climat, santé, conflits, IA… La Fondation Descartes, qui s’est spécialisée dans la lutte contre la désinformation, entend se transformer en fondation reconnue d’utilité publique et de créer un institut de veille des récits inauthentiques.
Quel est l’impact réel des narratifs russes, israéliens ou palestiniens sur la société française ? Cette question majeure, qui n’a encore fait l’objet d’aucune étude scientifique approfondie, sera le sujet principal d’une publication de la Fondation Descartes en novembre prochain. En collaboration avec le centre Geode de l’université Paris 8 et l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire (Irsem), le think tank français va soumettre un questionnaire détaillé à 4 000 Français. Créée en septembre 2019 par Jean-Philippe Hecketsweiler, ex-vice-président chez JP Morgan, la Fondation Descartes s’est spécialisée dans la lutte contre la désinformation.
« La lecture du rapport "Les manipulations de l’information, un défi pour nos démocraties", publié en 2018 par le Quai d’Orsay et l’Irsem, qui montrait que les Russes nous menaient une guerre hybride, m’a convaincu d’agir contre ce fléau », indique Jean-Philippe Hecketsweiler.
La qualité de l’information sur TikTok
Le think tank, qui est financé par quelques mécènes privés, envisage de se transformer prochainement en fondation reconnue d’utilité publique et de créer un institut de veille des récits inauthentiques. Il s’appuie à ce jour sur une équipe de quatre chercheurs dirigée par Laurent Cordonier et regroupe plusieurs spécialistes du sujet comme le sociologue Gérald Bronner ou le diplomate Jean-Baptiste Jeangène Vilmer.
Lire la suite : https://www.challenges.fr/entreprise/defense/comment-la-fondation-descartes-s-arme-contre-la-desinformation_896858
Intelligence artificielle
IA et lutte contre la haine : les recommandations du panel de citoyens à la Commission européenne
actuia.com - par Thierry Maubant.
Publié le 17 juin 2024
Le mois dernier, lors de la session finale du panel de citoyens européens sur la lutte contre la haine dans la société, 150 citoyens européens ont adressé 21 recommandations à la Commission européenne et aux autorités nationales afin de lutter contre la haine sous toutes ses formes et de favoriser le respect mutuel. La modération de l’IA pour les plateformes en ligne en fait partie.
Pour la Commission :
“Toutes les formes de haine et d’intolérance sont incompatibles avec les valeurs de dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’état de droit et de respect des droits de l’homme, consacrées par le traité sur l’Union européenne”.
Elle a mis en place en 2016 un code de conduite visant à lutter contre les discours de haine
illégaux en ligne auquel ont adhéré dans un premier temps Facebook, Microsoft, Twitter et YouTube puis Instagram, Google, Snapchat, Dailymotion et Jeuxvideo.com. L’évaluation des discours haineux qui leur sont notifiés par les internautes et une suppression rapide des contenus illégaux figurent parmi leurs engagements.
Věra Jourová, vice-présidente chargée des valeurs et de la transparence déclarait en 2020 lors d’une évaluation de cet instrument :
“Le code de conduite reste un exemple de réussite pour lutter contre les discours de haine illégaux en ligne. Il a permis des améliorations qui étaient urgentes tout en respectant pleinement les droits fondamentaux. Il a créé de précieux partenariats entre les organisations de la société civile, les autorités nationales et les plateformes informatiques”.
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Réinventer les services publics : le défi de l'IA générative
journaldunet.com - Chronique de Laurent Daudet
Publié le 17 juiin 2024
Depuis les années 90, le numérique transforme les services publics. L'IA générative promet une grande avancée, mais son adoption demande des ajustements, des formations et une adaptation progressive.
Lourdeur bureaucratique, manque de réactivité, de transparence ou de cohérence, les services publics ont souvent été critiqués. Pourtant, depuis les années 90, ils n’ont cessé de se transformer avec les évolutions du numérique, les attentes des usagers et des priorités politiques, comme la collecte de l’impôt aujourd’hui numérisée. En quelques années, de nombreuses démarches en ligne ont permis une meilleure personnalisation de la relation avec les usagers et favorisent la collaboration entre les différentes administrations. Mais nous sommes aujourd’hui un peu au milieu du gué, et chacun ressent la nécessité d’une nouvelle phase de simplification, d’une relation plus fluide, plus intuitive entre les citoyens et l’administration. Au moment où le gouvernement annonce une nouvelle phase de simplification (la presse en parlait déjà en 1976…), l’arrivée de l’IA Générative en 2023 nous a conduit, État, collectivités locales et entreprises, à nous interroger sur son pouvoir de transformation des services publics. L’IA générative n’est-elle qu’une lubie technologique de plus ou va-t-elle durablement transformer le fonctionnement même des services publics, leur offrant l’opportunité de revisiter leurs outils, leurs process et leurs métiers?
Une intégration progressive de l'IA générative
Soucieux d’éviter de reproduire le “shadow IT” par du “shadow IA” avec un usage non contrôlé de ChatGPT, certains services interdisent à leurs agents l’utilisation d’IA, préférant se donner le temps de la réflexion. D’autres, en revanche, optent pour des expérimentations avec l’IA générative. Cette dernière démarche nous paraît utile pour inciter les agents à se saisir de cet outil, à mieux en comprendre le potentiel et ses limites, et à identifier les cas d’usage les plus adaptés aux services publics. On ne peut que saluer l’expérimentation lancée par le gouvernement auprès de 1 000 agents volontaires d’un outil utilisant l’IA générative pour les accompagner dans la rédaction des réponses en ligne aux avis et commentaires des usagers.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/intelligence-artificielle/1530997-reinventer-les-services-publics-le-defi-de-l-ia-generative/
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L'intelligence artificielle se démocratise avec l'arrivée sur le marché de «PC à l'IA»
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié le 19 juin 2024
Une nouvelle gamme d'ordinateurs spécialement conçus pour exécuter des programmes d'intelligence artificielle est arrivée sur le marché mardi, marquant une innovation trop prématurée pour certains experts et la «renaissance du PC» pour d'autres. Microsoft a présenté en mai les très attendus «PC à l'IA», des ordinateurs où des outils d'intelligence artificielle générative sont intégrés directement dans son système d'exploitation Windows, pour aider l'utilisateur dans toutes ses tâches.
Les PC «Copilot+» doivent permettre aux utilisateurs d'accéder aux capacités de l'IA sur leurs appareils sans dépendre du cloud, qui nécessite plus d'énergie, prend plus de temps et rend l'expérience plus poussive. Les PC sont dotés d'une puce «NPU», la puce spécialisée pour les tâches d'IA, qui permet d'améliorer la qualité des retouches photo, de la transcription et de la traduction en direct, ainsi que de la fonction «Recall» permettant notamment à l'utilisateur de remonter dans le temps sur son PC et de voir toutes les fenêtres qu'il a ouvertes. Toutefois, Microsoft a décidé de supprimer cette fonction pour ne la garder qu'à titre de test, en raison des inquiétudes liées à la protection de la vie privée.
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/flash-eco/l-intelligence-artificielle-se-democratise-avec-l-arrivee-sur-le-marche-de-pc-a-l-ia-20240619
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[JDEF] Intelligence artificielle : les armées accélèrent
defense.gouv.fr - Direction : Ministère des Armées
Publié le 17 juin 2024
En 2024, le tournant de l'intelligence artificielle est bel et bien amorcé dans l'hexagone. L’ambition de la France : devenir la première puissance militaire de l’IA en Europe et dans le top 3 mondial. Découvrez les nouveaux usages de cette technologie et plusieurs projets en cours de développement dans ce Journal de la Défense inédit.
Regarder « Intelligence artificielle : les armées accélèrent »
Voir ou revoir : Les reportages "Journal de la Défense"sur notre chaine Youtube
Lire sur : https://www.defense.gouv.fr/actualites/jdef-intelligence-artificielle-armees-accelerent
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Intelligence artificielle : face au risque de suppressions d’emplois, le FMI demande plus de protection sociale
sudouest.fr/sciences-et-technologie - Par SudOuest.fr avec AFP
Publié le 17 juin 2024
Sans régulation, l’intelligence artificielle générative pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, redoute le FMI dans une note.
Des mesures fiscales de protection sociale ont un « rôle majeur à jouer » pour contrebalancer les risques posés par l’IA, et notamment une hausse des inégalités, a estimé le Fonds monétaire international (FMI) lundi. Sans régulation, l’intelligence artificielle générative, popularisée par ChatGPT et d’autres outils similaires, pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, estime le FMI dans une note.
Pour faire face à cela, les gouvernements devraient envisager de mettre en place de nouvelles recettes pour financer un filet de protection sociale destiné à ceux qui perdent leur emploi, recommandent les auteurs.
Sans régulation, l’intelligence artificielle générative pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, redoute le FMI dans une note
Des mesures fiscales de protection sociale ont un « rôle majeur à jouer » pour contrebalancer les risques posés par l’IA, et notamment une hausse des inégalités, a estimé le Fonds monétaire international (FMI) lundi. Sans régulation, l’intelligence artificielle générative, popularisée par ChatGPT et d’autres outils similaires, pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, estime le FMI dans une note.
Pour faire face à cela, les gouvernements devraient envisager de mettre en place de nouvelles recettes pour financer un filet de protection sociale destiné à ceux qui perdent leur emploi, recommandent les auteurs.
Blockchain
"Blockchain in Paris" : entre "pas si jeune" et "pas si vieux"
finyear.com - Par Anne-Laure Allain
Publié le 18 juin 2024
La semaine passée, les événements se sont bousculés dans le petit écosystème parisien WEB3. : de Proof of Talk aux Musée des Arts Décoratifs, en passant par la conférence SG Forge x Bitstamp pour se terminer par la célébration des 10 ans de Coinhouse (entre autres). L'occasion pour l'ensemble des acteurs de faire le point sur les cas d'usage et les nombreuses avancées attendues pour les années à venir notamment en matière de cadre réglementaire. Et force est de constater qu'au travers des rencontres qui ont émaillé ces différentes occasions, des pépites bien installées et depuis, peut-être plus longtemps qu'on ne l'imagine, se sont distinguées. Passage en revue.
La première rencontre a lieu au Musée des Arts Décoratifs. A l'occasion du workshop dédié à "la vague de la tokenisation dans les marchés financiers internationaux" organisé par Proof of Talk. Sur scène, Natacha Dezert, Manager Digital Assets and Blockchain au sein de BNP Paribas Securities Services.
Au cours des mois passés, la première banque d'Europe semblait bien discrète quant à ses déploiements sur la blockchain au profit, peut-être, des annonces faites jusqu'alors par SG-Forge. Pourtant, c'est bien depuis 2011 qu'elle a lancé ses expérimentations. Il y a un an, la banque s'associait au réseau Canton, un nouveau projet de blokchain privée dédiée aux marchés financiers réunissant d'autres institutions telles que Goldman Sachs. Quelques mois plus tard (en novembre), BNP Paribas toujours avec Goldman Sachs dévoilait un investissement de 96 millions de dollars dans l'entreprise blockchain Fnality, permettant de créer des versions tokenisés de certains actifs "fiat".
"Nous travaillons effectivement depuis de très nombreuses années sur le sujet. relate Natacha Dezert." La technologie est éprouvée. Nous avons des marques d'intérêt de la part de nos clients. Cependant, il y a un manque de maturité sur le secteur qui nous empêche de faire les volumes nécessaires." Parmi les autres points de blocages, la femme évoque notamment les soucis d'interopérabilité entre les blockchains et son besoin, en tant que banque faisant des échanges avec d'autres institutions financières de s'appuyer, pour la partie Wholesale donc, sur des Monnaies Numériques de banques centrales.
Internet des Objets
Les appareils connectés sont de plus en plus privilégiés par les attaquants
itsocial.fr - Par Philippe Richard
Publié le 18 juin 2024
Un rapport révèle que si les détections de malwares sur l’ensemble du réseau ont diminué de près de moitié au cours du trimestre par rapport au précédent, les détections de malwares ciblant les endpoints ont augmenté de 82 %.
Selon le dernier rapport de WatchGuard, le volume de ransomwares poursuit sa baisse alors que les attaques endpoints explosent. Les détections de ransomware ont diminué de 23 % par rapport au 4e trimestre 2023 alors qu’elles avaient déjà diminué de 20 % entre le 3e et le 4e trimestre 2023.
De la même manière, les détections de malwares de type « zero-day » ont enregistré une baisse de 36 %. Le volume moyen de détections de malwares par WatchGuard Firebox a chuté de près de moitié (49 %) au cours du premier trimestre, tandis que le nombre de malwares transmis par le biais d’une connexion chiffrée a augmenté de 14 points au cours du premier trimestre, pour atteindre 69 %.
Le tableau ci-dessous du Top 10 des logiciels malveillants comprend les familles de logiciels malveillants les plus détectées en fonction du volume total de détection des Firebox de reporting.
Lire la suite : https://itsocial.fr/cyberecurite/cyberecurite-articles/les-appareils-connectes-sont-de-plus-en-plus-privilegies-par-les-attaquants/
Détection
Détection spatiale des anomalies terrestres : une nouvelle technique révolutionnaire dévoile les premiers signes de tremblement de terre
Publié le 17 juin 2024
La recherche identifie des anomalies électromagnétiques évidentes à partir d'une variété de données satellite, ce qui pourrait contribuer au développement de systèmes d'alerte précoce en cas de tremblements de terre.
Selon une nouvelle étude de De Gruyter Journal de géodésie appliquéeles tremblements de terre peuvent trahir leur présence imminente beaucoup plus tôt qu’on ne le pensait grâce à diverses anomalies présentes dans le sol, l’atmosphère et l’ionosphère qui peuvent être détectées à l’aide de satellites.
Le développement de systèmes d’alerte précoce en cas de tremblements de terre pourrait s’avérer très utile pour prévenir les décès et les destructions. L'une de ces techniques proposées consiste à utiliser des satellites pour surveiller divers paramètres physiques et chimiques dans le sol, l'atmosphère et la couche de particules chargées qui existe au-dessus, appelée l'ionosphère.
Défis liés à la détection des précurseurs des tremblements de terre
RGPD
Une plainte contre la privacy sandbox de google pour non-respect du RGPD
cbnews.fr - Par Dhalia Girgis
Publié le 16 juin 2024
L’association noyb a déposé une plainte à l’encontre de la Privacy Sandbox de Google auprès de l'autorité autrichienne de protection des données le 13 juin. L’organisme spécialisé dans la défense de la protection de la vie privée et des données personnelles accuse le géant de la tech de ne pas informer clairement l’utilisateur du sort de ses données. Max Schems, président honoraire de noyb affirme : "Google a tout simplement menti à ses utilisateurs. Ceux-ci pensaient accepter une fonction de protection de la vie privée, mais ils ont été dupés et ont accepté le suivi des annonces publicitaires de Google”.
La Privacy Sandbox, qui devait être opérationnelle courant 2024, est présentée comme une alternative à la fin des cookies-tiers. Encore en phase de test, la nouvelle interface doit notamment permettre un pistage dans Chrome des cookies first-party tracking des utilisateurs à des fins de publicité ciblée. Dans sa plainte, noyb s’appuie sur l'article 4, paragraphe 11, du Règlement général sur la protection des données (RGPD) qui “stipule clairement que le consentement doit, entre autres, être une "indication spécifique, informée et non ambiguë des souhaits de la personne concernée"”.
Lire sur : https://www.cbnews.fr/digital/image-plainte-contre-privacy-sandbox-google-non-respect-du-rgpd-85369
Cybersécurité
Cybersécurité : Comment un simple chatbot a réussi à mystifier des centaines d’arnaqueurs
20minutes.fr - Par O.M
Publié le 17 juin 2024
TEL EST PRIS… Le programme a transmis les numéros de comptes bancaires des escrocs aux autorités compétentes
C’est un peu l’histoire de l’arroseur arrosé : une entreprise spécialisée en cybersécurité a récemment programmé un chatbot – un programme informatique qui simule une conversation humaine – afin qu’il réponde aux sollicitations d’escrocs numériques. Son but ? Récupérer les informations permettant de confondre ces criminels. Et ça a marché, rapporte Numerama.
Après que les ingénieurs de Netcraft ont ouvert plusieurs adresses mail temporaires, ils ont patiemment attendu de recevoir des messages d’arnaques en ligne. Immanquablement, ils en ont été inondés et ont chargé leur chatbot d’y répondre en jouant le rôle du « pigeon ».
Cryptos, usurpation bancaire, promesses d’héritage
Dans la grande majorité des cas, les escrocs tentaient de pousser leur potentielle victime à acheter des cartes-cadeaux ou des cryptomonnaies. Programmé pour donner l’impression d’être intéressé, le bot engageait donc un échange jusqu’à ce que les arnaqueurs lui communiquent un numéro de compte bancaire ou de portefeuille crypto.
Statistiquement, le chatbot est parvenu à conduire les cybercriminels à lui envoyer, en moyenne, 32 messages, précise Numerama. Les faux usagers de Netcraft ont ainsi fait l’objet de milliers d’arnaques en tout genre, de la vente de cryptomonnaies à l’usurpation bancaire, en passant par les promesses d’héritage.
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/high-tech/by-the-web/4096575-20240617-cybersecurite-comment-simple-chatbot-reussi-mystifier-centaines-arnaqueurs
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Cybercriminalité : « Les attaques avec l’intelligence artificielle sont redoutables »
actu-juridique.fr - Par Nicolas Dendri
Publié le 19 juin 2024
Après la cyberattaque contre Almerys et Viamedis, 33 millions de Français ont vu leurs données personnelles volées. Un phénomène contre les services publics qui ne cesse d’augmenter ces dernières années. Entre 2020 et 2021, les administrations publiques en France ont connu une hausse des intrusions informatiques à hauteur de 37 % selon les données de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Des attaques qui touchent à plus de 80 % les collectivités locales et les hôpitaux. Avocates spécialisées dans la cybersécurité au sein du cabinet Advant Altana, Valérie Lafarge-Sarkozy et Laetitia Daage ont participé notamment à la rédaction du rapport du Club des juristes : « Le cyber-risque et l’assurance du cyber-risque » et à un autre rapport intitulé : « Le droit pénal à l’épreuve des cyberattaques ». Pour Actu-Juridique, elles reviennent et analysent l’ampleur de plus en plus importante que prennent les cyberattaques contre les administrations publiques. Rencontre.
Actu-Juridique : Les acteurs du service public ont connu une hausse de 37 % des cyberattaques entre 2020 et 2021. Quel est votre regard concernant ce phénomène ?
Valérie Lafarge-Sarkozy : Il est probable que certains des acteurs du service public soient encore insuffisamment protégés. Par conséquent, les cybercriminels peuvent avoir plus de facilité pour rentrer dans leurs systèmes d’information, étant précisé que la cybersécurité représente un investissement important. J’ai aussi le sentiment que certains agents publics sont insuffisamment formés.
Laetitia Daage : Cependant, nous retrouvons les mêmes écueils et les mêmes problématiques dans les entreprises ou les grands groupes qui sont victimes de cyberattaques. Il y a des problèmes d’organisation et de procédures qui ne sont pas mises en œuvre ou encore des assurances qui ne sont pas contractualisées. Mais les attaques sur des ministères, des collectivités ou des hôpitaux sont plus retentissantes car les données concernent tout le monde. Nous le voyons notamment dans les établissements de santé. Les différents membres du personnel n’ont pas nécessairement les outils et conservent souvent des réflexes qui entraînent une vulnérabilité dans l’espace cyber. Par exemple, dans le monde hospitalier, il arrive encore qu’on laisse la session de l’ordinateur ouverte pour pouvoir travailler dans l’urgence. Et en même temps, il y a de plus en plus d’outils numériques à l’hôpital. Il y a donc encore vraiment un contraste important entre la cybersécurité, la sensibilité des données et les moyens à disposition du personnel hospitalier.
Valérie Lafarge-Sarkozy : Ce manque doit être comblé comme les entreprises françaises ont pu le faire ces dernières années en investissant dans des systèmes de cybersécurité ou dans la formation des collaborateurs. Les réflexes commencent à s’inscrire dans le quotidien des dirigeants et des salariés des TPE, PME et le sont majoritairement dans les grands groupes. Par exemple, les clés USB sont de moins en moins utilisées, les connexions sur les réseaux publics sont exclues, les ordinateurs sont éteints en quittant le bureau, des simulations d’attaques ont lieu régulièrement, etc. Ce sont des gestes qui deviennent de plus en plus des automatismes dans le quotidien des entreprises.
Lire la suite : https://www.actu-juridique.fr/ntic-medias-presse/cybercriminalite-les-attaques-avec-lintelligence-artificielle-sont-redoutables/
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L’Anssi alerte sur les cyberattaques de hackers russes contre la diplomatie française
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 20 juin 2024
L’autorité nationale de cybersécurité et de cyberdéfense a publié un nouveau rapport sur plusieurs campagnes de phishing ayant visé des entités diplomatiques françaises. Ces cyberattaques sont attribuées au groupe de hackers Nobelium, ou Midnight Blizzard, qui serait affilié au service de renseignement extérieur de l’État russe.
L’Agence nationale chargée de la sécurité et des systèmes d’information (Anssi) a publié le 19 juin un rapport sur les activités cybermalveillantes liées au groupe russe Nobelium, aussi connu sous les noms de Midnight Blizzard ou Cozy Bear. Ce gang utilise des codes, techniques et procédures qui lui sont propres pour viser des entités diplomatiques, mais aussi de grandes entreprises de la tech.
Les ministères de la Culture et des Affaires étrangères pris pour cible
Le rapport met l’accent sur les campagnes de phishing que le groupe de hackers effectue contre différentes entités diplomatiques, en utilisant de réels comptes de messagerie piratés appartenant au personnel. Nobelium cible les institutions diplomatiques, les ambassades et les consulats. L’Anssi note que depuis début 2021, de nombreuses institutions françaises ont été ciblées par les hackers de Nobelium, dont le ministère des Affaires étrangères.
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IA et cybersécurité : deux mondes à rapprocher
incyber.org - Par Fabrice Deblock
Publié le 18 juin 2024
Thème principal de l’édition 2024 du Forum InCyber, l’imbrication de l’intelligence artificielle au cœur des enjeux de cybersécurité a suscité de très nombreux commentaires et analyses. Retour sur certaines prises de position exprimées lors de l’événement.
Pour le Général Watin-Augouard, fondateur du Forum InCyber, une vraie rupture est intervenue depuis novembre 2022 (date de la sortie de ChatGPT par OpenAI) dans le domaine de l’IA générative. « Cette IA nous subjugue et nous inquiète en même temps. Son immense potentiel n’est pas encore pleinement exploré, dans sa dimension, sa puissance, son impact. Elle nous transporte dans l’inconnu, vers un futur imprévisible, laissant la voie ouverte à toutes les hypothèses ».
Plus que toute autre technologie, l’IA appelle une réponse à la question : « Pourquoi ? ». « Le ‘pourquoi’ renvoie à la recherche de la finalité et d’un encadrement qui préserve notre liberté, en ne portant jamais atteinte à ce qui fait l’essence même de l’être humain : son identité, son unicité, son intimité, sa liberté de penser, de s’exprimer, de décider et même, sa confiance. Cette interrogation quasi-existentielle appelle le développement d’une IA responsable, encadrée, mais non limitée dans sa capacité novatrice par un droit inspiré par l’éthique », complète-t-il.
Comment dès lors concevoir le développement conjoint de l’IA et de la cybersécurité ? « Le développement de l’IA ne peut être envisagé sans une cybersécurité garante de la confiance. La cybersécurité doit être au service de l’IA et inversement. Les systèmes d’IA doivent être sécurisés tout au long de leur cycle de vie afin d’être résistants face aux cyberattaques. Par ailleurs, l’IA rebat les cartes entre la capacité offensive des cybercriminels et la capacité de défense des organisations. La course aux armements est asymétrique, car les pirates n’ont guère de scrupules au regard des contraintes juridiques et éthiques que nous nous imposons », note le Général Watin-Augouard.
Lire la suite : https://incyber.org/article/ia-cybersecurite-deux-mondes-a-rapprocher/
THALES
THALES et le CEA signent un partenariat sur l’intelligence artificielle générative de confiance appliquée à la défense et à la sécurité
• Le CEA et Thales annoncent la signature de leur nouveau partenariat dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) générative.
• Rassemblées au sein de l’accélérateur d’IA de Thales dans les systèmes critiques, les équipes de recherche en IA du Groupe collaboreront avec celles du CEA pour fournir des solutions d’IA souveraines, maîtrisées et de confiance.
• À travers ce partenariat, d'une durée initiale de 3 ans et renouvelable, Thales apporte son expertise en IA et sa connaissance approfondie des métiers de la défense et de la sécurité, et le CEA son savoir-faire dans les IA génératives multimodales (fondées sur les textes, les images, l’audio, les signaux électromagnétiques, les données structurées…). L'ambition commune est d’accélérer l’intégration de l’IA dans les solutions proposées aux clients de Thales, dont les missions sont ultra-critiques.
Alexandre Bounouh, Directeur de l’institut CEA-List, spécialiste des systèmes numériques intelligents, et Bertrand Tavernier, Directeur technique de l’activité Systèmes d’Information et Communication Sécurisés de Thales, lors de la signature du partenariat le 30 avril 2024 à Palaiseau.
Pour créer des solutions d’IA générative de confiance, AI Lab (Thales), le plus puissant laboratoire intégré d’IA critique en Europe, et le CEA, organisme de recherche français parmi les plus innovants au monde figurant avec Thales dans le Top 100 mondial de Clarivate Analytics1, unissent aujourd’hui leurs forces autour de nombreux cas d’usage de l’IA générative, notamment pour le renseignement ou le commandement.
Bertrand Tavernier, Directeur technique de l’activité Systèmes d’Information et Communication Sécurisés de Thales : « Ce partenariat avec les équipes d’intelligence artificielle du CEA permettra de combiner la puissance de leur recherche et celle de l’accélérateur d’IA de Thales, qui associe l’expertise technologique du Groupe et sa connaissance approfondie des métiers de la défense et de la sécurité. Nos clients, forces armées, Etats, opérateurs d’infrastructures critiques, ont besoin de solutions d’IA générative souveraines et de confiance qui répondent à leurs usages critiques. »
Alexandre Bounouh, Directeur de l’institut List du CEA, spécialiste des systèmes numériques intelligents : « S’appuyant sur une collaboration pérenne entre le CEA et Thales, ce partenariat permet de la prolonger et l’étendre sur le sujet sensible de l’IA générative, en combinant l’expertise et l’excellence des équipes de recherche du CEA en sûreté et sécurité de l’IA avec la force de l’accélérateur d’IA de Thales pour le domaine stratégique de la défense et la sécurité. Il appuiera la mission du CEA dans les domaines de la sûreté, la sécurité et l’intelligence artificielle auprès de nos partenaires et de l’ensembles des acteurs institutionnels et industriels du domaine. »
Des cas d’usages au service des forces armées
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-et-le-cea-signent-partenariat-lintelligence
Mobilité
Le forfait « mobilités durables » pourrait-il intégrer une distance minimal entre le lieu de travail et le domicile ?
lagazettedescommunes.com - Par Léna Jabre
Publié le 10 juin 2024
Réponse du ministère chargé des Collectivités territoriales et de la ruralité : En application des articles L. 3261-1 et L. 3261-3-1 du code du travail, l’employeur peut prendre en charge tout ou partie des frais engagés par ses agents qui se déplacent entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail avec leur cycle ou cycle à pédalage assisté personnel ou leur engin de déplacement personnel motorisé ou en tant que conducteur ou passager en covoiturage ou en tant qu’utilisateur de services de mobilité partagée sous la forme d’un « forfait mobilités durables » (FMD).
Pris en application de ces articles, le décret n° 2020-1547 du 9 décembre 2020 modifié relatif au versement du « forfait mobilités durables » dans la fonction publique territoriale dispose que les modalités d’octroi du FMD sont définies par délibération de l’organe délibérant de la collectivité territoriale, de son groupement ou de son établissement public dans les conditions qu’il prévoit.
Le FMD peut dans ce cadre être versé aux agents territoriaux éligibles quelle que soit la distance entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail.
S’il n’est pas envisagé d’instituer une distance minimale pour pouvoir percevoir le FMD, le décret du 9 décembre 2020 précité comporte des dispositions permettant de s’assurer que le bénéficiaire du FMD utilise l’un des moyens de transport précités.
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Un nouveau concurrent de la SNCF va proposer des TGV Bordeaux-Paris
bougerabordeaux.com - Publié le 10 juin 2024
Une nouvelle ère de concurrence s’annonce pour les lignes de train à grande vitesse en France. Proxima, une compagnie de TGV récemment formée, se prépare à défier la SNCF sur le très convoité trajet Bordeaux-Paris. Avec un objectif ambitieux de proposer ses services d’ici 2027, Proxima entend révolutionner les déplacements entre ces deux grandes villes et bien au-delà.
Proxima, fondée par Rachel Picard, ancienne directrice de Voyages SNCF.com, et Timothy Jackson, expert en matériel roulant avec des passages notables chez Airbus et la RATP, bénéficie d’un soutien financier de taille. Antin Infrastructure Partners, un fonds d’investissement spécialisé dans les infrastructures, finance ce projet à hauteur de près d’un milliard d’euros. Cette somme colossale permettra à Proxima de développer une flotte de 12 trains, qui sera basée à proximité de Bordeaux, où se trouve l’atelier de maintenance de LISEA, concessionnaire de la LGV Bordeaux-Paris.
Les ambitions de Proxima ne se limitent pas à une simple concurrence avec la SNCF sur le trajet Bordeaux-Paris. La compagnie vise à offrir dix millions de places supplémentaires pour relier Paris à d’autres grandes villes comme Rennes, Nantes et Angers. Cette expansion significative des capacités de transport vise à répondre à une demande croissante de mobilité urbaine, souvent mal satisfaite par les services actuels.
Lire la suite : https://www.bougerabordeaux.com/actu/news/un-nouveau-concurrent-de-la-sncf-va-proposer-des-tgv-bordeaux-paris/
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Où en est CirculaCar dans l'électrification du marché automobile ?
mesinfos.fr - Par Severine Renard
Publié le 11 juin 2024
La start-up lyonnaise CirculaCar est en phase d'homologation de son pack batterie destiné aux constructeurs de véhicules professionnels et de son kit d'électrification pour le marché du rétrofit.
Créé en 2022 par Geoffrey Pauwels, ingénieur, et Édouard Nicolaÿ, responsable commercial et achats, CirculaCar est en passe de réussir son pari de contribuer à une mobilité plus propre.
Pour répondre aux besoins du marché automobile, la start-up lyonnaise a développé des solutions d'électrification pour les véhicules neufs et le rétrofit qui sont sur le point d'être commercialisées.
En attendant d'obtenir les homologations obligatoires, CirculaCar travaille déjà à l'électrification de véhicules roulant sur des périmètres fermés comme des aéroports, des ports, des sites industriels ou des parcs d’attraction.
L'entreprise de sept collaborateurs vise ainsi un chiffre d'affaires de 600 000 euros cette année et ambitionne de réaliser 9 millions d'euros à trois ans.
Lire la suite : https://mesinfos.fr/69290-craponne/ou-en-est-circulacar-dans-l-electrification-du-marche-automobile-200496.html
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JO Paris 2024 : le plan de transport pour la cérémonie d’ouverture
info.gouv.fr - Communiqué
Publié 14 juin 2024
Le plan présenté par le ministre délégué aux Transports et la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques fait le point sur les conditions d'accès et de circulation dans Paris pendant la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques le 26 juillet 2024.
À moins de six semaines de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, qui se déroulera vendredi 26 juillet 2024 au cœur de Paris, le plan de transport pour cette journée de célébration a été présenté jeudi 13 juin 2024 par le ministre délégué aux Transports, Patrice Vergriete, et la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, Amélie Oudéa-Castera.
Plan de transport de la cérémonie d'ouverture des JO
Le plan détaille :
Comment s'informer ?
Lire la suite : https://www.info.gouv.fr/actualite/jop-2024-le-plan-de-transport-pour-la-ceremonie-douverture
Cybersécurité
Campagne d’ingérence prorusse : la mairie de Paris et la Banque de France parmi les entités visées
tf1info.fr - Par Caroline Quevrain
Publié le 10 juin 2024
Dans un nouveau rapport, le service gouvernemental VIGINUM alerte sur l’ampleur des manœuvres de désinformation prorusses.
En tant que soutien de Kiev, la France est particulièrement ciblée, avec plusieurs médias et structures dont l’identité a été usurpée.
Dans un nouveau rapport, diffusé ce 10 juin, le service gouvernemental VIGINUM alerte sur le degré de sophistication d’une campagne de désinformation prorusse, qui "constitue une menace sérieuse pour le débat public et la sécurité nationale française". Surnommée Matriochka, cette campagne semble avoir été lancée en septembre 2023, mais s’est considérablement accélérée et perfectionnée depuis la fin de l’année.
Les JO 2024 dans le viseur
Concrètement, les acteurs prorusses impliqués dans ces ingérences diffusent des faux contenus et usurpent l’identité de médias pour promouvoir un discours largement anti-Ukraine. C’est ainsi que "la France constitue une cible privilégiée pour les opérateurs de la campagne", prévient VIGINUM, avec des manœuvres visant l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques, prévus en juillet à Paris, mais aussi la politique française dans son ensemble.
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Sécuriser les JO 2024 : un défi mondial pour la cybersécurité
forbes.fr - Une contribution de Pierre-Antoine Failly Crawford, Responsable de l’équipe de réponse à incident chez Varonis
Publié le 12 juin 2024
Alors que Paris se prépare à accueillir les Jeux Olympiques 2024, la ville lumière se retrouve sous les feux des projecteurs mondiaux. Mais derrière l’éclat des compétitions sportives et l’effervescence des foules, la menace des cyberattaques se profile. Les événements de cette envergure sont des cibles privilégiées pour les hackers en quête de reconnaissance ou d’influence. Quels sont les types d’attaques attendues et comment la France se prépare-t-elle à y faire face ? Comment la coopération internationale peut renforcer la sécurité de cet événement majeur ?
Les types d’attaques attendues
Hacktivisme
Les Jeux Olympiques attirent inévitablement l’attention des groupes de hacktivistes qui cherchent à gagner en notoriété et en crédibilité par des actions spectaculaires et médiatisées.
Les méthodes courantes d’attaque sont diverses et sophistiquées. Les attaques par déni de service (DDoS) ciblent les capacités de transport, les sites d’événements, les services de streaming et les services municipaux, provoquant des perturbations majeures et paralysant des opérations cruciales. Le vol de données est une autre tactique utilisée, où les hackers s’introduisent dans les systèmes des sites locaux dédiés aux événements pour dérober des informations sensibles, compromettant ainsi la confidentialité et la sécurité. Enfin, l’usage de ransomware se répand de plus en plus, avec des cybercriminels ciblant les entreprises et les organisations liées aux Jeux Olympiques pour extorquer de l’argent en bloquant leurs systèmes jusqu’au paiement d’une rançon.
Attaques géopolitiques
Lire la suite : https://www.forbes.fr/business/securiser-les-jo-2024-un-defi-mondial-pour-la-cybersecurite/
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Détection et réponse aux cyberattaques : Thales s’allie à Google Cloud
Publié le 13 juin 2024
Thales et Google Cloud annoncent la signature d’un partenariat qu’ils qualifient « d‘envergure ». Il vise à proposer aux clients de Thales une plateforme globale de SOC (Centre Opérationnel de Cybersécurité) offrant des capacités avancées de détection et de réponse aux incidents de cybersécurité.
Thales apporte son expertise en matière de détection et de réponse aux incidents de cybersécurité ; Google Cloud ses capacités SecOps basées sur l’analyse de la menace et sur l’intelligence artificielle.
Grâce à ce partenariat, Thales met au point une plateforme globale de SOC, sur la base de l’expertise et des technologies de cybersécurité de Google Cloud, telles que Google Security Operations, VirusTotal, et le renseignement d’intérêt cyber de Mandiant, le tout alimenté par l’IA générative. Cette plateforme s’appuie sur le réseau des onze SOC Thales déjà déployés, basés sur des technologies cloud ou hybrides et pouvant être connectés aux environnements on premise. Les clients de Thales bénéficieront de l’expertise combinée des deux groupes en matière d’analyse de la menace cyber et des dernières avancées en matière d’IA.
Cette offre déjà disponible en France sera accessible à l’international au second semestre 2024 et viendra compléter l’offre de services SOC de Thales.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/detection-et-reponse-aux-cyberattaques-thales-sallie-a-google-cloud/
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Lutte contre la cybercriminalité : la DGGN accueille l’« InterCERT Day »
gendarmerie-intérieur.gouv.fr - Par le capitaine Tristan Maysounave
Publié le 14 juin 2024
Le jeudi 13 juin 2024, s’est tenue l’assemblée générale plénière d’InterCERT à la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Cet évènement ancre un peu plus encore le Commandement du ministère de l’Intérieur dans le cyberespace (COMCYBER-MI) et la gendarmerie nationale comme acteurs incontournables en matière de cybercriminalité.
Un Computer emergency response team (CERT) est un centre d'alerte et de réaction aux attaques informatiques, destiné aux entreprises ou aux administrations. L’association loi 1901 InterCERT France constitue la première communauté de CERTs en France. La gendarmerie nationale l’a intégré en avril 2023 afin d’élargir son réseau d’interlocuteurs et de capteurs au sein de l’écosystème cyber français et de se positionner en amont de l’action judiciaire des délits cyber perpétrés dans le cyberespace. Le 23 novembre de la même année était créé le COMCYBER-MI, service interministériel chargé d’assurer la cohérence, la performance et la lisibilité du dispositif global du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer face aux cybermenaces.
Les membres d’InterCERT se retrouvent lors d’une assemblée bi-annuelle qui permet de réaliser une synthèse des actions réalisées par son incubateur et ses groupes de travail. Le jeudi 13 juin, pas moins de 200 représentants des 100 principaux CERTs de France étaient réunis à l’occasion de cette journée baptisée l’« InterCERT Day » organisée au sein de la DGGN pour la première fois. Issus du monde de l’entreprise (Michelin, Suez, etc.) et du secteur public (Banque de France, Police nationale, Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense, etc.), ces acteurs sont les interlocuteurs quotidiens du COMCYBER-MI et contribuent à l’identification en temps réel de l’état de la menace qui pèse sur le cyberespace.
Lire la suite : https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/gendinfo/actualites/2024/lutte-contre-la-cybercriminalite-la-dggn-accueille-l-intercert-day
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Afrique : des Chinois lourdement condamnés pour cybercriminalité
lanouvelletribune.info - Par Sathurnin Bossa
Publié le 9 juin 2024
La cybercriminalité représente une menace croissante qui utilise les technologies modernes pour perpétrer des crimes sophistiqués à l’échelle mondiale. Des réseaux de cybercriminels exploitent les failles de sécurité numérique pour commettre des fraudes, des usurpations d’identité et des piratages, affectant ainsi des individus et des organisations dans divers pays. Ces activités illégales ne connaissent pas de frontières, rendant la coopération internationale essentielle pour contrer efficacement ces menaces. Les autorités du monde entier intensifient leurs efforts pour détecter, poursuivre et punir les responsables, dans le but de sécuriser le cyberespace pour tous les utilisateurs.
En Zambie, un cas récent illustre l’ampleur de cette problématique. Un tribunal de Lusaka a imposé des sanctions sévères à plusieurs individus, majoritairement des ressortissants chinois, pour leur rôle dans un vaste réseau de fraude en ligne touchant des victimes en Zambie, à Singapour, au Pérou et aux Émirats arabes unis. Ces criminels ont été reconnus coupables de divers délits, incluant la fraude, l’usurpation d’identité, et l’exploitation illégale de réseaux et de services. Ils ont été condamnés à des peines d’emprisonnement allant de 7 à 11 ans et ont également été soumis à des amendes de 1 500 à 3 000 dollars.
Lire la suite : https://lanouvelletribune.info/2024/06/afrique-des-chinois-lourdement-condamnes-pour-cybercriminalite/
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Pourquoi la cybersécurité devient un enjeu urgent pour les entreprises et les citoyens ?
madeinmarseille.net - Par Margot Geay
Publié le 9 juin 2024
Dans un contexte géopolitique instable, se protéger des cyberattaques devient un enjeu prégnant pour les entreprises et les individus. Dans la région, un écosystème de la cybersécurité tente de se constituer.
Pour se présenter au siège régional de Orange Cyberdéfense, la filiale cybersécurité du groupe de Télécoms, il faut se munir d’un badge visiteur au cordon bleu « pour être facilement identifiable par les salariés », explique Alexandre Gazzola. Le directeur régional pose le décor, d’un ton posé, presque militaire, rappelant ainsi la hauteur des enjeux de sécurité dans un monde devenu ultra-connecté.
Historiquement positionné sur la protection des entreprises du CAC40, Orange s’adresse progressivement aux plus petites entreprises (TPE-PME) jusqu’au grand public. Ce 6 juin, le groupe a lancé Orange Cybersecure, une plateforme gratuite pour permettre à chacun de vérifier une adresse mail ou un message qui lui paraîtrait suspect.
Pour cause, l’opérateur constate une recrudescence des attaques chez les particuliers, notamment du « hameçonnage » : une technique utilisée par des fraudeurs pour obtenir des renseignements personnels, dans le but d’usurper l’identité ou de soutirer de l’argent, en se faisant passer par un tiers de confiance comme une banque.
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/163065-pourquoi-la-cybersecurite-devient-un-enjeu-urgent-pour-les-entreprises-et-les-citoyens/
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Comprendre les Nouveautés de la Directive NIS 2 : un pas de géant pour la Cybersécurité Européenne
solutions-numériques.com - Par Nicolas Lacourte chez NXO
Publié le 11 juin 2024
La directive NIS 2 (Network and Information System Security) représente un jalon important dans le paysage de la cybersécurité européenne, avec des implications significatives pour un large éventail d’entités. Pour mieux comprendre ces changements, examinons de près les nouveautés de la NIS 2 par rapport à son prédécesseur, la directive NIS 1.
Changements sémantiques et périmètre d’application
La directive NIS 2 introduit une terminologie plus large en remplaçant les termes « opérateurs » et « OSE » par « entités ». Cela élargit le champ d’application de la directive à 35 secteurs d’activité. Si votre organisation se trouve dans l’un de ces secteurs et que le Chiffre d’affaires est supérieur à 10M€ ou si le nombre d’employés est supérieur à 50, elle est concernée par la NIS 2.
Flexibilité et adaptabilité pour la France
La France a la possibilité d’ajouter des entités non listées dans les annexes, basées sur une analyse de risque nationale et d’exclure certaines entités pour des raisons de défense et de sécurité nationale. Cette flexibilité permet d’adapter la directive aux spécificités nationales tout en garantissant un niveau élevé de sécurité. Cette liste définitive sera communiquée dans le courant de l’année 2024.
Distinction entre Entités Essentielles et Importantes
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Analyse comportementale : nouvelle ère de la détection des intrusions ?
secret-defense.org - Par Eléonore Dupont De la Rivière
Publié le 11 juin 2024
L'ère numérique actuelle, avec son évolution rapide et ses avancées technologiques, a inversé la donne dans de nombreux domaines. L'un d'eux est la cybersécurité. Les systèmes traditionnels de détection d'intrusion n'étant plus suffisamment efficaces face à la sophistication des cyberattaques, le monde de la cybersécurité voit émerger une nouvelle approche : l'analyse comportementale. Ce procédé innovant s'appuie sur l'étude du comportement des utilisateurs pour identifier les menaces potentielles.
Analyse comportementale et cybersécurité : vers une détection proactive des menaces internes
Qu'est-ce que l'analyse comportementale ?
Dans le contexte de la cybersécurité, l'analyse comportementale se réfère à l'utilisation de techniques d'apprentissage automatique et d'intelligence artificielle pour détecter les anomalies dans le comportement des utilisateurs. Elle permet ainsi d'identifier les actions suspectes qui peuvent indiquer une intrusion ou une menace interne.
L'importance de détecter les menaces internes
Lire la suite : https://www.secret-defense.org/cybersecurite/analyse-comportementale-nouvelle-ere-de-la-detection-des-intrusions/
Détection
Les smartphones pourraient bientôt se vanter de la « vision de Superman » grâce à une nouvelle technologie de détection.
smartphonemagazine.nl - Par Roman Glogulski
Publié le 11 juin 2024
Un projet collaboratif entre des ingénieurs coréens et américains s’apprête à doter les smartphones d’une capacité unique rappelant un super-héros. Inspirée par la capacité de Superman à voir à travers les objets solides, cette initiative a donné naissance à la création d’une puce miniature pouvant être intégrée dans les smartphones, leur permettant de percevoir des objets cachés à l’œil nu sans utiliser de radiation néfaste aux rayons X.
Le concept innovant a pris forme après de nombreuses années de développement rigoureux, mené par des chercheurs de l’Université du Texas à Dallas (UTD) et de l’Université nationale de Séoul (SNU). Ils ont envisagé une voie divergente des technologies conventionnelles de rayons X ou d’imagerie thermique, aboutissant à cette percée.
Le professeur Kenneth O, membre de l’équipe de recherche et responsable du Centre d’excellence analogique du Texas (TxACE), a souligné l’absence d’émissions de rayons X nocives, précisant que la technologie opère plutôt dans le spectre de fréquence de 200 à 400 gigahertz. La révélation a eu lieu il y a deux ans, clôturant plus de 15 ans d’efforts de recherche dédiés dirigés par M. O et son équipe, composée d’étudiants, de chercheurs et d’associés.
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Google teste la détection automatique de vol de téléphone avec Android 15
cnetfrance.fr - Par Raph PTX
Publié le 12 juin 2024
Cette fonction, actuellement en expérimentation au Brésil, utilise l'intelligence artificielle pour prévenir les vols de smartphones.
Lors de la conférence des développeurs I/O en mai dernier, Google avait annoncé son intention de renforcer la sécurité et la confidentialité des données avec Android 15. L'entreprise lance donc une phase de tests terrain pour une nouvelle fonctionnalité innovante, la détection de vol de smartphone, prévue dans la prochaine version du système d'exploitation attendue cette année. L'essai est en cours Au Brésil auprès de certains utilisateurs
Ce pays a été choisi comme zone pilote en raison du fort taux de délinquance lié aux appareils mobiles constaté sur son territoire. Les résidents brésiliens peuvent d'ores et déjà s'inscrire pour participer à cette évaluation en conditions réelles.
Cette fonctionnalité baptisée "verrou de détection de vol" exploite l'intelligence artificielle pour analyser les mouvements de l'appareil. Son objectif est d'identifier les secousses et déplacements brusques caractéristiques d'une tentative de vol. Mais ce n'est pas le seul critère pris en compte. L'algorithme scrute également les changements de réseau Wifi ou l'utilisation prolongée sur une connexion inhabituelle, signes avant-coureurs d'une malveillance. Une approche globale visant à déceler les comportements suspects.
Lire la suite : https://www.cnetfrance.fr/news/mobilite/google-teste-la-detection-automatique-de-vol-de-telephone-avec-android-15-408202.htm
Intelligence artificielle
Elon Musk raconte n’importe quoi sur l’intégration de ChatGPT à iOS 18
Il menace de bannir les iPhone
numerama.com - Par Nicolas Lellouche
Révolté par le partenariat entre Apple et OpenAI, Elon Musk menace d’interdire les iPhone dans ses entreprises. Le milliardaire invente un complot sur le vol des données, qui semble complètement infondé au vu du fonctionnement de ChatGPT sur iPhone.
« Si Apple intègre OpenAI au niveau du système d’exploitation, les appareils Apple seront bannis de mes entreprises. C’est une violation inacceptable de sécurité ».
Sur Twitter, Elon Musk fait du Elon Musk. Dans la foulée de la présentation d’Apple Intelligence, la suite logicielle d’Apple pour entrer dans l’ère de l’IA générative, le milliardaire s’est offusqué de voir ChatGPT débarquer nativement sur iPhone, grâce à un partenariat entre OpenAI et Apple. Il menace même d’enfermer « dans des cages de Faraday » les iPhone des visiteurs, dans ce qui ressemble à une guerre d’égos avec Sam Altman, le patron d’OpenAI.
Apple se lance sur le marché de l’intelligence artificielle
Essayez de regarder cette vidéo sur www.youtube.com
Elon Musk raconte des bêtises sur Apple Intelligence
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Intelligence artificielle: la start-up française Mistral AI valorisée à près de six milliards d'euros
rfi.fr - Par RFI
Publié le 12 juin 2024
L'intelligence artificielle générative attire les investisseurs, et la France ne fait pas exception. La start-up tricolore Mistral AI, qui veut concurrencer les géants américains du secteur, vient de terminer une nouvelle étape de financement. Elle est désormais valorisée à près de six milliards d'euros, à peine plus d'un an après sa création.
La start-up française, créée par d'anciens salariés de Google et de Meta, assure, mardi 11 juin, qu'elle vient d'engranger 600 millions d'euros de financement supplémentaire. De quoi porter sa valorisation à 5,8 milliards d'euros. Parmi les investisseurs : le fabricant de puces électroniques Nvidia, ou encore le géant de l’informatique IBM. Il y a quelques mois, c'était Microsoft qui mettait la main à la poche.
« Je suis ravi de voir des investisseurs, nouveaux et existants, renouveler leur confiance dans notre activité et apporter un nouveau soutien à son développement », a affirmé Arthur Mensch, patron et cofondateur de Mistral AI, dans un communiqué. Il a ajouté que ce nouveau tour de table « garantissait le maintien de l'indépendance de l'entreprise, qui reste entièrement sous le contrôle des fondateurs ».
D'après le Financial Times, l'entreprise française est désormais valorisée trois fois plus qu'il y a six mois. Un montant énorme pour une entité si jeune, même si c'est encore loin de ce que l'on peut observer aux États-Unis chez les géants américains de la tech. OpenAI, par exemple, qui a lancé le robot d’intelligence ChatGPT, est valorisée 80 milliards de dollars.
Un modèle français qui ambitionne de concurrencer ChatGPT
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L'IA, une source d'opportunités
lesechos.fr - Par
Publié le 12 juin 2024
Chance à saisir ou menace ? La question ne se pose plus. Il faut foncer. Les entreprises qui n'embarquent pas dans le train de l'IA prennent le risque de se retrouver à la traîne face à la concurrence. Les opportunités offertes de création de valeur grâce à cette technologie sont nombreuses. A chaque dirigeant de construire un récit réaliste et stimulant sur cette « révolution ».
Les multiples études sur l'adoption de l'intelligence artificielle (IA) par les grandes entreprises françaises confirment que la majorité d'entre elles l'utilisent activement dans leurs activités. Même si des obstacles les maintiennent parfois dans des phases d'expérimentation. En conséquence, les investissements qu'elles consacrent à cette technologie ne vont qu'augmenter…
Du côté des petites entreprises, pour qui la révolution des IA génératives n'a pas encore eu lieu, l'engouement est plus timide. La raison ? Le manque de connaissance du potentiel de ces outils, selon une récente enquête de Bpifrance. Et pourtant ! « D'ores et déjà, l'IAG a touché tous nos métiers, confirme Christophe Liénard, directeur central de l'innovation du groupe Bouygues et président d'Impact AI, autant les fonctions supports, comme le juridique et les RH, que la route avec Colas, la construction et les télécoms avec Bouygues ou l'audiovisuel avec TF1. Et ça va très vite. » D'où la mise en place progressive, ces deux dernières années, d'une gouvernance au plus haut niveau pour suivre tous les projets d'IA et data menés dans chaque entité du groupe.
Un moteur de transformation globale des organisations
Lire la suite : https://www.lesechos.fr/thema/articles/lia-une-source-dopportunites-2100803
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La Crypto et l'intelligence artificielle pourraient représenter une mégatendance de 20 000 milliards de dollars, selon Bitwise
coindesk.com - Par Will Canny
Publié le 1 juin 2024
Les deux secteurs pourraient ajouter collectivement 20 000 milliards de dollars au PIB mondial d’ici 2030, selon le rapport.
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Apple se lance dans la course à l’intelligence artificielle
Par Vincent Jolly
Publié le 10 juin 2024
Depuis la découverte par le grand public des capacités des IA génératives, Apple semblait être à la traîne par rapport aux autres grands noms de la Silicon Valley comme Amazon, Meta et Microsoft, dont la valeur a récemment dépassé celle d'Apple.
Dans la Silicon Valley, comme dans la mode, tout est une question de tendance. Après le «Métaverse» et la «blockchain», c'est désormais l'intelligence artificielle qui est au cœur des grandes maisons de la Big Tech. La keynote d'Apple, tenue à l'Apple Park de Cupertino, n'a pas fait exception. Tim Cook a ainsi annoncé Apple Intelligence (AI), le nouveau système d'IA de la société.
À découvrir
PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech
Cette nouveauté logicielle va notamment permettre de faire évoluer son assistant vocal Siri (lancé il y a 13 ans) et de mettre l'agent conversationnel au même niveau de performance que les autres IA génératives déjà existantes. Apple ne ferme pas la porte aux autres IA, puisqu'une intégration du robot conversationnel ChatGPT(OpenAI) a été annoncée pour compléter les capacités d'Apple Intelligence, qui sera disponible gratuitement, sans abonnement supplémentaire.
Une utilisation de l’IA «naturelle»
Avec cette keynote, Apple se lance dans la course à l'IA, tout en soulignant longuement sa manière d'intégrer ces nouvelles technologies sans toucher à…
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/avec-sa-keynote-apple-se-lance-officiellement-dans-la-course-a-l-intelligence-artificielle-20240610
Paiement électronique
Paiements : bientôt la fin de la carte bancaire ?
tv-programme.com - TF1 | Reportage J. Roux, Q. Trigodet
Publié le 11 juin 2024
Et si l'insertion de la carte bancaire dans un terminal de paiement électronique appartient bientôt au passé, remplacée par le paiement sur téléphone portable, avec une carte bancaire virtuelle ? Banque historique ou en ligne, toutes proposent ce service, qui a séduit Line et Christophe, 23 ans. Ils n'utilisent que leurs cartes dématérialisées pour payer leurs achats.
"C'est beaucoup plus rapide, on a juste qu'à cliquer deux fois sur le bouton. Et puis même, on peut l'utiliser avec la montre... Parfois, j'oublie même mon code et il faut que je me le rappelle", ont-ils exprimé. Avec une carte virtuelle, il n'est pas nécessaire de se souvenir de notre code de sécurité, c'est souvent par reconnaissance faciale.
En décembre dernier, en 2023, un client sur cinq a choisi la carte virtuelle, entièrement gratuite. Cela signifie-t-il que les cartes bancaires en plastique finiront toutes bientôt à la poubelle ? Pour l'instant, il est encore impossible de retirer des espèces avec les cartes virtuelles. Et tout le monde n'est pas prêt à passer au paiement 100 % mobile. La carte bancaire à puce a donc encore de beaux jours devant elle, qui représente aujourd'hui 60 % des transactions.
CNIL
Intelligence artificielle : nouvelle consultation publique sur le développement des systèmes d’IA
cnil.fr - Communiqué
Publié le 10 juin 2024
La CNIL publie une deuxième série de fiches pratiques et un questionnaire consacré à l’encadrement du développement des systèmes d’intelligence artificielle. Ces nouveaux outils visent à aider les professionnels à concilier innovation et respect des droits des personnes. Ils sont soumis à consultation publique jusqu’au 1er septembre 2024.
De nombreux acteurs ont fait part à la CNIL de questionnements concernant l’application du règlement général sur la protection des données (RGPD) à l’intelligence artificielle (IA), en particulier avec l’essor des systèmes d’IA génératives (Generative AI systems).
Pour la CNIL, le développement de ces systèmes est conciliable avec les enjeux de protection de la vie privée. Plus encore, la prise en compte de cet impératif permettra de faire émerger des dispositifs, outils et applications éthiques et fidèles aux valeurs européennes.
C’est à cette condition que les citoyens feront confiance à ces technologies. Pour cela, il est important que les acteurs disposent d’éléments clairs et pratiques d’analyse pour éclairer les décisions stratégiques de développement ou d’utilisation de l’IA que de nombreux organismes doivent prendre dans les prochains mois.
Une nouvelle série de recommandations soumises à consultation publique
Le 8 avril 2024, à la suite d’une consultation du secteur, la CNIL a publié ses premières recommandations sur le développement des systèmes d’IA. Elles répondent notamment aux interrogations portant sur l’application des principes de finalité, de minimisation et de durée de conservation pour le développement des systèmes d’IA. Elles clarifient également certaines règles applicables à la recherche scientifique, à la réutilisation de bases de données ou à la réalisation d’analyse d’impact sur la protection des données (AIPD).
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/intelligence-artificielle-la-cnil-ouvre-une-nouvelle-consultation-publique
RGPD
Pour entraîner son intelligence artificielle, Meta défie à nouveau le RGPD
cafetech.fr - Par Jérôme Marin
Publié le 10 juin 2024
Cela ressemblerait presque à une provocation. Déjà empêtré dans d’interminables procédures en Europe, Meta défie à nouveau le Règlement général sur la protection des données (RGPD). À partir du 26 juin, la maison mère de Facebook et d’Instagram va en effet utiliser les messages et les photos publiés par les membres des deux réseaux sociaux (mais pas leurs messages privés) pour “développer et améliorer” ses prochains modèles d’intelligence artificielle générative. Surtout, elle ne prévoit pas de demander le consentement de ses utilisateurs, leur laissant simplement la possibilité de refuser en remplissant un formulaire en ligne – à condition toutefois de fournir une justification jugée recevable par la société américaine. “C’est clairement contraire au RGPD”, dénonce l’activiste autrichien Max Schrems.
“Intérêt légitime” – La semaine dernière, son association Noyb a donc saisi les autorités de protection des données dans onze pays européens, dont la France, l’Allemagne et l’Irlande. Le RGPD requiert d’obtenir le consentement pour utiliser les données personnelles. Un consentement que Meta ne souhaite pas mettre en place, car l’immense majorité des utilisateurs ne le donneraient pas. Pour passer outre cette obligation, le réseau social invoque le principe “d’intérêt légitime”, prévu dans la réglementation. Mais Noyb rappelle que cette stratégie, déjà tentée par Meta dans la publicité ciblée, a été retoquée par la justice européenne. L’association dénonce aussi les démarches à effectuer pour s’opposer à l’utilisation des données. Des démarches qu’elle qualifie de “farce”, ne visant qu’à limiter drastiquement le nombre de refus.
Lire la suite : https://cafetech.fr/2024/06/10/pour-entrainer-son-intelligence-artificielle-meta-defie-a-nouveau-le-rgpd/
Big Data
7 clés pour maitriser sa stratégie data
lemondeinformatique.fr - Par John Edwards, CIO US (adapté par Reynald Fléchaux)
Publié le 10 Juin 2024
Les DSI d'aujourd'hui comprennent non seulement la valeur des données, mais aussi le fait que des applications analytiques exploitables, alimentées par des données de haute qualité, conduisent à de meilleures décisions métiers et à des opérations plus efficaces. Mais, la collecte de données est loin d'être un processus statique.
D'abord, parce que le patrimoine de données que détient l'entreprise s'accroit considérablement. Qu'il s'agisse de données de première main ou provenant de tiers, qu'elles soient structurées ou non. Pour Murli Buluswar, responsable analytique de Citi pour les services bancaires aux particuliers aux États-Unis, « les entreprises les avancées se distingueront en sophistiquant leur capacité à stocker, interroger, dériver et assembler des informations à partir de ces données. Et ce, à grande échelle. »
La mise en oeuvre d'une stratégie data nécessite une planification minutieuse, l'accès à des sources pertinentes et des capacités de gestion solides, tout en restant adaptables. Voici les tendances pour rester au fait des dernières approches en la matière.
1. L'IA transforme la proposition de valeur
L'intelligence artificielle (IA) représente aujourd'hui la tendance la plus importante en matière de stratégie de données, en raison de son profond potentiel de transformation, souligne Craig Muir, associé de la banque d'investissement Solomon Partners, où il est responsable des logiciels, des données et des applications analytiques.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lireamp-7-cles-pour-maitriser-sa-strategie-data-93956.html
Ethique du numérique
Le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) du numérique est né
Publié le 12 juin 2024
PARIS (TICsanté) - Un décret publié fin mai au Journal officiel a acté la création du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) du numérique, composé de vingt membres, outre son président, et placé auprès du premier ministre.
"Il est institué, auprès du premier ministre, un Comité consultatif national d'éthique du numérique […] chargé de donner des avis sur les questions d'éthique soulevées par les avancées des sciences, technologies, usages et innovations dans le domaine du numérique, et de leurs potentiels impacts, notamment sociaux, économiques, environnementaux ou éducatifs", définit le texte.
Il peut être saisi par: le président de la République, le premier ministre, le président de l'Assemblée nationale, le président du Sénat ou un membre du gouvernement, "ainsi que par un établissement d'enseignement supérieur, un établissement public ou une fondation reconnue d'utilité publique, sous réserve qu'ils aient pour activité principale la recherche, le développement technologique ou la promotion du numérique".
"Le comité peut également se saisir de questions posées par toute autre personne ou par un ou plusieurs de ses membres."
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.ticsante.com/Story?id=7254
Désinformation
Comment fonctionne Matriochka, la dernière campagne de désinformation pro-russe débusquée par la France
telerama.fr - Par Olivier Tesquet
Publié le 11 juin 2024
Identifiée par Viginum, l’opération aurait touché des centaines de cibles, notamment en France. Son mode opératoire : cibler les cellules de fact-checking des médias, en les inondant de fausses infos.
Comme si l’actualité politique n’était pas suffisamment anxiogène, voilà que Viginum, le service de l’État chargé d’identifier les ingérences numériques étrangères, vient de débusquer une nouvelle campagne de déstabilisation pro-russe : Matriochka. Selon un rapport technique d’une quinzaine de pages mis en ligne lundi par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), cette opération – toujours en cours – cible les médias, plus particulièrement « la communauté des fact-checkers », et « porte atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », critère crucial pour désigner officiellement une ingérence numérique étrangère.
Active sur X depuis au moins septembre 2023, déjà identifiée par l’AFP l’année dernière, elle fonctionne selon un mode opératoire immuable. D’abord, un premier groupe de comptes publie des contenus trompeurs sur le réseau social, qui peuvent prendre la forme de faux reportages usurpant l’identité de médias ou de campagnes virales montées de toutes pièces, ce qui n’est pas sans rappeler les récents épisodes des étoiles de David dans les rues de Paris ou des mains rouges taguées sur le Mémorial de la Shoah. Dans un second temps, un deuxième groupe de comptes complices apostrophe les journalistes pour attirer l’attention sur ces informations piégées, les orientant à l’occasion vers des sites fantoches de l’écosystème « Pravda », un réseau de près de cents faux sites principalement actifs en Allemagne, en Pologne et en France, identifié en février dans une campagne précédente, Portal Kombat.
Atos
Atos : l’État offre 700 millions pour racheter ses activités sensibles, l'action explose de 20%
Le Figaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Cette offre intervient deux jours après le choix du consortium mené par Onepoint pour la reprise d'Atos.
L’objectif est d’éviter qu’elles tombent entre les mains d'acteurs étrangers.
L'État au secours d’Atos. Avec une offre à 700 millions d'euros, l’état souhaite acheter les activités d'Atos jugées stratégiques et sensibles, dont les supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire, a indiqué vendredi dans un communiqué le groupe informatique français, en pleine restructuration. Cette offre vise à éviter que ces activités, qui touchent à la souveraineté de la France, tombent entre les mains d'acteurs étrangers. Elle intervient deux jours après le choix du consortium mené par Onepoint pour la reprise d'Atos.
La proposition de l'État, formulée dans une «lettre d'offre confirmatoire non engageante», concerne «l'acquisition potentielle de 100% des activités d'Advanced Computing, de Mission-Critical Systems et de Cybersecurity Products de la division BDS (Big Data & Cybersécurité)» d'Atos, a indiqué le groupe. Ces activités englobent les supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire, les contrats avec l'armée française et les produits de cybersécurité. «Cette offre confirmatoire non-engageante porte sur une valeur d'entreprise globale de 700 millions d'euros», a poursuivi Atos.
Un besoin de 1,1 milliard d'euros de liquidités pour 2024-2025
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/societes/atos-l-etat-offre-700-millions-pour-racheter-ses-activites-sensibles-20240614
Atos - Eviden
Le groupe Atos et Microsoft s’unissent
Paris, France – 12 juin 2024 – Le groupe Atos, via Eviden, sa ligne d’activités leader dans le numérique, le cloud, le big data et la sécurité, annonce aujourd’hui une collaboration avec Microsoft pour lancer une initiative stratégique visant à combiner leurs expertises pour accélérer l’adoption de « RISE with SAP » sur Microsoft Azure.
La collaboration portera sur la création d’une unité de service dédiée au sein d’Eviden. Celle-ci s’appuiera sur l’expertise industrielle combinée d’Eviden et de Microsoft dans les secteurs de la fabrication, de l’énergie & services publics, ainsi que des produits de grande consommation pour fournir aux clients des services spécialisés, visant à accélérer leur transformation SAP S/4HANA et leur adoption du cloud Microsoft dans le cadre du programme « RISE with SAP ». Cette initiative aidera les clients du monde entier à accroître la valeur, à stimuler l’innovation et à transformer leur parcours digital.
Des initiatives de transformation complètes
La collaboration facilitera l’intégration de « RISE with SAP » avec des solutions commerciales et sectorielles avancées. Celles-ci intègrent une gamme de services allant du consulting en valeur commerciale à la gestion du changement, en passant par la conversion, la migration, l’exécution et les services d’innovation dans le cadre du programme RISE++ d’Eviden. Les clients bénéficieront également de plateformes agiles et innovantes, ainsi que de services de gestion de la performance busines digitale de l’entreprise (Digital Business Performance Management). Ce programme aidera les clients à réaliser une intégration transparente entre SAP Business Technology Platform (BTP), les composants SaaS collaboratifs, Copilot pour Microsoft 365, SAP Business AI et les capacités GenAI. Lire la suite : https://eviden.com/fr-fr/actualites/communiques-de-presse/le-groupe-atos-et-microsoft-sunissent-pour-accelerer-de-rise-with-sap-sur-microsoft-azure/
Thales
En Australie, le habitants du Queensland adoptent le permis de conduire numérique développé et sécurisé par Thales
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 11 juin 2024
Queensland (QLD) ‘Digital Licence App’ a convaincu plus d’un demi-million d'utilisateurs, depuis son lancement en novembre 2023, démontrant l’attractivité de ce document d’identité numérique sécurisé. Thales et le ministère des Transports et des routes principales du Queensland (TMR) ont mis la nouvelle application à disposition de tous les habitants de cette région, après le succès du pilote testé à Townsville, qui avait permis de confirmer l’engouement des utilisateurs finaux. Plusieurs entreprises et groupes industriels, ont pu partager leurs retours d’expériences en amont du lancement du projet.
A l’aide de la technologie avancée de Thales et s’appuyant sur l’expertise de partenaires locaux ‘Code Heroes’ et ‘Aliva’, l’application ‘QLD Digital Licence’ est conçue pour tenir compte de la sécurité des données, et du respect de la vie privée. Extrêmement simple à utiliser, cette application comprend des fonctionnalités telles que l’authentification multifactorielle, l’intégration avec le service Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/australie-habitants-du-queensland-adoptent-le
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THALES s’allie à google cloud pour offrir aux organisations des capacités avancées de détection et de réponse aux cyberattaques
thalesgroup.com/fr - Communiqué
Publié le 13 juin 2024
Thales a choisi de s’associer à Google Cloud pour renforcer ses capacités de détection et de réponse aux cyberattaques sur les systèmes d’information des organisations.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-sallie-google-cloud-offrir-aux
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THALES offre aux entreprises une fonctionnalité d’authentification sans mot de passe complète : passwordless 360°
Publié le 12 juin 2024
©KuppingerCole
- Cette nouvelle approche permet aux entreprises de recourir à un seul prestataire pour couvrir l’ensemble de leurs besoins d’authentification, quel que soit l’écosystème : clients, employés, partenaires, fournisseurs...
- Cette annonce intervient au moment même où Thales a été reconnu comme Chef de file par KuppingerCole dans son baromètre 2024 des leaders de l’authentification sans mot de passe
Thales, le chef de file mondial des solutions technologiques et de sécurité, annonce aujourd’hui, un nouveau concept d’authentification sans mot de passe, Passwordless 360°, qui offre à ses clients une fonctionnalité capable de couvrir l’ensemble de leurs besoins, quel que soit le type d’utilisateur ou le niveau de garantie requis. Grâce à sa flexibilité, Passwordless 360° permet aux entreprises d’utiliser les technologies d’authentification les plus récentes, telles que les clés FIDO, tout en tirant le meilleur parti des investissements qu’elles ont éventuellement déjà réalisés dans les technologies sans mot de passe.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-offre-aux-entreprises-une-fonctionnalite
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THALES, SPIRE GLOAL et ESSP s'associent pour développer un service de surveillance du trafic aérien depuis l'espace
Publié le 13 juin 2024 - © Thales
• Thales, Spire et ESSP unissent leurs forces pour développer une constellation de satellites et proposer de nouveaux services de surveillance depuis l'espace aux fournisseurs de services de navigation aérienne (ANSP).
• Cette constellation de plus de 100 satellites offrira une surveillance en temps réel du trafic aérien, améliorant la sécurité, la durabilité et la sécurité de l'espace aérien.
MEUDON / MUNICH / TOULOUSE, 13 juin 2024 — Thales (Euronext Paris : HO), Spire Global (NYSE : SPIR) et European Satellite Services Provider (ESSP) ont signé un protocole de coopération dans le but d'introduire une gamme de services innovants de surveillance mondiale par satellite dans le secteur de la gestion du trafic aérien (ATM) et sur le marché de l'aviation en général. Ces services seront assurés par une constellation spécialisée de plus de 100 satellites qui recueilleront les messages du système de surveillance automatique (ADS-B) émis par les aéronefs et transmettront les données à la Terre en temps réel.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/thales-spire-global-et-essp-sassocient-developper-service
Mobilité
Bus express : Bordeaux Métropole lance la première des sept lignes prévues d'ici 2028
objectifaquitaine.latribune.fr - Pierre Cheminade
Publié le 3 Juin 2024
La ligne de bus express entre la gare Bordeaux Saint-Jean et le nord-ouest de l'agglomération a été mise en service ce samedi 1er juin. Il s'agit de la première du réseau de bus à haut niveau de service qui doit irriguer la métropole bordelaise dans les prochaines années, en complément du tramway.
Il n'y a pas que le RER métropolitain et l'étude de faisabilité d'un métro qui agitent le monde des mobilités à Bordeaux Métropole ces jours-ci. Il y a aussi l'ouverture imminente du pont Simone Veil et l'inauguration, ce samedi 1er juin, de la ligne G qui reliera en bus express la gare Bordeaux Saint-Jean et la commune périurbaine de Saint-Aubin-de-Médoc, au nord-ouest de l'agglomération. Un tracé long de 21 km, pour moitié seulement en site propre, qui vise 50.000 voyageurs quotidiens grâce à un passage toutes les cinq minutes en heure de pointe.
Les bus électriques en 2025
La ligne sera équipée à terme d'une flotte de 40 bus 100 % électriques conçus sur-mesure par le constructeur néerlandais VDL Bus & Coach mais ce dernier n'a pas été en mesure de les livrer dans les délais prévus. La ligne sera donc exploitée avec des bus classiques jusqu'à l'arrivée des nouveaux véhicules électriques à partir du printemps 2025.
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Des taxis volants à Paris pour les JO 2024, l’aube d’un nouveau ciel urbain ?
leclaireur.fnac.com - Par Fouad Bencheman
Publié le 7 juin 2024
Après moult rebondissements, la start-up allemande Volocopter, constructeur du taxi volant Volocity, pourra finalement expérimenter ses engins dans le ciel parisien cet été. Une première mondiale. C’est également, et surtout, le début d’une nouvelle ère pour la mobilité urbaine des plus grandes mégalopoles mondiales.
Volera, volera pas ? Depuis près de trois ans, l’entreprise Volocopter attend les Jeux de Paris 2024 de pied ferme. En effet, cet événement en mondovision s’apparente à la vitrine idéale pour effectuer les premiers vols de ses taxis volants. Sauf que…
Après un crash début 2022 d’un prototype de taxi de l’entreprise américaine Joby Aviation, au cours d’un vol d’essai, les gendarmes de l’air ont resserré quelque peu les boulons. Ces autorités de certification – la Federal Aviation Administration aux États-Unis et l’Agence de l’Union européenne pour la sécurité aérienne eu Europe – ont drastiquement renforcé leurs niveaux d’exigences pour autoriser ces véhicules volants.
Lire la suite : https://leclaireur.fnac.com/article/485703-taxis-volants-une-premiere-mondiale-a-paris-pour-les-jeux-olympiques/
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Des solutions à 360° pour décarboner les mobilités : retour sur les interventions du Cerema au salon Drive to Zero
cerema.fr - Communiqué
Publié le 7 juin 2024
Le salon des mobilités décarbonées Drive to Zero s’est tenu les 28 et 29 mai à Paris, et a été l’occasion d’échanger sur les nouveaux usages, l’innovation, la transition énergétique des mobilités… Le Cerema était partenaire de l’événement et ses spécialistes ont réalisé plusieurs présentations ou interventions en table ronde sur les outils et méthodes pour décarboner les mobilités.
Décarboner les mobilités nécessite d'adopter des approches systémiques sur les pratiques de déplacements, les solutions de mobilités, les infrastructures associées. C'est en agissant conjointement et simultanément sur tous ces leviers de transformation que des systèmes de transports territoriaux sobres et neutres en carbone pourront être déployés, tout en préservant les besoins de desserte des territoires.
Le Cerema, partenaire de la première et de cette seconde édition du salon Drive to Zero, répond aux besoins de l’Etat et des territoires en matière de mobilités en intégrant les enjeux de transition écologique, d’aménagement du territoire, d’accessibilité, les nouvelles solutions de mobilités ou encore l’adaptation des infrastructures.
Les interventions du cerema
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/solutions-360deg-decarboner-mobilites-retour-interventions
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Semaine européenne de la mobilité : Inscrivez-vous pour promouvoir la mobilité durable
france.representation.ec.europ.eu - Communiqué
Publié le 4 juin 2024
La Semaine européenne de la mobilité (SEM) est une campagne phare de la Commission européenne visant à sensibiliser le public à la mobilité urbaine durable. Cette initiative encourage les changements de comportement en faveur de la mobilité active, des transports publics, et d'autres solutions de transport propres et intelligentes.
L'événement principal a lieu chaque année du 16 au 22 septembre, avec un point culminant lors de la populaire Journée sans voiture. Pendant cette semaine, les autorités locales sont invitées à tester des mesures de planification innovantes, promouvoir de nouvelles infrastructures et technologies, mesurer la qualité de l'air, et recueillir les avis du public.
Pour participer à cette 22ème édition, les collectivités locales peuvent inscrire leurs actions en faveur de la mobilité durable et les partager sur les réseaux sociaux de la Semaine européenne de la mobilité, tels que Facebook, Twitter, et Instagram.
En savoir plus :
• Site de la Semaine européenne de la mobilité et inscription : ICI
• Exemples d’initiatives prises en 2023 notamment par les villes françaises participantes : EUROPEAN MOBILITY WEEK | Participating towns and cities
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"Encourager à changer la mobilité quotidienne nécessite de comprendre le besoin d’accessibilité spatiale"
ledauphiné.com - Sonia Chardonnel, directrice de recherche au CNRS
Publié le 4 juin 2024
Sonia Chardonnel est directrice de recherche CNRS en géographie au Laboratoire de sciences sociales Pacte à Grenoble. Ses recherches portent sur l’analyse de la mobilité et des activités quotidiennes et leurs effets sur l’organisation des territoires. Actuellement, elle coordonne l’étude Intermob qui s’intéresse aux freins et leviers face au changement des pratiques de mobilité en lien avec les transitions socio-écologiques.
EBRA Inspirations - 04 juin 2024
La régulation des mobilités spatiales quotidiennes est devenue un objectif majeur de l’adaptation des territoires face aux dérèglements climatiques conduisant, depuis plus d’une décennie, les politiques gouvernementales et locales à déployer des dispositifs pour engager une transition dans la planification des transports (transports publics, aménagements cyclables, zone de circulation apaisée, zones à faibles émissions, etc.). À ces politiques se sont ajoutées plus récemment d’autres initiatives qui s’adressent directement aux populations encouragées à adopter de nouvelles manières de se déplacer.
Cet angle d’action portant sur les individus plus que sur les infrastructures vient éclairer le fait que la mobilité quotidienne ne se limite pas au simple fait de se déplacer. Elle embrasse différents éléments d’ordre social et spatial touchant in fine à la qualité de vie des populations.
D’abord, les mobilités spatiales sont une ressource indispensable pour les individus dans la mesure où elles sont le moyen de relier les lieux du quotidien. Elles garantissent donc l’accessibilité spatiale au territoire structuré par des réseaux qui mettent en lien les fonctions économiques, servicielles, culturelles, etc., localisées.
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Des Français créent un scooter électrique à trois roues qui ne peut pas tomber
futura-sciences.com - Par Sylvain Biget
Publié le 3 juin 2024
L’association française Sirems développe le Kairos, un véhicule électrique à trois roues doté d’un système de sécurité inédit pour éviter les chutes.
Taillés pour le milieu urbain pour se déplacer rapidement et sans risque de chuter en cas de virage mal négocié, les scooters à trois roues existent depuis longtemps. Ils sont conçus pour compenser l'inclinaison et maintenir les deux roues principales au sol pour que le scooter ne bascule pas en cas de virage à grand angle. L'association française Sirems, qui planche sur un véhicule fiable et sécurisé pour la mobilité urbaine, a décidé d'aller un peu plus loin en créant un concept de véhicule baptisé « Kairos ».
Ce trois-roues électrique vient renforcer la sécurité avec une configuration inédite. Contrairement aux autres véhicules de cette catégorie, les roues qui se chargent de la stabilité ne se trouvent pas à l'avant, mais sont placées à l'arrière. Le centrage de masse est positionné également vers l'arrière pour que le poids du conducteur permette d'améliorer la propulsion de ces deux roues motorisées. Ce sont d'ailleurs ces dernières qui viennent s'incliner pour prendre les virages.
Un système de compensation inédit
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/smartmotion-francais-creent-scooter-electrique-trois-roues-ne-peut-pas-tomber-113820/
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Cette IA sauve la vie des cyclistes urbains, voici comment
hellobiz.fr - Par Marc de Zordo
Publié le 5 juin 2024
Lutter contre les dangers de la route : découvrez comment "Copilot" de Velo révolutionne la sécurité des cyclistes en milieu urbain. Souscription de 400 dollars.
L’essor des déplacements urbains à vélo a suscité une préoccupation grandissante pour la sécurité des cyclistes. Dans ce contexte, une start-up américaine, Velo, a mis au point un accessoire révolutionnaire appelé « Copilot ». Conçu pour accroître la sécurité des cyclistes en ville, cet appareil intègre des technologies avancées d’intelligence artificielle.
Fonctionnalités innovantes
Le « Copilot » intègre plusieurs capteurs sophistiqués capables de détecter l’approche et le dépassement des véhicules à moteur. Lorsqu’un danger est imminent, le dispositif émet des alertes sonores pour avertir le cycliste. Ce mécanisme de prévention est essentiel pour réduire les risques d’accidents.
L’intelligence artificielle embarquée dans le « Copilot » ne se contente pas de simples avertissements sonores. L’appareil est également doté d’un système d’éclairage qui alerte les conducteurs de véhicules lorsqu’ils adoptent une conduite dangereuse à l’approche d’un cycliste. Cette fonctionnalité est particulièrement utile dans des environnements urbains densément peuplés.
Caractéristiques techniques
Lire la suite : https://hellobiz.fr/2024/06/05/cette-ia-sauve-la-vie-des-cyclistes-urbains-voici-comment/
Biométrie
Guinée : cette réforme du Général Doumbouya a permis d’encaisser 9 milliards par an qui échappaient à l’État
guinee360.com - PAR Amadou Dioulde Diallo
Publié le 3 juin 2024
Le recensement biométrique des fonctionnaires a permis de dénicher des fonds considérables qui échappaient à l’État guinéen.
Invité de l’AG Lafidi ce dimanche 02 juin 2024, l’ancien ministre du Travail et de la Fonction publique, Julien Yombouno, a révélé un gros montant que la pays perdait chaque année à travers la corruption.
Sous la clairvoyance du général Mamadi Doumbouya, Julien Yombouno dit avoir engagé des réformes audacieuses à la tête de ce département. Elles ont abouti notamment à l’organisation de ce concours d’accès à la fonction publique en cours et à débusquer une saignée financière importante.
“J’ai mis en place la plateforme concours, aujourd’hui, si tout le monde respecte cette plateforme, de l’inscription jusqu’à la délibération en principe tout va se passer dans la transparence. La biométrie qui a permis de gérer des fonds a eu un impact positif sur le concours qui se déroule aujourd’hui. Parce que si on avait pas libéré les places, il n’y aurait pas eu de recrutement. La biométrie a permis d’encaisser 9 milliards par an qui échappaient à l’État”, précise l’ancien ministre.
Concernant la lutte contre la corruption, M. Yombouno pense qu’il faut privilégier le respect de la loi. Selon lui, la lutte contre la corruption implique d’abord un combat personnel.
Lire la suite : https://www.guinee360.com/03/06/2024/guinee-cette-reforme-du-general-doumbouya-a-permis-dencaisser-9-milliards-par-an-qui-echappaient-a-letat/
Services publics
Les services publics au défi de l’IA générative ?
forbes.fr - Par Une contribution de Bernard Giry, CIO et Directeur général adjoint transformation numérique, Région Île-de-France et Laurent Daudet, Directeur général et cofondateur de LightOn.
Lourdeur bureaucratique, manque de réactivité, de transparence ou de cohérence, les services publics ont souvent été critiqués. Pourtant, depuis les années 90, ils n’ont cessé de se transformer avec les évolutions du numérique, les attentes des usagers et des priorités politiques, comme la collecte de l’impôt aujourd’hui numérisée. En quelques années, de nombreuses démarches en ligne ont permis une meilleure personnalisation de la relation avec les usagers et favorisent la collaboration entre les différentes administrations. Mais nous sommes aujourd’hui un peu au milieu du gué, et chacun ressent la nécessité d’une nouvelle phase de simplification, d’une relation plus fluide, plus intuitive entre les citoyens et l’administration.
Au moment où le gouvernement annonce une nouvelle phase de simplification (la presse en parlait déjà en 1976…), l’arrivée de l’IA Générative en 2023 nous a conduit, État, collectivités locales et entreprises, à nous interroger sur son pouvoir de transformation des services publics. L’IA générative n’est-elle qu’une lubie technologique de plus ou va-t-elle durablement transformer le fonctionnement même des services publics, leur offrant l’opportunité de revisiter leurs outils, leurs process et leurs métiers?
Une adoption de l’IA générative différente selon les services publics
Soucieux d’éviter de reproduire le “shadow IT” par du “shadow IA” avec un usage non contrôlé de ChatGPT, certains services interdisent à leurs agents l’utilisation d’IA, préférant se donner le temps de la réflexion. D’autres, en revanche, optent pour des expérimentations avec l’IA générative. Cette dernière démarche nous paraît utile pour inciter les agents à se saisir de cet outil, à mieux en comprendre le potentiel et ses limites, et à identifier les cas d’usage les plus adaptés aux services publics. On ne peut que saluer l’expérimentation lancée par le gouvernement auprès de 1 000 agents volontaires d’un outil utilisant l’IA générative pour les accompagner dans la rédaction des réponses en ligne aux avis et commentaires des usagers.
Lire la suite : https://www.forbes.fr/societe/les-services-publics-au-defi-de-lia-generative/
Intelligence artificielle
Journal de la défense-intelligence artificielle : les armées accélèrent-dimanche 16 juin à 19h30 inédit
lcp.fr - Communiqué
Publié le 7 juin 2024
Les avancées techniques récentes de l’intelligence artificielle l’ont propulsée au rang des technologies les plus stratégiques du XXIe siècle. Son utilisation de plus en plus massive dans les différents conflits confirme le sentiment d’urgence.
Pour y répondre, le ministère des Armées muscle son arsenal avec une nouvelle agence et des moyens plus importants. Au total, près de 2 milliards d’euros seront consacrés pour l’IA en matière de défense d’ici 2030. Avec une ambition, devenir la première puissance militaire de l’IA en Europe et dans le Top 3 mondial.
Réalisé par : Camille Brunier
Durée : 26' / Année : 2024
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L'humanité dans une course contre la montre, selon l'ONU
infos.rtl.lu AFP
Publié le 02 juin 2024
L'humanité est engagée dans une course contre la montre pour apprendre à exploiter l'intelligence artificielle dans l'intérêt général en évitant les risques terribles qu'elle comporte.
"Nous avons laissé le génie sortir de la bouteille", a déclaré Doreen Bogdan-Martin, directrice de l'Union internationale des télécommunications (UIT) des Nations unies.
"Nous sommes engagés dans une course contre la montre", a-t-elle déclaré lors de l'ouverture d'un sommet mondial de deux jours intitulé "AI for Good" (l'intelligence artificielle au service du bien) à Genève.
"Les développements récents en matière d'IA sont tout simplement extraordinaires", a-t-elle reconnu.
Les milliers de participants à la conférence ont appris que les progrès de l'IA générative accélèrent déjà les efforts visant à résoudre certains des problèmes les plus urgents de la planète, tels que le changement climatique, la faim et l'aide sociale.
"Je pense que nous avons l'occasion, comme il en survient une fois par génération, de mettre l'IA au service de tous les habitants de la planète", a déclaré Mme Bogdan-Martin dans un courriel envoyé à l'AFP avant le sommet.
Mais elle a déploré jeudi qu'un tiers de l'humanité reste encore complètement déconnecté et soit "exclu de la révolution de l'IA sans pouvoir s'exprimer".
Une puissance concentrée
Mme Bogdan-Martin a souligné que l'IA recèle "un immense potentiel, tant pour le bien que pour le mal", et qu'il est essentiel de "sécuriser les systèmes d'IA".
Lire la suite : https://infos.rtl.lu/actu/monde/a/2201006.html
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IA avancée : des collaborateurs d’OpenAI lancent une nouvelle alerte
silicon.fr - Par la Rédaction
Publié le 6 juin 2024
Des anciens et actuels collaborateurs d’OpenAI alertent, dans une lettre ouverte, sur les « risques sérieux » posés par les technologies d’IA et demandent un droit d’alerte sur l’intelligence artificielle avancée.
La lettre ouverte est titrée » A Right to Warn about Advanced Artificial Intelligence ».
Ses signataires ? 11 anciens et actuels salariés d’OpenAI et 2 de Google DeepMind mettent en garde contre le manque de mesures de protection, de surveillance de la sécurité et contre le risque que ces mesures soient utilisées à des fins de « manipulation et de désinformation ».
A noter que 6 signataires d’OpenAI ( sur 11) se présentant comme actuellement en poste ne dévoilent pas leur identité.
La lettre est approuvée par d’éminents experts en IA : les professeurs Yoshua Bengio, Stuart Russell et le Dr Geoffrey Hinton.
IA avancée : du potentiel et des dangers
Elle reconnaît le « potentiel de la technologie de l’IA à apporter des avantages sans précédent à l’humanité », mais souligne également les « risques sérieux posés par ces technologies ».
Ces risques vont du renforcement des inégalités existantes à la manipulation et à la désinformation, en passant par la perte de contrôle des systèmes d’IA autonomes pouvant entraîner l’extinction de l’humanité.
https://www.silicon.fr/ia-avancee-collaborateurs-openai-lancent-une-nouvelle-alerte-479277.html
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"L'AI Act ne doit pas être un nouveau RGPD", d'après le Général Perrot, coordinateur IA à la gendarmerie nationale
Usine-digitale.fr - Par Alice Vitard
Publié le 03 juin 2024
Dans le cadre de sa stratégie "CapIA", élaborée il y a trois ans, la gendarmerie nationale s'est donné comme objectif de développer puis d'utiliser des systèmes d'intelligence artificielle opérationnels mais également éthiques. Formation, acculturation, partenariats académiques, réglementations... sont au rendez-vous. A l'occasion de l'événement Cyber Show Paris, L'Usine Digitale a pu échanger avec le Général Perrot, coordinateur de l'IA pour la gendarmerie nationale et conseiller IA au commandement de la gendarmerie dans le cyberspace.
L'Usine Digitale : La gendarmerie nationale a présenté il y a trois ans sa feuille de route, baptisée "CapIA", sur l'intelligence artificielle. Que pouvez-vous nous en dire ?
Le Général Perrot : Il s'agit d'une stratégie construite autour de quatre piliers. Le premier pilier concerne l'acculturation et la formation. Tout d'abord, nous avons une revue d'acculturation "Cultur'IA" publiée tous les deux mois. Ont également été mises en place des formations courtes au profil des gendarmes et des dirigeants. Par ailleurs, la chaire "IA et sécurité" avec l'Institut supérieur d'électronique de Paris a été créée pour mettre l'IA dans le champ de la sécurité à un haut niveau d'expertise.
Le deuxième pilier touche à tout ce qui relève de l'éthique et de la réglementation. Il y a trois ans, nous avons publié une charte éthique. Nous avons aussi travaillé sur l'AI Act en veillant à ce qu'il n'y ait pas d'asymétrie entre les possibilités criminelles et les capacités des forces de sécurité intérieure. C'est un enjeu déterminant : si nous voulons être capables de faire face à la sophistication technologique de la criminalité et l'accessibilité à des outils extrêmement sophistiqués, il faut qu'on ait les moyens de les contrer. Ce que permet l'IA.
Lire la suite (réservé aux abonnés du Club Data Protection) : https://www.usine-digitale.fr/article/l-ai-act-ne-doit-pas-etre-un-nouveau-rgpd-d-apres-le-general-perrot-coordinateur-ia-a-la-gendarmerie-nationale.N2213765
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Cybercriminalité, recours à l’IA… la Caf 31 renforce ses moyens de lutte contre la fraude et le non-recours
gazette-du-midi.fr - Par Margaux Thokagevistk
Publié le 6 juin 2024
Prestations sociales. L’an dernier, grâce à ses contrôles, la Caf de la Haute-Garonne a détecté 32,7 M€ d’indus et 8,3 M€ de fraudes. Au delà de ces chiffres, son président Jean-Charles Piteau a surtout annoncé des changements majeurs à venir à commencer par la fin du système déclaratif pour les bénéficiaires du RSA et de la Prime d’activité. Mise en place attendue : mars 2025.
2,3 Mds€. C’est le montant des aides versées en 2023 par la Caf de la Haute-Garonne pour répondre aux besoins des 352 086 allocataires que compte le département. C’est 5 % de plus par rapport à 2022. Dans le détail, plus de 2 Mds€ ont été distribués au titre des prestations légales : aides à la famille (418 M€), à la petite enfance (238 M€), au logement et à l’habitat (443 M€), aux personnes en difficultés (965 M€). Et 228 M€ au titre de l’action sociale (accueil du jeune enfant, accompagnement social des familles, etc.).
Et parce qu’aujourd’hui encore la Caf fonctionne sur un système déclaratif où les allocataires doivent déclarer tous les trois mois leurs ressources et indiquer tous changements de situation, la branche familiale de la Sécurité Sociale doit s’assurer que chaque versement de ces fonds publics correspond bien aux droits des bénéficiaires. Pour garantir le versement des prestations au juste droit, la caisse d’allocation a renforcé en 2023 sa politique en matière de prévention, de lutte contre la fraude et le non-recours.
Quatre fois plus de fraudes détectées par rapport à 2012
Lire la suite : https://gazette-du-midi.fr/au-sommaire/collectivites/cybercriminalite-recours-a-l-ia-la-caf-31-renforce-ses-moyens-de-lutte-contre
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Réduire les risques cyber grâce à un signal clair et intégré
journaldunet.com - Chronique de Claire Loffler Vectra AI
En 2024, les cyberattaques se concentrent sur les environnements hybrides. Une approche de sécurité plus intelligente et intégrée est essentielle pour améliorer la détection et la réponse aux menaces.
En 2024, les cyberattaques se concentrent de plus en plus sur les environnements hybrides, ciblant les entreprises qui ont une partie de leur infrastructure dans le cloud tout en gardant une partie on-premises (cette dualité générant plus de la complexité pour les équipes sécurité et davantage d’opportunités pour les attaquants).
On observe également une augmentation des attaques dirigées contre les identités, qui utilisent l'ingénierie sociale et les vulnérabilités de type « zero-day » pour initier des mouvements latéraux au sein du réseau de l'entreprise. Les méthodes actuelles de détection et de réponse aux attaques hybrides sont défaillantes, mais contrairement à la tendance actuelle, l'ajout d'outils supplémentaires remontant encore plus d'alertes n'est pas la solution. Ce qu'il faut, c'est une nouvelle approche de la sécurité, qui permette de réagir rapidement et efficacement aux menaces.
Trop d'alertes de sécurité
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Recrudescence des cyberattaques : où en est la cybersécurité en France ?
usbeketrica.com - BPI France
Publié le 5 juin 2024
212 : c’est le nombre de startups et scale-ups que compte la nation tricolore, rapportait au dernier VivaTech le radar des startups cybersécurité françaises 2024 de Bpifrance et Wavestone, présents pour valoriser la richesse de la deeptech française. Cette effervescence de l’innovation, et en particulier de la cybersécurité est bienvenue en regard de la recrudescence des cyberattaques.
Encore simple « sujet de geeks et de spécialistes qui parlaient à des spécialistes il y a encore 10 ans » d’après Sébastien Montusclat, responsable sectoriel Innovation au sein de Bpifrance, la cybersécurité s’est imposée comme un sujet central pour bien des entreprises. « Il a connu une évolution très importante avec la forte digitalisation de l’économie à partir de 2020 ». Puis la pandémie a marqué une rupture : « Certes, la période a été propice à une digitalisation accélérée, mais aussi à un surcroît de cyberattaques ».
Une menace accrue
Signe des temps : le nombre de cyberattaques par rançongiciels traitées par l’ANSSI (agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) a été multiplié par 4 pendant la période
. Depuis, une course effrénée pour s’en protéger a démarré pour « l’ensemble des acteurs sociaux et économiques – entreprises, institutions, collectivités et particuliers ».
Et en effet, quelques recherches sur Internet nous racontent que pas une semaine ne passe sans la survenue d’une cyberattaque d’envergure. Il y a quelques jours, les données de l’aéroport et de l’école de commerce de Pau ont été publiées par des hackers, rapporte Numerama. L’agglomération de Saint-Nazaire déclare, elle, sur les ondes de France Bleu se relever avec peine d’une récente attaque, quand la banque néerlandaise ABN Amro dévoile avoir été la cible d’un rançongiciel. En France, l’ANSSI a récemment alerté d’une hausse de 30 % des attaques. Les TPE, PME et ETI seraient les plus touchées ; les collectivités territoriales et établissements de santé suivent de peu avec les entreprises stratégiques. C’est dire combien le sujet est brûlant.
Un écosystème dynamique…
Lire la suite : https://usbeketrica.com/fr/article/recrudescence-des-cyberattaques-ou-en-est-la-cybersecurite-en-france
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Cybersécurité : les QR codes dans le viseur des cybercriminels
journaldunet.com - Chronique de Fabrice de Vésian
Chronique de Fabrice De Vésian
Le quishing est une méthode largement utilisée en raison de son coût relativement bas et de son taux de réussite élevé.
Selon le dernier rapport publié par l'ANSSI, les attaques par phishing ont été les plus importantes en 2023 en France, avec notamment des évolutions notables vers le quishing. Cette forme de phishing exploitée par les attaquants par le biais de QR codes a pour but de tromper les utilisateurs et de les amener à divulguer des informations sensibles, ou bien à installer des logiciels malveillants ; une méthode largement utilisée en raison de son coût relativement bas et de son taux de réussite élevé.
L’emploi des QR codes dans l’authentification
Avec l’authentification par QR code, les utilisateurs le présentent sur un téléphone ou un badge imprimé, notamment dans les entreprises. Si on se base sur un modèle d’authentification multi-facteur, avec un facteur de possession que l’on a, un facteur de connaissance que l’on connaît et enfin un facteur biométrique que l’on est, les QR codes ne répondent qu’à l’exigence du facteur de possession. Ils devraient donc être associés à une vérification biométrique ou bien à un code PIN pour répondre à deux facteurs sur les trois requis pour un niveau de sécurité élevé. Toutefois, une organisation doit réfléchir à la manière dont elle stockera ce code PIN ou cette preuve biométrique. L'objectif d'un modèle sans mot de passe est en partie d'éviter de conserver de nombreux éléments partagés différents liés aux comptes d'utilisateurs. Or, le stockage du code PIN ou de la preuve biométrique en conjonction avec les données encodées dans le QR code va à l'encontre de ce modèle.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1530663-cybersecurite-les-qr-codes-dans-le-viseur-des-cybercriminels/
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Les RSSI peinent à échanger correctement sur les enjeux de cybersécurité avec leur direction
itsocial.fr - Par Serge Escalé
Publié le 04 juin 2024
Les responsables sécurité doivent clarifier leur communication avec la direction et le conseil d’administration et hiérarchiser les risques réels. En France, 62 % des RSSI interrogés disent avoir rencontré des difficultés à démontrer l’impact chiffré de leur stratégie de cybersécurité.
Comme leurs collègues de la DSI, plus de la moitié des RSSI qui sont garants de la sécurité numérique de leur organisation, « peinent à communiquer sur cet enjeu dans un langage compréhensible de leur conseil d’administration » d’après Bharat Mistry, Directeur technique de Trend Micro. La dernière étude internationale de cet acteur de la cybersécurité, portant sur 2600 RSSI, livre quelques enseignements intéressants.
Indicateur édifiant de l’écart de perception entre les équipes de sécurité et la direction, selon 80 % des répondants, le conseil d'administration ne serait incité à agir que si une attaque réussie dépasse un seuil de perte financière de 165.000 €. Même si ce résultat d’enquête doit être pondéré, il témoigne du chemin qui reste à parcourir pour situer l’impact des attaques et aligner les stratégies de ces deux parties.
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LexisNexis Risk Solutions révèle une augmentation annuelle de 19 % du taux mondial d'attaques numériques réalisées manuellement, selon leur rapport sur la cybercriminalité
prnewswire.com - Nouvelles fournies par LexisNexis Risk Solutions
Publié le 5 juin 2024
ATLANTA, le 5 juin 2024 /PRNewswire/ – LexisNexis® Risk Solutions a publié aujourd'hui les résultats de son rapport annuel sur la cybercriminalité, une analyse des données de 92 milliards de transactions traitées par son réseau d'identités numériques LexisNexis® Digital Identity Network® en 2023.Le rapport intitulé Confidence Amid Chaos (la confiance dans le chaos) révèle une augmentation de 19 % du taux mondial d'attaques numériques réalisées manuellement par rapport à l'année précédente. L'expansion des activités des cybercriminels se reflète dans l'augmentation du taux d'attaque, en particulier dans le commerce électronique et en Amérique du Nord.
L'Identity Abuse Index de LexisNexis®, qui note le pourcentage d'attaques par jour, montre que les taux d'attaques ont augmenté au début et à la fin de l'année 2023. Le fait que le taux d'attaque de l'Amérique du Nord ait rejoint, puis dépassé, celui de l'Amérique latine au cours de l'année a été un facteur important.
5G
Le déploiement de la 5G au 1er juin
generation-nt.com - Par Jérôme G.
Publié le 8 juin 2024
L'Agence nationale des fréquences (ANFR) a mis à jour son observatoire pour les déploiements des réseaux mobiles en France.
Au 1er juin 2024, 46 070 sites 5G sont autorisés par l'ANFR en France métropolitaine (+1,3 % par rapport au 1er mai 2024), dont 37 263 sites - 81 % - qui sont déclarés techniquement opérationnels par les opérateurs. Les sites techniquement opérationnels sont des sites allumés, sans être nécessairement ouverts commercialement.
Pour fournir un service 5G, 24 452 sites (+2,5 %) sont autorisés dans la bande 700 MHz (Free Mobile), dont 19 455 sont techniquement opérationnels, 20 025 sites (+1,8 %) dans la bande 2,1 GHz (Bouygues Telecom, Orange et SFR) avec 14 612 sites déclarés techniquement opérationnels.
Dans la bande 3,5 GHz, 29 952 sites sont autorisés (+2,4 % ; Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR), dont 23 205 sites techniquement opérationnels. En soulignant que pour l'ensemble des chiffres, certains sites sont mutualisés.
Pour cette bande cœur 5G avec des débits supérieurs, ce sont 9 884 sites allumés pour Orange (+118 sites en mai), 8 222 sites allumés pour SFR (+151), 8 803 sites allumés pour Bouygues Telecom (+145) et 6 297 sites allumés pour Free Mobile (+201).
Lire la suite : https://www.generation-nt.com/actualites/5g-deploiement-orange-free-sfr-bouygues-2047697
Blockchain
Crypto : Quand la blockchain rejoint l’arsenal de l’US Navy
journalducoin.com - Par Ben Canton
Publié le 4 juin 2024
Les points clés de cet article :
P.A.R.A.N.O.I.D. L’US Navy a clairement le sens de la formule et le nom du tout nouveau système de sécurisation des logiciels sensibles est plutôt bien trouvé. Le PARANOID pour Powerful Authentication Regime Applicable to Naval Operational Flight Program Integrated Development vise à protéger le développement et le déploiement de l’ensemble des softwares utilisés par la marine américaine grâce à la technologie blockchain. Lancée au 18ème siècle pour protéger les convois transatlantiques victimes des pirates, l’US Navy est depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale la première force aéronavale du monde et cette institution vient donc de rajouter une nouvelle arme défensive à son arsenal technologique. Direction le Pentagone à Washington pour faire le point sur cette information.
La marine américaine recherche des partenaires pour faire progresser PARANOID
Voilà une application concrète de la blockchain qui sort un peu du contexte de la cryptomonnaie spéculative et qui nous plonge dans la proposition de valeur originelle de cette nouvelle technologie : la sécurité sans tiers de confiance. La division aéronautique du Naval Air Warfare Center est l’entité recherche & développement de la marine américaine et plus particulièrement pour tout ce qui concerne l’aspect aérien de ses activités. Basées à Lakehurst dans le New Jersey, ses équipes ont développé ces derniers mois un tout nouveau système pour sécuriser les logiciels avioniques appelé PARANOID.
Lire la suite : https://journalducoin.com/analyses/crypto-quand-lblockchain-rejoint-arsenal-us-navy/
Désinformation
Les organisateurs de Jeux olympiques de Paris 2024 ont alerté par communiqué de la diffusion de fausses informations sur les restrictions de circulation pendant les JO.
lefigaro.fr - Par A.J.
Publié le 7 juin 2024
Dans un communiqué, les organisateurs des Jeux olympiques de Paris 2024, qui viennent d’installer les anneaux olympiques sur la Tour Eiffel, ont alerté qu’«un message présenté comme émanant de Paris 2024 et contenant des fausses informations sur les restrictions de circulation pendant les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 a circulé via des canaux de messagerie privée et sur les réseaux sociaux.»
Affirmant que «Paris 2024 n'est pas à l'origine des contenus qui sont diffusés, et dénonce avec force cette usurpation».
Paris 2024 rappelant que les seules sources officielles concernant les transports durant les jeux sont le site de la Préfecture de Paris ainsi que le site anticiperlesjeux.gouv.fr.
Cybersécurité
Cybercriminalité : Orange lance une offre protection pour smartphones, tablettes et ordinateurs dans l'esprit de Waze
20minutes.fr - Par Christophe Séfrin
Publié le 4 juin 2024
Orange lance ce jeudi 6 juin son Pack Cybersecure pour protéger toute la famille des mails et SMS frauduleux.
«Pour recevoir votre nouvelle carte Vitale, merci de mettre à jour vos données personnelles ». « Vous n’avez toujours pas payé votre contravention et restez redevable de la somme de 35 euros. Cliquez sur le lien ci-dessous »… Alerte rouge ! Pas une semaine, désormais, sans que l’on reçoive ce type de mail ou de SMS. Dès le 6 juin, Orange appuie sur le bouton « STOP » avec son Pack Cybersecure dont 20 Minutes vous dévoile les détails.
La fin des messages suspects
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/high-tech/4094441-20240604-cybercriminalite-orange-lance-offre-protection-smartphones-tablettes-ordinateurs-esprit-waze
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Trend Micro s'appuie sur les outils logiciels de Nvidia pour proposer une offre de cybersécurité basée sur l'IA
boursorama.com - information fournie par Reuters - Traduction par Stephen Nellis
Publié le 2 juin 2024
Trend Micro s'appuie sur les outils logiciels de Nvidia pour proposer une offre de cybersécurité basée sur l'IA
Trend Micro 4704.T a déclaré dimanche qu'il travaillait avec Nvidia NVDA.O pour créer de nouveaux outils de cybersécurité qui utilisent l'intelligence artificielle et sont conçus pour protéger les centres de données où se fait le travail d'intelligence artificielle.
Ces outils, que Trend Micro a prévu de présenter lors de la conférence Computex qui se tient à Taïwan à partir de dimanche, pourront fonctionner sur les puces de Nvidia et sont conçus pour détecter les intrus et s'assurer que les données ne sont vues que par les personnes autorisées à les utiliser.
De nombreuses entreprises forment des systèmes d'IA pour aider leurs employés à accomplir des tâches telles que répondre à des questions sur les ressources humaines ou aider les agents du service clientèle. Mais pour ce faire, les entreprises rassemblent souvent des données provenant de l'ensemble de leurs activités en un seul endroit, ce qui fait du système une cible attrayante pour les pirates informatiques.
"Ils se frayent un chemin dans l'entreprise et trouvent cet énorme pot de miel d'informations", a déclaré à Reuters Kevin Simzer, directeur de l'exploitation de Trend Micro.
Atos
Atos lance Virtual Infrastructure Proficiency (VIP) Advisory
atos.net - Communiqué
Publié le 5 juin 2024
Cette offre de services inédite sur le marché accompagne les entreprises dans la conception de leur future infrastructure virtuelle
Atos annonce aujourd’hui le lancement d’Atos Virtual Infrastructure Proficiency (VIP) Advisory. Cette nouvelle offre de conseil technologique vise à aider les entreprises dans l’audit de leur infrastructure virtuelle et leur feuille de route pour le futur.
Cette offre permet aux clients d’optimiser les coûts et de sécuriser leur infrastructure virtuelle, qu’ils conservent leur solution actuelle, la maintiennent sur site ou migrent vers un nouveau fournisseur de cloud. Elle les aide également à suivre de nouvelles tendances technologiques et tenir leurs engagements de développement durable. L’offre est disponible en Europe centrale, au Benelux, en France, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Le secteur de la virtualisation d’infrastructure évolue rapidement et de nombreux clients sont à la recherche d’options pour mener à bien leurs projets de migration et de modernisation informatique de grande envergure et sélectionner les fournisseurs à même de soutenir la meilleure approche. Comme il n’existe pas de réponse unique à la virtualisation des machines, des serveurs, du stockage et des réseaux, Atos VIP Advisory permet aux entreprises d’évaluer de nombreuses alternatives technologiques.
Atos aide ses clients à préciser les différentes options possibles pour identifier le périmètre sur lequel se focaliser, qu’il s’agisse de charges de travail en production, de planification de nouveaux projets ou de futures architectures. Ils peuvent également adopter de nouvelles tendances technologiques telles que la conteneurisation qui repousse les limites de la virtualisation traditionnelle pour une meilleure utilisation des ressources, plus d’agilité, de portabilité et d’évolutivité des applications.
Lire la suite : https://atos.net/fr/2024/communiques-de-presse_2024_06_05/atos-lance-virtual-infrastructure-proficiency-vip-advisory
Thales
PT Len et Thales annoncent la création d’une joint-venture pour renforcer la défense indonésienne
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 3 juin 2024
Deux ans après le lancement de DEFEND ID, PT Len Industri (Persero) et Thales sont fiers de marquer une étape importante le 30 mai 2024, en officialisant la fondation de leur joint-venture, en présence du Vice-ministre des Entreprises d’Etats (BUMN), M. Kartika Wirjoatmodjo, Pascale Sourisse, Présidente-directrice générale, Thales International et Fabien Penone, Ambassadeur de France en Indonésie. L’accord a été signé à Jakarta par M. Bobby Rasyidin, Président-directeur de PT Len Industri (Persero) Holding DEFEND ID et par Nicolas Bouverot, Vice-président Thales Asia.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/pt-len-et-thales-annoncent-creation-dune-joint-venture
Mobilité
La Bretagne gagne le Grand Prix des Régions 2024
ville-rail-transports.com - Par Patrick Laval
Publié le 30 mai 2024
Nos Grands Prix des Régions salue régulièrement la Bretagne pour la qualité de service de ses TER, facilitée, il est vrai, par une situation géographique péninsulaire qui limite les interactions avec les régions voisines, ainsi que les répercussions des éventuels incidents. Cette année, nous lui décernons le Grand Prix pour l’ensemble de ses actions et ses projets de longue haleine, même au-delà des mises en service de nouvelles infrastructures comme la LGV BPL ou la gare de Rennes.
La région a ainsi renouvelé en décembre dernier sa convention TGV pour dix ans avec la SNCF (la convention actuelle courait jusqu’en 2027) de telle sorte d’aligner ses TER et ses TGV pour mieux assurer leur complémentarité et participer au maillage du territoire. Cette convention, qui représente un montant de 15 millions d’euros par an, permet aux 23 000 abonnés du TER BreizhGo de monter à bord des TGV Inoui et des Ouigo sur les axes Rennes – Brest, Rennes – Quimper et Rennes – Saint-Malo pour leurs déplacements.
Pratiquée au quotidien sur les réseaux ferrés des pays voisins, une autre innovation a fait ses débuts en France dans une gare de Bretagne : le dispositif 2TMV, pour « 2 trains sur la même voie », qui permet d’automatiser et de fluidifier la réception de deux trains sur la même voie à quai. Ce dispositif permettra en effet de mieux exploiter le potentiel offert par la gare de Rennes, qui frôlait auparavant la saturation en heure de pointe. Une saturation qui aurait été incompatible avec l’augmentation de l’offre prévue qu’entraînera à terme la mise en œuvre du service express régional métropolitain (SERM) breton.
Lire la suite : https://www.ville-rail-transports.com/ferroviaire/la-bretagne-gagne-le-grand-prix-des-regions-2024/
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Les mobilités Inno’v
ecologie.gouv.fr - Communiqué
Publié le 1 juin 2024
À l’occasion des jeux olympiques et paralympiques 2024, le ministère des Transports organise des évènements dans plusieurs régions pour valoriser l’innovation dans les transports et les mobilités françaises. Les rendez-vous Les Mobilités innov' sont un ensemble d’évènements où vous pourrez découvrir comment les mobilités se transforment grâce aux innovateurs, pour répondre aux grands enjeux sociétaux de la décarbonation, de la préservation de l’environnement, de l’inclusivité et de l’accessibilité des transports et de la transformation numérique.
Le projet Les Mobilités innov’ propose sur l’ensemble du territoire métropolitain des lieux et des moments d’échange entre les innovateurs du secteur des mobilités et le public. Des démonstrations de solutions innovantes seront organisées au sein ou à proximité de plusieurs villes olympiques parmi lesquelles Bordeaux, Châteauroux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes ou encore en Région Île-de-France. Un large échantillon du savoir-faire français en matière d’innovation dans les mobilités sera ainsi représenté à travers des événements pédagogiques, ludiques, et interactifs mêlant professionnels, initiés et grand public.
Le programme
Lire la suite : https://www.ecologie.gouv.fr/mobilites-innov
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Enjeux et nouveautés des mobilités
revueconflits.com - par Bruno Monica
Publié le 30 mai 2024
La nouvelle livraison de La Documentation photographique propose une analyse des mobilités actuelles, tant dans les pays d’Europe qu’à travers le monde. Migrations mais aussi déplacements urbains permettent d’ouvrir de nouveaux champs à la géographie.
Si les professeurs du second degré « d’un certain âge » étaient de fervents lecteurs de l’édition papier de « la doc photo », il faut espérer que cette saine tradition perdure le plus longtemps possible. La reprise déjà ancienne de ce titre par les éditions du CNRS a évidemment soulagé les utilisateurs de ce support, jusqu’à présent irremplaçable.
La Documentation photographique vaut très largement en effet les séances de formation, de plus en plus rares d’ailleurs, des missions académiques. Mais encore faut-il faire l’effort d’une mise à jour permanente, une fois l’objectif du concours atteint.
La géographie a introduit le concept de mobilité, au pluriel également, pour désigner les changements de lieu accomplis par plusieurs personnes, avec différents moyens. Les mobilités s’inscrivent ainsi dans un système, qui rassemble donc des conditions géographiques, des moyens technologiques, et des acteurs.
La mise au point scientifique qui précède les différents thèmes définit la mobilité, mais également tout ce qui la rend possible, au niveau technique, mais également en termes de ressources, y compris financières. Les mobilités marquent les territoires de leurs empreintes, plus ou moins heureuses, et elles sont en interdépendance avec leur environnement.
Lire la suite : https://www.revueconflits.com/enjeux-et-nouveautes-des-mobilites/
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Avec XMobility, Le Mans veut catalyser les innovations pour la mobilité du futur
usine-digitale.fr - Maureen Le Mao
Publié le 28 mai 2024
Avec ce hub dédié aux innovations pour le secteur des nouvelles mobilités, Le Mans veut s’affirmer sur la scène internationale.
C’est face au célèbre des circuits des 24 heures du Mans que s’installera en novembre prochain XMobility. Ce projet est présenté comme un hub avec des ambitions internationales dont l’objectif sera de "catalyser les innovations dans le secteur de la mobilité", sur un spectre assez large : nouveaux véhicules et motorisations, infrastructures dédiées, le volet "énergie", mobilité virtuelle…
Né de l’association Le Mans Tech, XMobility Le Mans est aujourd’hui porté par une société à part entière dont les actionnaires sont l’Automobile club de l’Ouest, notamment organisateur des 24 heures du Mans, le groupe de transport Ed Trans et Idec Invest Innovation, fond du groupe Idec.
Accélérer l’innovation de manière concrète
Concrètement, XMobility prendra place sur 4 200 m2 sur l’ex friche industrielle de Philips. Le site, qui va mobiliser près de 400 000 euros d’aménagement, comprendra une usine partagée et équipée de 800 m2, 30 ateliers privatifs sécurisés de 50 à 700 m2, une zone "workshop" de 600 m2 avec notamment une matériauthèque, des laboratoires, des ateliers dédiés à l’électronique, la mécanique mais aussi un espace de conférences et de co-working.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/avec-xmobility-le-mans-veut-catalyser-les-innovations-pour-la-mobilite-du-futur.N2213519
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Transports en commun. Bus, tram, train, au Mans, un ticket unique pour parcourir jusqu'à 250 km
france3-regions.francetvinfo.fr - Par Céline Dupeurat et Carla Butting
Publié le 26 mai 2024
L'annonce a suscité la curiosité des usagers des transports en commun. La région des Pays de la Loire a été sélectionnée, avec la Normandie et le Centre-Val-de-Loire, pour expérimenter un billet unique pour tous les modes de transport. Mais ce billet pourrait-il vraiment favoriser l'utilisation des transports en commun ?
Entre un trajet en bus et un autre en train, plus besoin d’attendre devant les bornes d’achat. Dès la fin de l’année, il sera possible de parcourir jusqu’à 250 km en bus, en tram ou en TER avec un seul billet.
Un ticket unique, acheté sur mobile, et valable seulement à Caen, au Mans, ou encore à Tours. Les trois villes s'étaient portées volontaires pour cette première phase d'expérimentation.
Simplifier le parcours des usagers
L’objectif, c'est de simplifier le parcours des usagers, de rendre plus facile l'utilisation des transports en commun.
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Et s’il n’y avait plus qu’un seul titre unique de transport pour circuler partout en France ?
partir.ouest.france.fr - Par Michel
Publié le 26 mai 2024
Même si on n’en a que peu entendu parler, voici un projet à l’étude depuis déjà un certain temps qui vient en outre de connaitre une certaine accélération ces dernières semaines. L’idée que pour tous les trains, bus, RER ou métros de France il n’y ait plus un jour qu’un seul titre de transport unique pour tous ces moyens de locomotion partout dans le pays.
Partout et pour tout en France
Appelé « Titre unique de transport national », ce projet vient en effet de bénéficier d’un accord et d’une convention de partenariat entre l’État, les Régions de France et ce que l’on appelle le Groupement des Autorités Responsables de Transport (GART) qui est une association agissant dans le domaine des transports publics. Ceci dans l’idée de lancer une première expérimentation sur quelques territoires d’ici la fin 2024 avant un déploiement ensuite à l’échelle nationale. Avec même en plus d’autres modes de locomotion pris en compte dans la formule comme la location de vélos, trottinettes ou encore le covoiturage.
Lire la suite : https://partir.ouest-france.fr/magazine/e-t-sil-ny-avait-plus-quun-seul-titre-unique-de-transport-pour-circuler-en-france/
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À Montpellier, les « RER métropolitains » sur de bons rails
www.humanite.fr - Par Naïm Sakhi - Montpellier (Hérault), envoyé spécial.
Publié le 27 mai 2025
De la route au rail, la métropole héraultaise met un coup d’accélérateur au développement des alternatives à la voiture, en faveur notamment des zones rurales et périurbaines. Un projet d’envergure pour répondre au projet national de services express régionaux métropolitains.
C’était une promesse élyséenne. « Pour tenir notre ambition écologique, je veux qu’on se dote d’une grande ambition nationale : développer un réseau de RER, un réseau de trains urbains dans dix métropoles ! » clamait Emmanuel Macron le 27 novembre 2022. Un projet de loi plus tard, promulgué fin 2023, le big bang promis par le chef de l’État précise ses contours.
Exit le seul rail, le terme « RER » pouvant induire en erreur. Les treize métropoles retenues d’ici à la fin de l’année 2023 devront bâtir des projets de services express régionaux métropolitains (Serm) alliant différents modes de transport. En Occitanie, la métropole de Montpellier (Hérault) affine les cartes de ses futures lignes, tandis que les autres métropoles candidates devront se faire connaître fin juin.
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SNCF : Bonne nouvelle, la carte d’identité numérique désormais acceptée pour les contrôles
20minutes.fr - M.Co.
Publié le 31 mai 2024
Attention, il faut que ce soit celle de l’application France Identité, et pas la photo que vous avez faite avec votre téléphone
Cela devrait faciliter la vie des voyageurs – et probablement des contrôleurs. La carte d’identité numérique est désormais acceptée si vous êtes contrôlés à bord d’un train, a annoncé Alain Krakovitch, le directeur de TGV-Intercités, dans un post sur X repéré par Les Numériques.
Le responsable à la SNCF rappelle que lors d’un contrôle, le voyageur doit présenter un « titre de transport validé ou un smartphone s’il s’agit d’un billet électronique », ainsi que des « justificatifs de réduction » si nécessaire, et enfin une pièce d’identité.
Attention, comme le souligne Alain Krakovitch, les photocopies, les scans et les photos de votre passeport ou de votre carte d’identité ne sont pas acceptés, « car falsifiables ».
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/societe/4094017-20240531-sncf-bonne-nouvelle-carte-identite-numerique-desormais-acceptee-controles
Sécurité
États-Unis: des collégiens doivent porter des sacs à dos transparents pour détecter les armes à feu
bfmtv.com - Par Benoît Ballet
Publié le 31 mai 2024
Alors que les fusillades dans les établissements scolaires américains sont un fléau national, certains collèges ont distribué des sacs à dos transparents et mis en place d'autres mesures de sécurité.
Benoit Ballet
ven. 31 mai 2024
"C'est pour notre sécurité." Les collégiens de North Drochester à Cambridge, dans le Maryland, s'y sont faits: depuis la rentrée, l'établissement leur a fourni des sacs à dos transparents pour permettre d'identifier d'éventuelles armes à feu, à l'origine d'un incident tous les quatre jours dans les écoles américaines en 2023.
"Si quelqu'un apporte un pistolet, on le verra facilement et on l'arrêtera", s'est rassurée au micro de BFMTV Addeline, une jeune collégienne.
Même constat pour sa camarade Reagan: "C'est pour notre sécurité qu'ils sont transparents, pour qu'on puisse voir si quelqu'un a une arme ou quoi que ce soit d'autre."
D'autres innovations
Sécurité civile
Plusieurs propositions intéressantes du Sénat pour renforcer la protection civile
maire-info.com - Par Franck Lemarc
Édition du mercredi 29 mai 2024
Le groupe de travail sénatorial conduit par Françoise Dumont sur la sécurité civile a rendu son rapport hier, avec à la clé un certain nombre de préconisations pour faire face aux défis à venir.
« Pas de grand soir de la sécurité civile » au menu des recommandations de la mission sénatoriale, mais une série de recommandations pour « préserver le modèle français » et « réfléchir aux adaptations nécessaires pour faire face aux défis » . Après les terribles incendies qui ont frappé la Gironde en 2022 et face aux difficultés annoncées par le réchauffement climatique, les sénateurs LR ont souhaité faire le point sur l’état de la sécurité civile en France et proposer des pistes pour la renforcer et la moderniser.
Ministère délégué
Les rapporteurs posent pour commencer le problème du pilotage de la sécurité civile en France, assurée aujourd’hui par la DGSSCGC (Direction générale de la sécurité civile et de la gestion de crise), sous tutelle du ministère de l’Intérieur. Selon ces sénateurs, les « spécificités » de la sécurité civile sont telles qu’elle « ne peut se confondre avec les autres services régaliens » du ministère de l’Intérieur. Ils prônent donc, à l’instar de ce qui se fait dans plusieurs pays d’Europe, la création d’un ministère délégué à la protection civile, toujours placé néanmoins sous la tutelle du ministre de l’Intérieur, mais capable d’assurer « un portage politique centré sur ces problématiques ».
Lire la suite : https://www.maire-info.com/securite-civile/plusieurs-propositions-interessantes-du-senat-pour-renforcer-la-protection-civile-article-28648
Intelligence artificielle
Rififi sur un avenir de Mistral qui traverserait l'Atlantique
Publié le 29 mai 2024
Dans une interview à CNBC TV, le Président Emmanuel Macron a exprimé des réserves sur un potentiel rachat de MISTRAL par Microsoft, partenaire et investisseur minoritaire de l'entreprise. Sans opposer de refus catégorique, il a indiqué que cette acquisition « ne serait pas forcément une bonne nouvelle », préférant que Mistral reste indépendante et se développe seule. Macron a souligné que les fusions-acquisitions, bien que courantes, peuvent nuire à l'innovation en absorbant des entreprises prometteuses pour éliminer la concurrence. Ces propos font écho à ceux de Bruno Le Maire, qui a évoqué le départ potentiel de Mistral de France sans modifications des politiques économiques en Europe, et au PDG de Mistral, Arthur Mensch, qui a laissé entendre cette possibilité au Sénat.
L'IA européenne un chantier mal coordonné
La Cour des Comptes Européenne pointe un manque de coordination entre les états membres qui explique la peine à développer un écosystème d'intelligence artificielle (IA) capable de rivaliser avec les leaders mondiaux, malgré les mesures prises depuis 2018 pour renforcer la réglementation, les infrastructures, la recherche et l'investissement.
Entre 2018 et 2020, l'écart de financement en IA entre les États-Unis et l'UE a plus que doublé, avec un retard de plus de 10 milliards d'euros pour l'Europe, soulignant la nécessité d'investissements publics et privés plus importants et mieux ciblés. Face aux États-Unis et à la Chine, leaders de l'IA grâce à des investissements privés massifs, l'UE vise à investir 20 milliards d'euros par an dans l'IA, avec une enveloppe budgétaire portée à 1,5 milliard d'euros pour 2018-2020 et 1 milliard d'euros par an pour 2021-2027.
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OpenAI reconnaît avoir été utilisé par des réseaux de désinformation russe et chinois
lesechos.fr - Par Marie Delumeau
Publié le 31 mai 2024
La maison mère de ChatGPT a annoncé avoir « perturbé » cinq opérations de désinformation. Ces dernières se servaient notamment de ses outils d'IA pour générer des commentaires ou des articles.
L'intelligence artificielle générative offre de nouveaux outils aux acteurs de la désinformation. C'est ce que confirme un rapport d'OpenAI publié cette semaine : la start-up californienne y révèle avoir déjoué, ces trois derniers mois, cinq opérations d'influence ayant utilisé ses modèles d'intelligence artificielle afin de tenter de manipuler l'opinion publique ou d'influer sur des scrutins. L'ensemble des comptes liés à ces groupes de désinformation ont été bannis, indique l'entreprise.
Sur les cinq réseaux évoqués, deux étaient originaires de Russie : le premier a utilisé les modèles d'OpenAI pour poster des messages sur la messagerie cryptée Telegram. Le second s'en est notamment servi afin de générer des commentaires en français, anglais, allemand, italien et polonais pour le réseau social X et le forum 9GAG.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lesechos.fr/tech-medias/intelligence-artificielle/les-programmes-dopenai-utilises-par-des-reseaux-de-desinformation-russe-et-chinois-2098341
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Mastercard fait la chasse à la fraude avec l'IA générative
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 7 mai 2024
S'appuyer sur l'intelligence artificielle pour faire la chasse aux cartes de crédit ou de débit dont les données auraient été compromises. Tel est l'objectif de Mastercard qui espère détecter de manière prédictive et prévenir ainsi la fraude par des acteurs malveillants.
Mastercard avance dans la détection de la fraude à l'aide de l'IA générative.
"Les fraudeurs volent des millions de numéros de cartes de paiement via des logiciels espions, des logiciels malveillants et d'autres pratiques clandestines telles que le vol de cartes. Dans le but de vendre ces données à d'autres criminels, ils placent une partie des numéros à 16 chiffres sur des sites Web illégaux", affirme Mastercard. Partant de ce constat, l'entreprise cherche à détecter en amont quelles sont les cartes potentiellement compromises.
Pour ce faire, l'intelligence artificielle générative est un atout de taille. Dans le cadre d'une mise à jour logicielle, l'entreprise américaine a développé une technologie qui analyse les données de transactions sur des milliards de cartes et des millions de commerçants. Une alerte est ainsi donnée en cas de fraude. Si l'entreprise ne précise pas sur quelle IA générative elle s'appuie, il y a fort à parier qu'il s'agit de la technologie de Brighterion – société acquise par Mastercard en 2017 – spécialisée dans les solutions d'IA pour les institutions financières, les commerçants et les soins de santé.
L'intelligence artificielle, un allié du secteur financier
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/mastercard-fait-la-chasse-a-la-fraude-avec-l-ia-generative.N2213465
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Truecaller lance AI Call Scanner, le système de détection par l’IA des escroqueries vocales le plus rapide et le plus précis au monde
itespresso.fr - BusinessWire
Ce communiqué de presse contient des éléments multimédias. Voir le communiqué complet ici : https://www.businesswire.com/news/home/20240528297100/fr/
Publié le 29 mai 2024
Trois secondes ! Un synthétiseur vocal IA n’a besoin de vous écouter que pendant trois secondes pour générer un clone complet de votre voix. Les technologies de clonage de la voix et de synthèse vocale s’améliorent à un rythme exponentiel et sont, malheureusement, déjà banalisées et omniprésentes. Cette prochaine vague d’escroqueries par l’IA s’attaquera au côté le plus vulnérable de notre psyché : la menace de nos proches en danger.
Truecaller, la principale plateforme mondiale de communication, est fière d’annoncer la dernière solution de son arsenal de capacités de lutte contre le spam et l’escroquerie : l’AI Call Scanner. AI Call Scanner est formé pour détecter et différencier les voix humaines et les voix synthétisées par l’IA, permettant aux gens de se protéger contre les escroqueries potentielles et les activités frauduleuses.
L’AI Call Scanner est intégré directement dans l’application Truecaller Android, fait partie de l’abonnement Premium et est d’abord déployé aux États-Unis, avec des plans de lancement à l’échelle mondiale. Le système est conçu dans une optique de simplicité et d’efficacité.
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IA: l'humanité dans une course contre la montre, selon l'Onu
information.tv5monde.com - Par Par Nina LARSON © 2024 AFP
Publié le 01 juin 2024
L'humanité est engagée dans une course contre la montre pour apprendre à exploiter l'intelligence artificielle dans l'intérêt général en évitant les risques terribles qu'elle comporte, ont déclaré jeudi un haut fonctionnaire de l'ONU et des experts.
"Nous avons laissé le génie sortir de la bouteille", a déclaré Doreen Bogdan-Martin, directrice de l'Union internationale des télécommunications (UIT) des Nations unies.
"Nous sommes engagés dans une course contre la montre", a-t-elle déclaré lors de l'ouverture d'un sommet mondial de deux jours intitulé "AI for Good" (l'intelligence artificielle au service du bien) à Genève.
« Les développements récents en matière d'IA sont tout simplement extraordinaires », a-t-elle reconnu.
Les milliers de participants à la conférence ont appris que les progrès de l'IA générative accélèrent déjà les efforts visant à résoudre certains des problèmes les plus urgents de la planète, tels que le changement climatique, la faim et l'aide sociale.
"Je pense que nous avons l'occasion, comme il en survient une fois par génération, de mettre l'IA au service de tous les habitants de la planète", a déclaré Mme Bogdan-Martin dans un courriel envoyé à l'AFP avant le sommet.
Mais elle a déploré jeudi qu'un tiers de l'humanité reste encore complètement déconnecté et soit "exclu de la révolution de l'IA sans pouvoir s'exprimer".
Une puissance concentrée
Lire la suite : https://information.tv5monde.com/economie/ia-lhumanite-dans-une-course-contre-la-montre-selon-lonu-2724178
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Intelligence artificielle : Google et Microsoft proposeront bientôt des collaborateurs virtuels
francetvinfo.fr - Par Anicet Amida
Publié le 29 mai 2024
Ce sera une sorte de ChatGPT qui se nourrit des visioconférences ou des mails, pour ensuite faire un compte-rendu, assigner des tâches et remplir les agendas. L’objectif étant de lui déléguer les tâches les plus chronophages d’un projet collaboratif.
Après les assistants personnels, Google et Microsoft veulent aller plus loin. Votre prochain collègue de bureau pourrait être une intelligence artificielle, un collaborateur virtuel créé en quelques clics sur une page web. On va donc lui donner un nom, une adresse mail, fixer son département et ses responsabilités. Ensuite, on va l’intégrer aux discussions et lui partager des documents, comme on le fait avec n’importe quel employé. L’objectif étant de lui déléguer les tâches les plus chronophages d’un projet collaboratif.
On pourra lui demander de créer un document de synthèse ou un rapport d’avancement, de répondre à des questions pointues sur un fichier partagé ou simplement, de résumer ce qui vient de se dire dans une réunion. En fait, c’est une sorte de ChatGPT avec lequel on interagit par mail ou via des outils comme Microsoft Teams ou Google Workspace, sauf qu’il se nourrit des documents, des visioconférences, des mails, des chats, bref de toute la vie numérique d’une équipe de projet.
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Intelligence artificielle : l’Union européenne met en place un bureau pour réguler ces technologies
Publié le 29 mai 2024 |
l’Union européenne a annoncé la création d’un bureau de l’Intelligence artificielle (IA). Constitué d’experts, ce service au sein de la Commission européenne s’occupera de la mise en œuvre de l’IA Act, législation inédite au niveau mondial pour encadrer l’IA.
La Commission européenne a annoncé mercredi 29 mai 2024 la création d’un bureau de l’intelligence artificielle (IA) constitué d’experts relate l’Agence France-Presse (AFP). 140 spécialistes en technologie, juristes et économistes seront chargés de mettre en place le règlement sur l’IA, adopté le 21 mai.
La Commission européenne a annoncé mercredi 29 mai 2024 la création d’un bureau de l’intelligence artificielle (IA) constitué d’experts relate l’Agence France-Presse (AFP). 140 spécialistes en technologie, juristes et économistes seront chargés de mettre en place le règlement sur l’IA, adopté le 21 mai.
Première législation mondiale sur l’intelligence artificielle, « l’IA Act » a comme objectif affiché de favoriser l’innovation en Europe, tout en créant de la confiance en limitant les risques de dérives. Thierry Breton, le commissaire au Numérique s’est félicité de cette nouvelle. Ce bureau « favorisera un écosystème européen de l’IA innovant, compétitif et respectueux des règles et des valeurs de l’UE ».
Réguler en fonction du risque
Internet des Objets
Ces innovations de Kinéis et Semtech qui vont transformer la connectivité par satellite vont vous étonner
innovant.fr - Par Marc De Zordo
Publié le 1 juin 2024
Kinéis et Semtech unissent leurs forces pour une avancée majeure dans la connectivité IoT, fusionnant connectivité satellite et terrestre en une puce unique.
La collaboration entre Kinéis, opérateur satellite français, et Semtech, fournisseur mondial de semi-conducteurs, marque un tournant dans le domaine de la connectivité Internet des objets (IoT). Cette alliance stratégique vise à intégrer la connectivité satellite et terrestre IoT dans une seule puce électronique, une avancée sans précédent pour offrir une couverture mondiale simplifiée à des millions d’utilisateurs.
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Intégration seamless de la connectivité
Le partenariat entre Kinéis et Semtech permet une intégration fluide de la connectivité spatiale de Kinéis dans les puces LoRa Edge de Semtech, comme les modèles LR1110 et LR1120. Cette collaboration stratégique simplifie grandement l’adoption de dispositifs hybrides terrestres-satellites, capables de supporter les protocoles de connectivité standards utilisés dans l’IoT.
Les avantages techniques des puces Semtech sont nombreux. Avec les modèles LR1110, les utilisateurs profitent non seulement de la connectivité LoRaWAN terrestre mais peuvent également se connecter au réseau satellitaire Kinéis. Cela est rendu possible sans nécessité de modules électroniques supplémentaires, rendant cette solution particulièrement attrayante pour les intégrateurs et les utilisateurs finaux.
Lire la suite : https://www.innovant.fr/2024/06/01/ces-innovations-de-kineis-et-semtech-qui-vont-transformer-la-connectivite-par-satellite-vont-vous-etonner/
Décentralisation
Le rapport Woerth propose la création d’une région métropole
lejournaldugrandparis.fr - Par Jacques Paquier
Publié le 30 mai 2024
Dans un rapport remis jeudi 30 mai au président de la République, Eric Woerth, député (Renaissance) de l’Oise, reprend à son compte une proposition déjà ancienne : transformer les établissements publics territoriaux en établissements publics de coopération intercommunale de plein exercice, et transférer les compétences de la Métropole à l’échelon régional.
Dans un rapport intitulé « Décentralisation, le temps de la confiance », remis au président de la République jeudi 30 mai 2024, Eric Woerth propose la suppression de la métropole du Grand Paris, Sans excès d’arguments, Le député (Renaissance) de la 4° circonscription de l’Oise juge que le schéma de cohérence territoriale (Scot) métropolitain présente « des faiblesses préoccupantes, en raison notamment de sa difficulté à imposer une vision sur le devenir du territoire ».
Il remarque que la Métropole « n’est pas parvenue à faire adopter son plan métropolitain de l’habitat et de l’hébergement (PMHH) et à porter des opérations d’aménagement d’envergure métropolitaine ». « Finalement, huit ans après sa création, elle a, au titre de ses réalisations, la construction de la piscine olympique et l’exercice de la compétence Gemapi », assène-t-il.
Coexistence de cinq strates
Le parlementaire relève « l’étroitesse des compétences exercées », avec un budget prévisionnel qui s’élevait à 113 millions d’euros pour 3 392 millions reversés aux communes et établissements publics territoriaux (EPT) par la Métropole. Face à la coexistence de cinq strates sur le territoire, « qui conduit à une inévitable dilution des responsabilités et limite, de fait, la puissance d’un échelon métropolitain », Eric Woerth propose tout simplement la suppression de la Métropole. « Les EPT qui exercent actuellement des compétences proches d’une communauté d’agglomération seraient transformés en EPCI à fiscalité propre », ajoute-t-il.
Lire la suite : https://www.lejournaldugrandparis.fr/le-rapport-woerth-propose-la-creation-dune-region-metropole/
Blockchain
Les blockchains publiques comme solution à l’IA et aux deepfakes
Publié le 27 mai 2024
Depuis le début de l’année 2023, les solutions d’intelligence artificielle ont connu un important essor. Que ce soit les IA conversationnelles telles que ChatGPT ou celles spécialisées dans la génération d’images comme MidJourney, l’IA est en train de transformer de nombreuses industries. Cependant, la frontière entre le vrai et le faux est de plus en plus compliquée à déceler. Selon Ogden Moore, analyste pour Grayscale Investments, la blockchain pourrait être un allié de taille.
Je ne crois que ce que je vois : un adage qui pourrait disparaître
Dans les écrits bibliques, saint Thomas déclarait « Je ne crois que ce que je vois ». Cependant, cet adage bien connu pourrait bien perdre de tout son sens dans les années à venir.
En effet, nous avons tendance à croire les images ou vidéos qui nous sont présentées. Avec l’émergence d’internet et l’accès facilité aux montages photos, les choses n’étaient plus aussi simples. Ainsi, nos yeux ne nous permettaient plus forcément de déceler le vrai du faux.
Avec l’émergence de l’IA et notamment celle spécialisée dans la génération d’image, cela pourrait prendre une tout autre tournure.
En effet, l’essor de l’IA a démocratisé et multiplié les deepfakes. Pour rappel, les deepfakes sont des images ou des vidéos générées de toutes pièces. Ces dernières peuvent mettre en scène une personnalité publique et lui faire tenir des propos qu’il n’a jamais tenus.
Toutefois, cette tendance n’est pas nouvelle. Il y a 6 ans déjà, une vidéo de Barack Obama, l’ancien président des États-Unis, avait fait le buzz. La raison : elle est montée de toute pièce via un deepfake.
Lire la suite : https://btcinfor.com/articles/les-blockchains-publiques-comme-solution-a-lia-et-aux-deepfakes.html
Changement climatique
Un appel à co-constuire un jumeau numérique de la France pour mieux cerner les effets du changement climatique
environnement-magazine.fr - Par la rédaction
Publié le 28 mai 2024
L’IGN, le Cerema et Inria ont lancé un appel à communs pour créer le jumeau numérique de la France. Ouvert à tous les acteurs publics et privés désireux de s’associer au projet, il doit permettre d’améliorer la modélisation du territoire, de mieux cerner les conséquences du réchauffement climatique et d’identifier les solutions les plus efficaces à mettre en œuvre.
Améliorer la modélisation du territoire pour identifier les effets du réchauffement climatique et les solutions les plus adaptées pour y faire face : tel est l’objectif de l’élaboration d’un jumeau numérique de la France, proposée par l’IGN, le Cerema et Inria. Les trois établissements, mandatés par le Secrétariat général pour l’investissement (SGPI), ont lancé un appel à communs lors du salon Viva Tech.
Lancé le 22 mai et ouvert jusqu’au 30 septembre, l’appel à communs invite les acteurs publics et privés (Etat, collectivités, organismes de recherche, associations, startups, industriels) à rejoindre l’équipe de France du Jumeau numérique que souhaitent impulser les trois institutions. Cela peut être pour exprimer son intérêt pour un cas d’usage, partager un retour d’expérience sur l’utilisation de jumeaux numériques locaux, ou proposer des solutions techniques à intégrer à l’outil.
De nombreuses applications
L’outil peut avoir plusieurs fonctions, dans plusieurs secteurs.
Le projet est soutenu par France 2030.
Cybersécurité - Cybercriminalité
JOP 2024 : état de la menace et mesures de cybersécurité renforcées pour les petites et moyennes entreprises, associations, collectivités
cybermalveillance.gouv.fr - Communiqué
Publié le 30 Mai 2024
En perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, Cybermalveillance.gouv.fr dresse pour ses publics professionnels un état des lieux des cybermenaces auxquelles ils peuvent être confrontés et des principales mesures de cybersécurité à mettre en œuvre pour y faire face.
État de la cybermenace pour les petites et moyennes entreprises, associations et collectivités
Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 (JOP) se dérouleront en France métropolitaine et d’outre-mer du 26 juillet au 8 septembre.
Les principales organisations, directement ou indirectement impliquées dans le bon déroulement des JOP, ont été identifiées et se préparent à affronter différents scénarios de cybermenaces auxquelles elles peuvent être confrontées sous le pilotage de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) qui est l’autorité nationale en matière de cybersécurité.
De nombreuses petites et moyennes entreprises (TPE/PME), associations et collectivités pourraient a priori ne pas se sentir concernées par des actes de cybermalveillance en lien avec les Jeux.
« Recrudescence prévisible d’activités cybercriminelles à des fins financières »
Pourtant, comme pour tout grand évènement, une recrudescence prévisible d’activités cybercriminelles à des fins financières pourrait les impacter et doit être anticipée.
Lire la suite : https://www.cybermalveillance.gouv.fr/tous-nos-contenus/actualites/jop-2024-etat-menace-cybersecurite-pme-associations-collectivites
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Cyberattaque : les résultats de l'opération internationale contre des logiciels malveillants sont "à la hauteur des attentes" de l'Office anti-cybercriminalité
francetvinfo.fr - Article rédigé par franceinfo - Radio France
Publié le 30 mai 2024
L'opération internationale a permis d'arrêter quatre personnes et de démanteler une centaine de serveurs.
C'est une affaire qui a nécessité une coopération incroyable dont les résultats sont à la hauteur de nos attentes", a affirmé jeudi 30 mai sur franceinfo la commissaire Cécile Augeraud, cheffe adjointe de l'Office anti-cybercriminalité (Ofac) au ministère de l'Intérieur, alors qu'Europol a annoncé que quatre personnes ont été arrêtées et plus de 100 serveurs mis hors ligne lors de "la plus grande opération jamais réalisée" contre des logiciels malveillants jouant un rôle majeur dans le déploiement de rançongiciels.
L'opération "est le fruit d'une coopération internationale très importante", souligne Cécile Augeraud. "Six pays" ont été impliqués, avec Europol, agence européenne de police criminelle, Eurojust, unité de coopération judiciaire de l'Union européenne, ainsi que "trois services" en France "coordonnés par l'Ofac". Elle pointe une "opération très rare", car "dans une même affaire, on va traiter toute une série d'attaquants malveillants qui vont nous permettre de les mettre hors d'état de nuire". La commissaire rappelle qu'en France, les attaques ont fait "des centaines de victimes".
"Des semaines de travail"
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Bpifrance s’associe à Docaposte pour la cybersécurité des TPE, PME et ETI
incyber.org - La Rédaction
Publié le 25 mai 2024
La banque publique propose à ses adhérents le « Pack Cyber », une offre lancée en mars 2024 par la filiale numérique du groupe La Poste.
Bpifrance et Docaposte ont annoncé, le 21 mai 2024, un partenariat autour du « Pack Cyber », une offre de cybersécurité destinée aux TPE, PME et ETI, lancée en mars 2024 par Docaposte. Bpifrance propose désormais cette solution à ses membres, avec un tarif préférentiel. Les deux partenaires entendent ainsi répondre aux besoins de cyber-protection des petites entreprises françaises.
« En se basant sur des solutions technologiques françaises et européennes parmi les meilleures du marché, et en regroupant l’intégralité des solutions de prévention, de protection et de réaction en matière de cybersécurité, cette offre globale propose une protection complète et proactive pour garantir la sécurité des actifs numériques et la continuité des opérations des entreprises », lit-on dans le communiqué annonçant le partenariat.
La cybersécurité souvent défaillante des TPE, PME et ETI en font des cibles privilégiées pour les pirates informatiques. Les conséquences peuvent s’avérer dramatiques : le risque de défaillance d’une petite structure augmente de 50 % dans les six mois suivant une cyberattaque. Actuellement, seule une PME sur trois dispose d’un salarié dédié à la cybersécurité.
Lire la suite : https://incyber.org/article/bpifrance-associe-docaposte-pour-cybersecurite-tpe-pme-eti/
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Mastercard inaugure un centre de cybersécurité de pointe à Waterloo
msn.com - Fourni par Delga
Publié le juin 2024
Mastercard a inauguré jeudi, à Waterloo, un Centre européen de cyber-résilience (ECRC), consacré à la lutte contre les cybermenaces. L'entreprise historique de paiement américaine n'a pas voulu dévoiler le montant de l'investissement "pour des raisons évidentes de sécurité".
Vu la numérisation croissante et les niveaux de connectivité sans précédent dans le monde, la cybercriminalité ne cesse d'étendre sa toile. "Les fraudeurs utilisent désormais les technologies les plus innovantes et sophistiquées pour nuire aux consommateurs et aux entreprises. Et ce problème ne fait que s'aggraver. Si bien que la cybercriminalité est devenue une économie mondiale dont la valeur est désormais estimée à 9.000 milliards de dollars", évalue l'organisme financier.
Avec 143 milliards de transactions enregistrées en 2023, Mastercard constitue, évidemment, une belle cible face aux tentatives de piratages, d'escroqueries ou de vols de données.
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Protection des données et cybersécurité…
Catégorie Les paradoxales
Publié le 1 juin 2024
La sécurité des données personnelles est, au-delà d’une obligation légale, un enjeu majeur pour tous les organismes publics et privés, ainsi que pour tous les individus. Ainsi, 80 % des notifications de violations reçues par la CNIL concernent une perte de confidentialité, c’est-à-dire une intrusion par un tiers qui peut prendre connaissance des données, voire les copier.
Légende : - notions d'IA de machine learning et de deep learning, par Bouliech -
Vie-publique.fr fait le point sur le sujet :
Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 : la CNIL valide le laissez-passer. Afin de sécuriser les jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) 2024, la préfecture de police mettra en place plusieurs périmètres au sein desquels la circulation sera restreinte. Certaines de ces zones de sécurité seront concernées par un dispositif de laissez-passer contenant un code QR.
• Développement des systèmes d'intelligence artificielle (IA) : les recommandations de la CNIL. En mai 2023, la CNIL avait publié un plan IA de sécurisation des acteurs et avait annoncé un travail sur l’encadrement juridique des pratiques. Le 8 avril 2024, la CNIL propose une série de sept recommandations pour accompagner les acteurs dans leurs démarches de conformité avec le règlement général sur la protection des données (RGPD).
• Élections européennes 2024 : comment protéger les données des électeurs ? La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) réactive son dispositif de contrôle des opérations de campagne électorale, cette fois-ci à l’occasion des élections européennes du 9 juin 2024. L'Observatoire des élections permet notamment d’assurer le suivi des signalements des mauvaises pratiques.
Lire la suite : https://pariscotedazur.fr/archives/2024/6/1/protection_des_donn%C3%A9es_et_cybers%C3%A9curit%C3%A9
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Voici pourquoi il est dangereusement facile de pirater les téléphones du monde entier
challenges.fr - Par The Economist
Publié le 28 mai 2024
Espions, terroristes et agences d’Etat utilisent les failles d’un obscur protocole informatique - le ss7, nécessaire aux partages de données des télécommunications mobiles. Les citoyens du monde entier peuvent être sur écoute. Les entreprises du secteur ont négligé ce problème car les pirates informatiques ont des motivations politiques et non pas commerciales.
Les hackers utilisent le protocole ss7 pour espionner les télécomunications. La manipulation est simple. Et est utilisée par les terroristes et les agences d'Etat.
Depuis des années, des experts ont averti qu’une technologie au cœur des communications mondiales était dangereusement exposée. Aujourd’hui, de nouvelles preuves montrent qu’elle a été utilisée pour espionner des citoyens américains. Kevin Briggs, un responsable de l’agence américaine de cybersécurité et de sécurité des infrastructures, a déclaré au début de l’année à la Commission fédérale des communications (FCC), un organisme de réglementation, qu’il y avait eu « de nombreux incidents de tentatives réussies et non autorisées » non seulement pour voler des données de localisation et surveiller des messages vocaux et textuels aux États-Unis, mais aussi pour diffuser des logiciels espions (logiciels qui peuvent prendre le contrôle d’un téléphone) et influencer les électeurs de l’étranger par l’intermédiaire de messages textuels.
LIRE AUSSI Quand les gourous de la tech détruisent la démocratie
Un protocole trusté par les terroristes et les espions
Lire la suite : https://www.challenges.fr/cybersecurite/voici-pourquoi-il-est-dangereusement-facile-de-pirater-les-telephones-du-monde-entier_894341
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Cybercriminalité : Les données de dizaines de députés et sénateurs français ont fuité sur le Dark Web
20minutes.fr - Par O.M.
Publié le 30 mai 2024
HACK EN VRAC • Adresses mails, mots de passe et numéros de téléphone ont été piratés et diffusés en ligne.
166 élus de l'Assemblée nationale et du Sénat ont vu leurs informations personnelles exposées sur le dark web - NeedPix / 20 Minutes
Cybercriminalité : Les données de dizaines de députés et sénateurs français ont fuité sur le Dark Web
Les parlementaires français seraient-ils devenus l’un des cibles privilégiées des pirates informatiques ? C’est la question soulevée par une étude selon laquelle les informations personnelles d’un parlementaire sur cinq (166 députés et sénateurs) ont été exposées sur le Dark Web, rapporte BFMTV.
Publiée ce jeudi 30 mai 2024, cette étude menée par Proton (en partenariat avec Constella Intelligence) révèle que les adresses mails des victimes ont été exposées 1.306 fois sur le Dark Web et qu’un parlementaire a même été victime de plus de 137 fuites de données.
Les députés « mieux lotis » que les sénateurs
Mais les adresses mails ne sont pas les seules informations à avoir été dérobées : 320 mots de passe, 22 numéros de téléphone et 30 adresses postales de parlementaires ont également été piratés et diffusés en ligne !
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/high-tech/by-the-web/4093687-20240530-cybercriminalite-donnees-dizaines-deputes-senateurs-francais-fuite-dark-web
Atos
Atos : «Toutes les activités stratégiques resteront sous le contrôle de la puissance publique», assure Bruno Le Maire
https://www.europe1.fr/ - Yanis Darras
Publié le 28 mai 2024
Le ministre de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, était l'invité de La Grande interview Europe 1-CNews. Au micro de Laurence Ferrari, le locataire de Bercy a réaffirmé sa détermination à garder les "activités stratégiques d'Atos" dans le giron de la puissance publique.
La survie d'Atos est en jeu. Le géant informatique français, lourdement endetté, a jusqu'au 31 mai pour présenter une solution de sauvetage financier, après l'échec des négociations avec Airbus en mars dernier. L'entreprise, qui est un des piliers de la tech en France, notamment pour les Jeux olympiques de Paris, a annoncé avoir besoin d'1,1 milliard d'euros de liquidité pour la période 2024-2025, tout en souhaitant réduire sa dette à environ 3 milliards d'euros, contre 5 milliards actuellement.
Protéger les centrales nucléaires
Et si des négociations sont toujours en cours, l'arrivée de la date butoir inquiète les autorités. Invité ce mardi matin sur le plateau de La Grande interview, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire assure vouloir protéger les activités stratégiques de l'entreprise.
"Ça fait des mois que je suis le dossier Atos. J'ai pris la décision de marquer mon intention de reprendre le contrôle de toutes les activités stratégiques d'Atos", assure-t-il au micro de Laurence Ferrari. Avec près de 10.000 salariés, Atos gère des dossiers hautement stratégiques autour de la cybersécurité, des activités militaires ou encore le contrôle des centrales nucléaires françaises.
Un aspect "absolument stratégique"
Thales
Thales assure la transformation du système d'identité national de maurice avec une solution numérique innovante
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 23 mai 2024
Le bureau du Premier ministre mauricien a confié au consortium dirigé par Thales - comprenant le principal fournisseur IT de Maurice, Harel Mallac Technologies (HMT) - la mise en place d’un dispositif national d’identité, innovant et complet. Ce projet a pour but d’améliorer les services proposés aux citoyens et de renforcer la sécurité de leur identité. Il représente une étape clé vers une transformation numérique nouvelle génération, pleinement alignée sur la stratégie numérique du pays à l’horizon 2030.
Cet ambitieux effort de modernisation s’appuie sur l’expérience acquise par Thales dans le cadre de 300 projets gouvernementaux dans le monde entier, et garantit l’association de technologies innovantes en vue d'une implémentation rapide et d'une exécution fiable des projets. Le partenariat à long terme apporte un soutien éprouvé et spécialisé dans toutes les étapes clés du programme d'identité, de l'enregistrement des citoyens à la délivrance d'une pièce d'identité physique et de son compagnon numérique. Cette approche complète anticipe les évolutions futures et répond efficacement aux menaces de fraudes à l’identité.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-assure-transformation-du-systeme
Mobilité
Le président de la CCI contre un métro à Bordeaux
rue89bordeaux.com - Simon Barthélémy
Publié le 21 mai 2024
Ex patron du monde du BTP, Patrick Seguin se dit à titre personnel défavorable à la construction d’un métro à Bordeaux, un projet qu’il juge coûteux et risqué pour les finances publiques.
C’est en « modeste sachant » qu’il s’exprime, et au nom de l’institution qu’il préside, tient à préciser Patrick Seguin. Mais le patron de la Chambre de commerce et d’industrie de Bordeaux-Gironde le fait sans ambages : il n’est « pas favorable à ce projet de métro« , sur lequel planche le cabinet Artelia pour Bordeaux Métropole – la seule étude étant chiffrée à 300000€.
Chez Sogea, filiale du groupe Vinci spécialiste des travaux publics, Patrick Seguin était en effet directeur technique en charge des galeries de grand diamètre, avant d’être PDG de la SOC (Sud Ouest Canalisation) puis d’un cabinet d’ingénierie sur l’eau et l’environnement (Greease). Il connait donc bien le sous-sol de Bordeaux, « ville construite sur un ancien marais et traversée par 14 jalles, aujourd’hui canalisées ».
« Nous avons de gros collecteurs d’eau en sous-sol pour éviter les inondations, qui récupèrent les eaux de pluie avant de les rejeter dans la Garonne. Cela veut dire qu’un métro devrait passer en dessous de tous ces ouvrages. Techniquement, on saura faire car les entreprises françaises ont toutes les compétences. Mais on risque d’endetter la métropole pour des dizaines d’années. »
Des tunneliers qui se perdent
Aujourd’hui, le prix du kilomètre de métro construit à Toulouse est de l’ordre de 117 à 130 millions d’euros, contre 15 à 30 millions pour une ligne de tramway. La facture d’une ligne de métro à Bordeaux pourrait ainsi représenter 3 milliards d’euros. Et Patrick Seguin redoute l’explosion du devis, rappelant que les collecteurs souterrains de Bordeaux ont coûté « 5 fois le budget d’origine ».
Le président de la CCI juge que « l’argent serait mieux investi dans la multiplication des BHNS (les bus express) et des voies piétonnes et vélos ». Il met aussi en garde contre les aléas techniques.
Lire la suite : https://rue89bordeaux.com/2024/05/le-president-de-la-cci-contre-un-metro-a-bordeaux/
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Viva Technology – Jour 3 – Ready, Steady, Go… pour une mobilité intelligente !
lehub.laposte.fr - Par
Publié le 24 mai 2024
Le temps passe vite à VivaTech ! Pour notre dernier jour, place à la « smart mobility ». Concept-cars, aéronefs bourrés de technologie, navigation durable de précision ou encore voitures volantes qui s’adaptent aux infrastructures urbaines… Bon voyage vers le futur de la mobilité sur terre, en mer et dans les airs !
C’était l’attraction Hall 2 : le premier bain de foule français pour l’atypique pick-up électrique Tesla Cybertruck qui entame une tournée européenne baptisée Cyber Odyssey jusqu’au 7 juillet. Pourtant, il serait dommage de ne parler que de l’arbre qui cache la forêt. Des conférences aux nouveaux concepts présentés, chercheurs, ingénieurs et entrepreneurs se concertent pour décarboner nos modes de transport. Nous sommes allés à la rencontre des entrepreneurs qui, sur terre, en mer ou dans les airs, réinventent la mobilité de manière durable et performante.
Lightyear : la voiture de demain prend le soleil
Le concept de véhicule solaire induit habituellement des problématiques d’autonomie. La start-up hollandaise Lightyear entend se dresser contre cet état de fait et présente la Lightyear-0. Ce concept-car est entièrement motorisé à l’aide de panneaux solaires. « Nos démonstrateurs l’ont prouvé, la puissance de notre technologie solaire permet de garantir la puissance et l’autonomie d’une voiture à l’identique des modèles électriques actuellement en circulation », explique Nick Gwinnutt, directeur de l’entreprise. « La différence, c’est qu’il n’y a plus besoin de payer son essence ou la recharge à une borne. » De fait, la généralisation de véhicules solaires aussi puissants pourrait permettre de développer la mobilité électrique dans certaines régions de France (et dans le reste du monde) où les infrastructures d’alimentation et de charge sont encore insuffisantes.
Découvrez Lightyear – Stand F28 – 004 (Espace SmartCity & Mobility by TOGG)
Software République : un laboratoire mobile pour lutter contre la désertification médicale
Lire la suite : https://lehub.laposte.fr/viva-technology-2024-mobilite-intelligente
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A Vivatech, les constructeurs automobiles dévoilent leur vision de la mobilité du futur
avec.fr - Rédigé par Emmanuel Maumon
Publié le 25 Mai 2024
VivaTech 2024 ferme ses portes aujourd’hui à Paris avec une journée ouverte au grand public. Dans ce plus grand événement européen consacré aux nouvelles technologies, l’automobile occupe une place de plus en plus importante. Les constructeurs profitent de ce salon pour dévoiler leurs dernières innovations et leur vision de la mobilité du futur. Ainsi cette année, Renault dévoile le concept U1st Vision (You First Vision). Un démonstrateur technologique offrant un accès à une toute une gamme de services de proximité. Peugeot présente lui l’audacieux concept-car Inception en mettant particulièrement en avant son volant révolutionnaire Hypersquare. De son côté, Audi propose aux visiteurs une étonnante expérience immersive pour découvrir la nouvelle Q6 e-tron. Une voiture avec laquelle la marque aux anneaux entend redéfinir l’expérience de conduite. Enfin, Hyundai et Kia participent à VivaTech pour présenter leur plateforme d’innovation ZERO1NE.
Renault dévoile le concept u1st vision
Renault et ses partenaires de la Software République dévoilent à VivaTech 2024 le concept U1st Vision. Un véhicule reposant sur une plateforme de véhicule utilitaire électrique (FlexEVan) et comportant un module autonome multiservices (« pop-up »). Ce démonstrateur technologique innovant met en scène leur vision de services plus proches du citoyen. Il offre en effet un accès facilité à une gamme de services de proximité variés, personnalisés et sécurisés. De multiples services tels que les soins de santé, le service civique ou des services de recyclage de produits électriques. Lors de VivaTech, Renault met particulièrement en lumière le cas d’usage « Health Pop-up ». Un module de services qui apporte une solution aux citoyens confrontés au développement des déserts médicaux. Il leur fournit en effet un service mobile intégré pour des soins préventifs, des diagnostics et le suivi des maladies.
Peugeot présente le concept-car inception et son volant hypersquare
Lire la suite : https://www.avem.fr/2024/05/25/a-vivatech-les-constructeurs-automobiles-devoilent-leur-vision-de-la-mobilite-du-futur/
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Streetnav : tout savoir sur le premier GPS à destination des personnes à mobilité réduite (PMR) à paris
cnews.fr - Par Cnews
Publié le 20 mai 2024
StreetNav, le premier GPS destiné au déplacement des personnes à mobilité réduite, a été dévoilé ce lundi 20 mai par la startup StreetCo.
Une «révolution» pour les millions de personnes à mobilité réduite (PMR) en France. À moins de 100 jours des Jeux olympiques de Paris 2024, la startup StreetCo a annoncé, ce lundi 20 mai, le lancement d’une application dédiée au déplacement des PMR nommée «StreetNav».
Qui s’est déjà retrouvé bloqué sur le trottoir à cause d’une zone de travaux ?
La véritable question, c’est : qui ne s’est pas déjà retrouvé dans cette situation ?
Pour certains c’est facile, ils ont juste à traverser la route et à poursuite leur trajet. Pour d’autres, c’est un peu plus compliqué et ils n’ont d’autre choix que de faire demi-tour.
C’est le quotidien de millions de personne à mobilité réduite en France où les zones de travaux se transforment en véritables obstacles à la mobilité.
Mais grâce à vos signalements sur l’application Streetco, les personnes à mobilité réduites peuvent se déplacer sans obstacles et en toute sécurité.
Il est temps d’agir pour rendre le monde plus accessible à tous !
Ce GPS, qui est le premier spécifiquement à destination des personnes à mobilité réduite, permet de trouver l’itinéraire le plus adapté en s’adaptant aux difficultés et obstacles à éviter, mais également aux différents handicaps, comme la déficience visuelle ou les fauteuils roulants.
Compatible avec les transports en commun, disponible sur Android et iOS, et soutenue par la mairie de Paris, l’application est alimentée par la seconde application de la startup, StreetCo, qui permet à tous les utilisateurs de signaler et géolocaliser dans l’application, en temps réel, et de façon ludique, tous les obstacles fixes et temporaires, tels que les voitures mal garées ou les zones de travaux.
Lire la suite : https://www.cnews.fr/france/2024-05-20/streetnav-tout-savoir-sur-le-premier-gps-destination-des-personnes-mobilite
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« En lançant la gratuité des transports publics, nous avons développé une vision systémique », affirme Julie Frêche
Publié le 24 mai 2024
Cinq mois après le lancement, le 21 décembre 2023, de la gratuité totale des transports publics, Montpellier dresse un premier bilan. La fréquentation a progressé de 23,7 % sur les trois premiers mois 2024 comparés à la même période 2019 (avant Covid).
Selon Julie Frêche, conseillère municipale déléguée aux transports, la gratuité concerne potentiellement un demi-million de personnes qui habitent Montpellier. Avant la première phase de la gratuité, instaurée par étape (en septembre 2020, les transports publics avaient commencé par être gratuits le week-end, un an plus tard, la mesure concernait les moins de 18 ans et les plus de 65 ans), le réseau comptait 86 000 abonnés. Désormais, ils sont 358 000 à posséder un abonnement.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.ville-rail-transports.com/mobilite/en-lancant-la-gratuite-des-transports-publics-nous-avons-developpe-une-vision-systemique-affirme-julie-freche/
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La Métropole lance dès maintenant sa participation réglementaire sur la ZFE et sollicite l’avis des habitants et parties prenantes
lillemetropole.fr - Communiqué
Publié le Le 21 mai 2024
La Métropole Européenne de Lille (MEL) tire les enseignements de sa consultation citoyenne sur la zone à faibles émissions. Les participants ont plébiscité à 62 % le scénario n°2, avec une interdiction de rouler qui s’appliquerait aux véhicules ayant des vignettes Crit’Air 4, 5 et non classés. Ainsi, après une première consultation volontaire, le projet de la Zone à faibles émissions (ZFE) de la Métropole fait, dès aujourd’hui, l’objet d’une participation réglementaire jusqu’au 21 juillet 2024 pour les habitants et parties prenantes.
La Métropole a organisé une première phase de consultation volontaire début 2024 qui a permis de faire émerger des interrogations et des attentes de la part des habitants du territoire, ainsi que des attentes de flexibilités dans la mise en œuvre de la réglementation. Le bilan de cette consultation volontaire, présenté lors du conseil métropolitain du 19 avril dernier, a permis d’alimenter le projet métropolitain de ZFE.
Dès ce 21 mai et jusqu’au 21 juillet sont invités à donner le projet de ZFE, dans le cadre de la participation réglementaire. Dans ce cadre, sont ainsi mis à disposition du public :
Cette concertation se déroule sur registre numérique : https://www.registre-numerique.fr/ppve-zfe-mel
Les observations et propositions du public pourront également être déposées par voie postale à l’adresse suivante : Monsieur le Président de la MEL – PPVE ZFE-m – Direction des transports – 2 Boulevard des Cités Unies CS 70043 – 59040 Lille Cedex.
Une ZFE, qu’est-ce que c’est ?
Lire la suite : https://lillemetropole.fr/communique-de-presse/la-metropole-lance-des-maintenant-sa-participation-reglementaire-sur-la-zfe-et
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Thales et Nokia s'associent pour assurer un renouvellement fluide du métro de Londres
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 20 mai 2024
• Thales, avec son partenaire technologique de réseau de transmission, Nokia, a été sélectionné par Transport for London (TfL) pour fournir un renouvellement de communications intégré destiné à prendre en charge le système Connect.
• Ce renouvellement permettra au réseau multiservices (MSN) de TfL, qui héberge le système Connect et gère la technologie radio, de transmission et de vidéosurveillance opérationnelle utilisée par le personnel de TfL, de fonctionner de manière optimale et de minimiser les coûts.
• Garantir une mise à jour basée sur des données, intégrée et opportune – comme celle menée par Thales et Nokia – permet de répondre de manière proactive aux mises à niveau avec une perturbation minimale des voyages des passagers.
• Thales, en collaboration avec son partenaire technologique de réseau de transmission Nokia, a remporté un contrat auprès de Transport for London (TfL) pour réaliser un renouvellement complet des communications afin de soutenir l'exploitation sûre du réseau de métro.
Ce renouvellement garantira que le réseau multiservices (MSN) de TfL fonctionne à des performances optimales, minimisant ainsi les risques fonctionnels, les interruptions de voyage et les coûts pour TfL.
Le MSN sert d'infrastructure sous-jacente à Connect, le système leader de Thales, responsable de l'écosystème de communications critique qui sous-tend le métro de Londres. Cela inclut la technologie de radio, de transmission et de vidéosurveillance opérationnelle utilisée par le personnel de TfL pour maintenir le bon fonctionnement, ce qui rend le MSN essentiel à l'efficacité du réseau ferroviaire et garantit une expérience passager plus sûre et plus fluide.
Les systèmes existants peuvent progressivement devenir peu fiables et perturber les services, entraînant des retards et un impact négatif global sur les voyages des passagers. Garantir une mise à jour basée sur des données, intégrée et opportune – comme celle menée par Thales et Nokia – répond de manière proactive à ces préoccupations, sans entraver la mobilité des passagers.
La solution réseau IP/MPLS essentielle à la mission de Nokia constitue l'épine dorsale et complète ce système en fournissant une connectivité sécurisée, fiable et évolutive, garantissant ainsi que la base de cet écosystème de communications est solide et durable.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/en/worldwide/transport/press_release/thales-and-nokia-partner-deliver-seamless-renewal-london
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A Boston, Keolis renouvelle son bail pour un an
publié le 24 mai 2024
Massachussetts, il y a près de dix ans, avaient été douloureux. Après avoir enregistré la première année 30 millions de pertes sur le contrat d’exploitation du RER de Boston (arraché à l’époque à Transdev), la filiale de la SNCF avait réussi à le renégocier, avait dépêché quelques-uns de ses meilleurs collaborateurs (Franck Dubourdieu, puis Clément Michel, aujourd’hui directeur général France, Régions), et réussi à redresser la barre.
Aujourd’hui, l’autorité des transports, la Massachusetts Bay Transportation Authority (MBTA), prolonge d’un an le bail de Keolis, jusqu’en 2027. « Grâce à des performances record », annonce l’opérateur dans un communiqué. Un an de plus, après une première prolongation jusqu’en 2026.
Dans le RER de Boston, la fréquentation est revenue à 90 % de son niveau d’avant Covid, avec 550 000 voyageurs par semaine, » la meilleure progression » [dans les transports publics] des Etats-Unis et, en 2023 et 2024, et « la meilleure performance opérationnelle de ces dix dernières années », assure Keolis qui gère 2400 collaborateurs à Boston.
Lire la suite : https://www.lettreducheminot.fr/international/a-boston-keolis-renouvelle-son-bail-pour-un-an/
Loi numérique
Loi numérique : vers une meilleure protection des citoyens et des entreprises en ligne
nouvelle-aquitaine.dreets.gouv.fr - Communiqué
Publié le 24 mai 2024
Au travers d’un éventail de mesures concrètes et inédites, les pouvoirs publics entendent restaurer la confiance dans le digital en offrant un espace numérique plus sûr et souverain à l’ensemble des Français.
« Sécuriser et réguler l’espace numérique » (SREN) : telle est l’ambition de la loi promulguée le 21 mai 2024 et publiée au Journal officiel du 22 mai 2024.
Au travers d’un éventail de mesures concrètes et inédites, les pouvoirs publics entendent restaurer la confiance dans le digital en offrant un espace numérique plus sûr et souverain à l’ensemble des Français.
Cette loi résulte à la fois :
Loi sur l’espace numérique : les étapes
La loi visant à sécuriser et à réguler l’espace numérique a été promulguée le 21 mai 2024 et publiée au Journal officiel du 22 mai 2024.
Le texte avait été adopté définitivement le 10 avril 2024, après l’accord trouvé en commission mixte paritaire le 26 mars 2024 sur une version finale du projet de loi.
Le projet de loi avait été présenté au Conseil des ministres le 10 mai 2023, avant d’être adopté en première lecture, avec modifications, par le Sénat le 5 juillet 2023, puis par l’Assemblée nationale le 17 octobre 2023.
Suivre les étapes de cette loi
Projet de loi numérique : où en est-on ?
Lire la suite : https://nouvelle-aquitaine.dreets.gouv.fr/Loi-numerique-vers-une-meilleure-protection-des-citoyens-et-des-entreprises-en
Identité numérique
Le portefeuille européen d'identité numérique est entré en vigueur
Publié le 21 mai 2024
par Virginie Fauvel, Localtis
Les règles relatives à l'établissement d'une identité numérique européenne sont entrées en vigueur lundi 20 mai 2024. "Elles permettront à tous les citoyens et résidents de l'Union européenne (UE) de bénéficier d'un portefeuille d'identité numérique personnel en 2026", précise le communiqué de la Commission européenne du 21 mai. Ce dispositif consistera en une application mobile mise à disposition dans chaque État membre. Il permettra aux citoyens et résidents de l'UE de s'identifier en ligne en toute sécurité pour accéder aux services en ligne publics et privés dans toute l'Europe. "D'ici environ deux ans, chaque Européen pourra gérer en toute sécurité ses documents numériques personnels et accéder à des services en ligne publics et privés avec un contrôle total sur ses données personnelles à partir d'une application mobile personnelle proposée sur une base volontaire à tous les citoyens et résidents européens", s'est réjouie Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive pour une Europe adaptée à l'ère numérique.
Le portefeuille d'identité numérique de l’UE "va révolutionner l'identification numérique", estime la Commission qui rappelle que chaque utilisateur du portefeuille pourra utiliser des services en ligne, partager des documents numériques comme un permis de conduire mobile ou une prescription en ligne, ouvrir des comptes bancaires ou effectuer des paiements, en contrôle de ses données personnelles. La Commission a déjà investi 46 millions d'euros au titre du programme pour une Europe numérique dans quatre projets pilotes à grande échelle, afin de tester le portefeuille d'identité numérique de l'UE dans une série de cas d'utilisation quotidienne, notamment le permis de conduire mobile, la santé en ligne, les paiements, ainsi que les qualifications professionnelles et éducatives. Un deuxième appel à projets pilote à grande échelle pour accompagner le déploiement des portefeuilles vient d'être publié. "Après l'entrée en vigueur des nouvelles règles, la Commission indique qu'elle préparera des actes d'exécution pour "garantir que tous les portefeuilles présentent le même niveau élevé de sécurité et de protection des données et fonctionnent de manière transparente dans toute l'UE". L'interopérabilité des données est l'un des leviers identifiés par la Commission européenne pour atteindre son objectif de rendre accessibles 100% des services publics essentiels d'ici à 2030.
Intelligence artificielle
Macron annonce un nouveau fonds d'investissement dans l'IA
lefigaro.fr - Par Ingrid Vergara
Publié le 21 mai 2024
Dessinant un nouveau plan d’action pour ne pas rater ce virage en cours, Emmanuel Macron appelle à un «réveil du financement européen sur ces technologies». La France organisera un sommet mondial les 10 et 11 février 2025.
L’impact et les enjeux stratégiques liés aux technologies d’intelligence artificielle (IA) sur la société et l’économie sont tels que la France n’a pas le droit à l’erreur si elle ne veut pas décrocher dans les années à venir. « Il faut aller un cran plus loin (…) car pour la France et l’Europe, la bataille pour l’intelligence artificielle est une bataille existentielle, dont dépendra notre capacité à créer de la richesse », a insisté Emmanuel Macron lors d’un discours à l’Élysée, où il avait réuni l’écosystème français de l’IA et des dirigeants de grandes entreprises technologiques internationales. L’occasion pour le président de la République de présenter ce qu’il a retenu des recommandations du rapport remis mi-mars par le comité d’experts sur l’IA, mandaté par Matignon à l’automne 2023, pour mieux guider le gouvernement dans ses politiques.
Comme en témoigne la nouvelle levée de fonds de 220 millions de dollars annoncée mardi par la start-up française Holistic AI (rebaptisée H), soutenue par Bernard Arnault, Xavier Niel, l’ancien patron de Google Eric Schmidt, Amazon et Samsung, la France jouit d’un des écosystèmes d’IA les plus effervescents d’Europe. Il s’agit désormais de changer d’échelle pour jouer dans la cour des grands, avec les États-Unis, la Chine et le Royaume-Uni. « Il faut prendre aujourd’hui le bon virage à la bonne vitesse en France et en Europe », résume Emmanuel Macron. Pour former plus massivement à l’IA, 400 millions d’euros seront investis dans neuf centres d’excellence, des « clusters IA », pour former 100.000 jeunes experts sur ces technologies chaque année contre 40.000 actuellement, dont 20.000 en formation continue.
Renforcer la puissance de calcul
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/la-france-lance-un-nouveau-fonds-d-investissement-dans-l-ia-20240521
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Plan d’Emmanuel Macron pour l’IA : l’artificiel avant l’intelligence
Contrepoints.org - Par Raphaël Delaplanche
Publié le 25 mai 2024
Les plans en faveur du développement de l’IA ne correspondent pas aux besoins de cette industrie, témoignant d’un recul de l’Europe.
L’audition d’Arthur Mensch, PDG de Mistral, devant la commission des Affaires économiques du Sénat le 22 mai a révélé une vérité alarmante : le système de financement européen est inadapté pour soutenir l’innovation.
Interrogé sur ses envies d’Amérique, Mensch a expliqué qu’il n’avait d’autres choix que de se tourner vers les États-Unis :
« Pour notre première levée de fonds, nous n’avions pas de revenus. Les fonds européens ne sont pas structurés pour écrire des chèques de 50 ou 100 millions d’euros à des entreprises sans revenus, ce qui est le cas des fonds américains. »
Ces derniers, avec leurs mandats pour des investissements précoces et massifs, contrastent avec l’incapacité des fonds européens à penser à long terme et à investir dans le risque. Les start-ups européennes, privées de financements adéquats, se voient donc forcées de chercher des capitaux outre-Atlantique.
Les Émirats : souveraineté et IA
Lire la suite : https://www.contrepoints.org/2024/05/25/474970-plan-demmanul-macron-pour-lia-lartificiel-avant-lintelligence
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France 2030 : l’IA comme un accélérateur et un différentiateur d’innovation
presse.economie.gouv.fr - Communiqué de presse
Publié le 22 mai 2024
En marge du salon Viva Technology, le président de la République a réuni les talents de l’IA à l’Elysée ce mardi 21 mai. Le président a réaffirmé que l’intelligence artificielle est une priorité stratégique pour la France, en y dédiant près de 2,5 Mds€ de France 2030. A cette occasion, il a annoncé de nouveaux lauréats dont 9 « IA Clusters » et de nouveaux dispositifs de soutien à l’investissement.
L’IA, une priorité stratégique pour la France
La première phase de la Stratégie nationale pour l’IA (SNIA), lancée en 2018, a permis de structurer l’écosystème de recherche national et de mettre les forces vives françaises de l’IA en ordre de bataille, en coordination avec ses partenaires et en cohérence avec le plan européen pour l’IA.
La phase 2, lancée en 2022, a pour objectif de diffuser l'IA dans l’économie. Les systèmes intelligents devront contribuer à améliorer notre compétitivité industrielle et plus généralement le bien-être individuel et collectif. Nous avons activé pour cela trois leviers principaux : la formation et la recherche ; le soutien à une offre à l’état de l’art ; le rapprochement entre l’offre et la demande en IA.
La SNIA renforce de manière inédite notre écosystème d'excellence en recherche et formation en intelligence artificielle. Un total de 560 M€ de financements publics est consacré à la consolidation des établissements d'excellence de l'école française de l'IA, tout en élargissant la diversité et la capacité d’accueil des formations en IA à l'échelle nationale. Cette offre couvrira tous les niveaux de diplômes et inclura la formation initiale, l'alternance et la formation continue, aussi bien en IA « cœur de métier » qu’en double compétence.
Des résultats : la France est le premier écosystème pour l’IA en Europe
De nouveaux investissements massifs pour renforcer notre écosystème d’excellence en recherche et formation en IA
Lire la suite : https://presse.economie.gouv.fr/france-2030-lia-comme-un-accelerateur-et-un-differentiateur-dinnovation/
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Radar des startups cybersécurité françaises 2024
presse.bpifrance.fr - Communiqué
Publié le 22 mai 2024
Avec 168 startups et 42 scale-ups, l'écosystème d'innovation français continue sa croissance et prouve qu'il a su prendre le virage de l'IA
L'écosystème français d'innovation en cybersécurité continue sa croissance dans un contexte économique difficile avec un ralentissement des investissements observé depuis fin 2023. Les structures visant de nouveaux marchés (IA, PME/PMI, réglementaire…) et montrant une capacité à s' internationaliser joue un rôle moteur.
Pour la 6ème année consécutive, Wavestone en partenariat avec Bpifrance a le plaisir de publier son Radar de l'innovation cybersécurité français. Les résultats complets de l'étude seront dévoilés le 22 mai 2024 à 14h sur Vivatech. Les critères pour définir les différentes catégories sont décrits ci-dessous. L'étude porte sur la période du 1er juin 2023 au 15 mai 2024.
Création de startups et scale-up : innovation et internationalisation, les clés de la réussite
Continuant dans sa lancée de ces dernières années, la France continue de générer un nombre grandissant de startups et de les visibiliser, résultant en l'ajout de 50 nouvelles à notre radar.
Ces nouvelles arrivantes montrent une propension à l'innovation, avec 53% d'entre-elles qui proposent des solutions inédites technologiquement ou dans leur approche du marché, même si les échanges en recherche et développement avec le secteur académique diminuent cette année (-8 %).
229M€ de fonds levés, la fin des grosses levées et un retour à la prudence
Lire la suite : https://presse.bpifrance.fr/radar-des-startups-cybersecurite-francaises-2024
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Intelligence artificielle : la législation pour réguler le secteur définitivement adoptée par l'Union européenne
francetvinfo.fr -vArticle rédigé par - franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié le 21 mai 2024
Cette loi, qui s'appliquera pour l'essentiel à partir de 2026, vise à favoriser l'innovation en Europe tout en limitant les possibles dérives.
Les vingt-sept pays membres de l'Union européenne ont définitivement approuvé, mardi 21 mai, une législation inédite au niveau mondial pour réguler les systèmes d'intelligence artificielle (IA) afin de favoriser l'innovation en Europe tout en limitant les possibles dérives. Les colégislateurs de l'UE avaient trouvé un accord début décembre au terme de difficiles négociations, certains pays comme la France craignant un encadrement excessif qui menacerait le développement de ce secteur d'avenir.
Cette législation s'appliquera pour l'essentiel à partir de 2026. Elle impose aux différents systèmes d'intelligence artificielle des contraintes proportionnées aux dangers qu'ils représentent pour la société. Les systèmes d'IA ne présentant qu'un risque limité seront soumis à des obligations de transparence très légères, tandis que les systèmes à haut risque, utilisés par exemple dans les infrastructures critiques (l'éducation, les ressources humaines ou le maintien de l'ordre), seront eux soumis à des exigences renforcées avant d'être autorisés dans l'UE.
Des règles spécifiques pour les IA génératives comme ChatGPT
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Build 2024 : Microsoft lance Team Copilot, un nouveau collaborateur IA au sein de votre équipe
informatiquenews.fr - Par la rédaction
Publié le 22 mai 2024
A l’occasion de la conférence Build 2024 qui se tient cette semaine, Microsoft a dévoilé un nouveau membre dans l’interminable liste de ses IA « Copilot » : Team Copilot. A ne surtout pas confondre avec « Copilot for Teams », Team Copilot est un assistant virtuel qui ne vous est pas « personnel » mais qui est là pour aider toute votre équipe et se comporte comme un membre à part entière de celle-ci.
La conférence Build de Microsoft est une conférence essentiellement destinée aux développeurs. Sans surprise, au lendemain du lancement capital de l’ère des « Copilot+ PC », Microsoft a fait une nouvelle fois de l’IA le thème central de sa conférence. Avec des tonnes d’outils et de modèles pour permettre aux développeurs d’embarquer toujours plus d’IA dans leurs applications et imaginer d’infinis cas d’usage des IA sur le Cloud et les PC.
Mais l’éditeur en a aussi profité pour présenter une de ses nouvelles IA en préparation utile à toutes les équipes au sein des entreprises (et pas uniquement aux équipes de développement).
Elle s’appelle « Team Copilot », un nom qui finalement des plus parlants mais qui peut prêter à confusion avec « Copilot for Teams », l’IA intégrée à Microsoft Teams pour les abonnés à Teams Premium ou à Microsoft Copilot 365.
Team Copilot fait entrer l’IA au cœur de la collaboration en entreprise. Cette IA est en réalité une extension de Copilot for Microsoft 365 ou, pour être plus précis, une nouvelle expérience au sein de l’offre Copilot for Microsoft 365.
Avec Team Copilot, chaque équipe au sein d’une entreprise va pouvoir bénéficier d’un assistant virtuel agissant comme un véritable membre à part entière pour faciliter leur travail au quotidien.
Lire la suite : https://www.informatiquenews.fr/build-2024-microsoft-lance-team-copilot-un-nouveau-collaborateur-ia-au-sein-de-votre-equipe-99207
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Confidentialité des données : l’IA une menace équivalente à la cybercriminalité
informaticien.com - Par Victor MIGET
Publié le 21 mai 2024
Les résultats d’un sondage commandé par Zama montrent que les développeurs voient dans l’intelligence artificielle un risque au moins équivalent à la cybercriminalité pour la confidentialité des données. Voici pourquoi.
Un sondage sur la confidentialité de l’IA mené pour Zama, une entreprise spécialisée dans le chiffrement homomorphe, révèle que 53 % des développeurs voient l’IA comme une menace à la confidentialité des données. 55 % d’entre eux disent même que le cybercrime n’est que marginalement problématique face au risque que l’IA fait peser sur la confidentialité des données.
Les répondants la voient au moins comme une menace équivalente à la cybercriminalité, à mesure que son utilisation se généralise au sein des organisations. La crainte derrière cette affirmation est de voir une nouvelle génération de cybercriminels se saisir des outils d’IA pour mener leurs attaques.
Des responsables pas suffisamment sensibilisés
Le risque est aussi à voir dans les capacités inhérentes de cette technologie. « Un aspect particulièrement alarmant est le risque de sécurité associé aux systèmes d'IA qui nécessitent de vastes ensembles de données pour l'entraînement, qui incluent souvent des informations personnelles sensibles. »
Des ensembles de données qui attisent la convoitise des acteurs de la menace. D’après l’enquête, il y a urgence à réglementer ce secteur encore naissant. Or, selon 30 % des développeurs interrogés, les responsables sont insuffisamment informés sur le sujet. « Les développeurs sont préoccupés par les cadres réglementaires actuels, 98 % préconisant des mesures proactives pour aborder les risques futurs en matière de confidentialité des données », peut-on lire.
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"H": Xavier Niel, Bernard Arnault et Amazon investissent dans une nouvelle start-up française d’IA
bfmtv.com - S.T avec AFP
Publié le 21 mai 2024
Emmanuel Macron a annoncé la création d'une nouvelle start-up française qui a pu lever 220 millions de dollars grâce à de gros investisseurs.
Une nouvelle start-up française d'intelligence artificielle (IA) baptisée H a été lancée ce 21 mai et a levé 220 millions de dollars (202,7 M euros) auprès de gros investisseurs dont Bernard Arnault, Xavier Niel - qui a fondé Kyutai, un "OpenAI à la française", ou Amazon, a annoncé Bpifrance, qui la finance également.
Parmi les autres participants au tour de table figurent notamment l'ancien PDG de Google Eric Schmidt, le fonds Accel, Samsung et l'entrepreneur israélien d'origine russe Yuri Milner.
Un budget et un casting XXL
Emmanuel Macron a célébré "une bonne nouvelle", juste avant de retrouver "les talents français de l'intelligence artificielle", en marge du salon Vivatech, qui se tient du 22 au 25 mai 2024 à Paris-Porte de Versailles. Le président de la République avait d'ailleurs prévu de se rendre à l'événement dès le premier jour, mais va finalement s'envoler pour la Nouvelle-Calédonie en raison de la situation sécuritaire de l'archipel.
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Seize entreprises d’intelligence artificielle prennent de nouveaux engagements pour la sécurité
Publié le 21 mai 2024
Des entreprises mondiales d’intelligence artificielle (IA), dont OpenAI (ChatGPT), Google DeepMind et Anthropic, ont pris de nouveaux engagements pour assurer le développement de cette science tout en limitant les possibles dérives.
Beaucoup exigent que des normes internationales soient instituées pour encadrer le développement et l’utilisation de l’IA. Photo d’illustration. | DADO RUVIC / ARCHIVES REUTERS
Seize des principales entreprises mondiales d’intelligence artificielle (IA), dont les représentants sont réunis mardi à Séoul, ont pris de nouveaux engagements pour assurer le développement en toute sécurité de cette science, a annoncé le gouvernement britannique.
Pour « une IA sûre »
« Ces engagements garantissent que les principales entreprises d’IA du monde feront preuve de transparence et de responsabilité quant à leurs projets de développement d’une IA sûre », a déclaré le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, dans un communiqué publié par le ministère britannique de la Science, de l’Innovation et de la Technologie.
L’accord, signé notamment par OpenAI (ChatGPT), Google DeepMind et Anthropic, s’appuie sur les consensus atteints lors du premier« sommet » mondial sur la sécurité de l’IA, l’an dernier à Bletchley Park, au Royaume-Uni.
Blockchain
Dix pays européens se sont mis d’accord pour lancer une blockchain “souveraine”, la fin de nos vies privées ?
cryptonaute.fr - Par Charles Ledoux
Publié le 22 mai 2024
Dix pays de l’Union européenne dont l’Italie, la Pologne et la Grèce, se mettent d’accord pour lancer la blockchain Europeum pour impacter “la vie quotidienne” des citoyens.
Une blockchain UE en approche ?
Alors que la CBDC semble avancer lentement, 10 pays européens se seraient mis récemment d’accord pour lancer une blockchain nommée Europeum.
En effet, le gouvernement belge prévoit donc d’utiliser la technologie blockchain pour faciliter le stockage et le transfert de données de manière sécurisée. Les documents officiels tels que les permis de conduire et les titres de propriété en font partie :
“Europeum aura une présence tangible dans la vie quotidienne des citoyens européens. Chaque citoyen pourra maîtriser ses données personnelles” déclare Mathieu Michel, secrétaire d’État belge à la numérisation.
Initié par le gouvernement belge, une nouvelle organisation a été conçue ce mardi pour introduire la blockchain afin de réorganiser le transfert de données entre les 27 pays membres de l’UE.
Toutefois, la France ou encore l’Allemagne ne font pas partie de cette liste de partisans crypto. Parmi les 10 pays qui ont rejoint l’organisation se trouvent l’Italie, la Pologne ou encore la Grèce. Selon un post de Mathieu Michel sur Linkedin, “d’autres sont à venir”.
Lire la suite : https://cryptonaute.fr/10-pays-europeens-daccord-blockchain-souveraine/
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La Blockchain Based Identity, c’est quoi ? On vous explique
fr.beincrypto.com - Par Auteur invité - Mis à jour par Célia Simon
Publié le 19 mai 2024
À l’ère numérique, l’identité est aussi fondamentale que complexe. Les services en ligne ont évolué si rapidement qu’ils ont transformé notre façon de vivre, de travailler et d’interagir. Cependant, cette transformation numérique met également l’accent sur les enjeux majeurs liés à la gestion, à la vérification et à la protection des identités et des données. En effet, les systèmes traditionnels d’identité numérique, centralisés et cloisonnés, se font de plus en plus inadaptés, ce qui rend les données personnelles vulnérables aux violations, à l’utilisation abusive et à une détérioration de la protection de la vie privée. Alors que nous produirons plus de données au cours des trois prochaines années qu’au cours des trente dernières, l’urgence d’un modèle de gestion de l’identité numérique sûr, efficace et centré sur l’utilisateur se fait alors primordiale.
C’est là que la technologie blockchain entre en scène, une solution révolutionnaire qui promet de redéfinir les fondements de l’identité numérique par le biais de la décentralisation. En tirant parti des propriétés inhérentes à la blockchain en matière de sécurité, de transparence et d’immutabilité, l’identité autonome (Self-Sovereign Identity – SSI) apparaît ainsi comme un modèle grâce auquel les individus reprennent le contrôle de leurs informations personnelles, ce en décidant comment, quand et avec qui leurs données sont partagées.
Cette évolution vers le système SSI permet non seulement de remédier aux vulnérabilités des systèmes d’identité centralisés, mais aussi de répondre à la demande croissante de protection de la vie privée et des données dans le domaine numérique.
L’environnement réglementaire, notamment avec la mise en place d’eIDAS 2.0, joue un rôle crucial dans la définition de l’avenir de l’identité numérique en Europe. Cette révision du cadre eIDAS déjà existant vise ainsi à instaurer une infrastructure d’identité numérique robuste et interopérable dans l’ensemble des États membres de l’UE, ce en y intégrant la technologie blockchain afin de renforcer la sécurité et la portabilité des identités numériques.
Lire la suite : https://fr.beincrypto.com/technologie/334570/blockchain-based-identity-ssi-explications/
RGPD
Marie-Laure Denis, présidente de la Cnil : « Nous ne sommes pas un régulateur hors-sol ! »
maire-info.com - Par Bénédicte Rallu et Xavier Brivet
Édition du mardi 21 mai 2024
En fonction depuis 2019, Marie-Laure Denis a été reconduite à la présidence de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) pour un mandat de cinq ans, en janvier dernier. Elle revient dans une interview sur les différents rôles de la CNIL notamment auprès des collectivités.
Quels sont les principaux constats de la CNIL concernant les collectivités ?
Depuis l’entrée en application du règlement général sur la protection des données (RGPD) en 2018, les collectivités ont fait des efforts. En 2023, sur plus de 16 000 plaintes reçues par la CNIL, seules 900 concernaient les collectivités – modalités d’accès et/ou protection insuffisante de leurs données, conservation excessive de leurs données. Nous prononçons peu de sanctions à leur encontre, mais nous recherchons la mise en conformité de l’ensemble des acteurs (collectivités, entreprises, associations…).
Les collectivités respectent-elles le RGPD ?
Toutes les collectivités devraient avoir nommé un délégué à la protection des données (DPO). Aujourd’hui, près de 60 % l’ont fait. Les petites communes peuvent mutualiser un DPO. En 2022, la CNIL avait dû mettre en demeure publiquement 22 collectivités qui n’avaient pas désigné le leur. Cela a eu un effet vertueux : depuis, 2 000 d’entre elles l’ont fait !
Les élus peuvent-ils solliciter la CNIL pour se faire aider ?
Lire la suite : https://www.maire-info.com/num%C3%A9rique/marie-laure-denis-presidente-de-la-cnil--nous-ne-sommes-pas-un-regulateur-hors-sol-!--article-28617
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RGPD : le droit d’accès au contenu de la messagerie professionnelle, boîte noire des relations de travail.
Par Karim Stephen de Medeiros, Avocat.
1re Parution : 20 mai 2024
En 2024, la CNIL fait du droit d’accès l’une de ses thématiques prioritaires de contrôle.
La mise en œuvre de ce droit est souvent discutée, car il permet aux salariés de se constituer des preuves dans le cadre d’un contentieux, lorsque l’accès à leurs e-mails leur a été coupé. À l’opposé, il impose parfois de lourdes obligations aux employeurs.
L’imagination permet de concevoir que le droit d’accès peut être utilisé ou refusé dans de nombreux cas de figure.
Le présent article est l’occasion d’évoquer les considérations d’ordre général dont il faut tenir compte lors de sa mise en œuvre.
Introduction.
Dans une société de l’information où l’utilisation des outils de communication électronique est quasi-incontournable, l’e-mail est devenu le témoin préféré du justiciable.
Pour un salarié comme pour un employeur, la boîte mail professionnelle peut regorger d’informations précieuses révélant l’historique de leur relation de travail.
Et il pourrait en être dit autant des conversations téléphoniques, des échanges SMS ou des réseaux sociaux publics ou d’entreprise (LinkedIn, Slack, etc.).
Le RGPD et la loi informatiques et libertés prévoient la possibilité pour le salarié d’accéder à ses données personnelles, en ce incluses les informations contenues dans des e-mails professionnels.
Ce droit d’accès est souvent discuté, car il permet aux salariés de se constituer des preuves dans le cadre d’un contentieux, lorsque l’accès à leurs e-mails leur a été coupé. A l’opposé, il impose parfois de lourdes obligations aux employeurs.
Or, pour la CNIL, le droit d’accès est l’une des thématiques prioritaires de contrôle pour l’année 2024.
Le présent article est l’occasion d’évoquer les considérations d’ordre général dont il faut tenir compte lors de sa mise en œuvre.
1. Qu’est-ce que le droit d’accès ?
Lire la suite : https://www.village-justice.com/articles/rgpd-droit-acces-contenu-messagerie-professionnelle-boite-noire-des-relations,49793.html
Cybersécurité
Cybersécurité : un besoin de clairvoyance pour suivre le rythme de l’innovation
informatiquenewws.fr - Nathan Howe, Zscaler
Par La rédaction
Publié le 20 mai 2024
Les dates limites de mise en conformité avec la directive NIS2 et la loi sur la résilience des opérations numériques (DORA) approchent à grands pas. La réglementation concernant la cybersécurité est désormais au centre des préoccupations de nombreuses entreprises. Les initiatives NIS2 et DORA sont des avancées prometteuses pour l’Europe en termes de cybersécurité. Cependant, pour vraiment transformer le paysage mondial de la cybersécurité, un ingrédient essentiel semble manquer : la clairvoyance. Certes, la réglementation répond à des besoins spécifiques, mais cela ne veut pas dire qu’elle ne peut pas être visionnaire. Actuellement, les leaders de l’industrie se retrouvent souvent démunis face aux nouvelles technologies et sont confrontés à un défi majeur car l’innovation évolue plus rapidement que la réglementation.
Guidés par l’incertitude
Si les récents débats à Davos nous ont appris une chose, c’est que les responsables informatiques et politiques inscrivent la réglementation dans leur feuille de route par peur, et non par volonté de changer. Ce qu’ils oublient de prendre en compte, c’est que la réglementation et l’innovation peuvent travailler de pair pour nous faire avancer à un rythme beaucoup plus rapide et à moindre risque. Le processus de réglementation est cyclique : il repose sur une norme qui évolue sous l’effet d’une technologie existante et est donc, à bien des égards, prévisible. D’ailleurs, la 5G basée sur l’IA illustre bien le type de technologie qui nécessitera une nouvelle réglementation, d’autant plus qu’elle évolue vers la 6G et une série de nouvelles fonctionnalités.
Lire la suite : https://www.informatiquenews.fr/cybersecurite-un-besoin-de-clairvoyance-pour-suivre-le-rythme-de-linnovation-nathan-howe-zscaler-99170
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L’intelligence artificielle permet une progression de la cybercriminalité
par Yohan Demeure, expert géographe
24 mai 2024, 14 h 56 min
Selon une unité de recherche en cyber économie, la cybercriminalité coûtera aux victimes pas moins de 9 500 milliards de dollars en 2024. Or, cette activité illégale semble progresser fortement sous l’impulsion de l’intelligence artificielle.
Un coût mondial en augmentation de 15 % par an
Aujourd’hui, les cybercriminels redoublent d’ingéniosité pour tromper les citoyens et les entreprises à l’aide de techniques de plus en plus pointues. Selon un communiqué publié par Cybersecurity Ventures en octobre 2023, la totalité des victimes de la cybercriminalité perdra ainsi pas moins de 9 500 milliards de dollars en 2024. Cette somme pourrait par ailleurs dépasser les 10 000 milliards en 2025.
Dans son rapport annuel, Cybersecurity Ventures explique que l’intelligence artificielle est une aide précieuse pour les criminels dans le développement de scénarios complexes afin de tromper leurs victimes. La plupart du temps, il est question d’attaques personnalisées impliquant l’utilisation des contenus audios et vidéos disponibles uniquement en ligne. Le but n’est autre que d’imiter le visage et la voix d’une personne réelle afin d’extorquer ainsi de l’argent à la famille de la victime ou encore aux partenaires commerciaux des entreprises.
Rappelons que pas moins de 71 millions de citoyens sont victimes de ce phénomène chaque année en moyenne pour un préjudice d’environ 318 milliards de dollars. Par ailleurs, le coût moyen d’une attaque qui vise les données des PME est très variable, soit entre 120 000 et 1,24 million de dollars. De plus, il faut également savoir que le coût mondial des cyberattaques contre les entreprises et les citoyens est en augmentation de 15 % par an.
Bientôt une attaque toutes les deux secondes
Lire la suite : https://sciencepost.fr/intelligence-artificielle-permet-progression-cybercriminalite/
Thales
Première mondiale : la software république dévoile son concept « u1st vision », une première dans les services mobiles centrés sur le citoyen et sur la santé
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 23 juin 2024
La Software République, un écosystème d'innovation ouverte pour une mobilité intelligente, sécurisée et durable, dévoile aujourd'hui le concept « U1st Vision » (You First Vision). Ce démonstrateur technologique innovant met en scène sa vision de services « plus proches du citoyen », en lui offrant un accès facilité à une gamme de services de proximité variés, personnalisés et sécurisés.
Le démonstrateur « U1st Vision » est composé de 2 parties : un module autonome multiservices (« pop-up »), sur une plateforme de véhicule utilitaire électrique (FlexEVan), qui rassemble les innovations des 7 membres de la Software République et de ses partenaires impliqués sur ce concept. De multiples services tels que les soins de santé, le service civique, la réparation de vélos et les services de recyclage de produits électriques par exemple pourraient être proposés aux citoyens via des modules autonomes (« pop-ups ») à la demande d’autorités locales. Le « U1st Vision » intègre également un outil complet de planification, de suivi et de gestion de services pour les acteurs publics et les prestataires de services privés.
22 entreprises ont participé à ce projet :
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/premiere-mondiale-software-republique-devoile
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Thales assure la transformation du système d'identité national de Maurice avec une solution numérique innovante
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 23 mai 2024
• Le bureau du Premier ministre mauricien (PMO) a choisi une solution d’identité Thales adaptée au futur de ses concitoyens. Ce contrat de dix ans vise à soutenir la transformation numérique du pays.
• Ce système d'identité innovant de Thales couvre l’ensemble de la chaîne de valeur depuis l’inscription des citoyens à la délivrance de l’identité physique et numérique, tout en privilégiant une approche globale de la sécurité.
• Maurice devient le premier pays africain à déployer un portefeuille d'identité numérique entièrement interopérable, basé sur les normes internationales ISO.
Le bureau du Premier ministre mauricien a confié au consortium dirigé par Thales - comprenant le principal fournisseur IT de Maurice, Harel Mallac Technologies (HMT) - la mise en place d’un dispositif national d’identité, innovant et complet. Ce projet a pour but d’améliorer les services proposés aux citoyens et de renforcer la sécurité de leur identité. Il représente une étape clé vers une transformation numérique nouvelle génération, pleinement alignée sur la stratégie numérique du pays à l’horizon 2030.
Cet ambitieux effort de modernisation s’appuie sur l’expérience acquise par Thales dans le cadre de 300 projets gouvernementaux dans le monde entier, et garantit l’association de technologies innovantes en vue d'une implémentation rapide et d'une exécution fiable des projets. Le partenariat à long terme apporte un soutien éprouvé et spécialisé dans toutes les étapes clés du programme d'identité, de l'enregistrement des citoyens à la délivrance d'une pièce d'identité physique et de son compagnon numérique. Cette approche complète anticipe les évolutions futures et répond efficacement aux menaces de fraudes à l’identité.
Dans le cadre de ce contrat de dix ans, Thales fournit un système de gestion des identités robuste et modulaire permettant d'émettre en toute sécurité des cartes d’identités innovantes et un compagnon mobile, le portefeuille d'identité numérique. Cette solution garantit une confiance et une confidentialité complète des interactions quotidiennes entre les organismes publiques et les citoyens. L'expérience utilisateur est au cœur de cette modernisation, illustrée par un riche éventail de nouvelles fonctionnalités et de nouveaux services.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-assure-transformation-du-systeme
L’Estonie est un petit pays de 1,3 million d’habitants mais très performant pour ce qui concerne les services numériques aux citoyens.
L’Estonie a été classée « société numérique la plus avancée au monde » par le magazine Wired (magazine américain spécialisé dans les nouvelles technologies). Les Estoniens affirment qu’ils ont réinventé la notion même d’Etat, pensé comme une plateforme de services qui met le citoyen au centre.
Depuis 2001, X-Road est l'épine dorsale de l'e-Estonie. X-Road permet aux bases de données des services électroniques du pays, tant dans le secteur public que dans le secteur privé, de se relier. Aujourd'hui, grâce à X-Road, plus de 1 000 bases de données interconnectées couvrant quelque 1 700 services permettent de répondre à plus de 50 millions de demandes chaque mois.
Le gouvernement estonien entreprend en 1996 sa stratégie dite du « Bond du Tigre » en 1996 en prenant appui sur un déploiement systématique des infrastructures informatiques et notamment que chaque école doivent être équipée d’ordinateur pour que les élèves puissent étudier. Ils enseignent d’ores et déjà l’informatique et la robotique a l’école. Dès le plus jeune âge ils veulent créer la passion de l’informatique. Les jeunes estoniens sont les meilleurs d’Europe en mathématiques. Les enseignants utilisent ChatGPT pour faire cours.
L’idée est d’utiliser l’IA pour qu’elle ajuste au plus prêt du besoin de l’enfants, les enseignants restent au cœur du système. Les établissements sont libres de choisir leur équipes pédagogiques
La carte d’identité numérique est adoptée par 98% de la population pour voter, accéder aux transports en commun, régler leurs impôts, suivre les résultats de leurs enfants à l’école, signer leur document administratif numériquement, ou encore demander une subvention agricole. L’ordonnance médiale est dématérialisée et stockées en ligne et il suffit de présenter sa carte d’identité en pharmacie. La Ministre estonienne du numérique affirme que cela leur fait économiser environ 2% du PIB.
Les Estoniens considèrent que la fracture numérique est avant tout une question d’infrastructure ; chacun a accès librement a des ordinateurs et une aide dans les bureaux de postes ou les bibliothèques.
Les demandes sont traitées en 2 semaines via la dématérialisation contre 3 mois en papier.
• E-services :
• Signature digitale
• E-police
• M-Parking (paiement de stationnement par mobile)
Depuis 2014, les étrangers peuvent avoir un statut d’é-résident (33 000 personnes), il permet de créer son entreprise en Estonie et de la gérer de n’importe où dans le monde. le but est d’attirer des entreprises sur son territoire grâce notamment a sa fiscalité avantageuse (l’impôt sur le revenu est de 0% pour les entreprises dont les bénéfices sont reversées dans le pays)
Le Centre d’excellence de l’OTAN en cybersécurité est à Tallinn. Tallinn est un des plus gros centre en cybernétique, et centre névralgique des télécommunications des républiques baltes.. Tallinn veut être une référence en cybersécurité : Estonie est le 3ème pays le plus sûr selon l’indice de l’union mondial des télécommunications
Il y a du wifi-public partout (depuis 2002). Ils font aussi des cours d’informatique dans les EHPAD.
Mobilité
« No parking, no business » en centre-ville : un mythe à déconstruire
theconversation.com - Par Mathieu Chassignet, Ingénieur transports et mobilité, Ademe (Agence de la transition écologique)
Publié le 12 mai 2024
En mars 2024, des associations de commerçants ont saisi le Conseil d’État pour s’insurger contre la future piétonnisation de la Presqu’Île de Lyon.
Les mesures de ce type se multiplient en France dans une volonté d’apaiser les centres-villes pour les rendre plus agréables et y réduire la pollution. Mais elles génèrent quasi systématiquement une levée de boucliers de la part des commerçants qui y sont implantés.
Déjà frappés par une concurrence croissante du commerce en ligne et des zones commerciales périphériques – qui se traduit par un taux de vacance commerciale (vitrines vides) qui a fortement augmenté dans les villes françaises – ils voient toute mesure de réduction de la place de la voiture (piétonnisation, stationnement…) comme une menace supplémentaire à la bonne marche de leurs affaires.
Pour répondre aux difficultés du commerce de centre-ville, deux écoles se font face :
• La première, souvent prônée par les commerçants, consiste à faciliter la circulation et le stationnement automobile en espérant drainer des clients éloignés.
• La seconde, au contraire, propose de travailler sur l’ambiance urbaine, en reprenant de l’espace à la voiture au bénéfice des piétons, en misant sur le fait que ces derniers auront davantage tendance à venir s’y promener et y consommer.
Sur ce sujet sensible où opinions et ressentis dominent, rares sont les études qui se sont penchées sur la mobilité des clients qui fréquentent les commerces de centre-ville pour objectiver le débat. Quelques-unes existent toutefois, menées à Rouen, à Lille ou encore à Nancy.
Lire la suite : https://theconversation.com/no-parking-no-business-en-centre-ville-un-mythe-a-deconstruire-224182
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Mobilités : les pratiques électriques émergentes
cerama.fr- Par
Publié le 17 mai 2024
Voiture électrique, vélo à assistance électrique, engins de déplacements personnels motorisés (EDPM) : ces nouveaux modes de transports connaissent un essor important ces dernières années. Que nous apprennent les récentes enquêtes EMC² sur leurs pratiques?
Connaitre les pratiques associées et mesurer le poids de ces nouveaux modes dans la mobilité quotidienne n’est pas simple, tant les signaux restent encore faibles au milieu des flux de déplacement massifs que sont la voiture thermique, les transports en commun ou la marche.
Pour mieux connaitre ces "événements rares" au sens statistique, le Cerema a regroupé les récentes enquêtes de mobilité certifiées Cerema (EMC²) pour cumuler suffisamment d’observations. Cela permet de dresser des premiers enseignements concernant la pratique de ces modes et leurs usagers. Nous attirons l’attention du lecteur sur le fait que la population d’étude ainsi constituée n’assure pas rigoureusement une représentation de la population du territoire national (l’Ile-de-France notamment n’est pas du tout représentée, cf. encadré "Précautions d’usage") mais sa composition suffisamment variée permet tout de même de dégager des ordres de grandeur robustes présentés ici.
LA PLACE DE CES MODES ÉMERGENTS DANS LA MOBILITÉ
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/mobilites-pratiques-electriques-emergentes
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Mobilité durable : le Gart lance son comité des parties prenantes
banquedesterritoires.fr - Par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 17 mai 2024
Transport et mobilité décarbonée
S’inspirant des comités des partenaires mis en place par les autorités organisatrices de la mobilité (AOM) dans le cadre de la loi d’orientation des mobilités, le Gart a organisé ce 15 mai à Paris la première édition de son comité des parties prenantes rassemblant une trentaine de structures impliquées dans les enjeux de mobilité durable. "Cette initiative découle d’une volonté d’associer, au côté des autorités organisatrices de la mobilité (AOM), les institutions publiques et privées dont l’action ou les décisions influent sur les politiques publiques de mobilité : organisations gouvernementales, syndicales et patronales, associations de collectivités territoriales, fédérations professionnelles, associations d’usagers…", a expliqué le Gart dans un communiqué.
"En sa qualité de représentant national des autorités organisatrices de la mobilité régionales et locales, notre association incarne l’intermodalité, comme le montre sa position centrale à la fois sur les services express régionaux métropolitains et sur l’expérimentation du titre unique de transport, a déclaré son président, Louis Nègre. Notre action témoigne d’une volonté absolue, celle d’aboutir à un rééquilibrage de l’effort collectif en faveur d’une mobilité plus durable. Pour y parvenir, il est nécessaire de rassembler et de connaître les attentes de chacun des acteurs engagés afin de mettre en œuvre une stratégie nationale efficace au service de la mobilité. Le comité des parties prenantes que nous installons aujourd’hui s’inscrit pleinement dans cette perspective."
https://www.cerema.fr/fr/actualites/mobilites-pratiques-electriques-emergentes
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Arnaque à Strasbourg : un faux compte Facebook se fait passer pour la CTS
acte.fr - Par Camille Bresler
Publié le 16 mai 2024Avril
Un compte Facebook se fait passer pour la CTS et propose une fausse carte. La compagnie a communiqué ce mardi via sa page officielle et invite ses utilisateurs à être vigilant.
La Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) a alerté, mardi 14 mai 2024, les internautes a être vigilant. En cause : une escroquerie opérée par une page Facebook qui se fait passer pour la CTS.
« Ne vous faites pas avoir ! », prévient la CTS.
L’arnaque propose de voyager gratuitement pendant six mois
Avec 36 followers et 36 « j’aime », la page Facebook en question œuvre sous le nom de « Carte des transports publics de Strasbourg ».
La page promet offrir une carte Badgéo pour voyager gratuitement pendant six mois. Une campagne pour « soutenir le public après l’augmentation des tarifs. Les demandes seront acceptées jusqu’à la fin du mois », pouvait-on lire sur la publication frauduleuse. Depuis, elle a été supprimée de la page.
La carte promet pour 2,35 € de « bénéficier d’un accès illimité aux transports publics dans la ville et au-delà, tout au long de l’année. »
Une escroquerie sur internet rondement menée
Lire la suite : https://actu.fr/grand-est/strasbourg_67482/arnaque-a-strasbourg-un-faux-compte-facebook-se-fait-passer-pour-la-cts_61067873.html
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Découvrez en photo les tracés envisagés d'une possible future ligne de métro dans Bordeaux Métropole
francebleu.fr - De Kevin Blondelle - Par France Bleu Gironde
Publié le mardi 14 mai 2024
La Métropole de Bordeaux dévoile les premiers tracés possibles d'une hypothétique future ligne de métro de Bordeaux. C'est la première étape d'une étude qui doit s'étendre jusqu'à la fin de l'année avant de décider de l'avenir définitif du projet.
Verra-t-on un métro à Bordeaux et sa métropole un jour ? Il est encore trop tôt pour le dire, l'étude lancée sur le sujet doit se poursuivre sur toute l'année 2024. En revanche, la première phase de cette étude a permis d'établir cinq corridors, c'est-à-dire cinq ébauches de tracés assez larges pour être adaptées en fonction de la faisabilité. Deux d'entre eux devraient être retenus pour être étudiés durant la deuxième phase de l'étude.
Plusieurs figures imposées pour imaginer le parcours
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Vitalis - Arnaque à l'identité via Facebook
le7.info - Par Claire Brugler
Publié le 13 mai 2024
La société Vitalis, en charge des transports urbains sur Poitiers et Grand Poitiers, met en garde ses usagers sur une publicité mensongère visible sur Facebook, laquelle promet une carte Vpass gratuite pendant six mois. "Publiée sur une page dénommée « Carte des transports publics à Poitiers », cette annonce est une arnaque destinée à recueillir des données personnelles, et notamment bancaires. Elle est assortie de commentaires rassurants émanant de faux comptes", précise Vitalis, victime comme Reims ou Clermont-Ferrand d'une usurpation d'identité. Elle appelle donc à la vigilance.
Lire la suite : https://www.le7.info/article/23562-vitalis-arnaque-a-lidentite-via-facebook
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Arnaque aux billets gratuits pour le tram et les bus à Caen : un appel à la prudence lancé
actu.fr - Par Rédaction Caen
Publié le 13 mai 2024
En ce début mai 2024, Twisto qui opère sur le réseau de transports en commun de l'agglomération de Caen (Calvados), dénonce une page Facebook offrant des titres de transports.
Tout semble partir d’une page non officielle lancée sur le réseau social Facebook. En ce début du mois de mai 2024, Twisto dénonce une page intitulée « Carte des transports publics à Caen ». La direction du réseau de transport en commun de Caen la mer déplore une arnaque. Elle en explique le mode opératoire.
Une petite somme en échange de la carte
Selon Twisto, ce compte frauduleux prétend pouvoir accorder des titres de transport permettant de circuler librement sur le réseau, gratuitement. « Il s’agit d’une arnaque, soyez vigilants ! », prévient la direction qui invite les utilisateurs sur Facebook à « signaler la page et la publication ».
Elle explique, par ailleurs, qu’en échange de la carte, la personne contactée doit régler une petite somme. « Mais ils n’enverront jamais de carte. »
Lire la suite : https://actu.fr/normandie/caen_14118/arnaque-aux-billets-gratuits-pour-le-tram-et-les-bus-a-caen-un-appel-a-la-prudence-lance_61058545.html
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Hydrogène liquide et mobilité : lancement du programme de recherche Hygen, doté de 7,5 millions d'euros
environnement-magazine.fr - Par la Rédaction
Publié le 15 mai 2024
L’objectif du programme de recherche est d’encourager le développement d’une filière d’hydrogène liquide en France pour décarboner les transports.
Le programme Hygen, lancé le 14 mai, est porté par Fives, groupe d’ingénierie industrielle, spécialiste de la cryogénie et chef de file du consortium, le CEA et l’Ecole des Mines de Saint-Etienne. Il a pour objectif de développer les équipements nécessaires à l’utilisation de l’hydrogène liquide en faveur de la mobilité décarbonée.
Le programme a quatre grandes ambitions : lever les verrous technologiques pour mettre à l’échelle les équipements de liquéfaction et multiplier par 10 les capacités existantes, renforcer la fiabilité des équipements, contribuer à l’amélioration de la compétitivité de la France et à la création d’une filière forte autour de l’hydrogène liquide, et enfin, répondre à la demande croissante en hydrogène pour la mobilité verte à l’échelle mondiale.
Un projet implanté dans les Vosges
Hygen a été financé par le gouvernement dans le cadre de France 2030 à hauteur de 3,4 millions d’euros. Pour répondre aux objectifs du programme de recherche, Fives envisage de recruter 85 personnes dans les Vosges, à Golbey (Grand-Est), où l’entreprise est implantée et emploie déjà 370 personnes.
7e sommet Choose France
Sommet Choose France 2024 : une édition record avec plus de 15 milliards d'euros d'investissements
francebleu.fr - Par Blandine Costentin, fanceinfo, France bleu
Publié le 12 mai 2024
Le 7e sommet Choose France se déroule ce lundi à Versailles avec la participation d'environ 180 chefs d’entreprises étrangers. L'Élysée a annoncé un nombre "record" de 56 projets, avec plus de 15 milliards d'euros d'investissements.
Le 7e sommet Choose France est organisé ce lundi au château de Versailles : cette réunion de grands patrons du monde entier est destinée à promouvoir les investissements étrangers sur notre territoire. L’Élysée a annoncé un nombre de 56 projets et "plus de 15 milliards d'euros d'investissements", un "record". Des investissements qui s'étalent généralement sur plusieurs années, notamment dans l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies. Environ 180 chefs d'entreprise y participent.
Amazon va investir "plus de 1,2 milliard d'euros"
Le géant américain du e-commerce Amazon va investir "plus de 1,2 milliard d'euros en France" à la fois dans les centres de données de son activité de "cloud", notamment pour l'intelligence artificielle (IA) générative, et dans ses entrepôts logistiques, avec la création de "plus de 3.000 emplois", a assuré dimanche l'Élysée.
Microsoft a de son côté annoncé investir 4 milliards d'euros dans le développement de data centers en France pour renforcer son infrastructure dans l'intelligence artificielle (IA) et le cloud. "Il s'agit de l'investissement le plus important que nous ayons jamais réalisé" en France, a précisé son président Brad Smith. Un nouveau centre de données de Microsoft doit être implanté dans l'est de la France, près de Mulhouse, tandis que les sites existants, en région parisienne et près de Marseille, seront étendus.
Une usine d'engrais bas-carbone
Investissement
Microsoft investit 4 milliards d’euros en France
datanews.levif.be Par Rédaction Data News
Source: Belga
Publié le 13 mai 2024
Microsoft va investir 4 milliards d’euros dans le développement de data centers en France pour renforcer son infrastructure dans l’intelligence artificielle (IA) et le cloud, a annoncé le géant américain de l’informatique avant le sommet Choose France lundi.
“Il s’agit de l’investissement le plus important que nous ayons jamais réalisé” en France, a précisé son président Brad Smith dans un entretien à l’AFP, et l’un des plus importants à l’étranger pour l’entreprise américaine dans l’IA ces derniers mois, domaine dans lequel elle investit massivement.
Un nouveau centre de données de Microsoft doit être implanté dans l’est de la France, près de Mulhouse, tandis que les sites existants, en région parisienne et près de Marseille, seront étendus. Ces bâtiments spécialisés renferment les serveurs informatiques indispensables au bon fonctionnement des technologies du cloud et de l’IA, très gourmandes en énergie. Ils seront dotés de processeurs de dernière génération avec une capacité allant jusqu’à 25.000 GPU, afin d’alimenter les services de cloud et d’intelligence artificielle de l’Hexagone. Le géant américain s’engage également à fonctionner à 100% en énergies renouvelables, y compris dans ses data centers, d’ici 2025.
Formation à l’IA
Détection
Déclaration obligatoire, détection par algorithme, surveillance électronique : contre les ingérences étrangères, le Sénat sort l’artillerie lourde
publicsenat.fr - Par Rose Amélie Recel
Publié le 17 mai 2024
À l'heure où l'Azerbaïdjan est accusé par le gouvernement d'influencer les indépendantistes en Nouvelle-Calédonie, le Sénat s'apprête à examiner une proposition de loi sur les ingérences étrangères. Le texte permettrait de renforcer le cadre juridique pour surveiller les représentants d’intérêts étrangers en France et mieux sanctionner les ingérences.
Situation en Nouvelle-Calédonie, Jeux olympiques, élections européennes… La liste des évènements potentiellement visés par des ingérences étrangères s’alourdit de jour en jour. Dans ce contexte, le Parlement examine une proposition de loi visant à renforcer l’arsenal juridique et répressif de l’État, pour prévenir ces opérations. Le texte, voté à l’Assemblée nationale le 27 mars, sera présenté au Sénat le 22 mai prochain.
Les dispositions de la proposition de loi s’inspirent largement du rapport annuel de la délégation au renseignement, publié en novembre dernier, qui dénonçait « une forme de naïveté et de déni » de l’État face aux offensives étrangères. Des menaces qualifiées d’« hybrides », qui s’illustrent notamment par des campagnes de manipulation de l’information à grande échelle.
Obliger les acteurs de l’influence étrangère à se déclarer
Intelligence artificielle
OpenAI crée son propre moteur de recherche web ! La fin de l’ère Google ?
lebigdata.fr - Par Oliva R.
Publié le 12 mai 2024
OpenAI s'apprêterait à présenter, le 13 mai prochain, un moteur de recherche propulsé par l'IA générative. Une annonce ô combien stratégique puisqu'elle interviendrait la veille de la conférence Google I/O 2024.
Les hostilités se multiplient sur le champ de bataille de l'intelligence artificielle. OpenAI, la start-up à l'origine du désormais célèbre ChatGPT, a lancé un défi de taille à Google. Le 13 mai, OpenAI devrait dévoiler un moteur de recherche révolutionnaire basé sur l'IA générative.
Un bras de fer stratégique
Ce coup d'éclat n'est que le dernier épisode d'une guerre des IA qui fait rage depuis l'année dernière. En novembre 2022, OpenAI créait la surprise en lançant ChatGPT, un assistant conversationnel d'une redoutable efficacité. Quelques mois plus tard, Google ripostait avec Bard, une IA générative aux performances alors jugées décevantes.
Depuis, les deux mastodontes n'ont eu de cesse d'intégrer leurs technologies d'IA dans leurs produits phares, des moteurs de recherche aux suites bureautiques, en passant par les navigateurs web.
Un marché de plus 1 000 milliards en jeu
Cette offensive tous azimuts n'a rien d'étonnant. Les analystes évaluent le marché de l'IA générative à plus de 1 300 milliards de dollars d'ici 2032. Une jeune pousse comme Perplexity AI, qui vise à concurrencer Google sur le terrain des moteurs de recherche, est déjà valorisée à 1 milliard, signe que le potentiel disruptif de l'IA générative est immense.
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/openai-cree-son-propre-moteur-de-recherche-web-la-fin-de-lere-google
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Intelligence artificielle, innovations, investissements… Comment réveiller la croissance française ?
radiofrance.fr - Podcast avec Philippe Agion, Economiste, Professeur au Collège de France.
Publié le lundi 13 mai 2024
Ce matin, il est question d’IA et de croissance économique française. Bonne nouvelle : le premier est favorable au deuxième, sans trop menacer les emplois. Voilà l'une des conclusions de la commission de l’intelligence artificielle, dont nous recevons le président, Philippe Aghion.
Les Matins reçoivent Philippe Aghion, économiste, professeur au Collège de France et à l'INSEAD, co-président de la commission de l’intelligence artificielle et auteur, avec Anne Bouverot, de IA, notre ambition pour la France (Odile Jacob, mai 2024).
La France et la désindustrialisation
Le sommet de Choose France tenu par le président Macron sur les investissements étranger vers l’hexagone occupe la une des journaux à l'heure où plusieurs pays proposent d'investir en tout 15 milliards d'euros. Pour l’économiste Philippe Aghion, “il y a eu un certain nombre de réformes depuis 2017 qui ont contribué à rendre la France plus attractive en matière d'investissement. L'idée est de mettre toute la gomme sur l'économie et d'inverser le mouvement de désindustrialisation. Pour cela, il faut prendre une série de mesures, à la fois horizontales, c'est-à-dire sur la fiscalité, le marché du travail, et puis des mesures plus verticales, consistant à investir dans certains domaines, en particulier l'IA et l'innovation verte. Choose France est une manifestation de plus prouvant que la France redevient un pays attractif pour les investissements étrangers”. Selon l'économiste, il faut “inverser la vapeur” en proposant une véritable politique industrielle si la France et l’Europe désirent faire face à la Chine et aux États-Unis.
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Intelligence artificielle : pourquoi Microsoft investit 4 milliards d’euros en France
la-croix.com - Par Mélinée Le Priol
Publié le 13 mai 2024
Analyse. À la veille du sommet Choose France qui s’est ouvert lundi 13 mai, le géant américain a annoncé 4 milliards d’euros d’investissements dans des data centers sur le sol français. Ce choix s’explique notamment par la possibilité pour Microsoft de verdir son image en recourant à une électricité décarbonée.
« Vive Microsoft, vive la République et vive la France ! » Ainsi Emmanuel Macron a-t-il conclu, sous des applaudissements nourris, son allocution au siège de Microsoft France, lundi 13 mai. Le PDG de la multinationale, Brad Smith, était aussi présent pour cette visite présidentielle à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Elle avait lieu dans le cadre du 7e sommet Choose France.
Complices sur l’estrade, les deux hommes célébraient un investissement record du géant américain dans l’Hexagone, rendu public la veille au soir : 4 milliards d’euros dans des « data centers » (centres de données) sur le sol français. « On rentre dans un monde totalement différent où la compétition va être féroce, et cette compétition, elle ne se gagne que si on a des partenaires de confiance. Vous faites partie de ces derniers », a lancé Emmanuel Macron au PDG de Microsoft.
Ce monde « totalement différent », c’est celui de la numérisation galopante et de l’intelligence artificielle (IA) : une « révolution » que la France entend ne pas manquer. Or qui dit IA dit stockage massif de données, puisqu’un modèle algorithmique ne peut fonctionner qu’après avoir été entraîné sur des données informatiques en très grand nombre. Ce stockage s’effectue dans des serveurs entreposés dans des armoires vitrées, elles-mêmes installées dans d’immenses hangars où résonne un bourdonnement aussi sonore qu’incessant : les data centers.
L’argument premier, une énergie décarbonée
Lire la suite : https://www.la-croix.com/france/intelligence-artificielle-pourquoi-microsoft-investit-4-milliards-d-euros-en-france-20240513
Blockchain
Ghana : vers une révolution gouvernementale avec la blockchain
Par : Samira Njoya
Date de création : mardi, 14 mai 2024 13:32
L'adoption de la blockchain continue de progresser rapidement dans le monde. De nombreux gouvernements commencent à explorer ces technologies qui pourraient améliorer la transparence et l'efficacité des processus gouvernementaux.
Le Ghana se prépare à devenir le premier gouvernement alimenté par la blockchain en Afrique. Le vice-président Mahamudu Bawumia (photo) a partagé cette vision lors de la 14e conférence régionale et de la réunion générale annuelle des chefs des agences de lutte contre la corruption en Afrique du Commonwealth, qui s'est tenue à Accra du lundi 6 au samedi 11 mai.
« Nous allons adopter une technologie de blockchain pour permettre aux pouvoirs publics de veiller à ce que toutes les données et transactions dans l’espace public soient transparentes et inviolables, personne ne peut les changer, et la nôtre pourrait donc devenir le premier gouvernement basé sur la blockchain en Afrique », a déclaré Mahamudu Bawumia.
L'initiative s'inscrit dans le cadre de la Stratégie de numérisation en cours de mise en œuvre depuis 2017 au Ghana. Cette stratégie a permis au gouvernement de collecter 201 milliards GH₵ (14,2 milliards de dollars) depuis 2023 grâce à la numérisation des services publics via la plateforme Ghana.gov. De plus, la nouvelle carte d’identité numérique a permis au gouvernement de détecter 404 707 noms fictifs sur les états de paie du Système de services nationaux et 29 000 retraités fantômes.
En adoptant la blockchain, le Ghana vise à sécuriser de manière infaillible les données gouvernementales. Selon Mahamudu Bawumia, cette technologie sera un rempart contre la corruption en surveillant chaque modification apportée aux données numériques.
Lire la suite : https://www.wearetech.africa/fr/fils/actualites/tech/ghana-vers-une-revolution-gouvernementale-avec-la-blockchain
Paiement électronique
Les sociétés de paiement américaines (Visa, Mastercard et cie) ont perdu 127 milliards d’euros en quelques jours
netpublic.fr - Par l’équipe Netpublic
Publié le 16 mai 2024
Les sociétés de paiement américaines (dont Visa, Mastercard et Paypal) ont perdu un total de 127 milliards de dollars en bourse les jours où les banquiers centraux ont parlé d’une possible introduction de l’euro numérique. Dans le même temps, les sociétés européennes (dont Adyen, Worldline et Nexi) ont vu leur valeur augmenter de 23 milliards. L’effet sur les banques a été négligeable. Telle a été la réaction des marchés à plus de 150 interventions des banquiers centraux entre 2016 et 2022, selon un document rédigé par quatre économistes (Tobias Berg, Jan Keil, Felix Martini et Manju Puri).
L’analyse de l’euro numérique
« Lorsque les discours des banques centrales sur l’euro numérique ont un biais positif, un indice pondéré par la valeur des sociétés de paiement européennes augmente de 56 points de base le jour du discours. Dans le même temps, un indice équivalent des sociétés de paiement américaines baisse de 19 points de base », indique l’analyse.
Les économistes ont ainsi identifié une « dimension géopolitique » de l’euro numérique : « Les systèmes de paiement sont une infrastructure critique et la CBDC (Central Bank Digital Currency, ndlr) peut promouvoir le contrôle local des systèmes de paiement, réduisant ainsi la dépendance à l’égard des opérateurs étrangers », souligne le document. « L’argument de l’autonomie est particulièrement pertinent dans le contexte de l’euro numérique, car les entreprises américaines telles que Visa, MasterCard et PayPal jouent actuellement un rôle important dans le paysage des paiements européens ».
Lire la suite : https://www.netpublic.fr/blog/societes-de-paiement-americaines-visa-mastercard-et-cie-ont-perdu-127-milliards-deuros-en-quelques-jours/
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Visa réinvente la carte et dévoile de nouveaux produits pour l’ère numérique
newsday.fr - Par Angela
Publié le 16 mai 2024
• Visa invite les leaders de l’industrie à son forum annuel sur les solutions de paiement pour préparer l’avenir du commerce
• L’identité numérique et l’IA générative (Gen AI) occupent le devant de la scène au Moscone Center de San Francisco
• De nouvelles innovations comblent l’écart entre l’expérience de commerce en personne et en ligne
SAN FRANCISCO, (GLOBE NEWSWIRE) — En cinq ans, nous avons vu plus de façons de transférer ou de recevoir de l’argent qu’au cours des 50 années précédentes. Les consommateurs ont rapidement adopté ces nouveaux moyens de paiement, qu’il s’agisse du commerce en ligne crypté et sécurisé ou du fameux paiement sans contact (Tap to pay). Aujourd’hui, lors du rassemblement annuel Forum sur les paiements par carte San Francisco, Visa (NYSE : V) a dévoilé de nouveaux produits et services qui redéfinissent le terme « carte » pour répondre aux besoins changeants des entreprises, des commerçants, des consommateurs et de leurs institutions financières.
C’est un tournant pour l’industrie. Les nouvelles technologies comme l’IA générative accélèrent la transformation de nos habitudes de dépenses et de gestion financière, a déclaré Jack Forestell, directeur des produits et de la stratégie chez Visa. Nous annonçons la prochaine génération de cartes de paiement natives entièrement numériques. Les nouvelles fonctionnalités des cartes et les innovations numériques que nous avons dévoilées aujourd’hui propulseront les consommateurs vers un avenir plus personnalisé, plus pratique et plus sûr.
Lire la suite : https://news.dayfr.com/entreprise/3807966.html
Viva Technology
numérique.gouv.fr - Communiqué
Publié le 17 mai 2024
VivaTechnology 2024 : à J-7 du lancement de l’édition 2024, l’État français dévoile son programme : 14 administrations présentes, 200 agents publics mobilisés, 70 pitchs, plus de 4 000 offres à pourvoir, 1 zone de speed jobbing sans rdv.
Pour faire connaître ses grands chantiers et innovations numériques, présenter ses offres, et attirer et recruter des professionnels de la tech, l’État français sera massivement présent à VivaTech à travers un stand unique animé par 14 administrations engagées dans sa transformation numérique, du 22 au 25 mai 2024 à Paris. L’ambition est d’offrir aux professionnels de la tech et au grand public un programme attrayant afin de moderniser son image et d’embaucher des professionnels aux compétences et aux parcours variés, souhaitant placer leurs expertises au service de l’intérêt général. Le rendez-vous est fixé au stand n°J59 pendant les 4 jours.
Communiqué de presse | 16 mai 2024
L’État français massivement présent
Lire la suite : https://www.numerique.gouv.fr/espace-presse/vivatech-programme/
Cybersécurité
Cybersécurité à l'ère de l'IA : comment les DSI peuvent-ils renforcer leur résilience ?
journaldunet.com - Chronique d’Esprit Luc - Delle Technologie
Publié le 15 mai 2024
L'IA révolutionne la cybersécurité, offrant des défenses avancées, mais aussi des outils puissants aux cybercriminels. Zero Trust et automatisation vont aider les entreprises à contrer ces menaces.
L’utilisation de l’Intelligence artificielle générative révolutionne de nombreux secteurs et dans le domaine de la cybersécurité, c’est une arme à double tranchant. Bien qu’elle puisse s’avérer très efficace pour protéger les environnements informatiques, elle présente également des défis pour les entreprises : les cybercriminels peuvent s’en servir pour créer et exploiter de nouveaux vecteurs d’attaque. À mesure que l’IA générative continue d’évoluer et de se développer, son impact sur la cybersécurité et la cybercriminalité progresse lui aussi.
Les responsables informatiques sont bien conscients de cette dichotomie : selon le rapport Global Data Protection Index (GDPI) paru en décembre 2023, 52 % des répondants affirment que l’Intelligence artificielle générative est bénéfique dans leur travail quotidien en matière de cybersécurité, et 27 % estiment qu’elle profite d’abord aux cybercriminels.
Il est clair que l’IA générative remodélise l’environnement des cybermenaces et influence les exigences en matière de protection des données. Face à cette réalité, les fournisseurs de logiciels de cybersécurité s’efforcent de tirer pleinement parti de l’IA générative pour assurer la pérennité de leurs solutions. Le marché mondial de l’intelligence artificielle dans le domaine de la cybersécurité devrait atteindre 60,6 milliards de dollars d’ici 2028, soit environ 57 milliards d’euros. Afin de prévenir des cyberattaques alimentées par l’IA générative, il est crucial que les DSI et les RSSI puissent rapidement intégrer cette dernière technologie à leur arsenal de cybersécurité.
Face à de tels enjeux, comment les DSI peuvent utiliser l’IA générative pour renforcer leur stratégie de cybersécurité ?
Comprendre les attaques renforcées par l’IA générative et éliminer la confiance implicite
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1530343-cybersecurite-a-l-ere-de-l-ia-comment-les-dsi-peuvent-ils-renforcer-leur-resilience/
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Les camps de « cyberesclaves » contraints violemment à commettre des arnaques sur internet
bbc.com - Author, Suneth Perera et Issariya Praithongyaem
Role, BBC World Service
Publié le 15 mai 2024
Avertissement : Cette histoire contient des détails sur la violence, y compris la violence sexuelle, que certains lecteurs pourraient trouver dérangeants. Le nom de l'un des participants – Ravi – a été modifié pour protéger son identité.
"Ils m'ont enlevé mes vêtements, m'ont fait asseoir sur une chaise et m'ont administré des décharges électriques dans la jambe. J'ai cru que c'était la fin de ma vie."
Ravi s'était rendu en Thaïlande pour travailler dans l'informatique, mais au lieu d'un immeuble de bureaux de grande hauteur à Bangkok, le Sri Lankais de 24 ans s'est retrouvé coincé dans un complexe sombre au Myanmar.
Il avait été kidnappé et vendu de l'autre côté de la rivière, près de la ville frontalière thaïlandaise de Mae Sot. Il a été une autre victime de la traite des êtres humains.
Là, dit-il, il a été vendu à l’un des nombreux camps gérés par des gangs criminels de langue chinoise engagés dans des escroqueries en ligne. Ils obligent les personnes victimes de trafic comme Ravi à travailler de longues heures dans ces escroqueries, en utilisant de fausses identités en ligne pour se faire passer pour des femmes et tromper les hommes seuls aux États-Unis et en Europe.
Lire la suite : https://www.bbc.com/afrique/articles/c3gl8dv8e9no
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Intelligence artificielle en cybersécurité : avancées et enjeux
Par Quentin Beauregard
Publié le 12 mai 2024
Loin de se limiter à un simple concept de science-fiction, l'intelligence artificielle (IA) est aujourd'hui une réalité omniprésente dans notre quotidien. Son incroyable potentiel offre des perspectives inédites dans différents domaines, dont celui de la cybersécurité. Cependant, comme toute technologie puissante, elle présente à la fois des opportunités et des défis majeurs pour les professionnels de la sécurité informatique. Cet article propose une analyse détaillée du rôle de l'IA en cybersécurité : ses avancées, ses enjeux et les perspectives qu'elle ouvre pour le futur.
L'intelligence artificielle au cœur de la stratégie de cybersécurité
Comment l'IA renforce-t-elle les systèmes de sécurité ?
L'intelligence artificielle, par sa capacité à analyser rapidement d'énormes volumes de données, est un allié précieux dans la détection et la prévention des cyberattaques. Elle permet notamment :
Des exemples concrets d'utilisation de l'IA en cybersécurité
Chez IBM, par exemple, le système Watson est utilisé pour analyser des millions de rapports de sécurité en un temps record, permettant ainsi d'identifier les menaces potentielles. De même, la société Darktrace propose une « IA auto-apprenante » capable d'anticiper et de contrer les attaques avant qu'elles ne se produisent.
Sans transition, si l'IA offre des outils précieux pour renforcer notre cybersécurité, elle pose également de nouveaux défis.
Lire la suite : https://www.secret-defense.org/cybersecurite/intelligence-artificielle-en-cybersecurite-avancees-et-enjeux/
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Europol victime d'une violation de données
lemondeinformatique.com - Par Jacques Cheminat
Publié le 13 Mai 2024
Un cyberpirate a revendiqué une intrusion dans plusieurs service d'Europol. L'agence européenne de lutte conte les criminalités a ouvert une enquête et tente de rassurer sur la portée de cette violation de données.
Souvent cité dans les coalitions pour démanteler des réseaux de botnets ou de ransomwares, Europol est cette fois-ci dans l’œil d’un cybercriminel. Un dénommé Intelbroker a déclaré avoir eu accès à des données classifiées et réservées à un usage professionnel comprenant du code source, des informations sur les collaborateurs de l’agence et des documents de reconnaissance. Le pirate a fourni un échantillon pour prouver ses allégations montrant des informations sur un des portails de l’agence nommé EPE (Europol Platform for Experts ).
Interrogé par nos confrères de The Register, Europol a confirmé que ce portail avait fait l’objet d’une intrusion. « Europol est au courant de l'incident et évalue la situation. Des mesures initiales ont déjà été prises. L'incident concerne un groupe fermé d'utilisateurs de plateforme pour les experts ». Ce site est à destination des autorités judiciaires de chaque pays membre d’Europol pour « partager leurs connaissances, leurs meilleures pratiques et des données non personnelles sur la criminalité ».
Une bataille de communication sur l’étendue de l’intrusion
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-europol-victime-d-une-violation-de-donnees-93709.html
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Microsoft dévoile son programme d’amélioration de sa cybersécurité interne
incuber.org - Par Secops
Publié le 13 mai 2024
Le géant du net a récemment subi des piratages aux conséquences stratégiques graves, provoquant de vives critiques des autorités américaines.
Microsoft a rendu public, le 3 mai 2024, les grands axes de son plan d’amélioration de ses pratiques de cybersécurité, baptisé « Secure Future Initiative » (SFI), lancé en interne en novembre 2023. La firme a récemment fait face à plusieurs piratages d’ampleur, aux conséquences stratégiques graves. À l’été 2023, une campagne d’espionnage contre sa messagerie Exchange a ainsi compromis les boîtes e-mails de hauts responsables américains.
En avril 2024, le Cyber Safety Review Board (CSRB), un comité gouvernemental rattaché au département de la Sécurité intérieure des États-Unis, a publié un rapport sur cet incident. Le CSRB y affirme que l’attaque était « évitable », et le fruit d’une « culture d’entreprise inadéquate » en terme de cybersécurité.
Pour y remédier, le SFI s’appuie sur trois « principes » et six « piliers ». Les trois principes sont :
- une cybersécurité pensée dès la conception pour tout produit ou service
- une application par défaut des protections de sécurité, dans tous les cas
- une amélioration continuelle des contrôles et de la surveillance de la sécurité
Pour respecter ces principes, la firme entend notamment :
- sécuriser « à 100 % » ses identités et ses accès
- protéger le code source des produits Microsoft contre toute intrusion
- renforcer sa protection des réseaux
- mieux repérer les failles dans son infrastructure et ses services de production
- faciliter l’identification détaillée des intrusions présentes et passées
- réviser ses mesures d’atténuation et de remédiation, jugées défaillantes
Lire la suite : https://incyber.org/article/microsoft-devoile-son-programme-damelioration-de-sa-cybersecurite-interne/
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Gérer les risques de cybersécurité : un défi pour les organisations ?
journaldunet.com - Chronique de Nurfedin Zejnulahi - Trend Micro
Publié le 14 mai 2024
Pour les RSSI, il faut pouvoir s'appuyer sur des outils de surveillance et de contrôle des risques efficaces. Comment mettre en œuvre une bonne stratégie et savoir en tirer parti ?
Face à la constante évolution du monde de la cybersécurité et à l'investissement répété pour assurer leur sécurité, il est aujourd'hui de plus en plus difficile pour les organisations de s'y retrouver. Si pour elles, l'enjeu majeur est de gérer efficacement les risques par des méthodes stratégiques et rentables. Pour les RSSI, il faut pouvoir s’appuyer sur des outils de surveillance et de contrôle des risques efficaces. Comment mettre en œuvre une bonne stratégie et savoir en tirer parti ?
Les organisations qui maîtrisent pleinement les risques et disposent de stratégie adaptée leur permettant de mesurer un ROI sont aujourd’hui peu nombreuses. L’absence d’une compréhension claire des risques fait de l’évaluation du retour sur investissement de leur schéma de défense un élément complexe à mesurer. Faut-il qu’elles soient victimes d’une cyberattaque pour que les organisations prennent la pleine mesure des risques auxquels elles sont de plus en plus exposées ?
Réduire l’impact des risques tout en en mesurant le ROI
Les entreprises cherchent aujourd’hui à établir un équilibre entre sécurité et commodité. Avec l’augmentation du nombre des cyberattaques, les mesures de sécurité plus strictes ont le vent en poupe. A l’image du Zero Trust qui nécessite une évaluation minutieuse des risques de l’infrastructure informatique et la mise en œuvre de mesures de protection comme l'authentification multifactorielle et le contrôle des appareils.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1530329-gerer-les-risques-de-cybersecurite-un-defi-pour-les-organisations/
Atos - Eviden
Eviden annonce JARVICE AI, un logiciel de gestion de plateforme d’IA qui s’ajoute à son portefeuille croissant de solutions d’Intelligence Artificielle
eviden.com - Communiqué
Publié le 14 mai 2024
Paris, France et Hambourg, Allemagne – 14 mai 2024 – Eviden, l’entreprise du groupe Atos leader dans l’informatique avancée, annonce aujourd’hui JARVICE™ AI, une nouvelle solution logicielle qui complète sa gamme étendue de produits et services BullSequana AI. JARVICE AI simplifie le travail des data scientists et des administrateurs d’infrastructures d’IA en fournissant un accès d’orchestration ” unique et sécurisé ” à des clusters de GPU ou à des fournisseurs de cloud géographiquement dispersés.
JARVICE AI est une extension complète de la plateforme HPC d’entreprise existante JARVICE™ XE d’Eviden. Dotée de nouvelles capacités, cette plateforme est conçue pour l’IA et peut orchestrer en un clic des frameworks MLOps sur des infrastructures d’IA avancées, que ce soit sur site, dans le cloud ou sur des architectures fédérées. L’offre se targue d’offrir une performance “bare metal” et de proposer une très grande flexibilité pour exécuter des ressources d’accélération GPU, CPU, IPU ou toute autre ressource d’IA émergente. JARVICE AI exploite la vaste place de marché d’applications HyperHub™, et l’élargit avec un catalogue d’applications et de frameworks spécifiques à l’IA qui couvre le spectre de l’IA générative, des model ops et du LLM. En outre, JARVICE AI peut prendre en charge des applications et des frameworks d’IA personnalisés.
Grâce à son planificateur de charge de travail avancé intégré, JARVICE AI répond à un ensemble varié de besoins de planification simultanée de l’IA à partir d’une seule plateforme, y compris l’entraînement à grande échelle pour les frameworks d’IA générative, les tâches d’inférence à faible latence et les flux de travail MLOps complexes. JARVCE AI offre ainsi des niveaux élevés d’efficacité pour l’utilisation des clusters et la mobilité de la charge de travail.
Télécharger le communiqué : https://eviden.com/fr-fr/actualites/communiques-de-presse/eviden-presente-le-lifelink-hoox-t40-sa-solution-de-telephonie-securisee-de-nouvelle-generation/
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Eviden présente le Lifelink Hoox T40, sa solution de téléphonie sécurisée de nouvelle génération
eviden.com - Communiqué
Publié le 16 mai 2024
Le nouveau système tout-en-un offre une haute sécurité pour les communications et les données critiques
Paris, France – le 16 mai, 2024 Eviden, entreprise du groupe Atos leader dans les solutions numériques, cloud, big data et de sécurité, annonce aujourd’hui la disponibilité de sa solution de téléphonie sécurisée nouvelle génération, le Lifelink Hoox T40. Cette solution tout-en-un, conçue et assemblée en France, protège une confidentialité de haut niveau et empêche les comportements inappropriés tels que les malwares, les virus, les rootkits ou les connexions indésirables aux serveurs. La technologie Hoox est adaptable aux smartphones du commerce sur demande.
Avec le Lifelink Hoox T40, Eviden propose un dispositif dédié conçu pour préserver la confidentialité des communications lors d’opérations critiques. Cet équipement hautement sécurisé assure la protection de données très sensibles, permettant aux gouvernements et aux institutions financières de mener des missions stratégiques en toute sécurité et en toute confiance. L’équipement maintient la sécurité et l’intégrité des informations échangées, assurant des communications continues et fiables, même dans des situations extrêmes où aucun autre smartphone ne peut être utilisé. Avec cette nouvelle offre, les clients bénéficient d’une solution discrète, hautement confidentielle et adaptée à leurs besoins.
Lors d’opérations à haut risque ou de missions sensibles où la confidentialité est cruciale, les gouvernements ainsi que les services financiers et juridiques ne peuvent se permettre aucun compromis en matière de sécurité des communications. Il est vital que les données très sensibles soient protégées contre tout accès non autorisé.
La gamme Lifelink Hoox d’Eviden fournit des communications hautement sécurisées et une protection des données depuis 2013, avec un matériel spécialisé et un système d’exploitation Android profondément renforcé. La solution Lifelink Hoox offre des fonctions inédites pour garantir une confidentialité totale, telles qu’un appareil téléphonique sécurisé, une communication sécurisée (cryptage intégral de la voix et des messages) et un store d’applications sécurisé.
Télécharger le communiqué : https://eviden.com/fr-fr/actualites/communiques-de-presse/eviden-presente-le-lifelink-hoox-t40-sa-solution-de-telephonie-securisee-de-nouvelle-generation/
Thales
"Cloud de confiance" : Google et Thales passent à l’attaque
challenges.fr - Par David Pargamin
Publié le 14 mai 2024
EXCLUSIF - Google et Thales déposeront en juin leur dossier pour obtenir la qualification « SecNumCloud », un label de confiance indispensable pour héberger des données sensibles et souveraines. Une première étape pour se développer sur ce marché évalué à plusieurs milliards d’euros.
Tous les services de Google ne seront pas disponibles sur ce cloud de confiance, notamment la suite collaborative, explique-t-on chez S3NS.
L’arrivée des premières offres de « cloud de confiance » se précise en France. D’après nos informations, Google et Thales devraient entamer en juin prochain la procédure pour obtenir la qualification « SecNumCloud ». Situés en région parisienne, trois centres de données gérés par Thales avec les services de Google y sont éligibles. Délivré par l’Agence nationale de sécurité des systèmes informatiques (Anssi), ce visa de sécurité vise à mieux protéger les données sensibles des entreprises et des administrations de l’Etat contre les tentatives de prédation étrangères et les lois extraterritoriales américaines, comme le Cloud Act.
Lire la suite : https://www.challenges.fr/high-tech/cloud-de-confiance-google-et-thales-passent-a-l-attaque_892989
Par décision du conseil réuni le 4 avril 2024 sous la présidence de Mr Éric Fournier son président, l’adhésion a été validée en rappelant notamment :
La communauté de la vallée de Chamonix-Mont-Blanc a par ailleurs signé la convention d’usage de la norme AMC.
Elle sera représentée à l’ADCET par Elodie BAVUZ, élue au numérique et à l'innovation.
Mobilité
Bordeaux Métropole lance le Lab des Mobilités TBMouv !
échos-judiciaires.com - Par Rédaction
Publié le 11/05/2024
Bordeaux Métropole et Keolis Bordeaux Métropole Mobilités lancent leur Lab des mobilités, TBMouv !
Financé par le fonds dédié à l’innovation doté de 10 millions d’euros par Bordeaux Métropole, dans le cadre de son contrat de délégation de service public avec Keolis Bordeaux Métropole Mobilités (KB2M), ce laboratoire a pour mission de catalyser le développement de projets novateurs, durables et intelligents dans le domaine de la mobilité. Les expérimentations du Lal TBMouv ! s’articulent autour de 4 enjeux majeurs : optimiser la qualité de service rendu aux usagers, améliorer l’efficience, la productivité des services de transports urbains et de mobilités durables, renforcer la sécurité des usagers et du personnel d’exploitation et déployer des actions en faveur du développement durable. Accompagné par Bordeaux Technowest, French Tech Bordeaux, Bordeaux INP et Digital Aquitaine, le Lab TBMouv ! lance son premier appel à solutions sur une cohabitation multimodale apaisée, ouvert à tous, jusqu’au 20 mai 2024.
Lire sur : https://www.echos-judiciaires.com/actualites/bordeaux-metropole-lance-le-lab-des-mobilites-tbmouv/
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Bus à haut niveau de service à Thionville : voici où en est le projet
actu.fr - Ninon Oget
Publié le 5 mai 2024
Un bus à haut niveau de service (BHNS) doit circuler dans Thionville (Moselle) et son agglomération d'ici 2029. Un projet qui comprend la création de ponts et d'un dépôt.
Le bus à haut niveau de service (BHNS) fait partie des projets à plusieurs dizaines de millions d’euros qui vont transformer Thionville (Moselle).
Ce futur mode de transport circulera dans l’agglomération thionvilloise et sera composé de deux lignes : la première allant de Basse-Ham à Hayange et l’autre de Metzange à Yutz, pour un total de 32 km. La mise en circulation totale de type BHNS doit intervenir d’ici 2029.
Mais où en est le projet aujourd’hui ? Rémy Dick, président du SMiTU (Syndicat mixte des transports urbains) et maire de Florange, fait le point avec Lorraine Actu.
Deux ponts pour 70 millions d’euros
Le projet du BHNS comprend deux ouvrages d’art (un pont surplombant la Moselle, un autre traversant les rails) pour un coût de 70 millions d’euros.
Ils seront finalisés cette année pour être utilisables à partir de septembre, d’après Rémy Dick. Toutefois, une voirie devra être réalisée entre ces deux ponts et prendra un peu plus de temps : « On pourra utiliser la ligne complète qu’à partir du début d’année prochaine ou fin de cette année, plutôt novembre, si on est optimiste », détaille Rémy Dick.
Création du dépôt : « On pense pouvoir économiser de l’argent »
Lire la suite : https://actu.fr/grand-est/thionville_57672/bus-a-haut-niveau-de-service-a-thionville-voici-ou-en-est-le-projet_61032294.html
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Le Forfait Mobilités Durables : en quoi ça consiste ?
avec.fr - Par Publireportage
Publié le 10 Mai 2024
À l’heure où la durabilité devient primordiale, le Forfait Mobilités Durables (FMD) offre une solution écologique pour les trajets domicile-travail. Ce dispositif soulève des questions sur son impact et son adoption par les employeurs et les employés. Comment fonctionne-t-il et quels bénéfices peut-on en attendre ? Découvrons ensemble les avantages du FMD pour transformer nos habitudes de mobilité.
Le forfait mobilités durables (FMD) : qu’est-ce que c’est concrètement ?
Le Forfait Mobilités Durables constitue une aide financière pour les salariés optant pour des transports écologiques. Ce dispositif encourage les employés à utiliser des moyens de transport plus verts comme le vélo, le covoiturage ou les transports publics pour leurs trajets professionnels. Les entreprises y trouvent un moyen efficace pour réduire leur empreinte carbone et promouvoir une mobilité durable.
Ce forfait s’inscrit dans les efforts de développement durable des entreprises. Il se présente comme une mesure incitative, financée par l’employeur, pour favoriser les déplacements écologiques. Les fonds alloués peuvent être utilisés pour divers services, renforçant l’engagement environnemental des salariés et des entreprises. Pour ceux qui utilisent leur véhicule personnel pour le travail, vous pourrez voir le barème des indemnités kilométriques pour cette année ici.
Les règles de mise en œuvre du FMD sont flexibles, permettant aux entreprises de l’adapter à leurs propres politiques de mobilité. Chaque société définit les montants et les conditions spécifiques, créant ainsi un programme personnalisé qui répond aux besoins de mobilité de ses employés.
Je travaille dans le secteur privé
Lire la suite : https://www.avem.fr/2024/05/10/le-forfait-mobilites-durables-en-quoi-ca-consiste/#
Identité
Identité numérique européenne : le règlement européen publié au Journal officiel de l'UE
vie-publique.fr - La rédaction
Publié le 7 mai 2024
Le règlement européen sur l'identité numérique a été publié au Journal officiel de l'Union européenne (UE) le 30 avril 2024. Le nouveau règlement concerne notamment l'archivage, les données de santé, l’émission d’attestation comme les diplômes, le permis de conduire ou encore le passeport électronique.
Publié au Journal officiel de l'UE du 30 avril 2024, le règlement (UE) 2024/1183 du 11 avril 2024 concerne l’établissement du cadre européen relatif à une identité numérique. Ce règlement offre une solution sécurisée et uniformisée des moyens d’identification électronique et des services de confiance utilisés dans l’ensemble de l’UE.
Une entrée en vigueur à partir du 20 mai 2024
Un premier règlement concernant la mise en place de services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur européen avait été adopté en 2014 (règlement eIDAS).
Après l'élaboration par le Conseil et le Parlement européen d'un nouveau texte, en juin 2023, fixant les principes d’une identité numérique européenne (eID), les deux instances sont parvenues à un accord provisoire présenté le 8 novembre 2023. Il a permis de "finaliser le dossier dans son intégralité".
Le nouveau règlement facilite et sécurise un accès transfrontalier des citoyens à des sites en ligne sur le territoire de l’UE. Il oblige les États membres à mettre au point au moins une application mobile permettant aux citoyens européens de stocker et utiliser les données liées à leur identité. Ce texte s’appliquera à partir du 20 mai 2024.
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/291803-ue-le-reglement-sur-lidentite-numerique-europeenne-eid-publie
France Services
Albert, l'IA conçue pour "faire gagner en efficacité" les agents des maisons France services
Publié le 7 mai 2024
Provenant du podcast
Une intelligence artificielle développée en France "au service" des usagers est actuellement en train d'être mise au point pour les 2.700 maisons France Services. Baptisée Albert, cette IA, doit "simplifier" le quotidien des Français dans leurs démarches administratives.
L'intelligence artificielle débarque dans les maisons France Services. Gabriel Attal l'a annoncé il y a deux semaines. Une IA 100% française nommée Albert, conçue par la direction interministérielle du numérique (Dinum) imaginée pour faciliter le travail des agents. Elle est actuellement en phase de test dans 26 maisons France Services dans le territoire.
À première vue, il s'agit d'un moteur de recherche, l'agent peut accéder à Albert en allant directement sur Internet, après s'être identifié sur la plateforme. Il écrit ensuite sa recherche dans un cadre prévu pour cela. Une intelligence artificielle très simple d'utilisation imaginée par Ulrich Tan, chef du "datalab" à la Direction interministérielle du Numérique et son équipe d'une douzaine de développeurs. "Vous avez un cadre où l'agent peut décrire la situation de l'usager, ajouter des éléments de contexte", explique-t-il.
"Des réponses adaptées à des situations particulières"
Albert fournit ensuite une réponse. Le conseiller peut alors évaluer la pertinence de cette dernière et ainsi "entraîner" l'intelligence artificielle à être encore plus pertinente. Une IA qui permet donc aux agents "d'avoir des réponses adaptées à des situations particulières d'usagers qui peuvent être très vastes", poursuit Ulrich Tan.
Lire la suite : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-info-de-france-inter/l-info-de-france-inter-2655228
Intelligence artificielle
Intelligence artificielle : 25 % des métiers territoriaux seraient concernés
lagazettedescommunes.com - Par Emeline le Naour
Publié le 06 mai 2024
Objet de débats, mais aussi d'inquiétudes, l'arrivée de l'intelligence artificielle dans les collectivités a fait l'objet de la dernière étude des élèves de l'Inet. Une cartographie des métiers impactés par l'arrivée des nouvelles technologies y est notamment présentée. L’intelligence artificielle et ses impacts futurs dans les collectivités sont de plus en plus présentes dans le débat. Alors que le gouvernement, mais également bon nombre de collectivités ont lancé des expérimentations sur l’usage de ces nouveaux outils, les élèves de l’Inet ont construit un guide dédié à la question en se servant de premières données récoltées auprès de la Ville de Lyon, appliquées ensuite à une collectivité fictive de taille similaire. Cartographiant les métiers potentiellement impactés par l’IA dans les collectivités, le document se base sur la méthodologie de l’Organisation mondiale du travail.
https://www.lagazettedescommunes.com/wp-content/uploads/2024/05/inet-ia-01-640x505.png
Presque la moitié des postes de la commune témoin sont concernés par des évolutions potentielles induites par l’IA générative. « La cartographie montre qu’au moins 25 % des tâches des métiers exercés par les agents peuvent être effectuées, en totalité ou en partie, par l’IA générative », constate les auteurs de l’étude.
Dans le détail, ce sont les postes d’agent d’accueil et d’assistant de gestion qui sont considérés comme les plus fragilisés.
Les directions des ressources humaines fortement concernées
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Human or Not : ce jeu reproduit le test de Turing et c'est déstabilisant
lesnumeriques.com - Par Passim Chentouf
Publié le 05 mai 2024
Après une longue absence, Human or Not est de retour et cette fois-ci, ce test de Turing à grande échelle est boosté par plusieurs grands modèles de langage (LLM). Humain ou machine ? Dans certains cas, c'est déstabilisant.
Depuis moins d’un an, l’IA connaît un avènement auprès du grand public. À l’heure des chatbots de plus en plus élaborés mais aussi des arnaques en ligne, comment déceler le vrai du faux ? Human or Not permet de s’amuser de la situation avec son test de Turing à grande échelle.
Un test de Turing à grande échelle
Human or Not a été dévoilé l’an dernier et les progrès de l’IA lui offrent un nouveau souffle. Le principe est simple : à la manière d’un Chatroulette, ce jeu sur navigateur vous connecte à un interlocuteur au hasard. Après deux minutes de conversation, la discussion s’arrête et il faut trancher : humain ou IA ? Ce “projet de recherche scientifique plus vaste mené par Al21 Labs” fait son retour après un an d’absence. Il mêle désormais plusieurs grands modèles de langage (LLM) : Jurassic-2, GPT-4, Claude et Cohere.
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/intelligence-artificielle/human-or-not-ce-jeu-reproduit-le-test-de-turin-et-c-est-destabilisant-n221433.html
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Bill Gates annonce la plus grande révolution informatique depuis les années 90
lebigdata.fr - Par Oliva R.
Publié le 2 mai 2024
Selon Bill Gates, l'intelligence artificielle va révolutionner notre rapport aux ordinateurs dans les cinq prochaines années.
Dans un récent billet sur son blog personnel, Bill Gates nous a livré sa vision de l'avenir des ordinateurs à l'ère de l'intelligence artificielle (IA). Et il semblerait que nous soyons à l'aube d'un changement radical dans notre façon d'interagir avec ces machines. Une révolution d'une ampleur telle que nous n'en avons pas connue depuis l'avènement des interfaces graphiques, selon le co-fondateur de Microsoft.
Un assistant personnel intelligent au cœur de l'expérience
Au cœur de cette mutation se trouve l'idée d'un « assistant personnel » basé sur l'IA. Cet agent intelligent deviendrait le point d'entrée unique pour toutes nos interactions avec l'ordinateur, remplaçant la myriade d'applications et de logiciels que nous utilisons actuellement. Plutôt que de passer d'un programme à l'autre pour accomplir différentes tâches, nous dialoguerions avec cet assistant pour tout, de la rédaction de documents à la planification d'un voyage en passant par l'analyse de données.
Mais ce qui distingue vraiment cet assistant, c'est sa capacité à apprendre et à s'adapter à chaque utilisateur. En observant nos activités, nos préférences et nos habitudes, il finirait par développer une compréhension approfondie de nos intentions et de nos schémas de comportement. Ainsi, non content de simplement répondre à nos requêtes, il pourrait anticiper nos besoins et nous proposer des suggestions pertinentes, même avant que nous ne les formulions.
Un avenir prometteur, mais des défis à relever
Bien que séduisante, cette vision soulève également des questions. Quel sera l'impact sur l'industrie du logiciel ? Jusqu'où devrons-nous aller dans le partage de nos données personnelles pour permettre à ces assistants de nous connaître aussi bien ? Et comment garantir la sécurité et la confidentialité de ces informations sensibles ?
Malgré ces interrogations, Bill Gates semble convaincu convaincu que nous entrons dans une nouvelle ère pour l'informatique. Une ère où l'IA ne sera plus seulement un outil, mais un véritable partenaire intelligent, capable de nous guider et de nous épauler dans nos tâches quotidiennes. Reste à voir si cette vision se concrétisera, et si nous serons prêts à embrasser ce changement de paradigme.
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/bill-gates-annonce-la-plus-grande-revolution-informatique-depuis-les-annees-90
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Intelligence artificielle en santé : l’ordonnance d’un think tank pour accélérer et être efficace
lequotidiendumedecin.fr - Par Hélène Delmotte
Publié le 26 mai 2024
Clarifier la gouvernance, pérenniser le financement, améliorer l’esprit critique des soignants… La recommandation 2024 du think tank Économie santé (groupe Les Échos) avance une poignée de mesures pour réussir la révolution de l’intelligence artificielle en santé.
Une médecine plus précise et plus efficace, une meilleure santé, des soignants plus épanouis et une souveraineté française et européenne renforcée ! Telles sont les promesses ambitieuses d’une intelligence artificielle (IA) en santé bien comprise et bien utilisée, selon le think tank Économie santé, qui énonce plusieurs mesures pour bénéficier rapidement des avantages de cette révolution.
En effet, au-delà de l’analyse d’images, de l’anatomopathologie ou de la prévention personnalisée – où les résultats concrets sont déjà probants –, l’IA promet des réponses à la plupart des défis de notre système de santé : vieillissement de la population, maladies chroniques, pénurie de soignants, sécurité, pilotage des établissements et des urgences, inégalités sociales et territoriales, transition écologique et santé environnementale. Mais reste à maîtriser le potentiel colossal de l’IA, à gagner la confiance des acteurs (patients et soignants) et à fixer le cadre éthique de déploiement, plaide ce groupe de réflexion qui réunit une cinquantaine d’experts (médecins, industriels, responsables hospitaliers, institutionnels…).
Il manque encore une impulsion forte de l’État pour éviter l’éparpillement des initiatives
Dr Philippe Leduc, directeur du think tank Économie santé
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L'intelligence artificielle ment, triche et nous trompe, et c’est un problème, alertent des experts
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié hier le 11 mai 2024
Contrairement aux logiciels traditionnels, les programmes d'IA ne sont pas codés, mais développés via un processus similaire à la culture sélective des plantes, dans lequel un comportement semblant prévisible et contrôlable peut rapidement devenir imprévisible dans la nature. Dado Ruvic / REUTERS
Les auteurs d’une étude du MIT mettent en garde contre les risques de voir un jour l'intelligence artificielle commettre des fraudes ou truquer des élections.
Vous craignez la menace d'une intelligence artificielle (IA) qui deviendrait malveillante? En réalité, c'est déjà le cas, selon une nouvelle étude. Les programmes actuels d'intelligence artificielle sont conçus pour être honnêtes. Ils ont pourtant développé une capacité de tromperie inquiétante, parvenant à abuser des humains dans des jeux en ligne ou encore à vaincre des logiciels censés vérifier que tel utilisateur n'est pas un robot, souligne une équipe de chercheurs dans la revue Patterns.
Même si ces exemples peuvent sembler anodins, ils exposent des problèmes qui pourraient bientôt avoir de graves conséquences dans le monde réel, avertit Peter Park, chercheur au Massachusetts Institute of Technology spécialisé dans l'IA. «Ces capacités dangereuses ont tendance à être découvertes seulement après coup», confie-t-il à l'AFP. Contrairement aux logiciels traditionnels, les programmes d'IA fondés sur l'apprentissage en profondeur ne sont pas codés mais plutôt développés via un processus similaire à la culture sélective des plantes, poursuit Peter Park. Dans lequel un comportement semblant prévisible et contrôlable peut rapidement devenir imprévisible dans la nature.
«Un pur projet de recherche»
Internet des Objets
Essonne Numérique lance un réseau dédié aux collectivités du département
zoner.fr - Par Xavier Biseul
Publié le 6 mai 2024
Le syndicat mixte a confié à Free Pro et Axione le déploiement d’un réseau multiservices à destination des collectivités du département. Hébergement cloud, VPN, services IoT… Il doit contribuer à l’aménagement numérique du territoire.
Syndicat mixte ouvert, Essonne numérique a confié à Free Pro et Axione le déploiement et la maintenance d’un réseau multiservices à destination des acteurs publics du département. A savoir les 4 000 sites publics que compte l’Essonne entre le Conseil départemental, les sept Etablissements publics de coopération intercommunale (EPCI), les syndicats intercommunaux, les écoles, les équipements sportifs et les 194 mairies.
Ce Réseau d’initiatives publiques (RIP), dit de « troisième génération », doit contribuer à la transformation numérique des collectivités territoriales et locales et participer à l’aménagement numérique du territoire. S’appuyant sur les infrastructures fibres existantes du département, il assurera l’interconnexion des sites et équipements publics.
Mesure de la qualité de l’air
Ce réseau multiservices permettra surtout de proposer de nouvelles offres de type réseau privé virtuel (VPN), de voix sur IP et de LAN Wi-Fi managé. Avec le développement de l’internet des objets (IoT), il ouvre également la voie à des services de type « territoire connecté et durable » comme la mesure de la qualité de l’air, l’optimisation de la consommation électrique des bâtiments publics ou la gestion intelligente des places de parking
« A l’heure de la transition numérique et écologique, les collectivités doivent se réinventer. En proposant des services comme des capteurs d’électricité dans les gymnases pour contrôler les heures de chauffage, les élus pourront faire des économies sur le prix de l’énergie, facteur le plus préoccupant pour les communes aujourd’hui », explique Michel Bournat, vice-président du département aux Echos .
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/essonne-numerique-lance-un-reseau-dedie-aux-collectivites-du-departement-391441.htm
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La fin des mots de passe génériques ?
zataz.com - Par Damien Bancal
Publié le 05 mai 2024
Une ère nouvelle de sécurité pour les appareils connectés se profile au Royaume-Uni avec l’entrée en vigueur du Product Security and Telecommunications Infrastructure Act 2022 (PSTI). Cette loi impose des règles strictes aux fabricants et vendeurs d’appareils IoT, visant à protéger les consommateurs contre les mots de passe par défaut trop faibles et les risques de sécurité qui en découlent.
Désormais, attribuer des mots de passe tels que « admin » ou « 123456 » par défaut à un appareil pourrait coûter cher aux fabricants et vendeurs. Ces pratiques sont désormais passibles de considérables amendes ou même de rappels de produits. L’une des exigences clés de cette législation est que chaque appareil soit doté d’un mot de passe unique par défaut, interdisant l’utilisation de mots de passe simples ou facilement devinables, ainsi que l’attribution d’un même mot de passe à une série d’appareils. C’est ce que stipule et impose le nouveau loi britannique Product Security and Telecommunications Infrastructure Act 2022 (PSTI), qui a été promulguée lors de la Journée des Mots de Passe, le 2 mai.
Les sanctions en cas de non-conformité à cette nouvelle réglementation sont sévères, avec des amendes pouvant atteindre jusqu’à dix millions de livres ou quatre pour cent du chiffre d’affaires mondial des fabricants ou vendeurs, selon le montant le plus élevé.
Cette initiative britannique s’inscrit dans un contexte plus large de renforcement de la sécurité des appareils connectés en Europe. En effet, l’Union européenne travaille également sur des mesures similaires avec le Cyber Resilience Act, actuellement en phase de finalisation. Bien que les détails concernant les mots de passe ne soient pas aussi explicites dans cette législation européenne, elle vise également à garantir une sécurité adéquate pour les appareils dotés de composants numériques.
Il est donc envisageable que les fabricants réagissent à ces exigences réglementaires non seulement sur le marché britannique, mais également à l’échelle européenne, si les réglementations européennes suivent le même chemin que celles du Royaume-Uni. Cette convergence réglementaire pourrait entraîner des changements significatifs dans la façon dont les appareils connectés sont sécurisés et protégés contre les vulnérabilités liées aux mots de passe par défaut.
Ca tire dans tous les sens, même sur OnlyFan
Lire la suite : https://www.zataz.com/la-fin-des-mots-de-passe-generiques/
Videosurveillance
Vidéosurveillance algorithmique : des tests en région parisienne à l’occasion des concerts de Taylor Swift
Publié le 07 mai 2024
Un arrêté préfectoral autorise la RATP à recourir « à titre expérimental » au traitement algorithmique Cityvision dans deux stations de métro et RER proches de l’Arena Paris la Défense, du 7 au 14 mai.
Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci.
Après les groupes Depeche Mode et Black Eyed Peas, c’est au tour de la star états-unienne Taylor Swift de voir les abords de ses concerts parisiens scannés par un dispositif de vidéosurveillance algorithmique (VSA). Par un arrêté paru le 6 mai, la Préfecture de police de Paris a autorisé la Régie autonome des transports parisiens (RATP) à utiliser, du 7 au 14 mai, à partir de 8 heures du matin, la solution Cityvision, développée par la société parisienne Wintics, dans deux stations de transport en commun, Nanterre-Préfecture et La Défense - Grande-Arche.
Il s’agira de détecter d’éventuelles « intrusions en zone interdite au public ou sensible », la présence de foules anormalement denses ou de mouvements dangereux, ou encore la présence de bagages abandonnés, souligne la Préfecture de police. Le tout « à titre expérimental », comme le permet la loi du 19 mai 2023 relative aux Jeux olympiques et paralympiques qui comprend plusieurs dispositions concernant la VSA.
Blockchain
À Antibes, la blockchain rend les contrats intelligents
lettreducadre.fr - Par Eric Delon
Publié le 10 mai 2024
Sujets relatifs : Datas/numérique
Dans une logique de consolidation de la smart city, la direction des systèmes d’information de la ville d’Antibes a mis en place des contrats sécurisés grâce à la technologie blockchain. La solution, peu couteuse, rend la fraude impossible et les transactions sont transparentes.
Antibes Juan Les Pins (Alpes-Maritimes) revendique le statut de ville connectée et est régulièrement récompensée pour des projets s’inscrivant dans une démarche de « smart city ». La ville a franchi un nouveau cap l’an dernier en expérimentant avec succès le « contrat intelligent ».
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lettreducadre.fr/article/a-antibes-la-blockchain-rend-les-contrats-intelligents.54609
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Blockchain : les entreprises au défi de la transformation de leur filière
wedemain.fr - Par Florence Santrot
Publié le 6 mai 2024
La blockchain, au-delà des cryptomonnaies, représente une innovation majeure pour assurer la traçabilité et la sécurité des opérations numériques. Cette technologie décentralisée offre une nouvelle forme de confiance, répondant aux attentes croissantes de transparence des consommateurs et des entreprises.
Dès 2008, avec la création du Bitcoin par Satoshi Nakamoto, la blockchain s’est imposée comme une innovation majeure. Son évolution a été marquée par l’apparition d’Ethereum en 2013, qui a introduit les contrats intelligents, étendant les possibilités d’application de la blockchain bien au-delà des transactions financières. Aujourd’hui, la blockchain peut s’immiscer dans tous les domaines, mais pas n’importe comment.
Blockchain : faut-il ou non sauter le pas ?
Lire la suite : https://www.wedemain.fr/partager/blockchain-les-entreprises-au-defi-de-la-transformation-de-leur-filiere/
Détection
Festival de Cannes 2024 : détection de mouvement de foule, armes… des caméras intelligentes en renfort
leparisien.fr - Par Matthias Galante
Publié le 10 mai 2024
La grand-messe du cinéma français, qui commence ce mardi 14 mai, sera surveillée par des caméras intelligentes capables d’identifier automatiquement des situations à risque.
Souriez, vous êtes filmés… par de l’Intelligence artificielle (IA) à Cannes ! En attendant l’arrivée de George Lucas, Cate Blanchett ou Emma Stone pour la 77e édition du Festival, du 14 au 25 mai, la ville s’apprête à expérimenter l’utilisation de caméras intelligentes afin de sécuriser les stars et l’immense flux d’invités et médias du monde entier. Une première. Concrètement, 17 d’entre elles, des modèles déjà existants situés sur la Croisette, autour du Palais des Festivals et à la gare, seront reliées à un logiciel algorithmique détectant, en temps réel, huit situations à risque.
« Cela concerne les colis abandonnés, la présence ou l’utilisation d’armes comme les couteaux, le non-respect du sens de la circulation pour un véhicule, le franchissement dans une zone sensible ou interdite, une personne au sol, un mouvement de foule, une densité trop importante ou un départ de feu », détaille le directeur de la police municipale, Yves Daros.
L’IA permettra d’intervenir plus rapidement
Cybersécurité
L’intelligence artificielle (IA), entre menaces et opportunités
Publié le 06 Mai 2024
SOMMAIRE
Si les concepts de l’intelligence artificielle datent des années 50 et qu’elle est intégrée dans de nombreuses solutions depuis maintenant plusieurs dizaines d’années, l’année 2023 aura été marquée pour le grand public par la découverte de l’intelligence artificielle générative et notamment celles basées sur les grands modèles de langage.
L’IA, une opportunité pour les cybercriminels ?
Compréhension du langage naturel, traduction, production de contenus texte, vidéo ou audio, traitement massif de données, automatisation et résolution de problèmes complexes… Les capacités et l’accessibilité de ces nouveaux modèles d’intelligence artificielle peuvent à la fois émerveiller comme effrayer, tant le champ des possibles semble étendu.
Bien évidemment, comme toute évolution technologique, les possibilités offertes par l’intelligence artificielle ne peuvent que retenir l’attention des cybercriminels. Des modèles d’IA générative cybercriminels n’ont d’ailleurs pas tardé à être développés et rendus disponibles (WormGPT, FraudGPT, ThreatGPT…).
En l’état des connaissances encore balbutiantes sur le sujet et au-delà de toute spéculation, cela ne voudrait toutefois pas pour autant annoncer un bouleversement du panorama des cybermenaces. En effet, si l’intelligence artificielle peut améliorer la productivité des cybercriminels et la sophistication de leurs modes opératoires, ceux-ci resteront sans doute, du moins encore un temps, très similaires dans leurs principes.
Depuis plusieurs années, la cybercriminalité est devenue de plus en plus facilement accessible à de nouveaux acteurs disposant de faibles compétences techniques, au travers de services spécialisés commercialisés en ligne, notamment sur l’Internet sombre (darknet). L’arrivée de l’intelligence artificielle dans ces services ne peut qu’accroître cette tendance. Le développement de l’utilisation de l’IA à des fins cybercriminelles et l’augmentation du nombre d’acteurs malveillants qui pourra en découler seront très probablement de nature à voir encore s’amplifier le nombre attaques et leur niveau d’élaboration.
Quelles sont les cybermalveillances liées à l’IA ?
Lire la suite : https://www.cybermalveillance.gouv.fr/tous-nos-contenus/actualites/intelligence-artificielle-ia
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Cybersécurité : Après des années d'inaction, Microsoft se met en ordre de marche pour arrêter l'hécatombe
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 6 mai 2024
Microsoft lance enfin son grand chantier pour remettre à plat ses pratiques de sécurité informatique et en dévoile les principaux volets. Un programme pour redorer son image, sévèrement écornée par de nombreuses vulnérabilités dans ses produits et services ces dernières années.
Microsoft a présenté le 3 mai les principaux piliers de son grand programme d’amélioration de ses pratiques de cybersécurité. Ce plan, intitulé “Secure Future Initiative” (SFI), avait été lancé en novembre dernier en interne. Il prévoyait notamment de bloquer automatiquement certains abus, de rechercher des données sensibles dans le trafic réseau, et d'appliquer de nouvelles exigences lors de la création de comptes d’entreprise.
Une sécurité qui s’applique dès la conception du produit ou service
Charlie Bell, vice-président exécutif de Microsoft Security, explique que l’initiative de Microsoft s’articule autour de trois “principes de sécurité”, et de “six piliers de sécurité prioritaires”. Suivant le premier principe, “la sécurité passe avant tout lors de la conception de tout produit au service”. Les deux autres principes précisent que ces protections de sécurité seront “activées et appliquées par défaut”, qu’elles ne sont pas facultatives, et que “les contrôles et la surveillance de sécurité seront continuellement améliorés”.
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Des pirates ciblent les accès aux LLM dans le cloud
linformaticien.com - Par Victor Miget
Publié le 10 mai 2024
L’équipe Threat Research de Sysdig a révélé que des cyberattaquants exploitent une faille de Laravel pour s’emparer d’identifiants des grands modèles de langage (LLM) dans le cloud. Ils les revendent ensuite à d’autres cybercriminels afin qu’ils puissent utiliser une licence à des fins frauduleuses.
Sysdig a identifié une nouvelle attaque qui exploite des identifiants de connexion cloud volés afin de cibler des LLM hébergés localement sur le cloud. Pour mener cette attaque, baptisée LLMjacking par les chercheurs, les identifiants ont été obtenus via des systèmes exécutant une version vulnérable du framework web open-source Laravel. L’entreprise a notamment étudié le ciblage d’un modèle LLM local Claude (v2/v3) d'Anthropic.
Bien que les attaques contre les LLM ne soient pas rares, elles se concentrent généralement sur la modification des données d’entraînement et l’abus d’invitations. Ici, la méthode diffère, car les attaquants tentent de s’emparer des accès aux LLM pour les revendre à d’autres cybercriminels, tandis que le propriétaire est laissé pour compte.
Renforcer son environnement cloud
« Si elle n'est pas découverte, ce type d'attaque pourrait entraîner des coûts de consommation de LLM de plus de 46 000 $ par jour pour la victime », préviennent les chercheurs. Sysdig soupçonne également les cybercriminels de vouloir, par cette méthode, extraire les données d’entraînement des LLM.
Lire la suite : https://www.linformaticien.com/magazine/cybersecurite/62005-des-pirates-ciblent-les-acces-aux-llm-dans-le-cloud.html
Metavers
Métavers de destinations : Charentes Tourisme innove
En collaboration avec ses partenaires
tourmag.com - Par Manon Morelli
Publié le 6 mai 2024
Charentes Tourisme lance un nouveau concept en France pour faire voyager la nouvelle génération, le métavers de destinations, un monde en réalité virtuelle qui souhaite transformer le secteur du voyage.
Charentes Tourisme, en collaboration avec ses partenaires locaux et le studio Wytland, a récemment lancé le premier métavers de destinations en France.
Cette initiative vise à anticiper les besoins et les attentes de la génération Z en matière de voyages et d'expériences touristiques.
En créant un univers virtuel immersif 3D, Charentes Tourisme offre aux visiteurs la possibilité de découvrir virtuellement les Charentes, avec les vignobles de Cognac, la plage de Châtelaillon-Plage ou encore la ville d'Angoulême.
Une immersion totale dans les Charentes
Le métavers des Charentes invite les internautes à explorer un monde virtuel où ils peuvent interagir via des avatars. Cette expérience immersive de réalité augmentée met en avant les richesses de la région, telles que la visite de chais, la promotion des mobilités douces avec le train de la Région Nouvelle-Aquitaine, et d'autres éléments emblématiques.
Grâce à la contribution des étudiants d'Excelia Tourism School, le métavers a été conçu pour répondre aux attentes de la génération Z en matière de découverte, de partage et de divertissement.
Lire la suite : https://www.tourmag.com/Metavers-de-destinations-Charentes-Tourisme-innove_a122609.html
Thales
Thales et Intel assurent une protection avancée de l’écosystème google cloud
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 02 Mai 2024
• Garantit une protection permanente des charges de travail les plus sensibles des entreprises dans le cloud grâce à une sécurité des données contrôlée par le client, celles-ci restant invisibles et inaccessibles à toute personne non-autorisée ;
• Empêche les acteurs malveillants d’accéder au code et aux données, aussi bien au repos, en transit qu’en cours d’utilisation.
Thales, le chef de file mondial des solutions technologiques et de sécurité, annonce aujourd’hui une collaboration visant à garantir la sécurité des données de bout en bout sur Google Cloud. Cette collaboration sera axée sur la plateforme CipherTrust Data Security (CDSP) de Thales, sur l’informatique confidentielle (CC) de Google Cloud et sur le service indépendant d’attestation de confiance Intel Trust Authority (ITA).
Cette initiative représente une avancée en matière de sécurité des données, car elle permet aux entreprises de disposer de contrôles supplémentaires pour protéger leurs données, qu’elles soient au repos, en transit ou en cours d’utilisation.
« À l’heure où de plus en plus d’entreprises migrent leurs données et leurs charges de travail vers le cloud, le besoin de protéger la confidentialité et l’intégrité des données n’a jamais été aussi grand, en particulier lorsque ces charges de travail touchent à des aspects sensibles tels que la propriété intellectuelle, les modèles d’IA ou encore les informations personnelles. Cette étroite collaboration avec Google Cloud et Intel permettra aux entreprises de protéger et de contrôler leurs données, qu’elles soient au repos, en transit ou en cours d’utilisation, grâce à une attestation entièrement vérifiable, renforçant ainsi la confiance de nos clients dans leur démarche de migration vers le cloud. » - Todd Moore, vice-président, Produits de sécurité des données, Thales.
Une majorité des personnes ayant répondu à l’étude Thales Cloud Security Study 2023 ont déclaré stocker ou utiliser une quantité importante de données sensibles dans le cloud.
La protection des données sensibles et des charges de travail associées dans le cloud devient donc une priorité, en particulier pour les industries hautement réglementées telles que les services financiers et les soins de santé. La collaboration de Thales avec Intel et Google Cloud permettra aux entreprises de disposer d’outils de contrôle certifiés qui leur garantiront une sécurité sans faille des données de bout en bout.
Purnam Sheth, vice-président et directeur général, Produits de confiance et de sécurité, SATG, Intel : « La création de cette plateforme révolutionnaire de sécurité des données dans Google Cloud répond aux exigences complexes des clients en matière de protection des données, de contrôle des accès et de la sécurité, et de mise en conformité, qu’il s’agisse de protéger des données au repos, en transit ou en cours d’utilisation. La technologie de calcul confidentiel Intel® TDX (Trust Domain Extensions) et le service Intel® Trust Authority garantissent aux entreprises l'intégrité de leurs charges de travail et une protection à chaque étape de la gestion des données. Cette avancée est le fruit de la précieuse collaboration entre Thales, Google Cloud et Intel. »
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-et-intel-assurent-une-protection-avancee
Metavers
L’EDN ouvre un nouveau Master en Sciences et Technologies de Metavers
studyrama.com - Par la rédaction
Publié le 09 mai 2024
En réponse aux besoins croissants du marché du travail et aux défis du monde contemporain, la FGES de l’Université Catholique de Lille annonce l’ouverture d’un Master à la rentrée 2024. Dispensés par l’Ecole Du Numérique, ce nouveau diplôme d’une durée de deux ans, formera sur le sujet des Sciences et Technologies de Metavers.
L’EDN : une formation unique pour des métiers d’avenir
L’Ecole Du Numérique (EDN) est une école facultaire de la Faculté de Gestion, Economie et Sciences de l’Université Catholique de Lille. Elle propose des formations innovantes qui intègrent l’humain, l’économie responsable et durable et les compétences numériques. L’accent est mis sur l’acquisition de compétences techniques et humaines dans un esprit durable et responsable, et permettre ainsi aux étudiants de devenir acteurs de leur propre formation.
Les formations dispensées s’adressent aux étudiants souhaitant se préparer aux métiers du numérique en constante évolution. Elles leur permettent de développer les compétences nécessaires pour s’adapter aux besoins du marché et de devenir des acteurs clés de la transformation digitale. Elle propose également un environnement d’apprentissage unique, en lien étroit avec le monde de l’entreprise, favorisant l’insertion professionnelle des étudiants.
Le salon d’orientation à ne pas manquer !
Nous vous donnons RDV sur le salon Studyrama des Formations en Numérique à Paris. Une occasion unique de découvrir les établissements et d’échanger avec des étudiants, des responsables pédagogiques et des spécialistes pour leur poser toutes vos questions ! Ne manquez pas les conférences inédites sur ce secteur aux multiples débouchés.
Une formation innovante et axée sur l’apprentissage expérientiel
Lire la suite : https://www.studyrama.com/formations/specialites/informatique-numerique/l-edn-ouvre-un-nouveau-master-en-sciences-et-technologies-de-metavers
Mobilité
La Région Normandie et les collectivités normandes demandent la labellisation par l'Etat du projet de SERM
metropole.metropole-rouen-normandie.fr -
Hervé Morin, Président de la Région Normandie, Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Bernard Leroy, Président de la Communauté d'Agglomération Seine-Eure, et Christophe Bouillon, Président de la Communauté de communes de Caux-Austreberthe, sollicitent l'Etat pour qu'il procède à la labellisation du projet de SERM (Service Express Régional Metropolitain) à Rouen, dorénavant défini par la loi du 27 décembre 2023.
Par un courrier adressé à Patrice Vergriete, Ministre délégué auprès du ministre de la Transition Ecologique, les Présidents ont également exposé l'avancement du travail collectif sur ce projet de valorisation des transports sur le périmètre du bassin de mobilité « Cœur Vallée de Seine ».
Les collectivités de la région Rouennaise ont d'ores et déjà intégré les enjeux du développement d'un système de transport performant qui réunit l'ensemble des modes de transport, dans une logique de report modal et de vision service au voyageur.
La Région et les collectivités normandes ont ainsi collaboré dès 2011 à la mise en place d'un système de billettique interopérable et ont créé en 2015 le syndicat mixte Atoumod, en charge du support multimodal régional et du développement de l'intégration tarifaire en Normandie.
Dès 2016, un groupe de travail précurseur, composé de l'Etat, de la Région, de la Métropole Rouen Normandie, de SNCF Réseau s'est engagé dans une réflexion sur l'usage du train comme mode urbain, en lien avec l'actualisation du PDU de l'agglomération et la nécessité de préfigurer le service ferroviaire dans la perspective de l'arrivée de la LNPN.
Le périmètre d'étude est formé de 23 gares formant le cœur de l'étoile ferroviaire, sur les trois aires urbaines de Rouen, Louviers et Yvetot qui comptabilisent près de 730 000 habitants et 300 000 emplois. L'Enquête Ménages Déplacements de 2017 y dénombre chaque jour 2,43 millions de déplacements tous modes et tous motifs. A ce jour, ce sont plus de 150 000 véhicules qui entrent ou sortent quotidiennement de la métropole de Rouen, générant des flux de 40 000 à 70 000 véhicules sur les principaux axes d'entrée de la ville-centre. Au final, plus de 80 % des kilomètres parcourus en voiture vers la ville-centre sont liés à des déplacements supérieurs à 6 km, donc sur des distances où seul le train peut concurrencer l'automobile.
Lire la suite : https://www.metropole-rouen-normandie.fr/presse/2024/la-region-normandie-et-les-collectivites-normandes-demandent-la-labellisation-par-letat
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CONSULTATION PUBLIQUE - Avenant au contrat de plan État - Région des Pays de la Loire 2021-2027 relatif au volet « Infrastructures de transport et mobilités »
prefectures-regions.fr - Communiqué
Publié le 29 avril 2024
La signature du protocole d’accord sur le futur volet « Infrastructures de transport et mobilités » du Contrat de Plan Etat-Région 2021-2027, le 16 novembre 2023, a acté un montant inédit d’un milliard d’euros d’investissements pour les mobilités en Pays de la Loire sur la période 2023-2027.
Outre la poursuite des grands projets prévus au contrat d’avenir et visant à renforcer l’accessibilité de la région, les investissements prévus font une large place à l’accélération de la décarbonation des modes de transports et aux déplacements du quotidien de tous les ligériens, en tenant compte des spécificités et de la diversité de nos territoires.
Ce protocole doit se concrétiser sous la forme d’un avenant au contrat de plan État – Région qui formalisera cette ambition.
En application de la directive européenne 2001/42/CE du 27 juin 2001 relative à l’incidence de certains plans et programmes sur- l’environnement, traduite en droit français dans le code de l’environnement (articles L122-8 et R122-22), le préfet de région et la présidente du Conseil régional des Pays de la Loire organisent une consultation du public sur le projet d’avenant au contrat de plan Etat - Région 2021-2027 relatif au volet « « Infrastructures de transport et mobilités »
Cette consultation se déroule du 30 avril 2024 au 30 mai 2024
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Opération mobilité électrique : nous vous accompagnons pour recharger vos batteries sur autoroute.
vimci-autoroutes.com - Communiqué
Publié le 29 avril 2024
Vous prévoyez de voyager pour les ponts de mai ? Du 3 au 12 mai, des équipiers dédiés à la mobilité électrique vous accueillent sur plusieurs aires du réseau VINCI Autoroutes. Leur rôle ? Vous aider à vous recharger lors de votre pause.
Des voituriers à votre disposition pour vous aider à vous recharger lors de votre pause
Si vous prévoyez de prendre l’autoroute avec un véhicule électrique, vous vous êtes sans doute posé quelques questions pratiques : sur quelles aires m’arrêter ? En combien de temps mon véhicule sera rechargé ? Avec quel mode de paiement puis-je régler ? Est-ce que je vais trouver un point de recharge disponible sur toutes les aires ?....
Que vous soyez habitué ou novice en matière de mobilité électrique, nous sommes là pour vous accompagner. A l'occasion du fort trafic attendu lors de grands week-ends de mai, nous vous proposons un service gratuit d'aide à la recharge pour votre véhicule électrique.
Sur plusieurs aires du réseau VINCI Autoroutes (47 aires en tout dont 31 aires Totalenergies, 13 aires Ionity et 2 aires Engie Vianeo), ces voituriers sont à votre disposition tout au long de la journée. Leur mission consistera entre autres à :
Lire la suite : https://www.vinci-autoroutes.com/fr/actualites/services-et-aires/operation-mobilite-electrique/
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Il existe un passe Navigo avantageux qui ne coûte pas 86 € tous les mois
Méconnu mais pratique
numerama.com - Par Nelly Lesage
Publié le 3 mai 2024
Le forfait Navigo Liberté+ est moins connu que les passes mensuels et annuels. C’est pourtant une option intéressante si vous voyagez dans Paris en métro et RER. Voici ce qu’il faut savoir sur ce titre de transport d’Île-de-France Mobilités.
À côté des classiques passes Navigo Mois et Annuel, le passe Liberté+ est un forfait moins connu des Franciliens. Pourtant, le passe Navigo Liberté+ va enfin permettre de voyager dans toute l’Île-de-France, a-t-on appris le 2 mai 2024. Pour l’instant, la possibilité n’est ouverte qu’à une poignée de testeurs, utilisant ce passe sur leur smartphone Android.
Vous voyagez à Paris et hésitez à opter pour un passe Navigo Liberté+ ? Voici tout ce qu’il faut savoir avant de vous décider.
Quels sont les différents passes Navigo ?
Il existe différents types de passes Navigo. Le choix du support de vos titres de transport dépend de votre fréquence de voyage à Paris et en Île-de-France.
Si vous voyagez régulièrement, il est recommandé d’opter pour :
• Le passe Navigo Annuel,
• Le passe Imagine R, destiné aux élèves ou étudiants.
Si vous ne voyagez qu’occasionnellement, il vaut mieux se tourner vers :
• Le passe Navigo Easy,
• Le passe Navigo Découverte,
• Le ticket en carton.
Ces supports permettent de charger différents titres de transports.
C’est quoi, un contrat Navigo Liberté+ ?
Lire la suite : https://www.numerama.com/vroom/1736982-comment-fonctionne-le-passe-navigo-liberte-pour-se-deplacer-dans-paris.html
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Programme anti-embouteillages : la vie sans bouchons
lillemetropole.fr - Communiqué
Publié le 02 mai 2024
Après une expérience réussie sur l’A1 et l’A23, la MEL poursuit le programme anti-embouteillages « Changer ça rapporte » ? sur l'A25 et la RN41. Êtes-vous concerné ? Comment vous inscrire ?
Au compteur
Pour ceux qui n’ont pas encore l’info, reprenons. À la rentrée dernière, la Métropole a décidé de lancer un programme anti-embouteillages. Une première en France ! Le principe ? Proposer aux automobilistes qui empruntent régulièrement l’A1 et l’A23 d’éviter les bouchons aux heures de pointe et les récompenser en leur permettant de gagner jusqu’à 80 € par mois. Résultat ? Ensemble, les participants au programme « Changer ça rapporte » ont permis de réduire les bouchons sur ces tronçons. Plus de 2 000 trajets ont été évités (60 % sur l’A1 et 40 % sur l’A23) : bravo aux 2 500 automobilistes engagés ! Chaque participant a, en moyenne, évité quatre trajets par semaine. Comment ? En optant pour le télétravail (43 %), le décalage des horaires de travail (34 %), les transports en commun (10 %), le covoiturage (9 %) ou les modes doux (4 %). Sur le volet qualité de l’air, le programme est également gagnant : 1 067 tonnes de CO2 ont été « évitées » depuis septembre dernier.
Vous empruntez l’A25 et/ou la RN41 ? Inscrivez-vous !
Quels sont les critères pour s’inscrire ? Fréquenter au quotidien l’A25 et/ou la RN41, entre 7 h et 9 h et entre 16 h 30 et 18 h 30, pour aller travailler dans la métropole, et être seul dans sa voiture. Le but ? Vous évitez les bouchons et testez un changement d’habitudes qui peut vous rapporter jusqu’à 80 € par mois*. Et vous vous engagez pour le territoire : les trajets évités devraient permettre de réduire le trafic sur ces axes et contribuer à une amélioration de la qualité de l’air.
Mode d’emploi
Lire la suite : https://www.lillemetropole.fr/actualites/programme-anti-embouteillages-la-vie-sans-bouchons
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Paris : Le prolongement de la ligne de métro 14 ouvrira fin juin
20minutes.fr - Par 20 minutes avec AFP
Publié le 28 avril 2024
TRANSPORTS • La présidente de la région Ile-de-France et des transports franciliens, Valérie Pécresse, a assuré ce dimanche que le prolongement de la ligne 14 serait effectif avant l’été.
Le prolongement de la ligne de métro automatique 14 au nord et au sud de Paris sera effectif « fin juin », soit un mois environ avant les Jeux olympiques, a confirmé au Parisien la présidente de la région Ile-de-France et des transports franciliens Valérie Pécresse.
Après le tramway T3b jusqu’à la porte Dauphine, qui vient d’être inauguré, « en mai aura lieu l’ouverture de l’extension du RER E de Saint-Lazare à Nanterre. Puis, début juin, le prolongement de la ligne 11 du métro vers Rosny-Bois-Perrier et fin juin, la ligne 14 de Saint-Denis-Pleyel à Orly-Aéroport », a détaillé Valérie Pécresse dans un entretien au Parisien publié en ligne dimanche.
Une artère indispensable aux JO
La ligne sera une artère indispensable aux Jeux olympiques (JO), puisque à Saint-Denis se trouvent plusieurs sites olympiques dont le village des athlètes et le Stade de France. Depuis des années, tout le calendrier du chantier a été calé pour que tout soit prêt avant les Jeux.
Lire la suite : https://www.20minutes.fr/paris/4088706-20240428-paris-prolongement-ligne-14-ouvrira-fin-juin-assure-valerie-pecresse
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Mobilité dans les territoires ruraux : un constat préoccupant et des propositions
maire-info.com - Par Franck Lemarc © Secours catholique
Le Secours catholique vient de publier un rapport sur la mobilité en milieu rural, qui insiste sur « l'urgence de changer de modèle dans ces territoires » : le manque de transports collectifs dans les territoires ruraux est une cause « d'enclavement » et de précarisation de la population.
Au moment de la présentation de la loi d’orientation sur les mobilités (LOM), celle qui était alors ministre des Transports, Élisabeth Borne, avait inventé l’expression de « zones blanches de la mobilité » – qu’elle avait promis d’éradiquer en créant des autorités organisatrices de la mobilité dans les zones rurales. Elle avait, alors, dénoncé « l’assignation à résidence » de certains habitants des villages, privés de solution de transport collectif et enchainés à la voiture individuelle.
Cinq après la LOM, où en est-on ? C’est la question que s’est posé le Secours catholique, qui a mené une large enquête en association, notamment, avec la Fédération des usagers de la bicyclette, la Croix-Rouge, Emmaüs, le Réseau action climat et France nature environnement.
Désertifications
Avec au final la publication d’un rapport intitulé Territoires ruraux en panne de mobilité, qui s’ouvre sur un verbatim d’une habitante d’un village rural en situation de précarité : « Si personne ne vient me chercher en voiture, je ne peux rien faire. » « Être sans voiture dans ces territoires, c’est synonyme de renoncement, de précarisation, voire d’isolement social complet, car c’est toute la vie quotidienne qui est affectée : l’accès aux soins, à l’emploi, aux loisirs, à l’alimentation, etc. », écrit Véronique Devise, présidente du Secours catholique. Mais au-delà du constat, les auteurs du rapport veulent proposer des solutions, convaincus que « les territoires ruraux sont sources d’innovation et peuvent être des fers de lance de la transition écologique juste et accessible… pourvu qu’on leur en donne les moyens ».
Lire la suite : https://www.maire-info.com/ruralit%C3%A9/mobilit%C3%A9-dans-les-territoires-ruraux-un-constat-pr%C3%A9occupant-et-des-propositions-article-28581
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Mois de la Mobilité : trente jours pour mieux se déplacer
grenoblealpesmetropole.fr - Par Communiqué
Publié le 2 mai 2024
Le mois de mai est placé sous le signe de la mobilité dans l'agglomération grenobloise, avec en point d'orgue la Faites du vélo, événement organisé par le Smmag depuis neuf ans.
Trente jours pour parler déplacements du quotidien : dans la métropole grenobloise, le mois de mai sera consacré à la mobilité. Une série d'événements est proposée pour valoriser toutes les mobilités douces (transports en commun, vélo, covoiturage, véhicules électriques...) et expliquer tous les accompagnements mis en place par Grenoble Alpes Métropole afin de faciliter la transition du territoire.
Le Smmag est bien évidemment un acteur majeur de ce mois de mai, avec sa désormais traditionnelle Faites du Vélo, du 13 au 26 mai. Outre le Concours des écoles à vélo, qui a mobilisé 142 écoles et 18 000 élèves l'an dernier, des animations grand public festives sont prévues : Grande kermesse du vélo à Grenoble, CinéCyclo à Jarrie, concert cyclo avec Gustus et Mélo à Saint-Paul-de-Varces, visites guidées en bicyclette, découverte du vélo à assistance électrique au cours de balades guidées...
Voir le programme de la Faites du Vélo
Parallèlement à cet événement, Grenoble Alpes Métropole propose, en partenariat avec les communes et structures du territoire, une visite originale d'un parking public, conférences sur l'autopartage avec Citiz, Fête du vélo à Pont-de-Claix, Repair Café à Vif, atelier sur la recharge des véhicules électriques...
Voir le programme du Mois de la Mobilité
Lire la suite : https://www.grenoblealpesmetropole.fr/actualite/247/45-mois-de-la-mobilite-trente-jours-pour-mieux-se-deplacer.htm
Services publics
Le programme « Transparence » : chiffres clés sur la qualité et l'éfficacité des services publics
nord.gouv.fr - Communiqué
Publié le 29 avril 2024
Dans le cadre du programme Action publique 2022 visant à transformer en profondeur l’action publique de l’Etat, le gouvernement s’est fixé, parmi plusieurs objectifs prioritaires, celui d’améliorer la qualité des services publics, en développant une relation de confiance entre les usagers et des administrations engagées à délivrer une information plus transparente sur la qualité de leurs services.
Ce sont toutes les administrations en relation avec les usagers qui publieront des indicateurs de résultats reflétant la satisfaction des usagers. Au sein du ministère de l’intérieur, ce sont 4 068 unités de la gendarmerie nationale en contact direct avec le public, 558 commissariats, 333 préfectures et sous-préfectures qui vont ainsi donner à voir les résultats de leurs indicateurs, par le biais d’un affichage dans les halls d’accueil du public mais également grâce à une large diffusion sur internet.
À l'issue du premier trimestre 2024, les chiffres partagés par le programme « Transparence » sont les suivants :
• 4% de satisfaction globale des usagers pour la délivrance des titres.
• 2 jours de délai moyen pour la délivrance des cartes d'identité et passeports.
• 8 jours de délai moyen pour la délivrance des permis de conduire.
• 8% d'appels décrochés en préfecture.
• jours de délai moyen pour la délivrance des certificats d'immatriculation des véhicules (cartes grises).
• 2.7/5 : c'est le score d'effort ressenti par les usagers pour les télé-procédures permis de conduire et certificats d'immatriculation des véhicules (cartes grises).
Pour en savoir plus sur le Programme « Transparence sur la qualité et l’efficacité des services publics », consultez le portail de la modernisation de l'action publique : www.modernisation.gouv.fr/transparence
Vous pouvez également retrouver les précédents résultats du programme « Transparence » en cliquant ici : https://www.nord.gouv.fr/Publications/Programme-Transparence-sur-la-qualite-et-l-efficacite-des-services-publics
Lire la suite : https://www.nord.gouv.fr/Actualites/Actualites/Le-programme-Transparence-chiffres-cles-sur-la-qualite-et-l-efficatite-des-services-publics
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Pour une préservation de nos services publics
Question écrite n°11450 - 16e législature
Les informations clés
Question de M. COURTIAL Édouard (Oise - UC) publiée le 02/05/2024
M. Édouard Courtial attire l'attention de M. le ministre de la transformation et de la fonction publiques sur les risques inhérents à la dématérialisation de nos services publics.
La dématérialisation des services publics portée par la promesse d'une gestion plus efficace et d'un accès facilité pour les usagers est un enjeu majeur. Elle concerne des secteurs variés, de l'administration fiscale à l'inscription en ligne dans les établissements scolaires, en passant par la santé avec la prise de rendez-vous médicaux ou encore la téléconsultation. Cette évolution, qui s'inscrit dans le cadre plus large de la transformation numérique de la société, offre sans aucun doute des avantages significatifs en termes de rapidité et de simplification des démarches administratives. Elle semble répondre à une demande de modernité et d'efficience dans un monde où le numérique prend une place centrale. Cependant, la bascule vers le tout numérique dans l'administration publique soulève des questions importantes concernant l'accès aux services essentiels pour une partie de la population.
En effet, en dépit des avancées technologiques, la fracture numérique reste une réalité pour de nombreux citoyens. Elle se manifeste non seulement par un accès limité ou inexistant à internet dans certaines zones géographiques, mais aussi par des différences de compétences numériques au sein de la population. Les personnes âgées, certaines catégories socio-professionnelles ou encore les habitants de zones rurales sont particulièrement exposés à ce risque de marginalisation numérique. Cette fracture peut conduire à des situations où l'accès aux droits et services, devenus principalement numériques, est compromis pour ceux qui en sont éloignés, renforçant ainsi les inégalités au sein de notre société.
Ainsi, face à ce constat, il lui demande quelles mesures sont prises pour accompagner les populations les plus éloignées de l'univers numérique dans cette transition ?
Publiée dans le JO Sénat du 02/05/2024 - page 1943
Lire la suite : https://www.senat.fr/questions/base/2024/qSEQ240511450.html
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IA dans les services publics : quels effets pour les agents de l’administration ?
la-croix.com - Par Mélinée Le Priol
Enquête. Depuis l’automne, des expérimentations d’intelligence artificielle sont en cours dans les services publics. L’objectif, encore répété fin avril par Gabriel Attal, est de « faciliter la vie des Français ». Des doutes subsistent toutefois sur les effets concrets de cette technologie sur le quotidien des agents.
Pour simplifier les démarches des Français, chantier récurrent s’il en est, l’administration mise sur un allié très en vue ces temps-ci : l’intelligence artificielle (IA). C’est ce qu’a annoncé en grande pompe, fin avril, le premier ministre Gabriel Attal lors du 8e Comité interministériel de la transformation publique (CITP). Assister les agents du fisc, automatiser le dépôt de plaintes, pré-instruire les futurs projets de parcs éoliens… Les attentes de l’exécutif envers l’IA ne manquent pas de panache et convergent avec le discours public sur la nécessité de faire de la France une « championne » dans ce secteur de pointe.
Deux expérimentations en cours dans la fonction publique préfigurent ce nouveau cap (lire les repères en bas de l’article). Leur objectif : permettre aux agents de répondre plus efficacement aux citoyens qui les interrogent. Sur la plateforme Services publics +, « le Tripadvisor de l’administration », 1 700 agents volontaires ont été équipés depuis septembre d’un outil qui « prémâche » en quelque sorte leurs réponses écrites aux avis laissés par les internautes. Résultat, leur temps moyen de réponse est passé de dix-neuf jours à trois seulement, se félicite-t-on en haut lieu.
« Réhumaniser » par la technologie
Lire la suite : https://www.la-croix.com/france/ia-dans-les-services-publics-quels-effets-pour-les-agents-de-l-administration-20240504
Intelligence artificielle
L’avenir selon Bill Gates : l’intelligence artificielle saura tout de votre vie
rtbf.be - Par Chloe Rosier
Publié le 29 avril 2024
Bill Gates nous partage sa vision du futur des technologies et notamment ce que les ordinateurs pourraient devenir bientôt sous l’influence de l’Intelligence Artificielle (IA).
Sur le blog de Bill Gates, le milliardaire explique que d’ici cinq ans, "vous n’aurez pas besoin d’utiliser différentes applications pour différentes tâches". L’IA devrait vous permettre d’avoir un assistant personnel toujours disponible pour remplir des tâches qui, aujourd’hui, ont besoin d’un être humain pour être réalisées :
• envoyer un e-mail,
• partager un selfie,
• analyser des données,
• planifier une fête,
• acheter des billets de cinéma...
"Vous indiquerez simplement à votre appareil, dans le langage courant, ce que vous voulez faire. Et en fonction de la quantité d’informations que vous choisissez de partager avec lui, le logiciel sera en mesure de répondre personnellement car il aura une riche compréhension de votre vie."
Cet "agent", comme Bill Gates l’appelle, ne prendra pas forcément la forme d’un ordinateur puisque tout appareil connecté pourra remplir cette fonction. Si l’on en croit le créateur de Microsoft, ces agents pourraient révolutionner notre monde : puisque ces agents nous connaissent (en nous suivant dans tout ce que nous faisons tous les jours, n’importe où), ils sauront ce que nous voulons avant même que nous le voulions.
Et à en croire Bill Gates, c’est une bonne chose… Quand on sait que le milliardaire investit énormément dans les différentes IA, on comprend qu'il s'enthousiasme.
Il rajoute également un point essentiel : "Ils auront une influence particulièrement importante dans quatre domaines : les soins de santé, l’éducation, la productivité, ainsi que les divertissements et les achats".
Les soins de santé
Lire la suite : https://www.rtbf.be/article/l-avenir-selon-bill-gates-l-intelligence-artificielle-saura-tout-de-votre-vie-11366758
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Intelligence artificielle : des chercheurs troyens ouvrent la voie à une détection anticipée de la maladie de Parkinson
leparisien.fr - En région,Aube Par Jonathan Sottas
Publié le 2 mai 2024
Deux chercheurs de l’Université de technologie de Troyes avancent sérieusement sur une méthode utilisant l’Intelligence artificielle. Elle permettrait d’identifier des patients qui risquent de développer la maladie quelques années plus tard.
Racha Soubra et Aly Chkeir, enseignants-chercheurs en biomédical à l'Université de Technologie de Troyes, sont sur le point d’accomplir une grande avancée dans la détection précoce de la maladie de Parkinson. LP/Jonathan Sottas
A l’Université de Technologie de Troyes (UTT), les pathologies liées au grand âge et, plus globalement, le « bien vieillir » sont au cœur de tout un pan de la recherche. C’est le cas au Living Lab, une sorte d’appartement témoin où des applications sont élaborées en lien avec les seniors. C’est dans ce cadre que se sont rencontrés Racha Soubra et Aly Chkeir, enseignants-chercheurs en biomédical. Tous deux se sont très vite intéressés à Parkinson, une maladie chronique et progressive liée au vieillissement, en constante progression du fait de l’augmentation du nombre de seniors.
« Actuellement, 200 000 Français sont atteints de cette maladie, et 25 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année, un chiffre destiné à doubler d’ici à 2030 », lance Racha Soubra. Pour eux, l’enjeu est donc de détecter la progression d’une maladie qui progresse au fil du temps. « Au 1er stade, il y a quelques signes de tremblements...Puis on va jusqu’au 5e stade avec des symptômes sévères qui rendent la personne totalement dépendante », explique Ali Chkeir. « Les neurologues ont la capacité de détecter à quel stade cette personne se trouve. Notre objectif est de prédire son déclenchement en trouvant un biomarqueur qu’on n’arrive pas à voir à l’œil nu, y compris lorsqu’on est médecin. »
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Avec Database 23ai, Oracle taille sa base de données pour l'IA
lemondeinformatique.fr Par Jacques Cheminat
Publié le 03 Mai 2024
Oracle met à jour son système de gestion de bases de données relationnelles avec un focus IA. Rebaptisée Database 23ai, il ajoute plusieurs fonctionnalités pour aider les développeurs à créer des applications IA.
Légende : Au sein de Database 23 AI, Oracle met le cap sur l'IA avec notamment la recherche vectorielle et d'autres fonctionnalités. (Crédit Photo: Oracle)
Petit à petit, les offres d’Oracle se mettent en ordre de marche pour conquérir le marché de l’intelligence artificielle. Récemment, la firme avait orienté Autonomous Database dans ce sens avec des fonctions d’IA générative. Aujourd’hui, c’est au tour de Database 23 de se positionner sur l’IA en se voyant accoler le terme "ai" à la place de la lettre c. Elle comprend plusieurs fonctionnalités à destination des développeurs pour les aider dans la réalisation d’applications basées sur l’IA.
La recherche vectorielle au cœur du réacteur
En premier lieu, ce SGBDR hérite des évolutions dévoilées en septembre dernier comme la recherche vectorielle. Avec elle, Oracle relie les données structurées contenues dans les bases de données relationnelles aux données non structurées (image, texte,…) sous forme de vecteurs. Ceux-ci stockent le contenu sémantique des documents, images ou autres dans la base de données relationnelles. Oracle a ajouté un type d’indexation vectorielle spécifique pour accélérer la recherche. A noter que Vector Search prend également en charge Retrieval Augmented Generation (RAG), une technique d'IA générative qui combine de grands modèles de langage (LLM) et des données métiers privés pour fournir des réponses à des questions en langage naturel.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-avec-database-23ai-oracle-taille-sa-base-de-donnees-pour-l-ia-93658.html
5G
Nokia veut prendre sa revanche dans le domaine de la « 5G ouverte »
latribune.fr - Par Pierre Manière
Publié le 3 mai 2024
L’équipementier télécoms finlandais a annoncé avoir réussi un essai de sa technologie « Open Ran » en Italie avec Vodafone. Ces avancées doivent permettre à l’opérateur de remplacer certains équipements de réseau mobile par du logiciel, en faisant appel à de nouveaux fournisseurs, avec à la clé d’importantes économies. Nokia veut démontrer qu'il reste en pointe dans ce domaine après la perte d'un gros contrat aux Etats-Unis.
C'est une petite révolution dans le monde des télécoms. La technologie dite « Open Ran » est aujourd'hui en plein développement. Elle vise à remplacer certains équipements des réseaux mobiles 5G par du logiciel. L'idée est de permettre à de nouveaux acteurs de pénétrer ce marché, en mettant en concurrence leurs solutions. Ce qui doit in fine permettre aux opérateurs télécoms de réaliser d'importantes économies.
Tous les équipementiers télécoms développent leurs solutions Open Ran. Le groupe finlandais Nokia ne fait pas exception. Cette semaine, il a annoncé avoir réussi un essai « Open Ran » sur le réseau 5G de son partenaire Vodafone en Italie. Pour ce faire, Nokia a utilisé ses antennes, couplées à des serveurs Dell, et une plateforme cloud de Red Hat. « L'essai met en évidence la maturité de l'approche Open Ran de Nokia, qui est conçue pour donner aux opérateurs mobiles et aux entreprises plus de flexibilité dans la construction des réseaux », se félicite l'équipementier dans un communiqué.
Nokia veut démontrer son savoir-faire
Lire la suite : https://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/nokia-veut-prendre-sa-revanche-dans-le-domaine-de-la-5g-ouverte-996787.html
CNIL
IA et données personnelles : la Cnil fixe les règles
info-socialrh.fr - par Gilmar Sequeira Martins
Publié le 2 mai 2024
Les systèmes d’IA seront bien soumis au RGPD. Pour éviter toute esquive ou difficulté de mise en application des règles, la Cnil vient de publier des recommandations. Elles doivent permettre aux concepteurs de systèmes d’IA d’assurer la protection des données personnelles des personnes.
Devant les nombreuses questions juridiques et opérationnelles soulevées par l’utilisation, mais aussi l’élaboration de systèmes d’IA, la Cnil a publié une série de recommandations. Objectif : concilier le développement de systèmes d’IA avec les enjeux de protection de la vie privée qui sont au cœur du RGPD. Après avoir publié en mai 2023 son « plan IA », la Cnil s’est lancée dans un travail de « clarification du cadre juridique afin de sécuriser les acteurs ».
L’une des premières conclusions de cette démarche est de reconnaître aux yeux de la Cnil que le développement de ces systèmes est « conciliable avec les enjeux de protection de la vie privée » et que c’est « à cette condition que les citoyens feront confiance à ces technologies ». Reste à savoir comment faire. C’est l’objet des recommandations.
Les points délicats à gérer
Celles-ci doivent permettre aux acteurs concernés, y compris les services RH donc, d’assurer leur mise en conformité avec la législation sur la protection des données personnelles. Les recommandations permettent d’aborder les points les plus délicats à gérer, en l’occurrence les points clés du RGPD :
Lire la suite : https://www.info-socialrh.fr/fonction-rh/digitale/ia-et-donnees-personnelles-la-cnil-fixe-les-regles-903412.php
RGPD
A partir de quand une personne est-elle « identifiable » au sens du RGPD ?
droit-technologie.org - Par Etienne Wery
Publié le 03 mai 2024
Un communiqué de presse qui n’identifie pas la personne visée, mais contient des informations qui rendent l’identification possible sans « effort démesuré en termes de temps, de coût et de main-d’œuvre », de sorte que le risque d’identification n’est pas « insignifiant », est une donnée à caractère personnel.
Les faits
La requérante, de nationalité grecque, est chercheuse universitaire spécialisée dans les applications de la nanotechnologie, le stockage d’énergie et la biomédecine.
En 2007, elle a soumis une proposition de recherche intitulée « Étude de la transition du micro au nano : fondements, simulations et applications théoriques et expérimentales » (« le projet ») au Conseil européen de la recherche.
Le 30 septembre 2008, la Commission européenne et l’Université Aristote de Thessalonique ont signé la convention de subvention n° 211166 concernant le projet. L’université Aristote a été désignée comme institution d’accueil pour le projet. Le 15 juillet 2009, un amendement à cette convention est entré en vigueur, remplaçant la Commission par l’Agence exécutive du Conseil européen de la recherche (ERCEA) en tant que cocontractante de cette université.
Après la réalisation du projet, l’ERCEA a constaté des dépenses non éligibles lors d’un audit financier et a demandé le remboursement de ces montants à l’Université Aristote.
Parallèlement, l’OLAF a ouvert une enquête sur d’éventuelles irrégularités ou fraudes dans l’exécution du projet. Dans son rapport final, l’OLAF a recommandé à l’ERCEA de récupérer les sommes jugées indûment versées et a également recommandé aux autorités judiciaires nationales d’engager des poursuites pour fraude et usage de faux contre la chercheuse et certains membres du personnel universitaire.
Lire la suite : https://www.droit-technologie.org/actualites/a-partir-de-quand-une-personne-est-elle-identifiable-au-sens-du-rgpd/
Internet des Objets
A Grenoble, la compagnie de chauffage démontre le rôle de l'IoT dans un réseau de chaleur
journaldunet.com - Par Célia Garcia-Montero
Publié le 29 avril 2024
La compagnie de chauffage de l'agglomération déploie à grande échelle des capteurs IoT pour détecter les fuites d'eau dans son réseau de chaleur. Une application encore peu répandue dans l'IoT qui fait pourtant ses preuves.
Le réseau de chaleur est perçu comme un outil clé de la transition énergétique des villes. Le bon fonctionnement de ces systèmes de chauffage centralisé sous-terrain à l'échelle d'un quartier ou d'une ville représente ainsi une application toute trouvée pour l'IoT. C'est notamment ce que démontre le projet de la compagnie de chauffage intercommunale de l'agglomération grenobloise (CCIAG), qui opère le deuxième réseau de chaleur de France. Cette dernière va déployer plus de 500 capteurs le long de ses 178,3 km de canalisations réparties sous la voie publique de sept communes de l'agglomération pour y détecter des fuites d'eau. Près de 1 400 sous-stations seront aussi monitorées. "La tuyauterie est ancienne et le nombre de fuites augmente. Nous avons 3 000 points de visite pour les détecter, en faire le tour prend trois à quatre semaines", reconnaît Sébastien Blanchoz, responsable Pôle Exploitation et Distribution au sein de la CCIAG.
Cette recherche de fuite n'est pas une préoccupation récente pour la compagnie de chauffage, qui raccorde à son réseau plus de 100 000 équivalents-logements, soit un tiers de la population de la métropole. De premiers tests ont été menés en 2012. "Nous avons expérimenté de nombreux prototypes mais ils n'étaient pas au point. L'un des capteurs proposés par exemple était scellé et ne nous permettait pas de changer les piles", détaille Sébastien Blanchoz. Les expérimentations n'ont donc jamais abouti. Une nouvelle fuite sur le réseau en 2023 faisant perdre 200 mètres cube d'eau par jour a conduit la CCIAG à lancer un nouvel appel d'offres et à prendre à bras le corps cette problématique.
25 capteurs testés en POC
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/iot/1530117-a-grenoble-la-compagnie-de-chauffage-demontre-le-role-de-l-iot-dans-un-reseau-de-chaleur/
Cybersécurité
Google sécurise Chrome contre une dangereuse faille permettant des attaques furtives
zataz.com - Par Damien Bancal
Publié le 30 avril 2024
Vous avez dû certainement le voir, Google a mis à jour Chrome. Le géant américain a récemment déployé un correctif crucial pour son navigateur. Cette mise à jour colmate une faille majeure qui aurait pu permettre à des attaquants de prendre le contrôle des systèmes des utilisateurs.
Identifiée sous le label CVE-2024-4058, cette vulnérabilité ouvrait la porte à des attaques de type « drive-by download« , une technique sournoise permettant aux pirates de télécharger et d’installer des logiciels malveillants à l’insu des utilisateurs. La faille résidait dans le moteur de couche graphique ANGLE de Chrome, essentiel pour l’exécution de contenu WebGL et OpenGL.
La découverte de cette brèche est attribuée à l’équipe de chercheurs de Qrious Secure, qui a soumis leur découverte dans le cadre du programme de primes pour bugs de Google. Reconnaissant la gravité de la menace potentielle, Google a attribué une récompense de 16 000 dollars à ces chercheurs pour leur contribution à la sécurité en ligne.
Il est important de noter que, bien que la brèche ait été colmatée, il est impossible de déterminer si elle a été activement exploitée avant la disponibilité du correctif. Cependant, cette réaction proactive de Google souligne l’importance de maintenir ses logiciels à jour et de rester vigilant face aux menaces en ligne.
Lire la suite : https://www.zataz.com/google-securise-chrome-contre-une-dangereuse-faille-permettant-des-attaques-furtives/
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Le rapport État de la cybersécurité en 2024 de Splunk met en avant l’impact grandissant de l’IA générative dans le paysage de la cybersécurité
globalsecuritymag.fr - Par Enterprise Strategy Group, Splunk Inc
Publié le 01mai 2024
En collaboration avec Enterprise Strategy Group, Splunk Inc. annonce la publication de son étude mondiale intitulée « État de la cybersécurité en 2024 : la course à l’exploitation de l’IA ». Au total, 1 650 responsables de la sécurité ont participé à cette étude et beaucoup d’entre eux affirment que la cybersécurité est de plus en plus facile à gérer par rapport aux années précédentes. Toutefois, les défenseurs se trouvent désormais entraînés dans une course contre leurs adversaires afin de tirer avantage de l’IA générative.
Selon les conclusions du rapport, les entreprises ont largement adopté les outils d’IA générative au sein de leurs équipes. Comparées à celles dont le développement d’un programme de cybersécurité est encore en cours, celles qui ont d’ores et déjà adopté des approches sophistiquées disposent de budgets conséquents, de vastes ressources et d’un degré d’autorité important et sont bien positionnées pour intégrer les outils et technologies d’IA générative de pointe à leur pile technologique. Néanmoins, en dépit de ce taux d’adoption élevé, beaucoup d’entreprises ne disposent pas de politique d’IA générative claire ou ne saisissent pas pleinement les vastes implications de cette technologie. En outre, les responsables de la sécurité sont divisés lorsqu’il s’agit de prédire qui va remporter la course à l’exploitation de l’IA générative : les défenseurs ou les cyberattaquants.
• 93 % des responsables de la sécurité déclarent que l’IA générative est utilisée dans leurs entreprises respectives et 91 % d’entre eux indiquent qu’ils exploitent cette technologie spécifiquement pour leurs opérations de cybersécurité.
• Malgré un fort taux d’adoption, 34 % des entreprises ne disposent pas d’une politique complète en matière d’IA générative et 65 % des participants admettent leurs difficultés à appréhender pleinement les implications de cette technologie.
Lire la suite : https://www.globalsecuritymag.fr/le-rapport-etat-de-la-cybersecurite-en-2024-de-splunk-met-en-avant-l-impact.html
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La cybercriminalité, nouveau sport olympique de Paris 2024 ?
forbes.fr - Une contribution de Laurent Sarrat, cofondateur et CEO de Sis ID et Jonathan Spedale, enquêteur réseaux Analyste fraude chez Cyber Moustache
Publié le 1 mai 2024
Les JO n’enchantent pas que les sportifs. Pirates et fraudeurs sont également ravis à l’idée de bénéficier de cet événement mondial pour exercer leurs cyberattaques. Fraudes au paiement, ransomwares, DDoS, phishing, cyberespionnage russe, à chaque groupe sa technique pour soutirer de l’argent, des informations ou des données. Pour autant faut-il craindre un tsunami de cyberattaques pendant les JO ?
Pendant les JO 2024, 10 500 athlètes et 48 disciplines seront sous les yeux de la planète entière. Plus discrète, la cybercriminalité profitera elle aussi de ce magnifique terrain de jeux pour décupler ses actions. Car quoi de plus alléchant pour des cybercriminels que d’agir dans un contexte aussi volumineux en public (quelque 15 millions de visiteurs sont attendus), en athlètes et délégations sportives, en entreprises privées et publiques et bien sûr… en transactions financières ? Quoi de plus prometteur pour des pirates et fraudeurs que l’opportunité de toucher autant de cibles potentielles dans un temps limité ? Du ransomware à la fraude au paiement en passant par le déni de service ou le cyberespionnage, tous les moyens seront utilisés pour escroquer de l’argent, de l’information ou des données. La France est-elle alors particulièrement exposée ?
Une digitalisation précoce mais une cybersécurité négligée
Plusieurs facteurs le laissent à penser. Avec un niveau de digitalisation important, mais un niveau de cybersécurité plutôt insuffisant de ses entreprises privées et établissements publics, la France prête particulièrement le flanc aux cyberattaques. Combien de mairies, hôpitaux et organisations ont fait les frais de cyberattaques ces dernières années ? Dernière en date : France Travail, avec le siphonnage des données personnelles de ses quelque 43 millions d’inscrits (données d’identité, numéros de sécurité sociale, adresses mail et téléphones). Une base de données commercialisée aujourd’hui sur le dark web à 3 500 euros, et dont les informations risquent fort d’être utilisées à des fins d’ingénierie sociale ou de phishing pendant les JO.
A lire sur : https://www.forbes.fr/technologie/la-cybercriminalite-nouveau-sport-olympique-de-paris-2024/
Assurances
Assurances des collectivités : le gouvernement envisage la création d'un fonds portant sur « les risques sociaux »
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Publié le 3 mai 2024
Le gouvernement a lancé en octobre une mission sur « l'assurabilité des collectivités territoriales », chargée de trouver « des solutions pérennes et de long terme ». Un rapport sera remis au gouvernement dans les prochaines semaines. Quelques recommandations ont déjà été évoquées.
À l’occasion d’un déplacement hier à Vesoul, la ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales, Dominique Faure, est revenu sur le sujet de l’assurance des collectivités avec Alain Chrétien, maire de Vesoul.
Pour mémoire, en octobre dernier certaines communes étaient encore durement marquées par les émeutes de juin 2023 et se sont retrouvées sans assurance du jour au lendemain. D’après un rapport sénatorial, depuis le 1er janvier 2023, 20 % des collectivités ont subi une résiliation de contrat à l’initiative de l’assureur.
Face à ces problèmes d’assurance des collectivités, une mission a été lancée par le gouvernement, sur proposition de l’AMF, pour trouver des solutions. Cette dernière a été confiée au maire de Vesoul, Alain Chrétien, co-président de la commission Développement économique, commerce et tourisme de l’AMF ; et à Jean-Yves Dagès, ancien président de la fédération nationale Groupama et membre du Cese.
Sept mois plus tard, après avoir réalisé une quarantaine d'auditions et sondé 400 collectivités, la mission confirme l’existence d’une dégradation entre « les collectivités locales et le monde de l'assurance » et évoque de premières pistes pour apaiser ces relations.
État des lieux
CyberCrime
Cybercrime : ces milliers d'"esclaves" contraints d'arnaquer en ligne les citoyens du monde
challenges.fr - Par Paul Loubière
Publié le 01 mai 2024
Les cybercriminels les plus organisés disposent de véritables camps de détention dans lesquels des prisonniers sont obligés de travailler pour eux. Le Cambodge et la Birmanie ont longtemps été les principaux pays concernés. Mais le fléau s’étend hors de l’Asie vers l’Amérique latine et l’Afrique. Le phénomène est en nette hausse d’après Interpol et le rapport 2024 des chercheurs de Tehtris.
Dans la série Bureau des Légendes (Canal+), un agent français de la DGSE se fait passer pour un hacker et se retrouve prisonnier dans un camp où il doit se livrer à un piratage en règle de comptes informatiques. Fiction ? Pas vraiment. Ces camps existent bel et bien. Dans leur dernier rapport de Threat Intelligence, les chercheurs de Tehtris, une entreprise française de cybersécurité, alertent sur les réseaux de cybercriminels chinois mettant en place des camps où des individus sont contraints de commettre des escroqueries en ligne, notamment par hameçonnage.
Loin d’être marginal, ce phénomène connaît une rapide extension. Interpol alerte sur ce trafic à grande échelle d’êtres humains dans lequel les victimes sont abusées au travers d’annonces en ligne proposant un faux travail. Elles se retrouvent ensuite forcées de commettre des cybercrimes à la chaîne. Les dernières enquêtes d’Interpol estiment que le phénomène s’étend géographiquement dans le monde. A l’origine, les centres de piratage étaient concentrés au Cambodge, avec des excroissances au Laos et en Birmanie. Aujourd’hui, des fermes de piratage ont été identifiées dans quatre pays d’Asie et le mode opératoire a été reproduit en Afrique de l’Ouest.
Lire la suite : https://www.challenges.fr/cybersecurite/cybercrime-ces-milliers-d-esclaves-contraints-d-arnaquer-en-ligne-les-citoyens-du-monde_891522
Atos
Atos : les créanciers et les banques ont fait une offre commune de refinancement
L’Etat s’était manifesté, le week-end du 27-28 avril en envoyant une lettre d’intention au groupe, afin de lui signifier son intérêt pour ses activités souveraines, une initiative qu’Atos avait dit accueillir avec « satisfaction ».
lemonde.fr - Par Le Monde avec AFP
Publié le 4 mai 2024
Les créanciers et les banques du géant informatique français en difficulté Atos ont fait parvenir une offre commune de refinancement au groupe, lesté par une dette importante et en manque d’argent frais pour maintenir son activité, a annoncé, samedi 4 mai, à l’Agence France-Presse (AFP), une source proche du dossier.
L’entreprise, qui doit être l’un des piliers technologiques des Jeux de Paris cet été, avait annoncé lundi avoir besoin de 1,1 milliard d’euros de liquidités pour son activité en 2024-2025 et vouloir réduire de 3,2 milliards d’euros sa dette brute, qui avoisine les 5 milliards.
Atos avait fixé comme date limite vendredi 3 mai à ses créanciers pour lui soumettre des propositions de refinancement. « Les banques et les obligataires [créanciers] ont bien déposé une offre commune », a annoncé à l’AFP une source proche des détenteurs de dette obligataire d’Atos, ajoutant qu’ils « supportaient le groupe et apportaient les liquidités nécessaires à ce dernier ».
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Atos : l’Etat propose d’acheter les activités les plus sensibles, des supercalculateurs aux technologies militaires
Une lettre d’intention envoyée par l’Etat
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Atos : quelles sont les activités "souveraines" du groupe informatique que l'État veut à tout prix conserver ?
francetvinfo.fr - Par Lauria Delanoë
Publié le 29 Avril 2024
En grande difficulté financière, le groupe d'informatique voit l'État voler à son secours pour éviter de voir l'ancien fleuron français "passer dans les mains d'acteurs étrangers".
Y a-t-il des mousquetaires français pour sauver Atos ? Le groupe d'informatique français en difficulté a revu sensiblement en hausse ses besoins de financement, dans un nouveau plan d'affaires dévoilé lundi 29 avril, après un début d'année décevant au niveau de son activité. En pleine tourmente financière, l'ex-fleuron de la French Tech - qui doit être cet été un des piliers technologiques des Jeux olympiques de Paris - a précisé avoir désormais besoin de 1,1 milliard d'euros de liquidités pour financer son activité en 2024-2025 (contre 600 millions d'euros estimés précédemment).
Face à ces difficultés, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a annoncé, dès dimanche, avoir envoyé au géant informatique français en difficulté Atos une lettre d'intention en vue d'acquérir toutes les activités "souveraines" du groupe, afin d'éviter que des activités stratégiques pour la France ne "passent dans les mains d'acteurs étrangers", a-t-il déclaré sur LCI.
En clair, l'Etat tient avant tout à éviter toute fuite de ces activités stratégiques de la société française, car elles touchent à la défense, au nucléaire et la cybersécurité. Atos possède notamment des supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire et des contrats avec l'armée française. La Défense française a également des contrats avec Atos pour ses systèmes informatiques et systèmes de communications.
Enfin, la lettre d’intention de Bruno Le Maire, accueillie avec "satisfaction" par le groupe qui assure qu'un tel engagement "protégerait les impératifs stratégiques de souveraineté de l'Etat", cible des serveurs utilisés pour l’intelligence artificielle, de l'informatique quantique et d’autres produits de cybersécurité. Ces activités "doivent rester sous le contrôle exclusif de la France", martèle le ministre de l’Économie, sur LCI. D'où ce projet d’acquisition par l'État, à l’heure où Atos est dans la tourmente.
À la tête du groupe pendant une dizaine d'années, jusqu'en 2019, le Commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, a insisté sur France Inter sur le fait que l'entreprise disposait d'actifs "stratégiques pour l'Europe" : "Je ne voulais pas que certains de ces actifs partent dans des mains qui n'étaient pas européennes, c'est pour ça aussi que je les avais acquis. Donc je crois que c'est très important que ça reste en Europe", a-t-il expliqué.
Un consortium d'actionnaires français
Metavers
Pourquoi l’agence Charentes Tourisme s’est-elle lancée dans le métavers ?
Cette semaine, l’agence de développement touristique Charentes Tourisme annonçait investir le métavers en créant 3 espaces virtuels, celui des Charentes, d’Angoulême et de Châtelaillon-Plage. Pourquoi avoir décidé de parier sur cette technologie ? Quelle est l’ambition touristique derrière cette expérimentation ? Entretien avec Gallic Guyot, Directeur exécutif de Charentes Tourisme.
Quel a été le point de départ de ce projet de métavers ?
Gallic Guyot, Directeur exécutif de Charentes Tourisme
Tout a commencé quand nous avons présenté notre nouvelle stratégie et avons engagé des démarches pour devenir association à mission. Nous souhaitons accompagner les territoires et les filières à faire face aux défis et aux mutations touristiques. Ces défis sont environnementaux, mais pas seulement. Un autre enjeu est de transformer nos outil, nos supports, pour mieux nous adresser aux jeunes générations. Ce projet est le fruit d’un échange avec François-Xavier Goemare, Co-fondateur de Wytland, dont j’ai aimé le discours et l’approche. Son idée est que le métavers est un outil avant tout relationnel et pas que technologique. Ma priorité était de créer un collectif en incluant des personnes issues de la Génération Z. C’est pour cela que nous avons noué un partenariat avec l’école de commerce Excelia. Nous avons aussi travaillé avec l’Office de Tourisme d’Angoulême, la Cité de la BD, l’Office de Tourisme de Châtelaillon-Plage et le Comité Régional du Tourisme de Nouvelle-Aquitaine.
Quelle est votre ambition avec ces 3 métavers ?
Quelle est votre ambition avec ces 3 métavers ?
Nous voulions créer un espace adapté aux nouvelles générations. Cette expérimentation va nous permettre d’évaluer notre capacité à mobiliser des jeunes dans ces espaces afin de déclencher leur venue sur le territoire. C’est pourquoi nous avons travaillé en étroite collaboration avec les étudiants d’Excelia, afin de connaître leurs attentes et les thématiques qui les touchent. Parmi elles, les mobilités douces et le patrimoine sont particulièrement ressortis. Ces métavers ont vocation à devenir des espaces de socialisation, nous voulons créer une communauté. Peut-être que nous allons droit dans le mur, mais l’heure n’est pas encore au bilan. Quand je vois des écoles investir massivement dans cette technologie et en faire un enjeu pédagogique, je me dis que nous sommes sur la bonne voie.
Combien a coûté l’élaboration de ces espaces virtuels ?
Lire la suite : https://www.tom.travel/2024/05/03/pourquoi-lagence-charentes-tourisme-sest-elle-lancee-dans-le-metavers/
Mobilité
Le ministre des Transports relance le titre unique de transport
maire-info.com - Par Franck Lemarc
Publié le 26 avril 2024
À quand le titre unique de transport permettant, avec un seul titre, d'accéder à tous les modes de transport urbains et interurbains ? Le projet porté par l'ancien ministre des Transports, Clément Beaune, semblait avoir du plomb dans l'aile, mais il vient d'être relancé.
Par Franck Lemarc
Il existe aujourd’hui plus de 200 systèmes de billettique différents en France : chaque autorité organisatrice a le sien, et un voyageur possesseur, par exemple, d’un Pass Navigo permettant de prendre les transports en commun en Île-de-France ne peut pas circuler avec sur les réseaux des autres métropoles. C’est pourquoi le Gart (Groupement des autorités responsables du transport) défend depuis longtemps l’idée d’un titre « interopérable » permettant « de circuler sur tous les réseaux de transport et de mobilités partagées grâce à une démarche d’achat unique et avec un seul support physique ou dématérialisé ». Une idée que l’AMF défend, elle aussi, depuis longtemps.
Ce type de dispositif existe déjà dans plusieurs pays comme les Pays-Bas ou la Suisse, où le SwissPass permet d’utiliser la totalité des modes de transport (sauf l’avion), y compris les téléphériques et l’autopartage.
Il ne s’agit pas, rappelons-le, de créer un tarif unique sur l’ensemble des autorités organisatrices, mais bien un titre unique, un « support universel » (sur smartphone ou sous forme de carte) permettant d’accéder à l’ensemble des réseaux de mobilité.
Comité de pilotage
Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/le-ministre-des-transports-relance-le-titre-unique-de-transport-article-28565
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2 milliards pour la mobilité dans les Hauts-de-France : ce qu'il faut savoir du nouveau contrat de plan État-Région
Xavier Bertrand, président de la Région, et Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, ont signé à Compiègne le nouveau contrat de plan État/Région consacré aux transports. Une enveloppe de 2 milliards d'euros pour soutenir la transition écologique des Hauts-de-France.
2 milliards d'euros de budget pour les transports durables dans les Hauts-de-France dont 700 millions financés par l'État. C'est le montant du volet mobilité du contrat de plan État/Région en vigueur jusqu'en 2027. Une enveloppe qui doit aider la Région à remplir ses objectifs de décarbonation et à intensifier son engagement pour une réindustrialisation verte.
"Le précédent contrat de plan, c’était l’équivalent de 200 millions d’euros par an, partagés entre l’État et la Région. Là, c’est 400 millions par an, développe Christophe Béchu. Quand on double l’enveloppe en seulement l’espace de quelques années, ça traduit une tradition. Plus exactement, deux ambitions : l’ambition de l’État d’accélérer sur la transition écologique et de rendre possible l’aménagement du territoire et l’ambition du conseil régional d’accompagner ses populations, ses territoires et de booster son développement économique."
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RER A : un nouveau Centre de Commandement Unique entièrement modernisé pour améliorer les performances de la ligne
ratpgroup.com - Communiqué
Publié le 25 Avril 2024
Valérie Pécresse, Présidente d’Île-de-France Mobilités et de la Région Île-de-France, Jean Castex, Président-directeur général du groupe RATP, Christophe Fanichet, Président-directeur général de SNCF Voyageurs et Séverine Lepère, Directrice générale Île-de-France de SNCF Réseau, ont visité ce jeudi 25 avril le nouveau Centre de Commandement Unique (CCU) du RER A à Vincennes.
Opérationnel depuis le 28 janvier dernier, et intégralement financé par Île-de-France Mobilités, il permettra de maintenir et d’améliorer les performances de la ligne la plus empruntée d’Europe pour les années à venir et à améliorer l’information voyageurs en temps réel.
Télécharger le communiqué de presse : https://ratpgroup.com/wp-content/uploads/2024/04/240425-CP-Le-RER-A-se-dote-dun-nouveau-Centre-de-Commandement-Unique-entierement-modernise.pdf
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La RATP teste l’IA pour affiner la mesure de la fréquentation
www.tom.travel - Par Hugo Pellegrin
Publié le 25 avril 2024
A l’occasion de la deuxième édition de l’Innovation Day, le Groupe RATP a partagé les enjeux et la stratégie de l’innovation, tout en présentant une sélection de réalisations et d’expérimentations déployées sur l’année 2023. L’opérateur de transports s’appuie notamment sur l’intelligence artificielle pour optimiser la connaissance des flux de voyageurs.
Inventer et construire les villes du futur, innover au quotidien pour les voyageurs ou encore décarboner et économiser l’énergie des mobilités et des villes figurent parmi les 6 thématiques sur lesquelles le Groupe RATP souhaite axer sa stratégie d’innovation.
Figurant parmi les technologies émergentes populaires du moment, l’intelligence artificielle a été portée par deux équipes pour adresser ces problématiques parmi la vingtaine de projets présentés par le Groupe RATP à l’occasion de l’Innovation Day. Celle-ci est notamment mise au service de la connaissance des flux de voyageurs au travers du projet Affluence Flux et Espaces, qui met l’IA au service de la mesure de fréquentation.
Optimiser le suivi des flux
A travers ce projet, le Groupe RATP souhaite systématiser des mesures spécifiques sur certains points clefs de son réseau, dans le but de déterminer le nombre de personnes se déplaçant d’une zone à une autre, quelle que soit la densité de voyageurs. L’opportunité d’améliorer la connaissance des besoins d’exploitation et ainsi optimiser le service rendu aux usagers.
Connaître les niveaux d’affluence en temps réel
Lire la suite : https://www.tom.travel/2024/04/25/la-ratp-teste-lia-pour-affiner-la-mesure-de-la-frequentation/
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Transports en Moselle-Nord : comment avance le Bus à Haut Niveau de Service ?
lasemaine.fr - Par Marine Prodhon
Publié le 27 avril 2024
Les agglomérations de Portes de France – Thionville et du Val de Fensch viennent de concrétiser leur engagement auprès du Syndicat mixte des transports urbains Thionville-Fensch (Smitu) en choisissant d’augmenter les impôts locaux lors des votes des budgets pour le « recapitaliser ». L’occasion pour La Semaine de revenir sur les dossiers qui animent le Smitu, notamment celui du Bus à haut niveau de service (BHNS).
Pourquoi construire deux ponts à Thionville ?
Cette question, ils sont nombreux à se la poser… Depuis quelques années, deux ponts s’esquissent dans le paysage de Thionville alors même que les usagers ne voient pas d’amélioration de leur système de transport, ce qui nécessairement les interroge. Le Smitu le comprend bien.
L’un surplombe la Moselle, l’autre les voies SNCF. Ils font partie intégrante du projet de Bus à Haut Niveau de Service et visent à désengorger le pont des alliés – aujourd’hui saturé aux heures de pointe – en offrant des voies en site propre pour les transports en commun. Ainsi, les bus pourront rejoindre directement la gare de Thionville avec un meilleur cadencement (toutes les quinze minutes) là où actuellement même la ligne structurante S20/S21 ne marque plus l’arrêt à la gare du fait de ces difficultés.
La bonne nouvelle, c’est le calendrier. Les ponts n’attendront pas le lancement du bus à haut niveau de service pour être mis en service. Le Smitu prévoit une ouverture de la ligne qui permettra d’utiliser les ponts au 1er janvier 2025. « Le premier ouvrage d’art Adenauer qui surplombe la Moselle est fini. Quand le second De Gaspery [surplombant les voies SNCF]sera totalement réceptionné en septembre », affirme Rémy Dick, le président du syndicat.
Lire la suite : https://www.lasemaine.fr/transports-en-moselle-nord-comment-avance-le-bus-a-haut-niveau-de-service/
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Voiture électrique : la possibilité de payer par carte bancaire bientôt obligatoire sur toutes les bornes de recharge rapide
Publié le 21 avril 2024
Depuis le 13 avril, les nouvelles bornes de recharge rapide pour les véhicules électriques doivent être équipées d’un terminal de paiement électronique.
Depuis ce samedi 13 avril, toutes les nouvelles bornes de recharge pour véhicules électriques doivent être équipées d’un système de paiement par carte bancaire. À terme, ce sont toutes les bornes en activité au sein de l’Union européenne qui devront proposer ce mode de paiement, afin d’encourager leur usage et de participer à l’essor du tout électrique sur la route.
L’entrée en vigueur cette année du règlement européen sur le déploiement d’une infrastructure pour carburants alternatifs (AFIR) prévoit que les utilisateurs de véhicules électriques ou fonctionnant à l’hydrogène doivent être en mesure de payer facilement aux points de recharge ou de ravitaillement au moyen de cartes de paiement ou de dispositifs sans contact, sans avoir besoin d’un abonnement et en toute transparence au niveau des prix.
Toutes les bornes équipées au plus tard au 1er janvier 2027
Dans le détail, cela signifie que toutes les nouvelles bornes de recharge rapide installées à partir du 13 avril doivent intégrer un système de paiement par carte. Les autres, déjà en service, devront également en être équipées, au plus tard au 1er janvier 2027 pour s’adapter.
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Mobility Portal de geOps montre tous les trains, métros et bus de France en temps réel
Publié le 22 Avril 2024
Alors que nous vivons à l’ère de la data, il est toujours passionnant de tomber sur des sites qui exploitent à fond les données disponibles pour proposer des outils incroyables. C’est le cas de la carte Mobility Portal de la société geOps. Cette carte interactive et qui se met à jour en temps réel exploite une quantité astronomique de données pour afficher tous les trains, métros et autobus en France et dans le monde.
Visualiser tous les trains, métros et bus de France sur le site Mobility Portal de geOps
Le site Mobility Portal de geOps affiche gratuitement les positions de milliers de véhicules de transport public dans le monde entier, qu’il s’agisse de trains, de bus, de métros ou de tramways. Pour tous ces véhicules, les positions sont calculées à partir des horaires (publiés par les sociétés de transport du monde entier) ou, lorsqu’elles sont disponibles, à partir de données en temps réel.
Dans une certaine mesure, Mobility Portal me fait un peu penser à l’excellent Carto Graou, une carte interactive des trains en France.
Lire la suite : https://byothe.fr/mobility-portal-geops-carte-interactive-train-bus-metro/#google_vignette
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Mobilité durable à Nice : 16 000 passagers quotidiens attendus avec le nouveau BHNS
investincotedazur.com - La rédaction
Faits marquants :
La ville de Nice initie une transformation majeure de son réseau de transport public avec l’introduction du bus à haut niveau de service (BHNS) sur la ligne 8, qui commencera à opérer à partir du 2 septembre. Le projet s’inscrit dans une démarche de mobilité durable visant à réduire considérablement l’empreinte carbone des transports en commun.
Le BHNS de Nice : une capacité de 16 000 passagers par jour
Avec le lancement prochain du BHNS, la ligne 8 promet une capacité de transport de 16 000 usagers quotidiens. Le service, avec une fréquence de passage toutes les 7 minutes, vise à désengorger les axes routiers principaux et à offrir une alternative rapide et efficace d’accès au centre-ville de Nice depuis le nord de la Ville.
Une stratégie ambitieuse pour une ville décarbonée
Lire la suite : https://www.investincotedazur.com/bhns-nice/
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La Ville de Nyon lance une enquête origine-destination pour améliorer la mobilité urbaine
nyon.ch - Communiqué
Publié le 22 avril 2024
Cette action, qui concerne les automobilistes et les motocyclistes, se déroulera les mardis 23 et 30 avril, ainsi que les jeudis 25 avril et 2 mai, sur 6 axes routiers de la ville.
Dans le cadre de son engagement continu à observer et à améliorer les pratiques de mobilité, la Ville de Nyon a initié en 2023 une campagne de comptages des déplacements. Afin de compléter cette action, la Ville de Nyon lance une enquête origine-destination auprès des automobilistes et des motocyclistes. Celle-ci se déroulera les mardis 23 et 30 avril, ainsi que les jeudis 25 avril et 2 mai.
Précédemment réalisée en 2007 et 2017, cette enquête vise à éclairer divers aspects de la circulation routière, notamment en déterminant les motifs des déplacements, en évaluant la répartition du trafic entre le transit, les échanges avec Nyon et le trafic interne à la ville, ainsi qu'en mesurant le taux d'occupation des véhicules.
Menée en collaboration avec la Police Nyon Région et des experts en mobilité, cette enquête anonyme se déploiera sur 12 postes répartis le long de 6 axes routiers de la ville. Le processus d'enquête est conçu pour être efficace, avec une durée estimée d'environ 3 minutes par véhicule.
La Ville de Nyon remercie d’ores et déjà toutes les personnes qui participeront à cette enquête, jouant ainsi un rôle crucial dans l'amélioration de la mobilité urbaine. Les résultats de la campagne de comptage globale, y compris les données recueillies dans le cadre de cette enquête, seront rendus publics à la fin de l'année 2024.
Lire la suite : https://www.nyon.ch/actualites/la-ville-de-nyon-lance-une-enquete-origine-destination-pour-ameliorer-la-mobilite-urbaine-15879
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Qu’apporte l’app « Transport Public Paris 2024 » par rapport à Google Maps ou Citymapper ?
numerama.com - Par Nicolas Lellouche
Publié le 23 avril 2024
Encore une application
Lancée par Île-de-France Mobilités en avril 2024, Transport Public Paris 2024 est « l’application officielle pour se déplacer pendant les Jeux olympiques ». Elle permettra notamment d’utiliser son smartphone (iPhone ou Android) pour valider son titre de transport dans le métro.
Les Jeux olympiques de Paris, c’est aussi de nouvelles applications. En plus de JOptimiz pour la circulation routière et de TradSNCF pour la traduction dans les gares, la France a mis au point un nouvel outil pour les transports en commun, la marche et le vélo : Transport Public Paris 2024. Cette application mobile, disponible sur iOS et Android depuis le 22 avril, est une version dérivée des apps Bonjour RATP et Île-de-France Mobilités, puisqu’elle intègre quasiment les mêmes fonctions, dans une interface très similaire. Pendant les JO, elle permettra de choisir l’itinéraire idéal pour se rendre d’un point A à un point B.
Techniquement parlant, il est déjà possible d’essayer Transport Public Paris 2024. L’intérêt est néanmoins limité, puisque les itinéraires personnalisés de l’application, qui « dispatcheront » les voyageurs sur différents parcours pour ne pas saturer les lignes, ne sont pas encore actifs. Il est toutefois déjà possible de la comparer à Google Maps ou Citymapper, les deux références en matière de navigation.
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Tesla dévoile l’application qui va transformer votre voiture en taxi, le Airbnb de l’automobile arrive bientôt
phonandroid.com - Par Alexandre Mathiot
Publié le 24 Avril 2024
En pleine évolution du secteur des véhicules autonomes, Tesla annonce une nouveauté intrigante mais que l’on attendait : une application intégrée de covoiturage autonome. Conçue pour concurrencer directement des géants comme Uber et Waymo, elle s'intégrera à son application existante.
Tesla a profité de la publication de ses résultats financiers du premier trimestre 2024 pour teaser sa future application de covoiturage autonome. Ce service, qui sera intégré dans son application déjà largement utilisée, et depuis peu disponible à tous les utilisateurs et pas seulement au propriétaire des véhicules de la marque, promet de révolutionner la mobilité urbaine. Les captures d'écran révélées récemment montrent une interface qui permet de commander un véhicule, régler la température ou choisir sa musique avant même qu'il n'arrive !
Même si Tesla n'a pas encore réussi à mettre en œuvre un système de conduite entièrement autonome sans supervision, les progrès récents semblent suffisamment prometteurs pour que l'entreprise commence à déployer cette application de covoiturage sans conducteur. Ce développement est une réponse directe aux services déjà établis par Uber et Waymo. Cette annonce marque donc l'entrée de l’entreprise dans la compétition du marché naissant des transports autonomes.
Tesla dévoile l’interface de sa future application de partage de voiture
Lire la suite : https://www.phonandroid.com/tesla-devoile-lapplication-qui-va-transformer-votre-voiture-en-taxi-le-airbnb-de-lautomobile-arrive-bientot.html
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La métropole de Bordeaux s’engage avec l’installation de 1500 bornes de recharge
bougerabortdeaux.com - Par Léa Tarozzi
Publié le 23 avril 2024
C’est une avancée majeure dans la transition écologique de la Métropole de Bordeaux : dès cet été, 1500 bornes de recharge électrique vont être déployées dans 26 des 32 parkings Metpark de la ville ! Une belle nouvelle pour les véhicules bordelais.
La métropole de Bordeaux s’engage avec l’installation de 1500 bornes de recharge ! Ce partenariat entre l’entreprise Metpark et TotalEnergies Charging Services, signé pour une durée de 15 ans, s’inscrit dans une volonté commune de promouvoir l’écomobilité et de faciliter l’accès à la recharge pour les utilisateurs de véhicules électriques.
Pour les utilisateurs de véhicules électriques, cette initiative représente une sécurité accrue. En effet, le déploiement de ces 1500 bornes de recharge vise à garantir un accès facile et rapide à un point de recharge en cas de besoin, ce qui peut encourager davantage de personnes à opter pour la mobilité électrique. Parmi ces bornes, 1420 seront à charge lente, adaptées au rythme de vie urbain, tandis que 80 points de charge rapide permettront aux visiteurs de passage de recharger leur véhicule en peu de temps.
Une offre tarifaire attractives sera mise en place pour les abonnés aux parkings Metpark, avec une estimation d’environ 5€ pour une recharge de 100 km. L’investissement pour ce projet s’élève à plusieurs millions d’euros, soulignant ainsi l’engagement financier des partenaires pour proposer des infrastructures de qualité.
Lire la suite : https://www.bougerabordeaux.com/sinformer/la-metropole-de-bordeaux-sengage-avec-linstallation-de-1500-bornes-de-recharge/
Internet et réseaux sociaux
Les chiffres clés d’Internet et des réseaux sociaux dans le monde en avril 2024
Découvrez les principales données à retenir de l’étude de We Are Social et Meltwater sur l’usage du web et des réseaux sociaux.
Étienne Caillebotte / Publié le 25 avril 2024
https://f.hellowork.com/blogdumoderateur/2024/04/chiffres-usages-internet-avril-2024.jpg
légende : Le nombre d'internautes et de mobinautes continue de croître, tout comme le nombre d'adeptes des réseaux sociaux. © We Are Social/Meltwater
Ce mercredi 24 avril 2024, l’agence We Are Social a publié la version actualisée de son Digital Report. Conçu en partenariat avec Meltwater, cette étude vise à analyser les comportements en ligne et, surtout, identifier les dernières tendances du numérique. Découvrez, dans cet article, les principaux enseignements du rapport, sur : https://indd.adobe.com/embed/0fbe4f1e-75e8-443b-a70f-0fd82644a138?startpage=1&allowFullscreen=true
Les grandes tendances du rapport
5,44 milliards. C’est le nombre d’individus qui sont désormais connectés à Internet à l’échelle mondiale, ce qui représente un gain de 178 millions d’internautes depuis avril 2023. De fait, les internautes sont dorénavant en « supermajorité », souligne le rapport de We Are Social et Meltwater, puisque plus de deux personnes sur trois naviguent régulièrement sur le web. « Mais malgré les chiffres impressionnants d’aujourd’hui, nous sommes encore loin d’atteindre l’objectif déclaré des Nations Unies de connectivité universelle », soulignent les deux entreprises, qui observent que 2,66 milliards d’individus ne peuvent toujours pas accéder à Internet en avril 2024.
Elections européennes 2024
Élections européennes 2024 : le gouvernement veut protéger ce scrutin de la désinformation et des ingérences numériques étrangères
francetvinfo.fr - Par Aurélie Herseront, Radio France
Publié le 24 Avril 2024
Le ministère de l'Europe présente mercredi son dispositif de lutte contre la désinformation et les ingérences numériques étrangères qui pourraient menacer les élections européennes du 9 juin. Il s'adresse notamment aux plateformes de réseaux sociaux.
À moins de 50 jours des élections européennes, le ministre chargé de l'Europe Jean-Noël Barrot va battre le rappel des plateformes, types X - l'ancien Twitter - ou Meta, propriétaire de Facebook, pour qu'elles s'engagent à vraiment jouer leur rôle contre la désinformation. Il doit présenter son disposisitf pour lutter contre la désinformation mercredi 24 javril. Le gouvernement veut que les réseaux sociaux "déviralisent", c'est-à-dire restreignent la diffusion, voire suppriment rapidement des contenus faux concernant la campagne.
Un moment devra être particulièrement surveillé : la période de réserve, qui commence le vendredi soir à minuit, qui précédera le vote. Ce moment interdit aux candidats toute expression et donc toute riposte à une fake news qui les concernerait.
Les très sensibles dernières heures avant le scrutin
Jean-Noël Barrot a en effet une obsession : éviter un scénario à la slovaque. Il faut dire qu'en septembre dernier, lors des élections en Slovaquie, le candidat progressiste a été victime d'un deep fake, un montage audio réalisé grâce à l'intelligence artificielle, posté sur Facebook à l'avant-veille du vote et devenu viral. Dans cette fausse conversation, on entend le candidat expliquer qu'il va truquer les résultats. Difficile de quantifier avec précision l'impact sur les votes, toujours est-il que ce candidat a perdu, alors que les sondages le donnaient gagnant.
À en croire le gouvernement, la France a des raisons de s'inquiéter d'éventuelles manœuvres de définsormation ou d'ingérences numériques étrangères. Le gouvernement recense en effet des attaques informationnelles, souvent venues de Russie, ces dernières semaines.
Des attaques protéiformes recensées récemment
Paiement électronique
HubSpot lance sa plateforme de paiement unifié en France
Publié par Lisa Henry le 24 Avril 2024
En partenariat avec Stripe, HubSpot annonce le déploiement de Commerce Hub, sa plateforme de paiement unifié en France. L'objectif est de faciliter la facturation de l'e-commerce BtoB.
Alors que l'e-commerce BtoB est en plein essor et que la facturation électronique devient obligatoire, HubSpot annonce la disponibilité de sa plateforme Commerce Hub en France en partenariat avec Stripe. Celle-ci veut permettre aux entreprises de l'Hexagone de bénéficier d'une expérience de paiement unifiée. En partenariat avec Stripe, cette plateforme est née de l'initiative d'HubSpot, entreprise de la relation client à destination des entreprises en croissance.
À l'heure actuelle, le paiement BtoB est cloisonné, rendant la conversion compliquée. Pourtant, cet aspect est primordial au développement des entreprises. Ainsi, Commerce Hub unifie l'expérience de paiement avec le reste des équipes de mise sur le marché, afin que les clients B2B puissent acheter leurs produits quand et comme ils le souhaitent.
Les fonctionnalités de la plateforme
5G
Quels sont les avantages de la 5G ?
L’essor de la 5G ouvre des perspectives fascinantes en mobilité numérique . Avez-vous déjà été agacé par des téléchargements qui n'en finissent pas ou des appels vidéo qui se coupent ? Les forfaits 5G promettent d'y mettre un terme grâce à leurs débits inédits.
dock.fr - Par Redac
Publié le 24/04/2024
L'évolution généralisée des activités numériques, qu'il s'agisse de jeux en ligne ou de streaming en qualité 4K, exige une amélioration constante de la vitesse et de la stabilité des connexions. Les forfaits 5G offrent une réponse appropriée à ces nouveaux besoins, de plus en plus exigeants en bande passante et en réactivité. Parcourons ensemble les avantages significatifs que ces forfaits peuvent apporter à notre quotidien numérique.
Quels sont les avantages de la vitesse 5G ?
Jusqu'à 10 fois plus rapide qu'en 4G
Avez-vous déjà ressenti cette frustration lorsque votre vidéo en streaming se met en pause pour charger, ou lorsque l'envoi d'un fichier volumineux semble prendre une éternité ? Avec la 5G, ces désagréments appartiennent au passé. Imaginez pouvoir télécharger un film entier en qualité HD en quelques secondes plutôt qu'en plusieurs minutes. C'est ce que la 5G rend possible.
Lire la suite : https://www.edcom.fr/dossiers/les-avantages-de-la-5g
Intelligence artificielle
Gabriel Attal annonce le déploiement de l'intelligence artificielle dans les services publics
bfmtv.com - Par alomé Ferraris
Publié le 23 Avril 2024
En déplacement à Sceaux, le Premier ministre à annoncé le déploiement d'Albert, une IA souveraine à destination des agents des services publics.
Démocratiser l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) générative dans l'administration. En déplacement à Sceaux ce mardi 23 avril, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé le déploiement d'une intelligence artificielle souveraine dans les services publics français.
"Je vous annonce que nous avons développé une intelligence artificielle souveraine, française, qui va révolutionner nos services publics et que nous mettons désormais au service des Français", a déclaré le Premier ministre, appelant à "choisir l'IA" et non à la "subir".
Baptisée Albert, cette IA a été développée par un ingénieur formé en France. Aux côtés de huit autres experts du Datalab de la Dinum, la Direction interministérielle du numérique, il a mis au point cet outil à partir de juin 2023. "Grâce à eux, la France est le premier pays européen à inaugurer une IA 100% souveraine et à la mettre au service de ses services publics", a assuré Gabriel Attal.
Dégager du temps de travail
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L’avènement de l’IA est-il inéluctable et même souhaitable ?
fredcavazza.net Par Frd Cavazza
Publié le 26 avril 2024
À en croire ses promoteurs, l’IA générative serait la plus grande invention de l’histoire de l’humanité depuis l’électricité. Elle serait notre porte d’entrée dans le XXIe siècle et notre salut face à tous ses défis (dérèglement climatique, répartition des richesses, raréfaction des matières premières, vieillissement de la population…). Je me suis toujours considéré comme un techno-optimiste, mais là, force est de reconnaitre qu’ils vont un peu trop loin dans le solutionnisme technique, et que cette fuite en avant avec l’IA généraliste manque à la fois de prudence et de clairvoyance.
Synthèse de l’article :
Lire la suite : https://fredcavazza.net/2024/04/26/lavenement-de-lia-est-il-ineluctable-et-meme-souhaitable/
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Etude du groupe SII : l’IA générative peine à s’imposer dans le quotidien des Français
actuia.com - Par Pierre-yves Gerlat.
Publié le 22 avril 2024P
Une récente étude du groupe SII, entreprise de services du numérique et de conseils en technologie à dimension internationale, menée en collaboration avec l’institut de sondage Viavoice révèle une adoption plutôt timide de l’IA générative en France. Les résultats mettent en lumière la méconnaissance de cette technologie parmi les Français et les craintes qui en freinent l’intégration dans leur vie quotidienne.
Viavoice a interrogé un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française âgée de 16 ans et plus. Pour le groupe SII, la perception que les Français ont de l’IA générative “interroge alors que le gouvernement affiche une volonté de faire de la France un champion de l’IA. Des ambitions qui semblent décorrélées du quotidien des Français : si 65% des sondés ont déjà entendu parler d’IA générative, seuls 22% d’entre eux voient très bien de quoi il s’agit”.
L’enquête révèle que près de 81% des personnes interrogées n’ont pas encore expérimenté l’IA générative pour un usage personnel malgré le battage médiatique autour de ChatGPT. Côté entreprises, le constat est également édifiant : alors que 22% des actifs ont déclaré que cette technologie est déployée ou en cours de déploiement au sein de leur entreprise, seuls 4% d’entre eux peuvent témoigner d’un déploiement dans l’ensemble de leur entreprise.
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L’intelligence artificielle avance, le cancer recule
latribune.fr - Par marine Protais
Publié le 23 avril 2024
DOSSIER SANTÉ. Une nouvelle génération de startups dopées à l’IA élabore des molécules inédites, qui pourraient devenir les traitements oncologiques de demain. Une thématique qui sera au coeur du forum Impacts santé organisé par La Tribune qui se tiendra ce jeudi à Paris.
Sur le plateau de Saclay, à Villebon-sur-Yvette, une fabrication d'un type nouveau se déroule. Dans un laboratoire robotisé, Iktos produit plus de 1.000 molécules chaque mois. Toutes ont été modélisées à l'aide de l'intelligence artificielle. Et une grande partie d'entre elles ont le même objectif : trouver de nouveaux remèdes contre le cancer.
Il n'existe pas encore de « ChatGPT » de la biologie capable de générer un médicament inédit en quelques secondes, mais des modèles permettent de concevoir des molécules bien plus rapidement qu'avec les méthodes classiques. Celui d'Iktos y parvient en prédisant virtuellement l'action de cette molécule sur une cible pathologique donnée. Cette technique lui permettrait de gagner un an de recherche, dit-elle, et surtout de trouver des molécules de meilleure qualité avec plus de chance de réussir des essais cliniques.
Lire la suite : https://www.latribune.fr/technos-medias/informatique/l-intelligence-artificielle-avance-le-cancer-recule-995804.html
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Une IA de Microsoft suscite des inquiétudes en termes de fraude et de désinformation
latribune.fr - Avec AFP
Publié le 21 avril 2024
Microsoft crée une technologie d'IA pour transformer une photo et un échantillon de voix en vidéo ultra réaliste, futur terreau pour les fraudes et les fakenews.
Microsoft a mis au point une technologie d'intelligence artificielle (IA) qui permet de transformer une photo de visage et un échantillon de voix en une vidéo ultra réaliste d'un « visage en train de parler ». Baptisée VASA-1, cette technologie prend une simple photo de portrait et un fichier audio et les convertit en une vidéo où le visage s'anime et parle de façon hyperréaliste.
L'essor rapide de l'IA générative, qui permet de produire facilement toutes sortes de contenus (textes, images, sons...) de qualité bluffante, suscite de nombreuses inquiétudes, notamment en termes d'exploitation à des fins de fraude et de désinformation. Microsoft reconnaît que cette technologie pourrait être utilisée à mauvais escient pour usurper l'identité d'un être humain.
Microsoft se concentre sur des applications positives de l'IA
Cependant, la firme informatique assure se concentrer sur des applications positives de l'IA générative, telles que le renforcement de l'équité en matière d'éducation, l'amélioration de l'accessibilité pour les personnes ayant des difficultés de communication, et le soutien thérapeutique aux personnes qui en ont besoin. Microsoft ne prévoit pas de rendre le nouvel outil disponible ou de donner des informations techniques « tant que nous ne sommes pas certains que la technologie sera utilisée de manière responsable et conformément aux réglementations en vigueur ».
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IA et sécurité : la ville de Cannes va expérimenter les caméras intelligentes lors de son Festival
actuia.com - Par Pierre-Yves Gerlat
Publié le 26 avril 2024
Cannes va être de nouveau sous les feux des projecteurs du 14 au 25 mai prochain lors de son Festival International du Film. Sa mairie annonce qu’elle va expérimenter à cette occasion l’usage de caméras de vidéoprotection augmentées par l’IA aux abords du Palais des festivals et des congrès.
La loi du 19 mai 2023 relative aux jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 a été promulguée suite aux incidents survenus au Stade de France lors de la finale de la ligue des champions en mai 2022. Elle autorise l’expérimentation de la vidéosurveillance intelligente afin de renforcer la sécurité lors d’événements sportifs, récréatifs ou culturels exposés à des risques. Toutefois, s’il est possible d’utiliser les caméras augmentées par l’IA pour détecter en temps réel les mouvements de foule, les sacs abandonnés ou les comportements suspects, la reconnaissance faciale et l’identification biométrique sont, quant à elles, exclues.
La ville de Cannes, pionnière dans le domaine de la vidéoprotection avec 884 caméras déployées sur son territoire (soit une caméra pour 84 habitants), s’est portée volontaire auprès du ministère de l’Intérieur pour expérimenter la vidéoprotection algorithmique lors de son prochain Festival du cinéma.
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Tout savoir sur Claude 3
lesnumeriques.com - Par Antonio Leeno
Publié le 22 Avril 2024
Lancé en mars 2024, Claude 3 est la nouvelle famille de LLM d’Anthropic, qui surpasse GPT-4 d’OpenAI et Gemini Ultra de Google sur une série de critères de référence. Voici tout ce qu’il faut savoir à son sujet.
Les capacités de GPT-4 sont impressionnantes. Cependant, ce modèle encore loin du summum de ce que peut faire l’IA générative. Du moins, c’est ce que nous démontre Claude 3, le nouveau grand modèle de langage (LLM) d’Anthropic publié en mars 2024.
Claude 3 présente des performances supérieures aux principaux modèles d'OpenAI et de Google sur la plupart des critères d'évaluation courants pour les systèmes d'IA. Il peut répondre à un plus grand nombre de questions, comprend mieux les contextes et les invites plus longues, peut traiter un plus large éventail d'informations et se montre plus précis dans ses réponses. Il est également multimodal, entre autres nouvelles fonctionnalités.
Qu’est-ce que Claude 3 ?
Claude 3 est la troisième génération du modèle d’intelligence artificielle d’Anthropic, une start-up fondée par d’anciens employés d’OpenAI et financée par des géants de la tech tels que Amazon et Google. Créée en 2021, l’entreprise se focalise sur la recherche en IA, en mettant avant tout l’accent sur la sécurité.
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/intelligence-artificielle/tout-savoir-sur-claude-3-a220889.html
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10 commandements pour rendre vos équipes plus futées que l’IA (ou presque)
itforbusiness.fr - Par Thierry Derouet
Publié le 24 avril 2024
À l’ère où l’IA est sur toutes les lèvres, il est temps de se poser les bonnes questions : Qui ? Quoi ? Comment ? Pourquoi ? Et surtout, avec qui ? Pour vous aider à former vos équipes à l’IA, nous avons rencontré Hymane Ben Aoun Fleury*, la gourou des RH chez Humanskills**. Voici les 10 commandements à suivre pour des équipes au top de l’IA, inspirés par Hymane elle-même.
Le rapport « Artificial Intelligence Index Report 2024 » nous le confirme : l’IA est en plein boom et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Avec des prouesses technologiques comme GPT-4, Mistral Large, Gemini Pro et Claude 3, on peut dire que l’intelligence artificielle a le vent en poupe !
Mais ne vous laissez pas berner par cette apparente facilité, car l’IA a encore quelques défis à relever. Et si certaines études annoncent une baisse des effectifs dans certains secteurs, une chose est sûre : les compétences en intelligence artificielle sont plus que jamais recherchées.
Malheureusement, il semblerait que la confiance en l’humain fasse parfois défaut, comme en témoigne l’étude du Groupe Adecco : 66% des chefs d’entreprise ne prévoient pas de former leurs équipes à l’IA, même s’ils sont 61% à penser qu’elle va tout changer. Alors, ne soyez pas à la traîne et suivez nos conseils pour devenir un as de l’IA !”
Commandement IA n°1 : « Flexible et ouvert au changement, tu seras »
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/les-10-commandements-pour-former-ses-equipes-a-l-ia-75918
Désinformation
La pandémie de la désinformation : 1,5 milliard de fake news sont publiées chaque jour sur les médias sociaux, selon ID Crypt Global.
developpez.com - Par Stéphance le calme
Publié le 22 avril 2024
Facebook et X hébergent le plus grand nombre de contenus de désinformation
Dans un monde où les réseaux sociaux façonnent de plus en plus notre perception de la réalité, une nouvelle étude révèle une tendance alarmante : les acteurs de la désinformation diffusent pas moins de 1,5 milliard de publications mensongères chaque jour sur les plateformes numériques. Selon les recherches menées par ID Crypt Global, Facebook est la plateforme où le niveau de désinformation quotidienne est le plus élevé, avec 1 milliard de publications fausses créées chaque jour par ses utilisateurs. X, quant à lui, détient la plus grande proportion d’acteurs de la désinformation, représentant 8,7 % de tous les utilisateurs actifs.
ID Crypt Global a analysé les données du rapport Code of Practice on Disinformation de TrustLab pour comprendre la vitesse à laquelle la désinformation se propage sur les six principales plateformes de médias sociaux - Instagram, Facebook, X, LinkedIn, TikTok et YouTube - avant de mener sa propre analyse estimant le nombre de posts de désinformation créés chaque jour, et quelles plateformes sont les plus responsables de la propagation des fausses nouvelles et des médias.
Le code de bonne pratique en matière de désinformation a été établi à la suite des conseils de la Commission européenne par les principales plateformes en ligne, les plateformes émergentes et spécialisées, les acteurs du secteur de la publicité, les vérificateurs de faits, la recherche et les organisations de la société civile, afin de fournir un code de bonne pratique renforcé en matière de désinformation.
CNIL
4 668 violations de données ont été notifiées à la Cnil en 2023
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Publié le 24 avril 2024
Le nombre de notifications reçues par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) est en augmentation depuis 5 ans. Cependant, comme l'indique la Cnil dans son rapport annuel de 2023, cela ne signifie pas pour autant que les données personnelles sont moins bien protégées.
Par Lucile Bonnin
La Cnil a publié hier son bilan de l’année 2023 dans un 44e rapport annuel. Sensibilisation plus accrue des particuliers et collectivités, évolution des pratiques au sein des collectivités, désignation de délégués à la protection des données : où en sommes-nous cinq ans après l’entrée en application du RGPD ?
Hausse du nombre de plaintes
Le nombre de plaintes reçues par la Cnil a atteint un record en 2023 avec 16 433 plaintes enregistrées et déposées par le grand public, un chiffre en hausse de 35 % par rapport à 2022. Plus d'un tiers de ces plaintes (35 %) sont liées à l'utilisation d'Internet et près d'une sur cinq au travail (18 %). Le reste des plaintes concerne des relations commerciales (18 %), mais aussi d’autres secteurs comme les administrations publiques (4 %) ou encore la santé (3 %).
« Les plaintes adressées à la CNIL sont souvent liées aux problématiques rencontrées par les personnes dans leur quotidien numérique », peut-on lire dans le rapport. Par exemple, plus de 2 600 plaintes concernent le droit d’accès et plus de 2 500 plaintes liées au droit à l’effacement.
Lire la suite : https://www.maire-info.com/num%C3%A9rique/4-668-violations-de-donnees-ont-ete-notifiees-%EF%BF%BD-la-cnil-en-2023-article-28553
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La CNIL publie son cahier air2023 « IA et libre-arbitre : sommes-nous des moutons numériques ? »
cnil.fr - Par Marie-Laure Denis, présidente de la CNIL
Publié le 22 avril 2024
Dans le cadre de sa mission éthique, la CNIL publie son cahier air2023 afin de partager et de poursuivre les réflexions menées à l’occasion de l’évènement, organisé fin 2023, sur l’influence de l’intelligence artificielle sur nos choix. Il reprend les contributions des intervenants sous la forme d’entretiens et de témoignages.
L’IA, de la transformation de notre quotidien aux mutations du travail
Dans nos moteurs de recherche, dans nos playlists ou pour nous conseiller le prochain film à regarder, l’IA est déjà omniprésente pour améliorer le confort de notre quotidien. Depuis quelques années, notamment avec l’arrivée fracassante et gratuite du robot conversationnel ChatGPT, le grand public s’empare rapidement et massivement des intelligences artificielles génératives. Au-delà de l’Union européenne, qui a depuis deux ans et demi mis sur la table un projet de règlement des systèmes d’intelligence artificielle, les grands acteurs publics mondiaux se mobilisent de manière inédite sur la question.
Au quotidien, l’utilisation de ces nouvelles technologies soulève des interrogations essentielles sur notre rapport à l’apprentissage et à la connaissance, ainsi que sur nos capacités cognitives et mémorielles et sur les interactions entre êtres humains. Sommes-nous en train d’homogénéiser notre manière de penser, nos choix, nos goûts ?
Au travail, les technologies d’intelligence artificielle sont présentées comme libératrices de tâches à plus ou moins grande valeur ajoutée. Si l’IA peut émanciper les travailleurs d’un certain nombre d’activités pénibles et chronophages, sa standardisation au sein de l’organisation du travail porte aussi le risque d’homogénéiser et d’automatiser les processus de travail. Comment faire en sorte que le travailleur assisté par l’IA comprenne et garde le contrôle sur son outil de production ? À côté des processus, les nouvelles compétences exigées par l’utilisation de l’IA transforment aussi le marché de l’emploi. Quelles sont ces mutations, quels risques et quelles possibilités offrent-elles ? Quelle régulation politique faut-il espérer ?
Télécharger le cahier Air2023 : https://cnil.fr/sites/cnil/files/2024-04/cahier_air2023.pdf
Lire la suite : https://cnil.fr/fr/la-cnil-publie-son-cahier-air2023-ia-et-libre-arbitre-sommes-nous-des-moutons-numeriques
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Augmentation record des plaintes à la CNIL en 2023
siecledigital.fr - Par Benjamin Terrasson
Publié le 23 avril 2024
L’autorité a rendu son rapport annuel d’activité pour l’année 2023.
En 2023, 16 433 plaintes ont été transmises à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), un record. L’autorité administrative indépendante dont la mission est de protéger les données personnelles et de préserver les libertés individuelles a publié ce 23 avril son rapport d’activité annuel.
Amazon, Criteo ou le ministère de la Fonction publique parmi les organisations sanctionnées par la CNIL
« Chaque jour, la CNIL répond à des centaines de sollicitations », témoigne Marie-Laure Denis, présidente de l’autorité, pour la dernière année de son premier mandat. En plus du nombre de plaintes en hausse de 35 % par rapport à l’année précédente, la présidente dont le second mandat a été entériné fin janvier rapporte une explosion des demandes de vérification, rectification, suppression d’informations personnelles détenues par des organisations diverses.
Lire la suite : https://siecledigital.fr/2024/04/23/en-2023-le-montant-des-amendes-adressees-par-la-cnil-sest-eleve-a-plus-de-89-millions-deuros/
RGPD
Régime juridique de la vidéoprotection au regard du RGPD
lagazettedescommunes.com - Par Léna Jabre
Publié le 22 Avril 2024
Une circulaire mise en ligne le 19 avril apporte des précisions quant à la mise en conformité du régime de la vidéoprotection avec le droit relatif à la protection des données opérée par la loi du 19 mai 2023 relative aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024 et portant diverses autres dispositions.
Il est indiqué que les crédits du fonds interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation, dont ceux destinés à la vidéoprotection, seront triplés au cours des cinq années à venir et viendront cofinancer les projets portés par les collectivités, notamment des audits des éventuelles failles de sécurité présentes dans les caméras déjà installées.
Le dossier de demande d’installation de systèmes de vidéoprotection doit être enrichi d’une analyse d’impact relative à la protection des données et d’un engagement de conformité à la Commission nationale de l’informatique et des libertés.
RÉFÉRENCES
Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/924743/regime-juridique-de-la-videoprotection-au-regard-du-rgpd/
Cybersécurité
3 astuces de cybersécurité pour repérer un deepfake lors d’une visioconférence
Reconnaissez vos collègues
numerama.com - Par Bogdan Bodnar
Publié le 21 avril 2024
Les premières escroqueries à base de deepfake ont fait la une des médias. Si ces arnaques restent rares, les experts en cybersécurité invitent déjà les employés à retenir quelques règles pour repérer ces faux intervenants.
Faut-il se préparer à repérer les deepfakes au travail ? Si les détournements de visages sont légion sur les réseaux sociaux, les usurpations dans le cadre professionnel restent rares, quoique spectaculaires.
En février, un employé du secteur de la finance a été trompé par un deepfake de son directeur lui ordonnant un transfert de 25 millions de dollars. Le salarié a versé l’argent une fois qu’il a vu et entendu son supérieur en visio lui confirmer qu’il était à l’origine de cette demande. Pour réaliser cette escroquerie, les malfaiteurs ont récupéré des images du chef depuis des vidéos de promotion de l’entreprise.
Si ce cas reste exceptionnel, il a introduit la crainte d’un nouveau braquage dans le milieu financier. Tous les secteurs stratégiques sont d’ailleurs menacés, aussi bien la défense, que le transport ou la diplomatie, puisque des représentants politiques ont déjà été trompés par des deepfakes en visio. La société de cybersécurité Check Point a partagé à ses clients ainsi qu’à la presse trois conseils pour repérer un deepfake. Le piège devrait être contrôlé si le personnel respecte ces règles.
Les conseils pour déceler un deepfake lors d’une réunion professionnelle
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1729914-3-astuces-pour-reconnaitre-un-deepfake-en-visio-conference-selon-les-experts-en-cybersecurite.html
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VIDÉO - La prévention comme premier rempart face à la cybercriminalité
corsematin.com - Par Club Impresa
Publié le 24 Avril 2024
Invité du premier débat du Club Impresa, Boris Brunel, président de Cyber Sécurité Management, souligne le caractère primordial de la prévention dans la lutte contre les cyberattaques. Selon l'expert : le premier pare-feu est l'humain.
Bien que les mentalités évoluent, il est clair que cela reste encore insuffisant face à la menace actuelle. " Si l'on compare cela à la sécurité routière, on constate que lorsque les communications sont interrompues, les accidents repartent à la hausse ! ", souligne Boris Brunel, président de Cyber Sécurité Management. D'où l'importance de placer la prévention au cœur des entreprises, quelle que soit leur taille.
L'outil informatique : clé pour les entreprises
Il est crucial de se rappeler que l'outil informatique est désormais indispensable dans la plupart des sociétés. Cette réalité fait de la cybersécurité l'une des priorités pour de nombreux acteurs économiques insulaires. Sans quoi, les conséquences peuvent être rapidement désastreuses !
Des cyberattaques aux coûts élevés
Lire la suite : https://www.corsematin.com/article/economie/5376603564333/video-la-prevention-comme-premier-rempart-face-a-la-cybercriminalite
Paiement électronique
Les 10 chiffres clés sur le paiement mobile en France
Par Dalila Bouaziz
Publié le 22 avril 2024
Paiement avec son smartphone, utilisation de wallets, cartes de fidélité dématérialisées, commande/paiement à table, cagnottes en ligne… de nouveaux services s’ancrent dans les usages des consommateurs français.
63 %
Le paiement mobile sans contact en magasin constitue l’un des modes d’achat privilégiés des Français. Ils sont 63 % à déclarer le connaître et l’utiliser, soit 8 points de plus qu’en 2023.
38 %
Le wallet de paiement connaît également une forte percée cette année, avec 38 % de taux d’utilisation déclarée, en augmentation de 6 points par rapport à 2023 et de 14 points en 3 ans. C’est à ce titre la solution de paiement qui connaît la plus forte hausse d’utilisation cette année, derrière le sans contact.
Un Français sur deux
La commande et le paiement à table se démocratisent également : désormais, 1 Français sur 2 déclare connaître et utiliser cette méthode de paiement au restaurant.
66 %
L’usage des cartes de fidélité dématérialisées en magasin se stabilise cette année (66 %).
70 %
70 % des sondés sont prêts à utiliser les cartes de fidélité digitales à l’avenir et 64 % le paiement mobile sans contact en magasin.
Atos
La France va-t-elle vraiment laisser filer Atos ?
lejdd.fr - Par Lomig Guillo
Publié le 22 Avril 2024
SOUVERAINTÉ. Très endetté, Atos, le géant français du cloud et des services informatiques, doit parvenir à un accord avec ses créanciers d’ici au 26 avril. Plusieurs solutions sont sur la table, mais une seule est française.
Ou qui gère l’infrastructure de la cellule de crise du ministère de l’Intérieur ou toute l’informatique pour les JO ? Et, plus généralement, est-ce vraiment la meilleure chose à faire que de laisser filer une pépite française qui a tout pour devenir demain leader de son secteur ?
C’est pourtant ce qui se passe actuellement avec Atos, spécialiste des services informatiques, du cloud et des supercalculateurs. Et c’est d’autant plus étonnant à l’heure où le gouvernement semble vouloir bloquer la vente à des Indiens de Biogaran, la filiale du laboratoire Servier, leader français des génériques, pour ces mêmes questions de souveraineté. Il faut dire qu’Atos est un géant fragilisé.
L’entreprise a été mal gérée et a grandi trop vite, avec des rachats mal maîtrisés et surtout mal intégrés. Elle est surtout très endettée, à hauteur de 4,6 milliards d’euros. L’actuelle direction du groupe, dont la valeur en Bourse s’est effondrée ces derniers mois, a laissé jusqu’au 26 avril à ses créanciers et d’éventuels investisseurs pour trouver le moyen de diviser par deux sa dette et injecter au moins 1,2 milliard d’euros d’argent frais.
Lire la suite : https://www.lejdd.fr/economie/la-france-va-t-elle-vraiment-laisser-filer-atos-144366
Thales
L’optronique assistée par IA : un projet européen inédit pour décupler des capacités de perception des situations de combat
Thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 25 Avril 2024
L’Union européenne a signé le contrat pour le lancement du projet collaboratif de recherche STORE (Shared daTabase for Optronics image Recognition and Evaluation) coordonné par Thales à l’initiative du FED (Fonds Européen de Défense).
C’est tout l’enjeu du projet collaboratif STORE initié par le FED : grâce à l’optronique associée aux techniques d’analyse par intelligence artificielle, le combattant bénéficiera à terme d’une assistance avantageuse et précieuse pour la perception de son environnement. Cette solution optronique intelligente et sécurisée répond à un double objectif : améliorer la connaissance de la situation tactique et accélérer les processus de décision, la réactivité du combattant et au final sa capacité de survie.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/loptronique-assistee-ia-projet-europeen-inedit-decupler
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Réindustrialisation du site thales à Pont-Audemer : premières cartes électroniques produites avec succès
Thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 24 Avril 2024
Pont-Audemer le 24 avril 2024 – En janvier 2023, Thales annonçait son engagement dans un programme visant à transformer son site de Pont-Audemer (Eure) en un site de production et d’assemblage de cartes électroniques à haute valeur ajoutée. Un an plus tard, les premières cartes sont sorties du site de Pont-Audemer avec succès, après six mois d’un programme conséquent de formations théoriques et pratiques des collaborateurs du site. Sur le plan des infrastructures et de l’outil industriel, les travaux sur le site de Pont-Audemer avancent également conformément au calendrier prévisionnel du projet.
Dans son ensemble, ce projet qui répond à l’ambition du Groupe de renforcer la maîtrise de sa chaîne d’approvisionnement et de ses capacités de production tant au service du Civil que de la souveraineté nationale des grands programmes de Défense, se déroule conformément aux prévisions. Parallèlement, le site de Pont-Audemer poursuit son activité de production de cartes SIM et EcoSIM.
Thales investit un peu plus de 30 millions d’euros pour assurer la transformation industrielle progressive du site, dont 10 millions sont consacrés à la formation et à la montée en compétences des salariés notamment par des formations certifiantes. En effet, la production de ces cartes requiert entre autres une expertise spécifique en montage manuel particulièrement complexe. Thales a sélectionné le Greta Portes Normandes pour coordonner et accompagner les actions de formation-reconversion sur les plans pédagogique et administratif. L’OPCO 2i Normandie soutient le site de Thales Pont-Audemer pour dérouler les actions de prises en charge au titre du FNE-Formation. Un pôle formation a été mis en place sur le site afin d’assurer les formations théoriques et pratiques des salariés.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/reindustrialisation-du-site-thales-pont-audemer
Mobilité
100 millions d’euros d’ici 2028 : la Région Occitanie présente l’acte 2 du plan vélo
madeinperpignan.com - Parr Alice Fabre
Publié le 17 avril 2024
Le lieu de la conférence de presse n’a pas été choisi au hasard. Pour cet acte 2 de son Plan Vélo (le précédent a été lancé en mars 2020), la Région a invité les médias ce mercredi 17 avril au cœur du quartier Saint-Matthieu à Perpignan, dans les locaux de la Casa Bicicleta.
Faciliter l’intermodalité, encourager la pratique du vélo au quotidien, soutenir la filière régionale… 15 objectifs sont sur la table pour améliorer la pratique du vélo au quotidien dans la Région. Les Pyrénées-Orientales aussi sont concernés.
100 millions d’euros sur quatre ans pour favoriser la pratique du vélo
L’association La Casa Bicicleta, ou maison bicyclette, promeut la pratique du vélo avec un atelier d’auto- réparation pour apprendre la mécanique, des formations dispensées à ses adhérents, mais aussi des cours de vélo destinés aux petits comme aux grands. Quant à Perpignan, elle stagne en bas du classement des villes où il fait beau se déplacer à vélo (selon la fédération des usagers de la bicyclette).
Agnès Langevine a donc décortiqué à quoi serviront les 100 millions d’euros débloqués pour favoriser et développer la pratique du vélo. Pêle-mêle parmi les 15 mesures à horizon 2028 : soutenir la réalisation de pistes cyclables sécurisées (la Région a participé aux travaux de la connexion de la voie verte à Torreilles, et à la liaison Toulouges-Canohès), aider à l’acquisition de vélos ou encore contribuer au développement de la filière locale. Pour cela 70 entreprises ont été identifiées sur l’Occitanie, représentant un millier d’emplois. Dans le département ce sont les entreprises Caminade et Paulette qui ont été soutenues.
Autre dossier de taille : l’intermodalité ou connexion entre les moyens de transport
Lire la suite : https://madeinperpignan.com/deplacement-plan-velo-region-occitanie-100-millions-deuros-dici-2028/
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« Nous investissons un milliard d'euros pour les mobilités » annonce Johanna Rolland depuis le nouveau tramway de Nantes
France Bleu Loire Océan - Par Marion Fersing
Publié le 18 avril 2024
France Bleu Loire Océan était en direct du nouveau tramway de Nantes, ce jeudi matin entre 6h et 9h30. À cette occasion, la maire de Nantes, Johanna Rolland, nous a accordé une longue interview pour parler mobilités, mais aussi faire un bilan de ses dix ans à la tête de la ville.
Johanna Rolland, la maire de Nantes dans une des deux nouvelles rames de tramway. © Radio France - Sophie Thomas
De 7h45 à 8h30, ce jeudi matin, la maire de Nantes, Johanna Rolland, a répondu aux questions de France Bleu Loire Océan depuis l'un des deux nouveaux tramways qui circulent sur la Ligne 1. Avec elle, nous avons évoqué la question des mobilités, mais aussi de la sécurité, dix ans après son arrivée à la tête de la ville.
Un milliard pour les mobilités
"C'est un milliard, au total, que nous investissons au cours de ce mandat pour les mobilités, si on compte ce qu'on met sur le tramway, le bus électrique, le vélo, le covoiturage, les parkings relais, tout ça. Un milliard. Parce qu'évidemment, se déplacer, c'est tout à fait indispensable dans la vie de tous les jours. Et puis le tramway, je le redis, c'est un moyen quand même très économique et très écologique", détaille Johanna Rolland.
La Ligne 1, l'une des plus fréquentées de France
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La ligne ferroviaire Nancy-Lyon va rouvrir, mais sans Metz : les élus de Moselle s’expriment
tout-mets.com - Par Joscelyn Lapart
Publié le 15 avril 2024
Une ligne ferroviaire directe Nancy-Lyon rouvrira en décembre 2024, mais sans inclure Metz dans son parcours. Pourquoi la Moselle est-elle sortie de l’échiquier ? Les explications de Patrick WEITEN, président du département de la Moselle et de François GROSDIDIER, président de l’Eurométropole de Metz.
En 2018 commencent les travaux d’agrandissement de la gare de Lyon-Part-Dieu. Jusqu’alors une ligne TGV Metz-Nancy-Lyon permettait aux passagers de voyager de la Lorraine à la capitale des Gaules par une liaison directe. Suspendue le temps des travaux, la ligne n’a jamais rouvert, obligeant les passagers à faire un long détour par Strasbourg. L’État promet bien un « train d’équilibre du territoire » à partir de 2029, mais les négociations pour la mise en place de solutions temporaires sont longtemps restées enlisées au vu du déficit de fonctionnement de la ligne. Un compromis a finalement été trouvé il y a quelques jours pour la période allant de décembre 2024 à fin 2028.
La Meurthe-et-Moselle accepte de financer, la Moselle refuse. Les trains partiront de Nancy, mais pas de Metz. Dès le mois de décembre, la ligne proposera un aller-retour Nancy-Lyon par jour, puis deux allers-retours dès décembre 2025.
L’engagement financier entre décembre 2024 et décembre 2028 s’élèvera au maximum à 48,6 millions d’euros, partagé à hauteur de 24,6 millions pour l’État et 24 millions pour les collectivités territoriales, dont 20 millions pour la région Grand Est.
Le compte n’y était pas pour Metz et la Moselle.
Lire la suite : https://tout-metz.com/ligne-train-nancy-lyon-rouvrir-sans-metz-elus-moselle-expriment-2024-543615.php
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Mobilité électrique : satisfaction sur le déploiement des bornes, inquiétudes sur les conséquences de l’électrification à marche forcée du parc automobile
banquedesterritoires.fr - Par Frédéric Fortin - MCM Presse pour Localtis
Publié le 17 avril 2024
Une éclaircie sur le marché des véhicules électriques : une étude de l’association internationale Transport & Environnement souligne que la plupart des États membres de l'Union européenne devraient atteindre leurs objectifs à court terme de déploiement de stations de recharge publiques – la progression de la France est notamment saluée. Et des nuages : une étude de l’association HOP alerte sur les conséquences de cette électrification à marche forcée du parc automobile. Outre l’"obsolescence réglementaire" accélérée des véhicules thermiques, elle pointe la tendance à fabriquer des véhicules électriques "jetables" pour réduire les coûts de production.
Une multiplication par trois des bornes de recharge électrique publiques en trois ans. Tel est le bilan que tire l’association Transport & Environnement (T&E) – auto-revendiqué principal groupe de pression pour les mobilités propres en Europe –, dans une étude (en anglais) publiée ce 17 avril. T&E recense plus de 630.000 de ces points de recharge fin 2023, et observe que le réseau a augmenté l’an passé plus rapidement que le parc de véhicules électriques. Dix-neuf États membres auraient ainsi déjà atteint leurs objectifs de déploiement fixés par le règlement dit Afir sur le déploiement d'infrastructures de carburants de remplacement (voir notre article du 27 juillet 2023) – entré en vigueur le 13 avril dernier – pour 2024, huit ceux de 2025, et deux (la Bulgarie et la République tchèque) ceux de 2026.
Déploiement des bornes de recharge : la France bien notée
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/mobilite-electrique-satisfaction-sur-le-deploiement-des-bornes-inquietudes-sur-les-consequences-de
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Mobilité - Transition énergétique : NOMAD CAR H2
normandie.fr - Communiqué
Publié le 19 avril 2024
Le premier autocar diesel transformé à l'hydrogène en circulation dès le 22 avril est normand
Le premier autocar diesel transformé à l'hydrogène a effectué aujourd'hui son premier voyage entre Evreux et Rouen, avec à son bord Hervé Morin, Président de la Région Normandie, et Thierry Mallet, Président de Transdev.
La Région Normandie et Transdev collaborent depuis trois ans pour transformer un car diesel en motorisation électrique alimentée par de l'hydrogène. Homologué par les services de l'Etat le 1er février 2024, ce car à hydrogène effectuera son premier transport de voyageurs le 22 avril, sur la ligne régionale express Nomad Car 216, qui relie Evreux à Rouen.
Dans un contexte global de changement climatique, les territoires sont amenés à repenser leur modèle énergétique et à s'orienter vers plus d'énergies renouvelables. Les collectivités sont par ailleurs contraintes par la réglementation à s'équiper de véhicules moins polluants. La Région Normandie teste ainsi depuis de nombreuses années des énergies alternatives sur le réseau NOMAD, bio-carburants ou motorisation électrique et a été attentive aux projets en la matière. La Région soutient le mix énergétique et encourage le développement d'énergie variée, dont la production et la consommation doivent tendre à être plus sobres, à adapter suivant les contextes locaux en matière d'usages (résidentiels/industriels, mobilités lourde/légère...) ou d'avitaillement.
L'hydrogène a pris une importance de tout premier ordre dans le débat pour la transition énergétique. Sans émission de polluant ni de particules à la sortie du pot d'échappement, il participe à la réduction des émissions mondiales des gaz à effet de serre, dont le CO2, dues aux transports. Filière économique majeure pour le territoire normand, l'hydrogène constitue une pierre angulaire pour la mise en œuvre de la transition énergétique en Normandie. Le Plan Normandie Hydrogène, voté en octobre 2018, accompagne le développement de cette nouvelle filière et fixe la décarbonation de la mobilité comme axe prioritaire de travail.
Lire la suite : https://www.transdev.com/fr/solutions/nch2/
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SMITU : où en est le projet de bus à haut niveau de service ?
https://moselle.tv - Par Valentine Vörös
Publié le 19 avril 2024
Le SMITU, Syndicat Mixte des Transports Urbains Thionville Fensch, s’est retrouvé vendredi après-midi afin de discuter du projet des bus à haut niveau de service.
Deux-ponts sont en construction pour faciliter l’accès à la population à certains endroits, dont l’accès à la gare.
Rémy Dickl, Président du SMITU nous explique. « Le projet à haut de niveau de service, ce sont plusieurs composantes. Ce sont d’abord évidemment, deux ponts qui nous permettent d’avoir un accès à la gare, depuis Yutz, Cormontaigne, faciliter, notamment pour les jeunes. C’est également un autre pont qui permet de doubler le transport public, pour les taxis, pour les ambulances, le pont des Alliés. Et éviter l’engorgement dans les temps les plus compliqué, en termes de trafic. C’est également un nouveau dépôt, pour accueillir près de 150 bus et cars. Ce sont ensuite, des voiries en transports en site propre. C’est-à-dire pour prendre un référentiel local, un peu comme le Méttis à Metz. »
L’autre objectif est de lancer le dépôt. Un deuxième appel d’offres va être lancé.
Le coût des ponts s’élève à la somme de 70 millions d’euros. Ils seront finis courant septembre, mais il faudra attendre encore un peu, avant de pouvoir les utiliser.
Lire la suite : https://moselle.tv/smitu-ou-en-est-le-projet-de-bus-a-haut-niveau-de-service/
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Mobilité électrique : le développement des bornes de recharge
capital.fr - Article sponsorisé par l'Observatoire français de la transition écologique
Publié le 15 avril 2024
L’essor de la mobilité électrique est essentiel pour décarboner le secteur des transports. Ce dernier représente à lui seul 31% des émissions de gaz à effet de serre. Pour favoriser le développement des voitures électriques, il est impératif que le territoire soit équipé en points de charge.
En décembre 2023, selon l’Avere-France, plus d’un million de véhicules 100% électriques circulent en France. Les ventes de véhicules électriques sont en hausse, tout comme celles des véhicules hybrides. Le Parlement européen a voté la fin de la commercialisation des véhicules neufs à moteur thermique pour 2035. Ainsi, même si des réticences persistent autour de la voiture électrique, notamment pour les longs trajets, le déploiement de points de charge est en cours sur tous les grands axes français. Cela devrait donc encourager encore davantage l’essor de la mobilité électrique.
Les voitures électriques et hybrides et les bornes de recharge en France : état des lieux.
La démocratisation des voitures électriques en France.
De nombreuses améliorations expliquent le développement de l’électrique. Chaque année, les nouveaux véhicules électriques offrent une autonomie plus importante pour atteindre actuellement 400 kilomètres en moyenne (Avere-France).
Lire la suite : https://www.capital.fr/conso/mobilite-electrique-le-developpement-des-bornes-de-recharge-1494643
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Indigo Group a conclu un accord pour l'acquisition en France des activités de stationnement en voirie du Groupe Transdev
actunews.eu - Par Indigo Group
Publié le 15 avril 2024
Indigo Group a conclu un accord pour l'acquisition en France des activités de stationnement en voirie du Groupe Transdev
Indigo Group, expert mondial des solutions de stationnement et de la mobilité urbaine, a récemment conclu un accord avec le Groupe Transdev pour acquérir ses activités de stationnement en voirie en France, soit la société Transdev Park Voirie (TPV) et sa participation dans CSV, détenue à 70% aux côtés du groupe Egis, toutes deux exploitées sous la marque Moovia. L'ensemble du portefeuille représente 35 contrats en France et a généré près de 21 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2023.
En France, Indigo Group opère déjà 78 contrats de gestion du stationnement en voirie pour le compte de 80 villes. La complémentarité géographique des portefeuilles de contrat, l'addition des expertises opérationnelles et commerciales, la culture commune de l'excellence, permettront de créer des synergies significatives, et le nouvel ensemble combiné offrira aux 264 nouveaux collaborateurs accueillis par Indigo Group de nouvelles perspectives de parcours et de mobilité professionnelle.
Ces acquisitions entrent pleinement dans la stratégie du groupe Indigo, qui entend consolider ses activités sur toute la chaîne de valeur de la gestion globale de la voirie, comme outil d'aide à l'organisation, à la régulation des flux et au partage de l'espace public : le contrôle du stationnement, la maintenance des horodateurs, la gestion des ayants droit et des recours, le paiement mobile via son outil digital universel (en ouvrage et en voirie) Indigo Neo, ainsi que la gestion des espaces de nouvelles régulations urbaines (Zone à Faible Emission – Zone à Trafic Limité).
Désinformation
Un journaliste monte un site de désinformation rapidement et facilement grâce à l'intelligence artificielle
midilibre.fr - Par ETX Daily Up
Publié le 18 avril 2024
Pour quelques dollars et en deux jours seulement, un journaliste américain a réussi à monter un site de désinformation politique entièrement automatique, capable de publier des dizaines de fake news par jour. Ce qui peut s'annoncer problématique en période électorale.
Jack Brewster est un journaliste, aujourd'hui à la tête de NewsGuard, une start-up qui traque la désinformation en ligne. Il vient de faire la démonstration que l'on pouvait créer très facilement et rapidement tout un site de désinformation grâce aux dernières avancées de l'intelligence artificielle. Il livre son témoignage dans un article publié dans le Wall Street Journal, "How I Built an AI-Powered, Self-Running Propaganda Machine for $105" ("Comment j'ai construit une machine de propagande auto-exploitée et alimentée par l'IA pour 105 dollars").
Entièrement automatisé et alimenté par l'IA
En seulement deux jours, pour un peu plus de 100 dollars, le journaliste a obtenu son propre site d'informations locales, entièrement automatisé et alimenté par l'IA. Pour cela, il a tout simplement contacté un développeur de sites Web lui demandant de créer son site. Sa particularité est qu'il est programmé pour créer de fausses histoires politiques, ce qui peut s'avérer redoutable en cette période préélectorale aux États-Unis .
Sans la moindre expertise, en faisant reposer tout le projet sur un développeur qu'il a recruté sur une plateforme de candidats free-lance. Et il a eu l'embarras du choix : "J'ai cherché 'site web d'information généré par l'IA' sur la page d'accueil et j'ai vu apparaître des dizaines de développeurs proposant de construire mon site. Les prix allaient de 30 dollars pour la création d'un site d'actualités en IA de base à 350 dollars pour un site d'actualités automatisé et monétisé". Son choix s'est tourné vers un Pakistanais d'une trentaine d'années, très bien noté. L'idée était ici de créer un site Web spécialement conçu pour soutenir un candidat politique, Bernie Moreno, dans la course au Sénat américain, en décrédibilisant son adversaire par le biais de fake news.
Colloque
Blockchain, société et cybersécurité
ihedn.fr - Colloque de l’Institut des Hautes Etudes de défense nationale
Conférence du lundi 29 avril 2024
La question de la confiance entre acteurs du cyberespace est aujourd’hui au centre de discussions relatives à la sécurité des systèmes d’information, au partage de données sensibles ou critiques, et à des enjeux démocratiques. Initialement, la confiance dans un système repose sur son mode d’organisation, sa technologie et son droit. Les technologies numériques sont transverses, elles touchent tous les aspects de la vie sociale, de l’action étatique mais restent en grande partie soumises à des législations extra européennes.
Les caractéristiques de la technologie de la chaîne de blocs (blockchain) semblent en faire une solution idéale pour créer de la confiance entre acteurs sans passer par une solution centralisée relevant d’autres puissances étatiques.
La Chaire Cyber et souveraineté numérique – IHEDN organise le 29 avril 2024 à l’École militaire (Paris 7e) le colloque “Blockchain, société et cybersécurité”.
Cet événement vise à établir si et comment la chaîne de blocs constitue une solution pérenne pour des enjeux sociétaux et de cybersécurité.
Pour assister à cet événement, merci de vous inscrire. INSCRIVEZ-VOUS
Identité
Des chercheurs préconisent de modifier le cadre des contrôles d’identité en Europe
lemonde.fr - Par Antoine Albertini
Publié le 15 avril 2024
Une étude montre que, si les pratiques diffèrent d’un pays à l’autre, elles se heurtent à des critiques souvent identiques, dont le contrôle au faciès. Deux ONG et trois associations viennent de saisir l’ONU pour le faire cesser en France.
Deux ONG internationales et trois associations françaises ont saisi, jeudi 11 avril, les Nations unies pour faire cesser en France ce qu’elles nomment des « contrôles au faciès ». Dans leur plainte, Amnesty International France et Human Rights Watch, mais aussi Pazapas, le Réseau égalité, antidiscrimination, justice interdisciplinaire (Reaji) et la Maison communautaire pour un développement solidaire (MCDS) ont précisé agir « en raison de l’absence de mesures concrètes, efficaces et pertinentes destinées à mettre fin à la pratique des contrôles d’identité discriminatoires ». Selon les requérantes, la France ne se conformerait pas aux prescriptions de la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discriminations raciales, dont elle a pourtant été signataire en 1971.
La France est, cependant, loin d’être le seul pays européen où la pratique des contrôles d’identité, à la fois totem de l’action policière et nœud gordien du rapport entre la police et la population, fait l’objet d’un vif débat public. Le titre d’un article publié par la revue Futuribles (mars-avril 2024) et corédigé par Jacques de Maillard, directeur du Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales, et Mike Rowe, maître de conférences en management public à l’université de Liverpool, suffit à en résumer les enjeux : « Les contrôles policiers en Europe : des contestations récurrentes, des réformes limitées. »
Ce travail a été alimenté par les conclusions d’une vaste étude menée entre 2018 et 2023 dans 27 Etats européens par 80 chercheurs réunis au sein du réseau COST (Coopération européenne dans le domaine de la recherche scientifique et technique), financé par l’Union européenne.
Intelligence artificielle
University : Artificial Intelligence Index Report 2024
decideo.fr - Par Philippe Nieuwbourg
Publié le 17 avril 2024
Le rapport de 500 pages, en anglais, peut être téléchargé gratuitement : https://aiindex.stanford.edu/wp-content/uploads/2024/04/HAI_AI-Index-Report-2024.pdf
Bienvenue dans la septième édition du rapport AI Index. L'indice 2024 est le plus complet à ce jour et arrive à un moment important où l'influence de l'IA sur la société n'a jamais été aussi prononcée. Cette année, nous avons élargi notre champ d'action pour couvrir plus largement les tendances essentielles telles que les avancées techniques de l'IA, les perceptions publiques de la technologie et les dynamiques géopolitiques entourant son développement. Avec plus de données originales que jamais, cette édition présente de nouvelles estimations sur les coûts de formation à l'IA, des analyses détaillées du paysage de l'IA responsable et un chapitre entièrement nouveau consacré à l'impact de l'IA sur la science et la médecine.
Le rapport AI Index suit, rassemble, distille et visualise les données relatives à l'intelligence artificielle (IA). Notre mission est de fournir des données impartiales, rigoureusement vérifiées et largement sourcées afin que les décideurs politiques, les chercheurs, les cadres, les journalistes et le grand public puissent acquérir une compréhension plus approfondie et plus nuancée du domaine complexe de l'IA.
L'indice AI est reconnu mondialement comme l'une des sources les plus crédibles et les plus fiables de données et d'informations sur l'intelligence artificielle. Les éditions précédentes ont été citées dans de grands journaux, dont le New York Times, Bloomberg et The Guardian, ont accumulé des centaines de citations universitaires et ont été référencées par des décideurs politiques de haut niveau aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'Union européenne, entre autres.
TOP 10 TAKEAWAYS
Lire la suite : https://www.decideo.fr/Publication-du-rapport-de-Stanford-University-Artificial-Intelligence-Index-Report-2024_a13663.html
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La “hype” autour de l’intelligence artificielle risque de créer des déceptions »
lemonde.fr - Par Alexandre Piquard
Publié le 18 avril 2024
Le secteur de l’IA montre des signes d’emballement, notamment en raison du décalage entre les investissements et les revenus attendus, explique dans sa chronique Alexandre Piquard, journaliste au « Monde ».
L’intelligence artificielle (IA) fait-elle l’objet d’un emballement ? Les très fortes attentes placées dans cette technologie capable de créer du texte ou de l’image risquent-elles d’être déçues ? Des signes pointent en ce sens. Depuis le succès foudroyant du robot conversationnel ChatGPT, lancé le 30 novembre 2022, les géants du numérique sont engagés dans une course pour dominer ce secteur, suivis par une myriade de start-up aux valorisations parfois stratosphériques, comme OpenAI, à 80 milliards de dollars (72 milliards d’euros). Des dirigeants d’entreprises de tech décrivent l’IA comme une innovation « plus profonde que le feu ou l’électricité » (Google) ou comme une révolution technologique inédite, susceptible d’ouvrir une ère « d’abondance » où les machines libéreraient les humains d’une bonne part de leur travail (OpenAI).
« Attention à l’euphorie de l’IA », met en garde l’éditorialiste du Financial Times Rana Foroohar. « Même si vous croyez que l’IA est l’équivalent de l’électricité ou d’Internet, nous ne sommes qu’au début d’une transformation hautement complexe qui durera plusieurs décennies et est loin d’être jouée d’avance », prévient-elle.
« L’IA est une bulle », croit l’essayiste spécialiste du numérique Cory Doctorow. Se poser la question est comme se demander « si le pape est catholique », abonde le chroniqueur du Guardian John Naughton, enseignant et auteur de From Gutenberg to Zuckerberg : What You Really Need to Know About the Internet (« de Gutenberg à Zuckerberg : ce qu’il faut vraiment savoir à propos d’Internet », Quercus, 2012, non traduit).
Chiffres d’affaires au plus bas
Lire la suite : https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/04/18/la-hype-autour-de-l-intelligence-artificielle-risque-de-creer-des-deceptions_6228499_3232.html
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Meta accélère dans l'intelligence artificielle générative avec Llama 3
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié Le 19 avril 2024
Le groupe californien a dévoilé la dernière version de son outil qui répond aux questions des utilisateurs. Il va figurer de façon plus proéminente sur les réseaux et messageries du géant de la tech.
Meta a dévoilé ce jeudi la nouvelle version de Meta AI, son assistant d'intelligence artificielle (IA) générative, qui passe de l'ombre à la lumière sur toutes ses applications : Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp. Jusqu'à présent discret, l'outil qui répond aux questions des utilisateurs (comme ChatGPT) va figurer de façon plus proéminente sur les réseaux et messageries du groupe californien. Meta AI est aussi plus performant grâce à la nouvelle version du modèle de langage sous-jacent, Llama 3, aussi lancé jeudi par l'entreprise.
À découvrir
PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech
«Nous pensons que Meta AI est désormais l'assistant d'intelligence artificielle le plus intelligent que vous puissiez utiliser en accès libre», a déclaré Mark Zuckerberg, le patron du leader mondial des réseaux sociaux, dans une vidéo sur Instagram. Les géants technologiques sont engagés depuis plus d'un an dans une course effrénée au développement et déploiement de l'IA générative (production de textes, images et autres contenus, sur simple requête en langage courant).
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/meta-accelere-dans-l-intelligence-artificielle-generative-avec-llama-3-20240419
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Le régulateur britannique de la concurrence préoccupé par la concentration dans l'IA générative
usine-digitale.fr - Célia Séramour
Publié le 12 avril 2024
La CMA souligne les préoccupations croissantes concernant les modèles fondamentaux d'IA et identifie trois principaux risques. Sa directrice générale, Sarah Cardell, a d'ailleurs présenté les résultats du rapport lié, expliquant être passé de la curiosité à de réelles inquiétudes aujourd'hui, alors que le marché continue de se développer à un "rythme effréné".
L'Autorité britannique de la concurrence et des marchés (CMA) a fait part de ses préoccupations croissantes concernant le marché de l'IA générative et des grands modèles de langage, notamment les modèles dits fondamentaux. Elle a donc identifié trois principaux risques et interdépendants pour une concurrence loyale, efficace et ouverte. Cette démarche fait suite à la publication d'un premier rapport sur les modèles fondamentaux de l'IA publié en septembre dernier.
La démarche de l'autorité de la concurrence et des marchés (CMA) fait suite à son rapport initial sur les modèles de fondation de l'IA (FM) publié l'année dernière. Ce rapport proposait un ensemble de principes visant à soutenir l'innovation et à orienter ces marchés vers des résultats positifs pour les entreprises, les consommateurs et l'économie dans son ensemble. Ce dernier donnait déjà certaines clés pour garantir à la fois la protection des utilisateurs et une concurrence saine. Cette semaine, la directrice générale à la tête du régulateur, Sarah Cardell, est revenue sur la version mise à jour de ce rapport à l'occasion d'une conférence à Washington DC.
Un changement de paradigme profond
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Artificial Super Intelligence (ASI) : Qu’est-ce que c’est, comment ça fonctionne et comment en acheter ?
Depuis l'apparition des technologies IA comme ChatGPT, le secteur de l'intelligence artificielle (IA) ne cesse de se développer chaque jour un peu plus.
Récemment, ce sont les projets crypto SingularityNET, Fetch.ai, et Ocean Protocol qui ont décidé de fusionner entre eux pour créer une “alliance”. Leur but : créer un gigantesque réseau décentralisé visant à faciliter et accélérer le développement de l’IA.
Qu’est-ce que ASI ? Comment le projet compte-t-il révolutionner le développement de l’IA ? Vous le découvrirez tout au long de cet article.
Sommaire :
1. Qu’est-ce que le projet ASI ?
2. Décentralisation : pourquoi est-ce si important le futur de l’IA ?
• Une fusion 100 % décentralisée :3. Ocean, Fetch & Singularity : le meilleur des trois mondes
• SingularityNET : Pionnier de l'AGI et de l'ASI
• Fetch.ai : Infrastructure et Agents IA Avancés
•Ocean Protocol : Partage de Données et Infrastructures de Paiement
Lire la suite : https://coinacademy.fr/artificial-superintelligence-asi-fondamenta/
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L'IA se développe à une vitesse folle mais avec des coûts exorbitants, révèle Stanford
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 16 avril 2024
Le monde de l'intelligence artificielle évolue à toute vitesse. Si 2023 marque un tournant pour le développement de cette technologie avec l'arrivée de nouveaux modèles - notamment multimodaux - elle signifie également une montée en puissance des investissements. Plus ciblés, ils montrent un intérêt croissant pour l'intégration de l'IA dans un certain nombre de secteurs. Les Etats n'y échappent pas non plus, cherchant à dominer sur ce plan.
"Il y a dix ans, les meilleurs systèmes d'intelligence artificielle du monde étaient incapables de classer des images à un niveau humain. Ils ne comprenaient pas le langage, avaient du mal à raisonner visuellement et échouaient aux tests de compréhension de lecture les plus élémentaires. Aujourd'hui, les systèmes d'IA dépassent régulièrement les performances humaines sur les critères de référence standard". Tel est le constat fait par l'Institut HAI (Institute for Human-Centered Artificial Intelligence) de l'Université de Stanford.
Dans l'édition 2024 de son rapport AI Index – qui contient plus de 300 pages retraçant les tendances mondiales de l'IA en 2023 – l'Institut tire plusieurs conclusions, à commencer par les progrès établis en matière d'intelligence artificielle, mais aussi les tendances dans la recherche et le développement, les performances des grands modèles de langage ou encore l'impact de cette technologie sur le monde.
2023, année d'accélération de la technologie
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/l-ia-se-developpe-a-une-vitesse-folle-et-a-des-couts-exorbitants-revele-stanford.N2211601
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IA : 10 tendances qui caractérisent le marché en 2024
www.tom.travel - Par Hugo Pellegrin
Publié le 16 avril 2024
Dans son rapport AI Index, l’Institute for Human-Centered Artificial Intelligence (HAI) de l’Université de Stanford dévoile 10 tendances qui caractérisent le marché de l’intelligence artificielle en 2024.
Le dernier rapport de l’Institute for Human-Centered Artificial Intelligence (HAI) de Stanford révèle les dernières tendances qui façonnent le marché global de l’intelligence artificielle. “Cette année, nous avons élargi notre champ d’action pour couvrir plus largement les tendances essentielles telles que les avancées techniques de l’IA, les perceptions publiques de la technologie et les dynamiques géopolitiques entourant son développement”, indiquent les auteurs du rapport. Voici les 10 tendances qui caractérisent le marché de l’IA en 2024.
1. L’intelligence humaine est encore dans la course
Au fil des développements, l’intelligence artificielle voit ses compétences augmenter au point de surprendre l’opinion publique grâce à ses performances. Ainsi, dans de nombreux domaines – tels que la classification d’images, la perception visuelle ou encore compréhension de l’anglais -, les auteurs du rapport estiment que l’intelligence artificielle surpasse les performances humaines. Mais l’intelligence humaine reste encore dans la course dans plusieurs domaines d’application comme dans les mathématiques à niveau compétitif ou encore pour la planification. Les assistants de voyage visant à aider les touristes à planifier leur séjour ont-ils du souci à se faire ?
Lire la suite : https://www.tom.travel/2024/04/16/ia-10-tendances-qui-caracterisent-le-marche-en-2024/
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Internet des objets
IoT et efficacité énergétique : mythe ou réalité ?
journaldunet.com - Par Chronique de Georges Dupont
Publié le 26 avril 2024
L'IoT améliore l'efficacité énergétique en optimisant la production et la consommation, réduisant les coûts et l'impact environnemental grâce à des capteurs et analyses de données.
Après avoir dépassé l'engouement initial entre 2012 et 2015, l'IoT semble avoir tenu ses promesses, notamment dans le domaine de l'énergie. Aujourd'hui, l'IoT influence activement la production, la distribution et la consommation d'énergie. En fournissant des données en temps réel, il permet d'optimiser les infrastructures, de réduire les déchets et de minimiser l'empreinte carbone des entreprises. Il est temps d'examiner si ces avancées technologiques impactent réellement l'industrie de l'énergie.
L'IoT comme vecteur d'efficacité énergétique
• Amélioration de l'efficacité de la production énergétique
L'installation de capteurs IoT sur les équipements de production d'énergie (comme les turbines éoliennes ou les panneaux solaires) permet de surveiller leur état en temps réel, d'anticiper les pannes et de réaliser des maintenances préventives, ce qui minimise les interruptions et optimise la production. En anticipant pannes et dysfonctionnements, l’IoT permet une gestion plus efficiente des ressources et assure une continuité de service essentielle à notre économie et à notre bien-être.
Prenons le cas de turbines éoliennes. En les équipant de capteurs IoT (capteurs de vibrations, de vitesse, de température etc.), il est possible de détecter les anomalies avant qu'elles ne conduisent à des défaillances majeures, réduisant ainsi les temps d'arrêt et augmentant l'efficacité de la production d'énergie renouvelable. C’est le cas de GE Renewable Energy. Ils utilisent des capteurs qui collectent en permanence des données sur l'état et les performances des turbines ; ainsi que l'analyse prédictive pour optimiser la performance et la maintenance de ses éoliennes.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/iot/1529743-iot-et-efficacite-energetique-mythe-ou-realite/
CNIL
La Cnil dévoile sept fiches de recommandations pour l’IA
incuber.org - Par la Rédaction
Publié le 15 avril 2024
Dans le cadre de son « plan IA », la commission a publié une série de conseils pratiques pour faciliter le développement de modèles d’IA conformes au RGPD.
La Cnil a publié, le 8 avril 2024, sept fiches pratiques regroupant ses premières recommandations pour le développement de modèles d’IA conformes au RGPD. Ces documents s’inscrivent dans le cadre du « plan IA » de la commission, présenté en mai 2023, et s’appuient notamment sur les réponses à une consultation publique lancée à ce moment.
La Cnil indique avoir entamé « un important travail de clarification du cadre juridique » afin de « sécuriser les acteurs » du secteur. Avec ces fiches, la commission entend apporter des « réponses concrètes pour la constitution de bases de données utilisées pour l’apprentissage des systèmes d’IA qui impliquent des données personnelles ».
Les fiches détaillent sept étapes permettant de garantir le respect du RGPD d’un modèle d’IA :
• déterminer le régime juridique applicable ;
• définir une finalité ;
• déterminer la qualification juridique des fournisseurs de systèmes d’IA ;
• s’assurer que le traitement des données est licite, en définissant une base légale, et qu’il reste licite en cas de réutilisation des données ;
• réaliser une analyse d’impact ;
• tenir compte de la protection des données dans la conception du système ;
• en tenir également compte dans la collecte et la gestion des données.
Lire la suite : https://incyber.org/article/la-cnil-devoile-sept-fiches-de-recommandations-pour-ia/
Cybersécurité
Une cyberdéfense à la hauteur de l'événement !
lemondeinformatique.fr - Par Benoît Huet
Publié le 18 Avril 2024
Pour Paris 2024, la cybersécurité des JO repose sur des technologies de plusieurs partenaires, lesquelles sont pilotées depuis un centre des opérations de Cybersécurité (SOC) qui fait office de tour de contrôle. « Un SOC unifié est un avantage pour la partie opérationnelle, à titre de comparaison, pour les JO de Tokyo, chaque partenaire disposait de son propre SOC, soit une petite dizaine en tout », souligne Eric Greffier, responsable du partenariat avec les JO de Paris 2024 pour Cisco. A noter que le SOC est intégré au TOC (Technology Operations Center), le centre de commande des opérations technologiques de 610 m² pour les 63 sites olympiques et paralympiques, qu’il s'agisse de sites de compétition ou non. Inauguré par Atos en octobre dernier, ce TOC fonctionnera 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pendant toute la durée des Jeux. Selon Christophe Thivet, directeur de l'intégration technologique pour les Jeux de Paris 2024 chez Atos, le Centre des opérations technologiques central (CTOC) d’Atos de Barcelone et le Laboratoire des tests d’intégration (ITL) de Madrid viennent aussi en complément du TOC. Parmi les principaux intervenants en matière de cyber sur les JO 2024, citons Cisco, lui-même partenaire des JO 2024 et habitué des grands événements : l’équipementier est notamment le partenaire officiel de cybersécurité de la NFL. En résumé, Cisco fournit les technologies, Eviden, la filiale d’Atos, les intègre et les opère. Selon Eric Greffier, l’équipementier a travaillé en étroite collaboration avec Eviden et Franz Regul, RSSI de Paris 2024. Dans les technologies déployées par Cisco, citons déjà son centre d’analyse intelligente de la menace Talos qui va donner de la visibilité sur les données en temps réel et une compréhension de tout ce qui se passe sur le réseau.
Beaucoup de tests en amont
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/les-dossiers/lire-une-cyberdefense-a-la-hauteur-de-l-evenementet-8239-1512.html
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La DGSE lance la 3e édition de 404CTF, « la plus grande compétition de cybersécurité de France »
La troisième édition du challenge « 404 CTF » de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) et du club de cybersécurité de Télécom SudParis, HackademINT, se tiendra du 20 avril au 12 mai 2024 et « sera placé sous le signe des sports ». Cette compétition est soutenue par OVHcloud et le salon VivaTechnology qui hébergeront respectivement la compétition et sa remise des prix,
Ce « capture the flag », rappelle la DGSE, consiste en sécurité informatique à s'introduire dans des ordinateurs grâce à des failles logicielles pour récupérer les drapeaux, preuves du succès de l'intrusion. La compétition, qui serait « la plus grande compétition de cybersécurité de France », est ouverte à tous, expert ou débutant, de manière individuelle et en ligne.
Cybersécurité : la DGSE évoque une « pénurie de 15 000 personnes à combler en France »
La DGSE peine à recruter ses futurs maîtres espions en informatique
Le Monde informatique précise que « plus d’une trentaine d’épreuves seront proposées dans diverses catégories allant de la stéganographie à l’exploitation de binaires ». Parmi elles, une discipline a été rajoutée cette année : l’algorithmique quantique. Elle s’ajoute au défi « renseignement en sources ouvertes (OSINT) » annoncé en 2023 « pour attirer des profils débutants ».
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« La question n’est pas de savoir si on va être attaqués, mais quand » : entreprises et collectivités sensibilisées à la cybersécurité
sudouest.fr - Par Bastien Souperbie
Publié le 18 avril 2024
Pascal Llopis, un ancien de l’armée et de la guerre numérique, spécialiste de la cybersécurité à la Chambre de commerce et d’industrie du Lot-et-Garonne, lance un message d’alerte aux entreprises et aux collectivités
Quelles sont les cibles des pirates informatiques ? La réponse fuse : « Tout le monde. Hier, c’était le groupe Intermarché, avant-hier la Fédération française de football. » Pascal Llopis pourrait aussi citer, plus près de nous l’entreprise Coaxis, ou encore l’Agglo d’Agen, victime de hackers l’été dernier, qui n’a pas encore remis d’aplomb tout son système informatique et qui aurait payé à ce jour, selon nos informations, près de 200 000 euros pour le réparer.
Ancien officier dans l’Armée de terre pendant vingt-cinq ans, ayant servi dans des régiments de transmission (dont le 48e RT) sur 14 théâtres d’opération extérieure, le responsable de la sécurité informatique des 14 Chambres de commerce et d’industrie (CCI) de Nouvelle-Aquitaine en connaît un rayon en matière de guerre numérique. Conseiller en cyberdéfense au sein de la CCI de Lot-et-Garonne, Pascal Llopis a pour mission d’ouvrir les yeux aux entreprises et aux collectivités qui, pour la très grande majorité d’entre elles, n’ont pas conscience de la menace.
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Menace cyber pendant les JO 2024 : les entreprises et dirigeants aussi dans le viseur des hackeurs
latribune.fr - Par Pascale Paoli Lebailly
Publié le 16 Avril 2024
À l’occasion des JO de Paris 2024, la menace cyber va être multipliée par dix estime le Comité d’organisation des Jeux olympiques (Cojo). Toujours plus sophistiquées, les attaques peuvent viser le grand public, les collectivités tout comme les entreprises et leurs dirigeants. Notamment par le biais des événements avec des clients et des salariés. Attention aux portables et aux réseaux sociaux alertent des experts rennais de la cybersécurité. Décryptage
Avec les élections européennes puis les Jeux olympiques de Paris 2024, la fin de saison s'annonce sous tension et placée sous le signe de l'extrême vigilance pour les experts de la cybersécurité. Déjà réelles pour les collectivités, les établissements de santé et les grands événements sportifs, les attaques, de plus en plus sophistiquées, vont être démultipliées à l'approche ou pendant les JO à des fins de collecte de renseignements, de déstabilisation ou d'opérations lucratives.
Depuis Pékin en 2008, « tous les Jeux olympiques ont fait l'objet d'opérations cyber offensives » rappellent dans un livre blanc publié en janvier 2024, les chercheurs en Cyber Threat Intelligence (CTI) de Sekoia.io. L'entreprise de 110 personnes, qui vient de relocaliser son siège à Rennes, un bastion de la cybersécurité, édite une plateforme SOC clé en main (Security Operating Center), de détection des anomalies informatiques et de réponse aux attaques à destination des organisations publiques, des grands groupes du CAC 40, des ETI (entreprises de taille intermédiaire) et des PME (petites et moyennes entreprises).
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La Plateforme ouvre son école en cybersécurité à La Défense
lemondeinformatique.fr - Par Véronique Arène
Publié le 15 Avril 2024
Lancée à l'initiative de l'école d'informatique La Plateforme, Cybersup propose un bachelor en cybersécurité et un MSc de délégué à la protection des données accessibles dès la rentrée 2024 par la voie de l'alternance et reconnus par l'Etat. En tant que partenaire, Frojal, actionnaire principal de Lefebvre Dalloz apportera son expertise du droit numérique.
Pour faire face au déficit de compétences en cybersécurité, les initiatives se multiplient en France autour de l’apprentissage. L’ouverture en septembre 2024 de l’école Cybersup s’inscrit dans la continuité de ces actions. Ce projet résulte de la collaboration passée entre l’école française d’informatique solidaire La Plateforme et Frojal, actionnaire majoritaire du groupe Lefebvre Dalloz spécialisé sur les sujets juridiques et réglementaires. Fruit de leur partenariat, l’installation d’un premier campus situé, entre Paris et La Défense sera opérationnel dès la rentrée de septembre 2024. Les inscriptions débuteront an mai prochain pour suivre, au choix deux spécialités en alternance. Il s’agit d’un bachelor en cybersécurité (Bac+3) proposé sur un ou trois ans ainsi que d’un Master of Sciences (Bac +5) de délégué à la protection des données (DPO) délivré sur 12 mois.
A la clef, deux titres inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) et reconnus par l’Etat. L'admission en 3e année de bachelor conduisant à un titre RNCP de niveau 6 équivalent à Bac+3/4 nécessite un bac général ou technologique ainsi qu'un Bac+2 ou un Bac+3. De son côté, le MSc DPO (RNCP de niveau 7 équivalent à Bac+5) requiert un bac général ou technologique ainsi qu'un Bac+4 ou Bac+5.
Un objectif de 3 000 étudiants formés à l'IT
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Vague de Cyberattaques : les réseaux mondiaux pris pour cible
Hespress Fr - Par Hespress Français - Actualité du Maroc
Publié le 17 avril 2024
Une vague insidieuse de cyberattaques par force brute secoue les réseaux à l’échelle mondiale. Des cybercriminels ont lancé une campagne agressive visant à deviner les mots de passe des utilisateurs en multipliant attaques et assauts, ont révélé les chercheurs de Cisco Talos.
L’alerte a été sonnée concernant une « augmentation mondiale des attaques par force brute ». Les assaillants, profitant de noms d’utilisateur génériques et valides pour des organisations spécifiques, tentent d’accéder à une série de systèmes au hasard en essayant différentes combinaisons de mots de passe jusqu’à ce qu’ils réussissent.
Cette tactique, connue sous le nom d’attaque par force brute, est souvent automatisée à l’aide de logiciels malveillants conçus sur mesure. Selon les données de Cisco, les premières tentatives de connexion ont été détectées à partir du 18 mars 2024.
Les services de réseau privé virtuel (VPN), les interfaces d’authentification des applications web et les services Secure Shell (SSH) sont particulièrement ciblés par les cybercriminels. Ces derniers ne visent pas spécifiquement une industrie en particulier, mais attaquent plutôt une variété de services populaires.
Lire la suite : https://fr.hespress.com/362670-vague-de-cyberattaques-les-reseaux-mondiaux-pris-pour-cible.html
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En Europe et aux États-Unis, des infrastructures critiques ciblées par des cybercriminels russes
usine-digitale.fr - Par Joann Bourgin
Publié le 18 avril 2024
Mandiant, société de cybersécurité détenue par Google, a publié un rapport sur le groupe de hackers russes Sandworm, affilié au renseignement militaire de Moscou. Elle identifie le gang comme une “menace mondiale”, qui a déjà ciblé, depuis le début d’année, différentes infrastructures critiques de gestion de l’eau, en Europe et aux États-Unis. En France, un barrage hydroélectrique français semble avoir été visé, mais les hackers ont finalement attaqué un moulin.
“APT44 représente une menace persistante et de grande gravité pour les gouvernements et les opérateurs d’infrastructures critiques dans le monde entier, là où les intérêts russes s’entrecroisent” : dans un rapport publié le 17 avril, Mandiant, société de cybersécurité appartenant à Google, détaille le fonctionnement du groupe de hackers APT44, autrement connu sous le nom de “Sandworm”. Depuis la découverte du groupe de cybercriminels par Mandiant il y a dix ans, sa dangerosité a été revue à la hausse, notamment en raison de sa capacité à mener des activités d’espionnage, d’attaques et d’opérations d’influence avec l’appui du gouvernement russe.
Les hackers russes parviennent à faire déborder un château d’eau
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Redressement de BlackBerry: la cybersécurité génère des bénéfices inattendus
allnews.ch - Par FlowBank
Publié le 15 avril 2024
BlackBerry est passée d'un modèle d'entreprise centré sur le matériel à un modèle d'entreprise axé sur les logiciels et les services.
BlackBerry a enregistré des bénéfices surprenants lors de la publication de ses derniers résultats, en grande partie grâce à la forte demande pour ses services de cybersécurité. L'entreprise, autrefois principalement connue pour ses appareils mobiles, est passée avec succès à un modèle centré sur les softwares. En se concentrant ainsi uniquement sur les solutions et services de cybersécurité pour les entreprises ainsi que les gouvernements du monde entier. Cette réorientation stratégique a non seulement stabilisé les finances de l'entreprise, mais l'a également positionnée comme un acteur clé dans le domaine de la cybersécurité.
Points clés :
IOT et Cybersécurité : les moteurs de sa croissance
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Bordeaux : un jeune pirate informatique interpellé pour une escroquerie au « smishing », une arnaque par SMS
sud-ouest.fr - Par Florence Moreau
Publié le 16 avril 2024
L’adolescent est soupçonné d’avoir envoyé des centaines de SMS de phishing pour hameçonner des victimes invitées à cliquer sur le lien figurant sur le texto. Il aurait ainsi pu récupérer et utiliser des données bancaires. Il sera jugé en juin.
La valeur n’attend point le nombre des années. Un adolescent de 15 ans, demeurant dans l’agglomération bordelaise, a été interpellé et placé en garde à vue la semaine passée par les policiers de l’antenne bordelaise de l’Office de lutte contre la cybercriminalité.
C’est à la suite d’un signalement que les cyberenquêteurs bordelais issus de la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) se sont intéressés à cet adolescent, à la fois déconnecté, dans son monde et très connecté à Internet. Il était déjà connu de leurs services pour avoir possiblement piraté l’accès à des ressources numériques.
Cette fois, il est soupçonné d’avoir monté une arnaque aux SMS dite « Smishing » – contraction de SMS et phishing, qui signifie « hameçonnage » en anglais – pour récupérer des coordonnées bancaires et les utiliser à des fins personnelles. Pas de groupe mafieux organisé en vue : l’adolescent fait partie de ceux que les spécialistes en cybercriminalité appellent les « Script kiddies », ces jeunes pirates informatiques qui utilisent des programmes malveillants « prêts à l’emploi ».
Atos - Eviden
Eviden multiplie par quatre la capacité du supercalculateur Santos Dumont pour répondre aux besoins croissants de la communauté universitaire
évident.com/fr - Communiqué
Publié le 11 avril 2024
Le supercalculateur Santos Dumont permettra de soutenir des initiatives de pointe en matière de recherche, en particulier dans le secteur pétrolier et gazier
Sao Paulo, Brésil et Paris, France – 11 avril 2024 – Eviden, la ligne d’activités d’Atos leader de l’informatique avancée, annonce aujourd’hui avoir signé un nouveau contrat de 19,4 millions de dollars avec le Laboratoire National de Calcul Scientifique (National Laboratory of Scientific Computing ou LNCC) afin d’étendre la capacité de calcul de son supercalculateur « Santos Dumont ». Basée sur l’architecture BullSequana XH3000 d’Eviden, cette extension permettra à Eviden de multiplier la capacité par 4, confirmant ainsi la position du supercalculateur comme le plus puissant d’Amérique latine dédié à la recherche universitaire.
Le LNCC cherchait à moderniser Santos Dumont, non seulement pour répondre à la demande croissante de la communauté universitaire en matière de calcul, mais aussi pour l’accompagner dans ses initiatives de recherche de pointe, en particulier dans le secteur pétrolier et gazier. Installé à Petrópolis, Rio de Janeiro, et avec une capacité étendue de 17 pétaflops additionnels, le supercalculateur fonctionnera désormais avec une capacité de traitement totale d’environ 18,85 quadrillions d’opérations par seconde, soit une augmentation d’environ 575 % par rapport à sa capacité initiale de 1,1 pétaflops en 2015.
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Le CEA et Eviden lancent la phase 2 du programme de supercalculateur EXA1
éviden.com - Communiqué
Publié le 17 avril 2024
Paris, France – 17 avril, 2024 – Le CEA et Eviden, l’entreprise d’Atos leader dans le domaine du calcul avancé, annoncent aujourd’hui la livraison du supercalculateur EXA1 HE (High Efficiency), basé sur la technologie BullSequana XH3000 d’Eviden. Conçu pour répondre aux besoins du programme Simulation de la Direction des applications militaires du CEA, EXA1 HE constitue la deuxième partition et la plus innovante, du programme EXA1. Il complète le supercalculateur EXA1 HF (High-Frequency), livré par Eviden en 2021.
Avec une performance de pointe de 104 pétaflops, le système peut atteindre une performance Linpack de l’ordre de 60 pétaflops, ce qui le place au même niveau que le 15e supercalculateur le plus puissant du dernier classement TOP500, publié en novembre 2023. Basé sur l’architecture BullSequana XH3000 d’Eviden, avec un système breveté de refroidissement à eau chaude, EXA1 HE est équipé de 477 nœuds de calcul basés sur des processeurs Grace Hopper Superchips de NVIDIA.
L’interconnexion du système est basée sur la dernière version du système BullSequana eXascale Interconnect (BXI) d’Eviden, la seule technologie d’interconnexion européenne. Le réseau repose sur une topologie DragonFly et est composé de 156 commutateurs. Ce premier ordinateur accéléré par BXI ouvre la voie aux futures technologies BXI pour les systèmes exaflopiques et d’intelligence artificielle. Il répondra aux besoins futurs des centres de recherche et des centres industriels du monde entier.
Lire la suite : https://eviden.com/fr-fr/actualites/communiques-de-presse/le-cea-et-eviden-lancent-la-phase-2-du-programme-de-supercalculateur-exa1/
Metavers
Les défis émergents pour le domaine de la santé dans le Métavers
Une tribune de Dr. Rajae Ghanimi, spécialiste en médecine du travail et doctorante en IA appliquée à la Santé
Le Métavers représente un monde virtuel augmenté, fusionnant les dimensions virtuelle et physique. En termes simples, il s’agit d’une version en 3D de l’internet, offrant un espace où les utilisateurs peuvent interagir dans des expériences simulées du monde réel ou explorer des réalités imaginaires. En envisageant le Métavers comme un reflet potentiel de notre vie future, se pose la question de savoir s’il pourrait apporter des solutions aux défis de notre système de santé, tels que la pénurie de professionnels de santé et les déserts médicaux. Selon un rapport d’Accenture, plus de huit dirigeants sur dix dans le secteur de la santé anticipent un impact positif du Metavers sur l’industrie de la santé. Le rapport va même jusqu’à qualifier le Métavers de “prochain horizon” des soins de santé, estimant que d’ici 2030, le marché du Métavers dans la santé pourrait atteindre une valeur de 5,37 milliards de dollars.
Dans le domaine médical, l’utilisation de technologies émergentes comme la réalité virtuelle, la réalité augmentée et l’intelligence artificielle est de plus en plus répandue. L’objectif principal de ces technologies est d’améliorer l’accès à des soins de qualité. Par exemple, elles ont grandement facilité la réalisation d’interventions chirurgicales peu invasives. Ces technologies émergentes sont également intégrées dans les universités et autres établissements d’enseignement pour fournir aux étudiants des représentations en 3D du corps humain, les aidant ainsi à se préparer aux interventions chirurgicales.
Une formation plus accessible
Lire la suite : https://cio-mag.com/les-defis-emergents-pour-le-domaine-de-la-sante-dans-le-metavers/
Mobilité
Avec la ZFE, l'interdiction de circuler à Bordeaux concerne finalement 26 975 voitures en Gironde
actu.fr - Par Nicolas Gosselin
Publié le 7 avril 2024
Obligatoire dès 2025, la Zone à faibles émissions (ZFE) interdira l'accès à l'intra-rocade aux véhicules non classés à Bordeaux. À la base elle devait être plus restrictive encore.
À partir du 1 janvier 2025, conséquence de la création d’une Zone à faibles émissions (ZFE) rendue obligatoire par la loi, près de 30 000 voitures immatriculées en Gironde (26 975 exactement, selon les données de 2023) n’auront plus le droit d’accéder au secteur intra-rocade de Bordeaux.
C’est beaucoup et peu à la fois. En effet, en 2022, Alain Anziani – alors président de Bordeaux Métropole – et sa vice-présidente Claudine Bichet envisageaient d’étendre la restriction à dix fois plus de véhicules. On parlait de plus de 300 000 véhicules concernés.
Une ambition environnementale revue à la baisse
L’élue écologiste, qui s’occupe du dossier au sein de la Métropole, évoquait – chiffres à l’appui – l’intérêt sanitaire considérable d’une interdiction étendue jusqu’aux vignettes Crit’Air 3 (valable pour les véhicules essence immatriculés avant 2006 et les diesel avant 2011) et voulait suivre l’exemple d’autres agglomérations dirigées par la gauche.
Deux ans plus tard, force est de constater que les ambitions environnementales ont été sévèrement revues à la baisse puisque même les vignettes Crit’Air 4 et 5 seront toujours les bienvenues dans la ZFE bordelaise.
« La meilleure solution a été trouvée, la plus raisonnable. Le bon sens a fini par l’emporter », savoure Christophe Duprat, l’ancien vice-président métropolitain en charge des transports et actuel élu d’opposition, qui défendait avec son groupe Métropole Commune(s) une version moins restrictive pour les automobilistes.
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« Pass Rail ». Les jeunes du Grand Est pourront aussi voyager en Allemagne pour 29 € de plus
rennes.mavill.com - Avec Newsgene - Ouest-France
Publié le 09 avril 2024
À peine le « pass rail » a-t-il été adopté au niveau national que la région Grand Est a annoncé de son côté l’instauration d’un abonnement transfrontalier. Celui-ci permettra aux moins de 26 ans de voyager cet été en illimité dans trois régions allemandes pour 29 € par mois.
Adopté ce mercredi 3 avril 2024, le « pass rail » permettra aux moins de 27 ans de voyager en illimité sur tous les TER et Intercités de France pour 49 € par mois en juillet et août, à l’exception de l’Île-de-France. Comme le rapporte Actu Strasbourg , la région Grand Est a annoncé en parallèle le lancement d’un dispositif permettant de voyager en Allemagne.
Ce « pass transfrontalier » permettra aux moins de 26 ans, pour 29 € par mois, de se déplacer dans les trois Länder situés à proximité de la frontière française, la Sarre, la Rhénanie-Palatinat et le Bade-Wurtemberg, en plus de la région Grand Est, détaille France 3 Grand Est . Ce nouveau dispositif sera ouvert unilatéralement aux jeunes Allemands et Français pour leur permettre de circuler sur les quatre territoires cet été.
Une offre complémentaire au Pass rail
Comme l’a souligné auprès de nos confrères Thibaud Philipps, vice-président de la Région en charge des mobilités, cette offre est complémentaire du « pass rail » : « Un jeune de moins de 27 ans de notre région qui voudra circuler "localement", et jusqu’en Allemagne, payera 29 € par mois. Et s’il veut voyager ailleurs en France, il prendra le pass rail à 49 €. »
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C'est officiel : le nouveau tramway de Nantes sera mis en service ce lundi
actu.fr - Par Julien Sureau
Publié le 12 avril 2024
Le tramway nouvelle génération sera mis en service à partir de ce lundi 15 avril 2024, a annoncé la présidente de Nantes Métropole, Johanna Rolland.
Il ne manquait plus que « le dernier coup de tampon » de la préfecture. La maire PS de Nantes et présidente de Nantes Métropole, Johanna Rolland, a annoncé en conseil métropolitain la mise en service du nouveau tramway, « à l’occasion d’une phase de tests avec voyageurs », à compter de ce lundi 15 avril 2024.
14 nouvelles rames d’ici la fin de l’année 2024
Fin 2024, 14 nouvelles rames seront livrées et opérationnelles sur la ligne 1 du réseau, avait indiqué la Semitan il y a quelques semaines, l’entreprise en charge des transports urbains de l’agglomération.
Plus longs, plus lumineux et plus verts, ces tramways fabriqués dans les ateliers d’Alstom à La Rochelle (Charente-Maritime) transporteront jusqu’à 300 voyageurs, soit 50 supplémentaires par rapport aux rames actuelles.
Lire la suite : https://actu.fr/pays-de-la-loire/nantes_44109/c-est-officiel-le-nouveau-tramway-de-nantes-sera-mis-en-service-ce-lundi_60941421.html
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Île-de-France : le passe Navigo sur l'iPhone finalement disponible d'ici fin mai
francebleu.fr - Par Laurent Borde
Publié le 9 avril 2024
Les propriétaires d'iPhone vont enfin pouvoir valider leur passe Navigo aux portiques des stations de transport, via leur téléphone. Cette possibilité sera donnée aux Franciliens d'ici fin mai, a indiqué ce mardi Ile-de-France Mobilités.
La carte Navigo des propriétaires d'iPhone va pouvoir rester dans leur poche. La validation directe du titre de transport via leur appareil sera effective d'ici fin mai, après des années de discussion avec Apple. Un temps annoncé pour le premier trimestre 2024, le dispositif a finalement "demandé un développement technologique supplémentaire", a fait savoir Île De France Mobilités (IDFM).
Le procédé est en cours de finalisation et IDFM confirme à France Bleu Paris qu'"il sera opérationnel bien avant les Jeux Olympiques". Jusqu'à présent, les possesseurs d'autres téléphones que des iPhones pouvaient déjà valider aux portiques sans sortir leur carte de transport depuis octobre 2022.
Mais pour les iPhones, Apple restreignait le recours à la technologie NFC qui permet au téléphone de communiquer avec les bornes de validation à leur contact. Un accord avec Apple était nécessaire pour son utilisation, qui a été signé par IDFM en 2022 après plus de trois ans de négociations.
Disponible depuis 2015 à Londres
Lire la suite : https://www.francebleu.fr/infos/transports/ile-de-france-le-passe-navigo-sur-l-iphone-finalement-disponible-d-ici-fin-mai-7133144
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Voiture électrique : on pourra enfin payer par carte bancaire sur (presque) toutes les bornes
01net.com - Par Michaël Bazoge
Publié le 9 avril 2024
C’est à partir du 13 avril que les nouvelles stations de recharge pour les voitures électriques devront s’équiper d’un moyen de paiement par carte ou sans contact, sans avoir besoin d’un abonnement. Un changement de taille qui va simplifier la vie des conducteurs.
Plus besoin de jongler entre des dizaines de cartes d’accès et d’abonnements différents pour pouvoir faire le plein aux stations de recharge électrique. En vertu du texte européen sur les infrastructures pour carburants alternatifs (AFIR), qui va entrer en vigueur ce 13 avril, les utilisateurs de véhicules électriques (ou fonctionnant à l’hydrogène) doivent pouvoir payer facilement aux points de recharge ou de ravitaillement « au moyen de cartes de paiement ou de dispositifs sans contact et sans avoir besoin d’un abonnement, en toute transparence au niveau des prix », rapporte le texte.
La fin des abonnements envahissants
La disposition concerne les bornes de recharge qui fournissent une puissance de 50 kW au minimum. Pour les bornes sous ce seuil des 50 kW, un système à base de code QR suffira. Cette bonne nouvelle ne représente pas pour autant le grand soir pour les conducteurs : si toutes les nouvelles bornes installées à partir du 13 avril devront intégrer un système de paiement par carte, celles déjà installées auront jusqu’au 1er janvier 2027 pour s’adapter.
Lire la suite : https://www.01net.com/actualites/voiture-electrique-payer-carte-bancaire-presque-toutes-bornes.html
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Marseille Métropole
La Métropole et le Département veulent produire plus d’énergie renouvelable
madeinmarseille.net - La rédaction
Publié le 12 avril 2024
La Métropole et le Département actent la création d’une société publique locale (SPL) Energies de Provence pour accélérer la production d’énergie renouvelable.
La société publique locale (SPL) Energies de Provence, qui doit agir comme un opérateur local de production d’énergie renouvelable, a été votée le 5 avril, en commission permanente du Département des Bouches-du-Département.
Sa création avait été annoncée le 30 mai 2023 lors du bilan de mi-mandat de la présidente (DVD) de la Métropole Aix-Marseille-Provence (AMP), Martine Vassal. Et pour cause, cette structure sera également portée par l’intercommunalité.
La société publique se concentrera dans un premier temps sur les installations photovoltaïques « qui constituent le besoin le plus immédiat exprimé par les collectivités, assure la Métropole AMP. Un nombre important de bâtiments et d’équipements publics peuvent en effet permettre la réalisation d’installations photovoltaïques », ajoute-t-elle.
À ce sujet, une délibération portée par Amapola Ventron, conseillère départementale déléguée à la Transition écologique – votée le 9 février dernier – propose la mise à disposition des toitures de plusieurs collèges pour y installer des panneaux solaires.
Les communes pourront intégrer la structure
Le Département et la Métropole détiendront chacun 50% des parts du capital de la société publique au démarrage, qui représente une mise de 3,5 millions d’euros.
À terme, la SPL Energies de Provence pourra également concerner les communes. Chaque maire de l’intercommunalité pourra choisir d’intégrer la SPL et d’entrer au capital.
D’ici 2050, l’objectif est de couvrir 100% des consommations énergétiques des Bouches-du-Rhône par des énergies renouvelables.
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/158131-la-metropole-et-le-departement-veulent-produire-plus-denergie-renouvelable/
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Vers un billet unique pour les transports dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur
madeinmarseille.net - Par Narrasse Kerboua et Margot Geay
Publié le 10 avril 2024
La Région Sud veut harmoniser et fluidifier le système de billettique des transports ferroviaires et routiers, avec d’ici à un an, la mise en place d’un titre de transport unique.
Voyager avec un seul billet en main. C’est l’objectif que vise la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur avec la mise en cohérence de tous les services de transports dont elle est l’organisatrice, ferroviaires comme routiers.
« Cette harmonisation va concerner l’information voyageur avec un outil dynamique et intermodal et la billettique avec un système de distribution unique. Il aura la capacité à terme de proposer aux habitants de notre région des innovations très attendues, comme le paiement par carte bancaire des trains des trajets régionaux et surtout la mise en place d’un titre unique pour les transports dont nous avons la charge », explique Jean-Pierre Serrus (Notre Région D’abord) vice-président aux Transports de la Région Sud, en présentant le rapport lors de la plénière du vendredi 5 avril 2024.
À ce jour, la réservation des billets de transports sur les lignes régionales s’effectue sur les bornes et applications de la SNCF. Mais avec l’ouverture à la concurrence actée en 2022, ce nouveau système d’information et de billettique régional (SIBR) doit permettre de réserver son billet quelque soit l’opérateur.
Pour rappel, les premiers trains de SNCF Sud Azur opéreront sur l’Etoile de Nice à partir de décembre 2024 et Transdev sur la ligne Marseille-Toulon-Nice en 2025.
Un délégataire pendant huit ans
Pour mettre en œuvre « ce dispositif novateur en France », souligne Jean-Pierre Serrus, la Région Sud a choisi de s’appuyer sur une délégation de service publique (DSP) pendant huit ans.
C’est le groupement Sud Mobilités technologies, composé des sociétés SNCF Voyageurs, SNCF Connect & Tech Services, Capgemini Technology Services et Matawan, qui a été retenu face à un autre consortium d’acteurs, à l’issue d’une procédure de mise en concurrence démarrée dès 2022. « Ce groupement a remis une offre qui a recueilli la meilleure note financière mais également la meilleure note technique », justifie le vice-président.
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/158106-vers-un-titre-unique-de-transports-en-provence-alpes-cote-dazur/
Jeux Olympiques de Paris 2024
Cyberattaques, arnaques et désinformation, les menaces en ligne qui pèsent sur les Jeux olympiques de Paris
lemonde.fr - Par Florian Reynaud
Publié le 10 avril 2024
En focalisant l’attention du monde entier pendant plusieurs semaines, Paris 2024 sera une cible de choix pour les cybercriminels. Les autorités se préparent à une multitude d’attaques « informationnelles », qu’elles soient menées à des fins financières ou pour ternir l’image de la France.
Par Florian Reynaud
Publié le 10 avril 2024
La phrase, lâchée au micro de TF1 par le chef de l’Etat, agite depuis plusieurs jours les médias, mais aussi les canaux de propagande russes. Lors de l’inauguration du Centre aquatique olympique, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), le 4 avril, Emmanuel Macron a assuré qu’il n’avait « aucun doute » sur le fait que la Russie puisse cibler les Jeux olympiques de Paris, « y compris en termes informationnels ».
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lemonde.fr/sport/article/2024/04/10/cyberattaques-arnaques-et-desinformation-les-menaces-en-ligne-qui-pesent-sur-les-jeux-olympiques_6226923_3242.html?random=703147898
Intelligence artificielle
Yann Le Cun, Méta nous présente JEPA, le futur de l'intelligence artificielle
lepoint.fr - sur Youtube
Publié le 12 avril 2024
Plus fort que ChatGPT, JEPA. Une intelligence artificielle avancée, capable de raisonner et d'apprendre plus, à la manière des humains, voilà le projet que nous a présenté Yann Le Cun, prix Turing, Chef AI Scientist chez Meta et un des plus grands chercheurs en intelligence artificielle. Pour lui, actuellement « L’intelligence artificielle générative est 50 fois moins intelligente qu’un enfant de 4 ans ». Celle qu'il espère et souhaite construire pourrait comprendre les conséquences de ses actions, raisonne, comprendre le monde, se poser des questions par exemple sur la dangerosité d'une action avant d’agir, tout comme réfléchir aux conséquences de ses actes. Un entretien exceptionnel
Voir sur : https://www.youtube.com/watch?v=t9AOqaqZ5Hw
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La nouvelle génération de ces IA aura la capacité de raisonner !
futura-sciences.com - Par Edward Back
Publié le 12 avril 2024
Cette semaine, les entreprises OpenAI et Meta se sont toutes les deux exprimées sur les nouvelles versions de leurs modèles d’intelligence artificielle qui devraient sortir bientôt. Dans les deux cas, ils annoncent une nouvelle capacité de raisonnement, une étape cruciale sur le chemin encore très long pour atteindre l’intelligence artificielle générale.
Malgré des performances parfois impressionnantes, les chatbots et autres intelligences artificielles (IA) sont encore loin d’égaler l’intelligence humaine. Pour cela, il faudra atteindre l'intelligence artificielle générale
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/technologie-nouvelle-generation-ces-ia-aura-capacite-raisonner-112816/
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« Les LLM, c’est nul » : le responsable IA de Meta tacle les IA génératives actuelles, et promet bien mieux
01net.com - Par Stéphanie Bacou
Publié le 11 avril 2024
Meta, l’éternel outsider qui mise, pour l’IA, sur le long terme : lors d’une matinée dédiée à l’IA, le groupe de Mark Zuckerberg a expliqué comment il comptait devenir un leader dans le secteur de l’intelligence artificielle. Et sans surprise, l’IA générative ne fait pas partie de ses priorités… à long terme. La société qui regroupe WhatsApp, Facebook et Instagram mise sur son exploration dans la recherche fondamentale de l’IA, avec, à la clef, de futurs agents personnels qui joueront les intermédiaires entre nous et le monde numérique.
Comme un air de déjà vu, avec le métavers ? Mercredi 10 avril, la presse était invitée à une matinée dédiée à l’intelligence artificielle chez Meta France, la maison mère d’Instagram, de Facebook et de WhatsApp. L’heure n’était pas aux annonces grandiloquentes, mais plutôt à la pédagogie sur sa stratégie en matière d’IA. Et comme il l’a déjà fait pour le métavers, misant envers et contre tous sur cet univers parallèle jusqu’à changer de nom en devenant Meta, le groupe de Mark Zuckerberg joue aussi, en matière d’IA, la carte de l’outsider.
Lire la suite : https://www.01net.com/actualites/les-llm-cest-nul-le-responsable-ia-de-meta-tacle-les-ia-generatives-actuelles-et-promet-bien-mieux.html
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IA générative et cloud : Orange et Google Cloud annoncent une extension de leur partenariat
actuia.com - Par Thierry Daubant
Publié le 10 avril 2024
Cela fait près de 4 ans qu’Orange et Google Cloud ont entamé un partenariat stratégique pour accompagner la transformation digitale du Groupe grâce aux données et à l’IA. Les deux sociétés ont annoncé hier une extension de leur collaboration pour développer l’usage de l’IA, notamment de l’IA générative, dans les différentes activités et les 26 pays où Orange est présent.
Acteur majeur du numérique en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, Orange présentait l’an passé son nouveau plan stratégique. Baptisé “Lead the future”, il a pour ambition de valoriser l’excellence reconnue dans son cœur de métier, les réseaux, grâce à une plus grande utilisation de l’IA et de la data, mais aussi de capitaliser sur les infrastructures dans l’ensemble des pays où le Groupe est présent, sur le segment entreprise et de renforcer la position d’Orange dans la cybersécurité.
Pour atteindre son objectif de tirer parti du potentiel de l’IA dans toutes les géographies où il est présent, Orange avait besoin d’une solution sécurisée pour renforcer ses services cloud en local, tout en répondant aux exigences réglementaires locales en matière de sécurité et de résidence des données. Le Groupe s’est tourné vers Google Cloud, les deux sociétés ont collaboré dès la phase de conception pour déployer Google Distributed Cloud, permettant ainsi à Orange de disposer d’un cloud local ayant une résilience accrue, en particulier dans les environnements contraignants tout en optimisant les performances et en réduisant la latence pour les traitements de données importants.
Google Distributed Cloud (GDC) est un ensemble de solutions combinant matériel et logiciels qui étendent l’infrastructure cloud de Google jusqu’à la périphérie et dans le centre de données des locaux du client, facilitant le déploiement, la gestion et la mise à l’échelle d’applications et d’innovations en matière d’IA. Totalement géré par Google Cloud qui fournit, déploie, exploite et entretient le matériel, il permet à Orange de s’adapter aux exigences réglementaires locales en matière d’environnements cloud, accélérer l’adoption de l’IA au bénéfice de ses clients et favoriser une approche de l’IA ouverte et centrée sur la valeur.
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Intelligence artificielle : entre promesses et prudence, la voie de la collaboration cognitive
journaldunet.com - Chronique d'Eric Craeymeersch
Publié le 12 avril 2024
L'intelligence artificielle (IA) s'immisce dans tous les aspects de notre société. Elle promet une révolution dans la manière dont nous travaillons, interagissons et prenons des décisions.
Cette avancée spectaculaire, si elle représente un front d’innovation majeur, comporte toutefois son lot de défis et d'interrogations, notamment en ce qui concerne le remplacement potentiel de certains emplois humains par les machines. Cette transition, riche en potentialités, doit être abordée avec discernement pour en comprendre les implications profondes et rendre harmonieuse la collaboration homme-machine.
IA : des limites et des défis inhérents au modèle
Bien que les modèles de langage de grande envergure (LLM) suscitent l'admiration pour leur capacité à générer du texte semblable à celui d'un humain, ils ne sont pas exempts de limitations. En effet, la question se pose : ces systèmes manifestent-ils une forme d'intelligence propre ou ne font-ils que répéter des motifs existants ? Bien qu’avancés, ces modèles restent en effet limités par leur nature d’apprentissage et leur dépendance aux données sur lesquelles ils ont été entraînés.
Melanie Mitchell, dans son ouvrage Artificial Intelligence: A Guide for Thinking Humans (1), illustre parfaitement cette problématique. Les LLM opèrent principalement sur une base statistique et, bien qu'excellents dans des situations courantes, leur performance diminue face à des cas rares ou inédits.
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Cartographie : quels sont les acteurs du marché de l’IA en 2024 ?
blogdumoderateur.com - Par José Billon
Publié le 9 avril 2024
Découvrez les grands acteurs du monde de l’IA, de l’analyse de données et de l’apprentissage automatique.
FirstMark, société de capital-risque basée à New York, publie sa cartographie de l’écosystème des données, de l’analytique, de l’apprentissage automatique et de l’IA en 2024. Le travail accompli est d’une ampleur colossale : il regroupe plus de 2 000 logos (entreprises ou solutions), répartis dans 9 catégories et près de 100 sous-catégories. Tour d’horizon.
Le nombre d’entreprises de l’IA et de la data en expansion
Il s’agit de la 10e édition de cette cartographie. Selon la société, « les choses n’ont jamais été aussi excitantes et prometteuses qu’aujourd’hui ». Pour preuve, cette édition recense 2 011 entités, contre seulement 1 416 pour en 2023. En 2012, la première cartographie ne répertoriait que 139 logos. FirstMark explique que cette croissance exponentielle du nombre d’acteurs s’est déroulée en deux étapes majeures :
1. L’explosion du Big Data, il y a une dizaine d’années, qui est toujours en développement.
2. L’émergence de l’intelligence artificielle générative fin 2022, qui a suscité un engouement massif tant de la part des utilisateurs que des entrepreneurs. FirstMark souligne que de nombreuses jeunes startups ont été intégrées à la cartographie, et qu’il est donc probable qu’un certain nombre d’entre elles ne parviennent pas à perdurer sur le long terme.
Lire la suite : https://www.blogdumoderateur.com/cartographie-acteurs-marche-ia-2024/
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OpenAI et Meta annoncent le lancement de leurs intelligences artificielles capables de «raisonner»
liberation.fr - Par Libération
Publié le 10 avril 2024
Intelligence artificielle : de la fascination à l'inquiétude - dossier
Bientôt la liberté de penser ? OpenAI (ChatGPT) et Meta (Facebook, Instagram…) ont tous deux annoncé la sortie à venir de nouveaux modèles d’intelligence artificielle capables de «raisonner», selon le Financial Times. Nommés respectivement GPT-5 et Llama 3, les deux IA concurrentes n’ont pas encore de date de sortie précise, mais arriveraient «bientôt» pour la première. Pour la seconde, on parlerait de «quelques semaines».
«Nous travaillons dur pour trouver comment amener ces modèles non seulement à parler, mais aussi à raisonner et à planifier… à avoir de la mémoire», a annoncé Joelle Pineau, vice-présidente de la recherche en IA chez Meta. La prochaine génération de GPT d’OpenAI permettrait, elle, de résoudre des «problèmes difficiles», a expliqué Brad Lightcap, directeur des opérations d’OpenAI, au Financial Times.
Lors d’un événement à Londres ce mardi, Yann LeCun, chercheur en intelligence artificielle pour Meta, ne s’est pas montré tendre avec les IA actuelles. Selon lui, elles se contenteraient pour le moment de produire «un mot après l’autre sans réflexion», et «commettent toujours des erreurs stupides». Une intelligence artificielle plus aboutie serait quant à elle capable de raisonner, et de comprendre les conséquences de ses actions.
Parmi les exemples cités par le chercheur, un modèle plus poussé serait par exemple capable de planifier et de réserver les différentes étapes d’un voyage, rapporte le média anglais. Mais surtout, de telles avancées représenteraient un pas de plus vers «l’intelligence artificielle générale», le grand projet des adeptes du progrès à tout prix de la tech.
«L’intelligence artificielle générale » dangereuse ?
5G
Vous êtes maintenant plus de 14 millions à avoir adopté la 5G, les opérateurs vendent de moins en moins de forfaits
universfreebox.com - Par Lucas Musset
Publié le 8 avril 2024
Plus de 14 millions de cartes SIM ont été actives sur les réseaux 5G durant le quatrième trimestre, soit 17% du nombre total de cartes SIM en circulation.
La couverture 5G d’Orange, SFR, Bouygues et Free Mobile continue de s’améliorer depuis le lancement de la nouvelle technologie en 2020 et les consommateurs adoptent assez rapidement la dernière génération de téléphonie mobile.
Au 31 décembre 2023, ce sont donc plus de 14 millions d’abonnés connectés à la 5G, annonce l’Arcep, soit 17% du parc. Si le nombre de de cartes SIM en service sur le territoire français continue d’augmenter, c’est à un rythme qui ralentit graduellement depuis un an. Ainsi, “la croissance du nombre d’abonnements n’a jamais été aussi faible” avec 1.2 million de forfaits supplémentaires en un an au quatrième trimestre, contre 2.1 millions pour le même exercice en 2022. Parallèlement, la croissance du nombre de cartes SIM actives sur les réseaux 4G, qui s’est maintenue à un rythme compris entre + 10 % et + 13 % en un an entre 2018 et 2021, ralentit progressivement depuis un an et demi. Elle s’élève à + 4 % ce trimestre.
Le trafic de données mobiles continue de s’accroître, mais à un rythme qui se réduit depuis le début de l’année 2023 (+ 13 % en un an ce trimestre, soit – 19 points en un an).
CNIL
Le Parlement européen se prononce en faveur d’un renforcement de l’application du RGPD
Par : Julia Tar | Euractiv.com
Publié le 11 avril 2024
Les eurodéputés ont adopté mercredi (10 avril) des amendements visant à renforcer l’application du règlement général sur la protection des données (RGPD), mais des parties prenantes ont réclamé d’autres modifications, en particulier en ce qui concerne les droits des plaignants et les questions transfrontalières.
Entré en vigueur en 2018, le RGPD régit la manière dont les données à caractère personnel sont traitées par les organismes sur tout le territoire de l’Union européenne, en insistant sur le droit à la vie privée des individus.
Les amendements au règlement sur les procédures d’application du RGPD adoptés par les eurodéputés mercredi ont pour objectifs de renforcer les droits des plaignants, de clarifier les procédures d’application et de répondre aux préoccupations en matière de procédure. Selon l’eurodéputé allemand et rapporteur du dossier Sergey Lagodinsky (Verts/ALE), cela permettra d’apporter davantage de clarté juridique.
Entre autres, les amendements adoptés au RGPD modifient le rôle des autorités de contrôle et suppriment certaines de leurs obligations en matière de partage des conclusions préliminaires.
Cependant, ces amendements ne sont pas du goût de tous.
Lire la suite : https://www.euractiv.fr/section/application-de-la-loi/news/le-parlement-europeen-se-prononce-en-faveur-dun-renforcement-de-lapplication-du-rgpd/
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Développement des systèmes d’IA : les recommandations de la CNIL pour respecter le RGPD
cnil.fr - Communiqué
Publié le 08 avril 2024
La CNIL a publié ses premières recommandations sur l’application du RGPD au développement des systèmes d’intelligence artificielle pour aider les professionnels à concilier innovation et respect des droits des personnes. Voici ce qu’il faut en retenir.
Les concepteurs et développeurs de systèmes d’intelligence artificielle font souvent remonter à la CNIL que l’application du RGPD leur pose des difficultés, notamment pour l’entraînement des modèles.
L’idée reçue selon laquelle le RGPD empêcherait l’innovation en intelligence artificielle en Europe est fausse. En revanche, il faut avoir conscience que les bases d’entraînement comprennent parfois des « données personnelles », des informatiques sur des personnes réelles. L’utilisation de ces données fait courir des risques aux personnes, qu’il faut prendre en compte, afin de développer des systèmes d’IA dans des conditions qui respectent les droits et libertés des personnes, et notamment leur droit à la vie privée.
Périmètre des recommandations
Quels sont les systèmes d’IA concernés ?
Ces recommandations concernent le développement de systèmes d’IA impliquant un traitement de données personnelles (pour plus d’informations sur le cadre juridique, voir la fiche n°1). En effet, l’entraînement des systèmes d’IA nécessitent régulièrement l’utilisation d’importants volumes d’informations sur des personnes physiques, qu’on nomme « données personnelles ».
Sont concernés :
Quelles sont les étapes concernées ?
Ces recommandations concernent la phase de développement de systèmes d’IA, et non celle de déploiement.
La phase de développement comprend toutes les étapes préalables au déploiement du système d’IA à savoir : la conception du système, la constitution de la base de données et l’apprentissage
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/developpement-des-systemes-dia-les-recommandations-de-la-cnil-pour-respecter-le-rgpd
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IA : la CNIL publie ses premières recommandations sur le développement des systèmes d’intelligence artificielle
cnil.fr - Communiqué
Publié le 08 avril 2024
À l’issue d’une consultation publique, la CNIL publie ses premières recommandations sur le développement des systèmes d’intelligence artificielle. Elles doivent aider les professionnels à concilier innovation et respect des droits des personnes pour le développement innovant et responsable de leurs systèmes d’IA.
Concilier le développement de systèmes d’IA avec les enjeux de protection de la vie privée
De nombreux acteurs ont fait part à la CNIL de questionnements concernant l’application du règlement général sur la protection des données (RGPD) à l’intelligence artificielle (IA), en particulier depuis l’émergence de systèmes d’IA génératives (« Generative AI systems »). En mai 2023, la CNIL a publié son « plan IA » et a lancé un important travail de clarification du cadre juridique afin de sécuriser les acteurs.
L’analyse de ces systèmes montre que leur développement est conciliable avec les enjeux de protection de la vie privée. Plus encore, la prise en compte de cet impératif permettra de faire émerger des dispositifs, outils et applications éthiques et fidèles aux valeurs européennes.
C’est à cette condition que les citoyens feront confiance à ces technologies. Pour cela, il est important que les acteurs disposent d’éléments clairs et pratiques pour éclairer leurs décisions stratégiques de développement ou d’utilisation de l’IA qu’ils devront prendre dans les prochains mois.
Les premières recommandations de la CNIL
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/ia-la-cnil-publie-ses-premieres-recommandations-sur-le-developpement-des-systemes-dintelligence
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Les webinaires de la CNIL en 2024
cnil.fr - Communiqué
Publié le 11 avril 2024
En 2024, la CNIL propose de nouveaux webinaires à destination des professionnels. Ces webinaires sont gratuits et ouverts à tous.
D’une durée de 45 min environ et présenté par les agents de la CNIL, chaque webinaire vous propose de décrypter un sujet ou une actualité en lien avec la protection des données.
Les participants au webinaire pourront poser leurs questions et échanger avec les agents de la CNIL à l’issue de leur présentation.
Ouverts à tous, ces webinaires s’adressent aux organismes privés et publics, et principalement aux personnes en charge de la conformité RGPD au sein de leur organisme et aux délégués à la protection des données.
Quel est le programme ?
De nouveaux webinaires seront régulièrement publiés sur cette page.
Comment s’inscrire ?
Les inscriptions seront ouvertes selon le calendrier détaillé ci-dessus. Cliquez sur le webinaire de votre choix sur cette page ou directement dans la rubrique Agenda du site pour vous inscrire.
Inscription obligatoire (places limitées).
Pensez également à consulter régulièrement les réseaux sociaux pour suivre de l'ouverture des inscriptions.
Revoir les webinaires
Les webinaires en 2024
Les webinaires seront enregistrés et accessibles depuis cette page.
Les rediffusions des webinaires du premier semestre 2023
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/les-webinaires-de-la-cnil
Cybersécurité
Le paysage de la cybersécurité en France pour 2024
lebigdata.fr - Par Harimaholy
Publié le 13 avril 2024
Bitdefender, une référence mondiale dans le domaine de la cybersécurité, a publié son rapport annuel 2024. L'étude, réalisée entre décembre 2023 et janvier 2024, a impliqué plus de 7300 consommateurs de sept pays, y compris la France. Ce rapport détaille les comportements, les pratiques et les préoccupations actuelles en matière de cybersécurité.
Comportements et préoccupations des consommateurs français
Les résultats de l'enquête française révèlent plusieurs points critiques :
• Préoccupations liées à l'IA. 62 % des Français sont préoccupés par la sécurité et la confidentialité autour de l'utilisation de l'intelligence artificielle, un chiffre légèrement inférieur à la moyenne mondiale de 67 %.
• Perception de la menace. Une grande majorité, soit 72,5 %, pense ne pas être ciblée par les cybercriminels.
• Incidents de sécurité. Près de 20 % (19,6 %) des Français ont subi un incident de sécurité dans leur vie numérique au cours de l'année précédente, moins que la moyenne mondiale de 24 %.
• Menaces principales. Les escroqueries par SMS et les tentatives de fraude, incluant la fraude à la carte et le phishing, sont les principales menaces rencontrées.
• Gestion des mots de passe. 38,3 % des Français notent leurs mots de passe, et 32,1 % utilisent le même mot de passe pour plusieurs comptes.
• Transactions sensibles. 74 % des sondés en France effectuent des transactions sensibles via leurs mobiles, mais 47,3 % ne se protègent pas avec des solutions de sécurité mobile.
Utilisation mobile et cybersécurité
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/rapport-cybersecurite-france-2024
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Maddy Keynote 2024 : l'industrie logicielle à l'heure du RGPD et de la cybersécurité
maddyness.com - Actus avec Yousign
Publié le 12 avril 2024
Entre des contraintes réglementaires de plus en plus fortes et des cyberattaques qui ne cessent de se multiplier, l’industrie software est confrontée à des défis d’ampleur. Mais si ces derniers sont évidemment sensibles, ils sont aussi sources d’opportunités. Startups et fonds d’investissement nous éclairent sur le sujet lors d’une table ronde de l’édition 2024 de la Maddy Keynote.
Loin de se limiter au software, les problématiques liées à la cybersécurité touchent toutes les industries en phase de digitalisation. « Les cyberattaques sont souvent liées à l’évolution des infrastructures », avance Evgenia Plotnikova, General Partner chez Dawn Capital. « Au fur et à mesure que les logiciels pénètrent dans l’économie réelle, les risques cyber augmentent », ajoute-t-elle sur la scène de la Maddy Keynote, le jeudi 28 mars.
Avec les récentes attaques et l’accueil des Jeux Olympiques de 2024, les entreprises françaises sont plus que jamais sur le qui vive. « Le gouvernement et les entreprises se préparent déjà depuis un certain temps. Avec le télétravail massif, beaucoup de transactions se feront en ligne. Il faudra être capable de sécuriser à l’échelle sur un pic de temps donné », commente Alban Sayag, CEO de Yousign.
Cybersécurité : des menaces grandissantes qui exigent des niveaux de sécurité renforcés
Les experts sont d’accord : les menaces augmentent et les cybercriminels sont de plus en plus sophistiqués. L'attaque de SolarWinds en 2020 reste l'un des exemples les plus frappants de cyberespionnage de l'histoire récente, mettant en évidence les risques de sécurité liés à la chaîne d'approvisionnement et la complexité de la cybersécurité à l'ère numérique.
« La cybercriminalité n’a pas de loi. Aujourd’hui, les attaques sont fulgurantes et peuvent faire des dégâts énormes. Il faut que la cyberdéfense soit au moins à la hauteur de ces attaques », insiste Éléna Poincet, fondatrice et CEO de Tehtris. « C’est une course de fonds. Si nous étions capables jusque-là d’assurer sans faille l’intégrité de certaines données, aujourd’hui, le monde du quantique vient rebattre les cartes », souligne Alban Sayag.
Lire la suite : https://www.maddyness.com/2024/04/12/maddy-keynote-2024-lindustrie-logicielle-a-lheure-du-rgpd-et-de-la-cybersecurite/
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La ville de Saint Nazaire victime d’une cyber-attaque
incyber.org - Par la rédaction
Publié le 12 avril 2024
Lancée dans la nuit du 9 au 10 avril 2024, l’offensive a mis hors service tous les serveurs de la municipalité.
Une cyberattaque « de grande ampleur » a frappé la municipalité de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) dans la nuit du 9 au 10 avril 2024, mettant hors service l’ensemble de ses serveurs. L’incident a notamment rendu inutilisables toutes ses lignes téléphoniques et toutes ses boîtes mail. « Les accès aux fichiers de travail et aux logiciels métiers, pour les agents publics, sont impossibles », ajoute la municipalité dans un communiqué.
« Tout ce qui n’est pas urgent sera traité dans quelques semaines, pour le reste, on reprend le papier et le crayon. On revient à l’imprimante pour pouvoir produire des arrêtés municipaux par exemple », a détaillé David Samzun, maire de Saint-Nazaire.
L’attaque a également touché quatre autres communes de l’agglomération, qui utilisent les mêmes serveurs : Montoir-de-Bretagne, Donges, La Chapelle-des-Marais et Pornichet. L’agence d’aménagement du territoire nazairien, la Sonadev, et l’Agence pour le développement durable de la région nazairienne (ADDRN) sont également concernées.
« Les agents de la DSI sont toutes et tous mobilisés pour rétablir au plus vite les outils de travail et le réseau sécurisé, pour permettre aux agents des services municipaux et communautaires de reprendre leur activité dans les meilleures conditions », indique la ville de Saint-Nazaire. Aucune date de retour à la normale n’est pour l’heure évoquée.
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Vol de données d’AT&T : 73 millions de comptes compromis
incyber.org - Par la Rédaction
Publié le 08 avril 2024
Le géant américain des télécoms a reconnu que les informations publiées mi-mars 2024 sur le darkweb appartenaient bien à ses clients.
AT&T, le géant américain des télécoms, a admis, le 30 mars 2024, qu’une base de données mise en ligne mi-mars 2024 sur le darkweb comportait bien des « données spécifiques à AT&T ». « D’après notre analyse préliminaire, l’ensemble des données semble dater de 2019 ou avant, et concerne environ 7,6 millions de titulaires de comptes AT&T actuels et 65,4 millions d’anciens titulaires de comptes », précise la firme de Dallas.
Les données dérobées comprennent notamment les numéros de sécurité sociale et les codes personnels d’accès à quatre chiffres des 73 millions de comptes concernés. AT&T avait d’ailleurs réinitialisé des millions de codes, mi-mars 2024, juste après la publication des données volées sur un forum du darkweb.
La base contient également des adresses e-mail, des adresses postales, des numéros de téléphone et des dates de naissance. Elle ne comporterait en revanche aucune information financière ou d’historique d’appels. Le géant des télécoms précise qu’il ignore si les données « proviennent d’AT&T ou de l’un de ses fournisseurs ».
Le chercheur en cybersécurité Troy Hunt note que ces éléments rappellent beaucoup une violation de données survenue en 2021 mais qu’AT&T n’a jamais reconnue. S’il s’avère que la firme a dissimulé à ses clients une telle fuite pendant trois ans, elle s’expose selon lui à de nombreux recours collectifs en justice.
Lire la suite : https://incyber.org/article/vol-de-donnees-att-73-millions-de-comptes-compromis/
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Cyber Apocalypse : face à l'IA, nos modèles de cybersécurité sont obsolètes
journaldunet.com - Chronique de François-Xavier Thoorenss, Vaultys
Publié le 8 avril 2024
La sécurité de nos données et de nos infrastructures est devenue une préoccupation vitale dans un écosystème numérique en constante évolution. Malgré les efforts constants pour renforcer nos systèmes.
Imaginez-vous dans la peau d'un patient gravement malade hospitalisé en banlieue parisienne. Soudain, les écrans se figent, les dossiers médicaux deviennent inaccessibles et les équipements essentiels cessent de fonctionner… Les traitements sont retardés, des vies mises en danger : le chaos s'installe. Je ne décris pas ici le pitch d’un énième film de science-fiction mais une situation bien réelle rencontrée à l’hôpital de Versailles, victime d’une cyberattaque le 3 décembre 2023.
La sécurité de nos données et de nos infrastructures est devenue une préoccupation vitale dans un écosystème numérique en constante évolution. Malgré les efforts constants pour renforcer nos systèmes, nous sommes d’ores et déjà confrontés à une réalité brutale : nos modèles traditionnels de cybersécurité sont obsolètes et vulnérables.
Les attaques assistées par l'intelligence artificielle contournent facilement les mécanismes d'authentification traditionnels, laissant nos données et nos infrastructures exposées à des risques toujours plus grands. Les stratégies telles que l'arnaque au président ou les attaques de type 'supply chain' ne sont que la partie émergée d’un iceberg que nous découvrons à peine. Il est temps d'agir avant que la prochaine catastrophe ne frappe.
D’un autre côté, les normes de sécurité, censées protéger nos données, sont devenues des fardeaux insupportables pour les utilisateurs. Les exigences toujours plus strictes, des changements de mots de passe incessants aux authentifications multifacteurs, alourdissent la charge des individus. Au lieu de protéger, ces mesures aliènent et frustrent les utilisateurs, sapant ainsi leur confiance dans nos systèmes de sécurité. Sans pour autant arrêter les cyberterroristes.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1529563-cyber-apocalypse-face-a-l-ia-nos-modeles-de-cybersecurite-sont-obsoletes/
Metavers
"Technologies innovantes des univers virtuels immersifs", Marina Ferrari lance l'appel à projets.
finyear.com - Par Anne-Laure Alain
Publié le 11 avril 2024
Les métavers ne sont pas morts, ils préfigurent peut-être juste "les univers virtuels immersifs" ? A l'occasion de sa visite sur le salon "Laval Virtual", en Mayenne donc, Madame la Secrétaire d'Etat en charge du Numérique, Marina Ferrari a officialisé son appel à projets "Technologies innovantes des univers virtuels immersifs". Un programme qui vise à "catalyser le développement des technologies immersives de demain, dans le but de renforcer la souveraineté numérique et de soutenir la croissance des entreprises françaises"...
Comprendre qu'au-delà des metavers qui conservent pour certains un environnement "trop gamers", il subsiste des usages beaucoup plus pratiques, pour d'autres, à l'instar des jumeaux numériques déjà bien implémentés dans l'industrie.
Cet appel à projets a lieu dans le cadre du plan France 2030 et fait suite au rapport de la mission sur les métavers remis en 2022. Trois dates sont prévues pour les dépôts de dossier.
Pour Marina Ferrari, Secrétaire d’Etat chargé du Numérique « L’émergence des univers virtuels immersifs est une opportunité pour l’économie française et nos entreprises technologiques peuvent se positionner afin de proposer des solutions de pointe, compétitives et souveraines. A l'heure où le secteur de l'immersif fait l'objet d'un intérêt croissant et d'investissements massifs, aussi bien de la part de grandes entreprises du numérique que de certains États, il est primordial de renforcer notre maîtrise de ces technologies en soutenant nos pépites innovantes afin d'assurer à notre pays un rôle clé dans la construction de ces univers. »
Le rapport de la mission sur le développement des métavers[1] remis en 2022 a montré que la France dispose de nombreux atouts pour conserver sa souveraineté industrielle et culturelle dans cette révolution technologique mais doit répondre d’abord à plusieurs défis :
Permettre aux entreprises françaises de développer des briques technologiques compétitives et souveraines (moteurs graphiques ou 3D, cloud computing, etc.) ;
Constituer une véritable filière industrielle en accompagnant les entreprises les plus prometteuses ;
Lire la suite : https://www.finyear.com/Technologies-innovantes-des-univers-virtuels-immersifs--Marina-Ferrari-lance-l-appel-a-projets_a50746.html
Atos
Atos : l’Etat sécurise les activités sensibles du groupe d’informatique
lemonde.fr - Par Olivier Pinaud
Publié le 09 avril 2024
En échange d’un financement de 50 millions d’euros, l’Etat bénéficiera d’une action de préférence dans la filiale Bull, ce qui lui donnera un droit d’achat sous certaines conditions.
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La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite.
L’Etat s’engage formellement dans le plan de sauvetage d’Atos en sécurisant l’avenir des activités sensibles et souveraines du groupe d’informatique. En échange d’un prêt de 50 millions d’euros apporté par l’intermédiaire du Fonds de développement économique et social (FDES), l’Etat recevra une action de préférence au niveau de Bull SA, la filiale qui contrôle notamment l’activité de fabrication des supercalculateurs utilisés dans la simulation nucléaire, selon des modalités dévoilées par Atos, mardi 9 avril.
Cet « accord de principe prévoit un droit pour l’Etat d’acquérir des activités souveraines sensibles en cas de franchissement par un tiers du seuil de 10 % ou d’un multiple de 10 % du capital ou des droits de vote d’Atos », sauf à ce que le groupe d’informatique et l’Etat trouvent un « accord raisonnable sur les modalités de préservation des intérêts nationaux en relation avec ces activités souveraines sensibles ». Ce droit pourrait, par exemple, être exercé si Atos venait à être acheté par un acteur étranger. Il respecterait toutefois le régime français de contrôle des investissements étrangers. L’accord prévoit aussi des « droits de gouvernance pour l’Etat au niveau de Bull SA, sans droit de vote à ce stade », ajoute Atos.
Lire la suite : https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/04/09/l-etat-securise-les-activites-sensibles-d-atos_6226786_3234.html
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Atos : des sénateurs appellent à une entrée de Bpifrance au capital du géant informatique
capital.fr - Par Christine Lejoux
Publié le 11 avril 2024
Dans un communiqué publié ce jeudi 11 avril, les rapporteurs de la mission d'information sénatoriale sur l'avenir d'Atos appellent à une entrée de l'Etat dans l'actionnariat du groupe informatique lourdement endetté.
Bpifrance «aura pour mission première de soutenir des projets d'avenir et non pas de venir en aide aux entreprises en difficulté». C'est ce qu'avait déclaré le futur président de la Banque publique d'investissement, Jean-Pierre Jouyet, en octobre 2012, à l'aube de sa création. Une dizaine d'années plus tard, c'est pourtant bien Bpifrance que des sénateurs appellent au chevet d'Atos, le géant informatique français malade. Dans un communiqué publié ce jeudi 11 avril, au lendemain de l'audition de Jean-Pierre Mustier, président du conseil d’administration d'Atos, et de Paul Saleh, directeur général, les commissions des affaires économique, des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat «appellent à une entrée durable de l'État au capital» du groupe. Et ce, par l'intermédiaire d'une prise de participation Bpifrance dans l'actionnariat d'Atos.
L'objectif étant de «rétablir la confiance des marchés, grâce à un actionnariat solide et durable, et de faciliter l’examen de manifestations d’intérêt pour certaines branches d’activité» de la société, espèrent les rapporteurs de la mission d'information sénatoriale lancée en début d'année. Une gageure face à la chute de 80% de la valeur boursière d'Atos en un an, l'échec de la vente de ses activités d'infogérance au milliardaire tchèque Daniel Kretisnky et de big data et de sécurité (BDS) à Airbus et une dette qui flirte avec les 5 milliards d'euros.
« L'Etat pourrait acheter les activités sensibles d'Atos »
Lire la suite : https://www.capital.fr/entreprises-marches/atos-des-senateurs-appellent-a-une-entree-de-bpifrance-au-capital-du-geant-informatique-1495125
Thales
La quête de vie sur mars se poursuit avec exomars 2028
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 09 avril 2024
Thales Alenia Space signe un contrat avec l’Agence spatiale européenne pour relancer le développement d’un rover européen pour l’exploration de la Planète rouge
Turin, le 9 avril 2024 - Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %), a signé un contrat-cadre divisé en différentes tranches avec l’Agence spatiale européenne (ESA), d’un montant total de 522 millions d’euros, prévoyant de poursuivre les activités essentielles à la réalisation de la mission ExoMars 2028. Ce contrat couvre le développement du module de rentrée, descente et atterrissage EDLM (Entry, Descent and Landing Module) et les activités de maintenance et mise à niveau des véhicules déjà fabriqués pour la mission de 2022.
La prochaine mission ExoMars, qui sera lancée du Centre spatial Kennedy (KSC), en Floride, entre les mois d’octobre et décembre 2028, aura pour but d’explorer la surface de Mars pour tenter de répondre à la question que se pose depuis longtemps l’humanité : y a-t-il eu un jour de la vie sur cette planète ? Dirigé par l’ESA avec la participation active de la NASA, le programme prévoit la fourniture d’un rover européen capable de se déplacer de façon autonome sur le sol martien. Ce véhicule, dont l’arrivée sur Mars est prévue en 2030 à l’issue d’un long voyage, sera équipé d’une foreuse développée par Leonardo pour effectuer des carottages jusqu’à deux mètres de profondeur. Les propriétés chimiques, physiques et biologiques des échantillons ainsi collectés seront analysées directement sur site par le mini-laboratoire embarqué ALD (Analytical Laboratory Drawer) développé par Thales Alenia Space. L’un des objectifs de la mission sera de détecter la présence d’éventuelles bactéries souterraines, vivantes ou fossilisées, qui seraient la preuve d’une vie existante ou antérieure sur la Planète Rouge.
D’ici là, l’orbiteur TGO (Trace Gas Orbiter), fabriqué sous la maîtrise d’œuvre de Thales Alenia Space, sera toujours en orbite autour de Mars pour continuer ses observations. Chargé de détecter les gaz à l’état de traces, en particulier le méthane, dans l’atmosphère martienne, TGO joue un rôle clé pour comprendre les indicateurs potentiels de vie sur cette planète. Il continue de plus à transmettre la plupart des données émanant de la surface, notamment celles des rovers Curiosity et Perseverance de la NASA, afin de contribuer aux efforts de recherche en cours. TGO dispose encore d’importantes réserves d’ergols permettant de prolonger sa durée de vie opérationnelle pour soutenir la mission ExoMars 2028.
Le rôle de Thales Alenia Space
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Mobilité
Le Monde en Chiffres - la mobilité des Français
ipsos.com/fr - Par Guillaume Saint Directeur Automobile et Mobilités
Publié le 28 mars 2024
Nous évoluons dans un monde complexe. Pour mieux en comprendre les signaux faibles, B Smart et Ipsos s'associent pour vous donner les chiffres à retenir et des éléments d’explications. Cette semaine, Guillaume Saint, directeur Automobile et Mobilités d'Ipsos en France, décrypte les trajets quotidiens des Français et leur rapport à la mobilité.
Les données de notre étude menée en partenariat avec Transdev et Région de France, révèlent les détails des habitudes et les frustrations des Français concernant leur mobilité. Guillaume Saint, notre expert Automobile et Mobilités, revient sur les points sensibles qui dessinent le mécontentement des Français.
Un regard sur la mobilité d'aujourd'hui
Malgré des périodes de confinement et une inflation élevée, les déplacements des Français n'ont que légèrement diminué par rapport à 2019. En parallèle, le budget consacré à ces déplacements reste conséquent.
Le rapport risque-performance dans l'épargne
En moyenne, les Français passent 31 minutes pour se rendre au travail ou à l'école, 18 minutes pour aller faire leurs courses, 16 minutes pour rejoindre les lieux de loisirs et 11 minutes pour atteindre les commerces de proximité.
Ce temps n'a que légèrement diminué depuis 2019, mais il est de plus en plus source de mécontentement. 32 % des Français s’en plaignent et ce ressentiment est de plus en plus marqué à mesure que le temps de trajet s’allonge. En effet, si ceux qui mettent 20min à se rendre sur leur lieu de travail sont 20% à se déclarer insatisfaits, ce chiffre atteint 63% pour les Français dont le trajet dure plus d'une heure.
Le coût des déplacements : une charge lourde
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[Tribune] Mobilités : « Amplifions la dynamique ! » par Stéphane Coppey
gommer.net - Par La Rédaction
Publié le 31 mars 2024
Impulsé par l’État, le Groupement d’intérêt public (GIP) Aix-Marseille-Provence Mobilités, installé le 10 février 2022, s’est réuni le 14 mars dernier pour un premier état d’avancement des projets et quelques annonces sur des projets en devenir. Les Services express régionaux métropolitains (SERM) ont été évoqués, sans calendrier toutefois quant à leur labellisation par l’État, laquelle conditionne les financements liés.
Cette labellisation des SERM est légitimement subordonnée à un accord entre Région et Métropole. C’est ce qu’ont bien compris la Région Grand Est et l’Eurométropole de Strasbourg qui ont su développer et financer, à moindres frais, le doublement du nombre de trains régionaux à l’intérieur de l’Eurométropole (et même au-delà), à tarification intégrée. Et malgré les aléas initiaux, le succès est au rendez-vous !
L’ouverture dès 2025 d’une première ligne de RER Aubagne-Marseille-Aix permettrait de fiabiliser et compléter l’offre de trains existante, de prolonger les services tard le soir, en correspondance avec le métro, le tramway et la vingtaine de lignes de bus “principales” annoncées à cette échéance par la Métropole.
En matière de tramway, il faut se réjouir de l’annonce de nouvelles lignes, pourvu que les projets ne s’étalent pas trop dans le temps et qu’ils soient concertés avec les communes concernées et les représentants des usagers, des citoyens, des entreprises. Deux lignes, complémentaires, mériteraient de retenir l’attention de la Métropole :
Lire la suite : https://gomet.net/tribune-mobilites-amplifions-la-dynamique-par-stephane-coppey/
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KEOLIS remporte un nouveau contrat à Nîmes
keolis.com - Communiqué
Publié le 26 mars 2024
Nîmes Métropole a attribué à Keolis le contrat d'exploitation du réseau de transport public Tango. Ce contrat débutera le 1er juillet 2024 pour une durée de 6 ans et demi et générera un chiffre d'affaires cumulé de 314 millions d'euros.
Keolis accompagnera Nîmes Métropole dans son engagement en faveur du transport public et de la transition énergétique. Le nouveau contrat prévoit notamment le lancement d’une ligne de BHNS (tram’bus), d’un nouveau service de Transport A la Demande, l'adaptation des dépôts aux nouvelles énergies et l'installation de panneaux photovoltaïques.
Le conseil communautaire de Nîmes Métropole a approuvé le choix de Keolis en tant que nouveau délégataire pour l’exploitation des services de transports urbains. Le réseau Tango, qui dessert 39 communes, poursuivra son développement avec le lancement d'une nouvelle ligne de tram’bus T5 en 2025, ainsi que l'extension de l’actuelle ligne T4 en 2027. Pour renforcer l’attractivité du réseau, Keolis s’engage à améliorer la vitesse commerciale des lignes de BHNS et à étendre le maillage territorial, en déployant un service de Transport A la Demande (TAD) dynamique pour le CHU, les principales zones d'activités économiques et les gares TGV, y compris la nuit. À partir de janvier 2025, la réservation de ce service sera possible jusqu'à une heure avant le départ.
Dans le prolongement de l'engagement de la Métropole en faveur d’une mobilité durable, la transition énergétique des véhicules s’amplifiera. Avec le soutien de Keolis, l’objectif est d’atteindre, d’ici 2030, un parc comprenant 86 % de véhicules exploités en motorisations alternatives, avec un mix de bus électriques et fonctionnant au bioGNV, ainsi que l’avitaillement de tous les véhicules diesel en biocarburant. La transition du parc permettra une baisse de 30 % des émissions de CO2 d’ici 2030.
Pour accompagner les ambitions de la collectivité, Keolis a aussi prévu un plan ambitieux de rénovation des bâtiments, qui contribuera à réduire de 60 % leurs consommations électriques à horizon 2029. Le délégataire appuiera la Métropole dans l’adaptation des dépôts aux nouvelles énergies et la mise en place de plus de 4 700 m d’ombrières photovoltaïques sur le parking des bus et des véhicules légers.
Lire la suite : https://www.keolis.com/newsroom/communiques-de-presse/keolis-remporte-un-nouveau-contrat-a-nimes/
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Paris lance son Plan local de mobilité
Mise à jour le 04 avril 2024
Lors du Conseil de Paris de février 2024, le projet de Plan local de mobilité (PLM) de Paris a été arrêté.
En application de la Loi d’orientation des mobilités du 26 décembre 2019, la Ville de Paris élabore son Plan local de mobilité (PLM), qui constitue la déclinaison parisienne du Plan de déplacements urbains d’Île-de-France (PDUIF) en vigueur et du Plan de mobilité d’Île-de-France en cours d'élaboration.
Le PLM présenté dans cette page est un projet susceptible d’évoluer d’ici à son approbation finale : il doit en effet être soumis aux prochaines étapes d’élaboration d’un PLM prévu par le code des transports et le code de l’environnement, et notamment à une enquête publique à laquelle vous serez invités à participer.
Pourquoi un Plan local de mobilité ?
Au-delà des obligations réglementaires, le projet de PLM parisien a pour ambition de formuler les grandes orientations de la politique parisienne des mobilités.
Il est l’occasion de présenter une vision globale de mobilité parisienne, rassemblant l’ensemble des plans et stratégies préparées pour les différentes composantes de la mobilité :
Lire la suite : https://www.paris.fr/pages/paris-lance-son-plan-local-de-mobilite-26709
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Mobilité : l'électrique et les mobilités douces toujours plus populaires en France et en Europe
ipsos.com - Estelle Chandèze Directrice adjointe, Corporate Reputation - Jeremy Borrossi Chef de groupe - Corporate Reputation
Publié le 04 avril 2024
Europ Assistance dévoile les résultats internationaux de la deuxième édition du Baromètre de la Mobilité réalisé par Ipsos dans 8 pays d'Europe et revient sur l’évolution des habitudes de mobilité des Européens.
Alors que la voiture reste le premier mode de transport en Europe, les vélos électriques deviennent de plus en plus présents dans la vie quotidienne
En 2023, la voiture est toujours le premier mode de déplacement en Europe : elle reste largement en tête dans les usages (87% des Européens possèdent une voiture personnelle, et 84% l'utilisent quotidiennement). Pour cause, les Européens restent attachés à leur voiture : 70% des automobilistes ne seraient pas prêts à cesser de posséder une voiture à l'avenir, un chiffre stable par rapport à l'année dernière. Parmi eux, 34% sont très réticents à cette idée ("certainement pas").
En revanche, les modes de transport impliquant la voiture en général (qu'il s'agisse de la voiture personnelle, des taxis / VTC, ou de l'autopartage) semblent voir leur usage diminuer : 26% des Européens utilisant une voiture personnelle estiment s’en servir moins fréquemment qu'il y a 5 ans, un chiffre qui s'élève à 32% en France.
En parallèle, le vélo, qu'il soit classique ou électrique, reste utilisé par près de 4 Européens sur 10.
Alors que la possession de vélos classiques diminue (57% des Européens possèdent un vélo classique dans leur foyer, -5 points par rapport à l'année dernière), la présence des vélos électriques progresse : désormais 1 foyer européen sur 5 possède un vélo électrique (19%, +2 points). Cette tendance pourrait s’expliquer par une meilleure accessibilité et un prix plus abordable des vélos électriques, ainsi que par leurs caractéristiques améliorées, notamment le pédalage assisté.
On observe également une intensification de l'utilisation des vélos électriques : 42% des utilisateurs déclarent l'utiliser plus souvent qu'il y a 5 ans, et 32% disent qu'ils ont l'intention de l'utiliser davantage à l'avenir.
De manière plus générale, la tendance est à une utilisation plus intensive de la mobilité douce et des transports publics à l'avenir : les Européens déclarent qu'ils utiliseront la marche (32%), les vélos standards (25%) et les transports publics plus fréquemment à l'avenir (25%), tous ces modes de transport ayant un "delta" positif (plus souvent - moins souvent) dans les intentions d'utilisation future.
Lire la suite : https://www.ipsos.com/fr-fr/mobilite-lelectrique-et-les-mobilites-douces-toujours-plus-populaires-en-france-et-en-europe
Moyens de paiement
Paiement par carte bancaire sur le réseau Tisséo : 300 000 validations en deux mois
lejournaltouloousain.fr - Par Gala Jacquin
Publié le 5 avril 2024
Après près de deux mois de mise en service du paiement par carte bancaire sur l’ensemble du réseau Tisséo, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, fait un premier bilan. Il comptabilise plus de 300 000 validations de titres de transport en moins de deux mois.
Depuis le lundi 12 février dernier, les usagers des transports en commun de Toulouse peuvent profiter d’un nouveau moyen de paiement sur le réseau Tisséo : la validation de leur titre de transport à l’aide de leur carte bancaire. Et après près de deux mois de mise en service, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, fait un premier bilan, qu’il juge comme un « véritable succès ». Au total, plus de 300 000 validations ont été enregistrées sur le réseau Tisséo.
Le paiement par carte bancaire sur le réseau Tisséo
Si de nombreux usagers du réseau Tisséo ont un abonnement, ce nouveau moyen de paiement permet d’éviter de prendre un ticket ou d’avoir de la monnaie sur soi. Jean-Michel Lattes, président de Tisséo collectivités et Tisséo ingénierie, a souligné les avantages de cette innovation, la qualifiant de « simple, rapide, pratique, éco-responsable et sécurisée ». Il ajoute : « Le but de ce nouveau titre de transport est de libérer le client des contraintes d’achat pour une plus grande souplesse d’utilisation du réseau et un gain de temps dans la préparation de son voyage. »
Lire la suite : https://www.lejournaltoulousain.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/carte-bancaire-reseau-tisseo-300-000-validations-2-mois-256863/
Viva Technology 2024
Vivatechnology 2024 : l’État français présent massivement en 2024
numérique.gouv.fr - Communiqué
Publié le 04 avril 2024
14 directions engagées dans la transformation numérique de l’État sur un stand unique pour faire connaître leurs grands chantiers, présenter leurs offres et recruter des professionnels de la tech. Plus de 4 000 offres à pourvoir.
Pour simplifier le quotidien de tous les Français et accélérer l’efficacité de l’action publique, l’État s’appuie sur la puissance du numérique et les compétences techniques des professionnels de la tech. Intelligence artificielle, dématérialisation, data, cloud, accessibilité, design, identité numérique, mode produit, infrastructure, attractivité, fidélisation et formation… telles sont les expertises que l’État recrute pour réussir sa stratégie numérique et assurer sa souveraineté.
Investies dans cet objectif, 14 entités engagées dans la transformation numérique de l’État seront présentes au salon VivaTechnology pour la deuxième fois afin de présenter, aux professionnels de la tech et au grand public, au sein d’un stand unique, leurs projets numériques les plus innovants, qui sont autant d’opportunités d’emplois.
Du 22 au 25 mai 2024, seront présents, aux côtés de la direction interministérielle du numérique, sur le stand n°J59 les directions numériques du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer, de la Justice, de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, des ministères Sociaux, du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, du ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, ainsi que le service d’information du Gouvernement, la direction interministérielle de la transformation publique avec le dispositif de soutien à l’innovation « France Expérimentation » et la direction générale de l’administration de la fonction publique à travers sa marque « Choisir le service public » en partenariat avec les directions numériques de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et des Sports, de l’Europe et des Affaires étrangères, l’institut national de l’information géographique et forestière et l’autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse.
Lire la suite : https://www.numerique.gouv.fr/espace-presse/vivatechnology-2024-letat-francais-present-massivement-en-2024/
Intelligence artificielle
IA générative : le gouvernement lance un appel à projet de plusieurs dizaines de millions d'euros
latribune.fr - avec AFP
Publié le 04 Avril 2024
Le ministère de l'Economie va lancer ce jeudi un appel à projet de plusieurs dizaines de millions d'euros pour développer des applications basées sur l'intelligence artificielle. Une annonce qui fait suite au rapport rendu mi-mars par le Comité de l'IA générative estimant que la France devrait investir 5 milliards d'euros par an sur 5 ans si elle veut rester dans la course face aux Etats-Unis et à la Chine.
La France cherche ses champions de l'IA. Un appel à projet de plusieurs dizaines de millions d'euros pour développer des applications basées sur l'intelligence artificielle générative va être lancé. Le but : trouver les futurs Mistral AI, championne française et européenne de l'IA, au sein de l'écosystème numérique français.
« Nous ciblerons les applications de l'IA générative qui présentent les meilleures opportunités de marché », a affirmé à l'AFP Marina Ferrari, secrétaire d'Etat en charge du Numérique, qui s'apprête à dévoiler cet appel à projet ce jeudi à Paris lors d'un discours à l'IA Day, un événement organisé par l'association de start-up France Digitale. « Nous soutiendrons également les projets collaboratifs, prioritairement dans les domaines du droit, de la santé, du chiffre et de la programmation informatique », a-t-elle détaillé.
« Un effort réaliste »
Pour l'exécutif, l'objectif est de s'assurer que les outils développés dans ce cadre puissent être répliqués chez d'autres utilisateurs d'un même secteur d'application, voire dans d'autres secteurs, pour optimiser l'investissement d'argent public. Dans le détail, Bercy indique que les projets devront présenter une assiette de travaux comprise entre 1 et 5 millions d'euros. Cette opération vise à faire émerger des technologies souveraines spécialisées, dans la lignée d'entreprises comme Jimini (documents juridiques), Bioptimus (biologie) ou Nabla (assistant médical).
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Les enjeux économiques de l'intelligence artificielle
tresor.economie.gouv.fr - Rédigé par Besson, Dozias, Faivre, Gallezot, Gouy-Waz, Vidalenc
Publié le 02 avril 2024
L'intelligence artificielle (IA) désigne l'ensemble des techniques permettant à des machines de simuler l'intelligence humaine. Son développement est une révolution technologique qui, à l'instar des révolutions technologiques précédentes, pourrait générer d'importants bouleversements économiques. Si les travaux de quantification des effets de l'IA sont encore exploratoires, ils permettent d'en appréhender les contours.
Au niveau macroéconomique, il est trop tôt pour distinguer empiriquement un effet sur la croissance, mais de premières études microéconomiques suggèrent des effets positifs significatifs de certaines applications spécifiques de l'IA sur la productivité individuelle des travailleurs. À poste donné, ces gains touchent en particulier les travailleurs les moins productifs, entraînant un rattrapage vis-à-vis des plus productifs. En revanche, les effets de l'IA mesurés sur la productivité des entreprises sont pour le moment modestes. Ceci peut s'expliquer par une adoption encore limitée et inégale au sein des entreprises, plus forte pour les grandes entreprises et celles du numérique.
Les effets théoriques de l'IA sur l'emploi sont incertains. À court terme, ils dépendront de la vitesse de déploiement de l'IA, de l'évolution de certains métiers vers des tâches qui lui sont complémentaires et de la réallocation de la main d'œuvre vers les métiers en croissance. Par ailleurs, les premières estimations empiriques s'accordent sur le fait que les tâches et métiers touchés par l'IA ne seraient pas les mêmes que ceux qui étaient concernés par les précédentes révolutions technologiques. L'IA concernerait davantage les professions qualifiées, du fait de sa capacité à prendre en charge des tâches abstraites et non-routinières, alors que les vagues précédentes de mécanisation et d'informatisation avaient respectivement concerné les emplois non qualifiés et les professions intermédiaires.
Lire la suite : https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2024/04/02/les-enjeux-economiques-de-l-intelligence-artificielle
Cybersécurité
Cybersécurité : entre anticipation et adaptation face aux nouveaux défis
journaldunet.com - Chronique de Frédéric Patouly
Publié le 03 avril 2024
À l'heure où les menaces numériques deviennent de plus en plus sophistiquées, la cybersécurité est contrainte d'évoluer rapidement pour rester efficace.
La frontière entre anticipation des risques et adaptation aux nouvelles formes d'attaques s'amenuise, poussant les professionnels de la sécurité à repenser leurs approches.
De la nécessité d'une prévention proactive face à des vulnérabilités toujours plus insidieuses, à l'urgence de répondre aux défis posés par l'intelligence artificielle générative et les stratégies de ransomware ciblées de nouvelles tendances redéfinissent le paysage de la sécurité logicielle. Comment s'armer d'une stratégie à la fois anticipative et adaptative pour naviguer avec assurance dans le cyberespace de demain ?
La primauté de la prévention : un nouveau modèle de sécurité
La tendance la plus significative est le passage d'une correction réactive des vulnérabilités à une prévention proactive. Cette évolution vers la prévention est essentielle dans un monde où les menaces évoluent à une vitesse sans précédent. L'adoption de pratiques telles que l'infrastructure as code permet de sécuriser les environnements dès leur conception, réduisant le risque de vulnérabilités. L'importance de mécanismes de détection avancés pour les images de conteneurs est également soulignée, prévenant l'utilisation d'applications vulnérables. Cette transition vers la prévention marque un changement fondamental, nécessitant des investissements continus en formation et en outils de sécurité.
L'Intelligence Artificielle Générative : une menace silencieuse
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1529365-cybersecurite-entre-anticipation-et-adaptation-face-aux-nouveaux-defis/
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L’ANSSI lance un appel à projet de cybersécurité dans le cadre de France 2030
cyber.gouv.fr - Communiqué
Publié le 04 Avril 2024
L’ANSSI prend part à la stratégie nationale d’accélération pour la cybersécurité pilotée par le Secrétariat général pour l’investissement (SGPI), dans le cadre du plan France 2030. Elle soutient notamment des projets de renforcement de la sécurité numérique portés par des collectivités territoriales et des opérateurs publics de services numériques (OPSN).
Les projets éligibles sont de quatre types différents :
Projet innovant
Un projet innovant a pour objectif de créer une nouvelle solution ou service de cybersécurité actuellement indisponible sur le marché ou de faire évoluer une offre disponible sur le marché afin d’y intégrer de nouvelles fonctionnalités. Le candidat peut être toute collectivité territoriale ou OPSN portant ce type de projet.
Projet d’initiative locale
Un projet d’initiative locale vise à aider financièrement un lauréat à déployer des produits et/ou services de cybersécurité au sein d’un territoire. Le candidat doit être une collectivité territoriale ou un OSPN.
Les projets éligibles sont d’une part des projets de sécurisation des systèmes d’information internes du candidat (notamment dans le cadre d’une remédiation ou suite à une évaluation de sécurité numérique réalisée par un prestataire spécialisé) ; d’autre part, des projets visant à mettre à disposition des entités du territoire, des produits ou services de sécurité numérique.
Projet de déploiement « avancé »
Un projet de déploiement « avancé » vise à aider un lauréat mature en cybersécurité à déployer des solutions de sécurité avancées. Les projets éligibles sont (liste non exhaustive).
Lire la suite : https://cyber.gouv.fr/actualites/lanssi-lance-un-appel-projet-de-cybersecurite-dans-le-cadre-de-france-2030
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Des Cybercriminels machiavéliques ! L’IA offensive face à l’IA défensive
linkedin.com - Par Yannick Chatelain
Publié le 1 avril 2024
Par Dr Sylvie Branco, Professor Senior Technology Innovation Management à Grenoble Ecole de Management (GEM)/ Ecosystem Partnerships Leader (IRT Nanoelec Institute, UGA/MIAI (Institute of AI) & Dr. Chatelain Yannick Chatelain Associate Professor IT / DIGITAL à Grenoble Ecole de Management (GEM) & GEMinsights Content Manager.
IA offensive contre IA défensive : pourquoi ce sujet est-il à la une des préoccupations, non seulement des experts, des chercheurs mais aussi des entreprises et des citoyens ? Pourquoi l’IA générative (au service de l’IA offensive) semble-t-elle décupler la puissance des cybercriminels de manière incontrôlable tant leurs attaques sont sophistiquées et évolutives ? Quelles sont les spécificités de cette criminalité numérique ? Qui est concerné, dans quelle mesure et comment s’en prémunir ? Finalement, le contexte actuel, indéniablement propice à la cybercriminalité, ne nous impose-t-il pas de changer drastiquement les modalités de défense en œuvre ?
Depuis des dizaines d’années, le numérique s’immisce dans toutes les sphères de nos vies et de nos objets. Cela a démarré avec la démocratisation de l’informatique via l’ordinateur d’abord centralisé puis personnel, puis relié à Internet et sa puissance de communication. Ensuite, de nombreux objets et systèmes sont devenus numériques, interactifs et connectés comme les voitures pour maintenant, avec l’avènement de l’IA notamment, permettre le développement de systèmes intelligents qui placent la data au centre de tout développement, économique, social et environnemental. Ainsi, si les cartes de crédit et le paiement en ligne sont une cible privilégiée des cybercriminels, le champ des potentiels n’a de cesse de s’élargir.
Lire la suite : https://www.linkedin.com/in/sylvie-blanco-8472a01/
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L'IA s'impose dans les entreprises pour l'automatisation IT et la sécurité
lemondeinformatique.fr - Michael Cooney / IDGNS (adapté par Jean Elyan)
Publié le 03 Avril 2024
Selon une étude d'IBM, les grandes entreprises utilisent surtout l'IA pour l'automatisa-tion des processus IT, la sécurité et la détection des menaces.
La plus grande disponibilité des outils de développement, la volonté de réduire les coûts et l'automatisation favorisent l'adoption de l'IA par les entreprises. Mais certains défis liés aux compétences des employés, à la complexité des données et aux préoccupations éthiques restent des obstacles à l'adoption plus large de la technologie. Telles sont quelques-unes des principales conclusions de l’étude publiée par IBM, qui a interrogé 8 500 professionnels de l’IT dans le monde entier pour évaluer le déploiement de l'IA dans les entreprises de plus de 1 000 employés. Celle-ci révèle qu'environ 42 % des entreprises utilisent déjà activement l'IA et que 59 % d'entre elles prévoient d'accroître leur utilisation et leurs investissements dans la technologie. Toujours selon cette étude, les entreprises de 1 000 employés ou moins sont moins susceptibles d'adopter l'IA à usage général et l'IA générative que les grandes entreprises. « Des outils d'IA plus accessibles, la volonté d'automatiser les processus clés et la présence toujours plus importante de fonctions d'IA intégrées dans les applications commerciales prêtes à l'emploi sont les principaux facteurs de l'expansion de l'IA au niveau de l'entreprise », a déclaré Rob Thomas, vice-président senior d'IBM Software, dans un communiqué. « Les entreprises utilisent l'IA quand la technologie peut rapidement avoir un impact profond, par exemple pour l'automatisation des processus IT, le travail numérique et le service à la clientèle », a-t-il ajouté.
L'IA contribue à des fonctions organisationnelles très diverses, l'automatisation des processus IT et le marketing étant les applications les plus populaires. À l'avant-garde de l'utilisation de l'IA dans leur entreprise, les professionnels de l’IT soulignent l'importance de pouvoir construire et exécuter des projets d'IA quel que soit le lieu où résident leurs données. Selon l'étude, la confiance dans ces capacités est élevée, car la plupart des professionnels de l’IT sont convaincus que leur entreprise dispose des bons outils pour trouver des données dans l'ensemble de l'entreprise. Au cours des deux dernières années, un grand nombre d’entreprises qui explorent ou déploient déjà l'IA, ont accéléré leur déploiement, la « recherche et le développement » et « l'amélioration des compétences du personnel » apparaissant comme des priorités d'investissement, a déclaré IBM.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-ia-s-impose-dans-les-entreprises-pour-l-automatisation-it-et-la-securite-92786.html
Désinformation
Face au risque de désinformation, Meta identifiera les contenus générés par l'IA dès mai
information.tv5monde.com - Par Kilian Fichou © 2024 AFP
Publié le 05 Avril 2024
Le géant américain Meta va identifier sur ses réseaux sociaux les sons, images et vidéos générés par l'intelligence artificielle (IA) à partir du mois de mai, une décision prise sur fond de lutte contre la désinformation AFP/Archives SEBASTIEN BOZON
Le géant américain Meta va identifier sur ses réseaux sociaux les sons, images et vidéos générés par l'intelligence artificielle (IA) à partir du mois de mai, une décision prise sur fond de lutte contre la désinformation dans une année riche en scrutins électoraux.
"Nous prévoyons de commencer à étiqueter les contenus générés par l'IA en mai 2024", a expliqué vendredi dans une note de blog Monika Bickert, vice-présidente en charge des politiques de contenus de la maison mère de Facebook, Instagram et Threads, précisant que la mention "Made with AI" allait être apposée "sur un plus grand nombre de contenus vidéo, audio et images" que précédemment.
Ces contenus seront marqués par la plateforme si elle détecte "des indicateurs d'image IA conformes aux normes de l'industrie" ou si "des personnes indiquent qu'elles mettent en ligne des contenus générés par l'IA", a-t-elle souligné.
Outre la détection de marqueurs visibles, Meta compte aussi déceler toute trace de "watermarking", une forme de "tatouage" numérique qui consiste à insérer une marque invisible à l'intérieur d'une image lorsqu'un outil utilisant l'IA la génère.
"Un filtre, c'est mieux que rien mais il y aura forcément des trous dans la raquette", relève auprès de l'AFP Nicolas Gaudemet, directeur IA du cabinet Onepoint.
Lire la suite : https://information.tv5monde.com/economie/face-au-risque-de-desinformation-meta-identifiera-les-contenus-generes-par-lia-des-mai
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Google déploie ses outils de fact-checking en France : comment y accéder ?
blogdumoderateur.com - Par Etienne Caillebotte
Publié le 04 avril 2024
La firme de Mountain View a développé une série d’outils permettant de détecter des informations ou des images trompeuses sur son moteur de recherche.
Google s’attaque aux fake news et à la désinformation
Google s’arme pour lutter contre la désinformation et la prolifération d’informations trompeuses sur son moteur de recherche. En marge de la Journée internationale du fact-checking, le géant de la Silicon Valley a déployé une série de fonctionnalités permettant de « décoder rapidement les informations » apparaissant dans les résultats et de « comprendre le contexte des informations que l’on peut apercevoir en ligne », nous apprend un blog post publié ce mardi 2 avril.
Le but de la manœuvre : aider les utilisateurs à juger, en quelques secondes, de la crédibilité d’un site, d’une information, ou d’une image apparaissant dans ses résultats de recherche. Ces outils de fact-checking, qui sont aujourd’hui accessibles dans plus de 40 langues, dont le français, existaient déjà depuis l’année dernière, mais n’avaient été déployés qu’à l’échelle des pays anglophones.
Quels sont les outils de fact-checking proposés par Google ?
Dans son blog post, Google a annoncé le déploiement global de trois outils, nommés « À propos de ce résultat, « À propos de cette image » et « Fact Check Explorer ». On vous explique leur principe.
À propos de ce résultat
Lancée en version bêta en février 2021, la fonctionnalité « À propos de ce résultat » vous permet « d’obtenir davantage de contexte sur un site web avant de cliquer », précise le blog post. En cliquant sur le menu à trois points (voir exemple ci-dessous) sur un résultat de recherche, un encart apparaît à droite de votre écran. Celui-ci « affichera des informations sur le site web, dont sa description sur Wikipédia, lorsque disponible, ainsi que des avis d’autres utilisateurs », précise le blog post. Il deviendra alors plus facile de juger de la fiabilité d’un site, ainsi que de la véracité des informations qu’il diffuse, en apprenant notamment s’il a été épinglé, par le passé, pour de la propagation d’informations fausses, trompeuses, ou non vérifiées.
Lire la suite : https://www.blogdumoderateur.com/google-outils-fact-checking-france/
Quantique
Le futur superordinateur de Microsoft et d'OpenAI coûtera 100 milliards de dollars et fonctionnera à l'énergie nucléaire
lesnumeriques.com - Par Mayence Glineur
Publié le 04 avril 2024
Plus rien n'arrête Microsoft et OpenAI. Non contentes d'avoir contribué à faire entrer l'intelligence artificielle dans une nouvelle ère, les deux entreprises se lancent dans un nouveau projet aux proportions pharaoniques.
Derrière des outils tels que ChatGPT, Gemini (anciennement Bard) et Midjourney se cachent des centres de données très performants. Ces infrastructures assurent autant l'entraînement des IA génératives que leur fonctionnement quotidien. Dans la course à la puissance, les leaders de l'industrie doivent donc investir des sommes colossales dans ce type d'infrastructures, coûteuses à construire et à exploiter. Et si les sommes en jeu semblaient jusque-là impressionnantes, le nouveau devis de Microsoft et d'OpenAI l'est plus que jamais.
100 milliards de dollars : c'est le coût de développement du prochain super-ordinateur du duo américain. Le projet est baptisé Stargate, en référence à la série de science-fiction du même nom lancé dans les années 90. Mais ici, il n'est pas question de voyager vers d'autres étoiles, mais bien de projeter les deux géants américains dans un avenir plus ou moins proche. Selon les informations recueillies par The Information, il sera chargé de faire fonctionner leurs futurs projets d'intelligence artificielle pendant plusieurs années, et devrait être lancé en 2028.
Mais, qui dit superordinateur et centre de données, dit aussi consommation d'énergie. Et, sur ce point, Stargate fait carrément dans la démesure, puisqu'il devrait consommer jusqu'à 5 gigawatts d'électricité à plein régime. Soit l'équivalent... d'un douzième de la capacité nucléaire française, note Le Point.
Blockchain
La Banque de France et la BRI explorent la blockchain pour les paiements transfrontaliers. Nom de code : Agora
finyear.com - Par Anne-Laure Allain
Publié le 04 avril 2024
Sept banques centrales - dont la Banque de France pour l'Eurosystème - avec l'appui de la BRI (la banque centrale des banques centrales) viennent d'officialiser le lancement du projet Agora.
Avec l'appui de structures privées qui seront bientôt sélectionnées et coordonnées par l'Institut de la Finance Internationale, elles exploreront de concert, comment la tokenisation de monnaie de banque centrale et de monnaie de banque commerciale, pourront à termes, améliorer le système monétaire, et notamment les paiements transfrontaliers.
Parmi les objectifs principaux : gagner en rapidité et en coûts sur les paiements internationaux tout en garantissant leur sécurité et en limitant le risque de malversations.
Vous vous souvenez de ce débat ou de ce mini "buzz" (si le mot existe encore) qui consistait à expliquer pourquoi les salaires de ce mois de mars 2024 risquaient d'être versés sur les comptes bancaires des salariés début avril, et ce, en raison de la fermeture de certaines structures, dont Target 2 gérée par la BCE (système de paiement qui gère les virements entre les structures bancaires européennes).
Et pourquoi cette fermeture ? Parce que le vendredi précédant le lundi de Pâques est férié dans certains pays de l'Union.
De nombreuses voix dans l'écosystème blockchain avaient souligné qu'en utilisant la technologie, cette situation n'aurait pas eu lieu.
Il semblerait qu'une nouvelle fois, la Banque de France soit plus en pointe sur le sujet qu'on ne se l'imagine...
Ce jeudi 4 avril, elle a dévoilé avec 6 autres banques centrales - la Banque du Japon, la Banque de Corée, la Banque du Mexique, la Banque nationale suisse, la Banque d'Angleterre et la Réserve fédérale de New York - elle allait participer en représentation de l'Eurosystème, à un projet explorant la blockchain. Nom de code : Agora.
Lire la suite : https://www.finyear.com/La-Banque-de-France-et-la-BRI-explorent-la-blockchain-pour-les-paiements-transfrontaliers-Nom-de-code-Agora_a50697.html
5G
Des réseaux 5G privés pour remplacer une 5G publique faiblarde ? Panasonic lance des tests en Europe
clubic.com - Par Alexandre Boero, Chargé de l'actualité de Clubic
Publié le 05 avril 2024
Panasonic a annoncé, vendredi, mettre à disposition de ses clients européens des réseaux 5G privés. L'idée est ici de répondre aux besoins de connectivité, dans le cas où les réseaux traditionnels ne conviennent plus.
Pour les utilisateurs, et ici plus particulièrement les entreprises, les besoins d'une connectivité rapide et sécurisée ont augmenté ces dernières années. L'arrivée de la 5G est, pour beaucoup, considérée comme un réel progrès, mais elle présente ses limites, comme toute technologie. Panasonic a ainsi dévoilé, ce vendredi 5 avril 2024, une initiative visant à rendre les réseaux 5G privés faciles à installer et à exploiter en Europe. C'est sur son campus, à Munich, que la société a ouvert son premier environnement de test.
Panasonic vante les mérites des réseaux 5G privés
C'est en partenariat avec des fournisseurs de services 5G-as-a-service (en tant que service) que Panasonic propose de tester des réseaux 5G privés entièrement personnalisés, en vantant une latence « ultra-faible ».
Ces réseaux offrent donc des temps de réponse plus rapides, des vitesses de téléchargement (montantes et descendantes) toujours plus performantes et une fiabilité de connexion accrue.
Panasonic propose ici de simplifier l'installation, la configuration et la maintenance des réseaux 5G privés. Ce mécanisme est présenté au Centre d'expérience client du campus Panasonic de Munich. La société japonaise a installé sur place deux cellules, qui permettent à ses clients et partenaires d'éprouver les capacités des réseaux 5G privés.
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-523359-des-reseaux-5g-prives-pour-remplacer-une-5g-publique-faiblarde-panasonic-lance-des-tests-en-europe.html
CNIL
Données personnelles et IA : l’apport des normes ISO/IEC 27701 et 42001
cnil.fr - Communiqué
Publié le 02 avril 2024
La norme internationale ISO/IEC 27701 décrit la gouvernance et les mesures de sécurité à mettre en place pour les traitements de données personnelles. La norme ISO/IEC 42001 est, quant à elle, destinée aux organismes qui fournissent ou utilisent des systèmes d’IA.
Des normes pour la protection des données personnelles
Qu'est-ce que la norme 27701 ?
Depuis de nombreuses années, la sécurité informatique bénéficie de deux normes internationales reconnues :
Afin de standardiser et de renforcer la protection des données personnelles, la norme ISO/IEC 27701, publiée en août 2019, complète ces deux normes en définissant :
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/liso-27701-une-norme-internationale-pour-la-protection-des-donnees-personnelles
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RGPD : 5 ans et des violations de données qui grimpent
zdnet.fr - Par Christophe Auffray
Publié le 04 avril 2024
Depuis son application, 17.483 notifications de violations de données ont été notifiées à la Cnil et suivent une tendance à la hausse depuis 2018. Le secteur privé représente environ deux tiers des déclarations à la CNIL.
L’heure reste au bilan pour la Cnil concernant le RGPD. L’Autorité de protection des données personnelles témoignait plus tôt cette année du record de sanctions infligées en 2023. Au total : 168 mises en demeure, 33 rappels à la loi et 42 amendes (pour près de 90 millions d’euros).
Début mars, le régulateur se penchait sur la mesure de l’impact du règlement, soulignant notamment un biais de la régulation : sa tendance à favoriser les grands acteurs du numérique. Motif : ils disposent de plus de moyens à consacrer à la conformité.
Notifications ne riment pas avec nombre réel d’incidents
Mais le RGPD couvre aussi les violations de données personnelles et leur notification à la Cnil. La Commission a publié un bilan de ces incidents déclarés. Résultat : entre mai 2018 et mai 2023, 17.483 violations de données lui ont été notifiées.
“Ce volume ne reflète pas le nombre réel d’incidents puisqu’un même évènement, tel qu’un piratage, peut donner lieu à de multiples notifications”, prévient le régulateur. Une cyberattaque d’un prestataire peut ainsi conduire celui-ci à en informer la Cnil.
Les clients de l’entreprise procéderont parallèlement à leurs propres déclarations. Pour autant, l’autorité note que le nombre de violations de données notifiées a augmenté avec les années. Mais là aussi, il est complexe d’en tirer des conclusions.
Difficile “de faire la part entre la meilleure prise en compte du RGPD par les acteurs et une éventuelle amplification des menaces sur les données personnelles”, commente la Commission. Des observations sont néanmoins possibles.
Les administrations pèsent 18% des déclarations
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/rgpd-5-ans-et-des-violations-de-donnees-qui-grimpent-390268.htm
Atos - Eviden
IGM Financial choisit Eviden pour la fourniture de services de cloud computing
eviden.com - Communiqué
Publié le 3 avril 2024
Eviden, la ligne d’activités d’Atos leader dans le digital, le cloud, le big data et la sécurité, annonce aujourd’hui avoir été sélectionnée par IGM Financial Inc. (IGM) (TSX : IGM), une société de gestion de patrimoine et d’actifs de premier plan au Canada, dans le cadre d’un contrat d’une durée d’un an pour la migration de ses actifs de centre de données existants vers une solution moderne, agile et sécurisée basée sur les plateformes Microsoft Azure et Google Cloud.
Grâce à sa suite d’outils Cloudamize Studio, à Cloud Migration Center et à ses capacités de pointe en matière de modernisation, Eviden accompagnera la transformation numérique en cours d’IGM et soutiendra la migration de l’entreprise vers le cloud.
L’évaluation des risques étant essentielle au processus du client, l’expertise d’Eviden dans la mise en œuvre d’une architecture agile et évolutive permettra à IGM d’atténuer les risques et de garantir une meilleure visibilité pour le reporting et la remédiation. La fourniture combinée de solutions offrira à IGM un modèle cloud natif qui permettra d’obtenir un retour sur investissement et de générer des résultats commerciaux grâce à un contrôle, une vitesse et une évolutivité améliorés.
« L’accent mis sur les partenariats d’Eviden entre clients et hyperscalers s’inscrit dans une stratégie visant à regrouper compétences et connaissances spécialisées pour garantir un processus de transformation réussi et efficace », a déclaré Ed Nemes, Directeur d’Eviden au Canada, Groupe Atos. « Cette collaboration renforce notre position sur le marché canadien des services financiers et constitue une étape majeure dans les efforts déployés par IGM pour moderniser ses plateformes technologiques, mais aussi assurer des opérations technologiques durables et innovantes dans un paysage commercial en rapide évolution. »
« Nous sommes ravis de collaborer avec Eviden. Sa solide expertise nous permettra d’accélérer et de moderniser notre infrastructure technologique », a déclaré Sam Burns, Directeur des systèmes d’information d’IGM Financial. « Il s’agit d’un tournant majeur dans notre transformation numérique qui nous permettra de mieux répondre aux besoins financiers des Canadiens. »
Lire la suite : https://eviden.com/fr-fr/actualites/communiques-de-presse/igm-financial-choisit-eviden-pour-la-fourniture-de-services-de-cloud-computing/
Thales
Thales réorganise ses projets d'IA pour systèmes critiques
Emmanuelle Delsol, publié le 03 Avril 2024
L'industriel Thales spécialisé dans la défense, l'aéronautique et la spatial, rationalise ses développements de solutions d'IA pour systèmes critiques au sein d'une nouvelle organisation de 600 experts en IA, sciences physiques et métier.
Comme nombre de très grands industriels, Thalès n'a pas attendu ChatGPT pour exploiter l'intelligence artificielle. « Nous y travaillons depuis les années 90, rappelle Patrice Caine, Pdg de l'industriel de l'électronique pour la défense, l'aéronautique et le spatial civils et militaires, à l'occasion d'une conférence de presse. À l'époque, il s'agissait cependant uniquement de projets de recherche. » Les capacités de calcul et volumes de données disponibles ne permettant alors pas de passer à l'échelle. « Par ailleurs, notre IA n'est pas celle qui se voit, mais une IA de systèmes critiques, poursuit-il. Et dans ce domaine, nous avons des ambitions fortes. »Patrice Caine, Pdg
Les IA pour systèmes critiques que développe Thalès servent ainsi à traiter les données produites ou captées par ses équipements ou à aider les opérateurs à prendre des décisions. Des développements algorithmiques, mais aussi matériels, qui exigent une connaissance des technologies, mais aussi des métiers et des produits qui doivent être petits et légers, et peu consommateurs en énergie.
L'IA améliore, par exemple, la précision lors de l'identification d'objets. Thalès a ainsi mis au point une analyse des signaux radar en opération militaire, qui sait distinguer en quelques secondes un véhicule militaire d'un oiseau ou d'un nuage de sable soulevé par le vent. Une IA développée à partir de l'expertise des opérateurs radar. Une autre solution analyse les signaux radars pour la surveillance maritime afin de classifier par taille les navires repérés en quelques secondes. En matière d'aide à la décision, l'industriel a aussi développé une aide au contrôle aérien, qui s'appuie sur du machine learning, pour des aéroports confrontés à une forte densité de vols. Objectif : optimiser l'exploitation de l'aéroport avec un flux d'avions continu qui réduit également l'empreinte carbone des appareils.
Analyse des données des capteurs et aide à la décision
Mobilité
Le Monde en Chiffres - la mobilité des Français
ipsos.com - Par Guillaume Saint, Directeur Automobile et Mobilités
Publié le 28 mars 2024
Nous évoluons dans un monde complexe. Pour mieux en comprendre les signaux faibles, B Smart et Ipsos s'associent pour vous donner les chiffres à retenir et des éléments d’explications. Cette semaine, Guillaume Saint, directeur Automobile et Mobilités d'Ipsos en France, décrypte les trajets quotidiens des Français et leur rapport à la mobilité.
Les données de notre étude menée en partenariat avec Transdev et Région de France, révèlent les détails des habitudes et les frustrations des Français concernant leur mobilité. Guillaume Saint, notre expert Automobile et Mobilités, revient sur les points sensibles qui dessinent le mécontentement des Français.
Un regard sur la mobilité d'aujourd'hui
Malgré des périodes de confinement et une inflation élevée, les déplacements des Français n'ont que légèrement diminué par rapport à 2019. En parallèle, le budget consacré à ces déplacements reste conséquent.
Le rapport risque-performance dans l'épargne
En moyenne, les Français passent 31 minutes pour se rendre au travail ou à l'école, 18 minutes pour aller faire leurs courses, 16 minutes pour rejoindre les lieux de loisirs et 11 minutes pour atteindre les commerces de proximité.
Ce temps n'a que légèrement diminué depuis 2019, mais il est de plus en plus source de mécontentement. 32 % des Français s’en plaignent et ce ressentiment est de plus en plus marqué à mesure que le temps de trajet s’allonge. En effet, si ceux qui mettent 20min à se rendre sur leur lieu de travail sont 20% à se déclarer insatisfaits, ce chiffre atteint 63% pour les Français dont le trajet dure plus d'une heure.
Le coût des déplacements : une charge lourde
Lire la suite : https://www.ipsos.com/fr-fr/le-monde-en-chiffres-la-mobilite-des-francais
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La région Île-de-France vote son projet de plan des mobilités 2030
banquedesterritoires.fr - Par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 29 mars 2024
Transport mobilité durable
Le conseil régional d’Île-de-France a adopté ce 27 mars son projet de plan des mobilités 2030. Préparé par Ile-de-France Mobilités, le document a pour ambition de "faire de l’Île-de-France la première région française sur le chemin de la neutralité carbone, tout en accompagnant la diversité des besoins de chaque Francilien", selon l'exécutif régional. Le plan, qui se veut "cohérent" avec la stratégie nationale bas carbone (mais aussi avec l’objectif de zéro artificialisation nette), vise une mobilité "plus durable, plus sûre et plus confortable", permettant une diminution "massive" des émissions de gaz à effet de serre et des polluants. Il prévoit, entre 2019 et 2030, une baisse de 26% des émissions de CO2, tandis que les émissions de particules fines devraient être en recul de 25 à 35%. De quoi "descendre sous les valeurs limites réglementaires et réduire le nombre de personnes exposées aux valeurs les plus élevées", fait valoir la région, qui rappelle que le précédent plan a produit "des résultats tangibles", avec une "baisse des émissions de polluants liés au trafic routier de 40% entre 2011 et 2021".
Le plan table sur des déplacements en voiture 15% moins nombreux d'ici à 2030, plus verts, avec 20% de véhicules électriques, et une pratique du covoiturage plus répandue. Entre 2023 et 2030, il prévoit une hausse de 15% des déplacements en transports collectifs, un triplement de ceux à vélo et un recours accru au télétravail. "Ce plan intègre l’acte 2 de la Révolution des transports, qui est en cours, avec 330 kilomètres de nouvelles lignes attractives", souligne la région qui juge son plan "financièrement solide" grâce à l'engagement de ses partenaires dans une programmation budgétaire "cohérente". Elle rappelle la signature avec l'Etat fin 2023 du protocole sur le volet mobilité du CPER 2023-2027 prévoyant 8,4 milliards d'euros pour moderniser le réseau existant et financer les nouvelles lignes. La région compte aussi investir 300 millions d'euros sur le réseau Vélo Île-de-France (VIF) pour créer, d’ici fin 2025, onze itinéraires de 450 km "sécurisés et vraiment continus" d’une commune à une autre et 335 millions d'euros "pour transformer la route et réduire ses nuisances sonores à travers le plan route de demain". Le projet de plan va désormais faire l’objet d’une consultation et enquête publique, le conseil régional prévoyant de voter la version définitive au second semestre 2025.
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Paris 2024 : navettes gratuites, application… Le dispositif des transports des JO dévoilé
lexpress.fr - Par E.R. avec AFP
Publié le 25 mars 2024
Jeux olympiques. La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a dévoilé le plan de transports qui devra pouvoir acheminer touristes et parisiens dans leurs trajets quotidiens, et vers les nombreux lieux de compétition des Jeux olympiques.
Paris 2024 : navettes gratuites, application… Le dispositif des transports des JO dévoilé
Jeux olympiques. La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a dévoilé le plan de transports qui devra pouvoir acheminer touristes et parisiens dans leurs trajets quotidiens, et vers les nombreux lieux de compétition des Jeux olympiques.
Navettes du dernier kilomètre ou pour les personnes handicapées, renforcement des lignes les plus sollicitées, application pour trouver le meilleur itinéraire… La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a détaillé, ce lundi 25 mars, son plan de transports pour les Jeux olympiques, qui se dérouleront du 26 juillet au 11 août.
Outil phare du dispositif : l’application "Transport public Paris 2024", qui sera lancée en mai dans six langues, et pourra mesurer "la répartition en temps réel des spectateurs" dans la capitale afin de donner au voyageur le meilleur trajet. Place aux itinéraires bis, donc : les usagers habituels doivent "enlever leurs automatismes de transports, les itinéraires qu’on vous donne sont les bons", selon la présidente de Ile-de-France Mobilités.
Métro à 4 euros et bus gratuits
Lire la suite : https://www.lexpress.fr/sport/paris-2024-navettes-gratuites-application-le-dispositif-des-transports-des-jo-devoile-KEU5UBX5ZJHURAJF3BTTD4RBFI/
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Nouvelle appli, navettes gratuites, Valérie Pécresse précise le plan de transport mis en place pour les JO de Paris
francebleu.fr - De Sarah Tuchscherer - Par France Bleu Paris
Publié le 25 mars 2024
Pour guider les touristes mais aussi les Franciliens dans les transports en commun pendant les Jeux Olympiques, la région Ile-de-France va lancer une application qui tiendra compte de l'affluence sur le réseau RATP en temps réel.
"Nous allons épater le monde !" C'est confiante que Valérie Pécresse est apparue ce lundi pour une conférence de presse consacrée à l'investissement de la région Ile-de-France pour les JO de cet été. Au total, la collectivité y aura consacré 500 millions d'euros, dont la moitié via l'organisateur des transports IDFM. Une contribution qui doit permettre de proposer une offre de métros, trains et RER supérieure de 15% en moyenne à celle d'un été normal.
Une appli en six langues
Une application dédiée aux déplacements en Ile-de-France va être lancée en mai. Baptisée "Transport public Paris 2024", elle sera disponible en six langues (français, anglais, espagnol, portugais, italien et allemand). Elle permettra d'acheter le passe Paris 2024 (forfait jour à 16 euros) en utilisant son smartphone comme titre de transport. Elle proposera aussi pour chaque trajet un itinéraire idéal tenant compte en temps réel de l'affluence sur le réseau RATP. Valérie Pécresse prévient : les habitués devront parfois rompre avec leurs automatismes et accepter de changer de parcours ou de terminer à pied pour gagner du temps et éviter la foule.
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RER, métro... Une nouvelle application pour trouver le meilleur itinéraire vers les sites des JO de Paris 2024
acte.fr - Rédaction Paris
Publié le 25 mars 2024
La région Île-de-France a annoncé lundi 25 mars 2024 le lancement d'une application. L’objectif ? Simplifier l’expérience des visiteurs lors des Jeux olympiques.
Un peu plus d’un mois après l’annonce faite par le ministère des Transports de la mise en place d’une carte avec les stations de métro et de RER les plus impactées durant les Jeux olympiques (26 juillet – 11 août), la région Île-de-France a annoncé ce lundi 25 mars 2024 le lancement, en mai prochain, de l’application « Transport public Paris 2024 ».
Éviter les itinéraires les plus encombrés
Le nouvel outil sera destiné aux spectateurs des épreuves, qu’ils soient Franciliens ou étrangers, grâce aux six langues de traduction. « Les Franciliens devront parfois changer leurs habitudes », alerte Valérie Pécresse.
La fonctionnalité « Trajet Paris 2024 » devrait permettre de voir en temps réel la répartition de la foule et ainsi choisir le trajet le moins encombré. « Il sera suggéré en tenant compte de l’affluence et des incidents. Les usagers pourront recevoir aussi des push avec des notifications », développe Valérie Pécresse.
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Comment l’agglomération de Carcassonne veut mieux développer le covoiturage
lindependant.fr - Par Claudia Dicristofalo
Publié le 26 mars 2024
Ce lundi 25 mars, les élus de l’agglomération de Carcassonne ont présenté le service gratuit de covoiturage, BlaBlacar daily qui remplace Klaxit depuis janvier. L’objectif : diminuer le nombre de voitures sur les routes en rémunérant les conducteurs partageant leur véhicule.
Au revoir Klaxit… Bonjour BlaBlaCar Daily ! Lundi 25 mars, Carcassonne Agglo a fait un point concernant la situation du covoiturage dans l’agglomération en annonçant notamment l’intégration de la plateforme Klaxit à celle de BlaBlaCar Daily.
Mise en place en mars 2023, la plateforme gratuite Klaxit vise à inciter les habitants du territoire à covoiturer tout en rémunérant les conducteurs. "L’objectif principal est de diminuer le nombre de voitures à Carcassonne. On a plusieurs possibilités : les transports urbains, interurbains, les vélos et depuis un an le covoiturage avec notre première application Klaxit.", explique Michel Proust, vice-président délégué aux Mobilités et Déplacements de demain.
Après un an de service, les résultats de Klaxit sont encourageants : 1 800 inscriptions, 830 covoiturages par le biais de l’application et 13 800 trajets réalisés en 2023."De manière commune, nous avons pour objectif de réduire les voitures sur les routes et d’avoir un impact à la fois écologique et économique", déclare François Fantin, directeur régional de BlaBlaCar Daily. Sur l’année, les trajets de Klaxit se concentraient principalement sur du covoiturage quotidien domicile-travail, avec plus de 80 % des distances de moins de 30 km uniquement dans l’agglomération.
2 000 inscrits et 3 200 trajets réalisés en seulement deux mois
Lire la suite : https://www.lindependant.fr/2024/03/26/comment-lagglomeration-de-carcassonne-veut-mieux-developper-le-covoiturage-11848643.php
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JO de Paris 2024 : « Le passe Navigo n’augmentera pas cet été », promet Valérie Pécresse
msn.com/fr - Article de F.H.
Publié le 26 mars 2024
Olymprix - La présidente de la région Ile-de-France estime qu'« un Francilien qui paie son ticket 4 euros [pendant les Jeux olympiques], c’est qu’il a fait un mauvais choix »
Que les Franciliens munis d’un titre de transport mensuel ou annuel se réjouissent, « ils auront zéro augmentation pendant les Jeux, cet été », a réaffirmé ce lundi Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France et d’Ile-de-France Mobilités. L’élue a pris le temps d’égrener les passes qui résisteront à l’inflation olympique : Navigo, Imagine R et senior.
Le football étant un sport olympique, l’élue LR a adressé un tacle bien appuyé à celles et ceux qui ont critiqué le prix du titre de transport à l’unité, 4 euros, pendant les JO. « Ce tarif est dissuasif, rédhibitoire, trop élevé », reconnaît Valérie Pécresse. Mais pourquoi l’avoir instauré ? Pour inciter les touristes présents dans la région pendant les Jeux à prendre un passe Paris 2024 à 16 euros/jour, 70 euros la semaine.
C’est là que la présidente de région lance son tacle : « Le Francilien qui paie son ticket 4 euros, c’est qu’il a fait un mauvais choix, qu’il a fait le choix de payer plus. » Et de rappeler qu’avec la carte Liberté +, le dit Francilien paie son ticket à « 1,73 euro, paiement à l’usage et en post-paiement ».
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La RATP va s’étendre à Lyon
webmail.viaduc.fr - Par Denis Peiron
Publié le 28 mars 2024
Analyse Alors qu’approche à grands pas l’ouverture à la concurrence des lignes de bus parisiens, la RATP remporte régulièrement de nouveaux marchés, ailleurs en France comme à l’étranger. Ce jeudi 28 mars, la Métropole de Lyon devrait lui confier l’exploitation de ses métros et tramways.
On a beaucoup débattu de l’ouverture à la concurrence des lignes historiques de la RATP. Et c’est vrai que le lancement d’appels d’offres pour le réseau de bus de Paris et de sa proche banlieue, avec l’arrivée possible d’autres acteurs suivant un calendrier échelonné à compter de 2025, marque un tournant.
Mais dans la grande compétition qu’entraîne la libéralisation progressive des transports urbains, qui découle de règlements européens et qui s’étendra en 2040 aux lignes existantes du métro et du RER parisiens, le groupe présidé par l’ex-premier ministre Jean Castex n’est pas seulement sommé de renoncer à une confortable situation de monopole, comme il l’a déjà fait pour les bus de grande banlieue francilienne. Il est aussi à l’offensive, via sa filiale RATP Dev, pour rafler des marchés loin de son ancien pré carré.
Un partage du réseau lyonnais avec Keolis
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5G : la ligne 15 du métro parisien sera 100 % connectée
lesnumeriques.com - Par Passim Chentouf
Publié le 26 mars 2024
La 5G et la fibre seront présentes dans les couloirs et les rames de la ligne 15 du métro parisien dès son ouverture dans six ans, en 2030. La région Île-de-France promet une connexion stable et continue pour tous les usagers durant les trajets.
La construction de la ligne 15 du métro de Paris bat son plein et son ouverture est prévue en 2030. D’une longueur de 200 kilomètres et desservant 36 stations, ce projet du Grand Paris Express bénéficiera également d’une connectivité 5G et de la fibre. La région Île-de-France souhaite qu’un usager qui regarde une série en streaming, par exemple, puisse le faire tout le long de son trajet, sans interruption.
Une connexion 5G stable et sans interruption
Grâce à cette connectivité 5G, les usagers du métro parisien pourront profiter d’une solide connexion pour communiquer, naviguer en ligne, écouter de la musique, jouer en cloud gaming ou en ligne, le tout sans coupure intempestive, comme c'est souvent le cas dans les métros actuellement en circulation.
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/science-espace/5g-la-ligne-15-du-metro-parisien-sera-100-connectee-n220111.html
Intelligence artificielle
Intel lance 2 initiatives pour mobiliser les codeurs autour de l'IA
Sandeep Budki, InfoWorld (adaptation Jean Elyan) ,
Publié le 27 Mars 2024
Le programme AI PC Developer Program d'Intel propose aux développeurs des outils accessibles, des flux de travail, des frameworks de déploiement de l'IA et des kits de développement combinés à son hardware le plus récent.
D'ici à 2025, Intel entend améliorer les capacités d'IA sur plus de 100 millions de PC AI basés sur ses processeurs. À cet effet, l’entreprise a lancé deux initiatives qui visent à promouvoir la collaboration entre les écosystèmes logiciels et matériels dans le cadre de son programme AI PC Acceleration Program. Appelée AI PC Developer Program, la première initiative est spécialement conçue pour les développeurs de logiciels et les fournisseurs de logiciels indépendants (Independent Software Vendor, ISV). Son principal objectif : fournir aux codeurs des outils accessibles, des flux de travail, des frameworks de déploiement de l'IA et des kits de développement dotés du hardware Intel le plus récent, y compris le processeur Core Ultra. L’AI PC Developer Program vise à rationaliser l'expérience des développeurs et à faciliter l'adoption des technologies d'IA à grande échelle. Le kit de développement AI PC dispose d'une pile logicielle préinstallée comprenant des pilotes XPU, Visual C Redistributable, Cmake, Python, OpenCV, Git, VS Code, OpenVINO et Chrome Canary. Il comporte aussi le NUC Pro 14 d'AsusS, équipé d'un processeur Intel Core Ultra. Cet appareil mesure 4,6 x 4,4 x 1,5 pouces et prend en charge jusqu'à quatre écrans étendus. Il dispose de quatre ports USB 3.2, de deux ports Thunderbolt 4, et peut accueillir jusqu'à 96 Go de mémoire.
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IA : l’ONU appelle à promouvoir des systèmes « sûrs, sécurisés et dignes de confiance »
génétique.org - Synthèse de presse
Publié le 25 Mars 2024
Le 21 mars, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution encadrant l’usage des systèmes d’intelligence artificielle (IA). C’est la première fois que l’Assemblée adopte une résolution appelant à mettre en place des « normes » dans ce domaine.
Le texte, présenté par les Etats-Unis, a été approuvé par les 193 Etats des Nations Unies, et « coparrainé » ou soutenu par 123 pays non membres, dont la Russie et la Chine. Il n’est en revanche pas contraignant.
« Nous naviguons en eaux troubles »
Pointant les dangers des systèmes d’IA, la résolution souligne que « la conception, le développement, le déploiement et l’utilisation inappropriés ou malveillants de systèmes d’intelligence artificielle (…) présentent des risques qui pourraient (…) compromettre la protection, la promotion et la jouissance des droits de l’homme et des libertés fondamentales »(cf. Intelligence artificielle : « Des risques majeurs pour l’humanité »).
« Nous naviguons en eaux troubles avec une technologie qui évolue rapidement, ce qui signifie qu’il est plus important que jamais de naviguer à la lumière de nos valeurs », insiste un haut fonctionnaire de l’administration des Nations Unies (cf. Michel Onfray : « Seule une morale pourrait arrêter l’inhumanisme du posthumanisme »).
Linda Thomas-Greenfield, ambassadrice et représentante permanente des Etats-Unis auprès de l’ONU, qui a présenté le projet de résolution, relève la responsabilité de la communauté internationale « de gouverner cette technologie plutôt que de la laisser nous gouverner ». « Réaffirmons donc que l’IA sera créée et déployée dans l’optique de l’humanité et de la dignité, de la sûreté et de la sécurité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales » déclare-t-elle (cf. Elon Musk : l’intelligence artificielle, “une menace pour l’humanité”).
« Les mêmes droits que ceux dont jouissent les personnes hors ligne »
Lire la suite : https://www.genethique.org/ia-lonu-appelle-a-promouvoir-des-systemes-surs-securises-et-dignes-de-confiance/
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L'Etat lance un programme de recherche en intelligence artificielle doté de 73 millions d'euros
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 26 pars 2024
Moins de 100 millions d'euros en poche mais plein de bonne volonté, le gouvernement lance un programme dédié à la recherche en intelligence artificielle. Co-pilotée par le CEA, le CNRS et l'Inria, l'initiative s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale pour l'IA et doit "faire émerger des technologies de rupture".
L'Etat budgétise, les organismes de recherche pilotent. Suivant cette ligne de conduite, un programme de recherche et équipement prioritaire (PEPR) dédié à l'intelligence artificielle a été lancé officiellement ce 25 mars. Co-piloté par le CEA, le CNRS et Inria, il est opéré par l'Agence nationale de la recherche (ANR) avec pour objectifs de renforcer l’écosystème français de recherche et d’innovation "pour lever les verrous du déploiement de l’IA". Le programme bénéficie d'une enveloppe de 73 millions d'euros sur six ans, fonds issus du plan France 2030.
Dans le même temps, le gouvernement espère "faire émerger des technologies de rupture" pour aider la France et l’Europe à se positionner sur l'échiquier de l'intelligence artificielle. Ce programme de recherche – qui s'inscrit dans la stratégie nationale pour l’IA – veut faire avancer la recherche en la matière et amener à des POC (Proof of concept). Pour ce faire, trois grandes thématiques de recherche, correspondant à des problématiques centrales autour de l’IA et de la souveraineté, structurent ce programme.
Trois thématiques clé autour de l'IA
La première thématique concerne la recherche sur l’IA frugale et l’IA embarquée. Son ambition : identifier les architectures logicielles, les méthodologies d’apprentissage frugal d’entraînement sur des bases de données maîtrisées et l’optimisation avancée des applications pour rationaliser au maximum la consommation énergétique des systèmes d’IA à base de machine learning.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/l-etat-lance-un-programme-de-recherche-en-ia-dote-de-73-millions-d-euros.N2210452
Paiement électronique
Paiement mobile en France en 2024 : Quelle évolution ?
servicesmobiles.fr - Par la rédaction
Publié le 28 mars 2024
Lyf annonce les résultats de la quatrième édition de son baromètre OpinionWay, consacré aux relations entre les Français et les services de paiement mobile. Après une stabilisation des usages en 2023, une augmentation de l'utilisation des solutions de paiement mobile est observée en 2024, avec une fidélité renforcée des utilisateurs de longue date. Comment ces tendances évolueront-elles à l'avenir ?
L’avènement d’une nouvelle ère numérique se manifeste en France alors que des mouvements significatifs vers la dématérialisation des paiements deviennent de plus en plus manifestes. En fait, selon le baromètre de Lyf en 2024, une majorité de Français ont adopté de manière durable les solutions de paiement digitales, changeant à jamais notre vision de la monnaie et du commerce. L’une des principales révélations de l’étude est l’augmentation du paiement mobile sans contact en magasin, qui est passé à 63% d’utilisation signalée, soit 8 points de plus qu’en 2023. Il n’est donc pas surprenant que ce soit l’un des modes d’intérêt préférés des Français. D’ailleurs la commande et le paiement à table se démocratisent également : désormais, 1 Français sur 2 déclare connaître et utiliser cette méthode de paiement au restaurant.
Nous avions réalisé une conversation avec Christophe Dolique, CEO de Lyf qui est bien plus qu’une simple application, c’est une véritable révolution dans le monde des transactions mobiles, une super App.
L’essor fulgurant du wallet de paiement
Dans le même temps, le wallet de paiement, gagne également du terrain avec une augmentation de 6 points pour atteindre 38% d’adoption déclarée. Parmi les participants à l’étude, près d’un Français sur deux déclare également l’intention d’utiliser à l’avenir un wallet digital. Les Français se montrent donc ouverts à l’évolution numérique, vers une société sans espèces.
36% d’entre ont déjà entendu parler du portefeuille d’identité numérique européen, 34% de l’Euro numérique, et 24% du futur wallet de paiement européen Wero, dont le déploiement est prévu mi-2024. Une fois informées, 36% des personnes interrogées se disent prêtes à utiliser ce wallet à l’avenir. Un taux qui grimpe à 50% chez les 16-24 ans.
Diminution de l’inquiétude face à la fraude numérique
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Blockchain
Blockchain : les cas d’usage dans la finance
lemagit.fr - Par Mary K. Pratt
Publié le 28 mars 2024
La blockchain continue de se développer dans les entreprises, les sociétés du secteur financier élargissant leur utilisation de la technologie. Voici un aperçu de 7 utilisations, établies ou émergentes.
Le secteur financier continue d’explorer la blockchain avec des investissements importants.
Une étude de 2022 de FTI Consulting, « The State of Blockchain Technology and Digital Assets in Financial Services » (l’état de la technologie blockchain et des actifs numériques dans les services financiers), expliquait que la majorité des entreprises de services financiers considéraient l’investissement dans la blockchain en 2023 comme une priorité et que 85 % avaient une perception positive de son futur impact.
Un an plus tard, en 2023, Global Industry Analysts confirmait la tendance dans un rapport « FinTech Blockchain : Global Strategic Business Report », où il estimait que le marché mondial de la blockchain passerait de 1,4 milliard de dollars en 2022 à 43,1 milliards de dollars en 2030.
Cette croissance exponentielle s’explique en grande partie par le fait que les entreprises du secteur trouvent de nouveaux cas d’usage pertinents à la blockchain – aussi bien pour optimiser les produits financiers existants que pour en imaginer de nouveaux. En voici 10 parmi les plus intéressants.
1. Des services plus rapides, moins chers et plus sûrs
La raison d’être de la blockchain est de pouvoir enregistrer des transactions de manière « immuable » (une ligne du registre ne peut être modifiée a posteriori), et en temps réel. Les experts estiment donc qu’elle est un moyen plus rapide, plus fluide, plus automatisé, plus sûr et plus évolutif de traiter presque tous les services financiers traditionnels impliquant plusieurs acteurs, comme les transferts d’argent, les paiements de gré à gré ou le financement d’opérations commerciales internationales.
Lire la suite : https://www.lemagit.fr/conseil/Blockchain-les-cas-dusages-dans-la-finance
Cybersécurité
En 2023, l'Anssi a musclé sa préparation aux cyber-menaces
lemondeinformatique - Par Dominique Filippone
Publié le 29 Mars 2024
L'agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) a confirmé dans son dernier rapport annuel que 1 172 incidents ont débouché sur des actions malveillantes réussies dans le SI d'organismes français en 2023. Multiplication des services, formations et de actions de sensibilisation ainsi que l'accompagnement de CSIRT régionaux ont été au coeur de ses missions.
2023 est l'année 1 pour le successeur de Guillaume Poupard à la tête de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi), Vincent Strubel. Et pour ce premier anniversaire, ce ne sont pas les événements cybersécurité qui ont manqué. Après avoir relevé en février dernier les principales cybermenaces 2023 - dont un risque de cyber-sabotage de groupes affiliés à la Russie - à l'occasion de son traditionnel panorama, l'agence publie maintenant son dernier rapport d'activité. "Dans un contexte caractérisé par de nouvelles tensions géopolitiques et la tenue d’événements internationaux sur le sol français, le niveau de la menace informatique a poursuivi sa croissance", fait savoir d'entrée Vincent Strubel.
Sur l'année écoulée, l'ANSSI (634 agents, 29,8 M€ de budget) a pris connaissance de 3 703 événements de sécurité et a confirmé 1 172 incidents de sécurité ayant débouché sur des actions malveillantes réussies dans le système d'information de leurs victimes. Face à une cybermenace qui s'accroit, l'organisme met en avant la nécessité d'élever le niveau de cybersécurité global en France mais aussi au niveau de l'Union européenne. Pour cela, il met en avant la loi de programmation militaire 2024-2030 ainsi que la directive NIS 2. Mais ce n'est pas tout : "l’agence a travaillé activement en 2023 sur son offre de services et le schéma de qualification de prestataires d’audit et de conseil en sécurité (PACS) qui va permettre, en plus des autres prestataires qualifiés, de démultiplier les capacités pour pouvoir aider les nouvelles entités concernées par ces règles", peut-on lire dans le rapport.
La montée en puissance des CSIRT régionaux
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-montee-en-puissance-de-l-anssi-pour-contrer-la-menace-de-cybersecurite-93372.html
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Provence-Alpes-Côte d’Azur mobilise 3,5 millions d’euros pour la cybersécurité des PME
solutions-numériques.com - Par AFP
Publié le 29 mars 2024
(AFP) – La région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) a voté vendredi la mobilisation de 3,5 millions d’euros pour aider les petites et moyennes entreprises (PME) à améliorer leur cybersécurité, via un dispositif baptisé « Mon bouclier cyber ».
« Le fléau de la cybercriminalité exacerbé par les nouvelles technologies et attisé par les tensions internationales s’attaque désormais aux plus petites entreprises, nuisant davantage au développement économique de notre territoire« , a souligné lors de l’assemblée plénière de la région son vice-président chargé du développement économique François de Canson.
Des financements pour un abonnement d’un an à trois solutions de cybersécurité
« Le nouveau programme Mon bouclier cyber a pour but de proposer aux PME une solution adaptée à chacune en fonction de leur degré de maturité en termes de cybersécurité et surtout complémentaire aux aides disponibles par ailleurs« , a précisé M. de Canson. Les entreprises avec des besoins standard et limités pourront bénéficier des conseils d’un expert professionnel pour sensibiliser aux bons gestes et évaluer les meilleures solutions de protection. Elle bénéficieront aussi de financements pour un abonnement d’un an à trois solutions de cybersécurité, « antivirus amélioré, protection de messagerie et sauvegarde de données« . Pour les PME ayant des besoins plus complexes, l’aide consistera en une subvention pouvant aller jusqu’à 5 000 euros pour l’achat d’une solution technique labellisée. Le but de ce dispositif, qualifié « d’inédit » par la région Paca présidée par Renaud Muselier (Renaissance), est de soutenir « 1 300 entreprises d’ici 2027« .
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NIS 2, cette directive européenne qui va renforcer la cybersécurité
lagazettedescommunes.com - Par Gabriel Thierry
Publié le 25 mars 2024
Pour une partie des collectivités, la transposition de la directive européenne NIS 2, qui doit avoir lieu en octobre 2024, va être synonyme de nouvelles obligations. Même si le périmètre exact et la nature de la réglementation restent flous, elles s’organisent déjà.
La date butoir approche à grands pas. En octobre, la France devra avoir transposé la directive européenne NIS 2 (Network and Information Security). Ce chantier, qui n’a pas encore commencé au Parlement, concernera directement une partie des collectivités. Même si le périmètre exact n’est pas encore connu – la directive laisse aux Etats membres le choix d’inclure ou non les administrations publiques dans le dispositif – l’Anssi (1) a déjà prévenu : les collectivités seront dans le champ d’application.
Reste à savoir à quelle sauce, exactement, elles seront mangées. Dans les collectivités territoriales, un seuil autour de 30 000 – chiffre évoqué à l’Assemblée nationale par le préfet Stéphane Bouillon, patron du Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale, la tutelle de l’Anssi – ou de 50 000 habitants est ainsi anticipé pour le volet le plus exigeant de la directive (lire ci-dessous). Soit les régions, les départements, les métropoles, les agglomérations et les communes de cette taille.
« La directive européenne permet une proportionnalité, j’espère que l’Anssi sera pragmatique », signale Antoine Trillard, président du Coter numérique, une association qui réunit des directeurs des systèmes d’information de collectivités. « Le nombre d’habitants ne peut être le seul critère d’obligations imposées », ont rappelé trois associations de collectivités, France Urbaine, Intercommunalités de France et Les Interconnectés. « Le risque est que des opérateurs publics de services numériques ayant de grosses communes dans leur périmètre, mais peu de services numériques, se retrouvent avec des obligations disproportionnées qu’ils ne pourront tenir », avertit Emmanuel Vivé, président de Déclic, le réseau des opérateurs publics de services numériques.
Contraintes de la directive NIS 1
Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/918880/nis-2-cette-directive-europeenne-qui-va-renforcer-la-cybersecurite/
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La FFF frappée par une cyberattaque
lemondeinformatique.fr - Par Dominique Filippone
Publié le 26 Mars 2024
Des données personnelles incluant des coordonnées et des numéros de licenciés de la Fédération Française de Football ont été piratées. Plusieurs millions de personnes pourraient être concernées.
Les licenciés de la Fédération Française de Football pour les saisons 2022-2023 et 2023-2024 doivent se montrer particulièrement vigilant dans les jours, semaines et mois qui viennent. L'organisme a été la cible d'une cyberattaque ayant abouti à une violation de données personnelles potentiellement de très grande ampleur. Des données d'identité (nom, prénom, genre, date et lieu de naissance, nationalité) ainsi que des adresses postales, adresses email, numéros de téléphone et de licencié ont en effet été piratés. En revanche les données bancaires n'auraient pas été exposées.
"Les conséquences potentielles de cette affaire concernent les différentes formes d’hameçonnage (phishing), de tentatives d’escroqueries ou d’usurpation d’identité dont pourraient être victime les personnes concernées par cet incident", a prévenu Cybermalveillance.gouv.fr. Selon Le Parisien, un hacker agissant sur un forum du Darknet a prétendu détenir et vouloir vendre des informations issues de plusieurs millions de licences.
CNIL et Police Judiciaire sur le coup
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-la-fff-frappee-par-une-cyberattaque-93347.html
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Prêt à faire face à des hackers? un site officiel permet de tester vos aptitudes en cybersécurité
bfmtv.com - Par Kesso Diallo
Publié le 26 mars 2024
Le site Cybermalveilance.gouv.fr a étendu son dispositif SensCyber au grand public pour le sensibiliser aux risques numériques.
En juin 2023, le site Cybermalveillance.gouv.fr a lancé SensCyber, un dispositif d’information d'e-sensibilisation gratuit pour les agents de la fonction publique. Avec celui-ci la plateforme vise à décliner ses ressources existantes pour "les rendre accessibles au plus grand nombre d’agents et dans un format interactif".
Dans un contexte où les Français sont ciblés par des hackers, notamment avec des campagnes de hameçonnage, Cybermalveillance.gouv.fr souhaite sensibiliser l'ensemble de la population. Dans cet objectif, le site a étendu et adapté son programme au grand public, ainsi qu’aux collaborateurs des TPE et PME françaises.
"9 français sur 10 ont déjà été victimes d’une menace. Si la sécurisation technique est primordiale, le facteur humain est également déterminant pour se protéger", a déclaré Laurent Verdier, directeur du pôle sensibilisation de Cybermalveillance.gouv.fr, dans un communiqué.
Armer les Français pour faire face aux hackers
Détection
New York va tester des systèmes de détection d'armes à feu dans le métro de la ville
zonezbourse.com - Reuters -Traduit par zonebourse.
Publié le 28 mars 2024
La ville de New York va commencer à tester la technologie de détection des armes à feu dans le cadre d'un programme pilote dans plusieurs stations de métro, a annoncé jeudi le maire Eric Adams.
Cette annonce fait suite à plusieurs fusillades dans le métro, l'un des plus grands et des plus fréquentés au monde, dont une dispute dans une rame en mars qui s'est terminée par une balle dans la tête tirée par un homme avec sa propre arme.
Après une période de préavis de 90 jours prévue par la loi municipale pour les nouvelles technologies de surveillance, le département de la police de New York va commencer à tester des scanners portables dans plusieurs stations, mais M. Adams n'a pas précisé lesquelles.
Lors de la manifestation de jeudi à la station de métro Fulton Street, dans le sud de Manhattan, M. Adams a montré un scanner fabriqué par Evolv, une entreprise du Massachusetts spécialisée dans les technologies de sécurité.
"L'annonce d'aujourd'hui est la prochaine étape de nos efforts continus pour empêcher les armes dangereuses d'entrer dans notre système de transport et pour fournir de meilleurs services de santé mentale aux New-Yorkais en crise", a déclaré M. Adams, un démocrate qui a patrouillé dans le métro en tant qu'officier de police.
La Legal Aid Society, qui défend les droits des New-Yorkais qui n'ont pas les moyens de s'offrir les services d'un avocat, a qualifié ce projet de malavisé et d'atteinte à la vie privée des New-Yorkais.
"En termes simples, les systèmes de détection des armes à feu sont défectueux et déclenchent souvent de fausses alarmes, ce qui induit la panique et crée des situations qui pourraient entraîner la perte de vies humaines", a déclaré Jerome Greco, un avocat de l'unité de criminalistique numérique de la Legal Aid Society, dans un communiqué. "La ville de New York ne devrait pas servir de terrain d'essai pour les sociétés de surveillance.
Lire la suite : https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/New-York-va-tester-des-systemes-de-detection-d-armes-a-feu-dans-le-metro-de-la-ville-46315687/
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Détection de faux comptes : DataDome lance Account Protect
linformaticien.com - Par Victor Miget
Publié le 25 mars 2024
DataDome a présenté une solution de protection visant à protéger les entreprises contre la création et l’exploitation de faux comptes à des fins frauduleuses.
Une solution qui prévient les pertes financières liées au piratage et à la création de faux comptes. C’est ce que promet l’entreprise spécialisée dans l’IA contre la fraude en ligne et les bots malveillants, DataDome, avec Account Protect, une solution de protection de la création à la connexion aux comptes.
« Contrairement à d'autres solutions, qui se cantonnent à surveiller un type d'activités précis, DataDome Account Protect fournit une évaluation continue des risques des connexions utilisateurs et des comptes, tout en analysant et sécurisant le compte à chaque moment de connexion », explique DataDome.
0,00091% de faux positifs
Pour prouver que sa solution fonctionne, DataDome a donné l’exemple d’une entreprise de luxe cliente, restée anonyme, qui a rencontré des difficultés avec un système de réservation en ligne, puisqu'elle comptait entre 100 000 et 300 000 inscriptions quotidiennes. Account Protect a révélé que 75% d'entre elles étaient frauduleuses, avec un taux de faux positifs de 0,00091%. « Cela a permis à la marque de reprendre le contrôle de leurs inscriptions, de diminuer les rendez-vous manqués et de rediriger leur attention vers les interactions clients authentiques, améliorant ainsi leur expérience de réservation », décrit l’entreprise.
Le piratage de comptes aurait coûté 25,6 milliards de dollars aux entreprises américaines en 2020, soit une augmentation de 500% depuis 2017, selon Juniper Research.
Lire la suite : https://www.linformaticien.com/magazine/cybersecurite/61852-detection-des-faux-comptes-datadome-lance-account-protect.html
CNIL
Guide de la sécurité des données personnelles : nouvelle édition 2024
Publié le 26 mars 2024
Le guide de la sécurité des données personnelles a pour but de rappeler les précautions de sécurité à mettre en œuvre. Cette nouvelle version restructure le guide et introduit de nouvelles fiches, notamment sur l’intelligence artificielle, les applications mobiles, l’informatique en nuage (cloud) et les inter
Quel est le contenu du guide ?
L’obligation de sécurité en matière de traitement de données personnelles, inscrite dans la loi depuis 1978, a été renforcée par le RGPD. Il peut cependant être difficile, lorsque l’on n'est pas familier avec les méthodes de gestion des risques, de mettre en œuvre une telle démarche et de s’assurer que le nécessaire a bien été fait.
« Le responsable du traitement et le sous-traitant mettent en œuvre les mesures techniques et organisationnelles appropriées afin de garantir un niveau de sécurité adapté au risque. » - Article 32 du RGPD
Au travers de ces fiches, le guide de la sécurité des données personnelles de la CNIL rappelle aussi bien les précautions élémentaires qui devraient être mises en œuvre que les mesures destinées à renforcer davantage encore la protection des données.
Quelles sont les nouveautés de l’édition 2024 ?
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/guide-de-la-securite-des-donnees-personnelles-nouvelle-edition-2024
Internet des objets
La FCC américaine introduit l'étiquetage de cybersécurité IoT
technews.fr - Par Nolan Girault
Publié le 25 mars 2023
La Commission fédérale des communications des États-Unis a voté en faveur de la création d'un programme volontaire d'étiquetage de cybersécurité pour les produits grand public sans fil de l'Internet des objets (IoT).
Dans le cadre de ce programme, les produits intelligents grand public éligibles qui répondent à des normes strictes de cybersécurité porteront un label – comprenant une nouvelle « US Cyber Trust Mark » – qui aidera les consommateurs à prendre des décisions d'achat éclairées, à différencier les produits dignes de confiance sur le marché et à inciter les fabricants à répondre à des normes de cybersécurité plus élevées. Avec l'action d'aujourd'hui, la Commission a adopté les règles et le cadre permettant au programme d'avancer.
Parmi les temps forts du programme :
• Le logo américain Cyber Trust Mark apparaîtra initialement sur les produits IoT grand public sans fil qui répondent aux normes de cybersécurité du programme.
• Le logo sera accompagné d'un code QR que les consommateurs pourront scanner pour obtenir des détails faciles à comprendre sur la sécurité du produit, tels que la période de support du produit et si les correctifs logiciels et les mises à jour de sécurité sont automatiques.
• Le programme volontaire s'appuiera sur une collaboration public-privé, la FCC assurant la surveillance et des administrateurs de labels tiers agréés gérant des activités telles que l'évaluation des demandes de produits, l'autorisation d'utilisation du label et l'éducation des consommateurs.
• Les tests de conformité seront effectués par des laboratoires accrédités.
• Des exemples de produits éligibles peuvent inclure des caméras de sécurité domestiques, des systèmes de diffusion vocale
• appareils de magasinage personnalisés, appareils connectés à Internet, trackers de fitness, ouvre-portes de garage et moniteurs pour bébé.
Lire la suite : https://technews.fr/2024/03/la-fcc-americaine-introduit-letiquetage-de-cybersecurite-iot.html
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Les solutions IoT modernisent le secteur de l’interphonie et du contrôle d’accès
objetconnecte.com - Par Harimaholy
25 mars 2024
La position de COGELEC dans le contrôle d'accès
Le groupe vendéen COGELEC, fondé en 2000, s'est imposé comme le numéro un du contrôle d'accès et de l'interphonie sans fil en France. A travers ses marques Intratone, Rozoh, Kibolt et Hexact, l'entreprise a révolutionné le marché en introduisant les premières solutions industrielles basées sur des modules GSM et des cartes SIM IoT cellulaire.
L'installation des interphones
Avant l'intervention d'Objenious, l'installation d'interphones traditionnels représentait un véritable défi. Elle nécessitait des travaux d'installation complexes et la présence des occupants. La collaboration avec Objenious a permis à COGELEC de bénéficier de solutions IoT innovantes et d'une connectivité avancée. Ce qui a simplifié globalement les processus d'installation et de maintenance.
Une croissance impressionnante
Cette collaboration a permis à COGELEC de doubler son parc de cartes SIM IoT fournies par Objenious entre 2021 et 2024. Cette expansion spectaculaire est le résultat d'un partenariat dynamique et d'une recherche constante d'innovation, selon le Directeur Associé chez COGELEC.
« Objenious est devenu un vrai partenaire de croissance, que nous challengeons régulièrement, notamment d'un point de vue technologique. Grâce à cette dynamique, nous avons pu mettre en place de tout nouveaux projets, adaptés au marché et à ses besoins », précise Laurent Caramelle.
Lire la suite : https://www.objetconnecte.com/cogelec-objenious-revolution-iot/
Monnaie numérique
Quels États ont lancé leur propre monnaie numérique ?
fr.statista.com Par Tristan Gaudiaut
Publié le 25 mars 2024
Si l'argent liquide est encore loin d'avoir disparu des portemonnaies, les modes de paiement traditionnels sont sur le déclin partout dans le monde. Une tendance qui s'est accélérée avec la pandémie au début des années 2020. Face à la dématérialisation des transactions financières, la Banque centrale européenne (BCE) milite pour la création d'un euro numérique. Un projet pilote avait été lancé à l'été 2021, suivi d'une phase préparatoire qui a démarré en novembre 2023 et dont le but est de préparer la voie à sa création. Le 22 avril prochain, l'introduction de l'euro numérique fera l'objet d'un vote au Parlement européen de Strasbourg.
Concrètement, si l'euro numérique venait à être introduit, le changement apparent serait assez faible pour le grand public. Comme le résume la BCE sur son site : « Un euro numérique serait une forme numérique d'espèces, un moyen de paiement de détail qui serait émis par la BCE. En tant que monnaie publique, il serait disponible à chacun dans la zone euro, gratuitement, pour tout paiement numérique. [...] Un euro numérique serait conservé dans un portefeuille électronique placé auprès de votre banque ou d'un intermédiaire public ». Ce projet inquiète en revanche davantage les banques commerciales, qui réalisent d'importants revenus grâce aux paiements par carte (commissions, etc.) et craignent la concurrence que pourrait générer ce nouveau portefeuille électronique gratuit géré par la BCE.
Comme le montrent les données du suivi d'Atlantic Council présentées sur notre carte, les monnaies numériques de banque centrale (MNBC) se développent dans de nombreux pays et territoires.
Lire la suite : https://fr.statista.com/infographie/24578/monnaies-numeriques-emises-par-les-banques-centrales-dans-le-monde-lancement-projet-pilote/
Thales
THALES accélère dans l'IA pour la Défense
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 28 mars 2024
Le secteur de la défense connaît des mutations majeures liées à la multiplication des données sur le champ de bataille. Il bénéficie par ailleurs des nouveaux usages du monde civil (tels que l’assistant personnel, l’analyse vidéo ou le débruitage).
Fort de ses investissements dans le domaine de la recherche en IA, Thales a intégré l’IA dans ses systèmes critiques depuis une dizaine d’années, pour permettre à ses clients de prendre l’avantage et de gagner en résilience face à un déluge de données, de menaces et d’informations.
Patrice Caine, Président-directeur général de Thales, déclare: « Notre Groupe, leader des hautes technologies en Europe pour les secteurs civil et de défense, s’appuie sur sa maîtrise de l’IA et sur ses atouts majeurs qui font sa force : son expertise technologique, sa connaissance des domaines critiques - défense et aéronautique, spatial, cyber, identité numérique - et sa gestion des environnements contraints. Thales développe déjà des solutions embarquables, frugales, fiables, explicables et sécurisées de bout en bout et franchit aujourd’hui une nouvelle étape en se dotant de capacités d’IA dimensionnantes, qui répondent aux besoins de sécurité et de souveraineté exprimés par ses clients. »
cortAIx, l’accélérateur d’IA de confiance pour la recherche, les capteurs et les systèmes
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/securite/press_release/thales-accelere-lia-defense
Mobilité
Carte bancaire, téléphone, montre connectée... prendre les transports sera plus simple à Orléans
actu.fr - Par Raphaël Bazile
Publié le 19 mars 2024
La Métropole d'Orléans (Loiret) est entrain d'équiper tous les bus et les tramways du territoire d'un nouveau terminal pour payer son ticket.
D’ici 15 jours, tous les bus et les tramways de la métropole d’Orléans (Loiret) seront équipés d’un nouveau système pour payer son ticket.
Il sera donc possible de payer, en montant dans le bus, avec sa carte bancaire, son téléphone portable ou sa montre connectée directement sur le terminal pour un trajet. Les usagers pourront également valider les titres des personnes qui les accompagnent grâce au même moyen de paiement.
5 millions d’investissement
Orléans Métropole a confié le projet à Kéolis, la société de transport, il y a 18 mois. « Le planning a été respecté », annonce Romain Roy, vice-président d’Orléans Métropole en charge des transports et déplacements. « Depuis hier matin, les premiers bus roulent avec cette borne ».
Ce projet, qui a coûté à la métropole 5 millions d’euros, est un système qui permet « de faciliter la prise des transports d’un visiteur comme d’un usager de longue date », poursuit Romain Roy. Le vice-président d’Orléans Métropole également que le prix du ticket ne va pas augmenter.
Arrêt du billet papier en juillet 2025
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Navettes fluviales : Bordeaux développe le transport de passagers sur la Garonne
lefigaro.fr - Par Jean Cittone
Publié le 19/03/2024
La fréquentation des «BatCub» augmente régulièrement depuis leur mise en service, avec plus de 378.000 voyageurs annuels en 2023. Un nouveau ponton vient d’être inauguré sur la rive droite et deux autres vont l’être cette année.
Rapprocher les deux rives de la Garonne. C’est un souhait de longue date de la ville de Bordeaux et des communes voisines bercées par ce fleuve. Un huitième franchissement de la Garonne, le pont Simone-Veil, va être inauguré cet été, après des années de travaux. Mais en attendant ce nouvel ouvrage titanesque, Bordeaux Métropole veut développer les navettes luviales «BatCub» (ou «Bat³») en agrandissant la flotte et en créant de nouveaux pontons, afin de «favoriser la multimodalité» dans l’agglomération.
Le BatCub, qui tire son nom de la communauté urbaine de Bordeaux (Cub), l'ancien nom de la métropole, a fêté ses dix ans en 2023. Ces navettes fluviales hybrides «en forme de catamaran» permettent aux Bordelais «d'aller d'une rive à l'autre avec la même carte d'abonnement TBM ou le même ticket», rappelle la ville de Bordeaux. Elles accueillent jusqu’à 45 passagers et six vélos. Emblématique du réseau TBM, le BatCub ne desservait jusqu’à présent que cinq pontons, mais va bénéficier de plusieurs améliorations.
Le tarif unitaire pour prendre ce bateau est le même que pour le reste du réseau TBM, mais ce moyen de transport reste encore assez accessoire par rapport au tramway et aux bus, notamment car les temps d’attente peuvent être assez longs (toutes les 15 minutes en heure de pointe, toutes les 40 minutes en heures creuses et le week-end). Pour autant, la fréquentation des BatCub augmente depuis 2013, avec une hausse continue depuis la fin de l’épidémie de coronavirus. En 2022, plus de 350.000 voyageurs ont transité par une de ces navettes fluviales. En 2023, ils étaient plus de 378.000.
Six nouveaux débarcadères d’ici à 2028
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/bordeaux/navettes-fluviales-bordeaux-developpe-le-transport-de-passagers-sur-la-garonne-20240319
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Avec son système d’accrochage universel, Aurizeo veut révolutionner la mobilité des PMR
maddyness.com - Par Guillaume Cossu
Publié le 22 mars 2024
MADDYPITCH - Avec ses Handinautes, Aurizeo offre aux personnes à mobilité réduite et à leurs aidants une meilleure autonomie et une plus grande facilité de déplacement dans les lieux publics et les entreprises.
En 2017, suite à un accident de moto, Laurent Lapierre devient paraplégique. L'ingénieur en informatique se retrouve alors confronté à des difficultés quotidiennes pour déplacer son fauteuil, et décide de fonder Aurizeo avec Francine Fourré, Sébastien Charles et Ludovic Lemille. Leur objectif ? Permettre une mobilité « équitable », c’est-à-dire sans effort pour les personnes en fauteuils roulant et leurs aidants, dans les lieux publics comme dans les entreprises.
« Durant ma rééducation, j’ai testé de nombreux systèmes pour motoriser les fauteuils manuels, c’est-à-dire ceux qu’on fait avancer à la force des bras. Tous nécessitent une adaptation entre le fauteuil et le système », se rappelle Laurent Lapierre. « Je me suis alors dit : pourquoi n’existe-t-il pas un système universel ‘’Plug&Roll’’ ? Il aura suffi d’un appel à projets du SQY Cub, l’incubateur de Saint-Quentin-en-Yvelines, pour que le projet se lance concrètement.»
Une autonomie renforcée pour les PMR grâce aux Handinautes
Fondée en 2022, la startup offre aux personnes à mobilité réduite et à leurs aidants une solution de mobilité innovante grâce à ses deux modèles de Handinautes : le Solo et le Duo. Le Solo offre aux utilisateurs de fauteuils roulants la capacité de se mouvoir de manière autonome, grâce à un système de motorisation électrique intuitif. Quant au Duo, il permet aux aidants de pousser un fauteuil sans effort, en montant sur le Handinaute et en l’accrochant devant, tout en intégrant un panier pour faire les courses ou même porter une valise.
Le Handinaute se distingue par son système de fixation universel breveté, ce qui permet une compatibilité avec une multitude de fauteuils roulants. Cette solution « Plug&roll » ne nécessite pas d'adaptation spécifique pour chaque utilisateur, et s’adapte à tous les fauteuils roulants manuels. La partie arrière du Handinaute est conçue pour permettre le roulage des roues avant jusqu’aux mâchoires d’accrochage.
Lire la suite : https://www.maddyness.com/2024/03/22/avec-son-systeme-daccrochage-universel-aurizeo-veut-revolutionner-la-mobilite-des-pmr/
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Stellantis adopte une technologie de détection Lidar pour véhicule autonome
auto-infos.fr - Par Christophe Carignano
Publié le 20 mars 2024
Depuis plusieurs mois, Stellantis multiplie les annonces et les investissements dans les nouvelles technologies. C’est encore le cas avec la start-up française Steerlight, reconnue pour son expertise dans la technologie de détection Lidar, à la fois performante et abordable. Cette collaboration marque une avancée significative vers le véhicule autonome.
À la suite d'un tour de table impliquant un groupe d'investisseurs mené par Stellantis Ventures, ainsi que Quantonation et LIFTT, capital-risque centré sur les deep-tech, Stellantis annonce son engagement dans une technologie visant à préparer le terrain pour les voitures autonomes de demain. Cette technologie, basée sur le Lidar, est présentée comme révolutionnaire et accessible.
La télédétection par laser
Ce Lidar innovant sur puce, développé par la start-up SteerLight, promet une précision et une résolution de détection sans précédent. Son coût abordable constitue un avantage crucial, offrant ainsi aux constructeurs la possibilité de développer des solutions à grande échelle. Cet aspect revêt une importance capitale dans l'adoption des systèmes avancés d'aide à la conduite (Adas), tout en ouvrant la voie à la conduite autonome.
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/stellantis-adopte-une-technologie-de-detection-lidar-pour-vehicule-autonome.281488
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La carte bancaire devient un titre de transport sur le réseau IziLo Mobilités de Lorient Agglomération
lorient-agglo.bzh - Par la rédaction
Publié le 21 mars 2024
Lorient Agglomération a déployé le paiement sans contact sur son réseau de transports IziLo Mobilités pour simplifier et accélérer le parcours d’achat des usagers et offrir plus de liberté aux voyageurs sur les 25 communes desservies.
L’amélioration des transports collectifs et des déplacements multimodaux est une priorité majeure du projet de territoire. Dans ce cadre, Lorient Agglomération a souhaité s’engager avec l’entreprise spécialisée Matawan (anciennement Ubitransport) dans un renouvellement du système de paiement des titres de transport sur son réseau IziLo Mobilités pour s’adapter aux évolutions des besoins des habitants.
L’installation progressive de nouveaux valideurs dans les bus et les bateaux depuis l’automne 2023, permet désormais aux usagers du réseau de transports de Lorient Agglomération de payer et valider immédiatement leur titre de transport avec leur carte bancaire sans contact, physique ou dématérialisée (via smartphone, montre connectée…), en toute sécurité.
Au total, les 220 véhicules exploités sur le réseau IziLo Mobilités de Lorient Agglomération sont équipés du nouveau système billettique (Bus, navires, autocars, mini-bus, etc…) et plus de 350 valideurs ont permis d’équiper les véhicules qui réalisent des lignes régulières (3 valideurs dans les bus articulés et les navires, 2 valideurs dans les bus standards, 1 valideur dans les autocars et les mini-bus). L’opération a nécessité un investissement global de 2 M€.
Budget
Coupes budgétaires : l'AMF dénonce l'inefficacité de la « politique du rabot »
maire-info.com - Par Xavier Brivet
Publié le 14 mars 2024
Auditionnés, hier, par la commission des finances de l'Assemblée nationale, David Lisnard et André Laignel, président et 1er vice-président délégué de l'AMF, ont souligné la faible part des collectivités dans la dette nationale et exhorté le gouvernement à leur redonner des moyens pour investir et soutenir la croissance.
« La méthode du rabot budgétaire saupoudré ne résout pas la structure déficitaire de la France et réduit les capacités d’investissement des collectivités », a jugé David Lisnard, président de l’AMF, hier, devant la commission des finances de l’Assemblée nationale. Auditionné sur la situation des finances locales, avec André Laignel, premier vice-président délégué de l’AMF et président du Comité des finances locales (CFL), le maire de Cannes a dénoncé le projet du gouvernement de faire participer les collectivités au redressement des comptes publics (lire Maire info d'hier) « alors que le bloc local ne représente environ que 10 % de la dépense publique (…) et les collectivités locales environ 9 % du total de la dette publique tout en réalisant 70 % de l’investissement public. (…) Les collectivités ne sont donc pas le problème des finances publiques nationales ! ».
« Faire confiance aux collectivités »
André Laignel a estimé que sur les 10 milliards d’euros de coupes budgétaires annoncées par l’Etat, « entre 3,7 et 3,8 milliards concernent les collectivités » dont « 2 milliards d’euros sur l’écologie et la mobilité » alors même que l’Etat demande aux collectivités d’investir dans la transition écologique. « L’exécutif doit sortir de ces injonctions paradoxales et faire confiance aux collectivités », a estimé David Lisnard en déplorant que l’État ait « dégradé les finances locales en réduisant la dotation globale de fonctionnement (DGF) avec un prélèvement, depuis 2010, de 71 milliards d’euros en perte cumulée, en transférant aux collectivités des charges non compensées et en recentralisant la fiscalité locale avec la suppression de la taxe d’habitation et de la CVAE ». Les deux élus ont pointé l’impact de ces mesures qui, ajoutées aux coupes budgétaires, freinent l’investissement local pourtant essentiel à la croissance.
Indexer la DGF sur l’inflation
Lire la suite : https://www.maire-info.com/budget/coupes-budgetaires-amf-denonce-inefficacite-la-politique-du-rabot--article-28411
Détection
Détecter plus tôt les intempéries grâce aux données GPS
Publié le 21 mars 2024
(Keystone-ATS) Des chercheurs zurichois peuvent détecter plus tôt les intempéries grâce aux données GPS. Les orages et les fortes pluies ont en effet un impact sur la qualité du signal, montre une équipe de l’EPFZ dans une étude publiée dans la revue Geophysical Research Letters.
Ces connaissances pourraient un jour non seulement rendre les prévisions météorologiques plus précises, mais aussi contribuer à la détection précoce d’événements météorologiques extrêmes, indique mercredi l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ).
Les chercheurs ont eu la puce à l’oreille après de fortes intempéries à Zurich en juillet 2021, lorsque les stations de mesure installées sur le toit de l’Institut de géodésie et de photogrammétrie sur le campus du Hönggerberg ont connu une panne dans l’analyse des données GPS.
Rapport signal/bruit perturbé
“Nous n’avons pas pu expliquer pourquoi”, a déclaré Matthias Aichinger-Rosenberger, auteur principal de l’étude, cité par l’université. Les analyses des données de cet orage, ainsi que d’un autre survenue le même été 2021, ont montré que de telles intempéries influençaient le rapport signal/bruit.
Pendant que les deux orages balayaient la station de mesure, ce rapport a diminué de manière significative. La qualité des signaux s’est donc nettement dégradée. Une fois les intempéries passées, le signal est revenu dans la plage normale, montrent les chercheurs dans leur étude.
Selon les scientifiques, il s’agit là d’une grande nouveauté: jusqu’à présent, on partait du principe que le GPS était un système indépendant des conditions météorologiques. Or, il s’est avéré que les données GPS étaient suffisamment sensibles pour détecter les perturbations atmosphériques.
Précieux pour les opérations aériennes
Lire la suite : https://www.swissinfo.ch/fre/d%C3%A9tecter-plus-t%C3%B4t-les-intemp%C3%A9ries-gr%C3%A2ce-aux-donn%C3%A9es-gps/73962110
Blockchain
Pourquoi Internet Computer pourrait révolutionner la blockchain !
cointribune.com - Par Luc Jose A.
Publié le 22 Mar 2024
Considérée par certains experts comme l’avenir de la blockchain, la plateforme Internet Computer est destinée à faire parler d’elle. Du moins, son fondateur Dominic Williams en est fortement convaincu. Confiant dans le potentiel révolutionnaire de la plateforme, l’entrepreneur britannique a récemment rappelé les grandes étapes de son évolution avant de livrer les raisons pour lesquelles son projet va redéfinir les paradigmes actuels de la technologie blockchain.
Internet Computer : l’histoire de la plateforme
Internet Computer a fait du chemin depuis son avènement. Dominic Williams, fondateur de DFINITY, précise dans un récent article publié sur Medium qu’il a initié le projet avec l’ambition de révolutionner le monde de la blockchain. Dès 2015, il envisageait une nouvelle forme de technologie capable d’héberger des systèmes et services en ligne sur une plateforme blockchain, dépassant les capacités des réseaux existants. Cette vision était motivée par les limites que présentaient les blockchains traditionnelles. Elles étaient notamment incapables de gérer des volumes de données et de calculs importants.
Sous la direction de Williams, DFINITY a lancé Internet Computer en 2021, après des années de développement intensif. Cette plateforme se distingue par sa capacité à exécuter des contrats intelligents à une échelle sans précédent. Dominic Williams considère Internet Computer comme un pas de géant vers un internet entièrement décentralisé.
Un futur brillant pour la blockchain ICP ?
Lire la suite : https://www.cointribune.com/pourquoi-internet-computer-pourrait-revolutionner-la-blockchain/
Bordeaux Métropole
Bordeaux Métropole : avec Christine Bost, un exécutif (presque) inchangé
sudouest.fr - Par A. V. et X. S.
Publié le 17 mars 2024
Les 20 vice-présidences ont été reconduites ce vendredi 15 mars autour de la nouvelle présidente Christine Bost. La première femme présidente de Bordeaux Métropole est prête à « dérouler » son programme
L’ère Bost est ouverte. Sitôt élue présidente de Bordeaux Métropole au cours d’une séance historique, vendredi 15 mars, Christine Bost a fait savoir que son premier acte en tant que présidente a été de signer la demande de labellisation nationale du RER métropolitain (avec la Région et le Département).
Cette semaine, le grand public va pouvoir la voir « dérouler », comme elle dit. Rien que mardi 19 mars, après un passage sur TV7, elle pourrait profiter du Forum des projets urbains à la Cité mondiale pour évoquer la question du logement. « On va encore proposer des choses prochainement » pour « répondre aux besoins des ménages mais aussi à la fragilité des entreprises du bâtiment », a-t-elle expliqué vendredi.
Puis, elle inaugurera l’électrification des pontons pour les bateaux de croisières à Bordeaux… « Et nous aurons très rapidement l’occasion de parler ZFE, énergies renouvelables, projets industriels, plan climat, politiques des déchets ou assainissement », listait dans son discours de vendredi celle qui présidera son premier conseil métropolitain à la mi-avril.
La droite garde ses délégations
Lire la suite : https://www.sudouest.fr/politique/christine-bost/bordeaux-metropole-avec-christine-bost-un-executif-presque-inchange-18994924.php
Sécurité
Fonds interministériel de prévention de la délinquance : les priorités pour 2024
Le ministre de l'Intérieur a adressé, avant-hier, une instruction aux préfets relatives aux « orientations stratégiques » du FIPD (Fonds interministériel de prévention de la délinquance). Priorité est donnée, une fois encore, au développement de la vidéo-protection, et à la protection des lieux de culte.
maire-info.com - Par Franck Lemarc
Les crédits du Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD) sont en hausse de plus de 6 % cette année, avec un total de 87,4 millions d’euros (contre 82 millions l’an dernier). C’est ce qui ressort de l’instruction signée par Gérald Darmanin le 13 mars, non encore rendue publique mais publiée hier par nos confrères de la Gazette des communes.
Vidéo-protection
Les Jeux olympiques et paralympiques sont naturellement au cœur des priorités du ministère en matière de sécurité, dans la mesure où ils représentent « une élévation du niveau de menace » et exigeront « une sécurité renforcée », conforme à l’engagement de la France envers le Comité international olympique de garantir « une sécurité totale » pour les athlètes comme pour le public. Un important soutien aux collectivités territoriales reste donc nécessaire pour les aider à « se doter de nouveaux moyens de vidéo-protection en temps utiles ». Les préfets sont donc appelés à flécher « en priorité » les crédits de vidéo-protection « vers les projets associés aux JOP 2024 non finalisés en 2023 ».
En dehors de ces projets, les crédits vidéo-protection doivent principalement aller vers « le déport d’image vers les forces de sécurité, les centres de supervision urbains mutualisés pour les collectivités, le soutien aux dispositifs des contrats de sécurité intégrée, et l'extension du soutien aux lieux de régulation des flux de transport ». Il est rappelé que la règle, pour ces projets, est le co-financement (50 % collectivités, 50 % FIPD), en dehors des projets de déport d’image vers la police et la gendarmerie nationales, qui peuvent « être financés à 100 % ».
Lieux de culte
Lire la suite : https://www.maire-info.com/securite/fonds-interministeriel-prevention-la-delinquance-les-priorites-pour-2024-article-28433
Ministère de l’intérieur
Adoption par l’Assemblée nationale du projet de loi de Sabrina Agresti-Roubache visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires et à améliorer l’accompagnement des victimes
La représentation nationale vient de marquer une étape décisive dans la protection des citoyens contre les abus et les manipulations exercés par les charlatans, les gourous et autres organisations sectaires, en adoptant en deuxième lecture le projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires en France.
Parmi les mesures clés de ce texte votées par les parlementaires, on retrouve notamment :
L'adoption de ce projet de loi avec ses article 1 et 4 par l’Assemblée nationale, témoigne d’une volonté commune de garantir nos libertés fondamentales tout en protégeant efficacement nos concitoyens face aux dérives sectaires. Ce texte, fruit de travaux et de discussions transpartisans, reflète l'engagement de notre démocratie à répondre aux attentes des victimes et des associations qui les accompagnent.
« La dangereuse évolution des dérives sectaires avec l’émergence des réseaux sociaux est un fléau qui nous concerne tous. En adoptant ce projet de loi, partie intégrante de la stratégie nationale de lutte contre ces dérives, nous nous dotons d’un arsenal juridique qui nous permettra de punir les gourous tout en garantissant nos libertés fondamentales et celles des lanceurs d’alerte. Ce texte très attendu par les victimes et les associations qui les protègent est une avancée majeure dans ce combat que nous mènerons avec détermination. »
Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’Etat chargée de la Citoyenneté et de la Ville
Lire la suite : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/communiques-de-presse/adoption-par-lassemblee-nationale-du-projet-de-loi-de-sabrina
Intelligence artificielle
Etude Blackline : comment les directeurs financiers appréhendent-ils le déploiement de la GenAI ?
actuia.com - par Marie-Claude Benoit.
Publié le 19 mars 2024
Blackline, éditeur de solutions cloud pour les opérations comptables et financières, a récemment publié l’étude “Directeurs financiers : prévoir l’imprévisible ou comment maîtriser la résilience des entreprises à l’ère de l’incertitude“. Menée auprès de 1 339 cadres dirigeants et professionnels de la finance et la comptabilité dont 304 en France, elle révèle chez ces derniers un réel intérêt dans le potentiel de l’IA et l’IA générative mais également un manque de confiance quant à sa mise en œuvre.
Alors que le monde fait face à des défis économiques, géopolitiques et environnementaux sans précédent, les directeurs financiers jouent un rôle crucial dans la stabilité et la résilience des entreprises. L’étude de Blackline se penche sur les stratégies adoptées par ces acteurs afin d’assurer la pérennité des organisations qu’ils dirigent.
Les principaux résultats de l’étude Blackline
Interrogées sur leurs sujets de préoccupation pour l’année 2024, les directions financières et comptables identifient la crise financière mondiale (77%), le spectre d’une catastrophe humanitaire (71%), la cybersécurité (70%), les technologies de rupture comme l’IA générative (65%).
Cependant, lorsqu’on leur a demandé quelles technologies pourraient les aider à faire face à l’imprévisible, les dirigeants français ont privilégié l’IA et l’IA générative, à respectivement 64% et 69%, devant le cloud (63%), la blockchain (56%) et les cryptomonnaies (54%).
Parmi les avantages de l’IA pour les départements finance et comptable, ils citent :
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L'IA va créer 500 millions d'emplois d'ici 2033
lemondeinformatique.fr - Par
Publié le 20 mars 2024 - Par Lucas Mearian, Computerworld (adapté par Véronique Arène
Publié le 20 Mars 2024
Au cours de la prochaine décennie, l'intelligence artificielle générative remplacera certains emplois. Mais comme cela a toujours été le cas avec les technologies révolutionnaires - de la machine à vapeur à la numérisation - elles sont destinées à créer bien plus d'emplois qu'elles n'en éliminent.
Alors que certains voient en l’IA une menace pour de nombreux emplois actuels, la plupart des acteurs du secteur informatique la considèrent au contraire comme un générateur de postes à forte valeur ajoutée. Ainsi, en éliminant des tâches répétitives avec des outils de genAI, les employés peuvent libérer du temps et gagner en créativité ou en productivité. Un rapport de Gartner estime à un demi-milliard le nombre d'emplois générés par les logiciels d'automatisation d'ici à 2033. Mark Kashef, consultant en IA et ingénieur chez Fiverr, une marketpace de services freelances juge que l'intelligence artificielle créera des postes qu'on ne peut pas imaginer aujourd'hui. Selon lui, des domaines tels que le développement, l’analyse des données et l’éthique de l’IA, tous susceptibles de connaître un essor sont appelés à modifier le marché du travail.
Dans un entretien accordé à nos confrères de Computerworld, le consultant de Fiverr a également assuré : « De plus, en automatisant toutes ces tâches répétitives, l’IA peut permettre de se concentrer sur un travail de plus grande valeur qui nécessite réellement une touche humaine. Ensuite, comme les performances des modèles linguistiques vont se multiplier et que leur prix va continuer à baisser, les possibilités seront infinies ». Parmi les professions générées par ces technologies, se trouve « l’ingénieur agent », dont la responsabilité est de créer des assistants IA pour une entreprise à l'aide d'outils sans code et d'agents conversationnels. « Nous allons voir multitudes de professions comme celles-ci éclore au cours des cinq prochaines années », projette également Mark Kashef. De son côté, Pieter den Hamer, vice-président et analyste chez Gartner juge que si la démocratisation des emplois avec les IA s’avère vraie, des opportunités professionnelles deviendront accessibles aux non-spécialistes.
Plus de recrutements de tous type avec l'IA
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-ia-va-creer-500-millions-d-emplois-d-ici-2033-93270.html
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L'Assemblée générale adopte une résolution historique sur l'intelligence artificielle
Publié le 21 mars 2024
L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté jeudi une résolution historique sur la promotion de systèmes d’intelligence artificielle (IA) « sûrs, sécurisés et dignes de confiance » qui bénéficieront également au développement durable pour tous.
En adoptant sans vote un projet de résolution présenté par les États-Unis, l'Assemblée générale a également souligné le respect, la protection et la promotion des droits de l'homme dans la conception, le développement, le déploiement et l'utilisation de l'IA.
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Le texte a été « coparrainé » ou soutenu par plus de 120 autres États membres.
L’Assemblée générale a également reconnu le potentiel des systèmes d’IA pour accélérer et permettre les progrès vers la réalisation des 17 objectifs de développement durable (ODD).
C’est la première fois que l’Assemblée adopte une résolution sur la réglementation de ce domaine émergent. Le Conseiller américain à la sécurité nationale aurait déclaré plus tôt ce mois-ci que l’adoption du texte représenterait un « pas en avant historique » pour une utilisation sûre de l’IA.
Mêmes droits, en ligne et hors ligne
L’Assemblée générale a appelé tous les États membres et parties prenantes « à s’abstenir ou à cesser d’utiliser des systèmes d’intelligence artificielle qui sont impossibles à exploiter conformément au droit international des droits humains ou qui présentent des risques indus pour la jouissance des droits humains ».
« Les mêmes droits dont jouissent les personnes hors ligne doivent également être protégés en ligne, y compris tout au long du cycle de vie des systèmes d’intelligence artificielle », affirme-t-elle.
Lire la suite : https://news.un.org/fr/story/2024/03/1144211
CNIL
La CNIL sera présente au Forum InCyber du 26 au 28 mars 2024
cnil.fr - Communiqué
Publié le 20 mars 2024
La CNIL sera présente au Forum InCyber (FIC) 2024 à Lille Grand Palais pour le sommet d’ouverture du 26 mars « L'Europe est-elle prête pour l'IA ? » et jusqu’au 28 mars au stand D3 pour répondre aux questions du public et des professionnels.
Le RGPD : la meilleure prévention contre les risques cyber
Le règlement général sur la protection des données (RGPD) impose une obligation générale relative à la sécurité informatique. Les acteurs privés et publics doivent ainsi systématiquement s’interroger sur la sécurité des données, et notamment sur la cybersécurité. Ils doivent également notifier à la CNIL les violations de données présentant des risques pour les personnes concernées et, lorsque ce risque est élevé, informer ces dernières.
La CNIL a parmi ses missions celle d’accompagner et de conseiller les organismes et les pouvoirs publics en matière de sécurité des données, que ce soit dans la mise en œuvre de mesures techniques efficaces ou lors de l’instruction des notifications de violation. Elle a également vocation à procéder à des contrôles et, si nécessaire, prendre des mesures correctrices – notamment des sanctions pécuniaires – si les mesures mises en œuvre pour garantir la sécurité des données sont insuffisantes.
Les enjeux de cybersécurité concernent tous les organismes, quels que soient leur taille ou leur secteur d’activité. La CNIL a ainsi constaté à nouveau en 2023, une augmentation des violations de données qui lui ont été notifiées, de grandes entreprises comme de TPE et PME. Les fuites de données concernant plusieurs millions de personnes intervenues en ce début d’année 2024 confirment le besoin d’une vigilance accrue.
La cybersécurité en 2023
4668 notifications de violations de données - +14% par rapport à 2022
1 notification sur 5 a pour origine une attaque par rançongiciel.
Le Forum InCyber (FIC) est l’un des principaux événements européens sur les questions de sécurité numérique. C’est l’occasion de rencontrer de nombreux acteurs et experts pour échanger sur les enjeux de la cybersécurité et sur les bonnes pratiques à adopter.
Rendez-vous les 26, 27 et 28 mars sur le stand de la CNIL (D3)
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/la-cnil-sera-presente-au-forum-incyber-du-26-au-28-mars-2024
Cybersécurité
Cybersécurité : ces étranges messages de l'armée française sur les réseaux sociaux cachent en réalité un exercice
francetvinfo.fr - Par Audry Abraham, Radio France
Publié le 19 mars 2024
Depuis lundi, le compte X de l'armée française partage d'étranges successions de lettres. Il ne s'agit pas d'une erreur, mais d'un exercice auquel les internautes peuvent participer.
Comme tous les ans depuis 2014, l'armée française organise Defnet, u : n entraînement inter-armées de cyberdéfense. Du 18 au 29 mars, différents incidents de grande ampleur vont être simulés sur les réseaux des forces de défense française.
L'objectif prioritaire de cet exercice est de "consolider la préparation opérationnelle des armées en matière de lutte informatique défensive", indique le site du ministère des Armées, en vérifiant les cohérences des actions des différents services en réaction à ces incidents simulés. Pour communiquer sur cet exercice national, l'armée française propose des défis aux internautes sur ses réseaux sociaux. Depuis lundi, son compte X (ex-Twitter) partage d'étranges messages, successions de lettres.
Ce sont évidemment des messages codés que les amateurs de cryptographie auront rapidement déchiffrés. L'alphabet est simplement décalé de trois lettres. Ainsi le L devient I, le E devient B et le message "Ibp Xojbbp coxkzxfpbp p’bkqoxfkbkq xr zljyxq zvybo" correspond à "Les armées françaises s’entraînent au combat cyber."
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2e édition des Assises régionales de la cybersécurité à Chartres : sensibiliser collectivités et entreprises
lechorepublicain.fr - Par Thomas Desprez avec Thierry Delaunay
Publié le 20 mars 2024
La 2e édition des Assises régionales de la cybersécurité se déroulaient ce mercredi 20 mars 2024, à Chartres. L’occasion de sensibiliser les différents acteurs du secteur aux menaces du numérique. Les entreprises et collectivités sont de plus en plus ciblées par les cyberattaques. Pour s’en prémunir ou pour rétablir des systèmes de sécurité performants, CybeRéponse, nouveau centre régional visant à protéger les entreprises des attaques cyber, est le principal outil mis en place par l’État et la Région depuis un an.
La région Centre-Val de Loire se présente comme « l’une des régions à la pointe de la lutte contre la cybercriminalité », estime François Bonneau, président de la Région, à l’occasion, ce mercredi 20 mars, de la 2e édition des assises régionales de la cybersécurité. Cette rencontre se déroulait au Campus de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) d’Eure-et-Loir, à Chartres. Un rendez-vous qui avait pour objectif de sensibiliser les différents acteurs du numérique, mais également de présenter un bilan des actions des autorités œuvrant dans la lutte contre les cyberattaques.
En moins d’un an, 180 dossiers ont été traités par CybeRéponse. Cette structure, développée par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) depuis un an dans la région Centre-Val de Loire, est portée par la Région et la préfecture de Région.
176 millions d’euros de budget pour l’Anssi
Elle est la cinquième région à s’équiper de ce centre régional de réponse aux incidents de cybersécurité pour les PME, les collectivités de plus de 5.000 habitants et les associations. CybeRéponse fournit localement un service de réponse à un incident de premier niveau gratuit, complémentaire à celui proposé par la plateforme internet du gouvernement Cybermalveillance qui cible le grand public, les TPE ou encore les écoles.
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Cybersécurité : attention, 35% des applis sur vos smartphones sont malveillantes
actu.fr - Par Gil Martin
Publié le 21 Mars 2024
Spécialiste mondial de la protection des smartphones, Pradeo confirme la montée en puissance du cyberpiratage en 2024 via notamment le quishing et les antennes relais.
Créée en 2010 à Montpellier, Pradeo (une cinquantaine de salariés aujourd’hui) s’est imposée comme le leader mondial de la cybersécurité des mobiles. L’entreprise, fondée par le docteur en informatique Clément Saad, a développé des solutions qui détectent les activités malveillantes des applis (leakwares, clones, malwares bancaires, adware) téléchargées sur les smartphones sous IOS et Android, et les neutralisent. Pradeo s’est illustré en mars 2023 en révélant au monde le comportement malveillant de TikTok et ses détournements de données, déclenchant au passage une crispation mondiale (et notamment américaine) autour du réseau social chinois.
Adoptées par Samsung et Orange
Ces solutions de pointe de Pradeo, disponibles pour l’heure seulement pour les entreprises, ont été adoptées par de grands acteurs internationaux, comme le géant coréen Samsung en septembre 2021 qui sécurise ainsi ses flottes mobiles. Plus récemment, le 5 mars, le spécialiste montpelliérain de la cybersécurité a signé un autre partenariat d’envergure avec Orange Cyberdefense qui va utiliser les applications de Pradeo pour sécuriser l’immense parc de terminaux mobiles qu’il gère pour le compte de centaines d’entreprises clientes. Les solutions de Pradeo ont intégré le Cyber-SOC (pour « Security Defense Center ») d’Orange Cyberdefense qui protège les flottes de smartphones professionnels dans toute l’Europe.
Lire la suite : https://actu.fr/occitanie/montpellier_34172/cybersecurite-attention-35-des-applis-sur-vos-smartphones-sont-malveillantes_60848470.html
Atos Group
Eviden
La Direction Générale de l’Armement choisit Eviden pour l’industrialisation du système de géolocalisation des véhicules tactiques de l’armée de Terre
eviden.com - Communiqué Paris, France
Publié le 21 mars 2024
Paris, France – 21 Mars, 2024 – Eviden, la ligne d’activités d’Atos leader dans le digital, le cloud, le big data et la sécurité annonce avoir été sélectionné par la Direction Générale de l’Armement (DGA) pour l’industrialisation de la nouvelle solution de géolocalisation qui équipera l’ensemble des véhicules de défense de l’armée de Terre d’ici 2024, le P3TS (« Plug and Play Positioning and Timing System »).
P3TS est un GNSS (Global Navigation Satellite System) multi-constellation (qui intègre notamment les constellations GPS et Galileo) particulièrement compacte qui offre des capacités de résilience inédites, en plus d’être facilement déployable. P3TS est une solution qui permet d’étendre la tenue de situation tactique aux vecteurs non-numérisés, qu’il s’agisse de soldats débarqués ou de véhicules de support des armées. Les informations de position et horodatage, actualisées en temps réel, viennent nourrir le système d’information de combat du programme Scorpion – SICS, développé par Eviden – ainsi que le poste de radio tactique, et permettent à l’ensemble de la chaîne de commandement de mieux appréhender l’environnement de combat et de limiter les risques de tirs fratricides, la première vocation du P3TS.
Développée par les forces armées, pour les forces armées, P3TS est le résultat d’une innovation conjointe de la Section technique de l’armée de Terre (STAT) et de la DGA soutenue par la Cellule innovation participative de l’Agence de l’innovation de défense (AID), qui accompagne les personnels du ministère dans le développement de leur projet d’innovation.
Pour toute information complémentaire sur P3TS, veuillez consulter l’article de l’Agence de l’innovation de défense, disponible sur ce lien.
Pour plus d’informations sur les solutions d’Eviden pour le secteur de la défense : https://eviden.com/solutions/digital-security/defense-electronics/
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La Fondation Novo Nordisk choisit Eviden pour construire « Gefion » au Danemark, l’un des supercalculateurs d’IA les plus puissants au monde
eviden.com Paris, France
Publié le 19 mars 2024
Paris, France – 19 mars 2024 – Eviden, la ligne d’activités du groupe Atos leader dans le calcul avancé, annonce aujourd’hui un nouveau contrat avec le Centre danois pour l’innovation en IA, détenu par la Fondation Novo Nordisk et le Fonds d’exportation et d’investissement du Danemark, pour la construction d’un supercalculateur d’IA à la pointe de la technologie au Danemark. Le supercalculateur est conçu pour répondre à des projets à grande échelle qui utilisent l’intelligence artificielle et donnent la priorité au plus haut niveau de sécurité pour soutenir la souveraineté danoise en matière de données. Le nouveau supercalculateur devrait être l’un des plus puissants au monde dans le domaine de l’intelligence artificielle. Son objectif est d’accélérer la recherche et l’innovation dans divers domaines tels que les soins de santé, les sciences de la vie et la transition écologique.
Il fournira 6 Exaflops de performance FP8 AI et est basé sur l’architecture NVIDIA DGX SuperPOD™. Eviden livrera, installera et configurera le supercalculateur, et assurera la maintenance et le support technique pendant toute sa durée de vie.
Le supercalculateur, baptisé Gefion, devrait être prêt pour des projets pilotes avant la fin de l’année. Il sera hébergé dans le nouveau Centre National Danois pour l’innovation en matière d’IA et permettra aux chercheurs des secteurs public et privé danois d’accéder à un supercalculateur de pointe optimisé pour l’IA.
« Nous sommes fiers de travailler avec la Fondation Novo Nordisk et Le Centre Danois pour l’innovation en IA pour fournir le supercalculateur d’IA au Danemark afin d’offrir un potentiel sans précédent pour accélérer les découvertes scientifiques révolutionnaires dans des domaines tels que la découverte de médicaments, le diagnostic et le traitement des maladies », a déclaré le Cédric Bourrasset, responsable mondial du HPC-IA et de l’informatique quantique chez Eviden, groupe Atos. « Ce nouveau supercalculateur sera une ressource puissante pour stimuler davantage la recherche en IA et la collaboration entre les universités et l’industrie danoise dans l’écosystème de recherche basé sur l’IA déjà florissant du Danemark. »
Mads Krogsgaard Thomsen, PDG de la Fondation Novo Nordisk, a déclaré : « Eviden est réputé pour être le principal expert en supercalculateurs d’IA. C’est donc le choix idéal pour soutenir ce projet passionnant et aider les brillants chercheurs et innovateurs danois à passer au niveau supérieur. »
Thales
Thales prend le leadership du chiffrement post-quantique en France
latribune.fr - Par Michel Cabirol
Publié le 18 mars 2024
Thales a pris le leadership d'un consortium, qui regroupe six acteurs français de la cybersécurité, pour mettre au point d'ici trois ans une solution de chiffrement post-quantique pour faire face aux futures attaques lancées par les ordinateurs quantiques.
Le quantique sera bien l'un des cantiques majeurs de Thales ces prochaines années. Le groupe de technologies se met en ordre de marche pour être fin prêt dans le domaine du chiffrement post-quantique, domaine crucial pour lutter contre les futures cyberattaques décuplées par les ordinateurs quantiques. Considérée comme l'une des menaces les plus importantes pour la cybersécurité, l'informatique quantique devrait rendre obsolètes de nombreuses méthodes de sécurité actuelles, notamment la cryptographie. Dans ce contexte, Thales a pris le leadership d'un consortium qui regroupe six acteurs français complémentaires dans la cybersécurité, pour mener à bien le projet RESQUE (RESilience QUantiquE), financé par le gouvernement dans le cadre de France 2030 et par l'Union européenne (Next Generation E). Ce projet est également soutenu par Bpifrance, à hauteur de 6 millions d'euros.
Une menace contre la souveraineté des pays
« Ce projet vise à mettre au point d'ici trois ans une solution de chiffrement post-quantique pour protéger les communications, infrastructures et réseaux des collectivités locales et des entreprises contre les futures attaques orchestrées par un ordinateur quantique », a expliqué Thales dans un communiqué. La puissance de calcul offerte par les ordinateurs quantiques aura potentiellement la capacité de casser les différents algorithmes de chiffrement existants aujourd'hui. Ils menacent la sécurité des données les plus sensibles et donc la souveraineté des pays.
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Cryptographie post-quantique : six acteurs français rassemblés pour concevoir les réseaux de communication sécurisée de demain
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 15 mars 2024
Le consortium RESQUE regroupe six acteurs français majeurs et complémentaires dans le domaine de la cybersécurité : le leader des hautes technologies Thales, coordinateur du consortium, la PME spécialiste des communications sécurisées TheGreenBow, la PME spécialiste en cryptographie CryptoExperts, la start up CryptoNext Security, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) et l'Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), qui représente également six établissements académiques : l’Université de Rennes, l’ENS de Rennes, le CNRS, l'ENS Paris-Saclay, l'Université Paris Saclay et l’Université Paris-Panthéon-Assas.
Le projet RESQUE (RESilience QUantiquE) vise à mettre au point d’ici 3 ans une solution de chiffrement post-quantique pour protéger les communications, infrastructures et réseaux des collectivités locales et des entreprises contre les futures attaques orchestrées par un ordinateur quantique. La puissance de calcul offerte par ce dernier aura potentiellement la capacité de casser les différents algorithmes de chiffrement existants largement utilisés actuellement. Il menace ainsi la sécurité des données les plus sensibles et donc la souveraineté des pays.
Financé par le gouvernement dans le cadre de France 2030 et par l’Union européenne - Next Generation EU dans le cadre du plan France Relance, ce projet est également soutenu par Bpifrance, à hauteur de 6 millions d’euros pour l’étude de deux cas d’usage clés :
Au sein du consortium, TheGreenBow apporte sa connaissance du développement VPN et du développement logiciels en cybersécurité, CryptoExperts et CryptoNext Security leur expertise en chiffrement et en algorithmie cryptographique standards et avancés, Thales son leadership en matière d’intégration des algorithmes et sa vision applicative, l’ANSSI (partenaire non financé) fournit le cadre de la recherche et évalue les critères de validité des cas d’usage et l’Inria fait bénéficier l’ensemble des acteurs de sa recherche fondamentale en chiffrement post-quantique.
A propos de Thales
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/securite/press_release/cryptographie-post-quantique-six-acteurs-francais-rassembles-concevoir
Le développement important de l’AMC Commune nous oblige, en tant que structure responsable de la gouvernance et de la sécurité, à davantage de vigilance et de rigueur. C’est pourquoi nous vous rappelons que toute organisation publique ou privée qui intervient dans l’émission d’une AMC commune (fabriquant) , ou qui l’utilise l’AMC commune (Entité Utilisatrice) , quel qu’en soit l’usage, doit signer une convention d’usage avec l’ADCET et être ainsi référencée par notre association.
Par ailleurs, le fonctionnement d’un projet autour de l’AMC Commune n’est possible que dans la mesure où l’ADCET mobilise les moyens nécessaires au support, au développement, à la sécurisation et à la gouvernance de l’AMC Commune, ce qui représente une charge significative.
En conséquence la convention peut être consentie à titre gratuit, à condition que l’Entité Utilisatrice et/ou le fabriquant soit membre de l’ADCET et à jour de ses cotisations.
Dans les cas où l’Entité Utilisatrice et/ou le fabricant ne souhaite pas adhérer à l’ADCET ou n’est plus à jour de ses cotisations une redevance doit être prévue, par annexe à la convention à établir entre l’ADCET, l’Entité Utilisatrice et/ou le fabricant.
Nous vous sommes reconnaissants de communiquer ces informations à tout tiers que vous pourriez rencontrer dans le cadre d’un projet autour de l’AMC commune. En votre qualité de membre, il vous appartient également de contribuer à s’assurer que chaque tiers partenaire est enregistré en tant qu’organisation conventionnée auprès de l’ADCET et en particulier de rappeler cette obligation dans les appels d'offres et les contrats que vous serez amenés à passer avec des tiers concernant l’usage et/ou la production de l’AMC Commune.
Par ailleurs il est rappelé que le logo de l’AMC commune doit figurer sur tout support intégrant l’AMC commune. Si, dans un premier temps, il y a pu avoir des exceptions et dérogations factuelles à cette règle, il est désormais nécessaire de régulariser la situation sans délai.
En ce sens, nous demandons que chaque fabricant de carte nous fournisse un visuel pour validation, avant toute nouvelle production. Dans le cas où le logo ne serait pas présent, l’ADCET devra s’opposer à la production de ces cartes.
Enfin il est également rappelé que la spécification de la norme AMC ne peut être diffusée mais que chaque entité qui souhaite en prendre connaissance doit en faire l’acquisition sur site de l’AFNOR (https://www.boutique.afnor.org/norme/nf-p99-508/services-de-vie-quotidienne-application-multiservices-citoyenne-amc/article/938347/fa199961).
Jeux olympiques : une carte pour anticiper la galère des transports à Paris
lechotouristique.com - Par Clément Peltier
Publié le 11 mars 2024
Le ministère des Transports a crée une carte interactive pour permettre aux personnes d’anticiper les déplacements, lors des Jeux olympiques.
Crédit : anticiperlesjeux.gouv.fr
Depuis le 29 janvier, le ministère des Transports a mis en ligne une carte interactive qui permet de voir les routes, les stations et lignes de métro ou de RER potentiellement encombrées, pendant la période des épreuves.
Cette carte intègre toutes les lignes des réseaux RATP, SNCF. Ainsi que les axes routiers de Paris et de l’Île-de-France.
Un code couleur pour simplifier la lecture
Un code couleur vert, jaune, orange et rouge indique les routes, gares et stations qu’il faut éviter si possible, au quotidien. En fonction des compétitions se tenant chaque jour, il est donc possible de connaître à l’avance les lignes et les stations fermées, celles à éviter ou, au contraire, celles les moins fréquentées et donc de s’organiser.
Attention, il ne s’agit pas d’un calculateur d’itinéraires alternatifs. De même, les usagers ne doivent pas s’attendre à des données en temps réel. En revanche la carte va être complétée avec d’autres indications comme « les données concernant le montage des sites temporaires, le parcours de la flamme, la cérémonie d’ouverture et les Jeux Paralympiques ».
Lire la suite : https://www.lechotouristique.com/jeux-olympiques-une-carte-pour-anticiper-la-galere-des-transports-a-paris
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Bientôt disponible à Montréal : recharger sa carte OPUS avec l’application Chrono
milesopedia.co - Par Alexandrine Bertrand
Publié le 15 mars 2024
À partir d’avril, les usagers du transport en commun du Grand Montréal pourront recharger leur carte OPUS avec l’application mobile Chrono.
La fonctionnalité tant attendue par les usagers des transports collectifs du Grand Montréal est finalement à nos portes ! Selon la nouvelle de La Presse, il sera finalement possible de recharger des titres de transport sur la carte OPUS avec un téléphone cellulaire dès avril 2024.
Pour ce faire, il faudra utiliser l’application mobile Chrono, disponible sur l’App Store et Google Play. Depuis quelque temps déjà, cette application permet de lire le contenu d’une carte OPUS en l’approchant de son téléphone, mais pas d’acheter des billets.
Après une phase de tests concluante en février et mars, la fonctionnalité de recharge mobile d’OPUS sera déployée au grand public d’ici la fin avril.
Pour les usagers d’OPUS en ligne avec un lecteur de carte USB, ils devront progressivement se tourner vers le nouveau système. En effet, le service OPUS en ligne sera décommissionné vers juin cette année.
Cartes TD Aéroplan : obtenez 50 % plus de points pour l’épicerie, l’essence et le transport
Lire la suite : https://milesopedia.com/actualites/finances/opus-recharge-mobile/
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lagazettedescommunes.com - Communiqué
Publié le 11 mars 2024
Ce contenu vous est proposé par Banque des Territoires
Mercredi 03 avril 2024 à 15h00
L’urgence climatique pousse nos sociétés à se réinventer dans l’optique de réussir à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre avec l’espoir, d’ici 2050, de bloquer le thermomètre.
Pour les élus, les régions, les métropoles, les communautés de communes et les syndicats de transport urbain ou départementaux d'énergie, l’enjeu est critique et le chantier colossal. Alors, qu’il s’agisse de transformations de flottes de bus vers l’électrique, d’accélération du déploiement de bornes de charges, de construction de pistes cyclables ou de voies ferroviaires, la Banque des Territoires a mis en place un grand nombre de solutions pour accompagner les villes de leur transitions vers le post-carbone.
C’est ce que nous verrons lors de ce webinar en présence de Pierre Aubouin, directeur du département infrastructures et mobilité de la direction de l’investissement de la Banque des Territoires et au travers de différents témoignages.
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actu.fr/pays-de-la-loire/nantes - Par Julien Sureau
Publié le 11 mars 2024
La formation des conducteurs de la Semitan à la nouvelle rame Citadis d'Alstom débute ce lundi 11 mars sur la ligne 1 du tramway de Nantes (Loire-Atlantique).
Le nouveau tramway sera visible de jour sur la ligne 1 du réseau de Nantes Métropole à compter de ce lundi 11 mars 2024, a-t-on appris auprès de la Semitan, l’entreprise en charge des transports urbains de l’agglomération. La nouvelle rame Citadis d’Alstom, qui circulera en véhicule école, « ne prendra aucun voyageur à son bord », a ajouté la même source.
482 conducteurs formés à la nouvelle rame Citadis d’Alstom
Au total, 613 personnes dont 482 conducteurs et 131 agents de maîtrise et régulateurs au PCC (centre de commandes centralisées) vont participer à cette formation interne destinée à l’utilisation de toutes les commandes du tramway « en autonomie et de manière sécuritaire ».
La formation est réalisée en interne par des formateurs de l’entreprise qui en ont construit le programme, après avoir été eux-mêmes formés à La Rochelle auprès d’Alstom. Des supports pédagogiques et des fiches réflexes sur les différentes pannes seront mis à disposition des salariés de l’exploitation pour les accompagner au mieux dans la prise en main de ce nouveau véhicule.
Lire la suite : https://actu.fr/pays-de-la-loire/nantes_44109/le-nouveau-tramway-de-nantes-va-circuler-sur-la-ligne-1-a-partir-de-ce-lundi_60802466.html
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theconversation.com - Par Ankinée Kirakozian - Nabila Arfaoui - Raphaël Chiappini
Publié le 11 mars 2024
Selon les données du GIEC publiées le 4 avril 2022, le secteur des transports pèse pour 15 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, un chiffre qui ne tient pas compte des émissions indirectes liées à la production des énergies qui les font avancer. En France, les voitures particulières constituent le principal contributeur du secteur qui représente 32 % des émissions totales du pays.
Elles demeurent encore le mode de déplacement dominant. Dans l’Hexagone, les trajets ainsi effectués représentaient 72 % de la mobilité domicile-travail en 2020, dernières données de l’Insee disponibles, tandis que les transports en commun ne comptaient que pour 15 %. Les sondages ne donnent pas des chiffres très différents pour 2023. La voiture reste le moyen privilégié, même sur des distances très courtes et inférieures à cinq kilomètres.
Les investissements dans le secteur vont croissants en Europe, bien que la modernisation des infrastructures, ferroviaires notamment, reste en retard en France. Même à un niveau plus satisfaisant, ces efforts ne suffiraient pas sans des changements comportementaux significatifs dans la mobilité individuelle. Les décideurs publics peuvent-ils aussi concevoir des instruments incitant à se déplacer autrement ? Dans un article récent, nous montrons que l’utilisation de « nudges », de petits « coups de pouce », peut permettre de réduire significativement l’utilisation de la voiture particulière dans les trajets domicile-travail des Français.
Tout n’est pas qu’affaire de contrainte financière
Des nudges plutôt que des taxes ou subventions ? L’efficacité de pareilles incitations monétaires pour orienter les comportements fait aujourd’hui débat. En théorie, ces instruments peuvent guider les individus rationnels vers un comportement moins polluant grâce à des « signaux de prix ».
Lire la suite : https://theconversation.com/des-incitations-douces-pour-une-mobilite-plus-douce-224214
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Somnolence, distraction: des caméras obligatoires au volant dès cet été
bfmtv.com - Par Pauline Ducamp
Le 14 mars 2024
Une évolution de la réglementation européenne va imposer l'installation d'un système de surveillance de la distraction et somnolence du conducteur. Les premiers véhicules obligatoirement équipés le seront cet été.
Un coup d’œil un peu prolongé sur l’écran au centre de la planche de bord, et la voiture affiche un petit pictogramme "Look at the road" sur le tableau de bord, avec des lumières pour attirer de nouveau le regard du conducteur droit devant soi. Cette expérience vécue dans un laboratoire de test de l’équipementier Forvia cette semaine va bientôt se reproduire au volant.
À partir du 7 juillet 2024, tous les nouveaux modèles automobiles homologués par les constructeurs en Europe devront disposer d’un système de détection directe de l’état de distraction et de fatigue du conducteur, selon une réglementation européenne baptisée "GSR2" ("General Safety Regulation 2").
"Cela va devenir obligatoire en Europe"
Selon le Réglement délégué (UE) 2023/2590, établi par la Commission le 13 juillet 2023 et complétant le règlement (UE) 2019/2144 du Parlement européen et du Conseil, ce système doit avertir le conducteur quand ce dernier quitte des yeux la route plus de 3,5 secondes à 50km/h et plus et au-delà de 6 secondes d’inattention entre 20 et 50km/h. Ce temps de quelques secondes correspond au seuil maximal de distraction fixé par la réglementation. La détection doit être possible aussi bien de jour comme de nuit, et que le conducteur porte une casquette, des lunettes de soleil ou encore des faux-cils.
Lire la suite : https://www.bfmtv.com/auto/somnolence-distraction-bientot-une-camera-obligatoire-pour-surveiller-le-conducteur-au-volant_AN-202403140044.html
Dossier. L’ANTS, le service dédié aux documents d’identité, devient France Titres
le-kiosque.org - Communiqé
L’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) a notamment pour mission d’administrer vos demandes de passeport, de carte d'identité, de permis de conduire ou de certificat d'immatriculation pour un véhicule. Elle peut désormais également utiliser l’appellation « France Titres ».
La nouvelle dénomination de l’Agence nationale des titres sécurisés, actée par un décret publié le 28 février 2024 au Journal officiel, s’accompagne d’une clarification de ses tâches. Cet établissement public administratif, qui peut désormais être dénommé France Titres, voit ses missions évoluer continuellement dans le contexte actuel de dématérialisation de vos pièces d’identité et des démarches administratives. En ce moment, il est notamment responsable du programme France Identité ; il s’agit d’une application gratuite et facultative, mise en place par le Gouvernement, qui vous permet de prouver votre identité en ligne à condition d’avoir une carte d’identité au nouveau format « carte bancaire ». Avec cette application, vous pouvez notamment avoir accès au permis de conduire dématérialisé, disponible sur l’ensemble du territoire depuis le 14 février 2024. Sur le site de France Titres – Agence nationale des titres sécurisés, vous pouvez déjà :
Lire la suite : https://www.le-kiosque.org/dossier-lants-le-service-dedie-aux-documents-didentite-devient-france-titres/
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Suisse
Travail de pionnier pour la nouvelle e-ID
ictjournal.ch - par Franziska Vonaesch, Responsable communication chez SWICO
Publié le 11 mars 2024
L’e-ID promet plus qu’une simple identification numérique: elle annonce un avenir dans lequel les services numériques et la protection des données iront de pair.
Imaginez un monde dans lequel chaque clic, chaque transaction et chaque service deviennent accessibles de manière fluide, sécurisée, et ce, avec une seule clé numérique. Une identité électronique n’est pas seulement un élément de technologie, elle doit être la clé d’une société suisse plus efficace, plus sûre et plus connectée.
L’échec de la loi sur l’e-ID à l’issue de la votation populaire montre que les inquiétudes concernant la protection des données, la surveillance de l’État et la participation d’entreprises privées doivent être dissipées. Au cours des deux années suivantes, la Confédération a examiné des infrastructures techniquement robustes et développé un écosystème de détection numérique.
Le Conseil fédéral vient d’adopter le projet de nouvelle loi fédérale sur l’identité électronique: ainsi, l’e-ID doit être émise par la Confédération, être facultative et gratuite et offrir la meilleure protection possible des données. Il est prévu que la carte d’identité électronique fasse sa première apparition en 2026. Pour ce faire, la Confédération investit un montant considérable de 182 millions de francs dans le développement et l’exploitation du système.
Identité auto-souveraine (SSI)
Lire la suite : https://www.ictjournal.ch/articles/2024-03-11/travail-de-pionnier-pour-la-nouvelle-e-id
Elon Musk dévoile la date à laquelle l’intelligence artificielle sera supérieure à celle humaine, et pour le milliardaire controversé, c’est pour bientôt
science-et-vie.com - Par Sofia Gavilan
Publié le 16 mars 2024
Selon le PDG de SpaceX et Tesla, d'ici 2025, l'IA pourrait surpasser l'intelligence humaine, un pronostic qui suscite à la fois fascination et controverse.
Après l’annonce du passage du chatbox Grok en libre accès, Elon Musk, fait à nouveau sensation en prédisant, sur la plateforme X (ancien Twitter) une avancée majeure dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). Selon lui, dès 2025, l’IA pourrait surpasser l’intelligence humaine et même dépasser la somme de toutes les intelligences humaines réunies d’ici 2029. Mais ces affirmations ne font pas l’unanimité dans la communauté scientifique.
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lemonde.fr - Par Alexandre Piquard
Publié le 13 mars 2024
Cette technologie représente un gisement potentiel de croissance et d’emplois, selon un rapport, remis le 13 mars à Emmanuel Macron, par une commission mandatée sur le sujet. Mais certaines recommandations pourraient faire polémique.
Que doit faire la France face à l’intelligence artificielle (IA) ? Interrogée sur cette technologie, la Commission de l’IA a rendu ce mercredi 13 mars, à Emmanuel Macron, un rapport à la tonalité « optimiste et positive, même si l’on sait qu’il y a des risques », assume Anne Bouverot. La présidente du conseil d’administration de l’Ecole normale supérieure a coprésidé, avec l’économiste Philippe Aghion, les travaux d’une quinzaine d’experts mandatés en septembre 2023 par Matignon.
Remise en lumière depuis le lancement de ChatGPT fin 2022, l’IA y est présentée comme une « révolution technologique incontournable », comparable à l’électricité ou à l’automobile. Si la France la ratait, « nous pourrions non seulement manquer l’économie de l’IA, ce qui conduirait à une captation croissante par d’autres de notre valeur économique, mais aussi voir l’affaiblissement des autres secteurs d’activité », mettent en garde les auteurs, pointant un risque de « déclassement économique ». « Si on ne fait rien, on risque de regarder les trains passer », résume Mme Bouverot, en référence aux vagues d’innovations numériques passées, dominées par des entreprises américaines.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/03/13/intelligence-artificielle-un-plan-d-action-pour-placer-la-france-a-la-pointe_6221781_3234.html
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lemondeinformatique.fr - Par Jacques Cheminat
Publié le 13 Mars 2024
Après 6 mois de travail, la commission dédiée à l'intelligence artificielle a rendu son rapport comprenant plusieurs recommandations. Il suggère notamment de créer un fonds dédié de 10 Md€ pour financer l'écosystème, des crédits d'impôt IA pour développer la puissance de calcul. Par ailleurs, les contraintes sur l'accès aux données doivent être assouplies et la formation renforcée.
Au moment où le Parlement européen vient de voter l’IA Act, la commission de l’intelligence artificielle vient de rendre son rapport pour améliorer la compétitivité de la France dans ce domaine. Pour rappel cette structure a été créée en septembre dernier pour étudier l’impact de l’IA sur plusieurs sujet, emplois, économie croissance, etc. Après 6 mois d’auditions et d’entretiens, la commission a présenté 25 recommandations.
Financer fortement l’écosystème IA
Sur le plan économique et financier, elle propose de créer un fonds doté de 10 Md€ dédié au financement de l’écosystème IA. Pour les experts, le constat est simple, « les montants investis dans l’IA aux États-Unis sont aujourd’hui 20 fois supérieurs à ceux investis en France ». L’objectif est de faire naître des champions nationaux dans l’IA. Les polémiques autour du financement de Mistral AI (avec une prise de participation de Microsoft ou plus récemment de Snowflake) montrent bien que pour passer aujourd’hui à l’échelle les start-ups ont besoin de solliciter des capitaux étrangers et en particulier américain. Le fond proposé par la Commission sera financé par une réorientation de l’épargne vers l’innovation.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-la-commission-de-l-ia-veut-un-fonds-de-10-mdeteuro-et-liberer-les-donnees-93221.html
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actuia.com - Par Marie-Claude Benoit
Publié le 14 mars 2024
Elisabeth Borne, alors Première Ministre, avait mis en place le premier comité de l’intelligence artificielle générative le 19 septembre 2023. Il avait six mois pour présenter des propositions concrètes afin d’adapter la stratégie nationale. Mission remplie : rebaptisé “Commission de l’intelligence artificielle”, il a remis hier à Emmanuel Macron un rapport contenant 25 recommandations pour faire de la France un acteur majeur de la révolution technologique de l’IA.
Co-présidée par Anne Bouverot, Présidente du conseil d’administration de l’ENS et Philippe Aghion, Professeur au Collège de France et économiste, la Commission compte notamment parmi ses membres Luc Julia, expert en IA générative, Yann Le Cun, VP et Chief AI Scientist chez Meta, Arthur Mensch, PDG et cofondateur de Mistral AI et Cédric O, consultant, ancien Secrétaire d’Etat au Numérique.
Dans ce rapport intitulé “IA: Notre ambition pour la France”, la Commission considère “qu’une approche autarcique de la souveraineté n’est pas opportune, ni au regard de nos valeurs ni au regard de nos intérêts. D’une part, la France promeut un cadre ouvert et démocratique de société. D’autre part, il serait techniquement et financièrement impossible de maîtriser l’ensemble des biens et services composant la chaîne de valeur de l’IA“.
Elle identifie quatre piliers pour renforcer la souveraineté européenne : le financement, la puissance de calcul, l’accès aux données et les talents.
Un plan à 27 milliards d’euros sur cinq ans
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express.fr - Par Chloé Sémat
Publié le 10 mars 2024
Tech. Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a présenté cette semaine "Amiad, la nouvelle agence chargée de développer l’intelligence artificielle dans le domaine de la défense.
Il est loin le temps où l’utilisation de l’intelligence artificielle dans des combats relevait de la science-fiction. Depuis le début de la guerre en Ukraine, l’IA s’est invitée dans le conflit et offre à ses utilisateurs un nouveau panel de stratégies. L’Ukraine est "le meilleur terrain d’essai pour toutes les technologies les plus récentes, parce qu’ici, vous pouvez les tester dans des conditions réelles", assure Mykhailo Fedorov, ministre ukrainien de la Transformation numérique, dans les colonnes du Time Magazine.
En deux ans de guerre, de nombreuses entreprises venues des quatre coins du globe ont cherché à s’implanter en Ukraine, devenue un véritable laboratoire pour les nouvelles technologies. A commencer par la société d’analyse de données Palantir Technologies qui, aujourd’hui, a conquis "plus d’une demi-douzaine d’agences ukrainiennes, y compris les ministères de la Défense, de l’Economie et de l’Education", est-il précisé dans le magazine américain.
S’y ajoutent des géants américains comme Microsoft, Amazon, Google et Starlink qui ont aidé les forces de Kiev à lutter contre les cyberattaques russes et à protéger des données gouvernementales. En outre, la société de reconnaissance faciale Clearview AI a permis d’identifier 230 000 soldats russes qui ont participé à l’invasion militaire en Ukraine, "ce qui a permis de les lier à des preuves de crimes de guerre présumés", souligne le Time Magazine.
Lire la suite : https://www.lexpress.fr/economie/high-tech/ia-espace-la-france-se-prepare-aux-guerres-du-futur-FXQFFQS2F5EYTJEVVSRVUJYVBQ/
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courrierinternational.com - Source : The Economist - Traduit de l’anglais
Publié le 11 mars 2024
Fausse image créée pour appuyer un résultat, commande oubliée dans une publication ou modèles qui s’effondrent… L’intelligence artificielle présente aussi des risques pour la science.
Installés dans une salle de réunion à la Royal Society de Londres, des dizaines d’étudiants en master ont récemment eu pour mission d’être plus futés qu’un grand modèle de langage (LLM selon son acronyme anglais), un type d’intelligence artificielle (IA) conçu pour entretenir des conversations utiles. Les LLM sont souvent dotés de garde-fous afin qu’ils ne puissent pas fournir de réponses jugées nuisibles : comment fabriquer du Semtex [un explosif] dans une baignoire, par exemple, ou affirmer avec aplomb des “faits” qui n’en sont pas.
L’objectif de la séance, organisée par la Royal Society en partenariat avec Humane Intelligence, organisme américain à but non lucratif, était d’outrepasser ces garde-fous. Certains résultats étaient tout bonnement absurdes : un participant a réussi à faire dire au robot conversationnel que les canards pouvaient être des indicateurs de la qualité de l’air (apparemment, ils absorbent rapidement le plomb). Une autre l’a poussé à affirmer que les autorités sanitaires recommandaient l’huile essentielle de lavande pour traiter le Covid long (c’est faux). Mais les tentatives les plus fructueuses ont été celles qui faisaient produire à la machine les titres, dates de publication et revues d’articles scientifiques inexistants. “C’est l’un des défis les plus faciles que nous avons mis en place”, explique Jutta Williams, qui travaille pour Humane Intelligence.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.courrierinternational.com/article/technologie-l-ia-pourrait-renforcer-la-fraude-autant-que-le-progres-scientifique
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Intelligence artificielle : des centaines de sites s’appuient sur elle pour générer des infos, parfois sciemment fausses
sud-ouest.fr - avec AFP
Publié le 11 mars 2024
De simples internautes, mais aussi des décideurs sont de plus en plus nombreux à se laisser abuser, de bonne foi ou non par des articles créés par l’intelligence artificielle générative, sans intervention humaine.
En décembre, le président ukrainien Volodymyr Zelenzky a ainsi été interpellé au Congrès américain par des élus républicains au sujet d’un achat supposé de deux yachts pour 75 millions de dollars, en plein débat sur l’aide à l’Ukraine. Une information fantaisiste générée le mois précédent par le site DC Weekly, propriété d’un ancien marine américain désormais installé en Russie, qui selon la plateforme de lutte contre la désinformation NewsGuard utilise de l’IA.
« La désinformation générée par l’IA va probablement être un élément important de la campagne électorale américaine cette année », avertit Greg Marcus, professeur à l’université NYU.
Sans intervention humaine
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Microsoft France annonce le lancement d’À VOUS L’IA, un grand mouvement de mobilisation nationale pour démocratiser l’adoption de l’IA
news.microsoft.com - Par Clement Gumilar
Publié le 12 mars 2024
Les organisations françaises, privées comme publiques, adoptent largement les nouveaux outils d’IA générative depuis plus d’un an. Pour mettre en lumière cette nouvelle ère de l’IA comme celles et ceux qui s’en emparent, Microsoft et l’ensemble de son écosystème de clients et de partenaires prennent leurs quartiers à Paris pour un événement exceptionnel, le Microsoft AI Tour. À cette occasion, Microsoft France s’intéresse au niveau de perception et d’adoption de l’IA par les Français et annonce une initiative de grande ampleur pour accélérer la démocratisation de son usage : À VOUS L’IA.
« Lorsque nous avons demandé aux Français quel était leur usage de l’IA, nous avons été remarquablement surpris de voir qu’il était déjà bien avancé, et plus particulièrement chez les jeunes, véritables moteurs de cette transformation de la société. Chez Microsoft, parce que notre mission est de permettre à chacun de réaliser ses ambitions, nous lançons aujourd’hui le programme À VOUS L’IA pour accélérer la démocratisation des usages de cette technologie. J’en suis particulièrement fière puisque c’est la suite logique de ce que nous avons entrepris depuis plus de 5 ans avec notamment les ouvertures de nos écoles IA en France, et le programme Global Skills Initiative à l’échelle internationale. » – Corine de Bilbao, Présidente de Microsoft France
L’usage de l’IA est déjà ancré dans le quotidien des Français
Lire la suite : https://news.microsoft.com/fr-fr/2024/03/12/microsoft-france-annonce-le-lancement-da-vous-lia/
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AI Act : que contient le projet de loi européen de régulation de l’intelligence artificielle ?
wedemain.fr - Par Florence Santrot
Publié le 12 mars 2024
Véritable loi qui permettra d’encadrer les intelligences artificielles au niveau européen, le projet d’AI Act entre dans sa dernière phase de validation. Retour sur une régulation nécessaire.
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Pour encadrer la généralisation de l'usage des IA par le grand public, les entreprises et les États, l'IA Act européen crée de nécessaires garde-fous. Crédit : Rafmaster / iStock.
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Pas d’interdiction mais un juste contrôle. Voici comment on pourrait définir le projet de réglementation sur l’intelligence artificielle de l’Union européenne. L’AI Act (Artificial Intelligence Act) a été présenté pour la première fois le 21 avril 2021. Le 22 janvier 2024, une version quasi finalisée a été dévoilée. Le document a maintenant pour vocation à être voté par le Parlement européen dans son ensemble le mercredi 13 mars 2024. Pour la version finale définitive, ce sera a priori le 22 avril 2024.
Le texte donne tout d’abord une définition de l’intelligence artificielle qui est présenté comme suit : « un système basé sur une machine qui, pour des objectifs explicites ou implicites, déduit, à partir des entrées qu’il reçoit, comment générer des résultats tels que des prédictions, du contenu, des recommandations ou des décisions pouvant influencer les environnements physiques ou virtuels. » Le cadre juridique en préparation pour l’IA identifie quatre niveaux de risques. Il s’agit des risques minimaux, des risques limités, des risques élevés et enfin des risques inacceptables.
Lire la suite : https://www.wedemain.fr/dechiffrer/ai-act-que-contient-le-projet-de-loi-europeen-de-regulation-de-lintelligence-artificielle/
Cybersécurité : la transposition de la directive « NIS 2 » devra se faire avec les collectivités
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Publié le 12 mars 2024
La directive du 14 décembre 2022 dite « NIS 2 » visant à assurer un niveau élevé commun de cybersécurité dans l'ensemble de l'Union doit être transposée en France avant le 17 octobre 2024. Le périmètre d'application de la directive pour les collectivités n'est pas encore défini. Les associations d'élus appellent à une « transposition intelligente ».
Entre janvier 2022 et juin 2023, l'Agence de sécurité des systèmes d'information (Anssi) a enregistré et traité 187 cyberattaques visant les collectivités territoriales. Depuis plusieurs années, toutes les collectivités, même les petites communes plus vulnérables, sont particulièrement touchées par des cyberattaques. « Une collectivité sur 10 déclare avoir déjà été victime d’une ou plusieurs attaques au cours des 12 derniers mois, notamment d’hameçonnage à 46 % », selon Cybermalveillance.gouv.fr.
C’est dans ce contexte que la directive du 14 décembre 2022 dite « NIS 2 » doit être transposée en France avant le 17 octobre 2024.
Pour mémoire, la première réglementation européenne en matière de cybersécurité a été publiée en 2016 et concernait 300 entités « Opérateurs de services essentiels ». Les communes et les EPCI n’étaient pas concernés jusqu’à maintenant. « La directive NIS 2, qui s’appuie sur les acquis de la directive NIS 1, marque un changement de paradigme » , peut-on lire sur le site de l'Anssi. En effet, les administrations publiques seront désormais concernées par la mise en place de nouvelles pratiques en faveur d’une meilleure cybersécurité. Ainsi, certaines mesures seront applicables aux collectivités.
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secret-defense.org - Par Elémentaire Dupont de la Rivière
Publié le 11 mars 2024
En cette ère numérique, les faux profils en ligne sont devenus monnaie courante. Ils pullulent sur les réseaux sociaux, les sites de rencontres ou encore les plateformes professionnelles et menacent aussi bien notre identité que notre sécurité. Face à ce fléau grandissant, il est crucial de connaître des techniques efficaces pour ne pas être dupé. Cet article vous propose d'explorer en détails le phénomène des faux profils et de découvrir comment s'en prémunir.
Comprendre la menace des faux profils en ligne
Définition et objectif des faux profils
Un faux profil, c'est une identité fabriquée de toutes pièces par un individu ou une organisation dans le but d'usurper l'identité d'autrui, de tromper, d'escroquer ou tout simplement d'influencer.
L'ampleur du phénomène
Selon une étude récente, environ 10% des comptes sur les réseaux sociaux seraient factices. C'est un chiffre alarmant qui souligne l'importance d'être vigilant face à ce risque.
Ainsi, avant même de chercher à identifier ces faux comptes, il est primordial d'en comprendre la menace. Une fois conscientisé à cette problématique, nous pouvons alors passer à la détection proprement dite.
Les signaux d'alerte pour identifier un profil suspect
Lire la suite : https://www.secret-defense.org/cybersecurite/detection-des-faux-profils-techniques-efficaces-pour-ne-pas-etre-dupe/
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cnews.fr - Par CNEWS avec AFP
Publié le 15 mars 2024
Quelque «800 sites administratifs» ont été visés, lors de la cyberattaque d’une «ampleur inédite» revendiquée par des hackers prorusses dimanche dernier, a annoncé le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini ce vendredi 15 mars.
Des attaques de plus en plus importantes. Le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini a indiqué vendredi que «800 sites administratifs» avaient été visés lors de la cyberattaque «d'une ampleur inédite» qui avait commencé dimanche et duré 48 heures, revendiquée par des hackers prorusses.
«L'Etat français a vécu une attaque d'une ampleur inédite, en intensité, en temps, et en démultiplication du nombre de points d’assaillants», a déclaré le ministre en déplacement à Rennes dans les locaux du Réseau interministériel de l’État (RIE), une infrastructure numérique de l'État. «Ce qui est inédit ce sont 800 points administratifs qui sont attaqués d'un coup», a détaillé le ministre. Mardi, la section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert une enquête après ces attaques informatiques.
«Un fait remarquable dans cette crise c’est que, à aucun moment, nous avons perdu le fil de la communication, toutes les administrations, tous les agents publics ont été en temps réel bien informés et ça n’a pas déstabilisé l'État dans son fonctionnement», s'est félicité le ministre. Interrogé sur la provenance de ces attaques, et la possibilité que Anonymous Sudan, un groupe qui soutient la Russie et plusieurs causes islamistes, en soit à l'origine, le ministre s'est montré «très prudent».
Lire la suite : https://www.cnews.fr/france/2024-03-15/cyberattaques-visant-letat-800-sites-administratifs-ont-ete-cibles-1469007
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journaldutoken.com - Par Darren MacConluain
Publié le 11 mars 2024
La Russie, membre de l’alliance BRICS, a annoncé le développement d’un nouveau système de paiement basé sur la blockchain pour révolutionner les règlements commerciaux.
Ce système devrait devenir un mécanisme indépendant pour les transactions entre les pays membres du BRICS.
Les pays de l’alliance BRICS, composée du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud, envisagent de collaborer pour développer un système de paiement utilisant la technologie de la blockchain et des innovations numériques. Cette initiative s’inscrit dans une stratégie plus large visant à amplifier l’influence du BRICS au sein du cadre monétaire international.
L’assistant du Kremlin, Yury Ushakov, a fait l’annonce mardi lors d’une interview avec TASS, une agence de presse russe. Ushakov a souligné l’importance de cette initiative, déclarant : « Nous estimons que la création d’un système de paiement indépendant du BRICS est un objectif important pour l’avenir, qui serait basé sur des outils de pointe tels que les technologies numériques et la blockchain. »
Il a souligné l’importance de cette initiative en mettant en avant la nécessité d’un système non seulement pratique pour les gouvernements, les entreprises et la population en général, mais aussi exempt d’influence politique et économiquement efficace.
Il a également mis en lumière les objectifs énoncés dans la Déclaration de Johannesburg 2023, qui soulignait l’augmentation des règlements en monnaies nationales et la diversification des réseaux bancaires correspondants pour assurer la sécurité des transactions internationales. Cependant, Ushakov n’a pas révélé de calendrier pour le lancement du nouveau système de paiement blockchain du BRICS.
Lire la suite : https://www.journaldutoken.com/tendances/blockchain-decouvrez-comment-les-brics-developpent-un-systeme-de-paiement-revolutionnaire/
Une antenne utilise l’énergie électromagnétique de la 5G pour produire de l’électricité
sciencepost.fr - par Yohan Demeure, expert géographe
Publié le 15 mars 2024
Aux États-Unis, des ingénieurs ont mis au point une petite antenne capable de convertir l’énergie électromagnétique des signaux 5G en courant continu. Ce dispositif a aussi la particularité d’être imprimé en 3D et de faire la taille d’une simple carte à jouer.
Collecter l’énergie des ondes millimétriques de la 5G
Récolter l’énergie produite par les communications sans fil est le champ de recherches de nombreux scientifiques depuis plusieurs années. Si certains ont focalisé leur attention sur les signaux Wi-Fi à courte portée, d’autres s’intéressent aux émissions de télévision et ainsi que les signaux radio. À l’école de génie électrique et informatique de l’Université Georgia Tech (États-Unis), une équipe a quant à elle porté son attention sur l’énergie électromagnétique que génèrent les communications 5G à ondes millimétriques.
Comme l’indiquent les chercheurs dans un article publié dans la revue Scientific Reports le 12 janvier 2024, leur innovation utilise une mini-antenne redresseuse, pliable et imprimable en 3D. Cette dernière est surtout capable de récupérer l’énergie électromagnétique de la 5G avant de la transformer en courant continu.
Lire la suite : https://sciencepost.fr/antenne-utilise-energie-electromagnetique-5g-pour-produire-electricite/
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SpaceX : l’internet spatial va-t-il remplacer la 5G ?
iPhone.fr - Par Sami Trabcha
Publié le 10 mars 2024 à 08:00
N’importe quel téléphone peut se connecter aux satellites d’Elon Musk.
Début janvier 2024, l’entreprise d’Elon Musk, SpaceX, a lancé une nouvelle ère de connectivité en mettant 21 satellites Starlink en orbite , dont les 6 premiers dotés de la technologie Direct to Cell. Cette dernière a pour but d’offrir une connexion aux téléphones du monde entier.
Starlink propose un abonnement internet par satellite depuis un moment déjà, mais l’équipement est assez encombrant et pas très mobile. Désormais, Elon Musk veut que les téléphones puissent se connecter directement à Starlink, grâce à sa technologie Direct To Cell, qui prend de plus en charge les services des opérateurs.
Apple fournit déjà un type de connectivité similaire pour les appels d’urgence, mais l’idée ici est de l’utiliser pour tout le reste : SMS, appel, et plus tard internet. Cette technologie d’Apple n’est cependant prise en charge que par des iPhone récents (14 ou plus), alors que Direct to Cell de SpaceX peut connecter tous les smartphones compatibles LTE aux satellites Starlink
Un « succès massif »
Lire la suite : https://www.iphon.fr/post/starlink-space-x-direct-to-cell-reseau-4g-5g-abonnement-operateur-internet-appel-sms-parsatellite
Sécurité aux aéroports : une nouveauté à venir va changer vos habitudes
capital.fr - Par Thomas Graindorge
Publié le 09 mars 2024
Un scanner 3D, installé aux contrôles de sûreté des aéroports, pourrait permettre d’éviter aux passagers de devoir vider leur sac de son contenu. Une manière d’économiser du temps. Jusqu’à 30% pour le groupe Aéroports de Paris, qui commence son expérimentation à Paris-Orly et Charles-de-Gaulle.
L’éternelle file d’attente des contrôles de sûreté à l’aéroport, lors de l’embarquement, pourrait bientôt être de l’histoire ancienne. Comme le relaie 20 Minutes, des scanners délivrant une image haute définition, et en 3D, du contenu des bagages cabine, sont en train de faire leur apparition. Ces scanners reposent sur l’utilisation d’une technologie : la tomodensitométrie, développée par Smiths Detection.
Le fabricant des machines qui embarquent cette technologie explique de manière plus simple son procédé. Il s’agit de scanners qui produisent « des images 3D volumétriques haute résolution et fournissent une détection automatique des explosifs ». Ce qui évite donc, et notamment, de retirer les appareils électroniques des bagages ainsi que les différents flacons de liquide, dont les voyageurs peuvent ignorer l’interdiction en cabine.
Généralisé à Rome
Lire la suite : https://www.capital.fr/conso/securite-aux-aeroports-une-nouveaute-a-venir-va-changer-vos-habitudes-1493548
Européennes 2024 : les Français particulièrement vulnérables à la désinformation
ipso.com/fr - Par Diane Lamotte, Etienne Mercier
Publié le 12 mars 2024
Sopra Steria, acteur majeur de la Tech en Europe, révèle les résultats d’une étude Ipsos dédiée à l’impact de la désinformation sur les élections européennes, et à sa perception au sein de la population française.
Chiffres clés
Désinformation – Une population inquiète pour les élections européennes
L‘étude révèle une population largement exposée à la désinformation et qui peut parfois en être victime. Ainsi, sur les réseaux sociaux, ce sont 74% des personnes interrogées qui estiment être souvent confrontées à des informations délibérément fausses ; ce chiffre est de 57% pour les boucles de discussion sur les messages instantanés et 42% pour les médias traditionnels.
Lire la suite : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024-les-francais-particulierement-vulnerables-la-desinformation
L’histoire de la chute d’Atos, vue par son ancien patron, Thierry Breton
trends.levif.be - Par Pierre-Heni Thomas, Journaliste
Source : Trends Teandances
Publié le 13 mars 2024
L’actuel commissaire européen au marché intérieur se dit « très zen » sur sa gestion du groupe entre 2009 et 2019, et affirme avoir laissé une entreprise sans dette et bien positionnée.
Commissaire au marché intérieur, Thierry Breton voudrait bien rempiler à la Commission et, pourquoi pas, prendre la place d’Ursula von der Leyen à la présidence de l’exécutif européen. La semaine dernière, il ne s’est d’ailleurs pas privé de lancer une petite pique à l’égard de la présidente : est-il possible de (re)confier la gestion de l’Europe au PPE pour 5 ans de plus, soit 25 ans d’affilée ? Le PPE lui-même ne semble pas croire en sa candidate », allusion au fait qu’Ursula von der Leyen a été reconduite comme candidate du PPE avec 400 voix sur 801 délégués (mais seulement 499 votants).
Pique pour pique, certains ressortent donc, pour faire de l’ombre au candidat putatif Breton, le dossier Atos, le groupe informatique dont il a été le patron de 2009 à 2019 et qui est aujourd’hui en très grande difficulté et dont l’action est tombée, en quatre ans, de 80 à 2 euros.
En marge d’un petit déjeuner de l’Ajef, l’association des journalistes économiques et financiers français, Thierry Breton a, pour la première fois, abordé le sujet. Ressortant tableaux, documents délivrés après son départ lors d’« investor day », et ligne du temps, il voulait visiblement se défaire de ce sparadrap collé dans le dos.
Petit rétroacte. Lorsque Thierry Breton était le patron d‘Atos, il a changé la dimension du groupe, au travers notamment de nombreuses acquisitions.
S’il ne s‘était pas exprimé jusqu’à présent, c’est qu’on lui avait demandé, lorsqu’il est entré en fonction, de ne pas parler des entreprises qu’il avait dirigée. Mais aujourd’hui que la campagne commence, il parle.
« Beaucoup de choses fausses »
Lire la suite : https://trends.levif.be/entreprises/lhistoire-de-la-chute-datos-vue-par-son-ancien-patron-thierry-breton/
Thales Alenia Space fournira des équipements pour la mission neo surveyor de la nasa
Publié le 13 Février 2024
Ces équipements de communication sont destinés à la mission Neo Surveyor de la Nasa, dont le lancement est prévu en 2028 et qui sera chargée de détecter les géocroiseurs, notamment les astéroïdes et comètes à la fois brillants et sombres, susceptibles d’entrer en collision avec la Terre.
Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67%) et Leonardo (33%), a signé un contrat avec Ball Aerospace, maître d’œuvre industriel, pour la fourniture d’équipements de communication destinés à la mission Neo Surveyor (Near-Earth Object Surveyor) de la Nasa. Cette mission de défense de notre planète, dont le lancement est prévu en 2028, sera chargée de détecter les géocroiseurs, notamment les astéroïdes et comètes à la fois brillants et sombres – ce sont les plus difficiles à trouver – susceptibles d’entrer en collision avec la Terre et de causer des dégâts. Produits sur les sites de Thales Alenia Space à Madrid, Toulouse et Charleroi, ces équipements permettront de transmettre à la Terre les télémesures du satellite et les images prises par le télescope spatial, qui seront déployés dans le cadre de cette mission.
L’objectif principal de cette mission de cinq ans est de renforcer les moyens de défense de notre planète contre les géocroiseurs, en particulier les astéroïdes et comètes situés dans un rayon de 50 millions de kilomètres de l’orbite terrestre. La mission Neo Surveyor implique le déploiement d’un télescope spatial infrarouge dont l’objectif est de détecter et caractériser au moins les deux tiers des géocroiseurs ayant un diamètre supérieur à 140 mètres, susceptibles d’infliger des dégâts significatifs en cas d’impact avec la Terre.
Lire la suite : https://vipress.net/thales-alenia-space-fournira-des-equipements-pour-la-mission-neo-surveyor-de-la-nasa/
francetvinfo.fr - Article rédigé par Camille Laurent, Radio France
Publié le 09 mars 2024
Le gouvernement continue de peaufiner son plan de circulation pendant les Jeux olympiques et paralympiques à venir. Avec cette demande faite aux habitants et professionnels : planifier ses déplacements pour désengorger les axes de la capitale.
Les Jeux olympiques et paralympiques de Paris, un coup de projecteur sur la France... mais aussi un coup de stress, notamment pour les Franciliens. "La grande galère commencera le 1er juillet", a admis Laurent Nuñez, le préfet de police de Paris, mercredi 6 mars sur franceinfo. Pour tenter de leur épargner cette galère dans les transports et sur les routes, le gouvernement a mis sur pied un site internet : "Anticiper les Jeux". Recommandations, carte interactive, "Foire aux questions"... Le site donne des conseils aux premiers concernés afin qu'ils adaptent leur mode de vie perturbé par les épreuves olympiques.
Se déplacer à pied ou à vélo
Le gouvernement invite à "se déplacer autrement" et préconise différents modes de transport en fonction du trajet prévu. Pour des trajets jusqu'à 2 km, la marche est recommandée. Pour des trajets jusqu'à 10 km, le vélo est conseillé sur les plus de 3 000 km de pistes cyclables existant en Île-de-France. 415 km de "réseau cyclable olympique" vont venir s'y ajouter et permettre d'accéder aux sites de compétition, à part celui de Villepinte, en Seine-Saint-Denis. Ce réseau "sera accompagné de 20 000 places de stationnement provisoire sécurisées pour les vélos, aux abords des sites, dont 10 000 à Paris", précise le site. Malgré les restrictions, tous les périmètres de circulation des sites olympiques "sont accessibles pour les piétons, vélos, trottinettes sans justificatif", rappelle le site dans sa FAQ. Pour des trajets plus longs, au-delà de 10 km, le gouvernement invite à faire du covoiturage ou à prendre les transports en commun les moins fréquentés.
Une "carte interactive" pour planifier son trajet
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Le maire d'Arcachon offre un vélo par habitant : "Je ne sais pas pourquoi les autres ne le font pas"
actu.fr/nouvelle-aquitaine, Par Nicolas Gosselin
Publié le 09 Mars 2024
Depuis plus de dix ans, la Ville d'Arcachon donne un vélo à chaque habitant qui en fait la demande. Le maire vante les mérites de ce dispositif, qui n'a pourtant pas fait d'émules.
À qui veut l’entendre, le maire Yves Foulon répète que sa ville est la seule dans tout l’Hexagone à distribuer gratuitement un vélo à chaque habitant qui en fait la demande (y compris pour les milliers de résidents secondaires).
On n’a pas été jusqu’à parcourir à bicyclette les routes de France et de Navarre pour vérifier mais il faut reconnaître que le dispositif déployé à Arcachon, voté en conseil municipal en 2012 et lancé en 2013, est unique en son genre.
Près de 16 000 vélos distribués en dix ans
En Gironde, c’est sûr, il n’existe nulle part ailleurs. Bordeaux Métropole, par exemple, propose bien de mettre gratuitement un vélo à disposition des habitants mais il s’agit d’un prêt de dix mois non renouvelable et dans la limite d’un par foyer.
Comme une fierté, la commune huppée du bassin d’Arcachon célébrait ce samedi 9 mars 2024 – avec un an de décalage – les dix ans du Vélo d’Arcachon, avec différentes animations organisées dans le centre-ville.
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vie-publique.fr - Par la Rédaction
Publié le 4 mars 2024
De 4,5% à plus de 11% : la part moyenne des immigrés dans la population des pays européens a plus que doublé depuis 1960. Un tiers des immigrés est d'origine d'un autre pays de l'Union européenne (UE). Les immigrés intracommunautaires sont en moyenne plus qualifiés et plus souvent en emploi ce qui a un effet positif sur la productivité.
La liberté de circulation a toujours été au centre de projet européen. Depuis le traité de Rome en 1957 et le traité de Lisbonne de 2007, en passant par la mise en œuvre de l'accord de Schengen en 1995, elle s'est étendue des travailleurs aux retraités, étudiants, lycéens et apprentis. Selon une étude de la Direction générale du Trésor publiée en février 2024, la réduction des barrières à la mobilité des personnes contribue au bon fonctionnement du marché intérieur mais des obstacles demeurent. Et la mobilité au sein de l'UE reste beaucoup plus faible que celle observée aux États-Unis.
Portrait des immigrés européens
Le principal motif de migration dans l'UE est le regroupement familial, devant le travail, les études ou une demande de protection. L'étude note également qu'une migration pour motif familial peut être combinée à un motif de travail.
Les immigrés intracommunautaires en âge de travailler sont globalement plus jeunes que les natifs européens. Le taux d'emploi et le niveau d'éducation des immigrées européens sont d'un niveau comparable à ceux des natifs et supérieurs à ceux des immigrés extracommunautaires. Leur répartition se fait de façon inégale : elle est nettement plus élevée en Europe de l'Ouest, notamment en Allemagne, en Suisse et en Autriche et dans les pays du Bénélux.
Une mobilité intracommunautaire encore assez modeste
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/293224-circulation-des-personnes-dans-lue-la-mobilite-intracommunautaire
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airbus.com - Communiqué
Publié le 07 mars 2024
Donauwörth – Airbus a présenté au public son prototype entièrement électrique CityAirbus NextGen , avant son vol inaugural prévu plus tard cette année. Le CityAirbus de deux tonnes, avec une envergure d'environ 12 mètres, est en cours de développement pour voler avec une autonomie de 80 km et atteindre une vitesse de croisière de 120 km/h, ce qui le rend parfaitement adapté aux opérations dans les grandes villes pour une variété de de missions.
Le dévoilement a coïncidé avec l'ouverture du nouveau centre d'essais CityAirbus à Donauwörth, qui sera dédié aux tests des systèmes pour véhicules électriques à décollage et atterrissage vertical (eVTOL). Le centre, qui fait partie de l'investissement continu et à long terme d'Airbus dans Advanced Air Mobility (AAM), a commencé ses opérations avec la mise sous tension du CityAirbus NextGen en décembre 2023 et sera désormais utilisé pour les tests restants requis avant la mise en service du prototype. vol inaugural plus tard dans l'année. Ces tests portent sur les moteurs électriques avec leurs huit rotors ainsi que sur les autres systèmes de l'avion comme les commandes de vol et l'avionique.
« Le déploiement de CityAirbus NextGen pour la toute première fois est une étape importante et très réelle que nous franchissons vers une mobilité aérienne avancée et vers notre futur produit et marché. Merci à notre communauté, notre équipe et nos partenaires du monde entier de nous aider à faire de cela une réalité », a déclaré Balkiz Sarihan, responsable de la mobilité aérienne urbaine chez Airbus.
Dans le même temps, Airbus étend son réseau mondial et ses partenariats pour créer un écosystème unique qui favorisera un marché AAM prospère et viable. Airbus a récemment signé un accord de partenariat avec LCI, une compagnie aéronautique leader, pour se concentrer sur le développement de scénarios de partenariat et de modèles commerciaux dans trois domaines clés de l'AAM : la stratégie, la commercialisation et le financement.
Pour des photos et des séquences supplémentaires, veuillez utiliser ce lien .
Lire la suite : https://www.airbus.com/en/newsroom/press-releases/2024-03-cityairbus-nextgen-makes-its-debut
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Avec AdvancedH2Valley, la mobilité hydrogène avance dans l'Ouest
h2-mobile.fr - Par Michël Torregrossa
Publié le 06 mars 2024
Regroupant 18 membres, le consortium AdvancedH2Valley vient de recevoir une subvention de 8.9 millions d’euros de la Commission européenne pour déployer un écosystème d’ hydrogène vert dans l’Ouest de la France.
Coordonné par Lhyfe, le projet AdvancedH2Valley vise à introduire jusqu’à 11.5 MW de nouvelles capacités de production d’hydrogène vert.
Camions, applications maritimes, utilitaires légers, taxis… En matière d’usages, AdvancedH2Valley promet de faire avancer la mobilité hydrogène grâce à des partenaires comme Hype, Hyliko ou Jacky Perrenot.
Dans leur communiqué commun, les membres du consortium évoquent le déploiement de deux nouvelles stations publiques en plus des 5 stations déjà en activité et la mise en place d’une « chaîne d'approvisionnement adaptée ». Pour l'heure, le calendrier n'est pas précisé. Affaire à suivre !
Lire la suite : https://www.h2-mobile.fr/actus/advancedh2valley-mobilite-hydrogene-avance-ouest/
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ec.europa.eu - Communiqué
Publié le 08 mars 2024
Aujourd'hui, la Commission publie des chiffres préliminaires sur les décès sur les routes pour 2023. Environ 20 400 personnes ont été tuées dans des accidents de la route dans l'UE l'année dernière, soit une légère baisse de 1 % par rapport à 2022. Malgré certains progrès depuis l'année de référence de 2019 [1] , peu Les États membres sont en passe d’atteindre l’objectif de l’UE et de l’ONU de réduire de moitié le nombre de morts sur les routes d’ici 2030.
Un tableau contrasté selon les États membres
À l’échelle de l’UE, le nombre de tués sur les routes en 2023 a diminué de 1 % par rapport à l’année précédente. Même si cela représente environ 2 360 décès de moins (-10 %) par rapport à 2019, la tendance à la baisse s’est stabilisée dans plusieurs États membres.
Depuis 2019, le nombre de tués sur les routes n’a pratiquement pas diminué en Espagne, en France et en Italie, alors qu’il a augmenté en Irlande, en Lettonie, aux Pays-Bas, en Slovaquie et en Suède. En revanche, au cours des quatre dernières années, la Belgique, la Tchéquie, le Danemark, la Hongrie et la Pologne sont en passe d'atteindre l'objectif de réduction de 50 % du nombre de morts et de blessés graves sur les routes d'ici 2030 [2] .
Le classement général des taux de mortalité des pays n'a pas changé de manière significative, les routes les plus sûres se trouvant toujours en Suède (22 décès pour un million d'habitants) et au Danemark (27/million). La Bulgarie (82/million) et la Roumanie (81/million) ont enregistré les taux de mortalité les plus élevés en 2023. La moyenne de l'UE était de 46 morts sur les routes par million d'habitants.
Groupes les plus touchés
Lire la suite : https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/IP_24_1361
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actu.orange.fr - Par AFP
Publié le 5 mars 2024
L'entreprise américaine à la réputation sulfureuse Palantir, qui développe des outils d'aide à la décision grâce à l'analyse de données dans des domaines sensibles comme la sécurité, voit sa conquête du marché européen des services publics confrontée à des résistances.
Créée en 2003, grâce notamment à des fonds provenant de la branche de la CIA dédiée aux financements et liée à l'origine à des commandements militaires et services de renseignement, Palantir a collaboré avec le gouvernement américain pour identifier des immigrés sans-papiers ou encore des cibles potentielles en Afghanistan.
Des ONG comme Amnesty International pointent de longue date des risques de surveillance de masse et d'atteinte aux libertés individuelles. La société - décrite comme l'une des plus "malfaisantes" qui existent par le magazine Slate - affirme, elle, avoir contribué à protéger le monde du terrorisme.
Alors que Palantir est devenue rentable pour la première fois en janvier, elle a, ces dernières années, redoublé d'efforts pour s'implanter sur le marché européen, notamment en France (où elle revendique environ une dizaine de clients, dont une moitié n'a pas souhaité rendre cette collaboration publique).
L'entreprise, qui fournit à l'Ukraine ses outils d'intelligence artificielle dans sa guerre contre la Russie et compte parmi ses partenaires le géant de l'aérospatial Airbus et la police danoise, a des velléités d'expansion dans le secteur des services publics.
Travaillant déjà avec des prestataires de santé américains, elle a signé l'an dernier un contrat évalué à 330 millions de livres sterling (385 millions d'euros) pour centraliser les données du National Health Service (NHS), le service public de santé du Royaume-Uni.
Craignant que les données des patients soient captées par Palantir sans garantie de ce qu'elles deviendront par la suite, associations et professionnels médicaux ont engagé des actions juridiques dénonçant ce contrat. Leurs objectifs: faire pression sur le gouvernement britannique pour en dévoiler les conditions ou obtenir des garanties quant à la protection des données.
Cette fronde pourrait avoir de lourdes répercussions sur de nombreux services publics dans le monde, et sur les ambitions d'expansion de Palantir dans ce secteur.
"Objectifs des dirigeants"
Lire la suite : https://actu.orange.fr/economie/l-offensive-du-groupe-americain-palantir-sur-les-services-publics-europeens-passe-mal-CNT000002cIdDd.html
phonandroid.com - Par Alexandre Mathiot
Publié le 05 mars 2024
Avec l'entrée en vigueur imminente du Digital Markets Act (DMA) de l'Union Européenne, Google dévoile une série de modifications conséquentes pour se conformer à cette nouvelle législation. Ces ajustements, résultant de multiples collaborations et d'un travail approfondi de l'équipe de l’entreprise, visent à équilibrer l'innovation avec les exigences réglementaires, tout cherchant à préserver la qualité de ses services pour les utilisateurs et les entreprises.
Google se prépare à une transformation importante de ses services à l'approche du 6 mars, date marquant l'entrée en vigueur du Digital Markets Act (DMA) en Europe. Cette législation, visant à réguler le marché numérique, contraint le géant de Mountain View à réviser ses offres, notamment sur Android, Chrome, et son moteur de recherche. Les changements prévus, bien que rendant certains services moins personnalisés, sont conçus pour offrir aux Européens davantage de choix et de contrôle sur les technologies qu'ils utilisent au quotidien.
Parmi les ajustements les plus notables, citons la refonte des résultats de recherche, qui favorisera désormais les sites de comparaison, et la modification de l'intégration de services tels que Google Maps dans les résultats. Par exemple, les utilisateurs pourraient ne plus voir l'encart Maps habituel lors de recherches spécifiques, un changement destiné à promouvoir une concurrence équitable mais qui pourrait altérer l'utilité de la recherche Google pour certains.
Lire la suite : https://www.phonandroid.com/google-se-conforme-aux-nouvelles-lois-europeennes-sur-le-numerique-voici-ce-que-ca-change-pour-vous.html
Une gigafactory est une gigantesque usine permettant de produire à une échelle d’une ampleur inédite. Découvrez pourquoi il s’agit d’une innovation majeure de ce début de millénaire, et pourquoi elle repose fortement sur l’analyse de données, l’intelligence artificielle et les réseaux informatiques !
Nous sommes entrés dans une nouvelle ère de la manufacture. Cette révolution est liée à un nouveau type d’usine, promettant une production massive à une échelle gigantesque, un changement radical dans la manière dont nous concevons, fabriquons et consommons des produits.
Inaugurées par des géants comme Tesla et Panasonic, ces installations titanesques sont les mastodontes industriels du XXIème siècle et incarnent la dernière évolution de la technologie et de l’ingénierie capable de remodeler tout le paysage économique : les gigafactories.
Quelle est l’origine de la gigafactory ?
Au fil des dernières décennies, la demande effrénée pour des produits électroniques et énergétiques a mis les capacités de production traditionnelles à rude épreuve.
À l’aube du XXIème siècle, les entreprises ont dû faire face à un dilemme : comment répondre à cette demande en hausse, tout en maintenant des normes de qualité suffisamment élevées ?
C’est dans l’espoir de relever ce défi que les prototypes de mégacentres de production ont commencé à émerger dans les années 2000. Ils portaient la promesse de réinventer la fabrication à une échelle sans précédent.
Le terme de « gigafactory » a été inventé par Tesla, pour désigner leur production de batteries à l’échelle d’un gigawatt-heure de capacité.
Ces installations pionnières ont posé les bases d’une transformation majeure dans le paysage industriel. Et à mesure que les technologies numériques ont progressé, l’automatisation et la robotique ont pris une place centrale dans l’évolution des gigafactories.
Ces avancées ont non seulement permis d’augmenter la capacité de production, mais aussi d’améliorer la précision, la rapidité et la flexibilité des processus de fabrication. Ainsi, les usines de production classiques sont devenues des centres technologiques intégrés et capables de s’adapter rapidement au moindre changement.
Si la gigafactory était à l’origine principalement centrée sur l’électronique, elle s’est étendue dans d’autres domaines stratégiques : énergie renouvelable, automobile, stockage d’énergie…
Il ne s’agit plus seulement de répondre à la demande, mais aussi d’anticiper les besoins futurs. Incubateur d’innovation, ce nouveau type d’usine permet d’explorer de nouvelles frontières technologiques pour façonner l’avenir.
Comprendre l’architecture et la technologie de ces usines géantes
Lire la suite : https://datascientest.com/gigafactory-tout-savoir
notretemps.com - Par afp - high-tech
Publié le 04 Mars 2024
La "maladie X", terme inventé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour désigner une hypothétique future pandémie, est au centre d'un ouragan de désinformation amplifié par les...
La "maladie X", terme inventé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour désigner une hypothétique future pandémie, est au centre d'un ouragan de désinformation amplifié par les théoriciens américains du complot, qui en tirent profit.
Les fausses informations, en particulier celle attribuant à un complot élitiste la création d'un agent pathogène inconnu visant à dépeupler la planète, semblent provenir des États-Unis mais se sont répandues en Asie dans de nombreuses langues régionales, selon les vérificateurs de faits de l'AFP.
La désinformation qui se propage rapidement et qui, selon les experts, illustre les dangers d'une faible modération des contenus sur les réseaux sociaux, pourrait accroître la méfiance vis-à-vis des vaccins et compromettre la préparation aux urgences de santé publique, quatre ans après l'apparition de la pandémie de Covid-19.
En attisant les craintes concernant la maladie X, les influenceurs de droite aux États-Unis profitent également de ces fausses informations pour vendre des kits médicaux contenant un traitement du Covid-19 qui, selon les experts de la santé, n'a pas fait ses preuves.
"Les diffuseurs de fausses informations tentent d'exploiter cette théorie du complot pour vendre des produits", explique à l'AFP Timothy Caulfield, de l'université d'Alberta, au Canada.
Lire la suite : https://www.notretemps.com/depeches/etats-unis-les-conspirationnistes-font-leur-beurre-sur-la-desinformation-liee-a-la-maladie-x-86929
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Pionnier de la cyberdéfense
numerama.com - Par Bogdan Bodnar
Manipulation de l’information, évolution de l’influence russe et défense des réseaux de drones, le vice-amiral Arnaud Coustillière aborde les défis de la cyberdéfense française.
Viginum, l’organisme français contre les ingérences numériques étrangères, publiait un rapport le 12 février 2024 sur des sites de désinformation russes destinés à « directement à polariser le débat public numérique francophone ». Assez pour avertir la population française ? « Difficile de lutter contre de telles manœuvres de manipulation », constate Arnaud Coustillière, vice-amiral d’escadre. Officier de haut-rang, il a participé à la création de la cyberdéfense française.
Dans son ouvrage, Un soldat de la cyberguerre (Éditions Tallandier) paru en février dernier, il décrit tour à tour le retard français, le lancement d’un corps militaire dédié à la défense du cyberespace et l’élaboration d’une doctrine offensive. Si la lutte dans le cyberespace sera intense pour les prochaines années, celle du champ informationnel paraît encore plus décisive.
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wearetech.africa - Par : Muriel Edjo
Publié le 08 mars 2024
Le phénomène de désinformation n’est pas nouveau. Mais son ampleur a changé avec les nouvelles technologies. La propagation est plus rapide, les personnes touchées plus nombreuses, les effets plus importants.
Dans ses perspectives mondiales de cybersécurité 2024, le World Economic Forum (WEF) estime que l’Intelligence artificielle (IA) va marquer un tournant dans le paysage de la cybercriminalité. En effet, au-delà des attaques sur les systèmes informatiques, la manipulation de l’information constituera l’un des grands défis du monde connecté.
Bien que les attaques sur les infrastructures critiques représentent toujours un risque majeur de sécurité, elles peuvent toutefois être maîtrisées. Or, les bouleversements sociaux et politiques qui peuvent découler de la manipulation profonde de l’information par les nouvelles technologies sont de nature à nuire à la stabilité économique de divers secteurs d’activité, pays, régions du monde sur une plus longue durée.
L’inquiétude, la peur, le repli identitaire, la crise de confiance publique etc. sont autant de situations que les deepfakes peuvent créer, entretenir et accentuer à travers la planète pour en faire des armes contre les gouvernements et entre les pays. A travers cette nouvelle approche, c’est le cœur et l’esprit de personnes qui constituent les systèmes politiques, économiques et sociaux qui sont piratés. Dans une note de septembre 2023, le département américain de la Défense qualifiait les deepfakes de menaces contre la sécurité nationale.
Talents recherchés
Dans un contexte mondial de pénurie de compétences en cybersécurité – 4,7 millions de personnes travaillaient dans le domaine de la cybersécurité à l'échelle internationale en 2022, mais le déficit mondial s’élève à 3,4 millions selon l’organisation à but non lucratif International Information Systems Security Certification Consortium (ISC2) – l’émergence rapide de l’IA et son incidence sur la réalité accentue la pression sur le besoin en professionnels de cyberdéfense.
tf1info.fr - Par Sabine BOUCHOUL | Chronique : Jean-Marie BAGAYOKO
Publié hier le 5 mars 2023
L'usurpation d'identité concerne 400 000 personnes chaque année dans l'Hexagone.
Cette fraude est en constante augmentation ces dernières années, à cause des nombreux piratages et fuites de données
Les conseils de Jean-Marie Bagayoko pour s'en protéger dans Bonjour ! La Matinale TF1.
On parle d’usurpation d’identité lorsqu’un tiers utilise des données personnelles propres à vous identifier sans votre accord dans le but de vous nuire, de réaliser des opérations financières ou commettre des actes répréhensibles. L’usurpation d’identité concerne 400 000 personnes en France, chaque année. Comment s’en prémunir ? Voici les conseils de Jean-Marie Bagayoko dans Bonjour ! La Matinale TF1.
Un phénomène en constante augmentation
Depuis le début de l’année 2024, 217 000 Français ont été victimes d’usurpation d’identité, selon France Verif. La raison de cette explosion ? La cyberattaque massive qui a ciblé les groupes Viamedis et Almerys et qui a touché 33 millions de particuliers. Ces usurpations d’identité peuvent entraîner des conséquences dramatiques pour les victimes qui se retrouvent avec des crédits non contractés, des amendes à payer, casier judiciaire ou des comptes bancaires complètement vidés. Les entreprises sont aussi touchées par l’usurpation d’identité. C’est ce qui est arrivé à Voyageurs du monde qui a été victime d’une cyberattaque. La conséquence ? 10 000 copies de passeports ont été exposées sur la Toile.
Comment protéger son identité ?
Lire la suite : https://www.tf1info.fr/conso-argent/video-bonjour-la-matinale-tf1-usurpation-d-identite-que-faire-pour-s-en-proteger-2288297.html
defense.gouv.fr Par la Direction : Ministère des Armées
Publié le 08 mars 2024
Le ministre des Armées a dévoilé, ce vendredi 8 mars, la stratégie ministérielle relative à l’intelligence artificielle. Une annonce faite sur le site de l’Ecole polytechnique, là-même où sera bientôt implantée le pôle « recherche » de l’Agence ministérielle pour l’IA de Défense (AMIAD). Explications.
Largement utilisée sur le champ de bataille en Ukraine, l’intelligence artificielle (IA) est déjà une réalité au ministère des Armées. Dès 2018, ce dernier avait rédigé une feuille de route pour y définir son développement. Mais l’IA doit dorénavant passer à l'échelle industrielle. Traduction : se répandre dans les tâches administratives comme dans les missions opérationnelles. C’était là tout l’objectif derrière la visite du ministre des Armées, ce vendredi 8 mars, sur le site de l’Ecole polytechnique, à Palaiseau (Essonne). Sébastien Lecornu est en effet venu présenter la stratégie ministérielle en matière d’intelligence artificielle. En ligne de mire : orienter, anticiper et accélérer l’utilisation d’une « IA de Défense » crédible et performante grâce à la centralisation des moyens qui lui sont dédiés.
« Les Armées doivent prendre le virage de l’intelligence artificielle. C’est pourquoi j’annonce la création d’une nouvelle Agence ministérielle pour l’IA de défense (AMIAD) avant cet été, a déclaré le ministre des Armées sur la place d’armes de la célèbre école d’ingénieur. Elle aura pour mission de permettre à la France de maîtriser souverainement ces technologies pour ne pas dépendre des autres puissances. » Cette agence, dont le volet « recherche » sera basé sur le site de l’établissement et dont le volet « production », sera installé à Bruz (Ille-et-Vilaine) devrait compter, à terme, 300 personnes dont de nombreux chercheurs.
« Le saut technologique que représente l’intelligence artificielle est sans doute celui qui révolutionnera la manière de faire la guerre. Ou même, plus important encore, de l’éviter comme l’atome en son temps », a également rappelé Sébastien Lecornu.
Une multitude de projets autour de l’IA sont d’ores et déjà en cours de développement, à l’image de celui visant à produire une solution d’analyse automatisée de l’acoustique sous-marine dans le but d’assister le travail des « oreilles d’or1 » de la Marine nationale.
Autre priorité du ministère des Armées : disposer, dès 2025, de son propre supercalculateur2. Ce sera tout simplement le plus gros dédié à l’IA et classifié en Europe ! Basée à Suresnes (Hauts-de-Seine), la machine sera capable de traiter des données secret défense et « non protégées ». Surtout, le supercalculateur pourra aussi être utilisé par les entreprises de la base industrielle et technologique de défense.
Pour rappel, la loi de finance pour 2024 consacre 130 millions d’euros à l’IA de Défense. Un budget qui sera doublé d’ici la fin de la loi de programmation militaire 2024-2030, qui prévoit un total de 2 milliards d’euros dédiés au domaine. En 2026, près de 800 personnes travailleront sur l’IA au ministère des Armées.
Besoin d’informations ou envie de nous rejoindre ? Ecrivez à ia@def.gouv.fr
1 Le rôle des « oreilles d’or » est d’écouter et d’analyser le moindre bruit capté en mer afin de détecter d’éventuelles menaces.
2Un supercalculateur est un très grand ordinateur renfermant plusieurs dizaines de milliers de processeurs. Il est donc capable de réaliser un très grand nombre d’opérations de calcul ou de traitement de données simultanément.
Lire la suite : https://www.defense.gouv.fr/actualites/sebastien-lecornu-lance-strategie-ministerielle-lintelligence-artificielle
En 2018, le règlement général sur la protection des données (RGPD) a harmonisé les règles entourant la protection des données personnelles, créant un espace de libre circulation des informations au sein de l'Union européenne (UE). La CNIL a examiné l'impact économique du RGPD cinq ans après son entrée en vigueur.
L'évolution de la réglementation sur la protection des données a été au centre de plusieurs études économiques se penchant principalement sur les coûts de la mise en œuvre du RGPD. Le 1er mars 2024, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a publié le bilan de ces analyses.
Des bénéfices économiques pour les entreprises et les personnes
La mise en œuvre du RGPD engendre "des coûts inévitables" pour les entreprises afin de se mettre en conformité avec la réglementation. La CNIL constate que les études économiques publiées à ce jour se concentrent davantage sur ces coûts et ne mesurent pas suffisamment les bénéfices économiques pour les entreprises et les personnes.
Pour les entreprises, ces avantages se manifestent par une amélioration de la réputation vis-à-vis des clients et des partenaires, un renforcement de la sécurité informatique et une meilleure compréhension des données au sein de l'entreprise.
La mise en œuvre du RGPD apporte également d’importants gains de bien-être pour les consommateurs. Ces derniers acquièrent une meilleure maîtrise de leurs données, ce qui leur permet de mesurer plus efficacement les risques liés à leur diffusion. Plus vigilants, ils sont moins exposés à une exploitation frauduleuse de leurs données ou à des démarchages abusifs qui peuvent entraîner des pertes économiques.
Bien que difficiles à mesurer, "il serait utile que les économistes tentent d’objectiver ces gains pour réaliser une véritable analyse coûts/bénéfices", selon la CNIL.
RGPD, protection des données personnelles : ce qui a changé en mai 2018
Des coûts plus importants pour les petites entreprises
bigmedia.bpifrance.fr - Par Julie Leprêtre, rédactrice web
Publié le 05 mars 2024
Créée en 2018 avec l’ambition de révolutionner l’Internet des Objets (IoT) par satellite, la startup du New Space, Kinéis, est rentrée en phase d’industrialisation et a prévu de lancer 25 nouveaux satellites à partir de l'été 2024. Rencontre avec le dirigeant de la pépite française.
Lancer une constellation de satellites 100 % « made in France », voici le pari fou de Kinéis. Fondée en 2018 et soutenue par CLS et le CNES, la startup toulousaine a pour ambition de révolutionner l’Internet des Objets par satellite. C’est après avoir travaillé auprès de la ministre chargée du numérique en tant que directeur adjoint de cabinet, puis rejoint Toulouse et son secteur spatial, que l’ingénieur se lance dans la création de la startup.
Kinéis, startup française du New Space et spécialiste du nanosatellite
Opératrice du système de balises ARGOS créé dans les années 80, notamment utilisé par les scientifiques et les skippers, Kinéis travaille désormais au déploiement de sa propre constellation de 25 satellites. « ARGOS comprend neuf satellites réalisés, entre autres, par le CNES (Centre national d’études spatiales). C’est déjà bien, mais ce n’est pas suffisant pour les besoins qu’on a aujourd’hui », assure le dirigeant de la startup. Pour Big média, il décrypte les enjeux de l’IoT et dévoile les dessous de l’industrialisation d’un projet d’ampleur comme celui de la nouvelle constellation.
L’IoT, grâce aux nanosatellites, répond aux enjeux de connectivité
Big média : En quoi l’Internet des Objets par satellite est-il révolutionnaire ?
Lire la suite : https://bigmedia.bpifrance.fr/nos-actualites/kineis-prevoit-denvoyer-25-satellites-pour-revolutionner-liot
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usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 07 mars 2024
À l’occasion de la Journée nationale du quantique, Emmanuel Chiva, délégué général pour l’armement, a annoncé le lancement du programme “Proqcima”. Basé sur des accords-cadres de 15 ans avec cinq start-up françaises, il vise à développer d’ici à 2032 deux prototypes d’ordinateurs quantiques tolérant aux fautes. Un partenariat d’innovation compétitif et sélectif : seules deux start-up seront en lice pour l’industrialisation.
Le délégué général pour l’armement, Emmanuel Chiva, a annoncé lors de la Journée nationale du quantique, le 6 mars, le lancement du programme d’innovation Proqcima, en lien avec cinq pépites françaises du quantique. Étaient également présents Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, Marina Ferrari, secrétaire d'État chargée du Numérique, Bruno Bonnell, secrétaire général pour l'investissement en charge de France 2030 et Neil Abroug, coordinateur de la stratégie nationale du quantique.
D'après Emmanuel Chiva, ce partenariat est “inspiré du programme Ultra”, qui pendant la Seconde Guerre Mondiale, avait engagé Alan Turing pour déchiffrer le dispositif Enigma, mais “adapté à l’ère de l’informatique quantique”. Concrètement, cinq start-up aux technologies différentes se sont engagées, via des accords-cadres d’une durée de 15 ans, à concevoir d’ici à 2032 deux prototypes d’ordinateurs quantiques universels : il s’agit d’Alice & Bob, de Pasqal, de Quandela, de C12 et de Quobly. La direction générale de l’armement (DGA) sera en charge du pilotage du programme, avec le soutien du Secrétariat générale pour l’investissement (SGPI).
Une enveloppe non-définitive de 400 millions d’euros sur huit ans
fr.beincrypto.com - Par Célia Simon
Publié le 3 mars 2024
L’audit des smart contracts revêt une importance cruciale dans les domaines financier, juridique et commercial, en garantissant le respect des réglementations et en maintenant une intégrité opérationnelle. Dans le contexte de la technologie décentralisée et des smart contracts, l’audit revêt en effet une importance accrue.
Avec de nombreux actifs échangés sur les plateformes de blockchain, la fiabilité et la sécurité des contrats intelligents, ou smart contracts en anglais, deviennent primordiales. Cet article se penche ainsi sur l’importance de l’audit dans les smart contracts, ses processus et ses implications.
Comprendre le principe des audits de smart contracts
Un smart contract, qui fonctionne comme un accord auto-exécutoire sur la blockchain, permet d’automatiser les termes d’un contrat lorsque ses conditions spécifiques sont remplies. Malgré leur conception inviolable, les smart contracts, comme tout logiciel complexe, peuvent présenter des vulnérabilités ou des bugs. C’est pourquoi l’audit revêt une importance capitale dans le cycle de vie de leur développement.
Lire la suite : https://fr.beincrypto.com/technologie/302285/audits-smart-contracts-cruciaux-organisation-blockchain/
preparisk.fr - Communiqué
Publié le 03 mars 2024
Prépa'Risk est une opportunité pour les communes et intercommunalités de se préparer face aux risques majeurs avec une série d'exercices de simulation de crise. Pour sa deuxième édition, Prépa'Risk revient du 8 avril au 18 juin 2024.
Quelles sont les modalités ? Comment participer ? A quelle dates ? Les réponses dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Y9DI6U6Bl_E&t=102s
En quelques mots :
Les risques majeurs, tels que les catastrophes naturelles ou les accidents industriels, viennent régulièrement questionner notre vulnérabilité, parfois de manière désastreuse pour les populations locales. Face à cela, la préparation est la clé d’une organisation efficiente. Dans un contexte de changement climatique global, la préparation apparait plus que jamais comme un élément majeur dans l’adaptation des sociétés face à ces situations imprévues.
Dans ce contexte, l'Association Française pour la Prévention des Catastrophes Naturelles et Technologiques (AFPCNT) propose aux communes et intercommunalités de l'Hexagone et d’outre-mer de tester leurs dispositifs et organisations de crise au travers d’une série de 18 exercices de simulation de gestion des risques majeurs.
Cette campagne nationale, baptisée Prépa’Risk, vise à sensibiliser l’ensemble des acteurs locaux à l'importance de la préparation faces aux risques majeurs et à renforcer leur organisation de crise, élément fondamental pour la sécurité des personnes et des biens. L’initiative est menée avec l’appui du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer, des préfectures et de nombreux partenaires relais nationaux.
latribune.fr - Par Michel Cabirol
Publié le 05 mars 2024
Patrice Caine fait le pari de développer un pôle cybersécurité hyper lucratif au sein de Thales. Le groupe de technologies se voit comme un peu comme un laboratoire pharmaceutique capable de sortir des produits et solutions de cybersécurité à l'image - toute proportion gardée - d'un médicament « blockbuster ».
Quand Patrice Caine présentera aujourd'hui les très bons résultats 2023 de Thales, il ne pourra évidemment pas oublier l'acquisition très audacieuse du groupe de cybersécurité américain Imperva (500 millions de dollars de chiffre d'affaires), qui a beaucoup surpris à l'été 2023. Non seulement Thales est entré avec panache dans le top cinq des groupes de cybersécurité mondiaux mais cette emplette de 3,6 milliards de dollars renforce la stratégie ciblée du PDG de Thales dans la cybersécurité, un secteur encore très fragmenté. Car le groupe de technologies poursuit un plan bien précis depuis plus de dix ans dans le domaine lucratif des produits et des solutions en pleine croissance.
Cyber : docteur ou laboratoire ?
Si le groupe ne délaisse pas les services, qui représentent environ 400 millions sur les 2,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires qu'il devrait réaliser en 2024, il se concentre sur le segment le plus lucratif de cette filière : les produits, les solutions, le chiffrement (soit plus de 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires, Imperva compris). Pour Patrice Caine, la cybersécurité peut se comparer au secteur de la santé : le docteur, qui soigne et rend un service, et le laboratoire, qui développe et conçoit un médicament.
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hellofuture.orange.com - Par Shuhan Mizra
Publié le 5 mars 2024
• Les fuites de données sur les plateformes de messagerie, telles que celle sur Discord en 2023, mettent en lumière les risques pour la vie privée.
• Pour remédier à ces problèmes, Quarks propose une messagerie décentralisée sur la blockchain pour les entreprises, assurant confidentialité, traçabilité et non-répudiation des messages échangés.
• En utilisant une architecture blockchain, Quarks vise à éliminer les contrôles centralisés et les vulnérabilités, et souhaite s’imposer à terme comme une nouvelle norme de sécurité pour les communications en ligne.
Vol de données
760 000 En 2023, une faille de sécurité sur la messagerie instantanée Discord a rendu vulnérables les données de 760.000 utilisateurs.
Les fuites de données sur les outils de messagerie instantanée représentent un véritable risque d’atteinte à la vie privée, comme l’illustre celle qui a eu lieu sur le réseau Discord en 2023, et qui a exposé les informations personnelles de 760 000 personnes. « Il y a par ailleurs de nombreux articles de recherche qui ont fait été de failles de sécurité sur des messageries très répandues comme WhatsApp », explique Shuhan Mirza, chercheur et ingénieur en chef adjoint de la banque mobile bKash Limited au Bangladesh. Avec cinq autres chercheurs, dont des Américains de Syracuse University et de l’Université du Tennessee ainsi qu’un autre de l’Université technologique d’Asie-Pacifique de Kuala Lumpur, ils ont développé sur leur temps libre l’architecture d’une messagerie sécurisée basée sur la blockchain. « On cherche à répondre à deux problèmes : d’une part les systèmes dont le code source n’est pas ouvert posent des problèmes de transparence en matière de sécurité. Par ailleurs, les entreprises qui utilisent des applications de messageries dont elles ne sont pas propriétaires voient leurs interrogations grandir en termes de confiance. » Et ces dernières ont besoin de reprendre la main sur leurs systèmes, tout en pouvant évaluer le niveau de sécurité des messageries, ce que permettent les systèmes en open source.
Chaque interaction sur Quarks qui a lieu sur un canal est effectuée par le biais d’un contrat intelligent, ou smart contract
Un système décentralisé plus robuste
Lire la suite : https://hellofuture.orange.com/fr/quarks-une-messagerie-instantanee-decentralisee-et-securisee-sur-la-blockchain/
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Face aux cyberattaques russes, l'UE lance son premier grand « bouclier cyber »
Publié le 06 Mars 2024
Ce nouveau système d'alerte mutualisera les ressources de l'ensemble du territoire de l'UE. Le but : améliorer la rapidité de détection des cyberattaques, qui se sont multipliées depuis l'invasion russe de l'Ukraine, en février 2022.
Une grande première. L'Union européenne va se doter d'un « bouclier cyber » pour mieux se protéger des attaques informatiques, ont annoncé ce mercredi les 27 pays membres, dans un communiqué. Une décision qui fait suite à un accord politique conclu la nuit dernière entre le Parlement européen et le Conseil de l'UE. De celui-ci émergera un nouveau règlement européen sur la cybersolidarité.
Ce nouveau système d'alerte mutualisera les ressources de l'ensemble du territoire européen. Le but : améliorer la détection d'éventuelles cyberattaques, qui se sont multipliées depuis l'invasion russe de l'Ukraine, le 24 février 2022. Cet accord « intervient à un moment crucial pour la cybersécurité de l'UE, étant donné que le paysage des cybermenaces dans l'UE continue d'être touché par les événements géopolitiques », s'est d'ailleurs félicité la Commission européenne, dans un autre communiqué.
La détection sera confiée à un réseau européen de six ou sept « cyber hubs », toujours selon ce communiqué. Equipés de supercalculateurs et de systèmes d'intelligence artificielle, ils fonctionneront sur le modèle du système de satellites Galileo, avait indiqué la Commission européenne, lors de la présentation l'an dernier du projet.
Lire la suite : https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/face-aux-cyberattaques-russes-l-ue-lance-son-premier-grand-bouclier-cyber-992231.html
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Marlène Dulaurans (maître de conférence Université Bordeaux Montaigne) : « Les femmes en cybersécurité sont d'une efficacité redoutable »
lemondeinformatique.fr - Dominique Filippone
Publié le 08 Mars 2024
Intervenue sur une précédente Cybermatinée Sécurité du Monde Informatique à Bordeaux en binôme avec l'adjudant-chef CyberGend Jean-Christophe Fedherbe, Marlène Dulaurans, maître de conférence en Sciences de l'information et de la communication à l'Université Bordeaux Montaigne, revient sur son parcours et la place des femmes en cyber aussi bien du bon que du mauvais côté de la barrière.
PHOTO de Marlène DULARANS
« La cybersécurité est souvent présentée sous l'angle des sciences dures, technique qui conditionne de manière assez genrée le parcours scolaire des élèves », explique Marlène Dulaurans, Maître de conférences en Sciences de l'information et de la communication de l'Université Bordeaux Montaigne. (crédit : M.D.)
LMI. Comment êtes-vous arrivées dans la cybersécurité tant du côté académique que réserviste de la Gendarmerie Nationale ?
Marlène Dulaurans. Alors souvent je trouve que ce sont des rencontres désynchronisées qui font que l’on emprunte un chemin auquel on n'était pas forcément destiné. Après avoir fait une thèse de doctorat en sciences de l'information et de la communication dans les années 2009-2012 j’ai entamé une amorce vers le digital et j'ai commencé à me spécialiser en analyse de discours sur le web social. Je commençais déjà à avoir un regard assez aiguisé sur la dimension performative des discours en ligne dans l'objet de ma thèse même si c'était orienté de manière institutionnelle.
En parallèle j'étais passée par Sciences Po Bordeaux et dans le cadre de mes études j’étais très engagée dans la lutte contre les discriminations raciales. A l'époque, l'association dans laquelle j'évoluais travaillait beaucoup avec la Gendarmerie Nationale pour essayer d'enrayer les phénomènes de haine notamment dans les enceintes sportives. C'est de cette manière-là que j'ai commencé à approcher la Gendarmerie Nationale et pour mon stage de fin d'études à Sciences Po, elle m'a proposé en interne de réaliser un diagnostic sur la lutte contre les discriminations raciales en son sein et mettre à profit mon expertise en analyse de discours pour essayer de faire un état des lieux. J’ai ensuite effectué des travaux post-doctorat à l’Université de Poitiers et à l’Université de Lorraine, puis obtenu un poste à l'université Bordeaux Montaigne pour enseigner les écritures numériques au sein d'un département des métiers du multimédia et de l’Internet.
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Cybersécurité : les données biométriques de milliers d’utilisateurs compromises par un cheval de troie
leptitdigital.fr - Par Fanny Gastaldi
Publié le 08 mars 2024
« Risques de la sécurité biométrique en 2024 : comprendre les enjeux et les défis pour mieux protéger vos données. »
Un récent rapport révèle une vulnérabilité critique : un cheval de Troie, distribué via une application tierce, a compromis les données biométriques de milliers d’utilisateurs sur des sites bancaires, remettant en question la fiabilité de la biométrie comme méthode d’authentification.
Facilité d’utilisation vs risques de sécurité
La biométrie, avec sa simplicité d’utilisation, est rapidement devenue une méthode d’authentification populaire, remplaçant les mots de passe complexes par des caractéristiques physiques uniques comme les empreintes digitales ou la reconnaissance faciale.
Mais cette commodité s’accompagne de risques: les informations biométriques, une fois compromises, ne peuvent être modifiées comme des mots de passe, rendant leur vol ou leur duplication particulièrement problématiques.
Vulnérabilités de l’authentification biométrique
La biométrie peut être aisément interceptée par des applications malveillantes. Les avancées en IA et en capture d’image augmentent le risque de reproduction fidèle des caractéristiques biométriques.
À la différence des mots de passe, on ne peut pas « changer » ses données biométriques. Une compromission de ces données peut avoir des conséquences irréversibles sur la sécurité en ligne d’un individu.
Les dispositifs de stockage de données biométriques ne sont pas à l’abri du piratage ou des fuites, posant un risque additionnel même avec des mesures de sécurité avancées.
Vers des solutions de sécurité plus robustes
Lire la suite : https://www.leptidigital.fr/actualites/securite-biometrie-risques-53990/
Thales
Thales dans le top 100 des entreprises mondiales les plus innovantes pour la onzième fois
Publié le 05 mars 2024
Thales figure pour la onzième fois dans le Top 100 mondial des entreprises et instituts de recherche les plus innovants publié par Clarivate Analytics. Philippe Valéry, vice-président, Technical Operations, nous commente ce palmarès 2024.
En quoi cette reconnaissance est-elle importante pour Thales ?
Le fait de figurer pour la onzième fois dans ce classement - car pour la première fois, il ne s’agit plus d’une liste mais bien d'un classement - est évidemment un motif de fierté pour Thales et, avant tout, pour nos équipes de chercheurs et d’ingénieurs. Soulignons qu’environ 3 500 personnes chez Thales ont au moins un brevet à leur actif, ce qui est une aussi une source de satisfaction.
Cette distinction reflète la vitalité et la qualité de nos activités de recherche et d’innovation ainsi que le bien-fondé de la stratégie que nous conduisons en la matière, fondée sur la collaboration et l’ouverture.
Vingt-et-une organisations européennes et six françaises figurent dans ce palmarès 2024, et nous sommes heureux d’être l’entreprise française qui enregistre la plus longue série en cours de citations dans ce Top 100.
Que retenez-vous de cette édition 2024 ?
Si le nombre de brevets déposés par Thales en 2023 affiche une augmentation (400 contre moins de 350 en 2022), ce qui est très significatif, c’est la nature de ces brevets et des technologies auxquelles ils se rapportent.
Ainsi, dans le domaine de l’intelligence artificielle, nous conservons notre rythme d’environ 40 premiers dépôts par an depuis 2019, ce qui fait de nous le premier déposant européen de notre écosystème (secteur aéronautique, spatial, sécurité et défense) dans ce domaine.
Mais le vrai changement cette année, c’est la croissance du nombre de brevets dans le domaine des technologies quantiques et principalement des capteurs, de la cryptographie et des communications quantiques. Sachant l’importance que ces technologies vont prendre dans les années à venir, cette croissance est tout à fait remarquable.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/group/innovation/news/thales-le-top-100-des-entreprises-mondiales-plus-innovantes-onzieme-fois
Mobilité
Mobilité : le ministre délégué aux Transports Patrice Vergriete souhaite la mise en place d'une grande convention citoyenne
francetvinfo.fr - Par France Info Radio France
Publié le 28 février 2024
Patrice Vergriete souhaite poser des questions concrètes aux Français et aller plus loin que le "il faut que" qui a, selon lui, limité la convention citoyenne sur le climat.
Le ministre délégué chargé des Transports Patrice Vergriete annonce mercredi 28 février sur France Inter qu'il est favorable à l'instauration d'une grande convention citoyenne sur la mobilité et les transports. Il se dit favorable à un "grand débat de société et de justice" sur les questions "essentielles" qui se posent en matière de mobilité. "J'ai envie de faire cette proposition au président de la République et au Premier ministre pour qu'on arrive à des questions très concrètes pour les citoyens", ajoute le ministre.
Patrice Vergriete évoque ainsi plusieurs exemples de questions qui se posent actuellement : Comment va-t-on faire évoluer les autoroutes demain ? Quand on paiera le péage demain, à quoi ça doit servir ? Une partie doit-elle servir à financer le ferroviaire pour développer le train ? Est-ce que celui qui va travailler doit payer le même prix que celui qui part en vacances ? Doit-on continuer à développer les trains à grande vitesse pour relier les métropoles ou doit-on mettre le paquet sur le lien avec les villes moyennes et les petites villes ?", liste-t-il. Le ministre délégué aux Transports considère que toutes ces questions "sont des débats de société à l'échelle nationale".
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Qu'est-ce que la start-up Kevin Speed, qui veut lancer des TGV à bas prix ?
lalsace.fr - Par Joël Carassio avec AFP
Publié le 01 mars 2024
Des billets vendus à partir de trois euros les 100 km : la start-up ferroviaire Kevin Speed annonce avoir signé avec SNCF Réseau un accord-cadre, qui doit lui permettre de faire circuler des trains à bas prix d'ici à 2028. Mais les obstacles à surmonter restent encore nombreux...
« Offrir la grande vitesse pour tous, tous les jours » : l'entreprise Kevin Speed veut réconcilier les « trains du quotidien » et la grande vitesse avec une offre à 300 km/h dès 2028. Si le projet aboutit, ses trains rejoindront « dès 2028 » ceux de Trenitalia, Renfe et bientôt Le Train, pour concurrencer la SNCF sur ses rails. La start-up - dont le nom fait référence à « monsieur Tout-le-Monde » - a en effet annoncé jeudi la signature d'un accord-cadre avec SNCF Réseau, en présence du ministre délégué aux Transports Patrice Vergriete.
« Le projet de Kevin Speed est un exemple concret de ce que notre gouvernement soutient depuis plusieurs années en faveur de l’augmentation de la part modale du train », se satisfait Patrice Vergriete.
Kevin Speed, c'est quoi ?
Lire la suite : https://www.lalsace.fr/economie/2024/03/01/qu-est-ce-que-la-start-up-kevin-speed-qui-veut-lancer-des-tgv-a-bas-prix
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JO Paris 2024 : Une carte interactive vous permet d’anticiper les problèmes de transport
parisecret.com - Par Bénédicte Vicent
Publié le 28 février 2024
Les JO arrivent à grands pas et avec eux la crainte de ne plus pouvoir bien se déplacer dans Paris. On vous explique comment anticiper ce problème.
Les JO, c’est pour très bientôt ! Ces JO 2024 seront ceux de tous les défis : la cérémonie d’ouverture la se passera proche de la seine, certains seront pour la première fois représentés et les jeux seront parfaitement prioritaires pour la première fois de leurs histoires. Les Jeux Olympiques rassembleront des sportifs mais aussi des fans du monde entier. En effet, environ 150 000 visiteurs sont attendus ! De quoi perturber fortement les transports en commun. Pour pallier cela, le gouvernement a mis en place une carte interactive afin d’anticiper vos trajets.
JO Paris 2024 : Une carte interactive pour anticiper vos trajets dans les transports en commun
Du vendredi 26 juillet au dimanche 11 août 2024, se tiendront les Jeux Olympiques, puis du 28 août au 8 septembre 2024 les Jeux Paralympiques. Pendant ces périodes, Paris risque d’être encore plus difficilement impraticable. Pour éviter les répercussions dans votre quotidien, le gouvernement a créé une carte interactive sur anticiperlesjeux.gouv.fr.
Le principe ? Vous cliquez sur la ville qui vous concerne, puis vous indiquez votre ligne ou votre gare. La carte vous indiquera ensuite, selon un code couleur très précis, si votre ligne sera perturbée en précisant la date et l’heure.
La carte vous montre également les différentes voies olympiques qui seront empruntées durant les jeux, avec les accès motorisés interdits et les différents sites de compétition. Enfin, le site propose des alternatives pour vous déplacer (à vélo, à pied, en bus etc). De quoi peut être vous aider pendant ces semaines sportives exceptionnelles !
À lire aussi : Où et quand voir la flamme olympique ?
Lire la suite : https://parissecret.com/jo-paris-carte-interactive-tansport/
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A quoi ressemblera l’Ile-de-France en 2040 ? Comment vivront, et se déplaceront, ses habitants ?
lemonde.fr - Par Emeline Cazi
Publié le 27 février 2024
Les habitants sont invités à s’exprimer, jusqu’au 16 mars, sur le schéma directeur de la région Ile-de-France, un document majeur qui planifiera le futur proche des Francilien.
Personne ne viendrait, pensait Monique Delafosse, en se présentant à 13 h 30 à l’hôtel de ville de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne) pour prendre sa permanence de commissaire-enquêteur. Vendredi 2 février, l’enquête publique commence à peine. Et qui se déplace pour le Sdrif, le schéma directeur de la région Ile-de-France ?
D’ailleurs, qui connaît le Sdrif ? Pas ce couple de retraités de Vincennes (Val-de-Marne) − les personnes citées dont le nom n’apparaît pas ont requis l’anonymat −, une commune huppée de l’Est parisien, venu, avec leur fils de 35 ans, visiter le château voisin, bijou du classicisme. Trois cartes punaisées dans le hall les attirent. « Acheter à Rosny-sous-Bois [Seine-Saint-Denis] est peut-être une bonne idée avec l’arrivée du métro », glisse le père à son fils, dont c’est justement l’idée.
Un homme cherche le bureau des titres d’identité, quand, vers 15 heures, surgit un gaillard à lunettes, sac au dos, le souffle court mais le pas sûr. Lui sait ce qu’est le Sdrif. Aussitôt refermée la pièce où Monique Delafosse patiente derrière un bureau, il déplie une carte de la Seine-et-Marne bien plus grande que lui, bariolée de feutre. Certains traits filent jusque dans la Marne. « Je souffre de la pollution. J’ai recensé les lignes de chemin de fer, leur état, les vingt-sept abandonnées au XXe siècle. Je propose d’en rouvrir », expose-t-il. Diplômé en urbanisme, 42 ans, il milite au Parti communiste français. « Pourquoi ne pas mettre des voyageurs sur la ligne de fret d’Esternay [Marne] ? »
Lire la suite : https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/02/27/a-quoi-ressemblera-l-ile-de-france-en-2040_6218878_3234.html
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Les startups de la mobilité continuent d’attirer les investissements
tom.travel.com - Par Julia Luczak-Rougeaux
Publié le 28 février 2024
Ce matin, le Moove Lab et Roland Berger ont présenté la 1ère édition de l’Observatoire des startups françaises de la mobilité. L’occasion de revenir sur les levées de fonds réalisées par les startups françaises du secteur et d’en dégager des mégatendances.
L’étude révèle que le montant des levées de fonds dans le secteur des transports en France a augmenté de 12% entre 2022 et 2023, pour atteindre un record de 1,9 milliard d’euros. En 2019, les startups du secteur levaient « seulement » 431 millions d’euros. L’écosystème startups des transports est l’un des rares en croissance dans un contexte de forte contraction du capital-risque en France (il se place derrière l’énergie et devant les logiciels d’entreprises). La France se place à la deuxième place des pays européens, derrière le Royaume-Unis (3,4 milliards d’euros levés) et devant la Suède (1,5 milliards levés).
Grâce à un maillage important d’incubateurs et d’accélérateurs dans le secteur, les levées de fonds « early stage » connaissent une croissance de 33% entre 2022 et 2023. C’est l’électrification des transports qui a surtout intéressé les investisseurs, puisque 73% des montants levés en 2023 concernaient ce domaine, contre moins d’un tiers avant 2022.
Les régions Ile-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes sont les régions plus dynamiques des 10 dernières années, avec 85% des montants levés. La startup Verkor, spécialisée dans la production de batteries électriques, est par exemple basée à Grenoble. En septembre dernier, elle réalisait un tour de table de 2 milliards d’euros.
BPI France est le principal investisseur dans les startups des transports en France avec 20 investissements en 2023, devant EIT Urban Mobility (9 investissements) et Crédit Agricole (7 investissements).
Quels sont les domaines qui ont le plus de succès ?
Lire la suite : https://www.tom.travel/2024/02/28/les-startups-de-la-mobilite-continuent-dattirer-les-investissements/
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Transport : annonce des 18 lauréats du programme d'accompagnement des projets d'innovation
environnement-magazine.fr - Par la rédaction
Publié le 29 février 2024.
Dans le cadre de la 3ème édition du programme d’excellence Propulse, Patrice Vergriete, ministre délégué chargé des Transports, a félicité les 18 lauréats du programme d’accompagnement des projets d’innovation, dans le secteur des mobilités. Les projets seront accompagnés en 2024 par l’Agence de l’innovation des transports (AIT).
La nouvelle édition du programme Propulse, qui a pour but d’accélérer les innovations les plus prometteuses dans le domaine des mobilités, a été lancée à l’été 2023 autour de trois thématiques d’appels à projets : transports durables, partage de données et multimodalité & intermodalité.
Après une phase d’auditions qui s’est tenue en décembre dernier, devant des jurys composés de personnalités qualifiées du secteur, 18 projets ont été retenus (10 pour les transports durables, 5 pour la multimodalité & intermodalité, et 3 dans le partage des données).
Chacun de ces 18 projets lauréats sera accompagné par l’AIT durant 9 mois, dès mars 2024, pour accélérer et favoriser le passage à l’échelle des innovations.
Les projets sont à découvrir sur : https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/20240229_DP-AIT-appel-a-projets-Propulse_2024.pdf
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La métropole Nice Côte d’Azur accélère sur la voie de la mobilité durable
invesincotedazur.com - Communiqué
Publié le 28 février 2024
Faits marquants :
Transition écologique et transport durable : le cap 2024
La Métropole Nice Côte d’Azur met en œuvre un ambitieux plan de transition écologique centré sur le développement de transports durables.
L’année 2024 marque une étape clé dans ce parcours, avec la poursuite du financement de projets structurants en matière de mobilité.
Les lignes 4 et 5 du tramway bénéficieront d’opérations cruciales pour leur déploiement, incluant acquisitions foncières et travaux préparatoires.
Parallèlement, l’électrification de la flotte de bus et la croissance des capacités de la ligne 1 du tramway témoignent de l’engagement de la Métropole en faveur d’une mobilité propre et efficiente.
La Métropole Nice Côte d’Azur poursuit l’amélioration des pôles d’échanges multimodaux (PEM), notamment avec la récente mise en service de nouvelles infrastructures à Nice Saint-Augustin et l’avancement des travaux à Cagnes-sur-Mer, visant une interconnexion efficace entre divers modes de transport en attendant la construction de la première gare bioclimatique d’Europe prévue pour 2028.
Ces initiatives, incluant également des études pour le PEM de Beaulieu-sur-Mer, reflètent l’engagement en faveur d’une mobilité urbaine fluide et intégrée.
Développement des infrastructures cyclables
Lire la suite : https://www.investincotedazur.com/mobilite-durable-nice/
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Des crédits européens pour le développement des mobilités douces autour de Gap
mesinfos.fr - Par Marie-Fran,ce Sarrazin
Pinerolo (Italie) et Gap, jumelées depuis 1963, partagent des réalités et des problématiques communes, dont un trafic important, particulièrement le long des principales artères de passage et aux entrées et sorties des écoles.
Pinerolo (Italie) et Gap, jumelées depuis 1963, partagent des réalités et des problématiques communes, dont un trafic important, particulièrement le long des principales artères de passage et aux entrées et sorties des écoles. Depuis 2021 et jusqu'en 2027, la ville piémontaise et la communauté d'agglomération Gap-Tallard-Durance sont engagées dans un projet transfrontalier Interreg-Alcotra Italie-France financé par l'Europe et intitulé Mobilité urbaine sûre intelligente et consciente 2 (Music 2). Il vise à poursuivre la transition vers de nouvelles formes de mobilités respectueuses de l'environnement des deux côtés de la frontière, après un premier programme sur l'amélioration de l'offre cyclable et de transport public.
Le 7 février dernier, les élus gapençais recevaient leurs homologues italiens pour un point d'étape de ce programme, d'un montant de 1,3 M€, dont 53,5 % dédiés à la partie française.
Mobilité : quels sont les projets financés par le contrat de plan Etat-Région ?
Dans l'agglomération gapençaise, les efforts se concentrent sur les itinéraires cyclables et les outils de nature à faciliter les déplacements à vélo, et sur le Schéma directeur de la mobilité consistant en la mise à plat des lignes de bus et en la mise à disposition de minibus pour les communes rurales.
Pour favoriser l'usage du vélo, encore faut-il précisément connaître les itinéraires cyclables existants à l'échelle du territoire, en les cartographiant (8000 €). Cela nécessite d'adapter le site internet de la communauté d’agglomération et d'imaginer une application adaptée, utilisable sur tout support (7000 €).
La réalisation d'une portion de véloroute entre le Nord de Gap et Pont-Sarrazin
Lire la suite : https://mesinfos.fr/05000-gap/des-credits-europeens-pour-le-developpement-des-mobilites-douces-autour-de-gap-194112.html
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« Transformer durablement la mobilité de demain » : un manifeste de l'UTP aux candidats aux élections européennes
banquedesterritoires.fr - par Anne Lenormand, Localtis
Publié le 28 février 2024
L'Union des transports publics et ferroviaires (UTP) a publié ce 19 février un manifeste à l'attention des candidats aux élections européennes. Elle leur soumet douze recommandations "concrètes" pour "transformer durablement la mobilité de demain", en plaidant notamment pour un investissement en faveur des transports publics à la hauteur des enjeux environnementaux et sociaux.
A quelques mois des élections européennes, l'Union des transports publics et ferroviaires (UTP) a publié ce 19 février un manifeste à l'attention des candidats dans lequel elle les appelle à "transformer durablement la mobilité de demain". Alors que le secteur des transports totalise encore actuellement "32% des émissions totales de gaz à effet de serre", les transports publics urbains et ferroviaires, qui ne représentent que 3% des émissions de ce secteur, soit 0,8% des émissions de gaz à effet de serre, tous secteurs confondus, "apparaissent comme la solution", fait valoir Marie-Ange Debon, présidente de l'UTP. "En tant que candidat(e)s, vous détenez les clés pour faire du report modal une réalité", leur assure-t-elle. "Véritable levier de décarbonation", ce report modal "vers les transports publics urbains et ferroviaires pourra permettre d’atteindre les objectifs du Green Deal dans les temps", souligne-t-elle. Le manifeste "souhaite résolument accompagner cette ambition pour faire en sorte d’adopter au niveau européen des priorités politiques qui rendront possible ce report modal en favorisant le développement continu d’une offre de qualité sur tous les territoires", poursuit la présidente de l'organisation professionnelle.
Défi environnemental et financier
Le document invite les candidats à s’engager sur quatre axes, autour desquels sont articulées 12 recommandations. Ces dernières concernent tout d’abord "une mobilité au service de la planète et de la cohésion sociale". L’UTP propose pour cela de "reconnaître les bénéfices des transports publics urbains et ferroviaires à travers une grande déclaration politique", de "faire du report modal vers les transports publics urbains et ferroviaires un objectif à part entière de la politique européenne du Green Deal", de "s’assurer que les futures politiques de l’UE concourent toutes au 'choc d’offre' et donc au report modal vers les transports publics urbains et ferroviaires", et de "faire du développement du fret ferroviaire une grande priorité du marché intérieur de l’UE".
Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/transformer-durablement-la-mobilite-de-demain-un-manifeste-de-lutp-aux-candidats-aux-elections
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La Commission met 1 milliard d'euros à disposition en faveur des points de recharge et de ravitaillement dans le cadre du mécanisme pour l'interconnexion en Europe (MIE)
france.representation.ec.europa.eu - Communiqué
Publié le 29 février 2024
La Commission européenne lance aujourd'hui un appel à projets dans le cadre du mécanisme pour l'interconnexion en Europe (MIE), doté dun milliard d'euros.
La Commission lance aujourd'hui un appel à projets dans le cadre du mécanisme pour l'interconnexion en Europe – mécanisme d'infrastructure pour les carburants alternatifs (AFIF). 1 milliard d'euros est mis à disposition pour soutenir le déploiement d'infrastructures d'approvisionnement en carburants alternatifs pour les transports routiers, maritimes, fluviaux et aériens le long du RTE-T, le réseau transeuropéen de transport :
• Réseau routier : aide aux stations de recharge électrique de grande puissance et aux stations de ravitaillement en hydrogène, ainsi qu'aux stations de recharge mégawatt pour les véhicules lourds.
• Aéroports : aide à l'approvisionnement en électricité et en hydrogène
• Ports : aide à l'approvisionnement en électricité et en hydrogène et, pour la première fois, aux installations d'avitaillement en ammoniac et en méthanol.
La commissaire aux transports, Adina Vălean, a déclaré : « Le nombre croissant de demandes en faveur du Fonds pour l'infrastructure des carburants alternatifs confirme l'importance de cet outil de financement pour le secteur des transports européen. L'appel que nous lançons aujourd'hui met à disposition un milliard d'euros supplémentaires pour financer le déploiement de l'infrastructure des carburants alternatifs sur les routes, y compris pour les transports urbains, dans les ports et les aéroports à travers l'Union. Cela peut combler un important fossé dans les investissements massifs nécessaires pour mettre en place une infrastructure de véhicules électriques durable et accessible, et j'encourage vivement tous les États membres, en particulier ceux d'Europe orientale et méridionale, à en profiter. »
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Le « Freedom of Mobility Forum » réunira des experts aux points de vue divergents pour débattre de l’avenir de la mobilité
stellantis.com - Communiqué
Publié le 29 février 2024
• Prévu le 3 avril 2024, le deuxième débat annuel discutera en direct de la manière dont la planète pourra répondre aux besoins de mobilité de huit milliards d’humains au cours des prochaines décennies
• Un panel international de cinq experts sera réuni, choisis pour leur habilité à défendre avec force leur point de vue, en s’appuyant sur leur spécialité : sciences sociales, technologie et intelligence artificielle, environnement, économie, entreprise
• Inscrivez-vous au débat live en ligne : freedomofmobilityforum.org
AMSTERDAM – Imaginé par Stellantis comme un forum ouvert pour que le public puisse entendre un large spectre de points de vue, alors que nos sociétés font face aux défis de la mobilité du futur, le deuxième débat annuel en direct du « Freedom of Mobility Forum » promet d’être la rencontre de visions différentes et potentiellement discordantes. Le débat du 3 avril 2024 sera animé par une tierce partie neutre et portera sur le thème suivant : « Comment notre planète répondra-t-elle aux besoins de mobilité de 8 milliards d’habitants ? » La discussion portera sur la manière dont les limites planétaires pourraient amener à repenser la liberté de mouvement, d’un point de vue technologique, business et des modes de vie.
Le « Freedom of Mobility Forum » s’articule autour de quatre principes clés : une approche mondiale à 360 degrés ; des informations factuelles ; un débat transparent et ouvert au public ; et un engagement honnête, respectueux et collaboratif. Les experts internationaux qui débattront ont déjà des angles de vue différents, comme le montrent leurs premières réflexions :
Intelligence artificielle
La face sombre de l'intelligence artificielle dévoilée par un chercheur spécialiste du cerveau et des systèmes neuronaux
ladepeche.fr - Par Sébastien Girardet
Publié le 26 février 2024
Selon Simon Thorpe, l’un des fondateurs du Cerco (Centre de recherche cerveau et cognition), l’intelligence artificielle est suffisamment avancée pour contrôler 24 heures sur 24 une grande ville comme Toulouse.
Surveillance automatisée de la population, manipulation de l'opinion, destruction du travail, un chercheur toulousain décrypte tous les dangers de l'intelligence artificielle.
Nous sommes le 16 janvier 2024. Point de bascule de la révolte paysanne en Occitanie. La veille, le préfet, comme il le fait très régulièrement (18 fois en 2023) l'année précédente a autorisé le survol de la manifestation par des drones afin que "les forces de sécurité puissent ainsi bénéficier d’une vision grand angle afin de pouvoir identifier et prévenir rapidement les risques de troubles à l’ordre public."
Simon Thorpe, spécialiste de l'intelligence artificielle, naguère inventeur d'un système de reconnaissance faciale à grande échelle : "Heureusement que nous ne sommes pas en Chine et que nos régimes démocratiques ont encore quelques garde-fous en matière de liberté... Il faut bien comprendre que la technologie actuelle est si évoluée que l'on pourrait suivre les déplacements de l'intégralité de la population 24 heures sur 24. Il suffirait d'équiper un drone de six caméras à résolution 4k que l'on trouve dans le commerce pour couvrir une manifestation sans angle mort et avec l'intelligence artificielle identifier l'intégralité des manifestants grâce à leur visage. Les traits d'un être humain avec seulement une poignée de pixels."
Le scientifique passé par l'université d'Oxford détaille comment cela pourrait se dérouler : "Grâce aux nouvelles cartes mémoire, les capacités de stockage se sont considérablement étendues, on peut aisément conserver pendant au moins une semaine, toutes les images prises par une caméra haute résolution. Nous avons tous des passeports et des cartes d'identité avec des données biométriques. Il suffirait de faire travailler l'intelligence artificielle sur cette immense base de données, en la croisant avec les heures d'enregistrement vidéo de la manif. Elle donnerait en quelques instants le nom de chaque personne présente à la manifestation."
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L’IA va-t-elle nous rendre imbéciles ?
up-magazine.info - Par Rédaction UP’ Magazine
Publié le 21 février 2024
L’intelligence artificielle pourrait bientôt altérer notre capacité à prendre des décisions par nous-mêmes. L’expert en neuropsychologie, Umberto León Domínguez, de l’université de Monterrey, affirme en effet que selon ses nouvelles recherches, les dernières avancées de l’IA pourraient non seulement imiter nos modèles de discours, mais aussi nuire de manière significative à notre fonctionnement cognitif en général.
Dans un nouvel article scientifique, Umberto León Domínguez, professeur à l’université de Monterrey, explore le potentiel de l’intelligence artificielle (IA) pour non seulement imiter la conversation humaine, mais aussi pour supplanter fondamentalement de nombreux aspects de la cognition humaine. Les travaux, publiés dans la revue Neuropsychology, soulèvent des inquiétudes quant aux risques que les chatbots d’IA pourraient faire peser sur les fonctions exécutives d’ordre supérieur.
En termes simples, l’intelligence artificielle désigne les machines programmées pour imiter l’intelligence humaine, c’est-à-dire l’apprentissage, le raisonnement et la résolution de problèmes. Parmi les modèles d’IA, ChatGPT se distingue. Il s’agit d’un outil conçu pour comprendre et générer un texte semblable à celui d’un être humain à partir des données qui lui sont fournies. Contrairement aux anciens modèles d’IA qui peinaient à saisir les nuances du langage, ChatGPT utilise ce que l’on appelle un modèle de transformation, qui lui permet de comprendre le contexte et de produire des réponses qui peuvent être étonnamment similaires à celles qu’un humain pourrait donner.
L’intérêt de M. Domínguez pour le ChatGPT découle de son potentiel en tant que jalon technologique. Il y voit un signe de la singularité technologique, un concept qui suggère que le développement de l’IA pourrait atteindre un point où elle commencerait à progresser au-delà du contrôle humain, fusionnant potentiellement l’intelligence humaine et l’intelligence de la machine.
Prothèses cognitives
« En tant que professeur d’université, je conçois mes activités comme des défis intellectuels visant à stimuler et à entraîner les fonctions cognitives utiles dans la vie quotidienne de mes étudiants, telles que la résolution de problèmes et les capacités de planification«, a expliqué Umberto León Domínguez, directeur du Human Cognition and Brain Studies Lab, et chercheur au sein de l’Artificial Intelligence Group.
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Intelligence artificielle : l’offensive d’Apple
lepoint.fr - Par Guillaume Grallet
Publié le 25 Février 2024
Après le Vision Pro, qui ouvre les portes du métavers, Apple se lance sur le terrain de l’IA, à l’instar d’OpenAI, avec son générateur de vidéos Sora, ou de Meta et son nouveau modèle d’IA, JEPA.
Lancé le 2 février aux États-Unis, l'Apple Vision Pro ne laisse pas indifférent. Cet ordinateur spatialisé, aux allures de casque de réalité mixte, impressionne par sa facilité d'utilisation, notamment dans la détection du mouvement des yeux, tout comme par la résolution des écrans virtuels qui apparaissent devant vous. Mark Zuckerberg ne lui a pas trouvé beaucoup d'atouts, surtout lorsqu'il l'a comparé à Meta Quest 3, son propre casque de réalité augmentée. Pourtant, le PDG de Meta devrait garder son calme. Le lancement d'Apple pourrait bien donner une nouvelle vie au métavers, le monde immersif qu'il peine à faire décoller.
Surtout, ce dernier se trompe peut-être de priorité. Car la véritable offensive d'Apple, en ce moment, se déroule sur le terrain de l'intelligence artificielle. Les chercheurs de l'entreprise multiplient en effet les publications sur le sujet. D'après Bloomberg, Apple travaillerait même sur plusieurs outils de gains de productivité, qui, à terme, pourront concurrencer la plateforme Copilot, la suite bureautique de Microsoft boostée à l'IA.
Des vidéos ultraréalistes
Lire la suite : https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/intelligence-artificielle-l-offensive-d-apple-25-02-2024-2553350_47.php
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Mistral AI lance Mistral Large, un modèle multilingue qui rivalise avec GPT-4, et s'allie à Microsoft
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 26 février 2024
Mistral AI lance un nouveau modèle, baptisé "Mistral Large", dédié au raisonnement de haut niveau pour des tâches complexes. Avec lui, la start-up se rapproche des performances du modèle GPT-4 d'OpenAI. En parallèle, elle signe un partenariat avec Microsoft pour la commercialisation de ce modèle sur Azure AI, et pour le développement de futurs modèles dédiés notamment au secteur public européen.
Mistral AI poursuit son objectif de s'imposer comme la référence de l'intelligence artificielle générative. La start-up française fait un pas de plus dans cette voie avec sa dernière annonce en date : "Mistral Large", un grand modèle de langage capable d'"atteindre des capacités de raisonnement de très haut niveau".
Des performances proches de GPT-4
Ce modèle "commercial" n'est pas ouvert : la start-up compte le vendre à de grandes entreprises. Ce n'est en soit pas surprenant, il faut bien qu'elle génère des profits. Et il a de quoi séduire. Il atteint, sur la série de benchmarks couramment utilisés, des performances qui égales presque celles de GPT-4.
Selon la start-up, ce modèle – dévoilé quelques mois seulement après le modèle ouvert Mixtral 8x7B – "possède des capacités de raisonnement uniques, maîtrise le code et les mathématiques, et parle couramment cinq langues (français, anglais, allemand, espagnol et italien) conformément à l'engagement de Mistral AI de promouvoir les spécificités culturelles et linguistiques de l’intelligence artificielle générative". Mistral Large peut également traiter des centaines de pages de documents en un seul essai.
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[MWC 2024] Avec ses services d'IA, Microsoft s'attaque à la modernisation des télécoms
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 26 février 2024
Du 26 au 29 février se déroule le Mobile World Congress à Barcelone. Dans le lot d'annonces faites par les géants technologiques, retour sur l'incursion de Microsoft dans le paysage des opérateurs télécoms. Pour adresser ce marché, la firme a dévoilé une solution de protection des appels frauduleux basée sur son ensemble de services Azure for Operators avec une couche d'intelligence artificielle.
Alors que le Mobile World Congress (MWC) a ouvert ses portes ce lundi 26 février à Barcelone, les annonces concernant l'intégration des dernières technologies dans les télécoms se sont succédé. Pour Microsoft, les opérateurs peuvent en effet tirer parti du cloud et de l'intelligence artificielle "afin de monétiser les investissements, de moderniser les réseaux, d'améliorer l'expérience des clients et de rationaliser les opérations commerciales".
La firme estime également que l'adoption de telles technologies pourrait aider à garantir la sécurité des individus. Par exemple, aux États-Unis, les données de la Federal Trade Commission (FTC) pour 2023 font état de 850 millions de dollars de pertes liées à des fraudes résultant d'appels frauduleux.
Un service de protection des appels frauduleux alimenté par l'IA
Partant de ce constat, la firme a donc annoncé des mises à jour de son portefeuille Azure for Operators. La première concerne la sortie en preview publique d'Azure Operator Call Protection, un service qui utilise l'IA pour aider à protéger les consommateurs des appels frauduleux. Le service utilise l'analyse en temps réel du contenu de la voix et peut alerter les consommateurs d'une activité suspecte.
Azure Operator Call Protection fonctionne sur n'importe quel terminal, mobile ou fixe, et fonctionne entièrement via le réseau sans nécessiter l'installation d'une application. BT Group teste actuellement ce service au Royaume-Uni pour identifier, sensibiliser et protéger ses clients contre les fraudes potentielles.
Blockchain
Qu'est-ce que l'interopérabilité des blockchains et pourquoi est-ce important ?
cryptoast.fr -Par Mathilde Michels
Publié le 25 février 2024
L'interopérabilité désigne la capacité des blockchains à communiquer et à échanger des informations de manière transparente et fluide entre elles en surmontant les barrières qui les isolent les unes des autres. De quelle manière se manifeste l'interopérabilité au sein de la blockchain, et comment façonne-t-elle un environnement propice à l'innovation et au développement d'applications collaboratives ?
Sommaire
1 C’est quoi l’interopérabilité blockchain ?
2 Quelles sont les solutions d’interopérabilité les plus utilisées ?
3 Exemples de protocoles dédiés à l'interopérabilité
4 Avantages liés à l'interopérabilité
5 Risques liés à l'interopérabilité
6 L’importance de l'interopérabilité pour l'avenir de la blockchain
C’est quoi l’interopérabilité blockchain ?
L'un des objectifs de l'interopérabilité est de faciliter la communication et les transactions entre différentes blockchains. Ce concept est considéré comme une nécessité technique pour l’adoption généralisée de la technologie blockchain.
En effet, une multitude de blockchains coexistent, chacune possédant ses propres spécificités, règles et applications. Fonctionnant au sein d'écosystèmes fermés, leur isolement limite l'utilisation efficace des données à travers différents réseaux.
L'absence d'interopérabilité oblige les utilisateurs souhaitant utiliser des cryptomonnaies ou des applications décentralisées (dApps) réparties sur différentes blockchains à naviguer entre ces réseaux distincts de manière complexe et souvent inefficace, pouvant également engendrer des coûts supplémentaires. Par conséquent, le manque d'interopérabilité entraîne une fragmentation des possibilités, conduisant à une expérience utilisateur dégradée.
Par exemple, un utilisateur pourrait vouloir utiliser des stablecoins USDT qu’il détient sur Ethereum pour participer à une ICO dont le token est compatible uniquement avec la blockchain Solana. L'interopérabilité rend cela possible grâce aux « bridges » sans que l'utilisateur ait besoin de recourir à un intermédiaire centralisé.
Lire la suite : https://cryptoast.fr/interoperabilite-blockchains/
Désinformation
Désinformation : les États-Unis créent une alliance mondiale pour lutter contre les manipulations venues de l'étranger
francetvinfo.fr - Par Olivier Poujade Radio France
Publié le 26 février 2024
Cette menace diffuse est un problème majeur aux États-unis et les Américains sont très actifs sur le sujet depuis plusieurs mois déjà. Ils espèrent que derrière la Grande-Bretagne et le Canada, d’autres puissances se rallieront à cette première coalition de lutte contre l’ingérence étrangère via la désinformation.
2024 est une année électorale cruciale, une année de conflits, une année d’expansion aussi d’une nouvelle technologie : l’intelligence artificielle. Près de 60% des électeurs américains sont convaincus que l’arrivée de l’IA amplifiera la diffusion de fake news avant les élections de novembre. Les États-Unis, le Canada et la Grande-Bretagne prévoient donc de coordonner leurs efforts pour lutter contre la manipulation de l’information par des États étrangers.
Défendre l’intégrité de l'espace informationnel
De la même manière que toutes les armées du monde garantissent l’intégrité de leur territoire, l’idée est ici de permettre à tous les pays de défendre l’intégrité de leur espace informationnel. Une menace protéiforme s'infiltrant par les réseaux sociaux, le dark web et, récemment, une menace dont les faux contenus sont publiés par des institutions douteuses.
Le département d’État américain, chargé des relations internationales, en a d’ailleurs identifié quelques-unes. Des fabriques de contenus comme le Fort Russ News, le Centre d’études syncrétiques, ou encore Nova Resistencia, au Brésil, font partie de la liste. Ces trois organisations se présentent comme authentiques et en phase avec les préoccupations locales, mais en réalité elles distillent l’idéologie du philosophe russe Alexandre Douguine. Cette pensée présente deux objectifs : unir les extrêmes droites et les extrêmes gauches du monde entier pour remettre en cause la démocratie et bousculer l’ordre international.
"Tous les pays peuvent s’exprimer, mais de façon transparente"
RGPD
RGPD : précisions sur la notion d’établissement principal dans le cadre du mécanisme du guichet unique
dalloz-actualite.fr - par Fabienne Jault-Seseke, Professeur à l’Université de Paris-Saclay (UVSQ), Dante, IUF - Europeén - IP/IT et communication / Protection des données
Publié le le 29 février 2024
À propos de l’avis n° 04/2024 du Comité européen de la protection des données.
Avis du CEPD n° 04/2024, 13 févr. 2024 (en anglais)
La gouvernance mise en place par le règlement (UE) 2016/679 (RGPD) du 27 avril 2016 est, on le sait, originale. Le mécanisme du guichet unique, qui y est consacré, désigne comme autorité nationale compétente l’autorité de protection des données de l’État membre dans lequel le responsable de traitement a son principal établissement. Cette autorité, qualifiée d’autorité « chef de file », prend les décisions requises en coopération avec les autres autorités de protection des données concernées par un traitement transfrontalier. Le mécanisme permet aux responsables de traitement établis dans l’Union européenne d’avoir un interlocuteur unique dont les décisions s’appliquent sur l’ensemble du territoire européen. Pour autant, il ne devrait pas entraver les droits des personnes concernées par les traitements. En effet, elles peuvent toujours s’adresser à l’autorité de protection des données de leur résidence, à charge pour celle-ci d’en référer à l’autorité chef de file.
Le mécanisme du guichet unique permet d’éviter la fragmentation des solutions.
Celle-ci demeure, pour l’instant, lorsque sont en cause les opérations liées à l’utilisation des cookies qui relèvent non pas du RGPD mais de la directive e-commerce. La CNIL s’en est une nouvelle fois fait l’écho dans une récente décision Yahoo (Délib. de la formation restreinte n° SAN-2023-024 du 29 déc. 2023 concernant la société YAHOO EMEA LIMITED).
Lire la suite : https://www.dalloz-actualite.fr/flash/rgpd-precisions-sur-notion-d-etablissement-principal-dans-cadre-du-mecanisme-du-guichet-unique
Cybercriminalité
France Identité promet jusqu’à 25.000 euros aux hackers qui trouveront une faille de sécurité sur leur site
lefigaro.fr - Par J.T
Publié le 28 février 2024
L’application gouvernementale, qui permet d’héberger numériquement le permis de conduire des Français depuis quelques jours, a lancé un vaste «bug bounty».
L’État met au défi les hackers en tout genre. Alors que le gouvernement a généralisé il y a deux semaines la dématérialisation du permis de conduire sur l’application France Identité, première étape vers un portefeuille d’identité numérique européen interopérable, la plateforme propose, depuis mercredi, un «bug bounty» public afin de renforcer sa sécurité. Et de prévenir d’éventuelles failles. Avec une récompense à la clé, pouvant aller de 100 euros pour une légère défectuosité trouvée à 25.000 euros pour une faille de haute importance.
«Les primes attribuées pour chaque vulnérabilité découverte seront déterminées en fonction de leur criticité et de leur impact potentiel sur le système», indique-t-on dans un communiqué. Pour cette opération, France Identité «encourage toute la communauté cyber». «Toute personne souhaitant participer à ce bug bounty doit s'inscrire sur la plateforme de YesWeHack, une plateforme française spécialisée dans la coordination de programmes de chasse aux bugs», laquelle compte 35.000 hackers, précise France Identité.
La «sécurité» du programme
Après plusieurs mois de phase «bêta», l'application a vocation à prendre de plus en plus de place dans les prochains mois dans les smartphones des Français. Gérald Darmanin a, dans cette optique, évoqué la généralisation de la carte d'identité numérisée, d’ici les municipales de 2026. Ce qui permettra de faire les démarches en ligne comme les procurations de vote. Raison pour laquelle «la sécurité est au cœur du programme». «Dans une logique de transparence, un bug bounty privé avait déjà été lancé en juin 2022. 2024 marque une nouvelle étape pour le programme en matière de sécurité et de transparence», insiste la plateforme.
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Cyber : Les français savent qu’ils font n’importe quoi, mais ils le font.
linformaticien.com - Par Oscar Barthe
Publié le 28 février 2024
C’est en substance les conclusions édifiantes du rapport State of the Phish de Proofpoint qui montre que 75% des salariés français ayant pris des risques en matière de cybersécurité l’ont fait en pleine connaissance de cause juste parce que c’était plus commode ou plus rapide.
Les français font n’importe quoi avec la cybersécurité de leur entreprise, et le pire c’est qu’ils le savent. C’est en substance les conclusions du dernier rapport State of the Phish de Proofpoint. D’après l’éditeur de solutions de cybersécurité qui a interrogé 7 500 employés et 1 050 professionnels de la sécurité dans 15 pays, 75% des salariés français ont pris des risques en matière de cybersécurité en pleine connaissance de cause. Résultat, la France se démarque par l’augmentation substantielle des sanctions financières notamment imposées par les législateurs (+320 % contre 144 % en moyenne dans le monde) et par les atteintes à la réputation de l’entreprise (+166 % en France contre une augmentation moyenne de 50 % dans le reste du monde).
Alors que l’Anssi vient tout juste de publier son Panorama de la menace, notant une augmentation de 30% des cyberattaques visant à dérober les données des Français, ces données peuvent faire froid dans le dos. Et le problème ne vient pas tant d’un manque de connaissance, mais plutôt d’une sorte de “je m’en foutisme assumé”. 79 % des sondés français ont en effet admis avoir pris des mesures risquées, telles que la réutilisation ou le partage d’un mot de passe, le fait de cliquer sur des liens provenant d’expéditeurs inconnus, ou en communiquant leurs informations d’identification à une source non fiable. Et parmi eux, 95 % l’ont fait en connaissance des risques inhérents à la sécurité. Les raisons avancées pour justifier ces prises de risque sont toujours aussi futiles. Pour la plupart des sondés c’est la commodité (43 %), le désir de gagner du temps (36 %) et le sentiment d’urgence (29 %) qui les motivent.
Des controles de sécurité plus conviviaux...
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Quelques jours après son démantèlement, le groupe de hackers LockBit fait de nouvelles victimes
usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin
Publié le 26 février 2024
Il y a moins d’une semaine, une opération menée par une dizaine de pays mettait hors-ligne les sites du groupe cybercriminel LockBit, connu pour ses attaques par ransomware. Ce week-end, il a annoncé avoir restauré ses serveurs et lancé un nouveau site vitrine. Douze prétendues victimes y sont d’ores et déjà exposées, dont une entreprise française.
Les autorités de dix pays, dont la France, ont annoncé le 19 février avoir saisi les espaces numériques du groupe russophone de hackers LockBit, dans le cadre de l’opération “Cronos”. 34 serveurs ont alors été démantelés, ainsi que le site principal et 22 sites liés au réseau. Un “démantèlement” de courte durée, puisque le 24 février, le groupe cybercriminel connu pour ses attaques par ransomware a mis en ligne un nouveau site vitrine, contredisant les forces de l’ordre et affichant cinq premières victimes prétendues.
Sur le dark web, LockBit minimise l’opération de police
Dans un long message publié sur le darknet et rédigé à la première personne, LockBit explique que les forces de l’ordre, appelées par raccourci “le FBI”, ont piraté deux serveurs principaux, “parce que pendant cinq ans à rouler sur l’or, je suis devenu très paresseux”. Il ajoute : “En raison de ma négligence personnelle et de mon irresponsabilité, je me suis détendu et n’ai pas mis à jour les serveurs PHP à temps.” Un oubli qui aurait donc permis à la police d’exploiter une faille de sécurité dans le langage de programmation PHP. Le groupe n’est pas en mesure de déterminer si la vulnérabilité, identifiée comme CVE-2023-3824, était déjà identifiée ou non.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/quelques-jours-apres-son-demantelement-le-groupe-de-hackers-lockbit-fait-de-nouvelles-victimes.N2208801?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=info_ud-quotidienne&email=98870165&idbdd=56561
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Attaque informatique chez Orange Espagne : un mot de passe faible à l’origine d’une faille de sécurité
info.re – Par la Rédaction
Publié le le 25 Février 2024
Début 2024, le réseau mobile d’Orange Espagne a été violemment secoué par une cyberattaque d’envergure. Le coupable ? Un pirate informatique du nom de « Snow » qui a profité d’un mot de passe faible pour s’introduire dans le système de sécurité.
Google rédige la ’Constitution du robot’ : une avancée majeure pour la sécurité en robotique
IA : ChatGPT a délivré des réponses incohérentes pendant plusieurs heures
Une faille de sécurité provoquée par l’inconscience d’un employé
La cybercriminalité ne connaît aujourd’hui aucune limite et touche même les géants de la télécommunication. Le 3 janvier 2024, le trafic Internet d’Orange Espagne a été brusquement et massivement perturbé, empêchant un nombre indéterminé de clients d’accéder à plusieurs sites web. À l’origine de cette intrusion ? Un mot de passe vulnérable qui s’est présenté comme une porte-ouverture béante pour le pirate informatique se faisant appeler Snow. Ce dernier a pu exploiter une faille de sécurité majeure en pénétrant le compte Ripe NCC (Réseaux Ip Européens - Network Coordination Centre) d’un employé de la boîte.
La méthode employée par le cybercriminel a révélé la vulnérabilité du système puisqu’il a réussi à s’introduire dans la base de données Ripe NCC recensant toutes les adresses IP pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie centrale. Snow a par la suite modifié le routage des adresses IP entraînant une perturbation significative du réseau Internet pour les utilisateurs d’Orange Espagne.
Mais ce qui rend cette cyberattaque encore plus alarmante, c’est la facilité avec laquelle le pirate informatique a pu exécuter son plan. L’employé ciblé par Snow avait opté pour un mot de passe extrêmement faible, simplement « ripeadmin », sans aucune protection supplémentaire, malgré la possibilité de choisir une authentification à deux facteurs. Cette négligence a ouvert une fenêtre d’opportunité que le pirate n’a pas laissé passer.
L’importance de la double authentification pour sécuriser les entreprises et les clients
Lire la suite : https://www.linfo.re/magazine/high-tech/attaque-informatique-chez-orange-espagne-un-mot-de-passe-faible-a-l-origine-d-une-faille-de-securite
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Cyberattaques : la menace monte crescendo
fnh.ma - Par K.A
Publié le 25 février 2024
Dans un monde où la connectivité numérique est omniprésente, les entreprises et les particuliers se retrouvent confrontés à un paysage numérique de plus en plus complexe, où les cyberattaques se multiplient.
Au cours de cette année, les entreprises et les particuliers seront plus que jamais exposés à des menaces variées et sophistiquées. Ransomwares, hameçonnage, logiciels malveillants, attaques de la chaîne d'approvisionnement..., la liste des dangers est longue et le panorama de la cybersécurité est en constante métamorphose. Dans ce contexte de cybermenaces croissantes, les conséquences financières des attaques informatiques sont particulièrement préoccupantes.
Les entreprises, en particulier, se retrouvent souvent confrontées à des pertes colossales, tant en termes de récupération des données que de paiements de rançon, sans oublier les dommages à leur réputation. En effet, les cyberattaques devraient coûter au monde 8.000 milliards de dollars en 2023, et ce chiffre devrait atteindre 9.500 milliards en 2024 et 10.500 milliards en 2025. Selon les récentes données d’IBM, le coût moyen mondial d'une violation de données en 2023 était de 4,45 millions de dollars, soit une augmentation de 1% sur trois ans. Par habitant, le coût moyen d’une violation de données est de 165 dollars, soit un dollar de plus qu’en 2022.
«La pénurie de professionnels possédant les compétences nécessaires pour protéger les organisations contre les cyberattaques restera un thème récurrent tout au long de 2024. Il s’agit d’une menace pour les entreprises et les sociétés. Cependant, l’IA générative peut avoir un impact transformateur sur les mécanismes de défense lorsque les organisations concentrent leurs efforts sur les programmes de formation, de développement et de perfectionnement en cybersécurité», souligne la multinationale américaine.
Lire la suite : https://fnh.ma/article/actualite-high-tech/cyberattaques-menace-hausse
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Le coût de la cybercriminalité explose en France
echodumardi.com - Par Tristan Gaudiaut pour Statista
Publié le 26 février 2024
Le coût annuel de la cybercriminalité en France est aujourd’hui évalué à plus de 100 milliards d’euros. Selon les dernières estimations issues des Technology Market Insights de Statista, le coût total des cyberattaques et autres actes malveillants en ligne devrait atteindre 129 milliards de dollars américains dans le pays en 2024 (soit environ 119 milliards d’euros), contre près de 94 milliards de dollars l’an passé.
Comme le retrace notre infographie, le coût de la cybercriminalité en France a littéralement explosé ces huit dernières années. En 2016, ce chiffre n’était évalué qu’à 5,1 milliards de dollars, avant de connaître une hausse moyenne de plus de 30 % chaque année. Cette tendance va de pair avec la multiplication, la diversification et le perfectionnement des cyberattaques au cours de la période étudiée.
D’après l’édition 2024 du baromètre du CESIN, près d’une entreprise française sur deux a été victime d’une cyberattaque avec un impact significatif l’an dernier. En outre, le cyberespionnage représenterait un risque élevé pour deux entreprises sur cinq (toutes industries confondues). Les auteurs du rapport soulignent notamment « la complexité croissante du paysage de la cybersécurité, avec des attaquants qui ajustent leurs tactiques ».
Lire la suite : https://www.echodumardi.com/actualite/le-cout-de-la-cybercriminalite-explose-en-france/
Atos
Point de marché
Atos confirme l’atteinte de ses objectifs 2023 de chiffre d’affaires et de marge opérationnelle
Paris, le 28 février 2024
Flux de trésorerie disponible au second semestre 2023 à -109 millions d’euros
Endettement financier net à 2 230 millions d’euros
• Ratio bancaires respectés
Publication des résultats annuels 2023 replanifiée au 20 mars afin de finaliser l’audit de la charge non-cash d’impairment du goodwill
Conclusion des discussions avec EPEI en vue de la vente potentielle de Tech Foundations sans obtention d’un accord
Thales
THALES ALENIA SPACE FOURNIRA DES ÉQUIPEMENTS POUR LA MISSION NEO SURVEYOR DE LA NASA
Publié le 13 Février 2024
Ces équipements de communication sont destinés à la mission Neo Surveyor de la Nasa, dont le lancement est prévu en 2028 et qui sera chargée de détecter les géocroiseurs, notamment les astéroïdes et comètes à la fois brillants et sombres, susceptibles d’entrer en collision avec la Terre.
Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67%) et Leonardo (33%), a signé un contrat avec Ball Aerospace, maître d’œuvre industriel, pour la fourniture d’équipements de communication destinés à la mission Neo Surveyor (Near-Earth Object Surveyor) de la Nasa. Cette mission de défense de notre planète, dont le lancement est prévu en 2028, sera chargée de détecter les géocroiseurs, notamment les astéroïdes et comètes à la fois brillants et sombres – ce sont les plus difficiles à trouver – susceptibles d’entrer en collision avec la Terre et de causer des dégâts. Produits sur les sites de Thales Alenia Space à Madrid, Toulouse et Charleroi, ces équipements permettront de transmettre à la Terre les télémesures du satellite et les images prises par le télescope spatial, qui seront déployés dans le cadre de cette mission.
L’objectif principal de cette mission de cinq ans est de renforcer les moyens de défense de notre planète contre les géocroiseurs, en particulier les astéroïdes et comètes situés dans un rayon de 50 millions de kilomètres de l’orbite terrestre. La mission Neo Surveyor implique le déploiement d’un télescope spatial infrarouge dont l’objectif est de détecter et caractériser au moins les deux tiers des géocroiseurs ayant un diamètre supérieur à 140 mètres, susceptibles d’infliger des dégâts significatifs en cas d’impact avec la Terre.
Lire la suite : https://vipress.net/thales-alenia-space-fournira-des-equipements-pour-la-mission-neo-surveyor-de-la-nasa/
Metavers
Appel à projets France 2030 "Culture immersive et métavers"
afjv.com - Communiqué
Publié le 28 février 2024
L'appel à projets "Culture immersive et métavers", lancé par le Gouvernement dans le cadre de France 2030 et opéré par Bpifrance, vise à développer la production et la diffusion d'expériences immersives, au service de la démocratisation culturelle et de l'élargissement des publics.
Ce dispositif accompagnera des projets innovants qui permettent de faire un saut technologique à la production et/ou à la diffusion d'expériences culturelles de grande qualité dans les environnements immersifs et les métavers (mondes virtuels persistants, réalité virtuelle, augmentée ou mixte, videomapping, son 3D).
L'appel cible ainsi des projets d'investissement ambitieux portés par des entreprises des industries culturelles et créatives (ICC) ou des établissements culturels.
Ces projets peuvent se positionner sur l'ensemble de la chaîne de valeur, depuis les briques technologiques jusqu'aux solutions de distribution en ligne ou physique afin de toucher de nouveaux publics.
Toute la filière des industries culturelles et créative est concernée : l'audiovisuel, le cinéma, le spectacle vivant dans toutes ses disciplines, la musique dans toutes ses composantes (dont la facture instrumentale), les musées et le patrimoine (dont le patrimoine archivistique), les arts visuels, le design, l'architecture, les métiers d'art, le jeu vidéo, le livre et la presse. Les secteurs connexes de la communication et de la mode pourront également, pour le volet créatif de leur activité, candidater au programme.
Projets attendus
Les projets attendus peuvent prendre plusieurs formes (liste non exhaustive) :
Lire la suite : https://afjv.com/news/11383_appel-a-projets-france-2030-culture-immersive-metavers.htm
Mobilité
Rouen. Le réseau Astuce lance son programme de fidélité : gagnez des points à chaque validation
paris.normandie.fr - Par la rédaction
Publié le 20 Février 2024
Pour inciter à prendre les transports en commun et inciter les voyageurs à valider leur titre, le réseau Astuce lance le Club Astuce, mercredi 21 février 2024. À la clé, des avantages et des réductions.
Pour gagner des points, il suffit de valider son titre de transport dans le bus ou le métro, ou directement aux bornes présentes à l’arrêt - Archives Paris Normandie
Pour promouvoir les transports en commun et inciter ses voyageurs à valider leur titre, le réseau Astuce de la Métropole Rouen Normandie lance, mercredi 21 février 2024, son programme de fidélité appelé Club Astuce. « À chaque déplacement en transport en commun sur le réseau Astuce, les voyageurs détenteurs d’une carte Astuce valident leur titre de transport sur les valideurs à bord ou à quais. Ainsi, ils cumulent des points, et ces points leur permettent ensuite de profiter d’offres chez des partenaires majoritairement locaux », communique le Réseau Astuce, géré par Transdev Rouen.
Pour promouvoir les transports en commun et inciter ses voyageurs à valider leur titre, le réseau Astuce de la Métropole Rouen Normandie lance, mercredi 21 février 2024, son programme de fidélité appelé Club Astuce. « À chaque déplacement en transport en commun sur le réseau Astuce, les voyageurs détenteurs d’une carte Astuce valident leur titre de transport sur les valideurs à bord ou à quais. Ainsi, ils cumulent des points, et ces points leur permettent ensuite de profiter d’offres chez des partenaires majoritairement locaux », communique le Réseau Astuce, géré par Transdev Rouen.Le Club Astuce est ouvert à tous les détendeurs d’une carte Astuce, que l’on soit abonné ou non. Il suffit de s’inscrire gratuitement en se connectant sur le site clubastuce.reseau-astuce.fr à l’aide du numéro de sa carte Astuce.
1 validation = 10 points
Lire la suite : https://www.paris-normandie.fr/id495886/article/2024-02-20/rouen-le-reseau-astuce-lance-son-programme-de-fidelite-gagnez-des-points-chaque
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Métropole Européenne de Lille: vers une extension et une amélioration du réseau de pistes cyclables
bfmtv.com - Par Charlotte Lesage et Hamza Ouarb
Publié le 22 Février 2024
La Métropole de Lille prévoit une extension et une amélioration du réseau de pistes cyclables, avec un chantier qui débutera cette année et une livraison finale pour 2035.
La métropole européenne de Lille projette d’étendre son réseau Vélo Plus sur l’ensemble de son territoire et vise 12 nouvelles liaisons d’ici 2035.
En multipliant les aménagements, elle entend, à terme, relier les cœurs d’agglomération et les principales villes grâce à la création de 12 liaisons. Trois arcades compléteront la carte finale: la petite couronne lilloise, la grande couronne et la ceinture tourquennoise.
Une liaison doit relier Roubaix Hem et Villeneuve d'Ascq, une autre entre Lille et Lesquin. Une liaison entre Halluin, Wattrelos et Hem est également prévue.
Un premier tronçon inauguré en 2023
Un premier tronçon du réseau Vélo Plus, situé sur la piste du Grand Boulevard, a été inauguré en juin dernier. Il constitue la première des 12 branches du futur réseau.
Sur cet axe, qui relie Lille, Roubaix et Tourcoing, les cyclistes profitent d’une signalétique particulière, d’une aire de service, d’un banc ou même d’une pompe de gonflage.
Ces équipements s’inscrivent dans le souhait de la métropole européenne de Lille d’assurer plus de sécurité, de confort de lisibilité, d’efficacité et de capacité aux cyclistes sur son réseau Vélo Plus.
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Un nouveau Plan des Mobilités pour préparer l'avenir des transports jusqu'en 2030
iledefrance-mobilites.fr - Communiqué
Publié le 12 février 2024
Connaître le futur de vos déplacements en Île-de-France, ça vous tente ? On décrypte le Plan des Mobilités 2030 qu'Île-de-France Mobilités vient juste de dévoiler. Un plan en 14 axes d'action pour répondre aux enjeux de mobilité durable.
Le saviez-vous ? C’est Île-de-France Mobilités qui est chargée d’imaginer et de planifier le futur des mobilités en Île-de-France.
Et justement, le Plan des Mobilités 2030 vient de sortir. De grandes ambitions pour une Île-de-France mobile et durable pour tous, qu'on vous propose de décrypter ensembl.
Le Plan des Mobilités en Île-de-France, en quoi ça vous concerne ?
Le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030 est le successeur du Plan de déplacements urbains d'Île-de-France (PDUIF) : un plan stratégique qui organisait les mobilités dans la région et en fixait les grandes lignes directrices pour la période de 2010 à 2020.
La nouvelle version, présentée le 6 février 2024 au conseil d'administration d'Île-de-France Mobilités, renouvelle et renforce pour cinq ans, les ambitions en matière d'utilisation des transports en commun et de solutions de mobilité plus durables.
L'objectif ? Répondre efficacement aux enjeux environnementaux et sanitaires actuels (qualité de l'air, sécurité routière, etc).
Avec le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030, la Région Île-de-France sera la première région de France sur le chemin de la neutralité carbone en 2050 !
Un projet à plusieurs mains : qui participe à l'élaboration du Plan des Mobilités en Île-de-France ?
La mise en œuvre du Plan des Mobilités en Île-de-France engage tous les acteurs régionaux de la mobilité : Île-de-France Mobilités,la région Île-de-France, les départements, les intercommunalités, les communes, l'État, mais aussi les opérateurs de transports et de mobilités ou les acteurs du transport de marchandise, par exemple.
Des ateliers de travail et des consultations en ligne ont également permis des échanges avec les associations et les acteurs économiques du territoire, leur donnant la parole, sur leurs attentes.
Au total, ce sont près de 120 organismes qui se sont exprimés pour l'élaboration du Plan des Mobilités en Île-de-France 2030.
Le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030 : 14 axes d'action pour répondre aux enjeux de mobilité durable
Lire la suite : https://www.iledefrance-mobilites.fr/actualites/plan-des-mobilites-ile-de-france-2030
Numérique
« Notre territoire a besoin d’un numérique choisi, pas d’un numérique subi »
itforbusiness.fr - Par Laurent Delattre
Publié le 23 février 2024
Parmi les premières métropoles créées avec des objectifs de mutualisation des services ambitieux, Bordeaux Métropole se distingue par sa vision en matière de numérique. Elle veut en effet imposer des choix technologiques réellement bénéfiques pour sa population et limités dans leurs impacts négatifs.
Entretien avec Jean-Noël Olivier, Directeur général du numérique et des systèmes d’information de Bordeaux Métropole
Comment définir simplement une métropole et, surtout, une métropole numérique ?
Les métropoles sont des établissements de coopération pour les villes d’un territoire. Elles ont succédé en 2015 aux anciennes communautés urbaines les plus importantes en taille. Bordeaux Métropole a été créée parmi les premières et regroupe 28 communes. Comme toute métropole, elle a une compétence d’aménagement numérique sur son territoire, avec la charge notamment du déploiement d’antennes pour les réseaux mobiles ou de la fibre optique. Mais nous sommes allés plus loin en mutualisant le domaine du numérique. Je suis donc le DSIN de Bordeaux Métropole, celui de la ville de Bordeaux et de 18 autres communes qui ont choisi cette mutualisation. Ce rapprochement a été encouragé par l’État, mais il est surtout le fruit de la volonté des élus. Ce sont eux qui développent cette vision territoriale pour le numérique.
Qu’est-ce qu’une métropole ?
Selon l’article L5217-1 du code général des collectivités territoriales, une métropole est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui regroupe plusieurs communes « d’un seul tenant et sans enclave » qui s’associent au sein « d’un espace de solidarité pour élaborer et conduire ensemble un projet d’aménagement et de développement économique, écologique, éducatif, culturel et social de leur territoire afin d’en améliorer la compétitivité et la cohésion ». La création des métropoles fait suite à la loi Maptam (loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles) de 2014.
Y a-t-il des informatiques différentes ou au contraire une seule cible pour le SI ?
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/notre-territoire-a-besoin-dun-numerique-choisi-pas-dun-numerique-subi-73835
Identité
Auto : le permis de conduire dématérialisé, un moyen simple pour lutter contre la fraude
rte.fr - Par Christophe Bourroux
Publié le 18 février 2024
Depuis le 14 février, il est possible d'avoir son permis de conduire dématérialisé sur l'application France Identité. Une première !
Une petite révolution pour un document centenaire ! Fini le permis de conduire qui traîne dans les poches. Depuis le 14 février, il est possible de le dématérialiser sur son téléphone portable. La mesure a été annoncée par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin.
Comment ça fonctionne ? D'abord, l'utilisateur doit disposer d'un téléphone Android ou Iphone récent, ainsi que d'une carte d'identité physique nouvelle génération avec puce intégrée (mise en circulation en 2021 en France). Il faut ensuite télécharger l'application France Identité pour importer votre permis directement sur votre smartphone (trois millions de connexions ont été enregistrés le premier jour).
Une fois importé, il suffira de le montrer lors d'un contrôle routier. Au-delà du gain de temps pour les forces de l'ordre, c'est surtout un moyen de lutter contre la fraude pour le ministère de l'Intérieur, alors que plus de trois millions de faux permis sont en circulation.
Lire la suite : https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/auto-le-permis-de-conduire-dematerialise-un-moyen-simple-pour-lutter-contre-la-fraude-7900354056
Intelligence artificielle
Les 7 grandes tendances de l’IA en 2024 et au-delà…
itforbusiness.fr - Par Laurent Delattre,
Publié le 22 février 2024
Deux rapports récents respectivement publiés par IBM et Microsoft tracent les grandes tendances qui doivent marquer l’IA dans les entreprises en 2024 et un peu au-delà. Voici ce qu’il faut en retenir…
ChatGPT a profondément et définitivement transformé notre vision de l’intelligence artificielle. En démontrant magistralement à quel point les IA pouvaient comprendre le langage et engager des conversations avec l’humain tout en se montrant créatives (bien plus créative d’ailleurs que ce que les mauvais esprits ne veulent l’admettre), l’IA conversationnelle générative d’OpenAI a – mieux que toute autre tentative préalable – su populariser les concepts IA et favoriser l’adoption de l’IA. À tel point qu’elle a aussi, mécaniquement, forcément et inévitablement, engendré des peurs, des inquiétudes et une infinité de débats sur l’avenir de l’être humain dans un monde envahi, voire régi, par l’IA…
La sortie de ChatGPT et son adoption instantanée par les internautes puis par les entreprises a libéré l’innovation en la matière. En moins d’un an, on a vu les IA capables d’interpréter des images et des vidéos, créer des images et photos terriblement réalistes à partir de vague description textuelle, écrire des livres, composer des musiques originales, transcrire des réunions, produire des résumés, suggérer des réponses aux emails, imiter l’humain dans ses tâches les plus créatives et les plus « intelligentes ». Et ce n’est pas fini. Les IA ne sont encore que balbutiantes. Et si l’AGI, cette intelligence artificielle générale supérieure à l’humain n’est pas encore là, l’IA ne cesse de progresser et de se diversifier dans ses capacités avec par exemple SORA d’OpenAI et sa génération vidéo qui en met plein la vue, Gemini 1.5 et sa fenêtre contextuelle d’un million de Tokens qui lui permet de rédiger des romans d’une traite ou encore le nouveau Mistral Next qui – outre sa maîtrise extraordinaire du français – pense en européen (et non en américain).
Néanmoins, selon Dave Bergmann, si les grands modèles IA capturent toute l’attention des médias, « les développements les plus impactants seraient plutôt à chercher du côté des innovations en matière de gouvernance, de middleware, de techniques d’apprentissage et de pipelines de données qui cherchent à rendre l’IA générative plus fiable, plus durable, plus accessible ».
Ainsi, des réflexions des chercheurs d’IBM et de Microsoft publiées récemment se dégagent quelques grandes tendances autour de l’IA que tout DSI doit garder en ligne de mire :
1. Les SLM : Small Language Models
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/les-7-grandes-tendances-de-lia-en-2024-et-au-dela-73798
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ChatGPT débloque pendant plusieurs heures et rappelle que son intelligence n’est qu’artificielle
liberation.fr - Par Libération et AFP
Publié le 21 février 2024
Intelligence artificielle : de la fascination à l'inquiétude
Le programme conversationnel a rencontré un dysfonctionnement de plusieurs heures, donnant des réponses sans queue ni tête, allant même jusqu’à inventer des mots. OpenAI a assuré ce mercredi 21 février que ChatGPT refonctionnait «normalement».
En dépit de toutes ses avancées, l’IA n’a toujours pas de conscience ni de compréhension de ce qu’elle «dit». ChatGPT, la très populaire interface d’intelligence artificielle, a débloqué pendant plusieurs heures mardi, répondant aux questions des utilisateurs avec des phrases sans aucun sens. De nombreux utilisateurs ont mis en ligne des captures d’écran montrant des réponses erratiques ou incompréhensibles du modèle d’IA générative. Cette technologie de pointe permet de produire toutes sortes de contenus (textes, sons, vidéos), d’ordinaire de qualité bluffante, sur simple requête en langage courant. Mais ces systèmes sont encore balbutiants
Sur le forum des développeurs qui utilisent les outils d’OpenAI, un utilisateur baptisé «IYAnepo» a ainsi relevé le comportement «étrange» de ChatGPT. «Il génère des mots totalement inexistants, omet des mots et produit des séquences de petits mots-clés qui me sont inintelligibles, entre autres anomalies», a-t-il relaté. «On pourrait penser que j’ai spécifié de telles instructions, mais ce n’est pas le cas. J’ai l’impression que mon GPT est hanté», a-t-il ajouté.
Un autre utilisateur, «scott.eskridge», s’est plaint sur ce même forum que toutes ses conversations avec le modèle de langage «se transforment rapidement en grand n’importe quoi depuis trois heures». Pour le prouver, il a copié un extrait d’une des réponses de l’interface : «L’argent pour le bit et la liste est l’un des étrangers et l’internet où la monnaie et la personne du coût est l’un des amis et la monnaie. La prochaine fois que vous regarderez le système, l’échange et le fait, n’oubliez pas de donner.»
Internet des Objets
Quel réseau demain pour les objets connectés?
zoner.fr - Par Frédéric Charles pour Green SI
Publié le 18 février 2024
Green SI : La croissance de déploiement des objets connectés n'a pas fléchi depuis 2019. Le besoin en réseaux IoT est donc là, se renforce, et de nouveaux réseaux émergents.
Comme vous le savez, GreenSI est un blog sur lequel on suit les sujets sur le moyen terme. On revient donc régulièrement sur des sujets identifiés quelques années avant, pour apprécier la vitesse de développement et les courbures, voire les changements de trajectoires.
En 2019, Amazon annonçait Sidewalk, un réseau pour les objets connectés, quand la 5G était promise à un beau développement. Où en est-on aujourd'hui et qui sont les candidats pour les réseaux des objets connectés de demain ?
Sans réseau, un objet ne peut être connecté, et la croissance de déploiement des objets connectés n'a pas fléchi depuis 2019. Le besoin en réseaux IoT est donc là, se renforce, et de nouveaux réseaux émergents.
En 2010, on atteignait le 1ᵉʳ milliard d'objets connectés, et en 2017, Cisco en prévoyait 30 milliards en 2022.
En 2023, Strategy Analytics estimait dans une étude leur nombre à 22 milliards dans le monde (smartphones, enceintes, téléviseurs, montres, tablettes, ordinateurs portables/bureaux, etc.) ce qui est moins qu'attendu, mais qui confirme cependant une croissance à deux chiffres qui ne fléchi pas. Les secteurs professionnels et la maison connectée ont les plus fortes croissances, ce dernier étant le territoire d'Amazon.
Aujourd'hui, on annonce 38 milliards d'objets connectés en 2025 et 50 milliards en 2030.
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/blogs/green-si/quel-reseau-demain-pour-les-objets-connectes-39964316.htm
RGPD
Dans quelles conditions peut-on céder une base de données sans le consentement des intéressés ?
usine-digitale.fr - Par Alice Vitard
Publié le 23 février 2024
Comment concilier le droit de la propriété d'une société créancière et le droit à la protection des données personnelles ? Voici la question sur laquelle doit se pencher la Cour de justice de l'Union européenne, à la demande d'une juridiction polonaise. L'avocat général a rendu ses conclusions : une base de données personnelles peut être vendue dans le cadre d'une procédure d'exécution forcée même si les personnes concernées par ces données n'y ont pas consenti. Des conditions doivent en revanche être respectées pour que ce transfert se fasse dans le respect du RGPD.
osition sur la légalité d'un transfert forcée d'une base contenant des données personnelles sans avoir reçu le consentement des personnes concernées par ces données. Le litige s'inscrit dans le cadre d'une procédure civile d'exécution, laquelle permet d'obtenir le recouvrement d'une somme d'argent pour satisfaire le créancier lorsque le débiteur ne s'exécute pas spontanément.
L'avocat général à la Cour, Priit Pikamäe, a rendu le 22 février ses conclusions. Celles-ci ne lient pas la Cour mais fournissent une orientation possible que pourront prendre les juges lorsqu'ils trancheront l'affaire d'ici quelques semaines.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.usine-digitale.fr/article/dans-quelles-conditions-peut-on-transferer-une-base-de-donnees-sans-le-consentement-des-interesses.N2208659
Désinformation
PODCAST. Face à la désinformation russe, « éduquons les jeunes aux médias » selon Cécile Vaissié
ouest-francs.fr Par Fabien Cazenave
Publié le 20 Février 2024
La Russie de Vladimir Poutine a mis en place une politique de désinformation pour déstabiliser les démocraties occidentales. Dans l’émission Europe du Mur des Podcasts, Cécile Vaissié, professeure à Rennes 2, revient sur cette stratégie du Kremlin.
Le président français Emmanuel Macron a dénoncé vendredi 16 février un « changement de posture » de la Russie qui « exige un sursaut collectif » de l’Europe comme de la communauté internationale, citant notamment les cyberattaques et les craintes sur un déploiement d’armes dans l’espace.
Mais cela fait déjà plusieurs années que le Kremlin a mis en place une politique de désinformation selon Cécile Vaissié, professeure des universités en études russes, soviétiques et post-soviétiques à l’Université Rennes 2. En amont d’une conférence sur ce thème, elle est revenue sur cette question dans l’émission Europe du Mur des Podcasts de Ouest-France.
Cybersécurité
JO de Paris 2024 : Plus de 4 milliards de cyberattaques prévues, comment les Jeux peuvent-ils résister au hacking ?
20minutes.fr - Par Laure Gamaury
Publié le 18 février 2024
CYBERFRONT • De 450 millions de cyberattaques durant les Jeux de Tokyo en 2021, les experts évaluent à huit à dix fois plus celles qui pourraient viser les Jeux de Paris cet été.
L'essentiel
• La cybermenace sera considérable lors des JO 2024 qui draineront tous les regards, et représentent le « jackpot » pour les cybercriminels : il serait question de 8 à 10 fois plus de cyberattaques enregistrées qu’en 2021 (soit plus de 4 milliards en 2024 contre 450 millions en 2021).
• Si les sous-traitants sont une vraie faiblesse dans le dispositif global, le comité d’organisation a développé une stratégie en trois points pour contrer les menaces : anticipation, coopération avec les prochains pays organisateurs, et expertise technique.
• Même si le risque zéro n’existe pas, le comité met tout en œuvre pour éviter de reproduire le scénario du pire qu’ont connu les Jeux de Pyeongchang en 2018, où le malware Olympic Destroyer avait failli empêcher le bon déroulement de la cérémonie d’ouverture.
JO de Paris 2024 : Plus de 4 milliards de cyberattaques prévues, comment les Jeux peuvent-ils résister au hacking ?
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L'utilisation de l'IA par les pirates informatiques a entraîné une hausse considérable de la cybercriminalité
Dont le coût pour les internautes devrait atteindre 9 220 milliards de dollars en 2024
intelligence-artificielle.developpez.com - Par Jade Emv
Publié le 23 février 2024
Selon un nouveau rapport de Techopedia, le marché de l'IA dans la cybersécurité devrait atteindre plus de 133 milliards de dollars d'ici 2030. Mais l'utilisation de l'IA par les pirates informatiques a entraîné une hausse considérable de la cybercriminalité, dont le coût pour les internautes devrait atteindre 9 220 milliards de dollars en 2024.
L'utilisation de l'IA a un impact à la fois positif et négatif. L'utilisation de l'IA par les pirates informatiques a entraîné une hausse considérable de la cybercriminalité, dont le coût pour les internautes devrait atteindre 9 220 milliards de dollars en 2024, la grande majorité (85 %) des professionnels de la cybersécurité blâmant l'IA. Cette hausse s'explique par les raisons suivantes L'IA augmente la vitesse et le volume des attaques, elle s'adapte à des défenses spécifiques et crée des attaques plus sophistiquées et personnalisées.
D'un autre côté, les entreprises affirment que l'IA renforce la cybersécurité en améliorant la détection des menaces et du phishing, en analysant rapidement les incidents et en trouvant des solutions, et en créant des simulations de menaces pour prédire d'éventuelles cyberattaques.
Les violations qui ont touché les entreprises dotées de solutions de sécurité entièrement intégrées par l'IA leur ont coûté en moyenne 1,8 million de dollars de moins que les entreprises qui n'en disposaient pas. 69 % des entreprises affirment que l'IA en matière de cybersécurité est une nécessité en raison de la quantité de menaces que les analystes humains ne sont pas en mesure de traiter.
Nick Francis, rédacteur en chef de Techopedia, déclare :
Essayez de regarder cette vidéo sur www.youtube.com, ou activez JavaScript dans votre navigateur si ce n'est pas déjà le cas.
Voici 10 principales statistiques de l'IA dans la cybersécurité, selon Techopedia :
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Gartner identifie les principales tendances en matière de cybersécurité pour 2024 :
les responsables de la sécurité doivent se préparer à l'évolution rapide de la GenAI
sécurité.developpez.com - Par Jade Emy
Publié le 23 février 2024
Gartner identifie les principales tendances en matière de cybersécurité pour 2024. L'IA générative suscite un scepticisme à court terme, mais de l'espoir à long terme. Le rôle de la gestion des identités et des accès (IAM) pour améliorer les résultats en matière de cybersécurité devrait s'étendre.
Les analystes exploreront les tendances en matière de cybersécurité lors du Gartner Security & Risk Management Summit, qui se tiendra les 18 et 19 mars à Sydney.
L'IA générative (GenAI), le comportement non sécurisé des employés, les risques liés aux tiers, l'exposition continue aux menaces, les lacunes en matière de communication au sein des conseils d'administration et les approches de sécurité fondées sur l'identité sont les forces motrices des principales tendances en matière de cybersécurité pour 2024, selon Gartner, Inc.
"La GenAI occupe une place importante dans l'esprit des responsables de la sécurité en tant que nouveau défi à gérer, mais elle offre également l'opportunité d'exploiter ses capacités pour renforcer la sécurité au niveau opérationnel", a déclaré Richard Addiscott, directeur principal de l'analyse chez Gartner. "Malgré la force inéluctable de la GenAI, les dirigeants continuent également à faire face à d'autres facteurs externes hors de leur contrôle qu'ils ne devraient pas ignorer cette année."
En 2024, les responsables de la sécurité répondront à l'impact combiné de ces forces en adoptant une série de pratiques, de capacités techniques et de réformes structurelles au sein de leurs programmes de sécurité, en vue d'améliorer la résilience de l'organisation et la performance de la fonction de cybersécurité.
Les six tendances suivantes auront un large impact dans tous ces domaines :
Tendance 1 : IA générative - Scepticisme à court terme, espoir à long terme
Les responsables de la sécurité doivent se préparer à l'évolution rapide de l'IA générative, car les applications à grand modèle de langage (LLM) telles que ChatGPT et Gemini ne sont que le début de sa perturbation. Simultanément, ces dirigeants sont inondés de promesses d'augmentation de la productivité, de réduction du déficit de compétences et d'autres nouveaux avantages pour la cybersécurité. Gartner recommande d'utiliser la GenAI par le biais d'une collaboration proactive avec les parties prenantes de l'entreprise afin de jeter les bases d'une utilisation éthique, sûre et sécurisée de cette technologie perturbatrice.
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Microsoft va investir 2 Md€ en IA et cybersécurité en Espagne
lemondeinformatique.fr - Par Irene Iglesias Alvarez, IDG NS (adapté par Dominique Filippone)
Publié le 23 Février 2024
L'offensive de charme européenne de Microsoft se poursuit, avec maintenant une collaboration avec le gouvernement espagnol. Objectif : mettre en oeuvre une IA qualifiée de responsable et sécuriser les infrastructures des administrations espagnoles.
Microsoft prévoit de quadrupler ses investissements dans l'IA et le cloud en Espagne, en y dépensant 1,95 Md€ au cours des deux prochaines années. Ceci fait suite à l'engagement du CEO de Microsoft Satya Nadella à promouvoir l'innovation numérique et l'utilisation responsable de l'IA. Brad Smith, président de Microsoft, a rencontré Pedro Sánchez, président du gouvernement espagnol, pour présenter ce qui est le plus grand investissement de l'entreprise en Espagne en près de quatre décennies de présence dans le pays. Brad Smith fait le tour des nations européennes pour parler des investissements de Microsoft sur le continent. La semaine dernière, il a annoncé un plan d'investissement de 3,2 Md€ en Allemagne dans l'IA et l'infrastructure des datacenters sur deux ans.
La firme de Redmond ouvrira bientôt une région cloud près de Madrid, et a annoncé son intention de construire un campus de datacenters en Aragon qui servira aux entreprises et aux entités publiques européennes. Ces deux infrastructures doivent permettre aux services cloud de Microsoft de garantir la sécurité, la confidentialité et la souveraineté - toute relative - des données, et de mettre à la disposition des entreprises et des administrations publiques toute la gamme de solutions d'intelligence artificielle de l'éditeur. Selon une analyse d'IDC, les datacenters de Microsoft en Espagne pourraient ajouter jusqu'à 8,4 Md€ au PIB du pays et contribuer à la création de 69 000 emplois indirects sur la période 2026-2030.
Une alliance stratégique
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-microsoft-va-investir-2-mdeteuro-en-ia-et-cybersecurite-en-espagne-93053.html
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8 attaques par jour : pourquoi les hackers raffolent des ampoules et autres objets connectés
Voici comment les protéger
numerama.com - Cet article a été réalisé en collaboration avec Bitdefender
Enceintes, ampoules, routeurs et même lave-linges, les objets connectés font désormais partie de notre quotidien. Grands collecteurs de données, ces appareils apprennent de vos habitudes de vie. À ce titre, ils méritent d’être sécurisés. On vous explique comment mieux protéger votre vie privée.
Destinés à faciliter le quotidien, les objets connectés gagnent progressivement nos habitations. Près de 30 % des Français sont déjà équipés et ce chiffre devrait continuer à s’accroître dans les années à venir.
Ces appareils sont devenus tellement communs, comme les smartTV et les aspirateurs-robot notamment, qu’il est facile d’oublier leur niveau de connectivité et les risques induits. Porte ouverte sur votre réseau domestique et sur vos données, ces dispositifs se doivent d’être sécurisés. Voici comment.
Pourquoi les objets connectés peuvent-ils être vulnérables ?
Très pratiques à l’usage, les objets connectés présentent l’avantage de pouvoir être paramétrés et commandés à distance, depuis votre smartphone.
C’est grâce à cette connectivité que vous pouvez allumer votre chauffage lorsque vous quittez votre travail, indiquer au facteur où laisser votre colis lorsqu’il sonne à votre porte, ou encore allumer les lumières depuis l’autre bout de la planète pour simuler votre présence. Mieux, vous pouvez interconnecter les objets connectés entre eux et définir des routines.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1624582-8-attaques-par-jour-pourquoi-les-hackers-raffolent-des-ampoules-et-autres-objets-connectes.html
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Arnaque à Bordeaux : de faux abonnements TBM vendus en ligne à des prix imbattables
Actu.fr - Bordeau - Par Anbelle Montagne
Publié le 18 février 2024
Un compte tente d'arnaquer les usagers TBM en promouvant des abonnements à prix imbattables, sur Facebook ou Instagram. TBM a donc mis en garde ses usagers.
Sur Facebook, la page « Carte de transport Bordeaux » affirme vendre « une carte de TMB transports (sic) valable un an dans Bordeaux, le tout pour seulement 2,35 euros ». Un prix imbattable qui, visiblement, a convaincu quelques Bordelais tombés dans le piège.
Sur X, TBM a décidé de prévenir les usagers des transports de la métropole en leur demandant de se méfier de cette arnaque.
Trois canaux légitimes
« Depuis plusieurs jours, une page illégitime fait la promotion sur Instagram et Facebook d’abonnements TBM à un prix excessivement bas et des liens de vente (tous différents) ne menant pas sur le site de TBM », souligne la compagnie.
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L'indispensable résilience pour garantir le fonctionnement de l'IT
lemondeinformatique.fr - Benoît Huet, dossier publié le 19 Février 2024
« 52 % des entreprises sondés estiment que la résilience opérationnelle fait partie des plus grands défis à surmonter en 2024 », explique Richard Ramos, General Manager France chez Insight. (Crédit Insight). Benoît Huet
Les entreprises tentent depuis des années de faire face à la fragilité de leurs systèmes hérités pour contrer les cybermenaces, car l’objectif est bien de garantir le fonctionnement du SI quel que soit l’origine de la menace, bref d’assurer cette fameuse résilience, ce mot devenu très tendance depuis ces derniers mois. Selon Richard Ramos, General Manager France chez Insight qui se base sur une étude menée par l’intégrateur en partenariat avec IDC, 52 % des sondés estiment que la résilience opérationnelle fait partie des plus grands défis que les entreprises auront à surmonter en 2024, aux côtés de la cybersécurité (56 %). Cette dernière étant totalement liée à la résilience, un point d’ailleurs confirmé par les experts du Cesin qui stipulent, dans leur baromètre annuel de la cybersécurité publié en janvier 2023, que la résilience des SI face aux cyberattaques reste un maillon important à améliorer dans la stratégie de défense. Cela dit, il ne faut pas limiter la résilience IT au seul sujet de la cybersécurité, il est important d’intégrer les autres risques comme la sécurité physique, la sécurité juridique, la sécurité fournisseurs et toutes les crises géopolitiques, pandémiques et climatiques qui peuvent avoir des conséquences irréversibles.
Un niveau de maturité assez faible des entreprises françaises…
La résilience est donc indispensable pour garantir le fonctionnement du SI. C’est d’autant plus important lorsque l’on observe le coût engendré par une interruption de services à en croire l'éditeur de solutions d'observabilité Splunk. En effet, l’éditeur s'est essayé à la mesurer dans une étude dédiée sur onze pays, dont la France. L'éditeur parvient au chiffre global de 10 jours d'arrêt imprévus par an, pour un coût moyen grimpant à 87 millions de dollars par an. Dans le détail, ce coût moyen des interruptions s'élève à 110 millions de dollars par an dans les entreprises qui démarrent tout juste leur stratégie de résilience, pour les plus avancées ce montant n'est plus que de 62 millions, ce qui représente une économie moyenne de 48 millions de dollars par an.
… Mais plus de budgets alloués, un marqueur pour la résilience
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/les-dossiers/lire-l-indispensable-resilience-pour-garantir-le-fonctionnement-de-l-it-1494.html
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Biométrie
Des chercheurs chinois découvrent comment reproduire l’empreinte digitale à partir du son de l’écran tactile
netcost-security.fr - par Charles A.
20 Février 2024
Un groupe de chercheurs de Chine et des États-Unis a développé une méthode pour reproduire partiellement et intégralement les empreintes digitales à partir du son généré par le frottement sur l’écran tactile
Une équipe de chercheurs composée de scientifiques chinois et américains a réussi à reproduire une empreinte digitale à partir du son produit en faisant glisser le doigt sur l’écran tactile. Cette méthode d’attaque biométrique novatrice est basée sur l’analyse acoustique des gestes tactiles effectués par les utilisateurs sur leurs appareils mobiles.
L’étude montre qu’il est possible de reconstruire partiellement les empreintes digitales des utilisateurs à partir des sons qu’ils génèrent en faisant glisser leurs doigts sur l’écran. La principale préoccupation que cela suscite est la possibilité de mener des attaques en utilisant cette méthode, remettant ainsi en question l’efficacité de la biométrie.
Metavers
À Nancy, l’opéra entre dans le métavers
lequotidien.lu - Par AFP
Publié le 18 février 2024
Présentée à la fois sur scène et en réalité virtuelle. Jusqu’à y inviter un robot chanteur !
Un opéra aussi visible dans le métavers, des «metahumains» et même un robot sur scène : avec l’oratorio La Création de Haydn, exceptionnellement mis en scène, l’Opéra national de Lorraine bouleverse les codes de l’art lyrique et transporte le spectateur dans un monde très contemporain. L’imposante salle de l’opéra, basée à Nancy, reste évidemment accessible aux spectateurs munis de billets, mais pas que : d’autres peuvent la rejoindre sur leur ordinateur ou depuis un casque de réalité virtuelle pour assister à cette représentation peu commune.
Je suis préoccupé par le scepticisme croissant à l’égard des sciences
En entrant virtuellement dans le bâtiment, le spectateur découvre différentes affiches de médiation, lui permettant de comprendre le spectacle qu’il va voir. Puis il prend place, toujours virtuellement, dans ce monde parallèle qu’est le métavers, au cœur de la salle. La représentation, jouée et filmée en direct, est donc entièrement retransmise à distance. Et les spectateurs du métavers peuvent se «demander en ami» et interagir entre eux. Ils peuvent aussi se déplacer dans la salle, ou sauter du balcon…
Robot humanoïde
Lire la suite : https://lequotidien.lu/culture/a-nancy-lopera-entre-dans-le-metavers/
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Le Cigref démystifie les métavers et les chemins concrets pour les apprivoiser
informatiquenews.fr - Par La rédaction
Publié le 23 février 2024
Les métavers ont plus de mal à s’imposer dans le paysage que l’IA générative. Néanmoins, petit à petit, ils trouvent leurs cas d’usage en entreprise à défaut de réellement séduire le grand public. De quoi interpeler le Cigref qui vient de leur dédier l’un de ses rapports.
Le premier rapport du Cigref sur l’univers naissant des métavers, « Les métavers : démystification et chemins à parcourir », cherche à tracer un état de l’art de cette technologie aux multiples visages, à clarifier ses concepts pour les DSI et à évaluer à la fois les opportunités et les défis que ces nouveaux espaces virtuels représentent pour les entreprises.
Combinant réalité virtuelle, réalité augmentée, intelligence artificielle et blockchain pour créer des mondes virtuels immersifs et interactifs, les métavers voulaient réinventer Internet. C’est tout au moins ce que Mark Zuckerberg espérait en y investissant des milliards et en renommant son entreprise Facebook en Meta. La sauce n’a pas pris à la célérité espérée et rien ne prouve qu’elle prendra un jour au point de fondamentalement transformer Internet. Peut-être parce que, justement, ces véritables cas d’usage sont ailleurs, non pas dans les toiles de l’Internet mais dans les murs des entreprises. Car ces environnements numériques peuvent littéralement transformer certains business, métamorphoser certains processus de conception, de formation, de maintenance mais aussi bouleverser les méthodes de travail et les interactions dans un monde du travail hybride. « Les métavers pourraient, à court terme, transformer divers secteurs tels que l’immobilier, la mode, l’éducation et la formation, en offrant des expériences immersives et collaboratives » expliquent notamment les rapporteurs.
Pour le Cigref, les métavers ont indéniablement un grand potentiel en entreprise et ce rapport cherche justement à aider DSI et chefs d’entreprise à en comprendre les tenants et aboutissants et leur potentiel pour rendre leur organisation plus compétitive. Il met en avant les diverses applications possibles, allant de l’éducation et la formation à la vente au détail et au divertissement. Et dévoile les bonnes pratiques pour opérationnaliser l’usage des métavers. Il déchiffre ainsi quelques approches stratégiques pour intégrer les métavers dans les activités commerciales, en tenant compte des aspects technologiques, éthiques et réglementaires.
Lire la suite : https://www.informatiquenews.fr/le-cigref-demystifie-les-metavers-et-les-chemins-concrets-pour-les-apprivoiser-98021
Mobilité
Bordeaux : la Metstation, premier espace de services et stationnement dédié aux mobilités douces
sudouest.fr - Par Vivien Latour
Publié le 11 Février 2024
Dans le quartier Mériadeck, la première Metstation de la métropole ouvre ses portes. Elle est dédiée à toutes les formes de mobilités douces et permettra aux usagers d’entretenir leurs véhicules.
« Un espace de 650 mètres carrés au profit des usagers de mobilités douces », résume Nicolas Andreotti, directeur de Metpark, la régie métropolitaine de stationnement. Installée sur le parking du 8-Mai-1945, à Mériadeck, la première Metstation de la métropole ouvre ses portes ce lundi 12 février au matin à Bordeaux.
Derrière une baie vitrée ouverte sur la rue, 28 places de voitures ont été remplacées par trois marquages colorés. « Vert pour les 192 places dédiées aux vélos, bleu pour les 30 places de vélos cargos ou les sept places de handybikes et rouge pour les 18 emplacements des casiers destinés aux trottinettes », énumère l’architecte Olivier Oslislo, concepteur de la Metstation.
88 casiers à code – dont 56 électrifiés pour permettre de recharger les batteries
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.sudouest.fr/gironde/bordeaux/bordeaux-la-metstation-premier-espace-de-services-et-stationnement-dedie-aux-mobilites-douces-18503319.php
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Bordeaux Métropole dévoile le futur réseau du Bus Express
bougerabordeaux.com - Par Léa Tarozzi
Publié le 16 février 2024
À quelques semaines du lancement de la première ligne de Bus Express à Bordeaux, Bordeaux Métropole vient de dévoiler le plan des sept lignes destinées à transformer la mobilité urbaine d’ici 2027. Ce nouveau réseau de transport compte bien faciliter la vie des bordelais. On vous détaille le plan zone par zone !
Lancement imminent de la première ligne : Gare Saint-Jean/Saint-Aubin
Après trois ans de travaux, la première ligne reliant la Gare Saint-Jean à Saint-Aubin-de-Médoc sera opérationnelle au printemps. Cependant, des retards sont à prévoir dans la livraison des bus électriques prévus, repoussant l’expérience tout confort d’un an.
CHU/Thouars/Malartic : prochaine phase de développement
Le réseau prévoit un tronc commun de 6,5 kilomètres à partir de l’hôpital Pellegrin, avec deux branches vers les quartiers de Thouars et de Malartic. L’enquête publique est prévue à l’automne 2024, suivie d’une déclaration d’utilité publique espérée en mars 2025.
Lire la suite : https://www.bougerabordeaux.com/author/leatarozzi/
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Avec ses véhicules à 5 € par jour, Covoit Job rend la mobilité accessible à tous
acte.fr - Par Océane Sainte-Marthe
Publié le 11 Février 2024
La mobilité peut être une problématique en milieu rural. Alors, pour permettre aux personnes privées de moyens de locomotion de louer un véhicule à bas prix, il a créé Covoit Job.
Covoit Job est parti d’un constat, celui du manque de moyens de transport sur le territoire.
« Je suis travailleur social depuis 2017 à Champagnole, j’ai vite remarqué que la problématique c’était le déplacement parce que des trains et des bus il n’y en a pas beaucoup, à moins de partir aux aurores et de rentrer très tard », explique Adel El Haddadi.
Dans le but de maintenir l’emploi, cet assistant social au centre communal d’action sociale (CCAS) de Champagnole, a donc créé Covoit Job.
Une association qui permet aux personnes dans la précarité ou dont la situation actuelle ne permet pas la réparation ou l’achat d’un véhicule et privées de moyen de locomotion, de louer une voiture à un prix très avantageux.
« 90 % des personnes qui louent sont en emploi »
« Au départ je voulais créer un garage solidaire, mais c’est compliqué de gérer les réparations, donc j’ai préféré mettre en place ce système de mise à disposition de véhicules, accessible à tous. »
En effet, Covoit Job n’est pas réservé aux personnes en situation précaire.
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Utiliser sa carte bleue pour payer son trajet en transports en commun, c'est désormais possible à Toulouse
france3-regions.francetvinfo.fr - Par Marion Meyer
Publié le 12 février 2024
Dès ce lundi 12 février, les voyageurs de Tisséo peuvent valider leur titre de transport avec leur carte bancaire. Le réseau de transports toulousain entend offrir une alternative au traditionnel ticket de transport en papier.
Courir pour franchir les portes du bus juste avant qu'elles ne se referment et réaliser finalement ne pas avoir de ticket ou suffisamment de monnaie pour payer. Ce n'est désormais qu'un mauvais souvenir. A partir de ce lundi 12 février, il est possible de régler ses trajets par carte bancaire sans contact dans tous les bus de Toulouse, mais aussi sur la ligne Téléo, dans toutes les stations de métro et de tramway. Les voyageurs peuvent également choisir d'utiliser leur smartphone ou leur montre connectée.
Comment ça marche ?
Service expérimenté dans la navette aéroport
Au total, plus de 1.650 nouveaux valideurs ont été installés sur tout le réseau Tisséo.
Depuis juillet 2022, les voyageurs de la navette aéroport avaient pu expérimenter ce service. Selon un communiqué de Tisséo, la "validation du support par carte bancaire représente 35 % des validations". Le service se pérennise donc sur cette ligne.
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Un nouveau Plan des Mobilités pour préparer l'avenir des transports jusqu'en 2030
Publié le 12 février 2024
Connaître le futur de vos déplacements en Île-de-France, ça vous tente ? On décrypte le Plan des Mobilités 2030 qu'Île-de-France Mobilités vient juste de dévoiler. Un plan en 14 axes d'action pour répondre aux enjeux de mobilité durable.
Le saviez-vous ? C’est Île-de-France Mobilités qui est chargée d’imaginer et de planifier le futur des mobilités en Île-de-France.
Et justement, le Plan des Mobilités 2030 vient de sortir. De grandes ambitions pour une Île-de-France mobile et durable pour tous, qu'on vous propose de décrypter ensembl.
Le Plan des Mobilités en Île-de-France, en quoi ça vous concerne ?
Le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030 est le successeur du Plan de déplacements urbains d'Île-de-France (PDUIF) : un plan stratégique qui organisait les mobilités dans la région et en fixait les grandes lignes directrices pour la période de 2010 à 2020.
La nouvelle version, présentée le 6 février 2024 au conseil d'administration d'Île-de-France Mobilités, renouvelle et renforce pour cinq ans, les ambitions en matière d'utilisation des transports en commun et de solutions de mobilité plus durables.
L'objectif ? Répondre efficacement aux enjeux environnementaux et sanitaires actuels (qualité de l'air, sécurité routière, etc).
Avec le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030, la Région Île-de-France sera la première région de France sur le chemin de la neutralité carbone en 2050 !
Un projet à plusieurs mains : qui participe à l'élaboration du Plan des Mobilités en Île-de-France ?
La mise en œuvre du Plan des Mobilités en Île-de-France engage tous les acteurs régionaux de la mobilité : Île-de-France Mobilités,la région Île-de-France, les départements, les intercommunalités, les communes, l'État, mais aussi les opérateurs de transports et de mobilités ou les acteurs du transport de marchandise, par exemple.
Des ateliers de travail et des consultations en ligne ont également permis des échanges avec les associations et les acteurs économiques du territoire, leur donnant la parole, sur leurs attentes.
Au total, ce sont près de 120 organismes qui se sont exprimés pour l'élaboration du Plan des Mobilités en Île-de-France 2030.
Le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030 : 14 axes d'action pour répondre aux enjeux de mobilité durable
Lire la suite : https://www.iledefrance-mobilites.fr/actualites/plan-des-mobilites-ile-de-france-2030
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Gratuité des transports : les bus ne seront plus payants d'ici début 2025 dans l'agglomération de Lens-Liévin
france3-regions.franctvinfo.fr - Écrit par Noëlle Hamez
Publié le 13 février 2024
Un mois après les annonces de la CAHC (Communauté d'agglomération Hénin-Carvin), c'est au tour de la CALL (Communauté d'agglomération Lens-Liévin) d'annoncer la gratuité de ses transports en commun d'ici 2025, pour inciter ses habitants à délaisser la voiture et à se tourner vers les mobilités douces.
Une décision annoncée discrètement lors d'une conférence jeudi 8 février 2024, qui promet pourtant de changer l'horizon des transports en commun du Pas-de-Calais, d'ici seulement quelques mois. C'est en tout cas ce que prévoit Sylvain Robert, président de la CALL (Communauté d'agglomération Lens-Liévin), en projetant la gratuité des transports en commun dans l'agglomération lensoise d'ici fin 2024, début 2025. Un projet porté depuis longtemps par les élus communistes du secteur.
La décision de la CALL avait été précédée par celle de la CAHC, la Communauté d'agglomération Hénin-Carvin, qui annonçait fin décembre 2023 son intention de ne plus faire payer ses transports d'ici au 1er janvier 2025.
"Le nouveau cahier des charges d'Artois Mobilités (gestionnaire des transports du Bassin minier) prévoit entre autres le passage à la gratuité sur le périmètre des trois agglomérations d'ici 2026. Je n'ai fait qu'avancer la date d'entrée en vigueur pour mon agglomération", expliquait alors le président de la CAHC, Christophe Pilch, rejoint depuis ce jeudi par son homologue de Lens-Liévin.
► À lire aussi : "Payer le bus est un réel frein pour nos habitants" : l'agglomération Hénin-Carvin annonce adopter la gratuité des transports d'ici 2025
Ancrer les mobilités douces dans l'agglomération
Identité numérique
Généralisation de l’application France Identité et lancement du permis de conduire numérique
interieur.gouv.fr - Communiqué
Publié le 13 février 2024
Le 14 février, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, a annoncé la généralisation de l’application France Identité et l’arrivée du permis de conduire numérique dans France Identité. Cette initiative s’inscrit dans la volonté de proposer des services de justification d’identité numérique aux Français et de simplifier leurs usages.
La généralisation d’une application lancée en mode « bêta » en mai 2022
L’application France identité est un service qui permet de prouver son d’identité. L’application est gratuite et facultative. Elle fonctionne grâce à la nouvelle carte d’identité.
Elle n’a pas vocation à remplacer la carte d’identité et les démarches déjà existantes mais à offrir de nouvelles alternatives aux Français qui le souhaitent.
L’application France Identité fonctionne en mode « bêta » depuis le 11 mai 2022 sur Android et depuis le 13 octobre 2022 sur iOS. Ce processus s’inscrit dans une démarche transparente, inclusive et de co-construction avec les usagers et l’écosystème pour garantir une solution au plus près de leurs attentes. Actuellement, 100 000 personnes l’utilisent et peuvent :
• générer un justificatif d’identité à usage unique : alternative à la photocopie d’identité, ce service permet à l’utilisateur de produire des justificatifs signés électroniquement pour prouver son identité et éviter les fraudes.
• s’authentifier sur FranceConnect : l’application permet de se connecter avec sa carte d’identité pour avoir accès aux services disponibles sur FranceConnect.
À compter de ce jour, France Identité devient accessible à tous ceux qui le souhaitent, le nombre d’utilisateurs n’étant plus restreint. Il suffit de télécharger l’application en allant sur :
• Pour rappel, pour utiliser France Identité, il faut :
• Posséder la nouvelle carte d’identité (format carte bancaire) ;
• Être majeur ;
• Avoir un téléphone Android 8 minimum et disposant de la technologie NFC ou d’un iPhone iOS 16 minimum.
L’arrivée d’un nouveau titre : le permis de conduire numérique
Lire la suite : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/communiques-de-presse/generalisation-de-lapplication-france-identite-et-lancement-du
Intelligence artificielle
Fin du monde IA : il révèle 5 façons dont les robots peuvent nous détruire
lebigfztz.fr - Par Elina. S
Publié le 13 février 2024
L’IA peut-elle vraiment détruire l’humanité ? Les théories et les visions divergent, mais pour cet expert IA américain, l’homme lui-même pourrait développer une IA qui risque de décimer la race humaine. Voici selon cet expert, 5 façons dont l’IA et les robots pourraient nous détruire.
1.Une IA avec des capacités illimitées, un vrai danger
Ben Eisenpresse, un expert IA américain, partage ses craintes par rapport au développement fulgurant de l’IA. Les conséquences de ce boom, dit-il, peuvent se retourner contre les créateurs de la technologie, contre les humains en l’occurrence.
Dans de nombreux cas, l’IA peut être dangereuse en sachant que la technologie n’a ni conscience, ni morale, ni sensibilité. Si en plus les développeurs lui confèrent des capacités illimitées, le danger est réel.
Le philosophe suédois Nick Bostrom a imaginé un cas pour illustrer ce postulat. Supposons dit-il que nous demandons à un robot de produire des trombones. Il en produira à l’infini si personne ne l’éteint. L’IA peut vite devenir incontrôlable, même avec les instructions les plus simples.
2.Les armes biologiques
En soi, l’IA n’est pas dangereuse. Ce que les humains peuvent créer avec l’intelligence artificielle, comme les armes biologiques, c’est cela le vrai danger. « À court terme, le bioterrorisme grâce à l’IA est peut-être l’une des menaces les plus graves liées au développement incontrôlé de l’IA », déplore Eisenpresse.
Rishi Sunak, le premier ministre britannique a aussi tiré la sonnette d’alarme sur ce sujet. Lors du premier sommet mondial de l’IA qui s’est tenu à Londres (à Bletchley Park) au mois de novembre dernier, il appelle à une extrême prudence par rapport aux armes biologiques assistées par l’IA.
Les experts eux-mêmes avertissent que les acteurs malveillants peuvent détourner les outils d’IA conçus pour les recherches pharmaceutiques. Ces outils pourraient leur permettre de découvrir et de déployer des molécules toxiques. Les terroristes sont capables de réutiliser ces outils pour mener des attaques chimiques.
3. Une IA libre et un risque de perte totale de contrôle
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/ia-fin-du-monde
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Les députés incitent l'administration à se saisir pleinement de l'intelligence artificielle générative
banquedesterritoires.fr - par Oivlier Devillers, pour Localtis
Publié le 16 février 2024
La mission d'information de la commission des lois a présenté le 14 février 2024 son rapport sur l'intelligence artificielle générative. Les députés incitent l'administration à se saisir pleinement du sujet et recommandent de faire de la Cnil l'autorité en charge de l'intelligence artificielle.
Face à un sujet aussi vaste que l'intelligence artificielle générative (IAG), Philippe Pradal (Horizons) et Stéphane Rambaud (RN) ont décidé de concentrer leurs travaux sur l'impact de cette technologie sur la protection de la vie privée et des droits d'auteurs. Un "périmètre qui s'est révélé bien restreint", la cinquantaine d'auditions menées ces huit derniers mois par la mission ayant été l'occasion de soulever de multiples questions autour de la souveraineté, de l'emploi ou encore de la culture et de l'éducation. Le premier constat des parlementaires est que le phénomène de l'IAG est "difficile à circonscrire". Si aujourd'hui elle produit surtout des textes et des images, elle pourrait générer à l'avenir "des choses que même les auteurs de science-fiction ne peuvent imaginer". Autre mise au point : l'IAG est capable de créer en quelques secondes une dissertation qui sera bien notée par un professeur, mais ne comprend aujourd'hui pas ce qu'elle énonce… L'IAG repose en effet sur un système "probabiliste" et génère des contenus à partir de bases de connaissances créées par des humains.
Identifier les usages dans les administrations
Les députés constatent ensuite que la percée fulgurante de l'IAG repose avant tout sur des acteurs privés, essentiellement américains. Les députés déplorent "l'attentisme" de beaucoup d'administrations interrogées. La gendarmerie nationale se révèle être une des rares administrations en pointe. L'IAG sert ainsi à vieillir les traits de personnes recherchées. Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/les-deputes-incitent-ladministration-se-saisir-pleinement-de-lintelligence-artificielle-generative?pk_campaign=Flux%20RSS&pk_kwd=2024-02-16&pk_source=Actualit%C3%A9s%20Localtis&pk_medium=RSS
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Après META, Google inaugure un centre dédié à l’intelligence artificielle à Paris
frenchweb.fr - Par AFP
Publié le 15 février 2024
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Google va inaugurer son nouveau centre de recherche et développement en intelligence artificielle (IA) jeudi à Paris, en présence de son PDG Sundar Pichai, du ministre de l’Économie Bruno Le Maire ou encore de la secrétaire d’Etat chargée du Numérique Marina Ferrari.
Après une première implantation à Paris en 2018, Google va rassembler dans ce nouveau « hub » plus de 300 chercheurs et ingénieurs contribuant au développement de ses produits, YouTube et le navigateur Chrome.
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Google n’est pas le seul grand nom de la tech à investir dans l’intelligence artificielle à Paris.
En 2015, Facebook y a ouvert son grand laboratoire FAIR (Facebook artificial intelligence research), sous l’impulsion du chercheur français Yann Le Cun, expert de Meta et pionnier du « machine learning » qui a fondé l’IA moderne. Son premier de la sorte hors des Etats-Unis.
Le japonais Fujitsu, le coréen Samsung et l’américain IBM ont eux aussi ouvert des centres de recherche dans la capitale française.
Lire la suite : https://www.frenchweb.fr/apres-meta-google-inaugure-un-centre-dedie-a-lintelligence-artificielle-a-paris/447113
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Intelligence artificielle : à Paris, « il se passe quelque chose en ce moment »
lemonde.fr - Par Alexandre Piquard
Publié le 12 février 2024
Reportage. Dans une atmosphère effervescente, une série de jeunes pousses françaises rêve de se tailler une place auprès des géants américains, dont sont souvent issus leurs fondateurs.
Une start-up se démarre dans un garage en Californie… ou dans le jardin d’un hôtel particulier parisien du Marais qui appartint à Jacques Necker, ministre de Louis XVI, et vit naître sa fille, Mme de Staël. C’est au bord d’une pelouse bordée d’une fontaine et de hautes colonnes doriques que se trouvent les trois pièces de l’hôtel d’Hallwyll occupées par Kyutai, un nouveau centre de recherche en intelligence artificielle (IA).
Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Xavier Niel, Rodolphe Saadé et l’ex-PDG de Google lancent un laboratoire d’intelligence artificielle
Arrivés mi-janvier, les six membres de l’équipe n’ont pas encore de chauffage mais déjà une kitchenette neuve. Sous l’imposante charpente de la pièce principale fraîchement repeinte en blanc, un silence studieux. Debout à son bureau, le directeur technique, Laurent Mazaré, fait face à deux écrans remplis de lignes de code multicolores. Il arbore un large sourire, une paire de Crocs verts aux pieds et un sweatshirt à capuche DeepMind, la renommée filiale d’IA de Google où il a travaillé.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/02/12/a-paris-la-scene-de-l-ia-est-en-effervescence_6216072_3234.html
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Pour sécuriser l'IA, les Etats-Unis créent un consortium
lemondeinformatique.fr - Par Grant Gross, IDG NS (adaptation Jean Elyan)
Publié le 12 Février 2024
Plus de 200 entreprises et organismes américains participeront à l'AI Safety Institute Consortium. Sa mission sera d'élaborer des lignes directrices pour garantir la sécurité des systèmes d'IA.
Si l’UE a pour habitude de réglementer (cf la récente approbation de l’IA Act), les Etats-Unis préfèrent laisser le marché se réguler. Et c’est bien ce qui prévaut dans la création de l’AI Safety Institute Consortium (AISIC). Cette structure, soutenue par le gouvernement américain, sera chargé de mettre en place des garde-fous pour l'utilisation et le développement de l'IA. Annoncé en fin de semaine dernière par le Département du Commerce, le consortium fait partie du NIST (National Institute of Standards and Technology et comprend plus de 200 entreprises et organismes. Parmi ses membres figurent Amazon.com, l'université Carnegie Mellon, l'université Duke, la Free Software Foundation et Visa, de même que plusieurs grands développeurs d'outils d'IA, dont Apple, Google, Microsoft et OpenAI.
Le consortium « veillera à ce que l'Amérique soit en tête de peloton » dans la définition des normes de sécurité de l'IA tout en encourageant l'innovation, a déclaré la secrétaire américaine au commerce, Gina Raimondo, dans un communiqué. « Ensemble, nous pouvons relever ces défis pour développer les mesures et les normes dont nous avons besoin pour maintenir l'avantage concurrentiel de l'Amérique et développer l'IA de manière responsable », a-t-elle ajouté.
Une nécessaire réglementation sur l’IA
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-pour-securiser-l-ia-les-etats-unis-creent-un-consortium-92942.html
Catastrophes naturelles
Comment s'organisent les communes, collectivités locales et assureurs face aux catastrophes naturelles ?
france3-regions.francetvinfo.fr - Par Hélène Frouet, Caroline Hubert et Lionel Golzalez-Renois
Publié le 11 février 2024
Sécheresse, inondations, séisme… En Poitou-Charentes, ces catastrophes ont fait de gros dégâts. Certaines remontent à plus de six mois, mais pour les sinistrés, rien n’a changé depuis.
La Quotidienne des Régions
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Cette semaine, l'émission Dimanche en Politique est consacrée aux catastrophes naturelles qui ont touché le Poitou-Charentes ces derniers mois. Sécheresse, inondations, séisme… Des catastrophes qui ont fait de gros dégâts. Certaines remontent à plus de six mois, mais pour les sinistrés, rien n’a changé depuis…
Trois invités pour cette émission :
On est très inquiet pour nos habitants. Dans les rues inondables de Saintes, certaines maisons sont invendables et ne sont plus assurables. Bruno Drapron, Maire de Saintes
Désinformation
La France, l’Allemagne et la Pologne s’unissent contre la désinformation russe
lepoint.fr - Par LL avec AFP
Publié le 12 février 2024
Pour lutter contre la désinformation venant de la Russie, les trois pays dévoileront une nouvelle coopération ce lundi 12 février, ainsi que « des preuves » d’attaques qui ont été commises.
Les ministres des Affaires étrangères de Paris, Berlin et Varsovie se réunissent ce lundi 12 février près Lde la capitale. Au programme : la lutte contre la désinformation venant de la Russie et le soutien accru à l'Ukraine.
Les trois homologues Stéphane Séjourné, Annalena Baerbock et Radoslaw Sikorski se réunissent au château de La Celle-Saint-Cloud, en banlieue parisienne, lieu historique et propriété du ministère des Affaires étrangères qui accueillit autrefois la reine Elizabeth II et la « First Lady » Jacqueline Kennedy.
Lundi, la France, l'Allemagne et la Pologne dévoileront une nouvelle coopération contre les opérations étrangères de désinformation, venant notamment de Russie, a annoncé ce week-end Stéphane Séjourné. En outre, les ministres feront conjointement état de nouvelles attaques informationnelles lancées par Moscou contre les trois pays.
« Des opérations dormantes »
« Nos trois pays ont été victimes de la même stratégie de déstabilisation. Lundi, on fera des annonces sur une nouvelle coopération contre la désinformation et des attaques informationnelles russes », a déclaré Stéphane Séjourné dans un entretien au quotidien régional français Ouest-France, paru samedi.
Lire la suite : https://www.lepoint.fr/monde/la-france-l-allemagne-et-la-pologne-s-unissent-contre-la-desinformation-russe-12-02-2024-2552181_24.php
CNIL
Les contrôles de la CNIL en 2024 : données des mineurs, Jeux Olympiques, droit d’accès et tickets de caisse dématérialisés
cnil.fr - Communiqué
Publié le 08 février 2024
Chaque année, une partie des contrôles de la CNIL s’inscrit dans le cadre de thématiques prioritaires qu’elle définit. En 2024, elle se concentrera sur les données des mineurs, les fichiers liés aux Jeux Olympiques et Paralympiques, les tickets de caisse dématérialisés et programmes de fidélité, ainsi que le droit d’accès des personnes.
Chaque année, la CNIL conduit des centaines de contrôles (340 en 2023) qui font suite à des plaintes, des signalements de violations de données ou sont en lien avec l’actualité.
La CNIL définit également des thématiques prioritaires afin d’orienter sa politique de contrôle sur des sujets à fort enjeux pour le public et pour évaluer la conformité des secteurs choisis. Ces thématiques représentent en moyenne 30 % des contrôles effectués.
Les thématiques de contrôles prioritaires en 2024
Collecte de données dans le cadre des Jeux Olympiques et Paralympiques
Dans le cadre de cette manifestation internationale de grande envergure, plusieurs millions de spectateurs et des milliers d’athlètes sont attendus en France. Des dispositifs importants de sécurité seront déployés justifiant que la CNIL vérifie le strict usage qui en sera fait. Des contrôles portant sur la mise en place de codes QR pour les zones à accès restreints, les habilitations d’accès et l’utilisation de caméras augmentées seront ainsi menés.
Au-delà de cet aspect sécuritaire, la CNIL s’intéressera également au volet plus commercial des JO et notamment à la collecte de données opérée dans le cadre des services de billetterie. Au regard de la volumétrie des personnes concernées et du nombre de partenaires de l’évènement qui pourraient se voir transmettre les données, il apparaît nécessaire de s’assurer des conditions dans lesquelles est opérée cette collecte en vérifiant les informations communiquées, les destinataires des données ou encore les mesures de sécurité déployées.
Données des mineurs collectées en ligne
Les mineurs sont exposés de plus en plus jeunes aux réseaux sociaux, sites de rencontre ou plateformes de jeux en ligne. Ce phénomène peut conduire à une collecte massive d’informations sur leur identité, préférences ou habitudes de vie et avoir par la suite des répercussions non négligeables sur leur intimité, leur bien-être psychique ou leur avenir socioprofessionnel.
Lors de ses investigations, la CNIL vérifiera notamment, sur les applications et sites les plus prisés des enfants et adolescents, si des mécanismes de contrôle de l’âge sont mis en œuvre, quelles mesures de sécurité sont prévues et si le principe de minimisation des données est respecté.
Programmes de fidélité et tickets de caisse dématérialisés
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/les-controles-de-la-cnil-en-2024-donnees-des-mineurs-jeux-olympiques-droit-dacces-et-tickets-de
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Durée de conservation et sécurité des données : la CNIL sanctionne la société PAP d’une amende de 100 000 euros
cnil.fr - Communiqué
Publié le 13 février 2024
Le 31 janvier 2024, la CNIL a prononcé une sanction de 100 000 euros à l’encontre de la société PAP qui édite le site pap.fr (De Particulier à Particulier), notamment pour ne pas avoir respecté ses obligations en matière de durée de conservation des données et de sécurité des données.
PAP est une société qui édite le site pap.fr permettant aux particuliers de consulter et de publier des annonces immobilières.
En mars et avril 2022, la CNIL a procédé à deux contrôles de la société. Lors de ses investigations, elle a relevé des manquements concernant les durées de conservation des données, l’information des personnes, l’encadrement des relations entre PAP et un sous-traitant, ainsi que la sécurisation des données.
En conséquence, la formation restreinte – organe de la CNIL chargé de prononcer les sanctions – a prononcé une amende de 100 000 euros au regard des manquements au règlement général sur la protection des données (RGPD). Cette amende a été prise en coopération avec les autorités de contrôle européennes concernées* dans le cadre du guichet unique, le site web de PAP ayant des visiteurs dans plusieurs États membres de l’Union européenne ainsi qu’en Norvège.
Le montant de cette amende a été déterminé au regard des manquements retenus, de la coopération de la société et des mesures qu’elle a prises au cours de la procédure pour se mettre en conformité sur certains manquements qui lui étaient reprochés.
* Belgique, Espagne, Portugal, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Irlande, Grèce, Suède, Autriche, Finlande, Danemark, Pologne et la Norvège en tant qu’Etat membre de l’Espace économique européen.
Les manquements sanctionnés
Un manquement à l’obligation de conserver les données pour une durée limitée à l’objectif recherché (article 5.1.e du RGPD)
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/duree-de-conservation-et-securite-des-donnees-la-cnil-sanctionne-la-societe-pap-dune-amende-de-100
Cybersécurité
Cybersécurité : une bataille numérique d’influence pour la France ?
radiofrance.fr - Par
Publié le 11 février 2024
À l'approche des élections européennes et des Jeux Olympiques, quels sont les grands défis de la France en termes de cybersécurité ?
Avec
Plusieurs séquences au sommaire de "Soft Power" : en première partie d'émission, les actualités culturelles et numériques qui ont marqué la semaine ; puis un hommage à Robert Badinter avec Jack Lang et Sophie Bouchet-Petersen ; un grand entretien avec Fanny Forgeau, directrice générale de Yogosha et Arnaud Coustilière, président du Pôle d'excellence cyber et un échange avec Paul Charon autour des stratégies d'influences chinoises. (à partir de 1h12min. dans le podcast).
Cybersécurité : une bataille numérique d’influence pour la France ?
Le gouvernement veut faire de la France un pays souverain et fort dans tous les domaines de cybersécurité, a annoncé vouloir tripler le chiffre d'affaires de la filière et multiplier par deux le nombre d'emplois. L'installation du Campus Cyber dans la tour Eria à La Défense, regroupant services de renseignements, centres de recherches, entreprises et startups, dénote l'envie de rayonnement de la France au-delà des frontières.
Mais à l'approche des élections européennes et des Jeux Olympiques, les menaces de cyberattaques sont plus présentes que jamais.
Vice-amiral d'escadre (2S) Arnaud Coustillière, président du Pôle d’excellence Cyber, et co-auteur de Soldat de la cyberguerre (éd. Tallandier) et Fanny Forgeau, directrice générale de Yogosha reviennent sur les grands défis qui ont marqué la France et ceux qui l'attendent.
Les stratégies d'infiltrations chinoises, un moment machiavélien
Lire la suite : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/soft-power/cybersecurite-une-bataille-numerique-d-influence-pour-la-france-1728705
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Cybersécurité : un vaste réseau de propagande russe épinglé par les autorités françaises
Publié le 12 Février 2024
L'organisme français de lutte contre les ingérences numériques étrangères Viginum a publié un rapport ce lundi répertoriant 193 sites de propagande russe.
La propagande numérique russe épinglée. Ce lundi, l'organisme français de lutte contre les ingérences numériques étrangères Viginum a publié un rapport qui répertorie un réseau « structuré et coordonné de propagande russe » ciblant des pays européens et les Etats-Unis pour légitimer la guerre contre l'Ukraine. Selon l'organisme français, les contenus de ces 193 sites internet sont susceptibles de « porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ».
Ces derniers « ne produisent aucun contenu original mais relaient massivement des publications issues en majorité de comptes de réseaux sociaux d'acteurs russes ou pro-russes, des agences de presse russes et des sites officiels d'institutions ou d'acteurs locaux », expliquent les auteurs.
Des hackeurs russes soupçonnés d'être derrière une attaque de la Suède
Une tentative de manipulation par le biais du numérique qui rappelle la cyberattaque de grande ampleur qui a perturbé pendant plusieurs jours la Suède, fin janvier et dont des hackeurs russes sont soupçonnés d'être à l'origine.
Un centre de données, du groupe de services informatiques suédo-finlandais Tietoevry, avait été pris pour cible. Cinémas, grands magasins et autres boutiques... Il était impossible pour les Suédois d'effectuer des achats en ligne dans certaines enseignes.
Thales
Thales alenia space fournira des équipements pour la mission neo surveyor de la nasa
Publié le 13 Février 2024
Ces équipements de communication sont destinés à la mission Neo Surveyor de la Nasa, dont le lancement est prévu en 2028 et qui sera chargée de détecter les géocroiseurs, notamment les astéroïdes et comètes à la fois brillants et sombres, susceptibles d’entrer en collision avec la Terre.
Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67%) et Leonardo (33%), a signé un contrat avec Ball Aerospace, maître d’œuvre industriel, pour la fourniture d’équipements de communication destinés à la mission Neo Surveyor (Near-Earth Object Surveyor) de la Nasa. Cette mission de défense de notre planète, dont le lancement est prévu en 2028, sera chargée de détecter les géocroiseurs, notamment les astéroïdes et comètes à la fois brillants et sombres – ce sont les plus difficiles à trouver – susceptibles d’entrer en collision avec la Terre et de causer des dégâts. Produits sur les sites de Thales Alenia Space à Madrid, Toulouse et Charleroi, ces équipements permettront de transmettre à la Terre les télémesures du satellite et les images prises par le télescope spatial, qui seront déployés dans le cadre de cette mission.
L’objectif principal de cette mission de cinq ans est de renforcer les moyens de défense de notre planète contre les géocroiseurs, en particulier les astéroïdes et comètes situés dans un rayon de 50 millions de kilomètres de l’orbite terrestre. La mission Neo Surveyor implique le déploiement d’un télescope spatial infrarouge dont l’objectif est de détecter et caractériser au moins les deux tiers des géocroiseurs ayant un diamètre supérieur à 140 mètres, susceptibles d’infliger des dégâts significatifs en cas d’impact avec la Terre.
Lire la suite : https://vipress.net/thales-alenia-space-fournira-des-equipements-pour-la-mission-neo-surveyor-de-la-nasa/
Mobilité
Aide à la mobilité urbaine
unimes.fr - Communiqué
Publié le 7 février 2024
Dans le cadre de sa politique d'accompagnement des étudiants, l’université de Nîmes lance son opération d’aide à la mobilité urbaine.
L’université a investi dans l’achat de vélos à assistance électrique, vélos de ville et vélos pliants. Cette action de prêt de vélos aux étudiants prend place dans un panel de services et d’aides proposées aux étudiants de l’université de Nîmes afin de faciliter leur vie universitaire et préserver leur pouvoir d’achat.
Economique, écologique, temps de déplacement en ville réduit, l’université de Nîmes s’engage depuis plusieurs années à encourager l’usage du vélo pour les trajets entre les campus et les résidences universitaires en multipliant les aires de stationnement dédiés sur ses sites et en organisant régulièrement des ateliers de réparation de vélos avec l’association nîmoise Croco Vélo. L’installation de bornes de réparation en libre-service sur les sites de l’établissement vient compléter les services proposés par l’établissement en faveur de ce mode de transport à faible impact environnemental.
Prêts de vélo aux étudiants
A vos marques, prêts, roulez !
L'université de Nîmes lance son opération de prêts de vélos à partir du mois de février 2024 en s'engageant en faveur des déplacements doux.
Osez la mobilité douce ! Nous vous accompagnons pour aller plus loin !
Lire la suite : https://www.unimes.fr/fr/vie-de-campus/aide-a-la-mobilite-urbaine.html
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Colas réalisera la ligne B du tram de Brest ainsi que la ligne D du BHNS
Publié le 9 février 2024
Colas fait partie des deux groupements auxquels la Société publique locale BMa a attribué les marchés de construction de la deuxième ligne du tramway de Brest (ligne B) et de la première ligne de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS), désignée ligne D, dans le cadre du projet « Mon réseau grandit » de Brest métropole. Le montant total de ces deux contrats s’élève à 83 millions d’euros et la mise en service du projet global est prévue pour début 2026.
D’une longueur de 5,1 km, la ligne B du tramway desservira 11 arrêts entre la gare de Brest et le CHRU de La Cavale Blanche, en passant par le quartier de Bellevue. Le groupement constitué de Colas Projects, Colas Rail, Colas France (Territoire Ouest et Génie Civil) et Aximum réalisera les travaux de pose de la voie ferrée et ceux d’infrastructures « de façade à façade » de cette deuxième ligne, à raccorder à la ligne A, qu’elle croisera dans le centre de Brest.
Lire la suite : https://www.lettreducheminot.fr/actualites/colas-realisera-la-ligne-b-du-tram-de-brest-ainsi-que-la-ligne-d-du-bhns/
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Argent. Une grande nouveauté arrive sur le réseau Tisséo de Toulouse : voici laquelle
actu.fr - Par David Saint-Sernin
Publié le 9 Février 2024
Utiliser le réseau Tisséo sans ticket, ni carte d'abonnement, cela va être possible dès le lundi 12 février 2024. La validation du trajet pourra se faire avec une carte bancaire.
« En un seul geste, votre voyage est payé et validé : rien de plus simple ! ». C’est la promesse de Tisséo à ses usagers.
Lundi 12 février 2024, une grande nouveauté débarque sur le réseau de transports en commun de Toulouse : pour voyager occasionnellement sur le réseau Tisséo, il n’y aura plus besoin d’acheter un ticket ou de détenir une carte Pastel, explique Tisséo à Actu Toulouse qui poursuit.
« La nouvelle offre sera disponible dans le métro, au tramway, dans les bus et lors des trajets avec Téléo. Chaque usager pourra l’utiliser bien que le service soit destiné à des usagers occasionnels ».
La carte bancaire devient le ticket de transport
« La carte bancaire sans contact, un smartphone ou une montre connectée peuvent devenir un ticket de transport à partir de lundi. 1 500 valideurs ont été équipés pour que les voyageurs puissent payer directement leur voyage avec leur carte bancaire, ou même avec leur smartphone, grâce au paiement NFC ».
La validation du titre de transport directe, avec le sans contact de votre carte bancaire, ne sera valable que pour un seul trajet.
« C’est un service avant tout destiné aux voyageurs de passage, ou aux professionnels qui prennent occasionnellement le métro », avait expliqué il y a quelques mois à Actu Toulouse, Franck Lesens, directeur des systèmes d’information et de l’innovation chez Tisséo.
Comment cela va fonctionner ?
Lire la suite : https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/argent-une-grande-nouveaute-arrive-sur-le-reseau-tisseo-de-toulouse-voici-laquelle_60675020.html
Fonction Publique
Fonction publique : la réforme des rémunérations et des carrières va enfin être relancée
capital.fr - Par Sarah Asali, Cheffe de rubrique emploi et formation professionnelle
Publié le 09 février 2024
Stanislas Guerini vient d’être reconduit au ministère de la Transformation et de la Fonction publiques. De quoi lui permettre de reprendre en main le vaste chantier de la réforme de la fonction publique.
«Enfin un ministre pour la Fonction publique.» L’annonce de la reconduction de Stanislas Guerini au ministère de la Transformation et de la Fonction publiques, ce jeudi 8 février lors de la deuxième vague de nominations du gouvernement Attal, aura le mérite de satisfaire les syndicats. «L’Unsa Fonction publique connaît son interlocuteur», salue Luc Farré, le secrétaire général de l’organisation, sur Twitter. Depuis la première salve de nominations de ministres, le 11 janvier dernier, Stanislas Guerini - à qui le président de la République avait promis une reconduction - attendait d’être fixé sur son sort.
C’est donc désormais chose faite. Et à peine renommé ministre de la Fonction publique, Stanislas Guerini a déjà la lourde charge de relancer la vaste réforme de la fonction publique, un projet déjà engagé lorsqu’il faisait partie du gouvernement Borne. «Je poursuis le travail pour tous nos agents publics, ceux qui nous protègent et nous soignent, ceux qui s’occupent de nos enfants, de nos aînés, de nos concitoyens en difficulté, et aussi tous ceux qui sont derrière un guichet, dans des services administratifs, qui font vivre au quotidien nos services publics», a-t-il promis sur Twitter, ce jeudi.
Lire la suite : https://www.capital.fr/votre-carriere/fonction-publique-la-reforme-des-remunerations-et-des-carrieres-va-enfin-etre-relancee-1491885
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Le regard des français sur les services publics : satisfaction, jugement sur leur financement par les impôts et attentes
ifop.com - en partenariat avec TF1
Sondage publié le 09 février 2024
La question des moyens et de l’efficacité des services publics s’invitant régulièrement dans l’actualité politique et médiatique, l’Ifop pour TF1 a mené une enquête qui interroge les Français sur leur satisfaction et leurs attentes à leur égard mais également sur la question de leur financement.
S’agissant de la satisfaction, les Français donnent à voir un rapport ambivalent aux services publics. En effet, le taux de satisfaction globale s’avère plutôt partagé avec 49% de personnes satisfaites contre 51% exprimant un avis contraire. Dans le détail, bien que le professionnalisme des agents soit reconnu par les Français (71% sont satisfaits de leur courtoisie et 65% de leurs qualités professionnelles), le respect des délais apparaît comme le « point noir » des services publics avec 43% de satisfactions, soit le taux le plus bas derrière la qualité de la réponse à la demande et le suivi du dossier (59%) ou encore le traitement de la demande (58%), dimension qui recueille pourtant une satisfaction majoritaire.
Concernant la répartition et l’utilisation de l’argent par les services publics, les Français se montrent plus réservés et des disparités de perception apparaissent selon qu’on les interroge sur tel ou tel service de l’état. Le sentiment que les impôts, nerf de la guerre quand il s’agit de services publics, sont bien utilisés n’est partagé que par une minorité de personnes (entre 32% et 33%).
Mais derrière cette vue du haut se cachent des jugements très différents selon les secteurs. Ainsi, alors que 59% des Français pensent que l’argent public est bien utilisé par l’armée, les services publics les plus à la traine recueillent quant à eux des taux bien plus bas : 32% de citations pour le logement social et France Travail, 29% pour l’hôpital.
Intelligence artificielle
Les États-Unis créent un consortium pour lutter contre les risques de l’IA avec 200 entreprises technologiques
siecledigital.fr - Par Zacharie Tazrout
Publié le 9 février 2024
Une initiative qui fait suite au décret signé par le président américain Joe Biden en octobre dernier.
Gina Raimondo, secrétaire au Commerce des États-Unis, a annoncé le 7 février, la création du consortium AI Safety Institute (AISIC), affilié au National Institute of Standards and Technology (NIST). En tout, plus de 200 entreprises technologiques l’ont rejoint afin de soutenir le déploiement de l’intelligence artificielle (IA) en toute sécurité, et faire face aux risques liés à son développement.
Grands groupes et start-up réunis pour tendre vers une IA plus responsable
Dans un communiqué, Gina Raimondo a rappelé que « le gouvernement américain a un rôle important à jouer dans l’établissement des normes et le développement des outils dont nous avons besoin pour atténuer les risques et exploiter l’immense potentiel de l’intelligence artificielle ». L’Administration Biden a donc fait appel à de nombreux groupes spécialisés dans l’IA générative ou dont les activités sont liées à cette technologie, pour l’aider dans sa tâche.
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Bruno Le Maire a réaffirmé la volonté de la France de se positionner comme leader européen de l’IA
siecledigital.fr - Par Julia Guinamard
Publié le 9 février 2024
Le discours de Bruno Le Maire a réaffirmé la volonté de la France de se positionner comme leader européen de l’IA.
À l’occasion du World AI Cannes Festival qui se déroule jusqu’au 10 février, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a partagé ses « convictions et ambitions » sur l’intelligence artificielle (IA). Le ministre a affirmé que « la France est la première nation en Europe sur l’IA » et, rappelant que l’Europe a vu naître l’imprimante de Gutenberg, le continent doit rester « un espace de rupture technologique et d’audace ».
Le discours de ce vendredi 9 février a été marqué par la volonté de relancer le chantier de l’union des marchés de capitaux en Europe et de poursuivre celui d’un marché européen unique de la donnée. Deux mesures visant à soutenir le progrès dans l’IA et sortir de la dépendance aux technologies américaines et chinoises.
Une coopération économique pour des supercalculateurs
Durant la déclaration d’une trentaine de minutes, Bruno Le Maire n’a pas résisté à l’envie de lancer une pique sur l’Union européenne (UE). « Réguler, réguler, réguler… Réguler c’est bien, innover c’est mieux », avant de nuancer, « Il vaut mieux réguler une innovation que nous maîtrisons que de réguler une technologie que nous ne maîtrisons pas ».
Lire la suite : https://siecledigital.fr/2024/02/09/bruno-le-maire-a-reaffirme-la-volonte-de-la-france-de-se-positionner-comme-leader-europeen-de-lia/
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Réchauffement climatique : et si l’intelligence artificielle aidait à lutter contre la crise ?
science-et-vie.com -Par Virginie Hilssonne Levy
Publié le 04 Février 2024
Dans les domaines de l’entreprise, la santé, de l’éducation. Cette technologie de pointe pourrait aussi aider à atténuer les effets du changement climatique. La preuve en deux exemples.
Par le fait qu’elle augmente les capacités de certaines des industries les plus polluantes, l’Intelligence artificielle est souvent pointée du doigt pour son impact sur l’environnement. Pour autant, l’IA pourrait aussi être utilisée pour lutter contre le réchauffement climatique.
C’est en tout cas l’objectif du nouvel outil baptisé ClimateGPT et présenté dans un communiqué comme « le premier ensemble open source de modèles d’IA dédié à la gestion de l’impact rapide du changement climatique ». Conçu par Ekimetrics, une organisation dédiée à la création de solutions d’IA pour le changement climatique, un outil en ligne d’intelligence artificielle du type agent conversationnel vise à aider les chercheurs, les décideurs politiques et les chefs d’entreprise à prendre des décisions éclairées pour assurer un avenir durable.
Plus besoin de passer des heures à lire des études, ce “Chat GPT du climat” répond à toutes les questions en un clic : Vaut-il mieux arrêter la viande ou la voiture ? Quelles sont les principales causes du dérèglement climatique ? Pourquoi l’Accord de Paris est-il si important ?…
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Ethique de l’IA : 8 géants de la Tech s’engagent à appliquer la Recommandation de l’UNESCO
unesco.org - Communiqué
Publié le 05 février 2024
GSMA, INNIT, Lenovo Group, LG AI Research, Mastercard, Microsoft, Salesforce et Telefonica ont signé ce jour un engagement inédit pour bâtir une intelligence artificielle (IA) plus éthique. Ces entreprises mettront en œuvre les valeurs et les principes de la Recommandation de l'UNESCO sur l’éthique de l’intelligence artificielle à chaque étape de la conception et du déploiement de leurs systèmes d'IA.
Téléchargez la lettre d’engagement des entreprises (anglais).
En novembre 2021, l’ensemble des États membres de l’UNESCO a adopté le tout premier cadre éthique mondial pour l'utilisation de l'intelligence artificielle. Aujourd'hui, nous franchissons une nouvelle étape majeure en obtenant le même engagement concret de la part de grandes entreprises mondiales. J'appelle tous les acteurs de la Tech à suivre leur exemple. L’alliance des secteurs publics et privés est essentielle pour développer une IA qui soit au service du bien commun.
Audrey Azoulay - Directrice générale de l'UNESCO
L'accord a été signé à Kranj, en Slovénie, lors du deuxième Forum mondial de l'UNESCO sur l'IA. Les signataires s’engagent à assumer pleinement leur rôle dans la protection des droits humains, lors de la conception, du développement, de l'achat, de la vente et de l'utilisation de l'IA. C'est la première fois que des entreprises s'engagent auprès des Nations unies dans ce domaine
Il stipule notamment que des procédures de vérification devront être mises en place pour s’assurer que les normes de sécurité soient respectées, que les effets néfastes de l’IA soient identifiés et que des mesures visant à les limiter et à les corriger soient mises en place dans un délai raisonnable, en respectant les législations nationales.
Lire la suite : https://www.unesco.org/fr/articles/ethique-de-lia-8-geants-de-la-tech-sengagent-appliquer-la-recommandation-de-lunesco
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IA générative : Google va renommer Bard en Gemini et lancer une app dédiée
usine-digitale.fr - Célia Séramour
Publié le 05 février 2024
Une note ayant fuité révèle que Google se prépare à renommer Bard en Gemini. A la clé, une application dédiée et un chatbot intégré dans ses services. Une version payante avec des fonctions avancées fait également son apparition dans un grand nombre de pays avec un modèle dédié appelé Ultra 1.0.
Une note de Google ayant fuité révèle l'arrivée d'une version Advanced de Gemini – payante – et un nouveau modèle d'IA baptisé Ultra 1.0.
Bard va bénéficier d'une refonte de son image. L'assistant de recherche conversationnel développé à l'origine à partir de LaMDA va en effet changer de nom pour s'appeler Gemini, en référence au nom du nouveau modèle multimodal de Google, lancé pour concurrencer GPT-4 d'OpenAI. Un document publié par Dylan Roussel, développeur d'applications Android, a fuité sur X, daté au 7 février avec pour intitulé "Bard is now Gemini" (Bard est désormais Gemini).
Il est indiqué dans la note que "Gemini est le meilleur moyen d'accéder directement à Google Al. Toutes les fonctionnalités collaboratives que vous connaissez et aimez sont toujours là et continueront de s'améliorer à l'ère Gemini". Derrière ce changement de nom, il y a surtout l'arrivée de fonctionnalités supplémentaires. Sont ainsi dévoilés une version Advanced de Gemini – payante – et un nouveau modèle d'IA baptisé Ultra 1.0.
Avec ce modèle, Gemini Advanced est "capable de traiter des tâches bien plus complexes incluant le codage, le raisonnement logique, le suivi d'instructions détaillées et la collaboration créative", peut-on lire plus bas dans le document.
Gemini Advanced disponible dans plus de 150 pays
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Meta identifie les images générées par une IA
lemondeinformatique.fr - Par Anirban Ghoshal, IDG NS (adapté par Dominique Filippone)
Publié le 08 Février 2024
Anirban Ghoshal, IDG NS (adapté par Dominique Filippone)
Dans la jungle des réseaux sociaux, il est parfois compliqué voire impossible de déceler les contenus générés par une intelligence artificielle. Meta a créé une fonction pour détecter qu'une vidéo ou un fichier audio a été créé par l'IA de Google, OpenAI ou d'Adobe et le faire savoir lors d'un partage.
Meta travaille au développement d'outils pour identifier des images produites synthétiquement par des systèmes d'IA générative à l'échelle de ses plateformes de médias sociaux, telles que Facebook, Instagram et Threads, a déclaré l'entreprise mardi. « Nous avons travaillé avec des partenaires de l'industrie pour nous aligner sur des normes techniques communes qui signalent qu'un contenu a été créé à l'aide d'une IA. Le fait de pouvoir détecter ces signaux nous permettra d'étiqueter les images générées par l'IA que les utilisateurs publient sur Facebook, Instagram et Threads », a écrit Nick Clegg, président des affaires mondiales chez Meta, dans un billet de blog.
« Nous développons actuellement cette capacité et, dans les mois à venir, nous commencerons à appliquer des étiquettes dans toutes les langues prises en charge par chaque application », a ajouté Nick Clegg. La décision de détecter les images générées par une IA par des entreprises telles que Google, OpenAI, Adobe, Shutterstock et Midjourney prend tout son sens dans la mesure où, en 2024, plusieurs élections auront lieu dans plusieurs pays, dont les États-Unis, l'Union européenne, l'Inde et l'Afrique du Sud. Cette année, Meta en apprendra davantage sur la manière dont les utilisateurs créent et partagent le contenu généré par l'IA et sur le type de transparence que les internautes jugent utile, indique Nick Clegg. La déclaration de Nick Clegg sur les élections rappelle le scandale Cambridge Analytica, mis au jour par le New York Times et The Observer en 2018, qui a vu les données Facebook d'au moins 50 millions d'utilisateurs compromises. Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-meta-identifie-les-images-generees-par-une-ia-92909.html?utm_source=ActiveCampaign&utm_medium=email&utm_campaign=NL+LMI+Quoti+09022024&ep_ee=3fcc643f8aec2046b1312981b11de1224ea8db2b&vgo_ee=BJZQpsIHDDIxadXK8GotSmeQQ30Abd6ea7NnFE8LJauvGrTxl5us%3A%2Frtzdd6jrDV%2BiRCtX9o%2BMu5OsYOTwvrG
Sécurité
Alliance autour de la cryptographie post-quantique
lemondeinformatique.fr - Dominique Filippone,
Publié le 07 Février 2024
La fondation Linux a lancé une alliance pour la cryptographie post-quantique (PQCA) pour promouvoir l'avancement et l'adoption de la cryptographie post-quantique. AWS, Cisco, Google, IBM et Nvidia font partie de ses membres.
Il ne fait plus aucun doute que l'informatique quantique va bouleverser les usages futurs de l'informatique. Mais les questions se posent sur la sécurité adossée à cette évolution et les cyberpirates ne manquent pas d'efforts pour se préparer à casser cette architecture. Consciente de ces enjeux, la Fondation Linux a annoncé un groupement de plusieurs acteurs IT, AWS, Cisco, Google, IBM et Nvidia ainsi que d'autres organismes comme IntellectEU, Keyfactor, Kudelski IoT, QuSecure, SandboxAQ, et l'Université de Waterloo qui vont travailler sur ce sujet. Baptisée PCQA (post-quantum cryptography alliance), cette initiative « vise à être la base pour les entreprises et les projets open source sur des bibliothèques et des paquets prêts pour la production, afin de soutenir leur alignement sur l'avis de cybersécurité de l'Agence nationale de sécurité des États-Unis concernant la Commercial National Security Algorithm Suite 2.0 », a expliqué la fondation Linux.
La PQCA s'engagera dans divers projets techniques pour soutenir ses objectifs, y compris le développement de logiciels pour l'évaluation, le prototypage et le déploiement de nouveaux algorithmes post-quantiques. En fournissant ces implémentations logicielles, la fondation Linux espère faciliter l'adoption pratique de la cryptographie post-quantique dans différents secteurs. Plusieurs membres du PQCA ont joué un rôle clé dans la normalisation de la cryptographie post-quantique à ce jour, notamment en tant que co-auteurs des quatre premiers algorithmes sélectionnés dans le cadre du projet de normalisation de la cryptographie post-quantique du NIST (CRYSTALS-Kyber et CRYSTALS-Dilithium, Falcon et SPHINCS+).
Un projet clé fondé à l'université de Waterloo dès 2014
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Plaintes en ligne, identité numérique : les grands chantiers numériques du ministère de l'Intérieur sur le point d'aboutir
maire-info.com - Par Franck Lemarc
Publié le 08 février 2024
En Conseil des ministres, hier, le ministre de l'Intérieur a fait le point sur l'avancée des chantiers numériques de son ministère, en particulier le dossier de l'identité numérique.
Curieuse période que cette sorte de long entre-deux pendant lequel un demi-gouvernement gère les affaires courantes en attendant l’annonce de la deuxième partie du remaniement, repoussée de jour en jour. Avec, en conséquence, des Conseils des ministres éclairs, depuis le début janvier, sans présentation de textes majeurs – sans faire offense au projet de loi d’accord entre la France et la Papouasie-Nouvelle-Guinée présenté hier.
En attendant, les ministres peuvent au moins présenter des « communications » sur des sujets de long terme. C’est ce qu’a fait Gérald Darmanin hier, avec une communication sur « la transformation numérique du ministère de l’Intérieur ».
Plaintes en ligne
Le numérique est en effet « au centre des préoccupations stratégiques » du ministère, avec des moyens conséquents, puisque quelque 7 milliards d’euros seront consacrés à ce sujet dans les cinq ans à venir.
Identité numérique
Confiance et identité numérique : ce que la version 2024 du règlement eIDAS va changer
solutions-numériques.com - Par Pierre Feligioni, CEO de Signaturit
Publié le 07 février 2024
AVIS D’EXPERT – En 2014, l’Europe a adopté le Règlement eIDAS (Electronic Identification And Trust Services) qui établit un ensemble de normes dédiées à l’identification électronique et aux services de confiance pour les transactions électroniques au sein de l’Union européenne. Une nouvelle version du règlement, eIDAS V2, vient compléter le texte d’origine, mais surtout détermine les nouveaux services de confiance. Par Pierre Feligioni, CEO de Signaturit Group, plateforme SaaS de signature électronique, cachet électronique et horodatage.
Le règlement eIDAS, dans sa version 2014, définissait des services de confiance bien précis, qu’ils soient qualifiés ou non par le superviseur national (l’ANSSI pour la France). Ceux-ci incluaient la création et délivrance de certificats qualifiés de signatures ou de cachets électroniques, la validation et préservation de signatures et cachets, l’horodatage, l’envoi de recommandé électronique, l’authentification qualifiée de site internet. Cependant, depuis dix ans, les pratiques et besoins ne cessent d’évoluer. Si les transactions en ligne maintiennent leur progression, la pandémie de 2020 a, de son côté, généralisé l’adoption du numérique en entreprise, et le risque cyber, comme les fraudes ou l’usurpation d’identité, ont gagné du terrain grâce à une sophistication accrue. C’est pourquoi une révision du texte est aujourd’hui nécessaire. Cette nouvelle version du règlement eIDAS, appelée eIDAS V2, vient ainsi compléter le texte d’origine, mais surtout détermine les nouveaux services de confiance, et régir le wallet européen, dont le lancement est prévu dès 2025. Un décryptage de cette évolution et de ce qu’elle implique pour les entreprises s’impose.
Encadrement de la signature avancée, de la signature et du cachet qualifié à distance
Le Règlement eIDAS, dans sa version d’origine, déterminait trois niveaux de signature : simple, avancée et qualifiée. Dans sa nouvelle version, le texte prévoit également d’indiquer les exigences de sécurité et les normes applicables que devront respecter les signatures avancées pour prétendre à un tel niveau de sécurité au sein de l’UE.
Elles devront établir un lien univoque avec le signataire et permettre de l’identifier. Les moyens qui permettront de les créer seront sous le contrôle exclusif du signataire (téléphone, PC,etc.). Enfin, elles garantiront qu’aucune modification de l’acte signé ne pourra être effectuée.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/confiance-et-identite-numerique-ce-que-la-version-2024-du-reglement-eidas-va-changer/
5G
Inédit : Avec cette série spéciale, la 5G d'Orange s'affiche à un prix jamais vu
Par Maxime Blondet publié le 09/02/2024 à 12h27
Si ce forfait 5G est aussi intéressant, c'est parce qu'il est à un prix sans limite de durée.
Pour avoir la 5G Orange, il n'y a pas 36 solutions. Il y en a trois en tout et pour tout. Vous pouvez souscrire un forfait YouPrice ou un forfait Sosh, qui sont les deux seuls MVNO à proposer des abonnements compatibles avec le nouveau réseau mobile déployé par Orange. Ils sont à des tarifs attractifs mais ne permettent pas de bénéficier des mêmes services, avec par exemple un service client uniquement en ligne alors que celui d'Orange est joignable par téléphone ou qu'il est possible de se rendre en boutique. Voilà pourquoi de nombreuses personnes préfèrent encore l'original à la copie.
Le problème c'est que Orange n'a pas la réputation d'être particulièrement attractif niveau prix.
A quels prix sont les forfaits 5G d'Orange ?
Dans la gamme habituelle de forfaits Orange, quatre abonnements permettent d'avoir la 5G :
Lire la suite : https://www.degrouptest.com/actualite/inedit-avec-cette-serie-speciale-la-5g-d-orange-s-affiche-a-un-prix-jamais-vu
Biométrie
L’émergence des deepfakes, un défi majeur pour la sécurité biométrique
Le Monde Numérique - Par Adam
Publié le 3 février 2024
Dans un contexte où les deepfakes font de plus en plus parler d’eux, les organisations sont amenées à reconsidérer leurs mesures de sécurité face à l’habileté croissante de ces contrefaçons numériques. Décryptage.
Décidément, les deepfakes font particulièrement parler d’eux en ce début d’année 2024. Il faut dire que si les avancées technologiques récentes ont apporté d’innombrables bénéfices, elles ont également ouvert la porte à de nouvelles menaces, notamment les fameux deepfakes. Ces contrefaçons sophistiquées, générées par l’IA, soulèvent des inquiétudes croissantes concernant la sécurité biométrique. On en veut pour preuve la tempête médiatique récemment soulevée par de fausses vidéos pornographiques de Taylor Swift, qui ont au moins eu le mérite de faire bouger le législateur américain. Mais la menace représentée par les deepfakes ne s’arrête pas à l’utilisation fallacieuse de l’image des célébrités. En effet, l’utilisation de l’intelligence artificielle pour créer des images ou des vidéos hyper-réalistes rend difficile la distinction entre le vrai et le faux. Cette capacité à tromper peut par ailleurs leurrer les systèmes de sécurité biométrique, et plus particulièrement la reconnaissance faciale. Ce qui ne manque pas de susciter une inquiétude croissante. La prolifération de ces contrefaçons sophistiquées pourrait entraîner une remise en question de l’efficacité des outils d’authentification et de vérification de l’identité.
Lire la suite : https://lemondenumerique.ouest-france.fr/lemergence-des-deepfakes-un-defi-majeur-pour-la-securite-biometrique/
Transparence de la vie publique
Recours aux cabinets de conseil : les dépenses des grandes collectivités finalement encadrées par les députés
maire-info.com - Par A.W
Publié le 5 février 2024
Alors qu'ils avaient jugé préférable, en commission, de traiter la question des collectivités dans « un texte à part », les députés ont finalement donné raison au gouvernement. Au grand dam des associations d'élus et des sénateurs.
Le recours aux cabinets de conseil sera finalement encadré pour les collectivités locales. En tout cas, les plus grandes d’entre elles.
Le gouvernement est ainsi parvenu, jeudi dernier, à convaincre les députés de les intégrer dans le champ de la proposition de loi visant à encadrer l'intervention des cabinets de conseil privés dans les politiques publiques. Et ce, malgré les réticences des rapporteurs du texte, qui étaient parvenus à les laisser en dehors de ce texte, lors des discussions en commission.
Adopté, en première lecture à l’Assemblée, celui-ci a donc été uniquement rejeté par le groupe Horizons allié du camp présidentiel, tandis que LFI et une partie des LR ont préféré s’abstenir.
42 communes et 145 EPCI concernés
« J’éprouve un sentiment mitigé. D’un côté, je suis soulagé que le texte ait enfin été (...) au terme de sa discussion dans l’hémicycle. De l’autre, je ressens une certaine frustration face à des choix selon moi inopportuns, notamment de la part du gouvernement », a fait part le député communiste du Cher, Nicolas Sansu. Également co-rapporteur de la proposition de loi, il s’était opposé, en commission, à l’ajout des collectivités à ce texte, selon les mêmes modalités que l’État, avant de céder, dans l’hémicycle, par souci de compromis.
Fonction publique
Lutte contre les violences sexistes et sexuelles : un appel à projet pour accompagner les employeurs territoriaux
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Publié le 6 février 2024
Le Fonds national de prévention (FNP) de la Caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales (CNRACL) lance un appel à projets sur la prévention des violences sexistes et sexuelles. Les employeurs territoriaux ou hospitaliers ont jusqu'au 10 avril pour candidater.
Selon une enquête de l'Institut national d'études démographiques (Ined) publiée en 2018, 12 % des femmes et 2 % des hommes déclarent avoir été victimes de harcèlement sexuel au cours des 12 derniers mois dans leur emploi actuel. Représentant 20 % de l'emploi en France, la fonction publique se doit d'être exemplaire en la matière.
Depuis plusieurs années, et notamment depuis 2018, les employeurs publics ont mis en place des dispositions de signalement, de traitement et de suivi des violences sexistes et sexuelles comme prévu dans la circulaire du 9 mars 2018 relative à la lutte contre les violences sexuelles et sexistes dans la fonction publique.
De plus, pour « assurer un traitement égal à tous les agents publics, l’article 80 de la loi du 6 août 2019 de transformation de la Fonction publique prévoit la mise en place obligatoire de dispositifs de signalement, traitement et sanction des violences sexistes et sexuelles au travail, et de plans d’actions relatifs à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans l’ensemble des administrations ». Le décret du 13 mars 2020 oblige les employeurs territoriaux à élaborer un dispositif permettant de recueillir les signalements des victimes et des témoins de telles situations.
Désinformation
Sur les réseaux, le rude combat des médecins contre la désinformation
Publié le 9 février 2024
«On n’a pas le droit se taire»: la violente altercation sur les réseaux entre Booba et le Dr Barrière sur la vaccination anti-Covid n’a pas découragé les médecins et chercheurs qui combattent la désinformation médicale en ligne, une lutte pourtant inégale, aux effets incertains.
Rerme-la, assassin!» : ce fut la réponse sur X de Booba aux arguments scientifiques du Dr Jérôme Barrière expliquant que le lien établi entre le vaccin Covid et la maladie de Creutzfeldt-Jacob ne repose «sur aucune donnée scientifique». D’un côté, une star aux 6,3 millions de followers, adoubé d’un «petit frère» affectueux par Didier Raoult dont il relaie les opinions. De l’autre, un oncologue exerçant près de Nice, insulté et menacé par les fans du rappeur.
Un lourd tribut à payer pour le médecin, en croisade contre les fake news depuis 2020 «gratuitement», sur son «temps libre», a-t-il expliqué dans l’Express, quelques jours après la publication d’une tribune dans le même journal.
“Perte d’autorité”
Dans ce texte, les blouses blanches dénoncent ceux qui veulent «semer la confusion et la peur dans le grand public», notamment sur la vaccination, et appellent à défendre «le camp de la santé contre toute forme d’obscurantisme».
“En tant que scientifique, le débat m’intéresse.
Le problème c’est quand les gens ne sont pas rationnels”
Parmi les signataires figure Mathieu Molimard, président de la Société française de pharmacologie, qui dénonce les «fake news» du Pr Raoult comme les prescriptions du Dr Frédéric Saldmann, «médecin des stars» aux traitements miracles contestés. Comme la plupart des «chevaliers blancs» de l’information médicale, le Pr Molimard a commencé à sortir du confort de la communication institutionnelle en mars 2020: «Notre mission en tant que société savante était de communiquer sur ce qu’on savait.» Il publie «des faits de pharmacovigilance, notamment sur l’hydroxychloroquine». En retour, il reçoit des messages haineux comme cette menace anonyme sur X: «prudence en rentrant chez toi, déchet de l’humanité». «Effectivement c’est inquiétant, c’est un problème de manque de régulation des réseaux sociaux», réagit-il, «mais on n’a pas le droit de se taire». Il prône une certaine distance face aux «haters» et regrette les abus de langage de certains confrères, assurant de son côté n’avoir «jamais prononcé la moindre insulte sur X».
Lire la suite : https://www.lunion.fr/id567288/article/2024-02-09/sur-les-reseaux-le-rude-combat-des-medecins-contre-la-desinformation
CNIL
Vol de données : plus de 33 millions de personnes concernées par des cyberattaques contre deux spécialistes du tiers payant, annonce la Cnil
francetvinfo.fr - Par franceinfo
Publié le 07 février 2024
Viamedis et Almerys ont pour mission de gérer le tiers payant des complémentaires santé. L'état civil, la date de naissance et le numéro de sécurité sociale font partie des informations dérobées aux assurés sociaux lors des attaques.
La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) annonce l'ouverture d'une enquête, mercredi 7 février, après le récent piratage de deux opérateurs du tiers payant, Viamedis et Almerys. Elle évoque une violation "d'ampleur", puisque les données de 33 millions de personnes sont concernées. "La Cnil a été informée par [ces sociétés] de l’attaque informatique dont [elles] ont été victimes fin janvier", précise un communiqué. Ces opérateurs ont pour mission de gérer le tiers payant des complémentaires santé. "Les données concernées sont, pour les assurés et leur famille, l’état civil, la date de naissance et le numéro de sécurité sociale, le nom de l’assureur santé ainsi que les garanties du contrat souscrit."
En revanche, poursuit la Cnil, les informations bancaires, les données médicales, les remboursements santé, les coordonnées postales, les numéros de téléphone ou encore les courriels "ne seraient pas concernées par la violation". A ce stade, l'organisme n'est pas encore en mesure d'indiquer quels assurés sont concernés. Il renvoie vers "les complémentaires santé qui font appel aux sociétés piratées", et qui doivent informer "les bénéficiaires concernés comme le prévoit le règlement général sur la protection des données (RGPD)".
Une intrusion dans la plateforme de Viamedis
La présidente de la Cnil, Marie-Laure Denis, "a décidé de mener très rapidement des investigations afin de déterminer notamment si les mesures de sécurité mises en œuvre préalablement à l’incident et en réaction à celui-ci étaient appropriées au regard des obligations du règlement général sur la protection des données".
Début février, Viamedis, qui a déposé une plainte auprès du procureur de la République, avait indiqué avoir déconnecté sa plateforme de gestion après la découverte de l'intrusion, ce qui n'empêchait pas les assurés de bénéficier du tiers payant. Son directeur général, Christophe Candé, avait expliqué qu'il ne s'agissait pas d'une attaque par rançongiciel mais d'une intrusion dans la plateforme. "Le compte d'un professionnel de santé a été hameçonné", avait-il alors révélé.
RGPD
Participation à des orgies perverses : Trump joue la carte RGPD, ça ne marche pas
Lebigdata.fr - Par Elina S.
Publié le 4 février 2024
Quelques jours seulement avant son investiture en 2017, Donald Trump a eu la mauvaise surprise de voir son nom apparaître dans un rapport alléguant qu’il avait participé à des orgies perverses en Russie. Face à de telles accusations,Trump a porté l’affaire devant les tribunaux de Londres, faisant valoir ses droits à la protection des données personnelles en vertu du RGPD. La plainte vient d’être rejetée par la cour.
Christopher Steele vs Donald Trump : l’ancien président invoque le RGPD
Christopher Steele, ancien membre de MI 6 (services secrets britanniques), a écrit un rapport d’une trentaine de pages sur certains agissements de Donald Trump. Dans ce rapport, Steele allègue que l’ancien président des États-Unis a participé à des orgies perverses en Russie. La publication intervient quelques jours avant l’investiture de Trump en 2017.
Le dossier Steele, publié par le site BuzzFeed en 2017, affirmait que Trump s’était livré à des agissements sexuels, donnant aux autorités russes des éléments pour le faire chanter. De nombreuses allégations n’ont jamais été fondées selon les avocats de Trump qui ont déclaré dans un dossier judiciaire que le rapport était « manifestement inexact ».
Steele, qui travaille désormais dans le privée en tant que directeur de l’agence de conseil Orbis Business Intelligence, était jusqu’ici sous le coup d’une plainte pour diffamation. Trump a en effet porté plainte contre lui, affirmant que ces allégations sont « fausses ou inventées ».
Dans sa plainte, Trump invoque ses droits à la vie privée et à la protection des données personnelles, comme stipulées dans le RGPD. Il précise qu’il n’avait pas eu le temps d’intenter une action en justice au Royaume-Uni avant 2023. Il explique en effet avoir tout simplement été pris par sa fonction de président.
La plainte de Trump rejetée par la cour britannique
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/trump-rgpd
Cybersécurité
Un campus en sécurité IT et data science bientôt installé à Vannes
lemondeinformatique.fr - Par Véronique Arène
Publié le 08 février 2024
La ville de Vannes, en Bretagne, va se doter d'un campus universitaire dédié aux sciences des données et à la cybersécurité, prévu pour 2025. Ce projet vise à former mille étudiants de l'IUT et de l'Ensibs, l'école d'ingénieurs de l'Université Bretagne-Sud, sur l'ex-site de la Chambre de commerce et d'industrie.
Un projet de campus numérique a été initié par la ville de Vannes (Morbihan). Implanté au sein du Parc d’innovation de Bretagne Sud (PIBS), ce site réunira en 2025 les étudiants des départements science des données (SD) et informatique de l’IUT (Institut universitaire de technologie) de la ville, ainsi que ceux de l’école d’ingénieurs (Ensibs) de l’Université de Bretagne-Sud (UBS) suivant les spécialités « cyberdéfense » et « informatique et cybersécurité ». L’objectif est d’assurer la formation aux data et à la sécurité de 1 000 jeunes, dont une majorité d’alternants avec des parcours allant du Bac+3 (BUT ou licences professionnelles) à Bac+5 (diplômes d’ingénieur). Des offres pour les professionnels seront également accessibles par la voie de la formation continue. De plus, l’installation d’un centre d'entraînement de gestion de crise et de simulation d'attaques informatiques mettra les étudiants en situation.
En parallèle, des synergies contribueront à alimenter les collaborations entre les formations universitaires technologiques, les laboratoires de recherches et les entreprises environnantes de l’agglomération, qu’elles soient déjà matures ou en phase d’incubation. Ce projet, dont le coût financier est estimé à 16 millions d’euros, s’inscrit dans le cadre du contrat de Plan Etat-région 2021-2027. Il bénéficie de financements de l’Etat, de la région Bretagne, du département du Morbihan, de l’UBS et de golfe du Morbihan-Vannes agglomération, qui assure en outre le portage des travaux et la maîtrise d’ouvrage avant cession à l’UBS. Il sera abrité dans un espace d’une surface de 4 300 m², jusqu’alors occupé par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Morbihan.
Une région ouverte au développement de start-ups
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-un-campus-en-securite-it-et-data-science-bientot-installe-a-vannes-92917.html
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Microsoft ouvre une 6e école de cybersécurité à Rennes avec Simplon
lemondeinformatique.fr - Véronique Arène
Publié le 09 Février 2024
Avec le concours de l'école d'informatique solidaire Simplon, Microsoft France vient d'installer un 6e campus à Rennes dédié à l'apprentissage de la sécurité IT. Une première promotion de 11 apprenants suit un parcours en alternance de 19 mois reconnu par l'Etat, sans condition de diplômes ni de ressources financières. En inaugurant mardi dernier, une première école en sécurité informatique dans la région Grand Ouest, Microsoft France et son partenaire Simplon poursuivent le développement de leur formations IT solidaires sur le territoire. Depuis le 11 décembre 2023, le campus tout juste installé du réseau « Cyber Microsoft by Simplon » à Rennes accueille 11 apprenants demandeurs d’emploi ou en reconversion professionnelle. La promotion rennaise, dont l’âge moyen est de 30 ans, se caractérise par la diversité des profils la composant. Ont été sélectionnés un apprenant de niveau inférieur au bac, deux titulaires du bac, cinq d’un bac +2, un d’un bac +3 et deux d’un bac +5/doctorat. A noter que huit d’entre eux sont en reconversion professionnelle.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-microsoft-ouvre-une-6e-ecole-de-cybersecurite-a-rennes-avec-simplon-92932.html
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Détection temps réel des ransomwares : repenser la protection des données pour renforcer la résilience de l'entreprise
journaldunet.com - Chronique de Siham Eisele ZERTO
Des solutions capables de détecter le chiffrement du malware à son stade le plus précoce permettront de récupérer les données en quelques secondes avec les meilleurs objectifs de RTO et de RPO.
Si les attaques ransomware sont ultra rapides, chiffrant les données ciblées en moins de 60 minutes, il faut sept jours en moyenne aux entreprises pour les détecter selon Mandiant Inc. A la traîne vis-à-vis des pirates, les organisations se retrouvent ainsi en cas d’attaque dans une posture de sécurité dite réactive, s’appuyant sur leurs différentes sauvegardes pour reconstruire les applications critiques. Bien entendu, si ces sauvegardes n’ont pas pour autant été compromises elles aussi ! Des solutions capables de détecter le chiffrement du malware à son stade le plus précoce permettront de récupérer les données en quelques secondes avec les meilleurs objectifs de temps de récupération (RTO) et de point de récupération (RPO).
Capables de paralyser les opérations d'une organisation, les attaques ransomware s’amplifient depuis plusieurs années avec notamment l'essor des plateformes de ransomware-as-a-service (RaaS) qui démocratisent ces attaques, en permettant de les lancer en quelques clics et sans expertise en hacking particulière. En 2023, plus de 72% des entreprises ont été touchées selon Statista, avec des temps moyen de récupération des données et applications critiques de 22 jours jusqu’à plusieurs mois.
Blockchain
Qu'est-ce que la disponibilité des données (data availability) d'une blockchain ?
La disponibilité des données, ou data availability joue un rôle déterminant dans le fonctionnement d'une blockchain. Cependant, ce mécanisme se complexifie avec l'émergence des blockchains modulaires et des layer 2, où des méthodes de vérification plus élaborées sont nécessaires. Zoom sur cette notion fondamentale et les solutions innovantes mises en place pour résoudre les défis qu'elle présente.
cryptoast.fr - Par Clément Wardzala
Publié le 10 février 2024
Sommaire
1 C'est quoi la data availability d'une blockchain ?
2 Le problème de la disponibilité des données
3 Comment résoudre le problème de la disponibilité des données ?
C'est quoi la data availability d'une blockchain ?
La disponibilité des données sur une blockchain, ou « data availability », désigne la capacité de tous les nœuds du réseau à accéder et à vérifier l'intégralité des transactions d'un bloc.
Dans le cas des nœuds complets d'une blockchain de layer 1 comme Ethereum, cela implique le téléchargement de toutes les données de chaque bloc et que ces données soient disponibles de manière permanente pour permettre le téléchargement. Si un bloc manque de données, il est rejeté plutôt que d'être ajouté à la blockchain.
Toutefois, pour les blockchains modulaires comme Celestia, les blockchains de layer 2 et les nœuds légers, la situation est plus complexe, nécessitant des méthodes de vérification plus élaborées.
Le problème de la disponibilité des données
Lire la suite : https://cryptoast.fr/disponibilite-donnees-data-availability-blockchain/
Atos
France. L’Etat ne laissera pas tomber Atos-Le Maire aux Echos
zonebourse.com - Reportage par Zhifan Liu
Publié le 05 février 2024
PARIS, 5 février (Reuters) - L'Etat français ne laissera pas tomber les activités industrielles d'Atos et les dizaines de milliers d'emplois que le groupe de services informatiques en grandes difficultés financières représente, a déclaré lundi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire au journal Les Echos.
« Nous ne laisserons pas tomber les activités industrielles d'Atos qui représentent des dizaines de milliers d'emplois », a déclaré Bruno Le Maire, qui s'exprimait pour la première fois sur le sujet.
Atos a annoncé lundi la nomination d'un mandataire ad hoc pour encadrer ses discussions avec ses banques en vue de parvenir à un plan de refinancement de sa dette financière après avoir prévenu que son projet d'augmentation de capital était devenu caduc.
"L'Etat utilisera tous les moyens à sa disposition pour préserver les activités stratégiques d'Atos", a ajouté le ministre de l'Economie, qui assure que ses services sont "en contact régulier" avec la direction d'Atos et dit suivre le dossier "très attentivement".
Atos discute avec Airbus du rachat de son activité Big Data & Security (BDS). Les deux sociétés sont dans la phase de "due diligence", a indiqué le groupe français.
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Point de Marché
atos.net - Communiqué
Publié lr 5 février 2024
Dans le prolongement du point du 3 janvier 2024, Atos SE (« Atos » ou la « Société ») met à jour le marché sur son plan de refinancement et ses projets de cession.
Plan de refinancement
Atos a engagé des discussions avec ses banques en vue de parvenir à un plan de refinancement de sa dette financière.
A la suite de ces premiers échanges, il est apparu utile, afin d’encadrer ces discussions et de faciliter une issue rapide, de solliciter la désignation d’un mandataire ad hoc.
Le mandataire ad hoc est un tiers indépendant qui aurait notamment pour mission d’assister la Société dans ses échanges, en vue de converger vers une solution financière adéquate dans les meilleurs délais, dans l’intérêt de la Société.
Le mandat ad hoc est une procédure amiable permettant de conduire des négociations dans un cadre confidentiel. Le mandat ad hoc ne concernerait que la dette financière de la Société et serait sans incidence sur les salariés, clients et fournisseurs du groupe.
Par ailleurs, comme annoncé le 3 janvier 2024, la première extension de 6 mois du prêt à terme A (term loan) de 1,5 milliard d’euros a pris effet le 29 janvier 2024.
Projets de cession et d’augmentation de capital
Comme il a été indiqué lors du point de marché du 3 janvier 2024 :
• Les discussions avec EPEI sur la cession de Tech Foundations se poursuivent (y compris concernant les conditions pour libérer EPEI de son obligation d’entrer au capital), sans certitude qu’elles aboutissent à un accord.
• La Société est en phase de due diligence avec Airbus dans le cadre de la cession éventuelle de son activité BDS (Big Data & Security).
Aussi et compte tenu de l’évolution du contexte du marché, les conditions de réalisation du projet d’augmentation de capital avec droits préférentiels de souscription de 720 millions d’euros ne sont plus réunies et l’engagement de garantie accordé par BNP Paribas et J.P. Morgan n’est plus en vigueur.
Atos informera le marché en temps utile de l’avancée des discussions avec ses banques, de son nouveau plan de refinancement, de ses projets de cession, ainsi que de la possible évolution de sa structure de capital qui pourrait entraîner une dilution des actionnaires existants, en fonction de l’accord sur la structure de refinancement.
Lire sur : https://atos.net/fr/2024/communiques-de-presse_2024_02_05/point-de-marche-3
Thales
Thales obtient pour la première fois la note "a" de la part du cdp pour sa transparence et ses bonnes pratiques en matière de lutte contre le changement climatique
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 06 février 2024
Paris - Thales confirme sa place parmi les entreprises les plus transparentes et engagées dans la lutte contre le changement climatique en rejoignant la Climate A-List du CDP (anciennement « Carbon Disclosure Project »).
Le classement annuel du CDP est reconnu comme la référence mondiale pour les organisations en matière de transparence environnementale, de sensibilisation et de gestion des risques liés au changement climatique. Il récompense également les meilleures pratiques mises en place.
Thales est l'une des 346 entreprises à avoir obtenu un "A" parmi les 21 000 entreprises notées en 2023 dans le monde.
Cette note reflète l’engagement proactif du Groupe sur le sujet du changement climatique depuis de nombreuses années, la solidité de ses actions en matière de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, et la constance de sa stratégie pour un futur bas-carbone définie dès 2018.
En 2023, Thales a rejoint le CAC SBT 1,5°, l’indice climatique à la bourse de Paris suite à la validation de ses objectifs 2030 de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre par le SBTi (Science-Based Target Initiative).
« Thales a fait de la protection de l’environnement un de ses objectifs stratégiques majeurs. Je remercie toutes les équipes qui ont contribué à cette reconnaissance par le CDP. Elle résulte de nos efforts continus pour accélérer le déploiement d’une stratégie pour un futur bas-carbone dans l’ensemble de nos opérations. Nous généralisons l’éco-conception à tous nos nouveaux produits, afin de proposer des solutions innovantes pour réduire notre impact environnemental et celui de nos clients. » Patrice Caine, Président-directeur général de Thales
Le CDP en bref
CDP, anciennement nommé « Carbon Disclosure Project », est une organisation internationale à but non lucratif qui gère le système mondial de reporting des informations environnementales pour les entreprises. Entièrement alignée sur les recommandations de la TCFD, elle détient la plus grande base de données environnementales au monde, et ses scores sont largement utilisés pour orienter les décisions d'investissement et d'approvisionnement vers une économie zéro carbone, durable et résiliente.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/groupe/press_release/thales-obtient-premiere-fois-note-part-du-cdp-sa-transparence-et-ses
Mobilité
JO : le plan de Paris 2024 pour « anticiper » l'enfer dans les transports
lesechos.fr - Par Marion Kindernans
Publié le 31 janvier 2024
Depuis lundi, une campagne d'affichage incite les Parisiens à envisager des plans B aux transports publics, avec un site dévoilant les prévisions de trafic de l'été ligne par ligne, heure par heure.
Depuis lundi matin, dans les couloirs du métro, et sur les panneaux publicitaires électroniques, s'affiche un nouveau slogan du ministère des Transports. « Anticiper les jeux » incite les Parisiens à organiser leurs déplacements avant la déferlante des 15 millions de visiteurs cet été. Selon nos informations, cette campagne devait être annoncée en grande pompe dans la semaine par le ministre des Transports. En raison du flou sur la reconduction de Clément Beaune à ce poste, elle a donc été lancée en catimini…
Les affiches montrent un trentenaire sur son vélo, une femme en télétravail ou une autre qui vante les mérites du covoiturage. A six mois des Jeux, il s'agit de pousser les habitants de la capitale à… envisager des plans B aux transports publics, en laissant ces derniers au maximum aux étrangers afin de ne pas saturer le réseau. Car le défi des transports est majeur. Si Paris est parvenu à convaincre le CIO de sa capacité à organiser des épreuves intra-muros, c'est en vantant la solidité d'un réseau unique au monde.
Carte interactive
Les Parisiens sont aussi incités à se ruer sur le site internet anticiperlesjeux.fr, accessible depuis lundi. Il propose aux particuliers et aux entreprises de s'organiser dès maintenant, via une panoplie d'infos inédites : carte interactive des impacts sur les routes, prévisions de fréquentations par ligne et par gare (métro, RER, train) heure par heure, kits d'infos à destination des salariés.
Lire la suite : https://www.lesechos.fr/pme-regions/actualite-pme/jo-le-plan-de-paris-2024-pour-anticiper-lenfer-dans-les-transports-2072818
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ELABORATOR: un engagement européen pour la mobilité durable
issy.com - Communiqué
Mis à jour le 2 février 2024
Une soixantaine de représentants d’acteurs publics et privés européens, issus de 14 pays différents, se sont retrouvés pendant deux jours à Issy-les-Moulineaux, les 31 janvier et 1er février, pour travailler ensemble sur les expérimentations à mettre en œuvre dans le cadre du projet Elaborator.
Ce projet, cofinancé par l’Union Européenne, a pour ambition d’accompagner les collectivités locales dans leur transition climatique et d’être un laboratoire au service de la mobilité durable dans les villes européennes.
Le projet ELABORATOR se fixe pour mission de relever plusieurs défis majeurs. Au cœur de ses préoccupations se trouve la question de comment rendre la mobilité urbaine plus inclusive, sûre et économique, tout en contribuant à l’objectif de neutralité carbone des villes d’ici 2050. Les villes, qui représentent une part significative de la consommation énergétique mondiale et des émissions de CO2, jouent un rôle crucial dans cet effort. Le projet envisage les villes comme des laboratoires vivants, où de nouvelles idées et technologies peuvent être testées et développées.
Les expérimentations seront menées dans un certain nombre de villes à travers l’Europe, en commençant par six « villes phares », selon la terminologie de la Commission Européenne, (Milan en Italie ; Copenhague au Danemark ; Helsinki en Finlande ; Issy-les-Moulineaux en France ; Saragosse en Espagne et Trikala en Grèce) et six « villes suiveuses » (Lund en Suède ; Liberec en République Tchèque ; Velenje en Slovénie ; Split en Croatie ; Kruševac en Serbie et Ioannina en Grèce).
Parmi les initiatives phares du projet ELABORATOR, la ville d’Issy-les-Moulineaux se distingue par son engagement en faveur de la sécurité routière. En partenariat avec Colas et IFP Energies Nouvelles, la ville va expérimenter Flowell, une technologie de signalisation routière dynamique conçue pour améliorer la vigilance et encourager des comportements routiers plus sûrs.
L’objectif est de sécuriser les intersections et de réduire les risques d’accidents. Les premières études, réalisées en collaboration avec Urban Radar et l’IFPEN, mettent en avant les zones de forte cohabitation entre différents usagers : bus, voitures, vélos. Elles suggèrent que la mise en place de cette signalisation peut effectivement augmenter la sécurité et diminuer les tensions entre les différents modes de transport.
Le site web du projet ELABORATOR
Lire la suite : https://www.issy.com/actualites/ela-bo-ra-tor-un-en-ga-ge-ment-eu-ro-peen-pour-la-mo-bi-lite-du-rable
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Rencontres de la mobilité intelligente ATEC-ITS France 2024 : le Cerema au cœur de l'écosystème des acteurs
cerema.fr - article Cerema
Publié le 29 janvier 2024
Les Rencontres ATEC-ITS de la mobilité intelligente se sont déroulées les 23 et 24 janvier 2024 à Paris. Réunissant les acteurs de la mobilité et les acteurs académiques, ces rencontres sous le thème "Construire ensemble le futur des mobilités " sont l'occasion d'aborder les nombreuses évolutions et les enjeux de la mobilité de demain tels que la transition écologique, les nouveaux outils, les retours d'expériences sur les innovations en cours...
Les spécialistes du Cerema ont réalisé plus d'une vingtaine d'interventions lors d'ateliers et présentations, sur des sujets tels que la sécurité routière, les leviers d'innovation pour les collectivités, la gestion du trafic, les véhicules intelligents, le développement du covoiturage, le traitement des données de mobilité...
Les 23 et 24 janvier 2024 avaient lieu les Rencontres ATEC-ITS consacrées à la mobilité intelligente. Des spécialistes de la mobilité sont intervenus lors d'ateliers et conférences, pour présenter les travaux en cours et les innovations dans des domaines très variés, allant des leviers techniques pour développer le covoiturage à la gestion et au suivi du trafic, en passant par l'analyse des accidents, le véhicule autonome, les nouveaux services de mobilité, la présentation du Mobility Data Hub...
Ces rencontres, dont les échanges ont été riches, ont aussi permis aux équipes du Cerema de rencontrer les acteurs de l'écosystème français de la mobilité intelligente.
Sécurité routière
Réduire les accidents de la route grâce à un outil de détection de virages dangereux
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/rencontres-mobilite-intelligente-atec-its-france-2024-cerema
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Le système anémobarométrique de Thales va assurer la fluidité et la sûreté des vols de l’aéronef eTOLl d’EVEve AIR MOBILITY
thalesgrouop.com - Communiqué
Publié le 29 janvier 2024
La société Eve Air Mobility a opté pour la centrale anémobarométrique développée par Thales pour équiper son futur VTOL électrique. Les pilotes et les systèmes embarqués disposeront ainsi d’informations critiques – vitesse, airflow et altitude, entre autres –, pour assurer la sûreté et l’efficacité des vols, quelles que soient les conditions météorologiques.
La mobilité aérienne urbaine basée sur la propulsion électrique trouve aujourd’hui sa place en répondant au double défi que pose la congestion du trafic et la nécessaire réduction de l’impact environnemental du transport en zone urbaine. Tout-électrique, l’aéronef VTOL de la société Eve a d’ores et déjà séduit le marché, comme en attestent des lettres d’intention de commande portant sur plus de 2 800 unités.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/aeronautique/press_release/le-systeme-anemobarometrique-thales-va-assurer-fluidite-et-surete
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Amener le transport public au plus près des citoyens
journaldunet.com - Chronique de Thibault Écuyer-Weber, Padam Mobility
80% des habitants des zones rurales dépendent de la voiture, et peu d'alternatives s'offrent à eux. Un phénomène qui engendre une précarité-mobilité pour 13,3 millions Français.
Pour conduire les enfants à l’école ou faire les courses, la voiture reste le moyen de transport privilégié. Or, nombreux sont ceux qui ont de moins en moins les moyens d’être véhiculés.
Les territoires ruraux à la quête d’une alternative à la voiture
Face à ce défi majeur, le gouvernement a entrepris plusieurs initiatives, dont le plan covoiturage du quotidien, doté de 150 millions d’euros, et le Fonds Vert Axe 3, qui injecte 90 millions d'euros sur trois ans pour soutenir le développement des mobilités durables en zones rurales. Ce dernier vise à accompagner les autorités organisatrices de la mobilité locale dans la mise en place d'une offre de transport durable, innovante et solidaire.
Plusieurs initiatives législatives, à l’instar de la loi LOM, ont pour vocation de se confronter à la question du droit à la mobilité pour tous en zones rurales. En effet, les enjeux sont multiples, touchant à la fois le social, l'économique et l'environnemental. Bien que certaines initiatives aient émergé, l'alternative à la voiture en milieu rural demeure insuffisante, voire inexistante. Les infrastructures de transport actuelles, conçues principalement pour les grandes villes, ne répondent pas aux besoins des campagnes, laissant près de 80 % du territoire français sans solution pour les transports quotidiens.
Une solution à faible coût : le Transport à la Demande
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/mobilites/1527929-amener-le-transport-public-au-plus-pres-des-citoyens/
Big Data
Quantique : il est temps pour les entreprises de se préparer à cette révolution
journaldunet.com - Chronique de Jan Goets
La commercialisation des ordinateurs quantiques pourrait avoir un véritable impact sur notre société, de par l'innovation de rupture qu'ils pourraient permettre.
L'informatique quantique représente une nouvelle phase d’évolution technologique. La commercialisation de ces ordinateurs d’un genre nouveau pourrait avoir un véritable impact sur notre société, de par l’innovation de rupture qu’ils pourraient permettre. Les entreprises doivent s’y préparer pour ne pas passer à côtés des opportunités à venir.
Bien que les technologies quantiques soient encore émergentes, elles présentent un potentiel de disruption important pour de nombreux secteurs d'activité, tant publics que privés. Les premiers à l'adopter devraient même être capables de créer de nouveaux modèles d'entreprise. Toutefois, celles qui ne s’y intéressent pas ou le feront trop tard courent un réel risque quant à leur prospérité.
Vers l’ère de l’avantage quantique
L’importance de la technologie quantique ne peut plus être ignorée. En quelques mots, elle permettra d’effectuer des tâches extrêmement complexes en quelques minutes, alors qu’il faudrait des milliers, voire des millions d’années pour les mener à bien avec des ordinateurs traditionnels. Cela signifie que les unités quantiques fourniront des réponses que nous n’obtiendrions jamais avec même les plus grands supercalculateurs.
Cette technologie apportera donc des gains d’efficacité sans précédent, que ce soit à la recherche pharmaceutique et chimique, au captage du dioxyde de carbone, ou à l’optimisation des réseaux énergétiques et des itinéraires routiers. Elle fera également progresser le machine learning et la cybersécurité. Nous approchons aujourd’hui de cette étape historique de concrétisation, que l’on appelle « l’avantage quantique ».
Faire partie des pionniers de l’adoption du quantique
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/big-data/1527769-quantique-il-est-temps-pour-les-entreprises-de-se-preparer-a-cette-revolution/
Systèmes de paiement
Mais au fait, avec quoi paient les Français aujourd'hui ?
boursorama.com - Information fournie par BOURSOBANK•
Publié le 30 janvier 2024
Même si les Français trouvent dans les espèces une solution de paiement rassurante qui reste relativement stable, l'innovation s'invite pour de bon dans les moyens de paiement scripturaux, avec toujours plus de transactions dématérialisées et instantanées au quotidien, attestant un changement profond des usages bancaires. Voici un décryptage des paiements observés dans l'Hexagone, sur la base de l'étude de la Banque de France publiée en décembre 2023 et de la dernière publication de l'observatoire de la sécurité des moyens de paiement sur le 1er semestre 2023 (1).
Où en sont les paiements scripturaux en France ?
Les paiements scripturaux comprennent : la carte bancaire, le prélèvement, le virement, la monnaie électronique et le chèque. La France se place au 1er rang des pays européens en matière de paiements scripturaux (avec 20% du total), ce qui révèle son avant-gardisme sur le plan des modes de règlements dématérialisés et non fiduciaires.
Son système bancaire plutôt bien outillé et moderne a permis aux utilisateurs de profiter assez tôt d'avancées technologiques au service de transactions rapides, faciles et fiables.
La tendance en France au 1er semestre 2023 : le nombre de transactions scripturales est en hausse de 8% par rapport au S1 2022, selon Denis Beau, premier sous-gouverneur de la Banque de France.
En volume, la carte bancaire est la reine des moyens de paiements en France
L'essor du paiement sans contact et du paiement mobile soutient la croissance de la carte bancaire en nombre d'opérations. Dans les paiements scripturaux en France (chez les particuliers et la clientèle professionnelle et institutionnelle), la carte pesait déjà 62% du total en 2022.
Pour quelles raisons le paiement sans contact connaît-il un tel succès ?
Intelligence artificielle
Intelligence artificielle : droits d'auteur, contrôle humain... l'AI act reçoit le feu vert de l'Union européenne, mais que contient-elle ?
ladepeche.fr - Par H.R avec ADP
Publié le 03 Février 2024
Les États de l'Union européenne ont approuvé à l'unanimité une législation pour réguler l'intelligence artificielle (IA). Elle vise à protéger les droits d'auteur et à encadrer des systèmes d'IA interagissant avec des humains. C'est une première mondiale.
Les États membres de l'Union européenne ont approuvé à l'unanimité ce vendredi 2 février une législation inédite, l'AI act, pour réguler l'intelligence artificielle après d'intenses négociations sur l'équilibre entre innovation et sécurité.
L'apparition de l'IA ChatGPT, fin 2022, capable de rédiger des dissertations, poèmes ou traductions en quelques secondes, avait accéléré les discussions au niveau européen sur une législation des intelligences artificielles.
A lire aussi : Intelligence artificielle : plus d'un tiers des Français pense que l'IA dominera un jour l'humanité
Si des règles visant l'IA existent par exemple en Chine, le cadre juridique européen se distingue par son ampleur. Le commissaire européen Thierry Breton, chargé du dossier, a salué une réglementation "historique, une première mondiale". Le Parlement européen doit encore entériner définitivement au printemps le compromis final, qui ne peut plus être modifié.
Protection du droit d'auteur
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Comment Bruxelles veut aider les start-up et PME à s'emparer de l'intelligence artificielle
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 24 janvier 2024
L'Europe sera-t-elle capable de rivaliser avec les Etats-Unis ou la Chine en matière de développement de solutions d'intelligence artificielle ? Elle tente en tout cas de s'en donner les moyens. Un ensemble de mesures ont été annoncées, incluant la création "d'usines d'IA", la mise à disposition de supercalculateurs ou encore la sollicitation d'investissements privés.
L'intelligence artificielle est au cœur des discussions à Bruxelles cette semaine. "Aujourd'hui, nous adoptons un ensemble de mesures pour stimuler l'innovation dans l'IA", affirme Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée d'une Europe adaptée à l'ère numérique, sur X. Hier, une version non officielle du texte de l'AI Act – compromis entre le Parlement européen et du Conseil – a fuité dans la presse.
Dans le prolongement de cet accord, la Commission européenne vient de lancer un ensemble de mesures visant à soutenir les start-up et les PME européennes dans le développement de technologies d'intelligence artificielle dignes de confiance, qui respectent les valeurs et les règles de l'UE. La première des initiatives porte sur la décision d'établir un bureau de l'IA au sein de la Commission, qui assurera le développement et la coordination de la politique de l'IA au niveau européen, et supervisera la mise en œuvre et l'application de l'AI Act.
Des "usines d'IA" pour démocratiser les usages de cette technologie
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Déni de service, shadow IT, IA : le Cesin diagnostique les défis des RSSI
lemondeinformatique.fr - Par Jacques Cheminat
Publié le 29 Janvier 2024
Chaque année, le Cesin prend le pouls de ses adhérents sur la cybersécurité sur l'année écoulée. Parmi les faits saillants, le club observe une stabilité des attaques réussies. Peut-être le fruit d'une maturité sur l'outillage comme le MFA ou l'EDR. Reste que des inquiétudes demeurent sur la résurgence du déni de service et du shadow IT surtout à l'heure de l'IA.
« La menace est toujours croissante, mais le répondant s’organise », indique Mylène Jarossay, présidente du Cesin à l’occasion de la présentation du 9ème baromètre sur la cybersécurité des entreprises françaises. Un peu plus de 450 d’entres elles ont donc répondu aux questions et donnent un panorama des défis adressés en 2023. Plusieurs enseignements sont à observer dans cette étude.
En premier lieu, le club constate une certaine stabilité sur les attaques réussies (ayant un impact significatif) où 49% des sondés ont constaté au moins une cyberattaque. C’est un peu plus qu’en 2022, mais 66% jugent stables ces campagnes par rapport à l’année précédente. Ces chiffres sont à mettre en parallèle avec l’indice de confiance dans les offres de cybersécurité (89%). « Les entreprises ont considéré que les solutions ont joué leur rôle et ont réussi à arrêter des attaques », glisse Alain Bouillé, délégué général du Cesin.
Déni de service en forte hausse et l’exposition des données fait son entrée
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-deni-de-service-shadow-it-ia-le-cesin-diagnostique-les-defis-des-rssi-92809.html
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Ne dites rien d’intime à ChatGPT ! Vos discussions finissent sur Dark Web
lebigdata.fr - Par Nirina.R
Publié le 31 janvier 2024
Gardez vos secrets pour vous, loin de ChatGPT ! Surprenant, non ? Et pourtant, cette précaution n’est pas vaine… Les conversations que vous pensez banales et sans conséquence avec ChatGPT pourraient, en réalité, se frayer un chemin jusqu’aux abysses du Dark Web.
Les chercheurs de Kaspersky ont recensé près de 3 000 publications sur le Dark Web. Celles-ci concernent l’utilisation illégale de ChatGPT et d’autres modèles de langage avancés. En réalité, ces discussions ne se limitent pas à des échanges anodins, elles englobent des menaces de cybersécurité telles que FraudGPT et les chatbots malveillants. Le Dark Web, connu pour être un repaire de cybercriminels, connaît ainsi un pic d’activité. Notamment en mars 2023, marquant ainsi un sommet dans l’intérêt pour ces pratiques illicites.
La monétisation des comptes ChatGPT sur le Dark Web
Parallèlement, de manière tout aussi inquiétante, le phénomène des comptes ChatGPT volés prend de l’ampleur. En effet, cela alimente un marché noir florissant sur le Dark Web. Pas moins de 3 000 annonces dédiées à la vente de ces comptes ont été recensées. Ainsi, cela illustre un intérêt marqué pour ces données dérobées.
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/discussions-chatgpt-sur-dark-web
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IA générale : «A l’heure actuelle, on ne parvient pas à faire une intelligence autonome»
liberation.fr - Par Elise Viniacourt
Publié le 21 janvier 2024
Intelligence artificielle : de la fascination à l'inquiétude
OpenAI, Google ou Meta cette semaine… Toutes les grandes entreprises technologiques assurent se lancer à corps perdu en quête de l’«intelligence artificielle générale». Un graal ancestral, marketing mais difficilement atteignable rapidement, selon le chercheur Pierre-Carl Langlais.
Depuis des mois, elle est attendue comme le messie. Stimule les cerveaux de la Silicon Valley. Et excite l’imaginaire des amoureux de science-fiction : l’intelligence artificielle générale (IAG). Sam Altman, le PDG d’OpenAI, la société à l’origine de ChatGPT, prédit son arrivée dans «un avenir raisonnablement proche». Google met le paquet pour s’en saisir en premier. Jeudi 18 janvier, Meta a à son tour officialisé son entrée dans la compétition. Une interrogation au milieu de cette course reste toutefois en suspens : mais qu’est-ce que l’IAG ?
Certains évoquent une intelligence équivalente à la nôtre. D’autres la considèrent comme supérieure. Interrogé par The Verge, même Mark Zuckerberg botte en touche : «Je n’ai pas de définition concise en une seule phrase.» Auprès de Libé, Pierre-Carl Langlais, chercheur en humanités numériques et en data science chez opsci.ai, se frotte à cette question épineuse et souligne à quel point les spécialistes de l’IA s’y piquent.
Concrètement, qu’est-ce que l’«intelligence artificielle générale» ?
Ce concept est très vieux et remonte aux années 40. Les gens n’en ont pas forcément conscience, mais la plupart des outils que l’on utilise en IA sont assez anciens. Le premier article sur les réseaux de neurones artificiels remonte par exemple à 1942. A cette époque, tout le monde était déjà convaincu que l’on allait réussir à mettre sur pied dans les années à venir des algorithmes aussi intelligents que des humains et pourvus d’autonomie. Soit ce que l’on appelle aujourd’hui une IAG. Concrètement, cela veut dire que l’IA pourrait réaliser n’importe quelle tâche sans restriction. Elle pourrait par exemple coder, trouver seule l’origine des bugs et les résoudre. En robotique, un robot nettoyeur de rue serait, en cas d’imprévu, en mesure de s’adapter sans intervention humaine.
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Des chercheurs de Meta présentent un outil de détection du clonage vocal par l'IA
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 01 février 2024
Pour lutter contre le nombre croissant de fausses voix générées au moyen de l'intelligence artificielle à des fins malveillantes, une équipe constituée de chercheurs des laboratoires de Kyutai, de l'Inria et de Meta a développé un outil venant apposer un marqueur localisé pour les contenus audios. Ce dernier est capable de détecter par la suite les échantillons produits par l'IA.
Dans le domaine en pleine évolution des modèles de génération de la parole, il existe un besoin pressant de garantir l'authenticité audio contre les risques de clonage de la voix", affirment Robin San Roman, Pierre Fernandez, Hady Elsahar, Alexandre Défossez, Teddy Furon et Tuan Tran, chercheurs au sein de l'Inria, de Kyutai et de FAIR, le laboratoire d'IA de Meta. Ils tentent de répondre en partie à cette problématique en présentant AudioSeal, qu'ils décrivent comme "la première technique de marquage audio conçue spécifiquement pour la détection localisée de la parole générée par l'IA".
AudioSeal entraîne conjointement un générateur qui intègre un marqueur ("watermark") dans les segments audio et un détecteur qui repère les fragments portant ce marqueur dans les segments les plus longs, même lorsqu'ils ont été édités. Les chercheurs déclarent qu'AudioSeal atteint des performances de détection de pointe à la fois pour la parole naturelle et synthétique. Il n'altère que de façon limitée la qualité du signal et peut résister à de nombreux types de modifications du son, assurent-ils. AudioSeal fournit par ailleurs une API simple d'utilisation pour marquer et détecter ce même marquage dans un échantillon audio.
Deux modèles associés : un générateur et un détecteur
AudioSeal utilise une architecture générateur/détecteur. Son générateur prend en entrée un signal audio (sous forme d'onde) et génère un marqueur de la même taille que l'entrée qui peut ensuite y être ajouté. En option, il peut utiliser un message secret de 16 bits qui sera codé en marqueur.
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/des-chercheurs-de-meta-presentent-un-outil-de-detection-du-clonage-vocal-par-l-ia.N2207460
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L’intelligence artificielle pour prévenir la fraude scientifique
lemonde.fr - Par Hervé Morin
Publié le 02 février 2024
La revue « Science » annonce, après d’autres éditeurs scientifiques, qu’elle fera désormais appel à un logiciel chargé de détecter dans les manuscrits qui lui sont soumis des images potentiellement manipulées à dessein.
Vie des labos. L’Institut Dana-Farber, à Boston, l’un des principaux pôles américains de recherche en cancérologie, affilié à l’université Harvard, fait face à une crise majeure mettant en jeu sa réputation et sa crédibilité : il vient de demander la rétractation de six articles scientifiques, signés par certains de ses membres dirigeants, et des corrections pour des dizaines d’autres. Ces mesures interviennent après qu’un biologiste britannique, Sholto David, a décrit sur le site du chasseur de fraude allemand Leonid Schneider des manipulations d’images suspectes dans 58 études émanant de Dana-Farber.
Cela aurait-il pu arriver si les revues qui ont publié les articles litigieux depuis une vingtaine d’années avaient disposé d’outils d’intelligence artificielle (IA) pour détecter en amont ces manipulations d’images ?
Dans son premier éditorial de l’année 2024, Holden Thorp, rédacteur en chef de la revue américaine Science et des journaux associés, annonce, en tout cas, avoir adopté cette innovation : les manuscrits soumis à ces publications seront désormais passés au filtre d’un tel logiciel, baptisé Proofig. « Cela devrait aider à détecter à la fois les simples erreurs et les activités frauduleuses avant de décider de publier », explique Holden Thorp. Une nécessité, en raison de récents « incidents » qui ont érodé la confiance du public envers les scientifiques et nui à la carrière de certains d’entre eux, « qui n’avaient pas détecté des images truquées provenant de leurs propres laboratoires ».
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lemonde.fr/sciences/article/2024/02/02/l-intelligence-artificielle-pour-prevenir-la-fraude-scientifique_6214390_1650684.html?random=494492507
RGPD
Le régulateur Italien affirme que ChatGPT enfreint le RGPD
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 29 janvier 2024
L'autorité italienne de régulation de la vie privée a déclaré que l'outil ChatGPT et les techniques utilisées pour recueillir les données des utilisateurs sont contraires aux lois nationales sur la protection de la vie privée. Cette conclusion, annoncée ce lundi dans un communiqué, fait suite à une enquête ouverte par l'autorité en mars dernier, et a été notifiée à OpenAI.
Douche froide pour ChatGPT, le chatbot ultra-populaire d'OpenAI. Le garant italien de la protection des données personnelles (Garante per la protezione dei dati personali), a notifié à la start-up un acte de contestation suite à une violation de la réglementation en matière de protection des données personnelles.
Cela fait suite à l'ordonnance provisoire de limitation du traitement adoptée par le régulateur à l'encontre de la société le 30 mars dernier. ChatGPT était de nouveau disponible en Italie un mois plus tard, le 28 avril 2023, comme en atteste le message de Sam Altman, CEO de l'entreprise. OpenAI avait alors garanti aux utilisateurs la possibilité de refuser que leurs données personnelles ne soient utilisées pour entraîner ses modèles.
OpenAI dispose de 30 jours pour présenter ses arguments de défense
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/le-regulateur-italien.N2207158
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Protection des données de chat AI : ChatGPT contre RGPD
portalcripto.com - Par Editeur
Publié le 03 Février 2024
Dans les années 1950, la vision d’Alan Turing sur la capacité des ordinateurs à communiquer avec les humains a commencé à prendre forme. Avance rapide jusqu'en 1966, et la première étape de l'interaction homme-machine a été franchie avec le développement d'Eliza, le premier chatbot, par l'informaticien Joseph Weizenbaum du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Eliza a travaillé comme logiciel de traitement du langage naturel (NLP), marquant un esprit pionnier dans le domaine.
Des chatbots équipés de Intelligence Artificielle (IA) sont des systèmes informatiques conçus pour faciliter l'interaction entre les clients et les services par le biais de textes, de voix ou de messages, utilisant la PNL et l'IA pour interpréter, comprendre et répondre automatiquement aux requêtes des utilisateurs sans nécessiter d'intervention humaine directe.
Au fil du temps, plusieurs plateformes de messagerie ont émergé et sont devenues populaires tant dans le monde de l'entreprise que parmi les consommateurs. Ces chatbots ont évolué de simples interfaces textuelles vers des systèmes avancés capables de reconnaître les commandes vocales, illustrés par des technologies telles qu'Amazon Alexa et Siri d'Apple, qui offrent une interaction plus naturelle et plus efficace.
Lire la suite : https://portalcripto.com.br/fr/protection-des-donn%C3%A9es-dans-le-chat-avec-AI-chatgpt-vs-gdpr/
Cybersécurité
Les forces de l'ordre anticipent un nombre "considérable" de cyberattaques lors des JO, jusqu'aux scénarios les plus critiques.
midilibre.fr - par Midi Libre avec AFP
Publié le 03 Février 2024
Le chronomètre qui s'arrête en plein 100 mètres, la piscine olympique plongée dans le noir ou les portiques d'accès au stade bloqués : policiers, gendarmes et services spécialisés anticipent un nombre "considérable" de cyberattaques lors des Jeux de Paris, jusqu'aux hypothèses les plus critiques.
Lors des derniers JO à Tokyo, 450 millions d'attaques et 4,4 milliards de menaces cyber ont été recensées, soit 800 par seconde, dans une capitale pourtant placée sous bulle sanitaire, sans spectateurs.
Avec 15 millions de visiteurs attendus à Paris l'été prochain, "on s'attend à ce que ce soit considérable", confie à l'AFP le général Christophe Husson, à la tête du Commandement du ministère de l'Intérieur dans le Cyberespace (ComCyber-MI), placé sous l'autorité de la gendarmerie.
Les précédents lors des JO
"Huit à dix fois plus", avançait le directeur de la technologie de Paris 2024, Bruno Marie-Rose, en avril dernier. Donner un chiffre "serait lire dans une boule de cristal", mais M. Husson note le "facteur multiplicateur gigantesque, par 5 ou 20, selon que l'on retienne les attaques réussies ou tentées, selon la presse spécialisée" entre les Jeux de Londres en 2012 et ceux de Tokyo en 2021.
La gendarmerie a par ailleurs enregistré depuis cinq ans une hausse de 42% des faits en matière cyber. "Depuis plusieurs années maintenant, on a constaté une démocratisation de la mise à disposition des outils permettant la commission d'attaques informatiques", souligne le contrôleur général Nicolas Guidoux, chef de l'Office anti-cybercriminalité (Ofac), coordinateur national des enquêtes judiciaires.
Des signaux faibles
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Comment des cybercriminels automatisent le “allo”, cette méthode d’hameçonnage vocal
zoner.fr - Par Gabriel Thierry
Publié le 29 janvier 2024
Sécurité : Un aigrefin propose un système automatisé sur Telegram. Ce service facilite la mise en œuvre de ce type d’escroquerie, et renouvelle le secteur du phishing.
Marre des appels indésirables reçus sur votre téléphone vous alertant prétendument sur un risque de fraude sur votre compte bancaire ? Malheureusement, vous allez sans doute devoir encore faire avec cette année. Car comme le relève sur Linkedin Thomas Damonneville, ce genre d'escroquerie s’automatise.
Le fondateur de StalkPhish, un service de détection et d’analyse de campagnes d'hameçonnage, a ainsi repéré sur un canal Telegram la vente d’un service de robot autour du « allo », ces appels téléphoniques frauduleux destinés à récupérer des codes d’authentification en se faisant passer pour le service anti-fraude de la banque de la victime. « C’est probablement une menace qui va faire grand bruit en cette année 2024 », juge-t-il.
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Fichiers audio
Dans une vidéo datant de février dernier, le cybercriminel vendant ce service détaillait le fonctionnement de son robot loué 190 euros par mois. Piloté depuis un téléphone via l’application de messagerie Telegram, ce service illégal s’appuie sur des fichiers audios pré-enregistrés, relatifs par exemple à la double authentification PayPal, précisait-il. Le cybercriminel proposait également de « faire vos propres sons pour 50 euros ».
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/comment-des-cybercriminels-automatisent-le-allo-cette-methode-d-hameconnage-vocal-39963846.htm
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Cybersécurité : les RSSI doivent muscler leurs capacités à éteindre les incendies
cio-online.com -- Par Reynald Fléchais, Rédacteur en chef CIO
Publié le 30 Janvier 2024
Face à une menace qui ne faiblit pas, les RSSI ont commencé par investir sur la prévention, la protection et la détection. Mais, alors qu'une organisation sur deux a connu des perturbations en 2023 en raison d'une attaque, c'est désormais la réaction aux crises qu'il faut renforcer.
Des entreprises mieux armées, face à des menaces qui continuent à monter en puissance. C'est en somme le bilan que dresse le 9e baromètre de la cybersécurité des entreprises, mené par Opinionway pour le Cesin, le Club des experts de la sécurité de l'information et du numérique. Basée sur les réponses de 456 membres de l'association (48% étant des grandes entreprises et 40% des ETI), l'enquête confirme l'effort constant que consentent les organisations françaises pour se protéger des cybermenaces : 45% d'entre elles consacrent 5% ou plus de leur budget IT à la cybersécurité, soit la même proportion qu'un an plus tôt.
Les RSSI interrogés s'estiment plutôt bien ou très bien protégés en particulier dans les phases amont : 76% d'entre eux affirment ainsi que leur organisation a mis en oeuvre les moyens de prévention et de protection adéquats et une proportion similaire juge les moyens de détection déployés satisfaisants. En la matière, parmi les solutions jugées très efficaces, 61% des répondants mettent en avant l'authentification multifacteurs (MFA), soit 8 points de mieux qu'il y a un an, et 54% les systèmes de détection et réponse pour endpoints (EDR), un bond de 9 points en un an. Au sein du panel interrogé, seulement 5% des entreprises n'ont pas encore déployé ces solutions.
L'entraînement aux crises gagne du terrain
Lire la suite : https://www.cio-online.com/actualites/lire-cybersecurite-les-rssi-doivent-muscler-leurs-capacites-a-eteindre-les-incendies-15438.html
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Cybersécurité : Mise à disposition d’un marché régional de prestations de Cyber–résilience, pour tous les acteurs de santé bretons
dsih.fr - Communiqué
Publié le 01 février 2024
Le Groupement Régional e-Santé Bretagne.
Face aux menaces qui pèsent sur les systèmes d’information des structures de santé et aux conséquences catastrophiques pour la continuité des soins et la sécurisation des données de santé, le Groupement Régional e-Santé Bretagne, en lien avec l’ARS Bretagne, met à disposition des acteurs de santé bretons des prestations de cyberrésilience aux tarifs négociés.
Une démarche régionale de mutualisation unique en France, ayant pour objectifs de renforcer la sécurité des systèmes d’information des établissements de santé et mieux les préparer face aux situations de cyber-crise.
Une démarche régionale concertée
Parallèlement à l’accélération du développement du numérique en santé et à une circulation croissante des données de santé, les risques de cyberattaques n’ont cessé d’augmenter ces dernières années que ce soit envers les établissements sanitaires publics ou privés mais aussi envers les établissements et services sociaux & medico-sociaux (EHPAD, DAC, Associations, ...).
En lien avec l’ARS Bretagne, le Groupement Régional e-Santé Bretagne accompagne les structures de santé de la région dans leurs projets de Sécurisation de leurs Systèmes d’Information (SSI) et de protection des données. Renforcer le niveau de cybersécurité, de cyber-résilience et de protection des données de ces structures est le principal objectif de cette démarche, en créant une dynamique d’échange et de partage autour des enjeux de la SSI et de la protection des données.
Organe majeur d’expression de la démarche régionale, le comité régional de Sécurité des Systèmes d’Information et de Protection des données* a ainsi défini les axes prioritaires pour l’année 2022-2023 :
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Tendances de la Cybersécurité en 2024 : Les Nouveaux Défis de la Protection en Ligne
solutions-numériques.com - Par Mario Alapetite : Directeur Commercial Infodis
Publié le 01 février 2024
L’année 2024 s’annonce comme une période charnière dans le monde de la cybersécurité, avec de nouvelles menaces émergentes et des défis croissants pour la protection en ligne. Alors que la technologie évolue rapidement, les professionnels de la cybersécurité doivent rester vigilants pour anticiper et contrer les menaces futures. Dans cet article, nous examinons quelques-unes des tendances potentielles en cybersécurité pour l’année 2024.
L’Intelligence Artificielle (IA) a déjà joué un rôle majeur dans la cybersécurité, mais en 2024, son utilisation devrait s’intensifier. Les cybercriminels adoptent également l’IA pour élaborer des attaques sophistiquées, ce qui rend l’utilisation de l’IA cruciale pour la détection précoce des menaces et l’automatisation de la réponse aux incidents.Les systèmes d’IA de défense analyseront les modèles de trafic réseau, détecteront les anomalies et prendront des mesures pour atténuer les risques, tout en minimisant les faux positifs.
Avec la prolifération continue des appareils IoT, de la maison intelligente aux infrastructures industrielles, la surface d’attaque s’élargit considérablement. En 2024, nous assisterons à une augmentation des attaques ciblant les appareils IoT mal sécurisés. Les professionnels de la cybersécurité devront renforcer la sécurité des appareils connectés et promouvoir des normes de sécurité plus strictes.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/communiques/tendances-de-la-cybersecurite-en-2024-les-nouveaux-defis-de-la-protection-en-ligne/
Cybercriminalité
Les numéros de sécurité sociale de 20 millions de Français volés : récupération de données bancaires, usurpation d'identité... ce que vous risquez si vous êtes concerné.
lindependant.fr - Par Hugo Martin
Publié le 02 Février 2027
La société Viamedis a été victime d'une cyberattaque ce jeudi 1er février, avec une fuite de données qui pourrait concerner des millions de personnes. "Les données personnelles exposées sont les suivantes : état civil, date de naissance et numéro de sécurité sociale, nom de leur assureur santé et garanties ouvertes au tiers payant", explique Viamedis dans un communiqué.
Quels sont les risques ?
Viamedis est en relation avec de nombreuses mutuelles dont : Carte Blanche Partenaires, Itelis, Kalixia et Santéclair. En tout, 84 complémentaires santé travaillent avec cet organisme, ce qui représente 20 millions d'assurés sociaux. Tous les Français qui sont engagés avec des partenaires de Viamedis sont donc potentiellement concernés par cette fuite de données. Pour le moment, l'organisme n'en sait pas plus. "À date, nous n'avons pas le nombre d'assurés impactés", "nous sommes toujours en cours d'investigation", a indiqué le directeur général de Viamedis Christophe Candé à l'AFP. À noter que Viamedis sera dans l'obligation légale de prévenir les victimes dans le cas d'un vol.
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Cybercriminalité : qu’est-ce qu’un « traffer » ?
lamait.fr - Par Valéry Rieß-Marchive, Rédacteur en chef
Publié le 01 février 2024
Un « traffer » dans la cybercriminalité est comparable à un spécialiste du marketing numérique malveillant, générant et redirigeant du trafic illégitime vers des contenus nuisibles.
De manière concise, un « traffer » dans l’écosystème de la cybercriminalité pourrait être comparé à un spécialiste du marketing numérique ou à un fournisseur de trafic web dans une entreprise légitime.
Cependant, au lieu de diriger le trafic vers des sites de manière éthique et consensuelle, le « traffer » le fait de manière trompeuse et malveillante, souvent à l’insu des utilisateurs et au détriment de leur sécurité.
Ainsi, dans l’écosystème complexe de la cybercriminalité, le terme « traffer » désigne un individu ou un groupe spécialisé dans la génération et la redirection de trafic internet illégitime vers des pages web spécifiques. Typiquement, ces pages peuvent inciter à télécharger des logiciels malveillants, à l’instar des infostealers.
Pour cela, ils peuvent avoir recours, notamment, au malvertising, une pratique qui consiste à utiliser des publicités Google pour attirer les internautes vers des maliciels.
Les analystes de Sekoia.io présentent les traffers comme des spécialistes de la génération de trafic, ou plutôt de la redirection d’internautes vers des contenus malveillants.
Lire la suite : https://www.lemagit.fr/conseil/Cybercriminalite-quest-ce-quun-traffer
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Arnaques par SMS : «On observe une sophistication croissante des moyens utilisés»
liberation.fr - Par Emmanuel Hansten et Gurvan Kristanadjai
Publié le 30 janvier 2024
Pour faire face à une cybercriminalité croissante depuis 2020, la justice s’est dotée d’outils législatifs et de services de police spécialisés, explique la vice-procureure Johanna Brousse.
La vice-procureure Johanna Brousse, au tribunal de Paris, le 26 janvier. (Laura Stevens /Libération)
Cheffe de la section en charge de la cybercriminalité au sein de la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) du parquet de Paris, la vice-procureure Johanna Brousse, 38 ans, alerte sur la sophistication croissante des escroqueries téléphoniques.
Comment ce type de délinquance a-t-il évolué ces dernières années ?
C’est un phénomène en hausse constante. Au-delà des dossiers parisiens liés à notre ressort géographique, nous avons aussi une compétence nationale pour les affaires les plus complexes et celles qui nécessitent une centralisation en raison d’un nombre de plaintes important. A ce titre, en 2023, nous avons traité 655 dossiers d’atteinte à un système de traitement automatisé de données, soit une augmentation de 7 % par rapport à l’année précédente. Pour ce type d’infractions, le véritable tournant a eu lieu en 2020, année au cours de laquelle nous avons constaté une hausse de 529 %. Cette explosion est due à la fois au confinement lors du Covid et à une transformation numérique en profondeur de la société. Les criminels ont compris qu’eux aussi avaient besoin du numérique, et on a constaté un basculement de la délinquance traditionnelle vers la cybercriminalité, tout aussi lucrative mais moins risqué en termes d’identification et de risques pénaux encourus.
Quel est le profil de ces criminels ?
Pour ce qui est du «smishing» [hameçonnage par SMS, ndlr], il n’y a pas de profil type. Cela va des attaques assez peu structurées à des choses beaucoup plus complexes. Mais globalement, on observe une sophistication croissante des moyens utilisés. On est passé d’un mode opératoire assez artisanal à des méthodes plus rodées, avec par exemple l’utilisation d’Imsi-catchers (matériel d’espionnage théoriquement réservé aux services de renseignement) ou le recours à des sociétés spécialisées dans la vente en gros de données personnelles servant à mettre en place les escroqueries.
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Cybercriminalité : l'IA, nouvelle arme des escrocs
capital.fr - Par Anne Vidalie
Publié le 31 janvier 2024
Le clonage des voix et des images, comme la capacité à produire des courriels et des textes parfaitement rédigés, étoffent l’arsenal des malfaiteurs de tous poils. Mais cette technologie peut également se mettre au service des enquêteurs.
L’affaire n’est connue que d’une poignée d’initiés. Voilà deux ans, le responsable de la trésorerie d’un mastodonte du CAC 40 reçoit, via WhatsApp, un message vidéo de son président. Ce dernier lui explique que leur groupe est sur le point de boucler une opération délicate de fusion-acquisition en Chine, qu’il faut procéder rapidement au versement d’un premier acompte pour frais. Tout cela est confidentiel, bien sûr, le patron compte sur la discrétion de ce proche collaborateur en qui il a toute confiance.
La technique du "deepfake" ou hypertrucage
Le destinataire ne se méfie pas. Rien dans l’image, l’intonation ou les propos de son PDG ne lui met la puce à l’oreille. Un premier virement est effectué – près de 1 million d’euros. Il n’y en aura pas d’autres. «Les contrôles internes ont révélé qu’il s’agissait d’une arnaque», raconte Renaud Feil, cofondateur de la société de cybersécurité Synacktiv, que l’entreprise visée a appelée à la rescousse pour mener l’enquête. Les escrocs ont eu recours à un deepfake, ou hypertrucage, cette technique permettant, grâce à l’intelligence artificielle générative, de cloner la voix ou l’image. «Ces deepfakes vont permettre aux malfaiteurs de déjouer la méfiance des boîtes», anticipe Renaud Feil.
Policiers et gendarmes sont sur les dents. «Entre les mains des voyous, l’IA peut faire des dégâts considérables», estime le commissaire général Philippe Guichard, adjoint au sous-directeur de la lutte contre la criminalité organisée et la délinquance spécialisée. Le général Patrick Perrot, le monsieur IA de la gendarmerie, partage ce diagnostic : «Les escroqueries vont exploser. Il est tellement facile de mettre un visage sur une vidéo pornographique, par exemple.»
Lire la suite : https://www.capital.fr/economie-politique/cybercriminalite-lia-nouvelle-arme-des-escrocs-1491335
5G
Politique de l’UE. La faible adoption de la 5G en Europe retardera le développement de l’IA, prévient un responsable de la Commission
observatoiredeleurope.com - Par Jean Delaunay
Publié le 30 janvier 2024
La faible adoption persistante du déploiement de la 5G en Europe signifie que d’autres technologies dépendantes d’un Internet rapide, comme l’intelligence artificielle, connaîtront des retards dans leur adoption, selon un responsable de la Commission européenne.
La faible adoption persistante du déploiement de la 5G en Europe signifie que d’autres technologies dépendantes d’un Internet rapide, comme l’intelligence artificielle, connaîtront des retards dans leur adoption, selon un responsable de la Commission européenne.
Renate Nikolay, directrice générale adjointe de l’unité numérique de la Commission, a déclaré aujourd’hui (30 janvier) lors d’une conférence sur la 5G à Bruxelles que l’UE est toujours à la traîne en matière de connectivité, malgré les efforts visant à accélérer le déploiement de réseaux à haute capacité, par rapport à d’autres régions du monde.
« Nous constatons des progrès, mais nous n’avançons pas au rythme adéquat pour l’économie. Il existe des réussites telles que les véhicules autonomes et les applications de soins de santé, mais si l’adoption de la 5G est faible, l’IA sera prise en otage », a-t-elle déclaré.
Dans son rapport sur l’état des communications numériques publié hier, le groupe de pression des télécommunications ETNO a également averti qu’un investissement supplémentaire important dans le déploiement était encore nécessaire avant que les objectifs de l’UE visant à atteindre la couverture complète de la 5G et du gigabit d’ici la fin de cette décennie ne soient atteints.
Loi sur les réseaux numériques
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Internet des Objets
La maison intelligente toujours plus dangereuse
datanews.levif.be - Kristof Van der Stadt, Rédacteur en chef chez Data News
Publié le 30 janvier 2024
Pas moins de 46 clients en ligne : nous avons spécialement vérifié pour vous le nombre d’appareils et de gadgets qui sont actuellement reliés au routeur de notre maison, et donc à l’Internet. Actuellement, soit une soirée normale où toute la famille est à la maison et profite de son/ses écran(s) et gadget(s) interconnectés. Heureusement, tel n’est pas le cas tous les soirs ou tous les jours, mais permettez-nous d’en revenir à nos moutons : 46 clients en ligne donc. Et ceux-ci sont multiples, depuis les ‘classiques’ laptops, smartphones, consoles, décodeurs ou TV intelligentes en passant par les prises de courant, thermostats, capteurs, lampes et autres concentrateurs intelligents, sans oublier – évidemment – la voiture, le vélo, le lave-linge, la brosse à dents ou la balance. Faites simplement la vérification vous-même : le nombre d’appareils connectés à domicile vous surprendra.
La toute récente grand-messe de l’électronique grand public – le salon CES de Las Vegas donc – a dévoilé toute une nouvelle offre dans ce domaine. Avec l’IA – sans surprise – comme fil rouge. Même si l’on pourrait bien sûr épiloguer sur le terme IA. En effet, chaque logiciel n’est pas forcément l’exemple parfait d’intelligence artificielle. Nous l’avons d’ailleurs déjà évoqué dans ces colonnes en précisant que certains ‘algorithmes avancés’ se révélaient être en pratique plutôt de l’automatisation de processus. Ou comme nous l’écrivions voici sept ans déjà : « Ce n’est pas parce qu’un appareil est ‘smart’ qu’il est vraiment intelligent, voire autoapprenant. » De nombreux dispositifs ‘IA-enabled’ d’aujourd’hui portaient autrefois l’étiquette de ‘smart’. Et auparavant encore, on parlait simplement de ‘connecté’. Or désormais, nous sommes tous connectés : avec l’Internet public, un cloud ou un serveur qui, à distance, assure la commande de votre appareil. Pas d’Internet ? Pas d’appareil !
Ou dans le meilleur des cas, une fonctionnalité limitée. Plus de service cloud parce que le fournisseur cesse toute activité ? Du jour au lendemain, votre montre intelligente devient une ‘bête’ montre. Bref, jusqu’au moment où vous constatez ou découvrez que ‘smart’ et IA ne sont aussi intelligents que le serveur qui maintient en vie leur cerveau.
Avez-vous confiance dans toute votre IoT à domicile ?
Lire la suite : https://datanews.levif.be/actualite/securite/la-maison-intelligente-toujours-plus-dangereuse/
Transition énergétique
Teledyne Gas and Flame Detection
lesechos.fr - Rencontre avec Régis Prévost, Responsable Gamme de Produits, Teledyne Gas and Flame Detection
Publié le 29 janvier 2024
Leader mondial en solutions de détection de gaz et flamme, l’entreprise conçoit et fabrique depuis plus de cent ans des systèmes innovants pour assurer la sécurité. Avec un savoir-faire industriel, une expertise adaptée à chaque projet et un dispositif garantissant l’utilisation sûre de l’hydrogène, Teledyne Gas and Flame Detection facilite une transition énergétique efficace.
Rencontre avec Régis Prévost, Responsable Gamme de Produit, Teledyne Gas and Flame Detection.
Pouvez-vous nous présenter Teledyne Gas and Flame Detection et son activité ?
R.P : Teledyne Gas and Flame Detection fait partie de la branche instrumentation de Teledyne Technologies, un groupe international qui a vocation à proposer des solutions industrielles de haute technologie pour les marchés industriels, l’aérospatial et la défense.
Le site d’Arras (Pas-de-Calais) couvre l’ensemble des activités : R&D, conception, industrialisation, fabrication et les services support pour fournir des solutions de détection de gaz et flamme dans les domaines de l’industrie
Nos détecteurs de gaz renforcent la sécurité : gaz inflammable : risque d’explosion ; gaz toxique : protection des personnes et le risque d’anoxie mais encore les gaz réfrigérants : protection environnementale. La détection de flamme est complémentaire à notre activité pour prendre les mesures adéquates.
Installation, mise en service, maintenance
Lire la suite :https://www.lesechos.fr/partenaires/territoire-hydrogene-les-genies-de-linnovation/teledyne-gas-and-flame-detection-2072155
Neuralink
Neuralink, la société d’implants cérébraux d’Elon Musk, vise une réalité à la «Matrix»
opinion.fr - The Wall Street Journal Par Rolfe Winkler et Jo Craven McGinty
Publié le 31 janvier 2024
Avant de nous permettre de communiquer grâce à l’intelligence artificielle, Neuralink va devoir prouver qu’elle peut améliorer la vie des personnes très handicapées.
Elon Musk veut améliorer des humains en parfaite santé en leur implantant des puces dans le cerveau, et ce afin de permettre à l’espèce humaine d’être au niveau de l’intelligence artificielle. C’est ainsi qu’il décrit l’objectif ultime de Neuralink, son entreprise d’interface cerveau-ordinateur.
Il faudra des années de recherches et de démonstrations réussies de cette technologie avant qu’un objectif aussi hardi ne soit même le moins du monde envisageable. En attendant, l’entreprise a fait un pas de plus vers une prouesse scientifique qui donne un espoir à des milliers de personnes atteintes de maladies invalidantes comme la tétraplégie et pourraient, un jour, recouvrer des capacités perdues.
Lundi dernier, M. Musk a tweeté que Neuralink avait pour la première fois implanté sa puce cérébrale dans un humain. Il a affirmé que le patient « se remettait bien » et suggéré que l’implant avait réussi à capter des signaux de neurones, ces cellules nerveuses qui se transmettent des informations entre elles. La prouesse est impressionnante, s’émerveillent les spécialistes, et notamment parce que l’entreprise a dû convaincre la Food and Drug Administration [le régulateur américain du médicament, FDA] que sa technologie était sûre pour pouvoir aller de l’avant. Cela laisse entendre que l’implant fonctionne comme l’entreprise s’y attendait, dans la droite ligne de ses essais sur des singes et des cochons.
Lire la suite : https://www.lopinion.fr/economie/neuralink-la-societe-dimplants-cerebraux-delon-musk-vise-une-realite-a-la-matrix
Thales
Thales obtient un contrat de 1,8 milliards de livres sterling pour maximiser la disponibilité et la capacité opérationnelle de la royal navy
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 02 Février 2024
Royal Navy
L’équipe de soutien et d’assistance (Maritime Sensor Enhancement Team) concentrera son attention sur la disponibilité des équipements au moyen, notamment, de l’intelligence artificielle (IA) et des données. Cela permettra d’anticiper les incidents avant qu’ils n’adviennent.
Ce contrat permettra de soutenir plus de 450 emplois hautement qualifiés dans toute la Grande-Bretagne, aussi bien dans le domaine de l’ingénierie, des technologies de l’information que de la logistique. Il permettra aussi de générer plusieurs centaines de contrats d’apprentissage et de stages dans l’ensemble du pays.
Pendant la durée du contrat, la Royal Navy opérera une transition capacitaire au sein de sa flotte : mise en service des frégates Type 26 et Type 31, des sous-marins de classe Dreadnought et de divers systèmes autonomes.
Le soutien et le service, envisagé selon une offre évolutive, permettront une assistance et une maintenance plus régulière dans un périmètre d’intervention large alors que la Marine royale britannique entame une période de transition complexe. Les investissements actuels et futurs dans de nouvelles installations portuaires, dans l’IA, dans les outils d’analyse de données et dans diverses compétences associées, se traduiront par une plus grande résilience des plateformes navales de la Royal Navy.
Les capacités mises en œuvres permettront de réduire de 100 jours en moyenne les délais de réparation. Le temps d’approvisionnement des pièces de remplacement sera réduit de 44 jours en moyenne et en moyenne 10 % plus fiable.
Les prises de décision, basées sur l’analyse des données, permettront au modèle MSET d’anticiper les besoins au-delà du planning prédictif actuel. La croissance des investissements dans les technologies émergentes – notamment l’IA, la réalité virtuelle et le Big Data –, se traduiront par plus de proactivité et de prédictibilité dans la maintenance.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defense/press_release/thales-obtient-contrat-18-milliards-livres-sterling-maximiser
Mobilité
Bruxelles Mobilité liste les impacts positifs de la zone 30 généralisée
lesoir.be - Par Belga
Publié le 22 janvier 2024
En cinq ans, la zone 30 instaurée sur l’ensemble de la capitale a eu un impact positif tant sur la vitesse observée que sur le nombre d’accidents, a indiqué lundi, Bruxelles Mobilité.
La limite à 30 km/h est devenue la règle générale dans les rues de la capitale, le 21 janvier 2019.
Après un relâchement en 2022, année de reprise du trafic après deux années marquées par les effets du confinement, le respect des limitations de vitesse s’est renforcé l’an dernier, selon le communiqué de presse assorti d’infographies diffusé lundi par Bruxelles mobilité.
À lire aussi Zone 30 à Bruxelles: voici les sanctions prévues en cas d’excès de vitesse
Une vitesse moyenne en baisse
La Ville 30 a un effet bénéfique autant sur les voiries qui n’ont pas changé de limitation de vitesse (restée à 30 km/h ou 50 km/h) que sur celles qui sont passées de 50 km/h à 30 km/h. Dans ce dernier cas, la vitesse moyenne observée est passée de 33,6 km/h en 2020 à 30,1 l’an dernier. Sur les axes structurants restés à 50km/h, la diminution est encore plus marquante (44,6 km/h en 2020 ; à 39,1 l’an dernier).
Les données recueillies proviennent des mesures de vitesse assurées par 80 caméras en dehors des zones de radar pour éviter le biais des ralentissements dictés par la peur du gendarme.
Moins d’accidents… moins graves
Lire la suite : https://www.lesoir.be/562934/article/2024-01-22/bruxelles-mobilite-liste-les-impacts-positifs-de-la-zone-30-generalisee
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À Metz, ces 6 projets vont changer vos déplacements au quotidien
actu.fr - Antony Spéciale
Publié le 22 Janvier 2024
Plusieurs projets en cours de création ou bientôt lancés vont changer les déplacements à Metz (Moselle). On fait le point sur ce qui vous attend.
De nombreux projets autour de la mobilité sont en cours d’élaboration à l’échelle de l’Eurométropole de Metz (Moselle).
Lors de sa cérémonie des vœux en tant que président de la collectivité, jeudi 18 janvier 2024, François Grosdidier en a rappelé quelques-uns. « Nous ne voulons ni du tout voiture, ni du zéro voiture », a assuré l’élu.
On fait le point sur six projets qui vont changer les habitudes de déplacements des habitants de l’Eurométropole dans les années qui viennent.
600 bornes de recharge électrique d’ici 2030
François Grosdidier a certifié que « la voiture individuelle ne disparaîtra pas et ce n’est pas le but. Elle doit être plus propre, comme les transports collectifs, et elle doit pouvoir être remplacée par des alternatives quand c’est possible ».
De ce fait, l’idée est de « faciliter le véhicule propre et de proposer des alternatives de transport doux ou en commun ».
Cela va passer par une mesure concrète : « En 2030, la métropole aura fait installer, par l’UEM, 600 points de recharge électrique sur l’espace public des 46 communes, dont 400 points dès 2026 ».
Prolongement de la ligne de Mettis A, création du Mettis C…
Selon François Grosdidier, la révolution de la mobilité doit passer par la refonte du réseau de transports en commun. Celui-ci est « trop en étoile centrée sur Metz », d’après lui.
Lire la suite : https://actu.fr/grand-est/metz_57463/a-metz-ces-6-projets-vont-changer-vos-deplacements-au-quotidien_60596037.html
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9 milliards de dollars ont été investis dans les startups européennes de la mobilité en 2023
auto-infos.fr - Par Fabio Crocco
Publié le 26 janvier 2024
L'année 2023 a marqué un tournant dans le paysage des investissements dans les startups de la mobilité en Europe, avec une étude conjointe de Dealroom.co et Via ID révélant des tendances significatives. Malgré une baisse de 26 % par rapport à 2022, les 9 milliards de dollars investis mettent en lumière l'électromobilité en tant que moteur de croissance.
Dealroom.co, entreprise spécialisée dans la veille sur les startups, et Via ID, fonds d'investissement de Mobivia, viennent de dévoiler une étude portant sur les investissements dans les jeunes pousses de la mobilité en Europe pour l'année 2023. Selon cette étude, les investissements ont atteint 9 milliards de dollars, enregistrant ainsi une baisse significative de 26 % par rapport à l'année 2022. Notamment, les startups axées sur l'électromobilité ont largement dominé le financement, affichant une croissance notable de 25 %.
Comparée à d'autres industries, la mobilité se classe au troisième rang des secteurs les plus financés, avec une diminution moins marquée que la moyenne européenne. Cependant, si l'on exclut les financements liés à l'électromobilité, le secteur de la mobilité chute à la 7e position, avec un recul de 47 % du financement. La part des investissements dans l'électromobilité a atteint un record historique, représentant 66 % du total des investissements, soit 5,9 milliards de dollars.
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/9-milliards-de-dollars-ont-ete-investis-dans-les-startups-europeennes-de-la-mobilite-en-2023.280735
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Colas décroche des contrats majeurs pour le tramway et le bus à haut niveau de service de Brest
media24.fr - Par Eric Garletti
Publié le 24 janvier 2024
Colas, acteur majeur dans le domaine de la construction, vient de franchir une étape importante en se voyant attribuer deux contrats significatifs pour le développement des transports en commun à Brest. Ces contrats, d’une valeur totale de 83 millions d’euros, marquent un tournant dans le projet ambitieux de Brest métropole visant à améliorer la mobilité urbaine.
Un projet d’envergure pour la métropole Brestoise
Le projet, intitulé « Mon réseau grandit », est une initiative de Brest métropole qui vise à améliorer la fluidité et l’accessibilité des transports publics. Ce projet inclut la création d’une deuxième ligne de tramway (ligne B) et d’une première ligne de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) (ligne D). La mise en service de ce projet global est prévue pour début 2026.
La ligne B du tramway : Un trajet stratégique
La ligne B du tramway, d’une longueur de 5,1 km et comprenant 11 stations, reliera la gare de Brest au quartier de Bellevue et au CHRU de La Cavale Blanche. Le groupement mené par Colas Projects, avec la participation de Colas Rail, Colas France (Territoire Ouest et Génie Civil) et Aximum, se chargera de la pose de voie ferrée et des infrastructures. Le montant de ce contrat s’élève à 62 millions d’euros, et les travaux devraient durer 26 mois et demi.
La ligne D du BHNS : Connecter Brest de façon innovante
Lire la suite : https://media24.fr/2024/01/24/colas-decroche-des-contrats-majeurs-pour-le-tramway-et-le-bus-a-haut-niveau-de-service-de-brest/
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Hyvolution 2024 : la mobilité hydrogène bien représentée
Publié le 22 janvier 2024
Dans le cadre du grand salon européen de l’hydrogène, les acteurs de la mobilité présents couvriront tous les champs d’application, du vélo au camion, en passant par les chariots de manutention et même les fusées.
Les grands noms de l’automobile seront présents avec les constructeurs Renault (Hyvia) et Stellantis, tout comme les équipementiers Bosch, Forvia, ou encore Plastic Omnium. Michelin sera présent via sa filiale Watèa, qui propose une offre de location véhicules et de services. À Hyvolution, il y aura des fournisseurs de piles (Ballard, Bramble Energy, EKPO, Inocel, Proton Motor Fuel Cell, Symbio) et des spécialistes de l’ingénierie comme AVL et FEV. Ce dernier présentera par exemple la pile codéveloppée avec GCK* pour le buggy e-Blast H2. Du côté de la compétition, il sera question des 24 h du Mans en mode hydrogène sous la forme d’un atelier avec H24 Project. Pipo Moteurs, grand spécialiste du sport auto, sera là pour parler moteur à combustion. Et Vision Technology exposera son kart avec moteur H2 chez Terega.
Le retrofit sera aussi à l’honneur avec GCK justement, mais aussi EHM (moteur à hydrogène), e-neo (groupe Vensys), GreenGT, Hyliko, Quantron et Transdev Normandie. La coalition Retrofit H2 interviendra sur une conférence. La mobilité lourde sera également représentée par le pôle de compétitivité CARA, situé en région Auvergne-Rhône-Alpes, ainsi que par le carrossier CHEREAU.
E-fuels et hydrogène vert
Lire la suite : https://hydrogentoday.info/hyvolution-2024-mobilite-hydrogene/
Fonction Publique
Fonction publique : à quoi va ressembler la réforme que le gouvernement prépare ?
francetvinfo.fr - Article rédigé par Fanny Guinochet, Radio France
Publié le 22 janvier 2024
Le gouvernement veut modifier la fiche de paie des fonctionnaires et renforcer la part du mérite dans leur rémunération. Les syndicats sont réticents.
La volonté du gouvernement est d'accroître la rémunération au mérite pour les 5,5 millions de fonctionnaires. Emmanuel Macron en a parlé lors de sa conférence de presse le 16 janvier. Le chef de l'État travaille sur un projet de loi qu’il envisage de faire passer rapidement, dès le mois de février. Son idée est de mettre en place une négociation annuelle obligatoire (NAO) avec les syndicats, chaque année, comme dans les entreprises privées. Une enveloppe d’augmentation serait décidée et inscrite dans le projet de loi de finances.
Avec cette enveloppe, des bonus ponctuels et facultatifs, en fonction du travail réalisé, seraient accordés. Les initiatives, notamment en matière de transition écologique, seraient également récompensées, ce qui représente une petite révolution. Le gouvernement pense que cela permettra de donner de la visibilité aux agents, d’attirer des candidats, alors qu’il manque plus de 50 000 agents dans la fonction publique. Enfin, dernier avantage selon lui, ça donnera plus de latitude, aux chefs de service, aux élus locaux, qui emploient des agents dans les collectivités, puisque ce sont eux, qui auront la main pour distribuer ces primes.
Ces primes au mérite existent déjà. Officiellement l’ensemble des primes et indemnités représentent, tout compris, près d’un quart de la rémunération des agents. Mais, le problème, c’est que ce chiffre inclut toutes les primes, et notamment les gratifications permanentes, comme par exemple, les primes de nuit pour ceux qui travaillent en horaires décalés, c’est donc un peu trompeur.
Les syndicats veulent une revalorisation collective
Intelligence artificielle
Interview
IA générale : «A l’heure actuelle, on ne parvient pas à faire une intelligence autonome»
liberation.fr - Par Elise Viniacourt
Publié le 21 janvier 2024
Interview
Intelligence artificielle : de la fascination à l'inquiétude
OpenAI, Google ou Meta cette semaine… Toutes les grandes entreprises technologiques assurent se lancer à corps perdu en quête de l’«intelligence artificielle générale». Un graal ancestral, marketing mais difficilement atteignable rapidement, selon le chercheur Pierre-Carl Langlais.
«Dans la lignée de ChatGPT, les grands modèles de langue sont probabilistes», selon le chercheur Pierre-Carl Langlais. (Jonathan Raa/NurPhoto. AFP)
Depuis des mois, elle est attendue comme le messie. Stimule les cerveaux de la Silicon Valley. Et excite l’imaginaire des amoureux de science-fiction : l’intelligence artificielle générale (IAG). Sam Altman, le PDG d’OpenAI, la société à l’origine de ChatGPT, prédit son arrivée dans «un avenir raisonnablement proche». Google met le paquet pour s’en saisir en premier. Jeudi 18 janvier, Meta a à son tour officialisé son entrée dans la compétition. Une interrogation au milieu de cette course reste toutefois en suspens : mais qu’est-ce que l’IAG ?
Certains évoquent une intelligence équivalente à la nôtre. D’autres la considèrent comme supérieure. Interrogé par The Verge, même Mark Zuckerberg botte en touche : «Je n’ai pas de définition concise en une seule phrase.» Auprès de Libé, Pierre-Carl Langlais, chercheur en humanités numériques et en data science chez opsci.ai, se frotte à cette question épineuse et souligne à quel point les spécialistes de l’IA s’y piquent.
Concrètement, qu’est-ce que l’«intelligence artificielle générale» ?
Ce concept est très vieux et remonte aux années 40. Les gens n’en ont pas forcément conscience, mais la plupart des outils que l’on utilise en IA sont assez anciens. Le premier article sur les réseaux de neurones artificiels remonte par exemple à 1942. A cette époque, tout le monde était déjà convaincu que l’on allait réussir à mettre sur pied dans les années à venir des algorithmes aussi intelligents que des humains et pourvus d’autonomie. Soit ce que l’on appelle aujourd’hui une IAG. Concrètement, cela veut dire que l’IA pourrait réaliser n’importe quelle tâche sans restriction. Elle pourrait par exemple coder, trouver seule l’origine des bugs et les résoudre. En robotique, un robot nettoyeur de rue serait, en cas d’imprévu, en mesure de s’adapter sans intervention humaine.
Les récents progrès de l’IA semblent fulgurants. Où en est-on dans cette quête à l’«intelligence artificielle générale» ?
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Plus d’un tiers des Français pensent que l’IA finira par diriger l’humanité
leclaireur.fnac.com - Par Kesso Diallo
Publié le 21 janvier 2024
64% estiment que les machines pourront un jour agir comme des humains, selon une étude Ifop.
Percevant l’intelligence artificielle (IA) comme une menace, les Français pensent également que cette technologie dirigera l’humanité un jour. C’est ce que révèle un sondage Ifop pour le site de formation Learnthings* publié mercredi. D’après cette étude, 35% des Français s’attendent à ce que les machines finissent par gouverner les humains.
Ils sont cependant 65% à penser qu’elles resteront sous le contrôle de l’homme et donc, qu’elles ne pourront pas diriger seules l’humanité. Les femmes sont légèrement plus nombreuses (36%) à partager ce constat que les hommes (33%). En revanche, l’écart se creuse entre les générations, les jeunes étant les moins convaincus par ce scénario de domination mondiale des machines. 26% des 18-29 ans adhèrent à cette idée, contre 37% des 30-39 ans et 42% des 50-59 ans.
Une future capacité inquiétante
L’étude révèle également que 64% des Français estiment que les intelligences artificielles seront un jour capables d’agir comme des humains, soit deux fois plus qu’il y a 50 ans. En 1972, ils n’étaient que 32% à partager cette opinion. S’ils sont plus nombreux à penser que cela est possible, ils ne le souhaitent pas pour autant. Alors que 91% des sondés en 1972 ne souhaitaient pas qu’une telle évolution puisse se produire un jour, la méfiance est toujours aussi forte en 2024. Aujourd’hui, 87% des Français ne veulent pas que les machines se comportent comme des humains.
Lire la suite : https://leclaireur.fnac.com/article/420659-plus-dun-tiers-des-francais-pensent-que-lia-finira-par-diriger-lhumanite/
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Friar Tech : le plus grand expert en éthique de l’IA du Vatican qui conseille le pape François, l’ONU et la Silicon Valley
observatoiredeleurope.com - Par Jean Delaunay
Publié le 21 janvier 2024
Cela peut ressembler à un oxymore, mais le cerveau le plus important du Vatican en matière de technologie qui façonne le plus notre monde à l’heure actuelle est issu d’un ordre médiéval.
Le frère Paolo Benanti porte la robe marron unie de son ordre franciscain médiéval alors qu’il s’attaque à l’un des problèmes les plus urgents de l’époque contemporaine : comment gouverner l’intelligence artificielle (IA) afin qu’elle enrichisse – et non exploite – la vie des gens.
Benanti est la personne de référence du Vatican en matière de technologie et il a l’oreille du pape François ainsi que de certains des meilleurs ingénieurs et dirigeants de la Silicon Valley.
Ingénieur de formation, docteur en théologie morale et passionné par ce qu’il appelle « l’éthique de la technologie », le prêtre italien de 50 ans est investi d’une mission urgente qu’il partage avec François, qui, dans son message de paix annuel pour 2024, a poussé à un traité international pour garantir l’utilisation éthique de la technologie de l’IA.
« Quelle est la différence entre un homme qui existe et une machine qui fonctionne ? » a déclaré Benanti dans une interview avec l’Associated Press lors d’une pause à l’Université pontificale grégorienne, où il enseigne des cours tels que la théologie morale et la bioéthique aux étudiants se préparant au sacerdoce.
« C’est peut-être la plus grande question de notre époque, car nous sommes témoins d’un défi qui s’approfondit chaque jour davantage avec une machine qui s’humanise ».
Conseiller en IA
Paiement électronique
Le Crédit Agricole devient « actionnaire de long terme » de Worldline, avec 7 % du capital
lesoir.be - Par AFP
Publié le 22 janvier 2024
Ce lundi, le Crédit Agricole devient « actionnaire minoritaire de long terme » au capital du spécialiste de paiements Wordline, qui avait connu des difficultés en Bourse l’an dernier.
Le Crédit Agricole a annoncé lundi son entrée comme « actionnaire minoritaire de long terme » au capital du spécialiste des paiements Worldline, malmené en Bourse l’an dernier, avec 7 % des actions.
Le Crédit Agricole, qui a passé l’an dernier un « partenariat stratégique » avec l’ex-filiale d’Atos, dit dans un communiqué vouloir « accompagner le développement de Worldline et (…) lui permettre de mettre en œuvre sa stratégie d’acteur européen de référence sur le marché des paiements ».
Lire la suite : https://www.lesoir.be/562930/article/2024-01-22/le-credit-agricole-devient-actionnaire-de-long-terme-de-worldline-avec-7-du
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Paiement sans mot de passe, smart receipts, cashback… PayPal annonce 6 innovations pour l'e-commerce
usine-digitale.fr - Yoann Bourgin
Publié le 25 janvier 2024
Lors de la conférence "PayPal First Look", le nouveau CEO de la plateforme de paiement en ligne dévoile six innovations qui doivent lui permettre de garder un temps d'avance sur la concurrence. On trouve parmi celles-ci Fastlane, une nouvelle méthode de validation du panier et de paiement des commandes, l’introduction de tickets de caisse intelligents, et une offre de cashback.
Alex Chriss, président et CEO de la plateforme américaine de paiement en ligne PayPal depuis septembre, annonce ce jeudi 25 janvier six innovations qui "non seulement répondront aux besoins des clients, mais nous en sommes aussi convaincus, transformeront l’industrie des paiements et du commerce". Rien que ça.
Fastlane, une nouvelle expérience pour accélérer le checkout
Forte de 400 millions d’utilisateurs et 35 millions de marchands, la multinationale traite chaque année environ 25% des transactions e-commerce dans le monde. Pour fluidifier le "checkout" (validation du panier et paiement de la commande), PayPal intègre désormais des passkeys, qui permettent aux clients de se connecter sans mot de passe, s'authentifiant par biométrie (reconnaissance faciale, empreinte digitale...). Une mesure permettant de réduire de 50% le temps moyen de cette opération tout en augmentant sa sécurité.
Blockchain
Apprendre à programmer une blockchain, est-ce si difficile ?
fr.beincrypto.com - Mis à jour par Célia Simon
Publié le 21 janvier 2024
EN BREF
La technologie blockchain est en train de révolutionner le monde numérique et le système financier. Cela dit, la perspective d’apprendre à programmer ces systèmes complexes peut sembler décourageante. Et pourtant, les réflexions d’un développeur blockchain bien connu suggèrent que ce parcours pourrait se révéler bien plus accessible que beaucoup ne l’imaginent.
En effet, la phase d’apprentissage pour ceux et celles qui s’intéressent à la programmation des blockchains et au développement des contrats intelligents n’est peut-être pas aussi ardue qu’on pourrait le penser.
Commencer par les bases de la blockchain
Jhony Grillet, PDG de El Aguacate Programador, a confié à BeInCrypto l’importance de se concentrer sur les concepts de base avec des démonstrations spécifiques de systèmes de blockchain. Cette approche contraste avec le fait d’essayer de couvrir tous les aspects d’un vaste projet. Son point de vue s’aligne ainsi sur le problème plus général de l’éducation au Web3, à savoir la nécessité de se concentrer sur quelques éléments fondamentaux plutôt que de courir après chaque nouvelle tendance.
Lire la suite : https://fr.beincrypto.com/technologie/282594/apprendre-programmer-blockchain-facile/
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La blockchain face aux deepfakes : vers une ère de véracité numérique
incuber.org - Par Agathe Laurent
Publié le 22 janvier 2024
Avec les avancées continues de l’intelligence artificielle (IA), les deepfakes se répandent à une vitesse alarmante. Ces créations posent des défis majeurs quant à l’authenticité des contenus et à la fiabilité de l’information. Face à ce défi, la blockchain émerge en tant que solution potentielle.
Lors de sa conférence « Ignite », le 15 novembre 2023, Microsoft a présenté Azure AI Speech, un outil permettant de créer des clones vocaux dans plus de 40 langues. Bien que prometteuse, cette technologie souligne également la facilité croissante de générer des deepfakes. Fusion de « deep learning » et « fake », ils désignent des vidéos ou des enregistrements audio trompeurs créés par IA. Ils peuvent être si convaincants qu’ils semblent authentiques, posant des défis éthiques et sécuritaires considérables.
Le Forum Économique Mondial note une augmentation de 900% des deepfakes en ligne, entre 2022 et 2023, soulignant l’intérêt et l’impact croissants de cette technologie. Leur création, désormais accessible avec une expertise technique minimale, rend cette pratique largement répandue. Les deepfakes servent à des fins variées. Dans le divertissement, ils ont permis de rajeunir Harrison Ford dans le dernier Indiana Jones. En cybercriminalité, ils sont utilisés pour des activités malveillantes comme le chantage ou le vol d’identité. Par exemple, un logiciel de mimétisme vocal a permis le vol de 240 000 dollars, démontrant l’usage criminel des deepfakes.
Les deepfakes affectent également le monde des cryptomonnaies, notamment en compromettant certains processus de KYC (Know Your Customer). Par exemple, d’après Stable Diffusion, une image générée par IA a récemment réussi à passer la vérification pour une banque. Cela dit, les échanges centralisés, répondant à la régulation, optent pour des solutions certifiées pour maintenir leur conformité.
La lutte contre les deepfakes : rôle de la blockchain
Lire la suite : https://incyber.org/blockchain-face-deepfakes-vers-ere-veracite-numerique/
Désinformation
La désinformation, nouveau risque mondial
argusdelassurance.com - Par la Rédaction
Publié le 22 janvier 2024
Dans son dernier rapport sur les risques, le Forum économique mondial révèle la montée en puissance de risques tels que la cybercriminalité, les conséquences néfastes de l’intelligence artificielle, les catastrophes naturelles, et, plus surprenant, de la désinformation.
Le Forum économique mondial de Davos a publié son traditionnel rapport sur les risques mondiaux 2024. Le document, qui s’appuie sur les points de vue de 1 400 experts mondiaux des risques, décideurs politiques et dirigeants d’entreprise, révèle l’importante progression du risque de la manipulation de l’information et la désinformation. Ces derniers entrent directement à la première place du classement des risques à court terme (horizon deux ans). «C’est la première fois que ce risque est explicitement évoqué dans notre rapport », souligne Saadia Zahidi, directrice générale du Forum économique mondial. Un risque politique majeur en 2024. Et pour cause : plus de 70 Etats dont les États-Unis, l’Inde ou le Mexique, tiendront des élections nationales dans les douze prochains mois. Or, il a été prouvé par le passé notamment lors du vote du Brexit en 2016 que l’ingérence des fake news peut avoir des conséquences sur le cours d’un scrutin. « L'utilisation généralisée de la désinformation et des outils permettant de la diffuser peut saper la légitimité des gouvernements nouvellement élus, prévient d’ailleurs le rapport. Les troubles qui en résulteront pourraient aller de manifestations violentes et de crimes haineux à des affrontements civils et au terrorisme. »
Les risques climatiques restent sur la deuxième marche du podium pour la deuxième année consécutive. A la troisième place se trouve la division sociale. Le risque cyber passe de la huitième position en 2023 à la 4e position cette année, juste devant les conflits armés (5e place).
Lire la suite : https://www.argusdelassurance.com/green-assurance/la-desinformation-nouveau-risque-mondial.230124
RGPD
RGPD, ce qui évolue en 2024 ?
uns.org - Sophie RIOLLET, Juriste
Publié le 22 janvier 2024
L’adaptation à la mise en oeuvre et au formalisme qu’engendre le règlement général pour la protection des données personnelles (RGPD) reste, sous le contrôle et avec l’accompagnement de la CNIL, laborieuse pour l’ensemble des opérateurs économiques et institutionnels.
En outre, le RGPD évolue encore en 2024...
R.G.P.D. 2024 :
° Au niveau européen...
La Commission européenne a proposé en juillet 2023 de nouvelles règles visant à renforcer l’efficacité et l’efficience de l’application du règlement général sur la protection des données (RGPD) dans les situations transfrontalières.
Un règlement de procédure du RGPD va viser à rationaliser la coopération entre les autorités (en France, la CNIL, en lien avec les institutions ayant la même fonction dans le pays européen concerné), chargées de la protection des données (APD), en harmonisant certains aspects de leurs procédures administratives dans les situations transfrontalières.
Pour la France...
Décret n° 2024-12 du 5 janvier 2024
Lire la suite : https://www.unsa.org/RGPD-ce-qui-evolue-en-2024.html
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Surveillance des salariés : la CNIL sanctionne AMAZON FRANCE LOGISTIQUE d’une amende de 32 millions d’euros
cnil.fr - Communiqué
Publié le 23 janvier 2024
Le 27 décembre 2023, la CNIL a sanctionné AMAZON FRANCE LOGISTIQUE d’une amende de 32 millions d’euros pour avoir mis en place un système de surveillance de l’activité et des performances des salariés excessivement intrusif. La société est également sanctionnée pour de la vidéosurveillance sans information et insuffisamment sécurisée.
L’essentiel
La société AMAZON FRANCE LOGISTIQUE gère les entrepôts de grande taille du groupe AMAZON en France, dans lesquels elle reçoit et stocke les articles, puis prépare les colis à livrer aux clients. Dans le cadre de son activité, chaque salarié des entrepôts est muni d’un scanner au moyen duquel il documente en temps réel l’exécution de certaines tâches qui lui sont assignées (stockage ou prélèvement d’un article dans les rayonnages, rangement ou emballage…).
Chaque scan effectué par les salariés donne lieu à l’enregistrement de données, qui sont conservées et qui permettent de calculer des séries d’indicateurs renseignant sur la qualité, la productivité et les périodes d’inactivité de chaque salarié, individuellement.
À la suite d’articles de presse visant certaines pratiques mises en œuvre par la société dans ses entrepôts, la CNIL a procédé à plusieurs missions de contrôles. Elle a également reçu plusieurs plaintes de salariés.
La CNIL a estimé que le système de suivi de l’activité et des performances des salariés était excessif, notamment pour les raisons suivantes :
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/surveillance-des-salaries-la-cnil-sanctionne-amazon-france-logistique-dune-amende-de-32-millions
Cybersécurité
Selon IBM, l'informatique quantique pourrait détruire la cybersécurité des pays
lesnumeriques.com - Par Passim Chentouf
Publié le 24 janvier 2024
IBM alerte les gouvernements et les entreprises face au danger de l'informatique quantique. Selon l’entreprise, cette technologie, très puissante, est capable de contourner la sécurité cryptographique actuelle.
IBM estime que l'informatique quantique représente un grand danger. Pourquoi ? Selon les experts en cybersécurité, cette technologie serait en mesure de briser la cryptographie actuelle.
Riposter face au danger de l'informatique quantique
L’informatique quantique complète l’informatique classique pour résoudre des problèmes particulièrement complexes, les ordinateurs dotés de cette technologie étant plus performants et plus rapides. Une puissance qui représente un danger selon les experts d’IBM, qui planchent sur une machine quantique de plus de 4000 qubits pour 2025. C’est lors du Forum économique mondial de Davos que Ana Paula Assis, directrice générale de l’entreprise en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique, a fait part de ses craintes. Selon elle, la technologie menace de faire des ravages dans le domaine de la cybersécurité.
Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/quantique/selon-ibm-l-informatique-quantique-pourrait-detruire-la-cybersecurite-des-pays-n217927.html
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A Nancy, le Loria en pointe dans la détection précoce des cyberattaques
usinenouvelle.com - Par Pauline Bandelier
Publié le 21 janvier 2024
À Nancy, les recherches du laboratoire Loria ciblent la détection des malwares par l'IA et l'analyse morphologique.
Dans les sous-sols du Loria, le Laboratoire lorrain de recherche en informatique et ses applications, un imposant sas protège le LHS, le Laboratoire de haute sécurité informatique. Cette plateforme située à Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle), dédiée à la recherche en cybersécurité, l'une des deux en France avec celle de Rennes, abrite dans sa salle de serveurs «35 millions de malwares», et de nombreuses données sensibles. L'objectif : «analyser les modes opératoires et les comprendre pour pouvoir mieux y réagir», explique Jean-Yves Marion, professeur à l'université de Lorraine et chercheur au Loria.
Pour cela, les scientifiques lorrains collaborent notamment avec leurs homologues du National institute of information and communications technology (NICT) de Tokyo, avec lesquels ils échangent des sondes ou des «pots de miel»: des faux serveurs remplis de vulnérabilités qui servent à attirer les cybercriminels.
Deux start-up déjà créées
Car les attaques sont de plus en plus complexes à détecter, à l'image de celle menée en 2021 contre le système de santé irlandais et qui a mis trois mois avant d'être repérée. «Tous les objets connectés sont attaquables et forment une chaîne qui permet aux cybercriminels de progresser discrètement dans le système», rappelle Jean-Yves Marion. Les modes opératoires des rançongiciels ont également évolué, «avec l'exfiltration systématique des données de la victime».
Lire la suite : https://www.usinenouvelle.com/article/a-nancy-le-loria-en-pointe-dans-la-detection-precoce-des-cyberattaques.N2199168
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Cyberflics : comment la police nationale se réorganise
zdnet.fr - Par Gabriel Thierry
Publié le 22 Janvier 2024
Sécurité : Le nouvel office anti-cybercriminalité doit monter en puissance dans les trois ans qui viennent, notamment en s’appuyant sur ses antennes territoriales.
Adieu l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC), bonjour l’office anti-cybercriminalité (Ofac). Près de deux mois après la création formelle de cette structure, la police nationale vient de dévoiler les contours de son nouveau fer de lance judiciaire dans la lutte contre la cybercriminalité.
La nouvelle structure fusionne l’ancienne sous-direction de lutte contre la cybersécurité et l’ancien office central cyber au sigle interminable. Elle doit être, a expliqué le chef de l’Ofac, le contrôleur général Nicolas Guidoux, synonyme de “simplification” et de “plus d’efficacité”. Comment ? En intégrant des profils plus techniques dans les enquêtes judiciaires.
Concrètement, la nouvelle structure basée à Nanterre (Hauts-de-Seine) est forte de 180 personnes, dont une vingtaine d’ingénieurs spécialisés. Elle regroupe quatre pôles consacrés aux enquêtes, à l’appui opérationnel, au renseignement et à la détection des menaces cyber. L’Ofac, dont la cheffe adjointe est la commissaire divisionnaire Cécile Augeraud, l’ancienne patronne de l’OCLCTIC, devrait compter 220 personnes en 2027, selon les projections du “plan cyber” de la police nationale.
Onze antennes
Le pôle des cyber-enquêtes de l’Ofac est ainsi constitué de deux sections. La première est dédiée aux cyber-attaques, des rançongiciels aux vols de données. La seconde est chargée de la lutte contre les services criminels, que ce soit des marchés noirs ou des réseaux de communication chiffrés tels que Sky-ECC ou Encrochat.
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/cyberflics-comment-la-police-nationale-se-reorganise-39963706.htm
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Les nouvelles techniques d'IA vont faire augmenter la menace des ransomwares, prévient le NCSC
usine-digitale.fr - Par Célia Séramour
Publié le 25 janvier 2024
Un rapport suggère que l'intelligence artificielle sera utilisée pour augmenter le volume et l'impact des cyberattaques – notamment par ransomware – au cours des deux prochaines années. Alors que les budgets alloués à la cybersécurité s'efforcent de suivre le rythme, deux agences britanniques, le National Cyber Security Centre et la National Crime Agency, alertent sur les dangers à venir et les mesures à prendre pour se protéger au mieux.
L'intelligence artificielle, un facteur d'aggravation de la menace des ransomwares ? C'est en tout cas ce qu'indique le National Cyber Security Centre (NCSC) dans sa dernière étude. Le rapport se concentre sur l'impact de l'IA sur l'efficacité des cyberopérations et sur les implications pour la cybermenace au cours des deux prochaines années. Selon le NCSC – qui dépend du Government Communications Headquarters (GCHQ), le service gouvernemental du Royaume-Uni responsable du renseignement – l'IA devrait accroître la menace mondiale des ransomwares.
Le rapport intitulé "The near-term impact of AI on the cyber threat assessment", publié ce 24 janvier, conclut que l'IA est déjà utilisée dans le cadre de cyberactivités malveillantes et qu'elle augmentera très certainement le volume et l'impact des cyberattaques, y compris des ransomwares, à court terme. Entre autres conclusions, le rapport indique qu'en abaissant la barrière d'entrée pour les cybercriminels débutants, les pirates informatiques et les hacktivistes, cette technologie permet à des acteurs relativement peu qualifiés de mener des opérations d'accès et de collecte d'informations plus efficaces.
Le ransomware, une menace de taille pour les gouvernements
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Panocrim 2023 du Clusif : Ransomware, IA, cloud, géopolitique au menu
lemondeinformatique.fr - Par Dominique Filippone
Publié le 24 Janvier 2024
Depuis bientôt 25 ans, le club de la sécurité des systèmes d'information décrypte chaque année les tendances du paysage des cybermenaces et de la cybercriminalité de l'année écoulée. Sur fond de contexte géopolitique et de désinformation toujours très tendu, les pirates informatiques ont multiplié en 2023 leurs assauts dont certains armés à l'intelligence artificielle.
« L'année 2023 a été mouvementée avec des attaques toujours plus nombreuses et sophistiquées », a lancé Benoît Fuzeau, président du Clusif à l'occasion de la présentation des résultats de la 24e édition du Panocrim de l'association ce 23 janvier sur Paris. Un signal d'alarme inquiétant alors que se profile dans une poignée de mois les Jeux Olympiques qui nécessiteront a de mettre sur le pont - avant, pendant et après - les équipes SSI des entreprises et des organismes publics pour anticiper et agir et réagir de la meilleure façon possible en cas de pépin cyber comme a pu aussi le souligner en fin de session Jérôme Billois, administrateur du club.
Selon le Clusif, l'année écoulée a été marquée par la recrudescence d'activités malveillantes en provenance de plusieurs groupes de cybercriminels bien connus dont en particulier Clop MovIT, ALPHV/BlackCat mais aussi effectuées via d'infostealers bien loin d'être tombés en désuétude. Sans oublier l'explosion des enjeux géopolitiques alimentant directement des cyberattaques à des fins de déstabilisation et/ou de compromissions d'infrastructures critiques. 2023 n'aura pas fait l'impasse non plus sur la progression des campagnes malveillantes amplifiées par le biais des réseaux sociaux et ciblant les monnaies virtuelles. Parmi les autres phénomènes remarquables identifiés par l'association, l'intelligence artificielle qui a constitué plus que jamais une opportunité pour les cyberattaquants dans l'élaboration de leurs campagnes malveillantes.
Le cloud porteur de risques sensibles
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-panocrim-2023-du-clusif-ransomware-ia-cloud-geopolitique-au-menu-92764.html
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Cybersécurité en 2024 : vers une sophistication toujours plus accrue des tactiques
zdnet.fr - Par Chester Wisniewski
Publié le 26 janvier 2024
Tribune : Quelles cybermenaces populaires en 2023 persisteront en 2024, et quelles stratégies pour y faire face ? Eléments de réponse par Chester Wisniewski, Global Field CTO chez Sophos.
Par Chester Wisniewski, Sophos | Vendredi 26 Janvier 2024
Alors que l’année 2024 commence, quel bilan pour 2023 et quelles évolutions du paysage des menaces pour cette nouvelle année ? L’année 2023 a été marquée par une persistance dans les tactiques des cybercriminels, avec la prédominance des ransomwares, l’exploitation de vulnérabilités, les vols d’identifiants ou encore les attaques ciblant la chaîne d’approvisionnement. Le point commun à toutes ses attaques étant leur redoutable efficacité.
Il est donc essentiel de se demander quelles tendances persisteront en 2024 et quelles sont les stratégies que les entreprises doivent adopter pour faire face à ces futures cybermenaces.
Entre tendances persistantes et évolution des tactiques de cybercriminalité
En 2024, le paysage des menaces ne devrait pas être amené à changer radicalement, en particulier en ce qui concerne les typologies d’attaques et les tactiques et procédures criminelles. Les groupes criminels concentrent toujours principalement leur attention sur les gains financiers et les ransomwares demeurent leur arme privilégiée. Ces cybercriminels ont tendance à privilégier la facilité en s’attaquant de manière opportuniste aux failles de sécurité non corrigées.
La récente attaque Citrix Blend a pu démontrer l’agilité des cybercriminels lorsqu’il s’agit d’exploiter rapidement et efficacement ces nouvelles vulnérabilités.
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/cybersecurite-en-2024-vers-une-sophistication-toujours-plus-accrue-des-tactiques-39963840.htm
Services publics
Service-public.fr a enregistré 605 millions de visites en 2023
Administration française
echodumardi.com - Par écho du mardi
Publié le 24 janvier 2024
En 2023, Service-public.fr, comptabilise une audience record avec 605 millions de visites, soit plus 6% par rapport à 2022.
Le site de référence de l’administration française, a pour but de faciliter les démarches administratives, en orientant vers le bon service public et en présentant clairement et simplement la marche à suivre. Les usagers sont accompagnés sur tous les sujets qui rythment leur quotidien : mariage, déménagement, naissance, mais aussi arnaques en ligne, opération tranquillité vacances, ou encore les dates des vacances scolaires….
Co-construit avec les usagers et les administrations partenaires, il est régulièrement adapté aux besoins des Français et à l’évolution de la réglementation, il centralise les droits des Français et facilite la gestion administrative de chacun.
Les sujets et démarches les plus consultés par les Français
En 2023, 6 millions de français ont consulté le renouvellement de la carte d’identité, 5,4 millions l’acte de naissance, 4,7 millions le livret d’épargne populaire, 4,6 millions les indemnités carburant, 3 millions les frais professionnels et barèmes kilométriques, 2,7 millions les nouvelles obligations de déclaration des logements et 2 millions la vente ou le don de son véhicule.
Les parcours usagers se sont encore simplifiés en 2023, contribuant à des fortes augmentations d’audience sur certaines fiches, comme par exemple, 77% d’augmentation de consultation de la fiche sur le livret d’épargne populaire, 87% sur le Bafa et 85% sur la sortie scolaire au collège et lycée. Ces croissances d’audience attestent de l’efficacité du référencement et de la qualité du contenu éditorial accessible et compréhensible pour le plus grand nombre.
Les simulateurs de situation progressent avec 26 millions de visites. Le modèle de lettre administrative le plus téléchargé est l’attestation d’hébergement avec près de 4,5 millions de visites.
Simplifier la vie des Français : la mission première du site
Lire la suite : https://www.echodumardi.com/juridique/service-public-fr-a-enregistre-605-millions-de-visites-en-2023/
Atos
Le Sénat se penche sur les difficultés de l’entreprise Atos : un sujet « brûlant et important »
publicsenat.fr - Par Hugo Ruaud
Publié le 23 janvier 2024
Le sénat s’apprête à lancer une mission d’information au sujet d’Atos, l’entreprise informatique française en grande difficulté économique, sur fond de rachat et d’enjeu de souveraineté nationale.
Ne pas convertir une catastrophe industrielle en une catastrophe pour la souveraineté nationale. Pour éviter un fiasco total, et comprendre les causes de l’état dans lequel se trouve l’entreprise Atos, ancien fleuron français du numérique, le Sénat s’apprête à ouvrir une mission d’information. C’est Cédric Perrin, président de la commission des affaires étrangères et de la défense, qui l’a annoncé sur Public Sénat. « Atos est un acteur de la souveraineté française, notamment en matière de dissuasion nucléaire », explique le sénateur Les Républicains pour justifier cette initiative. « Ce que nous ne souhaitons pas, c’est que ses compétences passent sous main-mise étrangère », poursuit l’élu. Car bien que rien ne soit encore signé, et alors que les discussions semblent patiner depuis plusieurs mois, une partie de l’entreprise pourrait être acquise par le milliardaire Daniel Kretinsky. Selon des informations de presse, une réunion de la « dernière chance » doit avoir lieu aujourd’hui entre la direction du groupe Atos et le milliardaire tchèque. L’enjeu pour Atos, qui compte près de 110 000 salariés dans le monde, est de taille : confronté à un mur de dette, il doit parvenir à un accord pour céder Tech Foundations, l’entité qui regroupe ses activités historiques d’infogérance, et retrouver un peu d’air.
Ce deal inquiète, depuis plusieurs mois, plusieurs parlementaires français. Dans une tribune au Figaro en juillet 2023, plusieurs députés et sénateurs, dont Cédric Perrin, faisaient déjà part de leur crainte de voir « un fleuron » passer aux mains « de puissances étrangères ». « Depuis 1996, date d’arrêt des essais nucléaires, toutes les informations qui ont été récupérées suite aux essais nucléaires ont été mises dans un gros ordinateur. Aujourd’hui ces supercalculateurs détenus par Atos permettent de simuler des essais nucléaires, et sont donc des outils de l’indépendance française », explique Cédric Perrin.
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Eviden
Eviden et Microsoft concluent un partenariat stratégique mondial sur cinq ans pour accélérer les stratégies Cloud et IA et accélérer la transformation numérique des entreprises
atos.net - Communiqué
Publié le 25 janvier 2024
• Pour Eviden, cet accord de cinq ans devrait générer 2,8 milliards de dollars dans le domaine des services cloud d’ici 2028
• Formation rapide des 50 000 collaborateurs d’Eviden, avec plus de 16 000 nouvelles certifications Microsoft prévues au cours des cinq prochaines années
• Co-développement et lancement de solutions industrielles basées sur L’IA générative dans quatre secteurs prioritaires, accélérés par des centres d’innovation communs au niveau mondial
Eviden, la ligne d’activités du groupe Atos leader dans le digital, le cloud, le big data et la sécurité, et Microsoft annoncent aujourd’hui la signature d’un partenariat stratégique sur cinq ans qui vient renforcer leur collaboration existante, avec le développement et le lancement de solutions industrielles innovantes basées sur Microsoft Cloud et alimentées par l’IA. Cette annonce s’inscrit dans la stratégie globale de partenariats et d’alliance d’Eviden visant à renforcer et réorganiser son réseau mondial de partenaires, en consolidant les partenariats existants tout en développant de nouveaux liens.
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Eviden fournira le centre de données modulaire pour héberger le premier super ordinateur Exascale d’Europe
éviden.com - Communiqué
Publié le 23 janvier 2923
Eviden, la ligne d’activités d’Atos leader dans le digital, le cloud, le big data et la sécurité, annonce aujourd’hui avoir remporté un contrat auprès du centre de recherche Jülich (Allemagne) pour la construction du centre de données modulaire qui accueillera le supercalculateur EuroHPC JUPITER, le premier système exascale d’Europe. Ce contrat fait suite à la récente sélection d’Eviden comme chef de file du consortium pour la fabrication du système JUPITER, en octobre 2023, une marque de confiance renouvelée de la part du centre de recherche Jülich.
Grâce à une conception unique, Eviden assemblera un ensemble d’environ 50 modules préconstruits et interchangeables – parmi lesquels 20 conteneurs informatiques, 15 conteneurs d’alimentation électrique et 10 conteneurs logistiques (hall, atelier, entrepôt, etc.) – sur 2 300m² pour former un centre de données complet, clé en main.
Avec cette solution modulaire, le client pourra bénéficier de plus de flexibilité et d’agilité sur le long terme, avec une plus grande facilité de mises à jour ou de remplacement de modules individuels, indépendamment du reste du système. Contrairement aux systèmes actuels avec lesquels le démantèlement d’un système obsolète et la mise à niveau du centre de données pour prendre en charge les nouvelles technologies peuvent prendre des semaines ou des mois et entraîner une longue indisponibilité, il suffit d’enlever un module et de le remplacer par un autre doté d’une configuration informatique mise à niveau. Il en va de même pour le sous-système d’alimentation et la zone logistique.
Comparée aux centres de données traditionnels, cette approche innovante et flexible montre une fois de plus les capacités d’intégration d’Eviden pour fournir une solution de calcul haute-performance complète, avec des coûts divisés par 3 et un délai de livraison réduit de 50%. Fabriqués dans l’usine Eviden d’Angers (France), les racks de calcul du système JUPITER seront intégrés dans les conteneurs avec le système de refroidissement, l’alimentation, le réseau et le câblage directement dans l’usine, avant la livraison chez le client. Cette étape clé permet d’accélérer considérablement le processus d’installation et de réduire le risque de découverte de défauts chez le client.
Thales
l’UE sélectionne le consortium Nostradamus et prépare l’europe au monde quantique
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 16 janvier 2024
L’objectif à terme est de développer l’infrastructure européenne de communication quantique (EuroQCI). Celle-ci vise à renforcer la sécurité des centres de données, des réseaux de communication et des infrastructures critiques comme les hôpitaux et les centrales électriques – par fibre optique et par satellite. La physique quantique assure une protection accrue contre les menaces qui pèsent aujourd’hui sur les réseaux de communication. Le recours aux technologies quantiques est un pilier essentiel de la stratégie de cybersécurité de l’UE dans les prochaines décennies.
Les transmissions par satellite de l’UE vont recourir à la technologie quantique
Le futur réseau de satellites chiffré de l’UE IRIS (Infrastructure for Resilience, Interconnectivity and Security by Satellite) s’appuie lui aussi sur l’EuroQCI. Il fournira aux gouvernements des services de communications et une infrastructure réseau critique. IRIS assurera aussi aux entreprises et aux organisations un accès rapide à l’Internet par satellite. Après Galileo pour la navigation et Copernicus pour l’observation de la Terre, IRIS constitue le troisième pilier de l’infrastructure spatiale de l’UEqui a donné son feu vert pour son déploiement l’année dernière. Les premiers services devraient être lancés en 2024. La pleine exploitation est prévue pour 2027.
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METAVERS
Le Métavers est une opportunité pour les forces de l’ordre, selon Interpol
cryptonaute.fr - Par Romaric Saint Aubert
Publié le 24 janvier 2024
Interpol vient de publier un document qui met en lien la cybercriminalité dans le métavers et le travail des forces de l’ordre. Selon l’agence, il existe plusieurs opportunités, mais également de nombreux progrès à faire dans ce domaine encore émergent.
Cas d’usage du Métavers pour Interpol
L’organisme intergouvernemental Interpol vient de publier un whitepaper dans lequel elle fait l’état des lieux des crimes dans le métavers et des solutions proposées. Selon elle, le métavers se positionne à la fois comme une opportunité et comme un défi.
Concernant les opportunités, le document insiste sur le networking, la possibilité de créer des conférences, l’entraînement 3D, et la numérisation des scènes de crime. Évidemment, il est également question d’intégrer la réalité augmentée et la réalité virtuelle afin de rendre les cas d’usage intéressants.
Le métavers : des avantages et des inconvénients pour les forces de l’ordre
Ainsi, le métavers s’impose à la fois comme un avantage mais également comme un inconvénient pour les forces de l’ordre. L’usage du métavers permettrait :
Plusieurs défis restent néanmoins à relever, comme les prérequis en termes d’infrastructure, la question éthique, l’ambiguïté légale et les cyberattaques. En parallèle, cette nouvelle technologie ouvre également la porte à quantité de crimes en tout genre. Paradoxalement, cela complique les choses, en particulier le travail des forces de l’ordre, comme l’affirme Jürgen Stock, secrétaire général d’Interpol :
« L’essor de technologies puissantes telles que le Metavers rend le paysage criminel de plus en plus complexe et transnational, ce qui pose de nouveaux défis aux forces de l’ordre. »
Définir la notion de « Métacrime »
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Mobilité
Témoignages D’utilisateurs : Comment Les Bornes De Recharge À Nantes Transforment Le Quotidien
tesla-mag.com - Par Mrina Auvaze
Publié le 16 janvier 2024
La transition vers la mobilité électrique à Nantes est un phénomène en plein essor, soutenu par l’expansion du réseau de bornes de recharge. Cependant, l’expérience des utilisateurs révèle des aspects variés, allant de la commodité à la complexité, en partie due aux coûts de recharge.
Commodité Et Accessibilité Des Bornes À Nantes
À Nantes, les conducteurs de véhicules électriques bénéficient d’une variété de bornes de recharge. Jean, qui utilise régulièrement les bornes EFFIA à la Gare de Nantes Sud, apprécie la disponibilité de plusieurs points de charge. « Avec 14 bornes, il y a toujours une place disponible », dit-il.
Coûts De Recharge À Nantes : Une Préoccupation Majeure
Selon les informations de Beev.co, en Pays de la Loire, un tarif régional a été établi à 0,20 €/kWh pour une borne standard et 0,30 €/kWh pour une borne rapide. Cependant, ces tarifs varient selon les opérateurs. Par exemple, Ionity facture 0,39 € le kWh pour les bornes de 50 kW et 0,69 € le kWh pour les bornes de 350 kW. Fastned, Electra, Allego, et Total proposent également des tarifs variés allant de 0,49 € à 0,69 € le kWh, selon la puissance de la borne.
Chargez Pour Deux Fois Moins Cher Depuis Chez Vous
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« Nous voulons contribuer à l’essor d’un “choc d’offre de transport public” »
sncf.com - Communiqué
Publié le 18 janvier 2024
En pointe sur les véhicules autonomes, Keolis développe des solutions toujours plus performantes pour répondre aux besoins de mobilité. Quelles expérimentations sont menées ? Quels sont les enjeux de la mobilité autonome ? Comment la faire accepter ? Éric Callé, Directeur Innovation & Industrialisation, nous répond.
Où en est la mobilité autonome chez Keolis ?
Quand nous avons lancé des expérimentations il y a quelques années, le véhicule autonome était considéré comme une technologie disruptive, devant être explorée dans différents cas d’usage. Ce que nous avons fait avec des navettes de faible capacité.
Et aujourd’hui ?
Nous nous focalisons surtout sur la possibilité de desservir facilement des zones moins denses, périurbaines, rurales, ou encore des cœurs de villes : des lieux où la demande de transport public n’est pas massive, mais où il y a néanmoins des besoins de déplacement. Au bout du compte, il s’agit d’augmenter la part des transports collectifs grâce à la mobilité autonome, en complétant l’offre de transport pour un coût global compétitif, par exemple en fin de soirée ou aux heures creuses.
Dans quelles villes ?
Entre 2018 et 2020, nous avons mis en place une solution de transport rural à Waterloo, en Belg